Samedi 24 avril à 20 h 30 – Charny

Transcription

Samedi 24 avril à 20 h 30 – Charny
NOS RENDEZ-VOUS
Samedi 10 avril à 20 h 30 – Charny
Les nébuleuses (formation et évolutions)
Vendredi 16 avril – plan d'eau à Charny
Observations avec le public
Samedi 17 avril – plan d'eau à Charny
Observations avec le public
Samedi 24 avril à 20 h 30 – Charny
L'évolution stellaire et le cycle de la matière dans
la galaxie
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Samedi 8 mai à 20 h 30 – Charny
Les exoplanètes
Samedi 15 mai à 20 h 30 – Charny
Naissance et mort des étoiles de 0,08 à 8 masses solaires
Samedi 29 mai à 20 h 30 – Charny
Les supernovae
________________________________________________________________________________
Vendredi 11 juin – Villeneuve-sur-Yonne
Observation du Soleil avec les scolaires
Samedi 12 juin – Villeneuve-sur-Yonne
Exposition et observations avec le public
Samedi 19 juin à 20 h 30 – Charny
Les étoiles à neutrons
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Éditorial
Lunette LUNT H-Alpha
Chers membres d'APEX89,
Depuis quelques mois, l'activité solaire est en augmentation, de nombreuses tâches
parsèmes la surface, l'association s'est doté d'une lunette H-alpha pour observer le
Soleil. Cette acquisition a pour but de partager avec le public, les scolaires et les
adhérents, l'observation de cet astre.
Ce 2ème trimestre est très chargé pour notre association, les 16 et 17 avril 2010
observation au plan d'eau à Charny avec le public. Du 13 au 16 mai, certains
adhérents seront à Craponne-sur-Arzon (43) pour les Rencontres Astronomiques du
Printemps (RAP).
Enfin les 11 et 12 juin, l'APEX89 sera au rendez-vous annuel à Villeneuve-sur-Yonne
pour la tête dans les étoiles, les pieds sur terre avec comme participants les frères
Bogdanoff le samedi.
Nous espérons que les adhérents s'impliqueront pour ces manifestations.
Donc, beaucoup de travail en perspective....
Le rédacteur
Philippe ROUCHEUX
Citation du trimestre :
"La Terre est le berceau de l'humanité, mais on ne vit pas dans un berceau pour toujours."
Konstantin Tsiolkovsky
Sommaire n°8
Nos rendez-vous................................................................... p. 2
Edito...................................................................................... p. 3
Compte rendu de l'Assemblée Générale............................ p. 5
Les poussières galactiques froides...................................... p. 8
Ils ou les autres (2ème partie)............................................. p. 9
DOSSIER : L'observation du Soleil................................... p.11
Courrier de l'ANPCEN....................................................... p.16
Album photo......................................................................... p.18
Les Ephémérides Avril, Mai et Juin 2010.......................... p.19
Les poussières galactiques froides sous le regard de Planck
La mission principale du satellite Planck est de mesurer très précisément le rayonnement
fossile cosmologique laissé par la naissance de l’Univers observable. Il sert aussi à étudier la
poussière galactique du milieu interstellaire, là où naissent les étoiles. Les premières images
viennent d’être révélées.
Si l’on veut mieux comprendre comment l’Univers observable a émergé d’un état dense et chaud il
y a 13,75 milliards d’années, comment et quand sont apparues les premières étoiles et galaxies, et si
l'on veut connaître avec plus de précision l’âge, la forme et la composition du cosmos, il faut se
tourner vers l’étude du rayonnement fossile.
La plus vieille lumière du monde, émise environ 380.000 ans après la naissance de l’Univers
observable lorsque les premiers atomes se formaient, présente un spectre de corps noir presque
parfaitement uniforme. Presque car ce spectre montre des anisotropies de températures et d’états de
polarisations qui peuvent se révéler très bavardes sur les questions précédentes.
Le satellite européen Planck, qui a commencé à cartographier le rayonnement fossile en août 2009,
a presque terminé sa première carte du ciel. Un second relevé, affinant le premier grâce à la collecte
de davantage de photons, va bientôt débuter. Comme tout se passe pour le mieux, on prévoit
maintenant qu’aux deux relevés initiaux s’en ajouteront d’autres pour atteindre un total de quatre. Il
faudra cependant attendre décembre 2012 avant que les premières publications sur ce rayonnement
de fond diffus cosmologique, encore appelé CMB, soient disponibles
Des informations sur la poussière rencontrée par la lumière pendant son long voyage
Toutefois, les mesures que Planck est capable de fournir ne portent pas uniquement sur les
anisotropies primitives du rayonnement fossile. En effet, il existe des anisotropies secondaires
produites par différents phénomènes astrophysiques et qui se sont surajoutées lors du voyage des
photons fossiles entre la surface de dernière diffusion et nous.
Planck peut ainsi donner des renseignements précieux sur la poussière galactique présente dans le
milieu interstellaire. Cette dernière est étudiée depuis longtemps, l’une des premières missions
importantes fut celle du satellite IRAS en 1983. On a ainsi pu découvrir des structures filamenteuses
riches en poussières que l’on nomme des cirrus infrarouges.
Ces formations dans le milieu interstellaire galactique donnent typiquement ce qu’on appelle des
avant-plans qu’il convient de soustraire aux images de Planck pour faire apparaître l’information
cosmologique. En retour, ce type d’avant-plan renseigne sur les poussières galactiques en
complétant les informations du télescope Herschel.
