• Agfa W S? 429, Route de U vfy^|

Transcription

• Agfa W S? 429, Route de U vfy^|
•
\ \ '
A g fa
m
j
W S?
W
*
JONSK
Jean
429, Route de U v f y ^ |
7 7 0 0 0 VAUX LE PENIL e & M
»
N° 7 - N O U V E L L E SERIE - OCTOBRE 1973 - T R I M E S T R I E L - F L 0 P E T R 0 L : 57 B O U L E V A R D MALESHERBES - 75008 PARIS
N° 7 - N O U V E L L E SERIE - OCTOBRE 1973 - T R I M E S T RI E L
FL OPE TROL : 57 B O U L E V A R D M A L E S H E R B E S - 7 5 0 0 8 PARIS
sommaire
R E G R O U P E M E N T DES SERVI CE S C E N T R A U X A M E L U N
Par R. D E L M A S ...................................................................................
4
LE D E P A R T DE LUCIEN BECU ...................................................
6
DO Y O U K NOW DEN ?
by C. M A S S A .....................................
N O U V E L L E S DE LA D L Y
112 DAYS IN DEO
Notre couverture :
La Technique : essais de puits
Et les Hommes : C. BONDAZ
8
by Y. D E F R A N C E .......................
13
by Y. G A L L A N D .......................................
14
MES S O U V E N I R S DE L' I LE DE BALI par G. I D E L O T ..........
18
UN F L O P E T R O L I E R EN P OLYNESI E par A. D A U R I S ..........
20
I N A U G U R A T I O N DE L ' OI L D R A G ON A R O T T E R D A M
par O. B R I L L A T Z ...............................................................................
22
UNE PA R TI E DE C A M P A G N E ....... par B. G A U T I E R .............
24
LE PER SO N N EL AU 3 1 . 8 . 7 3 .........................................................
27
LES N O U V E A U X A R R I V E S ...........................................................
28
LE C A R N E T .........................................................................................
29
LES MOTS CROISES - CROSSWORD P U Z Z L E ........................
30
__________________________________ _________________________________
V A L E U R DE LA PART AU 31.8.73 : 21,55 F
3
REGROUPEM ENT
DES S E R V IC E S CEN TRA U X
A MELUN
R ^D E LM A S
La construction de la nouvelle base
s’achève . Bien q u ’il y ait eu quelque
retard sur le programme initialement
prévu, nous serons tous installés à la
fin du mois d’Octobre.
Elle a m aintenant fière allure. L’ate­
lier en particulier est très spacieux.
Il faut reconnaître qu’il est encore
vide de tout matériel : il prendra des
.proportions plus humaines lorsque
toutes les machines seront installées.
Les bureaux sont clairs, plus grands
et plus confortables, leur qualité
primordiale étant qu’ils perm ettent
de réunir tout le personnel des
Services Centraux.
4
Enfin la cafeteria, au cœur de l’en­
semble, avec de larges baies donnant
sur l’extérieur, nous perm ettra de
faire une courte coupure dans la
journée de travail, en se retrouvant
dans un cadre aéré et entouré de
verdure.
Cette base aura coûté, quand tout
sera terminé, 9 millions de francs,
ce qui reste inférieur au budget ini­
tial. Elle doit améliorer grandement
les conditions de travail et les liai­
sons des différents services.
L’ancienne base paraît maintenant
petite et dépassée ! Qui l’aurait
dit il y a cinq ans, lorsque l’achat du
i
Le travail ...
vue des
bureaux
au prem ier
étage ..........
— ■ IIS - .— 1
hB kt
.Î’BH
La nouvelle base
Vue d’ensemble
.....et la détente ....
la cafétéria en voie
de finition.
Au fond on peut
apercevoir la cuisine.
terrain voisin semblait définitive­
ment suffisant pour faire face à l’ex­
pansion de FLOPETROL !
Il est vrai que la décision de regrou­
per Paris et Melun a modifié les
besoins, et que l’expansion de FLO­
PETROL, maintenant assurée de
l’appui du Groupe SCHLUMBERGER, demande des moyens nou­
veaux.
Le déménagement de Paris sur Me­
lun a posé de nombreux problèmes,
et provoqué quelques abandons. Des
éléments fidèles nous ont quittés,
en particulier à cause de l’éloignement de la Base par rapport à leur
domicile.
Nous leur souhaitons bonne chance
dans leur carrière future.
Il y a eu par contre un apport d’élé­
ments nouveaux, en particulier au
Service Financier et au Service du
Personnel, habitant tous la région
de Melun. A eux aussi nous leur
souhaitons une bonne réussite et
une longue carrière au sein de l’en­
treprise.
efficacité dans le travail, mais sur­
tout parce qu’il perm ettra de créer
des liens plus serrés entre tous les
services, de se mieux connaître les
uns les autres, et donc d ’instaurer
une ambiance de travail plus effi­
cace, plus détendue et plus agréable.
Ce regroupement à Melun représen­
te un grand effort financier. Nous
pensons cependant qu’il sera large­
ment compensé par une meilleure
5
e
d é p a rt
d e L u c ie n
B écu
Lucien Becu nous a quittés le 30
Septembre 1973 pour, nous l’esperons et le lui souhaitons, une longue
et heureuse retraite.
A cette occasion, un cocktail a eu
lieu le vendredi 28 Septembre à
Paris réunissant MM. René DELMAS
et Pierre ENSELME, le personnel
de Paris au grand com plet et quel­
ques uns de ses amis de Melun qui
l’ont bien connu au cours de sa
carrière.
En quelques mots, M. DELMAS a
retracé sa carrière de 44 années de
travail :
L. BECU a tte n tif aux paroles du P résident qui retrace
sa longue carriè r e ..........
o Jusqu’en 1939, il a travaillé dans
les travaux publics à Amiens.
® De 1939 à 1945, il a fait la guerre
en France et en Afrique et a
participé à la campagne de Libye.
• En 1946, il est parti en Tunisie
où il a travaillé jusqu’à 1956 à la
Direction des Travaux Publics
(services forages) en tant que
Sous-Subdivisionnaire des travaux
publics
L’indépendance de la Tunisie l’a
fait revenir en Métropole fin 1956
et commencer sa carrière pétro­
lière :
.....parfois avec une p ointe d’hu m o u r. La preuve en est
les sourires de L. BECU et F. BOUYS.
• Entré à FORENCO en 1957, il
y a occupé le poste d’Agent
A dministratif de Forage, succes­
sivement au Maroc, au Congo,
au Sénégal, et au Sahara.
• Entré le 1 Octobre 1961 à FLOPETROL, il a exercé le même
6
emploi à Hassi Messaoud et In
Amenas à la satisfaction de tous.
Il a été ensuite affecté au Siège
le 1er Juillet 1963 au Service de
la Paie.
Son esprit de coopération, son dé­
vouement et sa gentillesse l’ont fait
apprécier de l’ensemble du personnel.
En témoignage, et tenant compte
du fait qu’il est un fin pêcheur et a
comme “hobby” la sculpture su r
bois, une collecte faite à Paris et
Melun auprès de ses collègues et
amis, et la participation du Comité
d’Entreprise, ont permis de lui offrir
un poste à transistor qui lui agré­
mentera ses parties de pêche, tout
en perfectionnant son anglais (il
avait manifesté le désir de pouvoir
capter la BBC) et une trousse à
outils très complète pour la scul­
pture sur bois qu’il pourra utiliser
par les longues journées d’hiver
lorsque le temps ne sera pas assez
clément pour la pêche.
