67,2 - Appels Aux Hommes

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67,2 - Appels Aux Hommes
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C
RÉSUMÉ DU CONTEXTE
Alors qu’un nombre important de nouveaux cas
d’infections par le VIH est encore recensé chez des
hommes qui ont des rapports sexuels avec des
hommes (HRSH) au Canada, on manque de données
approfondies et d’actualité sur la situation sociale, les
attitudes et connaissances concernant la sexualité, et la
compréhension des comportements à risque pour le VIH,
parmi ces hommes. L’information qui existe est limitée,
quant à la portée des observations sur les déterminants
sociaux, comportementaux et d’autre ordre; et quant au
potentiel pour observer et expliquer les variations entre
communautés, sous-groupes et milieux urbains et ruraux.
À ce jour, la recherche par des enquêtes auprès des
HRSH canadiens a porté en grande partie sur des hommes
gais qui s’identifiaient comme tels et qui fréquentaient
des établissements du milieu gai ou qui avaient certains
liens à la communauté.
En 2011-2012, Appel aux hommes Canada a procédé à
une recherche nationale transversale auprès de HRSH,
par un sondage téléphonique à l’aide d’une ligne sans
frais, pour collecter de l’information sur une large gamme
d’attitudes, de comportements ainsi que d’enjeux et déterminants sociaux connexes. La recherche a recruté des
hommes gais et bisexuels ainsi que d’autres HRSH qui ne
s’identifiaient pas comme étant gais ou bisexuels.
Prêt à
vous
servir
M
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APERÇU DE LA MÉTHODOLOGIE
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APPEL AUX HOMMES CANADA
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E CALL
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PARTICIPATION AU SONDAGE :
• 1 562 appels ont été reçus, dont 1 235 ont permis
de réaliser des entrevues complètes ou en partie
complètes, avec des hommes admissibles à participer.
• Des appels ont été reçus des quatre coins
du Canada, et de toutes les provinces et tous
les territoires.
• Le répondant le plus jeune avait 16 ans; le plus
âgé avait 89 ans.
MÉTHODOLOGIE SCIENTIFIQUE
ET INFRASTRUCTURE
Appel aux hommes Canada a procédé à l’adaptation
d’une méthode de sondage téléphonique qui avait fait
ses preuves en Australie, en Nouvelle-Zélande et au
Royaume-Uni. Dans le cadre d’Appel aux hommes
Canada, on a eu recours à des lignes téléphoniques
distinctes pour les participants francophones et les
participants anglophones.
INSTALLATIONS
Le local des intervieweurs était situé dans les bureaux de
l’Unité des services de recherche de l’Université de
Toronto. Sept postes de collecte de données étaient
réservés aux entrevues en anglais et trois aux entrevues
en français. Ces postes de travail, séparés les uns des
autres par des cloisons antibruit, étaient dotés d’un
téléphone, d’une paire d’écouteurs et d’un ordinateur
portable. Les répondants qui composaient le numéro de
la ligne téléphonique sans frais figurant dans les publicités
(1-855-846-MALE [6253]) entendaient un message
automatique bilingue qui les informait sur la recherche,
puis étaient invités à choisir de faire le sondage en
français ou en anglais.
1-855-846-MALE
APPEL AUX HOMMES CANADA | APERÇU DE LA MÉTHODOLOGIE | p. 1
PERSONNEL : LES INTERVIEWEURS
Trente-quatre intervieweurs ont été embauchés et ont
reçu une formation en collecte de données; la majorité
a travaillé à temps partiel; tous étaient de sexe masculin;
douze parlaient couramment français. Les séances de
formation ont abordé des thèmes allant de la collecte
éthique de données jusqu’à la sensibilité à la culture.
Les séances de formation ont également permis aux
intervieweurs de se familiariser avec l’équipement, la
base de données et le questionnaire.
PÉRIODE DE COLLECTE DE DONNÉES
La collecte de données a débuté en octobre 2011
et a pris fin en février 2012. Les lignes téléphoniques
fonctionnaient du lundi au vendredi de 10 h à 1 h
(H.N.E.) ainsi que les samedis et dimanches
de midi à 20 h.
COLLECTE DE DONNÉES :
L’ADMISSIBILITÉ, LA CONFIDENTIALITÉ
ET LE CONSENTEMENT
La recherche a reçu l’approbation du Conseil d’éthique
de la recherche sur le VIH de l’Université de Toronto.
L’admissibilité de chaque personne à participer au
sondage était examinée au début de l’appel : on devait
avoir au moins 16 ans, vivre au Canada, et avoir déjà
eu dans sa vie une relation sexuelle, quelle qu’elle
fût, avec un homme. La participation était anonyme.
Chaque participant admissible se voyait assigner un
code unique de participant au sondage, qu’il pouvait
utiliser en cas d’interruption de l’appel : avec ce code,
on pouvait rappeler à n’importe quel moment et
poursuivre l’entrevue qu’on avait interrompue.
Les participants étaient informés qu’ils pouvaient
choisir de ne pas répondre aux questions qui les
rendaient mal à l’aise, et de mettre fin à tout moment
à leur participation à l’entrevue. Les participants ne
recevaient pas de compensation pour prendre
part au sondage.
APPEL AUX HOMMES CANADA | APERÇU DE LA MÉTHODOLOGIE | p. 2
COLLECTE DE DONNÉES :
LE QUESTIONNAIRE
Le questionnaire a été développé pendant une
période de quelques mois, à l’aide des contributions
des chercheurs de l’équipe et des membres du comité
consultatif national. Après sa mise à l’essai et sa
finalisation, il a été hébergé sur un site internet
sécurisé par un mot de passe. Pour la collecte des
données, les intervieweurs connectaient leur ordinateur à la base de données centrale, qui affichait alors
le script, les questions et les champs où inscrire les
réponses. Seuls les membres principaux de l’équipe
de recherche pouvaient avoir accès aux données
enregistrées dans la base de données sur internet,
par le biais d’une adresse internet distincte et
protégée par mot de passe. L’exploitation d’une base
de données centrale sur internet a été une méthode
très efficace pour la collecte et l’entreposage de
données. Cette méthode a par ailleurs permis une
transition presque totalement fluide entre la collecte
de données et l’analyse de celles-ci, évitant des
erreurs d’entrée de données et permettant des
économies de temps et d’argent. La durée
moyenne des entrevues réalisées en anglais
a été de 45 minutes; et en français, de 60 minutes.
Le questionnaire abordait des sujets comme l’identité sexuelle, les comportements sexuels, la consommation
de drogue, le soutien social, les attitudes à l’égard du condom, des personnes vivant avec le VIH, de même que
des enjeux liés au non-dévoilement du statut VIH et à la criminalisation. Une base de données de possibles
recommandations de services de tiers a été développée par l’équipe, afin d’aider les intervieweurs à diriger
des participants, sur demande, à des services sociaux et de santé.
VOLUME D’APPELS
Les volumes plus grands d’appels reçus
s’observaient en journée, pendant la semaine,
plutôt qu’en soirée et pendant la fin de semaine.
Sept lignes téléphoniques étaient disponibles
pour les entrevues en anglais, mais elles n’ont à
aucun moment été toutes occupées en même
temps. Les trois lignes téléphoniques pour les
entrevues en français ont été, à quelques reprises,
toutes occupées en même temps.
