Bulletin municipal n°47 - Ville de Saint-Jean

Transcription

Bulletin municipal n°47 - Ville de Saint-Jean
dossier
PATRIMOINE VOYER
Rentrée scolaire :
de nouvelles têtes
Chasse aux trésors
les 14 et 15 septembre
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
Visite exceptionnelle
le 21 septembre
www.angely.net
Mention en poche, 45 bacheliers à la mairie...
Le temps presse !
V
EDITO
ictimes d’une propriétaire
âpre au gain et entêtée,
les salariés des Comptoirs
du Biscuit se battent avec
dignité et courage. L’équipe
municipale et tous les Angériens
sont à leurs côtés, parce que
leur cause est juste, parce que,
économiquement, socialement,
notre territoire est en danger.
Aujourd’hui, un repreneur
sérieux, avec lequel je suis
en contact permanent, reste
intéressé.
Le
liquidateur
préserve l'avenir, un recours à
la Justice est envisagé et, après
un long silence inquiétant, nos
appels paraissent avoir été
entendus par le ministre Arnaud
Montebourg, nommé pour
traiter de tels dossiers.
Il s’agit de sauver des emplois,
d’aider des familles, de maintenir
notre économie. Monsieur le
Ministre, aucun habitant de
notre cité ne peut admettre un
avenir sans espoir.
Faites vite, le temps presse !
Paul-Henri Denieuil
Maire de Saint-Jean d'Angély
La qualité des deux lycées angériens a été confirmée par les résultats aux examens de fin d’année : à lui seul, le lycée AudouinDubreuil comptabilise 40 mentions, dont 15 « très bien » ; quant au lycée Blaise-Pascal, ses taux de réussite sont excellents : 97,5
% au bac S, 100 % au brevet, 95 % au CAP, 75 % au BTS et 80 % au bac pro, dont 5 mentions. Avant des vacances, cela méritait
bien une réception à la mairie et les félicitations du maire pour les titulaires de mentions… et leurs professeurs.
Pôle Emploi déménage, la Ville doit aménager...
L
e déménagement de Pôle Emploi
sur la zone Arcadys est maintenant
chose faite. Depuis le 26 août, les
demandeurs d’emploi sont reçus dans
un nouveau bâtiment, propriété du
promoteur bordelais Realtis. Justifiée par
le souci des conditions de travail pour
ses employés et un meilleur accueil du
public, cette décision de quitter les locaux
de la rue Michel-Texier, proche du centreville, a été prise par la direction régionale
de Pôle Emploi début 2012. Auparavant,
celle-ci avait décliné plusieurs propositions
de la municipalité qui permettaient de
conserver un accès facile à ce service de
l’Etat, hélas très fréquenté.
Tous les critères nécessaires au permis
de construire étant respectés, la Ville a
dû l’accorder, tout en faisant part, dans
le même temps, de son désaccord sur ce
déplacement dans un lieu très excentré
ne bénéficiant ni d’un accès piétonnier
sécurisé, ni d’une desserte par un
quelconque transport public.
Aujourd’hui, Pôle Emploi refusant de
prendre en compte cette situation, les élus
ont été mis devant le fait accompli et n’ont
d’autre choix que de tenter de minimiser
le danger pour ceux des chômeurs qui
devront se rendre à Arcadys à pied. Miaoût, les maires de Saint-Jean d'Angély et
de La Vergne et les techniciens de la Ville se
sont rendus sur le terrain pour déterminer
les travaux à effectuer au plus vite… Et à
moindre coût, la voie entre Moulinveau et
l’autoroute devant, à moyen terme, faire
l’objet d’une importante restructuration
dans le cadre de la construction du
contournement ouest de la ville.
Elus et techniciens sont allés à pied vers le nouveau Pôle
Emploi. La photo est convaincante… A ses frais, la Ville
va améliorer la sécurité en créant un espace piétonnier.
