Novembre 2012 - Franconville

Transcription

Le JoURnAL
FRANCONVILLE
ville-franconville.fr
novembre
2012 - n°184
Vous souhaitez être
présent sur ce support
Le journal de Franconville est diffusé
à 16 500 exemplaires dans toutes
les boîtes aux lettres de Franconville
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régie habilitée par la mairie
de Franconville à prospecter
pour ce support.
ÉDItO
Francis Delattre
Maire de Franconville
Sénateur du Val-d’Oise
Francis Delattre reçoit en mairie sur
rendez-vous et en permanence libre le
dernier vendredi du mois à partir de 16h.
L
es Franconvillois ont la chance d’avoir près de chez eux un cinéma généraliste qui doit
sa réputation à la qualité de sa programmation. Dans ce domaine la diversité est la règle
d’or en vue de satisfaire des publics différents. Depuis trente-trois ans, la ville suit et soutient
le travail de l’association qui gère cet établissement avec le souci de la qualité et de
l’accessibilité, voire du confort des spectateurs. Il y a trois ans, tous les fauteuils de la salle ont
été changés. Un précédent investissement a été réalisé en 2001, à savoir l’installation du son
numérique haute définition accompagné du changement des deux écrans.
Pilier de la vie culturelle, notre cinéma doit par ailleurs s’adapter et adapter ses équipements
à l’évolution technologique. Le numérique a fait ces dernières années une percée triomphale
dans toutes les professions de l’image et du son. Cette année, la municipalité a attribué à
l’association Ciné Henri Langlois une subvention exceptionnelle afin d’installer le numérique
au niveau des cabines de projection. La dépense inscrite au budget de la ville s’est élevé à
60 000 €. Notre participation à ce projet financé en grande partie par une subvention spéciale
du Centre national de la Cinématographie et de l’image (CNC) s’explique par notre volonté de
parachever la modernisation de cet équipement en lui permettant notamment de diffuser des
films en « 3 D » (trois dimensions). Et tant mieux si cette nouvelle offre de films permet
d’attirer plus de jeunes devant le grand écran ! Avec l’installation cet été des équipements
numériques, fêtée le mois dernier par la projection en avant-première nationale et en 3 D du
film « Astérix et Obélix au service de sa majesté », une étape décisive de la modernisation est
réalisée. Elle illustre la valeur de ce cinéma qui tire sa force d’une relation appuyée et durable
(33 ans !) avec le public franconvillois et la municipalité.
en une
La petite
enfance :
un grand
service public
10-13
4
ACTUALITÉS
5
ACTUALITÉS
6
ACTUALITÉS
7
ACTUALITÉS
8
initiatives
14
ce Mois-ci
15
RENCONTRE AVEC…
Aurélie Cabrel, à suivre…
Patrick Dupond et Leïla Da Rocha, à l’Espace Saint-Exupéry
16 à l’affIchE
Saison culturelle 2012-2013
18
ce mois-ci
19
côté sports
Travaux de ville
| Cinéma | Médiathèque | École de Musique
Un Paris-Londres à vélo au temps des J.O.
Vidéo-protection : des résultats probants
Astérix inaugure la « 3D » au Ciné Henri Langlois
Comprendre la fiscalité locale directe
SOMMAIRE
NOUVEAU ! Le Jardin des glaces est ouvert à la patinoire
Multisports : le monde des sports se découvre
20 PRENEZ NOTE
21 la vie eN ville
22 service pratique/faire-part
23 tribune lIbrE
24 DÉCOUVERTE
« Voyages pour tous » a soufflé ses 20 bougies
Le Billard Club et ses succès
9
initiatives
La Médiathèque joue la carte de l’auto-formation en ligne
A la Médiathèque… « Les auteurs franconvillois se livrent »
25 DISPARITION
10
En une
25-27
La petite enfance : un grand service public
Directeur de la publication : Francis Delattre
Rédactrice en chef : Sophie Chergui
Rédaction/Photos/Illustrations/service communication :
Michel Philip, Anthony Vivien, Philippe Boucaux
Disparition d’un Franconvillois dévoué à la France
Conception, maquette, compogravure :
Conseil Graphique, Colombelles, CG0360
Régie publicitaire : Conseil Graphique/02 31 35 48 78
Impression : Corlet Imprimeur, Condé-sur-Noireau
en imagEs…
Imprimé sur du papier
écologique avec
des encres végétales.