APPEL AUX HOMMES CANADA | APERÇU DE LA MÉTHODOLOGIE | p. 3
CAMPAGNE DE RECRUTEMENT
Le Canada est un leader mondial dans le recours aux technologies de l’information. Les Canadiens utilisent
de plus en plus les plateformes de médias sociaux; les technologies mobiles sont répandues. En parallèle,
les médias imprimés sont encore largement lus, et dans bien des cas la publicité dans la presse écrite
demeure nécessaire à la réussite d’une stratégie de marketing. De plus, la population du Canada est r
elativement faible, multilingue, et disséminée sur un vaste territoire. Par conséquent, une stratégie de
marketing faisant appel à de multiples médias et messages était nécessaire, pour réussir à joindre un
échantillon diversifié de HRSH. Appel aux hommes Canada a fait appel à un cabinet de marketing et à un
graphiste, pour le développement d’une campagne nationale de recrutement.
Les résultats de la campagne démontrent le changement rapide qui s’opère dans le monde médiatique.
Des petites annonces ont été publiées dans près de mille (1 000) journaux locaux et d’importance, d’un
océan à l’autre, et ont attiré 43,9 % des appels reçus — une proportion étonnante en cette ère du
numérique! Des messages radiophoniques ont été utilisés en sus des petites annonces, pour joindre des
HRSH dans les territoires nordiques du pays. Diverses approches ont été utilisées sur Facebook, et ont
entraîné une part de 19,8 % des appels. Toutes les annonces sur internet contenaient un lien au site web
bilingue d’Appel aux hommes (www.malecall.ca ou www.appelauxhommes.ca). Les sites internet de l’étude
ont enregistré 19 228 visiteurs pendant la durée de la recherche. La présence internet d’Appel aux
hommes incluait des serveurs de listes par courriel, tel celui de Squirt.org, un grand site national de r
encontres s’adressant aux HRSH, auquel 8,2 % des
appels que nous avons reçus ont été attribuables.
Des sites internet plus localisés, comme Craigslist,
ont attiré 2,8 % des appels. Des affiches et des
cartes postales placées dans des établissements
gais des principaux centres urbains ont contribué à
renforcer les messages du marketing; cependant,
seulement 1,5 % des participants les ont signalées
comme étant la principale source par laquelle ils
ont été recrutés. En outre, les publicités dans des
publications s’adressant aux hommes gais
ont rarement été déclarées par les participants
comme étant la source de leur recrutement.
En janvier 2012, le joueur de soccer professionnel
David Testo a donné son appui à Appel aux
hommes Canada et une robuste campagne de
relations publiques a été déployée. Ceci a été
associé à une augmentation de 43,0 % du volume
d’appels de participants au sondage; plus de 30
articles ou reportages ont émergé dans les réseaux
médiatiques nationaux, électroniques et imprimés,
de même que dans des publications d’importance
majeure et mineure dans les domaines du sport et
la communauté gaie. Il s’agissait du premier
cas où un appui de ce type était associé à une
recherche sur la prévention du VIH auprès des
HRSH, au Canada.
APPEL AUX HOMMES CANADA | APERÇU DE LA MÉTHODOLOGIE | p. 4
L’échantillon d’Appel aux hommes reflète étroitement la composition
démographique du Canada.
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DONNÉES DÉMOGRAPHIQUES
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FEUILLET 1
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RÉGION DE
RÉSIDENCE
Alors que la vaste majorité (89,4 %) des participants s’identifiaient
comme étant nord-américains ou européens, 3,6 % s’identifiaient
comme étant autochtones.
NÉ AU CANADA 88,2 %
NÉ À L’EXTÉRIEUR
DU CANADA 11,8 %
9,4 %
0,6 %
MARITIMES
TERRITOIRES
10,3 %
COLOMBIE-BRITANNIQUE
26,0 %
13,9 %
PRAIRIES
39,6 %
QUÉBEC
ONTARIO
BISEXUAL
35,6 %
IDENTITÉ SEXUELLE
GAI
*
54,6 %
AUTRE
5,7 %
HÉTÉRO
4,1 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 1 : DONNÉES DÉMOGRAPHIQUES | p. 6
ÉTAT CIVIL
PREMIÈRE LANGUE
APPRISE/ENCORE COMPRISE
MARIÉ/EN COUPLE
AVEC UN HOMME
ANGLAIS 69,5 %
19,5 %
MARIÉ/EN COUPLE
AVEC UNE FEMME
FRANÇAISE
23,8 %
19,2 %
CÉLIBATAIRE/DIVORCÉ/
VEUF
AUTRE 6,7 %
61,3 %
ÂGE DES PARTICIPANTS
21,1 % 21,8 %
25%
19,2 %
20%
13,9 %
15%
10%
5%
0
14,5 %
4,7 %
3,0 %
16-19
20-29
30-39
40-49
50-59 60-69
70-79
1,8 %
80-89
URBAIN ET RURAL
MONTRÉAL, TORONTO,
VANCOUVER
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RURAL
33,9 %
32,2 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 1 : DONNÉES DÉMOGRAPHIQUES | p. 7
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33,9 %
URBAIN, AUTRE
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Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
• Dans le groupe des 60 ans et plus, plus d’hommes
s’identifiaient comme bisexuels que dans les
groupes d’âge plus jeunes.
• Plus d’hommes s’identifiaient comme gais
parmi les groupes d’âge plus jeunes que
dans les groupes plus âgés.
• Les hommes de régions urbaines étaient
plus susceptibles de s’identifier
comme gais.
• Les hommes de régions rurales étaient
plus susceptibles de s’identifier
comme bisexuels.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 2 : IDENTITÉ SEXUELLE | p. 8
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IDENTITÉ SEXUELLE
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FEUILLET 2
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PARMI LEURS COLLÈGUES
DE TRAVAIL
DANS LEUR
FAMILLE
PARMI LEURS
AMIS
À QUI LES PARTICIPANTS
N’AVAIENT PAS DÉVOILÉ
LEUR IDENTITÉ
SEXUELLE
46,9 %
Plusieurs hommes ne dévoilaient pas leur
identité sexuelle.
39,2 %
29,8 %
MIGRATION ET IDENTITÉ SEXUELLE
VOUS ÊTES-VOUS ÉLOIGNÉ DE VOS
AMIS OU DE VOTRE FAMILLE EN
RAISON DE VOTRE ORIENTATION
SEXUELLE?
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 2 : IDENTITÉ SEXUELLE | p. 9
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OUI 21,7 %
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Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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DIVERSITÉ SEXUELLE
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FEUILLET 3
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E CALL
ATTRACTION
Dans quelle mesure êtes-vous
sexuellement attiré par les hommes?
Dans quelle mesure êtes-vous
sexuellement attiré par les femmes?
15,4 % 24,7 %
79,0 %
5,6 %
15,5 %
59,8 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 3 : DIVERSITÉ SEXUELLE | p. 10
TRÈS ATTIRÉ/ATTIRÉ
PASSABLEMENT ATTIRÉ
PEU/PAS DU TOUT
C
SE DISTINGUER
Certains hommes ont décrit leur identité sexuelle de manière unique.
