Socks N°82 - Gai-Eros
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Socks N°82 - Gai-Eros
N° 82 Novembre 2008 DAVID GANDY Un mannequin dans la course 1 SOCKS Edito Sommaire EDITO L’élégance à la Maison-Blanche page 2 L’élégance à la Maison-Blanche FOURRE-TOUT > Les Anglais au lit avec des chaussettes > Des chaussettes biodégradables à base de maïs > Lucas Podolski enfile ses chaussettes > Chaussettes fantaisie Injinji page 3 vec la victoire de Barack Obama, l’Amérique peut à nouveau être fière d’elle, et le monde avec. L’accession d’un homme de couleur issu d’un milieu populaire à la tête de la première puissance mondiale constitue l’électrochoc nécessaire pour faire oublier huit années de présidence républicaine catastrophique. SAGA > Converse a 100 ans : une basket légendaire > Converse, mode d’emploi > Converse : une myriade de couleurs > Des chaussettes avec des Converse ? > Addiction mondiale pages 4 à 6 PEOPLE Wentworth Miller pose en Converse page 7 NOUVELLES Soumis par mon beau-frère pages 8 et 9 Copain malgré tout pages 10 et 11 Kidnapping d’une salope pages 12 à 14 COVER-BOY Jusqu'ici, on connaissait surtout David Gandy à travers ses différentes collaborations avec Dolce & Gabbana. Le duo star de la mode italienne avait même fait du mannequin britannique de 28 ans l'égérie de son tout premier calendrier au début de l'année. Aujourd'hui, on retrouve le beau David dans la campagne destinée à relancer la marque suisse Paul Kehl avec un slogan qui colle parfaitement à la peau de David Gandy : « What a Man ! » (Quel homme !) A L a vision de la suprématie américaine par Barack Obama sera sans doute l’un des Barack Obama s’est efforcé de donner l’image d’un homme moderne, ne renonçant points cruciaux de sa jamais à une partie de basket, Nike hautes et notoriété future. Mais mi-chaussettes Adidas aux pieds. (Photo : d’ores et déjà, il a été New York Times) adopté par la planète entière. Son charme et sa jeunesse ne sont pas étrangers à cet engouement historique. Avec son allure sportive et son sourire ravageur, il a d’abord séduit par son physique. Puis par sa simplicité : son épouse n’a-t-elle pas multiplié les confidences sur son mari, allant jusqu’à évoquer ses chaussettes sales ? Donnant ainsi au jeune président un capital de sympathie que la gestion des affaires publiques écornera peut-être assez vite. Entretemps, il aura ressuscité le thème du rêve américain. « L’Obamania » a fait tourner bien des têtes, jusqu’aux joueurs de la NBA qui ont sauté dans la nouvelle ère américaine à pieds joints. (Photo : AFP) P.P. 2 SOCKS Fourre-tout L’IMAGE MODE DE VIE ECOLOGIE Les Anglais au lit: 26 minutes et avec des chaussettes Des chaussettes biodégradables à base de maïs Le journal The Sun se fend d'un long article sur les Anglais au lit. En moyenne, les relations sexuelles outre-Manche durent 26 minutes, une fois par semaine. Et comme pour 26 minutes, c'est pas la peine d'enlever ses chaussettes ils ne le font pas. Vous avez dit "sex appeal"? Les Anglais, eux, disent "socks appeal". Des fabricants américains vont lancer l'an prochain au Japon des chaussettes biodégradables, fabriquées avec des fibres dérivées du maïs. Ces groupes américains entendent ainsi concurrencer les fabricants de textiles à bas coût de Chine et d'autres pays d'Asie. « Nous lançons ces chaussettes au Japon car c'est un pays très sensible à l'environnement », explique Jonathan Shugart, président de W.Y. Shugart Le footballeur allemand Lucas Podolski durant and Sons, l'un des un entraînement pendant l'Euro 2008. fabricants du produit. Cette chaussette à base de chaussettes en coton, en laine maïs coûtera 20% de plus que ou en fibres à base de pétrole, celles disponibles actuellement comme le nylon ou le polyester, au Japon, précise Shugart. coûtent environ 300 yens (2,10 Dans l'archipel, des paires de euros). INSOLITE Chaussettes fantaisie Injinji Etre un homme moderne, c'est aussi être tendance. La nouvelle chaussette de la marque Injinji sera indubitablement le nouvel élément de la garde-robe de l'homme de 2009 : décalée (chaussettes à cinq doigts), originale (par les couleurs), hygiénique (récompensée par l'Association Médicale Américaine de Podologie), elle ne laissera pas indifférente les hommes qui souhaitent mettre un brin de différence dans leur tenue habituelle. Sortie prévue de ce modèle en février 2009... 