Linux.

Transcription

Linux.
: pourquoi Java
fait peur à Microsoft ?
e
pOS décortiqué
■ %
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
RiscOS :
les secrets d 'u n
systèm e é to n n a n t
.... Amiga : la g u e rre
des é m u la te u rs Pc
M ensuel
Linux : plein fe u x
su r les ré p e rto ire s
et p a ck a g e s
379230603700800420
La plus grande compilation d'archives Limm
avec manoel d'installation en français !
Chaque distribution Linux est
accom pagnée de son manuel
d'installation en français. Ce
pack de 6 CD contient tout ce
qui est nécessaire à
l'installation et à l'exécution de
Linux ainsi que les archives
issues de tsx-1 1.mit.edu.
Incluses les distributions Linux
suivantes :
• CD 1 - RedHat 4.1
• CD 2 - Slackware 3.2
• CD 3 - Debian 1.2.9
• CD 4 - M kLinux DR2.1 et
m68k Atari et Am iga
• CD 5 et 6 - Archives T S X -1 1 :
XFree86 (Version 3.2 et 3.2a),
sources des noyaux jusqu'au
2.0.30 et 2.1.33, W INE
(ém ulateur W indow s),
distributions Latex et
Gutem berg...
pVtMMllHN
Documentations
- ‘- r
- i - U“
ttau»
Xtch. tvô6 -
Offre spéciale
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Dream
avec le partenariat d'Alcyonis, fournisseur
d'accès internet (www.alcyonis.fr)
1
6
0
ÿlll\
Oui ! Je souhaite com m ander le pack Freedom Cocktail au prix de 162 francs (frais de port inclus).
Ci-joint un chèque de 1 62 francs libellé à l'ordre des Logiciels du Soleil.
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O ffre à re n vo ye r a u x L o g ic ie ls du So leil, BP 112, 1, rue P a sq u a lin i, 0 6 8 0 0 C a g n e s sur Mer.
R e n se ig n e m e n ts p a r té lé p h o n e : 0 4 93 14 01 55, fa x : 0 4 93 14 36 75.
F
La période estivale a ceci
de particulier qu'elle laisse
deux fois plus de temps
pour savourer la lecture
de Dream. Ca tombe bien,
ce numéro est deux fois
plus compact que
d'habitude ! Des articles
de fond viennent
agrémenter le Courant
alternatif le labo
s'enrichit d'un comparatif
exclusif; un dossier
supplémentaire introduit
la rubrique En pratique et
une nouvelle série débute :
il sera désormais possible
de suivre tous les mois une
saga sur l'histoire de
l'informatique dans la
zone libre ! Mais, fin du
fin, l'événement du mois
est l'apparition du
système RiscOS dans nos
colonnes.
Le CD-Rom n'est pas en
reste ce ne sont pas
moins de 1100 utilitaires,
650 démos et 520 jeux
pour Amiga, Linux; Risc
Pc, Atari et BeOS qui vous
sont cette fois-ci offerts !
De quoi occuper toutes
vos vacances en attendant
de partir au soleil !
C D -R o m - p a g e 4
La guerre des émulateurs : Pc Task
4.2 contre Pcx 1.1 ! Photodesk, le
P hotoshop du RiscO S est là. Que
vaut la b u reau tiq u e sur A m iga ?
Toutes les nouveautés pour Linux.
;
En p ra tiq u e - p a g e 36
Plus de 1100 utilitaires, 650 démos
et 520 jeux pour Amiga, Linux, Risc
Pc, Atari et BeOS ! Un contenu parti­
culièrement ludique en cette pério­
de estivale.
-Vpplicatio
Un mini dossier exclusif : ajoutez des
extensions à votre Am iga ! Spécial
L in u x : in s ta lle z X W in d o w sur
Am iga, com prendre le fonctionne­
ment de Linux et suite de la forma­
tion au Shell. Nouveau : tout savoir
sur RiscOS !
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
C o u ra n t a lte r n a tif - p a g e 6
Snwsr'
# P ro g ra m m a tio n - p a g e 4 6
Suite de nos in itia tio n s à T cl/tk,
Java, le C et l'assembleur.
,
# Fo ru m - p a g e 5 4
En avant-prem ière : Dream décor­
tique pOS pour vous ! Le RiscOS fait
son en trée d ans le m a g a zin e et
Linux est adapté sur Nintendo 64.
La réponse à toutes vos questions
dans la rubrique courrier. Trouvez la
b o n n e a ffa ire du m ois d an s les
petites annonces !
• Z o n e lib re - p a g e 5 8
D o ssie r - p a g e 16
Tout sur Java le langage universel
qui fait trembler Microsoft et pour­
quoi vous allez devoir l'adopter !
i
La b o - p a g e 2 4
SHf»c»«ar.
•ffiRIGmiRH»
A b o n n e m e n t P.15
D re a m 's b o o tik P.66
"i3- WÏM'S: i/i0
D/5D
«
—
__
Des tonnes de previews, toutes les
dém os de cet été et les je u x du
mois. Nouveau : une rubrique consa­
crée à l'histoire de la micro ! Premier
chapitre : les débuts d'Apple.
S/ CD •
rrti
-ü I
Répertoire Amiga
Plus de 1100
u tilitaires,
650 dém os
et 520 jeux,
un CD-Rom
to p délire !
Chose promise, chose
dûe. Dream vous
offre désormais tous
les mois un CD-Rom
exclusivement dédié
aux ordinateurs
alternatifs. En cette
période estivale,
nous avons insisté sur
un contenu...
Ludique !
Et pour continuer sur
notre lancée nous
fournissons cette foisci aux utilisateurs
d'Amiga et d'Atari
l'environnement X
Window qui
agrémentera la
distribution Linux
m68k fournie sur le
précédent CD-Rom.
A noter l'apparition
d'un nouveau venu :
avec plus de 40 Mo
le répertoire RiscOS
comblera tous les
afficionados de cette
merveilleuse machine
qu'est le Risc Pc !
Les d é m o s
Près de 500 intros rien que pour vos yeux !
A tte n tio n , les dém os font des appels
directs aux composants de votre ordina­
teur. Ce qui explique que certaines ne vou­
dront tourner que sur 1200 et d'autres uni­
quement sur 500. Petit bonus historique :
la collection complète des démos primées
à l'Assembly 95 !
Oui ! Il y a même des jeux 3D pour Amiga !
Le s d o cs
C om m ent m onter son 1200 en boîtier
Tower ? Quelle est la propulsion du vais­
seau Starfighter dans Babylon V? Autant de
questions auxquelles répondent les ency­
clopédies Am igaguide contenues dans ce
répertoire.
Le s je u x
Incroyable, la collection complète des jeux
shareware qui se pratiquent à deux, soient
près de 1 30 titres ! Et pour aller encore
plus loin, nous vous offrons également plus
de 100 démos jouables de produits com­
merciaux !
L in u x
Une version unique de X Window qui fonc­
tionne... Sans Linux ! L'interface graphique
est même fournie avec toute une série
d'utilitaires dédiés permettant de re-comp ile r les a p p lic a tio n s U nix/Linux
(Com pileXl 1), de retoucher les im ages
(Xv), de faire du dessin vectoriel (Xfig) et
plein d'autres choses encore !
Le s p ilo te s
Quasiment tous les pilotes pour gérer au
mieux votre lecteur de CD-Rom , les for­
mats spéciaux de vos disquettes, les modes
de votre carte graphique, les spécifications
de votre imprimante, les subtilités de votre
réseau, les détails de votre scanner... Vous
trouverez même des pilotes pour cartes
d'extension ésotériques ou pour brancher
une souris Pc ! Au total, plus de 135
fichiers !
W o rk b e n c h
Plus de 450 commodités et 80 datatypes
pour custom iser votre Workbench ! En
bonus, quelques patchs pour faire passer
certaines librairies en V43.
Répertoire Atari
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
,
,
Les a rc h iv e u rs
Une compilation de 40 outils pour com­
presser et décompresser toutes vos don­
nées !
C D -R o m
Neuf pilotes pour reconnaître n'importe
quel lecteur de CD-Rom sur n'importe quel
compatible Atari.
Les d é m o s
82 démos réunies qui feront littéralement
exploser votre machine !
Le C D - R o m sur A m i g a , mode d' empl oi
Tous les logiciels destinés à l'Amiga se trouvent dans un tiroir du même nom, à la racine
du CD. Attention, le CD-Rom étant multi plate-forme, son formatage est universel. Ce qui
signifie qu'il est tout à fait lisible à partir de n'importe quel Amiga, mais que les icônes
n'apparaissent pas. Pour naviguer dans les sous-répertoires, il conviendra donc de
sélectionner le menu Fenêtre/Montrer.../Tous les fichiers du Workbench, histoire de voir
quand même les fichiers à l'écran. Petit truc : sélectionnez aussi Fenêtre/Afficher.../par
nom pour que le contenu des fenêtres soit plus lisible.
Afin de gagner un maximum de place et vous offrir un toujours plus de logiciels, tous les
fichiers Am iga sont compressés en Lha, ce qui réduit leur taille avec un facteur très
intéressant de 2,5. Pour leur rendre une taille normale, il suffit de les décompresser avec la
commande suivante :
Lha x <fichier à décompresser>
Cette commande se tape dans une fenêtre Shell. Les fichiers décompressés se copient
automatiquement dans la Ram Disk (pour peu que l'invité du Shell, lui corresponde, sinon
tapez avant toute chose CD Ram: ). En cas d'erreur, vérifiez que la commande Lha se
trouve bien dans le tiro ir C/ de votre Workbench. Notre conseil : autom atisez la
commande dans un bouton de Directory Opus ou employez un utilitaire graphique du
style Unarchiver pour ne plus avoir à taper l'instruction à chaque fois.
Les je u x
217 jeux shareware pour passer un été
inoubliable !
Lin u x
Tous les utilitaires pour lancer Linux sur
votre Atari (bizarrement absents sur le CD
du mois dernier...).
grâce à notre CD-Rom du mois dernier !
F o n ce z vite en p age 39 pour tout
connaître sur l'installation de cette fabuleu­
se interface !
Répertoire BeOS
Le s d é m o s
Près de 60 démos pour démontrer la supé­
riorité du Risc Pc !
Le s je u x
72 jeux dans tous les genres qui transfor­
meront votre machine en véritable borne
d'arcade !
In te r n e t
un kit de co nnexion Internet com plet,
composé d'une trentaine d'utilitaires indis­
pensables !
Le s o u t ils
1 3 antivirus et 21 archiveurs pour travailler
en toute sécurité avec tous les shareware
qui circulent sur les réseaux.
A w a rd s
Une sélection des cinq meilleurs logiciels
primés lors de la récente conférence des
développeurs.
E m u la tio n
BeBoy, l'indispensable émulateur Gameboy
pour votre BeOS !
Les je u x
deux fabuleux jeux en 3D !
Les o u tils
Plusieurs outils pour agrém enter votre
interface.
Répertoire Risc Pc
Tous les labos Linux sont sur le CD.
Le s R p m
Près de 600 free software pour la Red bat !
Retrouvez tous les logiciels testés depuis
quatre mois dans la rubrique labo !
Répertoire Linux-68k
X fr e e 6 8
La version com­
plète du systè­
me X W indow
po u r
Linux
m 68k, autre-
Répertoire Linux
Xfree 68 sur Amiga !
Le K e rn e l
Les tous derniers noyaux Linux !
m ent dit pour
tous les Am iga
et Atari qui fonctionnent déjà sous Linux
Répertoire Phoenix
Le catalogue complet de ce célèbre éditeur
qui monte !
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VAV VIDEO
Modem
agrée PTT
590 FRS
CARTES APOLLO
2030/882 50 Mhz + SCSI
1240 33 Mhz pour A1200
1240 40 Mhz pour Al 200
4040 40 Mhz + SCSI
4060 50 Mhz + SCSI
DISQUES DURS
IDE
1 Go 1250 Frs
1,2 Go 1300 Frs
2,5 Go 1750 Frs
SCSI
2 Go 2340 Frs
3 Go 2660 Frs
Autre capacité NC
2000 Frs
1950 Frs
2300 Frs
3000 Frs
4500 Frs
Tel :04.91.53.10.10
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Mémoires
4 Mo Ne
8 Mo Ne
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p O S e n fin d is p o n ib le !
En développement depuis plus d'un an, pOS s'annonçait comme une suite logique
de l'AmigaOS, le m ulti-plateform e en plus. A l'heure où Am iga International
relance le développement de son système d'exploitation, pOS se montre enfin au
grand public.
D
aucun pilote n'a encore été adapté pour
ébut 1996, le constructeur alle­
lui, le système de ProDad récupère ceux
m and Escom en trait dans une
du Workbench. Il devient dès lors possible
période de crise qui allait lui être
fatale. Présageant la mauvaise augure, de
les lancer pO S sur écran C yb ergrap h x,
employés de la filiale Amiga Technologies
□ |pos Tctri.5
sont alors nombreux à vouloir vendre leur
D L iJ
génie ailleurs. Si certains se sont retrouvés
chez le partenaire Phase 5, les autres se
so n t re g ro u p é s au to u r de l'é d ite u r
ProDad. Il faut dire qu'à l'instar de Phase
î fr Hy EH
5, ProDad (pour Pro digital anim ation
d evelo p m en t) a une certaine idée du
devenir de l'Amiga. Et plus particulière­
m ent de son systèm e d 'e x p lo ita tio n ,
y M Hy y y y :
l'AmigaOS. L'éditeur y trouve en effet une
1J ._LL-1. 1M H
in sp ira tio n te c h n o lo g iq u e pro m p te à
y üHH yy y y j j ggB ÿ
assouvir les besoins in form atiques de
y u u mMI -i
demain. Alors que les licences d ’AmigaOS
y y lïjljlu
sont devenues inaccessibles, suite à la
faillite d'Escom, ProDad engage à tour de
La seule application, pour l'instant,
bras les anciens ingénieurs de l'Amiga et
pleinement utilisable : Tetris !
leur demande de continuer le travail. Les
dans la résolution que l'on veut, et de pro­
jalons de pOS étaient posés.
fiter du lecteur de CD-Rom ou des dis­
E n c o re en p ré -v e rs io n
En attendant le CD-Rom de démonstra­
quettes au format Pc.
D es a p p lic a t io n s s p é c ifiq u e s
tion, qui devrait être disponible pour le
Bien que pOS ait directement accès aux
grand public au cours de cet été, nous
disques durs de l'Amiga, il ne peut exécuter
avons décortiqué pour vous la version
aucune des applications qui s'y trouve.
1.0.24 actuellement distribuée aux déve­
Même s'ils se ressemblent, le système de
loppeurs. Pour l'heure, le système pèse
Prodad est en fait absolument incompatible
environ 4 Mo sur le disque dur et ne se
avec les exé cu ta b le s de I’Am igaO S.
lance qu'à partir d'un Amiga non-Power
Néanmoins, chaque programme écrit en
Pc (y compris le Draco). De plus, il tourne
Ansi C ou C ++ peut-être directem ent
p a rfa ite m e n t en m u tlitâ c h e avec le
recompilé sans apporter de modification au
Workbench. La chose est d'ailleurs forte­
code source. Cette façon de faire devrait
ment conseillée, car au lancem ent pOS
permettre au pOS de disposer d'un grand
tente de profiter de toutes les ressources
nombre d'applications assez rapidement.
présentes dans l'ordinateur. Mais comme
Pour l'in sta n t, p O S est fourni sans
W orkbench (ce nom, venu de l'Amiga,
sera conservé), mais le Shell de démarrage
apparaît tout de même dans un environ­
nement graphique. C'est à partir de celuici, en tapant les commandes adéquates au
clavier, qu'il est possible de lancer les pre­
mières applications spécifiques. A titre
d'exem ple, un gestionnaire de fichiers,
une horloge, un Tetris et un Arkanoïd sont
fournis. La première impression est excel­
lente : tout va très vite. Le multitâche est
de très bonne factu re et lo rsq u 'u n e
%
9
La bureau pOS avec toutes les
applications ouvertes.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Pour gérer les fichiers : pOpus.
Chaque application se lance du Shell.
fenêtre se déplace, elle le fait avec son
contenu. A ce propos, il est étonnant de
voir avec quelle vélocité on peut agiter
d'énormes blocs graphiques.
D es p a r t ic u la r it é s é to n n a n te s
Véritable boîte à malices, on trouve direc­
tement au cœ ur du système toutes les
routines qui ont fait le succès de certains
sharewares, Mui et Toolmanager en tête.
Par exem ple, pO S trame à la volée les
informations d'une image en 24 bits (16
millions de couleurs) pour l'afficher conve­
nablement sur un écran en 256, 16 ou
même 4 couleurs ! Les menus et autres
g a d g e ts qui co m p o se ro n t le fu tu r
W o rkben ch p o u rro n t être anim és et
chaque fenêtre Shell dispose déjà d'un
ascenseur pour visualiser son historique.
Mieux, lors d'une écriture ou d'une lectu­
re sur disque, les données sont compres­
sées et décompressées en temps réel. Et
pour les réseaux, Prodad nous promet que
plusieurs personnes pourront travailler sur
le même document en même temps et
que les modifications des uns apparaîtront
sur l'écran des autres. A l'heure où vous
lirez ces lignes, la version 1.0.25 devrait
être disponible pour le grand public et
quelques développeurs triés sur le volet
devraient recevoir la 1.0.26. Gageons qu'il
sera possible d'utiliser un système complet
avant la fin de l'année.
\
r
• A c h e t e z s u r In t e r n e t
A SUIVRE DE PRES
Une association qui sort
de l'ordinaire
L'association helvétique A lphalogic se propose de réaliser ou
d'adapter des logiciels pour personnes en difficulté d'apprentissa­
ge, ainsi que de trouver des solutions pédagogiques et informa­
tiques adaptées aux cas difficiles. Chose exceptionnelle, son cata­
logue ne com pte pas m oins de 22 titres A m iga ! De plus,
A lp h a lo g ic peut d évelo pper des lo g icie ls rép o n d a n t à des
dem andes particulières, tels que M usciPlace et A vos ordres
Romains, créés sur Amiga pour un enfant psychotique. Pour plus
de renseignements, il est possible de contacter l'association à
l'adresse Internet suivante : [email protected].
INCROYABLE
Linux sur N intendo 64 !
Que se passe-t-il quand un programmeur italien, Luciano Aprilia,
reçoit une carte de développement Nintendo 64 pour sa station
Silicon Graphics ? Il adapte Linux sur une console de jeu ! Selon le
programmeur la chose a été
des plus sim ples au monde
puisque les deux m achines
fonctionnent avec le même
type de microprocesseur, un
R4000 de Mips. Or, Linux a
été adapté sur Silicon graphies
depuis près d'un an et demi.
R ésultat : sa co n so le N64
affiche désormais le bureau de
X Window sur la télé du salon !
Seul inconvénient : le système
est assez difficile à démarrer
car, pour taper les lettres de
X Window affiché par une N64.
son login, il faut procéder à
de périlleuses combinaisons de touches avec le paddle ! Le plus
drôle est que les responsables de Silicon Graphics et Siemens
Nixdorf ont trouvé l'idée très intéressante et voient là "l'opportuni­
té d'un nouveau marché pour l'informatique personnelle". Seul
problème : Nintendo refuse d'éditer Linux/N64 en cartouche !
O racle
a prom is,
m ais bon...
Souvenez-vous. Il y a un an et
demi, le constructeur Oracle
dévoilait à la face du monde
ébahie un projet révolution­
naire : le Network Computer.
Un o rd in ateur ultra é co n o ­
mique, car totalement dépour­
vu de d isq u e dur et de
m ém o ires co û te u se s, m ais
capable d'exécuter toutes les
dernières applications. Dans
les faits, le Network Computer,
ou Ne, était un Risc Pc d'Acorn,
un ordinateur étonnant qui
déploie autant de puissance
qu'un Pentium, mais pour un
coût de fabricatio n dix fois
moindre. L'absence de disque
dur était quant à elle compen­
sée par l'utilisation intensive
d'Internet. Plus besoin de sto­
cker quoique ce soit, on clique
d ire c te m e n t sur les icô n es
contenues dans le disque dur
du provider (la société chez
laquelle on est abonné pour
accéder à Internet). Les enne­
mis du couple Microsoft-lntel
ont été em-bal-lés !
Mieux, en mars dernier, Larry
E lliso n , p atro n d 'O ra c le ,
a n n o n çait tout b o nnem ent
son in te n tio n de ra ch e te r
Apple et de faire du Macintosh
le leader micro-informatique, à
la barbe et au nez des compa­
tibles Pc.
Les premières euphories pas­
sées, on s'aperçoit qu'Oracle
n'a en fait débloqué aucun
budget sérieux pour commer­
cialiser le Network Computer.
Pire, le dernier prototype est
m êm e co n stru it au to u r du
Pentium d 'In te l. Q u a n t au
rachat d'Apple, Larry Ellison
vient tout juste de déclarer
qu'il s'agissait d'une bonne
idée, à laquelle il penserait s'il
y trouve, un jour, une oppor­
tunité. Oracle, ou tout l'art de
jouer sur les sentim ents du
grand public pour se faire un
peu de publicité...
Oracle, toujours lu i, vient de
présenter une version finale d'Ies,
un nouveau système de commerce
grand public développé sur
I ntemet. C \est i Motorola-ce!httaire
qui, le premier, permettra au
grand public de commander
électroniquement les accessoires de
son catalogue.
Httpj/www. orade.com.
• S e re le d é m é n a g e
Sere/e, la société officielle de
service après vente pour Amiga
International en France,
déménage. Ses nouveaux locaux
sont situés en Bourgogne, à Au tint
(11). P/us de renseignements sur le
site hftp :llperso.wanadoo.frfserele
ou à Padresse
S E R EL E an adoo fr.
• In t e r n e t s a n s m o d e m
Acorn vient de présenter Arm
Softmodems, un patch pour les
ordinateurs de poche fonctionnant
avec un microprocesseur Arm
(Newton, Psion, compatibles
Windows CE, etc.). Ce patch
permet à Pordinateur d'utiliser
son microprocesseur comme
modem 56 Kbps. Et dire que le
Pentium Mmx n ’y est jamais
arrivé‘pourtant Intel Pavait
promis... (adresse
http dfwww.arm.corn)
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
EMBAUCHE
Editeur cherche
A m igaïste
La société Promachos Athena, basée à Lyon (69), se vante d'être
un éditeur hors-norme. Son objectif est de sortir de l'anonymat
dans les deux ans à venir avec des produits révolutionnaires. Le
catalogue prévoit ainsi la sortie prochaine d'un jeu de rôle inhabi­
tuel, Les maîtres guerriers, et d'un CD-Rom orginal sur les ovnis. Le
tout fonctionnera sur toutes les plate-formes, y compris l'Amiga et
les compatibles Atari. En ce sens Promachos Athena recherche des
développeurs, des graphistes et des m usiciens spécialistes de
l'Amiga.
• L 'e -m a il p a r t é lé p h o n e
Bouygues telecom et Aol,
partenaires de longue date,
viennent de lancer un service
inédit : la réception d'e-mai! sur
téléphone mobile. Pour moins de
20 F par mois, les premiers 160
caractères pourront être lus à
partir de Pécran à cristaux
liquides de votre téléphone et, ce,
dès leur réception chez Aol.
A M IG A
LINUX
DIVERS
agenda
♦ Les f o r m a t io n s
du C a rré A m e lo t
(L a R o c h e lle ) :
Infographie 2D
du 29 septembre au 24 octobre 91
Infographie 3D
du 2 au 2(S novembre 97
Initiation à la vidéo
DEVELOPPEMENT
Un
nouveau
pont entre
MacOS et
BeOS
du 3 au 7 novembre 97
Formation à la réalisation
vidéo
du /" au 19 décembre 97
Formation au montage
virtuel
du 5 au 30 janvier 93
Metrowerks vient d'annoncer
l'arrivée de Lattitude sur BeOS.
Lattitude est un ensemble de
librairies qui re -d irigen t les
appels systèmes MacOS vers
les routines BeOS.
C oncrètem ent, cela signifie
qu'il suffirait juste de recompi­
ler le code source d'une appli­
cation M acintosh pour que
celle-ci tourne d irectem ent
sous l'environnement de Be. A
noter que Lattitude a déjà été
utilisé par Adobe pour porter
Photoshop et Première sur sta­
tio n S ilico n G raph ics et
qu'Apple compte dessus pour
a d a p te r q u e lq u e s gro sses
a p p lica tio n s en m ode natif
pour Rhapsody.
CARTE ACCELERATRICE
Phase 5 étend sa gam m e
de cartes Pow er Pc
Transformer son Amiga en Power Amiga ? Ce sera bientôt pos­
sible grâce à une nouvelle gamme de cartes accélératrices à base
de Power Pc. Jusqu'à présent, le constructeur Phase 5 prévoyait
juste de sortir un modèle pour 1200 et un autre pour 3000 et
4000. Désormais, le catalogue s'agrandit avec une carte spécia­
lement destinée à YAmiga 2000, la Blizzard 2604, et une autre,
plus haut de gamme, pour le 1200 : la
Blizzard 603e+. Mieux, pour le même
prix, chacune des cartes sera désor­
m ais livré e en sta n d a rd avec un
contrôleur Ultra-wide Scsi. Rappelons
que ce dernier devait être disponible 603e
uniquement en option. Voici donc la
liste complète des cartes Power Pc dis­
ponibles sur le marché dès septembre :
Cyberstorm Ppc (pour 3000 et 4000, Ppc 640e à 200 Mhz, exten­
sible à 128 Mo), Blizzard 2604e (pour 2000, Ppc 640e à 200
Mhz, extensible à 128 Mo), Blizzard 603e (pour 1200, Ppc 603e
à 1 75 Mhz, extensible à 32 Mo) et Blizzard 603e+ (pour 1200,
Ppc 603e à 200 Mhz, extensible à 64 Mo). Rappelons que les
cartes nécessiteront la présence d'un 68040 ou 68060 pour
tourner correctement. La Blizzard 603e s'abrogera, elle, d'un
68030.
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D IG IT A L
PRODUCTS
WHERE DO YOU WANT TO BE TOMORROW?r
DISTRIBUTION LINUX
Debian 1.3, enfin !
La distribution la plus prom etteuse de Linux
revient dans une version qui pourrait séduire un
public de plus en plus large. Nom breux sont
ceux en effet qui ont tenté d'installer la Debian
1.2 et ont fini par abandonner même si le senti­
ment de puissance dégagé par le sys­
tème de package fait l’unani­
mité. Tout d'abord, l'installa­
tion de la Debian 1.2 était
longue (il fallait créer cinq
disquettes) et l'adaptation dif­
ficile (programme dselect à l'in­
terface incompréhensible). Avec
la nouvelle version, on peut démar­
rer directement depuis le CD Rom ou
créer une seule disquette (pour les installa­
tions depuis le disque dur ou via NFS).
L'autre surprise provient du package
"menu" : un système de menu auto­
matique (nous n'avons pas encore
pu le tester). Toujours dans un
soucis d'intégration du système (le
s y s t è m e
D e b i a n
GNU/Linux), le
package "dwww" s'occupe de la documentation,
c'est un serveur Web intégré. Chaque nouveau
package installé peut être autom atiquem ent
configuré dans votre window manager. Même
s'il faudra sûrement attendre la version 2.0 (en
cours de développement) pour que cette inté­
gration soit totale, il est indéniable que la voie
empruntée par les développeurs de la Debian
(plus de 200 volontaires à travers le monde) est
sûrement la bonne ! Pour ceux qui aiment les
chiffres, sachez que la Debian 1.3, c'est aussi un
ensemble de 974 packages (en gros tout ce qui
existe sous Linux en free software !) et une com­
patibilité avec les packages Slackware et Red Hat
(n'oubliez pas qu'avec Alien, la Red Hat peut aussi
récupérer tous les packages de la debian mais
évitez les packages système). La dernière bonne
nouvelle est que l'organisation à but non lucratif
Debian va bientôt être officiellement reconnue
(vous pourrez donc envoyez vos dons). La
Debian 1.3 est prévue pour les architectures Intel
386, Sparc, Alpha et m68k.
Free Distribution
Software
82 rue de Sailly, BP 134,
59453 Lys lez Lannoy Cedex
Tél : 03.20.02.06.63 - Fax : 03.20.82.17.99
O uvert du Lundi au Vendredi de 9h à 18 h
Vente par correspondance uniquement.
Nous serons fermés du 1er au 31 août 1997
F a i r e le p o i n t
Où en est Acorn ?
Evoqué dans notre dossier du mois dernier, le RiscOS est un système qui déclenche les
passions. Mais saviez-vous que son constructeur, l'anglais Acorn, est l'une des société
qui a le plus d'influence sur le marché ?
S
ociété très discrète du point de vue du grand public, Acorn a la particularité de déve­
lopper une gamme de microprocesseurs Risc, les Arm, basés sur une technologie
macro-cellulaire unique en son genre. La dernière génération de ces composants, le
Strong Arm, a été élaborée conjointement avec le constructeur Digital (concepteur du plus
puissant microprocesseur au monde, le Dec Alpha). A 202 Mhz, la bête dépasse les 200 Mips
(millions d'instructions par seconde) pour une consommation inférieure à 500 mW. S'il est
de notoriété publique que l'Arm constitue le cœur des
ordinateur Risc Pc, en revanche peu de gens savent
qu'il prend également place dans de nombreux péri­
phériques. Ainsi Rockwell l'utilise dans ses modems,
Apple dans son Newton, O racle dans son prem ier
Network Computer, Cirrus logic dans ses cartes gra­
phiques, 3DO dans ses consoles et Psion dans le..
Carte StrongARM de face
Psion. A noter qu'Acorn, tout comme Cyrix et Mips, ne
fabrique
pas ses microprocesseurs mais en laisse le soin
Le fameux StrongArm.
à des industriels tiers, sous licence.
B ie n tô t u n R isc Pc 2 !
Acorn prévoit de sortir une nouvelle génération de Risc
Pc d'ici à la fin de l'année. Entre autres choses, ce ordi­
nateur devrait enfin disposer de bus d'extensions com­
patibles avec la norme Pci. Pour l'heure, il est possible
d'obtenir un Risc Pc actuel pour moins de 12000 F
auprès de l'importateur Ashiv (à Montreuil, 93). A ce
prix, la machine comprend un Strong Arm à 202 Mhz,
Plusieurs exemples de Risc Pc.
un disque dur de 1 Go et... 4 Mo de Ram ! Pourquoi si
peu de mémoire ? Tout simplement parce que le RiscOS (contenu dans 4 Mo de Rom) et ses
applications demandent un minimum de ressources pour tourner. Un exemple ? Une image
de 500 Ko, compressée en Jpeg à 50 Ko, continuera de peser 50 Ko dans la mémoire de l'or­
dinateur : chacun de ses pixels étant décompressé en temps réel au moment où il est balayé
par le rayon du m oniteur. Du
jamais vu ! De toute façon, le Risc
Pc peut être étendu avec des
composants standards venus du
monde Pc (barettes mémoires,
disques durs, écrans, etc.). A
noter, enfin, que les utilisateurs
de cette machine sont supportés
par deux associations, le Fraug et
l'Armada.
Des p ro d u its p a rto u t
Le systèm e d 'e xp lo ita tio n du
Psion ? Acorn ! Le plus répandu
des Network computers ? Acorn !
Et saviez-vous que l'importateur
Ashiv vient de négocier avec la
bourse française un contrat por­
tant sur l'acquisition de 3000 Risc
Pc ? Autre secret bien gardé :
Apple et Acorn ont créé une
société co m m u n e, X e m p la r,
pour superviser le m arché de
l'éducation en Grande-Bretagne.
http://www.fdsoft.com
Wordworth 6
Le plus populaire des traitements de textes
Amiga.
Version Française Intégrale î
540 Frs
M ise à jo u r a n cien n e v ersio n de W o rd w o rth : 315 F
(envoyez les d isq u e ttes o rig in a les + n° de licence)
R ep rise c o n c u rre n tie lle : T él.
Périphériques - Amiga
C D 1200 C ontrollcr - C ontrôleur ATAPI pour 1200
C D 1200 C ontroller + L ecteur CD -RO M 12X
L e c te u r C D -R O M A T A PI 12 X (seul)
Squirrcl SCSI - C ontrôleur SC SI-2 pour A 1200
S urf Squirrcl - Idem m ais plus rapide + Port série
L e c te u r C D -R O M 12X S C S I E x te rn e
M odem US Robotics 33.600 + Adaptateur + A-Net
Souris 3 boutons - Haute résolution
L ecteur de disquettes Interne HD
690 F
1.380 F
690 F
490 F
690 F
1.490 F
990 F
149 F
590 F
L ecteur de disquettes Externe HD
M oniteur M l4 3 8 S
D isque D ur 2.5” I G o ( A 600 ou A 1200)
840 F
2.290 F
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(Précisez A 1200/4000 Escom ou Commodore - Monté en Tour ou pas).
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T arif au jour le jo u r suivant les fluctuations du m arché.
B lizzard 1230-1V (68030 à 50 M hz)
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B lizzard 1240T/E R C (68040 à 40 M hz - Tower) 1.990 F
B lizzard 1260 (68060 à 50 M hz)
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C ontrôleur Fast-SC SI-2 (Pour B lizzard)
659 F
C oprocesseur 50 M hz pour B lizzard 1230-1V
455 F
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B lizzard 603E + Pow erPC 200 M hz + SCSI (sans 680xx)
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N ous consulter pour la disponibilité et les prix des cartes
P o w erP C pour A m iga 1200. 2000. 3000 et 4000
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L o g ic ie ls
Organiser V 2
Version Française Intégrale 349 F
M ise à jo u r à partir de la version 1 ou 2
249 F
(R envoyer la disquette originale et indiquer le n° licence)
A sim C D FS v3.8 - V F 490 F
D irectory O pus 5 M agellan
439 F
M aster ISO V 1.26b (Gestionnaire de graveur de CD) 990 F
M iam i 2.x e n re g isté + In-T o -T h e-N et
339 F
N etw ork PC + cable
*
189 F
PCX (E m ulateur PC - 68020 m inim um )
469 F
P e rso n a l P a in t v6.4 - V F 69 F
P erso n a l P a in t v7.1 C D
259 F
Pilotes A D FI - V F 190 F
S tu d io II P ro -V F 350 F
Turbo C ale v4.0 C D - V F 490 F
Turbo Prinl v5.x - VF 460 F
A m in et 17, 18 ou 19
A m in et S et 1 ou 2
A m in et Set 3 ou 4
F rench S to rm - Libre Essai Français
A D E - G eek & G a d g e ts 2 (K it dév. pO S !!!)
A ssassins C D 3
A m iga C D D évelopper v1.1
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A m iga F o rm a i 13
A m iga F o rm a t 14
A m iga F o rm a t 15
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A P C & T C P V olum e 3
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E p ie In te ra c tiv e E n cv clo p ed ia O f P a ra n o rm a l
Euro C D Volum e 2
The H idden Truth
H ollyw ood Studio
L ig h t R om 4
L ig h t R om G o ld
M agic P u h lish e r
M ick D av is’s C a rto o n s C lip A rt
P.O S P reR elea se (m i-ju illet)
S cala P lu g In
T ex tu re (T ) V olum e 1
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49 F
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Des dizaines d’autres CD sont disponibles. Notre catalogue
est gratuit ! Sauf indication contraire, les CDs sont en anglais.
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Frais de port CD-ROM & Logiciels : 35 Frs
Périphériques : 80 Frs - Poste ou messagerie.
• T é lé c h a r g e z le n o u v e a u
W o rk b e n c h
Amiga International vient de créer
un nouveau site Internet à partir
duquel il est possible de télécharger
les dernières routines du systèmes
(version 43). L'adresse est
ftp :llftp.amiga.delpublpublicj.
• M ui, 2 0 % m o in s c h e r !
Pourfêter son 3' anniversaire.
l'organisme de distribution de
Shareware.* Sasg (qui s'occupe,
entre autres, de Mui et Magic
Workbench) offre une remise de
20 %sur /'enregistrement de tous
ses produits.
• Be E u ro p e re c ru te !
La société Be Europe, basée à
Paris-la-défense (92), recherche des
ingénieurs pour le support
technique aux développeurs ainsi
que des “évangélistes". Un
évangéliste est que/qu 'un qui doit se
charger de ta promotion de BeOS
auprès des développeurs européens.
Envoyez vite vos CV !
RETOURNEMENT DE VESTE
BISQUE-BISQUE-RAGE
M ultimedia,
j'achète !
le Dos que m ic ro îo ft n'a
jam ais réussi à faire !
En tem ps norm al, le rachat
d'une entreprise qui marche
par une autre (plus grosse) est
un événem ent. Mais depuis
quelques années, M icroîoft a
c o m p lè te m e n t b a n a lisé ce
mécanisme au point que cer­
taines sociétés se créent prati­
quem ent dans le but d'être
racheté par le géant (histoire
d'avoir un salaire décent à la
fin du mois). Le dernier a être
passé à la trappe (il s'agit tout
autant de récupérer une tech­
n o lo g ie que d 'é v ite r une
concurrence) est un spécialis­
te du multimédia sauce cybersuper en avance sur tout le
monde. Mais le plus intéres­
sant, c'est que cette société,
Dimension X, est une spécialis­
te de l'utilisation de java pour
le m u ltim é d ia en réseau.
Après le m icroîoft "lava, c’est
dangereux, ça tue et tout !",
voici maintenant le m icroîoft
"Java, c ’est super bien et multi­
média en plus !". Vous connais­
sez le numéro un des ventes
de plateformes de développe­
ment Java ? M icro îo ft, bien
sûr, avec Visual J++ (il faudra
un jour que les esprits évo­
luent !).
Le célèbre Dosemu revient dans une version 0.66.5, nettement
améliorée (plus stable, com patibilité DPMI supérieure, etc.).