Très ému, Lucien BECU a remercié
le Président et tous ses amis. Il nous
a fait part de son regret de quitter
FLOPETROL à laquelle 12 années
de travail l’ont profondém ent atta­
ché. Il va s’installer à l’île d’Oléron
où il sera le gardien d’un camping.
Il nous a promis d’ailleurs de nous
faire un article dans le prochain
ECHOFLO pour nous inciter à aller
le voir !
Nous lui renouvelons tous nos vœux
pour une heureuse retraite !
Après le discours :
le m o m en t du choix
des boissons.
R. DELMAS, L. BECU
et A. CASASSUS
sem blent bien
hésitants.
E to n n é ?
Perplexe ?
Pensif ?
Mais très touché
par les cadeaux
reçus.
NEWS
FROM
DEN
DO YOU KNOW
DEN?
by
Claude Massa
Here it is, our North European
Division, presented in a “pictorial
essay”. But first of all, let us remind
you that :
• the range o f its activities includes
the British Isles, Holland, Norway,
and o f course, the North Sea.
• the main Division office is located
in London and that operational
bases are established in Great
Yarmouth (Base Manager : David
Cockburn), Aberdeen (Base Ma­
nager : David Reiss), Stavanger
(Base Manager : Jean Lannurien),
and Alkmaar.
• its “boss” is Max Tuech, and
that he is assisted in his task by
Claude Massa and Bill Delahoussaye.
• it includes a total of 47 persons,
of which 15 are French, esta­
blished with their families (except
for bachelors) in London or at
the other places o f assignment.
• that its revenues for the year 1973
are approximately S 2,500,000.
first let's visit the center of all
this activity, our London office
He has arrived at last ! ! !
We all knew Max T uech b y his friendly smile and his cane.
He knew us all by rep u ta tio n - so he arrived from H ouston
w ith his gun !
His first question on arrival in L ondon was “ H ow does
th e N o rth ern E uropean Division manage ? ”
The answer : “ We’ve fo u n d th a t p len ty o f drink is the
only w ay ! ” Bob H EN D R IX (M acco), Claude MASSA,
Bill DELAHOUSSAYE, Claude NOUBLANCHE, and
Steve CALLENDAR give a dem o n stratio n .
It also helps
to look at
th e smiling
faces o f our
longsuffering
female staff,
Irene LENISTON
and Diana HARLOW
Claude MASSA’s face
Before Max arrived
A fter Max arrived
9
Now let's be serious
and visit the bases ..
F or th e past nine years th e m ain
DEN base has been at
G reat Y arm outh.
(The b o at is positioned for
a quick “ get-aw ay” ! ) ......
.... and is m anaged since Ja n u ary
1972 by Angus COCKBURN
w ho doesn’t always look this serious !
10
As the bulk of activity in the North Sea
became more and more concentrated
in Scottish waters, we found it
necessary to build
a new base in Aberdeen ....
In June o f this year we fo u n d some land
(close to th e heliport this tim e ! )
Two m onths later, Claude and Max w ent along to
decide w here th e telephones should be located ! ! ! ! !
As y o u can see from
this latest p h o tograph,
a lo t o f w ork
has been done, an d we hope
by th e tim e
you are reading
this th a t we will have
already m oved in.
DEN
11
à
David Reiss was assigned as Manager
in Aberdeen last February ...
He prefers the salmon in Scotland
to the "poissons de sable" in Libya ...
DEN
T hat can’t
be th e answ er ! ! ! !
In Norway, Jean LANNURIEN is
our Manager. Jean has just arrived
in Stavanger from DET and compl­
ains that the weather is much better
in Britanny ! From his office in
the Norsco Oil Base, he supervises
our activities in the Norwegian sec­
tor of the N orth Sea. Somewhere
in Block 2/4 is the Phillips Produc­
tion Platform “ Gulf Tide” with
Flopetrol crews on board.
Whereas our activities in DEN are
mostly offshore, in Holland there
are a considerable number of pre­
ssure and caliper surveys carried out
on land. Jean DE HAAN helps Jean
DE LA CROIX, our representative
in Alkmaar, with administrative and
accounting problems.
Although we do not have an office
in Denmark, activities there also
come under our control. Again our
operations are mainly offshore, and
we m ustn’t forget our Gulf produc­
tion platform operators, Gavin HA­
MILTON and Mai DAVIES.
We also supervise activities in the
Celtic Sea, which we expect to
increase during the next year.
Denis HAHN,
Jo h n SHAND,
and
A drien TREN TIN I
enjoying the
Scottish sunshine.
To give you an idea of Flopetrol’s
involvement in the North Sea acti­
vity, of the 27 rigs currently drilling,
Flopetrol performs services on 21
of them.
By the end of this year, it is
expected that about 43 rigs will be
drilling in the N orth Sea, increasing
to 66 rigs by the end of 1974.
We are trying hard to get as many
of these new contracts as possible
in spite of fierce competition.
Marc VID A L
and
Angus COCKBURN
; the
leen
w arehouse.
12
And th a t’s what DEN is all about !
NEWS
FROM
DLY
by Y. DEFRANCE
Dimanche 13 Mai au soir, il y
a déjà bien longtemps, tous les
DLYstes disponibles étaient rassem­
blés dans un restaurant Tripolitain
pour un “au revoir” qu’ils souhai­
taient à deux très sympathiques Nos deux p arta n ts, au revoir Libye salut la France pour
Roland TOUPOTTE et au revoir Libye salut Canada
personnes qui quittaient la Libye pour
Florida BEKAR
après de nombreux mois, et même
années de bons et loyaux services.
Au revoir était donc dit à Florida
BEKAR, notre toute charm ante se­
crétaire qui rejoignait son Canada
natal, au revoir aussi à notre bien
bon, barbu, et hirsute Roland TOU­
POTTE qu’une nouvelle affectation
nous enlevait.
Au dire de tous, le repas était digne
d’un des meilleurs restaurants de
Tripoli et copieusement arrosé de
Pepsi Cola et Ben Gashir millésimés.
Angel MONEDERO était également
présent, lui aussi était fin prêt pour
la dernière embrassade, devant vo­
guer sous un autre pavillon sous
d’autres cieux.
Tous nos vœux très sincères accom­
pagnent donc ces “lâcheurs” dont
nous garderons tous un excellent
souvenir .
C’est m aintenant m on t o u r ......
Daniel BROGLI attaque l’histoire du
pain de glace. De G. à D. : R oland
TOUPOTTE, Florida BEKAR,
Jean Paul QUILICHINI, Y vette
BROGLI, Serge BONHOMME,
Marie-Paule QUILICHINI,
Mr. BEKAR.
Histoire drôle
dite par
Raym ond
COLLOMBEL,
mais avant
“ là où on rit” ,
Daniel BROGLI
semble avoir
déjà deviné
“ ça qui fait rire” .
Y vette BROGLI,
Serge
BONHOMME,
et
Marie-Paule
QUILICHINI
atten d en t
patiem m ent
la conclusion.
NEWS
FROM
DEO
The F lo petrol
Singapore office,
17 H arper R oad.
112 DAYS
IN DEO
by Yves GALLAND
- “Hello Reg, what’s happening ? ”
asked Henri FREYSS
- “Please send me som ebody. I
have to go on leave for two
m onths”
- “Right, w e’ll send Yves to Sin­
gapore imm ediately.”
And so, I took the next plane for
the Far East, and remained in DEO
for nearly four months.
Here are some photographic souve­
nirs of Flopetrol that I collected
during my stay .................
Welcome !
Reg HAY and
Yves G ALLAND
w ith tw o nice
secretaries,
Cindy and Elsie.
14
Well, i t ’s tim e
to get to w ork !
The tem porary
Division Manager
surrounded by Elsie,
Cindy, Mr. Soh,
and David.