3 SOCKS Saga Converse All Star, la basket légendaire ! La marque créatrice des mythiques chaussures Converse All Star fête cette année ses 100 ans. A cette occasion, elle sort la série Converse Century. L a marque américaine Converse est née dans le Massachusetts en 1908. Elle s'est imposée auprès des sportifs grâce à Chuck Taylor, basketteur en NBA qui, dès 1918 choisit le modèle All Star comme chaussures pour ses compétitions. En 1923, il signe de son nom le modèle toujours commercialisé aujourd'hui : la Converse All Star Chuck Taylor. Véritable icône de la mode, cette basket s’est déclinée en de multiples versions : couleurs psychédéliques, graphismes, languette de couleur… Elle demeure une référence en matière de style hard rock et punk. La All Star reste donc le modèle typique de la marque. La basket se présente en toile ou en cuir, montante ou basse, traversée de haut en bas par des lacets épais et par des œillets prononcés et soulignés par des contours fixés à la chaussure, dont le bout de celle-ci se constitue, sur tous les modèles, d’une demi-lune en plastique robuste. La célèbre chaussure fait son chemin, de génération en génération. Empreinte de patriotisme, la marque Converse habilla également l’armée américaine. Mais comme beaucoup de succès, celui de la Converse s’est essoufflé au fil des années. C’est ainsi qu’en 2003, le chiffre d’affaires de Converse chute. La société se retrouve (Suite page 5) 4 SOCKS (Suite de la page 4) en mauvaise posture lorsque Nike propose le rachat de la marque pour pas moins de 269 millions d’euros. Après ce léger passage à vide, la Converse All Star foule de nouveau le bitume, rajeunie, parfois relookée. Elle est devenue un classique, une légende ! LA basket agrémente tous les styles, peuple nos penderies et plaît tant à la gente masculine que féminine, bref, elle est universelle ! Il y a aujourd’hui fort à parier que Nike a sauvé la vie de notre chère Converse, mais qu’elle lui a aussi offert une seconde jeunesse, puisque depuis environ quatre ans, les Converse sont de nouveau sur le devant de la scène ! Temoignage Converse Une myriade de couleurs ! J ’ai découvert cette marque de chaussure comme ça, au hasard dans un magasin. Je pensais déjà m’en acheter une paire depuis un bon moment et ce jour-là était l’occasion rêvée. Je rentre donc dans le magasin pour me faire une idée des modèles proposés. Et là, wouah ! Je n’aurais jamais imaginé qu’une seule paire de chaussures pouvait se décliner en autant de couleurs différentes. Car il n’existe pas que des couleurs unies ! Voilà que je tombe sur des motifs divers : ça passe par les Converse camouflage kaki Style à celles rayées ou encore avec des motifs à fleurs ! On trouve aussi des Converse qui montent jusqu’à miPas si facile que ça à porter, les All Star mollets, d’autres qui Chuck Taylor ! Quelques conseils de couvrent juste les puristes pour éviter les faux-pas : chevilles ou encore - La toile doit être unie. Un vrai d’autres en dessous des “Converse addict” ne craquera jamais chevilles. Et toutes avec pour un modèle fantaisie à fleur ou plein de couleurs ! camouflage. C’est ringard ! - On évite les couleurs trop flashy et on Je possède personnellement trois préfère le crème, le noir et le bleu paires de Converse : une marine. A la rigueur le bordeaux qui beige, une noire et une apportera une note un peu rétro. bleue. J’ai choisis ces - Pas question de lacer les versions trois couleurs parce qu’elles sont passepartout mais j’aurais aussi bien pu prendre du rose, du turquoise ou de l’orange vif. La plupart sont en toile avec une semelle en caoutchouc blanc ou noir, les lacets sont généralement blancs mais après chacun peut les changer à sa guise ! Grâce à la toile, le pied reste super souple mais ne vous attendez pas à un confort suprême ! Et hautes jusqu’au dernier oeillet. On puis en hiver ou quand il pleut, s’arrête à l’avant-dernier. la toile c’est pas top… - Le bout en caoutchouc ne doit jamais être trop blanc. C’est d’un plouc ! On Une qualité relative prend soin de le salir légèrement avant usage. Mes deux premières paires de - Les versions cuir sont à éviter. Les Converse sont toutes puristes ne portent que de la toile ! déchirées. Eh oui ! Au bout CONVERSE, MODE D’EMPLOI 5 d’environ quatre mois, c’est la misère : le caoutchouc au niveau des orteils s’est troué (un peu), les coutures de la semelle partent en live ! J’ai des trous partout, j’essaie de tout recoudre mais ça ne marche pas, le fil s’use trop vite ! Mais ça ne m’empêche pas de toujours les porter ! Ceci dit, ne pensez pas que les Converse sont complètement de mauvaise qualité pour autant. La plupart des gens que je connais et qui en ont n’ont pas eu des dégâts aussi importants ! SOCKS Debat Des chaussettes avec des Converse ? chaussettes avec des Converse, c’est décidément et irrémédiablement moche et pas très sexy, surtout avec un pantacourt ou un short. Peu importe que ça se voit ou pas, ce que je trouve moche, je ne le porte pas. Mais chacun est libre ! Comment peut-on trouver moche quelque chose qui n’est normalement pas visible ? Je viens d’acheter des Converse basses pour le printemps et je ne sais pas si je dois mettre des chaussettes pour les porter avec un pantacourt... Je mettrais simplement des socquettes ou des mi-chaussettes s’il fait froid, mais des chaussettes avec un pantacourt, honnêtement, je ne trouve pas ça joli... Des mi-chaussettes en été avec des Converse, quelle horreur ! S’il y a une chose que je trouve particulièrement immonde, ce sont bien les mi-chaussettes ! Ce qui est moche, ce sont les petites chaussettes qui s’arrêtent à la limite de la cheville. Les socquettes, même les plus basses possible, se voient et c’est moche. Les mi- Chaussettes collection Les socquettes vraiment basses ne se voient pas dessous. Et puis ce genre de chaussures portées pieds nus, c’est pas confortable, pas hygiénique et pas plus joli. Alors en fin de compte, j’ai mis mes nouvelles Converse et, après avoir hésité, finalement je n’ai pas mis de socquettes et ça passe plutôt bien... Comme je transpire presque pas des pieds, pas de soucis. Niveau look, y’a pas photo : avec un pantacourt, c’est quand même mieux pieds nus que quand on voit les socquettes qui dépassent, même si ce n’est qu’un petit peu... Portez-vous les Converses pieds nus ou avec des chaussettes ? » Pieds nus 50 % » En chaussettes 46,15 % » Autre 3,85 % Addiction mondiale De un an à soixante-douze ans, chacun doit pouvoir trouver sa paire de Converse et, surtout, doit être tenté de renouveler son stock. Si le pli n'est peut-être pas encore pris chez les seniors, il ne fait pas de doute que les jeunes ont totalement adhéré. " Nous avons des habitués qui viennent, à chaque entrée de saison, s'acheter une ou deux paires et découvrir les nouvelles collections ", raconte François, vendeur chez Sprint à Paris. La Converse se porte même aujourd'hui en costume et plus seulement avec un jean. " C'est une marque qui innove sans cesse en restant toujours elle-même. Elle en devient sympathique ", analyse Stéphane Grimault, directeur général du groupe Royer. Elle ne délaisse pas pour autant le monde du sport et renforce sa présence sous les paniers de basket en produisant des modèles plus techniques, en étroite collaboration avec Nike. Depuis 2003, elle sponsorise l'étoile montante du basket Dwyane Wade. " La chaussure a un siècle et aujourd'hui on la considère comme éternelle ", conclut Jacques Royer. 6 SOCKS People Dans « Prison Break », la série dont il est le héros, on le surnomme « gueule d’ange ». C’est sûr qu’entre son corps fantastique, son métissage et ses yeux clairs, Wentworth Miller ne l’a pas volé. Depuis le début de la série, son personnage fait l’unanimité et déchaîne les passions. Depuis le triomphe de « Prison Break », des rumeurs circulent sur Internet concernant la prétendue homosexualité de Wentworth Miller. Son petit ami serait Luke McFarlane, l’ex boy-friend de T.R. Knight, l’interne George O’Malley de « Grey’s Anatomy ». Les photos où les aperçoit côte à côté dans les rues de Los Angeles ne prouvent rien. Wentworth se défend toujours et encore des accusations concernant ses affinités sexuelles. Selon lui, la principale raison pour laquelle on ne le voit jamais aux côtés d’une femme est qu'il a beaucoup de travail : « Nous travaillons 14 heures par jour, 5 jours par semaine. Ça ne laisse pas beaucoup de place aux rencontres et je n’ai jamais eu beaucoup de chance pour trouver quelqu’un. Mais j’attends avec impatience le moment pour créer une famille ». Pourquoi ce débat prend-il cette ampleur ? Fierté masculine mise à mal devant le succès de l'acteur ou expression de la frustration féminine en face d'un personnage peu communiquant et donc source de tous les fantasmes ? 