Biographie de Guy Brice Parfait KOLELAS

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Biographie de Guy Brice Parfait KOLELAS
BIOGRAPHIE DE GUY BRICE PARFAIT KOLELAS
Fils de Bernard kolélas et de Jacqueline Mounzeze, Guy Brice Parfait Kolélas
est né le 06 Aout 1959 à moungali (Brazzaville).Marié, il est le père de trois
enfants.
Il débute ses études primaires à l’école de l’armée du salut de moungali puis à
l’école Kongo Dia Moukouba de makélékélé où il obtient le certificat d’études
primaires élémentaires.
A la suite de son succès au concours d’entrée en sixième, il commence ses études
secondaires au collège d’Itoumbi ( Cuvette Ouest) puis au collège Bouboutou
Raphael à Brazzaville où il réussit au Brevet d’études moyennes et générales.
Il poursuit ses études secondaires au lycée Savorgnan de Brazza où il décroche,
avec mention, le baccalauréat série C.
Guy Brice Parfait Kolélas commence ses études supérieures à l’université
Marien Ngouabi où il s’inscrit à l’institut des sciences économiques et de gestion
pour y sortir, dès la première session de juin 1984, avec une licence en sciences
économiques, option : financement des firmes.
Pendant qu’il est étudiant et à la suite des évènements tragiques de l’affaire des
bombes de maya-maya et du cinéma star, Guy Brice Parfait Kolélas est détenu,
en compagnie de sœur ainée, à la sécurité d’état de Brazzaville où des heures
durant il passa un interrogatoire où on le força de donner les fréquentations de
son père, en détention également dans les mêmes lieux et accusé d’être l’un des
protagonistes de cette affaire.
En 1984, Il est obligé de quitter son père et s’envole pour la France afin de
poursuivre ses études supérieures.
A l’université de Besançon, il obtient en juin 1985 une maitrise en sciences
économiques, option économie d’entreprise.
De 1985 à 1986 il s’inscrit à l’université de Dijon pour y préparer avec succès le
diplôme d’études approfondies en économie industrielle.
De 1986 à 1987, il continue à l’université de Dijon, où, cette fois-ci, il s’inscrit
pour un doctorat en sciences économiques option économie industrielle, sous la
direction du professeur Jean Magnan de Borgnier et parallèlement, il prend une
inscription à l’institut international des transports de Mulhouse-Colmar
(université de Mulhouse) pour préparer le diplôme d’études supérieures en
économie et gestion des transports internationaux qu’il obtient en juin 1987
après avoir soutenu un mémoire sur la Tarification au cout marginal des
marchandises à la société nationale des chemins de fer (SNCF).
Guy Brice Parfait Kolélas tente alors d’embrasser une carrière internationale en
postulant à la banque mondiale depuis Paris. Il est parmi les candidats
sélectionnés par les instances de la banque et invité à passer un entretien au
siège de ladite institution à Paris. Après un entretien fructueux, il est remis au
jeune postulant des formulaires sur lesquels les autorités de son pays devaient
apposer leurs signatures et recommandations. Malheureusement pour lui rien ne
se fera. Par la suite, il tentera, avec l’aide de l’écrivain Soni Labou Tansi, d’entrer
à l’UNESCO, toujours en vain.
Profitant des vacances en 1989, Guy Brice Parfait Kolélas revient au Congo et
c’est pendant cette période que son père, Bernard Kolélas, décide de réunir, un
après midi de juillet 1989, quatre de ses treize enfants : Théodorine Kolélas,
Kouka Jean Vital Kolélas, Guy Brice Parfait Kolélas et Euloge Landry Kolélas
pour discuter et trouver un consensus quant à la création du mouvement
congolais pour la démocratie et le développement intégral.
De retour en France, il se remet au travail pour terminer son doctorat et n’étant
plus boursier de son Etat, il entreprend des formalités administratives pour
enseigner l’économie, les transports et les techniques commerciales tour à tour
à l’université de Dijon sous la direction de son directeur de thèse en même temps
doyen de la faculté des sciences économiques, au lycée professionnel de Joigny
où il est chef de département des BTS transport et au lycée de Sens dans
l’Yonne.
