Cendrillon Blanche-Neige Barbe Bleue Hansel et Gretel / Jeannot et

Transcription

Cendrillon Blanche-Neige Barbe Bleue Hansel et Gretel / Jeannot et
Variations autour de
Cendrillon
Blanche-Neige
Barbe Bleue
Hansel et Gretel / Jeannot et Margot
Le Pêcheur et sa femme
Les Fées
La Belle au Bois dormant
Le Petit Poucet
Boucles d’or et les Trois ours
Année 2013-2014 – Enseignante : Mme ONA
SOMMAIRE
Sang-de-Lion (Markha D.)
Le beau (ou pas) voleur dormant (Alexis M.)
e-Blanche-Neige (Elie L.)
Le Petit Paumé (Maël C.)
Cendre-Grillon (Pauline B.)
Les yeux bleus (Cédric A.)
Le corbeau farceur (Raphaël C.)
L’amateur de Kebab et sa femme (Idriss E.)
Chris et Kim (Soundous A.)
La Moche au Bois puant (Victor G.)
Rose tout court (Mélissa R.)
Epine de fleur (Milena G. T.)
Le Grand Pousset (Antoine S.)
Alice (Alexandra J.)
Le pêcheur et sa femme (Nicolas M.)
Blanche-Neige et les sept ours (Annyssia S.)
Barbe à papa (Lise G.)
Le Groupe (Nicolas L.)
Les trois fils et les petites pommes mangées (Albin M.)
Blanche-Neige et les sept gringos (Amanda P.)
Noire-Crasse et le sept beaux-gosses (Mathieu B.)
Les sept grincheux (Théo V.)
Cendrine (Eva R.)
Blanche-Neige et les sept geeks (Jacob D.)
Bijoullon (Marlon B.)
Blanche-Neige la peste et les sept géants (Johas S.)
Sindy et le DJ (Linda K.)
Blanche-Neige et les sept ogres (Sabrine A.)
Neige-Blanche et les sept nains (Elise O.)
Sablion (Laoura I.)
Blanche-Neige et les sept robots (Tristan M.)
La Belle empoisonnée (Iman A.)
Pupille bleue (Fouad B.)
Les Cendrillon : 30 / Les Diables : 0 (Lynna H.)
Blanche-Laide et les sept pros (Orane F.)
La Vie de Léa (Shéhérazade M.)
La Barbe à papa (Max C.)
Le Petit Auriculaire (Romain T.)
Cendre-Grillon (Nicolas F.)
Le Grand Index (Ibrahim A.)
Le bal de Cendrine (Estera R.)
Le homard (Amandine T.)
Les yétis et… Gertrude-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ère (Adam D.)
Serpillon (Doriane D.)
Sang-de-Lion
Il était une fois une fille qui était très sportive, elle
s'appelait Sang-de-Lion.
Elle ne s'entendait pas du tout avec sa belle-mère et ses
demi-sœurs, qui n'y connaissaient rien en sport.
Par rapport à ses demi-sœurs, qui aimaient se maquiller et
regarder des défilés de mode, Sang-de-Lion préfèrait aller
courir de bon matin, regarder des matchs à la télé : elle
était très différente de ses demi-sœurs.
Un beau matin, Sang-de-Lion sortit courir et elle vit des
affiches partout qui disaient qu'il y aurait bientôt le
marathon à New York : elle voulait à tout prix y aller.
Elle demanda alors à sa belle-mère si elle pouvait y aller
mais sa belle-mère n'était pas d'accord.
Un jour, Mamie la Fée (qui était sa mamie) vit Sang-de-Lion
très triste. Elle vit les affiches du Marathon et elle pensa
que ça avait un rapport avec ça.
Donc elle décida de lui offrir une paire de Converse, un
survêtement, un bandeau et elle lui paya son billet d'avion.
Le lendemain, Sang-de-Lion se prépara pour aller au marathon.
Une fois arrivée, elle commença la course et elle vit un
garçon, Eric, qui lui plaisait beaucoup. Sang-de-Lion arriva
1ère mais elle perdit une Converse. Alors Eric la ramassa et le
lendemain il demanda à toutes les sportives : « A qui est
cette Converse ? » sauf à l’une d’entre elles, qui était Sangde-Lion. Il alla enfin la voir et lui rendit la Converse.
Et puis il lui demanda sa main : ils vécurent heureux, très
heureux... et très sportifs !
Markha D. (6ème C)
Le Beau (ou pas) voleur dormant
Nous sommes dans les rues de New York. Tout est calme. Sauf dans une
petite rue, cette petite rue où il y a beaucoup de vols. Et quand la police s’en
mêle, ça ne rigole pas.
« Arrêtez-vous », lance un policier à un voleur.
Il sort une aiguille pour l’endormir. Le voleur monte dans un immeuble (tout
en haut). Le policier arrive en haut lui aussi et voit le voleur, qui se dit : « Soit
je saute, soit je vais en prison ». Bon évidemment, le choix est vraiment difficile,
mais la prison c’est trop dur et rapidement il se dit :
« Je saute !
Mais non, ne saute pas, imbécile ! Sinon l’histoire se termine, dit une voix
dans sa tête.
-Mais oui, tu as raison, la voix. »
Tout compte fait et contre toute attente, il va faire un câlin au policier. Le
policier prend peur et le pique avec son aiguille (pour les chiens) et comme
l’homme n’est pas un chien, il s’endort pour 1000 ans.
FIN !
Mais non, quelqu’un peut encore le sauver. Et maintenant allons voir cette
personne (c’est une fille). « Ah là là ! Il faut que j’aille au supermarché, je n’ai
plus rien à manger ! » se dit la jeune fille. Elle prend sa voiture et s’y rend. Elle
rentre dans le magasin, fait ses courses et repart chez elle quand, sur une
affiche, elle voit
inscrit : Jeune homme disparu aux alentours du bâtiment B
dans la rue des voleurs. Mais attention, toutes les personnes qui y sont allées
ne sont jamais revenues. Ceci dit, cette personne disparue est un voleur et bien
sûr celui qui le trouvera ne gagnera rien du tout. La jeune fille ne comprend pas
tout à fait la dernière phrase et se dit : « Je vais trouver cette personne et je
gagnerai quand même peut-être quelque chose. »
Tout le monde sait où se trouve cette rue mais personne n’y va, par peur
qu’on leur vole quelque chose. La jeune fille y va à pied. Elle arrive devant le
bâtiment B, il fait vraiment sombre. Elle regarde par la fenêtre et voit plein de
toiles d’araignées, elle n’en n’a jamais vu d’aussi immenses. Elle rentre dans
l’immeuble, commence à toquer sur toutes les portes et elle se dit : « Il a
disparu aux alentours du bâtiment B mais bon, je vais quand même chercher
dedans. »
En deux heures, elle arrive tout en haut et voit un homme endormi, c’est
certainement le disparu. Le policier l’a laissé là, comme il l’a piqué avec la
mauvaise aiguille, il pense l’avoir tué. La jeune fille avait justement lu La Belle
au Bois Dormant la veille. Elle veut l’embrasser mais en plus du fait qu’il ne soit
pas très beau, une autre raison de ne pas l’embrasser surgit, elle voit une
araignée géante sortir de l’ombre et foncer droit sur elle. La jeune fille l’esquive
de peu, l’araignée tombe de l’immeuble. Elle regarde attentivement l’homme qui
est vraiment très laid et finalement repart chez elle et le laisse là.
Cette fois-ci, c’est bien la FIN !
Alexis M. (6ème C)
e-Blanche neige
Il etait une fois une maire et son mari qui aimaient par dessus tout les
jeux videos. Un jour qu’elle etait a ses fourneaux (elle detestait la cuisine),
la maire fit un plat de pâtes a la sauce tomate. Le plat brûla et se noircit.
Elle se dit interieurement : « Si seulement je pouvais avoir une fille aux
cheveux noirs comme ces pâtes brulees, aux joues rouges comme cette
sauce tomate, et a la peau blanche comme cette assiette… ».
Quelques mois plus tard, son vœu se realisa : elle eut une fille comme
elle l’avait souhaite. Mais malheureusement la maire mourut a
l’accouchement. Le pere appela sa fille Blanche-neige et prit une nouvelle
femme qui devint à son tour maire. Cette femme s’appelait Betty.
Betty etait d’une laideur epouvantable mais extrêmement gentille.
Les annees passerent. Blanche-neige s’etait embellie, mais elle passait
toute sa journee devant les jeux video et etait devenue bête et mechante.
Elle demanda a sa console : « Dans ce monde, qui est la plus forte aux jeux
video ? ». La console repondit : « Dans ce monde, la plus forte aux jeux
video c’est votre belle-mere. ».
Blanche neige etait folle de rage et elle demanda a un tueur d’aller tuer
sa belle- mere : « Tu tueras Betty pendant son sommeil, expliqua-t-elle au
chasseur.
- Va bouder dans ton coin avec ta peluche au lieu de vouloir tuer ta
belle-mere ! »
Blanche neige, qui detestait qu’on la prenne pour une enfant, fut FOLLE
DE RAGE et decida de ne plus se faire appeler Blanche neige mais LE
TYRAN. C’est pourquoi elle s’exila dans la fore t, dans la maison de ses
amis : les huit nains diaboliques, qui lui conseille rent de se comporter
comme une vraie petite fille et d’être un peu plus gentille.
Elle rentra donc a sa maison et demanda timidement a sa mere :
« Maman tu peux m’amener au zoo s’il te plait ?
- Bien-sûr ma cherie : allez, allons-y ! »
Elie L. (6ème D)
Le Petit Paumé
Il était une fois une famille composée de huit enfants, d’un père et d’une belle-mère. Un soir où ils
n’avaient rien à manger, la femme dit à son mari qu’ils devaient abandonner leurs enfants. Les enfants,
sauf le Petit Paumé, avaient tout entendu et se rappelèrent une histoire.
« Ça me rappelle l’histoire du Petit Poucet que nous racontait souvent notre père, dit le plus âgé. Et
si je me souviens bien, le plus petit des enfants va chercher des cailloux blancs.
- Oui, répondit Arthur (le deuxième), mais j’ai vu notre belle-mère fermer la porte d’entrée à clé. »
Ils attendirent donc jusqu’au matin. Après avoir pris chacun une tranche de pain de mie, ils
partirent pour la forêt. C’est alors que Nathan, le quatrième, eut une idée.
« On pourrait remplacer les cailloux par des miettes de pain de mie pour marquer le chemin.
- Bonne idée ! On se relaiera tous les cinquante mètres. »
Cinq minutes après que leurs parents les aient abandonnés en leur disant qu’ils allaient couper du
bois, le Petit Paumé dit :
« Merci pour les morceaux de pain de mie, elles étaient bien bonnes.
- Quoi ?! s’écria Joe (le sixième), tu n’as donc pas compris à quoi elles devaient servir ? Tu es
vraiment le garçon le plus paumé des environs ! »
Puis, non loin d’eux, ils entendirent des pas lourds puis une grosse voix disant :
« Ça sent la chair fraîche par ici.
- Oui, ce doit être nous, répondit alors le Petit Paumé qui n’avait toujours rien compris.
- Attendez que je vous attrape ! »
A ces mots l’aîné prit le Petit Paumé sous son bras et ils prirent leurs jambes à leur cou. Quand ils
l’eurent un peu semé, Pierre (le septième), eut une idée.
« J’ai une idée, il faudrait que nous montions tous dans l’arbre, sauf Petit Paumé. Il faudrait aussi
une longue branche, comme ça du haut de l’arbre nous tiendrons un bout et Petit Paumé l’autre, et
quand l’ogre arrivera nous soulèverons la branche et il s’écrasera contre l’arbre. »
A peine avait-il fini sa phrase que l'ogre arrivait. Ils se mirent donc en place et quand il ne fut plus
qu'à quelques mètres du Petit Paumé, ils soulevèrent la branche pour que l'ogre s'écrase et tombe raide
mort. Quand le Petit Paumé, toujours accroché à sa branche, fut assez haut, il aperçut la maison du
père. Quand il atterrit, ce fut sur l'ogre et à ce moment-là, il entendit le cliquetis de pièces d'or. Après
avoir dépouillé l'ogre, ils repartirent dans la direction de la maison. Quand ils furent arrivés à leur
maison, ils virent leur père seul à une table car la belle-mère était morte dans un accident de voiture.
Quand il les vit, il ne put pas s'empêcher de pleurer de joie.
Maël C. (6ème C)
Cendre-Grillon
Il était une fois, une petite fille qui s’appelait Cendrillon. Sa mère, avant de mourir, lui
avait offert de beaux habits très brillants. Pendant un an environ, son père fut seul et trouva
une petite copine qui avait déjà deux filles. Toutes trois étaient très méchantes envers
Cendrillon. Chaque jour, la belle-mère demandait à Cendrillon de laver l’insert de la cheminée.
Elle le nettoyait sans protester. Jusqu’au jour où celle-ci se rebella et la belle-mère lui
interdit de manger pendant un mois. Pendant ce mois, Cendrillon devait laver l’insert une fois
le matin et une fois le soir. Elle devait aussi trier la cendre.
Au fil des jours, Cendrillon eut très faim : elle mangeait tout ce qui lui tombait sous la
main. Un jour elle trouva un grillon sec et mort. Elle le mangea : la belle-mère l’ayant vue,
la surnomma Cendre-Grillon. Cette jeune fille grandit avec ses belles-sœurs.
Un soir, les deux sœurs et la belle-mère furent invitées à une grande boum chez un copain
très riche. Cendre-grillon voulut y aller, mais les trois autres lui répondirent : « Nous
sommes désolés mais nous n’acceptons pas les vaches et tu n’as que des habits de bouse ».
Pour la consoler, le père de Cendre-Grillon, qui avait des origines campagnardes, lui dit :
« Eh, ma p’tiote, faut pas pleurer comme ça ! T’y a qu’à venir avec moué au mach de rudby.
