le vitrail - Salon de Montrouge

Transcription

le vitrail - Salon de Montrouge
16e Salon de Montrougc
Art contemporain
1) M ai - 6 Juin 1971 - Salle des Fêtes - Centre A dm in istratif
LE VITRAIL
££ 2-58-30
frères
eurs,
o ffse t.
blicité
CERTINA D.S.
la m ontre du siè cle la plus ré sista n te
EN VENTE C H E Z
t . G M T©
j
H O R LOGER IE - BIJOUTERIE
★
52, avenue de la R épubliq ue
M o n tro u g e — Tél. : 253-21-20
____________________ ____ ________ ____ J
JO Ü BLIV
FLEURISTE
★
Place de la L ib é ra tio n
Tél. : ALE. 22-16
★
S e rv ic e in te rflo ra
-------------------------------------------------------------------------------- -------- j
Tous les c adeaux po u r v o s listes de mariage
et en to u te s o c c a s io n s v ous attende nt chez
t». VEPDIEB
;
134, avenue de la République - M ontrouge
T é l.: 253-01-98
• o b je ts d ’art en étain - cuivre
• lum inaire m oderne - style - rustique
• ORFÈVRERIE Inox - A r g e n t
jj
PO R C E LA IN E - FAIENCE - C É R A M IQ U E
C R IS T A U X
î
j
Un choix considérable,
beaucoup d’idées à petits et grands prix
j
j
------------------------------------- ---- ,--j
C^atcle
66, rue Louis-R olland - M ontrouge
Tél. : 253-26-10
et
Johany
92, avenue de la République - M ontrouge
Tél. : 735-25-66
S o in s de beauté - p a rfu m e rie -d ié té tiq u e
D é p o s ita ire des plus g ra n d e s m arques
de p a rfu m s
imprimeurs
5-7, rue V ic to r-B a s c h
M O N T R O U G E
Téléphone :
253-23-74
i m p re s s io n s
TYPO-OFFSET
r
E. P . I. C.
R e p ro d u c tio n s
en
de
c a le n d rie rs
maîtres,
co u le u rs
de tableau x
et
cadeaux
p u b lic ita ire s im prim és
50, rue de Bagneux - Montrouge
Tél. : 655-66-99
C.L.Û.T.
Toute la D é co ra tio n
R e p ro d u c tio n s d 'A r t - E ncadrem en ts tous styles
A g e n c e m e n t et d é c o ra tio n ; appartem ents,
bureaux, b o utiqu es
65, rue de Bagneux. Tél. : 253-89-70
92-MONTROUGE
De la naissance à 6 ans...
AU KOUTOM
V'OR
Tél. : 253-45-02
132, avenue de la République - M ontrouge
D é p o s ita ire des plus grandes m arques
Egalem ent po u r maman
lingerie, corsages, robes, m aillots de bains,
bas.
comité
Président :
M. H. G INO UX
M a ire de M o n tro u g e
C o n s e ille r G én éral des H a u ts-d e -S e in e
Com m issaire général :
M ,ic P ierrette COUR
C om m issaires adjoints :
MM. A. BLIN et P. NIKO LITCH
S ecrétariat :
M le ANDREOLI
M em bre d'honneur :
M. M arcel DERULLE
jury 1971
M
C écile GOLDSCHEIDER
MM.
Paul B ELM O N D O , Jean DALEVÈZE, C. FLEURY,
Arnaud HAUTERIVES, HABERT, Pierre IMBOURG,
G érard MURAIL, Adam SAULNIER, Robert VRINAT.
E xposition réalisée avec la c o lla b o ra tio n de la C om p a g n ie
des C o m p te u rs de M o n tro u g e , de M M . Jean Le Duc,
S tre lk o ff et Jean Barthélém y, et grâce aux prêts du C o n s e r­
v a to ire national des A rts et M étiers.
D é c o ra te u r : F rédéric Blin.
Hommage à l'ingénieur
René
BARTHÉLÉMY
P ionnier de la Télévision
1889-1954
L a carrière de R e n é Barthélém y fut partagée entre les
réalisations ingénieuses et des d é v e lo p p e m en ts théoriques qui
ne trouvèrent leurs applications que plus tard. Il fut donc non
seulem ent un pionnier mais aussi un précurseur.
D e vieille famille beauceronne, c o m m e son cousin
Charles Péguy, il est né à Nangis le 10 mars 18 89 . Ingénieur
d iplôm é de l’école supérieure d ’électricité, il resta au laboratoire
de la télégraphie militaire du général Ferrié depuis 1 9 1 6 jus­
q u ’à la fin de la guerre. L a notoriété de Barthélém y est due
avant tout à la télévision e t c ’est dans ce dom aine en effet que
se révèlent ses créations les plus im portantes. M ais le nom bre
de ses inventions, grâce à l’aide clairvoyante de la Compagnie
des C o m p te u rs d e M ontrouge, est impressionnant. Il avait réa­
lisé en 19 22 les prem iers récepteurs T.S.F. alim entés directe­
m ent par le secteur et, plus tard, au m o m e n t de la D euxièm e
G uerre mondiale, il expérim enta le prem ier radar, deux ans
avant les Alliés. L orsqu e la C om pagnie d e s C om pteu rs créa un
service télévision, son am i Jean L e D uc l’appelle au laboratoire
(e n tre
P re m ière d é m o n s tra tio n p u b liq u e de R a d io v is io n du 14 a v ril 1931.
l’é m e tte u r de M o n tro u g e e t l’ E cole S u p é rie u re d ’E le c tric ité de M a la k o ff)
A l'extrêm e gauche : René Barthélém y —
à l'extrêm e droite : V la d im ir S trelko ff.
d'études de ce départem ent. C ’est ainsi que le centre expéri­
mental d e télévision de M ontrouge entre dans l’histoire de la
technique française, et c ’est là que Barthélémy va gagner une
renom m ée mondiale.
N ul n ’a oublié la prem ière démonstration publique de
« Radio Vision » du 14 avril 19 3 1 . Ce jour-là, Barthélémy et
ses collaborateurs L a m b lo t et Strelkoff ont transmis entre M o n t­
rouge et Malakoff, avec un analyseur 3 0 lignes (15 0 0 0 points
par seconde...) des images cependant suffisamment stables et
pures, agrandies par un systèm e de trois miroirs.
En 193 5, sur l’initiative du ministre G eorges M andel, la
télévision est exploitée régulièrement et la Tour Eiffel est uti­
lisée pour l’antenne. En 19 45, Barthélém y porte la définition
de l’image à 1 0 1 5 lignes; en 1 94 7 , il établit des projets précis
sur les relais en Europe et en France sur la télévision en
couleurs. Il fut élu à l’A c a d é m ie des Sciences le 18 m ars 194 6
et la remise de son épée eut lieu dans les studios d e la rue
Cognacq-Jay le 1 6 n ovem b re 1 9 4 6 et fut naturellement télévisée.
T ourm enté toute sa vie par une douloureuse maladie, René
Barthélém y m eurt en 1954. Une rue de M ontrouge doit rece­
voir son nom le 3 juin 1971. Cette décision de la municipalité,
et l’exposition Barthélém y présentée dans le cadre de ce
1 6 e Salon, sont un h om m age au savant éminent, à l’ingénieur
d ’une prodigieuse habilité technique, à l’auteur d ’innombrables
inventions, à l’un des créateurs de la télévision.
• Le 2 JUIN 1970, à 21 heures
CONFÉRENCE
de
M onsieur Jean LE DUC
et
M onsieur V la dim ir STRELKOFF
sur
le panorama historique et l’évolution technique
de la télévision
« C ru c ifix io n »
vitrail de
G e o rg e s
Rouault.
Exécution :
H ébertS te ve n s (1939).
GLOIRE
ET VICISSITUDE
DU VITRAIL
Le vitrail est né en même temps que les cathédrales et cette
rencontre dans le temps de ces deux grandes créations, ne saurait
être considérée comme une coïncidence. Le verre coloré était connu
depuis longtem ps et déjà utilisé architecturalem ent, en particulier
en Orient. M ais c’est au m om ent où se construisirent les églises
rom anes q u ’on eut l’idée de s’en servir pour de véritables composi­
tions picturales, que traversait la lum ière du jour, et surtout d’en
couvrir toutes les fenêtres d ’une église. On obtenait ainsi, à l'inté­
rieur de celle-ci, ce climat de som ptuosité et de mystère qui a tou­
jours été le don essentiel du vitrail à l’architecture.
Les églises rom anes primitives étaient basses et massives, les
murs épais ne s’ouvraient à la lum ière que par de petites fenêtres
aux larges ébrasures. En garnissant celles-ci on dim inuait encore
leur luminosité, mais on la rendait plus ém ouvante. En même temps
que le sentim ent religieux disposait les fidèles aux appels intérieurs,
les form es architecturales, les chants, les couleurs achevaient de
les arracher à toutes les contraintes terrestres.
Cette conspiration de la pensée avec toutes les formes de l’art,
qui caractérise toutes les grandes époques, apparaît au X Ie siècle,
mais elle se confirme et se développe dans les siècles suivants. Ce fut,
pour le vitrail comm e pour l’architecture, le temps de ce qu’on peut
appeler la conquête de l’espace. Alors en effet, l’homme se crée
une dem eure à sa mesure, et cette dem eure, la cathédrale l’est to u ­
jours pour nous. Q u’on y entre seul ou qu’on y rejoigne des assem­
blées com m unautaires, on se sent à l ’aise dans ce grand cubage
d’air, dont nous rassurent les lointaines mais solides clôtures, cepen­
dant que les vastes surfaces colorées prolongent jusqu’à l’infini
notre désir.
La cathédrale gothique a réalisé au-delà de notre attente cet
équilibre difficile et toujours souhaité du fini et d ’un certain infini.
C ’est pourquoi, du vitrail qui fut associé à cette réussite, nous ne
pouvons plus parler q u ’avec vénération. Pendant trois siècles encore,
à travers des vicissitudes diverses s’est prolongé ce triple accord
de la religion, de l’architecture et de la couleur. Puis une dislocation
s’est produite. Les églises ont cherché à s’adapter à une société qui
devient rationaliste. L ’hom m e a vu s’orienter différemment son
destin et s’est mis en route vers de nouvelles étoiles. D ans ce
départ précipité il a semblé, fait significatif! abandonner le vitrail.
Le X IX e siècle n ’a pas ratifié cet abandon mais c’est tout de
même à nous q u ’il appartient de décider s’il sera ou non définitif.
M ais revenons à nos cathédrales. Dès la fin du X II' siècle, le
vitrail était devenu la peinture privilégiée des églises d ’occident. On
avait éprouvé les affinités de cette technique avec la grande archi­
tecture qui s’élaborait alors, et avec la foi qui l’inspirait. C ’est avec
raison que M alraux a pu écrire « la plus belle peinture du X IIIe siè­
cle, ce n ’est ni telle fresque d ’église, ni tel tableau de musée, c’est
le vitrail de l’arbre de Jessé ou N.-D. de la belle verrière de
C hartres. »
D ans plusieurs pays occidentaux l’usage de la fresque si ancien
dans l’art chrétien, s’atténue en effet. D ans les très hautes cathé­
drales du X IIF siècle, il est bien certain que l’éclat et la m onum en­
talité du vitrail l’em portent sur les mérites de la peinture murale.
Et il convient en même temps de noter que — en dépit de l’habi­
tude des verriers de semer d ’anecdotes leurs grandes compositions,
le vitrail, au rebours de la fresque, ne nécessite pas, pour accom plir
sa mission dans l’église, la lecture détaillée de ces anecdotes. Le
graphisme (la géom étrie des encadrem ents par exemple) plus encore
la richesse des couleurs y suppléent. I.a mission de la peinture d ’église,
celle du vitrail en particulier, beaucoup plus que d ’enseigner, est
d ’ém ouvoir les croyants et, en les plaçant dans un climat lum ineux
spécialement conditionné, de leur donner le sentim ent d ’une P ré­
sence surnaturelle qui les soustrait au m onde m atériel. Avec l’archi­
tecture et la musique, arts auxquels il s’associe étroitem ent, le vitrail
des X II8, X III" et X IV 8 siècles répond adm irablem ent à cette fin.
