Vivre La chirurgie réfractive

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Vivre La chirurgie réfractive
N°03 - DÉCEMBRE 2012
A
Vivre
Vivalt A
Clinique
Santé
de la Côte d’Émeraud
CLINIQUE SOURDILLE – NANTES
La chirurgie
réfractive
A
Formation
Recherche
A
Vivalto Santé grandit, au service de tous.
Focus
Edito
Traiter le décollement de rétine : quelle urgence ?
Dans beaucoup de pathologies une prise en charge
rapide peut changer un pronostic. C’est souvent le
cas en ophtalmologie mais, comme nous le verrons
dans le Focus de ce numéro 2 du journal Vivre Vivalto
Santé, la réussite du traitement d’un décollement de
rétine dépend aussi de beaucoup d’autres facteurs.
Les résultats de la chirurgie ophtalmologique
continuent de progresser grâce aux innovations
techniques constantes. La chirurgie réfractive visant
à corriger les anomalies optiques en est un des
meilleurs exemples. Avec maintenant près de 2000
procédures par an, la clinique Sourdille apporte plus
qu’une chirurgie de confort à ses patients dans les
conditions les plus performantes.
L’avenir passe aussi par le travail en réseau et
ces transformations conduisent à de nouvelles
organisations pluri-professionnelles ; la prise en
charge de la basse vision en est un exemple.
Le changement n’a qu’un objectif : répondre aux
attentes grandissantes des patients. Nous devons
nous efforcer de raccourcir les délais de consultation
ainsi que la durée des hospitalisations quand cela
est possible. Les patients veulent plus que jamais
une médecine efficace mais aussi accessible et de
proximité.
Ce sont là des enjeux que la communauté médicale
de la clinique Sourdille souhaite relever ; nous y
reviendrons prochainement…
Dr Bruno CISNEROS
Président de la CME
Mr Thierry TELLIER
Directeur Général
Tous les décollements de rétine (DR) doivent-ils
être traités en urgence ? « Dans la théorie, oui,
répond Jean-François LE ROUIC, ophtalmologue à
la clinique Sourdille. Mais dans la pratique, il existe
différents types de DR, qui ne relèvent pas tous du
même degré d’urgence ».
Ainsi, le DR rhegmatogène (secondaire à une
déchirure ou à un trou rétinien) nécessite un
traitement chirurgical rapide afin d’obtenir la
meilleure récupération visuelle. L’atteinte de la
macula dicte le degré d’urgence pour opérer. Mais
lorsqu’elle est soulevée, il n’existe pas de différence
de récupération visuelle si l’opération intervient dès
le premier jour de soulèvement ou au cinquième.
Il existe également des DR d’évolution lente,
comme certains DR inférieurs, ou les DR par trou
atrophique, qui peuvent progresser sur plusieurs
mois. En revanche, un DR supérieur ou un DR par
déchirure géante évolueront plus rapidement. Ainsi
certains DR avec macula non soulevée nécessitent
un positionnement immédiat et doivent être
opérés sous 48 heures, quand d’autres peuvent être
programmés dans les quinze jours sans pénaliser le
résultat.
Dans le cas de DR complexes, surtout ceux
compliqués de prolifération vitréo-rétinienne, il est
nécessaire de planifier l’intervention. Cela permet
de disposer d’une plage opératoire suffisamment
longue, de sortir des instruments peu utilisés et de
travailler avec des infirmières expérimentées.
Enfin, la rapidité d’intervention dépend parfois
de contraintes pratiques, liées à l’organisation
de la clinique. « La prise en charge urgente des
DR n’améliore pas nécessairement les résultats
en comparaison avec une chirurgie planifiée
après positionnement, souligne J.-F. LE ROUIC. En
revanche, elle entraine un surcoût de 25 %. Tous
ces éléments doivent entrer en ligne de compte
pour décider du degré d’urgence et de la nécessité
d’intervenir rapidement. »
Décollement de rétine supérieur
bulleux pouvant progresser rapidement
nécessitant un positionnement
et une intervention rapide.
Décollement de rétine chronique avec
présence de cordages sous rétiniens
blancs pouvant être opéré sans urgence.
Décollement de rétine complexe
avec développement de membranes
de prolifération vitréenne nécessitant
une intervention planifiée car longue.