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
Dossier
Rentrée
scolaire
P
our la première fois, la Ville n’a pas organisé elle-même la rentrée scolaire. Après le transfert de compétence intervenu le 27 mars, c’est désormais la Communauté de Communes - et, à partir du 1er janvier, la grande
Communauté de Communes des Vals de Saintonge - qui gère les écoles primaires et maternelles et assure l’accueil des élèves. Cependant, même si les
32 agents du service scolaire de la Ville sont désormais sous la responsabilité
de la CDC, rien ne change pour les parents et les enfants, ni pour les inscriptions, ni pour les cantines. Rien ne change non plus, lors de cette rentrée
dans l’organisation de la semaine scolaire.
Interview
Antoine Bordas : « Une rentrée normale »
utiliser le local vacant pour d’autres activités. A terme, cela facilitera le passage
aux nouveaux rythmes scolaires.
A ce propos, où en est la mise en
place de cette réforme ?
Antoine Bordas
Adjoint au maire chargé des affaires scolaires
Comment sont gérées les écoles depuis le transfert de la compétence
scolaire à la CDC ?
La Ville a conservé la propriété des bâtiments, mais leur entretien et les investissements à y entreprendre sont
désormais l’affaire de la CDC. Cette année, celle-ci a réalisé tous ceux qu’avait
programmés la municipalité. Pendant
l’année scolaire, les techniciens de la
Ville continueront à intervenir dans ces
écoles. Aujourd’hui, nous travaillons
sur des procédures qui permettront de
mieux gérer les travaux urgents réclamés par les directeurs et directrices lors
des derniers conseils d’école.
Les conditions de cette rentrée scolaire vous paraissent-elles satisfaisantes ?
Je la qualifierais plutôt de normale, c’està-dire conforme aux normes. L’Education Nationale a décidé de fermer une
classe à l’école maternelle du Manoir.
Nous le regrettons, mais le ministère applique ses critères… Faute de naissances
suffisantes, les inscriptions de bambins
de 3 et 4 ans sont moins nombreuses…
C’est un phénomène constaté sur l’ensemble de la région Poitou-Charentes…
Positivons ! D’une certaine façon, les
enfants profiteront de cette fermeture :
la directrice, Madame Chabirand, va
Vous le savez, la CDC, conformément
à la loi, a décidé d’attendre septembre
2014 pour l’appliquer. Ce délai nous
permettra de mieux la préparer. Nous
voulons de la qualité. Parents d’élèves et
pédagogues attendent beaucoup de ce
changement. Il est primordial que ce soit
l’enfant qui soit le bénéficiaire de cette
évolution.
Le centre de loisirs de Beaufief propose
déjà d’excellentes activités périscolaires.
Dès la rentrée, nous entreprendrons une
concertation avec les associations culturelles et sportives pour en concevoir de
nouvelles. Ensuite, ce sera aux élus de
valider ces propositions.
Mais n’oublions pas que ce sont les enseignants qui sont le véritable moteur
de l’évolution de nos écoles et de l’épanouissement de nos enfants. Je les remercie pour leur travail, leur implication
et leur motivation.
Les travaux de l'été
C’est une facture totale de 89 000 euros
que la Communauté de Communes a
réglée pour les travaux réalisés pendant
les vacances dans les bâtiments scolaires
appartenant à la Ville. La porte d’entrée
de l’école primaire Joseph-Lair a été
changée, tandis qu’un revêtement de
sol neuf, de nouvelles fenêtres et de
nouveaux volets ont été installés à
l’école Gambetta, dont les classes de
l’étage et la salle informatique ont été
repeintes. Quant à l’école maternelle
Les corniches de l'école du Manoir ont été rénovées
du Manoir, elle bénéficie d’une nouvelle
isolation et ses portes ont été équipées
d’anti-pince-doigts. Les corniches du
bâtiment extérieur ont été rénovées et
de nouveaux stores assurent un meilleur
confort.
activités aux jeunes, de la journée
médiévale à la Nuit des Etoiles, avec
une constante : un magnifique soleil
et beaucoup de gaieté !
