dossier de presse - Studio Art Concept

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dossier de presse - Studio Art Concept
Christian Gaillard
DOSSIER
DE PRESSE
- 3 Septembre au 15 Octobre Soussan-Morin
Martine Cassé
Christian Gaillard
Soussan-Morin
Hubert de Watrigant
Martine Cassé
SOMMAIRE
•
-30 Août au 18 Octobre 2013-
David Kunzli
Hubert de Watrigant
•
Bernadette Nitschke-Thomas
P.03
Communiqué de presse
P.04
Martine Cassé
P.05
Christian Gaillard
P.11
Soussan-Morin
P.12
Hubert de Watrigant
P.16
Informations pratiques
COMMUNIQUE DE PRESSE
La Galerie Valérie Peter vous invite à découvrir
du 3 Septembre au 15 Octobre 2015
une exposition consacrée à la tauromachie.
Quatre artistes y présenteront leurs œuvres :
Martine Cassé, peintre basque, est déjà connue des Bordelais qu’elle a séduits par ses toiles
qui associent peinture acrylique, collages et dessins au fusain ou à l’encre
Hubert de Watrigant est un peintre landais, passionné de sports équestres et de tauromachie,
passion qu’il retranscrit dans ses dessins et ses peintures. Il a acquis sa notoriété notamment par
sa collaboration avec la maison Hermès pour laquelle il a réalisé, entre autres, le très beau
“Plaza de toros”
Troisième peintre, Christian Gaillard, héritier de Velasquez, nous fait pénétrer dans le monde
intime de la tauromachie par son réalisme saisissant et l’émotion qui en résulte. La notoriété de
Christian Gaillard est internationale et la galerie est très heureuse d’exposer quelques-unes de
ces oeuvres.
Soussan Morin enfin, artiste connue et reconnue des Bordelais, fait rayonner de vie et de
sérénité ses magnifiques bronzes qui rendent hommage à la puissance et la beauté des
taureaux.
Christian Gaillard - Alternativa – 130x97 cm
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse
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MARTINE CASSE
PEINTRE AUTODIDACTE – TOULOUSAINE
– Née en 1963 – EXPOSITIONS A PARIS
et DANS LE PAYS-BASQUE – BORDEAUX
(Galerie Valérie Peter)
Martine Cassé vit au Pays Basque, région profondément
attachée à la tauromachie. Cette artiste n’échappe pas à cette
influence et l’exprime à travers une peinture taurine qui met en
valeur la beauté et la vitalité de l’animal.
Martine Cassé aime peindre le mouvement, la force brute,
qu’elle suggère plus qu’elle ne montre grâce à un trait qui se
fond volontiers dans la toile. Ses taureaux sont pleins d’une
puissance retenue, dénuée de toute brutalité.
Artiste peintre autodidacte, les taureaux et les matadors sont
ainsi ses sujets prédominants. Son œuvre est composée de
peinture acrylique, de collages, de fusain et d’encre.
Elle aime s’exprimer sur de grands formats, parfois sous forme
de diptyque ou triptyque, mais propose également quelques
toiles sur de petits formats.
Elle expose à présent depuis une quinzaine d’années, surtout
entre Paris et la Côte Basque. L’été, vous pouvez la rencontrer à
Saint-Jean-de-Luz : la Galerie de l’Infante présente
régulièrement une exposition de ses toiles. C’est aussi parfois
dans des arènes (comme à Bayonne) ou dans des clubs taurins
(penas taurines) que l’on peut découvrir sa peinture. Dans le
Pays-Basque, elle participe régulièrement à des expositions
collectives avec d’autres peintres. Enfin, elle est présente au
Grand Marché d’Art Contemporain (GMAC) de Paris depuis des
années.
Martine Cassé – Profil de matador – 116x80 cm
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse
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CHRISTIAN GAILLARD
NE
A
AVIGNON
NATIONALE
PARIS
DES
–
EN
ARTS
PRIX
1951
–
ECOLE
DECORATIFS
DU
de
MEILLEUR
ILLUSTRATEUR DE L’ANNEE (1982) –
1 er
PRIX
DE
MAESTRANZA
PEINTURE
DE
DE
LA
CABALLERIA
SEVILLA (1990) – EXPOSITIONS
DE
A PARIS
– HONG-KONG – MIAMI – PORTUGAL…
Christian Gaillard est né à Avignon en 1951. Il vit et travaille à
Paris.
