L`Amour masqué

Transcription

L`Amour masqué
L’Amour masqué
Nous saluons la mémoire de notre
costumier et ami Olivier Falconnier
tragiquement disparu quelques jours
avant la première de l’amour masqué.
Nous gardons d’Olivier un sou­venir
lumineux ; pour sa passion du théâtre,
pour son immense talent et pour sa
personnalité si attachante.
Chapeau bas !
L’ensemble des artistes et collaborateurs
d’Opéra Louise – compagnie lyrique
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La création, avant toute chose. La
création, comme appétit d’abord,
comme circonstance ensuite. Pour
Opéra Louise, l’aventure se matérialise désormais en collaboration
avec Equilibre – Nuithonie nous
permettant d’appliquer à l’opéra le
mode de production de la compagnie en résidence éprouvé avec le
théâtre et la danse. Sur le terrain
de la création lyrique, il y a tant à
affirmer, à gagner pour les artistes
fribourgeois. Il faut prévenir demain l’absence à Fribourg de créateurs professionnels dans le domaine de l’opéra. Il faut contourner
demain l’affaiblissement inévitable
de structures de création isolées
des lieux de coproduction, des diffuseurs et de leurs réseaux. Une fenêtre s’ouvre ; sautons-y gaiement !
L’Amour masqué Comédie musicale en trois actes
d’André Messager (1853-1929)
et Sacha Guitry (1885-1957).
Créée au Théâtre Édouard VII de
Paris le 13 février 1923.
Nouvelle production d’Opéra
Louise — compagnie lyrique,
en coproduction avec Equilibre – Nuithonie, Fribourg
Equilibre, Fribourg
Samedi
24.05.2014 | 20h00
Mardi
27.05.2014 | 20h00
Durée de la représentation : 1h50 env.
sans entracte
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Argument
Elle a vingt ans. Elle est tombée sous le charme d’un
jeune inconnu dont elle a dérobé le portrait chez un
photographe. Lui en a vingt de plus. La photo, c’est lui
il y a 20 ans. Il se rend chez Elle pour la récupérer. Elle
le prend pour le père du jeune homme sur la photo.
Lui ne la contredit pas et accepte pour son fils l’invitation à un bal masqué birman qu’elle organise le soir
même. Le prétendu fils arrive au bal masqué, ainsi que
le Baron d’Agnot, le Maharadjah flanqué d’un interprète et une brochette d’autres invités. Les deux servantes, habillées comme leur maîtresse, devront se
charger du Baron et du Maharadjah, tandis qu’Elle
passera la nuit avec Lui.
Au lendemain, la nuit semble avoir été une réussite.
La première servante se serait entichée de l’Interprète
alors que la seconde aurait frayé avec le Baron d’Agnot.
De son côté, Lui est arrivé à ses fins mais ne sait comment avouer la supercherie. Elle se moque de la différence d’âge pour rester fidèle à ses principes, celui
d’avoir deux amants ; dans le cas d’espèce, le père et
le fils qui n’en sont qu’un.
Note d’intention
benjamin knobil , metteur en scène
l’a mour masqué
allie deux plumes éblouissantes d’humour, de grâce et de légèreté. Le jeune Guitry et l’expéri­menté Messager y combinent leur talent dans une
comédie musicale au verbe et aux sonorités fines et
brillantes.
Le scintillement virevoltant de cette joie de vivre
drôle et sauvage des Années folles est insidieusement
sous tendu par l’envie d’oubli à tout prix de la terrible
saignée de la guerre de 1914. Ici un Paris exsangue au
zénith de son rayonnement culturel valse dans cette
fable délicieuse et frivole apparemment sans conséquence d’amours croisés, de dupes, de maharadjahs, et
de bonnes espiègles.
Si les femmes sont fières et malicieuses, elles sont
terriblement terre à terre. Elles mènent leurs conquêtes
par le bout du nez et savent avec dextérité faire fondre
les portefeuilles des messieurs.