Des « Planckiens », c'est-à-dire les membres de la mission Planck, viennent justement de rendre
publiques les premières images de ces poussières fournies par ce satellite en orbite autour du point
de Lagrange L2..
Les caractéristiques du milieu interstellaire et les poussières qu'il contient sont importantes pour
comprendre la formation et l'évolution des étoiles et de la matière dans les galaxies. Les
informations apportées par Planck vont contribuer à préciser cette partie de notre généalogie.
Source : FUTURA SCIENCES
"Ils" ou "Les Autres"… N°2
Nous avons pu découvrir dans le N° 1 de "Ils" ou "Les Autres" la position
d'André BRAHIC sur ce qui touche à la vie extraterrestre. Nous allons, aujourd'hui
connaître ce que Stephen HAWKING en pense et quels sont ses arguments.
Ce célèbre scientifique, universellement reconnu comme l'un des plus brillant
physiciens théoriciens depuis Einstein, se livre dans son ouvrage "L'Univers dans une
coquille de noix":
Chapitre 6 "Notre avenir: Star Trek ou non ?...
Si l'espèce humaine ne se détruit pas au cours des cents années à venir, nous
coloniserons sans doute les planètes du système solaire avant d'atteindre les étoiles
les plus proches. Mais contrairement à ce qui est décrit dans Star Treck ou dans
Babylon 5, on ne saurait escompter que des races humanoïdes soient apparues dans
presque tous les systèmes stellaires: car des hominidés plus ou moins semblables à
nous n'existent que depuis deux millions d'années, alors quinze milliards d'années
environ se sont écoulés depuis le big-bang.
Même si une vie s'était développée sur d'autres systèmes stellaires, nous n'avons
donc qu'une chance infime de découvrir un jour une intelligence qui en serait à peu
près au même stade que l'espèce humaine; il est infiniment plus probable que toute
forme de vie extraterrestre serait ou bien beaucoup plus primitive, ou bien beaucoup
plus évoluée, que son homologue terrestre. Alors, pourquoi une civilisation extra
terrestre en avance sur la nôtre n'a-t-elle pas déjà essaimé dans toute la galaxie et
visité la Terre ? Si des extra-terrestres étaient déjà venus, nous serions forcément au
courant – les choses se seraient passés comme dans Independance Day plutôt que
dans ET.
Comment expliquer que des extra-terrestres ne nous aient pas encore rendu
visite ? Une autre civilisation consciente de notre existence aurait pu décider de nous
laisser mariner dans notre jus sans nous contacter, mais j'ai du mal à croire qu'une
forme de vie inférieure soit traitée avec délicatesse: nous soucions-nous des
innombrables insectes et vers de terre que nous écrasons sous la semelle de nos
chaussures ? En fait, la probabilité de l'apparition de la vie sur d'autres planètes (a
fortiori, de l'émergence d'une intelligence) est très faible. Parce que nous nous
voyons comme des créatures intelligentes, si infondée que soit parfois cette
prétention, nous avons tendance à tenir l'intelligence pour une conséquence
inévitable de l'évolution. Or il est permis de s'interroger à ce sujet: après tout, il n'est
pas certain que l'intelligence ait une grande valeur de survie… Non seulement les
bactéries se débrouillent à merveille, mais elles survivraient même à notre espèce si
sa prétendue intelligence l'amenait à déclencher un conflit nucléaire cataclysmique.
Quand nous explorerons notre galaxie, nous découvrirons donc peut-être des formes
de vie primitives, mais certainement pas des créatures semblables à nous.
Bref, l'avenir de la science ne ressemblera pas au tableau rassurant que Star
Trek nous propose: je ne crois pas que l'Univers abrite une multitude de races
humanoïdes, dotées chacune d'une science avancée mais fondamentalement statique.
Nous resterons tout seul et accroitrons rapidement notre complexité biologique et
électronique. Je n'en suis pas moins convaincu que la vision du monde Star Trek sera
démentie sur des points fondamentaux vers la fin du IIème millénaire – s'il y a encore
des êtres humains dans mille ans…
Selon une hypothèse particulièrement morbide, nous n'avons pas encore été
contactés par des extra-terrestres pour la simple raison que toute civilisation
parvenue à notre stade développement aurait inéluctablement tendance à sombrer
dans une instabilité fatale… Etant optimiste par nature, je me refuse à croire que
l'espèce humaine puisse en arriver à se détruire juste au moment où les choses
commencent à devenir si intéressantes...
Dans "Trous noirs et Bébés Univers", Stephen HAWKING écrit:
Heureusement pour notre survie (et celle de nos mères), il semble que les lois de
la physique interdisent de voyager dans le temps. On dirait qu'il existe un organe de
protection de la chronologie qui rend le monde sûr pour les historiens en interdisant
les voyages dans le passé. Le mécanisme est, semble-t-il, que les effets du principe
d'incertitude provoqueraient une forte émission de rayonnement si l'on voyageait
dans le passé. Soit ce rayonnement tordrait l'espace-temps au point qu'il serait
impossible de revenir, soit il mettrait un terme à l'espace-temps en une singularité
identique au Big-Bang et au Big-Crunch. L'hypothèse de protection de la
chronologie a été étayée par des calculs récemment effectués par moi-même et par
d'autres. Mais la meilleure preuve que nous ayons que le voyage dans le temps n'est
pas possible et ne le sera jamais, c'est que nous n'avons pas été envahis par des
hordes de touristes venus du futur…
Je ne puis que recommander vivement ces deux ouvrages pour leur facilité de
compréhension malgré que les sujets traités soient très ardus.
