DIFFUSION ID Production - Isabelle Decroix 01 42 87 96 60 / 06 16

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DIFFUSION ID Production - Isabelle Decroix 01 42 87 96 60 / 06 16
DIFFUSION
ID Production - Isabelle Decroix
01 42 87 96 60 / 06 16 28 82 77 / [email protected]
L’Hôtel des Roches Noires
š ›
Françoise Cadol -
LIVRET
MUSIQUE
CONSEILLER DRAMATURGE ET METTEUR EN SCÈNE
Stéphane Corbin
Christophe Luthringer
AVEC
Ariane Pirie - Gaëlle Pinheiro
Françoise Cadol - Olivier Breitman - Christian Erickson
Arnaud Denissel - Stéphane Corbin
ASSISTANT À LA MISE EN SCÈNE
CHORÉGRAPHE
Sophie Tellier -
Thierry Alexandre -
ÉCLAIRAGISTE
COSTUMES
INGÉNIEUR DU SON
SCÉNOGRAPHE
RÉGIE PLATEAU
Sophie Jacob
CONCEPTEUR SONS
Aurore Popineau -
Xavier Robin -
Xavier Simonin
VIDÉASTE
Nicolas Maisse
COIFFEUR, MAQUILLEUR
Philippe Zielinski -
Franck Gervais
RÉGIE VIDÉO
Antoine Wauquier
Joris Valet
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Ce spectacle a été créé en janvier 2012 au Vingtième Théâtre à Paris.
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PRODUCTION
Cie Françoise Cadol
06 25 77 13 45 / [email protected]
DIFFUSION
ID Production - Isabelle Decroix
01 42 87 96 60 / 06 16 28 82 77 / [email protected]
Résumé
Trouville, 2013. Des âmes, prisonnières de leur ennui, hantent avec vivacité les murs d’un
ancien hôtel au bout d’une plage. Toutes ont un souvenir, une histoire, un parfum, qui les
relient à ce lieu qu’elles défendent avec ardeur contre des promoteurs immobiliers. Cet
ancien hôtel familial est destiné à devenir un centre commercial et nos fantômes n’ont
nullement l’intention d’errer entre les rayonnages d’un supermarché. Un souhait commun les
unit pour ne pas sombrer dans la déprime du temps qui passe. D’un temps infini. Un vœu qui
leur permettrait de “vivre” leur mort dans la joie : que l’Hôtel des Roches Noires ouvre à
nouveau ses portes, que les clients reviennent avec leurs palpitations de vivants,
leurs sentiments, mais surtout, leurs histoires d’amour. Pour cela, les fantômes chantent
vers l’horizon, dans l’espoir d’être entendus.
Et puis un homme entre dans le hall. Un vivant. Un cœur qui bat. Encore un promoteur ? Les
âmes errantes s’évertuent à l’effrayer, mais l’homme reste calme. Il n’a pas peur : il a la
capacité de voir les âmes errantes, il peut même leur parler. C’est un “entre-deux”, un
homme prêt à mourir, qui tient moins à la vie que les fantômes. Il est suivi par une femme
qu’il ne peut pas voir. Elle est son souvenir le plus cher, celui qui le hante jour après jour. Un
souvenir qu’il n’arrive pas à lâcher, par nostalgie d’un autre temps et surtout par culpabilité.
C’est sa femme, morte d’une chute de trapèze, qui ne rêve que d’une chose : sortir de la tête
de cet homme et être enfin libre d'errer elle aussi à sa guise. Dans une course éperdue
contre le temps, nos âmes facétieuses vont tout faire pour aider cette jeune femme à
s’échapper de sa prison, et pour insuffler l’envie de vivre, de respirer à cet homme sur lequel
ils fondent tous leurs espoirs pour redonner vie à l’Hôtel des Roches Noires.
Personnages & Distribution
Jules /
RÔLE INTERPRÉTÉ PAR
OLIVIER BREITMAN
Du monde des vivants, ancien trapéziste devenu promoteur. Son projet ? Démolir l’ancien
Hôtel des Roches Noires pour en faire un centre commercial. Mais l’endroit est hanté !
Louise / FRANÇOISE CADOL
Elle est un fantôme. Ancienne trapéziste, partenaire et femme de Jules, elle est son souvenir
et pas encore un fantôme libre. Elle est “coincée” dans la tête de Jules et ne rêve que d’une
chose, qu’il la “lâche” pour qu’elle devienne enfin un fantôme comme les autres.