Il commence dès 1976 une carrière d’illustrateur et travaille en
France pour les plus grandes agences de publicité et
d'importants magazines.
Sa première exposition à Nîmes en 1989 marque le début d’un
travail ambitieux sur le thème de la tauromachie.
D’un style que l’on pourrait appeler « la réalité en plus », ses
toiles représentant très souvent des dos de matadors,
impressionnent autant par leur noblesse que leur rigueur. Et ses
peintures gracieuses de femmes sont tout aussi puissantes que
délicates.
Christian Gaillard a peint plus de 250 toiles. Il a réalisé les
portraits des plus grands matadors contemporains, dont
beaucoup sont ses amis. Il est connu dans le monde entier,
particulièrement en Espagne, au Mexique, aux Etats-Unis et à
Hong Kong où il compte de nombreux collectionneurs.
Christian Gaillard - Taleguilla rosada – 146x97 cm
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse
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CHRISTIAN GAILLARD
EXPOSITIONS
2004
2014
2003
Hong-Kong (Galerie Connoisseur)
Dax (Galerie Dom-Art)
Festival a-part en Provence
Paris (Galerie Ariel Sibony) «Mujeres»
2013
2001
Paris (Galerie Ariel Sibony)
Festival a-part en Provence
2012
Paris (Galerie Ariel Sibony) « Maestras y Maestros »
Loulé – Portugal (Galerie Art Catto)
2011
Edition du livre « Men and horses »
2009
Paris (Galerie Ariel Sibony) «Heridas»
Paris – Diverses expositions
Nîmes (La Chapelle des Jésuites)
2002
Paris (Galerie Ariel Sibony) «Maestros»
Arles « Innocent X » dans la Chapelle Saint-Honorat
2000
Arles
Paris « Innocent X » (Espace Adamski)
1999
Paris « Mise à mort, mise à nu »
(Galerie Epry-Cayla)
1998
Golegà - Portugal
Paris : Réalise certains des costumes de la pièce
La Controverse de Valladolid pour le Théâtre de
l’Atelier
2007
1996-1997
2008
Singapour (Galerie Connoisseur) « Matadors »
Paris (Galerie Epry-Cayla et Galerie Kamel Menour)
2006
1995
ArtMiami (USA)
Paris (Espace Paul Ricard)
2005
1994
Hong-Kong (Galerie Connoisseur) « The spirit of
matadors »
Arles – De Luz, l ’Exprojection
Paris « Toreros y Madonas » (Galerie Fine Arts)
1992
Paris (Galerie Epry-Cayla)
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CHRISTIAN GAILLARD
EXPOSITIONS
1990
Reçoit le premier Prix de Peinture de la Real
Maestranza de Caballeria de Sevilla (Espagne) des
mains de S.A.R Don Juan de bourbon.
C’est la première fois qu’un peintre non espagnol est
récompensé ; le tableau fait désormais partie de la
collection permanente de la Maestranza.
1989
Nîmes (Première exposition sur la tauromachie)
D’un réalisme saisissant, l’œuvre de Christian Gaillard impressionne
autant par son économie de moyens et par sa rigueur que par sa
noblesse.Ces toiles insistent, pour la plupart, sur des détails de
costumes de toreros que l’on n’aperçoit que de dos. La facture
apparemment matiériste est en réalité extrêmement économe de
matière. Dans le traitement des dorures, on pense à Vélasquez. C’est
somptueux. Aux limites de l’hyperréalisme.
A propos de l'exposition "Toreros y Dolorosas" : Marc Hérissé, La
Gazette de Drouot
1988
Paris (Galerie Caplain-Matignon)
1987
Cuernavaca - Mexique
1986
Madagascar (Centre Culturel Albert Camus)
1982
Remporte le prix du meilleur illustrateur de l’année
1979
Séjourne et travaille à New-York et Mexico où il
collabore à diverses revues
1978
Paris : Première rétrospective de son travail
d’Illustrateur
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CHRISTIAN GAILLARD
Interview à l’occasion de l’exposition « De Luz »
à Hong-Kong - 2014
En 30 ans, les portraits de toreros sont devenus la signature du peintre français Christian Gaillard. Pourtant
ses matadors aux visages dissimulés sont bien plus qu’un hommage aux héros d’une arène 'indéfendable' et
à leurs habits de lumière. Ces motifs brodés aux formes troublantes sont en effet autant de citations aux
maîtres du ténébrisme et du baroque espagnol. A l’occasion de l’exposition "De Luz" qui se tenait à la
galerie Connoisseur de Hong Kong, le Petit Journal a rencontré le peintre qui ne cherche à dissimuler ni la
dimension érotique de son travail ni un goût immodéré pour "une certaine peinture".
