Untitled - Les Frères Brothers

Transcription

Untitled - Les Frères Brothers
Les zanimos
Un petit pingouin sur la banquise
Moi, je prends mon flingue, je le vise
Il n’a pas l'temps de faire sa valise
Moi, je lui explose l'épiphyse
Donnons-leur une chance aux zanimos
C'est tellement beau, un animo !
Laissons les vivre les zanimos
C'est tellement beau un animo !
Un petit gorille dans la brume
Moi, je l'écrase à coups d'enclume
Je l'arrose d'essence et puis j'allume
Mon Dieu, c'est joli et puis ça fume !
Donnons-leur une chance...
Oh ! le joli hamster dans sa cage,
Mon Dieu, qu'il est mignon, qu'il est sage !
Moi, je lui ramone l'oesophage,
Y'en a vraiment partout, quel carnage !
Donnons-leur une chance...
Un petit caribou dans la steppe,
Vais-je l'aplatir comme une crêpe ?
Vais-je le bouffer avec des cèpes ?
Non, moi, j'préfère lui bourrer le fion !
Donnons-leur une chance...
Les femmes qui passent
J’aime regarder les femmes qui passent
Gare Montparnasse, gare Montparnasse
En écoutant du Brahms ou du Litz
Gare d’Austerlitz
Plus d’une m’a fait perdre le nord
Gare du Nord, gare du Nord
Ce sont des chipies et des pestes
Gare de l’Est
J’ai mis mon espoir dans le hasard
Gare St-Lazare, gare St-Lazare
Même si j’trouve ça un peu bidon
Gare de Lyon
J’y arrive pas c’est tout d’même fou
Gare Davout, gare Davout
A dire je t’aime à une fille
Gare au Gorille.
J’en voudrais une qui soit câline
J’suis qu’un Monaco sans grenadine
Y’a pas d’Roméo sans Juliette
Mais moi, j’suis tout seul au fond
d’ma couette...
J’aime regarder les femmes qui passent
Gare Montparnasse, gare Montparnasse
En écoutant du Brahms ou du Litz
Gare d’Austerlitz
Plus d’une m’a fait perdre le nord
Gare du Nord, gare du Nord
Ce sont des chipies et des pestes
Gare de l’Est
J’ai mis mon espoir dans le hasard
Gare St-Lazare, gare St-Lazare
Même si j’trouve ça un peu bidon
Gare de Lyon
Dans ma caboche c’est le fouillis
Gare Gouilly, gare Gouilly
Je pète les plombs, j’ai plus d’charisme
Gare Garisme.
J’en voudrais une jolie et fine
Comme dans les films de Charlie Chaplin
Y’a pas de Laurel sans Hardy
Mais moi, j’suis tout seul au fond d’mon lit...
L’ode au bien fourni
Braves gens, oyez donc l’histoire
De celui qu’hier on a pendu
Turiférères secouez l’encensoir
Signez-vous, vous seriez perdus.
Il était monté comme un gnou
Ça descendait jusqu’aux genoux
Il en avait toujours envie
On le nommait Jean le bien fourni.
Etait-ce un sort lu dans un grimoire
Il fallait le voir pour le croire
Au grand jamais l’on n’avait vu
Au grand jamais on ne verrait plus.
Gare à toi jolie demoiselle
Prends garde à toi gentil damoiseau
Pères cachez donc vos pucelles
Mères rentrez vite vos puceaux
Grand-maman, range ta quenouille
Toi, Curé, point ne t’agenouille
Il est de retour au pays
Revoilà Jean le bien fourni.
Dans une ville très loin d’ici
La populace, il avait occis
En la tenant de ses deux mains
Comme on l’eût fait d’un
gros gourdin...
Poursuivi par les gens du château
Il s’enfuit pour sauver sa peau
Il s’en alla cacher dans les bois
Priant pour qu’on ne l’y trouvât.
Gare à toi...
Cendrillon, range ta citrouille
Toi, l’Abbé, point ne t’agenouille
Il est de retour au pays
Revoilà Jean le bien fourni.
Il eut beau prier face à terre
St Paul, St Jean, St Luc, St Pierre
Les chiens retrouvèrent sa trace
A genoux, il demanda grâce.
Inflexibles étaient ses bourreaux
Il se livra sans dire un mot
Ils n’eurent pas le temps de crier
Même les dogues y sont passés...
Gare à toi...
Petit pêcheur, lâche tes grenouilles
Toi, Vicaire, point ne t’agenouille
Il est de retour au pays
Revoilà Jean le bien fourni.