Qué qu’t’en dis ? »
Cendre-Grillon fit semblant d’être malade pour ne pas aller au match. Son père alla seul
à son match et Cendre-Grillon expliqua à son père qu’elle partirait chez le médecin, et qu’elle
était triste de ne pas aller au match (ce qui était très faux). La belle-mère et les deux
sœurs allèrent à la boum. Cendre-Grillon partit, mais dès que son père s’en alla, elle fonça
dans sa chambre et s’habilla avec les beaux habits offerts en héritage par sa vraie mère, mais
elle n’avait pas de chaussures et partit en chaussons. Elle alla à la boum, ses sœurs et sa
belle-mère ne la reconnurent pas. Le copain des sœurs de Cendre-Grillon qui s’appelait
Charmant dansa toute la soirée avec elle et lui dit : « T’as de beaux habits t’sais mais moi je
n’aurais pas mis des chaussons, surtout avec des dessins de vache dessus ! »
Cendre-Grillon, vexée, partit en courant et perdit un chausson. Le lendemain, Charmant
organisa une deuxième boum mais cette fois romantique pour que la beauté fatale avec qui il
avait dansé le soir dernier revienne. Donc, Cendre-Grillon fit comme la veille et elle dit à son
père que le médecin lui avait demandé de revenir aujourd’hui. Son père ne se doutait de rien et
répliqua : « Tant qu’tu fais l’ménage, tu mènes ta vie ! »
Elle prit son argent de poche, partit à Gémo, un magasin de chaussures, courut jusqu’à la
fête. Charmant lui demanda si c’était elle qui avait perdu son chausson. Elle répondit :
« Oui ».
Et pour le prouver elle avait pensé à prendre le second chausson. Charmant la demanda en
mariage et elle en fut très heureuse ! Ils décidèrent de se marier au stade de rugby car
grâce à ce match elle a pu rencontrer Charmant. Elle demanda au médecin de faire le curé au
cas où les sœurs de Cendre-Grillon fassent des crises de jalousie.
Charmant et Cendre- Grillon se marièrent, mais n’eurent pas d’enfant.
Pauline B. (6èmeD)
LES YEUX BLEUS
Il était une fois en Europe, un château au fond d'une forêt. Dans ce
château, vivait un homme qui avait une petite barbe, il était grand et
costaud, mais son physique n'était pas gracieux. On l'appelait Barbichette.
Il était secrètement amoureux de sa voisine qui habitait un château à coté
du sien. Cette jeune femme était grande, mince, blonde aux yeux bleus, elle
était très jolie et n'était toujours pas mariée : on l'appelait « Les Yeux
Bleus ».
Alors, un jour Barbichette décida de la rencontrer. Il prit son cheval et
partit pour lui faire sa déclaration. En arrivant, il fut surpris par la
noirceur du château, c'était sinistre. Mais la douceur du visage de la
princesse lui fit oublier ce détail. Amoureux, il fit sa déclaration. Il y mit
tout son cœur. La beLLe, surprise, accepta de se marier à condition qu'il
vienne habiter chez elle. Barbichette, fou de joie, prépara les noces. Un
grand banquet fut servi aux invités et la nuit fut un grand bonheur pour
les mariés. Quelques mois plus tard, barbichette, curieux, se promena
dans le château de sa belle et fut surpris de voir que certaines portes
étaient fermées à clef. Sa femme lui demanda de ne pas être si curieux, mais
un jour où elle était partie en promenade il força la porte et demanda à sa
femme des explications. Folle de rage, les yeux bleus se métamorphosa en
sorcière affreuse et le poussa à son tour dans la pièce où se trouvaient
déjà tous les malheureux hommes qu'elle avait tués. Barbichette, grâce à
sa force se dégagea de cette affreuse epouse et prit la direction de chez
lui en hurlant à l'aide. TouS ses domestiqueS accoururent pour lui venir
en aide. ILs enchaînèrent lES YEUX BLEUS dans son château pour qu'elle ne
puisse plus gruger d'autres gentilHOMMES. Barbichette se jura qu'il vaut
mieux se méfier de trop de beauté.
Cédric A. (6ème D)
LE CORBEAU FARCEUR
Ah là là ! Une vie de corbeau n'est pas passionnante : manger, chasser et
dormir. Enfin quelque chose vient attirer mon attention : deux enfants
suivent leur parents en laissant des stickers derrière eux ! Cela me
rappelle un conte… FLûte ! Je n’trouve plus son titre ! Je vais suivre ces
enfants pour voir où ils vont. Eh ! Les parents se tirent tout seuls ! Ça s'
Fait pas ça. mais ça n’sert à rien, les gosses reviennent en suivant la piste
des stickers. Ah ça c'était intéressant.
Bon : un ver, et au nid.
À peine le jour levé, ils recommencent ! Tiens tiens, je vais leur jouer un
tour. Je vais changer les stickers de place. Et voilà ! Mais je n’suis pas si
méchant, ils rentreront quand même chez eux, c'est juste qu'ils vont pas
comprendre. Jusque ici ils suivent et plaf ! Dans la fontaine ! Et c'est pas
fini ! Le grillage, la crotte de chien, etc.
Ils se sont fait avoir à tous les coups ! J'étais mort de rire ! Ils arrivent
enfin. Et mince ! Je me suis trompé de bâtiment ! C'est pas chez eux, c'est la
pâtisserie gérée par la vieille dame moche. Bande de gourmands, ils se
goinfrent ! J'en profite pour modifier la piste. Et quand je reviens, la
folle veut mettre les gamins au four ! Sale vieille, prends ça ! Eh ! Lâchemoi ! Ouf, j'ai failli y passer, ma bonté me perdra.
Depuis, les enfants m'ont adopté, la pâtisserie est devenue une banque (et
oui, encore une !) et le grand a reçu pour son anniversaire un smartphone
avec fonction G.P.S.
Raphaël C. 6°C
L'amateur de kebab
et sa femme
IL ETAIT UNE FOIS DANS UN TEMPS JADIS – OUPS ! Je veux dire : dans un
temps d'aujourd'hui, un boucher avec sa femme, qui vivaient ensemble dans un
appartement HLM à côté du supermarché, et tous les jours le boucher s'en allait pour
acheter du kebab surgelé au supermarché du coin. Une fois, il vit un kebab dans le
rayon surgelé, il voulut l'acheter et tout à coup le kebab parla : « Ecoute boucher, je te
demande de ne pas me manger je ne suis pas un vrai kebab, je suis un génie, tu ne me
trouverais même pas à ton goût et de tout façon si tu me manges tu auras beaucoup de
cholestérol.
- Baaah ! dit l'homme, pas besoin de longs bla-bla ! Un kebab qui sait parler, moi, je te
le renvoie dans le congélateur. »
Et il le rejeta dans le congélateur, où le kebab plongea tout droit vers le fond du
rayon pizza en laissant une longue traînée de mayonnaise derrière lui. Puis le boucher
s'en alla, et revint auprès de sa femme dans le pauvre appartement HLM : « Chéri, lui
demanda-t-elle , tu n'as pas pris un kebab ?
- Non, dit le boucher. J'avais pris un kebab, qui m'a dit qu'il était un génie ; alors je
l'ai reposé.
- Et sans rien demander, même pas une Lamborghini Gallardo ?! dit la femme. Et tu
n'as même pas pensé à lui demander de nous sortir de ce taudis pour nous trouver une
super villa californienne ? »
L'homme revient au supermarché pour demander un vœu au génie.
« Kebab !
- Oui ?
- Ma femme veut une villa californienne, est-ce que tu peux me l'offrir ?
- D'accord. »
Le kebab partit et le boucher rentra chez lui. Il vit sa femme assise sur un banc. Elle
le prit par le bras et lui dit : « Entre donc et regarde un peu, c'est quand même
mieux ! » Ils entrèrent ; et à l'intérieur il y avait une grande pièce et une chambre à
deux lits, une cuisine intégrée, les télévisions, les canapés en cuir de château d'Ax, il y
avait un grand garage de McLaren. La femme dit : « écoute-moi, mon chéri, la villa est
trop petite, on y est à l'étroit : je veux un château !!! » Et l'homme partit. Il alla au
supermarché mais il ne vit pas le kebab. Il l'appela, il revint à la maison, il croisa un de
ses amis qui lui dit : « je viens de manger un kebab parlant ».
Il ajouta : « ta femme est devant l'appartement HLM ! »
Idriss E., 6ème C
Chris et Kim
Il est une fois de plus, dans un centre ville, un riche avocat, sa femme et leurs deux enfants :
une fille, Kim, et un garçon, Chris. Ils vivent dans une villa d'architecte. Le père, Christophe, veut
se débarrasser de ses enfants car il en a assez. Le soir-même, il en parle à sa femme qui a le
même avis. Et ils décident donc que le lendemain matin ils les laisseront aller seuls à l'école et
que pendant la journée ils déménageront ; les enfants ne sauront pas où se trouve l'autre maison.
Les parents cherchent donc une annonce sur internet et saisissent l'occasion. Mais ce que ne
savent pas les parents, c'est que Chris et Kim sont en train d'écouter à la porte. Alors, vers trois
heures du matin, les enfants se lèvent et vont chercher l'ordinateur portable dans la chambre de
leurs parents pendant qu'ils dorment. Ils regardent dans l'historique des recherches et trouvent
l'annonce de la maison, il y a écrit l'adresse et comment y aller depuis la rue principale du centre
ville. Ils ont tout noté sur un petit papier.
Le lendemain, les enfants sont à l'école. Les parents ont appelé des déménageurs pour faire à
toute vitesse le déménagement. Il est 17h : le déménagement des parents s'est bien passé, en
revanche la recherche de la nouvelle maison des enfants est difficile. Ils demandent à un passant
où se trouve la rue Saint-José des prés et il les guide. Grâce à lui, ils ont enfin trouvé leur
nouvelle maison. Quand Kim et Chris rentrent enfin chez eux, leurs parents sont très surpris :
« Co... co... comment êtes-vous là ?! demande Christophe.
-D'abord, pourquoi voulez-vous vous débarrasser de nous ? demande Kim.
-Bah...car... euh... On en a assez de toutes vos bêtises, avoue leur mère, Katherine.
-Mais... On n'en fait presque pas, dit Chris.
-Bon ! Point barre sur cette histoire ! Les enfants, nous ne recommencerons pas ! » s'exclame
Katherine.
Pendant la nuit, Chris rêve du conte Jeannot et Margot et se le remémore. Comme il n'arrive
pas à dormir, il va voir l'ordinateur de ses parents et ils trouvent une autre adresse qui est
sûrement la future adresse des parents. Le lendemain, après l'école Chris raconte et son rêve et
l'adresse, qu'il a trouvée sur l'ordinateur des parents, à sa petite sœur. Elle a peur, très peur. Ils
marchent encore et encore dans la forêt. Jusqu'à tomber sur une maison en forme de cupcake où
il y a marqué Boulangerie de Francine ; ils regardent l'adresse et ils voient que celle-ci est à la
même adresse que sur le petit papier. Ils vont sonner mais ils sentent une bonne odeur de
bonbons, pâtisseries et sucreries ! Alors, Kim goûte la poignée de la maison et elle conclut que
c'est un vrai cupcake, et le dit a son frère. Et ils commencent donc à manger ce cupcake géant car
ils ont trop faim après cette longue marche. Ils mangent et mangent !
Et une petite voix leur dit :
Et j'te grignote et grignotons,
Qui me grignote ma maison ?
Les enfants répondent :
C'est le vent, c'est le vent,
C'est le céleste enfant
Ils continuent de manger sans se faire déstabiliser par cette voix. Une fois qu'ils ont bien mangé,
ils entrent dans cette maison et trouvent une jeune boulangère qui leur demande :
« Oh, des clients ! Que voulez-vous : bonbons, viennoiseries ou pâtisseries ; j'ai tout !
- Euh... Non, nous avons déjà très bien mangé, nous sommes venus ici pour vous demander
de l'aide et trouver la maison de nos parents ! s'exclame Chris.
- Ah bon, pourquoi ? demanda mesquinement la boulangère Francine.
- Longue histoire, Madame... dit Kim.
- C'est elle, la sorcière ! murmure Chris à l'oreille de Kim.
- Ah ! Une sorcière ! s'exclame Kim en partant en courant.
- Non, pas si vite jeune fille, vous restez là tout les deux ! » s'exclame la sorcière.
La sorcière se transforme en gros monstre ! Elle crache du sucre glace brûlant et elle est faite
en chocolat ! Elle attache les enfants sur le tapis roulant qui avance jusqu'au four géant et leur
avoue :
« C'est moi qui aie mis l'adresse dans l'ordinateur, vos parents n'y sont pour rien cette fois ! ils
ne veulent plus se débarrasser de vous, mais maintenant c'est trop tard ! »
Chris sort le sucre d'orge qu'il a pris dans le bol de bonbons de la sorcière et il s'en sert pour
essayer de couper la corde avec laquelle ils sont attachés, mais il réalise que cette corde est un
bonbon. Alors il le dit à sa sœur, et ils commencent à la manger. Une fois qu'ils ont mangé la
corde, ils se lèvent du tapis deux secondes avant d'avoir atteint l'entrée du four. Ils trouvent la
sorcière en son apparence de Francine la boulangère et quand celle-ci les voit, elle est infiniment
surprise :
« Comment êtes-vous sortis, petites vermines ?! »
Les enfants ne lui répondent pas. Ils prennent un bonbon corde et ils vont derrière elle puis
l'attachent mais elle se transforme en monstre. Elle lance du sucre glace brûlant partout pour
essayer de tuer Chris et Kim, ils font tout pour esquiver le sucre glace. Chris se souvient que dans
le conte Margot pousse la sorcière dans le four, alors il le dit à sa sœur et aussitôt Chris attire le
monstre vers le four en reculant pendant que le monstre est en face de lui. Une fois très proche du
four, Chris part en courant derrière le monstre et lui et sa sœur le poussent dans le four. A la fin,
les enfants mangent toute la maison, ils deviennent un peu gros quand même et ils rejoignent leurs
parents dans leur nouvelle maison !
Soundous A. (6ème C)
LA MOCHE AU BOIS PUANT
Il était une fois, une très vilaine jeune fille de 16 ans prénommée
Horreur, avec des cheveux sales et secs comme du foin, des yeux rouges
comme Le sang et d’abominabLes dents qui Faisaient Fuir Les personnes
vouLant s’approcher d’eLLe.