Caroline / GAËLLE PINHEIRO ou VANESSA CAILHOL
Elle est un fantôme. Elle a été retrouvée morte sur la plage un matin de juillet 1870. On ne sait
rien d’elle et elle ne se souvient plus de rien. Alors elle joue pour oublier qu’elle a tout oublié.
Willy / ARNAUD DENISSEL
Il est un fantôme. Il a d’abord été l’enfant de l’hôtel puis son dernier directeur. Il est tombé
fou amoureux, alors qu’il avait à peine 17 ans, d’une chanteuse, mais cette femme est partie et
n’est jamais revenue, malgré sa promesse. Il n’a pas survécu à la fermeture de l’hôtel en
1959. Aujourd’hui, il fait la guerre aux promoteurs.
Gloria / ARIANE PIRIE
Elle est un fantôme qui vient d’arriver dans l’hôtel. Elle chantait dans un camping quand la
pluie et une mauvaise installation électrique l’ont foudroyée et volée à son public. Elle n’a fait
qu’un tube dans sa vie et ne s’en est jamais remise. Elle n’aime personne, sauf son chien, et
n’a pensé toute sa vie qu’à sa carrière dans laquelle elle est très vite devenue une has been.
Malgré tout, elle y croit encore !
Lord Hopking / CHRISTIAN ERICKSON
Il est un fantôme. Fantasque, cynique, légèrement décalé et Anglais. C’est un écrivain raté.
Depuis qu’il s’est suicidé un matin de juillet 1930, il ne rêve que d’une chose : entrer dans la
bibliothèque, qui lui est fermée, pour “exploser” tous les livres.
Alfred / STÉPHANE CORBIN ou GRÉGORY VEUX
Il est un fantôme. C’était le pianiste de l’hôtel. Rarement écouté et reconnu, considéré comme
faisant partie intégrante des murs de l’hôtel, il se pend avec une corde de piano un matin de
juillet 1950. Depuis, il est bougon, ne parle plus, hausse souvent les épaules avec lassitude.
Malgré son sale caractère, il est très présent dans la vie des autres, ressentant la “petite
musique” de leur âme.
Françoise Cadol
AUTEUR & COMÉDIENNE
« Il y a quelques années, j’ai visité l’ancien hôtel des Roches Noires à Trouville. Le hall était vide et magnifique. Quelques fauteuils, des grandes fenêtres sur la mer, un vieux téléphone à fiches, un ascenseur de la même époque, et de chaque côté, une porte battante… Malgré l’espace vide, l’endroit était “chargé” ! Chargé du souvenir de tous ses “clients”, de leurs espoirs, leurs rires, leurs douleurs, leur vie… Pendant tout le temps où je suis restée dans le hall, j’ai senti les portes sur le point de s’ouvrir pour laisser passer leurs fantômes. Je n’avais encore jamais écrit sur de la musique et c’est en écoutant les propositions de Stéphane que les émotions des personnages m’arrivaient et s’imposaient. Bien sûr, on en parlait ensemble, on voyait des ombres, on entendait des murmures, des souffles, des rires, mais grâce à la musique, j’ai entendu des mots, des bouts de dialogues comme des bouts d’étoffes pour les habiller… » n On a vu Françoise Cadol dans Rodin, tout le temps que dure le jour, dont elle est l’auteur
et pour lequel elle a eu l’aide à la production et à la diffusion du Fonds SACD (M.E.S. C.
Luthringer), dans Mir Mir de P. Edouard d’après Vittime de M. Nava, dans Les passantes
(M.E.S. J.-P. André), dans Les petites haines de C. Delbo (M.E.S. C. Cadol), dans Chop Suey,
qu’elle a également écrit (M.E.S. J. Connort), dans Britannicus de Racine (M.E.S. J.-P. André),
Port Royal de Montherlant (M.E.S. R. Gérôme), Bobosse de Roussin (M.E.S. S. Hillel), Cinq pas
dans la tendresse de et M.E.S. par X. Jaillard… Elle a tourné avec A. Isserman, D. Tabuteau, G.
Espinasse, A. Moracchini, R. Kahane, D. Roussel… Elle prête sa voix à A. Jolie, S. Bullock, P.
Arquette, G. Li… Les deux pièces de théâtre qu’elle a écrites sont éditées aux Éditions Fabert.