Tiré à 16500 exemplaires
Actualités
TRAVAUX
de
Franconville le journal n° 184 novembre 2012
4
Conseil municipal
du 25 octobre
Essentiellement des délibérations relatives
aux travaux de réhabilitation dans les écoles :
QUESTION N° 9
OBJET : MARCHE N° 12BA065 - REHABILITATION ET EXTENSION DU BATIMENT DEMIPENSION ET DU CENTRE DE LOISIRS
MATERNEL AU GROUPE SCOLAIRE JULES
FERRY - ATTRIBUTION DES MARCHES
Lancée sous forme de procédure adaptée
avec publicités le 10 août 2012, cette consultation est allotie comme suit :
➜ Lot n°1 « CORPS D’ETAT ARCHITECTURAUX : démolition, gros œuvre – maçonnerie, plâtrerie-isolation, menuiseries
extérieures, menuiseries intérieures, carrelage – revêtements muraux, peinture,
sols souples, serrurerie – métallerie »
➜ L ot n°2 « ELECTRICITE COURANTS
FORTS – COURANTS FAIBLES »
➜ Lot n°3 « CHAUFFAGE – VENTILATION –
PLOMBERIE ».
QUESTION N° 10
OBJET : MARCHÉ N° 12BA066 - CONSTRUCTION D’UNE ECOLE MATERNELLE DE 6
CLASSES AU GROUPE SCOLAIRE CARNOT ATTRIBUTION DES MARCHES
Lancée sous forme de procédure adaptée
avec publicités le 3 août 2012, cette consultation est allotie comme suit :
➜ Lot 1 : VOIRIE ET RESEAUX DIVERS - GROS
OEUVRE
➜ Lot 2 : OSSATURE BOIS - BARDAGE - COUVERTURE - ETANCHEITE – MENUISERIES
EXTERIEURES ALUMINIUM
➜ Lot 3 : SERRURERIE
➜ Lot 4 : CLOISONS - DOUBLAGES - PLAFONDS - MENUISERIES INTERIEURES
➜ Lot 5 : ELECTRICITE COURANTS FORTS
ET FAIBLES
➜ Lot 6 : CHAUFFAGE - VENTILATION PLOMBERIE - SANITAIRE
➜ Lot 7 : REVETEMENTS DE SOLS SOUPLES
- PEINTURE - CARRELAGE - FAIENCE
➜ Lot 8 : AGENCEMENT
➜ Lot 9 : ASCENSEUR
ville
Scolaire
Il s’agit pour la ville d’un secteur prioritaire d’investissement comme le démontre
encore cette année un important programme concernant
plusieurs sites scolaires et
soutenu par le Conseil général
du Val-d’Oise. Les travaux de
réfection de la cour de l’école
Ferdinand Buisson ont été réalisés cet été, ainsi que la réfection de la toiture du centre de
loisirs maternels (CLM) des
Quatre Noyers. Deux chantiers
Réhabilitation des cuisines du groupe scolaire Carnot
importants suivent à l’école
Carnot et à l’école Jules Ferry.
A l’école Carnot, l’office provisoire installé le temps de l’achèvement des travaux de réhabilitation de la cantine doit disparaître lors des vacances de la Toussaint. Deux programmes sont à
réaliser prochainement : la réhabilitation et l’extension du CLM (1 million d’euros hors taxes) et
la construction de l’école maternelle (2 million d’euros hors taxes). La réhabilitation et l’extension du CLM comprend la création de nouveaux locaux pour le CLM (environ 140 m2) et le réaménagement de la zone réfectoire. Ces travaux doivent démarrer fin 2012, début 2013.
Le gros du chantier est la construction de l’école maternelle de 6 classes dont l’objectif est une
ouverture à la rentrée 2013.
A l’école Jules Ferry, des travaux en partie similaires à ceux de Carnot sont entrepris, notamment au niveau de l’office (réhabilité cet été) et du CLM également promis à une réhabilitation
complète d’ici l’été 2013. Cette opération sera précédée d’une installation de bungalows provisoires. Ces travaux sont estimés à 850 000 € hors taxes.
A la maternelle Fontaine Bertin 1, les travaux ont commencé dès l’été et vont se poursuivre aux
vacances de la Toussaint.