Elle vivait seule dans un bois puant et dégoûtant, car ses parents
étaient morts Lorsqu’eLLe était enFant. cependant, maLgré sa Laideur,
Horreur était une fille très gentille.
au Fond des bois, se cachait sa grande sœur, eLLe s’appeLait maLheur.
maLheur était une Jeune FiLLe d’une beauté à couper Le souFFLe, tout
L’inverse de sa sœur, cependant, eLLe était d’une méchanceté rare.
Mais le plus gros probLème de maLheur c’était que Lorsqu’eLLe se
transformait en sorcière pour aller effrayer les habitants, sa petite
sœur, horreur, devenait La beLLe et Les rôLes s’inversaient.
Un jour, Malheur, qui détestait le fait de devenir laide et de voir sa
sœur s’embeLLir, se réFugia dans sa maison hantée et prépara un rat
empoisonné pour sa sœur.
Une fois sa mission accomplie, elle se rendit tout droit chez Horreur
afin de mettre fin aux jours celle-ci. Grâce à ses pouvoirs, elle ensorcela
Horreur et la força à avaler tout cru le rat empoisonné.
en seuLement queLques secondes, horreur s’écroula sur le sol de sa
petite maisonnette. son cœur ne battait pLus, eLLe était morte.
maLheur, était ravie et rempLie de Joie à L’idée que sa sœur ne Fasse pLus
partie de ce monde. Elle sautait de joie dans les ruelles du village.
Mais, les villageois, très en colère et tristes d’avoir perdu Leur
gentille Horreur, se rebellèrent contre Malheur avec leurs armes et
L’envoyèrent en enFer.
VICTOR G. (6ème D)
ROSE
(tout court)
Il était une fois une petite fille si gentille et si jolie que ses parents l'adoraient. Elle
s'appelait Rose (ne cherchez pas de rapport avec la couleur de ses cheveux, de ses yeux ni
de ses lèvres). Hélas après une longue maladie, sa maman mourut et son papa, malgré tout
l'amour qu'il lui portait, se remaria avec une femme belle et orgueilleuse.
Le temps passa et voyant Rose devenir de plus en plus jolie, sa belle-mère devint si
méchante qu'elle chercha le moyen de s'en débarrasser.
Elle proposa à un voyou qui aimait beaucoup l'argent de l'emmener et de la tuer. Mais le
garçon tomba sous le charme de la jeune fille. Il alla la perdre au fond d'un campagne très
éloignée, espérant qu'elle ne retrouverait pas son chemin.
Rose courut dans la campagne et se retrouva au milieu d'une ferme, entourée d'animaux, et
tenue par sept naines : Gentille, Aimable, Brave, Sincère, Honnête, Adorable et Mignonne.
Elles la gardèrent avec elles et l'aidèrent à oublier son chagrin, lui promettant de retrouver
son père.
Un beau jour, leur petit frère qui habitait la ville où il avait une bonne situation, arriva et
tomba amoureux de la belle Rose. Entre eux ce fut le coup de foudre.
Ils partirent alors à la recherche du père de la jeune fille qui fut très heureux de la retrouver,
alors qu'il l'avait cherchée partout et qu'il la croyait perdue.
Quant à la belle-mère, elle fut si furieuse qu'elle mourut après une terrible colère qui
l'étouffa. Les deux amoureux se marièrent et eurent des enfants gentils, aimables, braves,
sincères, honnêtes , adorables et mignons !
Mélissa R. (6ème C)
Epine de fleur
Il était une fois, une demeure très grande où les propriétaires voulaient absolument un enfant.
Un jour, le médecin traitant annonça à la femme qu'elle était enceinte de trois mois. A la
naissance de la petite fille, les parent firent venir toutes les fées du pays, on en comptait treize.
Seulement, la fée de la beauté et de la gentillesse envoya au dernier moment un SMS comme quoi
elle ne pourrait pas venir car elle partait voir un concert de rock.
Plus grandissait l'enfant (qui n'avait donc pas ces qualités) plus elle faisait de bêtises et, pour
parler de sa beauté, les gens changeaient de trottoir tellement ils étaient terrifiés. Un jour la
petite fille fit une très grosse bêtise que je ne pourrais vous décrire tellement c'était monstrueux,
cela poussa ses parents, qui à mon avis n'avaient pas pris assez de temps pour y réfléchir, à
rencontrer une vieille dame réputée pour ses sorts. Ils lui expliquèrent la situation et la vieille
dame trouva un sort adapté : « le jour d'ses quinze ans, vot’ p’tiote se coupera avec une épine de
rose ça l'emportera dans un profond sommeil. »
De retour au logis, la mère, un peu triste d'avoir préparé un tel sort à sa fille, ce que je peux
comprendre, se plaignit à son mari : « Qu'avons-nous fait à ma fille, est-ce de sa faute si la
treizième fée ne s'est présentée ?
-Voyons Marie-Christine, il ne faut regretter ce que nous avons fait, votre fille nous a poussés
à bout », lui répondit son époux.
Comme prévu, le jour des quinze ans de l'enfant ses parents lui annoncèrent hypocritement :
« nous partons en ville chercher ton cadeau de jubilé, nous ne rentrerons que tard au
crépuscule. »
L'enfant, toute excitée de pouvoir rester à la maison toute seule, fit d'abord le tour de la
maison, descendit à la cave pour arriver dans le jardin qui était bien entretenu. Tout à gauche, il
y avait la partie sèche du jardin, on y plantait des cactus, des aloès, et à droite il y poussait toute
sorte de roses : des rouges, des bleues et des roses bien entendu. C'était son endroit préféré, c'est
pour ça qu'on l'appelait « épine de fleur » pour ça mais aussi car elle était l'épine du logis qui était
beau comme une fleur.
Epine de fleur était donc en train de courir partout au milieu des rosiers, lorsqu'elle tomba
dans une des plantes et qu'une aiguille se planta dans son doigt, ce qui l'entraîna comme prévu
dans un profond sommeil.
De retour à la maison, les parents virent leur fille allongée sur son lit.
Le jardinier, assis à côté d'elle, leur expliqua ce qui s'était passé : « J'étais en train de passer la
tondeuse quand j'ai vu votre gosse allongée dans mes rosiers que je venais de raser ! Elle avait des
pétales et des feuilles partout sur ses fringues.
- Merci grandement de l'avoir ramenée, sanglota la mère, prise par l'émotion.
- Venez Marie-Christine, allons dîner », proposa le père un peu trop légèrement à mon goût, à
sa femme pour changer de sujet.
Plus les jours et les semaines passaient, plus ils voulaient retrouver leur fille. Elle leur
manquait tellement. Un jour Marie-Christine eut un tel coup de chagrin qu’elle demanda à son
époux de faire venir tous les sorciers pour réveiller sa fille et malgré tout ça et la promesse qu'elle
aurait un Iphone dès son réveil, Épine-de-Fleur ne se réveilla pas. La tristesse se propagea et
enferma la demeure d'une sinistre broussaille.
Milena G.-T. (6ème D)
Il était une fois, dans un appartement en bois, une famille avec deux
enfants et leurs parents. Ils étaient si pauvres que leur père voulait
abandonner ses enfants, mais La mère s’y opposait.
La FiLLe, une apprentie Fée, s’appeLait Jeanne, et son frère, très grand,
s’appeLait Jean. La FiLLe aînée demandait à ses copines de L’argent en
échange d’un sort. mais Le 13 avriL eLLe n’eut pLus d’amie. pendant ce temps,
Jean le géant se faisait ridiculiser par ses copains. En effet, ils le
surnommaient « le Grand Pousset ». Le lendemain, personne ne voulait
L’approcher, aLors iLs n’aLLèrent pLus à L’écoLe et restèrent avec Leurs
parents ; Jusqu’au jour où leur père les emmena pêcher. Cependant, la
pêche ennuyait Jean et Jeanne. c’est pour ceLa que Leur père Leur dit :
« vous n’avez qu’à vous baigner ! »
Alors les enfants se baignèrent tandis que leurs parents les
abandonnèrent. Néanmoins, Le grand pousset s’y attendait. iLs suivirent
alors les bouts de stylos que le Grand Pousset avait semés parterre à
L’aLLer. Heureusement, ils retrouvèrent la maison. Le jour suivant, le
père leur proposa de chasser. Les enfants, fièrs, allèrent chasser très
loin quand soudain, iLs n’aperçurent pLus Leur père. Cette fois, Le Grand
pousset ne s’en doutait pas. iL ne put rien faire pour retrouver la vieille
bâtisse. mais sa sœur sortit une boule magique dans laquelle était
aFFichée Le chemin de La maison, Les deux Jeunes s’y précipitèrent et y
retrouvèrent leurs parents.
De multiples querelles firent surface pour aboutir au pardon des
enfants. La cause de ces divers abandons resta inconnue aux yeux de Jean
et Jeanne. Finalement, le père leur promit de ne plus jamais les
abandonner : ils vécurent heureux dans la pauvreté mais avec leurs
parents !
Antoine S. (6ème C)
Alice
Il était une fois, une fille qui s’appelait Alice. Elle était invitée en boite, à l’anniversaire de
sa meilleure amie. Mais sa belle–mère, qui était orgueilleuse et qui avait les cheveux orange,
ne voulait pas qu’Alice aille à la fête, alors elle l’enferma à clé dans sa chambre. Alice était
très triste de ne pas pouvoir aller à la fête. Par miracle, la souris d’Alice (qui s’appelait
Gus) piqua la clé de la chambre, qui était posée sur la table du salon. Gus la poussa sous
la porte, et il la lui donna. Alice, toute contente, prit la clé et ouvrit la porte. Elle remercia
plusieurs fois Gus, puis elle s’habilla. Comme sa belle-mère était partie diner en ville, elle
put partir retrouver ses amis. Super ambiance à la fête car tout le monde dansait et rigolait !
Mais comme il était très tard, elle partit précipitamment en laissant tomber sa boucle
d’oreille. Et à ce moment-là un jeune garçon qui s’appelait Lucas lui ramassa sa boucle
d’oreille, mais quand il leva la tête pour la lui rendre, elle était déjà partie au loin. Lucas
partit donc en courant avec la boucle d’oreille pour la lui rendre. Il la suivit jusqu’à chez elle.
Quand Alice se rendit compte que quelqu’un la suivait, elle se retourna et elle dit : « Qui
êtes-vous et que me voulez-vous ? » Alors il répondit : « Je m’appelle Lucas et je ne te
veux pas de mal, je veux juste te rendre ta boucle d’oreille que tu as fait tomber toute à
l’heure. »
Lucas lui tendit sa boucle d’oreille. Alice le remercia beaucoup et lui déposa un baiser
sur sa joue. Toute contente, elle repartit chez elle et Lucas, tout content, repartit chez lui.
Alice se dépêcha de rentrer car elle venait juste de voir passer la voiture de sa belle-mère.
Elle se mit à courir de plus en plus vite ! Heureusement elle arriva à temps chez elle, elle
rentra par la porte du jardin, courut dans sa chambre se changer. Et là, sa belle-mère ouvrit
la porte et lui dit : « Bon, c’est bien tu ne sois pas partie à la fête, mais maintenant tu dois
te coucher ! » Alice répondit : « Oui, je vais me coucher, bonne nuit ! »
La belle–mère répondit à son tour : « Bonne nuit, dors bien ! »
Alice resta étonnée de ce qu’elle venait d’entendre car c’était la première fois qu’elle
était gentille avec elle ! Le lendemain, elle partit au lycée. Elle raconta tout ce qui s’était
passé à sa meilleure amie qui s’appelait Laura. Sa meilleure amie en était bouche bée. Elle
lui demanda le nom du beau garçon qui lui avait redonné sa boucle d’oreille qu’elle avait
fait tomber en boite. Alors, Alice lui dit le nom du garçon. Laura connaissait ce garçon car il
était dans sa classe. Du coup, à la récré elles se sont dit qu’elles iraient le voir pour le
remercier, et papoter un peu ensemble pour faire connaissance.
« Salut ! cria Laura.
- Salut, répondit Lucas, ça va ?
- Oui ! répondirent en cœur les deux filles
- Je peux te parler ? demanda Alice à Lucas. Je voulais te remercier pour hier.
- Oh, de rien, ce n’est pas grand-chose, c’est juste une boucle d’oreille !
- Oui je sais, mais bon c’est une boucle d’oreille que j’adore ! Alors, merci !
- Bon, vous venez, ça ne va pas tarder à sonner ! » interrompit Laura.
Quand tout à coup, DRINGGGG !!!!!!!!!
« Allez viens, on y va, dit Alice à Lucas.
- Ok, je te suis ! »
A midi, quand tout le monde sortit pour manger Alice et Lucas papotèrent tranquillement
dans la cour. Mais ils étaient obligés d’aller manger au self, ils étaient toujours en train de
papoter, ils rigolaient… Laura se rendit bien compte qu’ils étaient faits l’un pour l’autre ! A
la fin des cours, ils rentrèrent ensemble chez eux. Quand ils furent devant chez Alice, elle le
remercia beaucoup. C’est à ce moment-là qu’Alice comprit qu’elle était tombée amoureuse
de Lucas, et du coup elle l’embrassa, et elle partit chez elle. Elle était toute contente. Et du
coup, elle appela sa meilleure amie pour tout lui raconter. Et ils finirent heureux pour
toujours.
Alexandra J. (6ème D)
Le pêcheur et sa femme
Il était une fois un pêcheur et sa femme qui vivaient dans une toute petite cabane. Ce matin-là, l'homme
partit pêcher et au bout d'une heure il attrapa un pneu.
« Grrr, encore en pneu tout pourri de partout ! s'écria l'homme.
- Eh.... Attention à votre langage! s'exclama le pneu, je suis plus intelligent que tu ne le crois !
- T...tu...TU PARLES !
- Mais bien sûr, tu sais, j'étais le chasseur du conte ''Blanche Neige'', tu connais l'histoire : je n'ai pas tué
Blanche-Neige donc la sorcière s'est vengée et maintenant je suis un pneu... revenons à notre... mouton.
- Ah oui... Si tu es si intelligent que tu le dis, alors, combien font 7x173 ? commença à questionner le
pêcheur .
- 1211 ! répondit le poisson.
- 174x673 ! continua l'homme.