Dans le numéro 3, nous verrons la position d'Hubert REEVES.
Patrick LANDRY
L'OBSERVATION DU SOLEIL
Attention, ne jamais observer le Soleil sans protection
Généralité :
Le Soleil est une étoile naine jaune qui se compose de 74% d'hydrogène, de 24% d'hélium et d'une
fraction d'éléments plus lourds. Le Soleil est de type spectral G2-V. Le Soleil évolue actuellement,
comme la majorité des étoiles, sur la séquence principale : il tire son énergie de réactions de fusion
nucléaire qui transforme dans son noyau, l'hydrogène en hélium, et se trouve dans un état
d'équilibre hydrostatique, ne subissant ni contraction, ni dilatation continuelles.
Le Soleil gravite autour du centre de la Voie Lactée dont il est distant d'environ 25 à 28 000 annéeslumière. Sa période de révolution galactique est d'environ 220 millions d'années.
Le Soleil tourne également sur lui-même, avec une période de 27 jours terrestres environ. En réalité,
n'étant pas un objet solide, il subit une rotation différentielle : il tourne plus rapidement à l'équateur
(25 jours) qu'aux pôles (35 jours).
Structure :
Schéma du Soleil
A l'intérieur du Soleil, se trouve un noyau qui occupe 15% du Soleil et une température de 14
millions de degrés.
Puis, plus haut se trouve une zone de radiation d'une épaisseur de 244 160 km, très dense qui
représente 98% de la masse Solaire. Un photon mettra jusqu'à un million d'années à traverser. La
température est de 500 000°C à 10 000 000°C.
A 494 160 km du centre du Soleil, il y a la zone de convection de 199 752 km qui évacue la chaleur
vers l'extérieur par des animations de mouvements tourbillonnaires. Ces mouvements de convection
créent, en surface une «supergrannulation» qui divise la photosphère en cellules d'environs 30 000
km de diamètre. Résultat : des spicules se forment dans la chromosphère et s'assemblent comme les
haies d'un bocage normand.
La Photosphère :
La photosphère est la couche de gaz qui constitue la surface visible du Soleil, qui a environ 500 km
d'épaisseur et une température de 6000°C,
L'observation de la photosphère se fait avec un filtre solaire monté sur un instrument optique.
Sur les photos , nous voyons 2 types de filtre, les feuilles en mylar (lunette et paire de jumelles) et
filtre en verre pour le télescope.
Photos de la photosphère réalisées avec un télescope Meade LX200 203 mm par Philippe
Roucheux.
La Chromosphère :
La chromosphère est la couche de gaz de couleur rose, transparente pour la lumière visible, qui
entoure la photosphère. Sa couleur rose est due à l'émission lumineuse de l'hydrogène ionisé à la
longueur d'onde H-alpha (656,3 nm).
Elle n'est visible que lors d'une éclipse totale de Soleil, d'un coronographe ou à l'aide d'un filtre Halpha monté sur un instrument astronomique.
C'est dans la chromosphère que jaillissent les spicules (filets de gaz s'échappant à très haute
vitesse), les protubérances et les éruptions solaires, jets de gaz et de matière de plusieurs centaines
de milliers de kilomètres de hauteur. Les protubérances peuvent être éruptives lorsqu'elles éjectent
de la matière dans l'espace, elles ressemblent souvent à des ponts aux arches de plusieurs dizaines
de milliers de kilomètres de portée.
Eclipse du 11 août 1999
Photo prise avec un
coronographe
Photo prise avec une lunette Halpha – P. ROUCHEUX
Différentes photos de la Chromosphère
Le Coronographe
Le principe de base est simple, un masque opaque d'un diamètre adapté à l'étoile observée est placé
dans le télescope. Le masque a ainsi le même comportement que lorsque la Lune passe devant le
Soleil lors d'une éclipse, occultant sa lumière et nous laissant voir sa couronne. Le génie de Bernard
Lyot dans son invention, est d'avoir analysé finement les phénomènes de réflexion et de diffraction
à l'intérieur de son dispositif et d'avoir ainsi conçu une optique permettant de séparer la lumière en
provenance de la couronne solaire et celle diffractée par le bord de l'objectif principal. C'est le rôle
du «diaphragme de Lyot».
Voici le principe optique plus détaillé basé sur la figure ci-dessus
L'objectif O1 forme l'image du Soleil à son foyer, sur le disque occulteur qui couvre exactement
l'image du disque solaire. Seuls subsistent les rayons lumineux provenant de la couronne solaire. La
lentille O2 donne de l'image du Soleil occulté une image virtuelle, translatée de quelques mm en
direction de O1, et donne de l'objectif O1 une image réelle sur le diaphragme. Ce dernier permet de
se débarrasser de la lumière parasite diffractée par le pourtour de l'objectif O1.
Les objectifs O3 et O3' donnent de l'image virtuelle du disque occulté préalablement formée par O2
une image réelle observable à l'oculaire ou reçue sur la pellicule d'un appareil photographique ou
sur le capteur d'une caméra numérique. Entre les deux éléments O3 et O3', les rayons lumineux sont
parallèles, ce qui permet d'utiliser un filtre monochromatique Hα dans les meilleures conditions.
La lunette en H-alpha (longueur d'onde 656,3 nm)
C'est un filtre étalon Fabry-Perot placé à l'avant du tube qui en créant des interférences fait
converger vers le foyer une infime partie du rayonnement solaire. C'est la "lumière" H-Alpha à
656.3nm qui offre un fantastique spectacle de notre étoile où l'on peut voir à la fois des détails de la
surface et les fameuses protubérances... jets de gaz gigantesques dans l'espace.
