Les radicauxau cœur du débat.
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Les radicauxau cœur du débat.
C’EST MALTE PARTI. “L’UMP a reconnecté ses fils politiques avec ceux du gaullisme, de la résistance et de la victoire de 1945 ; elle ne confond pas l’Histoire qui nous éclaire et la repentance qui nous enterre”. Dès son élection, le président a illustré ce magnifique propos d’un de ses soutiens. Le 8 mai, pour la fête de la victoire, il était en vacances à l’étranger d’où il est revenu le 10 pour célébrer la commémoration de l’abolition de l’esclavage, date choisie en référence au vote de la loi Taubira reconnaissant l’esclavage comme un crime contre l’Humanité. SINCÉRITÉ BIS. Les arguments de campagne du candidat de l’UMP ont été repris de manière assidue par les militants. Immigration zéro... puis immigration choisie. Puis, dans La Montagne, la grosse ficelle anti-fonctionnaires récitée comme à la parade par un jeune militant de Bellerive-sur-Allier qui, après sciences-po, vient, avec succès, de jeter son dévolu sur... le concours des impôts. C’est pas des fonctionnaires ? PAR ICI LA SORTIE. Claude Malhuret se referait bien une virginité pour aborder le scrutin législatif. Faussement naïf, il se dit victime d’un déficit de notoriété et fustige Gérard Charasse, “le candidat sortant”. Réponse d’un administré fâché : il a un toupet incroyable ; on a l’impression qu’il tombe de la dernière pluie alors qu’il a été battu deux fois. Lui c’est le candidat “sorti”. SUCCÈS AllieRépublique n°122, tiré à 42.000 exemplaires a été un vrai succès. Diffusé dans toute la circonscription il a permis aux habitants du Sud-Allier de mesurer le travail effectué par Gérard Charasse et de le comparer avec le projet du candidat de l’UMP qui, à cinq semaines du scrutin, a envoyé aux électeurs... sa photo. TOURNÉE. Gérard Charasse et Michel Marien ont entamé leur tournée des cinquante-etune communes de la circonscription. Ce sera, pour le député, la deuxième tournée de l’année puisque depuis cinq ans, à la coupure d’hiver, il se rend dans les cantons où il tient des permanences dans les mairies. L’ANCIEN VEXÉ Courroux de Valéry Giscard d’Estaing en entendant les commentaires de Sarkozy sur le score “historique” (31,18%) et “jamais vu sous la Ve République“. L’ancien président de la République fait remarquer qu’au premier tour de l’élection de 1974, face à François Mitterrand, il avait rallié 32,6% des suffrages. Réplique du camp Sarkozy : “on a eu 11,3 millions de vois, VGE 8 millions. Réplique de l’entourage de l’Ex :“oui mais le corps électoral a augmenté”. Passionnant, non ? QUI CONNAÎT ? Eric Besson a suscité un malaise jusque dans les rangs de l’UMP en ralliant Nicolas Sarkozy avec une rare promptitude. L’ancien secrétaire national du PS aux questions économiques a dénoncé l’entreprise de diabolisation de Sarkozy menée par l’équipe de Ségolène Royal et... lui-même. Il a même conclu par « Forza Nicolas ! ». Dans AllieRépublique, on ne citera plus Eric Beçon. ALLIERÉPUBLIQUE est le journal bimensuel de la fédération de l’Allier du Parti radical de Gauche, 72, rue de Paris à VICHY (03200) Directeur de la publication : Guy Coquet • Rédaction : Christophe Pommeray avec Essa Meuk • ISSN : 16316827 • Commission paritaire : 0905P11439 • IPNS à 1.000 ex.