- 117 102 !
- Bon d'accord, tu es intelligent, petit pneu.
- Ah, tu vois, qu'est-ce que je t’avais dit ! Bon, veux-tu bien me remettre dans l'eau ? lui proposa-t-il.
- Oui bien sûr, au revoir. »
Quand il rentra chez lui, sa femme lui demanda ce qu'il avait pêché.
« J'ai péché un pneu qui parle ! Et je l'ai remis dans l'eau.
- Tu lui as demandé quelque chose avant de le remettre dans l'eau ?
- Tu as raison ! Je reviens tout de suite.
- Eh... Pneu tout pourri, reviens, remonte vers moi.
- Eh ! ça va pas, j'ai dit : pas tout pourri, que veux-tu ?
- Puisque je t'ai remis dans l'eau tu me dois un service !
- Un seul.
- J'aimerais avoir un manoir !
- Vas-y, ta femme est devant .»
Le pêcheur revint chez lui
« Oh, mon homme, regarde notre belle cabane !
- C'est un manoir.
- Arrête de dire du mal de notre belle cabane.
- M...mais, bon tant pis.
Les jours passèrent, la femme n’était plus satisfaite de la belle cabane.
« Va demander au pneu un château.
- Non, c'est moi qui décide, je vais lui demander.
- Vieux pneu tout pourri, remonte, reviens à moi.
- Que veux-tu ?
- Mmmm. J'aimerais être le roi de ce royaume.
- Retournes-y, tes gardes t’attendent.
- Bonjour majesté, il y a 14 plaintes des villageois à cause de la famine !
- Allez leur donner plus de nourriture, merci. »
Au bout de sept mois de règne, le roi et la reine n'en pouvaient plus :
- Vieux pneu très moche tout pourri, remonte, reviens vers moi.
- QUE VEUX-TU !?
- J'aimerais avoir un petit chalet pour vivre tranquille dans notre coin, ma femme et moi.
- Vas-y, ta femme y est déjà. »
Depuis ce jour, le pêcheur et sa femme vécurent heureux.
Nicolas M. (6ème D)
BARBE A PAPA
Il est une fois de plus, un homme nommé Barbe à Papa. Il est
plutôt blagueur, et beaucoup aimé par les enfants. Il fait
d’exceLLentes barbeS a papa. Les enFants L’aiment teLLement
qu’iLs Le suivent partout.
Un jour, une fillette trop curieuse le suit jusqu'à chez lui.
quand iL s’en aperçoit, iL est si content qu’iL La garde un peu
chez Lui. queLque Jours après, L’homme dit a La FiLLette : « Je
m’en vais queLques heures pour Faire Les courses.
d’accord ! répond la fillette.
Mais attention, il est fortement interdit de
rentrer dans cette salle, ajoute Barbe à Papa »
Barbe à papa s’en va en scooter.
Pendant ce temps, la fillette regarde partout, fouille, joue à
tout et sort même dans le jardin. Quand elle commence à
s’ennuyer, eLLe trouve une petite cLé qui tombe du grand meubLe
de La cuisine. eLLe L’essaye dans toutes les portes fermées.
Quand elle rentre la clé dans la salle interdite, la porte
s’ouvre, eLLe aperçoit des miLLiers de produits et des bonbons.
A ce moment-la, elle tombe la clé par terre, elle se baisse et
commence a la chercher : introuvable ! Elle a perdu la clé.
aLors eLLe s’avance et eLLe aperçoit queLques corps d’enFants
dans des boîtes transparentes.
Dans ce calme, elle entend des bruits de pas. C’est barbe à
Papa qui est là !
Elle se cache pour que Barbe à Papa ne la voie pas. Quand il
rentre dans la pièce, iL est si énervé qu’il trébuche, tombe par
terre. A ce moment, La FiLLette se Jette sur Lui et L’étouFFe.
Elle se relève et court vers les boîtes où se trouvent les
enfants. Elle les délivre !
Elle se dit : « je ne me fierai plus aux apparences »
Lise g., 6ème C
Le Groupe
Il est une fois une jeune fille nommée Cendrillon. Sa
passion est la musique, mais sa Grand-Mère l’empêche
d’avoir des instruments.
Un beau jour, un grand chef de groupe de musique organise
un concours pour trouver une personne qui pourrait intégrer
le groupe et jouer du piano.
La Grand-Mère dit à Cendrillon qu’il faut qu’elle nettoie la
maison entièrement pour qu’elle obtienne un piano.
Le jour du concours, les participants doivent apporter leur
propre piano. Cendrillon est désemparée car elle ne sait pas
jouer.
Soudain, sa marraine apparaît. Cendrillon lui raconte
pourquoi elle pleure, et sa marraine lui fait un don : elle
saura jouer le morceau demandé et elle a son propre piano.
Elle va garder le don de jouer pour toujours, mais à onze
heures, le piano va disparaitre.
La bonne fée disparaît et Cendrillon part à la compétition
avec son piano. Quand arrive le tour de ses deux cousines,
elles ne savent pas la partition en entier.
Quand onze heures sonnent, Cendrillon vient de terminer
le morceau, le piano disparaît et la jeune fille part en
courant chez elle. Mais le chef du groupe veut que ce soit
elle qui intègre le groupe. Il demande à toutes les jeunes
filles de la ville d’interpréter le morceau, aucune d’entre
elles à part Cendrillon ne réussit. Ses deux cousines
essayent mais elles n’y arrivent toujours pas.
Le chef retrouve Cendrillon, qui interpréte la partition en
entier. Elle sera heureuse et aura beaucoup… de fans !
Nicolas L. (6ème C)
Les trois fils
et les petites pommes mangées
Il était une croix – oh pardon, il était une fois – trois fils qui vivaient avec leurs parents.
Ils avaient chacun un pouvoir magique qu’ils ne pouvaient utiliser qu’une fois dans leur vie.
L’un avait le pouvoir de l’élasticité, l’autre avait le pouvoir de retrouver son chemin dans
une forêt et le troisième … pouvait avoir une vision très bizarre et aimait les pommes.
Ils vivaient dans un pisse-pot mais avaient assez d’argent pour vivre. Leur père était
bucheron mais n’aimait pas ses fils car ils demandaient toujours plus de choses. Un jour , le
père décida d’abandonner ses enfants dans la forêt ; alors le troisième fils eut sa vision et
courut la dire à ses frères…
Le lendemain leur père leur dit : « Venez mes enfants, aujourd’hui je vais vous
apprendre à couper du bois ». Les trois enfants y allèrent et tout d’un coup leur père courut,
laissant derrière lui ses trois enfants. Alors le premier fils dit : « Je vais utiliser mon
pouvoir » . Et sans attendre il grandit au-dessus de la cime des arbres : « Je vois la maison,
suivez-moi. »
Ils rentrèrent sains et saufs à la maison. Le lendemain, l’évènement se reproduisit mais
cette fois ce fut le deuxième fils qui utilisa son pouvoir.
Le troisième jour, plus aucun fils n’avait de pouvoir, mais souvenez-vous, le troisième fils
aimait les pommes… Alors le troisième fils dit à ses frères : « Je m’en charge. »
Ils allèrent dans la forêt en croyant que leur petit frère allaient les sortir de là . Arrivé au
plus profond de la forêt , leur père s’en alla, alors les deux grands demandèrent au petit sa
ruse et le petit répondit : « J’ai posé des pommes tout au long du chemin. »
Ils se retournèrent et cherchèrent les pommes disparues.
« Tu nous as trahi, on va finir en saucisson sec , dirent les deux garçons sur leurs gardes.
- Mais je vous jure que je les ai semées », pleurnicha le garçon.
Tous réfléchissaient à comment sortir de la forêt, soudain le plus grand, qui avait lu Le
Petit Poucet, s’exclama : « Dans Le Petit Poucet, ils ne retrouvent pas leur chemin car les
oiseaux ont mangé le pain, peut-être mangent-ils aussi des pommes ? »
Alors les enfants cherchèrent des indices ; enfin, le plus petit découvrit… un trognon de
pommes, les autres le suivirent et ils retrouvèrent le chemin de la maison.
Albin M. (6èmeC)
Noire-Crasse et les sept beaux gosses
Il était une fois, dans un pays où la laideur surpasse la beauté, une Reine qui était très laide.
Un jour, elle demanda à son miroir qui était la plus laide, voilà ce que répondit le miroir : « Ma
reine, vous êtes très moche, mais une certaine Noire-Crasse est mille fois plus moche que vous .
- NOIRE-CRASSE !? hurla la reine. De quel droit se permet-elle ? je m'en vais lui donner une
bonne correction ! »
La reine alla dans le jardin et vit une jeune fille qui avait une verrue sur le nez, des boutons sur
la figure, des cheveux mal lavés et des yeux qui louchent, pas de doutes, c'était bien Noire-Crasse.
Elle s'approcha de cette mocheté et lui dit :
« Noire-Crasse ! il n'y a que moi qui aie le droit d'être moche dans ce pays, viens un peu là que
je te rende belle ! menaça la reine.
- Ho non ! s'exclama Noire-Crasse. Je veux rester moche pour l'éternité ! »
A ces mots, Noire-Crasse s'enfuit dans les bois .
« Harg la peste ! hurla la reine , je te retrouverai quoi qu'il arrive ! »
Pendant ce temps, Noire-Crasse chercha un endroit où se cacher, et comme elle n'était pas
gênée, elle entra dans la première auberge venue et dormit dans un lit qui était à l'intérieur, mais
elle ne savait pas que dans cette auberge vivaient sept beaux nains, chacun acteur et mannequin ;
en parlant des nains, les voici qui rentraient de leur séance de dédicaces, et quand ils virent la
lumière àl'intérieur , ils commencèrent à discuter :
« Qui a laissé la lumiére allumée avant de partir ?
- Hé ! on n’a rien fait.
- C'est peut-être encore quelqu'un qui est rentré chez nous.
- Encore ? mais ce n'est pas un moulin ici !
- Bon allez, rentrons, nous verrons bien !"
Ils rentrèrent dans l'auberge et virent quelque chose dans le lit :
- "Vous croyez que cette créature est aussi belle que celle de la dernière fois ?
- Ho oui ce serait bien !
Quand ils virent Noire-Crasse se réveiller, ils commencérent tous à hurler.
- HAAAAAAAAAAAAAAAA QUELLE HORREUR !
- C'est moi que vous traitez d'horreur ? Vous vous êtes vus, vous, avec vos muscles et vos beaux
cheveux ?
- Y a pas à dire, celle d'avant qui se prénommait Blanche-Neige était mieux !
- Blanche-Neige ? Mais c'est ma pauvre cousine !
- Comment une beauté suprême peut-être la cousine d'une si Laide créature…
- J'sais pas moi ! Ho de toutes façons, elle vit dans un pays étrange où la beauté surpasse la
laideur…
- Bon , nous vous avons déjà assez vue, maintenant sortez d'ici !
- Ho non S'il vous plaît , je veux rester ici sinon la reine va me faire quelque chose d'horrible !
je vous en supplie…
Au fil du temps, les nains s'habituèrent à Noire-Crasse. Un beau jour, les nains s'en allèrent à
une séance photo et rappelérent à Noire-Crasse les consignes de sécurité :
« Bon alors, comme d'habitude, tu n’ouvres pas à n'importe qui et tu n’acceptes rien des
inconnus, compris ?
- Oui oui, ça va, j'ai compris !
- Allez, à ce soir ! »
Pendant ce temps là, chez la reine :
« Ha hahahahaaha ! enfin ! s'écria la reine , j'ai reussi à faire cette pomme qui rend belle, il
suffisait de prendre une pomme et de la mélanger avec un peu de Chanel 5, un masque de beauté,
du shampooing et une créme anti-rides ! Miroir, mon laid miroir, dis-moi où se trouve NoireCrasse !
- Noire-Crasse se trouve dans la maison des sept beaux nains tout au fond de la forêt ! »
Sans plus attendre , la reine se transforma en un superbe mannequin pour se camoufler et alla
donner cette pomme à Noire-Crasse. Arrivée près de l'auberge, la reine vit Noire-Crasse faire le
ménage , elle s'approcha d'elle et lui dit :
- Hé toi, ma toute moche, tu veux une pomme ? demanda la reine en truquant sa voix.
- Heu, désolée mais je ne dois rien accepter de personne, dit Noire-Crasse.
- Mais cette pomme contient plein de produits chimiques mauvais pour la peau, cela pourrait te
rendre plus moche si tu le souhaites.
Elle rigola discrètement en se disant qu'elle mentait bien.
- Ho OUI je veux devenir encore plus moche ! et elle se jeta sur la pomme et la dévora .
Puis Noire Crasse tomba dans les pommes et la reine s'enfuit en criant : « Ça y est c'est moi la
plus moche ! »
Les Sept nains rentrérent de leurs séances photos quand ils virent Noire-Crasse par terre avec
un véritable visage d'ange, tous les nains s'exclamèrent en même temps :
- Quelle beauté !
- Hein ? quoi qu'est ce qui s'passe ? dit Noire-Crasse en se réveillant.
- Chère Noire Crasse,vous êtes devenus une véritable beauté, regardez donc dans cette glace, dit
un nain en tendant une petite glace à Noire-Crasse.
- Argl ! hurla Noire-Crasse en se regarda dans la glace, ce n'est pas possible, je suis devenue
belle !"
Un prince passa par là.
- Waooo joli morceau , dit le prince, j'peux vous la prendre la beauté, là ? demanda le prince.
- Heu mais t'es pas gêné quand même, t'arrives et tu demandes si tu peux la prendre, ben bien
sûr que NON, elle est à nous ! dit un nain.
- Oui mais normalement dans les contes c'est le prince qui embarque la jolie fille, et non les
nains.
Les Nains en ayant plus qu’assez de son charabia, ils le ligotérent et le remirent sur le cheval,
qui s'en alla au galop. Les Nains furent bien bien heureux d'avoir une beauté chez eux, quant à
Noire Crasse, elle vécut trés malheureuse d’avoir perdu sa célèbre laideur.