Cependant le seul filtre étalon ne suffit pas offrir le spectacle tant attendu. Si la raie H-Alpha est
transmise à environ 80% avec une bande passante très étroite, d'autres pics à intervalles réguliers
(appelés harmoniques) sont générés. Pour les supprimer il est indispensable d'ajouter un second
filtre centré aussi sur la raie H-Alpha mais de bande passante beaucoup plus large (6 Angstroms)
que le Fabry-Perot à l'intérieur d'un renvoi coudé.
Une lunette en H-alpha vue en coupe
La même lunette en H-alpha montée en parallèle sur le Meade LX200 203 mm
Photos de la chromosphère – P. ROUCHEUX
Photos de protubérences – P. ROUCHEUX
Photo de la chromosphère + protubérences
Article : P. ROUCHEUX
Chers amis
V o u s av e z été ad h é r e n t de l’A N P C E N …
no u v e l l e s de l’A N P C E N cett e an n é e .
av a n t 200 9. Vo u s n’av e z pe u t- êtr e pa s eu de
L’as s o c i a t i o n a été trè s acti v e en 200 9, an n é e m o n d i a l e de l’astr o n o m i e et no u s av o n s de
gr a n d s pr oj e t s po u r 20 1 0 , an n é e m o n d i a l e de la bi o d i v e r s i t é . Vo u s lire z au ver s o un rapi d e bila n
de s acti o n s de l’A N P C E N en 200 9 et les per s p e c t i v e s po u r 20 1 0.
Ci-joi nt 3 bull e ti n s d’a d h é s i o n ou ré a d h é s i o n po u r 20 1 0, av e c de no u v e l l e s cat é g o r i e s
d’a d h é r e n t s : les as s o c i a t i o n s loi 1 9 0 1 (ass o c i a t i o n s en vi r o n n e m e n t a l e s , nat u r a l i s t e s , les clu b s
d’a str o n o m i e etc.), les per s o n n e s m o r a l e s co m m e les co m m u n e s pe u v e n t ad h é r e r à l’A N P C E N , en
plu s de s ad h é s i o n s indi vi d u e l l e s . Si vo u s ête s m e m b r e d’u n e as s o c i a t i o n ad h é r e n t e à l’A N P C E N ,
l’ad h é s i o n indi vi d u e l l e est de 1 2 €. M e r c i d’a d h é r e r et de fair e ad h é r e r en diffu s a n t ce s bull e ti n s
aut o u r de vo u s !
D e p u i s 200 9, vo u s po u v e z ad h é r e r en lig n e sur notr e site w w w . a n p c e n . f r : cliq u e z sur ad h é r e r
ou ré a d h é r e r . Vo u s av e z ég al e m e n t la po s s i b i li t é d’o pt e r po u r le pr él è v e m e n t aut o m a t i q u e an n u e l .
N B : L’A N P C E N est rec o n n u e d’int é r ê t gé n é r a l , vo u s po u v e z dé d u i r e de vo s im p ô t s 66 % du
m o n t a n t de vo s do n s et de votr e ad h é s i o n , da n s la li mit e de 20 % de s rev e n u s im p o s a b l e s sel o n la
Loi de fin a n c e 200 4.
C o u r a n t 20 1 0 no u s av o n s au s s i es s a y é d’a m é l i o r e r la co m m u n i c a t i o n av e c les ad h é r e n t s :
en v o i du reç u fisc a l et de la cart e d’a d h é r e n t dè s l’enr e g i s t r e m e n t d’a d h é s i o n effe c t u é e .
Le no m b r e d’a d h é r e n t s a fort e m e n t au g m e n t é de 200 7 à 200 8 (+ 25 %) :
 en 200 7 : 460 ad h é r e n t s – en 200 8 : 590 ad h é r e n t s (indi vi d u e l s ou as s o c i a t i o n s)
 en 200 9 : 850 ad h é r e n t s , no u s co m p t o n s sur vo u s po u r dé p a s s e r les 10 0 0 ad h é r e n t s !
E n 20 1 0, no u s av o n s be s o i n d’êtr e en c o r e pl u s no m b r e u x , votr e ad h é s i o n est né c e s s a i r e po u r
ac c r o î t r e notr e cré d i b i l it é, dé v e l o p p e r no s inte r v e n t i o n s et pe s e r sur les dé ci s i o n s . Le no m b r e
d’a d h é r e n t s est la vrai e légiti m i t é de l’as s o c i a t i o n .
La di m i n u t i o n de la poll u ti o n lu m i n e u s e est un e oe u v r e de lon g u e hal e i n e , cel a im pli q u e un e
év o l u ti o n de s m e n t a l i t é s , pui s un ch a n g e m e n t de s pr ati q u e s et de s m a t é r i e l s ! N o s pr é c o n i s a t i o n s
co m m e n c e n t à êtr e éc o u t é e s et de pl u s en plu s so u v e n t sui vi e s. Pl u s i e u r s re p o r t a g e s da n s les
m é d i a s nati o n a u x et régi o n a u x ont dé n o n c é la dé m e s u r e de cert a i n s écl ai r a g e s . D e s pr o g r è s so n t
ré ali s é s , po u r qu e cett e pr o g r e s s i o n co n ti n u e en 20 1 0, ac c o r d e z- no u s votr e so u ti e n dét e r m i n é en
re n o u v e l a n t votr e ad h é s i o n .