Rappelons que Dosemu permet de lancer des applications M$ Dos
dans l'environnement Linux. Ces applications fonctionnent exacte­
ment comme sous Dos mais profitent du multitâche de Linux. Ce
n'est pas à proprement parler un émulateur de Dos car vous aurez
besoin d'une image binaire d'un Dos commercial (et donc une
licence) pour pouvoir utiliser Dosemu. Il s'agit plutôt d'une machi­
ne virtuelle Dos pour Linux. Deux programmes annexes s’occupent
de l'affichage
et de la g e s­
tion des péri­
phériques en
mode console
ou s o u s X
W i n d o w
(extrêmement
pratique).
D osem u est
même capable
de l a n c e r
Windows 3.1
Un Windows 3.1 multitâche sous X Window ?
d an s une
fenêtre X
Window mais la stabilité n'est pas encore parfaite (c'est normal,
lorsque Linux trouve un bug, il arrête le programme fautif pour ne
pas planter lui-même). Avec le patch binfmt_dos (en cours de
développement), vous pourrez même lancer directement les appli­
cations dos présentes sur votre système. Dosemu existe depuis
longtemps mais son évolution semblait stagner. On pensait que
ses développeurs (une bonne vingtaine) n'étaient plus trop dispo­
nibles mais cette version apporte un vif démenti : les améliorations
présentées sonbYiombreuses et la première version stable 1.0
semble plus proche que jamais.
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Le r e t o u r des f a n z i n e s !
La fertilité tient à peu de choses. La preuve : il suffit que
Gateway 2 0 0 0 rachète l'Am iga p o u r que toute une floppée de
fanzines renaissent de leurs cendres.
• A m ig a z e t t e No 19
T o u jo u rs aussi bien p résenté sur 30 p age s,
Amigazette brille de plus en plus par la qualité de ses
rubriques En pratique. Toutes les réponses à vos
q u e stio n s sur Im agine, Scala, les d o cu m e n ts
Amigaguide, les icônes du Workbench, Protracker, la
compression Lxz ou encore le téléchargement sur Aminet sont dans
ses c o lo n n e s. On a p p ré cie ra é g a le m e n t les ru b riq u e s
Programmation (Amos et Blitz basic), ainsi que les tests poussés de
quelques dernières nouveautés parues sur Aminet. A noter que pour
son troisième anniversaire, Amigazette est aussi disponible sur
Internet.
e-mail : [email protected]
adresse Internet : http ://www.netlinker.com/amigazette
• A m ig a F o re v e r No 4
Beaucoup plus orienté jeu que le précédent, Amiga
Forever nous propose ce mois-ci un dossier exclusif
consacré aux clones de Warcraft (célèbre jeu de stra­
tégie pour Pc) sur Amiga. Dans un tout autre genre,
l'équipe rédactionnelle est partie enquêter chez le
constructeur Pios. Enfin, le fanzine se termine sur de très intéres­
santes rubriques programmation, pour contrer l'action d'un virus
ou créer des jeux en 3D sur Amiga.
Adresse internet : http :/l www.mygale.org/08/AFE
• O b lig e m e n t No 3
En plus d'un dossier consacré aux shoot'em up,
O bligem m ent propose sur 11 pages des trucs et
astuces pour vos jeux préférés, des news et des
tests. Surprise, on y trouve le test de Xtreme Racing
2.0, uniquement disponible pour l'instant en démo.
Contact : Christian julia, Fontaine lès Dijon
OBUGCMENT
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En 90 et 95 la Compagnie Nationale des Commissaires aux Comptes
a décerné le Prix Cristal à Aide et Action pour la transparence de
son information financière.
Aide et Action est membre du Comité de la charte de déontologie.
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□ OUI, je souhaite parrainer
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Merci de m’adresser rapidement le dossier complet avec la
photo de mon filleul. Je joins un chèque de 100 F à l’ordre
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nage. Sur ce premier chèque, 20 F seront destinés à mon abon­
nement annuel au bulletin trimestriel
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Code postal l 1 l I !_j Ville
Tél. 1 ! J 1 1 I I L J 1 1 I L
□ Je ne peux pas parrainer un enfant maintenant mais je vous
envoie un don de: □ 100 F □ 200 F □ 300 F □ autre:
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Profession (facultatif)..........................................................
Conformément à la loi N° 78-17 du 6 janvier 1978. vous disposez d’un droit d'accès et de rectification pour toute information vous concernant, figurant sur notre fichier. Il suffit pour cela de nous écrire.
D M B & B . Photos : J.C. Thoret/M. Roulier. Espace offert par le .supjx>n
Bon àdécouper et àenvoyer à: Aide et Action - 67, bd Soult. 75592 Paris Cedex 12,
TRADUCTION
INTERFACE GRAPHIQUE
Alien 5
est sorti !
Et un serveur X,
un !
Alors que de nom breux fans
attendent la sortie d'Alien 4 the resurection (Ripley explo­
sait dans le 3, mais com m e
l'épisode était moyen, autant
la faire revivre pour le 4), les
linuxiens vont pouvoir profi­
ter d 'Alien 5 (5.1 pour être
précis) en exclusivité mondia­
le. Le scé n a rio est assez
simple : le package .rpm est
p erd u d an s un co in de la
galaxie debianus et est mal­
h eu reu sem en t isolé de ses
copains .deb. C'est ici qu'alien
(version 1,2,3 et 4) vient à la
rescousse en transformant ce
m alheureux .rpm égaré en
.deb vaillant. Mais le dernier
épisode (le 5, si vous ne sui­
vez pas) permet aux mêmes
.deb d'être à leur tour tranformés en .rpm. Certes, ça n'a
rien à voir avec l'histoire origi­
nale mais au moins, les deux
distributions les plus p o p u ­
laires de linux communiquent
enfin entre elles !
Chaque version du plus célèbre des serveurs XWindow, XFree86, nous apporte son lot de nou­
veautés. La version 3.3.0 vient tout juste de
sortir et apporte comme d'habitude
son lot de n o u ve a u té s. To u t
d'abord, XFree86 supporte enfin la
Matrox Mystique, certains atten­
d aien t cet événem ents depuis
longtem ps. La méthode générale
d 'o p tim isa tio n de l'a ffich a g e a été
modifiée pour accélérer certains drivers. Le chan­
gement le plus important concerne la Matrox
Millenium qui avait tendance à se traîner... Vous
n'aurez plus de raison valable de ne pas installer
linux maintenant, transformez votre Wintel en
station de travail ! Pour les spécialistes, le chan­
gement principal provient de l'intégration com­
plète de la dernière version de X-Window en date
: X11R6.3 alias Broadway. C'est la dernière
version officielle du X Consortium (qui
n'existe plus malheureusement) et
les extensions sont nombreuses :
sécurité, impression, etc. Le free
software va m aintenant devoir
s'occuper de rajouter des extensions
ou des protocoles tout en sachant qu'à
l'heure actuelle, on com m ence tout juste à
exploiter pleinement X IIR 4 !
BROWSER LINUX
W w w offle, pour b utiner off-line
Vous vous connectez par modem sur internet ? Vous retournez toujours sur le même site web ? son
contenu n'évolue guère ? Vous allez désormais pouvoir économiser du temps de connexion (et donc
de l'argent) avec cet utilitaire au nom étrange : World wide web offline explorer, c'est en fait un serveur
proxy avec quelques caractéristiques originales. Lorsque vous êtes connectés, les pages que vous
consultez sont placées dans un cache de manière transparente. Si vous retourné sur des pages que
vous avez déjà visitées et qui n'ont pas été modifiées, Wwwoffle utilise les pages stockées dans le cache.
Lorsque vous n'êtes plus en connexion, vous pouvez préparer des téléchargement de pages web ou de
sites complets (avec une interface en ligne de commande ou dans votre browser préféré). Vous pouvez
aussi bien sûr consulter les pages déjà présentes dans le cache. Et comme ce programme est évidem­
ment distribué sous licence GPL, vous le retrouverez très bientôt sur votre CD-Rom préféré !
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D E M O PARTY
L'en d ro it où il fau t être
Suite aux succès des années passées, le groupe de démomakers Eagles a choisi de frapper un grand coup pour la
cinquièm e édition de sa Place to be. Pour ce faire, les
membres d'Eagles se sont rencontrés avec les membres de
Sacrface et ont fondé l'association Mips. Leur action com­
mune a ainsi permis de réserver pour plus de 101 heures
d'informatique non-stop le parc des expositions de Pau
(64). La démo-party se tiendra du 14 au 18 août et verra
une lutte acharnée autour de quatre thèmes : la musique
(Soundtracker et Midi), le graphisme, l'animation en image
de synthèse et, bien entendu, la démo (obligatoirement de
moins de 96 Ko). Tous les possesseurs d'Amiga, d'Atari et
de Pc sont invités à participer. Enfin, des écrans géants et
une sonorisation spatiale seront mis à disposition pour pro­
jeter les productions du public. Ce dernier aura également
accès à des stations Silicon Graphics et des Network
Computers reliés en permanence sur Internet. Pour tout ren­
se ig n e m e n t, c o n ta c te z M ips à l'ad resse suivante :
m ip s@ m y g a le .o rg , ou v isite z son site sur http
://perso. wanadoo.fr/mips.
Risc PC StrongARM TM
•
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•
processeur StrongARM en standard cadencé à 200 Mhz
son digital 16 bits intégré
architecture ARM RISC 32 bits
boîtier modulaire (extensible)
système multi-processeur / multitâche
option second processeur classe Pentium
mémoire vidéo extensible à 2 Mo
mémoire dynamique standard extensible à 256 Mo
accepte tout type d’écran (y compris un téléviseur)
couleur 24 bits pour un afichage en 16 millions de couleurs
ARM
■ P0WERED
A co rn fi
Principales caractéristiques :
Processeur
StrongARM @ 200 Mhz
Mémoire
2 x connecteurs SIMM (DRAM)
1 x connecteur DIMM (VRAM)
Système en ROM (4 Mo)
Systèm e d’exploitation
R IS C O S 3.7
RiscPC
Systèm e audio
Son stéréo digital qualité CD
16bits 44.1 Khz avec mixer pour une
seconde source audio
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Vidéo
Nombreux modes d’affichage jusqu’à
- 1280 x 1024 @ 8BPP (60Hz)
- 800 x 600 @ 24BPP (60Hz)
Extension
Nombreuses cartes d'extension :
(réseau, genlock, grabber, expander...)
Dhrystones
Dhrystones
MIPSv2.1
StrongARM Risc PC
356 k
204MIPS
P200 PC
295k
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Ports et Interfaces I/O
Port série RS232
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Sortie audio stéréo jack 3.5mm
Tél - 01 48 58 70 77
Fax - 01 48 58 20 09
Em ail - p u b lic @ a s h iv .fr
CARTES GRAPHIQUES
Phase 5 - V illa ge
Tronic, rien ne va
plus !
C'est une coutume, Internet est régulièrement le
champs de bataille où s'affrontent toutes les dis­
cordes. Cette fois-ci, c'est au tour des construc­
teurs Village Tronic et Phase 5 de se crêper le chi­
gnon. L'objet du conflit réside dans les pilotes
CybergraphX pour Am iga. Rappelons que ces
pilotes sont de petits bouts de logiciels qui per­
mettent au Workbench et à ses applications de
s'afficher dans les nouveaux modes offerts par
une carte graphique. Propriété de Phase 5 pour
ses cartes Cybervision, les pilotes CybergraphX se
sont toujours adaptés aux cartes des autres
constructeurs... jusqu'à ce que Village Tronic
sorte la Picasso IV, concurrente directe de la
Cybervision 64/3D. D'un côté, Phase 5 n'a pas
adapté la version 2 standard de ses pilotes à la
Picasso IV mais s'est, en plus, payé le luxe de sor­
tir une version 3 nettement plus performante, qui
ne fonctionne, elle, que sur Cybervision 64/3D.
De l'autre, Village Tronic aurait refusé de donner
un exemplaire de développement de la Picasso IV
(de peur d'être copié ?) à Phase 5 et accuserait ce
dernier de demander des sommes bizarrement
astronomiques pour l'adaptation. Dernier coup
en date, la publication sur Internet d'un texte de
Wolf Dietrich (directeur général de Phase 5) qui
laisse entendre que Village tronic a de toute façon
copié en toute illégalité certaines routines de
Cybergraphx pour les inclure dans Picasso96, le
pilote spécifique de la carte Picasso IV.
LINUX FRANÇAIS
The french distribution
Futurs linuxiens, futures linuxiennes, vous avez besoin d'une distribution dans la langue de molière très
facile à installer ? La dernière Mnis (Mai 97) est bien plus qu'une simple mise à jour. Le travail effectué
pour rendre cette distribution aussi facile à intaller qu'agréable à utiliser est tout simplement remar­
quable. L'autre caractéristique de la distribution Mnis concerne le choix très homogène d’applications
Linux avec quelques packages rares (msql-java, visuel tel, xcorai, xtel, grail, etc.) et d'autres indispen­
sables (Xemacs, /dk 1.0.2, Afterstep, XFree86 3.2, etc.). Il s'agit bien entendu d'une distribution commer­
ciale mais on a vraiment l'impression cette fois-ci d’en avoir pour son argent. La distribution Mnis est
éditée par Mcd2 diffusion et disponibles dans vos librairies spécialisées préférées (Le monde en tique
ou Eyrolles) ainsi que sur le site web de mcd2 : http://www.mcd2-diff.fr.
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DISTRIBUTION TOUJOURS
Le p etit chapeau rouge
a m angé du loup !
viron 200$, c'est un peu plus abordable (50$ c'est toujours ça de
prix). La version standard, nettement moins intéressante (il n'y a
que le runtime motif) est aux environs de 80$. Ensuite, le CDE de
Triteal n'est pas dépendant d'un serveur X, vous pourrez utiliser
XFree86 (qui lui est gratuit). Enfin, l'intégration dans la toute der­
Si vous avez jetez un coup d'oeil sur dream 38, dream 39, dream
nière distribution Red Hat (forcément), la 4.2, est un atout non
40, dream 41, un mot revient sans cesse dans les rubriques dédiées
négligeable. Pour les développeurs encore, n’oublions pas la sortie
à Linux : Red Hat (chapeau rouge). Eh bien, on aimerait bien ne pas
de Red Hat motif 2.0.1 (spécial
toujours raconter les m êm es
X 1 1 R 6 .1 ), distribuée avec les
choses mais ils sont décidément
XRT widgets surpuissants (valeur
très forts, ces américains de Red
5000$ I). Si vous disposez déjà
Hat (anti-micro$oft à souhaits).
d'une version de motif, il vous
On a le droit a une diffusion de
fau d ra d éb o u rse r 50$ pour
nouvelles galettes (du genre
accéder au nirvana (sinon, c'est
plastique réfléchissant si vous
presque 200$). En attendant
v o y e z ce que je veu x d ire)
Lesstif, j'en connais qui vont être
toutes plus intéressantes les unes
La célèbre Red Hat offerte le mois dernier sur le CD-Rom de Dream.
heureux ! La dernière bonne
que les autres. C o m m en ço n s
nouvelle, bien plus accessible, concerne la sortie de la Red Hat 4.2
tout d'abord par Applixware 4.3 qui se fait attendre en France mais
qui est plus une évolution qu'autre chose mais qui comble la plu­
qui est disponible depuis quelques temps chez Red Hat. Vient
part des défauts de la 4.1 en matière de sécurité (Si vous avez ins­
ensuite la version Red Hat du Common Desktop Environment (en
tallé la Red Hat 4.1 le mois dernier, vous pourrez vous mettre à jour
fait compilé par une autre société : TriTeal ). Cette version est sans
sans problème mais ce n'est pas urgent !). Plus d'infos sur le site
doute plus intéressante que la version de Xi graphie, testée dans
http://www.redhat.com.
Dream 40. Tout d'abord, le prix de la version développeur est d'en­
Retrouvez tous les mois
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dans votre boîte aux lettres !
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Nom : ........................................ Prénom : ............................................... Adresse : ..............................................
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Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux 3 Pc/Divers □ Be/BeOs
J Autre machine/autre système : ..........................................................
Ci-joint un règlement d e
francs, par □ chèque bancaire, _) mandat postal à l'ordre de Posse Press.
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In fo rm a tiq u e s et libertés : en ap plication de l'article L27 de la lo i du 6 ja n v ie r 1978, relative à l'in fo rm a tiq u e et aux libertés, vous disposez d 'u n d ro it d'accès et de
re ctification p o u r to u te in fo rm a tio n vous concernant en vous adressant à no tre siège social. Les info rm atio ns requises sont nécessaires à l'établissem ent de votre
com m ande. Elles p o u rro n t égalem ent être cédées à des organism es extérieurs, sa u f in d ica tio n contraire de votre part.
[ ava,
t r e r T îL X L C îr
Java, l'idée de génie d ’une petite équipe de Sun qui fait
trembler le géant micro Soft sur ses bases (bien établies),
est en passe de détrôner le C++, son modèle, en terme
de popularité. Retour sur un des événements les plus
marquants de la jeune histoire de l'informatique.
K 5 N e ts c a p e : J a v a W o rtd - ID G 's m agazine (o r itv
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IDG’s magazine for thexJava coromunity
L'historique
Ju r o 1997
A
'idée de Java rem onte au début de 1991
(c'est donc une année faste puisque c'est
aussi le d é b u t de Lin u x). Un g ro u p e de
recherche travaillant pour Sun, le célèbre construc­
teur de stations de travail, sous l'autorité du guru
James Gosling est alors chargé de plancher sur un
langage de pilotage de télécommande universelle.
Nom de code du projet : "Green". Il faut savoir
qu'à cette époque, Sun souffrait d'une crise inter­
ne entre les co nservateurs et les m odernes, à
savoir ceux qui voulaient s'intéresser à un marché
aussi juteux qu'instable : le grand public.
ptfisua
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L'incontournable magazine online JavaWorld sur
http://www.javaworld.com
Un la n g a g e d e c o n c e p t io n s im p le
Vu la faible puissance et la diversité des proces­
seurs utilisés dans le domaine des télécommandes,
il fallait que ce langage soit concis et portable.
Tout d'abord basé sur le Pascal USCD, il fut rapide­
ment décidé de l'orienter objet. C'est alors que les
regards se portèrent sur C ++, le seul langage
orienté objet aussi généraliste que populaire. Le
premier produit présenté par le projet Green fut
une télécommande : la "*7". Bien que très puissan­
te, personne n'a pourtant voulu acquérir pareille
tech n o lo gie... Plus tard, une société de Tv par
câble dirigée par jim Clark faillit investir dans la
toute nouvelle société née du projet Green (First
person, inc.), mais une fois de plus la chose est
restée sans suite. A noter tout de même que jim
Clark dirigea ensuite Netscape et fit beaucoup pour
imposer Java sur le web.
In t e r n e t à la re s c o u s s e
Après de nombreux échecs, la société fut finale­
ment dissoute en 1994. Com m ençait alors une
g ra n d e é p o p é e : le d é b u t de l'e x p a n sio n
incroyable du world wide web. Mais il manquait au
web un vrai lan gage de program m ation, pour
dépasser l’idée de document hypertexte. Java était
prêt, lava était idéal. Et sous le contrôle de Sun,
java renaissait de ses cendres.
Java, c'est quoi ?
a famille des langages de program m ation
com porte de n o m breux m em bres. Si les
bases fondamentales des langages de pro­
gramm ation sont proches (théorie du langage
naturel, analyse syntaxique et sémantique, etc.),
on distingue plusieurs catégories de lan gage s
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Java «ad th«t are trojy pcnsble w fi ke 100% Pare Java ctm Jied No exceposn»
Siujnu'rs
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*rt »oni* ot ih t lûddexi btaeiit* of ihe 100% Pure J«va
progrem7 JavnSott’s H«1 Muna providts «H l i t s x u v r tii ta
développe un logiciel sur
Pc, on insère la disquette
dans un Mac et ça
m arch e d ire c te m e n t.
Idem sur un Amiga, une
sta tio n Unix ou une
BeBox, sans que l'on ait à
ré écrire le lo g ic ie l, ni
même à le recom piler !
Pour rendre ce m iracle
possible, les concepteurs
Un des exemples du jdk : un dino en 3D.
de Java o n t d é fin i le
Bytecode, langage-machi­
ne d’une machine imaginaire qui n’existe que sous
forme d’émulateurs. Un programme est donc exé­
cuté par un interpréteur de Bytecode appelé Java
Virtual Machine (Jvm). Pour utiliser des logiciels en
Java sur une machine quelconque il suffit que celleci dispose d’une ]vm. A noter que toutes les biblio­
thèques de lava (threads, gestion des fichiers, multi­
média, interface utilisateur, fonctions m athém a­
tiques, etc...) sont identiques sur tous les systèmes.
P lu s v ite ! P lu s v ite !
Sim ple et élégant, il y a tout de même un gros
défaut : l'interprétation du Bytecode prend énormé­
ment de ressources et à moins d'avoir une machine
très puissante (ce qu'un micro n'est pas, contraire­
ment à ce qu'affirme la publicité tapageuse), ça
rame. C'est pourquoi des méthodes plus perfor­
m antes sont utilisées po u r co n c e v o ir des Jvm
rapides. Ainsi, on remplace l’interpréteur par un
"compilateur au vol" (Just In Time Compiler, lit) qui
convertit dans une certaine mesure le Bytecode en
code-machine natif au cours de l'exécution. Le gain
de vitesse est spectaculaire (facteur 10 à 50) mais un
]it est plus complexe à développer et surtout moins
portable qu'un interpréteur. D'autre part, JavaSoft
prévoit pour la version 1.2 de Java une technologie
très pointue capable d'optimiser le code au vol et
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Le site officiel de Java : http://java.sun.com.
informatiques, chacun pouvant appartenir à plu­
sieurs de ces catégories. Il y a tout d'abord les lan­
gages fonctionnels, inspirés des théories de calcul
mathématique (en particulier le Lambda calcul) :
c'est le Lisp, le Mi. On trouve aussi les langages
impératifs qui donnent une séquence d'instruc­
tions suivies une à une par la machine (le C, le
Pascal). Les langages orientés objet ont une place
à part mais le p rin cip e découle du besoin de
modularité dans les programmes. On distingue les
la n g a g e s o rie n tés o b je t de très haut niveau
(Smalltalk, modula 3) des sur-couches de langages
impératifs (object Pascal ou C++), java, lui est for­
tement inspiré du C++, même si son principe de
portabilité (une application java tourne indifférem­
ment sur plusieurs types de machines) découle des
langages interprétés.
C o m m e n t ça m a rc h e ?
java, le langage universel... Oui, on peut program­
mer pratiquement tout en lava, mais universel signi­
fie aussi "tous les ordinateurs". Concrètement : on
Wanttoleom (jj-isWg ,but short on the rfjrgneen?
fhen IBM has a course for ^ free ! Just cfck here.
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J a m e s G o s l i n g , le c r é a t e u r de J av a
Les études e xe m p la ire s de cet in fo rm a tic ie n
récemment propulsé "superstar" se sont terminées en
1983 avec l'obtention d'une thèse d'informatique à la
célèbre université Canegie-Mellon. Le sujet de cette
thèse é ta it "Les m a n ip u la tio n s des co n tra in te s
algébriques" (à vos souhaits !). James Cosling est
aujourd'hui ingénieur "haut de gamme" chez Sun
Microsystems. Les différents projets qu'il a mené à leur
terme montrent ses compétences multiples en matière
James Gosling.
d'informatique. Entre autres, on lui doit un système d'acquisition de données par
satellite, une version multiprocesseur d'Unix (Solaris ?), plusieurs compilateurs,
un système de messagerie et plusieurs gestionnaires de fenêtres. Il a également
développé un éditeur de texte WYSIWYG et un logiciel de dessin vectoriel basé
sur les contraintes. C'est aussi James Gosling qui a porté emacs sur Unix pour la
première fois (mais Richard Stallmann reste le créateur de ce génial éditeur). En
entrant chez Sun, il a surtout travaillé sur le système de fenêtrage NeWS mais
c ’est bien sûr le démarrage du projet Java/HotJava qui Ta propulsé sur le devant
de la scène. N'hésitez pas à consulter la page web de James G osling sur
http://java.sun.com/people/jag.
Javex : la montre à
quartz Java.
gagner ainsi en vitesse. Gnu travaille évidemment sur
une solution brutale : intégrer Java et le Bytecode
dans Gcc et Gdb. Ainsi, vous pourrez récupérer des
binaires en Bytecode et Gcc les transform era en
simples exécutables natifs qui tourneront à la vitesse
maximale. Point final, plus besoin de Jvm du tout.
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, c'est en
fait très difficile à réaliser... mais pour ces gens-là,
rien n'est trop dur...
Le s a p p le ts
La portabilité totale de Java a donné naissance à un
nouveau type de programmes : les applets. Ce ne
sont pas des applications à part entière, mais de
petits composants de logiciel qui circulent sur les
réseaux. Chaque utilisateur peut à tout moment
télécharger une applet et l'exécuter dans son envi­
ronnement qui peut être un Network computer,
l'Appletviewer ou un navigateur Www. Dans ce der­
nier cas, il faut distinguer deux situations : dans la
première, le navigateur intègre lui-même une JVvm
pour faire to u rn er les applets. C 'est le cas de
Netscape, de Msie et autres Cyberdog. L'autre possibi­
lité est un navigateur écrit lui-même en Java (comme
H otjava) et les applets s'exécutent sim plem ent
comme des parties du logiciel. Au delà du simple
gadget, les applets représentent une méthode puis­
sante et très moderne de déployer des applications
flppIet
Applet Viewer:
Applet Viewer
App Iet V iewe r : K *
Applet Viewer:
Un afficheur de molécules
avec ses sources dans le Jdk.
ouvertes.
T o u jo u rs p lu s lo in : Ja v a B e a n s
"The network is the computer1', affirme Sun. Et cette
vision est chaque jour plus vraie. Mais là, les applets
ne suffisent pas : encore faut-il pouvoir communi­
quer avec des objets à distance à travers le réseau ou
insérer dans un logiciel des éléments provenants
d'ailleurs. Pour cela, il y a aujourd'hui la norme Corba
et quelques autres technologies hors standard,
comme Dcom (Microsoft) ou G do (Gnu). Java se doit
d'être passe-partout, il utilise donc son propre systè­
me de protocoles baptisé JavaBeans. JavaBeans n'est
pas en concurrence avec les autres, au contraire, il
nécéssite le support de l'un d'eux pour être opérationel. On pourra d o n c l'u tilise r aussi bien sous
Windows avec Dcom, sous le Système Gnu avec Gdo
et partout avec Corba. Java est le grand fédérateur
de l'inform atique et on com prend pourquoi Bill
Gates rêve de le rendre dépendent de Windows,
fermé et bien sûr rigoureusement propriétaire.
D es a p p lic a t io n s en ja v a ?
Pour beaucoup d'internautes, Java n'est encore
qu’une bizarrerie servant tout juste à rajouter des
animations dans les pages Web. Pourtant, les pre­
miers logiciels écrits en Java n'ont rien à voir avec
Internet ; en tout premier lieu le compilateur java
lui-même ! Mais pour promouvoir son langage et
surtout ouvrir le bal, Sun avait besoin d’une démons­
tration convaincante : Hotjava, superbe browser
Web, lui aussi entièrem ent en Java. Depuis que
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
— .
flpp!et started.
Les applets pour égayer les pages Web.
J a v a et la c o n c u r r e n c e
Ja v a est un la n g a g e de p ro g ra m m a tio n d éjà ra n g é d a n s la sectio n
"révolutionnaire". Comment se positionne-t-il face aux langages "concurrents" ?
En terme de popularité, la famille des langages de programmation est plutôt
réduite. Dans les langages interprétés, la tête d'affiche est occupée par le Tel et
ses extensions, le célèbre Perl ou awk pour les applications basées sur des
chaînes de caractères (en particulier les scripts CGI pour le web) et les différents
langages de script ou assimilés. De nouveaux langages très ouverts comme Guile
risquent de gagner en popularité dans les mois et les années à venir. Pour les
développements plus "avancés" ou critiques, l'incontournable C ou le très
puissant C++ occupent la majeure partie du terrain. Contrairement à ce que Ton
pourrait penser, Java se positionne plutôt comme un remplaçant possible des
langages compilés (notam m ent C++). La première raison est évidente : le
langage étant lui-même inspiré de C++, la complexité qui en découle est assez
importante. Ainsi, les langages interprétés conservent leur conception plus
simple, accélérant d'autant les développements (on peut parler de prototypage).
Cependant, les liens très proches qu'entretiennent Java et Internet pourraient
laisser présager d'une sorte de standardisation sur le réseau des réseaux (au
détriment de perl par exemple). Avec l'arrivée des JIT et des compilateurs natifs,
Java sera à même de rivaliser en performances avec les langages compilés
actuels. Mais les programmes natifs continuerons encore longtemps d'exister car
pour de nombreuses applications, le critère de portabilité de Java est plus un
d éfa u t q u 'a u tre chose (a p p lic a tio n s p ro ch e s du systèm e). On p o u rra
programmer en Java mais en utilisant des librairies natives.
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Un autre exemple du Jdk : l'applet morphing
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Netscape s'est mis à inclure des /vm dans Navigator,
c'est le raz de marrée. On trouve maintenant des col­
lections d'applets en tous genres: des afficheurs
d 'im ages et autres players, des jeux (allant du
Démineur à Quake), des moniteurs réseau, des outils
d'administration à distance, tout, tout, tout ! Mais
paradoxalement, on ne trouve toujours pas java là où
l'on l'attendait le plus, c'est à dire dans la création
multimédia. En revanche, il est un domaine où java
fait l'effet d'un tremblement de terre : la bureautique.
L e t s k ill B ill
Vous avez dit bureautique? Ah oui, Word, Excel, c'est
ça ? Eh bien non ! Corel, co ncurren t direct de
Microsoft sur ce segment de marché, fut le premier
à lancer l'offensive en annonçant Corel Office pour
ja va . Une su ite qui co m p re n d W ordperfect,
QuattroPro, un logiciel de dessin et un agenda/mail
réécrits sous forme d’applets. La commercialisation
est imminente et Corel se
« J H o tJa v a (tm ) B ro w s e r f.O p re B e ta
met d é fin itive m e n t du
FBe Edit \/tew Pfaces Hefp
côté
de l'alliance rebelle.
Trtie:
Kot Hints
C h a cu n peut d'ailleurs
té lé c h a rg e r la versio n
C J ic k o n m e fo r
bêta
g ra tu ite
sur
/ M.
S la r t e d /
www.corel.com. Des pro­
r —' i ✓
C?'
duits co ncurren ts sont
annoncés, en particulier
Kona (Lotus) et Anyware
(A p p lix ). On m urm ure
îvrlp
même qu'un Star Office
version java serait en pré­
paration et que Sun, luimême, envisagerait d’en­
Title: EWHir.N
trer dans la danse.
Paniqué, Microsoft tente
Duke says. *|ust clitk!'
bien sûr de sto p p er la
vague (en vain, rassurezv o u s). L 'é d ite u r de
Applet staned.
Redm ond vient de pré­
senter un projet concur­
Le browser web Hotjava
rent en guise de dernier
en test ce mois-ci dans la rubrique Labo.
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Java Workshop : l'intégré de développement en java
et pour java (en test dans dream n°40).
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L i n u x , la p l a t e f o r m e de d é v e l o p p e m e n t J ava
par e x c e l l e n c e !
Depuis les début de Dream nouvelle formule (et nouvelle-nouvelle formule), nous
essayons de vous faire comprendre les avantages de l'utilisation de Linux comme
plateforme de développement Java. L 'histoire débute juste après la sortie de la
version 2 du noyau. Certains curieux voient dans les sources un support
expérimental des binaires au format Java directement dans le noyau. Parmi ces
curieux, certains aventuriers se décident à activer ce support Java et ...
Incroyable, Ca marche ! On pouvait d'ores et déjà considérer les applets et
applications Java comme des applications "normales" du système. Certains en
rêvaient, Linux l'a fait avant tout le monde ! Même si OS/2 se réclame unique
système supportant Java en natif. Concernant le kit de développement, linux est
cette fois-ci un peu à la traîne, Sun n'ayant donné l'autorisation du portage
non-officiel que tardivement. Mais l'important, c'est de savoir que Linux fait
parti des très rares plateformes de développements Java disponibles. La dernière
version du kit de développement, le jdk 1.7.7 vient d'ailleurs de sortir pour Linux.
En quelques semaines, ce ne sont pas moins de trois version successives qui ont
été distribuées.
L'intégré de développement Vibe de Visix : puissant,
peu onéreux et disponible sous Linux.
recours (faudrait pas voir à rigoler, Office fait plus de
50% du chiffre d'affaires de Microsoft !), pour le cas
où... Enfin, on ne peut pas ne pas citer EyeOpener,
une mini-suite shareware avec des outils rudimen­
taires mais qui sert tout de même de preuve au
sérieux du concept. Tout ces logiciels ont en com­
mun le fait de changer profondément la manière de
travailler. Plus besoin d'installations lourdes et
chères. On allu m e sim p le m e n t le N etw ork
Com puter (ou tout autre ordinateur connecté à
Internet), on double-clique sur Yapplet traitement de
texte et on travaille tout de suite avec la dernière
version, sans installer 600 Mo inutiles sur le disque
dur. Pour inclure un tableau, pas de problème, tout
est "document-centrique" : une simple requête sur
le serveur et hop ! L'applet tableur se télécharge et
s'intégre directement dans le document. Il n'y a rien
à acheter, votre provider vous propose d'utiliser les
applets sur son serveur moyennant un forfait men­
suel. C'est pas beau?
D es o u tils d e d é v e lo p p e m e n t
Avec java, il serait ridicule d'être limité à une seule
plate-forme de développement, c'est pourquoi les
outils de développem ent java sont souvent euxmêmes faits en java, java Workshop, par exemple,
est totalement basé sur un browser Web qui permet
à plusieurs développeurs de travailler en équipe via
Internet. Le système de développem ent peut se
déployer en Intranet aux quatre coins de la planète
et le cycle édition-com pilation-bug appartient du
Dans le magazine + CD : tout pour Hp
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Dossier
“easter eggs”
Ces messages
mystérieux que cachent
tous voiÉogrammes !
ulp fiction
m m S Ê È S m m ï.
le s 15%ts de l’été
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Imperi
Extrême assault
apocalypse
eapon
® ê n io s
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film s a n im és
Sfiare w a re s
Java au futur,
des perspectives
prometteuses
i.uipor t l a v a , a w t. G ra p h ic s;
icip o i z i ava . m t .C o io r ;
I m p ô tt v a .a w t.F o n t;
pul I ic ila tiK H-II-•W o î l d eü t* n d 3 rjavô .e p p le -.. A p ple'
P o n t f - n-_-w P o n t l" A r ia l " , P o n t BCLD, iM l;
p u b lic v o id p a r u tIG r a p h ic s a)
•1 . n e tC o lo r IG >lcir>biU ci ;
•j. sçtl'o rit f) ;
nj.dC2i« S t t ih q ( " H e llo w o rld " , 1 0 , 0 0 1 ;
| ava est encore jeune, on ne fait que commencer
l à découvrir ce qu’apporte cette nouvelle vision
I de l'informatique. Aujourd'hui, Java sert à dévepper des clients de bases de données, des inter­
faces graphiques, de petits utilitaires personnels (cal­
culatrice, bloc-notes...), des serveurs groupware...
Un domaine idéal est l'authoring multimédia et sa
co n q u ê te n'est qu'une q u estio n de tem ps
(Macromedia, le célèbre éditeur de Director, s'y inté­
resse déjà de très près). On peut donc s'attendre à
ce que les CD-Rom culturels (notamment les CD
avec liaison Internet) soient bientôt basés sur Java,
ce qui les rendrait directement consultables sur n'im­
porte quel ordinateur. Le décollage prometteur du
Network Computer n’est pas là pour nous contredi­
re. Pour que l’explosion ait enfin lieu, il faudrait que
les systèmes d’exploitation intègrent Java dans leurs
entrailles. Seuls Linux et OS/2 Warp le font à l’heure
actuelle. Quand tous les systèmes en seront là, la
juste cause pourra peut-être triompher.
Fred Pesch
Jakub Zimmermann
J
FreeBuilder : un grand projet de Free Software pas
encore vraiment utilisable.
coup au passé. L'heure est à la programmation par
composants (applets réutilisables) et aux applica­
tions ouvertes, celles où l'on rajoute autant de
modules que l'on veut.
V o t r e p r e m ie r p r o g r a m m e en Ja v a !
Nous n'allions pas faire ce dossier sans une seule ligne de code ! Voici donc le
source de l'applet la plus simple que l'on puisse trouver. Si vous disposez du ]DK
ou de tout autre moyen pour programmer en JAVA (Kaffe par exemple), lancez
appletviewer HelloWorld.html. Si vous voulez des explications, n'oubliez pas
notre rubrique mensuelle sur Java.
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Sun, le s a u v e u r des OS
Fichier HelloWorld.java:
abandonnés ?
iirport java.awt.Graphics;
import jav a .awt.Co1or;
import java.awt.Font;
public class HelloWorld extends java.applet.Applet {
Font f = new Font("Arial", Font.BOLD, 24);
public void paint(Graphics g)
{
g.setColor(Color.blue);
g .setFont(f ) ;
g.drawString("Hello world", 10, 60);
}
IH Applet Viewer: HeiloWorktciass sÉ2 l
Apple*
}
'-* * * >
Fichier HelloWorld.html:
<HTML>
< T IT L E >
<!—
Hello world
Apple* s*arted.
Hello World... < / T I T L E >
Changed by: Fred Pesch, 14-Oct-1996 — >
</HEAD>
<BO DY>
<B R >
<APPLET
CODE="HelloWorld.class" WIDTH=300 HEIGHT=60>
Browser have to support J A V A
< /A P P L E T >
< /B O D Y >
< /H T M L >
'
î
Derrière notre enthousiasme débordant pour Java
se cache une petite crainte. Il est en effet très
difficile de cerner la politique de Sun pour son petit
bijou. La plupart des applications de Sun relatives à
Java ne sont supportées que sur deux plateformes :
WindowS 95/NT et Solaris. De même, seuls ces
deux systèmes sont reconnus comme plateformes de
développement officielles. Plus grave, même si les
applications programmées en Java sont portables,
elles restent difficiles à utiliser sur d'autres systèmes
car les scripts d'installation sont spécifiques à
WindowS ou Solaris (et chez sun, on n'aime pas les
installations simples, semble-t-il). Alors que sun est
en position de force, tout porte à croire q u 'il
cherche à ne pas se brouiller avec le géant de
Redmond. Ironie du sort : ce dernier ne se gêne pas
pour mettre des bâtons dans les roues au concept
Ja va ... Certes, la plateform e W indows est un
objectif prioritaire, financièrement parlant, mais il
est dommage d ’oublier le reste du monde : comme
pour le browser Netscape, il aurait été possible de
distribuer des versions gratuites et non supportées.