Mathieu B. (6ème C)
Cendrine
Il est une fois une jeune fille qui s'appelle Cendrine et qui adore le foot. Elle vit dans un
appartement au bord de la Seine à Paris, avec sa belle-mère, son père et ses deux demisœurs. Un jour sa belle-mère lui dit qu'elles vont aller voir un match de foot, mais que si
elle n'a pas la tenue du supporter pour y aller, elle ne vient pas.
« Mais belle-maman, tu sais bien que je n'ai pas de tenue, dit Cendrine.
- Eh bien alors tu ne peux pas venir ! » s'exclame sa belle-mère.
Déçue, Cendrine part dans sa chambre. A côté de son lit, il y a une cage avec deux
cochons d'Inde, qui s'appellent Nala et Titou. Elle s'approche de la cage pour les prendre.
Elle s'assied sur son lit et leur dit : « Mes amis, je suis triste, car mon équipe de foot
préférée, le FC Barcelone, joue ce soir contre le PSG au stade de France. Je ne peux pas y
assister car je n'ai pas la tenue du supporter. »
- Cendrine , Cendrine , Cendrine ! hurlent ses demi-soeurs.
- Oui, j'arrive », répond-elle.
Elle remet ses cochons d'Inde dans la cage et sort de sa chambre .
« Que voulez-vous ? demande Cendrine.
- On veut que tu ranges notre chambre et que tu nous prépares les sandwichs pour le
match de ce soir, répondent ses horribles sœurs.
- Mais je ne vais pas avoir le temps d'aller acheter ma tenue, dit-elle .
- Dommage ! » ricanent-elles.
Cendrine s'en va pour effectuer les tâches qu'on vient de lui ordonner. Entre temps,
dans sa chambre elle a oublié de fermer la cage de ses cochons d'Inde. Alors ils sortent et
décident d'aller voir la mamie de Cendrine. Lorsqu'ils arrivent, la mamie surprise dit :
« Que faites-vous ici ? »
C'est une mamie spéciale car elle parle aux animaux et les comprend .
« Il faut que tu ailles acheter une tenue de foot du FC Barcelone pour Cendrine car elle
n’a pas le temps d'y aller, dit Nala, l'un des cochons d'Inde.
- D'accord, je vous rejoins à l'appartement dès que j'ai la tenue, s'exclame la mamie .
- A toute à l'heure, » dit Titou.
La belle-mère appelle ses filles et elles partent voir le match de foot tandis que Cendrine
finit de ranger la chambre des filles.
« Ding , dong , ding , dong » : la sonnette retentit.
Cendrine va ouvrir la porte et quelle surprise, c'est sa mamie qui est devant elle et qui
tient dans sa main un sac bleu et rouge.
« Mamie ! Je suis contente de te voir, que fais-tu là ? demande Cendrine .
- J'ai deux de tes chers amis qui sont venus me voir pour me dire que ce soir est une
soirée spéciale pour toi, répond sa mamie .
- Oui c'est vrai , mais je ne peux pas y aller.
- Mais si, ma petite fille chérie, je t'ai apporté ces cadeaux pour que tu puisses assister au
match.
- Oh ! Une tenue et un billet d'entrée... Je te remercie pour ces beaux cadeaux, je t'aime
fort ma mamie chérie .
- Mais attention, Cendrine, il faut que tu partes dix minutes avant la fin du match afin
que ta belle-mère ne sache pas que tu y es allée .
- D'accord, mamie. »
Cendrine se dépêche de s'habiller. Une fois arrivée au stade de France elle s'assoit dans
les tribunes d'honneur et regarde le match.
Soudain son joueur préféré, qui s'appelle Messi, la voit et tombe amoureux d'elle.
Cendrine regarde sa montre et s'affole, car c'est bientôt la fin du match. Elle se lève
précipitamment et quitte les tribunes en laissant derrière elle une de ses baskets.
Le lendemain matin, elle voit dans le journal Parisien une annonce qui dit : « A
l'attention des supporters de l'équipe du FC Barcelone, nous organisons une rencontre
avec vos joueurs préférés cet après-midi à 16h, au stade de France, et peut-être aurez-vous
la chance de gagner un voyage à Barcelone. »
Cendrine décide d'aller à cette rencontre pour voir Messi et pouvoir lui demander un
autographe.
Elle profite que sa belle-mère et ses demi-soeurs fassent la sieste pour partir
tranquillement. Arrivée au stade de France , elle aperçoit Messi qui lui fait signe pour
qu'elle s'approche de lui. Il lui dit : « Je savais qu'en passant cette annonce tu viendrais.
Hier soir je t'ai vue dans les tribunes d'honneur et je suis tombé amoureux de toi. Lorsque
le match s'est terminé je suis allé à la tribune et tu n'y étais plus et j'ai trouvé à ta place
une basket. Est-elle à toi ? »
Cendrine répond : « Oui, c'est ma chaussure et moi aussi je suis folle amoureuse de toi. »
Messi prend Cendrine dans ses bras, lui fait un bisou et lui dit : « Veux-tu venir vivre
avec moi à Barcelone ?
- Oui je veux partir avec toi, mon amour. »
Messi et Cendrine partent pour Barcelone le jour d'après et vivent heureux jusqu'à la fin
de leur jours.
Eva R. (6ème D)
Blanche Neige la peste et les sept géants
Il était une fois, une mignonne mais très peste Blanche-Neige. Elle vivait
avec la reine qui était méchante et gentille : quand elle s'énervait, elle était
méchante mais elle était gentille quand elle ne s'énervait pas.
La reine demanda à son miroir :
"Miroir, magnifique miroir, auras-tu la délicatesse de me dire qu'aucune
autre n'est plus belle que moi ?"
Le miroir répondit :
"Non maaaaaaaa rein', Blanch' Neige la peste est pluuus belle queeeeeeee
vous ! YO !"
La reine s'énerva très fortement et dit à son chasseur de tuer BlancheNeige la peste. Le chasseur alla dans la forêt mais Blanche-Neige la peste
était ceinture noire de karaté. Elle anéantit le chasseur d'un coup de pied.
La bagarre l'avait épuisée. Elle trouva une maison gigantesque et elle se
réfugia dedans. Il y avait sept assiettes très grosses, et sept couverts très
gros et sept grands verres. Elle mangea dans chacune des assiettes et elle
but dans chaque verre. Mais elle tomba dans un des verres et elle but tout
pour ne pas se noyer.
Les sept géants – Goulu, Ventru, Goinfru, Gloutonu, Friandu, Morfalu,
Boustifaillu – arrivèrent et la virent dans un verre. Boustifaillu l'avala.
La reine était fière d'être la plus belle, mais les géants, qui avaient très très
faim, mangèrent tout le monde dans le village, même la reine !
Johas S. (6ème D)
SINDY
ET LE DJ
Il était une fois une jeune fille qui s'appelait Sindy. Elle ne s'entendait pas avec sa bellemère et ses sœurs depuis que son père était décédé. Sindy était obligée de rester à la maison
parce qu’elle n'aimait pas sa belle-mère qui la prenait pour une servante. Elle avait un rêve,
c'était de sortir en boite de nuit. Un soir, sa belle-mère partit en boîte, elle aussi voulait y aller.
Elle lui dit : « S' il vous plaît belle-mère, je veux aller avec vous.
- Non, finis de travailler, et en plus tu n'es pas assez swag pour aller en boîte !
- S'il vous paît, belle-mère.
- Bon alors, seulement quand tu auras rangé les chambres de tes sœurs.
- Et je pourrai aller en boite ?
- Oui. »
Alors elle pleura en même temps qu'elle rangeait les chambres. Puis tout à coup, un oiseau
vint, un deuxième arriva, un troisième et ainsi de suite. Et les oiseaux aidèrent Sindy. Une
heure plus tard Sindy avait fini, elle s' empressa d' aller voir sa belle-mère : « J'ai fini !
La belle-mère, étonnée, lui dit : « T'es sûre ?
- Oui.
- Que je ne vois aucune poussière. »
Elle alla voir toutes les chambres : aucune poussière. Mais elle ne voulait pas que Sindy
aille en boite de nuit, alors elle décida de la piéger. Elle lui dit : « Va aux toilettes, y’a une
surprise pour toi.
- D' accord. »
Elle rentra et sa belle-mère l'enferma dans les toilettes. Sindy, désemparée, pleura pendant
une heure alors que sa tante était en train de toquer à la porte. Mais personne n’ouvrit la porte.
S'inquiétant, elle ouvrit la porte d’un gros coup de pied. Elle entendit Sindy pleurer, alors elle
ouvrit la porte des toilettes. Sindy lui expliqua : elles partirent en boite de nuit car sa tante
avait une jolie robe et la coiffure c’est elle-même qui la fit. Arrivée en boite, tous les gens la
regardent en ouvrant grand les yeux. Même le DJ Charly Mant était surpris. Mais la fête
continue, le charmant DJ dit à son copain de prendre le relais et s'approche de Sindy. Il lui
demanda son 06 et elle le lui donna.
« Et comment t'appelles-tu ?
- Je m'appelle Sindy.
Elle vit qu'il était tard, alors elle se précipita pour rentrer chez elle. Pendant la route, elle
perdit une de ses baskets : Charly Mant ramassa la basket et rentra chez lui. Il se dit :
- En espérant que je la revois…
Le lendemain matin, à la recherche de la propriétaire, Charly Mant essaya le numéro mais il
tombait toujours sur la messagerie. Alors il se mit à la recherche de Sindy. Comme c’était
dans un petit village qu’elle habitait, pour Charly Mant c’était facile, il chercha et en trente
minutes il ne restait plus qu’une maison. Il ouvrit la porte et retrouva Sindy : il lui mit la
basket !
Ils vécurent très heureux.
Linda K. (6ème C)
Blanche-Neige et les sept ogres
Il est une fois une reine, qui n'a pas confiance en elle. Elle
vient toujours voir son miroir et dit : « mon beau miroir, dismoi qui est la personne la plus sûre d'elle ? »
Et le miroir répond :
« Blanche comme la neige, les cheveux noirs comme la nuit et
les lèvres rouges comme le sang : Blanche-Neige ».
La Reine fait venir Blanche-Neige et Blanche-Neige lui remonte
le moral en lui disant que peu importe la vieillesse, on doit
toujours avoir confiance en soi. Blanche-Neige enchante une
pomme pour la donner à la reine, pour lui remonter le moral.
Entre temps, malheureusement, la reine est partie en forêt ;
en arrivant au milieu de la forêt, elle s'est fait capturer par
sept ogres. La reine leur demande leur nom : le premier s'appelle
Empoisonneur, le deuxième Tueur, le troisième Étrangleur, le
quatrième Méchant, le cinquième Dévoreur, le sixième Voleur et
le septième Égorgeur. Deux jours après s'être fait capturer,
Blanche-Neige et le chasseur se font du souci car la reine devait
venir depuis une heure. Le chasseur dit à Blanche-Neige qu’elle
vienne avec lui pour partir à la recherche de la reine.
Blanche-Neige lui dit d'attendre qu’elle ait fini d'enchanter la
pomme pour la donner à la reine ; quelques minutes après,
Blanche-Neige a fini d'enchanter la pomme, le chasseur et
Blanche-Neige partent à la recherche de la reine. Arrivés devant
un panneau en bois où il y a écrit attention sept ogres horribles,
le chasseur dit à Blanche-Neige : « Ne t’on fais pas, viens ».
Ils marchent et marchent, à un moment ils voient les sept ogres
et le chasseur prend son arc. Il tire sur trois des ogres et les
trois ogres meurent. Le chasseur prend ses lances et les lance
sur les trois autres ogres, qui meurent aussi. Le dernier ogre
dit : « stooooop, ou je tue la reine ! »
Blanche-Neige, cachée derrière un arbre avec un couteau, court
et enfonce le couteau dans son cœur. Il meurt. Blanche-Neige va
voir la reine et la ramène au château ; elle lui donne la pomme
et le reine reprend confiance en elle. Elle retrouve courage.
Sabrine A. 6ème D
Il était une fois une reine d’aujourd’hui qui s’ennuyait beaucoup. On ne peut pas dire que
le roi faisait attention à elle. Elle avait des activités liées à la broderie, à la supervision de la
préparation des repas et à la participation à des soirées caritatives où on lui demandait de
sourire et de se taire malgré la torture que lui infligeaient ses chaussures, ce qui ne
l’enthousiasmait pas beaucoup. Alors la reine piquait discrètement des bouteilles de gin dans
la cuisine pour oublier les nuits passées au côté de son mari, et les jours à s’ennuyer. Un jour
d’hiver, la reine brodait auprès d’une fenêtre ouverte en espérant attraper une bonne grippe
qui lui permettait d’avoir une excuse pour rester seule au lit (son mari prenait de la place).
Elle avait également un bon coup dans le nez : elle finit par se piquer le doigt. Quelques
gouttes de sang rouge tombèrent par la fenêtre encadrée d’ébène sur la neige blanche. Dans
son ivresse prononcée, la reine s’esclaffa que c’était trop beau, toutes ces couleurs, et qu’elle
souhaitait avoir un enfant dont la peau serait blanche comme neige, les cheveux noirs comme
l’ébène et les lèvres rouges comme le sang.
Ses servantes se moquaient bien d’elle et se réjouissaient quand même à l’avance de
raconter cette anecdote à la télévision. Quelques mois plus tard, la reine mit au monde une
fille dans l’indifférence générale. Le roi aurait souhaité un héritier et, apprenant la naissance
de Neige-Blanche, il se détourna de son épouse. Serviteur et soigneur imitèrent le médecin
car il était en voyage très loin d’ici, la reine mourut quelques jours après l’accouchement
d’une infection mal soignée…
Le roi, débarrassé de son épouse mélancolique, se remaria bientôt avec une autre femme,
d’un caractère très docile, et qu’il espérait capable de lui fournir un fils rapidement. La
nouvelle reine était très jolie mais pronfondément stupide. Elle portait une attention maladive
à son apparence qu’elle estimait bien plus que son confort ou sa santé ; elle n’hésitait guère à
s’affamer pour que le tabloïd Le miroir la classe en première position de son classement.