Il fallut pour saisir le drôle
L’Inquisition espagnole
Qui décréta, bien entendu,
Que ce maraud serait pendu.
C’est le tango...
D’où viennent-ils ? c’est un mystère.
Sont-ils des robots, des automates ?
Ou bien leur a-t-on enlevé la rate ?
Y font pas d’rêve, pas d’cauchemar
Y sont dans un monde à part
Y sont fermés le samedi, c’est la chienlit.
C’est le tango...
A l’allure triste, froide et austère.
C’est qu’y font des pauses toute la journée,
Ne les dérange pas pendant l’café,
Avant l’heure, c’est pas l’heure
Après l’heure, c’est plus l’heure
Y’a vraiment de quoi dev’nir sérial killer...
de fonction’heures.
C’est le tango...
Hommage à
Astor et Astaire.
La première fois
Quand elle le vit sur le gibet
La foule en resta bouche bée
Car au moment de trépasser
L’arme des crimes a explosé.
Tous les rêves érotiques
Qu’on fait quand on est ado
Sont souvent très utopiques
Et relèvent de la libido.
Tant qu’on va au cinéma
Se découvrir dans le noir
On risque rien, c’est sympa
Et on s’en souvient le soir...
Gare à toi...
Il est plus laid qu’une gargouille
Toi, l’Evêque, point ne t’... trop tard...
Il est de retour au pays
Revoilà Jean le bien fourni.
Le tango des fonctionnaires
Quand on est entre copains
On fait les cow-boys, les malins
On parle de bites, de vagins
La théorie, on connaît bien.
C’est le tango des fonctionnaires
Des préfectures aux ministères
Le fandango des tortionnaires
A l’allure triste, froide et austère.
Ils te font attendre, tourner en rond
Pour une signature, un coup d’tampon
Faut se tenir à carreaux
Faut pas jouer avec les mots
Y ferment à cinq heures moins l’quart,
Madame Placard.
C’est le tango...
D’la Côte d’Azur au Finistère.
Que tu sois méchant ou bien gentil
Que tu les engueules ou les supplies
Faut les voir dans leur costume
Sourire c’est pas une coutume
Y ferment à quatre heures et demie,
Madame Pipi.
Et puis un jour, vient le jour
De l’examen, du concours
Où le corps plein d’émois
C’est notre première fois.
Cours d’éducation sexuelle
Le mardi après-midi
Mon Dieu que la prof est belle
Je suis sûr qu’elle dirait oui...
Et puis un jour,...
J’en ai parlé à mon père
Il m’a dit : «faut laisser faire,
Va en parler à maman»
Elle m’a dit en souriant :
«Choisis bien, faut pas s’presser
C’est juste une mise en garde
J’dis pas ça pour te stresser
Mais le p’tit Jésus t’regarde !».
Et puis un jour,...
Aujourd’hui, ça y est :
Finie la virtualité,
C’est l’heure de vérité,
L’heure de la virilité.
Qu’a-t-il de mieux ce retardé
Que mon nez rouge et mes grands pieds
Mon nœud papillon à carreaux
Ma trompette et mon vieux chapeau ?
Je ne peux plus reculer
Je commence à paniquer
Je vais être recalé
J’vais finir par pas niquer.
Le plus terrible de cette histoire
C’est que pendant son numéro
A la même heure tous les soirs
Elle lui faisait un p’tit dans l’dos.
Ce putain de bout d’plastique
Ah ! j’vous jure c’est d’un pratique :
Quand je mets ce caoutchouc
Aussitôt je deviens mou.
Et tout le monde le savait
Monsieur Miko et ses Pingouins
Et tout le monde rigolait
Du montreur d’ours aux musiciens.
Comment s’ôte un soutien-gorge ?
J’aurais dû me renseigner
J’ai une boule dans la gorge...
J’vais jamais y arriver.
Et puis soudain je te vois
J’pensais plus que tu étais là
On se caresse, on s’embrasse
Tout va bien on s’enlace.
C’est le pied, le bonheur,
C’est si bon, c’est si bien,
Ça va bien durer des heures...
Ah ! ben non, tiens...
Tu me dis : «ça m’a plu
Mais j’en voudrais un peu plus».
Quelle coïncidence étrange
Moi aussi ça me démange !
C’est reparti pour un tour
Ça dure jusqu’au petit jour
Et le corps plein d’émois
C’est notre seconde fois...
Et puis un jour,...
On se souviendra toujours
De cet instant de ce jour
Où le corps plein d’émois
Ce fut la première fois... Aaahh !!
