Commençons par un beau sourire
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Commençons par un beau sourire
Mardi 23 Mars 2010 Laissons les gens s’exprimer librement “L’OPINIO N DE Pour tous le S JEUNES” sg Pour tous le oûts... s âges 2 pages le mardi + 2 p ages le jeudi con stamment ouvertes à tous vos éc rits Une véritable caverne d’Ali Baba à Kénitra ! 7 Quand j’invite les corbeaux à réciter les vers de l’espoir... Quand l’azur étale sa robe noire Mon esprit, las, invite les corbeaux A réciter les vers de l’espoir Et le monde me paraît plus beau. Quand l’arc-en-ciel décoloré serre Mon cœur vidé de sang Je me taîs, je cours et j’erre... Dans le sépulcre de mon être agonisant. Et te voila le Printemps, adieu les mots ! Rejouis-toi, danse et pleure ces paroles Prés de la marre, chante le rossignol Le refrain lugubre des corbeaux. Imane M’tahri (Etudiante en 2ème année à la Faculté polydisciplinaire de Safi) La devise de L’ODJ : * Agir d’abord, participer de quelque manière que ce soit, rectifier ensuite s’il y a lieu, recommencer tout à zéro s’il le faut...mais ne jamais rester inactif, à la recherche du parfait. Commençons par un beau sourire LA JOUTIA DE BENAABAD s’étend sur une aire de plusieurs centaines de mètres, non loin du stade municipal, à la lisière de la forêt Maâmora. Elle a emprunté son nom à la vieille Joutia qui se trouve en médina, à proximité d’un collège portant le même nom.. Contrairement à la vieille Joutia dont les activités commerciales s’étalent sur toute la semaine, l’autre marché aux puces ne se tient que le samedi et dimanche de chaque semaine. * LA NOUVELLE JOUTIA est considérée comme l’un des plus grands marchés aux puces du Maroc. C’est une véritable caverne d’Ali Baba ! Les vendeurs, à quelques exceptions près, déposent leurs marchandises à même le sol. On y trouve toutes sortes de produits. Des plus simples aux plus sophistiqués et des plus anciens aux plus récents. DES ACHETEURS, en quête de produits rares et à bas prix, viennent des différentes régions du pays. Si certains vendeurs de la joutia de Benaâbad se frottent les mains, ce n’est hélas pas le cas pour tout le monde. UN JEUNE VENDEUR qui attend avec impatience l’arrivée d’un acheteur ne comprend pas pourquoi il doit s’acquitter d’une taxe municipale de 5 dirhams alors que les Services municipaux n’ont rien fait pour aménager cet espace. Il trouve que cette taxe n’est pas justifiée. Fatima-Ezzahrae Haïtof ---( KÉNITRA )--- * C'EST UN TYPE qui va chez un médecin. Il lui demande : --- Docteur ! J'ai le cafard et des fourmis dans les pieds, pouvezvous faire quelque chose pour moi ? Le médecin lui répond : --- Oui. Je vais vous prescrire un insecticide ! * UN SINGE ENTRE dans un restaurant et demande au serveur : --- Monsieur, vous avez des bananes ? L e serveur lui répond : non ! Le singe : M'sieur, vous avez des bananes ? Le serveur : Non. Le singe : M'sieur, vous avez des bananes ? Le singe : M'sieur, vous avez des bananes ? Le serveur, énervé lui lance : --- Ecoutez, si vous me demandez encore une fois si j'ai des bananes, je vous cloue la langue sur la table ! Le singe : Vous avez des clous ? Le serveur : Non. Le singe : M'sieur, vous avez des bananes ? * ENTRE DEUX AMIS : --- Tu sais ce que font les Américains quand ils traversent la route dans un passage clouté ? --- Non ! Je ne sais pas ! --- Ils regardent à gauche, à droite puis en haut ! * UNE FILLE À SA COPPINE : --- Pourquoi à ton avis les dames peureuses sont toujours avec leur chat quand elles travaillent sur un ordinateur ? --- Je