Le roi était ravi de sa nouvelle épouse : non seulement elle ne lui prenait pas la tête mais
en plus elle était fort décorative à son bras. Neige-Blanche, de son côté, grandissait avec la
rage au cœur. Son père et sa belle-mère ne lui démontraient jamais d’affection. Elle ne les
voyait que très peu. Elevée par des serviteurs indifférents, passionnée par des magazines, elle
developpa un fort sentiment d’infériorité. Elle avait gardé précieusement le dernier numéro
du Miroir, qui évoquait la première reine dans un article méprisant où elle avait appris
l’anecdote du sang sur la neige. Le jour de ses 16 ans, Neige-Blanche, en souvenir de sa mère
injustement moquée, se teignit les cheveux en noir d’ébène, s’acheta un tube de rouge à
lèvres vif et porta en toutes circonstances un fond de teint blafard.
Elle rejoignit rapidement le mouvement gothique où elle trouva enfin des amies qui
l’acceptèrent telle qu’elle était pour eux : elle n’était pas la petite princesse orpheline mais
Neige-Blanche, une fille gothique et sympa.
La nouvelle reine ne faisait pas attention à Neige-Blanche jusqu’à ce que Le Miroir publie
une photo de sa belle-fille sortant de chez son tatoueur, arborant un cœur noir orné de ronces
sur la poitrine. La reine jugea que cette extravagance nuisait à la réputation de la couronne et
jura qu’elle ferait arracher son cœur à la jeune fille. Un rendez-vous fut pris dans une
clinique pour des séances de laser et on menaça Neige-Blanche de lui couper les vivres si elle
refusait de s’y rendre. Neige-Blanche se révolta : jamais on n’avait fait attention à elle sauf
pour lui faire des reproches. Ce tatouage, qu’elle avait choisi avec soin, c’était sur son corps
à elle, et personne n’avait le droit d’y toucher. Elle s’enfuit.
Les deux premières années, les magazines la cherchèrent partout. Des dizaines d’articles
furent publiés : on l’avait vue par ici ; on l’avait vue par là ! On lui prêta les destins les plus
fous. Mais aucun d’eux n’avait approché la vérité. Neige-Blanche passa ses premières
semaines dans un squat, avec des amis gothiques. Assez rapidement, la situation tourna au
vinaigre et il fallut fuir la police.
De squat en squat, elle perdit ses amis de vue. Finalement Neige-Blanche n’eut plus de toit.
Pourtant, craignant plus que tout d’être reconnue, elle sortit de la capitale et s’enfonça dans la
forêt. C’est alors qu’elle rencontra les sept nains. On n’a jamais vraiment su leur nom. Ils
préféraient largement être appelés par des surnoms qu’ils s’étaient choisis. Les sept nains
s’étaient rencontrés dans une association de personnes handicapées. Ils avaient tous en
commun une certaine misanthropie désabusée qui les avait amenés à s’installer tous
ensemble dans une maison éloignée de la ville. Pour gagner leur vie et aussi un peu de plaisir
d’enfreindre les lois des gens « normaux », ils trempaient dans des affaires louches de trafics
de pierres précieuses.
Après plusieurs nuits dans la forêt, Neige-Blanche se trouva devant le repaire des sept
nains. Elle poussa la porte, dévora le frigo, avant de s’abattre sur un lit. A son réveil, les sept
nains étaient rentrés et discutaient de ce qu’ils allaient faire d’elle. Elle les supplia de ne pas
la dénoncer à la police. Eux, voyant la jeune femme si vulnérable, lui proposèrent de rester
chez eux moyennant quelques menus services. Elle devait tenir l’appartement, les servir, leur
obéir et veiller à leur confort.
Pour sa sécurité, elle ne devait jamais chercher à sortir, et ne jamais ouvrir à personne. Au
premier manquement de ces règles, elle serait dénoncée comme une fuyarde et rendue à sa
famille qui la punirait durement. Servir et obéir, lui dirent-ils. C’était la moindre des choses,
puisqu’ils la cachaient et puis, disaient-ils, tant de femmes auraient été ravies d’être à sa
place, logée et nourries sans rien d’autre à faire que des menus travaux ; et puis elle était
jeune et bien trop stupide pour faire autre chose.
Neige-Blanche acquiesça, voyant cette offre comme une chance et ne pensant pas mériter
qu’on lui confie une tâche moins rébarbative que le ménage… Elle nettoyait la saleté au
plusieurs coins de la maison. Mais, les sept nains mesurant chaque jour sa détresse, leur
dépendance devenait de plus en plus exigeante. Le ménage n’était jamais assez bien fait, ni
rapidement, il lui fallait toujours recommencer, houspillée par ses généraux bienfaiteurs,
Neige-Blanche finissait par penser qu’elle était réellement trop stupide pour faire le ménage
correctement. Alors elle travailla encore plus dur, encore plus longtemps, sans succès. Elle
craignait l’arrivée de la nuit. Les Sept Nains lui disaient que de tels services étaient bien
normaux, que d’autres femmes se seraient senties honorées d’être tant aimées et qu’elle avait
tort de pleurer.
Neige-Blanche sentait son esprit s’égarer et sombrait dans un effroyable apathie. NeigeBlanche ne voyait personne, elle n’avait pas de télévision, mais elle avait Internet. Elle évitait
soigneusement tout contact, même protégé par un pseudo, avec qui que ce soit. En revanche,
elle passait son temps libre à s’abêtir devant des articles légers et gais des magazines en
lignes. Un jour, sur Lemiroir.com elle trouva une interview de sa belle-mère en une. La reine
dont la photo illustrait l’article avait une allure de femme d’affaire pour présenter une ligne
de joaillerie qu’elle avait lancée. Cette ligne nommée Neige-Blanche , en l’honneur de la
princesse disparue, était d’inspiration gothique. Des lacets de velours ornés de têtes de morts
en argent s’alignait entre les bagues d’acier et de cuir. Pleine de nostalgie pour sa vie passée,
désireuse de retrouver l’apparence qu’elle avait choisie, Neige-Blanche trouva moyen de
commander un de ces lacets de velours.
Elle pensa que les sept nains seraient heureux de la voir prendre soin de son apparence. Le
lacet était affreusement serré, mais Neige-Blanche s’entêta à le porter, jusqu’à ce qu’elle soit
au bord de l’étouffement. Les sept nains, furieux de la voir montrer une quelconque vanité,
coupèrent le lacet et le jetèrent. Peu de temps après la perte définitive de son bijou, NeigeBlanche lut une interview de sa belle-mère qui promouvait un parfum : « Votre Altesse !
Pourquoi avoir appelé ce parfum Fruit défendu ? Et pourquoi avoir choisi un flacon en forme
de pomme ? La pomme est hautement symbolique ! Elle me fait penser à ce vieux conte, là…?
Comment s’appelle-t-il ? Blanche-Neige ! Oui, voilà ! »
Neige-Blanche, une nouvelle fois, se laissa tenter, malgré les bleus que la ferme
opposition des sept nains lui avait laissés. Elle reçut le parfum, déballa le paquet avec
gourmandise, et s’aspergea plusieurs fois. Elle tomba immédiatement comme morte, frappée
par un choc anaphylactique. A leur retour, les Nains la trouvèrent inanimée sur le sol. NeigeBlanche leur avait bien rendu service, mais elle était aussi bien encombrante. Ce jour-là, ils
venaient de rentrer au volant d’une voiture volée près de la casse.
Ils décidèrent finalement de se débarasser de la fille en même temps que la voiture. A
l’orée de la forêt, il y avait un quartier défavorisé où l’on brulait couramment des voitures.
Dans cette cité vivait un jeune homme, délinquant ressenti et respecté, qu’on surnommait le
Prince. Le Prince sortit sur le parking de la tour Grimm en pleine nuit, éveillé par les
flammèches crachées par le moteur d’une voiture familiale. Il s’approcha, songeant que les
blaireaux qui avaient allumé ce feu n’étaient que des amateurs : il allait bientôt s’éteindre
sans faire le moindre dégat. A son grand étonnement, à l’arrière de la voiture, à travers le toit
panoramique, il aperçut une jolie jeune fille endormie. Ravi de l’aubaine, il la sauva des
flammes. Neige-Blanche resta quelques jours dans le coma puis, quelques temps plus tard, se
maria avec Prince.
Côté famille, Neige-Blanche eut deux filles, l’une nommée Blanche et l’autre Neige et ses
deux fils Prince et Charmant. La reine retrouva Neige-Blanche, qui s’excusa.
Elise O. (6°D)
SABLION
Il était une fois une fille qui s'appelait Sablion et qui aurait adoré aller à la boum sur la
plage, mais sa belle-mère et ses demi-sœurs l'empêchaient de s'y rendre ; de plus, elle était
de corvée de nettoyage de sable. Voilà pourquoi on l’appelait Sablion.
Un soir, la vendeuse de beignets aperçut Sablion pleurer et alla la voir. Elle lui dit :
« Que t'arrive-t-il, jeune fille ?
- Il y a des mois et des mois que je rêve d'aller à la boum sur la plage. »
La vendeuse de beignets eut une idée pour lui faire plaisir, elle alla lui acheter un ticket de
bus pour aller à la boum.
Le lendemain elle vit Sablion en train de donner le petit déjeuner à sa belle-mère et à ses
demi-sœurs, la vendeuse de beignets alla sonner et lui donna le ticket de bus puis Sablion la
remercia.
Le soir, elle alla enfin à la boum sur la plage, avec la vendeuse de beignets. Cette dernière,
grâce à un nuage de sucre magique lui donna un maillot, un drap de bain et des tongs.
Quand Sablion alla dans l'eau, elle perdit une de ses tongs. Un maître nageur nommé
Charmant ramassa la tong. Il demanda à toutes les filles de la plage à qui elle appartenait,
finalement il le demanda à Sablion :
« Est-elle à vous, cette tong ?
- Oui, merci beaucoup. »
Charmant tomba soudainement amoureux de la jeune fille et ils formèrent un joli couple.
Ils firent plus tard leur mariage à la boum sur la plage, à minuit sonnantes !
Laoura I. (6ème C)
Blanche Neige et les sept robots
Aujourd'hui, quelques siècles après la disparition de la première Blanche Neige, une autre
Blanche Neige vit sur une planète futuriste appelée Darkforest. Elle se présente sous la
forme d'une citrouille, a la peau rouge comme une pivoine et a un caractère que toute la
planète maudit. Un jour, elle aperçoit un vaisseau spatial, elle parle ainsi, folle de rage :
« Qui ose avoir la plus jolie chose de tout l'univers ?! » Puis, sans plus attendre, elle envoie
une gentille fée pour capturer les sept petites personnes du vaisseau : la fée y est obligée,
sinon elle sera transformée en poussière. La fée part en direction de son objectif, et
soudain à l'approche de celui-ci, elle entend des bip ! bop ! bip ! La fée commence à se
trémousser et trouve ces airs très attrayants. Elle appelle les sept robots : « Vous êtes
là ! » Elle entre dans le vaisseau et se met à danser au rythme des robots, cela la fait
beaucoup rire et ils deviennent alors ses amis.
Pendant ce temps, Blanche Neige prend son dîner, mais son verre est empoisonné, c'est
le poison divin, elle sait que ce produit est fabriqué sur la planète Terre. Elle ordonne à ses
soldats prisonniers d'attaquer la Terre à coups de canon. Un tiers de la Terre est détruit. La
guerre est déclarée entre les deux planètes.
Entre temps, la fée et les sept robots ressentent des secousses de nouveau liées aux
caprices de la méchante Blanche-Neige. Ils s'en vont aider les soldats de la Terre. Un des
soldats, surnommé le Prince de la Terre, saute sur la planète Darkforest, et demande aux
sept robots et à la fée: « Déposez-moi auprès de la princesse ! »
« Oui », répondent-ils.
Le prince arrive, tue Blanche Neige et détruit les vaisseaux ennemis.
Le prince se parle tout seul.
« Ah ! Oui c'est vrai, maintenant il n'y aura plus aucune Blanche Neige, j'aurai dû
simplement la blesser pour qu'on négocie la fin de la guerre ».
Tristan M., 6ème D
PUPILLE BLEUE
Il était une fois un homme qui venait de se marier avec une très
belle femme aux pupilles bleues qui était très mystérieuse. Dans le
village, tout le monde la détestait, elle se sentait rageuse et une
haine la prit : elle les détestait tous, sauf un qu'elle aimait d'amour.
Dans le passé, cette femme avait eu plusieurs maris, mais ils
disparaissaient tous, comme par hasard...
Dans son manoir, cette femme avait une pièce secrète que personne
ne connaissait à part elle. Elle dit à son époux : « Tu peux aller
partout : dans la chambre (et profites-en pour faire le lit), dans le
salon (profites-en pour passer l'aspirateur), dans la cuisine (et
profites-en pour me faire des bonnes pâtes à la bolognaise), dans le
placard à balais (et profites-en pour faire un coup de ménage) même
dans le sous sol, mais pas dans la petite pièce !
L homme, qui était très curieux, voulut savoir ce qu'il y avait dans
cette pièce. Il s y rendit mais il fallait une clé, il devait la trouver,
il la chercha et il vit dans le bureau le trousseau de clefs. Il les prit
et ouvrit la porte de la petite pièce mystérieuse et interdite. Il eut
à peine le temps de voir ce qu'il y avait à l'intérieur qu'il vit l'ombre
de sa femme avec un couteau. Pendant ce temps, la police était en
train de faire une ronde. Ils virent l'ombre et intervinrent tout de
suite, ils embarquèrent Pupille Bleue au poste de police.
Quant à son époux, il resta un peu dans l'horrible pièce : il vit tout
plein de cadavres, il supposait que c'était les corps des anciens maris ;
horrifié, il crut reconnaître son ami blond Denis et les yeux de
Gilbert.
Oh, comme il aurait préféré avoir moins de curiosité et ne jamais
avoir vu cette pièce !
Fouad B., 6ème C
Les Cendrillon : 30 / Les Diables : 0
Il y avait un homme riche, dont la femme était tombée malade. Quand elle sentit approcher sa
fin, elle appela à son chevet sa fille et son équipe de basket et leur dit : « Mes enfants ! restez
toujours les gagnantes des matchs, depuis là-haut je vous regarderai jouer. » Après ces paroles,
elle ferma les yeux et mourut.
Chaque semaine, la fillette se rendait sur la tombe de sa mère et y déposait un trophée gagnant.