Le cynisme exquis de Guitry s’exprime alors dans
une partition jubilatoire qui mélange sans vergogne
amour et commerce dans une misanthropie ambigüe
et joyeuse. Vite ! Du champagne, du luxe et des bijoux
pour s’éblouir et tout oublier !
« Entre tes bras
Quand tu
m’étreins
Va, trahis-moi
Trahis-moi bien »
Une insouciante harmonie
entretien avec jérôme kuhn, directeur musical
La musique de l’amour masqué c’est
la musique de son temps, l’empreinte
du goût de l’entre-deux-guerres et des
Années folles : insouciance, désir d’oubli et revendication d’un divertissement assumé et partagé. Il faut aussi souligner le caractère profondément français de la partition. Le travail de Benjamin Knobil sur le texte parlé
permet de faire résonner ceci de manière évidente. Il y
a une ligne de composition profondément française dans
la partition de Messager comme il y a un accent typiquement français dans la langue parlée. Pour le reste,
la musique fait des détours prolongés du côté de la danse
(valses, tango) et de l’exotisme (le bal birman). Ce rapport très particulier à l’exotisme est d’ailleurs emblématique de l’entre-deux-guerres et ceci aussi dans les autres
branches artistiques comme la littérature ou la peinture.
Comment
faut-il qualifier
la musique
de L’Amour
masqué ?
Ce mariage
entre le texte et
la musique,
c’est unique ?
Tout à fait. Il faut d’abord dire que
c’est Messager qui s’est mis au service de Guitry plutôt que l’inverse.
Dans ma direction et dans mon travail avec l’orchestre et avec les
chanteurs, c’est également ce postulat qui me guide :
une musique au service du texte. C’est pour cet aspect
que l’amour masqué est plutôt une comédie musicale
qu’une opérette dans la tradition du XIXe siècle. Cela
bouleverse le travail avec les chanteurs. Dès le début
des répétitions, il faut mettre les tempi au service du
texte, travailler sur l’articulation et sur une projection
harmonieuse des parties chantées. C’est passionnant à
tout point de vue.
Comment
classer
Messager dans
l’histoire de
la musique ?
Dans le tiroir des touche-à-tout ! C’est
là le génie singulier d’André Messager. Il a défendu tout au long de sa
vie des compositeurs d’avant-garde,
en dirigeant par exemple la première
de pelléas et melissande ou la tétralogie à l’Opéra de Paris. Lorsqu’il compose des refrains
amoureux taillés sur mesure pour Yvonne Printemps, il
y fait passer tous les raffinements orchestraux et les harmonies les plus délicates. Son secret, c’est la distance
ironique qui donne aux intrigues désuètes des teintes à
la fois acides et brillantes.
Générique
direction musicale assistante scénographie
mise en scène
réalisation des costumes
scénographie maquillages
Jérôme Kuhn Benjamin Knobil Jean-Luc Taillefert Stéphanie Lathion
Anne Marbacher
costumes Rachel Roggo
Violaine Coard
chorégraphie Rita Pochon
Olivier Falconnier
Patricia de Anna coiffures lumières direction technique,
régie générale Eloi Gianini
Simon Lambelet
elle
les quatre dames Sophie Marilley
lui
Yves Jenny
le baron d’agnot
Markus Hollop
le maharadjah
Marcos Garcìa Gutiérrez
l’interprète
Alfred Bironien
la première servante
Mathilde Opinel
la deuxième servante
Salomé Zangerl
le valet de pieds
Alain Guerry
Patricia Biolley
Madeleine Confais
Léa Fanchon
Marie-Carmel Ridoré
les quatres messieurs
José Aldana
Jürgen van den Berg
Michael Blanchard
Vincent Levantino
les figurants Julien Rossier
Mélanie Carrel
Delphine Delabeye
Benoît Sierro
William Schaller
Fabian Zillweger
Orchestre de chambre