Hétéro mais curieux
Je ne pense pas être
complètement bi, mais
il y a des choses que je
trouve attirantes chez
les hommes
Curieux
Je ne sais pas
Moi
Asexuel
Intéressé par
les hommes
Homme qui a
des rapports
sexuels avec
des hommes
90 %
gai
Travesti
Pas sûr
Je ne me
définis
pas
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Ambivalent
Je suis un
hétérosexuel avec
des idéations sur
le sexe avec des
hommes
Hétéro et bi
Bi-curieux
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 3 : DIVERSITÉ SEXUELLE | p. 11
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Je suis
entre
bisexuel
et gai
Je ne crois
pas aux
étiquettes
Kink
Complexe
Ouvert
d’esprit
Libre
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Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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COMPORTEMENT SEXUEL
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FEUILLET 4
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E CALL
RELATIONS SEXUELLES
OCCASIONNELLES AVEC
DES HOMMES AU COURS
DES 6 DERNIERS MOIS
67,5 % des répondants ont déclaré avoir eu
des relations sexuelles occasionnelles avec
des hommes au cours des 6 derniers mois.
Oui
67,5 %
NOMBRE DE PARTENAIRES SEXUELS
MASCULINS AU COURS DES
6 DERNIERS MOIS
2–5
36,8 %
AUCUN
16,8 %
UN SEUL
22,3 %
20 OU
PLUS
6,1 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 4 : COMPORTEMENT SEXUEL | p. 12
6–19
17,9 %
C
RELATIONS SEXUELLES OCCASIONNELLES AVEC
DES HOMMES AU COURS DES 6 DERNIERS MOIS,
SELON L’ÉTAT CIVIL
Les relations sexuelles occasionnelles étaient fréquentes, peu importe l’état civil.
73,4 % DES HOMMES
CÉLIBATAIRES/
DIVORCÉS/VEUFS
ONT DÉCLARÉ AVOIR
EU DES RELATIONS
SEXUELLES
OCCASIONNELLES
51,4 % DES HOMMES
MARIÉS OU EN
COUPLE AVEC
UN HOMME ONT
DÉCLARÉ AVOIR EU
DES RELATIONS
SEXUELLES
OCCASIONNELLES
65,1 % DES
HOMMES MARIÉS
OU EN COUPLE
AVEC UNE FEMME
ONT DÉCLARÉ
AVOIR EU DES
RELATIONS
SEXUELLES
OCCASIONNELLES
RELATIONS SEXUELLES OCCASIONNELLES AVEC DES HOMMES AU
COURS DES 6 DERNIERS MOIS : URBAN/RURAL
MONTRÉAL / TORONTO / VANCOUVER
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65,2 %
RURAL
66,8 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 4 : COMPORTEMENT SEXUEL | p. 13
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70,5 %
URBAIN, AUTRE
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sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
LIEUX DE VIE SOCIALE DES HOMMES
• Les hommes dans la vingtaine étaient les plus
actifs dans la communauté commerciale gaie
sur Internet, et ceux de plus de 50 ans les
moins actifs.
• Les hommes des villes étaient plus susceptibles
que ceux du milieu rural d’avoir des activités
sociales dans la communauté gaie sur internet
et dans les commerces de la communauté gaie.
• Les hommes qui étaient plus impliqués
dans la communauté étaient plus
susceptibles de connaître leur statut VIH.
N’AVAIENT PAS D’ACTIVITÉ SOCIALE DANS
LA COMMUNAUTÉ GAIE SUR INTERNET.
N’AVAIENT PAS D’ACTIVITÉ SOCIALE DANS
LES COMMERCES DE LA COMMUNAUTÉ GAIE.
N’AVAIENT PAS D’ACTIVITÉ SOCIALE DANS
LA COMMUNAUTÉ HÉTÉROSEXUELLE.
33,7 %
25,5 %
4,9 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 5 : VIE SOCIALE | p. 14
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VIE SOCIALE
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FEUILLET 5
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E CALL
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LIEUX DE DRAGUE
• Les hommes de moins de 50 ans
recouraient aux nouveaux médias
davantage qu’aux endroits commerciaux,
et c’était l’inverse pour les plus de 50 ans.
• Tous les hommes cherchaient un
partenaire sexuel; les jeunes sont plus actifs
à ce chapitre.
• Les hommes vivant en région rurale ont
déclaré chercher des partenaires sexuels
moins fréquemment que ceux des villes.
NOUVEAUX
MÉDIAS 52,1 %
COMMERCES :
47,8 %
LIEUX PUBLICS
D’ACTIVITÉ
SEXUELLE :
44,5 %
LIEUX DANS LA
COMMUNAUTÉ :
39,6 %
MÉDIAS
TRADITIONNELS :
36,9 %
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 5 : VIE SOCIALE | p. 15
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« Lieux dans la communauté » : cafés, organismes communautaires, associations gaies, organisations de loisirs et événements de la communauté gaie. « Endroits commerciaux » :
bars gais, bars hétéros, partys de circuit, bars after-hours, gymnase ou centre d’entraînement. « Lieux publics d’activité sexuelle » : saunas, bains publics, parcs, pistes cyclables, toilettes
publiques. « Nouveaux médias » : internet, Grindr et autres applications pour téléphone mobile. « Médias traditionnels » : lignes de conversation téléphonique, petites annonces.
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Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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HOMOPHOBIE
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FEUILLET 6
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X HOMM
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MA
CA
NA D A
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APPE
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HOMMES QUI N’AVAIENT
PAS RÉVÉLÉ LEUR
ATTIRANCE POUR
LES HOMMES
LE CALL
• Plus les hommes étaient
jeunes, plus ils avaient
dévoilé leur attirance pour
les hommes.
• Les hommes des trois plus
grandes villes du pays avaient
dévoilé leur attirance pour les
hommes davantage que ceux
des autres villes; les hommes
des régions rurales sont
ceux qui avaient le moins
dévoilé leur attirance pour
les hommes.
• Les hommes qui avaient une
éducation avancée avaient
tendance à être plus ouverts
à propos de leur attirance
pour les hommes.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 6 : HOMOPHOBIE | p. 16
EXPÉRIENCE DE L’HOMOPHOBIE
Un ami ou un membre de votre famille vous a-t-il déjà conseillé de consulter
un professionnel de la santé mentale au sujet de votre orientation sexuelle?
Oui 17,2 %
Un ami ou un membre de votre famille vous a-t-il déjà conseillé de consulter
un leader ou un groupe religieux en raison de votre orientation sexuelle?
Oui 14,0 %
Vous êtes-vous éloigné de vos amis ou de votre famille
en raison de votre orientation sexuelle?
Oui 21,7 %
Faits additionnels :
• Les hommes hétérosexuels ont déclaré
davantage d’homophobie intériorisée
que les bisexuels.
• Plus les hommes avaient une éducation avancée,
moins ils avaient intériorisé d’homophobie.
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 6 : HOMOPHOBIE | p. 17
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• À Montréal, Toronto et Vancouver, les hommes
avaient
une opinion
MALE CALL CANADA | FACT SHEET F6:
HOMOPHOBIA
| Page plus
17 positive que ceux des
autres régions du pays, à propos des attitudes
• Les hommes bisexuels ont déclaré davantage
de la société.
d’homophobie intériorisée que les gais.