Ve u i ll e z agr é e r , ch e r s a m i s, l'as s u r a n c e de no s m ei ll e u r s se n ti m e n t s .
Po u r le C o n s e i l d’A d m i n i s t r a t i o n de l’A N P C E N , P a u l Bl u, Pr é s i d e n t
C o n t a c t po u r tout ce qui co n c e r n e les ad h é s i o n s : da ni e l.r o u s s e t @ a n p c e n . f r ou écri r e au siè g e de
l’as s o c i a t i o n : A N P C E N c/o S A F 3 ru e B e e t h o v e n 750 1 6 P A R I S .
Bil a n de s acti o n s 200 9 :
L’A N P C E N est entr é e da n s la co u r de s or g a n i s m e s rep r é s e n t a t i f s de p u i s 200 8. La
rec o n n a i s s a n c e offi ci el l e de s po u v o i r s pu bl i c s lui a été ac c o r d é e par notr e parti ci p a t i o n au Gr e n e l l e
de l’En vi r o n n e m e n t .
L'affili a ti o n de l'A N P C N à Fr a n c e N at u r e E n v i r o n n e m e n t et le ch a n g e m e n t de no m qui a sui vi :
l’A N P C N est de v e n u e A N P C E N (Ass o c i a t i o n N ati o n a l e po u r la Pr o t e c t i o n du Ci el et de
l’En vi r o n n e m e n t N o c t u r n e s) no u s per m e t t e n t d’êtr e rec o n n u s co m m e as s o c i a t i o n de pr ot e c t i o n de
l’en vi r o n n e m e n t , la de m a n d e d’a g r é m e n t au p r è s du Mi ni s t è r e de l’Ec ol o g i e est en co u r s.
L’A N P C E N est pr é s e n t e da n s les dis c u t i o n s au p r è s de l’AF N O R po u r la mi s e en œ u v r e d’u n e
nor m e écl ai r a g e res p e c t u e u x de l’en vi r o n n e m e n t .
E n 200 9, le no m b r e de s acti o n s de l'A N P C E N a co n s i d é r a b l e m e n t au g m e n t é , qu e ce soit au
niv e a u loc al, dé p a r t e m e n t a l ou nati o n a l .
Le co n c o u r s "Vill e s et villa g e s étoil é s" a co n n u un cert a i n su c c è s , lan c é en 200 9 po u r pr ofi t e r du
co u r a n t « an n é e m o n d i a l e de l’astr o n o m i e » il ser a rec o n d u i t en 20 1 0 . C e co n c o u r s per m e t de
se n s i b i li s e r les 3600 0 co m m u n e s de Fr a n c e au x co n s é q u e n c e s de la poll u ti o n lu m i n e u s e et de les
incit e r à s’en g a g e r da n s un e réd u c t i o n du sur é c l a i r a g e , les rés u l t a t s qui par a î t r o n t en jan vi e r 20 1 0
do n n e r o n t l’oc c a s i o n de co m m u n i q u e r l’év é n e m e n t da n s les m é d i a s .
U n e so u s c r i p t i o n du mi ni s t è r e po u r aid e r au fina n c e m e n t du co n c o u r s "Ville s et vill a g e s étoil é s"
est rep o r t é e po u r 20 1 0.
Lo c a l e m e n t , 200 9 a été m a r q u é e par plu si e u r s sig n a t u r e s de la ch a r t e de l’A N P C E N : "Sa u v o n s
la N ui t". Act u e l l e m e n t 26 co m m u n e s ont sig n é cett e ch a r t e, pl u s i e u r s de v r a i e n t sui v r e en 20 1 0. P ar
cett e ch a r t e, la m u n i c i p a l i t é sig n a t a i r e s’e n g a g e à li mit e r so n écl ai r a g e pu bl i c et à res p e c t e r les
pré c o n i s a t i o n s de l'A N P C E N (CC T P) po u r se s no u v e l l e s réali s a t i o n s ou ré n o v a t i o n s .
A u niv e a u nati o n a l , l'int é g r a t i o n de l’arti cl e 33 sur la poll u ti o n lu m i n e u s e da n s la loi du Gr e n e l l e
1 de l'En v i r o n n e m e n t a été vot é e à l'As s e m b l é e N ati o n a l e le 2 1 oct o b r e 200 8. A cett e oc c a s i o n , le
suj e t de la poll u ti o n lu m i n e u s e a été lar g e m e n t trait é par de no m b r e u x m é d i a s : pr e s s e , tél é s et
radi o s . L’arti cl e 66 de la loi du gr e n e l l e 2 a été ad o p t é par le Sé n a t en se p t e m b r e 200 9 et ser a
dé b a t t u par l’As s e m b l é e N ati o n a l e en 20 1 0 .
Pr oj e t s 20 1 0 :
E n 20 1 0 l’A N P C E N parti ci p e r a au gra n d év é n e m e n t : l’An n é e M o n d i a l e de la Bi o d i v e r s i t é .
P ar a l l è l e m e n t , la sig n a t u r e de la ch a r t e "Sa u v o n s la nuit" ser a en c o u r a g é e au p r è s de s
co m m u n e s m o ti v é e s à s’e n g a g e r po u r pré s e r v e r la nuit et re p r é s e n t e r a un fil co n d u c t e u r po u r
l’a m é l i o r a t i o n de notr e en vi r o n n e m e n t no c t u r n e .
