Socks N°82 - Gai-Eros

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Socks N°82 - Gai-Eros
N° 82
Novembre 2008
DAVID GANDY
Un mannequin dans
la course
1
SOCKS
Edito
Sommaire
EDITO
L’élégance à la Maison-Blanche
page 2
L’élégance à la Maison-Blanche
FOURRE-TOUT
> Les Anglais au lit avec des
chaussettes
> Des chaussettes
biodégradables à base de maïs
> Lucas Podolski enfile ses
chaussettes
> Chaussettes fantaisie Injinji
page 3
vec la victoire
de Barack
Obama,
l’Amérique
peut à nouveau être
fière d’elle, et le monde
avec. L’accession d’un
homme de couleur issu
d’un milieu populaire à
la tête de la première
puissance mondiale
constitue l’électrochoc
nécessaire pour faire
oublier huit années de
présidence républicaine
catastrophique.
SAGA
> Converse a 100 ans : une
basket légendaire
> Converse, mode d’emploi
> Converse : une myriade de
couleurs
> Des chaussettes avec des
Converse ?
> Addiction mondiale
pages 4 à 6
PEOPLE
Wentworth Miller pose en
Converse
page 7
NOUVELLES
Soumis par mon beau-frère
pages 8 et 9
Copain malgré tout
pages 10 et 11
Kidnapping d’une salope
pages 12 à 14
COVER-BOY
Jusqu'ici, on connaissait surtout David
Gandy à travers ses différentes
collaborations avec Dolce & Gabbana. Le
duo star de la mode italienne avait même
fait du mannequin britannique de 28 ans
l'égérie de son tout premier calendrier au
début de l'année. Aujourd'hui, on retrouve
le beau David dans la campagne destinée à
relancer la marque suisse Paul Kehl avec
un slogan qui colle parfaitement à la peau
de David Gandy : « What a Man ! » (Quel
homme !)
A
L
a vision de la
suprématie
américaine par
Barack Obama
sera sans doute l’un des Barack Obama s’est efforcé de donner
l’image d’un homme moderne, ne renonçant
points cruciaux de sa
jamais à une partie de basket, Nike hautes et
notoriété future. Mais
mi-chaussettes Adidas aux pieds. (Photo :
d’ores et déjà, il a été
New York Times)
adopté par la planète
entière. Son charme et sa jeunesse ne sont pas étrangers à cet
engouement historique. Avec son allure sportive et son
sourire ravageur, il a d’abord séduit par son physique. Puis par
sa simplicité : son épouse n’a-t-elle pas multiplié les
confidences sur son
mari, allant jusqu’à
évoquer ses chaussettes
sales ? Donnant ainsi au
jeune président un
capital de sympathie
que la gestion des
affaires publiques
écornera peut-être assez
vite. Entretemps, il aura
ressuscité le thème du
rêve américain.
« L’Obamania » a fait tourner bien des têtes,
jusqu’aux joueurs de la NBA qui ont sauté
dans la nouvelle ère américaine à pieds
joints. (Photo : AFP)
P.P.
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SOCKS
Fourre-tout
L’IMAGE
MODE DE VIE
ECOLOGIE
Les Anglais au lit:
26 minutes et
avec des
chaussettes
Des chaussettes
biodégradables
à base de maïs
Le journal The Sun se fend d'un
long article sur les Anglais au lit. En
moyenne, les relations sexuelles
outre-Manche durent 26 minutes,
une fois par semaine. Et comme
pour 26 minutes, c'est pas la peine
d'enlever ses chaussettes ils ne le
font pas. Vous avez dit "sex
appeal"? Les Anglais, eux, disent
"socks appeal".
Des fabricants
américains vont
lancer l'an prochain
au Japon des
chaussettes
biodégradables,
fabriquées avec des
fibres dérivées du
maïs. Ces groupes
américains
entendent ainsi
concurrencer les
fabricants de
textiles à bas coût
de Chine et d'autres
pays d'Asie. « Nous
lançons ces
chaussettes au
Japon car c'est un
pays très sensible à
l'environnement »,
explique Jonathan
Shugart, président
de W.Y. Shugart
Le footballeur allemand Lucas Podolski durant
and Sons, l'un des
un entraînement pendant l'Euro 2008.
fabricants du
produit.
Cette chaussette à base de
chaussettes en coton, en laine
maïs coûtera 20% de plus que
ou en fibres à base de pétrole,
celles disponibles actuellement
comme le nylon ou le polyester,
au Japon, précise Shugart.
coûtent environ 300 yens (2,10
Dans l'archipel, des paires de
euros).
INSOLITE
Chaussettes
fantaisie
Injinji
Etre un homme moderne, c'est aussi être
tendance. La nouvelle chaussette de la marque
Injinji sera indubitablement le nouvel élément de
la garde-robe de l'homme de 2009 : décalée
(chaussettes à cinq doigts), originale (par les
couleurs), hygiénique (récompensée par
l'Association Médicale Américaine de
Podologie), elle ne laissera pas indifférente les
hommes qui souhaitent mettre un brin de
différence dans leur tenue habituelle.