7 SOCKS Soumis par Nouvelles SOUMISSION Quand un beau-frère laisse trainer baskets et chaussettes, difficile de résister à se délecter des odeurs d’un mec qui vous met sens dessus dessous. Un couple gay entraîne leur pote hétéro dans une partie de sexe pimentée d’une bonne dose de pisse. Un plan chaud et hyper hard entre un rebeu dominateur et un jeune mec prêt à tout pour connaître de nouvelles sensations extrêmes. mon beau-frère J 'habite juste à côté de mon beau-frère et nous sommes assez proches. Comme il travaille la journée je passe chez lui tous les après-midi pour nourrir ses chats et son chien. Depuis des années je suis assez excité à la vue des pieds de mecs. On ne peut pas dire que je sois fétichiste mais j'ai eu quelques expériences. Rien de très hard... En revanche, depuis quelques mois je suis obsédé par les pieds de mon beau-frère Léo. Mon kiff serait de les lui masser. Il y a environ trois mois j'étais chez Léo tout seul, j'avais nourri les bêtes et m'apprêtais à partir. Je passe dans le salon et là, par terre, je vois des chaussettes (celles de Léo). Rien qu'à la vue de ses chaussettes je me suis senti excité. Je me baisse pour les ramasser, un peu gêné. Je ne comprenais pas vraiment mon trouble. Finalement je les touche du bout du doigt et m'en vais. En rentrant chez moi j'étais comme fou, l'idée de sentir ses chaussettes me donnait une trique monstre, je décide donc de retourner chez lui et de satisfaire mon envie. J'ai senti chacune des chaussettes, respirant très fort pour bien avoir l'odeur, je me les suis passées sur le visage puis je me suis branlé dedans en prenant soin de ne pas juter dessus. Les jours ont passé, j'ai continué à faire ça en allant toujours plus loin, fouillant un peu partout dans la maison à la recherche de chaussettes sales ou de chaussures. C'était devenu mon petit rituel. Bref, un jour comme les autres je suis seul chez Léo, ses baskets à la main. Il avait dû aller courir la veille au soir car ses baskets sentent vraiment fort. Je suis au bord de l'orgasme, je commence à me branler en les reniflant, j'ai ma bite à la main et me caresse furieusement. Quand la porte s'ouvre, j'ai ma queue raide et le nez dans les baskets de Léo. Il me fait face, je suis piégé, il me regarde, je sens la honte monter en moi et pas moyen de débander, je me rhabille (j’ai (Suite page 9) 8 SOCKS (Suite de la page 8) lâché les baskets), je bredouille des excuses confuses, il me demande de partir et je m'exécute. Je suis chez moi et je suis complètement flippé. Que va-t-il faire ? Je me dis que je vais devoir sûrement affronter son regard un jour ou l'autre. Je lui téléphone mais ça ne répond pas. J'ai le coeur qui bat, qu’est-ce que je vais faire, je vais passer pour le pervers de base. D eux heures plus tard, on frappe à la porte. Il ne fait pas encore nuit pourtant mais il doit bien être 21h30. J'ouvre : c'est Léo qui est devant moi, il a ses baskets aux pieds, il entre toujours sans parler. Je m’assois sur le canapé, il reste debout devant moi, il me regarde fixement pendant que je lui dis comme je suis désolé, il me demande de me taire et il me dit : « Dis-moi, depuis quand tu fais ça ? » Je lui réponds. « Et ça t’excites ? » me demande Léo. Je suis super mal. « Tu sais que si je répète ça à tout le monde, va falloir que tu déménages ? » Je sais, je lui dis, mais tu feras pas ça ? « T’es qu'un pervers ! Un gros dégueu ! Si tu ne veux pas que je répète à tout le monde que tu te branles en sentant mes baskets tu vas devoir faire des trucs pour moi ». Quoi comme trucs ? Je ne comprends plus rien, il va me faire chanter. « Lève-toi ! m'ordonne mon beaufrère, et fais-moi voir ce tu faisais tout à l'heure ». Il retire une de ses chaussures : « Tiens, renifle ! » Je me mets à bander mais je tente de rester impassible. « Renifle, dépêche-toi ». Je prends sa pompe, me la met sous le nez et inspire. Léo me touche la queue : « ça te plais bien, hein ? Mets-toi à genoux ! ». Je m'exécute, il me tend son pied sans chaussures et je reconnais la chaussette dans laquelle je me suis branlé la première fois. « Enlève-la et sens-la ». Il a