Il fait en sorte, selon le mot repris par le Père C outurier au G reco,
que « la lumière du dehors ne vienne pas troubler notre lumière
intérieure ».
A partir du X V e siècle, se répand le goût du tableau peint à
l’huile. C ’est alors que derrière les autels, sur les m urs des chapelles
se déploient les rétables qui, à la sensibilité des fidèles proposent des
sujets plus accessibles et traités dans un style plus naturaliste. On
n’en continue pas moins de couvrir de vitraux les fenêtres. Mais ces
vitraux, outre qu’ils laissent passer plus de jour (il faut q u ’on voit
les rétables) se conform ent au goût de l’époque et tendent à devenir
eux-mêmes des tableaux. Il arrive d ’ailleurs que vitraux et rétables
portent les mêmes signatures. Cela est fréquent en Italie où l’on
peut attribuer des vitraux à la plupart des peintres du Trecento et
du Q uattrocento. En France on s’est le plus souvent contenté de
s’inspirer de ces peintres, q u ’ils soients Italiens, Flam ands ou A lle­
mands. On a beaucoup utilisé les gravures de D iirer mais nos ver­
riers français, A rnould de Nim ègue, Engrand-Leprince, D um ontier
en N orm andie n ’avaient-ils pas dès lors renom de peintres. De même
Lécuyer à Bourges, Bourdichon en Cham pagne, A rnauld de Môles
en Gascogne.
Le tem ps de la Renaissance est venu, qui fut aussi celui de
la R éform e et de la Contre-réform e. D ans les églises s’affirme un
nouveau style d ’architecture qui répond mieux à la vie religieuse
de ce temps. On veut des églises claires et on réduit le vitrail à
quelques bordures décoratives ou à des motifs symboliques, qui
enrichissent de quelques bleus et ors le blanc des fenêtres. C ’est
alors qu'apparaît le vitrail profane qui, sous form e de petits pan­
neaux, s’introduit dans les d em eures bourgeoises, dans les H ôtels de
Ville. C e n ’est d ’ailleurs là qu 'u n e m ode passagère qui ne réussit
pas à sauver le vitrail d ’une disparition qui devint à peu près
com plète à la fin du X V I I I e siècle.
Le X I X e siècle va-t-il suspendre ou confirmer cette disparition?
Plusieurs initiatives ont joué alors en faveur du vitrail. L a première
fut celle de la M a n u fa c tu r e de Sèvres. B rongniart, qui la dirigea
pen d a n t un demi-siècle pensa que l’art d u vitrail devait constituer
l'une des attributions de celle-ci. Il en modifia d ’ailleurs la technique
p o u r l’a d a p te r à l’usage, traditionnel à Sèvres, de l’émail. E t bien
entendu, fidèle à l’esprit de son époque, il en fit u n e réplique du
tableau. Il eut toutefois le m érite de s’adresser à des peintres en
renom , tels Deveria, D elaporte, C h e n a v a rd et m ê m e Ingres et D e la ­
croix. La famille d ’O rléans devait s’intéresser à cette tentative et
o rn e r de vitraux de Sèvres les diverses chapelles qui s’élevaient sur
ses d om ain es : Eu, N euilly et surtout D reux.
C ep en d a n t, e n c ouragé p a r le rom antism e, u n intérêt puissant
s’éveillait en F ra n c e p o u r tout ce qui était médiéval. C ’est alors que
sous la direction de la toute récente C om m ission des M o n u m e n ts
Historiques, on c o m m e n ç a de restaurer les églises anciennes. A u
travail considérable d ’architecture, qui fu t pris en charge p a r cette
C om m ission, vint très vite s’ajo u ter celui de la restauration des
vitraux anciens. C e fut l’occasion de ro u v rir les ateliers des maîtresverriers ferm és depuis plus d ’u n siècle. E n m êm e temps, notons-le,
reprenait vie une p ratiq u e religieuse, u n m o m e n t ébranlée p a r la
philosophie d u X V I I I e siècle et les grandes secousses de la R é v o ­
lution.
O n peut discuter de la valeur des restaurations entreprises alors
à travers toute la F rance, regretter certains partis-pris, déplorer cer­
taines disparitions, peut-être certaines fuites. O n regrettera aussi,
en ce qui con cerne le vitrail, la prim a u té d o nnée à l’archéologie sur
l’esthétique. M ais il est bien certain que si l’on n ’avait pas alors
consenti à u n travail qui s’avérait d ’une urgence extrême, ce sont
la p lu p a rt des che fs-d’œ uvre du passé qui risquaient de disparaître
à jamais, et d ’a bord les vitraux qui sont, ne l’oublions pas, des
œuvres fragiles et d ont s’impose p é rio diquem e nt la révision.
L e u r resta uration dans l’ensem ble f u t bénéfique. M ais la res­
tau ration, c ’est aussi parfois la reconstitution, q u a n d d ’im portants
m o rce au x v ie nn ent à m a n q u e r. Q u an d un e fenêtre entière a été
détruite, la reconstitution devient pastiche, pratiqu e parfois néces­
saire, mais qui ne se justifie que dans u n cadre très limité. O n eut
tort de l’ap pliquer à des édifices entiers ou à de larges parties
(chœ urs o u nef) de ces édifices.
O n fit davanatge, on en vint à introduire le pastiche dans les
constru ctions nouvelles. A partir de 1860, on a bâti des centaines
d'églises en copie de style ro m a n et surtout gothique. Les vitraux
qui ont été exécutés à destination de ces églises p a r les ateliers
de restauration, ne sont le plus souvent que de pâles et froides
copies des vitraux anciens.
On doit en dire autan t du vitrail profane, que l’on c o m m a n ­
dait alors en quantité im portante p o u r les châteaux, les Hôtels de
Ville, plus ou moins gothiques ou Renaissance. L a copie médiévale
qui s’est imposée presque ju sq u ’à la fin du X I X e siècle a été p a r ­
ticulièrement néfaste au vitrail.
L ’imagerie saint-sulpicienne ne fut pas meilleure conseillère
dans ces églises nouvelles p ou r lesquelles on avait adopté un style
com posite mi-copie d ’ancien, mi-m oderne, ce style devait s'imposer
ju sq u 'au prem ier tiers du présent siècle rec u lan t toutes les te n ta­
tives de construction m oderne. Les vitraux q u ’on exécutait p o u r
ces églises, et q u ’on plaçait indifférem m ent dans les églises an cien­
nes s’inspiraient de cette sorte d ’académ ism e qui sévissait alors
dans l’ic onographie religieuse. De plus étaient-ils presque toujours
grossiers de dessins et de couleurs.
C ependant, dès le début du siècle, quelques peintres avaient
réagi contre ces pratiques et s’efforçaient d ’engager le vitrail d ’église
d ans des voies nouvelles. Ces voies avaient été ouvertes p a r ce
q u ’o n a appelé le modernstyle, ou style 1900 et qui déjà, se m a n i­
festait dans l’art décoratif du X I X e siècle finissant.
N o u s ne pouvons pas, dans ce p arcours à vol d ’oiseau de
l'histoire d u vitrail, d o n n e r la place q u ’il m érite à ce m ouv em ent.
Le style 1900 m a rq u e un m o m e n t fugace, mais fort intéressant de
l’histoire de l’art, et la place q u ’y o ccupe le vitrail est loin d ’y être
négligeable, q u o iq u ’au c u n e œ uvre d ’intérêt m a je u r n ’en soit sorti.
Il
y avait alors divorce entre la peinture p ro p re m e n t dite,
dom inée depuis déjà plusieurs décades p a r l’Ecole Impressionniste,
et l’A rt décoratif, qui rép o n d a it au goût, quelque peu frivole, mais
nous l’avons dit, non sans intérêt, d ’un large public. U n e école
spiritualiste, le symbolisme qui s’intercala quelque temps entre l ’impressionisme de la fin du X I X 1' siècle et l’expressionism e du début
du X X e et entretint quelques curieuses complicités avec l’art p r o ­
fane 1900.
C ’est de cette école que devait sortir p a r d ’assez étranges
détours, ce que nous pouvons appeler la prem ière renaissance du
vitrail d'église. N o u s devons toutefois d o n n e r quelque attention à
cette floraison du vitrail p ro fa n e qui o cc u p a les années 1880-1910,
ceci p ou r deux raisons. D ’a b ord p o u r souligner son échec, qui
nous rappelle celui d u vitrail bourgeois du X V I e siècle. Est-il dit
q u ’il ne peut y avoir de vitrail que religieux? Il fa u t rec o n n aître
que dépouillé de toute valeur spirituelle, le vitrail tend à p e rd re de
sa valeur et m êm e à to m ber au rang de p roduction com merciale.
Les vitraux de brasserie et de vestibule de l’époque 1900 sont une
dérision q u an d on les co m p are à ceux des grandes époques. Ils
ont d'ailleurs perdu ju s q u ’à la couleur, qui est l’une des c o m p o ­
santes essentielles d u vitrail. Et le dessin m êm e n ’est plus q u ’un
en chev êtrem ent de lignes, do n t le plomb n ’arrive pas à cimenter
la construction.
C e p e n d a n t il a p p a raît à les bien regarder que cette dég ra d a­
tion n ’était pas inévitable. O n a conservé certains vitraux de G r a s ­
set, de G u im a rd , de Besnard, d o n t l’intérêt est certain. C e ne sont
p o u rta n t pas des vitraux d ’églises, mais ils ont conservé une valeur
spirituelle d ’essence poétique. Précisém ent la peinture des grands
symbolistes de cette époque, un G a u guin, un Odilon Redon, un
G u stave M orea u, u n Sérusier, un M aurice D enis a égalem ent
valeur poétique. Les deux prem iers aura ien t certainem en t fait d ’ex­
cellents vitraux si l’idée leur était venue d ’en faire et M a u ric e Denis
qui en a fait vingt ans plus tard, les eût ce rtain em ent fait meil­
leurs si on les lui avaient dem an dés au temps de sa période
symbolique.
Le vitrail 1900 est p o u r nous une leçon. Il nous enseigne à la
fois — et nous y reviendrons -— les écueils qui guettent le vitrail
p ro fa n e et les possibilités qui s’offrent à lui.
C ’est peut-être à l’Ecole des préraphaélites anglais q u ’il faut
r attach e r le renouve au du vitrail religieux. D eux de leurs disciples
avaient ouvert en Suisse un atelier où des recherches intéressantes
fu re n t poursuivies. E t ce fut aussi en Suisse et dans le voisinage
de cette atelier que le Polonais MehofFer com po sa p o u r la ca th é­
drale de F rib o u r g une série de vitraux libérés à la fois des poncifs
m éd iévaux et de l'académ ism e dévot, en m ê m e temps q u ’étrangers
à la tentative de laïcisation du vitrail.
Q uelques années plus tard, le peintre suisse A lexand re Cingria
co m m en ç ait sa longue carrière de peintre-verrier (N otre -D a m e de
G enève, 1912). Le passage d u tableau au vitrail se fit chez lui
co m m e naturellem ent, son sens de la com position m o nu m e n ta le et
son goût des couleurs fortes le rattach a n t, sans q u ’il ép ro u v â t le
besoin de les copier aux plus anciennes traditions de l’art du
verrier. P oncet qui devint le gendre de M a uric e Denis, s’associa
à Cingria p our l’exécution des vitraux de Saint-Paul de Genève.