Sortie prévue de ce modèle en février 2009...
3
SOCKS
Saga
Converse All
Star, la basket
légendaire !
La marque créatrice
des mythiques
chaussures
Converse All Star
fête cette année ses
100 ans. A cette
occasion, elle sort la
série Converse
Century.
L
a marque américaine
Converse est née dans le
Massachusetts en 1908.
Elle s'est imposée auprès
des sportifs grâce à Chuck Taylor,
basketteur en NBA qui, dès 1918
choisit le modèle All Star comme
chaussures pour ses compétitions.
En 1923, il signe de son nom le
modèle toujours commercialisé
aujourd'hui : la Converse All Star
Chuck Taylor. Véritable icône de la
mode, cette basket s’est déclinée en
de multiples versions : couleurs
psychédéliques, graphismes,
languette de couleur… Elle
demeure une référence en matière
de style hard rock et punk.
La All Star reste donc le modèle
typique de la marque. La basket se
présente en toile ou en cuir,
montante ou basse, traversée de
haut en bas par des lacets épais et
par des œillets prononcés et
soulignés par des
contours fixés à la
chaussure, dont le
bout de celle-ci se
constitue, sur tous
les modèles, d’une
demi-lune en
plastique robuste.
La célèbre chaussure
fait son chemin, de
génération en
génération.
Empreinte de
patriotisme, la
marque Converse
habilla également
l’armée américaine.
Mais comme
beaucoup de succès,
celui de la Converse
s’est essoufflé au fil
des années. C’est
ainsi qu’en 2003, le
chiffre d’affaires de
Converse chute. La
société se retrouve
(Suite page 5)
4
SOCKS
(Suite de la page 4)
en mauvaise posture lorsque Nike
propose le rachat de la marque pour
pas moins de 269 millions d’euros.
Après ce léger passage à vide, la
Converse All Star foule de nouveau
le bitume, rajeunie, parfois
relookée. Elle est devenue un
classique, une légende ! LA basket
agrémente tous les styles, peuple
nos penderies et plaît tant à la gente
masculine que féminine, bref, elle
est universelle !
Il y a aujourd’hui fort à parier que
Nike a sauvé la vie de notre chère
Converse, mais qu’elle lui a aussi
offert une seconde jeunesse, puisque
depuis environ quatre ans, les
Converse sont de nouveau sur le
devant de la scène !
Temoignage
Converse
Une myriade de
couleurs !
J
’ai découvert cette marque de
chaussure comme ça, au
hasard dans un magasin. Je
pensais déjà m’en acheter une
paire depuis un bon moment et ce
jour-là était l’occasion rêvée. Je
rentre donc dans le magasin pour
me faire une idée des modèles
proposés. Et là, wouah ! Je n’aurais
jamais imaginé qu’une seule paire
de chaussures pouvait se décliner
en autant de couleurs différentes.
Car il n’existe pas que des couleurs
unies ! Voilà que je tombe sur des
motifs divers : ça passe par
les Converse camouflage kaki
Style
à celles rayées ou
encore avec des motifs à
fleurs ! On trouve aussi
des Converse qui
montent jusqu’à miPas si facile que ça à porter, les All Star mollets, d’autres qui
Chuck Taylor ! Quelques conseils de
couvrent juste les
puristes pour éviter les faux-pas :
chevilles ou encore
- La toile doit être unie. Un vrai
d’autres en dessous des
“Converse addict” ne craquera jamais
chevilles. Et toutes avec
pour un modèle fantaisie à fleur ou
plein de couleurs !
camouflage. C’est ringard !
- On évite les couleurs trop flashy et on Je possède
personnellement trois
préfère le crème, le noir et le bleu
paires de Converse : une
marine. A la rigueur le bordeaux qui
beige, une noire et une
apportera une note un peu rétro.
bleue. J’ai choisis ces
- Pas question de lacer les versions
trois couleurs parce
qu’elles sont passepartout mais j’aurais
aussi bien pu prendre du
rose, du turquoise ou de
l’orange vif. La plupart
sont en toile avec une
semelle en caoutchouc
blanc ou noir, les lacets
sont généralement
blancs mais après
chacun peut les changer
à sa guise ! Grâce à la
toile, le pied reste super
souple mais ne vous attendez
pas à un confort suprême ! Et
hautes jusqu’au dernier oeillet. On
puis en hiver ou quand il pleut,
s’arrête à l’avant-dernier.
la toile c’est pas top…
- Le bout en caoutchouc ne doit jamais
être trop blanc. C’est d’un plouc ! On
Une qualité relative
prend soin de le salir légèrement avant
usage.