Avant d’être peintre, vous avez eu une brillante carrière d’illustrateur. Comment s’est fait le passage à la
peinture ?
Carrière brillante, je ne sais pas mais j’aimais bien mon métier d’illustrateur. Je travaillais pour la publicité
assez souvent, je faisais des affiches de films parfois, des couvertures de magazines pour le Point. J’ai beaucoup
travaillé pour le Point à cette époque mais j’ai toujours travaillé à l’huile et sur toile car je pense qu’en réalité je
n’osais pas me lancer dans la peinture. J’ai donc développé une espèce de travail parallèle pour moi, fait de
peintures construites à partir de voyages. Un jour, j’en ai eu suffisamment pour aller voir une galerie à Paris. La
réponse a été "Voyons voir" mais ils ont accepté de m’exposer et ça a plutôt bien marché.
Cette première exposition avait déjà pour sujet la corrida ?
Non, à l’époque ma peinture était plutôt surréaliste et je mélangeais des éléments hétéroclites. Quand la
galerie m’a proposé de refaire une exposition l’année suivante, j’ai accepté mais je ne savais pas du tout ce que
j’allais faire. La peinture n’a pas besoin d’avais un sujet mais moi j’avais besoin d’en avoir un (rires) parce que
le champ est immense et que j’avais besoin de le limiter. Et comme j’ai toujours eu le goût pour la
tauromachie, je me suis dit que j’allais faire se rencontrer deux passions.
Comment vous est venue l’idée de peindre ces portraits de toreros vus de dos?
A cette époque (fin des années 1980), il y avait en France pour la première fois un matador de qualité dont on
parlait dans le milieu de la tauromachie. J’ai donc rencontré ce torero Nimeño (le Nîmois en espagnol) avec son
frère qui était son agent. Ce sont eux qui m’ont permis – j’allais dire - de descendre dans l’arène (rires). Ce n’est
pas tout à fait ça, mais grâce à eux, on m’a autorisé à suivre la corrida au plus près, juste derrière la barrière, là
où il n’y a d’habitude que les toreros.
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse
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CHRISTIAN GAILLARD
La première fois que je me suis retrouvé à cet endroit, j’ai été pris d’un grand tremblement, composé de
peur et d’émotion. Pour la première fois, j’entendais le souffle rauque du taureau, j’avais les projections
de sable et de sang et puis je sentais la peur des hommes. Là, j’ai compris qu’il y avait un sujet qui
n’était jamais vraiment représenté car tout ce qui tourne autour de la tauromachie s’articule
généralement autour de grands clichés. Là, je me suis dit qu’il serait intéressant de faire le portrait de
Nimeño et que le représenter de dos tel que je le voyais là était sans doute plus fort que de montrer la
beauté d’une passe.
Vous disiez que vos premières peintures étaient surréalistes. Le basculement vers l’hyperréalisme
s’est joué à ce moment-là ?
Oui, j’ai eu envie à ce moment-là de représenter ce que je voyais. On peut dire beaucoup de choses d’un
matador en montrant son dos, d’autant que son costume est particulièrement beau sous cet angle. Et
puis ne pas représenter le visage du torero me permettait aussi, à une époque où je n’avais pas accès à
toutes ces célébrités, de dire tous les matadors à travers un matador générique. Ce qui était une
contrainte est donc devenu un style.
Cet hyperréalisme s’accompagne aussi d’une très grande sensualité.
Il y a en effet une érotique du matador, induite par le costume lui-même. Ca, c’est une chose très
intéressante que le milieu de la tauromachie n’évoque jamais mais il est évident pour moi que le
costume du matador est d’une ambiguïté totale. Il est à la fois hyperviril puisque il dévoile clairement les
attributs de la virilité et très féminin avec cette mise en valeur des fesses. Il y a là une érotique intense
qui plait aussi bien aux femmes qu’aux hommes.
