Témoignage Département des Affaires administratives

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Témoignage du département des affaires administratives
(Gouvernement flamand)
La secon de la Polique de l'Informaon
et du Processus (PIB –
Proces- en Informae
Beleid) est intégrée au
Département des
Affaires administraves
(DBZ – Departement
Bestuurszaken) du
Gouvernement flamand (VO – Vlaamse
Overheid).
De gauche
à droite :
Chris
Logghe,
Petra
Cuppens et
Marijke
Verhavert
Le DBZ souent le ministre par la préparaon, la direcon, le suivi, le contrôle et l'évaluaon de la polique. Les thèmes concrets qui entrent en ligne de compte
dans le département sont très variés. Il s'agit entre autres du développement de l'organisaon et du
personnel, des technologies de l'informaon et de la communicaon, de l'e-gouvernement, de la
geson de régularisaon, de missions gouvernementales, de l'aménagement architectural et du territoire, de la prestaon de services techniques et de la geson des biens immobiliers.
Pour créer un large support aux diverses décisions, le département n'offre pas seulement un souen
aux entés du domaine polique des Affaires administraves, mais également à tout le Gouvernement flamand.
L'un des objecfs de la secon PIB est la collecte de toutes sortes de données liées au Gouvernement
flamand à parr de diverses sources de données, cela peut être des données personnelles, des données d'organisaon, des données réglementaires... Ces données sont ajoutées, neAoyées, combinées
et conservées dans un entrepôt de données (DWH - datawarehouse)... et transformées en rapports
opéraonnels et divers instruments poliques pour le Gouvernement flamand. CeAe machine de
rapport est élaborée principalement à parr de composants de la suite IBM/Cognos.
Là où des systèmes d'enregistrement font défaut pour la collecte des données nécessaires au sein du
Département des Affaires administraves, la secon construit elle-même des applicaons web ou
personnalise et paramètre les applicaons open source existantes. Ces applicaons sont la plupart
du temps en Php et MySQL. La nature de ces applicaons est très diverse. Il s'agit d'applicaons pour
mesurer les charges administraves de la réglementaon, le suivi des objecfs du service du DBZ, le
suivi financier des demandes d'emploi...
À côté de cela, la secon offre aussi des soluons là où il subsiste des besoins d'applicaons qui souennent les processus d'entreprises. Pour cela, le Documentum BPM doit être mis en place.
Bien que l'accent de la Polique de l'Informaon et du Processus ne se concentre pas principalement
sur l'élaboraon de toutes sortes d'ouls et d'applicaons, la secon qui compte une trentaine de
personnes dispose d'une pete équipe d'une dizaine d'analystes, de créateurs et de développeurs
qui travaillent acvement pour répondre aux besoins précités.
Du fait que la secon PIB a été formée récemment -il y a environ trois ans- et que ces dernières an-
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nées elle a connu un afflux important de personnel tant expérimenté qu'inexpérimenté, garanr la
qualité de ces applicaons s'avère un défi. C'est pourquoi, ces dernières années, l'aAenon nécessaire a été portée à la créaon d'un processus de développement et d'analyse unifié, au doublement
des environnements de développement, de test, d'acceptaon et de producon et à un système de
geson de version et un système de suivi des bugs ont été mis en service. Des normes et des modèles pour la réalisaon d'analyses, dans lesquels l'aAenon nécessaire est accordée à la descripon
des cas d'ulisaon (ou fonconnalités), ont été imposés.
L'étape suivante en maère d'augmentaon de la qualité du processus d'analyse et de développement portait de manière logique sur l'amélioraon des procédures de test. Les tests ne pouvaient
restés limités plus longtemps aux tests menés par les développeurs eux-mêmes et au test général
d'acceptaon par les ulisateurs en fin de circuit. Le sérieux de tels tests était trop tributaire de la
pression et du profil des développeurs et des ulisateurs futurs.
Pour nous accompagner dans l'augmentaon de la qualité des tests, la secon PIB a suivi deux
pistes. D'une part, un coordinateur de test a été formé au sein du service, celui-ci jouera à terme un
rôle crucial dans l'implémentaon et le suivi des procédures de test, des modèles... Ensuite, depuis
janvier 2010, il est fait appel, trois jours par semaine, à un consultant de test expérimenté de
Passwerk.
Chris Logghe, à la tête de la cellule des systèmes d'informaon, témoigne :
« Après avoir lu et entendu parler des expériences d'autres entreprises, j'ai très vite été convaincu
qu'un consultant de test de Passwerk pourrait apporter une valeur ajoutée à notre équipe. Ma plus
grosse inquiétude se situait plutôt au niveau humain : dans quelle mesure un consultant présentant
un trouble du spectre de l'ausme (TSA) pouvait s'adapter dans un environnement de travail ouvert
et une équipe très hétérogène où le silence absolu ne peut pas toujours être garan.