Mes deux premières paires de
- Les versions cuir sont à éviter. Les
Converse sont toutes
puristes ne portent que de la toile !
déchirées. Eh oui ! Au bout
CONVERSE, MODE
D’EMPLOI
5
d’environ quatre mois, c’est la
misère : le caoutchouc au niveau
des orteils s’est troué (un peu), les
coutures de la semelle partent en
live ! J’ai des trous partout, j’essaie
de tout recoudre mais ça ne marche
pas, le fil s’use trop vite ! Mais ça ne
m’empêche pas de toujours les
porter ! Ceci dit, ne pensez pas que
les Converse sont complètement de
mauvaise qualité pour autant. La
plupart des gens que je connais et
qui en ont n’ont pas eu des dégâts
aussi importants !
SOCKS
Debat
Des chaussettes avec
des Converse ?
chaussettes avec des Converse, c’est
décidément et irrémédiablement moche et
pas très sexy, surtout avec un pantacourt ou
un short. Peu importe que ça se voit ou pas,
ce que je trouve moche, je ne le porte pas.
Mais chacun est libre !
Comment peut-on trouver moche quelque
chose qui n’est normalement pas visible ?
Je viens d’acheter des Converse basses
pour le printemps et je ne sais pas si je
dois mettre des chaussettes pour les porter
avec un pantacourt...
Je mettrais simplement des socquettes ou
des mi-chaussettes s’il fait froid, mais des
chaussettes avec un pantacourt,
honnêtement, je ne trouve pas ça joli...
Des mi-chaussettes en été avec des
Converse, quelle horreur ! S’il y a une chose
que je trouve particulièrement immonde, ce
sont bien les mi-chaussettes !
Ce qui est moche, ce sont les petites
chaussettes qui s’arrêtent à la limite de la
cheville.
Les socquettes, même les plus basses
possible, se voient et c’est moche. Les mi-
Chaussettes collection
Les socquettes vraiment basses ne se voient
pas dessous. Et puis ce genre de chaussures
portées pieds nus, c’est pas confortable, pas
hygiénique et pas plus joli.
Alors en fin de compte, j’ai mis mes
nouvelles Converse et, après avoir hésité,
finalement je n’ai pas mis de socquettes et
ça passe plutôt bien... Comme je transpire
presque pas des pieds, pas de soucis.
Niveau look, y’a pas photo : avec un
pantacourt, c’est quand même mieux pieds
nus que quand on voit les socquettes qui
dépassent, même si ce n’est qu’un petit
peu...
Portez-vous les Converses pieds nus ou
avec des chaussettes ?
»
Pieds nus
50 %
»
En chaussettes
46,15 %
»
Autre
3,85 %
Addiction mondiale
De un an à soixante-douze ans, chacun doit pouvoir
trouver sa paire de Converse et, surtout, doit être tenté
de renouveler son stock. Si le pli n'est peut-être pas
encore pris chez les seniors, il ne fait pas de doute que
les jeunes ont totalement adhéré. " Nous avons des
habitués qui viennent, à chaque entrée de saison,
s'acheter une ou deux paires et découvrir les nouvelles
collections ", raconte François, vendeur chez Sprint à
Paris. La Converse se porte même aujourd'hui en
costume et plus seulement avec un jean.
" C'est une marque qui innove sans cesse en restant
toujours elle-même. Elle en devient sympathique ",
analyse Stéphane Grimault, directeur général du groupe
Royer. Elle ne délaisse pas pour autant le monde du
sport et renforce sa présence sous les paniers de basket
en produisant des modèles plus techniques, en étroite
collaboration avec Nike. Depuis 2003, elle sponsorise
l'étoile montante du basket Dwyane Wade. " La
chaussure a un siècle et aujourd'hui on la considère
comme éternelle ", conclut Jacques Royer.
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SOCKS
People
Dans « Prison Break », la série dont il est le héros, on le
surnomme « gueule d’ange ». C’est sûr qu’entre son corps
fantastique, son métissage et ses yeux clairs, Wentworth Miller
ne l’a pas volé. Depuis le début de la série, son personnage fait
l’unanimité et déchaîne les passions. Depuis le triomphe de « Prison Break », des rumeurs circulent sur Internet
concernant la prétendue homosexualité de Wentworth Miller. Son petit ami serait Luke McFarlane, l’ex boy-friend de
T.R. Knight, l’interne George O’Malley de « Grey’s Anatomy ». Les photos où les aperçoit côte à côté dans les rues de
Los Angeles ne prouvent rien. Wentworth se défend toujours et encore des accusations concernant ses affinités sexuelles.
Selon lui, la principale raison pour laquelle on ne le voit jamais aux côtés d’une femme est qu'il a beaucoup de travail :
« Nous travaillons 14 heures par jour, 5 jours par semaine. Ça ne laisse pas beaucoup de place aux rencontres et je n’ai
jamais eu beaucoup de chance pour trouver quelqu’un. Mais j’attends avec impatience le moment pour créer une
famille ». Pourquoi ce débat prend-il cette ampleur ? Fierté masculine mise à mal devant le succès de l'acteur ou
expression de la frustration féminine en face d'un personnage peu communiquant et donc source de tous les fantasmes ?
