La réserve d`Arusha,La réserve de Manyara,Le Tarangire,Le Selous

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La réserve d`Arusha,La réserve de Manyara,Le Tarangire,Le Selous
La réserve d'Arusha
Cette petite réserve (137 km2) proche de la ville d’Arusha (1
heure de route), recèle des paysages variés et de toute
beauté. La deuxième plus haute montagne de Tanzanie, le mont
Meru (4566 m) domine les autres richesses comme la magnifique
forêt d’altitude, les cratères, les clairières, les lacs de
Momela. De là, on aperçoit à la fois le sommet du Mont Meru
mais aussi du Kilimanjaro.
On traverse d’abord une vaste étendue dégagée appelée « le
petit Serengeti », à la rencontre des girafes, des
phacochères, des buffles et des zèbres avant de s’enfoncer
dans une forêt, où en levant la tête, on aperçoit notamment
des colonies de colobes noirs et blancs. Arrivés au cratère de
Ngurdoto, plusieurs points de vue permettent d’observer des
troupeaux de buffles girafes et phacochères.
Dans la région des
hippopotames sous
croissant et cobes
d’une avifaune très
las de Momela, on assiste aux bains des
les regards non seulement des cobes à
des roseaux mais également des hérons et
riche.
La réserve de Manyara
Ce petit parc n’a rien à envier aux grands parc de Tanzanie.
Le lac Manyara occupe les deux tiers de sa superficie. Le mot
« Manyara » vient d’Emanyara (Euphorbia tirucalie), une plante
locale nommée ainsi par les massais qui l’utilise pour
fabriquer leurs palissades et leurs huttes. Le lac daterait
d’il y a deux ou 3 millions d’années, suite à la formation de
la Vallée Du Grand Rift. Le débordement consécutif des cours
d’eau par dessus les parois de la vallée aurait provoqué
l’accumulation de l’eau dans la cuvette en contrebas. Cette
description donne déjà l’idée des panoramas époustouflants de
cette région splendide!
Un safari au lac Manyara commence par la traversée d’une forêt
d’arbres géants (acajou, croton, figuier-sycomore, palmiers
d’espèces variées), peuplée de papillons sauvages mais aussi
de singes variés, dont les babouins et les singes bleus jouant
au bord de la route. On y croise également des éléphants
préférant utiliser les chemins plutôt de s’enfoncer dans les
sous-bois.
Comme dans le Tarangire, les lions aiment grimper sur les
branches des acacias dans cette réserve.
Plus on s’enfonce vers le sud, plus le terrian devient sec et
la forêt fait place à la brousse: le terrain des buffles, des
zèbres, des gazelles, des girafes etc…
Arrivés au lac, peu profond et alcalin, le spectacle
ornithologique s’offre à vous: des aigles-batteleurs, des
aigles-pêcheurs planant majestueusement dans les airs, des
pélicans, des flamants, des cormorans, des hérons, des ibis
sacrés, des grues couronnées, des marabouts, des hérons et des
dizaines d’autres espèces …
Les hippopotames, eux aussi, ont fait, de cet endroit riche,
un de leurs endroits favoris.
A l’extrémité sud du parc, 2 groupes de sources d’eau chaude
(jusqu’à 60°c), les Maji Moto, riches en composants chimiques,
colorent la terre de toutes les nuances de la palette.
Le Tarangire
Ce parc porte le nom de la rivière qui le traverse. Celle-ci
prend sa source dans les hautes terres de Kondoa au Sud et
s’écoule vers le nord sur toute la longueur du parc. Pendant
la saison sèche (de juin à octobre), elle ne s’assèche pas,
c’est alors que les animaux s’y rassemblent en grands groupes
pour s’y abreuver. En juin, les élans et les oryx arrivent et
sont suivis par les gnous, les zèbres et les éléphants.
Observer du sommet d’une colline un panorama sur les troupeaux
d’éléphants dans la rivière vaut vraiment le détour.
Le Tarangire fait partie d’une vaste région de migration
s’étendant jusqu’au nord, dans la réserve d’Amboseli du Kenya.