Voirie
Les importants travaux de réaménagement de voirie accompagnant des travaux d’assainissement subventionnés par le Conseil général du Val-d’Oise se poursuivent rue de la Station. Cette
nouvelle phase programmée après les travaux sur le réseau — entre le boulevard du Bel Air et la
rue Jean Jaurès — prévoit la reprise de la chaussée et des trottoirs sur ce même tronçon.
Attention : ces travaux occasionneront
une fermeture temporaire de la rue. Les
automobilistes seront informés de l’itinéraire à emprunter par les rues adjacentes.
La rue Henri Barbusse va également
connaître des travaux de réfection d’ici la
fin de l’année. D’autres travaux d’aménagements cyclables et de limitation de
vitesse sont ensuite prévus rue de la
Côte Rôtie.
actualités
vidéo-protection
des
RÉSULTATS
PROBANTS
L
81 interpellations
En 10 mois d’activité, de février à fin décembre 2011, le CSU a sollicité 440 fois les forces de l’ordre ou les services de secours
(sapeurs-pompiers). Dans 10% des cas, il s’agissait d’atteintes aux
biens, 46% d’atteintes aux personnes et 44% des cas de mendicité
agressive, divagation d’animaux dangereux, dépôt d’immondices,
stationnements gênants, rodéos de véhicules…
Sur la période, 81 interpellations (flagrant délit) ont pu être effectuées. Effet dissuasif des caméras qui éloigneraient les bandes ou
hasard inexpliqué : depuis le début de l’année 2012, le nombre d’interpellations est en diminution dans certains secteurs.
Les images vidéo, encore appelées images dynamiques, sont considérées aujourd’hui comme des éléments déterminants dans une
enquête. A ce jour le CSU a répondu à 328 demandes de relecture
dont 102 « positives » c’est-à-dire retenues dans une procédure.
Réquisitions judiciaires
en hausse
Effet préventif
La vidéo-protection est un outil efficace de prévention et de dissuasion. L’avantage des caméras est de pouvoir repérer et suivre à
l’écran, d’une caméra à l’autre, d’un secteur de la ville à l’autre, les
parcours d’individus aux intentions douteuses ou de groupes plus ou
moins agités. Dès qu’un événement survient sur un écran, les forces
de l’ordre sont averties immédiatement et peuvent intervenir avant
que le délit n’ait pu être commis. La prévention due à la vidéo-protection empêche ainsi les délits de se commettre et de faire des victimes
supplémentaires. Sur 20 mois de fonctionnement du CSU, il est trop
tôt pour quantifier avec précision l’impact durable de la vidéo-protection sur la délinquance de proximité dans notre secteur. En tout cas, il
s’agit d’un outil qui sans nul doute facilite les interventions et les
enquêtes comme l’atteste l’augmentation des demandes de relecture.
Force de détection de la délinquance de voie publique, le CSU en éveil
permanent avec ses quatorze opérateurs travaille en collaboration
avec tous les services de police. Il possède une ligne directe avec le
commissariat qui peut saisir ou récupérer en temps réel sur les
images captées sur un des écrans du centre de surveillance.
65 réquisitions judiciaires pour exploitation des images dans une
procédure (suites pénales) ont été demandées par les services de
police en 2011. Selon les lois très pointilleuses sur le sujet, aucun
citoyen lambda ne peut avoir accès aux images enregistrées par
les caméras installées sur la voie publique. Seul un officier de
police judiciaire (OPJ) agissant dans le cadre d’une procédure
pénale peut demander au CSU l’extraction des images pour les
visionner. Comme le déclare Christian Le Roux, l’élu chargé de la
Sécurité : « Après un délit, un vol avec violence par exemple, des
« gens » nous demandent de voir les images pour identifier les
délinquants. Il n’est pas possible de leur montrer. La loi est très
stricte. Il importe par conséquent de déposer plainte ou de signer
une main courante pour que la police nous appelle afin de saisir et
exploiter rapidement les images. »
Permanence Sécurité en mairie :
un samedi par mois
La sécurité est l’affaire de tous et un bien commun à préserver absolument. Chaque citoyen, témoin d’une situation anormale ou victime
d’un délit doit en informer immédiatement la police. Les citoyens qui ont des doléances à formuler peuvent s’adresser à la permanence sécurité ouverte en Mairie, une fois par mois, le samedi de 10h à 12h. Les prochaines dates sont : le 17 novembre et le 8 décembre.