Le clown Pinpin
Dans sa roulotte rigolote
Le clown Pinpin (bis)
Dans sa roulotte rigolote
Le clown Pinpin... s’est pendu ce matin.
Il l’aimait tant sa p’tite Lulu
Son ange du ciel, sa trapéziste
Forcément ça lui a pas plu
Qu’elle couche avec l’équilibriste.
Ce zigotto, ce mal-appris
Plein de biscottos et sans Q.I.
Avec sa p’tite moustache fine
Et ses collants à la Erroll Flynn.
Le clown Pinpin il a craqué
Soudainement il a vu rouge
Y’a tous ses plombs qui ont sauté
il a vissé son vieux nez rouge.
Et il est entré sur la piste
Eclairée par les projecteurs
Bien sûr, le premier sur sa liste
C’était le bourreau de son cœur.
Vu qu’il s’était bien gominé
Ça l’a pas même décoiffé
Quand d’un coup sec, bien ajusté,
Il a été décapité...
Voyant la tête de son balèze
Lulu a perdu l’équilibre
Elle est tombée de son trapèze
Tout juste dans la cage aux tigres...
Puis il a parlé aux marmots
Avec sa drôle de voix pointue
«J’vais fout’ le feu au chapiteau
Le grand spectacle continue !»
Les dromadaires et les chameaux,
Les éléphants, tous les bestiaux,
Dans la panique générale
Ont écrasé Monsieur Loyal.
Quand les pompiers sont arrivés
Le cirque était carbonisé
Il n’y avait plus trace de vie
Le clown était rentré chez lui.
Dans sa roulotte rigolote...
Le clown Pinpin... S’est pendu ce matin.
Pim Pam Poum
Mon papa, me fout des torgnoles
Des baffes et des coups de poing
Ma maman, qu’est-ce qu’elle rigole !
Elle est bourrée comme un coing.
Je prends des coups de pied au cul
J’ai plein de bleus, d’ecchymoses
Ma maman, elle, elle a tout bu
Le Ricard, tu verrais les doses !
Mais moi, je les aime bien
Même si du soir au matin
Je prends des coups dans les reins
S’ils me cognent, c’est pour mon bien.
Mon papa fume des cigarettes
Qu’il m’écrase sur les bras
Ma maman, elle dit que c’est chouette
Les cloques, elle trouve ça sympa.
Ils m’enferment dans un p’tit placard
Quand ils veulent être tranquilles
Je fais pipi tout seul dans le noir
Pour faire caca, c’est plus difficile.
Mais moi...
Ils me bottent l’arrière-train
Je n’vois pas de quoi j’me plains.
La voisine a un nourrisson
Dont les pleurs énervaient son père
Ils l’ont oublié sur le balcon
Il est mort la nuit dernière.
Mon papa a dit aux gendarmes
«C’est un drame de la misère !»
Ma maman a fondu en larmes
Parce qu’il n’y avait plus de bière.
Mais moi...
Ils me frappent comme des bourrins
C’est mieux que d’être orphelin.
Quand j’s’rai grand, moi j’aurai des gosses
Y joueront dans un jardin
Y prendront des bleus et des bosses...
En jouant avec leur copains.
Mon papa, il les verra pas
S’il les touche, je l’explose
Ma maman, elle sera plus là
Elle a déjà une cirrhose.
Mais moi...
Je m’demande c’que sera demain
J’suis vivant et c’est très bien.
Hymn
Rien ne vaut
Une bonne tête de veau,
Rien n'est meilleur
Que les tripes au beurre.
Il n'y a que la charcutaille
Qui nous aille
Il n'y a rien d'aussi bon
Que les pieds de cochon.
Depuis qu'j’suis tout môme,
J'voulais être boucher,
Devenu un homme,
Je suis charcutier.
Je joue du couteau
Comme Géronimo,
J'suis le roi du hachoir,
Le pape du boudin noir.
Les clients rappliquent
Quand j'suis à l'étal
Voir ma femme dans sa boutique
Sa poitrine qu'elle étale
On a deux p'tits lardons
Tout roses, tout mignons,
Le garçon sent le gratton,
La fillette les rillettes.
Rien ne vaut...
Dindons et chapons,
Pâtés et jambons,
Coquelets et poulettes,
On en fait de l'andouillette.
Quand on gave les oies,
On en fait du foie gras,
Quand les canards sont bouffis,
On les transforme en confits.
C'est quand même que'qu' chose à voir
Quand du matin au soir,
On étripe, on équarrit,
Elle est pas belle la vie ?...