Quand l’hiver arriva, les uniformes de basket étaient trop légers et la fillette demanda à sa
marâtre, entraineuse des « Diables », ainsi qu’à ses six joueuses, de coudre des uniformes plus
chauds pour l’équipe des « Cendrillon ». N’étant pas du tout aimables, elles dirent toutes en
cœur :
- Non ! débrouillez-vous toutes seules !
Un jour le père de la fillette alla au marché et leur demanda si elles voulaient quelque chose.
- Oui ! trouve-nous des araignées pour nous tricoter les uniformes.
Une fois revenu à la maison, il appela les filles et leur donna une boîte avec à l’intérieur, six
jolies petites bêtes à pattes poilues.
- Mes petites araignées, tricotez-nous six uniformes bien chauds.
Les petites bêtes sortirent de la boîte et grimpèrent sur chacune des filles pour prendre les
mesures, ce qui les chatouilla et les fit rigoler. Le match était dans deux heures et l’équipe des
« Cendrillon » avait complètement oublié que le match était au bout de la ville et elles n’avaient
toujours pas de bus.
Tout à coup, une fée apparut et leur dit :
- Je peux exaucer un seul de vos vœux, que puis-je faire pour vous ?
- Il nous faudrait un bus pour nous rendre à notre match, peux- tu faire ça pour nous ?
- Bien sûr ! Suivez-moi dehors.
La fée agita sa baguette et :
- BIBIDIBOBIDI… je ne me rappelle plus la formule magique.
- Moi je sais, dit une des fillettes, dans Cendrillon la fée dit « BIBIDIBOBIDIBOU !
- Mais bien sûr, quelle idiote ! Attentionnnnnnnnnn ! BIBIDIBOBIDIBOU POUC !
Le bus apparut devant elles.
- Merci la fée POUIC POUIC !
Elles montèrent dans le bus pour rejoindre l’équipe des « Diables » au gymnase. Une fois sur
place, elles entrèrent sur le terrain pour faire leur cri de ralliement en superposant leurs mains.
- CENDRILLON ROMPLOMPLON !
Le sifflet de l’arbitre retentit et le match commence. Les deux équipes se bataillent le ballon, les
filles courent partout et le premier panier est pour les « Cendrillon ». Un coup de sifflet.
- 3/0 pour les Cendrillon !
- Oh oui J-P, ça commence très très fort !
L’équipe des « Cendrillon » épuise l’équipe des « Diables ». Les paniers se multiplient et il ne
reste que deux minutes.
- C’est du jamais vu, crie le commentateur, 30/0 pour les « Cendrillon » !
Le sifflet retentit c’est la fin du match.
- On a gagné !
Lynna H. (6ème C)
Blanche-Laide et les sept « pros »
La Barbe à Papa
Il est une fois un homme assez populaire : il a une barbe à papa à la place
d'une vraie barbe et les enfants l'adorent car il est gentil. Un jour, une
femme et son enfant viennent à sa roulotte pour acheter une barbe à papa.
La mère lui demande :
«Comment faites-vous pour avoir une barbe à papa ?
-Ah,mais ça c'est un secret, répond l'homme.
-Bon d'accord, tant pis...
-Ouf, j'ai eu chaud, pense l'homme.
Mais savez-vous seulement quel est son secret?
Je pense que vous ne le savez pas, alors je vais vous le raconter.
Quand il était petit, il raffolait de ces sucreries, il en mangea tellement
qu'a l'âge de douze ans, au lieu d'un début de moustache, il lui poussa une
barbe à papa.
Depuis cet événement il a décidé de vendre des barbes à papa mais il a
gardé une pièce qu'il garde toujours secrète. Personne n'a jamais su se
qu'il y avait dedans.
Un jour, la mère qui était venue pour acheter une barbe à papa avec son
fils devient la femme de La Barbe à Papa car elle le trouve élégant. ilS
déménagent dans un grand château. Malheureusement, l'homme doit
s'absenter un mois pour aller voir sa mère qui est malade. Il confie les
clefs à sa femme en lui recommandant de ne pas aller dans sa pièce secrète.
Peu de temps après son départ, sa femme va dans la fameuse pièce et y
découvre...
Les recettes secrèteS de barbes à papa ! Elle les lit et découvre qu'elle
peut devenir très riche en les cuisinant, alors elle s'en va loin avec son
fils et ses biens. Elle met le feu au château et un mois après La Barbe à
Papa revient et constatant les dégâts : il devient fou de rage et explose en
envoyant du sucre partout !
Max C. 6ème C
LE PETIT AURICULAIRE
Il était une fois un petit garçon qu'on surnommait le Petit Auriculaire ; il était tellement petit qu'il
courait partout dans sa maison, ce qui énervait fort ses parents qui voulaient l'abandonner dans le
supermarché à 14,678 km de chez eux. Et c'est ce que tentèrent les parents une semaine et deux jours
après l'anniversaire du Petit Auriculaire.
Ce fut une réussite…
A peine entrés dans le magasin, les parents couraient avec leurs sept gosses dont le Petit Auriculaire
qui se demandait : « Mais dans la vraie histoire, enfin je veux dire dans l'histoire d'origine, celle que
Romain n'a pas inventée, comment mes parents font-ils pour m'abandonner ? Hum, hum… »
Malins , futés et alliés, les sept terreurs avaient l'habitude de la …
...« Révolution ! » Les cris retentirent dans tout le magasin. Les parents n'en pouvaient plus. Désespérés,
ils fuirent et quittèrent le magasin tout seuls. Si loin, qu'à 10,124 km du supermarché ils ne savaient
même plus où ils allaient.
La famille était très riche.
Les sept terreurs rentrèrent joyeux dans leur maison ; il y eut juste le quatrième qui s'offrit un petit
bain dans leur piscine avant de rejoindre ses frères dans cette belle maison qui était la leur. Les parents
(que vous connaissez : riches, trois lignes avant, ce qui n'a pas changé) prirent un taxi. Ils demandèrent
au chauffeur, par ailleurs fort aimable, de les déposer à la mairie de Spawn qui était la ville où la
grande famille habitait.
« Mon papa, ma maman !!! » cria Jean-Kévin dans tous les recoins de la maison .
« Hé, le cinquième, tu ne vas pas nous saôuler maintenant ! Ne t'inquiète pas pour papa et maman, ils vont
se faire un p'tit resto, fit le Petit Auriculaire de sa petite voix aiguë.
- Non ! Des méchants vieux messieurs dans la rue vont les manger …. Oinn (sniff, sniff).
- Arrête ! Je vais te donner un coup de poing ! » grogna le petit auriculaire de sa voix qui ne faisait
peur à personne .
Les parents écoutaient à la porte depuis 1 minute et 33 secondes, le père défonça la porte et entra en
clamant son retour et sa vengeance. Les sept enfants, condamnés à faire de la cuisine pour leur père qui
s'empiffrait, mangeait, se goinffrait, à tel point qu’il grossit à vue d'oeil, se transforma en Ogre donneur
d'or et de diamants. Surexcité, l'Ogre, pratiquement stupide, sortit de la maison et la mère alla vite
cacher les enfants sous le …
« OUPS! zut alors, où ai-je caché les sept terreurs de l'histoire de monsieur Péraut ? Péjraut ?
Perdault ? Ah oui c'est vrai ! Monsieur Charles Perrault … donc, où les ai-je cachés ! pensa-telle .Bon, sous l'étagère et puis voilà ! »
Dehors l'Ogre criait : JE SUIS ZELFRIGRAGRO l'ogre aux mille et une richesses ! Hahahahaha !
L'ogre, rentrant dans sa maison et ayant toujours aussi faim, dit à sa femme:
« Ici ça sent la petite richesse ? mais qu'est ce que c'est ! Moi je donne l'or et toutes les richesses au
monde ! » en rigola l'ogre qui se pensait absolument supérieur à tout le monde .
L'ogre chercha dans toute la maison, démonta tous les lits, le toit, les murs, et vit enfin cette fameuse
étagère qui finit en miettes. Et là, l'ogre vit tous ses enfants qu'il détestait. Sans réfléchir, il les prit
dans sa main et les jeta très très très très très très loin près d'une maison où vivait un autre ogre très
aimable qui donna au Petit Auriculaire des bottes.
« Tiens, prends ces bottes, ce sont les bottes de 14 lieues ! » dit aimablement l'ogre au Petit
Auriculaire, qui était ravi qu'un ogre puisse quand même être gentil.
Le Petit Auriculaire et ses frères retournèrent dans la forêt, et le Petit Auriculaire mit trois frères
dans la botte gauche et trois autres dans la droite, et puis les enfila à son tour et rejoignit la maison où
le père était redevenu humain et avait tout oublié.
Tout est bien qui finit bien et la famille fêta ses retrouvailles en se mangeant une bonne dinde farcie bien
cuite au charbon de bois.
Et bien voilà: vous venez de lire un belle parodie du Petit poucet …. J'espère que ça vous a plu,
héhéhé ! Merci .
Romain T., 6ème D
Cendre-grillon
Il était une fois une peste nommée Cendre car elle jouait souvent avec les cendres au coin de la
cheminée. Elle habitait près de la plage. Sa mère était très gentille et acceptait tout sauf... Quand
un jour elle emmena Cendre à une animalerie et au lieu de choisir un chien ou un chat, celle-ci
choisit un magnifique grillon multicolore. Sa mère refusa de prendre un tel animal. Cendre,
contrariée, s'enfuit pendant la nuit, elle essaya d'entrer en boite de nuit mais le vigile de l'entrée
n'accepta pas qu'elle rentre avec ses habits de plage alors Cendre passa sa nuit dans un hôtel. Le
lendemain, elle alla se baigner à la plage elle trouva un magnifique coquillage mais il était
recouvert de sable donc elle le nettoya à l'aide de ses mains. Une fée en sortit et dit :
« Je peux exaucer un de tes souhaits. »
Cendre lui conta son histoire. La fée lui répondit : « Je vais faire apparaître un million dans ton
sac, tu pourras avec ça t'acheter une voiture et d'autres habits, mais par contre tu te
transformeras en grillon à 4h du matin. »
Cendre accepta, elle alla se payer ce qui lui fallait. Le soir venu, elle se rendit en boite et dansa
toute la nuit ; à 3h moins le quart, elle se rendit compte de l'heure et dut envoyer une bouteille
sur l'interrupteur de la lumière. Elle s'enfuit en laissant tomber sa chaussure. Le lendemain, elle
retourna se baigner et celui avec qui elle avait dansé toute la nuit précédente testait de mettre la
chaussure aux jeunes adolescentes se trouvant à la plage. Quand vint le tour de Cendre, le jeune
homme se rendit compte que la chaussure lui allait comme un gant. Plus tard ils s'épousèrent et
eurent beaucoup d'enfants.
Nicolas F., 6ème D
Le Grand index
Il était une fois sept garçons, l'ainé avait dix ans, il mesurait déjà un mètre quatre-vingt et il ne
passait pas dans les cadres des portes. Sa famille était vraiment pauvre, ses parents ne pouvaient
plus les nourrir. Un soir, le Grand Index entendit parler ses parents devant un feu :
« On ne peut plus les nourrir lui, son estomac et ses frères, on va les abandonner dans la forêt. »
Après avoir entendu cela il revint dans sa chambre, il vit tous ses frères réveillés, le plus petit dit :
« Nous aussi, on a entendu ce qu'ils ont dit, les parents ». Le plus grand leur dit : « Faites vos
valises, on part avant l'aube, prenez des couettes, on part dans cinq minutes.»
A dix heures, ses parents se lèvent et la mère dit : « Mes enfants, on va en forêt ». C'était la
première fois qu'elle les appelait « mes enfants », mais comme personne ne répondit elle alla
dans leurs chambres, il y avait personne et elle appela son mari, sur le lit du plus petit il y avait un
mot.
« Comme vous lui avez dit, on préfère partir que nous faire appeler ‘lui son estomac et ses
frères’.» Les sept frères étaient dans la forêt le plus petit ne faisait que pleurer de faim. En
marchant dans la forêt, ils découvrirent une maison, ils toquèrent à la porte : une dame ouvrit la
porte. Le plus grand lui dit : « Est-ce qu’on peut dormir chez vous ? Dans la forêt, on va se faire
dévorer par les loups. » La femme lui répondit : « Ici c'est la maison d'un ogre très monstrueux,
mais vous pouvez quand même entrer dans la maison, il n'est pas encore entré. » La femme leur
prépara un repas quand l'ogre rentra chez lui. Les enfants se cachèrent sous le lit. L'ogre demanda
à sa femme si le souper était prêt, puis il se mit à table. Il dit à sa femme : « Femme, ça sent la
chair fraiche. » La femme lui répondit, très gênée : « C'est le veau que vous sentez. »
- Non ce n'est pas le veau. »
Sur ces mots, l'ogre se lèva et fila à toute allure dans la chambre, tirant un par un les sept
garçons. Quand les garçons eurent regardé l'ogre, ils éclatèrent de rire. Le plus petit dit : « Mais
c'est un nain avec une tête d'ogre ! »
L'ogre, très énervé, regarda le plus grand – il était immense comparé à l'ogre – puis les sept
garçons partirent en courant terminer le repas de l'ogre. Se sentant impuissant face aux sept
garçons, ce dernier repartit couper du bois.
Le plus petit alla voir son ainé puis il lui dit, tout triste : « Il faudrait qu'on rentre maintenant.»
Le lendemain les sept garçons partirent à la première heure. L'ogre se réveilla en donnant l'ordre
à sa femme de chauffer de l'eau pour faire cuire les enfants. Voyant qu’ils n’étaient plus là il
ordonna à sa femme d'aller chercher ses bottes de sept centimètres et il partit à toute vitesse vers
le seul chemin. Comme ses bottes étaient fort lourdes, il se posa au pied d'une rivière. Les enfants
trouvèrent l'ogre en train de dormir : le plus grand lui prit ses bottes, il dit à ses frères de ne pas
bouger et il fila à toute vitesse vers la maison de l'ogre. Il toqua à la porte, la femme ouvrit la
porte, il lui dit : « Votre mari a été attaqué par des voleurs, ils demande tout l'or et l’argent que
vous avez. » La femme lui donna tout dans un sac poubelle. Le jeune garçon repartit à toute
vitesse vers ses frères. En arrivant sur place, il prend ses frères et ils rentrent chez eux. L'ogre en se
réveillant se retrouve pieds nus, puis il marche les quinze kilomètres pour retourner chez lui. Les
enfant toquent à la porte de leurs parents ; la mère ouvre la porte, le plus grand jette l'or et
l'argent à ses pieds.
