L`AS400

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L`AS400
L’AS400
1. PRESENTATION DE L'IBM AS/400
1.1 L'HISTORIQUE DES MINIS D'IBM
Gammes
date commercialisation
modèles 3 (3-6, 3-8, 3-10, 3-12, 3-15)
années 1970
modèles 32
1975
modèles 34
1978(1er conversationnel)
modèles 36
1983(dont le dernier en 1987)
modèles 38
1980
AS/400
juin 1988
1.2 LES GAMMES DES AS/400
Depuis la sortie des 6 premiers modèles (B10 à B60) en juin 1988, IBM a ajouté successivement
plusieurs séries : les séries C D E et F (en 1993).Chaque série, depuis la B, a été complétée ou est
composée de 3 grands types : 9402, 9404 et 9406 qui correspondent chacun à une taille de machine
et à un type d'entreprise ciblé. Début 94, sortie d'un modèle AS/400 portable : le 9401 (9kg, H
32cm, P 40cm, L 10,5cm).
type 9401
type 9402
type 9404
type 9406
taille machine
portable
meuble sous bureau
idem 9402 et un peu
plus grand
armoire ou "rack"
1 ou plusieurs
destination
SSII et
agents IBM
petites entreprises
PME/PMI
grosses PME/PMI et
grandes entreprises
nombre de
postes maxi
1
200
500
4800
taille disque
maxi
mini
2,06 GO
1,03 GO
7.904 MO
988 MO
19.670 MO
988 MO
251,7 GO
1,9 GO
taille mémoire
maxi
mini
16 MO
8 MO
40 MO
8 MO
80 MO
8 MO
1536 MO
16 MO
1
Tous ces modèles sont parfaitement compatibles et sont regroupés sur le tableau ci-dessous:
date annonce
modèles du type 9402 modèles du type 9404
juin 1988
modèles du type 9406
B10 B20
B30 B40 B50 B60
1989-1990
C04 C06
C10 C20 C25
B35 B45 B70
avril 1991
D04 D06
D10 D20 D25
D35 D45 D50 D60 D70 D80
mars 1992
E02 E04 E06
E10 E20 E25
E35 E45 E50 E60 E70 E80
E90
1993
F02 F04 F06
F10 F20 F25
F35 F45 F50 F60 F70 F80
F90 F95 F97
septembre 1993 serveur de réseau 100
mai 1994
Advanced Series
200 20S(serveur)
février 1995
Advanced Entry
5 modèles 9401
1998
E Series
serveur de réseau 135 140
Advanced Series
300 310 320
30S(serveur)
150, 170 , 6XX
Avec processeur RISC
A partir de la série D les modifications suivantes ont été apportées :
•
augmentation sensible de la puissance
•
portabilité des applications sur gros système et sur PS
•
communication avec d'autres constructeurs (BULL, DEC, HP, APPLE)
•
diminution des temps d'accès disque (inférieur à 15 ms)
•
diminution du prix des machines entrée de gamme de chaque type
2
La gamme AS/400 de septembre 93, serveurs de réseau a été conçue pour répondre aux besoins
d'architecture CLIENT-SERVEUR des entreprises. Elle est composée de 3 modèles, et offre les
caractéristiques suivantes :
•
système OS/400 identique aux autres AS/400,
•
adaptateur réseau local en standard : pour Token Ring, Ethernet, FDDI et SDDI,
•
mémoire de 16 à 512 MO,
•
disque de 988 MO à 47,2 GO,
•
périphériques divers : lecteur disquette 5p25 ou 8p, dérouleurs bande, ...
La gamme AS/400 Advanced Series offre les caractéristiques supplémentaires suivantes :
encombrement réduit, même pour les modèles 9406,
nouveau processeur E/S serveur de fichiers,
nouvel adaptateur intégré FAX, qui remplace 2 télécopieurs autonomes.
Les possibilités HARD des AS/400 :
processeur
128 bits - 1 à 12
mémoire RAM
de 32 Mo à 20 Go
disques
internes et externes - nouveau disque 3,5p maxi 2 To (mod. 650)
disquette
format 8 pouces (sur 9404 et 9406)
format 5 pouces 1/4 HD (sur 9402 et 9404)
bandes
cartouches de 120 MO à plusieurs GO
et chargeur de cartouches, bandes
bandothèque automatique (sur 9404 et 9406)
disque optique
réinscriptible ou WORM - simple ou double densité (658MO ou 1,3GO)
batterie de secours
en option sur 9402 - en standard sur 9404 et 9406
communications
connexion à réseau local (Token Ring, Ethernet, FDDI, SDDI)
liaison téléphonique, liaison Transpac
Advanced Series : maxi 128 lignes de comm. (9406)
postes de travail
terminaux passifs, micros ordinateurs, imprimantes lignes, matricielle,
laser
Rappel : MO = Million d'Octets
octets (mille milliards d’octets)
GO = Giga octets (1 GO = 1 milliard d'octets)
TO
=
Tera
3
Prix : environ 80.000F pour l'U.C. du modèle entrée de gamme (F02) , environ 150.000F avec
quelques postes de travail et les logiciels de base.
Le modèle d’entrée de gamme de la nouvelle série (Advanced Entry) coûte environ 43.000F, le
modèle serveur environ 59.000F (source : L.M.I. 24/2/95).
Nombre d'AS/400 installés en 1998 : environ 500.000 dans le monde), dont 50.000 en France.
Il est prévu encore un certain nombre de migrations du 36 vers l'AS/400 car les sites équipés de
36 sont encore nombreux : environ 12.000 en France (source : L.M.I. 10/94).
2. LE LOGICIEL
2.1 LE SYSTEME D'EXPLOITATION : OS/400
Ce système est un système propriétaire, qui est identique sur tous les modèles AS/400 du plus
petit au plus grand.
C'est le seul système pouvant fonctionner sur l'AS/400.
Il est actuellement (début 98) en version 3.20 pour les processeurs CISC et en version 4.30 pour
les processeurs RISC.
Il occupe sur disque environ 400 à 1000 MO selon les versions.
Les caractéristiques et les fonctionnalités de l'OS/400 :
•
système d'exploitation multitâche
•
langage C.L. : Control Language, qui contient plus d’un millier de commandes
•
S.G.B.D. de type relationnel intégré
•
gestion du télétraitement intégrée
•
sécurité intégrée (notion de profils d'utilisateur)
•
aide en ligne, accessible à tout moment
•
les menus "ASSISTANT"
•
un certain nombre d'utilitaires :
SEU = Source Entry Utility, éditeur qui permet de saisir et de maintenir les programmes (en GAP,
COBOL, ...).
SDA = Screen Design Aid, aide à la Création et à la Maintenance d'Image-écran,
4
PDM = Product Development Manager, gestionnaire de développement de logiciel, c'est la boîte à
outils du programmeur
RLU = Report Layout Utility, utilitaire de maquettage d'états
DFU = Data File Utility, Utilitaire de Création et de Maintenance de Fichiers, , c'est un éditeur qui
permet de saisir et de maintenir des fichiers de données
QUERY = utilitaire d'analyse de fichier : sélection, tri, récapitulation, listes
EDU = logiciel d'auto-éducation, en français
SQL = langage d'accès à la base de données : interrogation, liste, mise à jour, ...