A son exemple, des peintres allemands, hollandais, anglais,
o u vrire nt des ateliers de vitraux. Des peintres français firent de
même, entre autres Louis Barillet, Je an H ébert-Stevens avec qui
vinrent travailler Pauline Peugniez, Jacques Le Chevallier, le fu tu r
dom inicain P ierre C outurier. Ces ateliers devaient au cours des
années 1920 et suivantes acco m plir un im p o rta n t travail de r e c h e r ­
ches, d ’o ù peu à peu se d égagèrent des conceptions plus saines de
l’art du vitrail. E n m ê m e tem ps ils e m p ru n taie n t aux écoles de
peinture contem p oraine, l'un (l’atelier Barillet), une certaine écri­
ture cubiste, l’autre (atelier Hébert-Stevens) un tachism e de te n ­
dance expressionniste. L à fu re n t exécutés les cartons d u peintre
M aurice Denis am i de G eorges Desvallières. Ces essais, p o u r inté­
ressants q u ’ils soient ne fu re n t toutefois pas assez spectaculaires
p o u r am en e r au vitrail les peintres qui, à ce m om ent-là, inventaient
le cubisme et la peinture abstraite.
C ependan t, des expositions d ’art religieux s’organisaient et
le vitrail y occu pait une place im portante. C e fut à l’occasion de
l'une d'elles que le peintre-verrier H ébert-Stevens exposa, à titre de
recherche et d ’essai, quelques petits vitraux exécutés sur cartons
de R ouault, de G ro m aire, de Je an Bazaine.
A n cien élève de G ustave M o rea u , R ouault, par ses attaches
idéologiques et sa technique m êm e de peintre, semblait depuis lo n g ­
temps désigné p o u r le vitrail. U n curé savoyard qui bâtissait alors
Li ne chapelle fut le premier, sinon à s’en apercevoir, du m oins à
en tirer les conséquences. Il fit l'acquisition d ’un des vitraux p r é ­
sentés à l’exposition. D an s le m ê m e tem ps il d e m a n d a it des tableaux,
des céram iques, mosaïques, tapisseries, sculptures à B onn ard,
Matisse, Léger, L urçat, Chagall, Braque, Lipschitz, G erm a in e
Richier réalisant ici une sorte de Sainte-Chapelle de l’A r t M oderne.
P arm i les autres vitraux c o m m an d é s p o u r cette m êm e chapelle il
faut citer ceux de Jean Bazaine, qui s’ap p a ren ta ien t à ceux d u v e r ­
rier suisse H a n s Stocker, ceux de Berçot qui fu re n t les premiers
vitraux com posés de verres n on peints, ceux du P. C o u tu rie r qui
était d evenu l’am i et conseiller du cu ré d ’Assy, l ’abbé D evem y, enfin
pou r la crypte, quelques années plus tard, ceux de Chagall (exécut.
Bony Hébert-Stevens).
A près la chapelle d ’Assy, fu t bâtie celle de Vence. M atisse qui
en avait pris toute la direction y p laça plusieurs vitraux de sa c o m p o ­
sition qui s’app aren ta ien t à ces papiers peints auxquels il d onnait
alors toute son attention et q u ’il com posait d ’un petit n o m b re de
couleurs vives (dans les vitraux de Vence, u n vert, un jaune, un
bleu déterm inés avec la plus grande précision) et q u ’il couvrit de
motifs floraux (exécut. Bony).
Puis ce fut l’église d ’A u d in c o u r t que F e r n a n d L ég e r c e intu ra
de vitraux q u ’anim aien t des motifs symboliques de la Passion. Ces
vitraux fu re n t exécutés p a r Jean Barillet en dalles de verre noyées
dans le ciment, procédé mis au point depuis quelques années p a r
les ateliers G a u d in et L ab o u ret, et d o n t il fut ici tiré parti p o u r
la prem ière fois. A u lieu en effet de soum ettre ce m a téria u à u n
m artelage systém atique qui ne d o n n ait que des effets f r a g m e n ­
taires, Léger, en accord avec Je an Barillet, l’e m ploya en larges
aplats qui lui co n fé rè re n t une qualité m onu m entale.
HT.
V itra il de A ristid e Caillaud
exécution Max Ingrand et Durand.
Plus que tout ce qui avait pu être créé ju s q u ’alors, ces diverses
œuvres, signées des plus grands n o m s de 1 art français, rendirent
au vitrail cette qualification d ’art m a jeu r qu'il avait p erdue depuis
l’époque médiévale. On s’ap e rçut aussi enfin des affinités profon des
de la peinture m ode rne avec le vitrail. 11 était trop ta rd p o u r y
intéresser un K andinsky, un Klee, un D ela unay, un M o n d rian mais
on put encore obtenir des vitraux de B raque et de Villon. Ce fut
Robert R enard qui c o m m a n d a à Villon une chapelle p o u r la c a th é ­
drale de Metz, en m êm e tem ps q u ’il dem an d a it à Bissière quelques
vitraux p our la nef et à Chagall de grandes verrières p o u r le t r a n ­
sept et le déam bulatoire. C oc te au se vit confier au m ê m e m o m e n t
par le m ê m e architecte et toujours à Metz, les vitraux de l’église
ro m an e Saint-M axim in. Beaux exemples de l’introduction de l ’art
m oderne dans une architecture ancienne.
D ans ces m êm es années Je an Bazaine et A lfred Manessier
com posaient l'un le vitrail du baptistère d ’A u d in c o u rt (exécution
Barillet), l’autre ceux de l’église de Brézeux (exécut. Lorin). On a
dit de ces vitraux q u ’ils avaient m a rq u é l’in troduc tio n de l’art abs­
trait dans l’église. Il faut s’entendre sur un te rm e qui p rête à
confusion. C a r le peintre, quelque élaboré et dépouillé que soit
son art use de formes, de lignes, de couleurs. A u cu n art pictural
ne peut être dit c om plètem e nt abstrait, pas plus l’art religieux que
l'art profane. C a r s’il aborde l’expression de la vie spirituelle, celleci p o u r secrète q u ’elle soit n ’en d em eu re pas moins une réalité
intelligible et sensible, surtout s’il s’agit de la vie chrétienne liée
à la vie d u C hrist et à celle de l’Eglise. Si m ê m e l’on ne veut r e te ­
nir des faits chrétiens que leur résonna nce psychologique, encore
celle-ci com m ande-t-elle les faits plastiques qui la traduisent.
Les vitraux dits abstraits, loin d ’être un q u elcon que assem ­
blage de lignes et de couleurs doivent au contraire h a u te m e n t signi­
fier les réalités chrétiennes qu'ils ont charge de rappe ler et de
magnifier dans l’église.
E n fait, le vitrail dit abstrait n ’a pas a pporté aux églises le
ren ouveau spirituel qu'o n était en droit d ’espérer. II fut adopté
par b ea u co u p d ’ateliers co m m e une facilité qui dispensait à peu
près de toute com position et ne com pensait pas cette renonciation
par la couleur qui fut souvent banale, m êm e vulgaire. P a r ailleurs
de n o m b reu x architectes et la plus grande partie des m e m b res du
clergé n ’avaient ni la com pétence, ni le goût nécessaire p o u r o p é­
rer le discernem ent entre les bonnes m aquettes et les médiocres.
Il y eut tout de m êm e de bons vitraux abstraits, de m êm e q u ’il
y eut de bons vitraux figuratifs et si je voulais faire ici une his­
toire du vitrail co ntem porain , j’aurais b ea u c o u p de nom s à citer,
noms de peintres d ont certains on t signé des œ uvres très r e m a r ­
quées, nom s d'ateliers de Paris ou de province qui les o n t exécutés,
ou qui ont r ép o n d u d 'une façon satisfaisante aux co m m an d e s qui
leur étaient adressées.
C ette histoire, de m êm e que celle des vitraux 1900, il sera
intéressant de l’en tre p re n d re quelque jo u r et je pense q u ’il fa u d ra
bien lui consacrer un volume. D ans cet article qui introduit une
im portan te exposition sur le vitrail, je veux seulem ent poser cer­
taines questions et, particulièrem ent en ce qui concerne le présent,
p rendre position sur des problèm es d ’ordre général.
U n de ceux-là précisém ent est celui de la collaboration des
artistes-peintres avec les maîtres-verriers.
Ces quelques apports d ’artistes-peintres à l’art du vitrail nous p e r ­
m ettent d ’introduire cette b rûlante question : quelle peut ère la col­
lab oration d u peintre avec le maître-verrier? 11 ne s’agit pas de
classer peintres et maîtres-verriers en deux catégories différentes,
encore m oins d ’oppo ser celles-ci l’une à l’autre. N o u s pensons que
certains peintres peuvent assum er eux-m êm es le travail du verrier,
co m m e ils ont pu faire celui du lissier et du mosaïste. Je dirai m êm e
que le goût accusé p a r b e a u c o u p de peintres contem porains p our
le m a n ie m e n t des matières les plus variées p erm et d ’envisager mieux
que n agu ère l’exécution par u n peintre avec l’aide d ’un ouvrier
de ses propre s m aquettes de vitraux.
Il n ’en reste pas moins que le travail matériel, très absorbant
auquel alors le peintre s’oblige, un certain esprit de soumission à
la c o m m a n d e que le client, s’il doit traiter directem ent avec le
peintre-verrier, tend à lui imposer, et j’ajoute, surtout son éloigne­
m e n t de ce milieu privilégié riche de con tact de toutes sortes qui,
to u jours à toute ép o q u e dans la littérature et dans l’art, fut celui
des créateurs, le c o n d a m n e n t p resque obligato irem en t à n ’être q u ’un
représe ntant secondaire de cet art.
Le résultat est que ses productions, p o u r intéressantes q u ’elles
soient ont ch ance de n ’être jam ais considérées que co m m e m ineures
p a r ra p p o r t à telles autres de m êm e époque. E t si dans telle te ch ­
nique d éterm inée vitrail, tapisserie, etc. il n ’est jam ais p rod uit que
des œ uvres mineures, cette te chnique elle-même sera classée com m e
m ineure, ce qui ne nous semble ni souhaitable, ni exact en ce qui
co n c ern e le vitrail.
E n tout art qui se veut m ajeur, il faut que se m anifeste et
dès le u r a p pa rition tous les g rands courants de l’époque. N o tre
exigence a u jo u rd 'h u i serait m ê m e que la création se fasse directe­
m e n t p ar le m o y e n de cet art. Si l’on veut que le vitrail soit l’une
d ’elles, il serait p a r exem ple tout à fait insuffisant de pren d re un
ta blea u à un p eintre p o u r le tra d u ire en vitrail, à m oins que le
tableau n ’ait été déjà lui-m êm e conçu dans l’esprit du vitrail. A u tr e ­
m ent dit u n e collaboration doit s’établir entre le verrier et le peintre
en sorte que tous les risques soient courus p a r l ’un et l’autre,
et que l’œ u vre sortie les m ette tous les deux en cause.
Ainsi seulem ent suscitera-t-il l’attention qui s’attache aux g ra n ­
des créations de l’art. Ainsi participera-t-il aux événem ents artis­
tiques de telle ou telle année. Ainsi égalem ent — et cette considé­
ration ne doit pas nous laisser indifférents intéressera-t-il les collec­
tionneurs et am ateurs d ’art et pourra-t-il p rendre place dans les
musées. On peut dire que dans cette perspective il y a to u t à
faire po u r le vitrail, mais une étude attentive de la co njo n ctu re
nous conv aincra que justem ent cette perspective n ’est pas u n e chi­
m ère et même, p o u r peu que nous la favorisions, q u ’elle pou rra it
devenir une assez proche réalité.
D e ce point de vue, quelle est l’attitude des peintres? quelle
est celle des maîtres-verriers? L a p rem ière est ce rtaine m e nt très
favorable. Est-ce l’orientation q u 'a prise la peinture en notre siècle,
depuis Klee, K andinsky, les D elaunay, M o n d ria n , Léger, Villon et
non moins Picasso, Matisse, Chagall? Est-ce ce goût des matières
que nous avons déjà signalé, ce m o u v e m en t qui porte tous les arts
à s’intégrer davantage à l’architecture et à tout 1’environ,nement
de la vie, jam ais on n ’avait vu les peintres et ju s q u ’aux plus illustres
à ce point tentés p a r le vitrail. Les prêtres ou architectes qui se
sont adressés à eux on t presque toujo urs été bien accueillis, que
ce soit Léger ou Villon, Rouault, Matisse ou Chagall.