C eci d it, ja v a est un jo u e t quelque peu
incontrôlable, les machines virtuelles et autres JIT
com m en cent à fle u rir su r bon nom bres de
plateformes... Malgré Sun ! Sun, le sauveur des OS
abandonnés ?... Oui, même si ce n ’est pas fait
exprès !
AMIGA 1200
l o g ic ie l s
+ P A C K M A G IC
Digita Wordworth 45E
Digita organiser 1.1
PersonnaT point 6.4
Turbo Cale 3.5
Digita print manager 1.2 SE
Digita Datastore 1.1
Photogenies 1.2 SE
Pinball Mania
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Photo non contractuelle
Fax : 01 43 5 7 10 01
Ouverture : 10H à 19h
Int. A l 20 0
290F
A005
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Int. A 6 0 0 /1 200
300F
A006
Int. A 2 0 0 0
590F
A003
Int. A 20 00
350F
A007
Int. A 4 0 0 0
590F
320F
A008
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Ext. tout Amiga
Ext. tout Am iga
CD 8X seul
620F
B001
C D 12X seul
B002
CD 8X + Kit Randy 9 9 0 f
B002
CD 12X + Squirel 1 6 9 0 F
B003
CD 12X seul
B003
C D 14X seul
6004
CD 12X + Kit Randy 1 0 9 0 F
B004
CD 14X + Squirel 2 0 9 0 F
B005
Kit Randy
B005
Squirel
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1290F
SC A LA MM 40 0
1490F
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LIGHT WAVE 3.5
1990F
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290F
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PAINTER 3D
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B U R E A U T IQ U E
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Processeur 68040/25 Mhz,
mémoire RAM 2 Mo,
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Contrôleur DD IDE + SCSI
Disque Dur 1 Go SCSI
FINAL C O P Y II
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PC TASK 3.1 5 VF
TURBO C A LC 3.5
490F
DEVPACK 3.5 VF
990F
D. O PU S 5 .1 2 VF
690F
BLITZ BA SIC 2.1
480F
750F
C001
ZIP SCSI Ext
1190F
C003
EZ 135
890F
JA Z SCSI Ext
3690f
C004
EZ 235
NC
W O R D W O R TH 5
690F
GP FAX 2 .3 4 6 VF
TURBO PRINT 4.0
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A 4 0 0 0 2 Mo + 4 Mo + Scalla
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A 4 0 0 0 2 Mo + 1 8 Mo + Scalla
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A 120 0 2 Mo + 1 8 Mo + Scalla
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Amiga 500
650F
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Moniteur 10835
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Amiga 500+
800F
K007
Moniteur 10855
700F
K003
Amiga 600
800F
K008
Moniteur 10845
900F
700F
K004
Amiga 1200
17 0 0 F
K009
Moniteur SVGA
800F
K005
Amiga 2000
15 0 0 F
K010
Lecteur Ext.
250F
EXT. MEM. A l 200
D001
A 500
5 1 2Ko
200F
D004
A 1200
OMo
590F
D002
A 500
1Mo
300F
D005
A 120 0
4Mo
760F
D003
A 600
1Mo
300F
D006
A 1200
8M0
920F
990F
Photo non contractuelle
490F
C002
EXT. MEMOIRE
P H O T O G E N IC S VF
SCEN ARY ANIMATOR 5 9 0 F
1690F
SYQ U EST
IOM EGA
790F
A 120 0 + DD 170 Mo + Scalla
890F
CD-ROM SCSI
CD-ROM IDE
199F
SC A LA MM 211
A 1200 + Pack M agic
590F
B001
S O N
PERSONNAL PAINT 6.4 VF 4 9 0 F
590F
H002
LECTEURS 88 OK 0 I LECTEURS l,7 M o
Int. A500
&
SC A LA VT 100
DELUXE PAINT 5 VF
H001
PERIPHERIQUES
A001
G R A P H IQ U E S lV ID E O
AM IGA 1200 TOWER
Aminet 13/14/15/16/17 7 9 F
Aminet 18
79F
Aminet 17
99F
Aminet Set 1
15 9 F
Aminet Set 2
159F
Aminet Set 3
199F
Aminet Set 4
199F
French Storm
79F
Assassins CD 3
169F
J E U X
D IS C O U N T
D IS K
9 9 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
CARTE A CCELERA TR ICE
68030 50 M HZ
E005 Blizard 1230 OMo 8 9 0 F
M TECK 28 4Mo 8 9 0 F
E006
E003
M TECK 28 8Mo 1 0 4 0 F
E007
Blizard 1230 8M0 1 2 9 0 F
E004
KIT SCSI
E008
Blizard 1230 I 6M0 1 4 9 0 F
700F
Blizard 1230 4Mo 1 0 9 0 F
CARTE ACCELERATRICE
, 68040
E009
CA RTE A CCELERA TR ICE
68060
Blizard 1240 OMo 18 9 0 F E014 Blizard 1260 OMo ;3 1 9 0 F
E010
Blizard 1240 4Mo 2 0 9 0 F
E015
Blizard 1260 4Mo 3 3 9 0 F
E011
Blizard 1240 8Mo 2 2 9 0 F
E016
Blizard 1260 8M0 ;3 5 9 0 F
E012
Blizard 1240 16Mo 2 4 9 0 F
E017
Blizard 1260 I 6M0 ;3 7 9 0 F
E013
Copro 5 0 Mhz
E018
KIT SC SI
520f
DISQUES DURS
F008
Boi. Ext. IDE
2>/2
IDE 17 9 0 F
F009
Boi. Ext. SCSI £|é200°0 6 9 0 F
31/2
IDE 1 0 9 0 F
F010
Boi. Exl.
F004
1,2 Go 31/2 IDE 12 9 0 F
FOI 1
Tiroir Int. IDE
140F
F005
1,6 Go
3 1/2
IDE 1 5 9 0 F
FOI 2
Tiroir Int. SCSI
17 0 F
F006
540 Mo
3 ,/2
SCSI 13 9 0 F
FOI 3
Inter face Squial SCSI 4 9 0 F
1 Go
31/2
SCSI 18 9 0 F
FO U
170 Mo
F002
540 Mo
F003
630 Mo
2>/2
M ONITEURS
G 001
590F
Interface PCMCIA IDE 5 9 0 F
Canon B 240
490 ‘
1003
Interface PCM CIA
290’
1004
Carte Zorro
1890F
Canon BJC 4200
1690F
G003
Mult. S/nc 17" M 1738 7 2 9 0 F
G009
Canon BJC 620
2490F
G004
SVG A 14"
1490F
G010
HP 6 9 0
1990F
G005
SVG A 15"
1990F
G011
HP 820
2490F
GO 12
HP 870
3490F
D IS Q U E T T E S
Certifiées 1 0 0 % sans erreurs
3" 1/2 DF DD p i 2 '4 0 ' 1 H 2 ' 3 0 ' ^
2, 10 F ®
3" 1/2 DF HD f lf | 2 ,9 0 F ||y|j 2 ,8 0 F l l f 2 ,6 0 F É l f
GRAPHIQUE
VIDEO
M001
VIDI 24 RT
1390F
N001
Scanner 69t Gris
M002
VIDI 24 RT PRO
1990F
N002
Scanner 256t Gris 9 9 0 F
M003
Genlock Minigen
790F
N003
Scanner Couleur
M004
Genlock Composite 17 9 0 F
N004
Tablette ARTPAD A6 1 2 9 0 F
M005
Genlock Y/C
2790F
N005
Tablette ARTPAD A5 2 4 9 0 F
1 ,9 0 F
BLACK VIPER
CAPITAL PUNISMMENT
TUNY TROOPS
XP8
JET PILOT
NEMAC IV
EXILE
LEGEND (AGA)
HUMANS 3
VALHALLA 3
590F
2190F
SENSIBLE W ORLD O F SO R C C R A 9 6 /9 7
2 4 9 F
CHAOS ENGINE 2
ALIEN BREED 3D 2
WORLD GOLF
TIN TOY ADVENTURE
TOURING CAR CHALLENGE
TILE MOVE
FIGHTING SPIRIT
SLAM TILT
STAR CRUSADER
D O M
A I N E
P U B L I C
GRAND CH O IX DE DISK ET CD
JE U X • D E M O S • U T ILIT A IR E S • E R O T IQ U E S
MODEM +
SO N
P001
Interface MIDI
190F
R001
OLITEC 14 4 0 0 b
P002
M égalo Sound
390F
R002
OLITEC 2 8 8 0 0 b 119 0 F
P003
AURA
890F
R003
US Robotic 33600 1 2 9 0 F
S001
Souris standard
99F
S002
Souris 30 0 dpi.
12 0 F
T002
Midi
70F
S003
Souris 4 0 0 dpi.
160F
T003
Nul modem
90F
90F
990F
C A B L E S
D IV E R S
1290F
G008
3590F
Interface Clavier PC
IM PRIM ANTES
GQ07
Mult. S/nc 15" M 1538 2 9 9 0 F
SV G A 17"
16 9 0 '
1002
890f
G 002
G006
S o fts
MuIt.S/nc 14" M 1438 2 2 9 0 F
Boitier Tower Infinitiv
BOITIERS-TIROIR-INTERFACE
IDE 12 9 0 F
F001
F007
Q u ic k !
700F
J E U X
Photo non contractuelle
L001
T001 ( Peritel
90F
S004
Souris optique
220F
T004
Minitel
S005
Crayon souris
300F
T005
Disque dur 2 ,/22 1/2 6 0 F
S006
Trackball
350F
T006
Disque dur 2 ,/23 1/2 7 0 F
S007
Multistandard 500 2 0 0 F
T007
Prolongation joystisk 6 0 F
5008
Multistandard 600 2 6 0 F
T008
Imprimante
S009
Commut. joy/souris 2 0 0 F
T009
Adaptateur multisync. 15 0 F
S010
Alim. 500/600/1200 3 9 0 F
T010
Adaptateur peritel 1083 15 0 F
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Q té .
□ Chèque □ C C P J Carte bleue date d'expiration
| ü C a rte club A M IE
Date :
P rix
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Signature :
J
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E002
CHRISTMAS LEMMINGS
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CARTE A CCELERATRICE
68030 28 M HZ
E001 M TECK 28 OMo 6 9 0 F
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baies 3" 1/2 + 1 baie 4" ,/4.
Alimentation 200W modi­
fiée AMIGA. Interface cla­
vier PC + clavier PC.
Options : bus Zorro II et III
DENNIS LA MALICE
BLUES BROTHERS
BATTLE CH ESS 2
SMASH TV
LETHAL W EAPO N
WIZKID
FATMAN
JURASSIK PARK
HU DSON HAWK
NIGHT SHIFF
Pc task 4.2 contre Pcx 1.1,
la guerre des ém ulateurs
Pc sur A m iga
montés d'origine dans l'Amiga. Une
façon de faire qui implique, de surcroît,
un ralentissement dans l'affichage. A
noter que cette règle ne s'applique pas
au mode 320x200 en 256 couleurs
(celui des jeux) où, là, Pcx cherche véri­
tablement une carte graphique ou des
composants Aga. Enfin, si Windows
ém ule un 486 avec co-processeur
arithmétique et un chipset graphique
Svga 2 Mo (jusqu'à 1280x1024 en 16
millions de couleurs). De plus, il est
fourni avec tout un panel d'outils pour
reconnaître sous émulation la souris, le
disque dur et le lecteur de CD-Rom.
Pcx, lui, se targue d'émuler un Pentium
om m odore avait inventé
plus une carte SoundBlaster et de ne
quelque chose de génial pour
pas avoir besoin de pilote spécifique
l'Amiga, les cartes passerelles. Il
Un Pc dans une fenêtre Amiga.
s'agissait de cartes mères de Pc qui
pour reconnaître la souris. En revanche,
venaient s'insérer dans un connecteur
d'extension. Elles permettaient de faire
tourner en multitâche deux ordina­
teurs, un Amiga et un Pc, qui utilisaient
le même écran, la même souris et le
même clavier. Mieux, les Amiga 2000,
3000 et 4000 autorisaient en plus l'in­
sertion directe de quatre cartes d'ex­
tension PC au format Isa (graphique,
Pc Task est riche en options.
sonore, etc.). Pour une raison que la
pense bien avoir affaire à une carte
il n'émule que du Vga tout ce qu'il y a
raison ignore, ce principe a été totale­
Sounblaster, tous les jeux que nous
de plus standard (640x480 en 16 cou­
ment abandonné depuis quelques
avons testés se sont plaints de ne pas
leurs ou 320x200 en 256 couleurs). Aïe
années. Désormais, ceux qui veulent
trouver la puce sonore ! A tout ceci,
! Dans cette première manche, unique­
faire tourner Ms/Dos ou Windows sur
ajoutons que si les deux produits ému­
ment théorique, Pcx perd sur toute la
leur Amiga n'ont plus pour seul recours
lent bien le co-processeur arithmétique
longueur. D'abord au niveau du micro­
que l'émulation logicielle.
(Fpu), aucun d'eux ne prend en comp­
processeur : la seule vraie différence
C a é m u le q u o i ?
te la gestion de la mémoire virtuelle
qui existe entre un 486 et un Pentium
Les émulateurs Pc ne manquent pas
(Mmu). Conséquence malheureuse : il
réside dans leur technique de fabrica­
dans le domaine public. Mais les deux
tion. Parce qu'il a plus de tuyauteries
sera impossible d'utiliser Windows 95...
produits commerciaux que nous tes­
Le p ro b lè m e du d isq u e d u r
tons ce mois-ci sont les seuls dignes de
(pipeline) montées en parallèle (super­
Pc Task et Pcx peuvent travailler avec
scalaire) le Pentium est plus rapide que
sérieux. Dans sa version 4.2, Pc task
le 486. Sinon, le
deux types de disques durs : la partijeu d'instructions
des deux m icro­
processeurs est
S'ils ont l'avantage d'être gratuits
quasiment iden­
et de se contenter d'un 68000 à
tique. Donc, pas
7M hz avec 4 Mo de Ram, les
de poudre aux
émulateurs Pc shareware manquent
yeux : Pcx émule
un 486 ! Ensuite,
en contrepartie franchem ent de
performances. Amiga Transformer
Pc Task reconnaît
et CrossPc ém ulent au mieux un
toute carte g ra ­
8 0 8 8 en Cga (3 2 0 x 2 0 0 en 4
phique su p p lé ­
co u le u rs), Ibem e xp lo ite l'E g a
m entaire pour
m onter ju sq u 'à
(320x200 en 16 couleurs) et seule
1 2 8 0 x1 0 2 4 en
la démo de Pc Task 3.1 propose un
286 avec les modes Vga (640x480
256 co uleurs,
alors que Pcx ne
en 16 couleurs). A noter que des
versions démos de Pc Task 4.2 et de
se sert que des
Pcx 1.1 (re-numérotée 2.1) existent
com posants Ecs
Incroyable : Duke Nukem 3D sur Amiga !
sur Internet.
(même pas Aga !)
Avoir la possibilité de récupérer toutes les
applications du Pc sur Amiga a de quoi
tenter. Mais il ne faut pas être trop
regardant quant au résultat.
C
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
CD JEUX MATERIEL
tion physique et le fichier-disque. La partition phy­
sique est une partition standard de votre Amiga que
les émulateurs prendront soin de re-formater pour
installer Ms/Dos et Windows. C'est la solution idéale,
car les accès aux données sont très rapides. Seul petit
hic : on est obligé de re-formater tout un disque dur
de l'Amiga. A noter également que la partition ne
devra pas dépasser 528 Mo. Faute de quoi, Pc Task
obligera l'utilisateur à faire un petit tour du côté de
HDToolBox pour changer le formatage du disque (de
FFS à MSH). Plus capricieux, Pcx ne voudra, lui, pas
du tout reconnaître une partition supérieure à 528
Mo !
Le fichier-disque est une solution économique qui
consiste à créer un gros fichier sur le disque dur et
faire croire à l'émulateur qu'il s'agit d'un vrai disque.
C'est beaucoup plus lent, mais au moins ça n'oblige
pas à tout reformater. A noter que, contrairement à
ce qu'il est écrit dans sa documentation, Pcx refuse
catégoriquement de fonctionner avec un fichierdisque préparé par Pc Task.
L'u tilisa tio n de W in d o w s
Un cauchemar. Certes, Pc Task peut travailler dans
toutes les résolutions permises par la carte graphique
de l'Amiga. Mais la plupart du temps, sans pointeur
de souris ! A vrai dire, nous n'avons réussi à outrepas­
ser ce bogue qu'une seule fois : lorsque nous avons
installé la version de Windows 3.1 que distribuait...
Commodore ! A l'opposé, Pcx ne souffre pas de ce
problème, mais l'affichage de son Windows est en
demment dans la taille écran la plus basse possible et
avec le minimum de détails affichables. A noter que
les démos s'exécutent égalem ent ; la qualité de
l'émulation est donc indéniable. Avantage Pcx.
Le q u e l et p o u r q u i ?
Résultat du comparatif : Pc Task est mieux pour
Windows et Pcx est à préférer pour les jeux. Mais
même si les deux produits émulent parfaitement un
C o n f m u r f O p tio n
T u rb o L e v â t:
EL
S ta rt
1
C n u la t o r
C PU: 6 8 8 6 8
T ra n s c r ip lto n
<5»M»w>
rpu: B u . l t - ii»
G r a p h i c s : SIC*
K i c k S t a r t : 4 8 .6 8
W o rk b e n c h : 4 8 .4 2
C ache S i /
p
J EL
Pcx est mieux pour les jeux.
Pc 486 - ou Pentium - on ne pourra véritablement
utiliser que les petites applications Pc, celles qui
n écessiten t peu de ressources du systèm e.
Autrement dit, les jeux en 2D et les logiciels bureau­
tiques. Car émuler un 486 ou un Pentium ne signifie
pas transformer l'Amiga en bête de course, mais au
contraire ralentir la machine au m axim um pour
avoir le temps de simuler le fonctionnement d'un Pc
évolué. Si bien que Pc Task et Pcx fonctionnent bel
et bien sur un simple 68020 à 14 Mhz et 4 Mo de
Fast Ram, mais qu'ils ne deviennent vraiment utili­
sables qu'à partir du 68030 à 40 Mhz avec 12 Mo
de Fast. Et encore, le tout reste très poussif avec un
68060 à 50 Mhz et 48 Mo de Fast. A noter que les
deux émulateurs sont livrés avec une version "light"
qui nécessite moins de mémoire et n'émule pas le
Fpu. Mais dans ce cas, le résultat est pire que tout.
Yann Serra.
Remerciements à Vav vidéo et Fds.
PARADISE
Tower Irrfinitiv A1200
1449 F
Tower Infïnitiv Zorro II
2490 F
Clavier Win95 +adaptateur....139 F
Bus Zorro II Micronik
1590 F
Extension 5.25
290 F
Extension 3.5 interne
90 F
Adapateur 2 disks intemes...229 F
AdaptateurPcmcia
.245 F
Alimentation interne 230W....449 F
Lecteur disks HD
590 F
Tower A4000 + Zlll
2890 F
(7 Zlll, 5 PC/ISA, 2 Slot vidéo)
Rack extractible IDE
109 F
Rack extractible SC SI
159 F
Souris et tapis Frog Design..145 F
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Compil acid attack
175 F
Big red adventure
199 F
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259 F
Compil Manyk mayhem...175 F
Theme park
149 F
Worms directors e u t
247 F
Sw os 96’97
199 F
Pinball Bundle
229 F
DOpus Magellan
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Ibrowse..............................249 F
Miami + Into the net
390 F
Network p c
249 F
P.Os Prerelease
A/C !
PPaint 7
369 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Pc T a s k 4 . 2
->.;
Même les démos Pc marchent !
entrelacé ! Dur-dur pour les yeux. D'autant que,
quelque soit l'émulateur, l'apparition des icônes et
des fenêtres est d'une catastrophique lenteur.
Avantage Pc Task.
La vitesse des jeu x
Féroces comme nous sommes, nous avons fait exécu­
ter à nos deux émulateurs des jeux parmi les plus
demandeurs en ressources machines : Duke Nukem
3D, WipeOut, et Descent 2. Première bonne surprise,
ils marchent tous ! Première mauvaise nouvelle, ils
sont tellement lents qu'ils en deviennent tout bonne­
ment injouables. A noter tout de même que Pcx bat
allègrement Pc Task dans cette catégorie. Mais tout
de même, sur un Amiga 4000/60 à 50 Mhz et pourvu
de 48 Mo de Ram, on compte environ 1 fps (images
par seconde) pour WipeOut, 0.75 fps pour Duke
Nukem 3D et 0.3 fps pour Descent 2. Le tout bien évi­
En hausse
Très bonne émulation du 486
Utilise les cartes graphiques
En baisse
Très lent
Bogue avec le pointeur sous Windows.
Ne permet pas de lancer Windows 95
Note
★
★
★
k
1 ï
Pcx
En hausse
Très bonne émulation du 486
Le meilleur choix pour les jeux Pc en 2D
En baisse
Très lent
Ne reconnaît rien d'autre que l'Ecs, à part pour
le mode 320x200 en 256 couleurs
Ne permet pas de lancer Windows 95
Note
★
★
★
■
»
rom
Aga tool kit 97
Amiga develloper cd
Amiga repair kit
Amiga tools 4 ,5ou 6
Aminet 15 ,16 ,17 ou 18
Aminet 19..... '.
Aminet set 1 ou set 2
Aminet set 3 ou set 4
Démos are forever.
Emulators unlimited
Gateway
Giga graphie set
Imagine pd 3d
Lightrom 4
Magic publisher.
Magicwb enhancer.
Meeting pearl 4
Mods anthology.
Rhs erotic collection
Scala plug in
Sci-Fi Sensation rel.2
Scene storm vo!.1
109 F
89 F
269 F
129 F
79 F
79 F
139 F
199 F
49 F
169 F
37 F
149 F
155 F
239 F
269 F
99 F
59 F
206 F
89 F
249 F
197 F
159 F
Autres titres dispos....
téléphonez !
frais de port logiciels 35 F
frais de port matériel 80 F
frais de port tour, écran NC!
^Software Pàrâdise}
iC-A du BAB
!39 Rte de Lamouly
!64600
ANGLET
I____________________________________ I
TEL 05-59-58-20-88
Xm base - G rok
Non, non, Grok n'est pas le cri de guerre d'un barbare
quelconque, ce sont les initiales de graphical resource
organizer kit, que l'on pourrait traduire p a r outil
graphique d'organisation de ressources. Tout un
programme...
rok va vous servir a gérer de
petites bases de données (la
structure est simple mais le
nombre d'enregistrem ent peut être
important. L'interface, basée sur Motif
(le program me est compilable avec
Lesstif semble-t-il), est d'une simplicité
remarquable. Le haut de la fenêtre
principale est réservé à la recherche
(sur une chaîne de caractères, une
expression régulière) et à la liste des
enregistrements de la base courante.
Une rangée de bouton permet de rapi­
dement sélectionner les enregistre­
ments pris en compte dans la liste. Au
bas de la fenêtre s'affiche le contenu
de l'e n re g istre m e n t actu ellem en t
sélectionné, avec ses différents champs
éditables ou non. Cette interface très
simple est aussi très pratique, surtout
que l'aide en ligne est omniprésente.
La s im p lic ité d e l'A S C II
Les bases de données gérées par Grok
sont de deux types. Tout d'abord les
bases statiques dans lesquelles les dif­
férents champs des enregistrements
sont indiqués en Ascii et séparés par
un séparateur configurable. Les bases
de données procédurales permettent
--------
d'associer des com m andes (scripts
shell) avec les bases, ce qui permet par
exemple de modifier efficacement les
fichiers de configuration du système
(on peut faire un utilitaire de gestion
ments : les différents champs dispo­
nibles. Il s'agit en fait d'un véritable
petit générateur d'interface très puis­
sant. Les éléments d'interface dispo­
nibles sont nombreux : zone de saisie,
date, note, étiquette, choix, drapeau,
bouton et graphe. Vous pourrez effec­
tivement rajouter de petits graphiques
pour accom pagner les enregistre-
G
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
R ie
Database
Search:
Se ctio n
jj--------
S o rt
Q itery
r-----
dd
Clear
Search
weather: 7 o f 7 cards (read onty)
Date
Temp
Près
Huai
we
we
! 1 0 .0 9 .9 4
1 1 .0 9 .9 4
! 1 2 .0 9 .9 4
1 3 .0 9 .9 4
1 4 .0 9 .9 4
1 5 .0 9 .9 4
A t J jjC jp { E } T |G j H Ilj J j K jJL M I N O P Q jR I S| T j ü | V jW lX ) Y lZ I mise! ail]
Date ! 9 .0 9 .9 4
m perature:
13
Pressure: \ 1003
Humkfity: ||9 S
v Sunny
4 |j !►]
P a rtiy c lo u d ♦ Cloudy
New
Dup
Light raii
Rain
Oelete
Le fenêtre principale de Grok.
L'éditeur de formulaire en action, faites de la place !
des utilisateurs dans Grok). La consul­
tation et la modification des bases est
donc simple, non seulement dans Grok
mais aussi avec un simple éditeur de
texte. Si vous indiquez un répertoire
comme fichier de base, chaque fichier
contenu dans ce répertoire représente­
ra une section spécifique de la base de
donnée (ces sections apparaissent
dans le menu section).
En p le in e fo rm e !
Le module le plus intéressant et le plus
puissant du programme est le form
editor (éditeur de formulaire). En fait,
votre base de données est pratique­
ment entièrement configurée ici. La
première étape est de donner un nom
à la base. Vous donnez soit un nom (le
nom de fichier correspondant aura
pour extension .db et se situera dans
le répertoire -/.g ro k/ ) soit le nom
d'un fichier déjà existant (par exemple
/etc/passwd pour gérer les comptes
utilisateurs). Vous choisissez aussi un
séparateur et vous devez préciser si
votre base est en lecture seule et si elle
est procédurale. Dans ce dernier cas,
vous pourrez créer le "shell script"
associé à la base. Vous devez aussi
décider du contenu de vos enregistre­
m ents. C h a q u e cham p d'entrée
(input) peut être associé à une requête
qui apparaîtra automatiquement dans
un des menus de l'application. Grok
peut aussi bien servir de carnet
d'adresse ou de bookm ark (pages
web, sites ftp, mots de passe) que
d'utilitaire de gestion des utilisateurs.
En tout cas, vous ne viendrez plus vous
plaindre parce que vous avez perdu
une information !
Fred Pesch
pesch@club-internet. fr
En hausse
Interface simple et efficace
À Editeur de formulaires
Format ASCII pour les bases
En baisse
Ce n'est pas un SGBDR !
Quelques bugs
Statut : free software
Source : http://www.INBerlin. DE/User/bitrot/grok.html
Note
★ ★ ★ ★
projet qui peut contenir jusqu'à huit
pistes. Il est tout à fait possible d'ouvrir
plusieurs projets à la fois. Pour tra­
vailler sur un projet de huit pistes, le
Prosound est un logiciel de Direct
logiciel peut se contenter de moins
to Disk de la société Oregan qui
d'un megaoctet de mémoire.
permet d'enregistrer jusqu'à huit
Un n o m b re d 'e ffe ts
voies sur le disque dur. Tout ceci se
im p re ssio n n a n t
fait sans extensions matérielles
On peut enregistrer piste par piste, tra­
sauf, bien sûr, une carte pour
vailler l'ensemble et remixer le tout en
digitaliser les sons.
temps réel pour l'écoute. Le nombre
d'effets disponible est impressionnant ;
cela passe du réglage des graves à
l'ajout d'un écho et d'une réverbéra­
tion à la création de filtres. On dispose
également d'un système de création
d'enveloppe, qui a la particularité de
ne pas altérer le sig n a l de base.
L'écoute peut se faire à vitesse variable
à l'aide d'un panneau de contrôle.
Prosound supporte égalem ent une
Application 3D du sam pie.
douzaine de formats de fichiers ainsi
que leur dérivés. Certains outils sont
'installation est, comme toujours,
vraiment pratiques, comme l'affichage
très simple... Un utilitaire permet
du spectre (FFT) ou le numéroteur
de tester la vitesse du disque dur
et de déterminer combien de pistestéléphonique. De plus, il faut noter
vous pourrez gérer en même temps.que ce logiciel peut être amélioré par
l'ajout de "plug in" disponibles gratuiLa taille des sons suppo rtée par
tememt sur le site d'Oregan. Bref, un
Prosound est virtuellement illimitée. Le
incontournable qui fait plein usage de
travail commence par l'ouverture d'un
P ro S o u n d
l'Arm et qui, en plus, est à la portée de
toutes les bourses (moins de 1 300F).
David Feugey
Remerciements à Rush.
ProSound
En hausse
Travaille en temps réel
Grand nombre d'effets
Affichage du spectre
En baisse
Aucun défaut.
Note
★
★
★
★
★
L
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Photodesk 2
ne des fo n c tio n s h a b itu e lle s ne
manque, pas même la séparation des
couleurs. La vitesse du logiciel sur­
PhotoDesk 2 est un logiciel de
prend un peu... Beaucoup plus rapide
création et de traitement
que Photoshop pour certains effets et
d'images. Il se veut un clone très
beaucoup plus lent pour d'autres. En
amélioré du fameux Photoshop.
fait ceci est dû à la présence du très
véloce processeur Arm et à l'absence
e leitmotiv de l'équi­
totale d'unité de calculs flottants (Fpu
pe de d é ve lo p p e ­
ment de PhotoDesk
pour les intimes). L'ensemble reste
est : "ce que Photoshopglobalement très rapide et la gestion
fait, on le fera en mieux".des couleurs est très évoluée (système
Cms).
Le prem ier contact avec
Un sy stè m e de P lu g 'in
PhotoDesk 2 laisse une excel­
Le nombre de formats de fichiers sup­
lente impression : installation aisée
portés par le logiciel est suffisant, par
et prise en main facile. A l'usage, le
contre le nombre d'effets est un peu
logiciel remplit bien son office : aucujuste. Dom m age, le système utilisé
n 'est pas c o m p a tib le avec les
modules externes de Photoshop (Kpt,
etc.) ! Pour remédier à cela, l'éditeur
a prévu un système de "plug in". Il
existe déjà un pack qui rajoute des
effets graphiques et un autre qui aug­
mente le nombre de filtres d'importa­
tion/exportation (pour les formats de
fichiers étrangers). A noter que les
packs sont payants... Ce produit reste
malgré tout d'une qualité exception­
L'écran de travail principal.
nelle. D istrib u é aux alento urs de
Les multiples fenêtres de Prosound.
3000 F, signalons que Photodesk 2
dispose aussi d'un petit frère plus
économique, mais aussi plus limité.
David Feugey
Remerciements à Rush
L
Photodesk 2
En hausse
▲ Aussi bien que Photoshop !
Nombreux filtres
d'importation/exportation
En baisse
lenteur de certains filtres
Assez peu de filtres graphiques
Note
★
★
★
O rgan iser 2
Nous avions des traitements de texte, des tableurs, des
utilitaires de gestion et de com ptabilité... mais il
m anquait un élément im portant à notre suite
bureautique : un organiser digne de ce nom.
Heureusement est arrivé...
Organiser 2 ! Attention, l'essayer, c'est l'adopté.
rganiser est un logiciel édité
par Digita International, que
l'on co n n a ît déjà pour
WordWorth, Datastore, et une multitu­
de d'autres produits pour l'Amiga. Très
complet, Organiser 2 intègre les fonc­
tions d'agenda, calendrier, répertoire
et carnet de notes. Et tout ceci dans le
même produit ! De fait, il saura conve­
nir à tous les usages, des plus simples
aux plus sophistiqués. On vous le
confirme, Organiser 2 est un outil pro­
fessionnel performant.
In sta lla tio n et p ré se n ta tio n
La procédure d'installation, qui vous
guide pas à pas, s'effectue en deux
temps trois mouvements, sans aucune
difficulté, même pour les plus novices
d'entre nous. On pourra aussi bien ins­
taller Organiser 2 sur le disque dur que
sur des disquettes.
A son lancem ent,
Organiser 2 présen­
te systé m a tiq u e ­
m ent
l'a g e n d a
ouvert à la page du
jour. Ainsi, on peut
visualiser en un clin
d'oeil le program ­
me de la journée :
les rendez-vous, les
L'agenda.
différentes tâches
O
sira tous les détails concernant la per­
que l'on avait programmées pour ce
sonne ou la compagnie que l'on désire
jour, etc. L'interface du programme est
très agréable, à commencer par la par­
ajouter dans le répertoire. Là aussi, dif­
férentes vues sont possibles : détail de
tie principale qui reprend fidèlement le
chaque adresse, ou bien juste une liste
look d'un véritable agenda sur papier.
de noms et de numéros de téléphone.
La rangée d'icônes sur la partie gauche
Les su p p lém en ts
de l'écran permet d'accéder rapide­
Dernière partie de notre Organiser 2,
ment aux fonctions les plus utilisées,
tandis que celle du haut de l'écran est
celle-ci est destinée à recevoir des
fiches d'informations de contenus tout
spécifique à la partie de l'organiser où
à fait divers. C'est ce genre de pages
vous vous trouvez. Voyons maintenant
que l'on retrouve souvent à la fin des
plus en détail les différentes fonction­
agendas, celles qui récapitulent les pla­
nalités que nous offre Organiser 2 :
Le ca le n d rie r
nètes du système solaire, les formules
de math basiques, etc. Une bonne
Les dates sont ici rangées sous forme
douzaine de fiches de ce type sont pro­
de tableaux, avec une ligne par semai­
posées, mais libre à vous d'en rajouter
ne, à raison de trois mois par page. La
si vous jugez cela utile.
date du jour apparaît en rouge. A l'aide
C o n fig u ra tio n et aide en lign e
d'un simple clic sur une date, on se
Quelques options de configuration per­
retrouve dans la partie agenda, à la
mettront de régler, par exemple, le for­
date correspondante.
mat utilisé pour les heures, les polices
L'a g e n d a
de fontes, etc. A tout moment, une
Chose qui n'est pas possible sur un
aide en ligne est disponible. Par simple
organiser "traditionnel", on peut ici
appui sur la touche Help, un texte au
choisir à loisir la disposition des jours :
format AmigaGuide apparaîtra, poin­
un jour par page, une semaine par
tant sur la section ou la fonction où on
double page, ou bien une semaine par
page, suivant les besoins. Un rendezse trouvait à ce moment là.
Encore un formidable produit, très bien
vous ? Un événem ent im portant à
conçu et très performant, exclusive­
noter ? Un rapide double-clic sur le
ment réservé à notre machine favorite
jour correspondant, et aussitôt apparaî­
et qui aura sa place dans un environne­
tra un requester demandant de préci­
ment aussi bien scolaire que profes­
ser quelques détails concernant cet
sionnel.
événem ent : titre, priorité, dates,
Vincent Oneto
heures de début et de fin, périodicité,
Remerciements à Fds
et éventuellem ent une alarm e ou
même le lancement d'une tâche parti­
Organiser 2
culière (un backup par exemple). Si on
a plusieurs événements associés à une
En hausse
même date, ils se classeront bien
iA Richesse des fonctionnalités
entendu par heure de début, si celle-ci
Intelligence des zones de saisie
est précisée, bien évidemment.
A Logiciel et manuels entièrement
La liste des tâch e s
en français
On inscrit ici différentes tâches dont on
En baisse
doit se souvenir, si elles ne sont pas for­
Non, je ne vois pas...
cément rattachées à une date particu­
Note
lière. Si le travail en question à été
effectué, on peut le cocher ou même le
★ ★
★
★ ★
supprimer de la liste.
Le ré p e rto ire, ou ca rn e t
d 'ad resses
De présentation très
classique, avec un
onglet pour chaque
lettre de l'alphabet
pour un accès rapi­
de. Comme pour les
sectio ns
précé­
dentes, un sim ple
double-clic fait appa­
raître une fenêtre
Fenêtre de saisie d'une adresse.
dans laquelle on sai­
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
D ig it o O r g a n is e r
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Téls 0 0 4 4 1291 6 2 5 7 8 0 (8 h à 19 h lundi - samedi) Fax: 0 0 4 4 1 2 9 1 6 2 7 0 4 6 (24h /24)
Ligne téléphonique directe en français
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Interface PCMCIA SC SI2 Hisoft SU RF SQUIRREL (A1200)
645
TECHNO SOUND TURBO 2 stéréo (F) Compatible AMIPHONE TCP
285
Adaptateur pour brancher les manettes analogues PC sur AM IGA:45F - les 2: 80
HOUSSE AMIGA 500/600/1200 (PRECISEZ SVP)
25 F - 3 pour 50
Lecteur EXTERNE (Méc. SONY / port d'extension) pour TO U S Amigas
425
Carte MAGNUM extension RAM A 1200 - 8 Mo maximum - Fournie Oko
375
425
CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE W HIPPET PCM CIA (A600/1200)
215
INTERFACE MIDI PROMIDI
55 F - 2 pour 95 F - les 10: 350
PAULA 8364(252127-02) Amiga500/2000
285 F - 2 POUR 500
LECTEUR INTERNE AMIGA 500
285
LECTEUR INTERNE AMIGA 1200
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
ACTIO N PAD (JO YPA D ) Amiga seul.