Comme pour suivre ce que disait le personnage de la grande Royale à son neveu
Thiernot en partance pour la France dans « l’aventure ambigüe » de Cheick Anta
Diop : « va apprendre l’art de vaincre sans avoir raison, Guy Brice Parfait
kolélas , pendant qu’il est encore enseignant dans l’Yonne, adhère au parti
communiste français section de Sens. Dans les rangs de la section de Sens, il
essaie de comprendre l’idéal communiste que son père combat.
En 1993, sous la direction de Jean Magnan De Borgnier, il soutient à l’université
de Dijon sa thèse de doctorat unique en sciences économiques qui porte sur un
sujet classique à savoir : La
firme
et
les
alternatives
stratégiques ;
Intégration verticale-contrat de long terme, Intégration verticale-marché.
Sa thèse de doctorat terminée, il rentre au Congo afin d’apporter sa
contribution auprès de son père qui sera élu député maire de la ville de
Brazzaville. Il devient alors agent municipal et à la mairie, il participe à la
création de la société mixte de transport et de développement (STD) qui aura à
son actif plusieurs réalisations avant que les évènements douloureux de 1997 ne
viennent stopper son élan.
La guerre de 1997 le contraint de quitter le Congo et se retrouve en Afrique du
Sud où il crée avec des amis une société qui sera en partenariat avec la société
minière du Congo démocratique, Gécamines, pour traquer le commerce illégal du
cobalt et du cuivre en Afrique australe.
Parallèlement à ses activités en Afrique du Sud, il crée en France, toujours avec
des amis, une société de conseil en management.
En marge de ses affaires, Guy Brice Parfait Kolélas va poursuivre ses
enseignements et chercher à
élargir sinon parfaire son éducation et son
expérience politique. Il va donc enseigner à la chambre de commerce des
Yvelines dans le val d’Oise, cofonder l’association des maires d’Haïti , conduire la
délégation du front national en Afrique du Sud pour y amorcer l’amitié entre
l’african national congress (ANC) et le front national, côtoyer certains visages de
la politique françaises, du monde arabe, du Moyen orient et d’Asie.
Vient la fin de l’exil avec la mort de madame Kolélas, née Mounzeze Jacqueline,
sa mère. IL rentre au pays avec son père pour contribuer à la consolidation de la
paix et au développement du Congo.
Au Congo, il fonde avec son père la conférence des démocrates humanistes
africains (CODEHA), rassemblement
des partis africains qui partagent en
commun les valeurs d’humanisme contenues dans une charte fondatrice.
Ensuite, sont organisées les premières universités et la première convention
nationale du mouvement congolais pour la démocratie et le développement
intégral. Il sera, au cours de cette convention nationale, consacré numéro deux
du parti en tant que secrétaire national coordonnateur du bureau exécutif
national (BEN).
Le MCDDI,qui avait auparavant réactivé ses accords politiques avec le parti
congolais du travail, parti au pouvoir, participe aux élections législatives et
locales. A l’issue de ces échéances électorales, Guy Brice Parfait Kolélas
devient député de la circonscription unique de Kinkala (chef lieu du département
du pool) et conseiller départemental du pool.
A la faveur de l’application des accords politiques ainsi renouvelés avec le PCT,
les portes du gouvernement vont s’ouvrir pour Guy Brice Parfait Kolélas qui
deviendra successivement ministre de la pêche et de l’aquaculture puis ministre
de la fonction publique et de la réforme de l’Etat jusqu’à maintenant.
A la suite de la mort de Bernard Kolélas, président fondateur du MCDDI, Guy
Brice Parfait Kolélas, en application des statuts et du règlement intérieur du
parti, en devient le numéro un avant la tenue du congrès national prévue en
septembre 2014.
Parfait Kolélas : « le MCDDI est une famille ; la famille. Chacun doit
prendre ses responsabilités pour atteindre les objectifs que la famille s’est
assignés».