Quel fut l’accueil des maîtres-verriers? Ici la réponse sera plus
nuancée. C e u x à qui je m e suis adressé ont presque tous r ép o n d u
favorablem ent à m a d em and e, certains o n t accepté d ’exécuter p lu ­
sieurs cartons de peintres. C e fu re n t dans l’ensemble des maîtresverriers parisiens ou proches de Paris, C hartres, Reims, Orléans...
qui m aintien nent plus facilem ent le co ntact avec la peinture
moderne.
B eaucoup d ’ateliers pro vinciaux se sont m ontrés réticents, cra i­
gnan t peut-être que de se m e ttre au service d ’u n peintre étran ger
au vitrail soit jugé localem ent co m m e une démission. A dire vrai
bien des maîtres-verriers pensent que s’é tan t spécialisés dans le
vitrail, ils sont m ieux qualifiés p o u r le com poser que des peintres
qui ne le p ratiquent pas habituellem ent.
C ’est cette qualification que nous discuterons, p our les raisons
que nous avons p réc éd em m en t données, insistant toutefois sur ce
correctif déjà exprimé, qui est q u ’un peintre vraim en t étra n g er au
vitrail ne doit pas se co nten ter d ’envoyer un carto n, à plus forte
raison un tableau exécuté co m m e tel, à u n maître-verrier. Il doit
collaborer avec ce dernier, aller dans son atelier, se co n c erte r avec
lui. A ce m o m e n t il y a cha nce que son a p p o rt à l’art du vitrail
soit positif, et m êm e que le m aître-verrier, d ans les vitraux q u ’il
au ra par la suite à co m p o ser lui-même, recueille le bénéfice de
cette collaboration. N o u s croyons, te n a n t com p te des orientations
nouvelles que devra subir l’art d u vitrail, que cette collaboration,
sinon constante et obligatoire, du moins fréqu ente est la chance à
saisir si l’on veut que le vitrail retrouve une place dans notre p r o ­
duction artistique. C ’est d ’ailleurs affaire d ’époque : il n ’y a pas de
science do n t les progrès, les inventions ne nécessitent des collabo­
rations parfois très nom breuses. 11 en va de m êm e p o u r tous les
secteurs de la vie m oderne.
N o u s nous trouvons m a in te n an t am enés à étudier les pers­
pectives d ’avenir d u vitrail, soit à situer sa place dans notre vie,
dans celle d u m onde m oderne.
N o u s croyons d ’abord q u ’il y a encore b ea u co u p à com pter
sur lui p o u r les églises et d ’abord p our les églises anciennes. Tout
au cours d u siècle dernier, mais plus particulièrem ent depuis vingtcinq ans, un g rand travail de restauration a été accom pli p a r la
Com m ission des M o n u m e n ts H istoriques avec l’aide des D o m ­
mages de guerre, dans les églises classées. E n dépit des siècles en
effet et de toutes les révolutions et guerres qui les ont m arqués, la
F ra n c e d em eu re très riche en m o n u m e n ts religieux anciens. D e
plus en plus s’affirme le souci de préserver toute cette richesse, de
resta urer ce qui a été end o m m ag é , de r en d re à ch a q u e ville les
trésors d u passé qui sont ses titres de noblesse, et constituent po u r
bea ucou p d ’entre elles la principale source de tourisme. O r il n ’est
pas souhaitable, dans les églises r o m an e s et gothiques qui se
c o m p te n t p a r milliers, et, q u o iq u ’en disent certains puristes, de r e m ­
plir toutes les fenêtres de verre blanc et m êm e de se satisfaire de
timides et ennuyeuses grisailles.
V oilà un én o rm e travail qui s’offre au x artistes d ’a u j o u r d ’hui
sous condition q u ’on ne le confie pas à n ’im porte qui. A ce qui
fut et reste le meilleur de l’art ancien on ne peut déc em m ent asso­
cier que le meilleur de l’art m oderne. R ép o n d an t jadis à m a ques­
tion : « N e serez-vous pas gêné q u a n d vous verrez vos vitraux dans
une église d u X I I e siècle », G eorges Braque m e rép ondait : « Je ne
fais pas de différence entre les âges. U n e seule chose com pte p o u r
moi qui est la qualité... T o u t ce qui est bon, quelle qui soit l’é p o ­
que, peu t voisiner sans danger. » D isons com plém en ta irem e n t que
tout ce qui est m auvais et m êm e sim plem ent m édiocre ne convient
pas aux églises anciennes. E n ce qui con c ern e ces églises, la grande
règle à retenir, b e a u c o u p plus que celle de la gam m e des couleurs
et de la taille des verres, c ’est d onc l’exigence de la qualité. L e P. C o u ­
turier disait des artistes : « A u x grands h om m e s les grandes choses. »
De l’œ uv re d ’art nous dirons : « A u x grands m o n u m e n ts les grandes
œuvres. »
Q u a n t aux églises nouvelles, il est à prévoir q u ’on en bâtira
b ea u co u p m oins dans les années à venir, q u ’on avait fait dans le
passé, et jusque dans un passé proche. C ertain s milieux catholiques
préconisent l’ouverture, dans les divers quartiers de nos villes n o u ­
velles, de petites salles de culte construites et am énagées sans aucun
a p p a rat et qui se p rêteront à l’enseignem ent et à un culte simplifié.
Est-ce là vraim ent ce que le grand n o m b re de nos co ntem p orains
attend? Il est permis d'en douter. Ce don t nous souffrons a u j o u r d ’hui
est d 'un m a n q u e de g ran d e u r et de mystère. E t ce dont nous avons
besoin, c ’est alternativem ent de temps de silence et de temps d ’é m o ­
tion, c ’est d ’éprouv er la réalité, la constance à travers les âges, des
grands courants hum ains qui portent nos destins. L a facilité des
m oyens actuels de c o m m unic ation et nos habitu des de les utiliser
aidant, on peut concevoir dans chacune de nos villes nouvelles l’édi­
fication d ’un lieu im portant de vie spirituelle. D e m êm e y a-t-il
un H ôtel de Ville, un Musée, une M aison de la C ulture ou un
T héâtre, un C e ntre sportif...
En notre pays chrétien il est certain que catholiques et p r o ­
testants doivent y tro u v er leurs lieux d ’assemblée et de culte, mais
les autres familles spirituelles ne d evront pas s’en tro u v er exclues, ni
m ê m e ceux qui ne relèvent d 'au c u n e de ces familles. Qu'il s’agisse
des fêtes de la vie ou des rites qui peuvent accueillir la m ort, ils
d ev ron t être accueillants à tous et seront ouverts à toutes les hautes
expressions humaines, à tous les langages de l’art. Bien e n te n d u le
vitrail, héritier d ans ce dom aine d ’une de nos plus grandes tr a d i­
tions spirituelles y devra trouver sa place. N o u s som m es témoins
a u jo u rd ’hui de certaines ruptures alors que nous attendions de
grandes réconciliations : et d ’abord celle du sentim ent religieux avec
toutes les expressions de l’intelligence et de l’art. N o u s aurons à dire
pou rq uoi nous repoussons le vitrail dit décoratif. N o u s repoussons
aussi le vitrail profane, parc e que le m ot p rofa ne a pris un sens
péjoratif. Le profane, c ’est celui q u ’on rejette au-dehors, celui qui
n ’a pas été dépositaire des secrets, celui qui ne sait pas. N o u s p e n ­
sons que le vitrail est un de nos seuils d ’introdu ction à la réalité
spirituelle tout entière, et ju s q u ’à celle où vient se h eu rte r notre
savoir. Quel que soit le term e que nous choisissons, religieux, m y s ­
tique, sacré, spirituel, poétique, psychique, c ’est le d om a ine des
arts que nous désignons ainsi, hors duquel nous nous sentons m e n a ­
cés d ’étouffem ent et donc celui du vitrail.
C ’est en ces term es que doit se poser la question de l ’in tro ­
duction d u vitrail hors des églises et des édifices religieux, question
dont dépend en grande partie a u jo u rd 'h u i son avenir.
Si en effet on bâtit m oins d ’églises, on construit en revanche
en bien plus g rand n om bre q u ’autrefois des musées, théâtres, biblio­
thèques... et ces services m unic ip a u x ou natio n au x p r e n d r o n t de
plus en plus d ’im portance. O n n ’a jam ais ouvert tant d ’écoles, d ’ins­
tituts, d ’universités, on ne les a jam ais faits aussi grands. Les
usines, les grandes sociétés com m erciales et industrielles on t leurs
halls d ’accueil, leurs salles de Conseil o u de réception. P arto u t, là où
le vitrail peut tro uver sa place, en som m e, p a rto u t o ù l ’h o m m e
travaille et vit. Il y a encore les gares, ports, aérogares, dont, m ieux
que toute œ uvre d ’art, le vitrail peut symboliser tout ce qui est
leur raison d ’être et que nous résum ons sous ce m ot m agique : le
voyage.
Il y a enfin nos dem eures où le vitrail peut être accueilli de
diverses façons que nous aurons à préciser.
A propos de tous ces n o uveaux emplois du vitrail, on a b e a u ­
c ou p usé du term e « décoratif ». Et il est certain que les vitraux
1900, sans parler des vitraux civils du X V I e siècle voulaient surtout
être un décor. Mais il faut p rend re garde que si le décor pouvait
être envisagé co m m e but, dans ces deux époques où il s’incorporait
tellement à l’architecture q u ’il prenait la m ê m e signification q u ’elle,
il n ’en est pas du tout de m ê m e à notre époque. Il app a raît n ette­
m ent a u j o u r d ’hui que l’architecture n ’attend plus grand-chose du
décor. Que dem and e-t-on aux architectes, sinon q u ’ils répondent
strictem ent à des pro g ra m m e s fonctionnels? T o u t leur art tient dans
la justesse des ra p ports q u ’ils établissent entre l’œ uvre et sa desti­
nation. Ils obéissent aussi à un certain ord re des proportions et
r ec h erch en t la pureté et l’équilibre des lignes et des volumes. On
ne com pte plus guère sur un ap p o rt extérieur po u r ajou ter qu o i­
que ce soit à ces données fondam entales. T o u t ce qui po urrait être
qualifié déc o r est d ’avance c o n d a m n é co m m e surcharge inutile et
d onc nuisible.
Cette conception de l’architecture ne peut d ’ailleurs être opposée
à l'œ uvre d ’art. T o u t au contraire, l’architecture s’étant libérée de
toute servitude décorative, l’œ uvre d ’art peut y trouv er sa place
aisément, et ceci aussi bien dans les extérieurs que dans les inté­
rieurs. Mais elle est alors accueillie en tant q u ’œ uvre d ’art, c’est-àdire en fonction de sa valeu r p r o p re et ne recevan t que d ’elle-même
son pouvoir d ’expression. Ceci ne la dispense pas de s’ac corder à
l’architecture qui l’accueille et de respecter celle-ci tout en gardant
sa personnalité. O n peut dire d ’une b o n n e architecture q u ’elle est
un b e a u corps adm irab le dans ses structures, mais qui d em eure muet,
tant que l’œ uvre d ’art ne lui a pas conféré la parole. D an s cette
fonction, le vitrail dont le p ro p re est de créer une certaine lumière,
p eu t faire merveille.
Il n ’y a d onc aucune raison p our que le vitrail se banalise. 11
doit m êm e se refuser é n e rgiqu em e nt à des emplois subalternes q u ’on
pou rra it être tenté de lui confier : p an n e au x publicitaires, coloriage
de m urs, il ne servira pas non plus de b o uche -trou dans un inté­
rieur. 11 ne conservera (ou ne retrouvera) la place q u ’il occupa
jadis dans la vie des h o m m e s q u ’en d e m e u ra n t - mais n ’est-ce pas
le b u t de tout g ran d art? — message de spiritualité.