• Dépôts légal et juridique à parution • En ligne : www.charasse.net (ISSN : 1636-1814) 123 12 MAI 2007 JOURNAL BIMENSUEL DE LA FÉDÉRATION DE LʼALLIER DU PARTI RADICAL DE GAUCHE • 0,50€ APRÈS LE DEUXIÈME TOUR DES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES ÉDITORIAL Les La bonne question. radicaux au cœur du débat. Taux de participation en hausse et écart significatif entre les deux candidats : la légitimité du nouveau président de la République est simplement indiscutable. Quant à la gauche, qui de l’avis de tous, n’a pas démérité lorsqu’elle était au pouvoir, elle va devoir s’interroger sur cette drôle de séquence : trois défaites consécutives à l’élection présidentielle... sieurs livres, c’est une difficulté de ligne politique que laisse transparaître cette campagne. Si la gauche n’en tire pas les conséquences, après trois échecs successifs aux présidentielles, elle continuera de perdre. Son avenir sera alors celui d’une lente et irréversible marginalisation. Le défi peut se résumer à celui que s’était lancé François Mitterrand : chercher l’équilibre entre la conviction et la responsabilité... et le trouver. Mais nos temps ne peuvent plus se contenter de l’aggiornamento des congrès socialistes du début Équipe ramassée, efficace, oui mais entravée certainement. des années 80 lorsque Delors et Mauroy vainquaient l’inflation cependant qu’à Valence, un Car si le candidat conservateur a été d’une re- orateur, dès après surnommé Robespaul, annondoutable efficacité en matière de marketing et çait que des “têtes [allaient] tomber” ! si certains ne découvrent qu’aujourd’hui que le “ Ministre des banlieues au kärcher ” rapport du discours aux actes est “malte parti”, le score consacre aussi une défaite. Et pas seulement, comme on l’entend murmurer, celle de Nos temps ne peuvent plus se contenter de Ségolène Royal. Nous étions même soulagés, ces ambiguïtés pour deux raisons principales. dimanche soir, après l’annonce d’une prise de D’abord l’information circule. Impossible de parole dès après 20 heures, de ne pas l’entendre dire une chose et son contraire suivant l’interlodire “j’assume pleinement la responsabilité de cuteur : Rachida Dati, conseillère du candidat cet échec et j’en tire les conclusions en me reti- UMP, se lâchant au Lutétia en annonçant, pour rant de la vie politique”... Car Ségolène a mené rire, qu’elle brigue le maroquin de ministre des sa barque comme elle a pu. Équipe ramassée, banlieues au kärcher, est immédiatement en liefficace, oui mais entravée certainement. Et da- gne sur internet comme François Hollande avec vantage que les problèmes de personnes voire son aveu de désamour pour les riches. Ensuite, personnels, comme l’évoquent désormais plu- pas question de raconter des sornettes. Les u En 1981, c’est la gauche qui a remis l’alternance au cœur du système démocratique français avec la victoire de François Mitterrand après vingt-trois années de pouvoir conservateur. Aujourd’hui, cette même famille politique, ultra-majoritaire dans les régions et qui, depuis vingt ans, est la mieux élue au Parlement, vient de perdre une bataille capitale, celle de la clé de voûte de nos institutions. par CHRISTOPHE POMMERAY L a bonne question. Je tiens ça d’un journaliste, fin connaisseur des questions politiques et électorales qui répétait toujours après victoires comme après défaites : “l’important, c’est de se poser la bonne question”. Tiens, par exemple, pourquoi la gauche avait-elle gagné en 1997 ? Emportée dès après le scrutin par l’aventure de la gauche plurielle — déjà un morceau de réponse — la famille réformiste n’a même pas posé l’interrogation en 2002 lorsqu’il fallait choisir une stratégie pour vaincre aux présidentielles. Pire, ce qui avait fait son succès, l’agglomération de toutes les forces à gauche derrière le candidat socialiste, fut vite oublié. Dès décembre 2000 à vrai dire où, si l’on en croit les bonnes feuilles d’un ouvrage à sortir sur cette période “aérienne”, la majorité de la majorité s’impose et plus que ça. Ce qui donne dans la bouche d’un parlementaire radical cette phrase étonnante couchée dans un compte-rendu à quinze mois de l’élimination de Lionel Jospin : “c’est un coup de canif dans le pacte de majorité et c’est assurément nous faire emprunter un