E CALL
C
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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SANTÉ GÉNÉRALE
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FEUILLET 7
L
E CALL
DE MANIÈRE GÉNÉRALE,
COMMENT QUALIFIERIEZ-VOUS
VOTRE SANTÉ PHYSIQUE?
EXCELLENTE
23,7 %
TRÈS BONNE
40,2 %
24,9 %
ACCEPTABLE 9,0 %
MAUVAISE 2,2 %
BONNE
INDICE DE MASSE CORPORELLE (IMC)
En moyenne, l’indice de masse corporelle (IMC) d’ensemble de l’échantillon d’Appel aux hommes Canada était inférieur à celui de
l’ensemble de la population de sexe masculin.
POIDS INSUFFISANT
MOYEN
EMBONPOINT
OBÉSITÉ
PARTICIPANTS À APPEL AUX HOMMES CANADA
1,7 %
37,3 %
42,5 %
18,5 %
POPULATION DES HOMMES AU CANADA
1,4 %
30,4 %
42,1 %
26,0 %
« Poids insuffisant » : IMC de moins de 18,5; « moyen » : IMC de 18,5 à 24,9; « embonpoint » : IMC de 25,0 à 29,8; « obèse » : IMC de 30,0 ou plus.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 7 : SANTÉ GÉNÉRALE | p. 18
C
EN RÈGLE GÉNÉRALE, COMBIEN
D’HEURES DORMEZ-VOUS PAR NUIT?
77,5 % des hommes ont déclaré dormir moins de 8 heures par nuit.
0
10 HEURES OU PLUS : 2,0 %
DE 8 À 9 HEURES : 17,7 %
DE 7 À 8 HEURES : 29,2 %
DE 6 À 7 HEURES : 26,0 %
DE 5 À 6 HEURES : 13,1 %
10%
DE 4 À 5 HEURES : 6,6 %
MOINS DE 4 HEURES : 2,6 %
20%
ENTRE 9 HEURES ET MOINS DE 10 : 2,8 %
30%
TROUBLES CHRONIQUES DE SANTÉ
Les hommes ont déclaré avoir divers troubles chroniques de santé.
20%
10%
0
HYPERTENSION 18,4 %
ARTHRITE 15,9 %
MALADIE RESPIRATOIRE 13,8 %
DIABÈTE 9,1 %
INFECTION À VIH 6,6 %
10,3 %
des hommes avaient
un handicap physique
non précisé.
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 7 : SANTÉ GÉNÉRALE | p. 19
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CANCER 4,4 %
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Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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SANTÉ MENTALE ET SOUTIEN SOCIAL
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FEUILLET 8
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TRÈS BONNE
37,3 %
BONNE
24,6 %
EXCELLENTE
28,5 %
DE MANIÈRE
GÉNÉRALE,
COMMENT
QUALIFIERIEZVOUS VOTRE
SANTÉ
MENTALE?
ACCEPTABLE
7,7 %
MAUVAISE
1,9 %
• En général, une majorité d’hommes
(90,4 %) ont qualifié leur santé mentale
de bonne à excellente.
• Les hommes de plus de 70 ans ont
signalé une meilleure santé mentale que
ceux des autres groupes d’âge.
SOUTIEN SOCIAL
• Les hommes de l’extérieur de Montréal,
Toronto et Vancouver ont déclaré le
meilleur état de santé mentale.
Les participants ne bénéficient pas tous du même degré
ou type de soutien social.
19,0 %
n’avaient personne à qui
parler de leurs émotions
ou de leurs préoccupations
personnelles.
13,5 %
n’avaient personne
pour les conseiller
dans des décisions
personnelles importantes.
11,3 %
n’avaient personne sur
qui compter en situation
de crise.
9,6 %
n’avaient personne qui
les fait se sentir aimés
et importants.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 8 : SANTÉ MENTALE ET SOUTIEN SOCIAL | p. 20
BIEN-ÊTRE ÉMOTIONNEL
Au cours des 6 mois précédents…
19,3 %
17,0 %
ont souvent
ou toujours ressenti
de la tristesse
ont souvent ou toujours
ressenti une insatisfaction
face à la vie en général
19,7 %
ont souvent ou toujours
ressenti du
découragement et de
l’inquiétude
face à l’avenir
13,9 %
ont souvent ou
toujours ressenti
une déprime
24,8 %
ont souvent ou toujours
ressenti de la solitude
11,7 %
ont souvent ou
toujours eu envie
de pleurer
RÉSILIENCE
Une majorité des participants étaient d’accord avec
l’énoncé « Je suis capable de m’adapter au changement ».
25,0 %
56,5 %
Entièrement vrai
Généralement vrai
13,5 %
3,5 %
Rarement vrai
Parfois
vrai
1,5 %
M
X HOM
AU
AL
AN
ADA
L
ES
M
APP
E
Entièrement faux
C
E CALL
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 8 : SANTÉ MENTALE ET SOUTIEN SOCIAL | p.21
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
6,6 % DES PARTICIPANTS AU SONDAGE ONT DÉCLARÉ
ÊTRE SÉROPOSITIFS AU VIH.
AL
AN
ADA
M
E CALL
88,9 %
6,6 %
SÉROPOSITIF AU VIH
26,2 %
S
U
T
A
T
S
V
I
H
APP
E
BIEN-ÊTRE ET SÉROPOSITIVITÉ AU VIH
X HOM
AU
ES
M
FEUILLET 9
L
STATUT VIH INCONNU
ont qualifié leur santé
mentale de bonne
à excellente.
87,3 %
ont qualifié leur santé
physique de bonne
à excellente.
INDICE DE MASSE CORPORELLE (IMC) DES PARTICIPANTS SÉROPOSITIFS AU VIH
67,2 %
SÉRONÉGATIF
AU VIH
Après calcul du poids et de la taille déclarés, la plupart des participants séropositifs au VIH avaient
un indice de masse corporel (IMC) de catégorie moyenne.
INSUFFISANCE DE POIDS
3,2 %
41,9 %
MOYEN
EMBONPOINT
46,8 %
OBÈSE
8,1 %
Insuffisance de poids équivaut à un IMC inférieur à 18,5; moyen, à un IMC de 18,5 à 24,9; embonpoint, à un IMC de 25,0 à 29,9; et obèse, à un IMC de 30,0 ou plus.
+
LE SOMMEIL DES PARTICIPANTS SÉROPOSITIFS AU VIH
68,3 % DES PARTICIPANTS SÉROPOSITIFS AU VIH
DORMAIENT MOINS DE 8 HEURES PAR JOUR.
SEULEMENT 31,7 % ONT DÉCLARÉ DORMIR
8 HEURES OU PLUS.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 9 : BIEN-ÊTRE ET SÉROPOSITIVITÉ AU VIH | p. 22
C
PRÉOCCUPATIONS LIÉES À LA SÉROPOSITIVITÉ AU VIH
Je m’inquiète de…
Être stigmatisé et victime de
discrimination en raison du VIH.