Stéphane Corbin
COMPOSITEUR & MUSICIEN
« Françoise a trouvé les mots qui se cachaient sous les notes et qu’elle seule pouvait entendre et réveiller. Nos imaginaires n’ont fait qu’un, les personnages sont nés et leur histoire, leur caractère et leur folie nous ont sauté aux yeux. Ils se sont mis à vivre avec nous, à nous réveiller, à nous parler la nuit. Nous les avons modelés, comme des sculptures d’argile ; quelquefois, ils se sont refusés à nous pour suivre leur propre route… Je voulais une musique qui tourbillonne en un bal fantôme, une folie aérienne… Il y a des morceaux où les notes sont parfois comme des gouttes d’eau, parfois comme des rires. D’autres où les valses incitent plus à voler qu’à danser… Il y a des musiques vibrantes, à fleur de peau, nourries de peur, d’espoir, de vie. Il y a surtout de la poésie… » n Auteur-compositeur-interprète, Stéphane Corbin sort en 2011 l’album Les murmures du
temps (Sony Music). Il a chanté en première partie de Juliette, T. Fersen et D. Annegarn, reçu
le Prix du Public au Trophée Radio France (2005), le Prix Clermont Carrefour de la Chanson
(2007), et participé aux Rencontres d’Astaffort de F. Cabrel. Il a pris part à de nombreux
spectacles musicaux en tant que compositeur, pianiste ou comédien, dont Dorian Gray
d’après O. Wilde (M.E.S T. Le Douarec, Festival d’Avignon 2011 et Vingtième Théâtre), Tout
Offenbach ou presque d’A. Sachs et La vie parisienne d’Offenbach (M.E.S. A. Sachs), Chance et
Babel d’H. Devolder, L’oiseau bleu d’après M. Maeterlinck, Le plus heureux des trois d’E.
Labiche, L’histoire de Sally Mc Laureen de C. Kandel (M.E.S N. Grujic). Il a composé pour des
émissions de télévision (dont Talents aiguilles sur Pink TV) et des courts-métrages (dont Ça
fait mal à mon cœur de S. Noël, Grand Prix du festival d’Angers 2004).
Christophe Luthringer
METTEUR EN SCÈNE
« Tout commence par des sons déformés, des objets qui tremblent, des voiles qui flottent dans l’espace. Le hall de l’hôtel a été clos par de vieilles planches qui laissent passer d’étranges rais de lumières matérialisés par la poussière. Çà et là, quelques vestiges sous des toiles d’araignées, rescapés comme dans une calle d’un bateau fantôme à la dérive. Au loin, faisant partie des murs, un pianiste, ignoré de tous, joue inlassablement. La date de mort des fantômes datera leur costume. Une robe bourgeoise 1870 brûlée par le sel de la mer (Caroline) ; un tweed Anglais 1930 en bon état à quelques trous près (Hopking) ; un costume 1950 (Willy) ; un fuseau panthère, années 1980, style pop-­‐star sur le retour (Gloria) ; une robe intemporelle, légère, aérienne (Louise) ; un costume sobre 2012 (Jules). Les voiles de différentes largeurs donneront une sensation de légèreté, mais feront aussi penser aux fils d’une immense toile d’araignée sur lesquels seront projetées des images d’un film super-­‐8 en noir et blanc : La nostalgie d’un autre temps. Mais sommes-­‐nous réellement dans le hall de l’hôtel ? Ou dans la chambre d’hôpital d’un homme dans le coma ? Les pistes seront volontairement brouillées. Je veux conjuguer le visuel et l’émotion, me servir de technologies nouvelles, type hologramme, mais au service de l’essentiel. Non pour paraphraser l’immatérialité des fantômes, mais pour signifier la dématérialisation du vivant quand il “part”. La chorégraphie, comme une seconde forme narrative, pas forcément dansée, mais qui raconte cette caisse de résonance qu’est le corps, avec ses émotions, ses perceptions. J’aimerais donner envie aux spectateurs de monter sur scène, pour “toucher” ce qu’ils voient, savoir si tout cela est bien réel ! Qu’ils sortent du théâtre avec un cœur gonflé à bloc, emplis d’une envie de vivre explosive, “désanesthésiés”, connecté à cette force irrationnelle… Entrer, avec ce spectacle, dans la conscience d’un cœur qui bat. La précieuse existence humaine. » n Christophe Luthringer passe d’un univers à l’autre, du théâtre à l’opéra, du seul en scène