chemin qui n’est ni bon pour la France ni bon pour la gauche plurielle. Cette méthode n’aura qu’une réponse : la multiplicité des candidatures à gauche en 2002 et quinze jours d’entre deux tours pour rassembler quinze mois de dispersion ne seront pas suffisants”. Mais en 2002, quelle était la question ? Sans doute de savoir avec qui la gauche allait construire des majorités... si de ce côté là de l’échiquier politique, l’envie était toujours de gouverner. Mais malgré les suppliques, pas de réponse. Et c’est lundi 23 avril dernier que, sur les écrans, nous avons vu plusieurs ténor se poser la question... de 2002 mais plus crûment puisque quinze jours pour construire une réponse qui l’emporte dans les urnes, ça fait court. Alors, dans les années à venir, c’est cette question que le camp réformiste va devoir poser et se poser. En leur temps, de grands ancêtres, malheureusement souvent cités par le président de la République élu, avaient fait ce choix en distinguant dans leurs programmes et dans le vocabulaire de l’époque, “le capitulaire et le casuel” comprenez l’indiscutable et le discutable. La frontière n’était pas dite, affaire de négociation, mais au moins, chacun allait vers l’autre avec en tête l’idée qu’il faudrait parler, discuter, expliquer et construire. C’est sans doute ce chemin-là que nous aurons à faire. Mais avant, oui, se poser la bonne question. AllieRépublique • Journal bimensuel de la Fédération départementale du Parti Radical de Gauche • n°123 • samedi 12 mai 2007 • page 1 chiffres du chômage, un peu trafiqués par le gouvernement, ont été vite démentis. L’école de la République a fait son œuvre : le doute méthodique existe, pas assez mais tout de même. u La machine à fabriquer de la croissance économique et du progrès social. Cela veut dire que la gauche française ne doit plus avoir besoin d’aller puiser son programme dans la rhétorique pseudomarxiste, avant de la combiner tant bien que mal avec les exigences des responsabilités gouvernementales. C’est finalement cela qui entrave la grande famille de gauche lorsqu’elle commence à dessiner avec plus de talent que les conservateurs, presque tout le monde en convient, un projet efficace et négocié de remise en route de la machine à fabriquer de la croissance économique et du progrès social. C’est cela que dit une bonne partie de 18,5% des électeurs, des jeunes par exemple mais aussi les “primo-votants” selon l’expression sondagière. Ceux-là qui ne veulent pas se sentir responsables d’un autre 21 avril, sont allés aux urnes en se grattant la tête, sûrs de leur envie de réforme, sûrs de leurs convictions solidaristes où Ségolène Royal a su marquer sa différence et sa modernité mais interloqués par le langage économique et social de la gauche qui semblait jouer l’immobilisme et le refus des réformes, alors qu’elle porte en elle tous les ressorts de l’ingénierie sociale de la modernisation négociée. Prendre en compte le déploiement de la mondialisation, le développement de l’économie de service et la transformation des Etats Providence Il ne s’agit pas pour la gauche de faire, comme on l’a beaucoup dit, son « Bad Godesberg » mais de prendre en compte, comme l’ont fait les radicaux dans leur programme de Rennes, l’histoire immédiate, celle du déploiement de la mondialisation, du développement de l’économie de service ou de la transformation des Etats Providence et finalement tout faire pour accélérer la croissance équitable, objectif qui n’est pas, aujourd’hui, celui de la droite présidentielle. Pour cela, il faut oser. Oser dire, comme nous l’avons fait dans le programme radical que la croissance des TPE et des PME est déterminante pour l’avenir de l’emploi comme l’est la modu- MÉMOIRE Christophe Pommeray a participé, le 11 mars, à un colloque organisé à Avermes