L`étiquetage nutritionnel des marques de la sélection
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L`étiquetage nutritionnel des marques de la sélection
L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires DOSSIER D’INFORMATION SCIENTIFIQUE Intermarche docA4.indd 1 23/08/12 17:28 L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires s’engage Distribuer plus de 13% des produits alimentaires vendus en France* donne des responsabilités. Face à l’augmentation des problèmes de santé liés à l’alimentation, Intermarché s’est engagé depuis plusieurs années à aider les consommateurs à mieux équilibrer leur alimentation et celle de leurs enfants au travers d’engagements forts : 1. Améliorer la qualité nutritionnelle des produits de nos marques Intermarché propose une quarantaine de marques propres alimentaires et s’engage à améliorer le profil nutritionnel de leurs produits. Depuis 2006, plus de 650 recettes ont été retravaillées avec en moyenne : -13% de sel -10% de sucres -25% de matières grasses totales -44% d’acides gras saturés Intermarché a également entamé un partenariat avec ses fabricants dans le cadre de la démarche nutrition. Ce partenariat est fondé sur l’échange de savoir-faire entre nos 33 ingénieurs qualité en charge du développement des marques propres et les usines. Ce travail de fond a permis des améliorations notables de la qualité nutritionnelle des produits sans impact sur leur goût, condition essentielle à l’acceptation par les consommateurs. 2. Développer une information nutritionnelle responsable Le Nutri-pass, système d’étiquetage nutritionnel, traduit la nécessité d’aider le consommateur à faire des choix alimentaires éclairés en proposant une information sur les nutriments à surveiller. Créé en 2006, il est aujourd’hui présent sur plus de 1500 produits des marques de la sélection des Mousquetaires. L’objectif fixé pour fin 2012 est de 2000 produits porteurs du Nutri-pass. Le Nutri-pass a été mis en place à l’origine au dos des emballages. En 2012, Intermarché décide d’aller plus loin dans son engagement de transparence envers les consommateurs avec un nouveau Nutri-pass désormais plus visible, présent en face avant. Une information pédagogique sur le système est développée en face arrière pour renforcer la compréhension des informations du tableau de valeurs nutritionnelles. 2 *Données Nielsen CAM 2012. PDM volume Intermarché = 13,1% au total HM, SM et HD Intermarche docA4.indd 2 23/08/12 17:28 Améliorer l’étiquetage nutritionnel : une nécessité Les Français ont de plus en plus conscience de l’influence de l’alimentation sur la santé. Les actions de communication des instances de santé publique et des industriels de l’agroalimentaire ne sont pas étrangères à cela. Pourtant, souvent complexe et d’origine réglementaire, l’information nutritionnelle est difficilement comprise par le consommateur moyen. La confusion du consommateur est particulièrement visible au niveau de l’étiquetage, comme le soulignent de nombreuses études ou enquêtes menées à travers le monde (Enquête U.E.1 , Baromètre Nielsen2 , Enquête CLCV/DGAL3 , Baromètre nutrition4 , Le BEUC5 , EUFIC6 , CREDOC7 ). Ces études montrent que la présentation actuelle de l’étiquetage nutritionnel est mal, peu, voire pas comprise par le consommateur : le taux de lecture est faible (entre 10 et 25 %), le consommateur rencontre des difficultés de compréhension (jusqu’à 80 % des consommateurs) et demande des améliorations pour mieux comprendre et être davantage acteur de ses choix alimentaires. Avec un point de vente tous les 17 km en France, une forte présence à l’international et plus de 3500 références à marques propres représentant plus de 30 % des ventes, le Groupement des Mousquetaires prend ses responsabilités. L’enseigne doit assumer une mission d’information auprès de ses clients et leur proposer un système d’étiquetage simple, clair et pédagogique, dans une double volonté de transparence de l’information donnée et d’aide au consommateur pour faire des choix alimentaires avertis. Dans ce contexte, nous avons décidé de nous fixer plusieurs partis pris pour améliorer l’étiquetage nutritionnel. Nos partis pris pour un étiquetage accessible Un double niveau de lecture : pour les consommateurs moins impliqués : un code coloriel sur les nutriments à surveiller pour une lecture rapide. pour les consommateurs plus éduqués : une lecture directe des pourcentages d’apport. Un étiquetage à la portion : pour une information sur la consommation réelle du produit. Un double système de références : enfant et adulte. La présence en face avant des