Cela ne signifie pas q u ’il doive d em e u re r au service d ’une
confession religieuse. Il est m êm e im p o rta n t p o u r sa diffusion qu'il
affiche son in dépend ance vis-à-vis des églises. Sur ce point, les
o uvertures à la peinture abstraite lui a u ro n t été utiles, bien q u ’e n ­
core une fois souvent mal comprises. Si m a in te n an t l’on veut s’in ­
terroger sur le sens de cette spiritualité à laquelle nous disons q u ’il
lui faut d em eu rer fidèle, nous re m a rq u e ro n s sim plem ent que tout
acte v raim en t hum a in c om po rte une face spirituelle. Selon les artis­
tes qui le com pose, selon aussi l’em ploi q u ’on attend de lui, le
vitrail sera m étaphysique, psychologique, poétique, sensible. Les
dom aines de l’expression h um a in e sont n om breux , il n 'y a aucune
crainte q u ’ils viennent à nous m a n quer. Des artistes, nous n ’avons
que d eux choses à exiger : q u ’ils dem eu ren t eux-m êm es dans la vie
et q u ’ils connaissent le ur art. A côté du vitrail religieux, il y a place
p our le vitrail expression de la pensée, du rêve, de toute la sensi­
bilité de l ’hom m e.
D an s la maison le vitrail peut être accueilli de d eux façons.
O u bien com m e dans la ville, il est pris à charge p a r l’achitecture
et il trouve sa place dans les intérieurs ou dans les extérieurs, ou
bien com m e les tableaux, co m m e les sculptures, il est choisi com m e
pièce de collection p ou r sa valeur plastique et intrinsèque (je n ’ose
pas dire p o u r sa signature). N o tr e souhait est q u ’à ce seul titre le
vitrail p ren n e u n e large place dans nos vies.
Quel que soit son emploi, nous ne devons pas oublier q u ’au
temps des cathédrales qui fu t son tem ps le plus glorieux, le vitrail
n ’eut pas p o u r seule mission d ’em bellir les lieux o ù il se trouvait,
et de tracer a u to u r de ceux qui y prenaient place une sorte de
cercle enchanté. Ses appels avaient p o u r fin de briser les contrats
rassurants que les h om m es essaient toujou rs d ’établir avec tout le
quotidien de la vie et de percer les clôtures don t ils ch e rch en t à
s’entourer. A travers les rosaces lum ineuses des transepts ou les
verrières assombries des nefs, c ’est toute l ’ave nture spirituelle qui
venait ch e rch er les h om m es de ce temps, co m m e p a r d ’autres moyens
elle continue de nous solliciter. C et héroïsm e, p a r lequel passe un
jo u r ou l’autre tout destin d ’h om m e, le vitrail le symbolisait, assez
m agnifiquement, reconnaissons-le. Pas plus autrefois q u ’a u j o u r ­
d ’hui, la vie spirituelle n ’a été un co n fo rt — écoutons retentir à nos
oreilles le cha n t si ty p iquem ent médiéval d u Dies irae — et si elle
p erm et certains arrêts, certains tem ps de repos, elle im pose plus
souvent des départs. E n m êm e temps que p a r les vertus de la
couleur, de la lumière v ena n t du dehors, il nous rassure un instant,
le vitrail d em eure le rappel incessant d ’un destin aussi exaltant
q u ’incertain.
Joseph PICHARD
V itra il de Fernand Léger - exécution Gaudin
V itraux
D ’ANTY Henry
20, rue Louis-R olland, 9 2 -M o n tro u g e
1
2
« La neige », vitrail dalle de v e rre (atelier
D urand.
« Pêcheurs au paysage breton » (peinture).
APPEL Karel
7, rue Brézin, 75-Paris 14e
3
V itra il p o ly e s te r (atelier Fradène).
BARILLET Jean
71, rue Froidevaux, 75-Paris 14°
4 V itra il v e rre (atelier Barillet).
5 V itra il dalle de v e rre (atelier Barillet).
BARON-RENO UARD François
32, rue de l’A rbalète, 75-Paris 5e
6 V itrail, v e rre antique (a te lie r Allain).
DE BEROETTA Pierre
9, rue Falguière, 75-Paris 15e
7 V itra il dalle de v e rre (atelier Loire).
BERTHOLLE Jean
50, rue Sainte-A nn e, 75-Paris 2e
8 V itra il v e rre antique (a te lie r V iriglio).
B O NY Paul
12, rue Jean-Ferrandi, 75-Paris 6e
9 V itra il v e rre antique (atelier Bony).
BRAYER Yves
22, rue M o n s ie u r-le -P rin c e , 75-Paris 6e
10 « L ’A rlé s ie n n e », vitrail v e rre antique (atelier
Durand).
BREUIL Georges
76-Q uevillon
11
V itra il
v e rre
antique
(atelier
C o t-D ezande ).
CA ILLA U D A ristide
90, Grande-Rue, 86-Jaunay-Clan
12 V itra il ve rre antique (atelier In g rand-D u ra nd)
CALLU Eliette
67, rue des V ignes, 94-C achan
13 « C o m p o s itio n » vitrail dalle de v e rre (atelier
Durand).
14 « E clatem ent », te n tu re murale.
REUTHER W o lf
14, avenue du Maine, 75-Paris 15'
15 « Le coq », vitra il v e rre antique.
DE CARO Anita
7, rue de l'Estrapade, 75-Paris 5e
16 V itra il v e rre antique (atelier Petit).
CAVALIER Jean
8 bis, avenue Anatole-F ran ce, 93-C hoisy-le-R oi
17 « C o m p o s itio n », v e rre antique
Cavalier).
DALET Daniel
Impasse S o u lè s -C a h o rs
18 V itra il v e rre antique (a te lie r Dalet).
DEBRE O livie r
116, rue de la Faisanderie, 75-Paris 16e
19 V itra il résine (atelier Gaudin).
DEW ASNE Jean
162, rue de B illancourt, 9 2 -B o u lo g n e -s u r-S e in e
20 V itra il v e rre antique (a te lie r Juteau).
DO DY
51, avenue G a s p a rd -M a lo , 0 2 -D u n k e rq u e
21 V itra il p o ly e s te r (a te lie r Fradène).
(atelier
DORBREUIL Jean-Claude
60, rue Lecourbe, 75-Paris 15°
22 V itra il p o ly e s te r craquelé
(atelier Fradène).
LE CHEVALLIER Guy
6, rue Josepy-le-Gay, 92-Fontenay-aux-R oses
23 C o m p o s itio n , vitrail dalle de verre.
DURAND M ichel
15, S quare V e rg e n n e s , 75-Paris 15e
24 V itra il ve rre antique (atelier Durand).
DUVILLIER René
56, avenue A ris tid e -B ria n d , 9 2 -M o n tro u g e
25 V itra il P lexiglass « regard cosm ique » (ate­
lier de M alherbe).
ERTAN Simona
57, rue C h a rle s-L a ffite , 92-N euilly
26 V itra il v e rre antique (atelier de Fontenay).
FAISY G abriel
3, rue de la S olidarité, 9 2 -M o n tro u g e
27 « Nu blond », v itrail dalle de v e rre (atelier
D urand).
28 « Nu blond », peinture.
FERMIGIER M ichel
103, rue de Bagneux, 9 2 -M o n tro u g e
29 « P apillons », vitrail dalle de v e rre (atelier
Durand).
FERRARI Roland
13, b o u le v a rd B eaum archais, 78-F ontenay-le-F leury
30 « C o m p o s itio n », vitrail dalle de v e rre (atelier
Durand).
FOTIOU H ariklia
15, rue de Malte, 75-Paris 11°
31 « B arque
», vitrail
D urand).
v e rre
antique
(atelier
GALUT-CASTETS M aurice
2, rue Cam ille-Pelletan, 9 2 -M o n tro u g e
32
V itra il ve rre antique.
G AUDIN Pierre
6, rue de ia G rande-C ha um ière, 75-Paris 6P
33
34
Relief tra n s lu c id e (a te lie r Gaudin).
Relief tra n slu c id e (atelier Gaudin).
G IGLIOLI Emile
4, rue G ager-G abilla ud, 75-Paris 15e.
35
V itra il dalle de v erre (atelier Barillet).
GUILLAUM E Jacques
8, rue du D '-A .-S c h w e itz e r, 91-lgny
36
« Fleurs », v itra u x v e rre antique (a te lie r Duranc). C o lle c tio n Jean W a le ckx .
GLEIZES A lb ert
37 V itra il v e rre antique (atelier C o t-D ezande ).
GROMAIRE M arcel
38 « Le m o is s o n n e u r », vitra il ve rre antique (ate­
lier H é b ert-S teven s).
GUERIN Henri
31-Plaisance de Touche.
39
V itra il dalle de v e rre (a te lie r Guérin).
GUEVEL Job et M ichel
32, rue C la u d e -B e rn a rd , 75-Paris 5e
40
V itra il dalle de verre.
JAN Elvire
139, rue V e rc in g é to rix , 75-Paris 14e
41
V itra il v e rre antique (a te lie r V irig lio ).
JUTEAU Jacques
8, rue A lfre d -d e -M u s s e t, 91-Erm ont
42
V itra il ve rre antique (atelier Juteau).
V itra il de Jean Piaubert - exécution Loire
JUVIN, PICHARD et GUEVEL
36, avenue Jean-Moulin, 75-Paris 14'’
43
V itra il dalle de v e rre (atelier Guevel).
KERG Théo
203, rue S aint-H ono ré , 75-Paris.
44
V itra il dalle de v e rre (atelier Kerg).
LAPICQUE Charles
4, rue Froidevaux, 75-Paris 14e.
45
« C hanson de Roland », v itrail v e rre antique
(atelier Ray).
LE CHEVALLIER Jacques
8, rue Joseph-Le-Guay, 92-F ontenay-aux-R oses
46
V itra il (a te lie r de Fontenay).
LE C O LA S Pierre
12, rue A bed-F erry, 75-Paris 16e
47
« P ortrait d ’un hom m e qui se p renait p o u r une
église », vitra il v e rre antique (a te lie r Durand).
LEGER Fernand
48
49
V itra il dalle de v e rre (a te lie r Barillet).
V itrail v e rre antique (a te lie r Gaudin).
LE N O RM AND
7, im passe C œ u r-d e -V e y , 75-Paris 14e
50
V itra il dalle et résine (a te lie r Loire).
LEPATRE Philippe
17, passage Ricaud, 75-Paris 14e
51
V itra il p o ly e s te r (exécution D orb re u il, atelier
Fradène).
LESQUIBE Jean
77, avenue de Biarritz, 64-A ngle t
52
V itra il v e rre antique (atelier Lesquibe).
LOIRE Jacques
28-Lèves
53
V itra il dalle de v erre (atelier Loire).
LOUTTRE M arc
10, rue Frém icourt, 75-Paris 15e
54
V itra il v e rre antique (atelier V iriglio).
MATISSE Henri
55
« Jérusalem céleste », étude po u r un vitrail
(Vence).
M AG NELLI A lberto
15, rue Ernest-Renan, 9 2 -B e lle vu e -M e u d o n
56
V itra il v e rre antique (atelier Barillet).
N AKAC H E Armand
96, avenue des Ternes, 75-Paris 17e
57
58
V itra il v e rre antique « L ’hom m e de la fin »
(a te lie r Durand).
Le se rp e n t ailé, père des hom m es (peinture).
NEMOURS A urélie
10, square de Port-Royal, 75-Paris 13e
59
V itra il v e rre antique (a te lie r de Fontenay).
N IKO LITCH Pikko
42, place Jules-Ferry, 9 2 -M o n tro u g e
60
« La rosace de l'a m o u r », vitra il v e rre antique
(a te lie r Durand).
OLIN Jean
130, rue d ’A ssas, Paris 6e
61
V itra il v e rre antique (atelier de Fontenay).
P A G A V A Véra
2, cité Rondelet, 9 2 -M o n tro u g e
62
63
V itra il v e rre antique (atelier Durand).
V itra il v e rre (atelier Durand).
PEIRE Luc
38, rue Falguière, 75-Paris 15e
64 V itra il v e rre antique (atelier Petit à Thivars).
PETIT
28-Thivars
65
V itra il v e rre antique.