sur le programme du Conseil national de la Résistance. Jacques de Chabannes, Gérard Charasse, Jean-Philippe Vernet et Guy Coquet parmi les cinquante militants ayant assisté au débat Royal-Sarkozy. lation de la rémunération et du coût du travail le moins qualifié. C’est aussi rappeler l’importance capitale de la formation et de la recherche qu’il faut déconcentrer. C’est également oser dire que oui, il faut mieux accompagner et protéger ceux qui perdent leur emploi mais sans empêcher la mobilité sans laquelle l’économie ne peut réussir et en mettant en place un revenu universel de solidarité active qui incite les plus démunis à aller vers le travail au lieu de les en dissuader. C’est encore redire la nécessité d’une démocratie sociale réelle qui vive dans un monde économique où la confiance des Français dans la déontologie de leurs dirigeants d’entreprise serait refondée par la fixation de règles de comportement. C’est aussi régler cette question de l’endettement et pourquoi pas d’appliquer à la France la règle de l’équilibre que l’on applique aux collectivités. C’est encore réformer les institutions pour les moderniser et enfin réécrire un projet européen mais avec tous les Français. Ces lignes, extraites du programme radical de gauche, on ne voit pas qu’elles fassent clivage avec les voisins, tous les voisins de la gauche radicale et socialiste. Elles se démarquent, pour sûr, de la contre-révolution libérale vendue avec succès par l’UMP aux élections présidentielles. C’est entre ces deux familles que s’établit désormais la ligne de partage. Ça irait mieux en le disant. ESSA MEUK L’histoire, déjà. Les maisons d’édition sortent dès cette semaine les premiers livres sur la victoire de Nicolas Sarkozy. Dès le 9 mai, les éditions de l’Archipel publient Nicolas Sarkozy, De Neuilly à l’Elysée par les journalistes Bruno Jeudy journaliste au Figaro et Ludovic Vigogne reporter au Parisien. Tiré à 25.000 exemplaires, cet ouvrage fait le portrait du nouveau président et retrace les instants clés de la campagne. Quant à la perdante, Ségolène Royal, son itinéraire sera relaté dans un livre publié fin juin par les mêmes éditions sous le titre Chroniques d’une défaite. Autres championnes de la rapidité, les éditions First annoncent pour le 10 mai un Président, Histoire secrète d’une élection signé Philippe Reinhard, énarque et journaliste politique qui avait déjà rédigé, pour la même maison, un alerte Politique pour les nuls. Tragédie classique, Histoire secrète d’une élection se déroulera en trois actes : acte I, les luttes intestines qui opposèrent les candidats au sein de l’UMP et du PS, acte II, la bataille du premier tour, acte III, la victoire finale et ses raisons. Ebullition aussi au Seuil : parution le 10 mai de Le président s’engage ainsi détaillé par le revue Livres hebdo : “Le nouveau président de la République française répond noir sur blanc aux 365 questions que lui posent les Français et s’engage à appliquer ce programme”. Quels sont les Français posant ces questions et quand le (la) chef de l’Etat fraîchement élu a-t-il (a-t-elle) eu le temps d’y répondre ? Mystère ... Le même éditeur publie les “Carnets de campagne” de la journaliste Ghislaine Ottenheimer, qui tentera de décrypter les clés de la victoire présidentielle à partir de la campagne électorale. Avec plus de recul (parutions prévues en juin), d’autres se veulent tout aussi alléchants : ancien du Monde, Daniel Carton dévoilera (le 1er juin en principe) Une campagne off : chronique interdite de la course à l’Elysée chez Albin Michel. Ancien de Libé, Jean-Michel Helvig publie, lui, chez Laffont un Petit bêtisier raisonné de la campagne 2007. Enfin, prévu en juin aux éditions du Moment : Au plus près du président, les images de la campagne, par Michaël Darmon