emballages depuis 2012*, pour favoriser la visibilité. Un cadre pédagogique en face arrière et une reprise des couleurs du Nutri-pass dans le tableau de valeurs nutritionnelles, pour aider à la compréhension du système. Un déploiement transversal sur toutes les catégories de produits*, pour faciliter la démarche d’équilibre alimentaire. * Sont exclus à date certains produits non concernés par les obligations d’étiquetage nutritionnel prévues dans le règlement européen 1169/2011 ou pour lesquels l’information est difficile à mettre en œuvre : eaux natures, alcools, alimentation particulière, café, thés, épices, produits des rayons traditionnels… et en cas de contrainte de place. Intermarche docA4.indd 3 3 23/08/12 17:28 L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires Présentation du Nutri-pass Face avant Dans la bulle Apport énergétique par portion Dans les pastilles rondes Nutriments dont la consommation est à surveiller et couverture des apports quotidiens par portion. Une signalisation de couleur indique s’ils contribuent modérément (vert), moyennement (jaune) ou de façon importante (orange) aux apports quotidiens recommandés. Face arrière Cadre pédagogique Tableau de valeurs nutritionnelles avec reprise du code couleur du Nutri-pass Un déploiement au niveau européen Aujourd’hui, le Nutri-pass est présent dans 4 pays d’Europe : Portugal, Belgique, France et Pologne. En France, Intermarché est le seul acteur à avoir mis en place ce type d’étiquetage nutritionnel. À noter : en Europe, plusieurs acteurs ont mis en place un étiquetage nutritionnel avec un code coloriel. Au Royaume-Uni, suite à la recommandation de la FSA (Food Standards Agency) d’utiliser les « traffic lights », plusieurs distributeurs les ont mis en place sur leurs produits. Ils sont également utilisés par des distributeurs espagnols et portugais. 4 Intermarche docA4.indd 4 23/08/12 17:28 Études consommateurs réalisées dans le monde sur le code coloriel Les études menées dans le monde montrent la préférence du code coloriel par les consommateurs et son efficacité dans la démarche d’équilibre nutritionnel. Le code coloriel aide les consommateurs à estimer le niveau de nutriments dans les produits (Etats-Unis, 2012)8 D’après cette étude conduite sur 703 consommateurs américains, le code coloriel est plus efficace qu’un système présentant les pourcentages d’apports sans code couleur en ce qui concerne l’évaluation de la teneur en nutriments des produits : le score d’estimation correcte de la teneur en acides gras saturés, sucres et sodium est de 75 à 90% avec les traffic lights et de 52 à 61% avec les pourcentages d’apports seuls. L’étude montre également qu’avec un système monochrome, les consommateurs ont davantage tendance à sous-estimer la quantité de sucres et d’acides gras saturés dans les produits. Le code coloriel aide les consommateurs à identifier les produits les plus sains (Australie / Cancer Council, 2008)9 Une étude menée sur 790 participants australiens a montré que les consommateurs sont 5 fois plus aptes à identifier les produits ayant le meilleur profil nutritionnel avec les traffic lights par rapport à un système présentant les pourcentages d’apports sans code couleur. Avec le code coloriel, les groupes socio-économiques les plus bas sont 6 fois plus aptes à identifier les produits plus sains. Le code coloriel est préféré par les consommateurs (France, 2012)10 Cette étude menée sur 38 763 participants de la cohorte Nutrinet-Santé a comparé 5 labels : traffic lights simples (code couleur sur la qualité nutritionnelle globale du produit), traffic lights multiples (code couleur sur les nutriments à surveiller), tick verte, logo PNNS, dégradé de couleurs. Elle montre que 58% des personnes interrogées préfèrent le code couleur multiple aux autres labels testés et souhaitent le voir en face avant des emballages. 5 Intermarche docA4.indd 5 23/08/12 17:28 L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires Le code coloriel permet d’améliorer la composition nutritionnelle du panier d’achat alimentaire (France / Ministère de la Santé, 2011)11 L’objectif de cette étude menée sur 364 sujets était de comparer l’efficacité nutritionnelle relative de différents labels (RNJ, label tricolore, pastille verte) sur la composition du panier alimentaire des ménages et leur qualité nutritionnelle. Les résultats de cette étude ont permis de montrer que le code couleur améliore la qualité nutritionnelle du panier alimentaire : L’apposition d’un label tricolore sur les aliments permet de diminuer de 14,2% le LIM (score de composés à limiter sur le plan