F lo p etro l em ployees
reunited after their
retu rn from assignments
.........C hristian Margalef
from Balikpapan,
Joel Faget from West
Irian, and
Rens V an D er Peet
from Japan.
A nd to th in k th a t
only yesterday th ey
were 4 0 0 0 km s apart !
A nd here is
P eter B eecroft
getting ready to
leave for Malaya.
“ Y o u ’re
disturbing m y
filing ! ”
Mr. Soh protests.
15
1
Christian M argalef
counts his
fo rtu n e before
the envious
Mr. Soh.
“My T est R e p o rt
is h o n est and
tru e ”
Rens V an der Peet
swears to
Yves G alland,
w ho looks
dubious.
Jam es H ay,
Jean Paul L achenait,
and M ichel Leguay
u n d er investigation
in th e boss’s office.
16
The en d o f a
w onderful s t a y .....
Reg H ay gets
back in the
swing o f th in g s .....
........while yours
tru ly finishes up
last m in u te details
before heading
for hom e sweet
hom e.
"àaV 'YvetHuang tkept cool,
DEO
à»®
g o t behind h im and kachopped him in -the b a d
■ck, knocking 'hi;
cto®'
i\te etvet
n ijj figuring th a t faintr
,v." denever won fa ir lady, thr
g o t u p and tried
Dce saidtrie
. d i t agafnj
• o'Huang
-nd. a-gain. b ad
b ettr* '
too,p. ‘rba'n th e American.
Wihen h e got u p a secom
»olrce patrol h a d a:r
Miss H uang’
çovi
tVJ*e çjvdVt'é
vJftS
àï'"0,Mre
' s“ . \\e
-.Atrftttfï
^
r To
e \e f7
\
Üïflv- A
BACHELORS BEWARE !
................. if y o u ’re to o
persistent in w ooing an
unwilling m aiden in
Bangkok ....................
here s w hat m ight happen !
17
AOUA/£AUAft cU £
.J l^ b
<3^
€
.
a ”V
nrna^VX.
c r y i^ U )
a AT'-^CLaX 'A ^
v A IW
^<mvYV\&>> o./Vu-A>Cè
c^-o^x
ck.
'iouxi. 'VXD-IX9 0,'tteyn.cLï‘^ t < £-0L
x. <Li-t
ou_u.
.co-mÈ?^
o'u.aXfc>tt
.
-j\o~ALth-
"ncMAO
<|ua^ &Xaj%/ysfc
'w ud
'\Je / w t rU 2^>
ii^-cC"
-6-C 6 ^
Ar/Ywvnfei ^iavt<_o
, cACb-uii
£KVG\,
t
Ati>
o ~ p /\o J >
^
/rvU/Xu - *£--O-
<jvU-£-
0-*-
0-eovuxo -^ -p .
M.-vupXàJ v
^
î
x^/v^v_
^ p j\(ji
de
<L<x/vu>
rx-j\jj\sJL^8-& “Ct^crr^,
sxvo-vt
^
A jl.
c rrv
as. ' ^ X
/x x à
s^t
ü^s
or\A(^M-o_«/rvi>
ai o~ ^j v\ ^Z d
CjU/UXTYuL
/n v ^ U J >
.TVfVU^)
a X jk s
,y c r r t\,y r ^ < J >
A-.OYtVm£Jl
^
OA/w>>&<> j
0
^Ojc.
jJl
c lx .
(W O -vt
Cjax<X/v\4_
-YVo^^i
'VV/'-<n^> ^U/Vu,
icU
^
'V-Ato^^ ;
aav>vuf
^< m * i <JlS^a l^-^-<vVoLe>i-€t
CA /n^-^4 » ^jxaynyt
/)^o-7fL/m^3 'xv\À'\M-i xÜ
a tx i^ t
tuM- iUÆv<k/y\ir .aiÆcrA^A <vua ^
^w ê - ^
ojV/'CM^t" 'V o^\As^ <rr\ v<n^o~<4/ttyr
cUxrU3> xA ^to<jJb
DEO
18
&.
\£ /y te _
^0-
/VOW. -, oS juUAÆ
|J Jï(y^A
w *
^
4j<ji
-t/xjsx-'O'C^
.cyv^tTOjp
o ^ v ^ ,
i r
syv& ^ù
X
o - o ^
-
k
AXKC^vM^
W S O Ù J?
fils ')
j
avH y'V i
Jl
jfa-^
,
'ijLAJL
^v'-cma ^
oUà
' „
QAAtrnJ
sp S K ^-rx.
^ jT \< iy ^
<yw
/vv£-
II
-AJ-
,
'iU *'
5-cmx>1
z A 'l f y & V W J l - O
0^cvvv\SH>^Ld
_
)■■■
€^<xA^<VM ’
uo8u_x/V^
^xÔ i2 o ai:
rn,
a A/xu^/yii?
n /t^
-JnAA*
VV-Ü^t
S
AJjjV^AAûA/
l l
^T O JuJ:
£
fVV^Grr'^ >
:/v. claxÆC -to-xtuer)
/io, ’>t(M^ti) . (til
cLy> tJ'Y\A<yY\£irL e s r \ i
a
o^ m o *
m r< 0^
o y ^ a -k w y \
««BcvA'â^WV-.
'V - A A - l M
^
c/t^pAJBA ^rv^KAù fy-o^r/v/VynC)
*|Wu/ 'Yvo^-i-b 4yt^e/v\a<x<-«yv/ut'
ÇLuAi -Jta^'-'o^uc » "A^o-^i 6cmvmj2<!)
cLç^ c4ynxku->û Ol ^xitAsaJl, ^'''LA'3 ^wl' O-''-*'rvo-'U/û <*M37U)
^j^\0> ?£. (^-oXesvA.
; ^Az-o-ws o.VxrrvO ^vMA
_>VA
-yv'u^KUyti^. . C|xco^noV oao^o /O-orvr n-'-ê>0 <vVuæ>u
/XA/, sp,OMJ\
/X^taXXjL^ >
-yl <l\y'CXA^t 04/Vu-CCM^p- _
A -i/wjfcyn/ks iA' 04xi^cfvv'^v cki nyvXy
ïjkmA 'n.tMX) <Ju/tyvvvv(LiX0i^
5^M ^j-uoSv>,
O-4^
-t/vvCsy^
^ 7 V (^ ^
.>/tyw -
VWlVtO
jiyt'
' t ^
TTTjiA^.<^ru^vvt o_ ^0-u.ê. Al
fyy\jM>-tCjU,<£ \çfyiksiV\ÆSY\X -Ç-oA^à. <jvujt- to.
'vw 3^6^-M/vA-UhD-cu^ » X-4. d<wi3-e
>(/\cj> ^X^o^ttc-i
~ tX
r /\o ^ ^
->yv ^ <m i"
AAAX
■ <t-a
-7'
-^vu^r/*-^
-m ft/
.'sAnsjJS
^
'vr\_ jlJlku)JjLL&6<\jL4/Y\X » *£&. ^VMi-£/yrw7^i_/Vs. y
'p^-u'v /vxm^\. .M/hs, <MxL<y-fceoau2 olci~'H<>-e
i^K iTV Tnjü
^ lÊ J ^
.
Æa/l XjJbwJùi i ('anvrr*
^ q > L ^ { U .€ A ^ ^ '
OA-c6w>Ia£.
cA-Ov.ii_c>j^j>j_’x> £/t £&* djoyv\^-e^ux&
.coâ-tu/Yirua>.
&ÆAA'\£-
x£^) jiXoXJovJ^
r n o -^-L £
-^S-
& o £ e ./X J - A -
jl
b~ç/Y*JY\£
'm o m d u
£<v ruv<-t^
,.