ne sais absolument pas, ma chère. Et toi ? --- C'est pour chasser la souris. * CE SONT DOUZE jeunes sèche-linge qui jouent au football dans le stade du quartier où ils habitent, puis arrive une machine à laver : ---Hé, les jeunes ! je peux jouer avec vous ?! Les sèche-linge se regardent puis éclatent de rire. --- Tu as déja vu une machine à laver jouer au foot, toi !? Blagues choisies par Mme Samah El Fadili ---( ASSILAH )--- Chaque jour qui passe... Chaque jour est une vie Chaque nuit est une mort. Quand on dort, On ignore notre existence, On vit dans un univers imaginaire On s’éloigne de la terre On ne sent plus la souffrance Notre corps est en veilleuse Entre la vie et la mort ! Chaque jour, la vie est merveilleuse Quand on ouvre nos yeux On quitte les cieux Et on commence une autre vie La vie journalière. Chaque matin est un début D’un guerrier ou d’une guerrière Sur un champ de bataille Les gens heureux récoltent le trésor Les gens malheureux récoltent la paille. Enfin, chaque jour est un vœu Aux alentours de notre vie Pour celui qui survit ou qui vit ! Jamal Bousselham (Casa) Adieu petit ange au paradis ! LES ANGES DU CIEL SE SONT REUNIS POUR T’ACCEUILLIR AU PARADIS, PETITE FLEUR A PEINE EPANOUIE. 19 BOUGIES SE SONT VITE ETEINTES. NOS COEURS SAIGNENT DE DOULEUR. MAIS C’EST L’APPEL DU SEIGNEUR. * Dédié a Kenza Squali de Fès à peine êgée de 19ans (étudiante à Al Akhaweyne) décédée le 13 mars 2010 suite a un accident de la circulation. “Inna lillah wa inna ilayhi rajioûne”. Mme Nezha Alami Talbi de Larache * Il n’ y a pas plus dur que de vivre dans un monde plein de pourriture humaine” Notre petite cité El Gara rêve de développement * JE REMERCIE infiniment la rubrique «L’Opinion des Jeunes» de m’avoir accepté comme l’un de ses fidèles lecteurs, d’une part, et aussi d’avoir publié mes précédents poèmes d’autre part. * A CETTE OCCASION, je formule mes vœux de bonne réussite à cette grande tribune qui nous permet d’exposer nos idées en toute liberté et évoquer des sujets concernant la vie en société. Je saisis aussi cette occasion pour écrire sur ma ville natale « El Gara » (appelée Boucheroud dans les années 60) et j’en suis fier parce qu’elle fait partie de mon enfance, de ma jeunesse, de ma vie... * EN EFFET, El Gara est une petite ville située dans la région de Chaouia Ouardigha éloignée de la capitale économique d’environ 50 km. Mais comme beaucoup de régions et de villes marocaines, elle souffre de plusieurs problèmes qui entravent son développement économique et social. * Sur le plan social : la pauvreté à cause du manque d’emplois, la marginalisation de certains quartiers par les travaux publics au niveau de la restauration des rues... le manque de sécurité qui provoque des agressions sévissant en plein jour, le manque de maisons de jeunes, etc. * Sur le plan économique : pas d’usines ni d’empois, fort impact de la corruption, manque de bonne citoyenneté dans la vie administrative. * IL EST VRAI, puisque je suis jaloux et très attaché à cette ville, j’incite sur l’instauration d’une politique sage, ferme et ouverte de la part de tous les promotteurs sociaux responsables de sortir El Gara de ces problèmes. Rachid El Anz (Prof. à El Gara) (Région de Casablanca) Elles sont bien bonnes ! * C'EST UNE DAME qui sort de chez le médecin : --- Zut ! je ne me rappelle plus si le docteur m'a dit Capricorne ou Balance... Je vais être obligée de retourner le voir... De retour au cabinet médical, elle demande : --- Docteur, vous m'avez dit Capricorne ou Balance ? Le médecin répond : --- Cancer