Malgré les percées médicales et une santé physique
et mentale généralement bonne, il n’est pas toujours
facile de vivre avec le VIH. Voici comment les hommes
séropositifs au VIH ont réagi à quelques
préoccupations clés
OUI
82,5 %
Être rejeté par les hommes homosexuels
et bisexuels de ma communauté parce
que je suis séropositif au VIH
OUI
67,7 %
La peur d’être poursuivi en justice par
quelqu’un pour ne pas lui avoir dévoilé ma
séropositivité au VIH.
OUI
51,6 %
Ne pas comprendre l’information
médicale sur le VIH.
OUI
30,2 %
PROBLÈMES DE SANTÉ CHRONIQUES
Les autres problèmes de santé chroniques déclarés par les hommes séropositifs au VIH étaient :
22,2 %
MALADIES RESPIRATOIRES17,5 %
ARTHRITE 15,9 %
HYPERTENSION
CANCER
14,3 %
INCAPACITÉ PHYSIQUE
DIABÈTE
3,2 %
14,3 %
INFECTIONS TRANSMISSIBLES SEXUELLEMENT (ITS) ET HÉPATITES LES TAUX D’HÉPATITES
ET D’ITS ÉTAIENT ÉLEVÉS PARMI LES PARTICIPANTS SÉROPOSITIFS AU VIH.
77,8 %
M
X HOM
AU
AL
AN
ADA
L
ES
M
APP
E
OUI, ITS (À VIE)
E CALL
C
30,2 %
OUI,, OUTE HÉPATITE
(À VIE)
23,5 %
OUI,, AUTRES MALADIES
INFECTIEUSES (À VIE)
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 9 : BIEN-ÊTRE ET SÉROPOSITIVITÉ AU VIH | p. 23
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
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APP
E
BIEN-ÊTRE ET SÉROPOSITIVITÉ AU VIH
X HOM
AU
ES
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FEUILLET 10
L
E CALL
C
ETHNICITÉ DES PARTICIPANTS À
APPEL AUX HOMMES CANADA
66,9 %
22,6 %
3,9 %
3,6 %
STREET1,6FAIR
%
0,7 %
FIGURE 2
0,7racial,
% ethnic and/or cultural discrimination
When experienced
Européen
Nord-Américain
Asiatique
Autochtone
Africain/Caraïbe
Latino-/Centre-/Sud-Américain
Arabe/Asiatique de l’Ouest
is examined by ethnic/racial background, we find evidence of
groups most affected.
FIGURE
3
LEQUEL DES ÉNONCÉS
4.355
4.167
DÉCRIT LE MIEUX VOTRE
PRÉFÉRENCE EN MATIÈRE
DE PARTENAIRES
SEXUELS MASCULINS?
Nearly two-thirds of respondents have
no ethnic or racial preference for male
sex partners whereas a quarter of
participants prefer males of their own
ethnicity or race and one-in-ten prefer
men of an ethnic or racial background
different to their own).
PAS DE PRÉFÉRENCE
ETHNIQUE/RACIALE
65,7 %
65.7
PRÉFÈRE SA RACE/
SON ETHNICITÉ
24,7 %
PRÉFÈRE UNE
ETHNICITÉ/RACE
DIFFÉRENTE 9,6 %
APPEL AUX
FIGURE
4 HOMMES | FEUILLET 10 : EXPÉRIENCE ETHNOCULTURELLE |
p.
24
EN RAISON DE LA RACE OU DE
L’ETHNICITÉ...
19,4 %
des participants ont signalé qu’un partenaire
sexuel masculin avait accordé une attention
plus grande à leur race ou ethnicité qu’à la
personne qu’ils sont.
17,7 %
12,1 %
e sont sentis mal à l’aise dans un bar ou club gai.
9,6 %
ont eu de la difficulté à se trouver un copain.
6,5 %
ont été traités différemment en raison de
leur accent.
ont trouvé difficile d’obtenir un emploi.
14,1 %
3,4 %
ont été ignorés ou traités avec moins de respect
que les autres, en public.
ont été contraints d’avoir des activités
sexuelles contre leur gré.
12,3 %
se sont vu refuser un rapport sexuel.
M
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 10 : EXPÉRIENCE ETHNOCULTURELLE | p. 25
X HOM
AU
AL
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ADA
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ES
M
APP
E
Fait supplémentaire : Certains groupes sont plus affectés que d’autres par la discrimination raciale, ethnique
et/ou culturelle – en ordre décroissant d’exposition déclarée à la discrimination : Asiatique; Arabe/Asiatique de
l’Ouest; Africain/Caraïbe; Autochtone; Latino-/Centre-/Sud-Américain; Européen; Nord-Américain.
E CALL
C
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USAGE DU CONDOM
X HOM
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FEUILLET 11
L
E CALL
ATTITUDES À L’ÉGARD DU CONDOM
D’ACCORD
Les bienfaits de l’utilisation du condom surpassent ses inconvénients
88,1 %
J’aurais une relation sexuelle anale avec un homme séropositif au VIH seulement
en utilisant un condom
69,4 %
Porter le condom, c’est bon parce que je me sens rassuré
67,8 %
Je me sens coupable quand je n’utilise pas de condom
57,7 %
Les condoms rendent le sexe moins agréable
48,6 %
On perd l’acte intime de donner ou de recevoir l’éjaculation, avec le condom
48,4 %
Quand un partenaire me montre un condom, ça m’excite
32,1 %
Il est moins important d’avoir des pratiques sexuelles à risque réduit, à présent
qu’il existe des traitements contre le VIH
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 14 : TRANSMISSION DU VIH | p. 26
10,2 %
C
PORT DU CONDOM POUR DES RAPPORTS ANAUX
À quelle fréquence vous ou votre partenaire avez-vous utilisé un
condom pour des rapports anaux, au cours des 6 derniers mois?
En général,
50,7 %
des participants ont répondu
« pas toujours »
PAR ÉTAT CIVIL
MARIÉ/EN COUPLE AVEC MARIÉ/EN COUPLE AVEC
UNE FEMME
UN HOMME
CÉLIBATAIRE/
DIVORCÉ/VEUF
PAS TOUJOURS : 39,3 %
PAS TOUJOURS : 73,0 %
PAS TOUJOURS : 44,1 %
GAI
BISEXUAL
HÉTÉRO
PAS TOUJOURS : 56,5 %
PAS TOUJOURS : 38,8 %
PAS TOUJOURS : 22,2 %
M
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PAR ORIENTATION SEXUELLE
C
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 14 : TRANSMISSION DU VIH | p. 27
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TEST DU VIH
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FEUILLET 12
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SE FAIRE TESTER OU NE PAS
SE FAIRE TESTER?
C
75
%
25 %
AVEZ-VOUS DÉJÀ PASSÉ UN
TEST DE DÉPISTAGE DU VIH?
OUI
+
–
NON
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 12 : TEST DU VIH | p. 28
On a demandé aux participants qui ont répondu « non »
pourquoi ils n’avaient jamais passé ce test.
Je pense que je suis séronégatif
83,8 %
Le risque que je contracte
74,4 %
Cela pourrait nuire à mes relations 38,5 %
Je n’y ai jamais pensé
34,2 %
On a demandé aux participants qui ont répondu
« oui » à quand remontait leur dernier test du VIH.