au collectif. Il a monté plus d’une vingtaine de spectacles. En 2011 : Ex-voto de Xavier
Durringer (créé à Paris en 2009 et repris à Avignon) ; La danse du fumiste de Paul Emond
(Bruxelles) ; Family Dream : écriture collective d’une pièce de théâtre visuel (spectacle prévu
à Tahiti, Saint-Petersbourg et Avignon 2012). En 2010 : La flûte enchantée de Mozart (Herblay) ;
Le miroir de Trinidad (Avignon et Paris 2011). En 2009 : Coup de griff’ de Momoko et Bernard
Fructus (Paris) ; Faust de Gounod (Herblay) ; Je t’avais dit, tu m’avais dit de Jean Tardieu (créé
à Paris en 2005 et tournée jusqu’en 2009). En 2008 : Les Sax’s, quatuor musical dont il est
l’auteur (Avignon) ; Mir, Mir de Pamella Edouard d’après Massimo Nava (tournée). En 2007 :
Vol de nuit de Saint-Exupéry (Tournée). En 2006 : Rodin, tout le temps que dure le jour de
Françoise Cadol (Paris et tournée) ; Pélagos de Jean Lavinal (Jouy le Moutier) ; Je m’appelle
Yass et je viens de loin de Yasser Achem (Paris) ; Houria, la femme que j’étais de Gaspare Dori
(Paris et Île Maurice). Et aussi, entre 1997 et 2005 : Ta gueule, je t’aime de Thierry Samitier
(Paris et Avignon) ; Paul et Virginie de Bernardin de Saint-Pierre (Île de la Réunion,
Madagascar, Île Maurice) ; Oui de Gabriel Arout (Paris, Avignon, tournée) ; Pierre et papillon
de Murielle Magellan (Paris, Avignon, tournée) ; Au fond des bois de Jean-Louis Bourdon
(Avignon) ; Textes bouddhiques (Darma ling de Paris) ; La surprise de l’amour de Marivaux
(Paris, Avignon, tournée Afrique).
Olivier Breitman
COMÉDIEN
n Avant de créer le personnage de Scar dans le musical de
Broadway Le roi lion (M.E.S. J. Taymor) au Théâtre Mogador, il
travaille de nombreuses fois avec M. Maréchal (La très mirifique
épopée de Rabelais, Les trois mousquetaires d’A. Dumas, Ruy Blas
de V. Hugo, La Puce à l'oreille de Feydeau), avec J.-L. Revol (La nuit d’Elliot Fall de V.
Daenen), et joue de nombreuses pièces de Lesage, Molière ou Labiche. Il a également
travaillé avec F. Berthier dans des pièces de F. Melquiot, Tchekhov, Goldoni, Shakespeare. On
l’a vu aussi dans l’univers de G. Bourdet, de F. Muhl, de X. Lemaire. Demandez la chanson du
film (M.E.S. R. Kahane), Et la belette joue de la trompette (M.E.S. N. Bataille), À l'aube de la
liberté (M.E.S. D. Bailly). Pendant plus de vingt ans, Olivier Breitman a collaboré avec J.
Fuseya, metteur en scène japonais installé à Paris au Théâtre du Temps. Il y a interprété
notamment des grandes figures féminines (Andromaque, Iphigénie, Cassandre, Hécube, la
Belle Hélène) aussi bien à Paris qu'à Tokyo, et il est considéré comme étant le premier
PHOTO : BRUNO PERROUD.
« onnagata français ».
Arnaud Denissel
COMÉDIEN
n Côté comédie musicale, il a joué et chanté dans Spamelot Sacré Graal des Monty Pythons (M.E.S. Pef) ; Le soldat rose (M.E.S. C.
et G. Benizio) ; Aimé et la planète des signes (M.E.S. J.-L. Grinda) ;
Au devant de la vie (M.E.S. C. Rosmini) ; Mille et une plumes (M.E.S. J.
Hodges) ; Quel temps fait-il à Paris ? (M.E.S. S. Hureau) ; Parce que
je vous aime (M.E.S. N. Lormeau) ; La cage aux folles (M.E.S. A. Marcel) ; La fièvre des années
1980, Les années zazous, La vie parisienne et Les années twist (M.E.S. R. Louret). Côté théâtre,
on a pu le voir dans La pitié dangereuse de S. Zweig ; Embrasser les ombres de L. Norén ;
Long voyage vers la nuit d’E. O’Neil (M.E.S. J.-C. Seguin) ; Les larmes de l’aveugle de R. de
Obaldia (M.E.S. G. Shelley) ; Autour de ma pierre de F. Melquiot (M.E.S. F. Berthier)… Il a tourné
pour la télévision avec C. et G. Boustani, C. De la Rochefoucaud, G. Amado, G. Rivière, G.