Mais tout ça, c'est bien fini,
Ils m'ont mis en prison,
Parce que ma femme et mes petits,
J'en ai fait du saucisson.
J'suis condamné au hachoir,
Revoilà la guillotine,
Ca me laisse un p'tit espoir,
C'est de finir en terrine !
Rien ne vaut...
La java de Jeannot
On m’appelle Jeannot,
Ch’uis laveur d’carreaux ;
Les petits les gros, les laids ou les
beaux,
Moi, je les lave à grande eau.
A travers vos fenêtres
Je vois vos vies, vos mal-d’être
Je connais tout de vos amours,
Des p’tits bonheurs de chaque jour.
Quand je nettoie les vitrines
De l’homme d’affaires ou d’la ballerine,
Quand rien ne se cache plus
On est fragile quand on est nu.
Au rez de chaussée
De ce vieux meublé
A l’affût devant sa loge,
Une vieille concierge
Probablement vierge
Sert d’agenda et d’horloge,
Elle passe son temps
Comme un ruminant
Engueulant les gens qui passent :
«Essuyez vos pieds, fume pas dans l’escalier,
Si t’es pas content, tu t’casses».
Au premier étage,
Une vieille dame sans âge
Elève des poissons rouges,
Y’a de vieilles photos,
Des bibelots rétros,
Elle cultive aussi des courges.
Ça sent le pipi,
Parfois le vomi,
C’est dire si ses chats s’régalent.
Elle a un canari a moitié moisi
Pris dans les mailles de son châle.
On m’appelle Jeannot...
Au second palier,
C’est un ouvrier,
Il a dix ans de chômage,
Un pointeur hors pair,
Qui boit verre sur verre
Afin d’oublier sa rage,
Y bouffe des raviolis
Qui sont même pas cuits
Du lundi jusqu’au dimanche,
Sa femme est partie, ses gosses, ils lui ont tout pris,
Ils lui ont laissé sa canne blanche.
Au troisième, une bourgeoise,
Un employé du gaz,
Comme toutes les semaines,
«Mon mari n’est pas là
- Arrête ton blabla
Et monte là d’ssus tu seras mienne !»
Et ça fait des «AAAH !»
Et ça fait des «RAAH !»
Ça fait trembler les verrières.
Elle prend du bon temps ; lui, il est content,
Elle a un joli derrière.
On m’appelle Jeannot...
Au niveau au d’ssus,
Un sculpteur de nu
Se trouve à court de modèle,
Problème épineux,
Il tombe amoureux
Des filles d’argile qu’il modèle,
On l’appelle l’artiste,
Il est toujours triste,
Il ne boit que de l’absinthe,
Il travaille l’ennui pour tuer la nuit
De sa vie en demi-teintes.
Là-haut sous les toits,
Sous le vasistas,
Y’a une sacrée jolie môme.
Belle comme un cœur,
Elle fait mon bonheur,
Parce que moi, je suis son homme.
On vit là tous deux,
Juste sous le ciel bleu,
Tout près de la couche d’ozone,
Et quand elle sourit, quand elle me dit : «oui...»
C’est l’paradis dans la zone.
A travers vos fenêtres...
Comme elle est belle, quand elle est nue.
Dam Diguidam
C’est en pays de Bretagne
Que j’avions une fiancée.
Nous courrions dans la campagne
Elle et moi nous amuser.
Le jeudi de la Saint-Jean,
A la foire de Pont l’Abbé,
Je lui dis en l’embrassant :
«Veux-tu donc m’épousailler ?»
«Tu n’es point le fils du roi !»
Me dit la belle en s’gaussant
«Tu n’as point le sou sur toi,
J’ai bien d’autres soupirants !».
C’est un dimanche de printemps,
Qu’elle maria un gars de Nantes,
Le fils d’un riche marchand
Qui ne vit que de ses rentes.
De chagrin, je suis parti
Sur un grand bateau tout blanc.
J’ai laissé là mes amis,
Frères et sœurs et parents.
J’ai fait le tour de la Terre,
J’ai vu tous les continents,
D’Australie à Saint-Nazaire,
Toutes les belles ont des amants.
Mieux vaut pêcher la morue
Que d’courir après les thons !
Et c’est à tous les cocus
Que j’dédie cette chanson !
Zaï zaï
Zaï zaï zaï zaï zaï zaï zaï zaï zaï zaï zaï
Zaï zaï zaï zaï zaï.