Q et R = Questions et Réponses, logiciel qui permet de gérer des questions et réponses en interne
entreprise et en externe avec une base de données d'IBM
BGU = création de graphiques
AFP = Advanced Functions Printing
2.2 LES LANGAGES DE PROGRAMMATION
Les plus utilisés sur l'AS/400 sont :
•
RPG
•
COBOL
•
C
les moins utilisés :
•
PL1
•
BASIC
•
FORTRAN
•
PASCAL
2.3 LES LOGICIELS
Ci-dessous quelques exemples de progiciels de gestion et d'utilitaires du marché :
Liaison micro (PC et PS sous DOS ou OS2)-AS/400 : PCS (avant la V3.1) et CLIENT ACCESS d'IBM (à
partie de la V3.1)
Liaison micro (stations IBM, SUN et HP sous UNIX) : PROGRAM/400 d'IBM
Interface d'émulation graphique entre fichiers AS/400 et applications sous Windows : RUMBA d'IBM
Bureautique : OFFICE VISION d'IBM
5
Gestion de production : MAPICS d'IBM
Gestion d'archives et courrier sous forme d'image : IMAGE/PLUS d'IBM
Comptabilité et paie : BAG400 de PROGIPART
Gestion commerciale : MINOS 400, BUSINESS 400, LIN 400 de PROGIPART
Atelier de Génie Logiciel : SYNON, ADELIA
Système intégré de gestion : EUROSOFT
Compta paie gestion commerciale : SPOT 400
2.4 L'ESPACE DISQUE
L'AS/400 peut contenir un ou plusieurs disques physiques (15 par exemple) : mais pour l'utilisateur
ces disques différents forment un seul espace disque. C'est le système qui réparti et gère cette place
disque.
Cet espace disque est organisé de la façon suivante :
•
tout ce qui est installé sur le disque s'appelle un OBJET : un objet peut être un programme
compilé, un fichier de données, un document, une requête, une file d'attente, un fichier de
programmes source etc., un OBJET est l'unité de base du disque.
•
les OBJETS sont rassemblés logiquement en ensembles nommés BIBLIOTHEQUES.
Attention : une bibliothèque n'est pas un espace disque réservé et n'a pas de taille définie.
Chaque OBJET est unique et est reconnu par le système grâce à :
•
son nom (10 car. maxi)
•
son type
•
le nom de la bibliothèque à laquelle il est OBLIGATOIREMENT rattaché
Les différents types d'objet : fichier, programme compilé, profil utilisateur, file d'attente, description
d'unité, ...
Le type d'objet fichier source contient plusieurs programmes sources. Chaque programme source
est appelé membre. Il n'y a pas d'objet programme source.
Chaque objet est localisé par le système, à l'aide de son adresse physique sur le disque : n° de
disque, n° de piste, n° de secteur.
Les bibliothèques correspondent en général à une application : par exemple une bibliothèque pour
la comptabilité, une pour la gestion commerciale, etc. Ce sont les bibliothèques utilisateur :
gérées par les utilisateurs, leur nombre n'est pas limité.
6
Le système d'exploitation est lui aussi regroupé en bibliothèques système (qui lui sont
réservées):
QSYS
QSYS2
QUSRSYS
QHLPSYS
...
ainsi que les utilitaires et langages :
QRPG : compilateur GAP
QCBL : compilateur COBOL
QQRY : utilitaire QUERY
QSQL : langage SQL
...
Certaines sont définies par défaut par le système : QGPL, d'usage général et vide au départ, QTEMP,
créée automatiquement à chaque JOB pour la durée de ce JOB.
Les 2 dessins qui suivent donnent un exemple de la "partie utilisateur" d'un disque, la partie système
n'étant pas représentée. En effet les bibliothèques du système sont entièrement gérées par ce
dernier, les utilisateurs n'ayant aucun accès à celles-ci.
•
l'espace disque physique avec ses objets :
fichier données
CLIENTS
fichier prog.
sources
PAISOU
prog.compilé
PAIE01
fichier données
prog.compilé
PERSONNEL
MAJCLI
prog.compilé
PAIE02
fichier prog.
sources
GCOSOU
prog.compilé
liste de la
MAJART
bib. GESCOM
liste de la
bib. PAIE
7
•
l'espace disque logique avec ses bibliothèques et ses objets :
bibliothèque
PAIE
bibliothèque
GESCOM
fichier données
prog.compilé
CLIENTS
MAJCLI
prog.compilé
MAJART
fichier prog.
sources
PAISOU
fichier prog.
sources
GCOSOU
liste de la
bib. GESCOM
fichier données
liste de la
PERSONNEL
bib. PAIE
prog.compilé
PAIE01
prog.compilé
PAIE02
Les objets "liste de la bib. GESCOM" et "liste de la bib. PAIE" sont des objets de type "bibliothèque".
Ils contiennent seulement la liste des noms des objets de chacune de ces bibliothèques. Ces objets de
type "bibliothèque" sont entièrement gérés par le système.
Les noms des objets : tous les noms qui commencent par la lettre Q sont des noms d'objets fournis
par IBM. Il faut donc éviter de donner des noms qui commencent par cette lettre.
La technique du nom qualifié : lors de l'utilisation d'un objet, il faut indiquer au système dans
quelle bibliothèque il se trouve (on peut avoir des noms identiques dans des bibliothèques
différentes). Pour cela le nom de l'objet sera précédé par le nom de la bibliothèque à laquelle il est
rattaché : par exemple l'objet CLIENTS de la bibliothèque GESCOM : GESCOM / CLIENTS
2.5 BASE DE DONNEES
La base de données de l'AS/400 est de type relationnel et respecte ces 2 principes :
•
toutes les données sont dans des tables de base
•
des vues logiques des données peuvent être créées
Sur l'AS/400 les tables de base se nomment FICHIERS PHYSIQUES, les vues logiques FICHIERS
LOGIQUES.
8
Les fichiers PHYSIQUES sont de 2 types :
un fichier REPERTOIRE qui contient la description de chaque zone et sert de référence pour
la description de tous les autres fichiers physiques. Il ne contient pas de données.
•
exemple :
NOCLI 6/0
"numéro de client"
NOMCLI
30
"raison sociale du client"
RUECLI
30
"adresse rue du client"
VILCLI 24
"bureau distributeur du client"
CPOCLI
5/0
"code postal du client"
CATCLI
2/0
"catégorie de client"
...
NOART 5
"numéro article"
LIBART
25
"désignation article"
...
•
les autres fichiers, qui sont composés chacun de 3 parties :
la description
le chemin d'accès
la partie données
Par exemple le fichier PHYSIQUE des CLIENTS contient : le format FCLI, l'index NOCLI et les
DONNEES des clients.
La partie DESCRIPTION :
•
fait référence au fichier REPERTOIRE
•
définit la position des zones (c'est le format)
•
est à fournir une fois pour toutes
•
fournit une vue constante du fichier à tous les programmes
•
sera utilisé par les fichiers logiques
exemple :
9
format
FCLI
NOCLI
NOMCLI
RUECLI
VILCLI
CPOCLI
CATCLI
...
Le chemin d'accès :
•
ordre dans lequel le fichier sera lu
•
représenté par un index non obligatoire
•
si index : accès dans l'ordre des clés (ou dans l'ordre de création des enreg.)