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SOCKS
Soumis par
Nouvelles
SOUMISSION
Quand un beau-frère laisse
trainer baskets et chaussettes,
difficile de résister à se
délecter des odeurs d’un mec
qui vous met sens dessus
dessous.
Un couple gay entraîne leur
pote hétéro dans une partie
de sexe pimentée d’une bonne
dose de pisse.
Un plan chaud et hyper hard
entre un rebeu dominateur et
un jeune mec prêt à tout pour
connaître de nouvelles
sensations extrêmes.
mon beau-frère
J
'habite juste à côté de mon
beau-frère et nous sommes
assez proches. Comme il
travaille la journée je passe
chez lui tous les après-midi pour
nourrir ses chats et son chien.
Depuis des années je suis assez
excité à la vue des pieds de mecs.
On ne peut pas dire que je sois
fétichiste mais j'ai eu quelques
expériences. Rien de très hard... En
revanche, depuis quelques mois je
suis obsédé par les pieds de mon
beau-frère Léo. Mon kiff serait de
les lui masser.
Il y a environ trois mois j'étais chez
Léo tout seul, j'avais nourri les bêtes
et m'apprêtais à partir. Je passe dans
le salon et là, par terre, je vois des
chaussettes (celles de Léo). Rien
qu'à la vue de ses chaussettes je me
suis senti excité. Je me baisse pour
les ramasser, un peu gêné. Je ne
comprenais pas vraiment mon
trouble. Finalement je les touche du
bout du doigt et m'en vais. En
rentrant chez moi j'étais comme fou,
l'idée de sentir ses chaussettes me
donnait une trique monstre, je
décide donc de retourner chez lui et
de satisfaire mon envie.
J'ai senti chacune des chaussettes,
respirant très fort pour bien avoir
l'odeur, je me les suis passées sur le
visage puis je me suis branlé dedans
en prenant soin de ne pas juter
dessus. Les jours ont passé, j'ai
continué à faire ça en allant toujours
plus loin, fouillant un peu partout
dans la maison à la recherche de
chaussettes sales ou de chaussures.
C'était devenu mon petit rituel.
Bref, un jour comme les autres je
suis seul chez Léo, ses baskets à la
main. Il avait dû aller courir la
veille au soir car ses baskets sentent
vraiment fort. Je suis au bord de
l'orgasme, je commence à me
branler en les reniflant, j'ai ma bite à
la main et me caresse furieusement.
Quand la porte s'ouvre, j'ai ma
queue raide et le nez dans les
baskets de Léo. Il me fait face, je
suis piégé, il me regarde, je sens la
honte monter en moi et pas moyen
de débander, je me rhabille (j’ai
(Suite page 9)
8
SOCKS
(Suite de la page 8)
lâché les baskets), je bredouille des
excuses confuses, il me demande de
partir et je m'exécute.
Je suis chez moi et je suis
complètement flippé. Que va-t-il
faire ? Je me dis que je vais devoir
sûrement affronter son regard un
jour ou l'autre. Je lui téléphone mais
ça ne répond pas. J'ai le coeur qui
bat, qu’est-ce que je vais faire, je
vais passer pour le pervers de base.
D
eux heures plus tard, on
frappe à la porte. Il ne
fait pas encore nuit
pourtant mais il doit bien
être 21h30. J'ouvre : c'est Léo qui
est devant moi, il a ses baskets aux
pieds, il entre toujours sans parler.
Je m’assois sur le canapé, il reste
debout devant moi, il me regarde
fixement pendant que je lui dis
comme je suis désolé, il me
demande de me taire et il me dit :
« Dis-moi, depuis quand tu fais
ça ? » Je lui réponds. « Et ça
t’excites ? » me demande Léo. Je
suis super mal. « Tu sais que si je
répète ça à tout le monde, va falloir
que tu déménages ? » Je sais, je lui
dis, mais tu feras pas ça ? « T’es
qu'un pervers ! Un gros dégueu ! Si
tu ne veux pas que je répète à tout
le monde que tu te branles en
sentant mes baskets tu vas devoir
faire des trucs pour moi ». Quoi
comme trucs ? Je ne comprends
plus rien, il va me faire chanter.
« Lève-toi ! m'ordonne mon beaufrère, et fais-moi voir ce tu faisais
tout à l'heure ». Il retire une de ses
chaussures : « Tiens, renifle ! »
Je me mets à bander mais je tente de
rester impassible. « Renifle,
dépêche-toi ». Je prends sa pompe,
me la met sous le nez et inspire. Léo
me touche la queue : « ça te plais
bien, hein ? Mets-toi à genoux ! ».
Je m'exécute, il me tend son pied
sans chaussures et je reconnais la
chaussette dans laquelle je me suis
branlé la première fois. « Enlève-la
et sens-la ». Il a maintenant un pied
nu, je bande comme un fou.