maintenant un pied nu, je bande comme un fou. « Embrasse-le ! » et je pose mes lèvres sur le dessus de son pied. Léo me redresse et m'enlève mon 9 pantalon ainsi que mon caleçon. Il enlève son autre chaussure puis sa chaussette, il me caresse le sexe, prend sa chaussette et me l'enfile sur la queue. Là il me serre les couilles pour me remettre à genoux, il s'assoit sur le canapé et dit : « Lèche mes pieds », et je passe ma langue entre ses orteils sur le dessus, sur le dessous, j'ai toujours sa chaussette sur ma bite et je commence à être bouillant, je suis comme envoûté : plus je lèche ses pieds plus je bande, j'en ai mal aux couilles. Léo a passé sa main dans son slip et se masturbe en me regardant sucer ses orteils, il se met debout, il a baissé short et slip de moitié de façon à ce que sa queue soit à l'air libre, il me prend la tête et la colle contre son sexe. « Renifle ça aussi ! ». Je lui fais une fellation bien profonde. Je suis couché sur le dos sur le canapé et Léo me monte sur le visage, ses pieds en direction de ma queue et pendant que je lui lèche le cul, il me branle avec ses pieds et bien vite, il jouit sans se toucher. Moi juste après lui. Léo se relève, remonte son short et part sans dire un mot. Depuis, tous les soirs, je dois l'attendre et l'accueillir en lui retirant ses pompes, masser et baiser ses pieds. Le jeu va de plus en plus loin mais nous n'avons jamais eu de pénétration, seulement des caresses... SOCKS Copain malgré tout A ffalé dans un fauteuil devant la télé, David tirait sa gueule des mauvais jours quand il n’avait pas baisé avec sa copine. Il était pourtant bien excitant et sa barbe de deux jours accentuait sa virilité. Benjamin et moi ne cessions de le parcourir des yeux en nous disant simultanément qu’on en ferait bien notre « quatre heures ». David nous jetait des regards torves. A un moment donné, David se lève pour se diriger vers les toilettes. Sur un coup d’œil complice, nous quittons nos baskets et nos jeans, décidés à le rejoindre avant qu’il n’ait terminé de pisser. Il avait laissé la porte entrouverte et terminait de se secouer la queue. Il n’a pas eu le temps de remonter son slip que nous lui tombions dessus. Expert en judo, Benjamin parvient d’une prise à mettre David à genoux, visage face à la cuvette. - Fous-lui la gueule dans sa pisse, suggérai-je à Benjamin qui s’installa à califourchon sur le buste de David et lui plongea la tête dans la cuvette. David essaya bien de protester mais il y renonça vite, craignant trop d’avaler son urine. J’ai alors l’idée de retirer mes hautes chaussettes blanches. - Trempe-les dans la pisse et fais-lui un bâillon, dis-je à Benjamin. - Tu sais ce que tu veux ? C’est quand même des Reebok, s’étonne-t-il. Au prix où elles sont ! Qu’importe, me dis-je, je suis trop excité à la perspective de donner une bonne leçon à ce petit con qui nous snobe. Benjamin s’exécute et plonge à plusieurs reprises mes chaussettes dans le liquide des toilettes. Puis il se saisit d’une chaussette encore dégoulinante de pisse et la plaque sur la bouche de David avant d’en faire le tour de sa tête. Dans les yeux de David, on peut y lire tout le dégoût que lui inspire l’odeur de la chaussette suintante. Il doit sentir l’urine s’écouler dans sa bouche. Pour un peu, il en dégueulerait. Son estomac est secoué de spasmes. On devrait lui faire nettoyer la chaussette pour avoir oser se présenter à nous le cul barbouillé ! Je me saisis de la deuxième chaussette et commence à fouetter le dos et les fesses de David. La peau rougit sous les coups. La pisse nous éclabousse mais je m’en fous, déterminé que je suis à humilier notre pote. Quand la chaussette est dégorgée, je la passe entre les fesses de David pour humecter son trou et le débarrasser d’éventuelles impuretés. Je parviens à lui écarter la rosette de par mon habileté à la titiller avec la chaussette. Dans ces conditions, je ne suis pas étonné de récupérer sur le coton blanc des traînées brunâtres plus ou moins diluées. J’interpelle Benjamin : - Notre pote n’a pas l’air au top au niveau de l’hygiène, lui fais-je remarqué en brandissant la chaussette maculée. Heureusement que j’ai pensé à lui torcher le cul ! - On devrait lui faire nettoyer la chaussette pour avoir oser se présenter à nous le cul barbouillé ! ricana Benjamin. Je ne sais