•
si pas d'index : accès uniquement dans l'ordre de création des enreg.
•
index composé d'une ou de plusieurs zones, qui ne sont pas forcément contiguës
exemple :
clé
NOCLI
chemin
5 4 1 2 3
La partie DONNEES :
exemple :
nocli
nomcli
ruecli
vilcli
cpocli
catcli
1
03500
DUPONT
30 bd Jodino
VENISSIEUX
69300
05
2
03550
PIERROT
4 rue des Alouettes
CORBAS
69400
04
3
04200
TOTO
ZI des Entredyn
VALENCE
26000
02
4
01000
HADDOCK
Château Tintin
MOULINSART
04500
04
5
00980
LOISEAU
15 av des Sables
VILLEURBANNE
69100
05
10
Les fichiers LOGIQUES
Ce sont des vues sur les données des fichiers physiques. Ils sont utilisés par les programmes.
Ils ne contiennent pas de données, ils puisent celles-ci dans les fichiers physiques.
Ils sont composés chacun de 2 parties :
•
la description
•
le chemin d'accès
La description ou format :
•
fait référence au répertoire
•
définit les zones, mais pas forcément toutes les zones du format du fichier physique
Le chemin d'accès :
•
peut être différent de celui du physique
•
permet la sélection de tout ou partie des enregistrements
exemple :
format : NOCLI NOMCLI VILCLI CPOCLI
chemin d'accès :
clé
CPOCLI - NOCLI
sélection 59999 < CPOCLI < 69999
chemin
5 1 2
3. MISE EN OEUVRE
3.1 DEMARRAGE DE LA MACHINE ET DE LA SESSION
Le démarrage de l'AS/400 qui s'effectue sur le panneau de commande de l'unité centrale, se nomme
IPL (Initial Program Loading) ou PCI (Programme de Chargement Initial) : avant de lancer cet IPL,
mettre en route le clavier-écran qui se trouve en général à côté de l'UC et qui fait fonction de
console. Il est préférable de mettre aussi en fonction l'imprimante (ou les imprimantes).
Cet IPL peut durer assez longtemps (une demi-heure, ou plus). Il est donc conseillé de ne pas
éteindre la machine tous les jours : l'AS/400 ne sera mis hors fonction que le vendredi soir par
exemple.
Les claviers-écrans ne peuvent commencer à travailler qu'après la fin de cet IPL.
11
Le clavier-écran mis en fonction et l'IPL terminé, une image-écran d'ouverture de session apparaît
OUVERTURE
Système ............ : Sxxxxx
Sous-système .... : QINTER
Ecran ................ : DSPxx
Utilisateur .................................. ____________
Mot de passe ............................. ____________
Programme/procédure ............... ____________
Menu ......................................... ____________
Bibliothèque en cours ................ ____________
Les informations du coin supérieur droit de l'écran sont gérées par le système.
Utilisateur : nom de l'utilisateur ou du groupe d'utilisateur, défini précédemment.
Mot de passe : apparaît si la sécurité (niveau 20 minimum) a été installée sur le système.
Les informations utilisateur et mot de passe sont à renseigner avec les instructions données par le
responsable sécurité du système.
Programme/procédure : nom d'un programme ou d'une procédure à exécuter obligatoirement en
début de session, et dont l'effet restera jusqu'à la fin de session.
Menu : nom du menu qui apparaîtra après validation de cet écran.
Bibliothèque en cours : nom de la bibliothèque qui sera la bibliothèque de travail pendant la
session.
Les informations programme/procédure, menu et bibliothèque en cours sont facultatives. Si
elles ne sont pas fournies, l'écran suivant apparaît (après validation de l'écran d'ouverture) :
12
MAIN
AS/400 MENU PRINCIPAL
système:nnnn
Choisissez l'une des options suivantes
1. Tâches utilisateur
2. Tâches bureautiques
3. Tâches générales du système
4. Fichiers, bibliothèques et dossiers
5. Programmation
6. Communications
7. Définition ou modification du système
8. Identification des incidents
9. Affichage d'un menu
10. Assistance utilisateur et formation
90. Fin de session
Option ou commande :
===> __________________________________________________
_______________________________________________________
F3=Exit F4=Invite F9=Rappel F12=Annuler F13=Assistance
F23=Définir menu initial
Ce menu contient toutes les grandes fonctions prévues par le système : en fonction des droits
accordés à chaque utilisateur, seulement certaines options apparaîtront à l'ouverture (par exemple
les options 3,5 et 7 n'apparaissent pas). Les options qui apparaissent sont celles auxquelles le
responsable de la sécurité a donné accès.
Chacune de ces options donne accès à un sous-menu, qui lui-même donne accès à d'autres sousmenus, etc.
Pour fermer la session prendre l'option 90 qui ramène sur l'écran d'ouverture.
===> définition de la SESSION : temps de travail pour un certain type d'utilisateur, avec un certain
mot de passe et des droits d'accès spécifiques.
En entreprise, l'ouverture de session donne accès à un menu d'application (comptabilité, gestion
commerciale, ...) et non au menu du système.
Afin d'exécuter les travaux les plus courants, le système propose un menu simplifié : le menu
ASSISTANT AS/400, qui est accessible par la touche ATTN.
doc A VOS CLAVIERS
13
3.2 LES COMMANDES DU LANGAGE DE CONTROLE
Les options des menus et sous-menus permettent de lancer des travaux système : création d'une
bibliothèque, liste d'une bibliothèque, initialisation d'une disquette, ...
Ces mêmes travaux peuvent être exécutés en tapant la commande appropriée du langage de
contrôle.
Le nom de chaque commande est composé :
•
d'un préfixe qui indique l'action (créer, lister, ...)
•
et d'un suffixe qui indique le type d'objet auquel s'applique l'action.
exemple : la commande DSPLIBL affiche la liste des bibliothèques en cours
Liste des principaux préfixes (actions) :
STR
start
démarrer
RMV
remove
effacer
CRT
create
créer
MOV
move
déplacer
WRK
work
travailler avec
RNM
rename
renommer
DSP
display
lister
HLD
hold
suspendre
ADD
add
ajouter
RLS
release
libérer
CHG
change
changer
SND
send
envoyer
CPY
copy
copier
INZ
initialise
initialiser
SAV
save
sauvegarder
END
end
fin
RST
restore
restaurer
Liste des principaux suffixes (types d'objets) :
MBR
member
membre
PRT
printer
imprimante
OBJ
object
objet
MSG
message
message
LIB
library
bibliothèque
DTA
data
donnée
AUT
authority
autorisation
PF
physical file
fichier physique
DEV
device
unité
LF
logical file
fichier logique
14
3.3 LES PRINCIPALES COMMANDES DU LANGAGE DE CONTROLE
Ci-dessous liste des principales commandes classées par grande fonction : s'y reporter au fur
et à mesure des travaux réalisés sur l'AS/400 même si utilisation des options de menus. Cette liste
donne une idée des possibilités du système.