Actualités
La rééducation de basse vision se développe
à la clinique Sourdille
Le centre de basse vision de la clinique Sourdille
a réalisé près de 1200 bilans en 2011. Xavier
ZANLONGHI, ophtalmologue, en est le responsable.
« Plus que le seuil d’acuité visuelle, nous prenons
en compte l’atteinte fonctionnelle du patient dans
ses tâches et activités quotidiennes (déplacement,
lecture, coordination oculo-manuelle, mémoire
visuelle), ainsi que son état dépressif ou son repli sur
soi ». L’ophtalmologue travaille en binôme avec un
orthoptiste. Le premier pose le diagnostic et évalue
les lésions, tandis que le second liste les capacités
et difficultés du patient. Leur bilan permet d’initier
une rééducation de basse vision. « Une centaine
a été réalisée à la clinique Sourdille en 2011,
souligne X. ZANLONGHI. C’est une activité que nous
souhaitons développer ». Son objectif : apprendre au
patient à utiliser la partie extrafovéolaire de sa rétine
et à tirer le meilleur parti des aides visuelles. D’autres
professionnels interviennent dans cette prise en
charge multidisciplinaire : opticien, ergothérapeute,
instructeur en locomotion, psychologue, gériatre,
assistante sociale, etc. La Haute Autorité de
Santé (HAS) a récemment souligné l’intérêt de la
rééducation basse vision chez les patients atteints de
DMLA. X. ZANLONGHI était l’un des experts chargés
de rédiger ces recommandations.
Agenda
Pour nous contacter :
Clinique Sourdille
3, place Anatole France
44 000 Nantes
Tel : 08 25 74 35 44
www.clinique-sourdille.com
Les décollements de rétine opérés avec une machine
équipée d’une pompe Venturi subissent 2,9 fois plus
d’échecs que s’ils sont opérés avec une machine à
contrôle du débit (p=0,006). C’est ce que la EVRS
RD Study, la plus grosse étude mondiale jamais
réalisée sur le décollement de rétine (7678 cas
envoyés par 180 médecins de 48 pays), a démontré
en 2011. De la même manière que nous avons dû
apprendre les techniques de phaco-émulsification
lorsqu’elles ont montré leur supériorité par rapport à
l’extracapsulaire, nous devons maintenant apprendre
les techniques de vitrectomie avec contrôle du débit
d’aspiration.
Une série de cours (limités à 40 participants)
avec chirurgie en direct le matin et
présentations pratiques l’après-midi est mise
en place par l’AFCA (www.aspirationflowcontrol.
org). La première aura lieu à la Clinique
Sourdille le 23 mars 2013.
Dossier
Point de vue
Dr Pierre BLAIN :
« La chirurgie réfractive corrige les anomalies optiques de l’œil »
Quelles sont les indications de la chirurgie réfractive ?
Sur quels principes repose l’intervention ?
« La chirurgie réfractive a pour but de corriger les anomalies optiques des yeux que sont la myopie, l’hypermétropie,
l’astigmatisme et la presbytie. Il s’agit d’une chirurgie de confort non obligatoire qui n’est pas remboursée par la
sécurité sociale. Pour être opérable, le défaut optique doit être stable depuis au moins un an.
La méthode chirurgicale la plus employée est le LASIK (acronyme de Laser ASsited Intrastromal Keratomileusis). Elle
a été mise au point il y a plus de 20 ans. Elle consiste à modifier la courbure de la cornée située à la surface de l’œil. »
Comment se déroule l’intervention ?
« L’opération dure une dizaine de minutes pour chaque œil, et ne nécessite pas d’hospitalisation. Habituellement,
les deux yeux sont opérés le même jour. L’anesthésie est topique, uniquement par collyre. Après l’intervention, une
sensation d’irritation est normale les premières heures. La reprise d’une activité professionnelle est possible dès le
lendemain.
Dans un premier temps, le chirurgien réalise un volet cornéen superficiel. Dans un deuxième temps, ce volet est
soulevé pour sculpter la cornée située dessous, puis reposé. Ces deux étapes sont réalisées grâce à deux appareils
laser. Leur précision est extraordinaire : de l’ordre du micromètre, soit du millième de millimètre. »
Quels appareils utilisez-vous pour réaliser cette chirurgie réfractive ?