Loisirs ensoleillés
Pendant tout l’été, le centre de loisirs
de Beaufief a proposé de multiples
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
Leur mission : la réussite de près de 2 500 jeunes !
S
ituation rarissime, les trois établissements publics du 2ème degré
de Saint-Jean d’Angély changent
simultanément de responsables à l’occasion de cette rentrée scolaire. La municipalité leur souhaite la bienvenue et la
pleine réussite de leur mission.
« Mon ambition, dit-il, est d’être utile à
la communauté scolaire et d’aider l’établissement à s’inscrire dans son temps ».
Outre la gestion au quotidien du lycée,
il aura à prévoir la mise en service, à la
rentrée 2014, du nouvel internat actuellement en construction.
« C’est avec plaisir, dit-il, que j’ai appris
mon affectation au lycée Audouin-Dubreuil où je terminerai une longue carrière
au service de la communauté éducative et
des élèves en particulier ». Il accueillera
les 35 élèves de la nouvelle section postbac BTS CGO.
Lycée Blaise-Pascal :
Jean-Philippe Cubertafond
Lycée Audouin-Dubreuil :
Claude Chantal
Collège Georges-Texier :
Michel Feauveau
Proviseur du lycée professionnel BlaisePascal depuis trois ans, Stéphane Allioux
a quitté Saint-Jean d’Angély pour Saintes,
où il prend les mêmes responsabilités au
lycée Bellevue. Il est remplacé par JeanPhilippe Cubertafond. Âgé de 55 ans,
celui-ci, après des études de droit public
et d’histoire contemporaine à Poitiers et
Paris, a rejoint l’Education Nationale au
sein de l’Académie de Paris en 1983, puis
a choisi de poursuivre sa carrière au sein
du personnel de direction. Après trois ans
en qualité de principal-adjoint dans un
collège, il avait été nommé proviseur du
lycée général et technologique Elie-Vinet
de Barbezieux, en septembre 2009.
Après le départ en retraite de Claude Baudemont, c’est le proviseur du lycée de
Surgères, Claude Chantal, qui lui succède.
Charentais d’origine, après des études à
Angoulême, puis à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Appliqués et des Métiers
d’Art, il a d’abord travaillé en entreprise
avant de rejoindre l’enseignement professionnel, en passant le concours de personnel de direction en 1992. Depuis lors,
Claude Chantal a été nommé en collège
à Lyon, puis à Paris, avant de diriger, pendant huit ans, le lycée des Arts Graphiques
et des Arts du Livre Corvisart-Tolbiac. Il
était en poste à Surgères depuis 2009.
Journées du Patrimoine :
Chassez le trésor angérien !
Les Français aiment leur patrimoine et
sont chaque année plus nombreux à
profiter des Journées Européennes du
Patrimoine pour le découvrir. Le thème
de l’édition 2013, organisé les samedis
14 et dimanche 15 septembre, « 100
ans de protection », s’imposait : la loi
sur les monuments historiques, qui a
permis le classement ou l’inscription de
Après une dizaine d’années de professorat
en lycée, Michel Feauveau, qui remplace
Danielle Tallon à la direction du collège
Georges-Texier, exerce depuis quatorze
ans au sein du corps des personnels de
direction. Âgé de 54 ans, il a notamment
été proviseur-adjoint et, depuis 2009,
principal du collège Léopold-Dussaigne à
Jonzac. « J’ai toujours eu à cœur d’accompagner les projets culturels, scientifiques,
sportifs et internationaux qui sont source
de dynamisme pour un établissement scolaire, dit-il. Bien sûr, cela ne peut se faire
qu’avec un esprit constructif de tous dans
l’intérêt de l’élève. Je sais que je trouverai
cette motivation au collège Texier. »
quelque 43 000 édifices et 260 000 objets, date de 1913.