madame, cancer... * C'EST UN JEUNE HOMME qui dit à son vieux père : --- Dès demain je pars chercher du travail à Marseille, en France. Sur ces mots, le père lui répond : --- Tu verras, mon fils. Là-bas, il y a de l'argent partout, il suffit de se baisser pour le ramasser. Le lendemain, le fils prend le bateau et arrive à Marseille. Il débarque et aperçoit sur le trottoir un billet de 500 euros. Alors il se dit : --- Oh ! hé ! puis non, je ne commencerai que demain... Blagues proposées par : Samir El Ahmadi ---( AZROU )--- UNE FLEUR ET UNE FEMME Un taxi et une femme Tous deux nous mènent quelque part. Une fleur et une femme Deux authentiques œuvres d’art. Une lune et une femme Deux diamants brillant dans le noir. Un portable et une femme Ça parle, ça parle et... ça parle Une télévision et une femme Ça parle de la vérité, du bien et du mal. Un oiseau et une femme Leur présence tellement remonte le moral Un livre et une femme Deux types d’enchantement qui temballent. Un café et une femme Ni trop amerss, ni trop sucrés Un revolver et une femme Deux spécialistes de l’art de tuer avec le regard Un chef et une femme L’un commande les hommes, L’autre commande les deux, en forme Une belle petite île et une femme Le paradis... partagé en deux. Abdeslam Slaoui ---( KSAR EL-KÉBIR )--- 6 Mardi 23 Mars 2010 Halte à la multiplication des chiens errants ! La médisance FACTEURS ET LECTEURS UNIS JUSQU’A LA DERNIERE LETTRE ! L’ODJ : une présence permanente depuis 42 ans, au service de la jeunesse de l’époque et de celle d’aujourd’hui Lettre de Montréal CE N’EST PAS DE MA FAUTE SI JE SUIS NÉ PAUVRE ! POUR MON ADORABLE PAYS, LE MAROC • ON M’APPELLE : l’erreur. Ce n’est pas de ma faute d’être né enfant pauvre étant donné qu’on ne choisit pas ses parents. Si j’avais le choix, je choisirais être fils d’un autre peut-être un Cheikh arabe ou un baron. Cette maudite guerre injuste pour l’argent et l’or noir m’a laissé seul sans famille, sans espoir. On me nomme “erreur” et ils disent : au nom de ma religion, je serais capable de tuer sans pitié ni émotion ! Non messieurs ! Ce n’est pas vrai. Je suis une erreur de votre propre création. Joignez-vous à moi, enfants pauvres de la terre, d’Asie, d’Afrique, d’Amérique et d’autres régions. En une seule voix, criez : pitié pour ces mères qui, injustement, perdent leurs époux et leurs enfants. Vivez la belle vie, vous, alors que pour nous, c’est la torture. Vous êtes les seigneurs et nous, à vos yeux, sommes un tas d’ordures. Alors, cachezvous derrière votre : «C’est pour votre protection»! Sachez qu’un jour, vous serez victimes de votre aveugle illusion. * JE PENSE À TOI, ô pays pur, chaque fois que je me sens seule. Ton océan de couleur bleue azur me sépare de toi et me rappelle le deuil d’un être cher qui est mon père. Tout ce que je vois maintenant c’est son cercueil. Cher pays, ton soleil chaud me brûle le corps. Je t’aime encore malgré ton orgueil. Pourrai-je survivre sur cette terre loin de toi, des miens et franchir le seuil du bonheur? Je t’ai quitté pour une aventure. Aimerais-je un jour ce pays d’accueil ? Ni l’expérience ni la gloire ne me rendraient un jour l’espoir de voir la beauté divine de ta nature, ton grand désert et ses merveilles étincelantes. Sans ton pardon, je vivrais le pire et seront empoisonnées toutes les feuilles qui me nourrissent de joie et de désir de te revoir peut-être un jour très proche... Aïcha Ben Al Arabi --- Montréal --- (CANADA) J’entre dans ton royaume en récitant des poèmes Il y a de cela à peine un mois Un beau jour où s’était