« La clinique Sourdille est le seul centre de Loire Atlantique à disposer d’un laser femtoseconde. Celui-ci permet de
réaliser un volet cornéen de géométrie parfaitement prévisible, bien centré, stable et fin. Cette étape était auparavant
réalisée avec un microkératome, appareil mécanique moins précis et d’utilisation plus risquée. Grâce à la précision du
laser femtoseconde, nous pouvons traiter des défauts optiques plus importants, tout en respectant une plus grande
épaisseur de cornée intacte sous le volet.
Le laser Excimer sculpte ensuite la cornée, en modifiant très précisément la courbure de sa surface. C’est cette étape qui
corrige la vision. La clinique Sourdille dispose d’un laser Excimer de dernière génération, qui permet des traitements
personnalisés guidés par aberrométrie. Cette méthode tient compte de toutes les aberrations optiques de l’œil opéré :
elle permet d’améliorer la précision de la correction et la qualité de la vision finale. Ce même laser Excimer a d’ailleurs
été homologué aux USA pour corriger la vision des membres de l’US Air Force et des astronautes de la NASA… »
Cette opération est-elle fréquente ?
« La chirurgie réfractive par LASIK bénéficie de l’amélioration continue de la technologie des appareils lasers utilisés.
Elle est ainsi devenue encore plus précise et fiable, ce qui explique l’augmentation importante du nombre de personnes
opérées depuis quelques années. Ainsi, à la Clinique Sourdille, le nombre de procédures annuelles est passé de 800 il y
a 5 ans à environ 1900 actuellement. Grâce à cette opération, il est possible de bien voir naturellement sans lunettes
ni lentilles, donc sans contrainte et avec un champ de vision aussi grand que nature ! »
NB, infirmière,
« Les patients viennent pour une intervention
de type LASIK en externe, comme pour une
consultation. L’opération a lieu au bloc opératoire, elle dure moins d’une demi-heure pour
les deux yeux, puis les patients se reposent
une autre demi-heure avant leur départ.
Nous expliquons au patient le déroulement
de l’intervention, le temps de les installer et
de leur appliquer le collyre anesthésiant. Ils
ne sont pas particulièrement angoissés, d’une
part car ils sont motivés (ils sont là par choix),
d’autre part car ils ont pris un anxiolytique
avant de venir pour se détendre.
J’ai été formée pour régler les appareils laser
et vérifier qu’ils fonctionnent bien. Je suis
chargée des tests, qui doivent être réalisés
régulièrement. Pour obtenir la correction
voulue, le chirurgien calcule les paramètres
du traitement à partir des examens préopératoires. Je les entre dans la machine avant
chaque traitement, puis le médecin procède à
une vérification finale.
Les patients sont généralement très satisfaits
par le résultat. Avec la technique LASIK, la
vision revient très vite : parfois en une heure,
au plus au bout de quelques jours. Certains
patients parlent même de miracle ! »
Préparation du volet cornéen
au laser femtoseconde
Image Laser excimer VisX
Praticiens effectuant de la chirurgie réfractive à la clinique Sourdille :
• D L. STORK
• Dr PY. SANTIAGO
r
• Dr E. MÉHEL
• Dr JM. MÉGROZ
• Dr PL. BOUCHE
• Dr P. BLAIN
• Dr C. ALBOUY
Eclairage
MP, chef d’entreprise
« Un travail technique en évolution permanente »
« Je portais des lunettes depuis une vingtaine d’années à cause d’une
myopie. Autour de moi, de nombreuses personnes ont fait corriger
leur vision : j’ai été tentée d’en faire autant. L’excellente réputation de
la clinique Sourdille m’a encouragée dans cette idée. J’ai donc pris
rendez-vous pour une première consultation en mai avec le chirurgien.
J’en suis sortie rassurée par ses explications. Pourtant, de nombreux
doutes subsistaient : peur d’avoir mal, angoisse de la complication,
réticence relative au coût de l’intervention… J’ai hésité, demandé un
délai de réflexion, pour finalement me décider. L’opération a eu lieu le
28 septembre, sur les deux yeux : elle s’est extrêmement bien passée.
Ce fut beaucoup plus simple que je ne l’avais anticipé ! L’infirmière et
mon spécialiste ont été très rassurants, en m’expliquant tout étape par
étape. Dès la sortie de la clinique, soit une heure après mon arrivée,
je voyais parfaitement bien sans lunettes ! Mis à part une sécheresse
des yeux et une sensibilité à la lumière, qui devraient disparaitre d’ici
quelques semaines, j’ai déjà presque oublié que j’ai été opérée… »
LE GROUPE
Avant-propos
La gouvernance partagée : notre profonde conviction
Le Groupe Vivalto Santé s’est construit dès le
départ sur une idée forte : celle de la communauté
d’intérêts de tous ses actionnaires, qu’ils soient
médecins ou investisseurs.