\
■^j'lOMJV /\i/yy\JXY\A£A-
^'V j- A/tM/Vy
fr £ s j\fc
$~<&ùyu)*ju>4*o
^
< ït *
cl«,Ki>
•$. aÉ^'ioc^vî'é-
vfc.
AowùbZ>
o - c r m / y i \£À>
-^fctX/U/vt
(VuaA/fc
C ju jjS U ^ ^ A jU i
rfoo-'taJ^. ,
h <nrnjyv^ej> oMlu> a^ka
C j u U UX.Yvci
oU^
^ k o M j^ b
7f
^
-y'uj-wv
£
**L
cl ,
-^vSjfc-yrvA.?'''-®' ,>-A<v5^.
^ V JI
<7<X^
T\i^
2m
^
'YV.OMyO
. 'te/nta&S oL ^ /S vo^sÆ , Se. QuAviAW^vAAv /ynolinv w
0-^v\£^
a^M A ^îuA
>
!U
^YVl<i^ O 2. tW i/iû^
(7-
f>A^CCMA-JV
e£i?JZc
cw>nru2y
yp o X u S
^
2/)
.Cfl/V
Ç - U y X s i'iA
-
OyV\_£^)
\ J i
C'Y'-
stjl
/VI'X'USO'/l/)
■fiU/K o-^Aid -yyiyc'cL. /it?: a/cwA Ci. ^ / iAzÀ"
^
^
-a/vNux^
4
/w io/i/vua
»-c-c
-ta c o i.
I
o-A/vv^&o
-^'v\jtsnd-Ksi / v/t ■Ç'X O-fyvtûz
■€^
_/
J i/ t <oyuu.PL4^_^/
4JÊ-0 ,yyv /''J't/'
cLt-OO-*-^
'YUVUM
o-fci^o
^v\M À
^ r - j^tyvdks-
oAS<uJz ^sk/v^ A^£,ryif\iïjL 9I<vn/)
1>U. ^0U4-£U-^ .A/'/V'L
y-^OKyv\AjL
■£ tyxotxH ,
G^/ixw-OU/vv
/
<X/UrC''tVvCUfit? ?
^ , _5^o-w/v oi£W- «t -Ç. 7 îfie
(A<4-
cW>
..bAckÏû®
olfi.
/YVUlAj
aynd -yvmw) Ao'vnArv&J ^xrv^AMI)
siüAtV) "iû lo-Q|V,vu-Ê2cl<}.-î<5.. J j u v
AA, -MA
'rtT O W l
J i/t
'Co-’Tjfcoui ^VtVLC
^ U / 1' jQj i .-.lL.ï
WLCu^J-o'i'v 0-ajtjjz a/l/€-c cLe-O
.SM/e/wt ^JAoe)
I
£/
-<A^
O^J-OC.
U^t>
MU
. 2* «£
I
I . rt\?'* x t a >
L0-W>0J\>07V>I
q-^aA own,m£-° • ^A-^fccv,
iA. r'-6/vat\<2/L
^aJ*/>vcx/utV-.
o jZ/loviA wjiKAisp
^
\^b-
o^-oJLc
Gilles et
son papa
un jour
de reposQue la plage
est b e l l e .....
et le
chapeau
aussi '.
G illes et son grand ami
par A. DAURIS
FLOPETROLIER
EN
POLYNESIE
Le Pétrole mène à tout et pourquoi
pas à Tah i ti ! ..... Je n’y suis pas
allé en boa, ni à vélo, comme dans
la chanson, mais en avion militaire
avec la bénédict i on et l’habilitation
du Commissariat à l’Energie Atomi­
que.
La Polynésie française est située
dans l’Océan Pacifique; elle com­
prend cinq archipels (de la Société,
des Marquises, des Australes, des
Gambiers, et des Tuam otu) grou­
pant 130 îles d’une surface émer­
gée de 4000 k m2. Les quatre pre­
miers archipels réunissent des ües
hautes, d’origine volcanique - les
volcans sont tous éteints - au relief
montagneux et tourm enté, coupé de
profondes vallées et arrosé de
nombreux cours d’eau* souvent tor­
rentiels; les Tuam otu sont des îles
basses ou atolls formées d ’une cou­
ronne coralienne entourant un la­
gon.
A l’aéroport de FAA, un représen­
tant du Centre d’Expérimentation
du Pacifique me remit le collier de
fleurs traditionnel, en lieu et place
d’une belle Vahinée à demie vêtue
dont je rêvais .... Oui, le Tahiti de
Bougainville, de Segalen, a bien
changé et l’im pétueux Gaugin serait
bien mal loti (Pierre) pour trouver
les modèles dépouillés de ses ta­
bleaux, car ici les poitrines ont
commencé à se couvrir, à l’heure où
elles se découvrent en France !
L’installation du Centre d’Expéri­
m entation du Pacifique et le tou­
risme ont tout changé. Papeete n ’est
20
Le D ieu de la Guerre
polynésien co n fro n té au
cham pignon atom ique
grâce au x m ains
expertes de J. Marie REVEL.
plus une Sous-Préfecture propre à
inspirer le “sous-préfet aux Champs’’
les parkmètres y foisonnent et le
stationnement y est aussi problé­
matique qu’à Paris, avec 35 000
voitures pour 120 000 habitants,
les scooters y sont rois, to u t cela
pour une route de ceinture bitumée
de 120 kms, avec peu d’embranche­
ment faisant le tour de l’île. Elle
est plus jolie en partant par la côte
est, direction Mahina et revenant
par la côte ouest Punaauia, dixit
un Popaa (blanc implanté).
Les transports en commun à Papeete
se font par des trucks pittoresques.
Faites bien attention à ne pas co­
gner la tête au toit très bas, ne
soyez pas effrayés par la vue des
guirlandes de thon et poissons mul­
ticolores accrochées à l’arrière et
n’ayez rien à redire aux cris des
petits cochons installés sur la galerie,
un chapelet d’injures aussi nom­
breuses que variées s’abattrait sur
le pauvre Frani (nouvel arrivant)
que vous êtes, avec, en prime, un
large sourire innocent. Je voudrais
ici vous en donner quelques échan­
tillons : Réré = homosexuel; Hupipi = pet de haricots; Maau =
cocu jaloux; Uré iri = verge sans
peau.
Entre cinq et six heures du soir,
le truck est aussi abordable qu’un
wagon de métro de 2ème classe à la
même heure, entre Vincennes et
Neuilly, seulement .... on rit beau­
coup plus.
L’accès à la mer est souvent ma­
laisé en raison des propriétés privées
multiples, installées en bordure de
plage; les affiches vous m ontrent
les “ white sand beach” .... Allon­
gez-vous en sortant de l’eau sur le
sable et vous serez aussi “black”
que du charbon.
Des excursions sont possibles, à
pied, dans la montagne, dans les
vallées plus ou moins sauvages, le
plateau de Taravao (paysage se rap­
prochant de la Normandie) et puis
il y a Morea, île à 9 miles marins
de Tahiti, accessible par air mais
sa découverte par bateau est un
émerveillement, ses lagons, ses pe­
tits embarquadaires, sa végétation
luxuriante, lieu assez sauvage don­
nant une idée du Tahiti d ’antan,
mais hélas déjà méditerranéisé par
les bons soins de M. TRIGANO.
protons et champignons nucléaires
est une autre histoire ........ top
secret ..................