« Embrasse-le ! » et je pose mes
lèvres sur le dessus de son pied. Léo
me redresse et m'enlève mon
9
pantalon ainsi que mon caleçon. Il
enlève son autre chaussure puis sa
chaussette, il me caresse le sexe,
prend sa chaussette et me l'enfile sur
la queue. Là il me serre les couilles
pour me remettre à genoux, il
s'assoit sur le canapé et dit : « Lèche
mes pieds », et je passe ma langue
entre ses orteils sur le dessus, sur le
dessous, j'ai toujours sa chaussette
sur ma bite et je commence à être
bouillant, je suis comme envoûté :
plus je lèche ses pieds plus je bande,
j'en ai mal aux couilles. Léo a passé
sa main dans son slip et se masturbe
en me regardant sucer ses orteils, il
se met debout, il a baissé short et
slip de moitié de façon à ce que sa
queue soit à l'air libre, il me prend la
tête et la colle contre son sexe.
« Renifle ça aussi ! ». Je lui fais une
fellation bien profonde. Je suis
couché sur le dos sur le canapé et
Léo me monte sur le visage, ses
pieds en direction de ma queue et
pendant que je lui lèche le cul, il me
branle avec ses pieds et bien vite, il
jouit sans se toucher. Moi juste
après lui. Léo se relève, remonte son
short et part sans dire un mot.
Depuis, tous les soirs, je dois
l'attendre et l'accueillir en lui
retirant ses pompes, masser et baiser
ses pieds. Le jeu va de plus en plus
loin mais nous n'avons jamais eu de
pénétration, seulement des
caresses...
SOCKS
Copain malgré tout
A
ffalé dans un fauteuil devant la télé, David
tirait sa gueule des mauvais jours quand il
n’avait pas baisé avec sa copine. Il était
pourtant bien excitant et sa barbe de deux
jours accentuait sa virilité. Benjamin et moi ne cessions
de le parcourir des yeux en nous disant simultanément
qu’on en ferait bien notre « quatre heures ». David
nous jetait des regards torves.
A un moment donné, David se lève pour se diriger vers
les toilettes. Sur un coup d’œil complice, nous quittons
nos baskets et nos jeans, décidés à le rejoindre avant
qu’il n’ait terminé de pisser. Il avait laissé la porte
entrouverte et terminait de se secouer la queue. Il n’a
pas eu le temps de remonter son slip que nous lui
tombions dessus. Expert en judo, Benjamin parvient
d’une prise à mettre David à genoux, visage face à la
cuvette.
- Fous-lui la gueule dans sa pisse, suggérai-je à
Benjamin qui s’installa à califourchon sur le buste de
David et lui plongea la tête dans la cuvette. David
essaya bien de protester mais il y renonça vite,
craignant trop d’avaler son urine.
J’ai alors l’idée de retirer mes hautes chaussettes
blanches.
- Trempe-les dans la pisse et fais-lui un bâillon, dis-je
à Benjamin.
- Tu sais ce que tu veux ? C’est quand même des
Reebok, s’étonne-t-il. Au prix où elles sont !
Qu’importe, me dis-je, je suis trop excité à la
perspective de donner une bonne leçon à ce petit con
qui nous
snobe.
Benjamin
s’exécute et
plonge à
plusieurs
reprises mes
chaussettes
dans le
liquide des
toilettes. Puis
il se saisit
d’une
chaussette
encore
dégoulinante
de pisse et la
plaque sur la
bouche de
David avant
d’en faire le tour de sa tête. Dans les
yeux de David, on peut y lire tout le
dégoût que lui inspire l’odeur de la
chaussette suintante. Il doit sentir
l’urine s’écouler dans sa bouche.
Pour un peu, il en dégueulerait. Son
estomac est secoué de spasmes.
On devrait lui faire nettoyer
la chaussette pour avoir oser
se présenter à nous
le cul barbouillé !
Je me saisis de la deuxième
chaussette et commence à fouetter
le dos et les fesses de David. La
peau rougit sous les coups. La pisse
nous éclabousse mais je m’en fous,
déterminé que je suis à humilier
notre pote. Quand la chaussette est
dégorgée, je la passe entre les fesses
de David pour humecter son trou et
le débarrasser d’éventuelles
impuretés. Je parviens à lui écarter
la rosette de par mon habileté à la
titiller avec la chaussette. Dans ces
conditions, je ne suis pas étonné de
récupérer sur le coton blanc des
traînées brunâtres plus ou moins
diluées. J’interpelle Benjamin :
- Notre pote n’a pas l’air au top au
niveau de l’hygiène, lui fais-je
remarqué en brandissant la
chaussette maculée. Heureusement
que j’ai pensé à lui torcher le cul !
- On devrait lui faire nettoyer la
chaussette pour avoir oser se
présenter à nous le cul barbouillé !
ricana Benjamin.
Je ne sais pas ce qui m’a retenu de
lui coller ma chaussette souillée
sous le nez. David a dû anticiper ma
pensée car il s’agita sous la force de
Benjamin et son visage révélait une
criante expression de répugnance.