Moins de 6 mois
34,5 %
Plus 6 mois mais moins d’un an
17,7 %
1 an ou plus
47,8 %
le VIH est faible
Statut VIH des participants
Je veux passer le test, mais je ne
Séronégatif
30,2 %
Je ne sais pas où aller pour passer le test 23,1 %
Séropositif
l’ai pas encore fait
Je serais incapable de composer
22,2 %
J’ai peur que mon nom soit dévoilé18,0 %
Je préfère ne pas savoir
17,1 %
avec un résultat positif
67,2 %
6,6 %
25,2 %
Jamais passé le test
Pas reçu le résultat
0,8%
Inconnu
0,2%
QUI NE SE FAIT PAS TESTER?
PAR ORIENTATION SEXUELLE
PAR PROXIMITÉ URBAINE
MONTRÉAL,
TORONTO ET
VANCOUVER
GAI
14,4 %
HÉTÉRO
M
AL
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34,7 %
URBAIN,
AUTRE
26,7 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 12 : TEST DU VIH | p. 29
X HOM
AU
AN
ADA
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ES
M
APP
E
42,4 %
BISEXUAL
40,5 % AUTRE
38,9 %
13,6 %
RURAL
C
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DÉVOILEMENT DE LA SÉROPOSITIVITÉ AU VIH
X HOM
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ES
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FEUILLET 13
L
E CALL
C
NOUS AVONS DEMANDÉ AUX PARTICIPANTS À APPEL
AUX HOMMES :
« Selon vous, à quel moment un homme séropositif devrait-il
dévoiler sa séropositivité à un nouveau partenaire sexuel? »
LORS DE LEUR PREMIÈRE RENCONTRE
56,2 %
AVANT TOUTE ACTIVITÉ SEXUELLE SANS
PÉNÉTRATION (P. EX., MASTURBATION
MUTUELLE)
25,9 %
AVANT TOUTE ACTIVITÉ SEXUELLE AVEC
PÉNÉTRATION (P. EX., ORALE OU ANALE)
AVEC CONDOM
11,9 %
AVANT TOUTE ACTIVITÉ SEXUELLE AVEC
PÉNÉTRATION (P. EX., ORALE OU ANALE)
SANS CONDOM
5,1 %
JAMAIS
0,9 %
ATTENTES
84,5 % s’attendaient à ce qu’un partenaire sexuel les informe, s’il était séropositif au VIH.
71,4 % s’attendaient à ce qu’un partenaire sexuel les informe, s’il ne connaissait pas son statut VIH.
62,5 % s’attendaient à ce qu’un partenaire sexuel les informe, s’il était séronégatif au VIH.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 13 : DÉVOILEMENT DE LA SÉROPOSITIVITÉ AU VIH | p. 30
IMPORTANCE DE CONNAÎTRE LA SÉROPOSITIVITÉ D’UN
PARTENAIRE AU VIH, AVANT LES RELATIONS SEXUELLES
CI-DESSOUS
96,3 %
avant une relation sexuelle
anale non protégée.
84,4 %
avant une relation sexuelle
anale protégée.
75,4 %
avant une relation sexuelle orale.
43.3%
M
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ant de se masturber l’un l’autre.
C
E CALL
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 13 : DÉVOILEMENT DE LA SÉROPOSITIVITÉ AU VIH | p. 31
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TRANSMISSION DU VIH
X HOM
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FEUILLET 14
L
E CALL
C
CONNAISSANCES : VRAI OU FAUX?
On a interrogé les participants sur la transmission du VIH. En moyenne, ils ont répondu correctement
à 5 questions sur 7. Tous les énoncés ci-dessous sont vrais.
Un homme peut contracter le VIH en donnant la pénétration.
94,6 % étaient d’accord
Un homme peut avoir l’infection à VIH sans présenter
de signes ou de symptômes.
91,1 % étaient d’accord
Le quart des personnes qui ont le VIH au Canada
ne sont pas au courant de leur infection.
84,7 % étaient d’accord
Le VIH est une infection chronique (ou permanente) mais gérable.
81,4 % étaient d’accord
Il n’existe pas de vaccin efficace pour prévenir l’infection par le VIH.
80,0 % étaient d’accord
Lors d’une relation sexuelle orale sans avaler de sperme, il est très
improbable de contracter le VIH.
52,6 % étaient d’accord
Un homme est plus susceptible de contracter le VIH s’il
reçoit la pénétration.
50,0 % étaient d’accord
Avertissement : Les faits ci-dessus peuvent contribuer à une stratégie de réduction du risque de VIH; toutefois, d’autres facteurs
doivent être pris en considération, comme la présence d’infections transmissibles sexuellement (ITS), de fissures ou de plaies
dans/sur/autour de la bouche ou des organes génitaux, et la charge virale du VIH. L’usage du condom demeure le moyen le plus
efficace de réduire la transmission du VIH.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 14 : TRANSMISSION DU VIH | p. 32
ATTITUDES ET PERCEPTIONS
On a demandé aux participants s’ils croyaient que les mesures suivantes étaient efficaces pour réduire la transmission
du VIH. Les réponses ci-dessous représentent les attitudes des participants, et non l’efficacité réelle.
Dépistage régulier des infections
transmissibles sexuellement (ITS) et du VIH.
Oui, efficace :
76,5 %
Dévoilement/discussion
Oui, efficace :
66,5 %
Sérotriage : avoir des rapports sexuels
uniquement avec des hommes du même état
sérologique au VIH que le sien.
Oui, efficace :
50,1 %
PPE (prophylaxie postexposition) : La PPE
consiste, pour une personne séronégative,
à prendre des médicaments anti-VIH après
un rapport sexuel, afin de réduire le risque
d’infection.
M
X HOM
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M
APP
E
Oui, efficace :
E CALL
C
41,8 %
PPrE (prophylaxie préexposition) : La PPrE
consiste, pour une personne séronégative,
à prendre des médicaments anti-VIH avant
un rapport sexuel, afin de réduire le risque
d’infection.
Oui, efficace :
36,0 %
Port retardé du condom : mettre un
condom pendant la pénétration anale,
avant l’éjaculation.
Oui, efficace :
12,4 %
Positionnement stratégique : déterminer qui
pénètre et qui est pénétré, en fonction du
statut VIH.
Oui, efficace :
10,8 %
Sérodevinette : présumer du statut VIH d’un
partenaire.
Oui, efficace :
8,2 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 14 : TRANSMISSION DU VIH | p. 33
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ATTITUDES À L’ÉGARD DES HOMMES
SÉROPOSITIFS AU VIH
L
ES
M
FEUILLET 15
E CALL
Les participants à Appel aux hommes étaient interrogés sur leurs idées en lien avec les hommes séropositifs au VIH.
ACTIVITÉ SEXUELLE
76,7 %
étaient d’accord avec l’idée que les personnes vivant avec le
VIH doivent avoir le droit de mener une vie sexuelle active.
75,4 %
étaient d’accord avec l’idée que les personnes vivant avec
le VIH devraient avoir le droit d’être sexuellement actives
seulement si elles dévoilent leur séropositivité à leurs
partenaires sexuels.
RESPONSABILITÉ PARTAGÉE
98,4 %
étaient d’accord avec la notion voulant que les partenaires sexuels sont autant
responsables l’un que l’autre de prévenir la transmission du VIH.