A l’aéroport, au départ, il y avait
toujours aussi peu de vahinées mais
beaucoup plus d’amis, chacun m ’a
passé un collier de coquillages (l’ex­
portation de fleurs étant interdite
par l’Amérique de Nader) ........
c’est la tradition. L’amitié se compte
au nombre de colliers et certains
n ’y voyaient plus, “l’amitié est aveu­
gle” . '
J ’ai repris l’avion à cocarde baptisé
“ Esterel” , nom aux résonances de
vacances, et tout bien pesé, entre
l’autoroute du même nom et les
20 000 kms aériens, je choisis la
première, elle est bien moins chère
et donne autant de satisfaction
quant à sa destination.
Un vétéran du C.E.P. m ’a conté
une bien curieuse histoire qui mérite
d’être rapportée ici : on ne frappe
pas monnaie dans certaines îles
Sous le Vent mais l’on enferme un
cochon sauvage dans une cage, le
privant de to u t mouvement, ses
deux défenses s’allongent jusqu’à
former des anneaux qui auront d’au­
tant plus de valeur que les extré­
mités se referm eront ou non sur les
racines. La spéculation sur ce type
de monnaie devenant rare est très
intéressante.
Mon séjour à Pururoa, à l’hotel
“ La Casemate” aux menus inchan­
gés de salade de neutrons et de
21
OIL DRAGON
Nouvelle unité pour les essais de puits offshore
VESSEL CHARACTERISTICS
Overall
length
: 208’
Moulded breadth
Operational
draft
Main engines
Dead w e i g h t
Displacement
: 34'
: 6'7"
Speed
: 590 tons
: Two 4-headed Saadragon burners mounted on a
single 70' long bconi
Total capacity 20,000 B0PD
WATER PUMPS
: Two 120 HP Sulzer pumps with Caterpillar engine
Capacity 530 GPM at 380 psi (each)
AIR COMPRESSOR
: 135 HP Atlas Copco
425 cu.ft./min at 100 psi
features
bow thruster
- A i r c o n d i t i o n e d a c c o m m o d a t i o n f o r 18 p e r s o n s in
the brid g e s u p e r s t r u c t u r e w h i c h forms a gast i g h t citadel
- Oil d i s p e r s a l e q u i p m e n t :
. two out rigger booms mounted forwards
. p o r t a b l e d i s p e r s a l e q u i p m e n t to be
c a r r i e d in t h e t o w i n g l a u n c h
- O u t s i z e b i l g e keel
f or vessel
H
M m
22
BURNING
: Two Stamford generators C.30 type each pr o d u c i n g 90 KVA - 440 V 6 0 Hz a t 1 8 0 0 r p m
- Omni-directional
•
: Rheem Super i or - F^S-proof - 72" x 25'
1440 psi W.P. - 3 ohases
Capacity 20,000 B0PD oil
30 MMSCF/D gas
: 12 k n o t s a t 6 0 0 r p m
N avigation e q u i p m e n t : Gyro compass Sperry.
Magnetic
c o m p a s s . A u t o - p i lot S p e r r y .
Radar : Kelvin Hughes
and Sperry, gyro stabilized.
M a r i n e radio: HF/MF S.S.B 400 watt output, multi-channel.
VHF.
Echosounder.
Special
SEPARATOR
: 1 100 tons
T wo GM engines 16-278 A type 1440 HP each at 720 rpm
Alternators
PRODUCTION EQUIPMENT
I
•
I
« M '
s t a b i l i z a t i o n __________
OIL RE-INJECTION : 100 HP Gardner Denver, Triplex PE 5
PUMP
42 GPM at 3,300 psi
SURFACE SAFETY
VALVE
CHOKE MANIFOLD
: 4" OTIS Type U - HgS-proof - 5000 psi W.P.,
with High-low pilot
3" - 5000 psi W.P. - H 2S-proof
P. ENSELM E
en discussion avec
un des participants.
“OIL DRAGON” est un navire de
1100 tonnes appartenant à Oil Inchcape Limited, loué par Flopetrol
pour effectuer des essais de puits
offshore dans le Golf Persique pour
le compte de l’Abu Dhabi Marine
Areas Limited.
Les installations ont été faites à la
demande et sous le contrôle de
Flopetrol, en utilisant les techni­
ques les plus avancées dans le do­
maine des essais de puits. Il était
nécessaire de m ontrer à nos clients
notre dernière réalisation, une visite
fut donc organisée le 28 juin 1973.
Le jour dit à l’heure prévue, 2
avions affrétés par Flopetrol, l’un
en provenance de Londres, l’autre
de Paris, ayant à bord 65 ingénieurs
représentant 25 compagnies pétro­
lières internationales, atterrissaient,
sous une pluie battante, sur la piste
de l’aérodrome de Rotterdam. L’in­
quiétude commençait à grandir au
sein de l’équipe Flopetrol, car la
réussite de cette manifestation était
liée au facteur temps.
Au mois de Juin tous les espoirs
sont permis, le temps de se rendre
en cars de l’aérodrome au port de
Rotterdam et d’écouter la conféren­
ce de M. Freyss, sur les caractéris­
tiques techniques et les avantages
d’utiliser un navire de ce type, le
temps s’améliora et ce fut sous le
soleil que commença la visite de
l’OIL DRAGON.
INAUGURATION
DE
L'OIL DRAGON
A ROTTERDAM
par O. BAILLATZ
Promenade sur la poutre du brûleur.
H. FREY SS et J. FRA NC avant d’être photographiés par un client.
Tous nos invités s’égaillèrent sur les
ponts; certains préférant une vue
d’ensemble, d’autres s’intéressant à
des problèmes techniques spécifi­
ques, d’autres encore amateurs de
sensations fortes furent attirés par
les 2 batteries de 4 brûleurs se
trouvant en bout de la poutre de
20 mètres de long; il ne fallait pas
être sujet au vertige !
Après une heure et demie de visite,
les installations n ’avaient plus de
secrets pour personne et chacun put
donner ses impressions au cours du
déjeuner offert par Flopetrol dans
une auberge campagnarde à quelques
kilomètres de Rotterdam.
23
une
d ©
Maman (B. G A U TIER ) discute ...
Papa (A. G autier) p o uponne ....
Quel beau tableau de famille !
<4 Ü ' ' à r t j @
ampagne
Toutes les mamans le savent bien un nouveau-né apporte beaucoup
de bonheur, mais aussi beaucoup
de travail. Avec quel plaisir appré­
cie-t-on alors l’occasion de pouvoir
so r tir, s’amuser, et surtout, bien
manger, tout en laissant la cuisine
et la vaiselle aux autres !
L’ap é ritif est servi dans le ja rd in
p en d a n t que le repas se prépare.
24
C’est effectivem ent ce que nous
avons fait, mon mari, ma petite fille
Deborah, âgée de deux mois, et moimême, le 9 Juin dernier, lorsque
nous primes la route pour le Châ­
teau d’Aunoy à Champeaux, à l’oc­
casion du méchoui FLOPETROL.
C’était en plus une excellente op­
portunité pour retrouver les amis
de bureau et de me mettre au cou­
rant des derniers potins de la société
avant de reprendre le travail.
Malheureusement, nous sommes ar­
rivés avec pas mal de retard; on
n’avait pas encore appris qu’avec
un bébé il faut s’y prendre bien à
l’avance pour arriver à temps !
Mais peu importe, on est quand
même arrivé au bon m oment, alors
que tout le monde se mettait à table,
et nous avons trouvé une place de
choix dans la salle à manger pavée,
très jolim ent aménagée, dans une
cour intérieure et entourée de ver­
dure, auprès de Gérard et Monique
MICELI,
Danielle et Jean-Pierre
CHEVALIER, Yvette SEVRE, et
Robert COUANON.