fribourgeois
violons i Stefan Muhmenthaler
Alba Cirafici
Delphine Richard
Ivan Zerpa
Piotr Zielinski
violons ii
Katja Marbet
Julien de Grandi
Damaris Donner
Stéphanie Jungo
altos
Julika Pache Schmid
Davide Montagne
Ruggero Pucci
violoncelles
Justine Pelnena Chollet
Sébastien Bréquet
contrebasse
Ioan Enache
flûte Aline Glasson
hautbois
Bruno Luisioni
clarinettes Sarah Chardonnens,
Nathalie Jeandupeux
cors Stéphane Mooser
Kathrin Williner
piano
Pierre-Fabien Roubaty
production
graphisme
administration
illustration
Léo Chavaz
Anne-Valérie Zuber
Billy Ben
Baptiste Oberson
andré messager
sacha guitry
benjamin knobil
jean-luc taillefert
olivier falconnier
patricia de anna
jérôme kuhn
eloi gianini
sophie marilley
yves jenny
markus hollop
marcos g. gutiérrez
mathilde opinel
alfred bironien
salomé zangerl
alain guerry
André Messager
André Messager est l’un des plus grands musiciens français de tous les temps. Son apport et son influence sont
considérables, notamment dans le domaine de l’opérette
et de la comédie musicale.
Avec véronique (1898), puis fortunio (1907), il connaît
un succès retentissant. Les ingrédients : orchestre de
chambre, chanteurs comédiens, sujets délicieusement
légers mais toujours porteurs d’une ironie noire et profonde. Pas d’étonnement, ainsi, à ce que pour l’amour
masqué, Messager travaille avec Sacha Guitry, roi de la
scène théâtrale parisienne avec le tact, l’humour et le
cynisme qu’on lui connait.
Sacha Guitry
Homme de théâtre et de cinéma, Sacha Guitry est souvent comparé à un Molière des temps modernes, avec
ses comédies populaires traitant des petits travers de
l’Homme, son esprit vif et ses formules percutantes.
Ses pièces, comiques ( nono, le veilleur de nuit ou
faisons un rêve) ou plus sérieuses ( le comédien), suscitent l’enthousiasme du public. Guitry rencontre également le succès au cinéma avec désiré ou quadrille.
Réputé pour sa désinvolture et une prétendue misogynie, Sacha Guitry n’a pas toujours fait l’unanimité, ce
qui ne l’empêche pas d’être l’un des auteurs les plus
joués en France.
Jérôme Kuhn
direction musicale
Après des études de piano à la Haute école de musique
de Lausanne-Fribourg, où il obtient le prix de musique
contemporaine, Jérôme Kuhn décroche un Master
d’enseignement du piano. Il dirige monsieur choufleuri d’Offenbach en 2011 et la chauve-souris de Strauss
en 2012. Il se perfectionne auprès de divers chefs d’orchestre, dont Howard Arman au Luzerner Theater.
En 2012, il dirige l’Orchestre Philharmonique de
Prague. Depuis 2013, il est chef principal du Prague
Symphonic Ensemble. Il est directeur musical de l’Ensemble Le Canard Chipeau et collabore dans ce cadre
avec l’Orchestre de chambre de Genève.
Benjamin Knobil
mise en scène
Benjamin Knobil, est acteur, metteur en scène et auteur.
Avec ou sans sa compagnie, il crée plus d’une trentaine
de spectacles en Suisse et en France.
Récemment, il écrit et monte dans l’oeil du cétacé,
boulettes (prix SSA 2008) et le chant du crabe. A l’Opéra
de Lausanne, il met en scène l’enfant et les sortilèges
de Ravel. Il produit également l’opéra de quat’sous de
Brecht et Weil au Théâtre des Teintureries ou poèmes à
la Cité de la Musique de la Villette avec l’Ensemble intercontemporain. En 2013, il monte et tourne en Suisse
et en France son adaptation de crime et châtiment de
Dostoïevski
Jean-Luc Taillefert
scénographie
Jean-Luc Taillefert se forme à l’Ecole supérieure d’Art
dramatique du Théâtre National de Strasbourg, section
scénographie.