87,4 %
+
étaient d’accord avec l’énoncé suivant : « Pour qu’un individu soit certain du statut
sérologique de son partenaire, il incombe à l’individu de demander à son partenaire quel
est son statut. »
49,0 %
étaient d’accord avec l’affirmation suivante : « Je m’abstiendrais d’avoir une relation
sexuelle avec un homme séropositif au VIH, même si j’étais très attiré par lui. »
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 15 : ATTITUDES À L’ÉGARD DES HOMMES SÉROPOSITIFS AU VIH | p. 34
C
LOGEMENT ET EMPLOI
98,7 %
étaient d’accord avec l’idée que les personnes
vivant avec le VIH doivent avoir les mêmes droits
que les autres en matière de logement.
94,0 %
étaient d’accord avec l’idée que les personnes
vivant avec le VIH doivent avoir les mêmes droits
que les autres en matière d’emploi.
BIENFAITS DES MÉDICAMENTS POUR LE VIH
72,5 %
étaient d’accord avec l’affirmation voulant que,
maintenant qu’il existe des médicaments effieffi
caces pour traiter le VIH, les personnes séropositives peuvent avoir une vie sexuelle satisfaisante.
10,2 %
étaient d’accord avec l’énoncé suivant :
« Maintenant qu’il existe des traitements
anti-VIH, il est moins important d’avoir des
pratiques sexuelles à risque réduit. »
71,8 %
étaient d’accord avec l’affirmation voulant que,
maintenant qu’il existe des médicaments efficaces
pour traiter le VIH, les personnes séropositives
peuvent avoir la même qualité de vie que les autres.
ENFERMONS-LES ET
JETONS LA CLÉ!
M
X HOM
AU
AN
ADA
L
ES
M
APP
E
6969
C
AL
E CALL
Une faible minorité de répondants (4,1 %)
était d’accord avec l’énoncé suivant : « Les
personnes vivant avec le VIH devraient
êtres mises en quarantaine, c’est-à-dire
que la loi devrait exiger qu’elles soient
isolées des autres afin de protéger la
santé publique. »
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 15 : ATTITUDES À L’ÉGARD DES HOMMES SÉROPOSITIFS AU VIH | p. 35
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
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CRIMINALISATION DU VIH
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FEUILLET 16
L
E CALL
C
Les participants à Appel aux hommes ont été interrogés au sujet
du dévoilement de la séropositivité au VIH et le droit en 2012.
60,7 %
étaient d’accord avec l’idée qu’il devrait y avoir
une loi obligeant les personnes séropositives à
dévoiler leur séropositivité à leurs partenaires
sexuels.
62,1 %
étaient d’accord avec l’idée que les poursuites au
criminel accentuent la stigmatisation et la
discrimination à l’égard des personnes
vivant avec le VIH.
74,4 %
étaient d’accord avec l’idée qu’un
homme devrait être obligé de
dévoiler sa séropositivité à ses
partenaires sexuels même lorsque
sa charge virale est indétectable.
70,1 %
étaient d’accord avec l’idée
que des poursuites au
criminel devraient être
portées contre une
personne séropositive
qui a menti à propos
de sa séropositivité au
VIH lorsqu’on l’a questionnée
à ce sujet.
65,2 %
étaient d’accord avec l’idée
que le non-dévoilement de
la séropositivité au VIH à
des partenaires sexuels
devrait être considéré
comme un acte criminel.
47,5 %
étaient d’accord avec l’idée que les
poursuites au criminel retiennent ou
dissuadent les personnes qui croient
être séropositives au VIH d’aller
passer un test de dépistage.
30,3 %
étaient d’accord avec l’idée que
les poursuites au criminel sont
un moyen efficace pour
empêcher les gens de
transmettre le VIH à des
partenaires sexuels.
17,7 %
étaient d’accord avec l’idée que,
dans le contexte juridique
actuel, il est préférable de ne
pas connaître son statut VIH.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 16 CRIMINALISATION DU VIH| p. 36
Selon vous, un homme qui n’informerait pas ses
partenaires de sa séropositivité et qui aurait avec
eux des relations sexuelles anales non protégées
devrait-il être poursuivi au criminel?
17,2 %
Oui, toujours 41,9 %
Oui, dans certaines circonstances 40,9 %
Non, jamais
S’ils répondaient « oui, dans certaines
circonstances » à la question qui
précède, on posait aux hommes
des questions additionnelles de
clarification.
Un homme qui n’informerait pas ses partenaires
de sa séropositivité mais qui aurait avec eux
uniquement des relations sexuelles anales avec
condom devrait-il être accusé d’un acte criminel
pour ne pas leur avoir dévoilé sa séropositivité?
30,2 %
Oui
Non
69,8 %
Un homme qui n’informerait pas ses partenaires
de sa séropositivité et qui agirait dans le but
délibéré de leur transmettre le VIH devrait-il être
accusé d’un acte criminel?
Oui
96,7 %
Non
3,3 %
Si un homme séropositif recevait des relations
sexuelles orales sans condom, devrait-il être accusé
d’un acte criminel pour ne pas avoir dévoilé sa
séropositivité au VIH à ses partenaires sexuels?
M
X HOM
AU
AN
ADA
L
ES
M
APP
E
Oui
C
AL
E CALL
42,5 %
No,
57,5 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 16 CRIMINALISATION DU VIH| p. 37
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
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?
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LES INCONNUS
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FEUILLET 17
L
E CALL
C
LES INCONNUS
26,2 % des participants au sondage ne connaissaient pas leur
statut VIH, puisqu’ils ont répondu n’avoir jamais eu un test de
dépistage, ou pas récemment.
STATUT VIH INCONNU
26,2 %
STATUT VIH
6,6 % SÉROPOSITIF
SÉRONÉGATIF
67,2 %
OÙ SONT-ILS?
Les hommes qui ne connaissaient pas leur statut
VIH étaient plus susceptibles de vivre en région
rurale ou dans de petites villes, que dans les
grandes villes du Canada.
CONNUS
INCONNUS
LIEUX DE VIE DES HOMMES QUI NE
CONNAISSAIENT PAS LEUR STATUT VIH
20,3 %
37,9 %
41,8 %
LIEUX DE VIE DES HOMMES QUI
CONNAISSAIENT LEUR STATUT VIH
Montréal, Toronto, Vancouver
Urbain, autre
Rural
40,0 %
33,8 %
26,2 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 17 : LES INCONNUS | p. 38
SEXUALITÉ
Il y avait des différences remarquables entre l’identité
sexuelle des hommes qui ont répondu connaître ou ne pas
connaître leur statut VIH.
HOMMES QUI CONNAISSAIENT
LEUR STATUT VIH
HOMMES QUI NE CONNAISSAIENT PAS LEUR STATUT VIH
34,7 %
50,6 %
5,6 %
9,1 %
Gai
Bisexuel
Hétéro
Autre
67,2 %
25,7 %
2,7 %
4,4 %
RAISONS DONNÉES POUR NE PAS FAIRE DE DÉPISTAGE, PAR LES HOMMES QUI NE CONCON
NAISSAIENT PAS LEUR STATUT VIH
Je pense que je suis séronégatif : 83,1 %
Le risque que je contracte le VIH est faible : 74,6 %
PAS CE SOIR,
J’AI MAL À LA TÊTE.