dressée devant moi Une princesse, fille d’un noble roi Un ange qui, de sa douce voix, Avait pris d’assaut mon cœur, ma foi... Dès lors, aurore, aube, jour ensoleillé Crépuscule ou nuit étoilée Vinrent tous illuminer Ma douce et bienveillante destinée. De ton visage, la nuit, je rêve Et par ton sourire le soleil se lève. Traversant montagnes, collines et vallées Arrivé enfin aux portes de ton Royaume. Au cours d’une nuit froide et glaciale Le portail s’épanouit, ouvrant ses remparts de dédales J’entrais alors récitant des poêmes M’approchant de plus en plus De ma douce bien-aimée. Alors, mes sentiments tel des flots Se hâtèrent de courir vers cette fleur Les larmes jaillirent de mon cœur Lentement, elle m’embrassa. Un mois, n’est-ce autre qu’un jour, un soir ? Moi, vivant à présent éternellement Dans un monde orné de gloire Dans un monde fait de miroirs Reflétant inlassablement et à tout moment Une seule et unique image : Celle de ton resplendissant visage. Ainsi n’eus-je ressenti aucune peur Soudain, une main divine nous caressa Celle du Seigneur Tout-Puissant Ayant béni notre rencontre Et d’un rayon éblouissant, il nous montra Le chemin, la voie du bonheur, de la joie. Hymne à l’amour, hymne à la joie Ainsi eus-je trouvé la voie Me menant vers toi A travers tous ces reflets Hatim Tbaz (Lycée Sindibad / Olympiade) --- KÉNITRA --- Samedi dernier à Rabat Un carnaval afin de sensibiliser les élèves de l’école Al Hanane à une nutrition saine et équilibrée * DANS LA MATINÉE du samedi 20 mars 2010 et durant trois bonnes heures, l’espace vert de l’Association Ribat Al Fath à Rabat a vécu un événement haut en couleurs... et en significations profondes. Il s’agit du Carnaval annuel des élèves de l’école Al Hanane du quartier des “Orangers” placé cette fois-ci sous l’appétissant thème : “Fruits, Légumes et Santé”. Un thème d’actualité en quelque sorte puisque cet événement-là a coïncidé avec la Journée internationale sans viande. Eh oui ! celà ne fait aucun mal à l’organisme de devenir végétarien l’espace d’un petit jour, en attendant plus ! Lahbib Hamdi ---( KÉNITRA )--- * “La vie est un bon et instructif livre mais nuisible pour ceux qui ne savent pas le lire correctement” LETTRE À MON FILS Aide-moi à finir ma vie dans la sérénité et le calme... * PATIENCE, MON CHER FILS ! le jour où tu trouveras que je suis devenu vieux, essaie d’avoir de la patience dans ton comportement avec moi. Si un jour, je me salis en mangeant, sois patient avec moi. Si je ne me lave plus aussi souvent, ne me primande pas et ne me dis pas que c’est une honte ! S’il m’arrive à l’occasion de manquer de mémoire, laisse-moi un peu de temps pour me souvenir. Si un jour, je répète la même chose des dizaines de fois, ne m’interrompts pas. Seulement, écoute-moi. Lorsqu’un jour mes jambes ne me permettront plus de se déplacer comme avant, aide-moi de la même manière que je tenais tes petites mains pour t’apprendre à faire tes premiers pas et quand un jour je te dirai que je veux moirrir ne te fâche pas... Un jour, tu comprendras lorsque tu seras aussi dans mon cas. Mon cher fis, aide-moi à terminer ma vie avec amour et sérénité. Je compte sur te patience. Ton père : Omar Bouâzza ---( BIR JDID )--- * “Le pardon est une chose curieuse : il réchauffe le cœur et rafraîchit la blessure” De jeunes lycéens dénichent une idée pour servir et ne pas garder les bras-croisés -- A 09h, on a assisté à la cérémonie d’ouverture, marquée par une intéressante allocution prononcée par Mme Nadia Ouazzani, directrice de l’Ecole qui a particulièrement