CREDITS (à 0,7%)
Jean-Christophe CHARNAY : Chant & harmonium (sur n°7)
Vincent CHARNAY : Chant & percussions (sur n°3)
Frédéric “Shush” CHARLES : Chant & violon (sur n°94)
Gilles OVIEVE : Chant & trombone (sur n°3 et 6)
Paroles et musiques : Jean-Christophe CHARNAY sauf n°11 (“Les Animaux du monde”, musique de Daniel FAURE)
Arrangements et mise en scène : Les FRERES BROTHERS
Présentateur et chauffeur de salle : Patrice DUGORNAY
Enregistré et mixé à A.R.E.M.A. Rock et Chanson (Talence) par Pascal RICARD l’Alchimiste du son
Création lumières : Yannick ANCHE / Lumières : Yannick ANCHE et Manu ROMANI
Sonorisateur tournées : Christophe TOUPY
Régie générale : Gérard MEYER
Les effets spéciaux de ce spectacle ne sont pas de G. LUCAS
Photos : Serge, Stéphane AVRIL, Domi GABILLE
Illustrations : Domi GABILLE
Conception pochette : 7ème DISTRICT
Monsieur J.-C. CHARNAY n’est coiffé par personne
Monsieur F. CHARLES est hyper content
Monsieur G. OVIEVE fabrique des poteries
Monsieur V. CHARNAY cherche une Jaguar type E V12 de 1960
Les FRERES BROTHERS sont habillés par leurs mamans
Aucun animal n’a été blessé durant l’enregistrement de cet album.
REMERCIEMENTS
Un grand merci : aux souscripteurs ! au public d’ici ou d’ailleurs, à tous les copains, copines et familles des F.B.
qui nous encouragent depuis toujours ; aux musiciens, comédiens et gens de spectacle croisés depuis l’aube des
temps ; à Yannick ANCHE qui est entré parce qu’il n’a pas vu de lumière ; à Christophe TOUPY (qui est une toupie !) ;
à Didier LELOUCH et Frédérick EL KAÏM pour leur amitié et leur coup de main au début de l’aventure ; à Gilles
DUPEYRON qui, le premier, a osé nous enregistrer ; à Franck MONNET pour ses jolies chansons et son éditeur de
partitions (allô ! Franck ?...) ; à Laurent et Jean-Pierre de la “BOITE A JOUER” (Bordeaux) qui ont, de leur gentillesse, arrosé la terre dans laquelle poussait notre spectacle ; à Patrice, Jean-Louis, Pascal, Manu, Patrick et toute
l’équipe de Rock et Chanson pour leur disponibilité, leur professionalisme, leur bonne humeur et leur taboulé
(mmm !) ; à Jean-Pierre OTHON et tout son gang du 7ème DISTRICT de nous avoir supportés (à tous les sens du
terme !) depuis 1998 ; à Thierry FAUX (Marathon man) pour ses conseils et encouragements ; à Anapurna
Productions pour leur efficacité et plus particulièrement à Gérard “Gégé” MEYER pour son travail, son calme et
ses bons conseils ; à Olivier DEPARDAY pour sa gentillesse et son oeil de pro à travers la caméra. Merci à JeanLouis et Jacqueline CHARNAY d’avoir transformé pour nous leur salle de séjour en local de répétition ; à Eugène
LAMPION le cerveau de “La CERVELLE” ; à la nymphe Jacqueline THIBAULT ; à Jean-Claude BARENS et Nelly
BARBE d’Euroscène évènements (Dax) ; à Hervé de FGL ; à toute l’équipe de Radio France Bordeaux Gironde
(Christine, Jean-Marie, José, etc.) ; à France 3 et M6 (eh oui maman, on passe à la télé !) ; à l’IDDAC, à l’OCET, à la
ville de Talence, au Festi’Val de Marne. Merci à Jean-Sébastien BACH, MOLIERE et Will le Coyote pour l’ensemble de
leurs œuvres.
Un merci spécial à Aymeric MOREAU (membre unique et à vie de notre FanClub, non encore créé) qui brave pluie,
vent, neige, typhons, tornades, séïsmes, jambe plâtrée pour être au premier rang à nos spectacles ; Robin, Virginie,
Victor, Iannis, Maxime, Joshua, Axelle, Armelle, Estelle, Yoyo, Læti, Thomas, Jonathan, Jules, Cléo, Louise, Pierre, Tom,
Ilona, Océane, Camille, Margaux, Charlie, Miléna, Louna, Deborah et Alexia les fans de la nouvelle génération !
Enfin, mille mercis (et plus si affinités...) à Laure, Laurence, Marion et Sylvie (Les SŒURS SISTERS) pour leur
amour, leur soutien et leur patience.
A François...
GILLES
VINCENT
FRED
JEAN-CRI