PIAUBERT Jean
129, Fbg S aint-H ono ré , 75-Paris 8'"
66 V itra il dalle et résine (a te lie r Loire).
PICHARD Janie
38, avenue Jean-Moulin, 75-Paris 14*'
67 V itra il v e rre antique (a te lie r
C o t-D ezande ).
RAYM O ND Marie
116, rue d'A ssas, 75-Paris 6e
68 V itra il v e rre antique.
REUTHER W o lf
14, avenue du M arine, 75-Paris 15e
69 « Yé, yé, yé » vitrail dalle de v e rre (D urand).
ROCHER M aurice
11, avenue Jean-Jaurès, 78-V ersailles
70 V itra il (a te lie r D egusseau).
ROUAULT G eorges
71 V itra il v e rre antique (a te lie r H éb e rt-S te v e n s ,
1939).
ROUAULT Isabelle
2, rue Em ile-G ilbert, 75-Paris 12e
72 V itra il v e rre antique (a te lie r Bony).
SCH M ID T Robert G.
70, rue C ardinet, Paris 17e
73 V itra il dalle de v e rre et résine o paqu e (atelier
Jacques Loire).
SCHNEIDER Gérard
16, rue H enri-B arbusse , 75-Paris 6e
74 V itra il ve rre antique (atelier Gaudin).
SINGIER Gustave
203, rue de V a u g ira rd , 75-Paris 15e
75 V itra il (atelier Lorin).
SZEKELY Vera
1, rue des C élestins, M a rc o u s s is
76 V itra il dalle et fer.
TISSERAND Gérard
77 V itra il v e rre antique.
TRAN C histiane
139, avenue Jean-Jaurès, 9 2 -M o n tro u g e
78 « Jeux », vitrail dalle de
Durand).
79 « Jeux », peinture.
ve rre
(atelier
UB A C Raoul
12, rue d ’O rch a m p s , 75-Paris 18"
80 V itra il v e rre antique (atelier V irig lio ).
V ALEZY Joseph-André
6, rue Paulin-Enfert, 75-Paris 13e
81 « C o m p o s itio n en bleu », v itrail dalle de v erre
(a te lie r Durand).
VASARELY V ic to r
A n n e t-s u r-M a rn e
82 V itra il v e rre collé (atelier de Fontenay).
V ILLO N Jacques
83 M a q u e tte s de v itra u x exécutés po u r la cath é ­
drale de M etz (prêt du M usée N ational d ’A r t
M oderne).
Z A C K Léon
10, rue Gaudray, 92-Vanves
84 V itra il ve rre antique (antique Allain).
BRUN-ALAYRAC
19, rue Hallé, 75-Paris 15e
85 V itra il (co lle c tio n J.D.).
PEREZ Eugenio
8, rue V oltaire, 9 3 -A u b e rvillie rs
86 V itra il v e rre antique.
GOURMELIN Jean
15, square V ergenn es, 75-Paris 15e
87 V itra il v e rre antique.
Y O C H K O S effer
31, rue D oudeauville, 75-Paris 18e
88 V itra il v e rre antique.
Tapisserie
BLIN Frédéric
77, rue de Bagneux, 9 2 -M o n tro u g e
89 « Le c h a rio t », tapisserie.
GALUT-CASTETS M ichèle
2, rue C am ille-P elletan, 9 2 -M o n tro u g e
90 C o m p o s itio n , tapisserie.
Les élèves de l'Ecole n atio n ale
su p é rieu re des A rts appliqués
e t des M étiers d 'a r t
ont reconstitué un atelier ancien de maître
verrier, avec la collaboration des ateliers
municipaux, et celle de la verrerie de SaintGobain de Saint-Just-sur-Loîre.
Ils exposent :
ANDRIEUX Philippe-Jean
82, rue de Lourm el, 75-Paris 15e
91
« Les oiseaux du
verre.
matin
», vitrail
dalle
BERTHILLIER D om inique
34, rue de V ouillé, 75-Paris 15e
92
« Terre de c la ir », vitrail plomb.
CHABO ISSIER Florent
126, avenue de C o n s ta n tin o p le , 75-Paris 81'
93
« Rose de m er », vitra il plomb.
CHATEAU G illes
C lo s S a in t-V ig o r, 78-V iro fla y
94
« Soleil d ’h iv e r », vitrail.
DENISELLE C hristiane-Evelyne
43, bd V ic to r, 75-Paris 15e
95
« Pierre du s o ir », vitra il dalle de verre.
DROUET Philippe
22, rue Ph.-Labelongue, 78-Chatou
96
« C o m p o s itio n », vitrail plomb.
de
GARNIER Annie
5, rue A .-M alet, 75-Paris 12"
97
« La fo rê t », vitra il plomb.
HELARD Jean-Louis
68, bd V ita l-B o u h o t, 92-N euilly
98
« A s p in w a h l », vitrail plomb.
LEVEQUE M aurice
102, S e n tie r des O rm es, 9 4 -B ry -s u r-M a rn e
99
« L 'a rbre rouge », vitrail.
MICHEL D idier
16, rue de Sèvres, 75-Paris 7"
100
« Rythme floral », v itrail dalle de verre.
RAGON Gerald
2, allée C h a rle s IX, 94-Rungis
101
« La naissance », v itrail dalle de verre.
SCHULTZ Fabien
93, rue des V ignes, 94-C achan
102
V itra il plomb.
TAILHARDAT Frédérique
34, rue de V ouillé, 75-Paris 15"
103
V itra il au plom b « Lexa ».
Peinture, dessin, gravure.
ALANTAR Erdal
4, rue Raspail, 9 4-lv ry
104
C om p o sitio n .
ALB A -S O U LÉ-LA FO N T Renée
1, square Buffalo, 92-M o n tro u g e , tél. : PEL. 09-50
105
Pe inture.
ALAUX Jean-Pierre
38, avenue Junot, 75-Paris 18e, tél. : 606-17-77
106
Le Présent.
ALEX Xon Ail
46, rue Louis-R olland, 92-M o n tro u g e , tél. : 735-13-27
107
« Les A n c ie n s de V é ro n e ».
B AZAR D G ilb e rt
35, rue des Favorites, 75-Paris 15e
108
Le pont au change à Paris (dessin).
BERGERON Robert
12, rue Jules-Guesde, 9 2 -M o n tro u g e , tél. : ALE. 17-22
109
Falaises de va n t Cam aret.
BELM O N M arie
44, place Jules-Ferry, 9 2 -M o n tro u g e
110
C o m p o s itio n flo ra le à M o ntrouge .
BERNARD Renée
12, rue Lalande, 75-Paris 14e, tél. : 734-54-42
111
Eté brûlant.
BERTHIER M arc-P ierre-G illes
3, rue du Pont-aux-C houx, 75-Paris, tél. : 277-80-48
112
« D es gens sur des bateaux à v o ile » (aqua­
relle).
BORDEAUX-LE-PECQ Andrée
36, rue de la Pompe, 75-Paris 16e, tél. : 870-08-56
113
C o q u illa g e s exotiques.
BO UG HO N Mia
113, rue D anton, 92-Levallo is-P erret, tél. : 737-85-90
114
V ierge.
BRION M ichel-Paul
1, rue B e rth ie r-G rig n y 2, 91 -G rig n y
115
Dinan (C ô te s -d u -N o rd ).
BO USSARD Jacques
1, place de la P orte-d e -C h â tillo n , 75-Paris 14e
tél. : LEC. 87-35
116
« Cannes, la plage du M idi ».
BURGUES Andrée
46, place Jules-Ferry, 92 -M o n tro u g e , tél. : 253-44-90
117
Portrait.
BUSSE Jacques
21, rue Daguerre, 75-Paris 14°, tél. : FON. 39-05
118
Les deux racines.
BOUQUET Raymonde
18, rue Pierre-C urie, 92 -M o n tro u g e , tél. : 253-99-64
119
Sanary.
CARRÉGA Nicolas
10, rue G abriel-P éri, 78-Viroflay, tél. : 926-56-69
120
71-IV-16
C A U D G abrielle
13, v illa de la République, 92-M o n tro u g e
121 Etude de blanc.
CAZENAVETTE Louise
51, bd Rom ain-Rolland, 91-M o n tro u g e , tél. : 253-12-16
122 Peinture.
CERRANO Jacqueline
139, bd S a in t-M ic h e l, 75-Paris 5°, t é l . : 633-11-10
123
« V u e de Nice ».
CHATEL Bernard
75, rue E douard -V aillant, 9 4 -A lfo rtv ille
124 L ’agression.
C H A V A N Claude
91, avenue de la D iv is io n -L e c le rc 95-D euil-la-B arre
tél. : 964-58-42
125
Paysage.
CHENU Lucien
12, rue du C lo s -M o n th o lo n , 92-Vanves, tél. : 642-77-40
126 Im passe du C lo s -M o n th o lo n (neige).
CIRY M ichel
G a le rie de Paris, 14, place François Ie1', 75-Paris 8e
tél. : ELY. 82-20
127 H om m age à Bernanos.
CLAR François
238, rue de la C ro ix -N iv e rt, 75-Paris 15e, tél. : 250-52-04
128
« H om m age à M o n tro u g e ».
CLO CHEY Daniel
16-18, place de la C hapelle, 75-Paris 18e, tél. : 833-11-40
129
A rc a n e (g ra vu re s u r bois).
CO RFO U M ichel
2, square de B retagne, 92-Sceaux, tél. : ROB. 01-17
130
« U n iv e rs de l’enfant au coq ».
CORTOT Jean
44, rue du Bac, 75-Paris, tél. : LIT. 17-17
131 Ecritures.
COUR A nne-M arie
7, rue de la Solidarité, 9 2 -M o n tro u g e
132 V ille lo u v e tte .
COUR Pierrette
7, rue de la S olidarité, 9 2 -M o n tro u g e
133 Hôtel de ville de M ontro u g e .
DE COUTARD Sophie
20, rue Singer, 75-Paris 16*', tél. : BAG. 19-99
134 Paysage.
DANG Jean
37, rue Gallieni, 94-M alakoff, tél. : 655-32-88
135 C hapelle S a in te -A v o y e (M o rbihan).
DEBO U ZY J.-Paul
88, avenue J.-Jaurès, 92 -M o n tro u g e , tél. : 655-66-71
136
Nature morte.
DEFRÉMONT Andrée
3, rue du D oc te u r-H e u lin , 75-Paris 17e, tél. : 228-30-65
137 L'a te lie r des Blin.
DERULLE M arcel
« Le R onceray », 72-Aubigné-R acan
138
M o n tro u g e 1960 (rue G abriel-P éri).
DEWEVER M adeleine
103, avenue V e rd ie r, 9 2 -M o n tro u g e
139
De Gaulle (gravure).
DRISS
95, rue de Lille, 75-Paris 7e, tél. : 655-62-22
140
Poème d'un poète.
DUCLAIR Lucien
60, bd de Fontainebleau, 91-C orbeil-E sson nes
tél. : 496-05-89
141
Paysage d ’autom ne (Allier).
DUG RO S Alain
21 bis, rue des Roses, 92-F ontenay-aux-R oses
142
« Brum e à S ceaux ».
DUPÊCHER-ARNOUX Anne-M arie
16, rue de la Vanne, 9 2 -M ontroug e, tél. : ALE. 98-67
143
« Rêverie sur la Vanne » (peinture à l’eau).
DURAND-RO SÉ C la iret-M ou illac
5, rue R a y m ond-Lo s serand, 75-Paris 141', tél. : SEG. 73-80
144
Paysage de Provence.
ENGEL DE SALM Henri-G aston
3, place Jules-Ferry, 92-M o n tro u g e , tél. : 253-54-17
145
Le Parc M onts ouris .
FEINBERG -NADAL Henri et Françoise
73, avenue A r is tid e -B ria n d , 92-M o n tro u g e , tél. : 655-36-66
146
E vocation
ratif)
m ontro u g ie n n e
(panneau
déco­
FICHEUX M arie-Edith
10, square du C ro isic, 75-Paris 15e, tél. : SEG. 81-06
147
En flânant dans M o n tro u g e (croquis crayon).