➜P
rendre rendez-vous auprès de Claude Bader, chargé de mission Sécurité, au 01 39 32 66 39
5
e centre de supervision urbain (CSU) qui gère les images des caméras installées en ville fonctionne depuis vingt mois. Le dispositif compte à ce jour
une trentaine de caméras et fonctionne tous les jours 24h/24 365 jours par an. La vidéo-protection confirme jour après jour son efficacité (contre la
délinquance de voie publique) comme en témoignent quelques résultats rendant compte de l’activité opérationnelle du CSU Franconville-Sannois depuis un an bientôt. L’augmentation des demandes de relecture des images vidéo par les services de police ou les magistrats confirme l’intérêt du dispositif.
Actualités
astérix inaugure
la
6
« 3D » au
CINÉ Henri Langlois
D
epuis le 5 septembre les deux cabines de projection du Ciné Henri Langlois fonctionnent en numérique. Le film en 3D
« Astérix et Obélix au service de sa majesté » sorti le 17 octobre sur les écrans français a été projeté en avant-première le
7 octobre avant de rester trois semaines à l’affiche. D’autres films en 3D seront projetés durant la saison.
Interview : Francis Cottin, Président de l’association Ciné Henri Langlois
Que va apporter le numérique
selon vous ? Le numérique offre la possibilité de faire
évoluer la programmation. Pour nous la 3D
est un moyen de gagner une nouvelle clientèle, les adolescents et les jeunes adultes,
qui ont une préférence pour les multiplexes.
Astérix a été un test concluant. Il se poursuit.
Pas de vision en 3D pour le spectateur sans
lunette spéciale. Nous louons le matériel
à un fabricant. Nous avons choisi le système « actif » avec des lunettes à cristaux
liquides qui répondent à un signal émis par
un émetteur infrarouge branché sur le système de projection. Cet émetteur infrarouge
active un système alterné d’occultation œilgauche/œil-droit synchronisé avec l’image.
Le système oscille plus de 100 fois par seconde et c’est le cerveau qui reconstitue les
images en 3 dimensions.
via la taxe TSA (prélevée sur chaque entrée
et que paient tous les cinémas) et la subvention du Conseil régional d’Ile-de-France
que nous devrions recevoir bientôt. Notre
budget global pour cette opération était de
200 000 €. La ville, quant à elle, permet
depuis des années à l’Association d’exister
et de poursuivre son activité par son soutien
financier car les recettes ne sont jamais à la
hauteur des dépenses obligatoires.
Y-a-t-il eu des travaux annexes ?
Il a fallu aussi refaire la climatisation des cabines et la ventilation car ces équipements
informatiques ne supportent pas la chaleur.
Ces travaux, réalisés au mois d’août avec
l’aide précieuse des services Techniques de
«
Nous avons prévu, pour ces films en 3D d’augmenter le tarif d’entrée de 2,00 €, la location
des films 3D étant plus chère. Une association ne peut pas faire de bénéfice mais elle a
pour responsabilité d’équilibrer ses comptes.
Sachez que dans les multiplexes parisiens
l’augmentation varie de 2 € à 3 €.
S’agissant de nouveaux équipements intégrant de surcroît les nouvelles technologies
les objectifs du cinéma sont d’abord de nous
assurer sur la durée du bon fonctionnement
de ces équipements. Pour cela nous avons
aussi à remplir un objectif de formation du
personnel, de contrôle de fiabilité des matériels choisis. Notre objectif est de répondre
aux attentes des jeunes afin qu’ils viennent
au cinéma Henri Langlois.
Le Ciné Henri Langlois a financé entièrement cet investissement, grâce à la subvention du CNC (Centre National du Cinéma)
«
Le tarif pour voir un film en 3D
est-il plus élevé ?
Quels sont vos objectifs immédiats ?
Les travaux ont été financés par qui ?
la 3d est un moyen
de gagner une nouvelle
catégorie de spectateurs
la ville, ont été pris en charge par l’association. On a aussi investi dans un scaler pour
projeter des DVD. Ce qui permet d’ouvrir la
salle à des organismes, des associations,
pour des projections de films amateur non
commerciaux. La première expérience réalisée durant la semaine des 3F a été très
appréciée.