nutritionnel) d’un caddie alimentaire constitué sans information nutritionnelle . Le label tricolore permet d’améliorer la qualité nutritionnelle d’un panier alimentaire de 40% par rapport à un label limité au vert. L’effet sur l’équilibre alimentaire est particulièrement marqué chez les populations CSP-. Études sur nos consommateurs Intermarché a testé chaque étape de sa démarche d’amélioration de l’information nutritionnelle auprès des principaux intéressés : les consommateurs. En particulier, l’intérêt et l’utilité du code coloriel en tant qu’aide à la compréhension de l’information nutritionnelle ont été évalués dans chacune des études. Analyse des besoins des consommateurs (étude exploratoire, 2006)12 L’étiquetage proposé a tout d’abord été testé en qualitatif auprès de six groupes consommateurs. Les résultats ont montré que le système présenté par Intermarché était perçu comme clair, simple, évident et comme répondant aux attentes des consommateurs en terme de contenu. Validation de l’approche (2006)13 Les résultats de la première étude qualitative ont été confirmés par une étude quantitative mise en place auprès de 457 personnes. L’étiquetage coloriel Intermarché a été évalué dans l’absolu et en comparatif à d’autres systèmes français existants sans code coloriel (étiquetages nutritionnels de 2 distributeurs et d’un industriel). L’étude a montré que l’étiquetage Intermarché était très apprécié et qu’une nette préférence se dégageait en sa faveur. En comparaison 2 à 2 du Nutri-pass face à chacun des 3 étiquetages nutritionnels testés, l’étiquetage nutritionnel Intermarché est préféré par 60 à 79 % des personnes interrogées selon les systèmes présentés : L’information est “claire” pour 67 % des interrogés (contre 21 % pour le meilleur concurrent). L’information est “facile à comprendre” pour 64 % des interrogés (contre 25 % pour le meilleur concurrent). L’information est “utile” pour 54 % des interrogés (contre 19 % pour le meilleur concurrent). 6 Intermarche docA4.indd 6 23/08/12 17:28 Pertinence du code couleur (2007)14 Une autre enquête quantitative a été réalisée en face à face à domicile auprès de 633 personnes responsables des achats alimentaires de leur foyer. Elle avait pour objectif de valider notre parti pris d’utiliser un code couleur pour aider nos consommateurs à mieux comprendre l’étiquetage nutritionnel. Le Nutri-pass a donc été testé dans sa version colorielle par rapport à une version identique mais entièrement monochrome. Plus précisément, il s’agissait de mesurer les comportements des consommateurs face aux informations sur la nutrition et aux tableaux nutritionnels ; l’appréciation et la compréhension de chaque piste (colorielle et monochrome) ; la préférence entre les deux pistes. Principaux résultats : Le code coloriel du Nutri-pass et son utilité sont bien compris par les consommateurs qui associent spontanément le vert à apport modéré, le jaune à moyen et l’orange à important. La compréhension des niveaux d’importance des apports grâce aux pastilles est, en assisté, mieux notée que la piste monochrome. Ceci permet de justifier l’utilité du système coloriel dans la compréhension. Par exemple, pour la pastille orange des matières grasses : 51 % perçoivent ce taux comme important sur la piste colorielle, contre 45 % sur présentation de la piste monochrome. De plus, la piste colorielle est nettement préférée par rapport à la piste monochrome (68 % contre 18 %), et ce, encore plus largement chez les catégories socio-professionnelles moins élevées (74 % contre 16 %). Quel que soit le niveau d’intérêt ou d’attention porté aux informations nutritionnelles, la piste colorielle reste la plus appréciée et est comparativement jugée : Plus claire Plus facile à comprendre Plus rapide à comprendre Plus facile à lire En conclusion, le système coloriel Nutri-pass, avec son double niveau de lecture, est une aide certaine à la compréhension de l’étiquetage, aussi bien pour un public habitué à lire des informations nutritionnelles que pour les consommateurs moins ou pas impliqués. Pertinence du passage en face avant (2011)15 Avec la volonté de faire passer le Nutri-pass en face avant des produits, Intermarché a réalisé une étude qualitative auprès de quatre groupes consommateurs. Le Nutri-pass en face avant a été jugé plus visible et plus pratique que sa version en face arrière. Nos clients souhaitent voir uniquement les informations nécessaires et suffisantes en face avant : kcal, matières grasses, sucres et sel. Les autres informations peuvent être présentes uniquement au dos pour les consommateurs plus impliqués. C’est le cas en particulier de l’information sur les acides gras saturés, dont l’étude montre qu’il s’agit d’un nutriment encore peu connu et complexe à appréhender. Par ailleurs, cette étude a confirmé l’appréciation et la compréhension spontanée du code couleur du Nutri-pass, ainsi que la pertinence des couleurs choisies (notamment le orange préféré au rouge jugé trop anxiogène). 