Ibrahim A., 6ème C
LE BAL DE CENDRINE
Il était une fois un homme riche dont la femme était tombée malade, et quand elle sentit approcher
sa fin, elle appela sa petite fille âgée de trois ans, sa fille unique, et lui dit :« Mon enfant chérie,
reste toujours pieuse et tu pourras compter sur moi du haut du ciel ; je te regarderai et je te
protégerai. » Après ces paroles, elle ferma les yeux et mourut.
Son père se remaria quinze ans après la mort de sa femme. Cendrine vécut avec sa belle mère et
ses deux demi-sœurs. Son père était parti en voyage. Un mois après, elle partit au lycée où elle se fit
de nouveaux amis très sympas. Elle rencontra un garçon avec qui elle se mit à parler.
Son amie les vit parler et dit à Cendrine :
« Cendrine, tu viens de parler au garçon le plus populaire du lycée.
- Ah oui, il est vachement mignon ! »
Trois semaines après, elle apprit par ses deux demi-sœurs qu'il y avait un bal de promo au lycée.
« Ah mince, je ne pourrai pas venir avec les corvées qu'il y a à faire à la maison.
- Tant pis pour toi hiii hi ! »
Mais Cendrine eut une idée. « Et si j'appelais grand mère pour qu'elle m'aide a faire le ménage !
- Bonjour grand-mère, pourrais-tu venir m'aider, c'est urgent ?
- Oui ! bien sûr Cendrine.
- Ah merci grand mère tu me sauves la vie ! Mais il y a encore un problème : comment m'habiller ?
- Je pourrais t'aider pour ça aussi, si tu veux ?
- Oui et merci grand mère pour tout ce que tu fais.
- Mais n'oublie pas, tu dois rentrer avant minuit !
- Oui grand mère ne t’inquiète pas ».
Elle arriva au bal et tous les regards se posaient sur elle. Et le plus beau garçon de la salle, Joé, se
dirigeait vers elle. « Tu veux bien m'accorder cette danse ?
- Oui, avec joie. »
Cendrine se dirigea vers le DJ :
« Tu peux mettre la musique de mon mp4 ?
- Oui, bien sûr. »
Cendrine dansait avec Joé mais minuit sonna ! « Vite ! il faut que je rentre ! »
A la maison, la belle mère lui dit : « Tu as fini le ménage ?
- Oui oui !
- Mais où est donc ton petit baladeur ? »
Cendrine se dit dans sa tête : mince, j'ai oublié le mp4 !
Joé demanda à toutes les filles d’apporter leur mp4 le lendemain matin au lycée ; mais pas
seulement, les musiques qui étaient dans le mp4 aussi. Toutes les filles essayaient de faire croire
qu’il s’agissait d’elles mais rien à faire.
Lors d’une soirée, Cendrine mit de la musique, leur musique à tous les deux, et Joé comprit que
c'était elle .
« C'était toi, alors ?
- Oui c’était moi. »
Ils restèrent ensemble pour toujours, et en musique.
Estera R., 6ème D
Le Homard
L’histoire se passe dans une minuscule maison habitée par un homme et sa femme.
Un jour, le mari décide d’aller acheter un homard, il se rend alors chez le poissonnier
du village. Le homard, tellement heureux d’être libéré, propose à son acheteur de lui
exaucer un vœu. L’homme décide alors de ne pas le manger et part lui acheter un
immense aquarium.
Surprise de le voir si chargé, sa femme lui demande :
« Pourquoi, donc, avoir acheté un aquarium pour ce homard, puisqu’on va le manger ?
- Non, répond le mari, on doit le garder, il a la possibilité d’exaucer tous nos vœux !
- Aaaahh ?! répond la femme. Voyons cela. Je voudrais un bel ordinateur », et en une
seconde le vœu de la femme est exaucé.
Le lendemain, elle souhaite avoir une télévision immense, elle n’a pas le temps de
terminer sa phrase que la télévision est déjà dans le salon. Le mari, quant à lui,
demande une moto.
Ils sont tellement contents qu’ils donnent un fabuleux repas au homard.
Malheureusement il est tellement fatigué qu’il ne touche à rien. Ni l’homme, ni la
femme n’ont remarqué que l’eau de son aquarium devient de plus en plus sombre.
Le lendemain ils demandent une voiture, qui apparaît devant la maison en quelques
instants. Mais l’eau devient de plus en plus sombre, et le homard de plus en plus fatigué.
C’est quand la femme souhaite avoir une nouvelle maison, plus grande et plus belle que
la sienne, qu’ils s’aperçoivent que le cadavre du pauvre animal flotte à la surface de
l’eau.
En un éclair tout a disparu.
LES YETIS ET…
GERTRUDE-GEORGETTE–PIERRETTE–GINETTE–PAULETTE–
CLAUDETTE–BERNADETTE 1ere
C’est la fête au bar : une gothique est née ! Pour le baptême de la petite gothique, le barman et
la rockeuse (ses parents) ont invité trois femmes-yétis qui seront ses nounous. Ils ont aussi invité
le barman d’à côté car il a un fils qui s’appelle Jean-Kevin 1er, futur petit copain de GertrudeGeorgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ere (la gothique). La première yéti
s’avance vers la caisse de vin de l’arrière-grand-oncle et touche le bébé de sa bouteille de pinard :
elle lui donne le don de bien jouer de la guitare électrique. Le deuxième yéti lui donne le don de
bien faire de la bière maison. Le troisième yéti s’approche à son tour, lorsque … BONHEUR ! La
baleine Saint-Louis Mc Kinley Maléfique apparaît. Elle est furieuse de ne pas avoir été invitée à la
fête et, pour se venger, elle lance une malédiction :
- Le jour de ses 963426365268633674567559OO ans, Gertrude-Georgette-Pierrette-GinettePaulette-Claudette-Bernadette 1ere se prendra un pot de confiture en pleine poire et elle mourra !
Mais le troisième yéti s’écrie alors :
- Non, petite Gertrude-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ere ne
mourra pas ! Voici mon vœu : Tu vas t’endormir, et au bout de 955698743459657632198753 ans,
un bicker va arriver avec sa guitare et t’envoyer un son tellement fort que tu te réveilleras en
sautant au plafond de la boite de nuit.
Après 2463576389 ans, la petite gothique est envoyée avec ses nounous les yétis dans une
roulotte abandonnée. La petite Gertrude-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-ClaudetteBernadette 1ere fut rebaptisée Jane-Janette.
Les deux premiers yétis lui préparent une mini-jupe tandis que la troisième lui prépare du rat frit
à la poêle. Les deux yétis lui fabriquent une robe en peau d’âne. Or ce jour-là, Jean Kevin 1er se
promène dans les environs de la roulotte. Soudain il s’arrête, charmé par la guitare électrique. Il se
laisse guider par celle-ci et découvre une gothique.
- Je crois que je vous connais, dit-il.
- Moi aussi ! Peut-être en rêve ! s’écrie Jane-Janette.
Ils se mettent à jouer de la guitare électrique dans le parc municipal. Mais elle doit rentrer dans
la roulotte abandonnée avec ses nounous les yétis…
- Je veux te revoir juste pour jouer de la guitare électrique ! supplie Jean-Kevin.
- Tais-toi ! Plus tard ou… je ne sais pas…fin…oui !
- C’est où ?
- C’est la vieille roulotte que tu vois à la fin de la rue, répond Jane-Janette en s’enfuyant.
Dans la roulotte, yeti F s’acharne sur yeti P qui lui sert de punchingball… La robe et la minijupe sont trouées ! Quant au rat frit, il a cramé dans la poêle.
Au même moment, un énorme et affreux volatile, qui passait devant la roulotte, regarde ces
phénomènes ordinaires. Il marche aussitôt avertir sa mère qui n’est autre que … La baleine SaintLouis Mc Kinley maléfique !
Jane-Janette, à son retour du parc, découvre ses pauvres cadeaux. Elle raconte sa rencontre.
- Pauvre petite ! s’exclament les yétis. Tu dois oublier cet homme : tu ne peux pas jouer de la
guitare électrique avec lui.
Elles lui révèlent le secret de sa naissance :
- Tu es la bar-woman Gertrude-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette
1ère. la rockeuse du prince Philippe. Et cette nuit, nous devons t’emmener en boite de nuit pour
retrouver tes parents.
Jane-Janette éclate de joie car elle en avait marre des yétis même si elles lui offraient beaucoup
de cadeaux : son rêve se réalise…Quelques instants plus tard, elles se mettent en route. Une fois
arrivées à la boite de nuit, les yétis vont avertir les parents de Gertrude-Georgette-PierretteGinette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ere. La gothique entend un son étrange qui l’attire et elle
s’avance. Elle voit sur son passage une étagère des pots de confitures et SOUDAIN !!!!! La baleine
Saint-Louis Mc Kinley surgit et lui fait tellement peur qu’elle fait un bond de trois mètres et
demi, record battu. Elle se cogne contre l’étagère et se prend un pot de confiture dans la poire.
Les trois yétis portent Jane-Janette dans la cuisine du bar et la couchent sur la planche à
découper. Les yétis tabassent tous les gens et les gardes et même le barman d’à côté (Hubert) car
il veut que son fils (Jean-Kevin le bicker) se marie avec Gertrude-Georgette-Pierrette-GinettePaulette-Claudette-Bernadette 1ere.
- Prends cette guitare électrique avec le son le plus fort au monde, lui dit yéti F.
- Et cette Harley Davidson, ajoute yéti P.
Mais la baleine Saint-Louis Mc Kinley jette sur le passage des bosses : la moto n’a pas
d’amortisseur donc Jean-Kevin a pris la guitare électrique et il a fait un son tellement fort que les
bosses sont devenus plates.
- Enfin, dit-il, j’arrive à la boite de nuit.
Les yétis amènent le bicker dans la cuisine du bar et il joue un morceau de guitare : la petite
gothique saute au plafond à cinq mètres. Et… elle se réveille.
C’est ce jour-là que Jane-Janette retrouve ses parents et retrouve son vrai nom, GertrudeGeorgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ere.
Le lendemain matin, Jean-Kevin et Gertrude-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-ClaudetteBernadette 1ere se marient. Ils vivent malheureux et ils n’ont pas d’enfants.
Adam D., 6ème D
Serpillon
Bonjour,
Je ne vais pas commencer mon histoire par le même début que dans la
plupart des contes : « il était une fois… », mais directement par l’histoire
d’une jeune fille qui s’appelle Serpillon. Elle aimait énormément l’eau,
mais ne savait pas nager. Et comme son père et ses deux sœurs l’obligeaient à
passer la serpillère et faire le ménage toute la journée, elle ne pouvait pas
aller à la piscine.
Un jour, en nettoyant une lampe, elle la frotta quand soudain une fée
apparut. Serpillon lui raconta ses malheurs et lui demanda de l’aider pour
pouvoir aller à la piscine.
La fée cria : « frotti, frotta, friti froum » et elle exauça le vœu de
Serpillon. Alors sa serpillère se transforma en maillot de bain et son seau en
palmes. Puis la fée lui dit : « mais attention, Serpillon, tu ne sauras nager
que jusqu’à midi ! Tache d’être à l’heure ». Et la fée disparut.
Alors Serpillon se rendit à la piscine.
Dès qu’elle arriva sur le bord du bassin, elle vit le maitre-nageur et ils
tombèrent tous les deux fous amoureux …
Ils nagèrent ensemble jusqu’à ce que Serpillon regarde la pendule. Il était
MIDI ! Alors elle se débattit pour ne pas couler et perdit une de ses palmes.
Elle réussit quand même à sortir de l’eau et courut jusque chez elle.
Alors, le maitre-nageur ramassa la palme perdue par Serpillon, la
retourna et vit qu’une adresse y était inscrite : 17 rue de la sorbinette.
Il se rendit à cette adresse et sonna à la porte. Le père de famille répondit et
appela ses deux filles. La première essaya la palme ; elle était bien trop
petite, alors son père lui dit : « coupe un bout du talon et tu auras enfin un
mari ! ». La fille ne le fit pas et son père la considéra comme une lâche. Mais
il fit confiance à son autre fille pour la chausser. Celle-ci mit son pied à
l’intérieur, mais celui-ci était tellement petit que l’on ne voyait même pas
le moindre orteil. Alors le jeune homme s’interrogea : « Etrange… c’est
pourtant bien l’adresse qu’il y a sur la palme ? » Alors il demanda au
père : « vous n’avez pas d’autres filles, vous êtes sûr ? » le père répondit : « eh
bien… il y a bien Serpillon, mais elle ne sort jamais et n’est pas du tout
présentable ! » Mais le garçon ne se laissa pas décourager et insista : « je
tiens quand même à la voir ! »
Alors le père fit descendre Serpillon. Elle chaussa la palme… celle-ci lui
allait parfaitement. C’était sûr, le maitre-nageur ne s’était pas trompé.
Les deux filles et le père en restaient bouche bée.
Serpillon partit alors son beau maître-nageur et décida de ne plus jamais
revoir sa famille. Et bla,bla,bla..., et bla, bla, bla…. Enfin bref…vous
connaissez la suite.
Doriane D. 6ème C
RÉSULTATS DES ÉLECTIONS
Par des é-lecteurs de contes parodiques
CLASSE DE 6e C :
Blanche-Neige et les sept gringos, d'Amanda P.
113 votes
L'Amateur de kebab et sa femme, d'Idriss E.
109 votes
Chris et Kim, de Soundous A.
104 votes
CLASSE DE 6e D :
Les Yétis et... Gerturde-Georgette-Pierrette-Ginette-Paulette-Claudette-Bernadette 1ere,
d'Adam D.
95 votes
Les sept grincheux, de Théo V.
94 votes
Blanche-Neige et les sept robots, de Tristan M.
91 votes
BRAVO A TOUS !