J’ai bien conscience de cette dimension homosexuelle. C’est aussi pour ça que je tiens à ce qu’il y ait
dans mon univers des femmes et des femmes toreras. C’est moins facile car il n’y a pas vraiment de
grande femme torera actuellement. La dernière grande artiste, Cristina Sanchez, s’est retirée dans les
années 2000. C’est pour ça que les matadors que j’appelle Maria Vargas sont en réalité des toreras
inventées. Maria Vargas est le nom du personnage joué par Ava Gardner dans la Comtesse aux pieds
nus de Mankiewicz.
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse
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CHRISTIAN GAILLARD
A voir le sujets de vos tableaux, vos références picturales, on vous imaginerait bien plus espagnol
que français… Etes-vous résolument tourné vers cette culture ?
Disons que c’est le goût d’une certaine peinture, mon admiration notamment pour Velázquez qui
m’a conduit à choisir pour sujet la tauromachie. Mais ma relation à l’Espagne est compliquée. Vu
mon travail, je devrais être repéré en Espagne. Mais je le suis sans l’être. Il y a quelques années j’ai
remporté le prix de la Maîtrise royale de cavalerie de Séville et j’ai gagné un prix. Sur ces entrefaites,
la Maestranza a proposé d’organiser une exposition et de mettre à ma disposition leur site
historique à l’Exposition universelle de Séville. C’était formidable. J’ai donc travaillé pendant un an
pour cette exposition mais au moment de l’expédition des toiles, il y a eu une grève terrible des
camionneurs français et mes tableaux ne sont jamais arrivés à Séville. J’ai donc vécu un cauchemar
et surtout un discrédit, alors que je n’y étais pour rien. C’était tellement pénible pour moi que j’ai mis
trois ans avant de retourner en Espagne et dix ans avant de retourner à Séville. Du coup, ce qui
aurait du se faire naturellement à ce moment-là là-bas s’est plutôt fait à Paris, au Mexique et à
Hong Kong.
Avez-vous d’ailleurs une idée de la manière dont le public hongkongais reçoit vos tableaux ?
C’est un peu une énigme pour moi. Il y a bien sûr le costume, les broderies, l’éclairage, quelques
citations modestes de Velázquez. Mais peut-être faut-il chercher du côté d’une certaine idée de la
tradition et de la peinture qui est peut-être ici dans sa manière réaliste universellement lisible. C’est
d’ailleurs pour moi un peu une revanche. Car quand je peignais comme cela il y a quinze ans, on me
disait en France "bravo pour la technique mais ce type de peinture n’est pas intéressant". Or, je sens
ces dernières années une espèce de retournement.
Cette hostilité était-elle due à la nature figurative de votre peinture ?
On ne peut nier que ce soit du figuratif mais j’espère que ma peinture raconte quelque chose
d’autre. Il y a quelques années il y eu une critique sur mon travail que j’ai trouvée très bien et dont
j’ai particulièrement aimé le titre : "La réalité en plus". J’ai trouvé que cela définissait mieux ce que
je fais que le terme "hyperréalisme" qui renvoie à l’hyperréalisme américain des années 50 qui ne
propose que de montrer le réel et qu’on utilise un peu par défaut.
Propos recueillis par Florence Morin pour « lepetitjournal.com » - Octobre 2014
Galerie Valérie Peter - Dossier de presse 10
SOUSSAN-MORIN
ECOLE DES BEAUX-ARTS de TOURS –
EXPOSITIONS à PARIS – NANTES –
BAYONNE – LONDRES – BIARRITZ –
TEL-AVIV
Artiste reconnue, ses premiers travaux s’intéressent au dessin
avant de se tourner vers la peinture et la sculpture.
Simplement contemporaine, ses toiles et ses bronzes, puisés
aux sources de la renaissance italienne, marient les matières,
les couleurs et les formes pour rayonner de puissance, de vie et
de sérénité.
Ses sculptures en bronze témoignent d’une grande maturité
dans la maîtrise des corps.
Les bronzes de Soussan-Morin se révèlent comme autant
d’hommage à la puissance et à la beauté des taureaux.