pas ce qui m’a retenu de lui coller ma chaussette souillée sous le nez. David a dû anticiper ma pensée car il s’agita sous la force de Benjamin et son visage révélait une criante expression de répugnance. J’ai laissé tomber la chaussette à terre… J’avais finalement mieux à faire. (Suite page 11) 10 SOCKS de langue experts il récupéra une nouvelle rasade de crème sous pression. Quand Benjamin se releva, il me colla un baiser au foutre à vous faire pâmer un dieu. Nous sommes partis dans un éclat de rire en voyant nos lèvres barbouillées à la semence de David. (Suite de la page 10) J e me saisis de la croupe de David pour la porter à hauteur de mon sexe bandé et m’introduisis d’un coup sec et sûr, cherchant à aller au plus loin dans son anus perforé. Seuls des râles parvenaient à passer l’écueil de la chaussette bâillon. Je ralentis la cadence de mes va-et-vient pour habituer son trou à la pénétration. A l’évidence, David comprit qu’il ne gagnerait rien à résister à mes assauts sodomites. Autant prendre le plaisir par où il venait, devait-il se dire. Ainsi, quand je sentis son anus s’écarteler naturellement pour laisser passer ma queue, j’ai accéléré mon rentre-dedans. Pendant toute la bourrade, Benjamin maintenait bien fermement la tête de David dans la cuvette en se branlant dans son abondante chevelure blonde. Ses cheveux soyeux rendaient le gland de Benjamin d’une sensibilité redoublée. Je lui conseillai de se contrôler s’il voulait profiter d’un trou chaud que je me m’apprêtais à inonder. Après avoir bien intensément limé le cul de David, je n’en finis plus de décharger. Ma jute partait dans tous les sens, tapissant le boyau d’une couche de crème conséquente. Tandis que je me retirais avec précaution, je conseillais à Benjamin de se tenir prêt à prendre la relève dans le petit trou encore bien ouvert et secrétant une coulée de foutre. 11 Malgré cet épisode humiliant, David est resté notre copain… Il faut dire qu’avec Benjamin et moi, David avait de quoi satisfaire sa soif de sexe en nous enculant régulièrement, ce qui n’était pas pour nous déplaire. Mais il était aussi friand de bites au cul. Dès lors, il a assumé sa bisexualité sans complexe. P.P. Alors que Benjamin prenait son pied en enculant David à fond, je lâchais un jet de pisse chaude sur le haut du dos et dans les cheveux de David. Benjamin préféra se finir sur le visage de David. Déjà prête à exploser, la pine cracha son sperme en un éclair, aspergeant le front et les joues de notre pote. B ons princes, Benjamin et moi décidèrent de nous occuper du membre de David. On lui devait bien cette gâterie. Mais ce n’était plus nécessaire car David avait joui tout seul, sans se toucher : des traces de foutre s’étalaient sur le sol. Mais pour Benjamin, le gland proéminant de David était trop appétissant pour ne pas s’y précipiter comme sur un sucre d’orge. Si bien qu’il l’enfourna et après quelques coups SOCKS Kidnapping d'une salope U n soir, je me faisais chier devant la télé, je dial avec un pote master qui crèche dans une ville près de chez oim et je lui dit que j'ai grave envie d'infliger à un bon bâtard un plan kidnapping, mais que c'était dur à trouver. Lui direct me répond qu’il a ce qu’il me faut. Et il me donne le numéro de Julien, son bâtard. — Tu n'as qu'a lui envoyer un SMS, et tu verras, il kiffe tellement la teub qu’il va débarquer direct ! Je lui envoie illico un SMS bien och : « Wesh crevure ! Moi laskard domi envie d'un bon plan och, RDV chez oim à 23 h et je te démonte le boule ! » Il me répond aussitôt pour dire qu’il est ok et commence à me demander des détails sur le plan. Bien sûr tout ce que je lui raconte est bidon puisque je veux faire un plan kidnapping et que mon pote master m’a certifié qu'il kifferait ce genre de plan. Donc, je le convoque à la porte de mon immeuble à 23 h. Seulement je lui ai fait croire que j’étais à mon appart alors qu'en fait j'étais planqué derrière mon immeuble à l'attendre. Moi suis sapé sweat à capuche, bandana noir sur la gueule, fute de jogging avec mon gun dedans, casquette rabaissée un max et skets. Lui est fringué genre laskard : skets Reebok rouges, fute de jogging noir, tee-shirt et sweat à capuche Airness et casquette Nike de côté. De loin, je distingue une bonne gueule de lopsa, cheveux rasés et collier genre laskard. Je lui