Pour participer à cet événement, la Ville et l’Office de Tourisme
ont concocté une chasse aux trésors angériens. En parcourant
le centre historique de monument en monument et en
répondant aux différentes énigmes, vous comprendrez mieux
les enjeux de la sauvegarde de notre patrimoine.
Rendez-vous ces deux jours de 14 h à 18 h dans la cour du
cloître de l’Abbaye Royale. Auparavant, vous aurez récupéré
votre kit de visite à l’Office de Tourisme, au Musée ou à la
Médiathèque. Profitez aussi du goûter convivial avec ballade
musicale organisé le samedi à 17h30, salle Aliénor-d’Aquitaine.
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
Evénement : le 21 septembre,
la caserne Voyer recevra les Angériens
La Palette Angérienne a été chargée par la municipalité de décorer les façades de la caserne. Elle est au travail depuis fin juillet
L
e samedi 21 septembre, après un long sommeil, la caserne Voyer va à nouveau s’animer : tous ceux qui le
désirent pourront découvrir ou redécouvrir les lieux qui
sont au cœur même du principal projet d’aménagement de la
municipalité. Les bâtiments, eux, resteront inaccessibles pour
des raisons de sécurité. A journée exceptionnelle, programme
exceptionnel. Histoire, développement économique et urbain,
arts plastiques, spectacle vivant : la caserne Voyer se mettra
en quatre pour que les Angériens se réapproprient cet espace
historique qui est aussi porteur d’avenir.
Dès l’entrée, côté parking du Champ-de-Foire, des panneaux
d’information rappelleront l’histoire de la caserne.
A proximité immédiate, place au futur : de grandes esquisses
graphiques en trois dimensions montreront les projets de la
Ville en matière d’aménagement des bâtiments et des espaces.
Côté arts plastiques, la caserne a été confiée aux artistes
peintres de la Palette Angérienne qui, pour l’occasion, auront
« habillé » murs, portes et fenêtres. Sur le mur d’enceinte
intérieur avenue du Général-de-Gaulle, sera proposé une
fresque en trompe-l’œil (les élèves des établissements
scolaires angériens pourraient être associés). Côté spectacle
vivant, un chapiteau installé dans le parc accueillera en
résidence, jusqu’au 30 septembre, la compagnie Max et
Maurice qui y préparera son nouveau spectacle. A 17h30,
l’A4 présentera son programme pour la saison 2013-2014.
Et, à partir de 18h30, la compagnie de cirque de rue Les
Urbaindigènes assurera une ambiance de fête dans les jardins
réaménagés en offrant une performance mêlant acrobatie et
humour.
Deux caves jumelles sous le module thermal
L
La démolition du module thermal
ors de la démolition du module thermal, deux caves ont
été mises à jour, longues de plus de 5 m sur plus de 3 de
large, avec une hauteur dépassant les 3 m. Les murs de ces
structures maçonnées, datant probablement de la construction
de la caserne, au début du XIXe siècle, présentent un bel appareil
régulier… Mais, compte tenu des orifices pratiqués dans ces
citernes et des joints en tuileau, leur utilisation supposée est
moins élégante : il pourrait s’agir de fosses d’aisance pour le
mess des officiers qui se trouvait à proximité immédiate…
L'une des caves mises à jour
L'Abbaye Royale à la recherche de son passé
N
© Annie Bolle (Inrap)
ombre d’Angériens aimant leur ville veulent en savoir
plus sur son histoire, que l’on sait riche. Fin juillet, à
la demande de la municipalité, l’Institut National de
Recherche en Archéologie Préventive a procédé à des sondages
archéologiques dans le cadre
du réaménagement de la cour
d’honneur de l’Abbaye Royale.