A. GERER LES OBJETS DANS L'ESPACE DISQUE.
•
Gestion des bibliothèques
CRTLIB
Créer une bibliothèque
CHGLIB
Changer les caractéristiques d'une bibliothèque
DSPLIB
Lister du contenu (objets)
CLRLIB
Effacer le contenu d'une bibliothèque
DLTLIB
Supprimer une bibliothèque (et son contenu)
CPYLIB
Copier une bibliothèque
WRKLIB
Gérer des bibliothèques en interactif
•
Utilisation de la liste de bibliothèques
DSPLIBL
Afficher la liste de bibliothèques en cours
CHGSYSLIBL
Changer la partie système de la *LIBL
CHGCURLIB
Changer de bibliothèque courante
CHGLIBL
Changer le contenu de la partie utilisateur de la *LIBL
EDTLIBL
Modifier en interactif le contenu de la LIBL
ADDLIBLE
Ajouter une ligne dans la LIBL
RMVLIBLE
Enlever une ligne dans la LIBL
•
Manipuler les objets
MOVOBJ
Déplacer un objet d'une bibliothèque vers une autre
RNMOBJ
Renommer un objet
CRTDUPOBJ
Copier un ou plusieurs objets
WRKOBJ
Faire des opérations simples sur un objet
DSPOBJD
Afficher les attributs de descriptions d'un objet
DSPOBJ
Imprimer le contenu d'un objet quelconque
15
CHGOBJD
Changer les attributs de description d'un objet
CHKOBJ
Vérifier la présence d'un objet
ALCOBJ
Allouer un objet
DLCOBJ
Désallouer un objet
WRKOBJLCK Gérer l'état de verrouillage d'un objet
•
Manipuler les fichiers source
CRTSRCPF
Créer un fichier physique source
CPYSRCF
Copier un fichier source
•
Créer et supprimer des programmes
CRTRPGPGM
Compiler et créer un programme RPG
CRTCBLPGM
Compiler et créer un programme COBOL
CRTCLPPGM
Compiler et créer un programme CL
CRTPASPGM
Compiler et créer un programme PASCAL
CRTPLIPGM
Compiler et créer un programme PLI
CRTBASPGM
Compiler et créer un programme BASIC
RTVCLSRC
Retrouver le langage source d'un programme objet CL
DLTPGM
Effacer un programme compilé
DSPPGMREF
Afficher les références externes d'un programme
•
Créer et gérer des fichiers base de données
CRTPF
Créer un fichier physique
CRTLF
Créer un fichier logique
CHGPF
Modifier les attributs d'un fichier physique
CHGLF
Modifier les attributs d'un fichier logique
DSPDBR
Afficher les relations entre fichiers physiques et logiques
CPYF
Copier un fichier base de données
RMVM
Supprimer un membre de fichier
16
RNMM
Renommer un membre de fichier
CLRPFM
Effacer le contenu d'un membre de fichier physique
DSPPFM
Afficher les données d'un membre de fichier
•
Créer et modifier des fichiers unité : impression et affichage
CRTPRTF
Créer un fichier d'impression
CRTDSPF
Créer un fichier d'affichage d'écran
CHGPRTF
Changer certains attributs d'un fichier d'impression
CHGDSPF
Changer certains attributs d'un fichier d'affichage
•
Gérer les fichiers
DLTF
Supprimer un fichier
WRKF
Faire des opérations simples sur un fichier
DSPFD
Afficher les attributs de description d'un fichier
DSPFFD
Afficher la liste des champs d'un fichier
B. GERER LES TRAVAUX
•
Gérer les descriptions de travaux
CRTJOBD
Créer une description de JOB
CHGJOBD
Changer les paramètres de description de JOB
DLTJOBD
Supprimer une description de JOB
DSPJOBD
Afficher une description de JOB
WRKJOBD
Manipuler en interactif des descriptions de JOB
•
Gérer les files d'attente d'exécution (JOBQ)
CRTJOBQ
Créer une JOBQ
DLTJOBQ
Supprimer une JOBQ
HLDJOBQ
Bloquer une JOBQ
RLSJOBQ
Libérer une JOBQ
17
CLRJOBQ
Vider le contenu d'une JOBQ
WRKJOBQ
Gérer en interactif une JOBQ
•
La gestion des travaux en cours d'exécution
SBMJOB
Soumettre un job batch à une file d'attente
CHGJOB
Changer les attributs d'un JOB
DSPJOB
Afficher l'état d'un JOB en cours
RTVJOBA
Retrouver les attributs du job en cours
HLDJOB
Bloquer un JOB en cours
RLSJOB
Libérer un JOB en cours
ENDJOB
Arrêter définitivement un JOB en cours
WRKACTJOB
Gérer en interactif tous les travaux actifs
WRKJOB
Gérer en interactif les attributs d'un JOB en cours
•
La gestion des files d'attentes d'impression (OUTQ)
CRTOUTQ
Créer une file d'attente d'impression
DLTOUTQ
Supprimer une file d'attente d'impression
CHGOUTQ
Changer les attributs d'un OUTQ
WRKOUTQD
Modifier en interactif les attributs d'une OUTQ
HLDOUTQ
Bloquer une file d'attente d'impression
RLSOUTQ
Libérer une file d'attente d'impression
WRKOUTQ
Gérer en interactif le contenu d'une OUTQ
•
Travailler sur les fichiers SPOOL en attente d'impression
WRKSPLF
Gérer en interactif un fichier SPOOL
CHGSPLFA
Changer les attributs d'un fichier SPOOL
WRKSPLFA
Modifier en interactif les attributs d'un fichier SPOOL
CPYSPLF
Copier un fichier SPOOL dans fichier BD
DLTSPLF
Supprimer un fichier SPOOL
18
•
DSPSPLF
Afficher un fichier SPOOL
HLDSPLF
Bloquer un fichier SPOOL
RLSPLF
Libérer un fichier SPOOL
WRKSBMJOB
Gérer en interactif les travaux déjà soumis
Piloter le programme de SPOOL
STRPRTWTR
Démarrer le programme de SPOOL
CHGWTR
Modifier les attributs d'exécution d'un WRITER
HLDWTR
Bloquer le programme de SPOOL
RLSWTR
Libérer le programme de SPOOL
WRKWTR
Gérer en interactif l'état d'un programme de SPOOL
•
Fermer une session interactive
SIGNOFF
Fermeture d'une session interactive
DSCJOB
Déconnexion d'un JOB interactif
•
Les files d'attente de messages
CRTMSGQ
Créer une file d'attente de messages
DLTMSGQ
Supprimer une file d'attente de messages
CHGMSGQ
Modifier les attributs d'une file d'attente de messages
WRKMSGQ
Gérer en interactif les files d'attentes de messages
•
Envoyer des messages
SNDMSG
Envoyer un message
SNDBRKMSG
Envoyer un message avec interruption
SNDPGMMSG
Envoyer un message par programme
SNDUSRMSG
Envoyer un message et recevoir la réponse
SNDRPY