mis l’accent sur l’importance de l’événement et souhaité la bienvenue aux parents et à leurs enfants ainsi qu’aux personnalités invitées. Elle a tenu à remercier tous les participants, les organisateurs et l’Association Ribat Al Fath pour son hospitalité. Elle a par ailleurs insisté sur l’intérêt de la consommation des fruits et légumes par les enfants. * LE CARNAVAL a débuté ensuite, par l’exécution de danses par des enfants (habillés de manière originale arborant différentes couleurs châtoyantes). Les chansons, elles, étaient thématiqument bien choisies, rappelant aux parents présents leur belle enfance, à travers la célèbre : “Savez-vous planter les choux ?”. Il y avait aussi :“Salades et fruits”, “Croquez les légumes” (des chansons françaises conçues récemment dans l’Héxagone afin d’inciter les gens à comprendre les incomparables bienfaits de la consommation des fruits et des légumes). Côté animation et organisation, c’était parfait : On invitait les parents à participer au Carnaval des bambins et à savourer ces délicieux moments de nostalgie en chantant et en dansant en même temps que leurs petits. Quant à Mme Ouazzani, elle avait l’œil ouvert sur tous sur les enfants et ne s’est même pas donné le moindre petit moment de répit et ce, afin de veiller au grain au bon déroulement de toutes les • LES HABITANTS du quartier Ouled Oujih à Kénitra, se sentent menacés par la présence de hordes de chiens errants dont le nombre ne cesse d’augmenter au fil du temps. Ce qui présente un danger pour la population, particulièrement les fidèles qui se rendent le matin aux mosquées pour la prière du Sobh. A ajouter à cela tout le désagrément que cela comporte, à travers leurs aboiements incessants qui déchirent le silence de la nuit. A ce que je sache, dans le temps, il y avait une brigade composée d’agents municipaux qui parcouraient toute la ville avec une cage attelée à un mulet pour “attraper” tous les chiens errants. De nos jours, ces derniers se baladent librement... séquences de ce Carnaval. En passant, j’ai recueilli des témoiganges de parents qui ont fait l’éloge de l’Ecole et de sa formation, ainsi que de sa restauration et ses repas dont le choix varié est minutieusement étudié afin de répondre aux caprices de notre jeune progéniture. * EN CONCLUSION, je dirai que parents et enfants ont terminé la matinée par une danse attrayante en reprenant un refrain bien connu : “Croque, croque les légumes”. Ainsi, après avoir croqué la vie à belle dents, l’espace d’une petite matinée, tout le monde a donc repris le chemin de la maison satisfait et heureux d’avoir passé un moment agréable de divertissement. Souâd Laâzouzi * NOUS SOMMES un groupe de jeunes lycéens (garçons et filles) de Rabat dont l’âge moyen est 16 ans. Nous avons l’ambition d’aider notre société en participant aux œuvres sociales à notre manière, et ce, en donnant des cours à des tarifs très symboliques -notre but est loin d’être commercial -- et en aidant les gens à être servis chez eux, comme cela se fait dans d’autres pays développés. Notre action est axée sur des cours de soutien scolaire (à domicile : 70 dh -- en groupe : 50 dh) à donner aussi à des enfants en bas- âge, organiser un anniversaire ou tout autre événement, s’occuper de faire des courses ou garder des enfants dans la limite de notre temps disponible. Notre e-mail à l’intention des couples qui veulent faire appel à notre service social est le suivant : [email protected] GSM : (06)-48-87-75-91 Merci de votre soutien à notre action, ce qui nous permettra à nous aussi