Deux
secteurs
étaient
concernés : cette cour et le
pied des Tours. Côté Tours,
outre une pierre tombale du
XVIIIe et quelques morceaux de
décoration lapidaire d’époque
médiévale, les recherches
n’ont révélé qu’une cave du
e
e
La tranchée de fouilles : au centre, les XIX siècle, remblayée au XX .
structures maconnées du Moyen âge
Côté cour, à plus de 1,50
mètre au-dessous du dernier dallage, dans une tranchée, la
pelleteuse a révélé un mur de forme arrondie, qui pourrait
être la base d’une tour avec son renfort en pointe. A première
vue, de telles structures à
ce niveau ancien ont pu
faire partie d’un système
défensif, du Haut Moyen
Âge probablement. En
s’appuyant sur l’étude du
matériel, des tessons de
céramiques essentiellement,
les archéologues vont
maintenant tenter de
préciser la datation et leur
première hypothèse.
Attendons le rapport de
La pierre tombale trouvée entre les Tours
fouilles…
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
Un papillon aux entrées de la ville !
A
ux entrées de Saint-Jean d’Angély,
les panneaux « Ville Fleurie »,
ornés d’une fleur, symbolisent la
qualité des espaces verts. Bientôt, d’autres
seront installés qui, décorés d’un papillon,
certifieront que la Ville est respectueuse de son
environnement.
En mai dernier, les élus, à l’unanimité, ont décidé
de signer la charte Terre Saine qui, en PoitouCharentes, compte déjà 230 adhérents. Cette
démarche s’inscrit dans le cadre de l’Agenda 21,
notamment en matière d’emploi des produits phytosanitaires.
La charte prévoit en effet l’abandon progressif, mais durable, de
ceux-ci. A ce jour, leur utilisation a diminué d’un tiers et ils ne sont
plus employés qu’avec parcimonie et beaucoup de précautions
par les jardiniers qui ont reçu une formation spécifique sur les
risques liés aux pesticides.
Au fur et à mesure de la disparition de ces produits agressifs pour
la nature et en fonction d’autres critères environnementaux, la
cité recevra d’autres « papillons ». Le but est d’en apposer trois.
La Ville pourra alors s’enorgueillir d’une terre parfaitement
saine…
Un pigeonnier contraceptif
Une affaire de (bonne) entente
ls sont entre 600 et 800 à occuper les toits et les greniers du
centre-ville. Quelques habitants les nourrissent illégalement.
Les autres se plaignent de leurs déjections et de leurs
salissures. Les pigeons sont un défi à la propreté et à l’hygiène.
Pour les combattre sans pour autant employer la manière forte,
la municipalité vient d’installer
un pigeonnier particulier au
square Régnaud. Une dizaine de
couples y ont été installés qui
attirent leurs congénères. Eau et
nourriture sont à la disposition
des volatiles… dont les œufs
sont récupérés. L’objectif est de
réguler cette population qui a une
fâcheuse tendance à proliférer
au-delà du souhaitable.
ondeuses, tronçonneuses, perceuses, taille-haies et
autres matériels produisant des décibels ne font pas bon
ménage avec les amateurs de farniente et de repos dans
un coin ombragé…
Pour que chacun trouve son plaisir dans l’activité qu’il souhaite,
un arrêté municipal réglemente les horaires d’utilisation de ces
engins bruyants.
Les jardiniers et autres bricoleurs peuvent les utiliser sans
réserve de 8h à 12h et de 13h30 à 19h en semaine, de 9h à 12h
et de 15h à 19h le samedi et de 10h à midi le dimanche et les
jours fériés. En dehors de ces horaires, si un voisin fait appel à la
police municipale, l’amende s’élève à 68 euros.
Mais l’on peut aussi, avant d’en arriver là, s’entendre avec son
voisin…
I
T
Info
Contacter la police municipale au 05 46 59 56 88
Le « plaisir » de détruire...