Envoyer une réponse à un message d'interrogation
19
•
•
Recevoir les messages émis
DSPMSG
Afficher les messages d'une file d'attente
RCVMSG
Rechercher un message dans une file d'attente
MONMSG
Déclencher une action lorsqu'un message arrive
CLRMSGQ
Effacer les messages dans une file d'attente de messages
Afficher les historiques des travaux
DSPJOBLOG
Afficher l'historique du travail en cours
DSPLOG
Afficher l'historique général des travaux
•
Les fichiers de descriptions de messages
CRTMSGF
Créer un fichier de messages
DLTMSGF
Supprimer un fichier de descriptions de messages
WRKMSGF
Gérer en interactif des fichiers de descr. de messages
ADDMSGD
Ajouter une description de messages
RMVMSGD
Supprimer une description de messages
DSPMSGD
Afficher une description de messages
WRKMSGD
Gérer en interactif des descriptions de messages
RTVMSG
Retrouver le texte d'un message
C. GERER LA SECURITE DE L'AS/400
•
Gérer les droits d'accès
CRTUSRPRF
Créer un profil utilisateur
CHGPRF
Changer les attributs du profil utilisateur en cours
CHGUSRPRF
Changer les attributs d'un profil utilisateur quelconque
CHGPWD
Changer le mot de passe du profil utilisateur en cours
DLTUSRPRF
Supprimer un profil utilisateur
DSPAUTUSR
Afficher la liste de tous les profils utilisateurs du système
20
•
DSPUSRPRF
Afficher les attributs d'un profil utilisateur
WRKUSRPRF
Gérer en interactif les profils utilisateurs
RTVUSRPRF
Retrouver les attributs d'un profil utilisateur
CHGOBJOWN
Changer un objet de propriétaire
WRKOBJOWN
Gérer tous les objets d'un propriétaire donné
DSPOBJAUT
Afficher les autorisations d'accès sur un objet donné
GRTOBJAUT
Accorder des autorisations d'accès sur un objet
RVKOBJAUT
Révoquer des autorisations d'accès sur un objet
EDTOBJAUT
Modifier en interactif les droits d'accès à un objet
GRTUSRAUT
Accorder à un utilisateur les droits d'un autre utilisateur
Journaliser les mises à jour de la base de données
CRTJRNCV
Créer un récepteur de journal
DLTJRNRCV
Supprimer un récepteur de journal
WRKJRNCV
Gérer les récepteurs de journaux en interactif
DSPJRNRCVA
Afficher les attributs d'un récepteur de journal
CRTJRN
Créer un journal
DLTJRN
Supprimer un journal
CHGJRN
Changer les caractéristiques d'un journal
WRKJRN
Gérer les journaux en interactif
WRKJRNA
Gérer les attributs d'un journal en interactif
STRJRNPF
Démarrer la journalisation d'un fichier physique
ENDJRNPF
Arrêter la journalisation d'un fichier physique
SNDJRNE
Ajouter une ligne dans un journal
DSPJRN
Afficher le contenu d'un journal
APYJRNCHG
Appliquer à un fichier les changements du journal
RMVJRNCHG
Défaire d'un fichier les changements du journal
STRCMTCTL
Démarrer le contrôle de cohérence
ENDCMTCTL
Arrêter le contrôle de cohérence
21
COMMIT
Déclarer un point de cohérence de la base de données
ROLLBACK
Revenir au dernier point de cohérence de la BD
•
Sauvegarder et restaurer
INZDKT
Initialiser une disquette
INZTAP
Initialiser une bande magnétique
DSPDKT
Afficher le contenu d'une disquette
DSPTAP
Afficher le contenu d'une bande magnétique
CHKDKT
Vérifier que la bonne disquette est bien montée
CHKTAP
Vérifier que la bonne bande est bien montée
CLRDKT
Effacer le contenu d'une disquette
SAVOBJ
Sauvegarder un ou des objets
SAVLIB
Sauvegarder une ou des bibliothèques
SAVSYS
Sauvegarder toutes les données système de la machine
RSTOBJ
Restaurer un ou des objets
RSTLIB
Restaurer une ou des bibliothèques
D. LA PROGRAMMATION EN LANGAGE CL
•
L'utilisation des variables et des paramètres en CL
DCL
Déclaration d'une variable
CHGVAR
Changer le contenu d'une variable système
•
Les instructions de contrôle d'un programme CL
PGM
Débuter un programme
ENDPGM
Terminer un programme
IF
Si <condition> alors <action>
ELSE
Sinon <action>
DO/ENDDO
Exécuter les actions
GOTO
Aller à une étiquette
22
CALL
Appeler un autre programme
RETURN
Retourner au programme appelant
TFRCTL
Enchaîner un autre programme
DLYJOB
Arrêter le programme pendant un certain temps
•
Traiter des fichiers dans programme CL
DCLF
Déclarer un fichier écran ou base de données
SNDF
Envoyer un format d'écran vers un terminal
RCVF
Lire un enregistrement de terminal ou de base de données
SNDRCVF
Envoyer et recevoir un format d’écran sur un terminal
•
Substituer provisoirement un fichier à un autre
OVRDBF
Substituer un fichier base de données
OVRDSPF
Substituer un fichier écran
OVRPRTF
Substituer un fichier d'impression
OVRMSGF
Substituer un fichier de messages
DSPOVR
Afficher les substitutions en cours
DLTOVR
Effacer les substitutions en cours
•
Utiliser les DATA AREA
CRTDTAARA Créer une DATA AREA
DLTDTAARA Supprimer une DATA AREA
DSPDTAARA Afficher le contenu d'une DATA AREA
RTVDTAARA Retrouver le contenu d'une DATA AREA
CHGDTAARA Changer le contenu d'une DATA AREA
WRKDTAARA Gérer en interactif des DATA AREA
•
Utiliser les DATA QUEUE
CRTDTAQ
Créer une DATA QUEUE
23
DLTDTAQ
Supprimer une DATA QUEUE
WRKDTAQ
Gérer en interactif des DATA QUEUES
E. GERER LE FONCTIONNEMENT DE L'AS/400
•
Gérer les "valeurs systèmes"
DSPSYSVAL
Afficher le nom d'une valeur système
CHGSYSVAL
Changer le contenu d'une valeur système
RTVSYSVAL
Retrouver le contenu d'une valeur système
WRKSYSVAL Gérer en interactif les valeurs systèmes
•
Configurer les unités
CRTDEVDSP
Créer une unité écran
CRTDEVPRT
Créer une unité imprimante
DLTDEVD
Supprimer une unité
DSPDEVD
Afficher une description d'unité
WRKDEVD
Gérer en interactif les descriptions d'unités
VRYCFG
Mettre en ou hors fonction un élément de la config.