7 Intermarche docA4.indd 7 23/08/12 17:28 L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires Choix des valeurs moyennes de référence Les apports quotidiens retenus Pour les adultes, les apports de référence retenus sont ceux figurant à l’annexe du règlement INCO 1169/201116 et figurant dans le tableau ci-dessous. Des références spécifiques pour les enfants Nous avons souhaité intégrer à notre système d’étiquetage des références spécifiques aux enfants. En effet, certains de nos produits leurs sont spécialement destinés. Nous avons choisi comme référence une petite fille de 6-7 ans, sédentaire avec un apport énergétique total (AET) de 1600kcal. Nous avons conservé la même méthode de calcul que celle des adultes pour les lipides, soit une valeur de référence de 50 g. Pour les sucres, nous avons retenu la valeur de 75 g. Pour le sel, nous avons choisi la référence de la FSA au Royaume-Uni pour un enfant de 7 ans, soit 5 g. Récapitulatif des apports de référence Adultes Enfants AET 2000 kcal 1600 kcal Lipides 70 g 50 g Sucres 90 g 75 g Sel 6g 5g Détermination des seuils de contribution aux apports journaliers Parler en terme de contribution aux apports recommandés permet au consommateur de replacer l’aliment par rapport à ses besoins journaliers. Les seuils correspondent par conséquent à des pourcentages de contribution (modérée ou importante) à l’apport quotidien que nous avons retenu en lipides, sucres et sel. Seuil de contribution modérée Nous avons choisi un seuil de contribution modérée de 5 % des apports recommandés par portion. C’est la valeur qui avait servi pour les références réglementaires utilisées en France pour l’allégation “Pauvre en…” et les résultats sur nos produits sont cohérents avec les recommandations nutritionnelles. Enfin, ce seuil de 5 % est une recommandation usuelle, notamment américaine et canadienne, pour délimiter le seuil de contribution modérée aux apports quotidiens. 8 Intermarche docA4.indd 8 23/08/12 17:28 Seuil de contribution importante Les différentes réglementations prévoient des définitions pour les critères « faible » ou « pauvre » pour les nutriments dont la consommation doit être limitée. Cependant, aucune réglementation ne prévoit de seuils pour qualifier leur « richesse » en un de ces nutriments. La réglementation considère ce critère pour les nutriments dont la consommation est encouragée (protéines, fibres, vitamines et minéraux). Nous avons dû par conséquent rechercher des sources de recommandations qui n’étaient pas d’ordre réglementaire. Nous avons trouvé 3 références17,18,19. Nous nous sommes inspirés de la recommandation la plus récente pour définir le seuil de contribution importante aux apports recommandés, à savoir le système de traffic lights proposé par la FSA. Récapitulatif des seuils de contribution Nutri-pass Matières grasses Sucres Sel** sodium Apport quotidien adultes (base 2000 kcal) Apport quotidien enfants (base 1600 kcal) 70 g 50 g 90 g 75 g 6g 5g 2,36 g 1,97 g Contribution modérée ≤ 5 %* par portion Contribution moyenne Contribution importante > 5%* et ≤ 25 %* par portion > 25 %* par portion Le cas particulier des plats cuisinés Nous avons par ailleurs adapté notre système d’étiquetage pour les plats cuisinés car : Il est difficile d’aider le consommateur dans son choix si des critères trop sévères mettent tous les plats sur le même plan. Les plats cuisinés représentent un apport quantitatif qui pèse significativement dans les apports quotidiens (portions usuelles dans le commerce de 250-400 g, à comparer aux 2-2,5 kg d’aliments ingérés chaque jour). Ils constituent un coeur de repas, en associant plusieurs aliments de base : en général un aliment protéique (viande, poisson) et un accompagnement (féculent et/ou légumes). Ils ne doivent donc pas être considérés sur le même plan nutritionnel que des aliments consommés en plus petites portions, en snacking ou comme simple unité de base d’un repas (le produit laitier du repas ou la portion de fruit par exemple). Les seuils de 5 % et 25 % pour les limites des zones de contribution modérée et importante passent respectivement à 10 % et 35 % et seront appliqués pour les plats cuisinés, définis comme : Une portion d’au moins 250 g Un coeur