125 F - 2 pour
KIT de transfert de fichiers AMIGA < = > PC (doc. F)
SOURIS AMIGA
125 F - 2 pour 220 F - 3 pour
Câble NULL MODEM multistandard 5m: 145 F - 10m:
QUADRUPLEUR de M ANETTES:
50 F - 4 pour
Carte AURA 12bit/16bit PCM CIA (A 600/A 1200)
Carte AU RA 8 bit -tous Amigas8375 (318069-16) A500/200C55 F - les 2: 95 F-les 10:
GARY 5719 (318072-01) 55 F - 2 pour 95 F - les 10:
LECTEU R INTERNE AMIGA 600
ALIM ENTATION 220/240V POUR CD 32
C O P IE U R " H A R D " : X C O P Y PRO + Interface C Y C L O N E (doc en fran çais)
220
120
300
165
150
595
295
350
350
285
225
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
250 F
PC TASK 4.2: 625 F TTC Port compris
Nouvelle version avec émulation de co processeur mathématique
Version com plète m ultilingue sur écran: F R A N Ç A IS /A nglais /Allem and
disquettes com m erciales originales + m anuel original com plet
(Processeur 6 8 0 2 0 -ou m ieux- requis)
Mise à jour PC T A S K 4 .2 (softw are + manuel original complet)
si vous possédez déjà PC TA SK version 2 ou 3: 2 7 5 F TTC port compris
S.V.P. envoyez-nous vos disquettes originales v2 ou v3 comme preuve d'achat i
elles vous seront retournées (intactes!) avec votre mise à jour PC T A SK 4.2
PROGICIELS AMIGA DISPONIBLES (Prix en Francs Français, T.T.C. port compris)
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
365
175
325
295
245
H IS P E E D P A S C A L (dernière version) 525
AmiFile SAFE PRO 2 .4 + (F)
AmiFile SAFE USER 2 .4 + (F)
GP FAX (dernière version)
TERMITE TCP
DISKSALV 4
F
F
F
F
F
F
DICE C Compiler 3.2 (avec manuels sur disk)
325
G.F.A. BASIC 3.51 (avec manuel technique de 420 pages) 95
DEVPAC 3.14 (dernière version officielle de Hisoft)
395
HISOFT BASIC 2 (dernière version officielle de Hisoft)
395
NET & WEB (Contient IBROWSE 1.11 + complet + MUI) 295
IBROWSE -version 1.11 + complète- contient MUI 3 .8 +
245
F
F
F
F
F
F
DIRECTORY OPUS 5.6 MAGELLAN 425 F
PC TA SK 3.1
375 F
BLITZ BASIC 2.1
175 F
B.u .m . 9 a /9b 10 a /10b (4 disks)
65 F
B.U.M. 5 16 11 /8 (4 disks)
40 F
BLITZ SUPPORT SUITE (3 DISKS) *
110 F
DE NOMBREUX JEU X AM IGA SONT REVENUS EN STO CK ! (Prix T.T.C. port compris):
AIRBUS I I .................................................. 135
BANSHEE (VF) - A 1 200 ..................... 60
B-17 FLVING FO R TR ESS -500/600- 115
BLA CK C R Y P T ........................................110
BLITZKREIG (W ARGAM E) ..................... 45
BLOODNET (F) - A 1 2 0 0 ..................... 110
BLOODNET (F) -A 500 + /A600 . . . 110
BRUTAL PAW S OF FURY (VF) ______ 45
BUBBLE & SQ U EAK -A 1200
65
BUBBLE & SQ U EAK -A 600 ............... 65
CH AO S ENGINE AG A -A 1200 . . . . . 65
CH AO S ENGINE 2 (F) A 5 00/600 . . 195
C H A O S ENGINE 2 (F) - A 1200 . . . 195
C IV IL IZ A T IO N .............................................95
C O A LA - A 1200 .................................. 95
COLO NIZATIO N ( F ) ................................115
D ESERT S T R IK E ....................................... 85
DOGFIGHT (Microprose) ........................85
DRAGONSTONE ( V F ) ................................65
DUNE 2 .......................................................95
Dungeon master 2 (VF) A 1200 . . . . 95
ELJTE 2 (Version Française) ................ 125
E uroleague manager (2 mo ra m ) . . . . 85
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
E v o lu t io n HUM ANS 3 (F) A 1 2 0 0 . . . 95
E X ILE - A 1200 ..................................... 95
EXILE - A 600 ........................................ . 95
F-1 5 II (M icro p ro se )............................. 115
F-1 9 STEALTH FIGHTER -A 5 0 0 /2 0 0 0 . 115
FIELD S OF G LO R Y (WB 2 + )
____ . 95
FIELD S OF G LO R Y -A 1200 ............. . 95
HEIM D ALL (F) -WB 2 .......................... . 40
H EIM D ALL 2 (F) A 5 0 0 /6 0 0 ............. . 75
H EIM D ALL 2 (VF) - A 1200 ............. . 75
Im p o s s ib le M is s io n 2 0 2 5 ( v f ) a 1200 . 85
Im p o s s ib le M is s io n 2 0 2 5 ( v f ) a 60 0 . . 85
JA M E S POND 2 (F )-A 1200 ........... . 35
K IC K O FF 3 EURO C H . A 5 0 0 /6 0 0 . . 65
KING M A KER ( V F ) ................................ 110
The LO S T V IK IN G S (VF) .................. . 95
M ICRO PRO SE GRAND PRIX F1 (VF) 115
M IN SKIES the Abduction -A 1200 . . 85
MORPH (F) - A 1 2 0 0 .......................... . 35
N A PO LEO N IC S -A 500 ..................... . 65
N ICK FALD O GO LF ............................. . 35
N IG H THA W K F -1 17 A 2.0 -v 3.01 . 85
O D Y S S E Y ................................................ . 95
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
PGA GO LF EURO TO U R -A 1200 . . . 45 F
PIN B A LL FA N T A S IE S A G A - A l 200 . 65 F
P LA YE R M ANAGER 2 ( A N C O ) ..........95 F
PO PU LO U S + D A T A ............................ 95 F
PO PU LO U S 2 ...........................................1 1 5 F
POW ER D RIVE ( F ) ..................................3 5 F
RA ILRO A D T Y C O O N (VF) ................... 115 F
RO AD R A S H ............................................ 8 5 F
SH A Q FU -A 1 2 0 0 - ............................... 60 F
SILEN T S E R V IC E 2 ................................ 1 1 5 F
SK E LE T O N KREW (F) - A 1200 ........... 75 F
SLAM T IL T (F) - A 1200 ................... 145 F
S P A C E O U EST 4 (Doc F . ) .....................75 F
S P E C IA L F O R C E S (M icropro se)..........85 F
ST A R LO R D (Microprose) ........................85 F
S T R IP POT -A 120 0 - (Erotique).......... 45 F
SU P ER S K ID M A R K S ................................85 F
SU PER LEAGUE M ANAGER ...................75 F
SU PER LEAGUE M ANAGER A1200 . . . 75 F
SUP ST. FIGHTER 2 TURBO(F)-A1200 . 95 F
SU PER TEN N IS C H A M P IO N ............... 75 F
S Y N D IC A T E ................................................70 F
TH EM E PARK -A 1200 ..................... 115 F
TH EM E PARK -A 6 0 0
115 F
T O T A L FO O T B A LL (Domark) ................95 F
TO W ER OF SO U LS - A 1 2 0 0 ................. 75 F
TU RN IN G PO IN TS -A 5 0 0 55 F
U .F.O . (A 600)
115 F
U .F.O . (A 1200 )
115 F
U N IV ER SE ( V F ) ................*
75 F
V IR T U A L KA R TIN G - A l 200 (F) . . . . 75 F
W A TC H TO W ER (F) -A 1200 .............. 45 F
W H ITE D EA TH (W ARGAM E) ................45 F
W ING C O M M A N D E R
85 F
W O R M S ............................................115
F
W O RM S DIRECTORS CUT - AG A . . . .
175 F
XTR EM E RA CIN G -A 1 2 0 0 75 F
Xtrem e Racing A G A : 2 D A TA D IS K S
55 F
ZEEW O LF 1 (NF)
45 F
ZEEW O LF 2 Wild J u s t ic e
65 F
ZEEW O LF 1 + ZEEW O LF 2
95 F
ZO O L (F) - A 5 0 0 /6 0 0
35 F
CO M PILA TIO N (1) A 1200:
G U ARD IAN + S K ID M A R K S 4- GLOOM 145 F
CO M PILA TIO N (2) A 1200:
FEA R S + R O A D K ILL + LEG ENDS (F) . 145 F
HUM ANS 1 + HUM ANS 2 ................45
LEG END S ( F ) .............................................95
LIBERATIO N C A P T IV E 2 ..................... 70
M ARVIN M A R V E L L O U S ........................4 5
PIN B A LL ILLU SIO N S ............................. 65
PREM IERE (F) .......................................... 45
RO AD K I L L ................................................65
S T A R C R U SA D E R (Amiga + CDROM ] 95 F
SU P ER LEAG U E M ANAGER ................75 F
SU P ER S K ID M A R K S .............................75 F
S u p e r S t r e e t F ig h t e r 2 T u r b o (F) . . . 95 F
V IT A L LIG H T ( F ) .....................................45 F
A m e r ic a n H é r it a g e E n c y c lo p e d ia . . . 45 F
W O RM S (F) .......................................... 125 F
SELECTION AMIGA CD 32 (Prix T.T.C. port compris)
AKIRA ...................................................... 50
ALFRED CH ICKEN (F) .......................... 35
BRUTAL PAW S OF FU RY ( V F ) ...........50
B U B B A 'N 'ST YX ( F ) ............................... 45
BUBBLE & S Q U E A K ............................... 75
C A S T LE S 2 ...............................................65
CH AO S ENGINE (F) .............................60
F
F
F
F
F
F
F
D R A G O N STO N E ( F ) ................................60
ELITE 2 ....................................................... 95
EVO LU TIO N HUM ANS 3 ( F ) ................95
E X I L E ..........................................................50
F EA R S ....................................................... 85
GLOOM .....................................................85
G U A R D IA N ............................................... 75
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
ou f a x e z v o tr e c o m m a n d e s ig n é e a v e c d é ta ils d e v o t r e c a r te b a n c a ire . Par M initel: 3 6 1 6 a z e r t y p u is d u c . O u r é d ig e z (EN f r a n ç a i s s v p ) s u r p a p ie r lib re e t jo ig n e z v o tr e
rè g le m e n t, n o u s a c c e p to n s les c h è q u e s o rd in a ire s fra n ç a is , les c h è q u e s La P o s te F ra n ça is, les c a r te s in te rn a tio n a le s VISA e t e u r o c a r d , m a n d a ts in te rn a tio n a u x (ou
E u ro c h è q u e en s te rlin g si v o u s n 'a ve z pas d e c h é q u ie r Fran çais). N o tre c a ta lo g u e c o m p le t v o u s e s t e n v o y é -g r a tu ite m e n t- a v e c v o t r e p r e m iè r e c o m m a n d e .
Si vo u s d é s ire z re c e v o ir un c a t a lo g u e c o m p l e t a fin d e fa ire v o t r e c h o ix , é c r iv e z -v o u s e n f r a n ç a i s s v p e t jo ig n e z 6 t im b r e s à 3 FF o u 4 c.R .L; p r é c is e z v o t r e c o n fig u ra tio n
exacte, ou n o u s ne p o u r ro n s pas d o n n e r s u ite à v o t r e d e m a n d e .
t r a n s a c t i o n m in im u m 100 f f
é t é 1 9 9 7 - S to c k e t p rix v a la b le s p o u r la d u r é e d e p u b lic a tio n d u m a g a z in e - T o u te c o m m a n d e e s t c o n s id é r é e c o m m e fe r m e .
Xanim
vidéos. Qu'à cela ne tienne, Xanim est
le programme qu'il vous faut !
Des formats par ci, des formats par là,
le nombre de formats de fichier recon­
nus par Xanim est tout simplement
impressionnant : animations FLI, FLC,
IFF (pour les Amigaïstes, car Xanim
existe aussi sous Am igaOS), GIF ani­
més, DL (vous savez, les anims mar­
rantes et souvent érotiques), Amiga
PFX, Utah Raster Toolkit, AVI, Quicktime
et MPEG type I. On pourra aussi regar­
der des images GIF ou JFIF et jouer des
sons .AU ou .WAV.
Sim ple et efficace
Xanim utilise principalem ent deux
méthodes pour jouer les animations. La
première méthode consiste à décom­
presser les images et les sons au vol en
lisant directement dans le fichier anima­
tion. Xanim peut aussi charger l'anima­
tion dans sa totalité pour la placer dans
un buffer (prévoir une grosse partition
de swap). Les deux méthodes ont leurs
avantages et leurs inconvénients. Avec
la décompression au vol, le programme
démarre instantanément mais la diffu­
sion est plus ou moins lente (souvent
plutôt lente) en fonction du matériel. La
décom pression différée fourni de
meilleurs résultats (même si une partie
du swap est utilisée, c'est le noyau qui
copie les données et c'est un gage de
rapidité) mais il faut être patient au lan­
cement. Une télécommande peut être
affichée pendant la diffusion de l'anima­
tion, vous pourrez ainsi revenir en arriè­
re, faire des arrêts sur image, etc. En
résumé, Xanim est un utilitaire indispen­
sable pour tous les "Cyber-branchés"
linuxiens (et même pour les autres).
Fred Pesch
athena w idgets. Moxfm corrige ce
défaut en proposant une interface à
base de motif bien plus puissante.
Dans la série les gestionnaires de fichier se suivent mais
Presque un desktop
ne se ressemblent pas, voici Moxfm, la version M otif du
Les fonctions de Moxfm sont prati­
célèbre Xfm.
quem ent les même que celles de
Xfm : copie, déplacement, lien, effa­
ce m e n t de fic h ie rs, cré atio n de
es gestionnaires de fichiers pour
fichiers ou de répertoires. Vous ne
Linux sont de plus en plus nom­
trouverez pas de fonctions étendues
breux. Il y en a à peu près pour
(décompression tar/gz, gestion des
tous les goûts, car sous linux, on a dusites ftp, etc.) mais on appréciera le
g o û t... Un des plus connus et deslanceur d'applications, le monteur /
plus anciens se nomme Xfm encore
démonteur de disquette / CD Rom, la
utilisé aujourd'hui. Il y eut d'abord la
poubelle et la possibilité de placer des
version d'Offix qui enlevait le lanceur
icônes sur le bureau (il s'agit en fait
d'une fenêtre sans contour). Vous
d 'a p p lic a t io n s
pourrez donc créer un petit bureau
mais rajoutait un
jjj
p ro to co le
de
p ratiq u e (m ais lim ité ) au to u r de
Label f l a i n Menu
Moxfm.
"drag and drop"
Directory
M erci M o tif !
p r a t iq u e m e n t
File name
standard désor­
Le grand intérêt de Moxfm provient
Icon ja p p s .x p n t
mais sous Linux.
de son interface, basée sur la célèbre
Tout de même,
librairie Motif. Vous trouverez donc
Push action 1,0AD
une gestion évoluée du "drag and
le
principal
pro­
Drop action J
blèm e de Xfm
drop" (mais on aimerait un support
restait présent :
du protocol d'OffiX qui permettrait
OK
C a ncel
la p au vreté de
par exemple de communiquer avec le
Configuration du lanceur
l'interface utilisa­
Windows manager Afterstep). Le look
d'applications : facile !
teur basée sur les
de l'interface est très sympa et com­
plètement configurable. La seule faus­
se note co ncerne l'a ffich a g e des
fichiers sous forme d'icônes, gour­
mand en ressources et assez limité car
Motif ne propose pas de widget réel­
lem ent adapté à cette tâche. Par
exem ple, la sélection m ultiple de
fichiers n'est pas pratique (impossible
de tracer un cadre ou de balayer les
icô n es pour les sé le ctio n n e r).
Cependant, Moxfm reste un des ges­
tionnaires de fichiers les plus pra­
tiques (et les plus populaires) dispo­
nible sous Linux.
Fred Pesch
Linux est paraît-il un système pauvre en m atière de
m ultim edia-à-la-mode. Eh bien pas du tout, et Xanim
nous le prouve !
LE player d'animations sous Linux !
n tant que linuxien digne de ce
nom, vous voudriez bien jeter
votre Windoze96 ou 97 (je ne sais
plus très bien où on en est ...) par la
fenêtre (ils sont sympas : le nom du
logiciel indique comment s'en débarasser !). Mais voilà, vous désirez conti­
nuer à zyeuter vos animations et autres
E
X a n i m 2 . 7 . 0 . 6.3
En hausse
▲ Formats reconnus
A Vitesse impressionnante (surtout
sous X 11R6)
A Télécommande pratique
En baisse
Difficilement intégrable dans une
autre application
Source :
http://smurfland.cit. buffalo. edu/xa
nim/home.html
Note
★ ★ ★ ★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
M o x fm
L
J J J
Moxfm
En hausse
Interface pratique et configurable
A Lanceur d'applications et
poubelle
A Multiples fenêtres
En baisse
Drag and drop Offix non reconnu
Pas de fonctionnalité "étendues"
▼ Pas d'évolution depuis plus d'un an
Note
★ ★ ★ f? k
Internet&CDRomAmiga, PCet Mac
'wfe
«î&J.
Ip
v,,m
AMINET 19
75 F
Geek Gadgets 2 105 F
MIAMI 2
350 F
A GA EXPERIENCE 3 139 F
Hollywood S tudio 172 F
APC & TCP 3
89 F
Ency. Paranormal 209 F
Epic C oll. 3
172 F
A miga Mag CD
29 F
EURO CD 2
89 F
Web E xplosion
435 F
AMINET 18
75 F
BP 801 64008 PAU CEDEX
Tel/Fax: 05 59 82 95 00
Email: phoenix@club-internet. fr
Web: http://www.phoenix-dp.com
BURN IT
A ssassins CD 3
S cala P lug In
Termite TCP
IBrowse V 1.1
A g a Toolkit 97
A miga Tools 6
G olden D emos
A m ig a F o r m a t
CD 14
Net Web 2
695
206
242
340
250
139
139
100
49
Edition M CD Z Diffusion
F
F
F
F
F
F
F
F
\ ELF - X11R6.1
*> l
X F re e 8 6 3 .2 (x-window)
Support Matrox Millennium
N o y a u 2 .0 .2 9
Menu d'installation en français
et simplifié pour les débutants
F
595 F
(T e r m it e T C P + IB r o w s e 1 . 1 0
+ M e t a T o o l s + A m iga S u rfin g )
Chaos engine 2 AG A
310 F
Burnout
280 F
S am ba Partie AGA
210 F
Tiny Troops
245 F
W orms
110 F
Capital Punishem eot
245 F
Testam ent AGA
210 F
Jet Pilot
245 F
H ugo
280 F
Sla m m AGA
175 F
Extrêm e R acing AGA
110 F
G b o m D eluxe
''- 1 4 0 F
Formula 1 M asters
210 F
B t 7 Flying Fortress
175 F ï
Colonization
210 F
Dogfigh
0
'%
175 F
f 1 9 Stealth Fighter
f 175 F
|£ 1 1 7a Nighthawk
/
175 F
ÿrields o f G lôry , ^ . , ; '
210 F
■lmp. M ission 2025
175 F;-:
Stàrlord
175.M
J\
+ 2.1.36 + patchs jusqu'au 2.0.30
Distribution basée sur Debian, l'installation se fait directement du
CD-ROM sur le disque dur (sans disquette) sur une partition LINUX
pour les systèmes avec MS-DOS™ ou Windows95™ installés.
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CD ROM Am iga
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89 F
3DARENA
1 *9 0
AMIGA GOLDEN 20
^139 F
AMIGA JOKER
99 F;
AMIGA M AGAZ/NE.CÙ W 2 9 F
AMINET 10 à 19 "
75 F
AMINET SET 1, 2, 3 ,4
.199 F
CAM CD (2 CDs)
135 F
DEMOS A R E FOREVER 79 F
GOLDEN GAM ES
69 F
HERMANN DER USER
189 F
IN T O T H E N E T
179 F
KARA COLLECTION
349 F
LIGHT ROM 4
312 F
MAGIC PUBUSHER
279 F
MEETING PEARLS 4
53 F
MODS ANTHOLOGY
219 F
ONLINE U B R A R Y
170 F
SOUNDS TERRIFIC 2
249 F
SPECCY CD 96
139 F
SPECIAL EFFECTS 1
299 F
TEN ON TEN PAC K
245 F
VIDEO CREATOR VF
159 F
XI PAINT V4.0 CD
399 F
L in u x .
D é m a rre z
M a g ! AGA
110 F
G randslam G. Gold
175 F
E volution
140 F
C edr ic ^
70 F
P in b a ll illusion s
110 F
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accès aux ressources Windows, utilisateurs root pré-configurés avec les
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1354 F
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Trapped
L
Matériels
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210 F
210 F
140 F
210F
110 F
245 F
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2100
S yquest 1.3 G o Ç ÿjet
3800
Iom ega Jaz 1 G o
2900
Cartouche 230 Mo
240
C artouche 1 Go
750
C artbüche 1.3 Go
750
CD 74 mn Vierge
50
GNU CC 2.7.2, GNU C++ 2.7.2, GNU F77 0.5.18, JAVA SDK 1.0.2, Ic i 7.6, Tk 4.1, Visual Tel
1.08, qps et qt librairies, Perl 5.003-07, Python 1.4..., Afterstep 1.0, StarOffice 3.1
(suite bureautique, ne nécessite pas Motif), lesstif 0.79 (un équivalent Motif en freeware),
xemacs 19.15, xcoral (éditeurs de texte), xtel (interface minitel sous X11), iBCS2
(émulateur COFF, XENIX), tkdesk, bowman 0.93e, fvwm 95-2, mpeg play, xanim, xgrasp,
ImageMagic 3.7.3, Gimp, dosemu 064.3 (émulateur DOS), WINE 970415 (émulateur
Windows 3.11), apsfilter... suite TCP-IP, ftp, telnet, uucp, NFS, PPP, NIS, bowser WEB grail
0.3, serveur Web Apache 1.2 ...
plus de 20 Mo compressés de documentation
(+ Howto en français, guide du ROOTard,...) Plus de 630 Mo de données, de logiciels
et sources compressés.
F
F
F
F
F
F
F
Applications ELF-97 (M CD2) • GNU-HURD (M CD2) • CALDERA Open Linux Base
(Version Française), Standard «CALDERA Solutions CD (pour tout Linux) • Wabi
(émulateur Microsoft™) • Linux Official Red Hat (Intel, Alpha, Sparc) • Applixware
(Office suite) • Linux InfoMagic • Linux Slackware • MkLinux • FreeBSD • Motif
• Xi Graphics (CDE, Accelerated-AX pour LINUX/BSD, support de 450 cartes gra­
phiques dont Matrox Mystique) • Solaris 2.51 x 86 (Tarif Education) Vers. Française
ou US • Java WorkShop • Netscape FastTrack Server • Netscape Navigator 3.0 Gold
• C/C++ Super Library • Ada • Eiffel...
DES C E N T A IN E S D E CD ROM AMIGA SO N T D IS P O N IB L E S A P A R T IR D E 29 Frs. D EM A N D EZ
NOTRE C A TA LO G U E AMIGA G RATU IT. L E NOUVEAU C A T A L O G U E D E T A IL L E E T IL L U S T R E
DE P L U S D E 1200 CD ROM POUR P C ET MAC E S T D IS P O N IB L E AU P R IX D E 18 F.
bon de commande
A retourner à M CD 2 Diffusion
5/7 rue Leredde 75013 Paris / Tél. 01 42 16 88 00 / Fax 01 42 16 89 85
Nom:
Prénom:
A dresse:
Code Postal:
Ville:
Articles: ....................................................................................................
a g g ...................................................................................................................
■J j
j
f
\
J
^
X C Zy
Û Q
Frais de port Logiciels + 30 Frs Matériels + 90 Frs
TO TA L: ............................
Règlement par:
OChèque
O Mandat
OContre Remboursement +30 F
O Carte Bancaire
Expirant le:__________
□
□
□
□
Je désire recevoir une documentation sur : ______________
Je désire commander UNUX MNIS Mai 97 au prix de 185 Fttc
Je joins un chèque (à l'ordre de MCD2 Diffusion)
Je règle par Carte Bancaire en reportant son n° a-dessous
expire :
T o u s n o s t a r if s s o n t e n F ttc e t p o r t c o m p r is • L iv r a is o n s o u s 4 3 h .
Nom
Prénom
Société______________
Date et signature:
PHOENIX-DP BP 801 64008 PAU CEDEX
Tel / Fax: 05 59 82 95 00 Email: [email protected] Web: http://www.phoenix-dp.com
C.P
Ville
h t t p :/ / w w w .m c d 2 - d if f .f r
Tél.
e m a il : m c d 2 @ m c d 2 - d if f .f r
Turbo Cale 4.0
Tout simplement étonnant ! Avec Wordworth 6 et
Organizer 2, du même éditeur Digita, Turbo Cale 4
complète une offre bureautique qui n'a rien à envier à
la suite de Microsoft !
n tant que tableur, Turbo Cale 4
reprend toutes les fonctions d'un
Excel (LA référence) et se paye
même le luxe de permettre des manipu­
lations de données inédites ! S'adaptant
E
------- —LSiS
FFr^oo oo
FFono
FF13730
FFOOO
FFOOO
FFOOO
FFOOO
FFOOO
FFOOO
TFSSfgg
TVA- 15% *
FF 37 2 .7 ?
C om pariirtoo <*?»beo«fice>
_______
tr errier trlmMtrc
automatiquement à tout mode gra­
phique, il affiche ses feuilles de calcul
(plusieurs peuvent être ouvertes en
même temps) sous forme de tableaux
pouvant atteindre 10000 colonnes par
10000 lignes. Puisqu'un tableur est des­
tiné au calcul, chacune des cellules peut
contenir soit une variable, soit du texte
(pour un intitulé), soit une formule
m athém atique. Telle l'addition de
toutes les cellules d'une même colonne,
par exemple. A noter que le logiciel est
assez intelligent pour modifier tout seul
une formule au cas où une cellule aurait
été déplacée, éliminée ou encore rajou­
tée. Les menus très complets permet­
tent de définir des variables globales,
des macros et d'obtenir une aide en
ligne à tout moment. De plus, de nom­
breux graphiques sont possibles pour
visualiser l'évolution de ses données.
Des fo n c tio n s in é d ite s
Mais au delà de ce que fait déjà un Pc,
Turbo Cale 4 permet également de zoo­
mer sur une feuille de calcul pour
mieux la voir ou encore d'attribuer des
couleurs aux cellules. Simplissime, la
palette se trouve dans la barre d'icônes.
Enfin, ce tableur est totalement compa­
tible avec les fichiers Excel 4, lotus I -2-
3, Cvs, Procalc et, bien entendu, Digita.
Pour conclure, signalons qu'il est pos­
sible de sauvegarder un graphique au
format Iff (bitmap) mais aussi Eps (vec­
toriel). Sans aucun doute, l'Amiga a
définitivement rattrapé son retard en
matière de bureautique !
Yann Serra
BM H
1
j J Ml i l üJH *•?J «IüJ
25 | 26 1 27 | 28 |
23 | 30
[
3t
j
32 |
J70 170 170
y / j fie changer les couleurs que de son propre écran
0K
I
Annuler
Remerciements à Fds.
T u r b o C a i c 4. 0
En hausse
Toutes les fonctions d'un Excel et
même plus
Compatibilité avec les formats de
fichier les plus répandus
En baisse
Zéro défaut !
Note
★
★
★
★
★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Un véritalbe Excel-killer !
Le boîtier
Techno Sound turbo 2
gauche. Il est livré avec un câble qui
permettra de raccorder tout type de
source sonore (chaîne HiFi, m agné­
toscope, télévision...).
Le lo g ic ie l
Celui-ci propose trois fonctions prin­
cipales : la digitalisation ainsi que la
out petit,Le boîtier de numé­
retouche d'échantillons sonores, la
risation est à peine de la taille
m o d ificatio n en tem ps réel de la
d'un paquet de cigarettes, il
source sonore et la composition de
se branche sur le port parallèle de
m u sica u x. Un bon nom bre
l'A m iga et ne nécessite pas d 'a titres
li­
d'effets sont déjà configurés, mais il
m e n ta tio n s u p p lé m e n ta ire . De
est possible d'en créer plein d'autres
l'a u tre cô té , il p ro p o se d e u x
encore. Attention, certains de ces
connecteurs de type C IN C H , l'un
effets ne seront pertinents que sur
correspondant à la voix de droite, et
des échantillons de voix et non des
l'autre, naturellement, à la celle de
morceaux musicaux. Même si on y
prend quand même un malin plaisir.
T ie n s , ça c 'e s t n o u v e a u !
Dernièrem ent, une nouvelle utilité
est apparue pour ce type d'interfa­
ce. G râ c e à un lo g ic ie l tel
•AUaïfcwii
q u’AmiPhone, il est désormais pos­
r F L ÏÏw n o x T [ r i
■■n —
sible d'utiliser Internet pour passer
ses coups de fils. Dans ce cas, le boî­
Composé d'un petit boitier et d'un logiciel, voici un kit
de digitalisation pour quiconque veut composer des
m orceaux musicaux, inclure des voix digitalisées dans
ses productions, ou même s'am user à m élanger et
trafiquer diverses sources sonores po ur son plaisir.
T
c rrc c T S "*
UNKHOHH SBUfl
( lit . .
I
n e n u in e
systeti
ektbhs
füh
T ir e
tier numérise votre voix et le logiciel
la transmet à votre interlocuteur. La
réponse, elle, est directement resti­
tuée sur vos enceintes. Seules limita­
tions : votre interlocuteur doit dis­
poser également d'un Amiga et uti­
liser le m êm e lo g ic ie l. C 'e st un
m oyen de plus en plus utilisé, et
particulièrement convainquant pour
des co m m unications longues dis­
tances, puisque chacun ne paye que
la com m unication locale avec son
fournisseur d'accès.
Vincent Oneto
Remerciements à Duchet Computers
T echno Sound tu r b o
En hausse
Les possibilités d'action en temps réel
L'ouverture vers AmiPhone, ou
équivalent
Le manuel en français traduit
par Duchet Computers, très délirant
En baisse
Numérisation limitée à 8bits
Note
★
★
★
★
FRAIS DE PORT :
CD/jeux/Logiciel : 35f
Carte/HD/Mem :
60f
Ecran : 14”
150f
PROMO DU MOIS :
17”
200f
Quaterback 5 vf
99f
10Of
* Les 4 CD-Rom
150f Tour:
LO G IC IE L S
ANTINEA
3 Rue G alléan 0 6000 N IC E
Tel/Fax : 0 4 .9 3 .8 0 .7 1 .5 5
AMIGA 1200
Carte Mémoire
OMo
Blizzard 1230 IV
OMo
Blizzard 1240T
OMo
Blizzard 1260
OMo
Module SC SI-2
PPC603e175 sans 68k cpu
PPC603e200 sans 68k cpu scsi
PPC603e175-68030/50
PPC603e200-68040/40 scsi
PPC603e200-68060/50 scsi
390f
890f
1890f
3190f
650f
2990f
3690f
3490f
4490f
6190f
AMIGA 4000
Cyberstorm 40/40
OMo
Cyberstorm 60/50
OMo
Module Fast S C S I-2
Cybervision 64 / 3D 4Mo
Scandoubleur
PPC604e150-68040/40 scsi
PPC604e150-68060/50 scsi
PPC604e200-68040/40 scsi
PPC604e200-68060/50 scsi
PPC604e150 sans 68k cpu scsi
PPC604e200 sans 68k cpu scsi
2590f
3990f
650f
1600f
600f
5490f
7490f
7690f
9490f
4890f
6990f
AMIGA 2000
Blizzard 2060 scsi
Blizzard 2040 E R C scsi
3990f
2590f
Wordworth 6 (vf)
Image FX v2.6 (va)
SCALA MM400 (vf)
Turboprint 5 (vf)
I Browse (va)
Miama V2 (va)
Aminet 15,16,17,18,19
A m in e ts e t1 ,2
Aminet set 3, 4
Geeks Gadgets ADE
Geek Gadgets 2 ADE II
Amiga Tools 6 CD
Amiga Developer CD
Mods Anthology
Colonisation (va)
Sens. World Soccer 96/97
Sens. World Soccer Upgrade
Slamtilt AGA
Pinball Fantasies AGA
Jet Pilot
Mega Typhoon - PGATour Plus
Capital Punishment - Fifa
Theme Park AGA/ECS
Railroad Tycoon
A320 Airbus II - F15 Strike Eagle II
Silent Servive II
Desert Strike
Chaos engine 2
Burnout
Tiny Troops
Alien Breed 2
Trapped Dk/CD
Akira CD32
PGA Tour golf CD32
Nemac IV CDRom / Legends CD32
Pinball Illusions CDRom
* Animatic CDRom
* Textures CDRom
* Super Autos CDRom
* Net News Offline 1 CDRom
M E M O IR E / C O P R O C E S S E U R
Coprocesseur PG A 50Mhz
399f
160f
SIMM 32 bits
4Mo 60ns
SIMM 32 bits
8Mo 60ns
330f
SIMM 32 bits 16Mo 60ns
650f
SIMM 32 bits 32Mo 60ns
1290f
Disque Dur 1.7 Go IDE
1490f
Disque Dur 2.1 Go IDE
1690f
Disque Dur 2 G0 S C S I
2490f
Disque Dur 3.2 Go S C S I
2990f
CD Rom 8x IDE Interne
600f
CD Rom 16x IDE Interne
750f
D IV E R S
Lecteur HD 1.76Mo interne
585f
600f
Lecteur HD 1.76Mo Externe
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Tour Micronik A1200
1190f
Alim Micronik Tour A1200
449f
Boitier Clavier A1200
390f
Scsi slot pour tour
199f
Carte Zorro II Micronik
1590f
Carte Zorro III Micronik
3190f
Video slot pour ZII/ZIII
500f
Tour Micronik A4000 PCI
2490f
Moniteur M1438 14”
2290f
Moniteur ID EK 15”
2790f
Moniteur ID EK 17”
4990f
Pad compétition pro
149f
Tablette Wacom Artpad 2
1290f
540f
1190f
1390f
449f
249f
360f
79f
150f
199f
95f
120f
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219f
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220f
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149f
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249f
249f
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• u n c o o n jnetlrpte complet eut la t w m r M!t»i
les boîtes de dialogue et autres barres
d'outils sont en fait des frames HTML
avec des applets. Non seulement ça
donne au navigateur un look d'enfer,
mais surtout ça permet une person­
nalisation et une extensibilité sans
Premier logiciel écrit 10 0 % en Java, le browser de
limites. Libre à vous de rem odeler
JavaSoft n 'a jam ais réellement percé face à Netscape
complètement l'interface, de rajouter
mais il n'en est pas moins très intéressant. Utilisateurs
des co m p o sants ou de détourner
d'AmigaOS, de BeOS et d'OS/2, vous avez enfin un
totalement l'utilisation première du
navigateur top-niveau!
logiciel... Hotjava préfigure à quoi res­
se m b le ro n t les a p p lic a tio n s de
ne m auvaise surprise nous
U
d em ain : l'é p o q u e des m o n stres
attend juste après le téléchar­
monolithiques de plusieures centaines
gement : Hotjava n'est distri­
de Mo est révolue.
bué que sous forme d'auto-extracU sine à g a z ?
tibles pour Windows et Solaris Sparc
Non, pour une fois ! Hotjava supporte
(m êm e
pas
S o la ris
x 8 6 l).
intégralement HTML 3.2 ainsi que les
Franchement, proposer en plus une
frames et autres extensions Netscape.
archive .tar.gz out .zip pour que tout
Les versions de HTTP reconnues sont
le monde y ait accès, ce serait trop
1.0 et 1.1. L'absence d'ActiveX ne
dur ? Une politique protectionniste
nous étonne pas: primo, ça ne sert
aussi stupide chez Sun nous étonne.
strictement à rien (à part faire planter
Bref, il vous faudra télécharger l'une
des machines sous N T à distance sans
de ces deux versions, la décompresser
avo ir un q u e lco n q u e p a ssw o rd ),
sur le système correspondant et trans­
secundo, Hotjava est fait pour être
férer tout vers votre machine en enle­
p o r-ta -b le , tertio , on est to u t de
vant les fichiers dont vous n'aurez pas
même chez Sun. Sont égalem ent
besoin (genre .DLL, etc...) Il ne reste
absents VBScript (même remarque) et
plus qu'à définir correctement HOTJAjavascript, dont le m anque risque
VA_HOME et CLASSPATH et ça roule.
d'être plus gênant (encore que...).
Que c'e st beau!
Les applets sont naturellement sup­
La première remarque que l'on peut
portées, mais contrairement à MSIE et
faire, c'est que le design est vraiment
à Netscape, Hotjava n'intègre pas de
très soigné. L'ensemble de l'interface
m achine virtuelle. Les applets sont
est composé d'applets qui s'exécu­
exécutées par celle qui fait tourner
tent sous le browser : par exemple,
Hotjava lui-même, c'est à
Help
FOe Edit View Places
dire que l'on a enfin le
choix. Les premiers ravis
A
seront les utilisateurs de
Place: file:/usr/local/iava-tutorial/index.htmî
Linux et d'OS/2 qui profi­
tent ainsi de l'intégration
Las* uodated April 28 ,1997
de java au coeur du systè­
me. Cependant il ne faut
Mary Campione • Kathy Walrath
pas oublier que Hotjava
Welcome to
T h e Ja v a " T u to rial
n'est
qu'un navigateur. Il
The Java Tutorial
ObfMt-Orienied lYogramming
Object-Oriented Programming for the Internet
for the Internet
n'intègre pas de gestion­
a practical, online guide
to writing programs in the Java language
naire de news ou d 'éd i­
You’ve found the online version of The Java Tutorial by Mary
teur, mais sa conception
Campione and Kathy Walrath. The book form of this tutorial exceeds
800 pages and includes a CD-ROM. It's available at many good
o u verte vous laisse le
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books from the JavaSoft team, see The Java Sériés.
cham p libre pour implémenter de telles fonctions
The tutorial is organized into traüs: groups of lessons on a particular subject We currently have trails for the
sous
form e d 'a p p le ts.