de France 2, Carl Meeus du Point, Elodie Grégoire, photographe qui suit Nicolas Sarkozy et JeanLuc Luyssen, photographe qui suit Ségolène Royal. Sans doute plus saignant, le strauss-kahnien Jean-Christophe Cambadélis dressera chez Plon L’inventaire d’une présidentielle, prétexte à éclairer d’un jour nouveau les relations (politiques...) Hollande-Royal. Toujours chez Plon, avec l’humour que lui connaissent les lecteurs du Journal du Dimanche, Michèle Stouvenot publiera son Journal d’une curée de campagne rela- C RÉPUBLICAINS : les habitants de Saint-Pierre-Laval ont voté à 91,8% offrant au sud-Allier un record de participation. Ils coiffent sur le poteau, les communes de Cognat-Lyonne (91,1%), de Serbannes (90,3%) et du Vernet (90,2). tant coups bas et complots ourdis au sein de chaque parti. Enfin, cette élection déliera aussi les langues sur le sujet Jacques Chirac. En particulier celle de Charles Pasqua qui publie mi-mai au Seuil un très attendu “Ce que je sais”. Avalanche éditoriale dans les prochains mois : • “Victoire” (éditions de l’Archipel) • “Président(e), Histoire secrète d’une élection” Philippe Reinhard (First) • “Le président s’engage” (Seuil) • “Carnets de campagne” Ghislaine Ottenheimer (Seuil) • “Une campagne off” : chronique interdite de la course à l’Elysée Daniel Carton (Albin Michel) • “Petit bêtisier raisonné de la campagne 2007”Jean-Michel Helvig (Laffont) • “L’inventaire d’une présidentielle” JeanChristophe Cambadélis (Laffont) • “Journal d’une curée de campagne” Michèle Stouvenot (Plon) • “Ce que je sais” Charles Pasqua (Seuil) D PAS RÉPUBLICAIN : le vote électronique..., qui, selon la Place Beauvau, a des ratés qui ne sont pas susceptibles d’altérer la sincérité du scrutin présidentiel. Mais ils ont été assez nombreux pour entretenir la méfiance justifiée de l’opinion. Un exemple : à Reims, un écart de 48 voix a été constaté entre les listes d’émargement et le nombre de votants indiqué par la machine. VOEUX Loan est né chez Guillaume Marien et Bénédicte Danais, les enfants respectifs de Michel et Dominique Marien et de Béatrix Danais. Les radicaux de l’Allier félicitent les grands-parents et les parents de l’heureux bébé qui rejoint sa grande sœur, Malia et sa cousine Lou à laquelle, en passant, tous les radicaux font un énaurme bisou. Courrier DROIT DE RÉPONSE François Szypula, “Vice-Président du Conseil Général chargé de l’Insertion Professionnelle et du Logement, Maire d’Arronnes et Conseiller Général du canton du Mayetde-Montagne” s’est fendu d’une lettre recommandée en réponse à une brève parue dans AllieRépublique n°121. Il souhaite préciser qu’il “n’est le porteparole de personne, [...] qu’il n’adhère à aucun parti politique” alors que nous l’avions affublé, dans nos colonnes, d’un soutien patent et public à Nicolas Sarkozy. Le maire d’Aronnes qui est aussi président de l’office HLM a tenu “à féliciter les élus, le directeur et l’ensemble du personnel pour les efforts engagés” — nous aussi d’ailleurs — sans démentir toute fois notre information selon laquelle il avait séché, le 3 mars, une réunion de l’Association des maires ruraux sur l’habitat (présidée par Dominique Bidet, conseiller général d’opposition) alors que sa présence était annoncée sur le carton d’invitation. Le président des HLM, attaqué sur le sujet, avait écrit à son propre directeur avant de rendre publique sa réponse avec une nouvelle règle qui valait son pesant d’or : l’office n’assistera “à aucune réunion publique dont l’un des thermes (sic) serait le logement”. Concernant ce point précis, le président nous indique qu’il a réagi “comme il se doit”. Nous n’en doutions pas un instant. AllieRépublique • Journal bimensuel de la Fédération départementale du Parti Radical de Gauche • n°123 • samedi 12 mai 2007 • page 2