20 1 0 verr a la de u x i è m e éditi o n du co n c o u r s A N P C E N "Vill e s et villa g e s étoil é s"
Le 30 oct o b r e pro c h a i n , l’A N P C E N en tant qu e part e n a i r e pri vil é g i é , parti ci p e r a et fer a parti ci p e r
larg e m e n t à la de u x i è m e éditi o n du "Jo u r de la nuit" lan c é po u r la pr e m i è r e foi s en 200 9 par A gi r po u r
l’En vi r o n n e m e n t .
Concl u si o n
A u co u r s de l’an n é e , no u s aur o n s à co n fi r m e r l’im p o r t a n c e de notr e im pli c a t i o n da n s la
prot e c t i o n de l’en vi r o n n e m e n t no c t u r n e au p r è s du Mi ni s t è r e de l’Ec ol o g i e en parti c u l i e r, afi n d’êtr e
bi e n rep r é s e n t é da n s les gro u p e s de tra v a i l qui faç o n n e r o n t les dé c r e t s d’a p p l i c a t i o n de la loi co n t r e
la poll u ti o n lu m i n e u s e .
C e s proj e t s 20 1 0 vo n t entr a î n e r un sur c r o î t de de m a n d e s d’int e r v e n t i o n s vari é e s : inte r v i e w s
po u r la pre s s e écrit e, ra di o, tél é vi s i o n , de m a n d e s de sig n a t u r e s de C h a r t e s , de co n f é r e n c e s , de
pré s e n c e s av e c sta n d s et d'a ni m a t i o n s div e r s e s . N o u s so m m e s tou s pr êt s et dé c i d é s à rel e v e r ce
ch al l e n g e , votr e ad h é s i o n , et si po s s i b l e votr e parti ci p a t i o n , re p r é s e n t e n t un so u ti e n et un
en c o u r a g e m e n t indi s p e n s a b l e s !
ALBUM PHOTOS
Mars le 25 janvier 2010
Saturne le 22 mars 2010 pendant l'opposition
Les cratères Euxode et Aristote
Le cratère Jules César et la faille Ariadaeus
M13 – Amas globulaire d'Hercules
NGC4565
Photos : Philippe ROUCHEUX
LA LUNE
Jour
Distance en km
Ø apparent
6 avril
DQ à 9 h 39 m
400 501
29,8'
9 avril
Apogée à 2 h 33 m
405 008
29,5'
14 avril
NL à 12 h 30 m
392 853
30,4'
21 avril
PQ à 18 h 20 m
370 902
32,2'
24 avril
Périgée à 20 h 59 m
367 148
32,5'
28 avril
PL à 12 h 19 m
374 099
31,9'
6 mai
DQ à 4 h 16 m
403 884
29,6'
6 mai
Apogée à 22 h 09 m
404 233
29,6'
14 mai
NL à 1 h 05 m
382 215
31,3'
20 mai
Périgée à 9 h 04 m
369 731
32,3'
20 mai
PQ à 23 h 43 m
369 832
32,3'
27 mai
PL à 23 h 08 m
384 896
31,0'
3 juin
Apogée à 16 h 59 m
404 274
29,6'
4 juin
DQ à 22 h 14 m
403 310
29,6'
12 juin
NL à 11 h 15 m
371 774
32,1'
15 juin
Périgée à 14 h 47 m
365 932
32,7'
19 juin
PQ à 4 h 30 m
371 457
32,2'
26 juin
PL à 11 h 31 m
395 105
30,2'
OBSERVATION DU TRIMESTRE:
MERCURE
Elongation de Mercure du 08 Avril 2010
Cette nouvelle période de visibilité de Mercure, l'une des plus belles de l'année 2010, donne
l'occasion d'assister au crépuscule à un ballet planétaire de toute beauté.
La présence de l'éclatante Vénus au-dessus de l'horizon ouest est un formidable atout pour repérer la
plus discrète Mercure dans le ciel crépusculaire, environ une heure après le coucher du Soleil. Les
deux planètes profitent de l'inclinaison de l'écliptique à pareille époque pour s'élever de quelques
degrés au-dessus de l'horizon. Au cours des dix premiers jours du mois d'Avril, les deux astres sont
à moins de quatre degrés l'un de l'autre. Mercure s'approche même à moins de 3 degrés de Vénus le
04, sans pour autant que les deux acteurs soient en conjonction en ascension droite ou en longitude.
La magnitude de Mercure est alors proche de 0. Au fil des soirs, Mercure s'éloigne de Vénus et son
éclat diminue très rapidement, rendant de plus en plus délicat le repérage du petit point mercurien.
Mercure atteint son élongation maximale à l'est du Soleil le 08 Avril 2010, à 19°21'01".
Le 15 Avril, à 19h26 UTC, un très fin croissant lunaire de 1,93 %, le plus jeune de la lunaison, est
théoriquement facilement visible à l'oeil nu 30h57m après la Nouvelle Lune et vient flirter avec la
discrète planète sur fond de lueurs du Soleil couchant.
A condition de bénéficier d'un horizon très dégagé et d'une atmosphère transparente, Mercure reste
repérable aux jumelles jusqu'aux environs du 20, au ras de l'horizon ouest-nord-ouest.
Sous le tropique du Cancer, les conditions d'observation sont optimales, tandis qu'elles sont un peu
moins bonnes qu'en Europe pour les observateurs des régions tropicales australes.