Le paysage constitué de collines basses, décorées par de
nombreux baobabs géants et de forêts d’acacias différencie
particulièrement la réserve du Tarangire de celles du
Ngorongoro et du Serengeti. De nombreux marais et rivières
composent aussi ses paysages et elle offre une très grande
variété de végétation et d’habitats. Les cours d’eau sont
bordés d’arbres gigantesques dont les figuiers sycomores, les
tamariniers et les kigélias.
Le Selous
Située dans le sud, le Selous est la plus grande réserve
d’Afrique et la deuxième du monde avec une superficie de 45
000km (comparable à la superficie du Danemark) Elle héberge
plus d’un million d’animaux. Les safaris se limitent cependant
au nord de la Rufiji River, le sud de la rivière étant
2
.
dépourvu de pistes entrecouvert principalement de forêts et de
falaises. Le bassin hydrographique de la la grande Rufiji
River est les pus important d’Afrique de l’est. Sur les bancs
de sable on observe par exemple d’énormes crocodiles qui
s’élancent brusquement dans l’eau après avoir guetté
longuement leur proie, mâchoire ouverte. Le spectacle du
coucher de soleil sur cette rivière gigantesque vous offre un
tout grand moment de la magie des fleuves africains.
La nature sauvage, très peu soumise à toute intervention
humaine donne la réelle sensation d’être au bout du monde. On
y traverse de vastes prairies interrompues par des forêts
fluviales.
The Selous
Located in the South, the Selous is the largest reserve in
Africa and the second in the world with an area of 45
00
0 km2
(comparable to the Denmark area) It hosts more than a million
animals. Safaris are limited however North of the Rufiji
River, South of the river being devoid of trails entrecouvert
mainly of forests and cliffs. The watershed of the great
Rufiji River is the pus of East Africa. On the sandbanks is
observed for example huge crocodiles that soar abruptly into
the water after having watched at length their prey, open jaw.
The spectacle of the sunset on this gigantic River offers a
wide time of the magic of the African rivers.
.
Wild nature, very little subject to human intervention gives
the real feeling of being at the end of the world. It passes
through vast grasslands interrupted by river forest.
La réserve de Ruaha
Le mot« Ruaha », dans la langue Hehe, signifie « rivière ».
L’immense rivière qui traverse cette réserve y crée des
paysages grandioses. Cette deuxième plus grande réserve de
Tanzanie est une des moins visitées, ceci est dû à son
isolement et ceci la magnifie davantage.
Le parc national de Ruaha renferme une grande diversité de
plantes et d’animaux, notamment les éléphants, les buffles,
les antilopes et certaines espèces rares et en voie de
disparition comme les chiens sauvages d’Asie. Le grand koudou
(Tragelaphus strepsiceros) ne se trouve dans aucun autre parc
national.
Son écosystème presque vierge et inexploré offre aux visiteurs
la possibilité de faire un safari vraiment unique.
La rivière Ruaha, ainsi que d’autres comme les rivières
Mwagusi, Jongomero et Mzombe servent de ligne de vie du parc.
Pendant la saison sèche, ces rivières deviennent les
principales sources d’eau pour la faune et la flore. Quelques
sources naturelles répondent à la même finalité. Les éléphants
y trouvent de l’eau dans le sable sec à l’aide de leurs pattes
avant et de leur trompe. Les autres chutes du long de la
rivière de la Grande Ruaha constituent aussi un habitat
important pour les hippopotames, les poissons et les
crocodiles.
Le parc sert de point d’eau à la fois pour la faune, la flore
et la population. Cela lui confère une importance économique
puisqu’il soutient les activités agricoles an aval et fournit
au pays de la puissance hydroélectrique aux barrages de Mtera
et Kidatu.
The reserve of Ruaha
The word "Ruaha» language Hehe means"River ". The huge river
that flows through this reserve created grandiose landscapes.
The second largest reserve of Tanzania is one of the least
visited, this is due to its isolation and this magnifies it
more.
The Ruaha national park contains a wide variety of plants and
animals, including elephants, buffaloes, antelopes and some
rare species and endangered as the wild dogs of Asia. The
greater Kudu (Tragelaphus strepsiceros) is located in any
other national park.
Its almost Virgin and unexplored ecosystem offers visitors the
opportunity to make a truly unique safari.
The Ruaha River, as well as others like the Mwagusi, Jongomero
and Mzombe rivers serve as a lifeline of the Park.