P
Le préjudice : 15 000 euros !
endant une belle nuit d’été du mois août, la quasi-totalité des plots lumineux
installés au printemps entre la passerelle et la guinguette du plan d’eau
ont été massacrés à coups de barres de fer. Les guirlandes électriques de
celle-ci ont aussi été détruites. Cela porte un nom : vandalisme. Et cela a un coût :
15 000 euros. Que faire ? Porter plainte, bien sûr ; réparer, bien sûr ; et espérer que
les voyous seront identifiés et punis, naturellement. Mais, en aucun cas, cela ne
remettra en cause la volonté des élus de rendre encore plus agréable notre cité.
de
Une belle photo tes
let, au plan d’eau.
nnes lauréa
C’était le 14 juilma
tes » angérievo
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s
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isons fleuries. Bra
du concours des ma
Marcel Nicolas, Angérien et passionné
L
e 31 juillet, ses nombreux amis ont appris avec émotion le décès
brutal d’une figure locale, Marcel Nicolas. Breton d’origine, Angérien
d’adoption, ancien directeur général du Crédit Agricole, il a été l’artisan
de la fusion entre les caisses de Charente-Maritime et des Deux-Sèvres.
Plusieurs entreprises de renom du département lui doivent leur essor, parfois
mondial. Il a aussi largement participé aux activités
de plusieurs associations locales. La maladie n’avait
altéré en rien son intelligence, sa convivialité et ses
passions. L’hiver dernier, il avait monté de toutes
pièces une remarquable exposition sur les caves
et les souterrains de la ville. Il souhaitait lui donner
une suite. Un malaise fatal en a décidé autrement…
Saint-Jean d'Angély a perdu l'un des siens.
Le Maire reçoit les Angériens
sur rendez-vous tous les mardis
03/09 : Rentrée scolaire
07/09 : Forum des associations
19/09 : Conseil municipal
21/09 : Ouverture quartier Voyer
INFO FLASH N° 47 - Septembre 2013
agenda
Spectacles
 14 septembre
Concert de l’école de
musique
Salle Aliénor-d’Aquitaine
(17h30)
©Vincent Vanhecke
 21 septembre
Cirque de rue
"Les Mercodier"
Quartier Voyer (18h30)
Cérémonie
 1er septembre
Salon du chiot
Complexe du Coi (9h à 18h)
 22 et 23 septembre
Atelier cirque
Quartier Voyer (05 46 59 41 56)
 7 septembre
Forum des associations
Complexe du Coi (9h à 18h)
 24 au 27 septembre
Ouverture du chapiteau
cirque
Quartier Voyer (18h à 19h)
 Cérémonie des
récompenses sportives
Complexe du Coi (18h)
Sport
 7 et 8 septembre
Fête du sport (Les Ayles)
handicapés/valides
Complexe du Coi (9h à 18h)
 4 septembre
Cérémonie de la libération
de la Ville
Monument aux morts (18h)
 10, 11, 17, 18, 24 et 25
septembre
Atelier d’arts plastiques
pour tous
Abbaye Royale (05 46 26 70 20)
expositions
 14 et 15 septembre
Journées Européennes
du Patrimoine
Cœur de ville (14h à 18 h
 14 au 29 septembre
Salon des arts de la Palette
Angérienne
Chapelle des Bénédictines
 28 septembre
Découverte de la
résidence d'artiste cirque
Quartier Voyer (18h)
Départ cour du cloître)
(14h30 à 18h30)
 Jusqu’au 15 septembre
Exposition Noël Santon
Musée
Animations
 31 août
Peintres des villes Peintres des champs
Place du Pilori
 7 septembre
Football (DH)
SCA - Cozes
Stade municipal (20h)
 8 septembre
Rugby (Féd. 1)
RACA - Cognac
Stade municipal (15h)
 20 septembre
Volley-ball (Reg. M)
SJVB - Rochefort
Complexe du Coi (21h)
 21 septembre
Rugby (Féd. 1)
RACA - Massy
Stade municipal (19h)
 28 septembre
Volley-ball (Reg. M)
SJVB - La Rochelle
Complexe du Coi (21h)
 Basket (Reg. M)