Il collabore régulièrement avec Thierry Pillon à Nantes
(iphigénie, féeries brévinoises), Jacques David à Paris
(une nuit dans la montagne au Théâtre du Soleil de Vincennes), Gianni Schneider à Lausanne (le nom, visage
de feu, lulu au Théâtre de Vidy), mais aussi avec Joël
Jouanneau, Enzo Cormann, Nicolas Rossier, Benjamin
Knobil ou Jean-Yves Ruf. Outre ses activités théâtrales,
il conçoit en 2004 la scénographie pour napoléon et la
mer au Musée National de la Marine de Paris.
Olivier Falconnier
costumes
Olivier Falconnier se forme à Paris, au studio Berço et
chez Jean Barthet. Il participe à de nombreuses de productions au Théâtre du Châtelet, Opéra de Genève, Lyon,
Londres, avec notamment Patrice Chéreau ou Luc Bondy.
En Suisse, il collabore avec Gianni Schneider, la compagnie Pasquier-Rossier ou, depuis 2010, avec Benjamin
Knobil à l’Opéra de Lausanne pour les enfants et les sortilèges et ses spectacles suivants. Parmi ses dernières
créations : louis germain david de funès de galarza au
Théâtre du Loup ou la résistible ascension d’arturo ui de
Bertolt Brecht au Théâtre Vidy-Lausanne.
Patricia de Anna
chorégraphie
Patricia de Anna est artiste chorégraphique et pédagogue de danse contemporaine. Depuis une vingtaine
d’années, elle chorégraphie et enseigne, notamment
pour l’Opéra Junior de Montpellier ou dans le cadre de
formations professionnelles pour danseurs interprètes
(Epsedanse, Coline) et comédiens (notamment la CIE
Maritime Montpellier).
Comme chorégraphe, elle collabore avec plusieurs
metteurs en scène dont Pierre Castagné, Romain Lagarde
et Benjamin Knobil. Parallèlement, elle est interprète de
danse contemporaine pour Didier Théron, Yann Lheureux,
Jacques Patarozzi et Bruno Pradet.
Eloi Gianini
lumières
Eloi Gianini débute comme régisseur lumière et régisseur
général en 2007. Il collabore avec des compagnies de
théâtre et de danse telles que la Cie Pasquier-Rossier, le
Théâtre des Osses, le Théâtre Vidy-Lausanne, la Cie Marin
ou la Cie Fabienne Berger. Parallèlement, il crée des éclairages de théâtre, d’opéra ou de spectacles musicaux pour
Geneviève Pasquier, Gisèle Salin, Nicolas Michel (K) ou
Jeune Opéra Compagnie.
En 2013, il reprend la direction technique de la compagnie de danse Alias/Guilherme Botelho à Genève. Parmi
ses dernières créations : les aventures de pinocchio pour
le Quintette Eole.
Sophie Marilley
elle
La fribourgeoise Sophie Marilley poursuit une carrière internationale. Après ses débuts à l’Opéra de Fribourg, elle
est en troupe à l’Opéra d’Osnabrück de 2001 à 2005,
puis au Staatsoper de Vienne de 2006 à 2011. Depuis
2011, elle est en troupe au Staatsoper de Stuttgart où
on peut l’entendre dans des rôles tels que Cherubino
(le nozze di figaro), Junon (platée), Donna Elvira (don
giovanni) ou Der Komponist (ariadne auf naxos).
Elle se produit par ailleurs à l’Opéra des Flandres, au
Festival de Wexford, à l’Opéra de St Gall, de Graz, de Lausanne ou au Théâtre royal de la Monnaie à Bruxelles.