During the dry season these rivers become the main sources of
water for wildlife and flora. Some natural sources meet the
same purpose. The elephants will find water in dry sand by
using their front paws with their proboscis. Other falls along
the great Ruaha River are also important habitat for hippos,
fish and crocodiles.
The Park serves as a point of water both for fauna, flora and
people. This gives it economic importance since it supports
activities agricultural year downstream and provides the
country's hydroelectric power at the Mtera and Kidatu dams.
The Udzungwa mountains
The mountainous Arc, also nicknamed 'African Galapagos',
consists of 12 mountains. The highest of them is called
Udzungwa. The Udzungwa lush, primeval forest, stretches
without interruption since 250 meters of altitude up to 2,000
meters.
A half-day through the forest walk leads to the fall of Sanje.
It plunges into fine droplets on 170 metres into the Valley.
Six primate species recorded, two exist anywhere else: the red
colobus of Iringa and sanje Sanje crested. The latter only was
discovered in 1979 by biologists.
On 400 ornitholigiques referenced, as pretty and common Greenheaded oriole and more than a dozen species endemic species,
four bird species are specific to Udzungwa. For example, the
Partridge's discovery forest for the first time in 1991 is
closer to an Asian genus than to any other volatile African.
Les montagnes d'Udzungwa
L’Arc montagneux de l’est, surnommé également « les Galapagos
Africaines », se compose de 12 montagnes. La plus haute
d’entre elles s’appelle Udzungwa. La forêt d’Udzungwa
luxuriante et primitive, s’étend sans interruption depuis 250
mètres d’altitude jusqu’à 2 000 mètres.
Une promenade d’une demi-journée à travers la forêt conduit à
la chute de Sanje. Celle-ci plonge en fines gouttelettes sur
170 mètres , jusque dans la vallée.
Sur six espèces de primates enregistrées, deux n’existent
nulle part ailleurs : le colobe rouge d’Iringa et le cercocèbe
à crête de Sanje. Ce dernier ne fût découvert qu’en 1979 par
des biologistes.
Sur les 400 espèces ornitholigiques référencées, comme la
jolie et fréquente oriole à tête verte et plus d’une douzaine
d’espèce endémiques, quatre espèces d’oiseaux sont spécifiques
à Udzungwa. Par exemple, la perdrix de forêt découverte pour
la première fois en 1991 est plus proche d’un genre asiatique
que de tout autre volatile africain.
Mikumi
The Mkata plain, surrounded by mountains, give a special stamp
to the reserve of Mikumi. The list of animals to discover is
important, it is also there that you can cross the momentum,
the largest and most powerful the world's antelope. Only 5 km
from the entrance door, two lakes are many hippos and many
species of waterfowl.
The Serengeti and the Mikumi are frequently compared. This
above all by the similarity of its plains of open savannah and
abundant wildlife of the Mkata floodplain, the main attraction
of Mikumi.
At the foot of the mountains rising around the Park, found in
the Woods the greater kudu and the Roan but also more than 400
species of birds, including the Eagle, bateleur, the European
Purple-throated roller, the Sentinel yellow-throated, joined
by migrating Europeans during the rainy season.
Mikumi
La plaine de Mkata, entourée de montagnes, donnent un cachet
spécial à la réserve de Mikumi. La liste des animaux à
découvrir est importante, c’est d’ailleurs là-bas que l’on
peut croiser l’élan, la plus grande et plus puissante antilope
du monde. A seulement 5 kms de la porte d’entrée, deux lacs
comptent de nombreux hippopotames et de nombreuses espèces
d’oiseaux aquatiques.
On compare fréquemment le Serengeti et le Mikumi. Ceci surtout
par la similitude de ses plaines de savane ouvertes et de la
faune abondante de la plaine inondable de Mkata, l’attraction
principale de Mikumi.
Au pied des montagnes s’élevant autour du parc, on trouve dans
les bois le grand Koudou et l’hippotrague noir mais aussi plus
de 400 espèces d’oiseaux, dont l’aigle bateleur, le rollier
d’Europe à gorge mauve, la sentinelle à gorge jaune, rejoints
par les migrateurs européens pendant la saison des pluies.