WRKCFGSTS
Gérer en interactif la mise en ou hors fonction
•
Piloter les sous-systèmes et le système
CRTSBSD
Créer un sous-système
DLTSBSD
Supprimer un sous-système
DSPSBSD
Afficher ou imprimer la description d'un sous-système
CHGSBSD
Changer la description d'un sous-système
WRKSBSD
Gérer en interactif les descriptions de sous-systèmes
STRSBS
Démarrer un sous-système
ENDSBS
Arrêter un sous-système
WRKSBS
Gérer en interactif l'état des sous-systèmes
ADDJOBQE
Ajouter une JOBQ à un sous-système
24
RMVJOBQE
Désaffecter une JOBQ d'un sous-système
CHGJOBQE
Changer les attributs d'une JOBQ dans un sous-système
ADDWSE
Affecter un poste de travail à un sous-système
CHGWSE
Changer les attributs d'un poste de travail d'un sous-système
RMVWSE
Supprimer un poste de travail d'un sous-système
ENDSYS
Arrêter le système
PWRDWNSYS
Couper le courant
WRKSYSSTS
Gérer en interactif l'état du système
WRKDSKSTS
Gérer en interactif l'état de l'espace disque
RCLSTG
Réparer et nettoyer le disque
F. FONCTIONS DIVERSES
•
"Débugger" un programme
STRDBG
Démarrer le "débuggage"
ADDPGM
Appliquer le "débuggage" à un programme
ADDBKP
Ajouter un point d'arrêt
DSPBKP
Afficher les points d'arrêt demandés
RMVBKP
Enlever un point d'arrêt
DSPPGMVAR
Afficher le contenu d'une variable
CHGPGMVAR
Changer le contenu d'une variable
ADDTRC
Demander la trace des instructions
DSPTRC
Afficher les paramètres de trace
DSPTRCDTA
Afficher la trace des instructions
CLRTRCDTA
Effacer le contenu de la trace
RMVTRC
Ne plus demander la trace des instructions
DSPDBG
Afficher les paramètres du "débuggage" en cours
CHGDBG
Changer les paramètres du "débuggage" en cours
ENDDBG
Arrêter le "débuggage"
25
•
Le démarrage des utilitaires IBM
STREDU
Démarrer la formation en ligne
STRDFU
Générer un programme de mise à jour par DFU
CHGDTA
Modification de fichier de données par DFU
DSPDTA
Affichage d'un fichier de données par DFU
STRIDD
Définir des fichiers par IDDU
STRQST
Démarrer Questions et Réponses
STRPDM
Gérer l'espace disque par PDM
STRQRY
Imprimer un fichier de données par QUERY
STRPCO
Démarrer l'organiseur de PCS
STRRLU
Générer des descriptions d'état par RLU
STRSDA
Démarrer SDA
STRSEU
Démarrer SEU
STRSQL
Démarrer SQL
4. LA GESTION DE L'EXPLOITATION
Cette gestion peut être qualifiée de complexe sur un AS/400 (comme sur tout mini-ordinateur)
dont la configuration est importante : nbre de postes supérieur à 10, liaison avec réseau local,
logiciels nombreux et interdépendants, ...
De ce fait, la gestion de l'exploitation est en général confiée à un utilisateur-informaticien dont le
poste se nomme : opérateur système, pupitreur, responsable du système, gestionnaire du système,
... En fonction des responsabilités qui lui sont confiées c'est l'un ou l'autre terme qui le désigne. Si la
charge de travail est suffisamment importante c'est 2 personnes qui s'en chargeront.
Dans la suite de ce support le terme opérateur système est utilisé pour désigner celui qui a la
charge de cette gestion.
L'aide en ligne est accessible à tout moment et permet d'avoir des informations affichées sur la
commande, le menu, le paramètre, ... qui est mis en oeuvre : touche AIDE du clavier, ou bien
touche F1.
4.1 LES TRAVAUX : DEFINITION ET GESTION
Un travail (ou JOB) est l'élément de base utilisé pour l'organisation et la gestion des tâches. Un
travail peut se composer d'une ou de plusieurs tâches.
Comme tout ordinateur, l'AS/400 doit exécuter 2 types de travaux :
26
•
les travaux BATCH ou par lots
•
les travaux INTERACTIFS ou conversationnels.
Travaux batch
Un travail batch ne nécessite pas l'interaction constante entre l'utilisateur et l'ordinateur. Ce travail
batch va donc être lancé (ou soumis), puis l'ordinateur l'exécutera dès qu'il "aura le temps". Le poste
est alors libéré pour un autre travail. En attendant ce travail est placé dans une file d'attente des
travaux (ou JOBQ). Les travaux arrivent dans cette file au fur et à mesure qu'ils sont soumis par les
utilisateurs.
exemple d'un travail batch :
file
soumission
du travail
batch A
d'attente
des travaux
exécution
du travail
batch A
disque
résultat du travail
processeur
et mémoire
Gestion de la file d'attente par menus ou commandes qui permettent : d'afficher, de suspendre,
de libérer, d'arrêter, de changer la priorité d'une file d'attente ou d'un travail.
Les travaux batch peuvent aussi être soumis par l'intermédiaire du planning des travaux : planification
d'un job toutes les semaines ou tous les mois, ou à une certaine date ou à une certaine heure.
Travaux interactifs
Interaction constante entre utilisateur et ordinateur. Le poste de travail est occupé jusqu'à la fin du
travail interactif.
4.2 L'IMPRESSION DIFFEREE : DEFINITION ET GESTION
Tous les états demandés par les utilisateurs passent par l'impression différée et ne s'impriment jamais
directement sur l'imprimante.
27
Exemple du travail A (batch) lancé plus haut : si ce travail a pour objectif l'impression d'une
statistique, après son exécution, ce travail va être placé dans une file d'attente de sortie ou
OUTQ. Puis l'éditeur (ou writer, ou spoule) le dirigera vers l'imprimante souhaitée.
soumission
du travail
batch A
file
exécution
d'attente
du travail
des travaux
batch A
JOBQ
disque
file
éditeur
d'attente
de sortie
imprimante
OUTQ
processeur
disque
processeur
et mémoire
Gestion de la file d'attente en sortie par menus ou commandes qui permettent : de lancer
l'impression, de changer d'imprimante, d'afficher, de suspendre, de libérer, de changer certains
paramètres d'impression, d'arrêter les travaux d'impressions (fichiers spoule).
En standard, il y a création d'une OUTQ par imprimante. En pratique chaque utilisateur ou
groupe d'utilisateur ou encore chaque application possède une OUTQ.
L'éditeur fait le lien entre l’AOÛT et l'imprimante. Pour pouvoir imprimer cet éditeur doit être
démarré : ce démarrage s'effectue à l'IPL ou bien en début de session grâce à une procédure.
Messages imprimantes :
la gestion des impressions communique avec les utilisateurs par l'intermédiaire d'une file d'attente des
messages : il est indispensable de répondre aux messages pour pouvoir continuer les impressions.
4.3 LES MESSAGES
En fonction des tâches qui les provoquent, les messages peuvent être classés en 2 groupes :
•
les messages d'information, qui ne demandent pas de réponse
les messages d'interrogation, qui nécessitent obligatoirement une réponse afin que le
travail qui a provoqué le message puisse continuer.
•
Tous les messages sont envoyés soit par le système, soit par les autres utilisateurs.
Ils sont placés dans une des files d'attente de message : une file d'attente par profil, et une file
d'attente des messages opérateur système (QSYSOPR) qui reçoit les messages système importants
pour la gestion de l'AS/400.
Ces files d'attente de messages sont créées automatiquement par le système.
Il existe aussi la possibilité de créer ses propres files d'attente de messages, afin de communiquer
entre utilisateurs : messagerie ou boite aux lettres.
28
La réception du message s'effectue de 3 manières différentes :
en mode attente (hold) : le message arrive dans la file d'attente, l'utilisateur doit consulter
celle-ci.
•
en mode notification (notify) : l'utilisateur est averti par un bip sonore et un pictogramme
sur l'écran, il sait qu'il doit consulter sa file d'attente.
•
en mode interruption (break) : le message s'affiche sur l'écran pendant le travail en cours,
après consultation par l'utilisateur celui-ci peut reprendre le travail sans perte de données.