USB - Bressuire
Gymnase Chauvet (21h)
Résultats du Quiz de l'été
u André Guillon en 1931-32
v Le Vert Galant rue de l'Hôtel-de-Ville et l'Olympia avenue Port-Mahon
v 1932
l Rue de Verdun
l Fédérale 1
3: 1ère traversée du Sahara, Croisière Noire et Croisière Jaune
p 14 juillet 1199 par Aliénor d'Aquitaine et confirmée en 1204
par Philippe Auguste
p L'origine du nom de la ville est Angeriacum (dès le Ve siècle)
p 1562 par les Protestants
Construit en 1546, il vient du château de Brizambourg
u Du cloître roman de l'abbaye royale
v Antoine Valentin
l La promenade des Jacobins
Voyer-d'Argenson du nom du général qui commandait un camp
militaire en 1781 au fief du Bizard
u Orthographié aussi koua, le nom Coi vient du latin aqua. A cet
endroit la fontaine du Coi amenait en effet l'eau jusqu'à la villa
gallo-romaine en contrebas (rue Pépin-d'Aquitaine) grâce à un
aqueduc repéré lors de fouilles archéologiques.
Directeur de publication : Paul-Henri Denieuil
Photos : Ville de Saint-Jean d’Angély - Bordessoules Impressions
Tirage : 8 712 ex. Distribution La Poste - ISSN N°3450-9419 Dépôt légal à parution
Expression des groupes politiques
Se substituer à l’Etat !
Réforme après réforme, les élus locaux constatent que, chaque
année un peu plus, l’Etat a pris la fâcheuse habitude de se
décharger de ses obligations sur les collectivités territoriales. En
particulier sur les communes, bien qu’elles aient de plus en plus de
mal à boucler leur budget.
Pourtant, lors du dernier conseil municipal, force a été de constater
que, pour l’opposition, cela n’est pas encore suffisant. Leur porteparole a tout simplement reproché à la majorité de ne pas avoir
proposé à l’Etat que la Ville prenne en charge la construction des
nouveaux locaux de Pôle Emploi !
Certes, cela aurait permis d’éviter l’exil de ce service en un
lieu inapproprié. Mais poussons le raisonnement… Si d’autres
administrations de l’Etat ou d’autres services publics, la Poste
par exemple, ont pareilles idées saugrenues, la Ville devra-t-elle
s’endetter pour s’y opposer ? Le contribuable, lui, ne l’accepterait
pas. Avec juste raison.
Les élus de la liste majoritaire
Soutien aux salariés du Comptoir du Biscuit
A l'heure où nous écrivons cet article, nous sommes le 14 août et
nous ne connaissons pas encore l'issue des négociations qui sont
en cours pour la cession du bâtiment.
Nous sommes restés mobilisés tout l'été auprès des salariés du
Comptoir du biscuit qui veillent jour et nuit à la sécurité de leur
usine depuis le 4 juillet dans l'espoir d'une reprise de l'activité.
Nous saluons le courage et la dignité des salariés qui ont fait preuve
d'un grand sens des responsabilités.
Le Conseil Régional a mis en place une cellule de soutien pour
répondre aux questions administratives et financières des salariés
confrontés à une situation difficile.
Le Ministre du Redressement Productif, Arnaud Montebourg, a
soutenu activement la recherche d'une solution pour dénouer
l'imbroglio financier existant autour du bâtiment. En effet, l'enjeu
est de permettre la vente du bâtiment à un prix raisonnable pour
un éventuel repreneur. C'est la condition indispensable à une
reprise de l'activité biscuiterie.
Les élus, toutes tendances confondues, n'ont pas ménagé leurs
efforts.
Quoiqu'il arrive, nous resterons mobilisés et nous nous battrons
jusqu'au bout avec les salariés.
Les élus d'opposition

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