Au lendemain de la 2ème convention nationale du MCDDI du 22 au 23
décembre 2012 à KINKALA, chef lieu du département du Pool, le Secrétaire
Général du MCDDI, Guy Brice Parfait Kolélas, s’est livré aux questions du
journal Le Soleil. Dans l’interview ci-après, il restitue la vérité sur la
légalité de la convention nationale, et précise ses priorités pour ce nouveau
mandat.
Le Soleil : Monsieur le secrétaire général, vous venez d’être porté à la tête
du MCDDI, quelles sont vos impressions ?
Guy Brice Parfait Kolélas : il faut se mettre au travail, afin de redonner
confiance aux militantes, militants et sympathisants du MCDDI. La tâche est
grande. Et c’est ici, pour moi l’occasion de dire merci à tous, pour cette confiance
renouvelée.
LS : Quelles sont vos priorités au cours de ce mandat, monsieur le
secrétaire général ?
SG : redonner confiance à notre base électorale-commencer à vivre le
développement intégral dans les faits-aller à la conquête de nouveaux militants
et de nouveaux espaces.
LS : Nous avons constaté une nouvelle organisation des instances du parti
par la création des pôles. Quelle signification peut-on donner à cette
restructuration ?
SG : Nous avons adopté la Gestion Axée sur les Résultats (GAR), plus
précisément l’Approche par résultats rapides (ARR) comme méthode de travail.
Les pôles épousent cette vision, car à la tête de ses pôles, j’ai placé des
Secrétaires Généraux Adjoints qui sont en réalité des leaders politiques à même
d’impulser le dynamisme nécessaire pour atteindre nos objectifs.
LS : Monsieur le secrétaire général, le MCDDI traverse actuellement une
crise avec l’apparition d’un collectif représenté par l’ancien Secrétaire
national chargé de la mobilisation et de la communication, porte parole du
parti qui conteste notamment la validité de la convention nationale de
KINKALA. Quel est votre point de vue ?
SG : toute structure est régie par des textes ; ces textes ce sont les statuts et
le règlement intérieur. Les articles 29, 30 et 37 des statuts, 11, 12, et 13 du
règlement intérieur du MCDDI sont clairs quant à la validité de la convention
nationale.
L’ancien secrétaire national, Porte parole du MCDDI et ses compagnons viennent
d’être sanctionnés, conformément aux textes qui régissent le MCDDI ; En
application des dispositions combinées des articles 146, 147, 148, 149 et
150 du règlement intérieur du MCDDI, ils ont été radiés, pour certains, exclus
sinon doivent être entendus pour d’autres. Pour nous, le rideau est tiré. Ce sont
désormais, des ex-compagnons de route à qui nous souhaitons bonne chance.
Nulle force au monde ne peut arrêter la course du soleil disait le Président
Fondateur. La roue de l’histoire tourne. Le MCDDI doit aller de l’avant.
LS : Enfin, Monsieur le Secrétaire Général, sous quel signe placez-vous ce
mandat et quel est votre message à l’endroit des militants et sympathisants
du parti ?
SG : Ce mandat est placé sous le signe de l’application du développement intégral,
de la reconstitution du tissus familial du MCDDI, car le MCDDI est une famille ;
la famille élargie. Chacun doit prendre ses responsabilités pour atteindre les
objectifs que la famille s’est assignés. Le S.G ne sait pas tout, ne connait pas
tout, mais veille sur la cohésion et la bonne marche de la famille qui doit briller
par l’exemple, afin d’attirer d’autres militants.
Propos recueillis par Rodrigue MAYANDA et Sandrine MAZANDOU
Guy Brice Parfait KOLELAS
BIOGRAPHIE
Marié père de trois enfants et né le 06-08- 1959 à Moungali (Brazzaville) de Bernard KOLELAS
et Jacqueline MOUNZENZE, Guy Brice Parfait KOLELAS commence ses études primaires à l’école de
l’armée du salut de Moungali (1966) et les termine à l’école KONGO DIA MOUKOUBA de Makélékélé
avec l’obtention du certificat d’études primaires élémentaires.