•
La réponse aux messages d'interrogation :
il s'agit surtout des messages système, qui bloquent le travail tant que la réponse n'est pas fournie :
messages qui apparaissent sur la dernière ligne en bas de l'écran : le libellé du
message est affiché, pour avoir des informations complémentaires positionner le curseur sur ce
message et appuyer sur la touche AIDE (ou sur F1). Sur l'écran apparaît alors : la cause du message,
que faire et les réponses possibles.
•
messages à consulter dans la file d'attente : par exemple les messages provoqués par
l'utilisation de l'imprimante ( "mettre le papier facture sur PRT01" , "fin de papier sur l'imprimante
PRT02" , "imprimante PRT01 hors fonction" , ...) ou messages provoqués par l'utilisation des autres
périphériques (lecteurs de bande, de disquette, ...)
•
Gestion des messages :
elle s'effectue à l'aide des options du menu MESSAGES, ou bien de commandes, qui permettent les
opérations suivantes : envoi de messages, affichage de file d'attente de messages utilisateur ou
opérateur système, et gestion de ces files d'attente.
4.4 L'INTERRUPTION
C'est la possibilité d'interrompre un travail interactif en cours afin d'effectuer certaines opérations,
puis de revenir au travail interrompu sans perdre les données déjà saisies.
Cette interruption est déclenchée par la touche APPEL SYSTEME (ou SHIFT SYST). L'appui sur ces
touches provoque l'apparition en bas de l'écran d'une ligne de pointillés, puis, si validation, d'un menu
:
Appel système
1. Affichage de l'écran d'ouverture pour une session alternée
29
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Arrêt de la demande précédente
Affichage du travail en cours
Affichage des messages
Envoi d'un message
Affichage des messages de l'opérateur système
Affichage de l'utilisateur du poste de travail
80. Déconnexion du travail
90. Fin de session
Option
____
F3 Exit
F12 Annuler
Option 1 : ramène sur l'écran d'ouverture de session et permet de commencer un 2ème
travail interactif, la fin de ce 2ème travail et le retour au 1er s'effectuera par la fin de session.
•
•
Option 2 : arrêt "sauvage" du travail en cours et retour au menu de départ.
Option 3 : affichage d'un menu qui propose des informations sur le travail en cours (état du
travail, fichiers spoule en sortie, historique du travail, ...).
•
•
Option 4 : affichage de la file d'attente des messages du profil.
•
Option 5 : envoi d'un message à un autre (ou à d'autres) utilisateur ou à l'opérateur système.
•
Option 6 : affichage de la file d'attente des messages de l'opérateur système (QSYSOPR).
Option 7 : affichage des informations suivantes : ID et description utilisateur et poste,
nombre et nom des travaux interactifs en cours.
•
•
Option 80 : arrêt "sauvage" du travail en cours et retour à l'ouverture de session.
•
Touche F3 : retour au travail interrompu
•
Touche F12 : retour au travail interrompu
Les
options
conseillées
:
options 3, 4, 5, 6 et 7 : options d'affichages ou d'envoi de messages, options qui
permettent une consultation ou un travail rapide et qui n'ont pas de conséquence néfaste
sur
le
travail
en
cours
interrompu.
touche F3 : permet de revenir au travail interrompu sans aucun dommage.
Les options vivement déconseillées :
30
option 1 : si le travail interrompu est oublié (2ème travail qui dure trop
longtemps), le clavier-écran risque d'être mis hors tension après la fin du 2ème travail
====> données perdues, fichiers mis à jour de manière incomplète, ....
options 2 et 80 : peuvent entraîner une fin anormale de travail avec les mêmes
conséquences que l'option 1.
4.5 L'HISTORIQUE DES TRAVAUX
Définition
Un historique des travaux est un enregistrement (dans un fichier disque) des événements qui se sont
produits lors du traitement de ces travaux.
Cet historique peut contenir :
•
les commandes figurant dans les travaux,
•
les commandes figurant dans les programmes de ces travaux,
les messages émis lors de l’exécution des travaux, ainsi que les informations d'aide les
concernant, et les réponses fournies,
•
•
les date et heure.
Un fichier historique de travail est automatiquement envoyé en file d'attente de sortie en cas de fin
anormale de travail interactif, et en cas de fin d'un travail BATCH.
Gestion
Affichage du contenu de cet historique, de plusieurs manières :
si l'exécution du travail est terminée, sur l'écran Gestion des travaux de l'utilisateur, faire
option 8 (Gérer fichiers spoule) au travail dont on veut afficher l'historique, puis rechercher le
fichier QPJOBLOG et l'afficher.
•
•
si le travail est en cours d’exécution, sur l'écran Gestion des travaux de l'utilisateur, faire
option 5 (gérer) au travail dont on veut afficher l'historique, puis option 10 (historique du travail) sur
l'écran Gestion d'un travail.
•
pour afficher l'historique du travail de son poste, utiliser la commande DSPJOBLOG.
Modification - suppression :
il est possible de réduire la taille des historiques de travaux (niveau de consignation), de
changer la file d'attente de sortie des historiques,
•
•
la fonction de ménage permet de supprimer les historiques de travaux obsolètes.
4.6 LA JOURNALISATION
Définition
31
Possibilité de consigner dans des journaux (fichiers) toutes les modifications et tous les accès à un ou
plusieurs fichiers de données (fichier "journalisé" ou pas), avec les informations suivantes :
•
identification de l'utilisateur, du travail, des date et heure d'accès,
•
images du fichier avant et après modification,
•
dates d'ouverture, de fermeture, de sauvegarde du fichier.
Gestion
La gestion des journaux permet de récupérer des fichiers de données en cas de détérioration, et aussi
de réduire les temps de sauvegarde (sauvegarde des modifications seulement).
5. LA SECURITE
5.1 SECURITE PHYSIQUE ET SECURITE DES DONNEES
La sécurité physique comprend :
la protection de l'U.C., des périphériques et des supports contre les dommages et destruction,
et contre les problèmes d'ordre électrique,
•
•
la protection du système informatique contre les intrusions d'un utilisateur non autorisé.
Comme sur tout ordinateur, cette protection peut être assurée par :
•
un emplacement à l'abri des incendies et inondations,
•
un stockage des bandes et disquettes en plusieurs lieux différents,
•
un accès limité au local de l'U.C. et de stockage,
•
une batterie de secours (dispositif standard sur certains modèles AS/400).
De plus, sur le panneau de commande de l'U.C. de l'AS/400 un verrou de sécurité permet un
positionnement (sur NORMAL) qui reste correct par le fait de l'enlèvement de la clé. Les claviers-écran
peuvent eux aussi être munis d'une clé.
La sécurité des données de l'AS/400 permet d'interdire aux utilisateurs non autorisés l'accès au
système informatique, ou bien d'autoriser certains accès aux utilisateurs.
Cette sécurité est composée de différents éléments dont les principaux sont :
•
les niveaux de sécurité,
•
les profils,
•
les droits sur les objets.
32
5.2 LES NIVEAUX DE SECURITE
niveau 10 : accès libre à tout le système, profil utilisateur créé automatiquement s'il n'existe pas à
l'ouverture de session, donc pas de sécurité.
niveau 20 : profil utilisateur et mot de passe obligatoires à l'ouverture de session, ouverture refusée
s'ils ne sont pas valides. Ensuite tout est permis sauf ce qui a été interdit.
niveau 30 : profil et mot de passe idem niveau 20. Ensuite accès limité à ce qui a été autorisé.
niveau 40 : idem niveau 30 avec restrictions supplémentaires.