Concrètement, le Groupe s’est doté d’instances
mixtes, où chaque corps participe aux réflexions
et aux décisions stratégiques.
La première est le conseil d’administration de Vivalto Santé, où les représentants
élus des actionnaires médecins siègent aux côtés des investisseurs institutionnels.
C’est là que se discute l’intégration de nouveaux établissements, que se choisissent
les investissements clés, que se dessinent les grandes orientations stratégiques, que
s’approuvent les comptes, etc.
La seconde instance est multiple, puisqu’il en existe une dans chaque clinique
du Groupe : c’est le Comité de Direction Médicale. Composé du Président de la
Commission Médicale d’Etablissement, de praticiens élus, du directeur général de
la clinique et d’un représentant de Vivalto Santé, il se réunit mensuellement pour
aborder tous les sujets relatifs à la vie de la structure. Organe peu formel, il est le
lieu de discussion où s’élabore le nécessaire consensus entre les points de vue des
médecins et des investisseurs.
Ce Comité de Direction Médicale est spécifique au Groupe Vivalto Santé. Il symbolise
la gouvernance partagée, cette « troisième voie » inventée pour s’affranchir des
inconvénients d’un actionnariat tout médical ou tout financier. Nous voulons éviter
l’écueil de la financiarisation. Car si la rentabilité reste un objectif nécessaire, elle
n’est pas notre unique finalité. Nous ne perdons jamais de vue que nous sommes
investis dans le domaine de la santé : les médecins sont là, acteurs incontournables
du Groupe, pour nous rappeler que nous œuvrons ensemble au service des patients
et de leur désir d’être bien.
Daniel Caille, Président du Groupe Vivalto Santé
Paolo Silvano, Secrétaire Général du Groupe Vivalto Santé
Recherche et Innovation
Actualités
Journée scientifique et « sportive » à St-Malo Le Groupe Vivalto Santé intègre
Quelques 80 médecins et cadres des cliniques du Groupe Vivalto Santé avaient deux nouvelles cliniques
répondu présents à la journée scientifique du 9 juin dernier à St Malo. Le thème
en était « L’oncologie du XXIème siècle ». Daniel Caille a introduit les débats en
rappelant la place des cliniques du Groupe dans la prise en charge du cancer sur
leurs territoires de santé.
Trois prestigieux intervenants se sont ensuite succédés pour délivrer des
conférences de haut niveau, dont le public a apprécié la qualité scientifique.
En premier, Véronique Diéras, oncologue spécialiste
du sein à l’Institut Curie (Paris), a exposé les grandes
évolutions des traitements anticancéreux survenus ces 20
dernières années. Des chimiothérapies cytotoxiques non
sélectives et des stratégies empiriques des années 1990,
l’oncologie a évolué vers des thérapeutiques ciblées.
La tendance est au développement d’une médecine personnalisée, utilisant des
biomarqueurs prédictifs pour optimiser les choix thérapeutiques. Plusieurs outils,
basés sur des analyses génomiques, existent d’ores et déjà pour aider l’oncologue
à la prise de décision.
En second, Christophe Massard, oncologue à l’Institut
Gustave Roussy (Villejuif), s’est exprimé sur la nécessaire
évolution des études cliniques précoces (ou études
de phase I). Alors que près de 900 molécules sont en
développement, il devient crucial que les progrès récents
de la biologie moléculaire soient intégrés aux protocoles.
L’objectif est de réaliser une sélection plus rigoureuse des patients en fonction de
leurs biomarqueurs, afin d’améliorer les résultats des études tout en renforçant le
bénéfice clinique et la qualité de vie des patients inclus.
Vivalto Santé poursuit sa croissance. En
juin dernier, la polyclinique de Kério à
Pontivy a rejoint le Groupe, suivie dès
le mois de juillet par la clinique SainteMarie de Châteaubriant. Vivalto Santé
compte donc désormais 8 établissements
dans la région du Grand Ouest (Bretagne,
Pays de Loire et Basse Normandie).