Elongation de Mercure du 26 Mai 2010
Mercure atteint sa plus grande élongation à l'ouest du Soleil le 26 Mai 2010, à 25°07'48" de l'astre
du jour. Mais l'inclinaison de l'écliptique en cette période de l'année pour les observateurs de
l'hémisphère nord et la position de Mercure au sud de l'écliptique ne favorise guère l'observation de
la discrète planète pour ce retour dans le ciel de l'aube. Un horizon très dégagé permettra de repérer
la planète, de magnitude 0,6, au-dessus de l'horizon est-nord-est.
Sous le tropique du Cancer, Mercure revient à l'aube vers le milieu du mois. A la faveur de
l'inclinaison de l'écliptique, les conditions de retour sont excellentes sous le tropique du Capricorne.
Cependant, l'éclat de la planète est plutôt faible en début de mois, et il faut attendre vers le 10 pour
espérer repérer Mercure à l'oeil nu au-dessus de l'horizon est-nord-est.
Donnée PGJ - Ephémérides
Les phénomènes du mois : avril 2010
Les temps sont donnés en heure d'été pour Charny (3° 6' 0" E, 47° 53' 0" N).
Date
Heure Description du phénomène
jj mm aaaa hh:mm
3 avr. 2010
4 avr. 2010
5 avr. 2010
5 avr. 2010
5 avr. 2010
5 avr. 2010
9 avr. 2010
9 avr. 2010
10 avr. 2010
11 avr. 2010
11 avr. 2010
12 avr. 2010
12 avr. 2010
16 avr. 2010
16 avr. 2010
17 avr. 2010
17 avr. 2010
17 avr. 2010
17 avr. 2010
18 avr. 2010
19 avr. 2010
21 avr. 2010
22 avr. 2010
23 avr. 2010
27 avr. 2010
28 avr. 2010
30 avr. 2010
13:31
00:00
04:30
19:42
21:33
23:44
00:00
23:59
02:35
06:20
14:08
05:59
11:46
01:05
11:46
05:59
06:48
07:34
23:38
22:18
17:06
23:55
17:17
18:18
14:04
18:44
21:18
Rapprochement entre la Lune et Antarès (dist. topocentrique centre à centre = 1,0°)
JOUR DE PÂQUES
Rapprochement entre la Lune et M 8 (dist. topocentrique centre à centre = 1,3°)
Rapprochement entre la Lune et M 22 (dist. topocentrique centre à centre = 0,4°)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Minimum de l'étoile variable bêta de la Lyre
PLUS GRANDE ÉLONGATION EST de Mercure (19,2°)
Rapprochement entre la Lune et Neptune (dist. topocentrique centre à centre = 3,2°)
Maximum de l'étoile variable êta de l'Aigle
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Opposition de l'astéroïde 9 Metis avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,535 UA; magn. = 9,5)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Rapprochement entre la Lune et Uranus (dist. topocentrique centre à centre = 4,9°)
Rapprochement entre la Lune et Mercure (dist. topocentrique centre à centre = 0,7°)
Rapprochement entre la Lune et Vénus (dist. topocentrique centre à centre = 3,4°)
Rapprochement entre Mars et M 44 (dist. topocentrique centre à centre = 0,9°)
Maximum de l'étoile variable êta de l'Aigle
Rapprochement entre la Lune et les Pléiades (dist. topocentrique centre à centre = 1,4°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Minimum de l'étoile variable bêta de la Lyre
Rapprochement entre la Lune et M 35 (dist. topocentrique centre à centre = 0,2°)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Pluie d'étoiles filantes : Lyrides (18 météores/heure au zénith; durée = 9,0 jours)
Rapprochement entre la Lune et Régulus (dist. topocentrique centre à centre = 4,5°)
Rapprochement entre la Lune et Spica (dist. topocentrique centre à centre = 3,4°)
CONJONCTION INFÉRIEURE de Mercure avec le Soleil
Rapprochement entre la Lune et Antarès (dist. topocentrique centre à centre = 1,2°)
Les phénomènes du mois : mai 2010
Les temps sont donnés en heure d'été pour Charny (3° 6' 0" E, 47° 53' 0" N).
Date
Heure Description du phénomène
jj mm aaaa hh:mm
2 mai 2010
3 mai 2010
4 mai 2010
5 mai 2010
6 mai 2010
7 mai 2010
8 mai 2010
9 mai 2010
9 mai 2010
10 mai 2010
12 mai 2010
12 mai 2010
14 mai 2010
16 mai 2010
17 mai 2010
17 mai 2010
21 mai 2010
23 mai 2010
24 mai 2010
24 mai 2010
26 mai 2010
28 mai 2010
28 mai 2010
28 mai 2010
28 mai 2010
28 mai 2010
29 mai 2010
30 mai 2010
14:54
03:58
04:13
04:32
07:01
07:20
02:17
04:55
23:18
22:10
03:23
13:00
15:52
11:09
00:13
01:00
21:53
03:55
04:39
19:48
06:00
03:04
03:39
04:20
07:51
15:06
21:34
13:39
Rapprochement entre la Lune et M 8 (dist. topocentrique centre à centre = 0,6°)
Rapprochement entre la Lune et M 22 (dist. topocentrique centre à centre = 0,6°)
Opposition de l'astéroïde 2 Pallas avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,794 UA; magn. = 8,7)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Pluie d'étoiles filantes : Êta Aquarides (60 météores/heure au zénith; durée = 39,0 jours)
Rapprochement entre la Lune et Neptune (dist. topocentrique centre à centre = 3,3°)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Pluie d'étoiles filantes : Êta Lyrides (3 météores/heure au zénith; durée = 9,0 jours)
Rapprochement entre la Lune et Uranus (dist. topocentrique centre à centre = 5,0°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Opposition de l'asté. 12 Victoria avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,094 UA; magn. = 9,0)
Mercure à son aphélie (distance au Soleil = 0,46670 UA)
Rapprochement entre la Lune et les Pléiades (dist. topocentrique centre à centre = 1,0°)
Rapprochement entre la Lune et Vénus (dist. topocentrique centre à centre = 0,4°)
Rapprochement entre la Lune et M 35 (dist. topocentrique centre à centre = 0,8°)
Vénus à son périhélie (distance au Soleil = 0,71840 UA)
Rapprochement entre Vénus et M 35 (dist. topocentrique centre à centre = 0,7°)
Maximum de l'étoile variable êta de l'Aigle
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Rapprochement entre la Lune et Spica (dist. topocentrique centre à centre = 3,6°)
PLUS GRANDE ÉLONGATION OUEST de Mercure (24,9°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Début de l'occultation de 20-sigma Sco (magn. = 2,90)
Fin de l'occultation de 20-sigma Sco (magn. = 2,90)
Rapprochement entre la Lune et Antarès (dist. topocentrique centre à centre = 1,1°)
Opposition de l'asté. 40 Harmonia avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,310 UA; magn. = 9,4)
Rapprochement entre la Lune et M 8 (dist. topocentrique centre à centre = 0,8°)
Rapprochement entre la Lune et M 22 (dist. topocentrique centre à centre = 0,0°)
Les phénomènes du mois : juin 2010
Les temps sont donnés en heure avancée pour Charny (3° 6' 0" E, 47° 53' 0" N, zone A).