de repas associant au moins 2 composantes : une source de protéines et un accompagnement (féculent et/ou légumes) Récapitulatif des seuils de contribution Nutri-pass pour les plats cuisinés Apport quotidien adultes (base 2000 kcal) Matières grasses 70 g Sucres 90 g Sel** sodium Contribution modérée Contribution moyenne Contribution importante ≤ 10 %* par portion > 10 %* et ≤ 35 %* par portion > 35 %* par portion 6g 2,36 g * Les chiffres des pourcentages seront arrondis à l’unité près dans le Nutri-pass ** Sel = sodium x 2,54 9 Intermarche docA4.indd 9 23/08/12 17:28 L’étiquetage nutritionnel des marques de la sélection des Mousquetaires Le code coloriel du Nutri-pass met en évidence les différences de teneurs nutritionnelles des produits En pratique : Les profils coloriels de ces deux plats cuisinés sont représentatifs de leurs différents profils nutritionnels. Les pourcentages donnent une information précise sur la contribution de la portion de produit aux apports quotidiens. Le code couleur aide le consommateur à comprendre ces pourcentages. 10 Intermarche docA4.indd 10 23/08/12 17:28 Bibliographie 1 DG Sanco (avril 2005). Les attitudes des consommateurs à l’égard de l’étiquetage. Etude qualitative dans 28 pays européens. Note de synthèse préliminaire www.europa.eu.int/comm/consumers/topics/etiquetage_cons_fr.pdf. 2 Nielsen Report : Battle of the Bulge and Nutrition labels. Healthy eating trends around the world, janvier 2012. 3 Etude DGAL/CLCV. Rapport de la Convention A02/22 relative à l’étude de la compréhension par les consommateurs de certaines mentions figurant dans l’étiquetage des denrées alimentaires préemballées et à leur perception de certaines allégations nutritionnelles, fonctionnelles et de santé. Paris, 2004. 4 Baromètre Santé Nutrition 2008, sous la direction de Hélène Escalon, Claire Bossard et François Beck, ed. INPES, 2009. 5 BEUC Considerations on Simplified Labelling, Barbara Gallani, Food Policy Adviser Simplified Labelling Discussion Group. Brussels, 7 mars 2006. 6 Food Today, n° 47 de février 2005. 7 CREDOC, Les souhaits d’information nutritionnelle des Français, juin 2000. 8 Roberto CA, Bragg MA, Schwartz MB, Seamans MJ, Musicus A, Novak N, Brownell KD. Facts up front versus traffic light food labels: a randomized controlled trial. Am J Prev Med. 2012 Aug;43(2):134-41. 9 Kelly B, Hughes C, Chapman K, Louie JC, Dixon H, Crawford J, King L, Daube M, Slevin T. Consumer testing of the acceptability and effectiveness of front-of-pack food labelling systems for the Australian grocery market. Health Promot Int. 2009 Jun;24(2):120-9. Méjean C, Macouillard P, Péneau S, Hercberg S and Castetbon K. Perception of front-of-pack labels according to social characteristics, nutritional knowledge and food purchasing habits. Public Health Nutrition, Available on CJO 2012. 10 Modification des achats en réponse à l’apposition de différents logos d’évaluation nutritionnelle sur la face avant des emballages. Laurent Muller, Bernard Ruffieux. Cahiers de Nutrition et de Diététique, 2012. 11 Étude qualitative Épigone, janvier 2006 (base : 6 groupes de 8 à 9 clientes Intermarché régulières ou occasionnelles responsables des achats alimentaires). 12 13 Étude quantitative Ipsos, juillet 2006 (base : 457 clients Intermarché responsables des achats alimentaires). 14 Étude quantitative Ipsos, octobre 2007 (base : 633 responsables des achats alimentaires). 15 Étude qualitative Interview, juin 2011 (base : 4 groupes de 7 à 8 clientes Intermarché responsables des achats alimentaires). Règlement (UE) N° 1169/2011 du Parlement européen et du Conseil du 25 octobre 2011 concernant l’information des consommateurs sur les denrées alimentaires. 16 US Food and Drug Administration/Center for Food Safety and Applied Nutrition, How to Understand and Use the Nutrition Facts Label, June 2000; Updated July 2003 and November 2004. 17 18 FSA, Signposting consultation and guidance, Référence : CPD/10, 16 novembre 2005. William C, Rayner M, Myatt M, Boaz A, Use your label : Making Sense of Nutrition Information, Foodsense leaflet, London : Ministry of Agriculture, Fisheries and Food, 1996. 19 11 Intermarche docA4.indd 11 23/08/12 17:28 Des informations à la portion Deux référentiels : un adulte (femme 2 000 kcal) et un enfant Une pastille bleue pour l’énergie Le pourcentage de la contribution de l’aliment par rapport aux apports quotidiens recommandés Des ronds avec une échelle de couleur pour un décodage rapide de ce qui est à surveiller : sucres, matières grasses et sel Retrouvez le Nutri-pass chez Intermarché Intermarche docA4.indd 12 23/08/12 17:28