Yves Jenny
lui
En plus de 25 ans de carrière, le comédien fribourgeois
Yves Jenny a eu l’occasion de travailler avec les plus
grands metteurs en scène en Suisse et à l’étranger.
Fidèle du Théâtre des Osses, il y est notamment Horace
dans l’ecole des femmes ou Gilbert dans marie tudor de
Victor Hugo (m.e.s. : Gisèle Sallin).
Récemment, il interprète K dans le château de Kafka
(m.e.s : G. Pasquier et N. Rossier) et le Père Finnegan dans
harold et maude (m.e.s. : Jean Liermier) au Théâtre de Carouge. En 2013, il participe à la création de ₁₉₈₄ d’après
Orwell à Genève et joue dans le mari idéal de Wilde
(m.e.s. : Pierre Bauer).
Markus Hollop
le baron
Né à Berlin, Markus Hollop a bâti sa carrière internationale sur sa remarquable voix de basse et son incomparable présence scénique.
Il notamment interprété les rôles suivants : Le Baron
Ochs dans der rosenkavalier de Strauss à Genève, Le
Spectre dans hamlet à Covent Garden, Don Bartolo dans
les noces de figaro à Bastille, Fafner dans siegfried à
Edimbourg, Titurel dans parsifal au Festival de Salzburg
ou Arkel dans pelléas et melissande de Debussy à l’Opéra Comique. Il a notamment travaillé avec les metteurs
en scène Stéphane Braunschweig ou Dan Jemmett et
sous la direction de Sir. J.E. Gardiner.
Marcos García Gutiérrez
le maharadjah
Marcos García Gutiérrez étudie le chant au Conservatoire Supérieur de Musique d´Oviedo, à la Hochschule
für Musik und Theater de Zurich ainsi qu’à la Haute Ecole
de Musique de Genève.
A l’opéra, il aborde notamment Melisso dans alcina
d’Händel, Créon dans medée de Charpentier ou Schaunard dans la bohème de Puccini. Récemment, il est Jupiter dans orphée aux enfers au BFM de Genève ou
Beckmesser dans les maîtres chanteurs pour le Wagner Geneva Festival. En 2010, il participe à la création
de l’opéra l’enfant et la nuit de Franck Villard et Olivier
Balazuc au Théâtre de Vevey.
Alfred Bironien
l’interpète
Le ténor français Alfred Bironien étudie le chant au
Conservatoire de Valenciennes et à l’Ecole Normale Supérieure de Musique de Paris. En 2013, il reçoit le Premier prix au Concours d’Opérettes de Marseille.
Il interprète notamment Monostatos dans la flûte
enchantée de Mozart à Paris, Lille ou Nantes. A l’Opéra
de Liège, il est Phalène dans the fairy queen de Purcell.
Il aborde également les rôles d’Adolphe dans les brigands d’Offenbach à l’Opéra de Limoges et le rôle de
Gonzalve dans l’heure espagnole de Ravel. Il participe
notamment à la création de panéolito de T. Fournier à
l’Opéra de Massy.
Mathilde Opinel
la 1ère servante
Après une Licence de Musicologie à la Sorbonne et un
Bachelor en chant à la Haute Ecole de Musique de Lausanne, Mathilde Opinel termine actuellement un Master
en chant dans la classe de Frédéric Gindraux. Au sein
de la Maîtrise de l’Opéra de Lyon puis de la Maîtrise de
Paris, elle participe à de nombreuses productions (werther, boris godounov ).
Depuis 2011, elle est régulièrement choriste à l’Opéra de Lausanne. On a pu la voir dans la bohème ou la
grande duchesse d’Offenbach. Au printemps 2012, elle
chante dans le chœur de la chauve-souris avec Opéra
Louise.
Salomé Zangerl
la
2ème servante
Après un Bachelor à la Haute Ecole de Musique de Lausanne — Fribourg et à la Hochschule für Musik und Theater de Munich, Salomé Zangerl termine un Master en
chant à la Haute Ecole de Musique de Zurich chez Lina
Akerlund et à l’Ecole normale de Musique de Paris chez
Daniel Ottevaere.