Date
Heure Description du phénomène
jj mm aaaa hh:mm
2 juin 2010
3 juin 2010
3 juin 2010
7 juin 2010
8 juin 2010
8 juin 2010
11 juin 2010
11 juin 2010
11 juin 2010
13 juin 2010
15 juin 2010
15 juin 2010
17 juin 2010
19 juin 2010
20 juin 2010
20 juin 2010
20 juin 2010
21 juin 2010
23 juin 2010
24 juin 2010
24 juin 2010
24 juin 2010
25 juin 2010
25 juin 2010
26 juin 2010
26 juin 2010
26 juin 2010
27 juin 2010
27 juin 2010
28 juin 2010
28 juin 2010
28 juin 2010
29 juin 2010
29 juin 2010
30 juin 2010
12:13
17:51
22:14
08:14
11:46
19:33
00:19
02:42
08:17
06:30
06:41
17:46
04:46
08:42
00:36
01:34
17:45
05:03
23:11
00:48
02:07
13:46
12:00
20:53
07:53
12:09
19:31
07:24
14:46
01:04
14:07
21:10
00:24
01:41
23:14
Opposition de l'asté. 129 Antigone avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,260 UA; magn. = 9,8)
Rapprochement entre la Lune et Neptune (dist. topocentrique centre à centre = 3,8°)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Rapprochement entre Mars et Régulus (dist. topocentrique centre à centre = 0,8°)
Rapprochement entre Jupiter et Uranus (dist. topocentrique centre à centre = 0,4°)
Rapprochement entre Vénus et Pollux (dist. topocentrique centre à centre = 4,7°)
Rapprochement entre la Lune et les Pléiades (dist. topocentrique centre à centre = 1,5°)
Rapprochement entre la Lune et Mercure (dist. topocentrique centre à centre = 4,3°)
Opposition de l'astéroïde 68 Leto avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,680 UA; magn. = 10,0)
Rapprochement entre la Lune et M 35 (dist. topocentrique centre à centre = 0,8°)
Rapprochement entre la Lune et Vénus (dist. topocentrique centre à centre = 4,4°)
Rapprochement entre Mercure et Aldébaran (dist. topocentrique centre à centre = 4,5°)
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Opposition de l'astéroïde 1 Ceres avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,841 UA; magn. = 6,9)
Maximum de l'étoile variable delta de Céphée
Minimum de l'étoile variable Algol (bêta de Persée)
Rapprochement entre Vénus et M 44 (dist. topocentrique centre à centre = 0,4°)
Rapprochement entre la Lune et Spica (dist. topocentrique centre à centre = 3,9°)
Fin de l'occultation de HD 142165 (magn. = 5,38)
Début de l'occultation de HD 142990 (magn. = 5,43)
Fin de l'occultation de HD 142990 (magn. = 5,43)
Rapprochement entre la Lune et Antarès (dist. topocentrique centre à centre = 1,4°)
Mercure à son périhélie (distance au Soleil = 0,30750 UA)
OPPOSITION de Pluton avec le Soleil
Rapprochement entre la Lune et M 8 (dist. topocentrique centre à centre = 0,6°)
Rapprochement entre Mercure et M 35 (dist. topocentrique centre à centre = 0,0°)
Rapprochement entre la Lune et M 22 (dist. topocentrique centre à centre = 0,3°)
Opposition de l'asté. 15 Eunomia avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,781 UA; magn. = 8,7)
Pluie d'étoiles filantes : Bootides de juin (durée = 6,0 jours)
Maximum de l'étoile variable êta de l'Aigle
CONJONCTION SUPÉRIEURE de Mercure avec le Soleil
Opposition de l'asté. 63 Ausonia avec le Soleil (dist. au Soleil = 2,094 UA; magn. = 9,3)
Début de l'occultation de 11-rhô Cap (magn. = 4,94)
Fin de l'occultation de 11-rhô Cap (magn. = 4,94)
Rapprochement entre la Lune et Neptune (dist. topocentrique centre à centre = 3,5°)