Je ne sais pas où aller pour passer le test : 22,9 %
Je serais incapable de composer avec
Je n’y ai jamais pensé : 33,9 %
un résultat positif : 22,0 %
Un résultat positif pourrait nuire à mes relations : 39,0 %
J’ai peur que mon nom soit dévoilé : 18,6 %
Je veux passer le test, mais je ne l’ai pas encore fait : 29,9 %
Je préfère ne pas savoir : 17,0 %
RECOURS À DES SOINS DE SANTÉ
Les hommes qui ne connaissaient pas leur statut VIH ont utilisé moins souvent le système des soins de santé.
Recours à des soins dans les 12 derniers mois Statut VIH inconnu
Clinique sans rendez-vous
37,3 %
OUI
52,1 %
OUI
Médecin de famille
67,9 %
OUI
74,9 %
OUI
Médecin spécialiste
21,4 %
OUI
42,1 %
OUI
Infirmière/Infirmière praticienne
16,0 %
OUI
34,1 %
OUI
INFECTIONS TRANSMISSIBLES
SEXUELLEMENT (ITS) ET HÉPATITES
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M
X HOM
AU
ES
M
APP
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Les hommes qui ne connaissaient pas
leur statut VIH ont déclaré moins
d’hépatites et d’ITS.
L
C
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Statut VIH connu
Statut VIH inconnu
15,2 %
Oui, toute hépatite (déjà eu) 2,0 %
Oui, ITS (déjà eu)
Statut VIH connu
35,1 %
9,8 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 17 : LES INCONNUS | p. 39
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
M
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E
TRAITEMENT ANTI-VIH COMME
OUTIL DE PRÉVENTION
X HOM
AU
ES
M
FEUILLET 18
L
E CALL
C
PPrE et PPE
La prophylaxie préexposition (PPrE)
est une forme de traitement utilisé
pour la prévention : une personne qui
n’a pas l’infection à VIH prend des
médicaments contre le VIH, avant des
rapports sexuels, pour réduire son
risque de contracter le VIH.
La prophylaxie postexposition (PPE) est
également une forme de traitement
préventif : une personne qui n’a pas
l’infection à VIH prend des médicaments contre le VIH, après des rapports sexuels, pour réduire son risque
de développer l’infection à VIH.
Au Canada, la PPrE et la PPE en tant
que formes de traitements préventifs
demeurent controversées.
64,0 %
considéraient que prendre
une PPrE serait inefficace.
Efficacité
Les participants à Appel aux
hommes étaient interrogés au
sujet de la PPrE et de la PPE en
2012.
58,2 %
considéraient que
prendre une PPE
serait inefficace.
Dans quelle mesure croyez-vous que la prise quotidienne de médicaments
anti-VIH par une personne séronégative est efficace pour prévenir la
transmission du VIH?
13,7 %
Moyennement/peu efficace : 45,1 %
Totalement inefficace : 15,1 %
Ne sait pas : 26,1 %
Totalement/très efficace :
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 18 : TRAITEMENT ANTI-VIH COMME OUTIL DE PRÉVENTION | p. 40
Choix personnel
Dans quelle mesure faudrait-il qu’un médicament soit efficace pour
prévenir l’infection par le VIH, afin que vous l’utilisiez avant de donner une pénétration anale, sans condom, à un homme?
Toujours efficace :
70,3 %
Efficace la plupart/la moitié du temps/parfois :
20,9 %
Je ne prendrais jamais cette pilule :
8,8 %
Dans quelle mesure faudrait-il qu’un médicament soit efficace pour prévenir l’infection par le VIH, afin que vous
l’utilisiez avant de recevoir une pénétration anale, sans
condom, d’un homme?
Toujours efficace :
82,5 %
Efficace la plupart/la moitié du temps/parfois :
M
X HOM
AU
AN
ADA
L
ES
M
APP
E
Je ne prendrais jamais cette pilule :
C
AL
E CALL
14,0 %
3,5 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 18 : TRAITEMENT ANTI-VIH COMME OUTIL DE PRÉVENTION | p. 41
Ce document fait partie des 20 feuillets qui résument nos constatations sur les hommes qui ont des rapports
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M
Les rapports sexuels transactionnels sont définis comme des
relations sexuelles en échange d’argent, de drogues ou d’autres
biens ou services. Les participants à Appel aux hommes ont été
interrogés, à savoir s’il leur était arrivé d’avoir certaines formes de
rapports sexuels transactionnels au cours des 6 mois précédents.
15,1 %
ONT EU UNE CERTAINE FORME
DE RAPPORTS SEXUELS
TRANSACTIONNELS AU COURS DES
6 MOIS PRÉCÉDENTS.
PAYER POUR DES RAPPORTS SEXUELS
7,7 % ont donné de l’argent en échange de rapports sexuels.
2,2 % ont donné de la drogue en échange de rapports sexuels.
3,2 % ont donné d’autres biens ou services en
échange de rapports sexuels.
9,1 %
ont donné une forme de compensation
Au total,
pour avoir des rapports sexuels.
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 19 : RAPPORTS SEXUELS TRANSACTIONNELS | p. 42
AL
AN
ADA
APP
E
RAPPORTS SEXUELS TRANSACTIONNELS
X HOM
AU
ES
M
FEUILLET 19
L
E CALL
C
ÊTRE PAYÉ POUR DES RAPPORTS SEXUELS AU COURS
DES 6 MOIS PRÉCÉDENTS
7,4 %
3,5 %
4,7 %
Au total,
ont reçu de l’argent en échange de rapports sexuels.
ont reçu de la drogue en échange de rapports sexuels.
ont reçu d’autres biens ou services en échange de rapports sexuels.
9.2%
ont reçu une
forme de compensation pour des
M
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 19: TRANSACTIONAL SEX | p. 43
X HOM
AU
AL
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ADA
L
ES
M
APP
E
rapports sexuels.
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C
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sexuels avec des hommes (HRSH) au Canada. Veuillez visiter www.appelauxhommes.ca pour plus d’information.
M
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APP
E
DONS DE CHARITÉ
X HOM
AU
ES
M
FEUILLET 20
L
E CALL
Les participants à Appel aux
hommes étaient invités à répondre
à des questions sur les dons de
charité.
56,1 %
ont déjà fait un don à un organisme œuvrant dans le domaine du VIH/sida.
Lorsque vous faites un don de charité, quelle priorité accordez-vous au VIH/sida?
Priorité élevée
22,5 %
Priorité moyenne
35,5 % Priorité faible ou nulle 42,0 %
APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 20 : DONS DE CHARITÉ | p. 44
C
23,8 %
ont affirmé que les médias sociaux ont modifié leurs habitudes en
matière de dons de charité.
De ceux qui ont répondu que les médias sociaux avaient modifié leurs
habitudes en matière de dons de charité :
65,0 %
ont indiqué que Facebook avait
contribué à modifier ces habitudes.
19,3 %
ont indiqué que Twitter avait
contribué à modifier ces
M
X HOM
AU
AL
AN
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L
ES
M
APP
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habitudes.
C
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APPEL AUX HOMMES | FEUILLET 20 : DONS DE CHARITÉ | p. 45
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Male Call Canada Technical Report

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