Le Kilimanjaro
Le Kilimandjaro : toucher le ciel ! Culminant à près de six
kilomètres de haut, le Kilimandjaro rejoint le ciel et
illustre à lui seul toutes la complexité et les contradictions
de la nature. Les glaciers qui recouvrent son extrémité
s’étendent sur deux kilomètres carrés. Ils semblent défier les
fumerolles qui, non loin de là, démontrent la reprise d’une
activité volcanique.
Eprouvante physiquement, l’ascension du Kilimandjaro reste
néanmoins un défi accessible. Il peut être réalisé en quatre à
cinq jours, en logement « camping ». Pas à pas, avec
l’altitude, la végétation tropicale luxuriante se transforme
petit à petit en environnement sec, puis enneigé.
Apothéose du périple, l’arrivée au sommet a lieu au lever du
soleil. Mais dépêchez-vous : les conditions extrêmes (le
froid, le manque d’oxygène dû à l’altitude,…) ne vous
permettront de rester là-haut bien longtemps. Un moment d’une
rare intensité, perché sur l’un des toits du monde…
Kilimanjaro
Kilimanjaro: touch the sky! Culminating nearly six kilometres
high, Kilimanjaro joined the sky and shown to him alone all
the complexity and contradictions of nature. The glaciers that
cover the end extend over two square kilometres. They seem to
defy the fumaroles demonstrating not far away, the resumption
of volcanic activity.
Trying physically climb the Kilimanjaro remains nevertheless
an accessible challenge. It can be made in four to five days,
in lodging 'camping '. Step by step, with altitude, the lush
tropical vegetation turns gradually into dry environment, then
snowy.
Apotheosis of the journey, arrival at the Summit takes place
at the sunrise. But hurry: the extreme conditions (cold, lack
of oxygen due to the altitude,…) don't allow you to stay up
there long. A moment of rare intensity, perched on one of the
roofs of the world…
Le cratère du Ngorongoro
La huitième merveille du monde! Sur terre, il est de ces lieux
magiques, préservés de tout. Si le jardin d’Eden existe, il
est au cœur du N’goro N’goro. Le site n’est autre qu’une
caldera : un volcan dont le pic s’est effondré. Il en résulte
une grande plaine de plus de 300 kilomètres carrés. Un cadre
fascinant où l’homme et les animaux évoluent côte à côte.
Né du même gigantesque soulèvement tectonique à l’origine de
la Vallée du Grand Rift et culminant aujourd’hui à 2285 m, il
renferme la plus grande caldeira
la planète, d’une surface de
d’environ 18 km. En son point
cratère domine le fond de plus de
volcanique encore entière de
260 km2 et d’un diamètre
le plus élevé, le bord du
600m.
Le N’goro N’goro est le seul endroit où vit le rhinocéros
noir. Les tribus Massaï y évoluent également en totale
symbiose avec l’environnement. Si la présence d’étrangers ne
les dérangent pas a priori, elles n’ont pas sacrifié leur mode
de vie sur l’autel touristique. Les Massaïs vivent dans une
étonnante symbiose avec l’environnement. Au Ngorongoro comme
un peu partout en Tanzanie, l’activité touristique est
soigneusement gérée afin que les profits générés contribuent
au maintien de la protection du cadre naturel.
Pour arriver à ce cratère exceptionnel, la jeep 4X4 grimpe
d’abord
les flancs. La végétation tropicale aux arbres
immensément hauts offre un spectacle éblouissant. Panorama
époustouflant sur le cratère avant d’y descendre pour un
safari.
Plus de 30 000 animaux peuplent le fond du cratère. Les tribus
Masai y côtoient la faune sauvage. Ont également élu domicile
dans le cratère : de nombreux flamants roses, pélicans et
hippopotames sur les bords du lac Magadi et la plus grande
concentration de lions en Afrique.
The Ngorongoro Crater
The eighth wonder of the world! On Earth, it is these magical,
of all places. If the garden of Eden exists, it is at the
heart of no goro is goro. The site is nothing but a caldera: a
volcano whose peak collapsed. The result is a large plain of
more than 300 square kilometres. A framework fascinating where
humans and animals evolve side-by-side.
Born of the same gigantic uprising tectonic originally from
the Great Rift Valley and culminating today in 2285 m, it
contains the largest yet full volcanic caldera of the planet,
with a surface area of 260 km2 and about 18 km in diameter.