FOURNIER Jean-Michel
26, rue des Tertres, 92-Bagneux, tél. : 735-30-29
148
L ’homme.
FRAN-BARO
31, rue M a ry -B e s s e y re , 92-Vanves, tél. : 644-43-84
149
« L ’hive r ».
GALIÈRE V ictorin-G uillaum e
63, rue D aguerre, 75-Paris 14e
150 A u to p o rtra it.
G ARCIN Joseph
44, rue Reulos, 9 4-V illejuif
151 Le petit déjeuner.
G ARTZ-DU BO S Ulrika
11, rue des C lo s -S a in t-M a rc e l, 92-Sceaux, tél. : 660-31-24
152 Chantier.
GAULM E Jacques
5, rue S ophie-G e rm a in, 75-Paris 141'
153 « Le costum e de théâtre ».
GILY Andrée
5 bis, rue R .-M archand, 92-Fontenay-aux-R oses
tél. : 702-44-42
154 Peinture.
GRIMALT Ramon
185, rue S aint-D enis, 75-Paris
155
C o m p o s itio n (encre, pastel s u r verre).
GROLLET Sophie
4, rue T héodule-R ibot, 75-Paris, tél. : M A C . 51-38
156 C arm en, de G. Bizet.
GROSSER Boris
44, place Jules-Ferry, 9 2 -M o n tro u g e
157 « Peinture ».
GUILLARD Louis
2, rue de la Sarrazine, 92-Bagneux, tél. : 735-93-21
158 L ’automne.
GUINDET Pauline-Lucie
23, rue G abriel-Péri, 92 -M o n tro u g e , tél. : 735-33-96
159
Paysage au rideau (aquarelle).
HAECK Jean
15, rue M orère, 75-Paris 14e, tél. : 250-19-82
160 C o m p o s itio n (gravure).
HAUTERIVES Arnaud-Louis
13, rue C ardin, 6 0 -C répy -en-V a lois , tél. : 459-12-41
161 « La v isite ».
HOUT Madeleine
22, rue de Turenne, 75-Paris 4 e, tél. : TUR. 62-93
162 Le faisan.
JACCARD Jean-Christian
119, rue du C h e rc h e -M id i, 75-Paris 8
163
Trois fig u re s sur fond rose.
JANERAND Daniel du
64, bd Soult, 75-Paris 12e, tél.: 343-11-67
164
« C o m p o s itio n ».
JOSSE Eric-Joël-Jean
14, rue Joseph-Liouville, 75-Paris 15°, tél. : BLO. 72-97
165 Im pressions.
JUAN Maxime
6, quai des C élestins, 75-Paris 4e, tél. : 272-67-19.
166 Les pêches de vignes.
K A R A V O U S IS Sarandis
Fondation Hellénique, 47 bis, bd Jourdan, 75-Paris 141'
tél. : 589-13-37
167 C o m p o s itio n .
KO RO BELNIK Robert
7, rue de Saysset, 9 2 -M o n tro u g e
168
Les singes.
LAKERIDO U Youlika
Fondation Hellénique, 47 bis bd Jourdan, 75-Paris 14e
tél. : 589-13-37
169
M a is o n s de M o n tro u g e .
LANGLET Gérard
38, rue de I' Eglise, 92-Antony, tél. : 237-11-94
170
Lamparos.
LEBO UCH É-CASSAIG NE Lucienne
5, rue M arié-D av y, 75-Paris 14e, tél. : 331-57-84
171
Paysage de neige.
LÉGIER-DESGRANGES M ercédès
11, square D elam bre, 75-Paris 14e, tél. 033-27-98
172
« Vol de nuit ».
LHOPITAULT Emile
90, rue de Bagneux, 9 2 -M o n tro u g e
173
La maison du Père Joseph à M ontro u g e .
LOEB Pierre
5, avenue de la Marne, 9 2 -M o n tro u g e , tél. : 253-61-58
174
N ature m orte à la fenêtre.
LO U IS-FR AN Ç O IS Suzanne-Oana
21, avenue de la R épublique, 92 -M o n tro u g e .
175
Peinture.
LUCAS A nne-M arie
76, rue des C oudrais, 92-S ceau x
176
Le m arché Jules-Ferry à M o ntrouge .
LYS Bernard
27, rue Leplanquais, 92-M alakoff, tél. : 633-92-78
177
Fleurs (gouache).
M AILLARD-TRAN Huguette
8, rue Blanche, 92 -M o n tro u g e , tél. : ALE. 76-59
178
Illustrations po u r c o u v e rtu re s de disques.
M ARG O NI Denise
63, b ouleva rd Sénard, 92-S a in t-C lo u d , tél. : 825-29-17
179
Paysage à M o ntrouge .
MARTIN Aline
95, bd R om ain-Rolland, 9 2 -M ontroug e, tél. : 253-43-43
180
Belleville, « rue V ilain » sous la neige.
M ILLAN Jean-François
49, rue d ’ E stienne-d 'O rves, 92-Fontenay-aux-Roses
tél. : 660-50-04
181
Paysage du Var.
M O NTANG ERAND M ireille
26 bis, rue Jouvenet, 75-Paris 16e, tél. : POR. 37-34
182
Le coq.
M O RAIN Henri
35, rue V ic to r-B a s c h , 92-M o n tro u g e , tél. : 735-32-46
183
C om p o sitio n .
M O N TA S S U T M arie-Rose
rue de G renelle, 75-Paris 7e, tél. : LIT. 28-05
184
M o d è le in té rie u r (encre de Chine).
M UR AIL Gérard-Jean
40, rue de Bretagne, 75-Paris 3e, tél. : ARC. 93-12
185
Le Pont du Diable.
NATTIER Raymonde
82, avenue A ris tid e -B ria n d , 9 2-M ontroug e, tél. : PEL. 06-91
186
M a rine à B ournem outh.
N A U D O N M aurice-Lucien
58, rue L o u is e -M ic h e l, 92-Levallois, tél. : BRO. 83-42
187
Dans le p ro je c te u r « Le M im e M arceau ».
P A D O V A N I Jacqueline
66, bd M o rtie r, 75-Paris 20e, tél. : PYR. 11-70
188
Les c o m b e s de l’Ouïe (dessin).
PARRENS Louis
9, rue A d o lp h e -F o c illo n , 75-Paris 14e, tél. : 707-61-08
189
B arques au G u ilv in e c (Finistère Sud).
PELUARD Robert
21, rue des M ésanges, 92-S ceaux
190 V ieille rue de Sceaux.
PHILIPPON M ichel
18, rue des Tertres, 92-Bagneux, tél. : PEL. 24-38
191 Un hameau en Bretagne.
PRAT A lb ert
66, bd M o rtie r, 75-Paris 20e, tél. : 797-11-70
192 « O u v e rtu re ».
POLLACI Charles
112 bis, avenue J.-J.-Rousseau, 78-Houilles, tél. : 968-64-26
193
Paysage d ’H onfleur.
PUTOIS Paul
1, rue V ic to r-H u g o , 9 2 -M o n tro u g e
194 A n cie n n e église de M ontro u g e .
RATEAU Raymond
128, rue M a u n c e -A rn o u x , 9 2 -M o n tro u g e
195
Les C om pteurs .
RAVAUX M aurice
3, square d ’Athènes, 9 1 -M a s sy
196
Portrait.
REYNAUD Lucie-A strid
21, avenue de la R épublique, 9 2 -M o n tro u g e
197
Ruines de Remorian.
ROUGÉ Jean
12, rue du C o m m a n d a n t-B ra ss e u r, 93-Le B o u rg e t
tél. : 284-11-50
198 Peinture.
S AC H S -P AV A R D Lucienne-Blanche
1, rue Paul-Escudier, 75-Paris 9e, tél., PIG. 62-93
199
Gave à S arra n ce (B a s se s-P yré n é e s) (aqua­
relle).
S ALAUN Jean-Pierre
71, rue du Pavé-Blanc, B âtim ent R, 92-C lam art
200
L ’H ospice
temps.
V e rd ie r de M o n tro u g e
au
p rin ­
SCHADELLE Bernard
102, rue M a u ric e -A rn o u x , 9 2 -M o n tro u g e
201 « M o n t Lozère ».
SCHAFER Eric-Louis
2, V illa des Fleurs, 92-M o n tro u g e , tél. : 253-53-28
202 « V e r g e rs à M o n tro u g e ».
SCHRADER-DUVERSIN M.-Thérèse
5, rue S y lvin e -C a n d a s , 92-M o n tro u g e , tél. : ALE. 27-25
203 S o u v e n irs de M ontrouge .
S IM O N IN S olange-A lberte-O dette
21, rue G abriel-P éri, 9 2 -M ontroug e, t é l . : ALE. 03-58
204
M o n s e ig n e u r M... (encre de Chine).
S IM O N K A G eorges
26, rue des Plantes, 75-Paris 14=, tél. : 734-48-18
205 « A n n iv e rs a ire ».
S Z M U S Z K O W IC Z Nechama
77, rue de Bagneux, 9 2 -M o n tro u g e
206
S oleil sur les to its de M ontrouge .
T AN G U Y Alain-Jean-Pierre
9, rue Pétion, 75-Paris 11e
207
G uig n o l (aquarelle).
TASSY Janine
105, b o u le v a rd M urât, 75-Paris 16“, tél. : 647-81-21
208
« A la lanterne » (dessin crayon mine de
plomb).
THESONNIER A lfred
46, place Jules-Ferry, 92 -M o n tro u g e , tél. : 253-44-90
209
M o n tro u g e .
VAN O
11, rue S chôelche r, 75-Paris-14e
210
N ovem bre.
VAUZELLE Patrick-R.-L.
9, rue Racine, 92-M o n tro u g e , tél. : ALE. 81-15
211
A c a d é m ie (fusain).
VERDIÉ A nne-M arie
22, rue Pottier, 78-Le C hesnay, tél. : 954-06-20
212
Abandon.
VERDIER M aurice
235, rue du F bf-S aint-H ono ré , 75-Paris 8e, tél. : 622-23-74
213
Les M artigues.
VERRY-STEIN M ichèle
43, rue C harles-P loqu et, 92-M o n tro u g e , tél. : ALE. 60-00
214
M ontrouge .
VIGOUREUX Zina
51 bis, rue C arvès, 9 2 -M o n tro u g e
215
M oulin de la B arrière d ’Enfer (vieux M o n t­
rouge).
Sculpture
BASSAT Jean-Jacques
16, rue R ottem bourg , 75-Paris, tél. : 345-10-05
216
La révolte (noyer).
B O ISECQ Simone
19, rue V isco n ti, 75-Paris 6e, tél. : ODE. 29-11
217
Projet de murs.
C H O A IN Gérard
5, rue du G é n é r a l- d e -M a u d ’huy, 75-Paris 14e
218
Jeune athlète (bronze).
CORREIA C harles-Louis
15, résidenc e Boiëldieu, 92-Puteaux, tél. : 775-28-21
219
Terra
M a te r (polyester).
DECREVEL Roland
6, square C ra in q u e b ille , 93-N oisy -le-S ec, tél. : 844-54-17
220
« C o u p le endorm i » (bronze).
DE ROSA Roméo
37, rue des M euniers, 92-B agneux
221
A llé g o rie .
DERYCKE Henri-Paul
14, rue B e n ja m in -C o n s ta n t, 92-N e u illy-su r-S e in e
tél. : 624-50-32
222
Le roi et la reine (bronze).
DESSERPRIT Roger
59, rue Bayen, 75-Paris 17e, tél. : 754-41-02
223
Transm utation.
DO UZIECH Jean-Paul
19, rue Fénelon, 9 2 -M ontroug e, tél. : 655-03-22
224
Libellule.
GILLES
« La G iro n n e rie », 37, B o ss a y -s u r-C la is e
225
« Repos ».