d’avoir un peu d’argent de poche. Un groupe de jeunes ambitieux --- RABAT --- * “Ce qui est passé est fini, ce que j’espère est absent... mais le présent est à moi, pleinement à moi” Sport favori de ceux qui n’ont rien d’utile à faire * IL Y A EN SOCIÉTÉ de ces énergumènes qui ne trouvent leur plaisir, voire leur repos moral, qu’en colportant des commérages fabriqués de toutes pièces sur les autres. Ces autres-là qu’ils ne connaissent parfois ni d’Eve ni d’Adam mais qu’ils tiennent tout de même à égratigner de leurs flèches empoisonnées et cela, bien entendu, en l’absence de leurs pauvres victimes du jour ! Ainsi, les infatigables colporteurs de ragots -- remarquez que ce mot est tiré du vieux verbe « ragoter » qui n’est plus usité et qui signifie tout simplement : grogner comme un sanglier -- font des mains et des pieds pour nager dans toutes les eaux troubles disponibles ! mais tout en éclaboussant froidement des gens honnêtes et propres dont le seul crime est de s’être trouvés un jour sur leur passage ou dans leur ligne de mire. * LES COMMÉRAGES sont donc pour ces individus plus qu’une mauvaise habitude ou un passe-temps maladif. Ils constituent à leurs yeux un véritable plaisir auquel ils ont goûté et dont ils ne peuvent plus se passer, tellement ils en sont devenus dépendants à force d’entraîner leur langue à commettre ce «délicieux» et non moins sinistre méfait. Par conséquent, seule une cure de désintoxication pour ces types, en empruntant le droit chemin de s’occuper essentiellement de ce qui les touche (ce qui les regarde surtout), est à même de les sortir du marécage des racontars et de la boue des bavardages stupides et sans lendemain. En priant aussi pour que le Tout-Puissant les débarrasse au plus vite de cette enivrante saleté de l’âme qu’ils reniflent à longueur de journée. Mounir RAHMOUNI * "Faire des éloges à outrance est flatterie. Taire les mérites d'autrui est incapacité ou jalousie". Citations de Ali Ibnou Abi Talib Certains mendiants savent se remplir les poches ! • PRIER, IMPLORER, SUPPLIER,... tous les moyens sont bons pour soutirer quelques pièces et pourquoi pas carrément un billet ?! Un flot d’hommes, de femmes et même d’enfants «travaillent» ainsi du matin au soir, chacun dans leur secteur. Infatigablement, ils parcourent comme des ombres indomptables les différentes artères et rues des villes marocaines. Des enfants, des vieillards et même des personnes malades, sont également enrôlés pour mieux apitoyer les passants les plus circonspects. Pour faire un maximum de bénéfices, les méthodes de mendicité se MODERNISENT incontestablement et régulièrement ; les mendiants utilisent à chaque fois de nouvelles techniques. Fatima-Zahra de Kénitra * P. S : : J’espère qu’un jour il n’y aura plus de mendiants et que la mendicité disparaîtra à plus jamais de nos rues. Elle blesse la vue... CONNAISSEZ-VOUS “LA DERNIERE” ? * DEUX FOUS ERRENT dans le désert depuis plusieurs jours. Ils meurent de soif. --- J'ai un truc infaillible pour lutter contre la soif, déclare le premier. --- Ah oui ! c'est quoi, interroge le second. --- Il faut sucer des cailloux. --- Alors c'est foutu ! Ici il n'y a que du sable à perte de vue et pas de cailloux. Un long silence. Et puis les deux naufragés du désert reprennent leur pénible progression sur les dunes brûlantes. --- On serait sauvés si on trouvait une rivière ! s'exclame soudain le second fou. --- Tu as raison, répond le premier. Au fond des rivières il y a toujours des cailloux... Blague proposée par Mlle Hakima El Alami ---( AL HOCEIMA )---