Java language, applets, user interfaces, security, JavaBeans, networking, and native interfaces. The following
table lists some places you can go from here.
D o n c si vous ten e z à
votre usine à gaz...
R ien q u 'u n n a v ig a te u r
G et Starte d: Quickly get up to speed by writing a Java appiet or application.
m
Hotjava n'est donc pas un
Trail Map: Choose your path through the tutorial.
intégré comme Netscape
mais un pur browser. Il
Check out ournotes on JDK1.1 API Changes.
4
perm et to u te fo is d 'e n ­
Ccntenè ^can contents ev“ 7 trailvo ye r du m ail et gère
Le browser du futur déjà disponible.
bien sûr le FTP. Pour le
Hot Java
reste, vous trouverez des fonctions
classiques: historique, bookm arks,
impression... La possibilité de récupé­
rer les bookmarks de Netscape est une
bonne chose. Plus original, Hotjava
gère des URL commençant par doc://
(au lieu de http:// et autres ftp://) Ces
URL permettent d'accèder à des élé­
ments installés à un endroit prédéfini:
aide en ligne, les différents com po­
sants constituant Hotjava etc... Par
exemple, si vous faites une installa­
tion multiple de Hotjava, vous pouvez
vous arranger pour que le doc://
pointe à un unique endroit. Ainsi, les
fichiers accédés via ces URL seront
partagés et vous économiserez de la
place.
Le re v e rs de la m é d a illé
Vous vous doutez bien que tout ceci
se paye. Hotjava est écrit en java, ce
qui signifie qu'il faut une machine
puissante et une Java Virtual Machine
très rapide, sinon c'est d'une lenteur
exaspérante. Hotjava n'est donc pour
le moment que pour ceux qui dispo­
sent d'un JIT performant sur leur sys­
tèm e, m ais l'arrivée de Kaffe sur
toutes les plate-formes résoudra le
problème.
Jakub Zimmermann
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
H o t j a va 1 .o
En hausse
Complet et pratique
Extensible
Très efficace pour les applets
En baisse
Il faut une machine musclée
Architecture: Java
Statut: freeware
Source: www.javasoft.com
Note
★ ★ ★
*
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Extensions
Ajoutez des extensions
à votre A m iga !
C'est une tradition, la période estivale est propice à l'acquisition
de cartes additionnelles ou de périphériques supplémentaires.
Vu les nombreux courriers que nous recevons à ce su je tn o u s
avons décidé de faire un point sur les toutes les extensions
possibles de l'Amiga. Description pas à pas de tout ce qu'on
peut brancher sur chacun des connecteurs.
Les connecteurs externes
P cm cia
U n iq u e m e n t d is p o n ib le sur le cô té
g a u c h e des A m iga 6 00 et 1 200, ce
connecteur est prévu pour recevoir des
cartes d'extensions au form at carte de
crédit, soi-disant standards. Dans les faits,
les seules cartes du monde Pc qu'il est
possible de récupérer sont les cartes
d'extension mémoire, de 4 Mo volatiles
ou non. La particularité de la mémoire
non volatile est qu'il est possible de récu­
pérer son co ntenu m êm e après avoir
é te in t l'o rd in a te u r. D an s le m o n d e
Am iga, la plupart des cartes existantes
pour ce connecteur sont des contrôleurs
de disque Scsi (vo ir Scsi), la fam euse
Squirrel en tête. Notre conseil : n'utilisez
jamais ce connecteur sur un Amiga 1200 !
En effet, le transfert de données par ce
connecteur ralenti l'ordinateur et peut
poser des problèm es de co m p atib ilité
avec toute autre extension interne. En
revanche, l'Amiga 600 se fait fi de ces
défauts et trouvera là, au contraire, le
moyen de profiter d'une Ram de 4 Mo ou
d'un contrôleur Scsi à très bas prix.
C in c h ja u n e
Ce connecteur rond, sem blable a une
prise d'antenne pour Tv est absent des
Amiga 2000, 3000 et 4000. Il s'agit d'une
sortie vidéo composite qui vous permet
d'enregistrer les images de l'Am iga sur
un magnétoscope. Attention cependant,
le signal véhiculé est au standard euro­
péen Pal. Vérifiez donc que votre magné­
toscope accepte cette norme (par défaut,
les équipements audio-vidéo français sont
en Secam) et, surtout, dispose du même
connecteur jaune. Enfin, pour une raison
que la raison ignore, ce connecteur déli­
vrera toujours une image en noir et blanc
sur un Amiga 500.
C in c h s r o u g e e t n o ir
Permettent de relier l'Amiga à une chaîne
Hi-fi, ou, conjointement au Cinch jaune, à
un magnétoscope pour enregistrer le son
en plus de l'image. Attention, le son véhi­
culé par ces connecteurs n'est pas ampli­
fié. D o n c, y re lie r d ire c te m e n t des
enceintes ne servirait à rien.
V id é o
12
1
1
13
\ 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 /
\ O O O O O O O 0 0 0 0 o /
25
14
Connecteur parallèle.
P a ra llè le
Destiné à co n n e cte r n 'im p o rte quelle
im prim an te du m arché sur A m iga, ce
connecteur sert accessoirement à mettre
deux Amiga en réseau. Pour l'imprimante,
veillez à obtenir le pilote logiciel lui corres­
pondant avant son achat. Nous vous en
fournissons une grande partie sur le CDRom de ce mois. Pour mettre deux Amiga
en réseau, il faut utiliser le sharew are
Parnet et construire un câble approprié
(dont le schéma est fourni avec le logiciel).
Attention, les lecteurs Zip avec connecteur
parallèle ne fonctionnent pas sur Amiga.
S é rie
\ o oo o o o o o o o o o7
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
\ o o o o o o 0 0 0 0 0 /
23
1
Connecteur vidéo.
Spécifique à l'Am iga et à quelques ver­
sions de l'Atari St, ce connecteur permet
de brancher sur Am iga n'im porte quel
type d'écran (vidéo ou Vga)... Pour peu
que l'on dispose du câble adéquat ! En
effet, il existe trois types de câbles pos­
sibles, tous plus difficiles à trouver les uns
que les autres. Pour relier l'Amiga à une
Tv, il faut disposer d'un câble avec un
em bout Peritel noir. En effet, le même
câble en gris ne fonctionnera qu'avec un
moniteur 1081 et pas du tout sur une Tv.
Relier l'Amiga à un moniteur vidéo 1083
ou 1 084 ne pose pas de p ro b lè m e
puisque le câble est livré avec l'écran.
Dans ces deux premiers cas, le Workbench
doit être co nfiguré en Pal ou en Ntsc.
Enfin, on peut tout à fait relier l'Amiga à
un moniteur Vga, standard sur Pc, pour
profiter de résolutions accrues. M^is pour
avoir une image correcte, il faudra impé­
rativement que le Workbench soit confi­
guré en D bIPal ou D b IN tsc et que le
fichier VgaOnly se trouve dans votre tiroir
Devs/m onitors. En revanche, la plupart
des démos et autres jeux ne seront plus
visualisables.
1
\ 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
\
14
Connecteur série.
Et l ' O v e r d r i v e ?
L'Overdrive est un disque dur 3,5 pouces
Ide q u i vie n t se b ra n c h e r su r le
connecteur Pcmcia du 1200 et du 600.
A u tre fo is c o n stru it p a r fe u -A rch o s,
l'Overdrive est aussi commode à installer
qu'il est contraignant à utiliser sur 1200.
D'une part, le disque dur 3,5 pouces peut
très bien se mettre à l'intérieur du 1200.
Il se connecte alors sur le bus Ide interne
et prend beaucoup moins de place sur le
bureau. D'autre part, la carte contrôleur
de l'O verdrive pose des problèm es de
c o m p a tib ilité avec toute e xte n sio n
m ém oire p la cé e su r le co n n e cte u r
E x p l2 0 0 interne. Le verdict est sans
a p p e l : si vous p o ssé d e z un 1200,
débarrassez-vous de l'Overdrive ou, tout
du m o in s, de son b o îtie r. S i vous
possédez un 600, récupérez à bas prix
l'Overdrive d'un utilisateur de 1200.
Des c o n n e c t e u r s
exotiques
Certains constructeurs n'hésitent pas à
rajouter d'autres connecteurs sur leurs
cartes d'extension. C'est le cas de Phase
5, notamment. Ces connecteurs ne sont
absolument pas standards et sont juste
destinés à recevoir un autre produit du
même fabricant. Une carte Mpeg pour la
C yb e rvisio n , une ca rte S csi p o u r la
Blizzard, etc. A noter que les prochaines
cartes sonores pour Amiga accepteront
les extensions prévues pou r les cartes
audio du Pc.
Connecteur multifonction, le principal inté­
rêt du port série est de permettre l'adjonc­
tion d'un modem pour surfer sur Internet.
N'importe quel modem est utilisable sur
Amiga. La connexion Internet, quant à elle,
se pilote via le logiciel Miami, fourni sur le
CD-Rom du mois dernier. A noter, qu'il est
possible d'y brancher une souris PC, recon­
nue uniquement par l'intermédiaire des
pilotes que nous vous offrons ce mois-ci
sur notre CD-Rom.
D isq u e tte
Megadrive, Master System ou encore Cbs
Colecovision. En revanche, les joysticks du
monde Pc ne fonctionneront pas. Le cas de
la souris est plus délicat, car son brochage
est spécifique sur Amiga. N'essayez donc
jamais de brancher une souris Pc ou Atari,
ça ne marcherait pas. Selon nous, les deux
meilleures souris existantes pour Am iga
sont celles de Logitech et de Wizard déve­
loppement.
Scsi
Connecteur Scsi-2 (DB 50).
A part sur YAmiga 3000, le connecteur Scsi
est toujours fourni en option, par l'inter­
médiaire d'une carte d'extension interne
(voir connecteurs internes). Le Scsi est le
standard le plus répandu de périphériques,
il permet de brancher des disques durs,
des lecteurs de C D -R o m et même des
scanners répondant à cette norme. Si la
présence du connecteur Scsi est directe­
ment reconnue par l'Amiga, il faudra dans
tous les cas passer par un pilote logiciel
pour piloter le ou les nouveaux périphé­
riques. Pour le disque dur, c'est HDToolBox
(livré avec le Workbench, dans le tiroir Tool)
qui s'en charge. Pour le lecteur de C D -
permettre de passer d'un connecteur à
l'autre. De plus, quelque soit la version de
la norme (Scsi, Scsi 2, Ultra wide Scsi), n'im­
porte quel périphérique Scsi fonctionnera
avec n'importe quelle carte Scsi.
Les connecteurs internes
Exp lO O O
Ce connecteur interne n'existe que sur
Amiga 1000 et sert à étendre la Chip Ram
de 256K à 512K. Contrairement à ce que
prétend la rumeur publique, il n'a aucune
autre fonction. Même pas celle d'étendre
la Chip Ram à 2 Mo...
Exp1200
Nanti d'une forme barbare, ce connecteur
ne se trouve que dans Y Amiga 1200. Il
s'a g it en fait d'un co nn ecteu r Zorro 2
maquillé (voir Zorro 2). Mais même s'il est
p o ssib le de b ric o le r un ad a p ta te u r
Exp1200 -> Zorro 2 (schéma sur Internet),
il faudra impérativement adopter un boî­
tier Tower pour profiter des mêmes cartes
qu'un 2000.
Z o r r o 1 ou C p u
Le connecteur Zorro 1 (86 broches) est
présent dans les Amiga 500, 1000 et 2000.
Il s'agit du connecteur d'extension par
exce lle n ce, car il perm et de brancher
toutes les cartes électroniques supplémen­
taires. D 'o rig in e , il accep te les cartes
contrôleurs Scsi, Ide (voir Ide) et les exten­
sio n s de m ém oire de m arque G vp,
Commodore et Dataflyer. Via un adapta­
teur m â le -fe m e lle , il est p o ssib le d 'y
connecter toutes les cartes accélératrices
du 2000 (le connecteur est mâle sur le 500
et le 1000, et femelle sur le 2000). Et grâce
à un simple adaptateur 86 broches -> 100
b ro ch e s (d o n t le sch ém a circ u le sur
Internet), il est même envisageable de
connecter sur un 500 ou un 1000 n'impor­
te quelle carte Zorro 2 (voir Zorro 2).
Z o rro 2
Le connecteur préféré de l'Amiga, que l'on
trouve en cinq exemplaires dans le 2000 et
les cartes filles pour 1200 montés en tour.
C'est sur ce port (100 broches) que vien­
nent se brancher toutes les cartes électro­
niques additionnelles. Parmi celles-ci, on
trouve bien évidemment des cartes contrô­
leurs Scsi ou Ide, des extensions mémoires,
12
1
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
0 0 Q 0 0 0 0 O 0 © 0 0 /
1O O O O O O O O O O 0 /
23
13
Connecteur pour lecteur de disquette externe.
Jusqu'à il n'y a pas si longtemps, l'Amiga
ne reconnaissait que des lecteurs de dis­
quettes spécialement prévus pour lui. Mais
depuis qu'un petit bidouilleur de génie a
bricolé une petite interface d'un centi­
mètre sur cinq, il est possible de brancher
n'im porte quel lecteur de disquette du
monde Pc (environ 150 F I), même haute
densité. Cette interface et son câblé de rac­
cordement ne sont disponibles qu'auprès
des revendeurs Amiga, le schéma circule
même sur Internet. Le lecteur de disquette,
lui, s'achète à n'importe quel coin de rue.
A noter qu'il est possible de brancher jus­
qu'à quatre lecteurs de disquette en même
temps sur Amiga.
Jo y s tic k et
1
so u ris
Ces deux connec­
\ O O O O O 7
teurs
répondent à
\ O O 0 o /
la norme Atari, ce
6
9
qui signifie qu'il
Connecteur souris.
est p o ssib le d 'y
b ra n ch e r n 'im ­
porte quel joystick ou joypad initialement
prévu pour Am iga, Atari, console Sega
Connecteur Scsi Centronics.
Rom, il faudra disposer d'un fichier nommé
CDO dans le tiroir Devs/Dosdrivers (fourni
avec le Workbench 3.1 ou avec la carte
Scsi). Le Scanner sera quant à lui piloté par
un logiciel spécifique. Nous vous en four­
nissons d'ailleurs plusieurs sur notre CD Rom du mois. Attention, il existe trois
types de connecteurs Scsi : le Db 25, que
l'on trouve sur les cartes d'extension pour
1200 et sur les petits périphériques (Zip,
etc...), le Centronics 50, standard sur les
périphériques et le Db 50, symbolisant la
norme Scsi 2. Un simple câble pourra vous
P o u r q u o i une car t e c o n t r ô l e u r ?
Pour schématiser, la carte contrôleur est un morceau d'électronique qui relie la carte mère
de l'ordinateur au connecteur apparent, sur lequel va venir se brancher, par exemple, un
lecteur de CD-Rom. Pour rentrer un petit peu plus dans les détails, la carte contrôleur est
un petit concentré d'intelligence qui explique à l'ordinateur la manière de communiquer
avec les disques qui lui sont reliés.
En
pratique
•
nrtWWiVn
A Re x x
Des c o n n e c t e u r s Pc dans
l ' A mi g a ?
Au sein même des Amiga 2000, 3000 et
4000 se trouvent des connecteurs Eisa,
a lig n é s avec les Z o rro 2 et 3. Ces
connecteurs ne sont utilisables que par
une ca rte p a sse re lle (u n e s o lu tio n
hardware pour émuler un Pc). Sans elle,
in u tile d 'in v e s tir da n s une ca rte
d'extension Pc, l'Amiga ne s'apercevrait
même pas de sa présence !
5
\
10\
1
Q O O O C
o o o o
\ o o o o c
15
5
?
0/ 6
11
Connecteur VGA.
Zorro 2 fonctionnent sans problème dans
un connecteur Zorro 3, mais ne profitent
A1
A31 C1
C18
pas du tout du gain de vitesse.
V* ' ' «• fW
J1 n- .1^ j ^ivr>.
- - u-.r.r.r
Vl^ - -*:'*.K7.r
.1- - ii«t- t-i2r-- -r ir - Aa'aù’ .
i I 1i l lin
V id é o 1
D18
61
B31 D1
Ce connecteur ne se trouve que dans les
Connecteur Ide.
Amiga 2000 et 3000. Il est destiné aux
cartes Scan Doubler et Flicker fixer, les­
quelles autorisent l'affichage d'un écran Pal
mais aussi des cartes graphiques, audio,
ou Ntsc (mode graphique des jeux et des
numéris, Ethernet, de numérisation vidéo,
d ém o s) sur un sim p le m o n iteu r V ga.
de pilotage midi, etc. Il existe même des
Accessoirement, il peut aussi servir à une
cartes pour piloter la m achine à café !
carte graphique déjà insérée dans un bus
Conçue à partir d'une technologie libre de
Zorro 2 ou 3. Dans ce cas, il permet de
droit, n'importe quel quidam un peu doué
regarder à la fois les modes graphiques de
en électronique peut construire une carte
la carte et ceux de l'Amiga sur un seul et
Zorro 2, au contraire de la technologie Pci
même écran Vga.
(sur Mac et Pc) qui nécessite une puce spé­
V id é o 2
cifique et très chère. Il est possible de bran­
cher autant de cartes simultanément qu'il * Il s'agit du connecteur vidéo interne du
4000. Sa seule différence avec le vidéo 1 est
y a de connecteurs dans la machine et tous
de disposer de broches supplémentaires
les revendeurs Amiga proposent des cartes
pour véhiculer les modes spécifiques du
Zorro 2 à leur catalogue.
chipset Aga.
Z o rro 3
Ide
Physiquem ent identique au Zorro 2, ce
connecteur se distingue de son prédéces­
seur par une gestion des données en 32
bits plutôt qu'en 16 bits, donc plus rapide.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on le trouve
Ide.
uniquement dans les Amiga 3000 et 4000.
Concurrent du Scsi, l'Ide est le standard des
A noter que les A m ig a 4 0 0 0 de
disques durs et autres lecteurs de CD-Rom
Commodore (pas ceux d'Escom) ne fonc­
sur Pc. Com m e les disques obéissants à
tionnent pas correctement avec la carte
cette norme sont peu chers et très large­
contrôleur Scsi A2091 (de Commodore...).
ment répandus, il a été décidé d'inclure un
Sur ces machines, il faut changer la puce
connecteur de ce type sur la carte mère
nom m ée Su perb u ster 9 par une puce
des Amiga 600, 1200 et 4000. Il n'est pos­
Superbuster 11... Ou ne jamais utiliser de
sible de brancher que deux périphériques
carte A2091 ! Les cartes exclusivem ent
sur ce connecteur. Un disque dur sera
autom atiquem ent reconnu par l'Amiga,
même si avant de le formater il faudra pas­
ser par l'utilitaire HDToolBox du Workbench
(tiroir Tools). Pour que l'Amiga gère conve­
nablement le lecteur de CD-Rom, il faudra
disposer du fichier Atapi.device dans le
tiroir Devs/ et du fichier CDO dans le tiroir
Devs/Dosdrivers/ (fourni avec des utilitaires
du d o m ain e p u b lic : Am iCDfs, CDfs,
AsimCDfs, etc.). Ne vous laissez pas berner
par l'appellation Scsi.device donnée par le
Workbench, il s'agit juste de l'héritage de
YAmiga 3000, un modèle antérieur dont la
carte mère était, elle, en Scsi. Attention : le
connecteur Ide des Amiga 600 et 7200 est
au format 2,5 pouces, utilisé sur Pc dans
les ordinateurs portables. Donc, soit vous
utilisez un disque dur 2,5 pouces (rare et
cher), soit vous achetez un adaptateur 2,5
-> 3,5 pouces pour profiter, comme sur
4000, des disques durs les moins chers.
Mais ceci implique deux choses : mettre le
disque dur en externe sur un 600 (il n'y a
pas la place dans le boîtier) et récupérer
l'alimentation du lecteur de disquette (via
une rallonge multi-prise).
S u p p o r ts S im m s
Les supports Simms sont présents unique­
ment sur la carte mère de l 'Amiga 4000 et
sur les cartes d'extension récentes. Ils per­
mettent, via l'ajout de barrettes Simms,
d'augm enter la m émoire. Attention, il
existe deux formats : les barrettes 8 bits et
les barrettes 32 bits. Les premières ont 30
broches et les secondes 72, vérifiez donc
le nombre de broches sur votre support.
Les barrettes à utiliser sont exactement les
mêmes que dans le monde Pc. A savoir,
les barrettes 8 bits doivent toujours se
m ettre par paires de même taille, un
inconvénient qui n'existe pas avec les sup­
ports 32 bits. Avec ces derniers, on peut
tout à fait insérer une barrette seule ou la
combiner avec une autre de capacité diffé­
rente.
Yann Serra.
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Composant Dip.
Composant Pqfp.
Composant Pga.
Installation facile
de X W indow sur A m iga
Grâce au précédent CD-Rom de Dream, vous avez pu installer Linux m 68k sur votre
Amiga ou votre Atari. Ce mois-ci, encore plus fort, nous vous offrons le système X
Window, l'environnement graphique de Linux.
vant toute chose, précisons que
nous employons le terme de "X
Window" uniquement en référen­
ce à l'interface graphique d'Unix, le stan­
dard. Dans les faits, la version Linux de
cette interface se nomme XFree (XFree68
pour Amiga ou Atari et XFree86 pour Pc).
Certes, c'est moins parlant mais il fallait
bien s o u lig n e r la d iffé re n c e entre X
Window (produit com m ercial) et XFree
(logiciel gratuit). Attention, pour fo n c­
tionner, XFree requiert im pérativem ent
un m oniteur Vga ou tout autre écran
Amiga acceptant ce mode (1940, 1942,
1950, 1960, 1438, 1538 et 1 738 mais
surtout pas 1080, 1081, 1083, 1084 ou
1085). La version que nous allons instal­
ler ce mois-ci est la toute récente 3.2.
C o n fig u r a t io n
XFree68 se trouve dans le tiroir Linux68k/Xfree68/ du CD-Rom de ce mois-ci.
Il est constitué de plusieurs archives dont
le nom se termine par ".tg z" . En tout
premier lieu, créez un tiroir "linux" à la
racine de votre disque de démarrage et
recopiez-y ces archives. L'étape suivante
consiste à créer un fichier de configura­
tion. Pour ce faire, nous allons lancer un
éditeur de textes (Az, GoldEd ou encore
Ed qui se trouve dans le tiroir C) et y
taper les lignes suivantes (surtout, respec­
tez bien chaque majuscule) :
A
Protocol "BusMouse"-*
Device " /dev/amigamouse" -*
EndSection-*
Section "Monitor"-*
Identifier "AmigaMonitor"-*
HorizSync 15-31. 5~*
VertRefresh 60-*
mount /dev/hdal /mnt -t affs-*
cd u s r / X H R 6 - *
tar xvzf
/mnt / linux /x32bin .tgz-*
tar xvzf
/mnt/linux/x326 8 f b .tgz
tar xvzf / m n t / linux/x32cfg.tgz
tar xvzf
/mnt / linux/x32 fnts .tgz~*
tar xvzf /mnt/linux/x321ib.tgz
EndSection-*
mv /etc/XF86Config
/etc/XF86Config.old *
Section "Device"-*
Identifier "AmigaChipset"-*
cp /mnt/linux/XF86Config
/etc/XF8 6Conf ig-*
EndSection *
Section "Screen"-*
Driver " fbdev" ~*
Device "AmigaChipset"-*
Monitor "AmigaMonitor"->
ldconfig
ln -s
/ u s r / X H R 6 / b i n / X F 8 6_FBDev
SubSection "Display"-*
Modes "default"-*
EndSubSec t ion-*
/usr/XI1R6 /bin/X-*
P lu sie u rs m essages d 'e rre u r p eu ven t
subvenir, mais ils n'ont aucun intérêt.
Lan cem en t
Dorénavant, à chaque fois que vous sou­
h a ite re z la n c e r l'e n v ir o n n e m e n t X
Window, ou plutôt XFree, il faudra taper :
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Section "Files"—’
►
RgbPath
"/usr/XllR6/lib/Xll/rgb"->
FontPath
"/usr/XllR6/lib/Xll/fonts/75dpi
n —>
FontPath
"/usr/X11R6/lib/Xll/fonts/mise"
Endsection-*
Section "Keyboard" -►
Protocol "Standard"-*
XkbKeymap "amiga "-*
X k b K e y co d e s " a m ig a "-*
X kb Sy m b o ls " f r (a m ig a ) " ~*
XkbG eo m etry " am iga " -*
E n d S e c tio n -*
Section "Pointer"-*
EndSection-*
On sauvegarde ensuite ce fichier dans le
tiroir linux (celui que l'on vient de créer)
sous le nom X F 8 6 C o n fig , toujours en
respectant les majuscules.
In s t a lla t io n
Le reste du travail se fait sous Linux. On
lance donc ce systèm e, en d o u b le-cliquant sur l'icône BootLinuxHD installée
le mois dernier. N 'oubliez pas que votre
lo gin est "ro o t" et que votre m ot de
passe est "linux". Bien, arrivé à ce point,
partons du principe que vous disposez
de deux disques durs Ide. Le premier est
celui où se trouve votre Workbench avec
le tiroir linux que l'on vient de créer et
qu i c o n tie n t to u te s les n o u v e lle s
archives. Son nom est d o n c h d a l. Le
second est divisé en deux partitions. La
première correspond au Swap de Linux
et la d e u x iè m e au d isq u e Lin u x lu imême. Leurs noms sont donc, respecti­
vement, h d b l et hdb2. Si cette configu­
ration ne correspond pas à votre maté­
riel, repo rtez-vo u s à l'a rticle du m ois
dernier pour co nnaître le nom de vos
disques.
Une fois votre mot de passe entré cor­
rectement, tapez les lignes suivantes (en
faisant toujours attention aux majus­
cules) :
startx
Vous vous retrouverez alors sous un envi­
ronnement graphique avec, pour l'instant,
juste quelques fenêtres Shell et une horlo­
ge. Pour quitter cet environnement, il suffit
d'appuyer sur la combinaison de touches
Ctrl-Alt-Backspace (Backspace est la pre­
mière touche d'effacement, pas Del mais
l'autre). Nous verrons, dans les mois à
venir, quels petits outils sont à rajouter
pour bénéficier d'icônes dans tous les sens,
de menus à n'en plus finir et d'applications
toujours plus graphiques. A noter que si un
erreur surgit au lancement de startx, du
style "server X not in PATH", c'est certaine­
ment parce que vous avez com m is une
faute de frappe en tapant la dernière ligne
du deuxième script (celle qui commence
par "ln -s..."). Pas de panique, il suffit juste
alors de taper :
rm /usr/XllR6/bin/X
Puis à nouveau la ligne "ln -s...". Bon cou­
rage !
Yann Serra.
-Hndique un retour ligne.
Sys t ème
La p h ilo so p h ie Linux
Ca y e s t ... Enfin ! Contre vents et marée, vous avez réussi à
installer Linux. Les premières commandes marchent. Mais où
suis-je ? C'est quoi /usr/local/lib ? Dans quelle étagère ? Et
comment on fait pour installer une application ?
Première partie : Les réper­
toires, c'est par où ?
'arb o re sce n ce des systèm es Unix
n'est pas com plètem ent standardi­
sée mais les grandes lignes ont été
établies il y a quelques années et sont res­
pectées par la plupart des Unix. Linux ne
déroge pas à la règle.
Les u t ilis a t e u r s d a n s / h o m e
Le répertoire /home contient autant de
sous-répertoires que d'utilisateurs dispo­
sant de co m p te s sur la m a ch in e . Par
exemple, si un utilisateur porte le nom de
chewbacca, son répertoire personnel sera
/home/chewbacca. C'est dans ce répertoi­
re qu'il mettra ses fichiers et programmes
p e rso n n e ls. Une e x c e p tio n n o ta b le
concerne le root (super-utilisateur) qui a
son ré p e rto ire p erso n n e l dans /roo t.
Chaque utilisateur peut composer l'arbo­
rescence qu'il souhaite dans son répertoire
personnel (lequel est dans /home, d 'ac­
cord ?).
La c o n f ig u r a t io n d a n s / e tc
On trouve dans /etc les fichiers de confi­
guration du système ainsi que différents
scripts importants (gestion des runlevels,
démarrage des démons, etc.). Cependant,
les outils qui permettent une configura­
tion par utilisateur ( bash, netscape, etc.)
utilisent plutôt des fichiers ou répertoires
L
cachés (commençant par .) placés, eux, à
la racine du répertoire personnel.
L ib r a ir ie s e t b in a ire s d a n s /lit», / sb in
e t / b in
Vous trouverez dans /bin et /Mb les pro­
grammes et librairies nécessaires au fonc­
tionnement de base du système. On trou­
ve par exem ple la librairie C standard
dans /lib et l'utilitaire cp ou bash dans
p ré v ie n t a v a n t). Le répe rto ire /var
contient des fichiers de données relatifs
aux démons. On y trouve par exemple le
spooler d'impression (/var/spool), le mail
en transit, etc. Les fichiers de diagnos­
tiques des différents dém ons en cours
d'exécution se trouvent aussi dans /var
(par exemple/var/log/ pour syslogd). Le
répertoire /proc est propre à Linux et
contient de nombreux pseudo-fichiers qui
donnent des informations en temps réel
sur le système. Les fichiers de périphé­
riques (ce sont en fait des liens entre le
système de fichier et les gestionnaires de
périphériques du noyau) se trouvent dans
/dev/ (par exemple /dev/fdO correspond
au lecteur de disquette).
Le ré p e rto ire / u s r : l'u t ilis a tio n du
systè m e
Les répertoires /usr/lib et /usr/bin contien­
nent les librairies et binaires de la plupart
des applications disponibles sur le systè­
me. On trouve par exemple la commande
man dans /usr/bin et la librairie libvga.so
(si vous avez installé la svg a lib ) dans
/usr/lib. Les fichiers d'inclusion pour la
programmation (déclarations des variables
globales et des fonctions publiques) se
trouvent dans /usr/include. Tout ce qui
concerne directement la programmation
se trouve dans /usr et ses sous-répertoires.
La documentation en ligne est située en
grande partie dans /usr/man. Le répertoi­
re /usr/sbin contient les outils d'adminis­
tration relatifs aux utilisateurs (démons de
communication comme pppd).
/ u s r / lo c a l : d e u x u tilis a tio n s
p o ssib le s
Sur un réseau de stations de travail (dispo­
sant de mémoires de masse), le répertoire
/usr/local sert à placer les applications,
librairies et autres fichiers propres à chacu­
ne des machines, le reste de l'arborescen­
ce étant fournie (via nfs généralement)
par le serveur. Il n'est pas rare de trouver,
par exemple, le com pilateur C en local
pour ne pas trop charger le serveur. Avec
l'utilisatio n courante de Linux sur une
machine unique, on a l'habitude de placer
les applications "compilées à la main" ou
que l'on veut retirer facilement. Avec les
distributions Red hat ou Debian, on place
souvent les applications qui ne sont pas
fournies dans le format de base utilisé par
la distribution (.rpm ou .deb) pour ne pas
"déstabiliser le système". Remarquez que
ces différentes utilisations ne sont pas
incompatibles entre elles.
P a r t a g e z a ve c / u sr/ s h a re
Si vous avez des fich ie rs de données
(bases de données, sons, images, docu­
mentations, configurations, etc.) intéres-
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Lent mais pratique pour connaître
l'ensemble des packages installés.
/bin. Le répertoire /sbin contient les outils
d'adm inistration système de bas-niveau
comme le célèbre shutdown.
A u tre s ré p e rto ire s en v ra c
Le répertoire /tmp contient les fichiers
temporaires des différentes applications
en cours d'exécution. En général, les utili­
sateurs peuvent écrire dans /tmp, mais le
root peut effacer ce répertoire quand la
place vient à manquer sur le système (il
home/
chewbacca/
darkvador/
include/
share/
inchide/
include/
L'arborescence des répertoires sous Linux.
santés pour tous les utilisateurs, ils trouve­
ront leur place naturellem ent dans le
répertoire /usr/share ou un de ses sousrépertoires.
X W in d o w , c 'e st d a n s / u s r / X l l /
Toutes les applications, librairies ou docu­
mentations relatives au système X Window
se trouvent normalement dans le répertoi­
re /u sr/X ll / (qui est un lien symbolique
vers /usr/X11 R<version> ou version vaut 6
pour l'instant. On trouve des sous-répertoires lib/, bin/ et man/. A noter le réper­
toire /usr/X11 /lib/Xl 1/ qui contient les
fichiers de configuration des différents
clients X Window.
Voilà, nous avons effectué un tour d'hori­
zon des répertoires principaux des systè­
me Unix. Concernant Linux, un document
plus précis et pratiquement standardisé
lors de l'installation. On utilise souvent
l'option test pour voir si le package est
c o rre c t sans l'in s ta lle r et l'o p tio n —
nodeps pour em pêcher la gestion des
dépendances (par exemple, si le package
est dépendant d'un autre package mais
que l'on a installé à la main).
M o de re q u ê te
Ce mode de fonctionnement est initialisé
par l'option -q. Pour lister tous les
packages installés :
Dream Prof
• D ém on :
Programme système qui tourne en tâche defond
(exemple : inetd\ qui gère le protocole Internet).
• Root :
Nom de Futilisateur qui a droit d'écriture et de
lecture sur tous lesfichiers. En général, un
utilisateur normal n V/le droit de lire et d'écrire
que dans son propre répertoire, et de lire tout
court le répertoire fus/'.
• Local :
Se dit de la machine sur laquelle on est en train
de travailler.
rpm -qa
Pour avoir des informations détaillées sur
un package installé :
rpm -qi
nom_du_package
• C lie n t X W in d o w :
Une application qui demande à X Window de
s'occuper de l'affichage de sesfenêtres et de ses
icônes. /I Fopposé, un serveur X Window fait
référence à X Window lui-même.
• Le s m a n e t les h o w to :
S-
4erm0afterstep.org
[pesch@tatooine articies]$ rpm -qfi /usr/bin/wish
Name
Distribution: Red Hat Linux Vanderbilt
tk
Version
4.2
Vendor: Red Hat Software
Release
Build Date: Wed Dec 18 16:56:37 1996
2
Install date Wed Apr 30 03:34:03 1997
Build Host: porky .redhat.coin
Group
Deve1oproent/Languages/Tc1
Source RPM: tcltk-7.6_4.2-2.src.rpm
Size
4761427
Summary
Tk toolkit for Tel, version 4.1 with shared libraries
Description
Tk is a X Windows widget set designed to work closely with the tel
scripting language. It allows you to write simple programs with full
featured GUI's in only a little more tirne then it takes to write a
text based interface. Tcl/Tk applications can also be run on Windows
and Macintosh platforms.
CpeschQtatooine articles]$ 0
Les man sont une aide en ligne sur une commande
précise et les Howto sont desfichiers de
documentation.
du package correspondant (en utilisant
rpm -q p a ). Ensuite, la co m m an d e est
simple :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
-J
ÜS
Plein d'informations sur le fichier /usr/bin/wish ?
existe : le système de fichier standard fai­
sant partie du Linux D o cu m e n ta tio n
Project.
Deuxièm e partie : Gestion
des packages rpm
e principal avantage de la distribu­
tion Red hat, offerte le mois dernier
sur le CD-Rom de Dream, est son
systèm e de g e stio n de p a ck a g e s.
L'ergonom ie des outils Red Hat reste à
démontrer mais l'efficacité, elle, est au
rendez-vous.
In sta lle r u n e a p p lic a tio n
Les packages Red hat portent générale­
ment (si ce n'est tout le temps) l'exten­
sion .rpm. Il existe principalement deux
types de packages : les packages sources
et les packages binaires. Sur les sites ftp et
sur CD, on trouve souvent un répertoire
RPMS qui contient un ensemble de pac­
kages binaires au format rpm. Pour instal­
ler un package, on utilise la syntaxe :
rp m -ivh n o m d u p a c k a g e .rp m
L'option -i lance rpm dans le mode de
fonctionnement installation. Les options -v
et -h affichent une barre de progression
Remarquez que l'on n'indique pas l'exten­
sion .rpm puisqu'il s'agit d'un package
déjà installé, ce nom doit se trouver dans
la liste retournée par la commande rpm qa.
Pour lister les fichiers appartenant à un
package :
L
rpm -ql nom_du_package
Pour savoir à quel package appartient un
fichier quelconque :
rpm -qf nom_du_fichier
Enfin, on peut obtenir les mêmes informa­
tions sur des fichiers .rpm non installés
avec l'option -p. Par exemple, la comman­
de :
rpm -qpi toto.rpm
Donne des informations détaillées sur le
package toto.rpm qui n'est pas forcément
installé sur la machine.
D é s in s ta lla tio n
La première chose à faire pour désinstaller
une application est de récupérer le nom
rpm -e nom_du_packag
Il existe de nombreuses autres possibilités
dans rpm, notamment la fabrication des
packages (mode build). Consultez le man
rpm ou le Howto correspondant et bonne
bidouille !
Fred Pesch
pesch@club-internet. fr
Les é q u i v a l e n c e s entr e
A m i g a O S et L i n u x
Ce n 'e st un secre t p o u r p e rso n n e ,
l'Am igaOS est fortement inspiré d'Unix.
Du coup, le système est organisé de la
même manière sur le disque dur. Voici la
liste des équivalences entre les répertoires
système de Linux et ceux de l'AmigaOS :
/etc
/bin
équivaut à S :
équivaut à C :
/lib
équivaut à Libs :
/tmp
/var
/dev
équivaut à T :
équivaut à Env :
équivaut à Devs :
A noter qu'il n'existe pas, sous AmigaOS,
de d is tin c tio n entre la ra c in e et le
répertoire /usr.