GUERARD G eorges-Louis
10-14, rue de G entilly, 9 2 -M o n tro u g e
226
« A nnie » (terre cuite).
LOBO Baltasar
« G alerie V illa n d et G alanis », 127, bd Haussmann,
75-Paris, tél. : BAL. 59-91
227
Torse à la draperie.
LONGUET Karl-Jean
19, rue V is co n ti, 75-Paris 6e, t é l . :
228
ODE. 29-11
Bronze.
M A LAU SS E N A Jean-Pierre
D 23, rue E.-Derrien, C ité « Les Frênes », 94-V itry -s .-S e in e
tél. : 494-74-12
229
Bustes (cim ent noir).
MERLIER Pierre
50, rue du 24-Août, 89-A uxerre, tél. : 522-52-11
230
Nu.
PARPAN Ferdinand
16, rue du Retrait, 75-Paris 20e, tél. : 636-47-96
231
D anseuse noire (ébène, macassar).
PRYAS Jean
89, rue de V a u g ira rd , 75-Paris 6e
232
Portrait.
S A LM O N Françoise
70, quai des O rfè vre s , 75-Paris, tél. : 326-67-18
233
Le rêve (bronze).
SARCY Daniel
151, avenue Jean-Jaurès, 92-M ontrouge.
234
« S y m b o lism e » (terre cuite).
SELINGER Shelomo
13, rue Bargue, 75-Paris 15e, tél. : 566-45-01
235
« Femme » (bois).
TAMARI Sébastien
36, avenue Jean-M oulin, 75-Paris 14e, tél. : BLO. 18-16
236
« La so u rce » (bronze).
TERZIEF Jean
5, rue F rançois-G uibert, 75-Paris 15e, tél. : SUF. 98-37
237
Buste de femme.
VOLTI
15, rue M o u lin -d e -la -V ie rg e , 75-Paris 14e, tél. : 533-33-09
238
C o m p o s itio n (terre cuite).
Suppléments
VITRAIL :
ROUSSELET Jean-Louis
67, rue Boursault, 75-Paris 13e
239
V itra il dalle de v e rre et v e rre antique s u p e r­
posés.
SCULPTURE :
GESTALDER Jacques
8, villa Buzenval, rue Annie-Jacquin, 9 2 -B o u lo g n e -s u r-S e in e
240
S ylphide.
GIBERT Lucien
20, rue Lobois-R ouillon, 75-Paris 19°
241
Jeune fille.
PEINTURE :
K IS C H K A Isis
192, avenue de la D iv is io n -L e c le rc , 9 2 -M o n tm o re n c y
242
B ateaux et m aisons à Trouville.
JUTAND Pierre
89-C ravant
243
La dame au chien.
B O N O M I A rthu r
49, avenue de la République, 9 2 -M o n tro u g e
244
C o u r du 49, avenue de
M o n tro u g e (peinture).
la R épubliq ue
à
GUERRIER Raymond
13-Eygalière
245
N ature m orte aux poires (peinture).
HILAIRE Cam ille
G alerie de Paris, place François Ier, 75-Paris 8“
246
Le rêve à Pam pelonne (peinture).
DEFOSSEZ A lfred
18, rue des Plantes, 75-Paris 14e
247
B o u q u e t et figure (peinture).
C O iΠil
DE
Musique du Moyen Age
DE
¿2 Renaissance, en France
ET DE
Musique Anglaise du 16e Siècle
PAR LE
FLORILEGIUM MUSICUM DE PARIS
AVEC
F. CARRÉ — H. FARGE
J.-C. MALGOIRE
J.-C. VEILHAN — F. BLOCH
et D. SALZER
C e t ensem ble, ré cem m ent créé,
s'e st donné po u r but de faire revivre
la m usique v ocale et instrum entale
du haut M oyen A g e à nos jours.
Les artistes qui le co n s titu e n t ont e ffectué
des recherc hes a p p ro fo n d ie s sur les é ditions et
m anuscrits anciens, et les p ro b lè m e s posés
par l’interprétatio n de ces musiques.
" Le F lorilegium M u sicu m de Paris " dis p o se
p o u r ses co n c e rts et ses e n re g is tre m e n ts
de près de cinquan te instrum ents,
tous re c o n stitu tio n fidèle d ’ins trum ents d ’époque,
réalisés parfois par les m usiciens eux-m êm es.
Ce sont, outre l’orgue p o rta tif et l’épi nette,
les fam illes entières de hautbois,
flûtes à bec, sourdelines,
c rom ornes , musettes, chalum eaux, cervelas,
s acqueboutes, cornets à bouquin,
vio le s de gambe, viéles,
rebecs et les instrum ents à p e rcussion
tels que clochettes, gongs, tabors, etc.
Au p ro g ra m m e du " F lorilegium M u sicu m de Paris "
fig u re n t a c tuellem en t des oeuvres du M o ye n Age
extraites des m anuscrits de Bam berg,
d 'A p t et de M o n tp e llie r;
des œ u vres de la Renaissance
extraites du m anusc rit d 'H e n ry VIII et
des c o m p o s itio n s de C laudin de Serm isy,
C laude le Jeune, Praetorius, Sam uel Scheidt,
J. Hermann Schein, ainsi que des ensem bles
à plusieurs ch œ urs d ’instrum ents
de G abrieli, A d ria a n W illaert,
H einrich Schütz et C la u d io M o n te ve rd i.
P R O G R A M K/1 E
2 estam pies du XIII siècle
Estampie « sel » .............
Anonym e.
« K alenda maya » ...........
Raim baut de V ac q u e ira s
(1155-1206?).
M usique à la C our de B our­
gogne aux X IV e et X V 1 s.
« Par m aintes fo y s » (v ire ­
lai)
....................................
Jean V a illa n t (XIV1’ s.).
« Bon vin doit » ................
A n o n y m e (X IV e s.).
Estampie pour orgue . . .
« J'ayme bien celui » . . . .
A n o n y m e (X IV e s.).
Pierre Fontaine
(1880-1448?).
« M it ganezem w illen » . .
C o nrad Paumann
(1410-1478).
« Bon jo u r bon mois » . .
G uillaum e D ufay
(1400-1474).
Deux aspects de la Renais­
sance Française
« D ’où v ie n t cela » (huit
ve rs io n s ) .........................
D a n c e rie s à quatre
.........
M usique anglaise du X V Ie siè­
cle
C laudin de S erm isy
(1489-1562).
C laude G ervaise
(X V Ie s.).
G aillarde
.............................
« Si fo rtu n e » ....................
C o u ra n te : "H e ig h he h o li­
d a y " ...............................
« Hélas! M adam e » . . . .
C o n s o rt .............................
« A dieu M adam e » .........
« Taunder naken » . . . .
« G entil prince de renon
G iovanni C o p e ra rio
(1575-1626?)
Anonym e.
A n to n y H olb o rn e
(7-1602).
H enry VIII (1491-1547).
« A dieu mes am ours » .
W illia m C ornish
(7-1523).
« La mi ré » ....................
A nonym e.
« J'ay prise am ours » . . .
A nonym e.
« S o rre corne » ................
John D ow la n d
(1563-1626).
« In nom ine » ....................
O rla n d o G ib b o n s
(1583-1625).
Ricereare
Thom as Tallis
(7-1585).
...........................
« H ey tr o lly lolly lo » . . . .
A nonym e.
D A L E X Im prim eurs
DRAEGER,
IMP.
- LE VITRAIL - HOMMAGE A L'INGENIEUR BARTHELEMY pionnier de la télévision
Le XVI ème Salon de Montrouge ouvre du 13 mai au 6 juin 1971.
Avec la collaboration d'une centaine de peintres verriers et de
maîtres verriers, il y sera présenté une importante exposition de vitraux. Vitraux de
verre antique au plomb, vitraux de dalle de verre et résine, vitraux de Léger, Singier,
Gleizes, Vasarely, Dewasne, Piaubert, Zack, Appel, Bertholle, Debré, Pagava, Ubac,
comme de Rouault, Lapicque, Caillaud, Gromaire, Nakache, Le Colas ou Brayer....
Les élèves de l'école nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d'art ont,
avec la collaboration des ateliers municipaux et de la verrerie de St Gobain, de St Justsur-Loire, réalisé la reconstitution d'un atelier ancien de maître verrier.
C'est la première fois qu'un ensemble aussi important est présenté.
L'aide des maîtres verriers a été active - Michel Durand, qui a repris l'atelier de
Barillet, a une grande part de responsabilité dans cette réussite ; et la présence
d'oeuvres de Juteau, Bony, Guevel, Barillet, Loire, Durand, Gaudin, Le Chevallier,
Lesquibe était indispensable.
La salle très vaste, est dominée par deux maquettes, les seules de
l'exposition, celle de Villon pour les vitraux de la cathédrale de Metz et celle de
Matisse, étude pour un Vitrail de Vence.
Maigre l’importance de cette exposition, deux salles restent
consacrées à la peinture et à la sculpture avec Busse, Cortot, Carrega, Ciry, Alaux,
Hauterives, Kischka, Volti, Lobo.... Des cimaises ont été réservées à des oeuvres
représentant le Montrouge actuel ou passé et nous avons des toiles très fraîches et
pittoresques de Défremont, Salaun, Rateau, Lhopitault, Thésonnier, Putois, Derulle,
Lucas, Vigoureux, Pierrette Cour.
Un autre aspect très intéressant du XVI ème Salon est un hommage
à René Barthélémy pionnier de la télévision. L'étroite collaboration du décorateur
F. Blin, des ateliers municipaux, de la Compagnie des Compteurs et du conservatoire des
arts et métiers, a permis une passionnante présentation de la vie et de l'oeuvre de
Barthélémy dont une rue de Montrouge va recevoir le nom le 3 juin 1971. Monsieur Jean
Le Duc et Monsieur Strelkoff feront une conférence le 2juin au soir sur la télévision.
Monsieur Le Duc développera un panorama historique de la télévision tandis que M.
Strelkoff s'attachera à son évolution technique.
Il
faut mentionner que le 28 mai à 21 heures, le
Musicum de Paris fera entendre dans le cadre exceptionnel de la salle des vitraux un
concert de musique du moyen âge et de la Renaissance en France.
Pierrette COUR
Conseiller Municipal
Commissaire Général du Salon,
- 2 et 3 JUIN 1971 -
Hommage à René BARTHELEMY organisé sur l'ini­
tiative de la Municipalité de Montrouge avec
le concours des Compteurs - Schlumberger, de
l'O.R.T.F., du Conservatoire des Arts et
Métiers et du Comité du Salon de Montrouge.
Afin d’attirer à l'avance l'attention du public sur les manifestations prévues en
hommage à René BARTHELEMY, une exposition consacrée aux travaux de ce grand chercheur sera offerte
au public des le 1.5 Mai dans le cadre du Salon de Montrouge (voir notes ci—jointes sur le salon).
- Programme des manifestations des 2 et 3 Juin 1971 iercredi 2 Juin - 21 Heures
Jeudi 3 Juin - 10 Heures 30
COMMUNICATIONS sur la naissance et l ’évolution
de la Télévision, du Télé-Cinéma et du Radar
par Monsieur Jean LE DUC, Président d'honneur de
la Compagnie des Compteurs et Monsieur Dimitri
STRE1K0FF, Collaborât eur direct de René
BARTHELEMY -
Salle des Fêtes du
Centre Administratif
dans le cadre du
Salon de Montrouge.
INAUGURATION officielle de la rue BARTHELEMY
( le3 images de cette cérémonie seront enregis­
trées au magnétoscope par l'O.R.T.F.) -
A partir de 11 Heures 15
- PRESENTATION DE L'EXPOSITION consacrée à
René BARTHELEMY - .
- DIFFUSION du reportage sur la cérémonie
inaugurale enregistré le matin même par N
l'O.R.T.F. -
Salle des Fêtes du
Centre Administratif
dans le cadre du
Salon de Montrouge.
- ALLOCUTIONS -
UNE RECEPTION offerte par la Municipalité et les Compteurs - Schlumberger clôturera cette manifestation.