Malgré les caprices du soleil qui
jouait à cache-cache, la pluie si
redoutée ne s’est pas manifestée, et
tout le monde, soulagé, s’est apprêté
à manger. Quand on a passé, comme
moi, toute sa vie de l’autre côté de
l’Atlantique, on n’a pas d’idée très
précise sur ce mystérieux repas au
nom exotique, que les “anciens” du
Sahara décrivent toujours avec un
respect et une ferveur quasi religieux.
C’était donc avec beaucoup de curio­
sité (et un peu d’inquiétude peutêtre) que je goûtai aux brochettes
de m outon grillées, au couscous,
aux merguez ......... Les deux pre­
mières bouchées peuvent surprendre
par B. GAUTIER
un palais non-initié, mais après la
troisième on commence à apprécier,
et à la quatrième, on en raffole !
Bien entendu, tout ceci était copieu­
sement arrosé de quelques tonneaux
bien choisis. Mais ne pensez pas que
nous avions oublié la petite Deborah
- comme le mouton ne la tentait
pas, un garçon compréhensif avait
fait chauffer son biberon à point, et
elle aussi était de la fête.
Le repas terminé, tout le monde
s’est dirigé vers la cour extérieure
pour goûter les fraises et le café.
Nous eûmes juste le temps de finir
avant que Deborah ne se m ette à
manifester énergiquement le désir
de retrouver le calme de la maison;
nous sommes donc partis sans pou­
voir participer au concours de bou­
les.
Nous étions tous les trois très
contents de notre sortie, pourtant
courte - mon mari, d’avoir bien
mangé, bien bu, et beaucoup parlé;
moi, d’avoir retrouvé des amis et de
leur avoir présenté notre fille; et
Deborah, de “ses débuts dans le
monde”.
On n ’est jam ais aussi bien servi que par so i-m ê m e........
A. GUIM ARD, J.P. RIB E Y R E , J. P. M U LLER et M. MAUGUIN
le prouvent en allant au to n n eau .
En cours de r e p a s ....
Y. D ELA V ERG N E, L. BADIN,
P. ABORD HUGON et H. FREY SS.
J. BLASCOT, M. D ’A ZEV ED O ,
et A. DE SOTO
entourés de leur famille.
I
Les stagiaires
nigériens p articipaient
aussi à la Fête.
La fin de la jo u rn ée :
C oncours de boules
P. CAYUELA et
R. MASSIANI ont été
les h eureux gagnants
et o n t em porté en guise
de p r i x .........une
trip le tte de boules chacun.
m e -ife .
de JsSirtje
am pagne
AFFECTATION
DE PERSONNEL
OPERATIONNEL AU 31 AOUT 1973
DIVISION ALG ER IA
D IV IS IO N A R G E N T IN A
CLOUET André
BARTHES Michel
N A V A R R O Jean
CHASTEL Maxime
LE FEVR E André
V IC IA N A Emile
BEN Simon
C A M IC E L Georges
CREPEAU Alain
D E V O U C O U X Gérard
G U A Y Daniel
G A U M E Francois
GO U B E R T Bernard
JA U N A Y Michel
KU H N Christian
KER N E IS J. Noël
L E M A IT R E Michel
PRADES Alain
R EYNES René
B O U S IG U E S André
F E R R IG N O Janvier
B IZ E René
B O U Q U E T Claude
CR O S Jean
K E L L E R Alain
LO P E Z Jacques
R A Y N A U D Claude
DIVISION LIBYA
D E FR A N C E Yves
C O LLO M B EL Raym ond
LASCAUX Christian
PR IG E N T Jean
BROGLI Daniel
BLAAS Alexandre
BR U N ET J. Pierre
BEVERCOMBE John
C H A FFA R D José
D E R E Y M E Z Léon
FD N T O V A Raymond
LA N C 0IS Daniel
Q U IL IC H IN I Jean
R U IZ José.
DIVISION NIG E R IA
E X B R A Y A T Jacques
G O LD SC H ILD Pierre
JU R K IE W IC Z Stanislas
B E N N EH A R D J. Pierre
B A TA IL LE J. Claude
C 0 N T IN I J. Claude
CANLER Pierre
DA NTON Jean
DUBENT Albert
DE S A N F E L IC IA N O Alain
H U M B LET Maurice
LACOSTE Jean
LABUSSIERE Jean
PLUCHON Christian
BOIG Maurice
BONNARD J. Marc
B A R B ED ETTE Alain
BRUMAS Marius
CASTE L Michel
D A N EY Pierre
D YDE Anthony
EVANS Charles
EVANO Joseph
FR O M O N T Pierre
FE R R IE Hugh
FO UG ER A IS Daniel
G U IEZE Paul
G R O H M A N N Herbert
HENDERSON Peter
HEPP J. Charles
JEANNE Philippe
LA Z ZA R O TT O Alain
LYNN Kenneth
M ERCIER Gilles
MARCHE Guy
M U M FO R D David
M E N N ETE A U Michel
PELISSIER Max
ROUND Bernard
ROUND Anthony
ROBERT Claude
SANS Jacques
T U C E LL A Mariano
V O L A N T Marcel
V A U D O U R Paul
V O LLE Gérard
W H ITW O R TH Christopher
CASTEL J. Claude
D IV IS IO N N OR TH EUROPE
D E L A H O U S S A Y E Warren
D E L O U V R IE R Jacques
J O H N S T O N Douglas
M A S S A Claude
B R O U C A R E T Francis
B R A M L E Y G eoffrey
C O C K B U R N David
C A B A N IS Henri
D A B U R O N Claude
D U S U A U D E LA C R O IX Jean
L A N N U R IE N Jean
L A P L E IG N E Jean
N O U B L A N C H E Claude
P R A S L IC K A Jean
R E ISS David
S M IT H John
S C R U B Y Brian
S E L F John
T O U P O T T E Roland
V ID A L Marc
B E S T E L Guy
B U L T IT U D E Ralph
B R E IT L IN G A rm in
B O N N IE R D om inique
C L A R K E Edward
D A V IE S Richard
D A V IE S M aldw yn
D A R B Y Kevin
F U L L A R D David
G O O D W IN Paul
G A R N IE R Yann
H O S K IN Ian
H A M IL T O N Gavin
H A H N Dennis
LO N G R obert
L Y O N S Barry
N IC H O L A S Richard
P A R K IN Terry
PR EE C E Thomas
P O S K IT T Leonard
R IC H E S Paul
R O M E R Yves
S IM M O N D S Roger
S H A N D John
T R E N T IN I Adrien
W O R T H IN G T O N W illiam
W IL L IA M S Fred
D IV IS IO N WEST A F R IC A
L A G U E R R E Roger
B R IG N O L L E Jacques
A D E R Eloi
C H IB O IS Jean
D R A P P IE R Henri
F A G E T Pierre
G O U S S A R D Christian
G U IT T A R D Lucien
G O U T Christian
H E L D E R L E Paul
LE D U C Serge
M O U R G U E S Paul
R O U S S E A U Paul
Z A R D I Elio
B U ISSO N Marcel
B U R L O T André
C A S T E X R obert
C O U D E R C Léonce
F IO R E Guy
K R A K O W IA K Gustave
L A M O U R Marc
L O N G A T T E Daniel
L H O M M E J. Claude