envoie un SMS genre « Attends 2 min, je descends t'ouvrir ! ». Après qu’il ait reçu ce SMS, je me pointe et passe mine de rien près de lui. Dès que je me retrouve dans son dos, je le choppe et lui pointe le gun sur la gueule. Inutile de dire qu’il flippe grave. Je le traîne alors dans un local technique abandonné juste à côté de ma porte d'immeuble en lui disant : — Maintenant sale bâtard, t’as intérêt à assurer si tu veux pas que je t'explose ta sale race de tepu !!! Je le fais mettre à genoux et, toujours sous la menace de mon gun, je lui lance d’un ton sec : — Wesh tepu, tu vas me téter le paquet et bien me cleaner mon zgeug pas lavé depuis plus d'une semaine ! Il a capté direct que ma teub était hyper crade et qu’elle daubait un max la pisse, le foutre et la transpiration ! L’odeur de mon zgeug embaumait d'ailleurs tout le local. Il a hésité un instant mais je n’ai eu qu’à lui appuyer un peu plus le gun sur la tempe pour qu’il commence à me le décrasser avec sa langue de tepu ! Putain la salope, elle kiffe ça de bien laper mes skets cradingues et tout en faisant çà, elle essaye même de foutre son nez dans la sket pour sniffer. Mais j’ai vite vu que même s’il flippait à mort, ce bâtard kiffait ça… Perso, j’ai trop kiffé de le voir pris au piège entre la peur et le plaisir qu’il prenait à me sniffer le zob et les couilles. Rien qu’à son regard, je me sentais grave puissant ! Il m’a bien décrassé la bite mais j’ai voulu passer à la vitesse supérieure. Je le plaque alors contre le mur, lui bloque la tête et lui lime la gueule comme un ouf ! Putain, cette pute kiffe trop ça, elle en redemande même ! Elle force pour avancer sa tête et me gober toute la pine. Oh putain le kiff, je suis tombé sur une vraie pute gorge profonde !!! Je le laisse faire. En moins de cinq minutes de limage de gueule, je l’ai rendu réel accro à ma teub de laskard ! Je lui balance alors un putain de mollard sur sa face de tépu en lui disant : — Tu la kiffes ma teub, hein bâtard ?!! Tu kiffes ça, purger du bon zgeug de laskard, sale pute !!! Pour seule réponse, j’ai eu le droit à de vrais gémissements de tepu. Soudain, alors qu’il me tétait grave le zgeug, je me suis aperçu qu'il avait sorti sa bite et se branlait comme un ouf. Grave énervé, je le jette direct au sol et le menace avec mon gun en lui hurlant : — Vas-y tarba ! Essaye encore de te toucher ta sale bite de sous-merde et je t'éclate !!! Il est grave paniqué et alors qu’il est au sol, sur le dos avec la bite à l’air, je commence à lui frapper la bite à coups de TN : la bite, les couilles, les côtes, tout y passe ! — Putain, tu vas grave regretter de t'être touché sans l'accord de ton master, sale fils de pute !!! Il a l’air vraiment terrifié. Malgré la pénombre, je vois qu’il commence limite à chialer. Je kiffe trop lire la peur dans le regard d'une lopsa donc je continue à bien le frapper à coups de skets pour lui faire comprendre le message. Une fois qu’il a eu totalement débandé, je lui ai mis un collier et une chaîne autour du cou puis je lui ai foutu une (Suite page 13) 12 SOCKS (Suite de la page 12) cagoule où y’a juste un trou pour la bouche. Et là, je le traîne jusqu’au coffre de ma caisse garée juste à côté pour changer de lieu parce qu'à force de gémir et de couiner à chaque coup, ça commence à devenir chelou. Je le fous donc sans ménagement dans le coffre en lui disant juste : — Maintenant je vais te promener… Et t’as intérêt à fermer ta gueule pendant le trajet ! Je fais alors le tour de la ville avec ma caisse, accélère dans les virages, pile aux ronds-points, trace sur les dos d'âne, histoire de l'entendre gémir. Et ouais, je suis un véritable enfoiré !!! sur le sol) et je retire une sket pour qu’il sniffe bien l’intérieur. Putain, un vrai clébard !!! Trop accro à mes odeurs, j'ai rien à faire ! Il plaque de lui-même sa face contre ma sox crade puis dans la sket et je l’entends se faire de longs shoots en couinant un max à chaque bouffée !!! J’hallucine ! Pendant 5 à 10 minutes, je l’ai laissé s'extasier dans mes odeurs de laskard. Après quoi j’ai tiré d’un coup sec sur la chaîne qu’il avait autour du cou pour le mettre debout et je l’ai plaqué violemment contre le capot de ma caisse. Je lui ai ensuite scotché une de mes skets bien fumantes sur la gueule avec une sox bien pourrave que j’utilise