Its highest point, the edge of the crater dominated the bottom
of more than 600 m.
The no goro is goro is the only place where lives the black
rhinoceros. The Maasai tribes are also evolving total
symbiosis with the environment. If the presence of foreigners
do not disturb them a priori, they did not sacrifice their way
of life on the tourist altar. The Masai live in an amazing
symbiosis with the environment. The Ngorongoro as everywhere
in Tanzania, tourist activity is carefully managed so that
generated profits contribute to the maintenance of the
protection of the natural environment.
To arrive at this exceptional crater, the jeep 4 x 4 first
climbs the flanks. Tropical vegetation to the immensely high
trees offers a dazzling show. Breathtaking panoramic view of
the crater before there descend to a safari.
More than 30,000 animals inhabit the bottom of the crater. The
Masai tribes are alongside the wildlife. Also housed in the
crater: many pink flamingos, pelicans, and hippos on the edges
of Lake Magadi and the largest concentration of lions in
Africa.
Le lac Natron
Le lac Natron est un lac salé alcalin d’origine tectonique et
de superficie variable. Il est situé à l’extrême Nord de la
Tanzanie, à la frontière avec le Kenya et au nord des deux
montagnes appartenant au massif du Ngorongoro : le mont Gelai
et l’Ol Donyo Lengai (le volcan sacré des Massaïs).
Le lac Natron est un lac relativement hostile à la vie : des
températures pouvant atteindre jusqu’à 60°c, une forte
salinité et un PH aussi haut que 10,5. Et pourtant des espèces
de poissons s’y sont adaptées (quelques espèces de tilapias
alcalins par exemple) ainsi que des micro-organismes comme les
spirulines et les cyanobactéries.
Ses eaux chargées de micro-organismes attirent une communauté
importante de flamants nains, ils s’y régalent d’algues
bleues. Le lac constitue le lieu de reproduction et de
nidification permanent le plus important d’Afrique de l’Est
pour les flamants roses (flamants nains – Phoeniconaias
minor). Sa population peut atteindre jusqu’à 2,5 millions
d’individus. Le lac constitue aussi un lieu de vie temporaire
ou permanent pour 100 000 autres oiseaux aquatiques. Les plus
grands rassemblements ont lieu lorsque le niveau du lac est
suffisamment bas pour fournir une concentration élevée en
spirulines (algues bleues), dont se nourrissent les flamants
nains. Ses eaux alcalines
leur offrent une protection
naturelle contre les prédateurs, ils ne peuvent s’aventurer
jusqu’aux oiseaux ou leurs nids.
Un spectacle d’une beauté infinie.
Ce lac est très peu profond, ses apports en eaux n’étant dus
qu’aux précipitations. Sa profondeur ne dépasse pas les 3
mètres. Ce lac se comporte comme une immense saline naturelle.
Sa forte concentration en sels, dont le bicarbonate de soude,
forment des croûtes et plateformes blanchâtres parfois
colorées en rose-rouge par des micro-organismes aquatiques.
Son nom évoque le « natron », un minéral dont l’un des
constituants, le bicarbonate de soude, est dissous en grande
quantité dans ses eaux. Sa teneur en sels minéraux est
tellement élevée que seuls des organismes particulièrement
adaptés peuvent y survivre.
Lake Natron
Lake Natron is an alkaline Salt Lake of tectonic origin and
variable area. It is located in the extreme north of Tanzania,
on the border with the Kenya and North two mountains belonging
to the massif of the Ngorongoro: mount Gelai and Ol Donyo
Lengai (the sacred volcano of the Maasai people).
Lake Natron is a relatively hostile to life Lake: temperatures
that can reach up to 60 ° c, high salinity and PH as high as
10.5. And yet fish species is there are suitable (a few
species of alkaline tilapia for example) as well as
microorganisms such as the spirulina and cyanobacteria.
Its micro-organisms-laden waters attract a large community of
flamingos, they feasting of blue-green algae. The Lake is the
place of reproduction and nesting the largest permanent for
flamingos (flamingos – Phoeniconaias minor) East Africa. Its
population can reach up to 2.5 million people. The Lake is
also a place of temporary or permanent life for 100 000 other
aquatic birds. The largest gatherings take place when the lake
level is low enough to provide a concentration high spirulina
(algae), which feed the flamingos. Its alkaline waters provide
a natural protection against predators, they can venture to
the birds or their nests.