Bronze numéroté
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HUBERT de WATRIGANT
NE
EN
1954
DANS
–
AUTODIDACTE
DEPUIS
PLUS
–
LONDRES
YORK….)
LA
–
MAISON
EDITION
DE
LES
DE
20
LANDES
EXPOSITIONS
ANS
(PARIS
–
SHANGAI
COLLABORATION
HERMES
LIVRES
–
NEWAVEC
(Foulard…)
(«
–
Colores
»
« Dessins de corrida »….)
–
Hubert de Watrigant est né en 1954 dans les Landes, d’une
famille appartenant au monde hippique. Autodidacte, il obtient
un prix de dessin à Rome en 1977 et enchaîne depuis salons et
expositions. Il collabore depuis plusieurs années avec la maison
Hermès pour laquelle il crée, entre autres, de nombreux carrés
comme « Plaza de toros », « Ballet équestre », « Croquis de
champs de courses », « Saut d’obstacles »,… Peintre animalier
reconnu, il expose régulièrement dans le monde entier.
-
Grâce à ses différentes techniques (encre, peinture acrylique,
pastel…) et supports ((papier, toile, carton, bois…), Hubert de
Watrigant nous offre à chaque nouvelle exposition une
magnifique variété de tableaux. Son travail et son sens aigu de
l’observation donne un résultat hors du commun. Chevaux et
taureaux sont naturellement toujours présents dans ces
expositions…
Traje azul - Gouache
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HUBERT de WATRIGANT
EXPOSITIONS
2003
2015
Palm Beach (Artis Group)
Dax (Musée de Borda)
Londres (The Osborne Studio Gallery)
2002
2014
Shanghai (Galerie Dumonteil)
Londres (The Osborne Studio Gallery)
Paris (Galerie La Cymaise)
2012
2000
Paris (Galerie du Pont-Neuf)
Tokyo (Gallery & Company)
Paris (Espace Sisley)
2011
Londres (The Osborne Studio Gallery)
1999
2010
Londres (The Osborne Studio Gallery)
Baltimore (Ladew Gardens)
Paris (Galerie du Pont-Neuf)
1998
Tokyo (Gallery et Company)
2008
1997
Tokyo (promo-arte-gallery)
Londres (The Osborne Studio Gallery)
2007
1996
Saratoga (The Beresford Gallery)
Londres (The Osborne Studio Gallery)
Londres (The Osborne Studio Gallery)
Maisons-Lafffite
2006
1995
New-York (Gerald Bland Gallery)
Paris (Galerie La Cymaise)
Nîmes (Carré d’Art)
2005
Paris
2004
Londres (The Osborne Studio Gallery)
Palm Beach (Artis group)
1994
Madrid - Bordeaux
1993
Deauville – Hong-Kong
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HUBERT de WATRIGANT
EDITIONS
LIVRES
Colores
Hubert de Watrigant
Textes de Zocato
Art et Aficion
• 17 VIII 1999, un siècle à toréer !
Hubert de Watrigant
• Dessins de Corrida
Hubert de Watrigant - Art et Aficion
• Passion bai-brun
Hubert de Watrigant – Editions Chrysos
• Passion Cheval
Hubert de Watrigant – Les Trois Crayons
HERMES
…. « Hubert de Watrigant a puisé dans la grâce de sa main habile la
force de créer une suite picturale étonnante et profondément
attachante. Les carrés que notre maison a pu faire naître de sa
collaboration avec cet artiste honorent le style d’Hermès et lui
confèrent un supplément d’allure »
Jean-Louis Dumas-Hermès
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HUBERT de WATRIGANT
EDITIONS
SEA THE STARS
The Excellence
Pochette
The Excellence
Foulard
The Legend
Foulard
World Champion
Foulard
AFFICHES
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GALERIE VALERIE PETER
60, rue Bouffard
33000 BORDEAUX
06.82.85.76.04
[email protected]
www.galerievaleriepeter.com
HORAIRES D’OUVERTURE
Du mardi au samedi
De 11h à 13h et de 14h à 19h
INFORMATIONS
PRATIQUES
ACCES
Tram : Hôtel de ville, Lignes A et B
Bus : Place Gambetta,
Lignes 1-2-3-4-5-6-15-16-56-83
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