Après le succès au concours d’entrée en sixième, il commence ses études secondaires au
collège d’Itoumbi (Cuvette ouest) puis au collège BOUBOUTOU Raphaël à Brazzaville où il obtient en
1977 le brevet d’études moyennes générales.
Après son brevet, il continue ses études secondaires au Lycée Savorgnan de Brazza
(Brazzaville), qu’il quitte en 1981 après avoir obtenu, avec mention, le baccalauréat série C.
Guy Brice Parfait KOLELAS rentre à l’université Marien NGOUABI où il s’inscrit à l’institut
national des sciences économiques et de gestion qu’il quitte en 1984 en obtenant dés la session de
juin 1984, la licence en sciences économiques option financement des firmes.
Pendant qu’il est à l’Université Marien NGOUABI, survient à Brazzaville le douloureux
événement des poseurs des Bombes (destruction des installations de l’aéroport de Maya-Maya et du
Cinéma Star) ; en compagnie de sa sœur aîné, Guy Brice Parfait KOLELAS est détenu à la sécurité
d’Etat de Brazzaville où pendant des heures il passe à l’ interrogatoire, en le forçant de lister les
fréquentations de son père, alors en détention dans les mêmes lieux au motif qu’il serait l’un des
acteurs de ces événements ; ce qui ,après quatre années d’incarcération et d’enquêtes, s’avérera faut.
- 1984, laissant son père en prison, il part pour la France poursuivre ses études à l’Université
de Besançon en France Comté d’où il obtient, en juin 1985, la maitrise en sciences économiques
option économie d’entreprise ;
-1985 -1986 il s’inscrit à l’Université de Dijon en Côte d’Or (France) et obtient le diplôme
d’études approfondies en économie industrielle ;
-1986-1987 il se réinscrit à l’Université de Dijon pour préparer son doctorat en sciences
économiques option économie industrielle, sous la direction du professeur Jean MAGNAN DE
BORGNIER. ET parallèlement, il s’inscrit à l’institut international des transports de Mulhouse –Colmar
(Université de Mulhouse) pour préparer le diplôme d’études supérieures en économie et gestion des
transports internationaux qu’il obtient en juin 1987 ; après avoir soutenu un mémoire sur la
Tarification au coût marginal des Marchandises à la société nationale des chemins de fer français
(SNCF)
Il tente alors d’embrasser une carrière internationale en postulant à la banque mondiale,
depuis Paris ; il est parmi les candidats sélectionnés par les instances de la banque mondiale et
conviés à passer un entretien au siège de ladite institution à Paris. Après un entretien fructueux, il est
remis au jeune postulant des formulaires sur lesquels les autorités de son pays devaient apposer leurs
signatures et recommandations ; ce qui ne se fera pas. De même tentera t-il en vain d’entrer à
l’UNESCO avec l’aide de l’écrivain SONI-LABOUTANTSI.
1989, profitant des vacances scolaires et universitaires, il revient au Congo. Pendant ce bref
séjour, son père réunit quatre de ses 13 enfants : Théodorine kolelas, kouka jean vital kolelas, euloge
landry kolelas et Brice parfait KOLELAS pour créer cet après-midi de juillet 1989, à l’issu des
débats, car il fallait qu’un consensus ce dégage, le parti politique qui porte aujourd’hui le nom du
Mouvement Congolais pour la Démocratie et le Développement Intégral (MCDDI).
De retour en France il se remet au travail pour préparer son doctorat, n’étant plus
étudiant boursier de son Etat, il entreprend des formalités administratives pour enseigner l’économie,
les transports puis les techniques commerciales tour à tour à l’université de Dijon où il donne des
séminaires sous la direction de son directeur de thèse en même temps doyen de la faculté des
sciences économiques de Dijon, au lycée professionnel de Joigny où il est chef de département des
BTS ( Brevet des Techniciens Supérieurs) transports, et au lycée Technique de sens dans l’Yonne.
Comme pour suivre ce que disait le personnage de la grande Royale à son neveu
THIERNOT, en partance pour la France dans l’aventure ambigüe (Roman de Check ANTA DIOP) : va
apprendre l’art de vaincre sans avoir raison ; Pendant qu’il est enseignant dans l’Yonne, Brice parfait
KOLELAS adhère au parti communiste français section de sens.