Les redirections
et les tubes
Les commandes Unix permettent de réaliser de nombreuses
manipulations mais c'est surtout de leur association que résulte
la puissance extraordinaire du système. Et le shell est le moyen
le plus efficace pour profiter de cette puissance.
a plupart des commandes accessibles
depuis le Shell peuvent utiliser des don­
nées en entrée ou en sortie, ou les deux
(on parle alors de filtre). Ces données qui
transitent sont des flux de caractères, nous
verrons que c'est une caractéristique très
importante des entrées-sorties.
Les ca n a u x du Shell
Chaque commande est associée à un canal
d'entrée standard (stdin), un canal de sortie
standard (stdout) et d'erreur (stderr). Prenons
par exemple la commande de filtre wc. Elle
récupère sur l'entrée standard un flux de
caractère, effectue des comptages et affiche
le résultat sur la sortie standard. Le canal d'er­
reur n'est pas utilisé. Voici un exemple d'utili­
sation de wc :
L
$ wc
J'aime le shell (ctrl-D)
1
5
30
Lorsque vous lancez la commande wc, le
shell se met en attente d'une saisie au clavier.
En effet, l'entrée standard est associée par
défaut au clavier. Pour terminer la saisie du
texte, il faut utiliser la commande de ferme­
ture de fichier control-D. A ce moment là, le
texte est transmis à la commande wc qui
indique le nombre de lignes, de mots et de
caractères du texte sur la sortie standard (par
défaut, l'écran).
R ed irectio n
Pour l'instant, ces canaux d'entrée/sortie ne
sont pas d'une grande utilité. En ce qui
concerne wc, il serait par exemple pratique
de spécifer un fichier en entrée plutôt qu'une
saisie au clavier. Pour se faire, il suffit de redi­
riger l'entrée standard depuis un fichier. Voici
un exemple pratique :
$ echo > test
Moi, je fais le plein chez
shell(control-D)
$ wc < test
1
5
18
Nous avons tout d'abord créé le fichier en
redirigeant la sortie standard de echo vers un
fichier. Normalement, echo attend une saisie
au clavier et la répète sur la sortie standard
(affichage à l'écran). Ici, la sortie se fait dans
un fichier portant le nom test qui est créé
pour l'occasion (s'il existait déjà, il est
d'abord effacé). Ensuite, nous redirigeons
l'entrée standard de wc depuis le fichier test.
Le résultat est bien celui attendu : wc donne
bien les statistiques du fichier test. On peut
bien sûr mixer les redirections :
$ wc < test > résultat
$ cat résultat
1
5
18
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
La commande cat copie sur la sortie standard
le fichier passé en paramètre. La commande
wc a donc récupéré le contenu du fichier test
sur son entrée standard. Le résultat est sorti
sur la sortie standard redirigée dans le fichier
résultat. Remarquez l'affichage des deux
commandes suivantes :
$ wc < test
1
5
18
$ wc test
1
5
18
test
Lorsque nous utilisons la redirection sur l'en­
trée standard, wc affiche le bon résultat mais
ne connait pas le fichier source (ni son nom
ni toutes les informations relatives excepté
son contenu). Lorsque l'on précise le fichier
sur la ligne de commande, wc ouvre luimême le fichier avant de le traiter, c'est un
comportement courant mais non standard.
Ceci montre bien que l'entrée reçoit un flux
de caractères (le contenu du fichier) et non le
fichier lui-même.
D oubles red irectio n s
La redirection en sortie > écrase comme nous
l'avons vu le fichier destination. La double
redirection en sortie » permet de conserver
le fichier existant. Les nouvelles données
seront simpement ajoutées à la fin du fichier.
On utilise aussi de temps en temps
l'expression « lorsque l'on programme des
shell scripts. Ceci permet de piloter une
répertoire courant. Nous verrons que cette
notion de pipe occupe une position très
importante dans les systèmes Unix. On peut
ainsi chaîner un grand nombre de com ­
mandes :
wc < entree > sortie 2> erreur
canal sortie standard (1)
$
Cette commande affiche une liste triée par
ordre alphabétique les fichiers du répertoire
courant dont le nom contient le mot linux. Il
existe deux autres méthodes pour chaîner
des commandes. La première est l'exécution
séquentielle :
Les redirections possibles sur la commande wc.
commande interactive (comme ed ou ftp) à
l'aide d'un fichier de commande (here script
ou here document). Voici un exemple de
here script :
$ echo "Micro\$oft c'est bien" >
toto
$ cat tôt
Microîoft c'est bien
$ vi toto << END
> /Micro\$oft
> :s/Micro\$oft/Linux/g
ls -1 | grep linux | sort
commandel ; commande 2 ; commande
tata
$ wc -1 < toto
3
3 ; (...)
Nous avons dû utiliser le fichier temporaire
toto pour enregistrer sur une colonne les dif­
férents fichiers du répertoire courant. Nous
avons ensuite passé le contenu de ce fichier
sur l'entrée de wc avec l'option -I, nous avons
ainsi obtenu le nombre de lignes de toto qui
est bien le nombre d'entrées du répertoire
courant. En utilisant le symbole I, nous pou­
vons nous passer du fichier temporaire. Il
indique tout simplement à la commande
située à sa gauche de détourner sa sortie
standard sur l'entrée standard de la comman­
de située à sa droite. Pour la commande cidessus, on aurait pu simplement écrire :
Chaque commande est exécutée après la fin
de l'exécution de la commande précédente.
L'utilisation des parenthèses permet de récu­
pérer la sortie standard d'une succession de
commandes dans un sous-shell :
( commande1 ; commande2 ; comman­
de 3 ; (...) ) > résultat
On peut aussi utiliser les accolades mais on
ne lancera alors pas de sous-shell, la distinc­
tion est surtout importante lors de l'écriture
de shell scripts (l'environnement n'est pas
le même). Nous avons à peu près fait le
tour des redirections et des enchaînements
de commandes. Nous verrons le mois pro­
chain la gestion des processus, une autre
étape importante de notre initiation.
Fred Pesch
pesch@club-internet. fr
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
> : wq
> END
$ cat toto
Linux c'est bien
La commande vi exécute en mode interactif
toutes les commandes qui suivent l'exécution
de la commande. Cette exécution prend fin
lorsque l'interpréteur Shell trouve le mot END
(c'est celui qui est précisé à la suite de la
"redirection" « ) . Ce mécanisme puissant est
pourtant assez peu utilisé car de nombreuses
commandes peuvent fonctionner en mode
non interactif (exemple : sed pour l'édition).
Certaines commandes utilisent plusieurs
niveau d'interaction (par exem ple ftp,
lorsque l'on doit saisir le nom de login et le
mot de passe), l'utilisation des here scripts
devient alors délicate, voire impossible.
Enchaîner les com m andes
L'utilisation des redirections simples imposent
la création de fichiers temporaires lorsque des
commandes ont besoin de la sortie d'autres
commandes pour fonctionner. Par exemple,
voici une succession de commandes qui
indique le nombre d'entrées dans le répertoi­
re courant :
$ ls -1 > toto
$ cat toto
toto
titi
$ ls -1 | wc -1
3
Le résultat est bien le nombre d'entrées du
L e s n u m é r o s de c a n a u x
Chaque canal d'entrée ou de sortie porte
un numéro. Par exemple, le canal d'entrée
standard porte par défaut le numéro 0. La
sortie standard correspond au canal 1 et la
sortie d'erreur est représentée par le canal
2. On peut créer soit même de nouveaux
canaux (de 3 à 9) et associer ces canaux
aux différents flux mais c'est une pratique
peu courante. On peut préciser lors d'une
redirection le numéro du canal à rediriger :
$ wc -1
0< toto 1> titi
est identique à la commande
$ wc -1 < toto > titi
On utilise surtout cette écriture pour gérer
le flux d'erreur :
commande > sortie 2> erreurs
place dans le fichier sortie le résultat de
commande et stocke les erreurs éventuelles
dans le fichier erreur. Il est parfois pratique
de coupler la sortie standard et la sortie
d 'e rre u r sta n d a rd , on u tilise a lo rs la
syntaxe :
commande 2>&1 > sortie
Pour réellement comprendre ce mécanisme,
il faut tout d'abord s'intéresser à la gestion
des fichiers (et des descripteurs de fichiers)
des systèm es U nix. Ce su je t d épa sse
quelque peu le cadre de notre initiation.
Sachez pour terminer que ces redirections
sont spécifiques au shell bash, il y a des
d iffé re n ce s im p o rta n te s (m êm e si le
principe est le même) dans les shell de type
Csh ou Ksh.
Sy s t ème
RlscOS,
l'OS Risc !
Risc OS est le système d'exploitation qui anime les machines
d'Acorn. Il est peu gourm and en ressources puisqu'il se contente
de 2Mo de mémoire. Il est actuellement stocké dans une
mémoire morte à la mise à jour aisée, ce qui autorise un
démarrage très rapide de la machine. La dernière version de
Risc OS est la 3.7.
ATAFS::Boot-S. Public-
Copie directe de fichiers
G e s tio n d e la m é m o ire
La gestion de la mémoire a été pendant
longtem ps un des gros points noirs de
Risc OS. Maintenant il n'y a plus guère
de problèmes. On peut facilement don­
ner ou enlever de la mémoire aux appli­
cations. La gestion de la mémoire dyna­
m ique est souple et efficace. Une des
p o ssibilités intéressantes est celle qui
permet de contrôler la mémoire allouée
au système lui-même. De plus la mémoi­
re vidéo inutilisée est à la disposition du
système ce qui permet d'éviter les pertes
(com m e cela est égalem ent le cas sur
Amiga avec la Chip Ram).
Risc OS ne gère pas la mémoire virtuelle,
ainsi les a p p lic a tio n s doivent le faire
in divid u ellem en t. C 'est finalem ent un
bon choix, car seule les applications qui
ont réellement besoin de mémoire vir­
tuelle l'utilisent. Autre point comm un
avec l'Am iga, la mémoire n'est pas pro­
tégée ; m algré tout, le systèm e reste
fiable. Secret du miracle ? Un procédé
efficace permettant d'arrêter les applica­
tions instables.
Le s s y s tè m e s d e fic h ie r s
Les systèmes de fichiers se présentent
eux aussi sous la forme de modules. Le
système de base est Adfs. Adfs est très
rapide et d'une redoutable efficacité.
Cependant il soufre de deux défauts : le
nom des fichiers ne peut dépasser dix
caractères et le nombre de fichiers par
dossier ne peut être supérieur à 77. Ceci
est fort ennuyeux quand on copie des
fichiers au format PC sur une machine
Acorn ; effectivem ent le Pc propose 8
caractères + 1 point + 3 caractères pour
l'extension, ce qui fait douze. Ainsi les
noms sont souvent tronqués.
Heureusement on a la possibilité d 'im ­
briquer les systèmes de fichiers. On peut
fa c ile m e n t, via un m odule, créer un
fichier qui sera vu par le système comme
une partition u tilisant un systèm e de
fichiers différent. Cette méthode permet
e n tre a u tre s de g é re r les a rc h iv e s
co m m e des d o ssie rs o rd in a ire s. Les
application utilisent un format original
en informatique : il s'agit en fait de dos­
siers contenant toutes les ressources de
l'application. On peut ouvrir ces dossiers
pour aller 'fureter' dedans. Certains se
rappelleront les exécutables du NexT qui
u t ilis a ie n t un p rin c ip e id e n tiq u e .
L'avantage est évident ; en supprimant
une application on supprime toutes ses
ressources (il ne reste pas de librairies
perdues sur le disque dur).
Le CM
Ceci est la ligne de commande. Il n'y a
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Système
Public
Archives
Ecran
Applications
Unités
RAM
L'interface graphique s'appelle le Wimp.
isc OS est b asé su r un n o ya u
co ncis et de m ultiples m odules
porteurs des fo n ctio n n a lité s du
systèm e. L'in terface gra p h iq u e est un
m odule, les systèm es de fich iers sont
gérés par des modules...
En fait les modules peuvent tout autant
être des pilotes que des m orceaux du
systèm e, ou encore des p ro g ram m e s
q u e lc o n q u e s . C h a q u e m o d u le p eu t
apporter de nouvelles fonctions pour la
ligne de com m ande ainsi que de nou­
velles interruptions et routines pour le
système. Cette facilité à étendre le sys­
tème n'est pas sans rappeler la manière
de fonctionner du langage Forth.
Le système utilise des interruptions logi­
ciel les (les Swi, ou Software interrupt)
pour toutes les routines, il existe des
milliers d'interruptions... Une excellente
boîte à outil pour les program m eurs !
Grâce aux Swi, il est possible de déve­
lopper un logiciel pour l'interface g ra ­
p h iq u e à p a rtir du B a sic ou d 'u n
R
Assembleur.
G e s t io n d e s t â c h e s
Le système utilise un multitâche coopé­
ratif. De notoriété publique, ce genre
de m ultitâche est souvent instable en
cas de surcharge du système. Ce n'est
pas le cas ici : la plupart des a p p lica ­
tions font une u tilisation m assive des
interruptions logicielles, ce qui permet
au système de reprendre très souvent la
main. En fait, le m ultitâche ne ralentit
que rarement. Le choix d'un multitâche
co o p ératif est donc ju d ic ie u x dans le
sens où la gestion est moins lourde que
celle d'un multitâche préemptif, ce qui
permet de laisser plus de ressources aux
applications.
Grâce à cette souplesse, des program ­
meurs ont même réussi à im planter une
gestion du m ultitâche préem ptif à l'in ­
térieur du m ultitâche coopératif. Il faut
cependant que les ap p licatio n s soient
adaptées pour pouvoir fonctionner dans
ce mode.
rien à en redire : d'un prem ier abord
déroutant, celle-ci se révèle rapide et
d'une gra n d e p u issa n ce . De plus on
peut étendre ses fonctionnalités au tra­
vers des modules. Le Cli n'est pas vrai­
ment un interpréteur de co m m an d e,
mais plutôt une interface directe avec le
système.
Le W im p
L'interface graphique s'appelle le Wimp
pour W indows Ico n s M enus P o in te r.
Celui-ci dispose d'une quantité de fonc­
tions uniques en leur genre. Bien avant
l'heure le Wimp s'est adjoint les services
d'une barre d'icônes qui peut 'scroller'
quand elle est tro p c h a rg é e . Sur la
gauche de la barre on trouve les unités
ou systèmes de fichiers, sur la droite on
trouve les applications et deux icônes.
L'icô n e en form e d 'é cra n perm et de
changer de mode à la volée entre les très
nombreux modes disponibles. L'icône en
forme de gland (le logo d'Acorn) permet
de gérer le système et l'allocation de la
mémoire. G raphiquem ent, le systèm e
n'est pas en retrait : les fenêtres se dépla­
cent avec leur contenu (pas de fantôme,
contrairement à l'Amiga). De plus si on les
redimensionne, leur contenu se réorganise
en temps réel. Les fontes sont des polices
vectorielles lissées (anti-aliasing). Le Wimp
est lui aussi très modulaire : on peut facile­
ment ch an ge r les m essages systèm es
puisque se sont des fichiers textes. De
même il est facile de modifier l'aspect de
l'espace de travail, du fond d'écran, de
l'encadrement des fenêtres ou des icônes,
car il s'agit de simples fichiers images.
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Le travail sur les fichiers est simplifié. Par
exemple, on ne dispose pas de sélecteur
de fichiers pour enregistrer un document ;
une simple boite de dialogue apparait avec
l'icône du fichier, il suffit de poser cette
icône sur un dossier pour que le fichier y
soit enregistré. L'échange des données est
tout aussi souple.
On sé le ctio n n e
des données et on
les em m ène vers
l'autre application
; si celle-ci accepte
le format de don­
nées
elle
les
in tè g re d ire c te ­
ment, sinon rien
ne se passe. Cette
m éthode permet
de faire a b stra c­
tion du presse
papier, qui n'exis­
te pas sous Risc
05.
L'utilisation de la
souris est particu­
lière. Le b outon
de gauche fait une
a ctio n , ce lu i du
Le système applique
m ilieu affiche le
automatiquement un anti-aliasing sur les polices.
menu contextuel
qui est le seul type de menu disponible
sous Risc OS et le bouton de droite permet
de faire une action souvent liée à celle du
bouton de gauche. Il est clair qu'avoir tou­
jours les m enus sous la m ain est fort
agréable. L'utilisateur Risc OS est donc, en
général, un grand utilisateur de la souris.
A utres fo n ctio n s
Une des fonctions les plus im pression­
nantes est la gestion des images Jpeg en
interne. Seule la partie visible à l'écran
d'un fichier jpeg est décompressée ; un
jpeg ne prend en mémoire que la taille
de son fichier. Celui-ci est décodé à la
volée suivant les besoins. Cette méthode
est u n iq u e ... Elle perm et de faire une
grosse PAO avec 4Mo de mémoire, voire
m oins ! De plus, Risc 0 5 dispose d'un
pack logiciel assez impressionnant. Une
p a rtie de ce p a ck est d is p o n ib le en
mémoire morte. C'est le cas du Basic, de
certaines fontes... Et même du Wimp !
Autrement dit, on peut même utiliser un
Risc Pc avec son interface gra p h iq u e,
m êm e q u an d l'o rd in a te u r n'a pas de
d is q u e d u r ni de d is q u e tte d an s le
lecteur !
Un systèm e riche et puissant qui tient
dans une Rom de 1, 2 ou 4 Mo suivant
les versions !
D avid Feugey
Tcl/Tk
Une calculatrice
en Tcl/Tk
tkcalc.tcl
Après un début plus théorique qu'outre chose , il est temps pour
nous de passer à l'action et de créer notre premier squelette
d'application en Tcl/Tk.
tkca
About..
HM M M m
—
button .quitbtn -text "Quit"
pack .aboutbtn -side top
pack .quitbtn -side top
Créez le fichier tkcalc.tcl et placez-y ces
quatre lignes. Exécutez la commande sui­
vante :
$ wish tkcalc.tcl
Vous obtiendrez alors l'affichage de la figure
1. Le premier bouton cherche de l'espace en
haut de la fenêtre principale (-side top) et le
deuxième cherche aussi de la place en haut.
Pourtant, le bouton "quit" se trouve bien
au-dessous du bouton about l'espace alloué
est donc en dessous du bouton "about". En
fait, lorsqu'un espace est alloué au bord
d'une fenêtre top-niveau, cet espace n'est
plus récupérable. Les différents widgets pris
en charge par le packer sont donc ordonnés
mais il est possible de modifier cet order
(options -before et -after). Je vous avais pré­
venu, le packer est un gestionnaire de géo­
métrie assez étrange mais on s'y fait rapide­
ment.
C h a n g e m e n t de ta ille d es w id g e ts
e n fa n ts
Le packer est surtout intéressant parce qu'il
prend en compte les changements de tailles
des w idgets qu'il prend en charge. Par
exemple, si vous augmentez la taille d'un
bouton (paramètres -width et -height), il
changera non seulement la taille du widget
bouton mais il changera aussi la taille de
Figure 2 : Changement de taille pour le
bouton about.
l'espace alloué à ce bouton et si cet espace
vient à manquer, il demandera au widget
parent de se redimensionner. Modifiez dans
tkcalc.tcl la création du bouton .aboutbtn :
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Figure 1 : une interface minimaliste.
partir de ce numéro, et pendant
quelques mois encore, nous allons
mettre en oeuvre ensemble une
application exploitant un grand nombre de
possibilités de Tcl/Tk. Il s'agira de créer une
surcouche graphique au program m e bc.
Nous apprendrons donc par la même occa­
sion les rudiments de ce mini langage qui
perm et des calcu ls très précis sur des
nombres réels à précision arbitraire. En
termes clairs, nous allons réaliser une petite
(pas si petite que cela) calculatrice gra­
phique sans pratiquement nous occuper du
côté mathématique de ce projet. Notre pro­
gramme parlera en anglais, non pas pour
être à la mode mais tout simplement parce
que nous allons créer un free software et
que le free software n'a pas de frontière.
Une in te rfa c e m in im a lis te
Développer en Tcl/Tk est rapide lorsque l'on
maîtrise le langage mais nous n'allons pas
commencer à griller des étapes. Notre pre­
mier objectif sera tout simplement l'affichage
d'une boite de d ia lo g u e "à propos".
L'interface de la fenêtre principale se résume
à l’utilisation de deux boutons : "about" et
"quit". Le premier bouton affiche la boîte de
dialogue et le bouton "quitter" permet bien
sûr d'aller voir ailleurs si on y est. La création
des boutons est on ne peut plus simple :
A
button .aboutbtn -text "About ..."
button .aboutbtn -text "About ..." -
width 12 -height 8
On obtient alors la figure 2. La largeur
(width) et la taille (height) des boutons est
donnée par défaut en nombre de carac­
tères. On voit que la taille de la fenêtre prin­
cipale a changée du fait du changement de
taille du bouton "about". Ces différentes
interactions montrent la complexité de la
gestion de la géométrie. Voici un autre
exem ple am usant. Reprenez le fichier
tkcalc.tcl et rajoutez les lignes suivantes en
fin de fichier :
set largeur 1
set hauteur 1
while { $largeur<40 } {
Je peux pas l ' enc a dr er !
En plus des fenêtres top niveau, les cadres (widgets frame) peuvent aussi contenir des
widgets enfants. La gestion de géométrie des enfants se fait alors relativement à ce cadre.
On peut donc composer des hiérarchies complexes de widgets pour obtenir virtuellement
n'importe quel présentation (y compris les plus moches I). La procédure listée ci-dessous
prend en charge la création et l'affichage de la boîte de dialogue "à propos”, première
version. Cette procédure "AboutCommand" est appelée lorsque l'utilisateur clique sur le
bouton about de la fenêtre principale. Cette procédure montre une telle hiérarchie à bases
de w idg ets sim p le s (m essa g es, b o u to n s) et de cadres. L'a u tre p rocédure,
"AboutOkCommand" permet de détruire la boîte de dialogue avec la commande destroy.
En détruisant la fenêtre top-niveau, on détruit également tous ses widgets enfants. La
commande "wm title" permet de donner un nom à une fenêtre top-niveau. Le source
co m p le t des p ro g ra m m e s du m ois ce tro u ve n t su r le CD da ns le répertoire
/EnPratique/TclTk/ bien sûr !
.aboutbtn configure width $largeur -height $hauteur
update
incr hauteur
set
largeur
[expr
$largeur*2]
}
Exécutez le fichier et admirez ! La fenêtre
principale change progressivement de taille.
La boucle while attend en premier para­
mètre une condition et en second para­
mètre le corps de la boucle (les accolades
permettent de différer la substitution des
variables). Remarquez l'utilisation de la com­
mande update qui envoie toutes les
requêtes d'affichage au serveur X Window.
Ici, le bouton ".aboutbtn" change de taille
3 tkcalc.tcl
About ...
Quit
[x
chemin_du_widget configure
[options
.. .]
Nous verrons la prochaine fois que lorsque
les fenêtres top-niveaux ou les cadres chan­
gent de taille, on peut apporter des modifi­
cations sur le comportement par défaut des
widgets enfants. On voit sur la figure 3
qu'après redimensionnement (en utilisant la
souris) de la fenêtre principale, les deux
boutons ont toujours la même taille et sont
"collés” en haut (c'est le paramètre -side top
qui impose ce comportement).
Un peu d 'in t e ra c t iv ité
Avant de vous laisser partir en vacances, il
est important d'ajouter à notre programme
du mois (en fait notre premier programme
en T cl/T k ) un soupçon d 'in te ractivité.
L'option -command des boutons permet­
tent de préciser une procédure Tel exécutée
lorsque le bouton est actionné. Nous avons
donc modifié la déclaration de nos boutons
about et quit :
button .aboutbtn -text "About ..." command AboutCommand
button .quitbtn -text "Quit" -com­
proc AboutCommand {} {
# interface de la boite de
dialog "a propos"
toplevel .aboutdlg
wm title .aboutdlg
"About
Tk calc..."
frame
.aboutdlg.framel
-bd
2 -relief sunken
m e s sage
.aboutdlg.framel.title -justify
center -text "Tkcalc 0.1\n\nA
Gnu bc frontend"
frame
.aboutdlg .frame2
-bd
2 -relief groove
message
.a b o u t d l g .f r a m e 2 .c o p y r i g h t text
" (C)1997,
Fred
P e s c h .\nD i s t r ibuted under the
Gnu General Public Licence"
mand exit
La commande "exit" permet évidemment
de quitter le programme lorsque l’on clique
sur le bouton "exit". Vous trouverez en
encadré la procédure "AboutCom m and"
qui se charge d'afficher et de gérer une
boîte de dialogue "à propos". La figure 4
montre cette boîte de dialogue. Vous pou­
vez peut-être deviner notre objectif pour le
mois prochain ... Rendre cette boîte de dia­
logue attractive ! D’ici là, bon Tel, bon Tk et
bonnes vacances (pour ceux qui en ont !).
Fred Pesch
pesch@club-internet. fr
button
.a b o u t d l g .f r a m e 2 .o k b t n
-text
"Ok" -command AboutOkCommand
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
!.
BBBgSgH
Figure 3 : Changement de taille pour la
fenêtre principale.
tant que la largeur de la fenêtre est inférieu­
re à 40 caractères. L'incrément utilisé étant
de deux caractères par tour de boucle pour
la largeur et un seul pour la hauteur. Notez
que pour modifier un paramètre d'un widget après sa création, on utilise la syntaxe :
About Tkcalc
About
Tkcalc 0.1
A Gnu bc
frontend
(C) 1997, Fred
Pesch.
Distributed under
the Gnu General
Public Licence
Figure 4 : Le début d'un superbe programme !
# affichage
pack
.aboutdlg.framel -side
top
pack .aboutdlg.framel.title
pack
bottom
.aboutdlg.frame2 -side
pack
.aboutdlg.frame2.copy­
right -side left
pack .aboutdlg.frame2.okbtn
-side right
}
proc AboutOkCommand {} {
destroy .aboutdlg
}
Java
nitiation
à lava
Pour l'in s ta n til faut bien dire
que Java ne nous offre
aucune possibilité
supplémentaire par rapport
aux langages classiques :
avec des records et des
pro céd u reso n peut imiter en
Pascal ce que nous avons fait
avec les classes. Mais alors,
ça sert a quoi?
e développement de votre simulateur
de com bat avance bien. Vous avez
défini
vos
classes
X w in g ,
MilleniumFalcon, Tiefighter et Croiseur. Vous
en êtes maintenant à la classe DeathStar et
p articu lière m e n t
à
sa
m éthode
attirerVaisseau (avec le rayon, bien sûr).
Comme vous voulez pouvoir attirer tous les
vaisseaux, vous devez en écrire quatre exemplaires,
une
pour
X w in g
:
attirerVaisseau(Xwing v), une pour Tiefighter
: attirerVaisseau(Tiefighter v) etc. Et m..., un
bogue ! il faut corriger les quatre versions de
attirerVaisseau, sans se tromper et sans en
oublier une. Pas très élégant, hein, d'autant
plus que si l'alliance rebelle développe un
nouveau type d'appareil, une DeathStar ne
sera même pas capable de l'attirer ! Vous
décidez alors de remplacer vos vaisseaux par
une classe générique Vaisseau, mais comme
chaque type de vaisseau a un comporte­
ment différent, toutes les méthodes de
Vaisseau contiendront des séries de if pour
décider de l'action à faire (en fonction du
type du vaisseau). Comme vous êtes à plu­
sieurs sur le projet, ça devient complètement
ingérable et il est toujours impossible d'intro­
duire, plus tard, des chasseurs Corelli pro­
bables... A moins de reécrire à chaque fois la
classe Vaisseau. Il n'y a vraiment pas moyen
de s'en sortir plus élégamment?
L
Un n o u v e l e s p o ir
En quoi consiste exactement le problème ?
Les vaisseaux ont chacun des caractéris­
tiques propres, mais ils ont aussi beaucoup
de choses en commun. Dans notre pro­
gramme, on veut travailler sur les particula­
rités de chaque vaisseau, mais aussi pouvoir
manipuler les vaisseaux plus globalement
sans faire de distinctions. On veut en fait
distinguer pour chaque vaisseau quelles
sont les propriétés qu'il partage avec tous
les vaisseaux et quelles sont celles qui sont
propres à un Xwing, un Tiefighter ou un
Croiseur. Plus concrètement: on veut dispo­
ser d'une classe Vaisseau générique et défi­
nir les classes Xwing, Tiefighter, Croiseur et
M illenium Falcon comme étant chacune
une version particulière de Vaisseau. C'est
précisément ce que l'on appelle l'héritage.
L 'h é r it a g e
Il s'agit donc de définir une classe à partir
d'une autre classe plus générale. La classe
Vaisseau ne définit que les caractéristiques
communes à tous les appareils et la classe
Xwing rajoute des choses qui font la diffé­
rence avec un Croiseur, tout en étant par
ailleurs un Vaisseau. On dit que Xwing est
une classe dérivée de Vaisseau et que
Vaisseau est une superclasse de Xw ing.
Voyons ça en pratique :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
class Vaisseau {
p u b l i c v o i d d é c o l l e r () {
S y s t e m .o u t .p r i n t l n ("je d é c o l ­
le"); }
public void afficherType() {
S y s t e m .o u t . p r i n t l n ("vaisseau
générique"); }
La classe Xwing est dérivée de Vaisseau. Cela
se signale à l'aide du mot-clé "extends". Par
défaut, la classe dérivée est identique à sa
superclasse, nous devons donc redéfinir les
méthodes qui font que c’est un Xwing :
class Xwing extends Vaisseau {
public void afficherType() {
System.out.println("xwing"); }
}
Une classe dérivée peut aussi contenir des
champs ou des méthodes qui n'existent
pas dans la superclasse:
class MilleniumFalcon extends
Vaisseau {
public void afficherType() {
Sys t e m .o u t . p r i n t l n ("mi 1 lenium
falcon"); }
A quand XW ing vs Tie Fighter en Java ?
public void vitesseLumière()
{ System.out.println("accrochez
vous !") ; }
}
Si on crée une instance de Xwing, elle est
bien-sûr de type Xw ing. Mais elle peut
aussi être traitée comme si elle était de
type Vaisseau. C'est justement l'intérêt de
l'opération :
class DeathStar {
public
void
attirerVaisseau(Vaisseau v) {
Syst e m .o u t .p r i n t ("Vaisseau
d'accès : public et private. Dans quelle
mesure les méthodes d'une classe ont-elles
accès aux membres de la superclasse ?
Pour les membres public, pas de problème:
ils sont hérités tels quels et on les retrouve
donc en public dans la classe dérivée. Les
membres private sont également transmis
par héritage, mais ils sont "tellement pri­
vés" qu'ils ne sont pas visibles pour les
méthodes définies dans la classe dérivée.
Ajoutons par exemple à la classe Vaisseau
les membres suivants:
attiré : ");
v .afficherType();
System, out .println ( 11Rayon
private int nombreDeMissiles;
public void tirerünMissile() {
nombreDeMissiles=nombreDeMissil
désactivé"),v .décoller();
es-1; }
}
tirerünMissile
est
véritable arborescence de classes. C'est ce
que l'on appelle arbres d'héritage.
On s'a rrê te là
Eh oui, l'héritage est un gros morceau et
on n'a pas fini d'en étudier le fonctionne­
ment ! Mais comme vous devez commen­
cer à le savoir, il n’est pas possible de pro­
grammer réellement en java sans le maîtri­
ser, comme on ne peut pas faire du Pascal
si on n'a pas compris les procédures. Alors
en attendant la suite à la rentrée, jouez
avec ce sim u la te u r de sim u la te u r de
Starwars. Faites par exemple deux classes
d érivées de V aisseau : A llia n c e et
CoteObscur et dérivez les différents vais­
seaux à partir de là. Quels sont les avan­
tages de procéder ainsi ?
jakub Zimmermann
public,
on peut d o n c écrire sans p ro b lèm e
}
vaisseauDeLuke.tirerünMissile(;
Vous voyez que la DeathStar peut manipu­
ler les vaisseaux sans distinctions. Lançons
un petit programme qui utilise ces classes
pour bien voir ce qui se passe :
class Exemple {
static
public
void
m a i n (String[] p) {
DeathStar etoileNoire=new
DeathStar();
Xwing v a i s s e a u D e L u k e = n e w
car la méthode est héritée. Elle s'exécute et
accède bien au champ nombre DeMissiles
qui est lui aussi hérité. Mais comme il est
en private dans la superclasse, il n’est pas
possible de définir une nouvelle méthode
dans Xw ing qui accède à ce cham p. En
clair : un champ hérité private n'est acces­
sibles qu'aux méthodes elles-mêmes héri­
tées. Il faut donc introduire un nouveau
mode d'accès moins restrictif.
P ro te c te d
Le mode d'accès protected ressemble à pri­
vate, sauf qu'un membre protected hérité
est a cc e ssib le dans la classe dérivée.
Modifions notre déclaration :
(KXJBOtOS,
o m m s,
ssoumox,
CHOCÛL(ÏÏZ>
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Xwing();
M i l l e n i u m F a l c o n
vaisseauDeHanSolo=new
MilleniumFalcon();
protected int nombreDeMissiles;
etoileNoire.attirerVaisseau(vai
sseauDeLuke);
etoileNoire.attirerVaisseau(vai
sseauDeHanSolo);
vaisseauDeHanSolo.vitesseLumier
e () ;
}
)
e to ile N o ire n'a q u ’une m éthode
attirerVaisseau qui prend en paramètre une
instance de Vaisseau, c'est à dire égale­
ment une instance d'une classe dérivée.
Ainsi, vous pouvez définir à posteriori un
nouveau vaisseau en dérivant Vaisseau et il
sera directement utilisable dans le reste du
programme. Nous avons ainsi séparé les
propriétés communes des particularités
propres à chaque vaisseau.
L'a ccè s a u x m e m b re s
On connaît pour le moment deux modes
On peut maintenant définir dans la classe
Xwing une nouvelle méthode qui utilise ce
champ. L'accès est autorisé non seulement
pour toutes les m éthodes de la classe
V a isse au , m ais aussi po u r to u tes les
méthodes de toutes les classes dérivées.
La s u rp ris e d u jo u r
En lava, on ne peut en fait définir que des
classes dérivées. Eh oui, on faisait de l'hérita­
ge depuis le début ! Lorsqu'on n'utilise pas
le mot extends pour déclarer une superclas­
se, la classe définie dérive implicitement de
Object, superclasse générale en Java (cf.
encadré). Autrement dit: toutes les classes
crées en Java ont Object pour superclasse.
Par exemple, Xwing dérive de Vaisseau qui
dérive lui-même de Object. De plus, une
méthode qui attend Object en paramètre
peut très bien prendre un Xwing. Ce qui est
fort, c'est que même les tableaux (qui ne
sont pourtant pas des objets au sens propre
du terme) dérivent de Object ! Ainsi, dans
une application, on a souvent affaire à une
La cl asse Ob j e c t
Mère de toutes les classes Java, la classe
Object implémente certaines fonctions
très importantes. Voici la définition de
cette cla sse. Les m éthodes non
commentées seront vues plus tard.
• Constructeur : Object() construit un
objet vide
• Méthodes publiques : Class getClass()
• int hashCode() renvoie un entier en
tant que clé de hachage pour cet objet.
Très utile!
• boolean equals(Object o) renvoie true
si l'objet et l'objet o sont identiques
• Object clone()
• String toString() renvoie une chaîne de
caractères décrivant l'objet
• void notify()
• void notifyAII()
• void wait(iong délai)
• void wait(long us, long ns)
• void wait()
• void finalizeQ
Program m ation C
/*
COM 1*/
#include cintuition/intuition.h>
#include <utility/tagitem.h>
rinclude <utility/hooks.h>
Maintenant que l'Amiga a été racheté , nous sommes persuadés
que de nombreux lecteurs de Dream vont s'investir dans la
programmation en C. Et c'est justement le sujet de cet article.
Ah bon , c'est marqué au dessus ? Désolé...
#include <libraries/asl .h>
#include <clib/exec__protos.h>
#include <clib/dos_protos.h>
#include <clib/graphics_protos.h>
#include <clib/intuition_protos.h>
#include <clib/disk£ont_protos.h>
#include <clib/asl_protos.h>
#include <stdlib.h>
on, si vous avez suivi cette petite
saga, vous vous souviendrez certai­
nement que nous avons abordé la
programmation de la librairie Gadtools et
l'utilisation des datatypes. Vous savez donc
ouvrir une fenêtre avec des gadgets à l'in­
térieur, traiter des événements simples et
exam iner un fichier pour connaître son
type. C'est pas grand chose, je suis d'ac­
cord, mais c'est un début. Ce mois-ci, nous
allons voir comment ouvrir et utiliser des
fenêtres de requêtes ASL. Celles-ci vous
seront très utiles lors de la programmation
de logiciels. En effet, elles permettent entre
autre de sélectionner très simplement un
fichier dans l'arborescence des disques.
ASL permet égalem ent d'ouvrir d'autres
fenêtres de requêtes, mais nous en reparle­
rons par la suite.
Notre exemple ouvrira plusieurs requêtes
de fichiers dans le Workbench puis dans un
écran dédié. Ainsi, nous aborderons à peu
près toutes les sortes de requêtes de
fichiers. Nous suivons toujours le même
principe : le listing est marqué de com ­
mentaires /*COM x*/ qui correspondent à
des explications dans cette partie. Vous
êtes prêts, alors c'est parti.
COM 1 : On inclut les fichiers dont on a
besoin et on déclare des pointeurs sur les
librairies.
COM 2 : Déclaration des méthodes défi­
nies dans notre programme.
COM 3 : Déclaration de deux structures.
Une qui définit les paramètres de l'écran et
l'autre de la fenêtre.
COM 4 : Déclaration des structures qui
perm ettent de param étrer les futures
requêtes de fichiers.
COM 5 : Ouverture des librairies utilisées.
COM 6 : Ouverture de la plus simplifiée
des requêtes de fichiers et traitement de la
réponse.
CO M 7 : Ouverture d ’une requête plus
com plexe qui utilise une des structures
définie au départ com m e param ètres.
Cette requête permet la multi-sélection de
fichiers.
COM 8 : Traitement après la fermeture de
la requête. On peut savoir si l’utilisateur a
B
sélectionné un ou plusieurs fichiers, ou a
cliqué sur CANCEL. On peut évidemment
connaître le nom et le chemin de chaque
fichier.