J’ai laissé tomber la chaussette à
terre… J’avais finalement mieux à
faire.
(Suite page 11)
10
SOCKS
de langue experts il récupéra une
nouvelle rasade de crème sous
pression. Quand Benjamin se releva,
il me colla un baiser au foutre à
vous faire pâmer un dieu. Nous
sommes partis dans un éclat de rire
en voyant nos lèvres barbouillées à
la semence de David.
(Suite de la page 10)
J
e me saisis de la croupe de
David pour la porter à hauteur
de mon sexe bandé et
m’introduisis d’un coup sec et
sûr, cherchant à aller au plus loin
dans son anus perforé. Seuls des
râles parvenaient à passer l’écueil
de la chaussette bâillon. Je ralentis
la cadence de mes va-et-vient pour
habituer son trou à la pénétration. A
l’évidence, David comprit qu’il ne
gagnerait rien à résister à mes
assauts sodomites. Autant prendre le
plaisir par où il venait, devait-il se
dire. Ainsi, quand je sentis son anus
s’écarteler naturellement pour
laisser passer ma queue, j’ai
accéléré mon rentre-dedans.
Pendant toute la bourrade,
Benjamin maintenait bien
fermement la tête de David dans la
cuvette en se branlant dans son
abondante chevelure blonde. Ses
cheveux soyeux rendaient le gland
de Benjamin d’une sensibilité
redoublée. Je lui conseillai de se
contrôler s’il voulait profiter d’un
trou chaud que je me m’apprêtais à
inonder.
Après avoir bien intensément limé
le cul de David, je n’en finis plus de
décharger. Ma jute partait dans tous
les sens, tapissant le boyau d’une
couche de crème conséquente.
Tandis que je me retirais avec
précaution, je conseillais à
Benjamin de se tenir prêt à prendre
la relève dans le petit trou encore
bien ouvert et secrétant une coulée
de foutre.
11
Malgré cet épisode humiliant, David
est resté notre copain… Il faut dire
qu’avec Benjamin et moi, David
avait de quoi satisfaire sa soif de
sexe en nous enculant
régulièrement, ce qui n’était pas
pour nous déplaire. Mais il était
aussi friand de bites au cul. Dès
lors, il a assumé sa bisexualité sans
complexe.
P.P.
Alors que Benjamin prenait son
pied en enculant David à fond, je
lâchais un jet de pisse chaude sur le
haut du dos et dans les cheveux de
David. Benjamin préféra se finir sur
le visage de David. Déjà prête à
exploser, la pine cracha son sperme
en un éclair, aspergeant le front et
les joues de notre pote.
B
ons princes, Benjamin et
moi décidèrent de nous
occuper du membre de
David. On lui devait bien
cette gâterie. Mais ce n’était plus
nécessaire car David avait joui tout
seul, sans se toucher : des traces de
foutre s’étalaient sur le sol. Mais
pour Benjamin, le gland proéminant
de David était trop appétissant pour
ne pas s’y précipiter comme sur un
sucre d’orge. Si bien qu’il
l’enfourna et après quelques coups
SOCKS
Kidnapping d'une salope
U
n soir, je me faisais chier devant la télé,
je dial avec un pote master qui crèche
dans une ville près de chez oim et je lui
dit que j'ai grave envie d'infliger à un
bon bâtard un plan kidnapping, mais que c'était
dur à trouver. Lui direct me répond qu’il a ce qu’il
me faut. Et il me donne le numéro de Julien, son
bâtard.
— Tu n'as qu'a lui envoyer un SMS, et tu verras, il
kiffe tellement la teub qu’il va débarquer direct !
Je lui envoie illico un SMS bien och : « Wesh
crevure ! Moi laskard domi envie d'un bon plan
och, RDV chez oim à 23 h et je te démonte le
boule ! » Il me répond aussitôt pour dire qu’il est
ok et commence à me demander des détails sur le
plan. Bien sûr tout ce que je lui raconte est bidon
puisque je veux faire un plan kidnapping et que
mon pote master m’a certifié qu'il kifferait ce
genre de plan.
Donc, je le convoque à la porte de mon immeuble
à 23 h. Seulement je lui ai fait croire que j’étais à
mon appart alors qu'en fait j'étais planqué derrière
mon immeuble à l'attendre. Moi suis sapé sweat à
capuche, bandana noir sur la gueule, fute de
jogging avec mon gun dedans, casquette rabaissée
un max et skets. Lui est fringué genre laskard :
skets Reebok rouges, fute de jogging noir, tee-shirt
et sweat à capuche Airness et casquette Nike de
côté. De loin, je distingue une bonne gueule de
lopsa, cheveux rasés et collier genre laskard. Je lui
envoie un SMS genre « Attends 2 min, je descends
t'ouvrir ! ». Après qu’il ait reçu ce SMS, je me
pointe et passe mine de rien près de lui. Dès que je
me retrouve dans son dos, je le choppe et lui
pointe le gun sur la gueule. Inutile de dire qu’il
flippe grave. Je le traîne alors dans un local
technique abandonné juste à côté de ma porte
d'immeuble en lui disant :
— Maintenant sale bâtard, t’as intérêt à assurer si
tu veux pas que je t'explose ta sale race de tepu !!!