Espinasse, E. Dubergey…
Christian Erickson
COMÉDIEN
n Au théâtre, il a joué dans Comédie sur un quai de gare de S.
Benchetritt (M.E.S. B. Buffoli), The Dinner Game / Le dîner de con de
F. Weber (M.E.S. T. Kessler), Art de Yasmina Reza (M.E.S. T. Kessler),
Hot House d’H. Pinter (M.E.S. J. Sheridan), Endgame de S. Beckett
(M.E.S. P. Hudson), Les Précieuses ridicules de Molière (M.E.S. P.
Valiant), The Comedy of Errors (M.E.S. A. Wilson), Twelfth Night (M.E.S. G. Bushnell), The Rocky
Horror Show (M.E.S. L. Dobell). Il a travaillé avec le metteur en scène B. Meyer dans What ever
happened to Baby Jane, Banana for a Boy King, Marie et Bruce de W. Shaw. Au cinéma, on l’a
vu dans Brando et Brando de R. Behi ; Adèle Blanc-Sec, Arthur, et Jeanne d’Arc de L. Besson ;
La rafle de R. Bosch ; 8 fois début de X. Molia ; Hitman de X. Gens ; Cash d’E. Besnard,
Remake / Désaccord parfait d’A. de Caunes ; 8th Wonderland de N. Alberny et J. Mach ;
Touriste ? Oh Yes ! de J.-P. Mocky ; The Statement de N. Jewison ; The Divorce de J. Ivory ;
Kennedy et moi de S. Karmann ; The Man and the Iron Mask de R. Wallace ; La neige et le feu
de C. Pinoteau ; Les aventures de Catherine C. de P. Beuchot ; Americonga de H. Soto ; Le 4e
pouvoir de S. Leroy ; Les liaisons dangereuses de S. Frears…
Gaëlle Pinheiro
COMÉDIENNE
n Côté théâtre musical, elle a joué et chanté dans Frankenstein
junior de M. Brooks (M.E.S. N. Grujic), Spamelot de E. Idle (M.E.S.
Pef), Kid manoir de D. Rozen et F. Colas ; Les bavards d’Offenbach
(M.E.S. N Grujic) ; Phiphi de Christiné (M.E.S. P. Albaladejo) ; La petite
boutique des horreurs d’A. Menken… Au théâtre, on l’a vue dans
Robin des bois : la légende …ou presque ! de et M.E.S. par F. Colas et
G. Beaujolais, Noël magique de et M.E.S. par W. Korso, Casting de et
M.E.S. par G. Nozach et V.G. Vovan ; Silenzio ! de F. Dubois… À l’opéra, elle était dans Monsieur
Choufleri d’Offenbach (M.E.S. G. Nozach) ; Le mariage secret de Cimarosa (M.E.S. A.-M.
Lazarini) ; Le barbier de Séville de Rossini, La flûte enchantée de Mozart, La belle Hélène
d’Offenbach ; Orphée aux enfers d’Offenbach (M.E.S. R. Santon) ; Rigoletto de Verdi (M.E.S. M.
Fau) ; Les noces de Figaro de Mozart et Beaumarchais (M.E.S. E. Perez)… Et à la télévisison,
on l’a vue dans Le grand restaurant 2 de P. Palmade et G. Pullicino.
Ariane Pirie
COMÉDIENNE
n Elle était dans Mozart, l’opéra rock de D. Attia, A. Cohen et F.
Chouquet. On l’a vue aussi dans Je t’aime, tu es parfait, change de
J. di Pietro et J. Roberts, Non, je ne danse pas de Lydie Agaesse
(M.E.S. J.-L. Revol), La nuit de l’iguane de T. Williams (M.E.S. G.
Lavaudant), Zazou et La périchole de J. Savary, Peines de cœur
d’une chatte française d’A. Arias, Créatures et Les hors-la-loi d’A.
Bonstein, Panique à bord de S. Laporte. Sol en cirque de Zazie, V. Baguian et J.-M. Leau, La
Revue de P. Naftule. Au cinéma, elle a travaillé avec X. Giannoli (Talk show), B. Podalydès
(Versailles rive-gauche, Dieu seul me voit et Bancs publics), P. de Chauveron (Les parasites)
et I. Mergault (Un homme très recherché).