Le Groupe souhaite s’appuyer sur le bon
potentiel des cliniques pour recruter de
nouveaux praticiens et élargir l’offre
de soins médicaux et chirurgicaux. Les
deux nouvelles arrivées bénéficieront
du réseau des cliniques du Groupe, en
particulier du CHP St Grégoire et de la
clinique ophtalmologique Sourdille.
La mutualisation des expériences et
la complémentarité des compétences
sont au cœur de la stratégie du Groupe.
Objectif : développer la confiance des
patients et des médecins prescripteurs,
afin de garantir aux patients le meilleur
parcours de soins à proximité de leur lieu
de vie.
Lancement du site internet corporate
du Groupe Vivalto Santé
Pour mieux faire connaître sa philosophie Nous vous invitons à vous y connecter dès
et son projet de gouvernance partagée,
aujourd’hui via l’adresse ci-dessous :
le Groupe Vivalto Santé a décidé de créer
www.vivalto-sante.com
un site internet corporate.
Nous vous souhaitons une bonne
Vous y retrouverez toutes les informations
navigation sur ce site.
générales sur le projet du Groupe et son
actualité ainsi que des informations synthétiques sur chacun de ses établissements.
Pour conclure cette matinée studieuse, Patrick Auffret,
médecin nucléaire au CHP St Grégoire, est intervenu
pour expliquer les principes de l’imagerie par PET-scan et
démontrer sa grande sensibilité à partir de cas cliniques.
De fait, cette technique s’est imposée dans le cadre de la
cancérologie, aussi bien pour le diagnostic que pour la
mesure de la régression des tumeurs après chimiothérapie et l’évaluation des critères
d’opérabilité. Par ailleurs, P. Auffret a présenté des images de PET-IRM rapportées
d’Allemagne. L’équipe de médecine nucléaire du CHP St Grégoire projette de s’équiper
de cette technique de pointe d’imagerie moléculaire dans un futur proche.
L’après-midi, changement de décor : les participants à la journée scientifique ont régaté en baie
de St Malo sur six vieux gréements, avant de se
retrouver le soir pour un cocktail dinatoire sur la
frégate corsaire « l’Étoile du Roy ». L’ambiance était
à la détente, à la convivialité, mais également aux
échanges et à l’esprit d’équipe. Une belle occasion
pour tisser des liens au sein du Groupe Vivalto Santé.
@
Echo Media
LE TELEGRAMME - 4 juillet 2012
« Polyclinique de Kério – Construire l’avenir »
OUEST-FRANCE - 12 juillet 2012
« Châteaubriant : Vivalto Santé rachète la clinique »
LE POINT - 23 août 2012 /
Relayé par France 3, le 24 août 2012
« Hôpitaux et cliniques, le palmarès 2012 : Rennes Saint
Grégoire, numéro 1 »
Baromètre
Activité Oncologie Vivalto Santé sur le territoire du Grand Ouest
78%
65%
22%
CHIRURGIE DES CANCERS
Autres établissements
Vivalto Santé
En nombre d’interventions, source PMSI 2010
*
Vivre Vivalto Santé – Numéro 3– Décembre 2012
Directeur de la publication : Paolo Silvano
Directeur de rédaction : Thierry Tellier
Comité de rédaction :
Caroline Debuck - Laurence Volmier – Gabrielle Cordier - Isabelle Crosnier
Agence communiqués
PHARES & BALISES (Web Radio) – Le 28 octobre 2012
Interview d’Olivier Schmitt et d’Eric Dupont-Bierre (CHP
Saint-Grégoire) suite à la création de la nouvelle unité
ambulatoire
« La création de la nouvelle unité ambulatoire « touten-un » est basée sur un projet médical réfléchi, avec
une participation importante des médecins dans le
développement de ce nouveau process de chirurgie
ambulatoire. Un temps de passage plus court des
patients et la réactivité accrue des médecins répondent
ainsi à des enjeux majeurs de santé publique ».
Rédaction et Réalisation : Agence Communiqués
Maquette et Impression : Gosselin Graphic RCS Rennes 480 918 366
Photos + crédits : Clinique Sourdille, Thinkstock, ©M.Ollivier, ©Ludivine Viguié
35%
CHIMIOTHÉRAPIE*
Autres établissements
En nombre de séances, source PMSI 2010
*
Imprimé avec des encres végétales sur papier FSC
(Reboisement des forêts)