de temps en temps pour enlever du from ! Il J e le traîne ensuite dans les bois. J'ouvre le coffre et l'éjecte. Evidemment, comme il ne voit rien avec la cagoule, il tombe face contre terre devant moi. Je ne résiste pas à l’envie de lui écraser la gueule sous ma sket. Tout en m'allumant une clope, je lui balance : — Ben maintenant crevure, tu vas t'occuper de mes TN, et PARTOUT !!! Semelle comprise ! Putain la salope, elle kiffe ça de bien laper mes skets cradingues et tout en faisant ça, elle essaye même de foutre son nez dans la sket pour sniffer. — Ah putain, tu sais où trouver les bonnes odeurs de laskard, toi ! Tout en léchant, il fait un signe de la tête pour acquiescer. — Ben, pour l’instant, continue de cleaner mes Rekins, c'est moi qui déciderai de te gazer avec mes bonnes odeurs de ouf ! Je lui ai scotché une de mes skets fumantes sur la gueule avec une sox bien pourrave. Trop bon d’avoir cette tepu à genoux en train de me lécher les skets pendant que moi je suis adossé sur ma caisse en train de fumer une clope. Je m'assois alors sur le siège conducteur (mais de côté afin d’avoir toujours les pieds 13 est devenu dingue, une vraie pute !!! Je l’ai forcé à bien cambrer son cul, j’ai enfilé vite fait une capote et j’ai commencé à le chauffer grave à grands coups de teub sur le cul, tout en frottant mon gland sur sa rondelle ! Visiblement, ça l’excitait grave car ce bâtard n’arrivait pas à se retenir de bander ! Je lui ai ensuite retiré la sket et fourré la gueule avec ma sox puante. Là direct, je l’encule à sec et il hurle sa race. Je lui ai aussitôt refoutu le flingue sur la nuque. — Ta gueule crevure ! Je le pilonne à donf mais cette (Suite page 14) SOCKS (Suite de la page 13) pute aime ça. Elle pousse des gémissements de plaisir du genre : « Encore, encore, continue ! Pètemoi le cul !!! ». Au bout de quelques minutes de pilonnage, je retire le gun de sa tête et sors ma teub de son boule. Puis je rentre à nouveau dans son trou béant que je pilonne comme un vrai bourrin ! Je sens sa chatte s’élargir de plus en plus sous l’effet de la sox parfumée à la transpiration. J’en profite donc pour sortir de mon sac à dos un gode à peu près de la même taille que ma teub. Je le rentre dans son cul à la place de ma teub et ce bâtard ne sent même pas la différence. Pendant qu’il a le gode bien à fond, je lui enfonce d’un coup sec mon chibre dans son fion de pute ! Putain le kiff ! Je le gode et je le pilonne en même temps !!! Je vous dis pas comment il s’agitait, il en a même craché la sox pour pouvoir gueuler de tout son soûl. J’ai dû lui foutre de bonnes baffes pour le faire taire. Mais à force de sentir sa chatte me compresser le zboub, j’ai senti que j’allais pas tarder à balancer la purée alors je lui ai enlevé la cagoule et je l’ai foutu à genoux en lui disant : — Allez tepu, fais-moi une bonne purge que je te repeigne ta face de merde avec mon yop ! Il s’est alors remis à me sucer, mais si mal que j’ai dû lui rebalancer une grande mandale dans la gueule. — Pompe mieux que ça crevure ou je te fume ! Quand j’ai senti le jus monter, je lui ai bloqué fermement la tête et je l’ai yoppé à fond de gorge ! Putain, vous auriez dû voir comment il a kiffé ce bâtard !!! E ntre-temps, ce bâtard s’était touché la teub sans mon accord et avait yopé ! J’ai fait semblant de rien voir jusqu’à ce que je me vide mais sitôt la dernière giclée sortie de mon zgeug, je l’ai violemment saisi par le col. — Espèce de bâtard ! Tu oses te toucher et gicler pendant que tu me purges, crevure ?!!! Je te l'avais interdit !!! Tu vas le regretter !!! Je lui ai fait lécher son foutre partout sur le sol et une fois les traces nettoyées, je l’ai foutu à genoux mains sur la tête, dos à moi, le gun plaqué sur sa tête. — Maintenant, tu vas crever espèce de déchet ! Quand il m’a entendu armer le flingue, le mec a commencé à chialer et à me supplier. Il a même tellement flippé qu’il en a pissé dans son froc ! J’ai alors appuyé froidement sur la gâchette mais bien sûr rien ne s’est produit. Pendant tout le plan, ce bâtard n’avait même pas tilté qu’il ne s’agissait en fait que d’un vulgaire pistolet à billes, tout à fait inoffensif ! Je lui ai alors balancé deux-trois mollards sur sa face de tepu et je me suis cassé sans un mot en le laissant baigner dans sa pisse… Teknoman 14