Je le fais mettre à genoux et, toujours sous la
menace de mon gun, je lui lance d’un ton sec :
— Wesh tepu, tu vas me téter le paquet et bien me
cleaner mon zgeug pas lavé depuis plus d'une
semaine !
Il a capté direct que ma teub était hyper crade et
qu’elle daubait un max la pisse, le foutre et la
transpiration ! L’odeur de mon zgeug embaumait
d'ailleurs tout le local. Il a hésité un instant mais je
n’ai eu qu’à lui appuyer un peu plus le gun sur la
tempe pour qu’il commence à me le décrasser avec
sa langue de tepu !
Putain la salope, elle kiffe ça de bien laper
mes skets cradingues et tout en faisant çà,
elle essaye même de foutre son nez
dans la sket pour sniffer.
Mais j’ai vite vu que même s’il flippait à mort, ce
bâtard kiffait ça… Perso, j’ai trop kiffé de le voir
pris au piège entre la peur et le plaisir qu’il prenait
à me sniffer le zob et les couilles. Rien qu’à son
regard, je me sentais grave puissant ! Il m’a bien
décrassé la bite mais j’ai voulu passer à la vitesse
supérieure. Je le plaque alors contre le mur, lui
bloque la tête et lui lime la gueule comme un ouf !
Putain, cette pute kiffe trop ça, elle en redemande
même ! Elle force pour avancer sa tête et me gober
toute la pine. Oh putain le kiff, je suis tombé sur
une vraie pute gorge profonde !!! Je le laisse faire.
En moins de cinq minutes de limage de gueule, je
l’ai rendu réel accro à ma teub de laskard ! Je lui
balance alors un putain de mollard sur sa face de
tépu en lui disant :
— Tu la kiffes ma teub, hein bâtard ?!! Tu kiffes
ça, purger du bon zgeug de laskard, sale pute !!!
Pour seule réponse, j’ai eu le droit à de vrais
gémissements de tepu. Soudain, alors qu’il me
tétait grave le zgeug, je me suis aperçu qu'il avait
sorti sa bite et se branlait comme un ouf. Grave
énervé, je le jette direct au sol et le menace avec
mon gun en lui hurlant :
— Vas-y tarba ! Essaye encore de te toucher ta
sale bite de sous-merde et je t'éclate !!!
Il est grave paniqué et alors qu’il est au sol, sur le
dos avec la bite à l’air, je commence à lui frapper
la bite à coups de TN : la bite, les couilles, les
côtes, tout y passe !
— Putain, tu vas grave regretter de t'être touché
sans l'accord de ton master, sale fils de pute !!!
Il a l’air vraiment terrifié. Malgré la pénombre, je
vois qu’il commence limite à chialer. Je kiffe trop
lire la peur dans le regard d'une lopsa donc je
continue à bien le frapper à coups de skets pour lui
faire comprendre le message. Une fois qu’il a
eu totalement débandé, je lui ai mis un collier et
une chaîne autour du cou puis je lui ai foutu une
(Suite page 13)
12
SOCKS
(Suite de la page 12)
cagoule où y’a juste un trou pour la
bouche. Et là, je le traîne jusqu’au
coffre de ma caisse garée juste à
côté pour changer de lieu parce qu'à
force de gémir et de couiner à
chaque coup, ça commence à
devenir chelou. Je le fous donc sans
ménagement dans le coffre en lui
disant juste :
— Maintenant je vais te
promener… Et t’as intérêt à fermer
ta gueule pendant le trajet !
Je fais alors le tour de la ville avec
ma caisse, accélère dans les virages,
pile aux ronds-points, trace sur les
dos d'âne, histoire de l'entendre
gémir. Et ouais, je suis un véritable
enfoiré !!!
sur le sol) et je retire une sket pour
qu’il sniffe bien l’intérieur. Putain,
un vrai clébard !!! Trop accro à
mes odeurs, j'ai rien à faire ! Il
plaque de lui-même sa face contre
ma sox crade puis dans la sket et je
l’entends se faire de longs shoots
en couinant un max à chaque
bouffée !!! J’hallucine ! Pendant 5
à 10 minutes, je l’ai laissé s'extasier
dans mes odeurs de laskard. Après
quoi j’ai tiré d’un coup sec sur la
chaîne qu’il avait autour du cou
pour le mettre debout et je l’ai
plaqué violemment contre le capot
de ma caisse. Je lui ai ensuite
scotché une de mes skets bien
fumantes sur la gueule avec une sox
bien pourrave que j’utilise de temps
en temps pour enlever du from ! Il
J
e le traîne ensuite dans les
bois. J'ouvre le coffre et
l'éjecte. Evidemment, comme
il ne voit rien avec la cagoule,
il tombe face contre terre devant
moi. Je ne résiste pas à l’envie de
lui écraser la gueule sous ma sket.