CeAe préoccupaon s'est en pare effacée lors de la visite de l'accompagnateur aStré de Johan, le
consultant de test qui devait entrer en foncon chez nous. Après un audit de l'environnement de travail, nous avons reçu quelques conseils nous recommandant notamment de prévoir au sein du service un emplacement fixe et un nombre limité de points d'informaon pour Johan.
Quelques semaines avant son premier jour de travail au sein de notre secon, le service au grand
complet a bénéficié d'une présentaon exposant les avantages et les points d'aAenon liés à une
collaboraon avec des personnes présentant un trouble du spectre de l'ausme. Il faut dire que le
service s'est montré très posif quant à l'iniave d'accueillir un consultant de test au sein de la secon.
Quelle est, environ neuf mois plus tard, ma posion vis-à-vis de ceAe collaboraon ? Très vite, il est
apparu que Johan a dépassé mes aAentes également sur le plan professionnel. Un gros avantage de
la collaboraon est entre autres le fait que notre équipe est influencée par la méthode ferme qu'applique Johan : faire un exposé sur le projet, passer en revue l'analyse et regarder si les cas d'ulisaon sont suffisamment documentés pour en déduire des cas de tests, faire un usage conséquent du
système de suivi des bugs en suivant et en testant les fautes... Il est vrai que, depuis l'arrivée de
Johan, neAement plus de bugs ont été détectés dans les applicaons de l'ulisateur avant leur livraison. Cela se traduit clairement par une baisse du volume de travail en ce qui concerne la maintenance correcve après la mise en service de nos applicaons.
La flexibilité de Johan est également un grand atout. Ces derniers mois, il a aussi bien testé des applicaons d'intelligence économique que des systèmes d'enregistrement comme les systèmes de Busi-
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ness Proces Management. Il a rédigé des modes d'emploi techniques pour quelques applicaons, il a
collaboré à la descripon technique d'un algorithme assez compliqué de téléchargement et de conversion, il a contrôlé de longues listes de données très détaillées et a fait l'audit d'une applicaon sur
les critères du label de qualité Anysurfer...
Nous avons encore certainement du chemin à parcourir afin d'améliorer la qualité de nos tests. La
mise en place d'un consultant de test de Passwerk, pour exécuter effecvement les tests, me convient
très bien, dans la mesure où les budgets le permeAent.
En un mot, Johan est devenu pour nous un membre à part enère de l'équipe, qui a très clairement
prouvé sa valeur au niveau interpersonnel comme professionnel. »
Petra Cuppens, coordinatrice de test en formaon, partage son expérience :
« Mon implicaon dans les essais effectués au sein de la secon a été limitée jusqu'à récemment, jusqu'au test effecf des applicaons comme développeur. C'est grâce à l'engagement de Johan qu'il
s'est clairement fait senr que nous avions bel et bien besoin d'un coordinateur de test au sein du service. J'endosse ce rôle très voloners. C'est finalement quand même un rôle important, la secon
veut produire des applicaons sur mesure et à la sasfacon de toutes les pares prenantes.
Johan a en tout cas prouvé que des tests conséquents et bien menés, selon des scénarios de test précis déduits d'une analyse, portent leurs fruits. Sans aucun doute, je vais encore beaucoup apprendre
de Johan dans ma nouvelle foncon. »
Marijke Verhavert, chef de service, ajoute encore ceci :
« En ce qui concerne le suivi technique, je laisse voloners Chris faire son chemin avec Johan. Je remarque qu'il y a beaucoup de respect mutuel de chaque côté. Mais avant tout, je remarque que la
qualité des produits de travail livrés a augmenté, et que l'aAenon pour le cycle de test s'est améliorée. Les tests sont simplement beaucoup plus efficaces, ce qui sasfait aussi nos clients. Avant qu'il ne
lui soit demandé de prendre part aux tests d'acceptaon, Johan s'était déjà mis à la tâche. Les livraisons que nous proposons maintenant au moyen des tests d'applicaon ont donc aussi une très bonne
qualité. Tout l'environnement de rapport devait aussi être traité par la mise à jour de Vlimpers. Divers
services du gouvernement flamand ont collaboré aux tests. Johan s'était déjà aAaqué le premier aux
rapports et avait comparé les anciennes et les nouvelles données entre elles. Il a livré un très bon travail. Les autres équipes de développement au sein de notre domaine polique ont été tenues au courant de « notre Johan » et nous ont demandé pour pouvoir le meAre au travail aussi chez eux. Nous
l'avons voloners autorisé, pour de courts essais. Nous sommes convaincus qu'ils vont bientôt vouloir
engager eux aussi leur propre travailleur de Passwerk. »