Dans les rangs de la section de sens il essai de comprendre l’idéal communiste, que son
père combat.
En 1993 il soutien, à l’Université de Dijon, sa thèse de doctorat unique en sciences
économiques qui porte sur un sujet classique - la firme et les alternatives stratégiques :
INTEGRATION VERTICALE-CONTRAT DE LONG TERME, INTEGRATION VERTICALE-MARCHE /
SOUS LA DIRECTION DE JEAN MAGNAN DE BORNIER
Sa thèse de doctorat terminée il rentre au Congo afin d’apporter sa contribution à son père
qui devient Député-maire de Brazzaville. Il devient agent municipal. A la mairie centrale de
Brazzaville, il contribue à la création de la société mixte de transport et de développement (STD), qui
aura à son actif quelques réalisations avant que les événements douloureux de 1997 ne viennent
stopper son élan.
La guerre de 1997, le contraint de quitter le Congo. Il se retrouve alors en Afrique du Sud où il
crée avec des amis une société qui sera en contrat avec la société minière du Congo Démocratique, la
Gécamines, pour traquer en Afrique australe tout le Cobalt et le Cuivre qui y arrivaient illégalement.
Parallèlement à ses activités en Afrique du sud, il crée aussi en France, avec des amis, une autre
société de conseil en management.
Profitant de son séjour en Afrique du Sud, il découvre qu’une société EBAR-Management est en
passe d’honorer une commande d’armes passée à lui, avant les événements douloureux de juin 1997,
par le pouvoir congolais en exil. Il saisit alors son père Bernard KOLELAS qui, ensemble avec le
Président LISSOUBA, lui donnent mandat d’arrêter cette transaction. Avec l’aide de deux avocats :
Olivier de La Robertie (Barreau de Paris), LEEBOSS (Barreau de Johannesburg), il obtient de cette
société l’accord du transfert de l’argent des achats d’armes dans un compte séquestre de l’Unicef
pour le compte des enfants du Congo.
Constatant que ses activités sociétaires lui laissent suffisamment du temps, il va continuer à
enseigner et à élargir sinon parfaire son éducation politique ; Ainsi va-t-il enseigner à la chambre de
Commerce des Yvelines-Val d’Oise (site d’Osny), cofonder l’association des maires d’Haïti, conduire la
délégation du front National, en Afrique du Sud, pour amorcer l’amitié entre l’African National
Congress (ANC) et le front national, Côtoyer certains visages de la politique française, du monde
Arabe, du Moyen orient et d’Asie.
Vient la fin de l’exil avec la mort de madame KOLELAS, née MOUNZENZE Jacqueline, sa mère. Il
rentre au pays avec son père pour participer à la consolidation de la paix et le développement du
Congo.
Au CONGO, il fonde avec son père la Conférence des Démocrates Humanistes Africains
(CODEHA), rassemblement des partis Africains qui partagent en commun les valeurs d’humanisme
contenues dans une charte fondatrice.
Viennent les premières Universités du MCDDI, puis la Première Convention du MCDDI qui le
propulse n°2 dudit parti en qualité de coordonnateur du Bureau Exécutif National (BEN).
Entre temps, le MCDDI a réactivé ses accords politiques avec le Parti Congolais du Travail –
PCT- parti au pouvoir. Et les élections législatives et locales font de Brice Parfait KOLELAS Député de la
Circonscription Unique de KINKALA (Chef lieu du Département du Pool) et Conseiller départemental
du Pool.
L’application des accords politiques renouvelés avec le PCT vont faire de lui successivement
Ministre de la Pêche et de l’Aquaculture puis Ministre de la fonction Publique et de la Réforme de
l’Etat, poste qu’il occupe jusqu’à maintenant.
Avec la Mort de Bernard KOLELAS, Président Fondateur du MCDDI, Guy Brice Parfait
KOLELAS, en application des statuts et du règlement Intérieur du MCDDI devient logiquement le n°1
du MCDDI et ce en attendant la tenue du congrès dudit parti.