Tout en m'allumant une clope, je lui
balance :
— Ben maintenant crevure, tu vas
t'occuper de mes TN, et
PARTOUT !!! Semelle comprise !
Putain la salope, elle kiffe ça de
bien laper mes skets cradingues et
tout en faisant ça, elle essaye même
de foutre son nez dans la sket pour
sniffer.
— Ah putain, tu sais où trouver les
bonnes odeurs de laskard, toi !
Tout en léchant, il fait un signe de la
tête pour acquiescer.
— Ben, pour l’instant, continue de
cleaner mes Rekins, c'est moi qui
déciderai de te gazer avec mes
bonnes odeurs de ouf !
Je lui ai scotché une de
mes skets fumantes
sur la gueule avec une sox
bien pourrave.
Trop bon d’avoir cette tepu à
genoux en train de me lécher les
skets pendant que moi je suis
adossé sur ma caisse en train de
fumer une clope. Je m'assois alors
sur le siège conducteur (mais de
côté afin d’avoir toujours les pieds
13
est devenu dingue, une vraie
pute !!! Je l’ai forcé à bien
cambrer son cul, j’ai enfilé
vite fait une capote et j’ai
commencé à le chauffer grave
à grands coups de teub sur le
cul, tout en frottant mon
gland sur sa rondelle !
Visiblement, ça l’excitait
grave car ce bâtard n’arrivait
pas à se retenir de bander !
Je lui ai ensuite retiré la sket
et fourré la gueule avec ma
sox puante. Là direct, je
l’encule à sec et il hurle sa
race. Je lui ai aussitôt refoutu
le flingue sur la nuque.
— Ta gueule crevure !
Je le pilonne à donf mais cette
(Suite page 14)
SOCKS
(Suite de la page 13)
pute aime ça. Elle pousse des
gémissements de plaisir du genre :
« Encore, encore, continue ! Pètemoi le cul !!! ». Au bout de
quelques minutes de pilonnage, je
retire le gun de sa tête et sors ma
teub de son boule. Puis je rentre à
nouveau dans son trou béant que je
pilonne comme un vrai bourrin ! Je
sens sa chatte s’élargir de plus en
plus sous l’effet de la sox parfumée
à la transpiration.
J’en profite donc pour sortir de mon
sac à dos un gode à peu près de la
même taille que ma teub. Je le
rentre dans son cul à la place de ma
teub et ce bâtard ne sent même pas
la différence. Pendant qu’il a le
gode bien à fond, je lui enfonce
d’un coup sec mon chibre dans son
fion de pute ! Putain le kiff ! Je le
gode et je le pilonne en même
temps !!! Je vous dis pas comment il
s’agitait, il en a même craché la sox
pour pouvoir gueuler de tout son
soûl. J’ai dû lui foutre de bonnes
baffes pour le faire taire. Mais à
force de sentir sa chatte me
compresser le zboub, j’ai senti que
j’allais pas tarder à balancer la
purée alors je lui ai enlevé la
cagoule et je l’ai foutu à genoux en
lui disant :
— Allez tepu, fais-moi une bonne
purge que je te repeigne ta face de
merde avec mon yop ! Il s’est alors
remis à me sucer, mais si mal que
j’ai dû lui rebalancer une grande
mandale dans la gueule.
— Pompe mieux que ça crevure ou
je te fume !
Quand j’ai senti le jus monter, je lui
ai bloqué fermement la tête et je l’ai
yoppé à fond de gorge ! Putain,
vous auriez dû voir comment il a
kiffé ce bâtard !!!
E
ntre-temps, ce bâtard
s’était touché la teub sans
mon accord et avait yopé !
J’ai fait semblant de rien
voir jusqu’à ce que je me vide mais
sitôt la dernière giclée sortie de mon
zgeug, je l’ai violemment saisi par
le col.
— Espèce de bâtard ! Tu oses te
toucher et gicler pendant que tu me
purges, crevure ?!!! Je te l'avais
interdit !!! Tu vas le regretter !!!
Je lui ai fait lécher son foutre
partout sur le sol et une fois les
traces nettoyées, je l’ai foutu à
genoux mains sur la tête, dos à moi,
le gun plaqué sur sa tête.
— Maintenant, tu vas crever espèce
de déchet !
Quand il m’a entendu armer le
flingue, le mec a commencé à
chialer et à me supplier. Il a même
tellement flippé qu’il en a pissé
dans son froc ! J’ai alors appuyé
froidement sur la gâchette mais bien
sûr rien ne s’est produit. Pendant
tout le plan, ce bâtard n’avait même
pas tilté qu’il ne s’agissait en fait
que d’un vulgaire pistolet à billes,
tout à fait inoffensif ! Je lui ai alors
balancé deux-trois mollards sur sa
face de tepu et je me suis cassé sans
un mot en le laissant baigner dans sa
pisse…
Teknoman
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