L E G R A N D Lucien
R IB E S Max
T O R C A T IS Guy
T O U R T E L O T Jean
V O T T C H A L V alentin
W O Z N IA K Germain
D IV IS IO N M ID D L E EAST
P O L L A K Alexandre
P O L L A K Pierre
B O U S S A T Philibert
C O R D IN G L E Y Gerald
D U C H A D E A U André
G A S P A R IN I Raym ond
G E N E S T E Jacques
G R E G O IR E R obert
H U IS M A N Cornelis
K O P IE T Z Peter
L E C L E R C Marc
LE C O A D O U J. Pierre
L A C A T T E François
L A R T IG U E Jacques
M O N T O Y A A ntoine
M E N G U A L Yves
M IL L O N F R E M IL L O N
Francois
M A U R IC E Yves
P R O N G U E Jean
R O S E M P L A T T Jean
R IC H O U Jacques
R O L Michel
S O U F F R IN Roger
W IL L A IM E Roger
A V R IL L O N Alain
B E R T H E T R A Y N E Christian
B O IT E U X Eric
D E L U M E A U Gérard
E V E N A T Alain
F E R D IN A N D Daniel
G A U D IN Guy
G A U C H E R A N D Bernard
H U B N E R Pierre
H U A R T Claude
HESS Dick
H IG D O N Ronald
J A U Z E L E A U Christian
L A R C H E V E Q U E Daniel
LA K Sies
O T T Werner
P R IG E N T Yvon
P A R IS J. Claude
P IN A U D Michel
P E R Q U Y Claude
R O M B O U T Caspar
S IN D A L L Richard
S A L M O N John
T R IN C K L IN Gérard
T A L B O T T Robert
W H IT E H E A D Stephen
D IV IS IO N FAR EAST
H A Y Richard
C O LS O N Bernard
G A L L A N D Yves
A T T A L René
B L O N D E A U J. Claude
B O N D A Z Charles
B E R G E J. Claude
B E E C R O F T Peter
B E A U B O U E F Robert
ID E L O T Daniel
M A R G A L E F Christian
P IO L L E T Paul
S M IT H Philip
W E N D L IN G E R Francis
A U G U S T E Marcel
A N T C Z A K Edward
B L E D Jean
B R U E N S Bernard
C A IL L Y Alain
C H E S N E L Rémi
F A G E T Joël
H A Y James
L E G U A Y Michel
L A C H E N A IT J. Pierre
M A Y E R Reinhard
W R IG H T Harry
D IV IS IO N FRANCE
C O STES J. Pierre
G O B IN O T Freddy
M A N G IN Michel
T A M IA T T O Claude
B O IS S Y Pierre
B O ISSO N Gérard
C A P O A N I J. Marc
C A L M E T Serge
C A R IO U Serge
D E N IS J. Jacques
G A U T A R D Guy
G A R R A B O S Claude
L E P IC A R D Michel
M A T U S Z A C Jean
M E N E E C Lucien
P L E D Y Jacques
P O R TE Daniel
R A IG N E A U Bernard
R O S IE R Pierre
R U IZ Claude
V O G E L S B E R G E R Gaston
C A L L E W A E R T A ndré
D IV IS IO N FRANCE
FOREIGN
M A C K E N T H U N Eric
O L L IE R J. Pierre
T U E C H Max
J A F F E U X J. Pierre
A R IF J. Pierre
B L A S C O T Joseph
B A D IN Léopold
B O N H O M M E Serge
C A R O L Pierre
D A U R IS Alain
F E V R E J. Pierre
H U R A U L T René
J O N IK Jean
M E L T O N Bryant
V IT E T Jacques
A L O Y Yves
D O N I AS Jacques
G O E H R Y Charles
J O Y E U X Gérard
M O S S E T André
P IT A N C E André
V A N D E R P E E T Laurent
B A J E N A R U Annie
S A C C H E T Anne
PERSONNEL NON
A FFECTE
OU EN F O R M A TIO N
B E R N A B E U Isidore
A R N O U L T Pierre
C A N O François
F L A O René
L E R O U X Auguste
L U N E T André
L A N C E Y Jean
M IS IA K Richard
O P T E N Jan
V IC IA N A Jean
Y O U N G S H ubert
R U IZ Gabriel
S C H N E ID E R J. Claude
V E N T U R IN Osvaldo
27
G E FF A R D Hilaire
6.8.73
D essinateur
PER EZ A ndré
6.8.73
C hef d’A telier
CASTEL Jean Claude
15.6.73
O pérateur
V E N T U R IN Osvaldo
1.7.73
O pérateur
BECHEMIN René
1.9.73
A djoint Tax Manager
SOLLIEZ Sally
18.6.73
Secrétaire Bilingue
V O LLE G érard
15.6.73
O pérateur
EVANO Joseph
15.7.73
O pérateur
FO U RC O T Jean Jacques
25.6.73
C om ptable
HORNBY K eith Sheldon
20.9.73
Electricien
D ERRE M arguerite
24.9.73
C om ptable
RAY N AU D Claude
1.8.73
Ingénieur
NOUVEAUX
petite
annonce
28
A CH A RTR ETTES, b o rd de Seine
avec em barcadère privé, p etite villa à vendre.
Séjour, cham bre, salle d ’eau, cuisine, garage,
ja rd in planté - 100.000 F
C o n tacter Mme. G A UTIER.
Le prem ier Texan
de FLO PE TR O L !
Stéphane V IT E T né le 9 /7 /7 3
Quel regard a t te n d r i..........
A ndrés V EN TU RIN
né le 2 0 /7 /7 3
Dans les bras de sa m am an
Sandra TORCATIS née le 2 5 /6 /7 3
c-ht
Je>\C
Vù<*1 ÇA'IC f*Mt
<
Lt_(a* « s î /c f.eu\
Il fait de beau x rêves
Alexandre JA FF E U X né le 11 /7 /7 3
A
j JLs
A j s . ' o.ï Y
cMaru>Uu M a in cJ)ul>'ïeiul et cUaclarne
née c lla'itine Gio.ci'iJ.çu.et dont keu.tie.ux d e
oaaô annancek. La. naîM anœ de ieu ï (Llle
1, ÇJtue dflùeit 1er94190 cl9il.lpnpiine-<%Jt-rÿpo'tqo.,
%iw£.-...SÜXtvcm£..
Sandra VOLANT née le 10/6/73
Anthony PEYRIDIEU né le 2 2 /7 /7 3
Nicolas LACOSTE né le 2 /8 /7 3
Yvan TOUPOTTE né le 2 1 /9 /7 3
Eric FOURCOT né le 2 1 /9 /7 3
■\V>.
„■»&
..et.
©ote 4
c’ S'
%CU^U\.rjm-r. A«x-
-)
1
2
4
3
5
«
u
28
30
29
50
43
52.
a
ACROSS : 1. Belief - 6. Kind of
sauce - 10. June honorees - 14. Of
birds - 15. Money changing - 16.
Organ reed stop - 17. Corklike wood
18. Safecracker - 19. Departed - 20.
Certain roofer - 22. Some verse 24. Waikiki cooking pits - 26. Gives
a new value to - 27. Aerial battle 31. Company excee. - 32 “ —league
onward” - 33. Seed covers - 35.
May honoree - 38. Loads for freigh­
ters - 39. W ithout emotion - 40.
Dandy - 41. Letter - 42. Thicket 43. Met features - 44. Calendar abbr
45. Colorful fliers - 47. Peter or Paul
51. Petty or hard itetn - 52. Exhaus­
30
■
«
40
■
59
1
65
36 3?
”
43
mb4
58
■ 35
1
23
42
48
12 13
10
39
41
11
?
m
34
33
38
Horizontalement. 1. Elle traverse
une chaîne. 6. C’est exagéré ! 10.
Ind igne d’un cordon bleu. 14. Une
réprimande. 15. Ce préfixe intéresse
l’U.T.A. 16. Le nom de ce pays
rime avec celui de sa capitale. 17.