COM 9 : On ouvre maintenant une requê­
te qui permet la sauvegarde de fichier. On
reprend la même variable que précédem­
ment mais en l’ouvrant avec d'autres pro­
priétés.
CO M 10 : On effectue m aintenant des
tests sur un écran dédié. On ouvre donc
cet écran et une fenêtre dans celui-ci.
C O M 11 : On ouvre une requête de
fichiers sur l’écran que l'on vient d'ouvrir.
On utilise toujours la même variable.
C O M 12 : On attend que l'u tilisateu r
clique sur le gadget de fermeture de la
fenêtre ou presse la touche 'q'.
COM 13 : Définition d'une fonction utilisée
pour interagir avec la requête de fichier.
C ette fo n ctio n est appelée lorsque la
requête est ouverte et qu'elle reçoit un
événement particulier. On peut donc grâce
à cette fonction garder le contrôle de la
requête. Il faut noter que le cas DOMSG
doit renvoyer o b ligato irem en t l'object
(message) passé en argument et que le cas
DOW ILDFUNC doit renvoyé 0 pour accep­
ter le fichier (il vous est donc possible de
refuser un fichier avant la fermeture de la
requête en renvoyant -1).
COM 14 : fonction qui permet de libérer
toute la mémoire allouée par les librairies
puis de quitter le programme. On appelle
de nombreuses fois cette fonction durant
le programme. Ceci remplace les innom­
brables "if" imbriqués (voir le listing du
mois dernier).
Voilà, c'est terminé. Vous allez pouvoir tra­
vailler sur les autres types de requêtes qui
fo n ctio n nen t de façon sim ilaire. Parmi
celles-ci existent la requête de polices de
caractères et la requête pour les modes
d'écran. Lorsque vous en aurez fini avec
ASL, essayez de faire la même chose avec
reqTools. Celle-ci permet plus de choses,
mais elle est du dom aine public, alors
q u 'A SL est fourni avec le W orkbench.
Bonne programmation et à plus.
Richard Thibault
#include <string.h>
struct Library
*AslBase;
struc t •Library
*Intui tionBase ;
struct Library
*GfxBase;
struct Screen *MonEcran;
.
struct Window *MaFenetre;
struct FileRequester *FileRequester;
/* COM 2 */
void freeAndExit ( int );
int main(int,char **);
ULGNG FileHook (ULONG, CFTR, struct
FileRequester * );
/* COM 3 */
struct TextAttr
MonTextAttr = {
"topaz.font ",TOPAZ_EIGHTY, 0,0 } ;
struct NewScreen MonNouvelEcran =
{
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
0,50,320,200,5, /* taille de l'écran
*/
1/2,
0, CUSTOMSCREEN, &MonTextAttr, /* type
d'écran et fonte */
"Un Ecran", /* titre de l'écran */
0,0
};
struct NewWindow MaNouvelleFenetre =
{
10,10,300,150-, /* taille de la
fenêtre */
1 /2 ,
REFRESHWINDCW |NEWSIZE |ACTIVEWINDCW |CLOSEWINDOW |VANILLAKEY,
ACTTVATE |SMART_REFRESH |WINDOWDEPTH |WINDÜWSIZING |WINDOWDRAG |WTODaCLOSE,
/* types d'événements et de compor­
tements acceptés */
0,0,
"Une Fenêtre", /* titre * /
0,
0,
2 0 ,2 0 ,1 0 0 0 ,1 0 0 0 ,
CUSTOMSCREEN
};
/* COM 4 */
struct Tagltem MultiTags[] = {
ASL_FuncFlags,FILF_MULTI SELECT |
FILF_PATCAD, /* type de requête
multiSélection */
ASL_Pattem, (ULONG) "#?",
AllocAslRequest(ASL_FileRequest, NULL);
if ( FileRequester —
printf ("Inpossible d'allouer la requête
ASL_Hail,(ULONG)"MultiSelect",
TAG_DONE, /* il faut toujours finir la
de fichier ASL\n" );
freeAndExit(34);
liste des TAGS par celui-là */
};
struct Tagltem SaveTags[] = {
ASL_Hail, (ULONG) "teste de sauvegarde",
/* COM 12 */
while ( TRUE ) {
WaitPort( MaFenetre->UserPort );
msg = (struct IntuiMessage *)
if (AslRequest(FileRequester,I4ultiTags)) {
GetMsg(MaFenetre->UserPort);
class = msg->Class;
if ( i = Fi1eRequester->rf_NumArgs ) {
ASL_FuncFlags,FILF_SAVE | FILF_PATGAD,
code = msg->Code;
printf ("%d fichiers
ReplyMsg( (struct Message *)msg) ;
sélectionnés\n",i) ;
if ( class == CLOSEWINDOW )
p_wbargs = Fi1eRequester-
TAG_DCNE,
};
printf ("L'utilisateur a cliqué sur CANCEL\n" ) ;
}
/*■ cm 8 */
/* type de requête sauvegarde */
ASL_OKText, (ULONG) "Sauver",
else
NULL ) {
freeAndExit( 0 ) ;
>rf_ArgList;
while ( i—
struct Tagltem FileTags2 [] = {
if ( class == VANILLAKEY ) {
) {
if ( code == 'Q' ) freeAndExit(0);
printf("MultiSélection : lock
ASL_Window,NULL,
ASL_HookFunc, (ULONG) FileHook,
$%lx nom %s\n" ,p_wbargs->wa_Lock,p_vjbargs-
else goto
ASL_FuncFlags,FILF_DOMSGFUNC |
>wa_Name) ;
}
ASL_Hail, (ULONG) "teste dans un écran
}
}
printf ("Sélection unique -
ULONG FileHook(ULONG Type,CPTR
}
dédié",
else
TAG_DONE
};
}
p_wbcu:gs++ ;
FILF_Da/JILDFUNC, /* type de requête */
/* COM 13 */
répertoire (%s) fichier
Object,struct FileRequester *fr)
main(int argc,char *argv[3)
(%s)\n",FileRequester-
{
(
>rf_Dir,FileRequester->rf_File);
switch ( TyP^ ) {
}
struct IntuiMessage *msg;
ULONG class,code;
printf ("Fichier domsgfunc: IDCMP
printf ("L'utilisateur a cliqué sur CANCEL\n");
int i;
/* cm
case FXLF_DOMSGFUNC:
else
struct WBArg *p_wbargs;
*/
class $%lx\n",( (struct IntuiMessage
*)Obj ect)->Class);
/* COM 9 */
retum(
IntuitionBase =
if ( AslRequest( FileRequester, SaveTags )
break;
OpenLibrary {"intuition.library ",36);
)
5
Again;
(ULONG) Object );
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
case FILF_DCWILDFUNC :
freeAndExit(30);
(%s)\n",Fi1eRequester-
}
>rf_Dir,FileRequester->rf_File);
GfxBase = OpenLibrary( "graphies.libra­
retum(NULL); /* accept le fichier */
default:
CEL\n");
/* cm io */
}
MonEcran = OpenScreen (&MonNouvelEcran) ;
if ( MonEcran == 0L )
{
0 ) {
1 'écran...\n");
}
printf ( "hook %ld\n" ,Type) ;
}
}
/* COM 14 */
printf ("Impossible d 'ouvrir
printf ("Can11 open asl.library\n" ) ;
freeAndExit(33);
break;
printf ("L'utilisateur a cliqué sur CAN-
freeAndExit(31);
if ( (As1Base = OpenLibrary (AslName,36)) ==
((struct AnchorPath *)Object)>ap_Info.fib_Fi leName );
else
ry", 36);
if ( GfxBase == NULL ) {
printf( "Fichier dowildfunc: %s\n",
printf("répertoire (%s) fichier
if ( IntuitionBase == NULL ) {
void freeAndExit(int rc)
{
if ( FileRequester ) {
freeAndExit(1);
/* cm 6 */
}
FreeAslRequest(FileRequester);
printf ("Freed File Request! \n" ) ;
FileRequester = AllocFileRequestO ;
MaNouvelleFenetre.Screen = MonEcran;
if ( FileRequester == NULL ) {
MaFenetre = OpenWindow (ScMaNouvelleFenetre ) ;
}
if ( MaFenetre == 0L )
if (MaFenetre) {
printf ("Irrpossible d'allouer la requête
{
de fichier ASL\n") ;
}
}
>rf_Dir,Fi 1eRequester->rf_Fi le ) ;
/* COI 11 */
Fi leTags2 [0 3 .ti_Data = (ULONG)MaFenetre ;
FreeFileRequest( FileRequester );
if (MonEcran)
if ( AslRequest( FileRequester, FileTags2 )
CloseScreen (MonEcran) ;
if (AslBase)
AncienneFont = MaFenetre->RPort->Font;
else
CEL\n");
CloseWindow(MaFenetre) ;
}
freeAndExit(2);
printf("répertoire (%s) fichier
printf ("L'utilisateur a cliqué sur CAN-
>RPort,AncienneFont) ;
fenêtre...\n");
if ( RequestFile(FileRequester) )
(%s)\n",FileRequester-
SetFont(MaFenetreprintf ("Impossible d'ouvrir la
freeAndExit(34);
CloseLibrary(AslBase);
if (GfxBase)
CloseLibrary (GfxBase) ;
)
if (IntuitionBase)
printf("répertoire (%s) fichier
/* COM 7 */
(%s)\n",FileRequester-
FileRequester =
>rf_Dir,FileRequester->rf_File);
CloseLibrary (IntuitionBase) ;
exit (rc);
}
rammation
Assembleur
J
Quand l'assem bleur
apprend à com p ter !
Ce mois-ci, nous allons laisser de côté les fonctionnalités de
l'Intuition, library pour revenir à des problèmes plus classiques
en Assembleur : nous allons apprendre à compter...
ous disposons, en programmation
Assembleur, de peu de types de
données. Il y a l'octet, le mot de 16
bits et le mot long de 32 bits. En plus,
nous sommes très limités quant au nombre
de valeurs possibles :
8 bits, 256 valeurs dans [0-255]
16 bits, 65536 valeurs dans [0-65535]
32 bits, 4 m illiards de valeurs dans [04294967295]
Remarquons ici que nous n'avons affaire
q u 'à des entiers, or nous avons aussi
besoin de nombres réels pour faire des cal­
culs en Assembleur. Nous allons voir com­
ment faire lorsque nous ne disposons pas
de FPU et qu'en plus nous n’utilisons pas
les bibliothèques de fonctions mathéma­
tiques. Mais tout d'abord, comment comp­
ter avec des valeurs entières ? Rappelons
les bases de l'arithmétique binaire :
0 + 0 = 00
0 + 1 = 01
1 + 0 = 01
1 + 1 = 10
Ici, nous pouvons constater que même en
binaire 1 + 1 = 2 (à savoir 10) ce qui
revient à dire en langage d'écolier : "un
plus un font deux, je pose zéro et je retiens
un.". En suivant ces règles simples on peut
faire n'importe quel calcul entier non signé
en Assembleur. Par exemple :
N
% 1 1111111
+ %00000001
(1 )%00000000
(255)
(+ 1 )
ô
Ce résultat est faux car nous avons dépassé
les bornes de notre intervalle de calcul : on
ne peut malheureusement pas agrandir la
taille d'un octet ! Une solution simple à ce
petit problème, me direz-vous, est de faire
cette opération sur 16 bits. Hélas, ce n'est
que reculer pour mieux sauter, que pour­
rons-nous faire lorsque nos calculs dépasse­
rons la valeur maximale sur 32 bits ? Il n’y
a pas de solution triviale, si cette valeur est
à calculer nous devrons passer par un petit
programme maison pour la traiter correc­
tement.
Dans le dernier exemple, on peut remar­
quer qu'une retenue est générée lors de
l'addition des derniers bits. Cette retenue
est toujours reportée dans le drapeau Carry
(noté C) du registre d'état du 68000. Et
c'est ce qui nous sauve ! Car nous pouvons
détecter ce report grâce à l'instruction
BCS, qui effectuera alors un branchement
à notre petit program m e, héhé ! Nous
allons maintenant voir comment faire des
opérations signées.
Il s u ffir a d 'u n s ig n e ...
Pour représen ter les nom bres entiers
signés, on utilise une technique connue
sous le nom de "com plém ent à deux".
Pour obtenir un nombre négatif, il suffit de
prendre un nombre binaire, d'inverser tous
ces bits et de lui ajouter 1.
Par exemple, pour obtenir -3 :
not(% 00000011) + 1 = % 1 1111101
Le bit le plus à gauche est le bit de signe, il
vaut 1 lorsque le nombre est négatif. Avec
cette représentatio n, nous ch an geo n s
notre intervalle de valeurs (i.e sur 8 bits
256 valeurs dans [-128,+127]).
Et bien sûr cela marche :
Vous remarquerez qu'à nouveau un report
est généré mais le résultat est juste. Nous
n'avons pas à nous en préoccuper, c'est un
des grands avantages de cette notation.
Cependant, nous n'avons fait qu'échanger
un problème avec un autre.
En effet, si nous effectuons un bête calcul
sur 8 bits:
9601000000
64
+ 9601000001 i.e + 65
9610000001
-128
Notre résultat est faux car nous avons écra­
sé le bit de signe. Cela s'appelle un débor­
dement, cet événement est notifié dans le
drapeau O verflow (noté V) du registre
d'état du 68000. Et nous pouvons le tester
grâce aux instructions BVS et BVC. Cette
erreur se produit uniquement lorsque nous
ajoutons deux nombres positifs ou négatifs
et que le résultat dépasse les bornes des
intervalles signés.
A u x fro n tiè r e s d u réel...
Nous voici donc au coeur du problème :
Comment faire pour représenter des réels
dans un domaine de valeurs aussi limité et
avec des entiers uniquement ? On utilise
une technique connue sous le nom de cal­
cul en point fixe.
Le principe en est très simple, puisque
nous n'avons que des entiers, nous multi­
plions nos opérandes réelles par un entier
suffisam m ent grand et bien choisi (au
hasard une puissance de 2).
Par exemple :
3.5x1 024 + 2.3x1 024 = 5.8x1 024
Bien sûr, encore une fois, il faut faire atten­
tion au débordement. De plus, il faut avoir
conscience d'une propriété de cette tech­
nique lorsque nous multiplions, il ne faut
pas oublié de rectifier le résultat. En effet :
(3.5x1 024)x(-2.0x1 024)= -7x1024x1024
ce résultat est incorrect, il faut le ramener à
la précision originale en divisant par 1024.
C'est à dire en décalant de 12 bits vers la
droite à l'aide de l'intruction ASR, ce qui
justifie le choix de multiplier par des puis­
sances de 2. Pour illustrer ce dernier point,
voici le listing du mois qui trace la courbe
f(x,y)=xA2+yA2.
David Mignon
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
%0010
+ % 0111
% 1001
( 2)
(+ 7)
( 9)
Dans cet exemple, une retenue est générée
lorsque nous additionnons deux bits dont
la valeur est 1 (1 + 1 = (1)0). Cette retenue
est reportée sur le rang suivant, ce qui
génère encore une retenue (0 + 1 + (1) =
(1)0 ). De fait, le dernier rang correspond à
0 + 0 + (1) = 1. Tout serait merveilleux si
nous n'étions pas limités en nombre de
valeurs.
En effet, faisons un calcul simple sur un
octet :
9611111101
-3
+ % 00001010 i.e + 10
7
(1)9600000111
CALLEXEC GetMsg
;Ecrit pour Devpac ...Pour asmone ajouter
;la directive INCDIR avec le
rüpertoire
;correct et supprimer opt c+,d;exemple:
INCDIR
"Asmone:include/"
tst.l dO
beq.s cliquer_souris
rts
init_couleur
m o v e .w #max_col+l,dO
m o v e .1 ScreenEDRast,aO
lea $2c(aO),aO
lea couleur,al
CALLGRAF LoadRGB4
opt c+,dinclude exec/exec_lib.i
include
intuition/intui­
tion. i
include
tion_lib.i
i
n
c
rts
INTNAME
GRAFNAME
intnom
gfxnom
even
_IntuitionBase d e .1 0
_GfxBase
d e .1 0
,-structure Newscreen
rts
ScreenED
intuition/intuil
u
d
graphies/graphics_lib.i
xmin
ymin
equ
equ
-4*1024
-4*1024
Dx
equ
Dy
equ
max_col
8*1024/320
8*1024/256
equ 31
lea intnom(pc),al
moveq #0,d0
CALLEXEC OpenLibrary
move.l d O ,_IntuitionBase
lea gfxnom(pc),al
e
dc.w 0,0,319,256,5
En BASIC fx s'écrit
for x=319 to 0
for y=255 to 0
dc.b 0,1
d e .w 0
dc.w CUSTOMSCREEN
pset(x,y,x*x+y*y)
next y,x
d e .1 0
d e .1 ScreenEDtitre
dc.l 0
fx
m o v e .w # 319,d7
m o v e .1 #xmin,dO
d e .1 0
ScreenEDtitre d
c
"Z=f(x,y)=x*x+y*y",0
e x t .1 dO
.for_x
move.w #255,d6
move.l #ymin,dl
ScreenEDRast
ext.l dl
.for_y
m o v e .1 d O ,d2
WindowED
d e .w 0
d e .w 0
dc.l 0
even
leftedge
topedge
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
moveq #0,d0
CALLEXEC OpenLibrary
m o v e .1 d O ,_GfxBase
m o v e .1 d l ,d3
m u l s .w d 2 ,d2
muls.w d 3 ,d3
add.l d2,d3
lea ScreenED,a0
CALLINT OpenScreen
mo v e .1 d O ,ScreenEDRas t
m o v e .1 d O ,WindowEDS1
dc.w 319
dc.w 255
de .b
;detailpen
M OU SEBU TTO N S
;idempflags
;entre 0 et 31
B A C K D R O P !B O R D E R L E S S !SIMPLE_REFR
d c . l
de.1
E S H !ACTIVATE
asr.l #8,d3
asr.l #8,d3
dc.l 0
;Firstgadget
dc.l 0
bsr init_couleur
bsr fx
bsr pset_x_y_col
dc.l 0
WindowEDSl
;screen
dc.l 0
CALLINT CloseWindow
move.l ScreenEDRast,aO
CALLINT CloseScreen
move.l _GfxBase,al
CALLEXEC CloseLibrary
mo v e .1 _IntuitionBase,al
CALLEXEC CloseLibrary
rts
cliquer_souris
m o v e .1 WindowEDRast,aO
mo v e .1 8 6 (aO),aO
;blockpen
de .b 0
lea WindowED,a0
m o v e .1 WindowEDRast,aO
0
;on décale de 24-8 bits
;au lieu de 24 bits
;pour obtenir un résultat
CALLINTOpenWindow
m o v e .1 d O ,WindowEDRast
bsr cliqu'er_souris
width
height
add.l #Dy,dl
dbf d 6 ,.for_y
add.l #Dx,d0
dbf d 7 ,.for_x
rts
p s e t_x_y_co1
movem.1 d0-d7/a0-a6, - (a7)
exg d 3 ,dO
andi.w #$lf,d0
m o v e .1 ScreenEDRast,al
lea $ 5 4 (al),al
CALLGRAF SetAPen
exg d 7 ,dO
exg d 6 ,dl
m o v e .1 ScreenEDRast,al
lea $ 5 4 (al),al
CALLGRAF WritePixel
movem.1 (a7)+,d0-d7/a0-a6
;checkmark
;title
d e .1 0
bi tmap
minwidth
minheight
maxwidth
maxheight
d e .w 0
d e .w 0
d e .w 0
d e .w 0
dc.w CUSTOMSCREEN
WindowEDRast
dc.l 0
couleur
d
c
;type
.
w
$ f ,$e,$d,$c, $b, $a,$9,$8,$7,$6,$
5 , $ 4 , $ 3 , $ 2 , $ 1, $0
d
c
.
w
$1, $2, $3 ,$4, $5, $6, $7 ,$8, $9, $a, $
b,$c,$d,$e,$f,$lf
Lecteurs
PAS AU COURANT
A D re a m ,
Une série d'articles sur l'installa­
tion de Magic Workbench et de
Mui serait la bienvenue, ceux-ci
devenant des utilitaires obliga­
toires pour tout Am iga. De
même si votre revue pouvait
donner les adresses pour se
procurer ces sharewares en ver­
sion intégrale française et enre­
gistrée, ce serait bien. Autre
idée : ce ne serait pas mal
qu'un éditeur ou une revue ose
enfin consacrer un CD-Rom aux
utilitaires en versions intégrales
et francisées. Dernier point,
Gateway 2000 est-il capable de
nous sortir un Amiga utilisant les
m odes vid éo s d 'u n sim p le
moniteur Svga ? Car l'utilisation
d'un Tv me semble idiot pour le
graphisme...
Pierre, St Genix sur Guiers.
Escom ! Hé oui, Depuis le 3000,
l'Amiga peut aussi bien fonction­
ner en mode Pal qu'en mode
Svga. En l'occurrence, la faute
n'incombe pas au constructeur,
mais aux développeurs de jeux
et de démos, lesquels verrouillent
leur affichage sur un mode Pal.
A noter qu'il existe une carte
nommée Scan Doubler, pour
Amiga 1200 et 4000. Sa fonc­
tion transforme tout signal Pal
en Vga, autorisant ainsi les jeux
à tourner directement sur un
écran Svga.
écrit bien avant la sortie du
68040 Ere, il est encore persuadé
que tout 68040 dispose d'un co­
processeur arithmétique. En ce
qui concerne les pilotes pour
imprimante, nous nous sommes
efforcés d'en mettre le maximum
sur notre CD-Rom du mois. Le
connecteur de votre Blizzard est
uniquem ent destiné à l'ajout
d'un e carte contrôleur Scsi.
Lorsque vous voudrez passer au
68060 ou au Power Pc, il faudra
changer de carte accélératrice.
ANGOISSE
A LA LOUPE
S a lu t la D re a m e tte ,
Je p o ssèd e un Am iga 1200
avec carte Blizzard 040T / Ere.
J'aimerais savoir si le doubleur
de barrettes Sim m s existant
pour Pc et Mac sera com pa­
tible avec ma Blizzard (pour,
par exemple, mettre deux bar­
rettes de 8 M o). Lorsque je
demande à Cpu-Control de cal­
culer la vitesse de mon ordina­
teur, il me répond quelque
ch o se co m m e 2 7 ,7 M ips.
Pourquoi est-il alors écrit dans
votre test (Deam n°37) qu'il
d ép asse les 30 M ips ? De
même, dans l'une des captures
de vo tre test, on v o it que
Sysinfo trouve un coprocesseur
arith m étiq u e, alors que ma
carte n 'en possèd e pas.
Pourquoi ? Où pourrais-je trou­
ver le pilote de l'im prim ante
Bjc 70 de Canon ? Existe-t-il
une solution pour gonfler mon
Amiga en 060 en passant par le
connecteur d'extension de ma
Blizzard ? Et pour le Power Pc ?
Jean-Noël, Albert.
Un g r a n d b o n jo u r à to u te
l'é q u ip e ,
A propos de cartes Power-up
de Phase 5, vous avez dit que
la carte serait fo u rn ie sans
m icroprocesseur 680X0. Les
revendeurs le proposeront-ils
en option ou d evro ns-nous
nous débrouiller pour en trou­
ver dans les poubelles du quar­
tier ? D'autre part, si le 680X0
assure le fonctionnement des
programmes existants, est-ce à
dire q u'aucun jeu actuel ne
profitera de l'accélération du
Power Pc ?
Fabrice.
CULOTTE
M o n sie u r,
je vous serais reconnaissant de
copier sur les disquettes cijointes la version dém o de
Racer. Si Racer ne prend qu'une
seule des deux disquettes, merci
de bien vouloir remplir l'autre
par la démo d'un futur hit.
Alexandre, Bellegarde.
Hé bien c'est non. Pour la énième
fois : Dream est un magazine et,
malheureusement pas, un orga­
nisme de distribution de share­
wares... D'une part, nous ne vou­
drions absolum ent pas faire
concurrence aux sociétés dont
c'est le rôle et d'autre part, nous
n'en avons même pas le temps !
Donc, s'il vous plaît, cessez de
nous envoyer des disquettes
vierges et des timbres ! Vous allez
finir par vous ruiner et en plus ça
ne sert à rien. Croyez cependant
bien que nous faisons déjà l'im­
possible pour vous satisfaire, mais
dans la mesure de nos moyens :
désormais, Dream est livré avec
un CD-Rom en couverture.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Nous avons à maintes reprises
évoqué l'installation de Magic
W orkbench et Mui dans nos
pages, mais sommes sensibles à
votre requête toute justifiée.
N ous préparon s donc dès
aujourd'hui une série d'articles
sur le sujet. En revanche, il nous
est interdit de donner une liste
des adresses où l'on peut ache­
ter des lo g iciels. C eci serait
considéré comme de la publicité
et, de fait, serait sévèrement
réprimandé par la Commission
paritaire, organe essentiel de
notre indépendance. Mettre des■
utilitaires en version intégrale sur
le CD ? Autrement dit, vous vou­
driez que nous vous donnions
gratuitement des logiciels dispo­
nibles uniquement à la vente ?
Ca s'appelle du piratage et nous
ne voulons absolument pas en
entendre parler ! Gateway 2000
est tout à fait capable de sortir
un Amiga exploitant les modes
graphiques Svga... Comme l'ont
d'ailleurs été Com m odore et
Le doubleur de barrettes mémoire
proposé sur le marché du Pc est
tout à fait compatible avec votre
carte Blizzard. Cpu-Control calcu­
le la vitesse de votre ordinateur
avec le multitâche activé, pas la
vitesse effective du microproces­
seur.
D 'où
la
nuance.
Effectivement, le co-processeur
arithmétique est absent dans un
microprocesseur 68040 Ere (éco­
nomique - recyclé). Et si Sysinfo le
croit pourtant présent, c'est parce
que ce logiciel de test est bogué :
Effectivement, par soucis d'éco­
nomie Phase 5 distribuera ses
cartes sans 680X0. Néanmoins
ces mircoprocesseurs, indispen­
sables au bon fonctionnement
de la machine (au moins dans
un premier temps), seront dispo­
nibles soit auprès des revendeurs
de la carte Phase 5, soit auprès
de distributeurs de composants
électroniques (beaucoup moins
cher). Aucun des logiciels
actuels, qu'il s'agisse d'un jeu ou
d'un outil de Raytracing, ne pro­
fitera de l'accélération du Power
Pc. En effet, le Power Pc est tota­
lement incompatible avec le jeu
d'instructions 680X0 ! Au pire, il
faudrait passer par une émula­
tion, ce qui ralentirait dramati­
quem ent l'o rd in a te u r ! Tout
comme sur Macintosh, le Power
Pc est un microprocesseur bien
plus rapide que le 680X0, mais
afin de profiter du gain de vites­
se, il faut des logiciels spéciale­
ment écrits pour !
BOOSTER SON 600
C h è re D re a m e tte ,
Quelles seraient les effets, si
elle existait, d'une Rom 3.1 sur
mon Amiga 600 (68020 à 25
Mhz, 8 Mo de Ram). Quelles
résolutions peut-on obtenir
avec la carte Grafity sous Ecs ?
Microcosm est-il sorti sur Cdtv ?
Xavier-Alexandre, Audruicq.
La Rom 3.1 existe belle et bien
pour Amiga 600, on peut se la
procurer auprès des distributeurs
de Village Tronic et d'Amiga
International. Il s'agit essentielle­
ment d'une mise à jour du systè­
me qui rend votre ordinateur
plus compatible avec les périphé­
riques (lecteurs de CD-Rom, etc.)
et les logiciels actuels. Comme il
était dit dans notre test; la carte
Graffiti n'apporte aucune résolu­
tion supplémentaire mais permet
juste de faire croître le nombre de
couleurs à l'écran. Par exemple,
un Amiga 600 pourra enfin affi­
cher du 320x256 en 256 cou­
leurs. Les principaux logiciels
•
exploitant les caractéristiques de
cette carte sont pour l'instant
Shapeshifter
(ém ulateur
Macintosh) et Nemac IV (DoomLike). Bien que prévu, Microcosm
n’est jamais sorti sur Cdtv.
CHERCHE DP
C h e r D re am ,
Dans votre n°39, vous avez
mentionné le jeu Le solitaire
dans la ru b riq u e D o m ain e
public. Où pourrais-je le com­
mander ? Et à quel prix ?
Fabien, St Gilles Croix de Vie.
Petit rappel. Le solitaire dont nous
avons parlé est un shareware, ou
logiciel du domaine public.
Concrètement, cela signifie qu'il
est possible de s'en procurer une
version gratuitement. La version
en question est disponible chez les
revendeurs de Dp, lesquels ne
vous facturent que le coût de la
disquette et de l'envoi. Bien
entendu, ces revendeurs passent
de la publicité dans Dream et
nous vous invitons à consulter
leurs pages pour obtenir leurs
coordonnées. Autre source pour se
fournir en Dp : Internet. Les utili­
sateurs d'Amiga ont la chance
unique d'avoir un site Internet sur
lequel on peut trouver absolu­
ment TOUS les Dp Amiga, Aminet
le bien nommé. Sur les autres
machines, il faut jongler entre des
millions d'adresses Internet pour
avoir une vague chance de trou­
ver l'objet de toutes les convoi­
tises. Enfin, depuis qu'un CD-Rom
est offert en couverture de Dream,
nous nous efforçons de vous four­
nir toute l'actualité du Dp mois
après mois. Mais il nous faudrait
au moins cinq années pour vous
offrir ne serait-ce que le parc de
Dp déjà existant !
Une autre chose qui m'a fait
sursauté, c'est le test d 'Hugo.
Sans vouloir être vexant, je suis
presque sûr d'y avoir joué il y a
au m oins deux ans chez un
ami ! Enfin, dans le dossier
Tous incompatibles, vous dites,
je cite : "A son époque,
l'Amstrad Cpc rivalisait de puis­
sance avec le Pc... Pour quatre
fois plus cher I". Le Pc quatre
fois moins cher qu'un C pc ?
Ce n'est pas plutôt l'inverse ?
Surtout que l'Amstrad avait un
m eilleur son et de meilleurs
graphism es que le Pc... Pour
finir, voici une petite anecdote
sur Ibm. j'ai acheté un Ibm Pc
en 1993 et, dans toutes ses
d o cs, Ibm avait tra d u it To
select (sélectionner en anglais)
par Sélecter. A u cu n e faute
d'accord, de temps ou d 'o r­
thographe dans les docs, juste
un verbe qui n'existe pas. Ça
m 'a v a it bien fait rire, à
l'époque. Mais le pire, c'est
que dans les dernières pubs
d 'Ibm qui passent a ctu e lle ­
ment à la télé, on lit sur un
écran, de manière bien visible
à côté du curseur qui clignote,
un bouton "Sélecter". Il fau­
drait peut-être leur dire ?
Adrien, Versailles.
disponible pour le grand public.
Mai 97, Hugo connaît une der­
nière résurrection : il sort enfin
en disquettes pou r le gra n d
public. Raison pour laquelle nous
avons décidé de le tester dans
notre précédent num éro. La
légende qui prenait place sous la
photo d'un Cpc 664 était à l'ori­
gine : " A son époque, l'Amstrad
Cpc rivalisait de puissance avec
le Pc, lequel coûtait quatre fois
plus cher ! ". Malheureusement,
les besoins de la mise en page
ont écourté cette phrase et le
sens en a été involontairement
inversé. Encore toutes nos
excuses. Votre anecdote nous a
bien fait rire.
MOI AUSSI, J'ECRIS
S a lu t à to u te l'é q u ip e ,
je profite de l'envoi de mon
coupon pour vous exprim er
mon soutien. En effet, je ne
connais aucun autre magazine
qui regorge autant de savoir et
d'informations utilisables que
le vôtre. Une petite remarque :
j'ai lu que vous pensiez diffuser
sur votre C D des u tilitaire s
pour Mac. Connaissant bien la
mentalité des défenseurs de la
Pomme, je pense que ceux-ci
ne s'intéresseraient que peu à
Dream, qui ose parler de Linux
et BeOS. Enfin, je me permets
F o r u m
Dream est édité par Posse Press,
SARL au capital de 250 000 francs,
16, rue de La Fontaine au Roi, 75011
Paris.
Directeur de publication :
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Tél : 01 53 36 84 25
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12h30)
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On collaboré à ce numéro :
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Vincent Oneto, Yann Serra, Frédéric
Peschanski, Richard Thibault, jakub
Zimmerman.
Directeur artistique :
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Tél : 01 53 36 84 28
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I er rédacteur graphiste :
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Fabrication
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est faite sans aucun but publicitaire
et ne signifie en aucun cas que les
procédés soient tombés dans le
domaine public.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
CAUSTIQUE
C h e r D ream ,
Ce qui a le plus motivé cette
lettre, c'est la publication de la
photo d'une démo (page 60
du dernier numéro) très inspi­
rée d'une excellentissime BD,
Le grand pouvoir du Schninkel.
Pourriez-vous me rappeler les
auteurs de cette dernière ?
Les auteurs du Grand pouvoir du
Schninkel sont Rosinski pour le
dessin et Van Hamme pour le
scénario. A noter qu'ils sont éga­
lement les auteurs d'une série
culte, Thorgal. Pour tout avouer,
nous aussi nous avons été sur­
pris de recevoir Hugo en test, car
toute la rédaction se souvient de
l'avoir vu tourner il y a sept ans
sur Amiga 1000.
Renseignements pris, nous avons
élucidé le mystère : Hugo est un
jeu sorti en 1990 pour l'utilisa­
tion exclusive de la télévision
danoise. Mais des pirates en ont
fait circuler des versions dans
toute l'Europe à l'époque. Hugo
était alors constitué de trois
titres répartis en 24 disquettes !
Fin 1994, la télévision française
rachète le concept et tous les
Amigaïstes se souviennent que le
produit tourne sur leur machine.
Dream réalise même un reporta­
ge, mais le jeu n'est toujours pas
Chers lecteurs,
le forum lecteurs
de Dream est
votre rubrique !
Surtout, n'hésitez
pas à nous poser
vos questions
émettre vos
critiques ou
commentaires,
nous nous ferons
un plaisir de vous
répondre
Abientôt
,
.
Dream/forum - 16, rue de La
Fontaine au Roi 7501 1 Paris
posse.
F o r u m
•
Lecteurs
de vous proposer mes services
pour écrire un article sur le
Power Pc., aussi n'hésitez pas à
me contacter si vous êtes inté­
ressés.
Ghislain, Cuers.
Si nous avons évoqué le fait de
rajouter des applications Mac
sur notre CD-Rom, cela n'a tou­
jours été qu'un conditionnel
imagé. Notre propos était de
dire que Dream tend à couvrir
toute l'actualité de l'inform a­
tique altrenative. Mais le cas du
Mac est particulier : ce n'est pas
un compatible Pc et ce n'est pas
non plus un ordinateur à propre­
ment parler alternatif. Ce qu'il
fallait comprendre en lisant l'ar­
ticle du mois dernier c'est que,
peut-être un jour, nous aurons
quelque chose à apporter au
Mac, si ce jour-là lui aussi tombe
dans les méandres de la clan­
destinité. Quelques petites préci­
sions quant à l'appel aux lec­
teurs (toujours d'actua lité) :
envoyez-nous directement vos
a rticles sur disquette. Les
m eilleurs seront p u b lié s et
gagneront un abonnement.
qui dépannera bien Eric. En ce
qui concerne la compression, il
faut savoir que le Dms est un
format de compression de dis­
quettes, au contraire du Lha qui
compresse une arborescence de
fichiers sur le disque dur. Il se
trouve que toutes les contribu­
tions que nous recevons sont sur
disquettes et que, dans la plu­
part des cas, il s'agit d'applica­
tions prévues pour dém arrer
toutes seules lors du boot. C'est
afin de préserver cette fonction­
nalité que nous avons opté pour
le Dms.
A CHACUN SON W IN D O W
MANAGER
C h e r D re a m ,
Depuis peu, j’ai installé Linux
sur mon pc et je peux dire que
ça change des bugs pondus à
Redmond ! J'ai donc une petite
question : existe-t-il une façon
de faire coexister deux Window
managers sans devoir à chaque
fois changer la dernière ligne
de mon .xinitrc ?
Patrick.
Petites
Fvwm95) echo "exec
fvwm95~2" »
.xinitrc ;
break ;;
esac -*
annonces
V e n te s
- *
done
/usr/Xll/bin/startx
# FIN DU SCRIPT STARTWM
>Indique un retour ligne
Le prin cip e de ce script est
simple. Tout d'abord, on crée un
nouveau .xinitrc (sans lancement
de window manager) à partir de
.xinitrc.template. La commande
select permet de choisir le win­
dow m anager en tapant son
numéro dans la liste. Suivant la
réponse, la ligne de lancement
du window manager est ajoutée
au .xinitrc et on lance startx, la
commande standard pour lancer
X Window depuis le mode conso­
le. La morale de l'histoire : on
peut pratiquem ent tout faire
avec le shell !
LINDOWS NT ?
J’aimerais savoir comment faire
cohabiter Linux, Win NT4.0 et
Win95, soit l'OS loader de NT et
Lilo.
Thomas.
Vds A l 200 Tower ; Cd Rom
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D D 80 Mo / C D -Rom /
Moniteur .... : 3 000 Frs + Port
Max : 0555 843208 / PI 50 24 Mo - 2, 4 Go / 15 " .... à
débattre ... URGENT......
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
PROBLEME DE COMPRESSION
B o n jo u r,
Pourquoi est-ce que les contri­
butions de vos lecteurs sont
mis sur le CD avec une com ­
pression Dms au lieu du célèbrissime Lha ? A propos d'une
q uestion récem m ent posée
dans les co lo n n e s de votre
forum, à propos de l'utilisation
d'un m oniteur Am strad C pc
sur A m iga, vo ici une petite
bidouille. Il suffit d'ouvrir le
boîtier du moniteur et, à l'aide
d'un petit tournevis, de régler
cinq petits variateurs (un pour
le rouge, deux pour le vert et
deux pour le bleu). Ces varia­
teurs sont situés au bout du
tube cathodique. La manipula­
tion est sans danger aucun :
j'ai moi-même utilisé ce moni­
teur pendant des années sur
A m ig a , sans co n n a ître le
moindre problème !