En 2011, elle chante de Mme Petermann dans monsieur choufleuri d’Offenbach avec Opéra Louise. En 2012,
elle est le Knabe dans l’oratorio elias de Mendelssohn et
Rosalinde dans la chauve- souris avec Opéra Louise. En
2013, elle chante Adja dans le voyage dans la lune d’Offenbach avec l’Opéra de Fribourg.
Alain Guerry
le valet de pieds
Né à Fribourg en 1985, Alain Guerry est un comédien diplômé de La Manufacture HETSR en 2013. Auparavant, il
obtient un Bachelor en Lettres à l’Université de Fribourg.
Il est co-fondateur en 2012 du collectif d’écrivains
AJAR – Association de Jeunes Auteurs Romands, invités
à Washington et à Québec en 2014.
Récemment, il crée : con-finement (Paris 2014), conversations électriques (Montpellier 2013), radio music for
one actor (Lausanne 2013), la comédie musicale faces
à faces (Bicubic Romont 2009) et on met l’art à mort
(Fribourg 2007). Il est lauréat du Prix d’art dramatique
Friedl Wald 2011 et 2012.
Orchestre de chambre
fribourgeois
Sous la direction principale de Laurent Gendre, l’OCF
s’attaque à un répertoire très varié, allant de la musique baroque (Bach, Boccherini, Vivaldi) à Mahler
et Chostakovitch, en passant par Mozart, Beethoven
et Mendelssohn, sans oublier la musique française
(de Bizet à Messiaen) et les compositeurs suisses
(Schoeck, Kelterborn).
Il accompagne des solistes comme la mezzosoprano Marie-Claude Chappuis, les pianistes
Ricardo Castro et Etienne Murith, les violonistes
Rachel Kolly et Alexandre Dubach ou la flûtiste
Anne-Laure Pantillon.
A l’Opéra de Fribourg, l’OCF participe aux productions
de barbe-bleue d’Offenbach en 2010, d’eugène onéguine
de Tchaïkovski en 2011, de madame butterfly de Puccini
en 2012 à viva la mamma de Donizetti en 2013 ainsi
qu’au voyage dans la lune d’Offenbach en 2014.
Depuis 2012, l’OCF se produit régulièrement à
Equilibre (Fribourg), tant pour ses propres productions que pour l’accompagnement de l’Opéra de
Fribourg ou de diverses chorales. Lors de récentes
sorties, l’orchestre joue également à l’Opéra de Lausanne, à la Collégiale de Neuchâtel et à l’Opéra
d’Avenches.
Love Louise !
Opéra Louise génère des émotions ! Une mission indispensable. Le soutien aux activités de notre compagnie est
nécessaire à notre travail de création. Au-delà des appuis institutionnels, nous devons compter sur le soutien
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Opéra Louise – compagnie lyrique remercie l’ensemble
des équipes d’Equilibre – Nuithonie ainsi que
blueFactory, la Compagnie nonante-trois, le Nouveau
Monde, le Bilboquet et l’entreprise M. Riedo & Fils SA.
Un merci tout particulier aux bénévoles pour leur
travail et leur engagement si précieux. Enfin, la compagnie remercie chaleureusement ses Lovers !
Opéra Louise - compagnie lyrique
direction artistique
Julien Chavaz
direction musicale
Jérôme Kuhn
production
Léo Chavaz
administration
contact
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Case postale 1522
1701 Fribourg
www.opera-louise.ch
www.facebook.com/operalouise
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Anne-Valérie Zuber
sponsoring et finances
Martine Jaquet
organe de révision
BfB Société fiduciaire
Comité
président
Jean-Baptiste Delèze
Béatrice Acklin Zimmermann
Sophie Dumartheray
Patrik Engisch
Equilibre
Place Jean-Tinguely 1
1700 Fribourg
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