L'AS/400 est livré avec la "sécurité" minimum, c'est-à-dire le niveau 10.
5.3 LES PROFILS
Un certain nombre de profils utilisateurs peuvent être définis. A chacun de ces profils sont
associées les informations suivantes :
l'utilisateur (demandé à l'ouverture de session)
la description de l'utilisateur
le type d'utilisateur (programmeur, utilisateur, ..)
le groupe d'utilisateur
la bibliothèque par défaut
le menu initial
l'utilisation de la ligne de commande
l'imprimante par défaut
...
Des profils de groupe peuvent être aussi définis : caractéristiques valables pour un certain nombre
d'utilisateurs.
Certains profils sont fournis par IBM : responsable de sécurité, opérateur système, programmeur, ...
5.4 LES OBJETS
Chaque objet possède une liste de profils avec pour chaque profil, les droits sur cet objet. Chaque
objet possède aussi le nom de son propriétaire.
Les droits sur les objets peuvent se classer en 2 familles :
•
les droits sur l'objet lui-même : droits d'opération, de gestion, d'existence,
33
les droits sur les données portées par l'objet : droits de lecture, d'ajout, de modification, de
suppression.
•
Les droits sur un certain nombre d'objets (de la même application par exemple) peuvent être
identiques, par profil. On peut donc protéger cet ensemble d'objets par le moyen d'une liste
d'autorisation : regroupement des droits sur un ensemble d'objets.
5.5 LA GESTION DE LA SECURITE
Dans un objectif de sécurité opérationnelle le niveau de sécurité minimum est le 30.
Le responsable de la sécurité :
•
met en place les valeurs système concernant la sécurité,
•
crée les profils de groupe et les profils utilisateurs avec leur mot de passe,
•
peut imprimer ou afficher toutes les informations concernant la sécurité,
•
surveille quotidiennement les utilisateurs et profils,
consulte l'historique des travaux et des journaux pour ce qui concerne la sécurité (tentatives
de mauvaise utilisation, ...).
•
5.6 SAUVEGARDE ET RESTAURATION
Sauvegarde
Peut être réalisée :
•
sur bande ou disquette,
•
avec une périodicité jour, semaine, mois, année, ...
pour le système (après l'installation, à chaque changement de version ou modification), les
logiciels (idem système), les bibliothèques utilisateurs, les dossiers, ...
•
•
de manière manuelle ou automatique (en fonction d'un planning).
Restauration
Réalisée beaucoup plus rarement que la sauvegarde, pour l'installation d'un nouveau logiciel ou de
données , ou bien après un incident sur le disque, à partir de bande ou disquette, complète ou
partielle (bibliothèque ou objets).
6. FONCTIONNEMENT DE L'AS/400
34
6.1 LES SOUS-SYSTEMES
Les travaux sont exécutés dans des sous-systèmes.
Un sous-système est défini :
par un nom : QBATCH (travaux batch), QINTER (travaux interactifs), QCTL (contrôle), QSPL
(gestion entrées/sorties) ...
•
•
par un type de travail exécuté : batch, interactif (ou conversationnel),
•
et par un environnement nécessaire à l'exécution de chaque travail, environnement
mis en oeuvre à l'aide de plusieurs paramètres : une (ou plusieurs) partie de la mémoire (pools), une
( ou plusieurs) tranche de temps CPU, une priorité, des travaux à démarrer automatiquement, un
temps maximum alloué pour l'exécution d'un travail, un nombre maximum de travaux, etc.
Les sous-systèmes sont définis durant la période de mise en place de la machine, et peuvent être
changés par la suite. Ces changements ne peuvent être faits que par le responsable du système.
L'intérêt des sous-sytèmes et de leur dimensionnement correct est une meilleure utilisation
de la machine : par exemple pendant la journée le sous-système QINTER va être favorisé avec une
taille mémoire importante, et la nuit c'est au sous-système QBATCH que l'on va affecter toute la
mémoire.
6.2 LA LISTE DES BIBLIOTHEQUES
Tout objet appartient obligatoirement à une bibliothèque. Lorsqu'un membre ou un objet est
demandé par l'utilisateur, le système le recherche dans un certain nombre de bibliothèques. Ces
bibliothèques qui servent pour la recherche par le système font partie de liste de bibliothèques.
A tout travail (batch ou interactif) est associée une liste de bibliothèques.
Une liste de bibliothèques est composée de trois parties :
la partie système, avec les bibliothèques du système : QSYS, QSYS2, QUSRSYS, QHLPSYS.
Tous les utilisateurs ont cette même partie système dans leur liste de bibliothèques.
•
la partie produits : ces bibliothèques sont mis dynamiquement dans la liste quand on utilise
le logiciel correspondant.
•
•
la partie utilisateur, avec la bibliothèque courante (CURLIB) et les autres QTEMP, QGPL,
etc.
La bibliothèque courante est la première à être explorée. Elle n'est pas obligatoire. Si aucune
bibliothèque courante n'est désignée à la création d'un objet non qualifié, celui-ci ira dans la
bibliothèque QGPL.
6.3 LA GESTION DE LA MEMOIRE
35
Le système AS/400 utilise la mémoire centrale et l'espace disque comme un espace
adressable unique : cette organisation décharge l'utilisateur des questions liées à la taille et à
l'emplacement de ses fichiers.
Cette gestion de la mémoire utilise le concept de mémoire virtuelle où sont transférés les objets
dont l'utilisateur a besoin : transfert de l'objet en entier ou en partie. Ainsi le même objet ne se trouve
qu'une fois en mémoire virtuelle, même s'il est utilisé par plusieurs travaux à ce moment-là. C'est le
système qui synchronise, si nécessaire, les accès par plusieurs utilisateurs au même objet.
La mémoire devant être disponible pour tous les travaux s'exécutant en même temps, celle-ci peut
être subdivisée en "POOLS" pour utilisation par différents groupes de travaux. Ce découpage permet
d'éviter l'utilisation de trop de mémoire par un seul travail, et de réduire les interférences entre les
travaux se déroulant en même temps. La taille des pools est exprimée en multiple de K.
6.4 GESTION DES OPERATIONS EFFECTUEES
L'opérateur système peut assurer un meilleur fonctionnement de l'AS/400 :
•
en effectuant des contrôles,
•
en effectuant le ménage du système.
Contrôles :
•
contrôle rapide du système plusieurs fois par jour, et le matin si le système fonctionne la nuit,
•
contrôle des messages sur l'écran de la file d'attente des messages opérateur système,
•
contrôle des travaux : repérer les travaux nécessitant une intervention,
•
consultation des travaux actifs du système,
•
contrôle des impressions et imprimantes,
•
contrôle des unités (disquettes, bandes, imprimantes, clavier-écran),
•
contrôle des communications,
•
contrôle de l'espace disque (collecte des informations, puis impression de rapports).
Ménage :
pour éviter l'encombrement de l'AS/400 par des objets inutiles, la fonction de ménage
automatique peut être utilisée, ou bien on peut faire le ménage soi-même,
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ces deux types de ménage sont complémentaires, et sont effectués pour les impressions, les
objets, les files d'attentes de messages, les récepteurs de journal, les bibliothèques ...
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