A show of infinite beauty.
This Lake is very deep, its waters due to precipitation
inputs. Its depth does not exceed 3 meters. This Lake behaves
like an immense natural saline. Its high concentration of
salts, including sodium bicarbonate, form crusts and whitish
platforms sometimes colored pinkish-red by aquatic
microorganisms.
Its name evokes the "natron", a mineral whose one of the
constituents, baking soda, dissolved in large quantities in
its waters. Its mineral content is so high that only specially
adapted organisms can survive.
The
Western
Kilimanjaro
Vast
savanna
Plains
extend
region
West
of
Kilimanjaro
of
(West
Kilimanjaro – 250 km 2 ). They stretch between the highest
mountain of Africa: Kilimanjaro (5895 m) and the second
highest mountain in Tanzania, Mount Meru (4565 m). It is at
the end of these Plains inhabited by Maasai them that begins
the Amboseli, the Kenya famous safari reserve.
This region far from any offers, in addition to the
spectacular panorama on Kilimanjaro, an immersion in Maasai
them who live in harmony with the wild nature. There is a
significant presence of elephants, and for example species
such as the gerenuk (or antelopes giraffes), the kudu, the
boses (or bat-eared foxes), or the striped hyenas.
La
région
Kilimanjaro
De
vastes
plaines
de
savane
Ouest
s’étendent
à
du
l’Ouest
du
Kilimanjaro (West Kilimanjaro – 250 km 2 ). Elles s’étendent
entre la plus haute montagne d’Afrique : le Kilimanjaro (5895
m) et la deuxième plus haute montagne de Tanzanie, le Mont
Meru (4565 m). C’est au bout de ces plaines habitées par les
massais que débute l’Amboseli, la réserve de safari célèbre du
Kenya.
Cette région loin de tout
offre, en plus du panorama
spectaculaire sur le Kilimanjaro, une immersion chez les
Massais qui vivent en harmonie avec la nature sauvage. On y
trouve une présence importante d’éléphants, et par exemple
d’espèces comme les gérénuk (ou antilopes girafes), les kudus,
les otocyons (ou renards à oreilles de chauve-souris), ou les
hyènes rayées.
The Serengeti
This Park has the largest concentration of large mammals in
Africa. It covers an area of 14.763 km2. Its name 'Serengeti'
means language Maasai 'endless plains '.
The Serengeti national park: the great migration without end
of the wildebeest.
This sublime nature reserve contains a fauna to surprising
behavior. Millions of wildebeest (species of antelope) migrate
permanently throughout the year. Before you, it is an infinite
row of animals parading in a ballet wild breathtaking. A mindblowing show!
In the Serengeti, it is possible to contemplate the wild
nature more closely. In the heart of the eco-system, you
measure the astonishing balance between different species.
When a lion feels hunger, he simply "use" among this huge
pantry. And this, just a few metres from your eyes!
It should be noted that this national park has hundreds of
different species of mammals, birds, reptiles, insects and a
wide variety of vegetation.
Le Serengeti
Ce parc possède la plus grande concentration de grands
mammifères en Afrique. Il couvre une superficie de 14.763
km2. Son nom, « le Serengeti » signifie en langue massai « les
plaines sans fin ».
Le parc national du Serengeti : la grande migration sans fin
des gnous .
Cette sublime réserve naturelle recèle une faune au
comportement étonnant. Des millions de gnous (espèce
d’antilope) y migrent en permanence toute l’année. Devant
vous, c’est donc un rang infini d’animaux qui défilent, dans
un ballet sauvage à couper le souffle. Un spectacle
hallucinant !
Au Serengeti, il est possible de contempler la nature sauvage
au plus près. Au cœur de l’éco-système, vous mesurez
l’équilibre étonnant qui règne entre les différentes espèces.
Lorsqu’un lion ressent la faim, il lui suffit de se « servir »
parmi cet énorme garde-manger. Et cela, à quelques mètres
seulement de vos yeux !
A noter que ce parc national compte des centaines d’espèces
différentes de mammifères, d’oiseaux, de reptiles, d’insectes
ainsi qu’une très grande variété de végétation.