Un joyeux fantaisiste prénommé
Marcel. 18. C’est imiter 1 agneau de
la fable. 19. On a chanté ceux de la
marine. 20. Refoulé. 22. Une dent
malade peut l’être. 24. Homère
l’était. 26. Exposés à l’ennui. 27.
Imitera Figaro. 31. Un général mal­
heureux. 32. Devant celui qui va à
contre-courant. 33. Albert et Robert
en fournissent à Gilbert. 35. Certain
peut voler. 38. Apre. 39. Il faut par­
fois le payer. 40. Tel devrait être
pour vous ce problème de mots
croisés. 41. Sous une petite balle.
42. Administrés. 43. Une oie sau­
vage. 44. Article. 45. Interdits aux
poids lourds. 47. C’est vraiment très
fort. 51. Des fruits secs. 52. Des
vents. 54. Le vingtième est le nôtre.
58. Ses pattes sont nombreuses.
59. Les Mormons y abondent. 61.
Napoléon n ’aimait pas ce bas bleu.
62. La couleur l’agrémente. 63. Pré­
nom du m etteur en scène des “ Dieux
du stade” . 64. Allongé. 65. Trois
autres ont précédé la nôtre. 66. On
peut l’entendre en Ecosse. 67. Mmes
Faure et Devillers.
3
1
21 ■ 1
25
■
32
MOTS CRO ISES
8
«
20
47
7
i
1
1?
27
6
45
46
■ 1
63 1
54-
60
56 5?
61
§
64
63
É6
SS
£
§
6?
l’œil. 53. Préposition privative. 55.
Il ne fut pas tendre pour son cadet
56. Dans le Cher. 57. Colonie pho­
céenne en Italie. 60. Dame ou de­
moiselle manipulée par un costaud.
ted - 54. Hardy - 58. Wing, in
Paris - 59. Library item - 61. Word
with jerry - 62. Court entry - 63.
“ — my duty” - 64. Honshu peak 65. Ivoty in the raw - 66. Galba’s
predecessor - 67. Adjust.
Verticalement. 1. Le dernier dispa­
rut en 1918. 2. Dans l’eau ou sur des
rails. 3. Shakespeare naquit sur ses
bords. 4. Entre la France et l’Italie.
5. Passent par la porte. 6. Le chêne
le produit. 7. Parfois artificiel. 8.
Avant les forêts. 9. L’enfance de
lard ... 10. Pour éviter les flaques.
11. Egalise. 12. Il s’en prend aux
bateaux. 13. Ces baies ne sont pas
vitrées. 21. Ville des Pays-Bas. 23.
Elles n’ont parfois qu’un sens. 25.
Imiter le petit Poucet. 27. Portion.
28. Troublée. 29. Il y en a dans la
mer. 30. Secondes. 34. Souvent éle­
vées aux courses. 35. Sinistre messa­
gère pour la cigale de la fable. 36.
Fatiguer. 37. Suis sous les drapeaux.
39. Dégrisé ... 40. ... après en avoir
abusé ? 42. Vous et moi. 43. Ce
peut être jeter de l’huile sur le feu.
44. Défavorisées, 46. Possessif, mê­
me la tête en bas. 47. Singe. 48. Lier.
49. Ville ou tissu. 50. Travailler à
DOWN : 1. Relatives of sole. 2. Ellipsoidal - 3. Western m onster4. Large dogs - 5. Lack of vigor :
Var - 6. Thing to make in the suns­
hine - 7. Like some cheese - 8.
Harshness - 9. Stubbornly - 10.
Turned-down leaf - 11. Halt prema­
turely - 12. Recipient - 13. Blinds,
in falconry - 21. Export of Mideast 23. Cape —Nez, France - 25. Quick­
witted - 27. Red Sea transport -‘28.
Bladelike, old style - 29. Kind of
club - 30. Appointm ent - 34. Of the
intestine - 35. Stubborn one - 36.
be in bad — 37. Kind of jacket 39. Jargon - 40. Place for wayward
husbands - 42. Cunning - 43. Win­
dow part - 44. — as a kitten - 46.
Cole - 47. Acclimatize - 48. French
soldier - 49. Girl watches - 50. Wear
away - 53. Norse god - 55. Oran­
gutan - 56. Egyptian girl dancer-57. Suffix for gyro or rheo - 60.
Ancient Tokyo.
SOLUTION ANGLAIS
SOLUTION FRANÇAIS
0«9N
3 3 N 3 y
s m
138 9b
VWI V 9 V
a i a i v 316 3b I13
1 3V1S
3 W 0 1
3 1 IV
11 I O S
3 1 9 3 1
s v w O HI
XtiV 3 m 900
S±
3 1 I S Od V
H9 V 0
Sb3 I 1
90 V
s » a 9 V NV I
S O I OS
3Sd 00
3 A M a 3 S NV
3 S
I V
k TAbO
a a o 0
9
s
n
g
S
HOW
S 1 d V V d 1 VH
3
3
9
0
a
I
0
1
H
9
I
d
a
s 13 m
S 31 V b 3 b
S ON I
3 3 SOb
1 3b 3 9 9 0 0
« 3 1 V 1 9
S y V9
3 N 0 9 9 9 3 A. V S 1 V 9
O I9 V N V IA V N Vb i
309 0
VW 9 0 0 v i v a
9 0 V <3 0 b VH
3
IN 3 “I
3 s y
HV I n
S SN o s
09
3
N3S
S 3b
1 IQ3
3W l b
1 Vb
39
3
03 N
b3 IN
Ob 3 V
dOb 1
SM
9a
3 9
a
3
IN
3 N9
3 ^ 3
1 3 1
10 I
now
IN I
3 31
a o b
o w v
I 3d
0 3 V
3b 1 N3 b
I N OHV
N 0 A VS
3 Wv b i
jtS
SBSk
aaMslahKMBs
“ iS p ’
s e c t .! o ü
loi
sin s
.M v e r s o s activité:; ont cto créées au sein du COMITK JVff.î.'TJlBPJîISJî. .Los personne
intéressées peuvent se renseigner auprès des Responsables.
PXSCIHE de KVJ.UJ? e t FOET/JEEilLBÀÏÏ (j-îrac* BAJEiïARü)
-
-
Tickets à prix réduit pour grandes personnes (1,50 P) et enfants (l P ) .
CUMfl-ÎA (Mr GO M E Z )
Possibilité de Jouer un ensemble complet de projection sonore
(projecteur sonore 8 - s / 8 -i- écran -i films sonores)
Loc-ati on :
O
projecteur -i écran
2. )
1 film s / 8
en semaine (l jour)
Week-end
5 P
10 P
sonore ( 2 0 mn de projection)
1 P
5 ) visionneuse 8 - s / 8 -i colleuse électrique
1 P
K
TEHNIS (Mr IïAZIZA)
‘
.
•
A compter du 15 Octobre jusqu'au 15 Avril 1 9 7 4 5 une section Tennis débutera.
Le court couvert de I-ÎELUÏÎ est à la disposition des intéressés suivant ces
horaires :
Lundi de 18 II à 19 H
' Jeudi de 21 H à 22 II
Samedi de 15 H à 16 H
Dimanche de 9 H à 10 H.
- Participation potir la saison 30 F par personne
- Utilisation de chaussures neuves imposée par le Tennis Club
- Début des réservations des courts : 1er Octobre.
VOLLEY (Mr LROUX)
S'adresse à tous ceux qui éprouvent le besoin de se dépenser physiouer.ent. et
se défouler après les heures de bureaux, des rencontres Inter Professionnelle;’
,
sont prévues.
•.
Toutes les bonnes volontés sont admises
Un terrain réglementaire est prévu sur la nouvelle base.
___
à