Olivier, St Egrève.
Mille mercis pour cette bidouille
Connaissez-vous le shell et ses
capacités infinies en matière de
programmation ? Voici un petit
script très simple qui permet de
choisir un Window manager.
Bien sûr, ce script est minimaliste, n'hésitez pas à l'améliorer !
La première chose à faire est de
créer un fichier .xinitrc. template
qui est votre .xinitrc actuel sans
la dernière ligne (la ligne exec
window manager). Voici le sour­
ce du script startwm :
$ cat startwm -►
# DEBUT DU SCRIPT STARWM *
#!/bin/bash »
echo
"Lancement
de
X-
Window" -*•
echo "" >
cp
.x i n i t r c .template
.xinitrc ->
select wm in Afterstep
"Fvwm" "Fvwm95" -+
do -*■
case $wm in
Afterstep) echo
"exec
afterstep"
>>
.xinitrc ; break ;; ->
-*■
fvwm" »
Fvwm) echo "exec
.xinitrc ; break
Autrement dit, vous utilisez Win­
dows 95 pour jouer, linux pour
travailler mais ...A quoi vous sert
Windows NT ? Trêve de plaisante­
rie, il n'est pas possible de mettre
deux loaders sur les secteurs de
boot de votre premier disque dur.
En général, les boot managers
fournis avec les systèmes com­
merciaux ne reconnaissent prati­
quem ent que ces systèmes.
Cependant, il existe d'autres loa­
ders qui marchent pour la plupart
des systèmes mais ce sont encore
des produits commerciaux. Il exis­
te deux documentations sur le
sujet : Lin u x+ W in N T et
Linux+W inNT++ qui sont dans
les mini-howtos (sur le cd de
dream 41, dans les documenta­
tions en anglais). On reste cepen­
dant dans le dom aine de la
bidouille. La solution la plus
simple consiste à utiliser une dis­
quette LILO, le chargement est
très rapide et cela marche à tous
les coups.
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Paris. La vente ou l'échange de logiciels concerne uniquement les
originaux. Dream se réserve le droit de refuser toute annonce. Rubriques : □ achats J ventes □ contacts - Système : □ Amiga
□ Linux J autre
1
1
1
1
1
P
I
f
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l
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j
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1
1
l
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G
h
-------
,
Les mois se
suivent et se
ressemblent i II ËÊ
faut croire que le
rachat de
l'Amiga par
Gateway 2000 a
donné des ailes
aux développeurs
et aux éditeurs
qui reprennent
confiance en
l'avenir de la
machine. Une
autre tendance se
confirme : le
retour des jeux
d'aventure ! Plus
beaux et plus
intéressants, ils
reviennent en
force pour notre
plus grand
plaisir. Toute
l'actualité des
jeux Amiga en
large et en
travers.
A venir
evoilà Genetic species,
que nous vous avons
le mois dernier,
avec de nouvelles images et, la
chose est de moins en moins
courante, une démo pour vous
perm ettre de vous faire une
idée sur le Cd du mois. Pour
l'essayer, il vous suffira de
décompresser le fichier aagenesp.lha. Quelques précisions
supplémentaires au sujet des
spécifications techniques pour
continuer de vous faire baver :
Amiga 020+, AGA, et minimum
8 Mo de Ram. Genetic species,
nous promet-on, devrait tirer
parti de tout ce que vous pou­
vez lui donner en term e de
matériel ! Une date de sortie a
é g a le m e n t été avancée :
octobre. Espérons que Vulcan
tiendra les délais !
• Les jeux d'aventure sont de
retour, com m e nous l'exp li-
Gilbert Goodmate.
quions dans cet édito. Preuve
en est Gilbert Goodmate, de
Prelusion. Le véritable titre
devrait en fait être Gilbert
Goodmate et le champignon de
Phungoria. L'histoire commence
lorsqu'un champignon dange­
reux est soustrait à la garde de
votre grand-père. La peine de
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Genetic species.
Où est mon champignon ?
mort prononcée contre lui vous
donne le courage nécessaire à
affronter les dangers qui vous
menaceront au cours de cette
aventure dont le but est évi­
dem m ent de retrouver le
champignon. Délectez-vous de
ces superbes images !
• Autre jeu d'aventure en pré­
paration, In shadow of time, de
Shadows elks (un groupe de
développeurs suédois), devrait
faire son apparition d'ici à Noël.
Nos camarades suédois n'en
sont pas à leur coup d'essai,
mais leurs autres logiciels n'ont
jamais dépassé leurs frontières,
et n'ont connu là-bas qu'un
succès d'estime. A en croire les
graphismes, In shadow of time
devrait pour sa part être
capable de devenir une nouvel-
In shadow of time.
I
o
i
«I
I
Les 3 règles d’or de Dream Games
2. Tous les envois se font dans les 24H suivant la réception de la commande.
3. Si ce que vous commandez n’est plus de stock, nous vous en informons.
DREAM GAMES - 9 rue Duwez - 7500 TOURNAI - Belgique
Tél / Fax : France : 1932 69226546 - Belgique : 069 226546
Ouvert du lundi au samedi de 10H30 à 19 H00
In shadow of time.
le référence dans le genre !
• Dans un tout autre genre,
mais particulièrement apprécié
à la rédaction, Vulcan nous pré­
pare Pinball brain damage, qui
proposera deux tables en haute
dant au nom de Underground
software. Il s'agit encore d'un
jeu d'aventure, mais très orien­
té action, et assez proche d'un
film. En fait, Golem le jeu n'est
qu'un moyen de faire connaître
P ro F itez-en v ite !
Ficid Flttack
M anie M ayhem
Boadkill+Fears+ Legends Skidmorks+ Guardian+ G/oom
99 FF/5 9 9 FB
99 F F / 5 9 9 FB
Prix en francs français / Prix en francs belges
Pinball brain damage.
Fubar.
résolution et en 3D. Gageons
que la jouabilité sera au rendezvous...
• En ce qui concerne les ama­
teurs de stratégie, Fubar de Qgroup devrait être... disons un
mélange de Nord et sud, de Risk
et de Givilization. L'objectif,
s'emparer du monde et déga­
ger vos adversaires de façon
sanglante. C 'est pas un jeu
pour minettes ça, madame !
Normalement prévu pour deux
joueurs, la version finale devrait
perm ettre de jouer à 4 sur
internet.
•Enfin, le produit le plus nova­
teur que nous attendions s'ap­
pelle Golem, et est développé
par un groupe italien répon-
leur moteur de décompression
d 'a n im a tio n s et de lecture
XFL96. Ce dernier est, paraît-il,
capable d'afficher des anima­
tions en 3 20 x2 00 x25 6 co u­
leurs plus rapidement que des
fichiers Avi, Mpeg ou Quicktime
sur un 1200. Renouveau des
jeux et renouveau des techno­
logies semblent désormais aller
de paire !
NF : notice en français - VF : version française intégrale - EF : jeu en français à fécran
69 / 450
Banshee VF AGA - 92% (Dream)............
199/1199
Bloodnet NF.............................................
69 / 450
Bob’s Bad Day NF...................................
9 9 /5 9 9
Bubble & Squeak....................................
99 / 599
Civilization................................................
99 / 599
Coala Al2 0 0 ............................................
99 / 599
Colonization EF - 89% (Dream)..............
69 / 450
DragonStone NF......................................
99 / 599
Dune.........................................................
99 / 599
Dune II........................................... ..........
6 9 /4 5 0
Fears A1200 - 92% (Dream)....................
9 9 /5 9 9
Fields of Glory.........................................
9 9 /5 9 9
Fifa Soccer.......................................... —
4 9 /2 9 9
Football Glory A1200 - 90% (Dream) .
9 9 /5 9 9
Formule 1 Grand Prix (Microprose).......
4 9 /2 9 9
Gloom A1200 - 92% (Dream)................. .
6 9 /4 5 0
Heimdall II VF AGA - 92% (Dream)........
199/1199
Help - 95% (Dream)................................ .
149 / 899
Humans III AGA NF - 93% (Dream)........
9 9 /5 9 9
KGB...........................................................
69 / 450
Legends EF A1200 - 90% (Dream)
.
7 9 /4 9 9
Minskies - 88% (Dream)......................... .
7 9 /4 9 9
Odyssey - 88% (Dream).......................... .
9 9 /5 9 9
Overdrive NF............................................
199/1199
Pinball Dreams + Pinball Fantasies NF,
199/1199
Pinball Illusions AGA NF........................ .
199/1199
Pinball Préludé - 97% (Dream)................
9 9 /5 9 9
Railroad Tycoon.......................................
4 9 /2 9 9
Roadkill A1200 - 90% (Dream)...............
7 9 /4 9 9
Road Rash................................................
69 / 450
Skeleton Krew AGA NF........................... .
7 9 /4 9 9
Super Skidmarks - 92% (Dream)
......
7 9 /4 9 9
Super Tennis Champs..............................
99 / 599
Syndicale EF.............................................
99 / 599
Tneme Park EF A1200 ou A500/600 94% (Dream)
9 9 /5 9 9
UFO EF - 89% (Dream)......................
79 / 499
Universe VF - 93% (Dream).......
Virocop NF A1200 ou A 500/6 00...... •••••••••«••••••••••••••••••••••••••••••••••••a 199/1199
79 / 499
Virtual Karting - 85% (Dream)...........
199/1199
XP8........................................................
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
BON DE COMMANDE PAR CORRESPONDANCE
Nom et prénom :
Adreue :......
CP + Ville : ....
□ J e désire recevoir gratuitement et sans engagement le catalogue.
□ J e commande le(s) tifre (s) suivant(s) :
Titre
Golem.
QuantitéPrixunit. Total
1
►
Fraisdeport : 1- 100FB,2- 120FB,3- 14QFB-------------- -—
1-3ÛFF, 2-35FF, 3-40FF(Colissimo:24H/48H)
GrandTotal
Paiement : □ Chèque■□ Mandat postal■□ Contre-remboursement „yH orr / 67T0
pc w
Les dém os de l'été
►” SUXX«< ^ S i c ^
Sous ce soleil de plomb , offrez donc un rafraîchissement mérité
à votre Amiga : donnez-lui des démos ! Et pour vous, qui avez
travaillé toute l'année , offrez-vous des vacances bien méritées
en visitant, par exemple , les démos-partys que nous vous
proposons dans l'Agenda...
Du concentré d'énergie.
T h u g Life
ESSENCE
ESSENCE
T
H
U
G
L
I
uite et fin de la Symposium 97, voici
la démo qui est arrivée à la troisième
place. On reconnaît bien là notre
petite équipe française, ex-Skarla. La 3D
est comme toujours à l’honneur, avec des
scènes complètes et des gros objets com­
p le xe s. On y
tro u ve é g a le ­
ment quelques
effets bitm aps,
c o m m e des
tunnels, le tout
b a ig n a n t dans
des
p alettes
c o l o r é e s . Il
manque tout de
même une cer­
taine coordina­
tion entre tous
ces effets. Les
d é m o s
d'Essence se sui­
vent et se res­
semblent... Une
ve rsio n fo n c -
C'est une fleur ?
d'im ages sur des surfaces diverses, ainsi
qu'un bump avec un très beau rendu. Une
Démo AGA, disque dur (2,5 Mo) et 6 Mo
de mémoire Fast obligatoires.
S
F
E
Code : lamie
Musique : Marvin
Graphisme : Norm, Momo et Horus
tionnant correctement avec les cartes 040
et 060 devrait être disponible à l'heure où
vous lisez ces lignes.
Dém o A G A , d isqu e dur (3,5 Mo) et
mémoire Fast obligatoires.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Prêt ? Partez !
Code : NoName
Musique : CDK et Marc
Graphisme : jC S
ette d é m o - c i nous v i ent
d'Allem agne, de la Siliconvention
plus précisément, une démo-party
qui s'est tenue fin mars à Brème. C'est une
démo très agréable, mais attention car cer­
taines parties ne sont que de pures anima­
tions précalculées. A utrem ent, vous y
d é c o u v rire z des belles d é fo rm a tio n s
C
Et on peut se voir dedans !
lièrement bien réalisés, et qui sortent un
peu de l'o rd in a ire pour ce rtain s : un
double Bum p, un spot qui éclaire une
image, un torus dont les faces sont trans­
parentes, un cube en Motion-Blur, puis sa
réflexion sur une bouteille, des particules
magnétiques en Shade... Une bien belle
production.
Démo AGA, en un fichier exécutable (3,7
Mo), mémoire Fast obligatoire.
Code : Musique : Graphisme : 'est de plus
en plus rare,
m ais cette
démo contient un
bon nom bre de
graphisme, et ceci
est fort appréciable.
La musique, plutôt
funky, entraine avec
elle une petite dizai­
ne d'effets particu-
agenda
♦
K in d e r g a r t e n 9 7 :
♦
Rage 97 :
♦
S CC :
♦
W ir e d 9 7 :
du 3 au 6 juillet, à Oslo, eu No/vège.
Renseignements par Email à :
([email protected]
du 4 au 6juillet prochain, à Budapest en
Hongrie. la deuxième édition de cette partie
hongroise. Compétitions prévîtes pour
Amigaf PC et C64.
Renseignements auprès du groupe
Enlightenmenî par Email à :
[email protected]
du 4 au 6 juillet également, à Kopin g en
Suède. (7ne démo-party organisée par les
groupes Fairlig/ity Obscene et Stop.
Compétitions prévues pour .1miga, PC et
CM.
Renseignements par Email à :
scc_org<@hotu/ail. corn
C
du IS au 20 juillet, à Wasmes en Belgique
(tout près de Mous). Là aussi, des
compétitions sont prévues pour PC, Amiga et
C64. Renseignements par Email à :
[email protected]
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Deoort
Ceci est une particule.
chose de plus abouti.
Dém o A G A , d isq u e dur (2 ,5 M o) et
mémoire Fast obligatoires.
♦
E u sk a l 5 :
du 25 au 27 juillet, à And nain, en Espagne.
Code : Zig
Musique : Revisq
Graphisme : Famé et Zig
loppy est un sym pathique groupe
polonnais très productif, mais leurs
p ro d u ctio n s ne sont jam ais d'un
niveau excellent. C'est encore le cas ici
avec "Déport" : il y a bien quelques effets
qui tiennent la route, comme une scène en
3D mappée, un objet en Phong, un effet
de double tunnel, mais rien en fait qui
puisse nous faire briller les yeux d'admira­
tion. Peut-être devraient-ils plus se concen­
trer sur leurs projets, et réaliser quelques
Tiens, une faute : ça s'écrit "femme"...
F
S o c c e r Goes C r a z y par I n d u s t r i a l B r o t h e r s
Ce n'est pas à proprement parler une démo, mais plutôt une suite d'animations en 2D.
Originellement, elles faisaient même partie d'une Wild Démo qui avait été présentée à
The Party S, et cette partie est maintenant disponible sur Aminet. Le contexte est un
match de football, comme vous l'aurez compris de par le titre.
Un match plutôt mouvementé, ou tout et n'importe quoi (surtout n'importe quoi) peut
arriver... Certes, la réalisation n'a rien à voir avec un bon Disney, mais la caricature est
vraiment à hurler de rire ! A voir au moins une fois dans sa vie, si on ne veut pas
m ourir idiot...
Jeux
test
X-scavenger
tous les "diamants" d'un niveau. Une fois
tous les diamants en sa possession, notre
valeureux héros voit une échelle apparaître
qu'il doit rejoindre pour accéder au niveau
suivant.
T o u t co m m e Lo d e ru n n e r
La première difficulté du jeu réside dans la
configuration des niveaux. Il n'est pas rare en
effet que certains diamants ne soient acces­
sibles que d'une seule et unique façon. Il faut
donc prendre le temps d'étudier le terrain
avant de foncer tête baissée. C'est ce qu'on
appelle un jeu de réflexion... L'autre difficulté,
majeure pour la plupart d'entre nous dont
l'esprit logique ne devrait pas avoir trop affai­
re avec la majorité des niveaux, réside dans la
présence d'enquiquineurs. Ces derniers vous
ressemblent presque comme des frères (de
couleur différente, c'est du racisme ?), et
n'ont de cesse de venir droit sur vous,
assez bêtement il faut le dire. Ils sont telle­
ment bêtes qu'ils tombent la tête la pre­
mière dans tous les pièges que vous pou­
vez creuser en chemin. Parfois même, il
leur arrive de s'y retrouver enterrés ! Ils
sont donc idiots, mais nombreux et, forcé­
ment, ils gagnent souvent... Pire encore,
ces coyotes n'hésitent pas à prendre des
diamants en vous poursuivant, et ne les
abandonnent que lorsqu'ils tombent dans
vos pièges. Autrement dit, ils arrivent sans
par D a vid A s h le y
L'un des tout premiers jeux de
réflexion-action fait son comeback dans le monde du jeu
vidéo grâce à Linux et à David
Ashley. A consommer sans
modération !
-scavenger, c'est le petit nom de Lode
runner sous Linux. Rappelons que ce
grand classique du jeu vidéo fait parti
de ce que l'on appelle communément un jeu
de réflexion-action. Pour être plus clair, dans
X-scavenger, vous contrôlez un petit person­
nage vu de profil qui cherche à s'emparer de
X
LEVEL 0123
BE5T Q0DQ0
BQKU5 05400
LEVEL 0005
5CDRE 00500
BE5T D845U
aEZ3CDCZ3CD£
n;— !■
— v v— n—i r i r - i n i - i r- i
PLRYER:PE5EH
Mais où sont les ascenceurs 1
même le vouloir à gâcher (et parfois à faci­
liter) la.réalisation de vos plus beaux plans !
En plus d u r et en plus co m p le t
Globalement, et parce que les niveaux sont
particulièrement bien réalisés, X-scavenger est
plus difficile (et donc plus passionnant) que
son ancêtre. Certains sont même tellement
difficiles que les meilleurs d'entre nous s'y
sont cassés le nez... Et ce n'est pas tout, car
vous disposez, comme d'habitude sur Linux,
des sources du programmes, afin de l'amélio­
rer. Mieux encore, le développeur a eu la
gentillesse et l'intelligence de nous mâcher le
travail en ajoutant un éditeur de graphiques
et un éditeur de niveaux. L'éditeur de
niveaux a été particulièrement bien pensé, et
vous devriez être capable de faire vos propres
niveaux en un tournemain. L'éditeur de gra­
phiques est également exceptionnel, et vous
permet pratiquement toutes les fantaisies
sans difficultés. Vous pouvez ainsi aisément
changer le fond d'écran, créer le vôtre, mais
aussi (et surtout), retravailler tous les élé­
ments du jeu, tant au niveau des couleurs
que de la forme elle-même, et au pixel près !
U ltra -in d isp e n sa b le
C'est sûr, à le voir comme ça en quatre cou­
leurs à l'écran, X-scavenger ne donne pas
vraiment envie. Et pourtant, sans proposer
grand chose de novateur, la qualité des
niveaux (hormis leur esthétique) est exem­
plaire, et les deux éditeurs fournis suffisent à
rendre X-scavenger indispensable à tous les
linuxiens. Les plus anciens d'entre vous y
joueront même très certainement avec un
léger pincement au cœur. Une touche de
nostalgie n'est jamais pour déplaire...
Cem
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
PLAYER:PESCH
Certains niveaux sont diaboliques.
[?; X Scavenger by David Ashley 1997
LEVEL
n i—
ii
5 00000
5 00000
0006
it
it
ii
ii
ii
ir ' il
ii
5CQRE £5500
BDHU
BE T
ir
il
n
ii
n. : n ni
ir~~ir
il
ii
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ir ~ in
.
S S ra iflH t z j
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n
n i— ii— ii— ii— ii— ir
m æ
ii
v tW
mmmÊSmca
n ~ir 1n " ii
ir
X-scavenger
rr.
ir n
u
il
il
u: ~ii
5
PLRYER:PE CH
Fred Pesch au niveau 6 : un véritable exploit !
n
il
il
il
ir
in
En hausse
Les deux éditeurs, les niveaux bien
pensés.
En baisse
Le choix des touches de contrôle,
l'esthétique des niveaux.
Note
★ ★ ★ ★ ★
H id d e n t r u t h
Sad en ess s o ftw a re
L'encyclopédie des ovnis, du paranorm al
et des monstres existe. Dream l'a rencon­
trée pour vous...
cherchez à en savoir plus sur les
ovnis, les X-files, les boules de cristal,
les tueurs en série, les appareils top
secret, le watergate et ses cousins ? Ou
encore, plus simplement, vous souhaitez
apprendre à faire une bombe nucléaire ?
Alors n'hésitez pas à vous procurer Hidden
truth ! Ce CD est en fait une compilation
organisée de nombreuses, très nombreuses
pages html (internet) sur ce type de sujets
hauts en couleurs. On y trouve six rubriques
(science-fiction, curiosités humaines, ovnis,
espace, secrets gouvernementaux, paranor­
mal), elles-mêmes découpées en plusieurs
sous-rubriques, et ainsi de suite.
C o m m e su r le w e b
L'intérêt des liens est, objectivement, assez
aléatoire, mais on tombe parfois sur de véri­
tables m erveilles, com m e cette galerie
d'oeuvres signées Giger, une bédé X-files ou
encore une compilation de plu­
sieurs centaines de photos d'ovnis... Malheureusement, certains
des liens croisés (liens qui font
appel à d'autres pages web) ne
fo n ctio n n e n t que si vous êtes
"online". L'avantage, par contre,
c'est que, comme il s'agit d'une
compilation de pages web, vous
pouvez utiliser ce cd-rom sur
n'importe quel type d'ordinateurs,
du mom ent que vous disposez
pour ce dernier d'un brow ser
web. Notez également que cer­
tains sont fournis en version sha­
reware : Aweb p our A m ig a ,
lexplorer pour Pc et Mac. Une compilation
qui devrait ravir ceux d'entre vous qui
aiment le surnaturel, le paranormal et tout
ce qui va autour. Surtout s'ils n'ont pas
d'accès internet !
Gem
nous ressortent un jeu pour A500 datant de
1994. Old timer a évidemment été remis au
goût du jour, en version Aga et sur Cd-rom,
mais le manuel et le jeu restent pour leur
part
dans
la
langue
o rig in a le .
Malheureusement...
G e stio n à l'a lle m a n d e
Dans Old timer, vous retournez un siècle en
arrière, et vous retrouvez à la tête d'une peti­
te société qui se lance dans la fabrication du
véhicule qui allait révolutionner le monde :
l'automobile. Débutant avec un peu d'ar­
gent et beaucoup de bonne volonté, il vous
faudra être polyvalent et
exce lle n t gestio n n a ire.
Après avoir construit diffé­
rents bâtim ents (atelier
d'assemblage, centre de
recherche, entrepôts...), il
faudra acheter des pièces,
développer de nouveaux
moteurs, châssis et carros­
series, mettre au point
des prototypes, les tester,
et enfin les ven d re.
Globalement cependant,
ces modules n'interagis­
sent pas véritablem ent
entre eux, et ne font que
se suivre de façon linéaire.
Ainsi, vous commencez par développer des
pièces ou en acheter, vous assemblez ensuite
un prototype, vous le testez, et enfin, vous le
com m ercialisez... Un peu rudimentaire,
d'autant que la concurrence n'est pas spé­
cialement active.
V o y a g e au pays des a u to s
Au final donc, Old timer est un jeu de gestion
loin d'être désagréable et permettra à la plu­
part d'apprendre nombre de choses sur l'au­
tomobile et son évolution. Mais à cause
d'une interface un peu lourde, et parce qu'il
manque de "piquant", ce sont principale­
ment les amateurs de voitures anciennes qui
se feront plaisir. Les autres risquant de se las­
ser assez rapidement.
Remerciements à Phoenix DP
Gem
Tous sur X-Fi les.
Hidden truth
En hausse
M u ltiplateform e sans soucis, bien
organisé et bien pensé.
En baisse
V Aweb pour amiga, lexplorer pour Pc et
M ac, ce rta in s lien s ne fo n ctio n n e n t
qu'online.
Note
★ ★ ★ ★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Des illustrations de Giger.
Old timer
M ax d esign
Vous voulez de la gestion ?Vous voulez
de la stratégie ?Vous voulez un peu
d'arcade ? L'allemand ne vous fait pas
peur 1 Alors essayez-vous à Oldtimer !
||os camarades allem ands de Max
I m i design soutiennent l'Amiga depuis
^■longtem ps. Pour continuer de pro­
poser des jeux à moindre coût, les voilà qui
Quel beau châssis !
Old t im e r
En hausse
A Voyage dans le monde merveilleux de
la vo itu re de co lle ctio n , gra p h ism es
agréables, durée de vie.
En baisse
▼ Langue, trop linéaire, interface peu
efficace.
Note
★ ★ ★
4 Z o n e
lit
1 t.
k
f
Microstory
Apple, culte
d'une personnalité
Nous inaugurons ce mois-ci une nouvelle rubrique , l'histoire de
la micro. A tout seigneur; tout honneur ; Apple est le premier à
honorer ces quelques colonnes.
sances en gestion nécessaires.
Les deux garçons finissent par tomber d'ac­
co rd sur le nom d 'A p p le C o m p u te r.
Contrairement à la légende qui veut que
Steve, fatigué de ne trouver aucun nom,
ait crié en regardant le verger de son père
"si dans vingt minutes nous n ’avons pas trou­
vé, nous l'appelons Pomme", le choix du
nom est beaucoup plus réfléchi : "Apple"
leur parait sérieux et sans provocation
inutile, il a l’avantage d'arriver avant Atari
sur l’annuaire téléphonique et personne au
monde ne déteste les pommes !
l'A p p le I
Sans se le form uler clairem ent, Jobs et
Wozniak vont imaginer une stratégie par­
faite pour la vente de leur produit. Leur
première préoccupation est liée à la cible
de leur nouveau concept. En dehors des
conversations d’étudiants fanatiques à la
Homestead High School et au Hombrew
Com puter Club, le mot "m icro-inform a­
tique" n'évoque rien au grand p u b lic.
L'Apple I, pour viser la plus large partie de
la population, sera distribué, à la différence
de tous les autres produits du marché dis­
ponibles, uniquement en pièces détachées,
entièrement monté avec huit kilo-octets de
mémoire et le langage basic sur une cas­
sette.
Vient ensuite le prix de la machine. Cette
année-là, les proces­
seurs 8 bits comm e
le Motorola et l'Intel
coûtent plus de 200
dollars. Le MOS Tech
6 5 0 2 , clo n e du
M otorola vendu 25
dollars, leur semble
être une alternative
sé d u isa n te . Steve,
dont l'éloquence fait
des ra va g e s, se
débrouille également
pour avoir les co m ­
p o san ts à des p rix
en co re p lus fa v o ­
rables que ceu x
a cco rd é s au g é a n t
Hewlett Packard. Le génie de Woz dans la
conception de cartes peu gourmandes en
composants fait le reste.
Pour la distribution de ses machines, Steve
co nclu un accord avec Paul Terrell, le
dynam ique gérant de "The Byte Shop",
l’une des premières boutiques de microinformatique d'EI Camino Real. Par la suite,
le succès du magasin obligera Steve à soustraiter la production de ses ordinateurs,
jusque là assemblés chez lui par ses amis et
sa famille payés un dollar l'unité.
En ro u te ve rs la g lo ire
La communication d'Apple jusqu'à la fin de
1 976 est p ratiq u em en t in exista n te.
L'imminence de la Foire de l’ordinateur de
la Côte Ouest, pousse Steve à se préoccu­
per de son image. N'ayant aucune notion
en marketing, Steve jete son dévolu sur
l’agence Me Kenna. Habituée à travailler
avec des valeurs sures, l'agence refuse dans
un premier temps de conclure un quel­
conque accord avec cette société inconnue
et endettée dont les managers ont plus l'air
d'adolescents hippies que d'hommes d'af­
faires. Là encore, la persévérance de Steve
porte ses fruits puisque l'agence accepte
finalement de dessiner le fameux logo de
la pomme multicolore à moitié entamée,
une variante du jeu de mot "bite", mordre
et "byte", octet.
A cette date, la société a vendu 150 appa­
reils et Woz développe déjà un Apple II sur
lequel il exerce son talent de visionnaire :
la machine doit pouvoir être utilisée par
tout le monde, elle doit être "conviviale".
Le mot est lancé.
Avec l'arrivée de Mike Markkula, homme
de m a n a ge m e n t, au sein d'A pple
Computer, l'effort marketing est incontes­
table : l'Apple II devient puissant et, chose
jusque là superflue pour un informaticien,
beau et pratique.
Alors que la plupart des ordinateurs clas-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Un collector : le premier logo Apple.
f f
n ° cart:e blanche pour proB gram m er ce jeu. Mais si on
arrive à le faire avec moins de
50 circuits imprimés, Atari nous offre une
prime pour chaque circuit économisé". Tout
en parlant Steve était intimement convain­
cu que Woz était le seul homme à pouvoir
relever ce genre de défi. Woz réfléchissait.
Son travail de programmeur chez Hewlett
Packard lui prenait beaucoup de temps,
mais le marché que lui proposait Steve
était amusant et probablement lucratif. "Je
prends" avait simplement répondu Woz. Il
scellait ainsi l'une des plus brillantes asso­
ciations du siècle com binant la force de
persuasion de Steven Jobs au génie électro­
nique de Steven Wozniak.
Un an plus tard, en 1976, Steve tombe en
extase devant une des innombrables inven­
tions de Woz : une carte reliée à un écran
et munie d'un clavier permettant de taper
des program m es. Sans plus attendre, il
propose à Woz de se lancer dans la com­
mercialisation de cette carte. L'entreprise
n'a rien de sé rie u x, Jobs a 20 ans et
Wozniak à peine quatre de plus et aucun
d'eux ne dispose des fonds et des connais­
Steve Jobs aujourd'hui.
Tout l'univers
siques en sont toujours au noir et
blanc, YApple II autorise l'affichage en
couleurs et dispose d'emplacements
réservés à des cartes d'extension. Il est
livré avec un boitier en PVC au design
profilé, cachant une carte dont les
co m p o sa nts et les fils fo rm en t un
ensem ble harm onieux. La m achine
intègre tous les outils nécessaires à une
mise en route instantanée : un clavier,
une interface pour brancher un télévi­
seur, une prise pour relier un magné­
Steve jobs, avant son
tophone, une alimentation électrique
départ d'Apple.
et le langage basic en mémoire.
Dans la foulée l'agence Me Kenna conseille à Steve, Woz et Mike de
passer leur première publicité dans un magazine grand public trai­
tant d'autre chose que d'informatique : le trio inaugure donc la
grande saga publicitaire d'Apple par une annonce dans... Playboy !
Cette offensive publicitaire, ajoutée à la présence remarquée
d'Apple à la foire de l'ordinateur de la Côte Ouest, met Steve en
extase : fin avril 1977, la compagnie a reçu 300 commandes pour
YApple II, soit deux fois plus que le total des ventes pour YApple I.
Il faut reconnaître que Steve affine sa politique commerciale : Apple
accorde un an de garantie à ses clients alors que la norme pour les
appareils électroniques est de 90 jours. Les propriétaires des
machines Apple originales peuvent acquérir un kit de remise à
niveau. Les logiciels et les périphériques pour la machine se multi­
plient. Apple ne cesse en effet d'encourager la création d'applica­
tions dans le domaine du traitement de textes, des télécommunica­
tions, de la gestion des données, des calculs et des simulations
(comprenez le jeu !). Cela donnera naissance à une fonction à part
entière au sein d'Apple, celle de "Software Evangelist", personne
chargée de contacter tous ceux susceptibles d'écrire des pro­
grammes, de leur offrir des ordinateurs et des contrats. Cette poli­
tique portera ses fruits puisqu'à la fin de son règne, YApple II comp­
tera à son actif plus de 20000 logiciels.
Avec le temps, Apple Corporation prend de plus en plus d'impor­
tance. Les locaux déménagent du garage des parents jobs pour
les bureaux de Cupertino. Steve commence à engager des gens
grâce à des annonces dont l'impact a sans doute autant d'impor­
tance que la publicité des produits : "si vous êtes plus âgés que
Steve jobs et plus diplômé que Steve Wozniak, vous nous intéres­
sez". En 1979, l'entreprise compte 250 salariés. A l'image d'une
culture d'entreprise extraordinairement décontractée (fêtes en
quantité, pas de tenue particulière, activités multiples pour les
employés), les questions de Steve lors des entretiens de recrute­
ment sont atypiques : "vous-shootez vous régulièrement au LSD ?",
"quand avez-vous perdu votre virginité ?" ou encore "aimez vous la
pizza à l'ananas ?".
La p re m iè re e rre u r
Steve est conscient que la croissance foudroyante de sa marque est
liée à son potentiel d'innovation. Il lance donc le développement
de YAppte III. Pour une fois, le souci d'économie de composants
propre aux ordinateurs de Woz va être fatale : les connecteurs de la
carte ne sont pas faits en or et, à l'usage, la carte de la machine
s'oxyde rapidement créant des interférences. Malgré un lancement
très médiatique dans le parc de Disneyland, YApple III ne fonction­
nera jamais et sera boudé par les utilisateurs qui préféreront des
versions avancées de YApple II.
L'heure est venue de passer à la génération suivante. Mais l'épopée
du Macintosh sera autrement plus terrible.
Wim Sical.
de
sur le Web !
w w w .linux-kheops.com
•Les documentations
(format html ou
téléchargeable)
Manuel utilisateur RedHat
4.1, Debian 1.2.9,
Slackware 96 3.2...
Guide XFree86 3.2, Métro
X, configuration noyau
2 .0/2 .1 ...
Le guide du Rootard, Linux
Facile, etc.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
•Les liens Linux
Où trouver éditeurs de
textes, éditeurs html,
clients email, browsers,
tableurs, traitements de
textes, gestionnaires de
fichiers, utilitaires
systèmes, utilitaires
graphiques...
Les acteurs commerciaux
du monde Linux
Les Web-zines consacrés
à Linux
•La liste des produits
Linux par Kheops
Le catalogue des produits,
les promos du mois, les
revendeurs en France...
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LES ANCIENS NUMÉROS
20F
♦püRie
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Dossier : la CD-32
Reportage : l'ECTS de Londres
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maker, version light
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Disquette : une sélection de
DP
• D re a m n ° l l
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Brilliance 2...
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MM400, Sherlock, Diavolo,
Power CD...
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• D re a m n °1 9
Dossier : les dessous du rachat
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Reportage : l'Amiga à L'E3 de
Los Angeles
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• D r e a m n°21
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Amiga en Pc, Mac...
Labo : OctaMed 6, AsimCDFS,
Fax on ...
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Amazon Queen, la démo
• D r e a m n°22
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l'Amiga
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Disquette : Vroom multiplayer,
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• D r e a m n°23
Dossier : optimisez votre
Workbench !
Reportage : l'Amiga aux
commandes du virtuel
Disquette : Coala, la démo
• D r e a m n°24
Dossier : choisir un lecteur CDRom pour Amiga
Labo : Devpac 3.5, carte
Piccolo, Action Replay 1200...
Disquette : Boston bomb club,
version complète
• D r e a m n°25
Dossier : l'Amiga expo fait un
carton
Labo : Directory Opus 5.0
Disquette : Virus checker 8.03
• D r e a m n°26
Dossier : les ordinateurs
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
T-shirt
Dream
Bomber le
torse avec
la
Dreamette
sur le
coeur ? Une
réalité avec
ce T-shirt
taille unique
XL 100% coton à l'effigie du magazine
Dossier : l'Amiga à la télé
Labo : PageStream, Panorama
Disquette : Virus Checker 6.41
• D re a m n °1 4
Dossier : l'Amiga et les
graphismes
Reportage : Le World of Amiga
Disquette : Real time sound
processor II lite
• D re a m n °1 5
Dossier : le rachat de l'Amiga
Labo : Photogenics...
Disquette : Skidmarks II, la
démo
• D re a m n °1 6
Dossier : les clones Amiga
arrivent
Reportage : l'Amiga s'impose à
Imagina
Disquette : Photogenics, la
démo
• D re a m n °1 7
Dossier : la Doom-mania arrive
sur Amiga
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Studio professional 2...
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exotiques
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basic 2.1, Arts et frontières...
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• Dream n°27
Dossier : le guide du
programmeur
Labo : la carte 68060 Blizzard
1260T
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démo
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au service de l'Amiga
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TurboCalc 3.5, @-Net...
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professional 4.1, version light
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l'Amiga
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4...
Disquette : MandelTour AGA,
version complète
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éviter la galère
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Atlas, encyclopédie Adfi...
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Vid 24, Kit internet...
Disquette : une sélection de
DP
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Internet choisir ?
Labo : Turbo print v 4.1...
Disquette : Poweroïds
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l'Amiga
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Disquette : une sélection de
DP
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Imagine 5.0...
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• Dream n°35
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MaxDOS
Disquette : une sélection de
DP
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Amiga
Labo : 2 modems 33600bps,
X-DVE, SMD-1 00...
Disquette : une sélection de
DP
• Dream n°37
Dossier : gagnez de l'argent
avec votre Amiga
Reportage : l'histoire de
l'informatique à Londres
Disquette : Magic Menu 2.15
• D re a m n °3 8
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Wordworth
Linuxzone : Lincity, Xquad,
Lyx
Disquette Amiga : Doopsi,
Monopoly...
• D re a m n °3 9
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Web, Shapeshifter...
Linuxzone : Xwindow, The
gimp, Mesa OpenGL,
Xclamation...
Disquette Amiga : Gestion
2000 (démo) et FirePower
Linux : les distributions,
Maëlstrom, DDD, CDE...
Disquette Amiga :
Amigameboy, WebDesign,
VirusZ-ll...
• D re a m 41
Dossier : tous les formats non
compatibles Pc
Tests Amiga : Burnit, GoldEd...
Manuel d'installation Linux sur
Pc, Amiga et Atari
CD : la distribution Redhat 4.1
et Watchtower
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