La saison des cycles se poursuit…
Le Ciné Henri Langlois enregistre le succès de son cycle automne
2012 commencé avec un cycle Gérard Philippe suivi du cycle Ava
Gardner(3 films* projetés les jeudis 8, 22 et 29 novembre) et Marlon
Brando (3 films* projetés les 6, 13 et 20 décembre).
Au Programme
➜c
ycle Ava Gardner : « La Nuit de l’iguane » de John Huston (1964)
le jeudi 8 novembre ; « La comtesse aux pieds nus » de Joseph L.
Mankiewicz (1954) le jeudi 22 novembre ; « Show boat » comédie
musicale américaine de George Sidney (1951) le jeudi 29 novembre.
➜M
arlon Brando : « L’homme à la peau de serpent » de Sidney
Lumet (1959) le jeudi 6 décembre ; « Un tramway nommé désir »
d’Elia Kazan (1952) le jeudi 13 décembre ; « Reflet dans un œil
d’or » de John Huston (1967) le jeudi 20 décembre.
➜ Et toujours le cycle Ciné mômes un mercredi par mois à 14h : « Le
château dans le ciel » le 21 novembre ; « L’étrange Noël de M. Jack » le
12 décembre ; « Panique au village » le 23 janvier ; « Ratatouille » le 13
février ; « Kiki la petite sorcière » le 27 mars ; « Babar roi des éléphants » le
17 avril ; « Bernard et Bianca » le 22 mai ; « Basil détective privé » le 19 juin.
actualités
COMPRENDRE
la
FISCALITÉ
LOCALE DIRECTE
L
Chaque collectivité fixe chaque année, les taux des différentes taxes.
La fiscalité directe locale comprend différents impôts à la charge de différentes
catégories de contribuables :
➜L
a Contribution Economique Territoriale
(CET), ancienne Taxe Professionnelle,
acquittée par les entreprises,
➜L
a Taxe d’Habitation (TH), due par tout
occupant d’un logement, qu’il soit ou non
propriétaire,
➜L
a Taxe Foncière (TF) sur les propriétés
bâties ou non bâties, acquittée par les
propriétaires.
Si vous êtes locataire : vous payez la taxe
d’habitation. Si vous êtes propriétaire : vous
payez la taxe d’habitation et la taxe foncière.
La cotisation du contribuable se calcule en
appliquant le taux de la taxe à une base
d’imposition : la valeur locative nette.
La taxe d’habitation
La base d’imposition :
Elle est égale à la valeur locative nette, c’està-dire la valeur locative brute diminuée, le
cas échéant, d’un ou plusieurs abattements.
Ces abattements ne s’appliquent qu’à la
résidence principale du contribuable. La
valeur locative brute correspond au loyer
que l’on pourrait attendre du bien occupé,
dans des conditions normales du marché
locatif du quartier. Cette valeur tient donc
compte de la superficie et des éléments de
confort du logement mais également de son
environnement.
La valeur locative est fixée par les services
fiscaux de l’Etat et revalorisée chaque année.
Cette valeur est revalorisée chaque année
du taux de l’inflation.
Le taux d’imposition :
Chaque collectivité locale concernée vote un
taux de taxe d’habitation :
➜L
a Ville de Franconville,
➜L
es Syndicats de communes.
Ces taux s’appliquent à la même base d’imposition pour donner un total de cotisations
majoré par les frais de gestion de recouvrement perçus par les services fiscaux de l’Etat.
Ce qui a changé depuis 2011 concernant la taxe d’habitation :
➜ Suppression
de la part départementale
(5,88% en 2010),
➜A
ugmentation équivalente de la part
communale : 5,88%, majorée de 0,74%
de frais de gestion.
La part communale (15,95% en 2010) est ainsi
portée du fait de la réforme fiscale à 22,57%.
Le montant de l’impôt varie uniquement en
raison du taux des syndicats de communes
et de la revalorisation de la valeur locative
correspondant à l’inflation.
Le surplus de recettes fiscales perçues par le
département en 2011 et perçu en 2012 par la
ville sera reversé dans un fonds national de
garantie de ressources géré par l’Etat et permettant aux collectivités locales (dont le département) de bénéficier des mêmes recettes.
La ville ne bénéficie pas de cet apport supplémentaire de recette.
La taxe foncière sur
les propriétés bâties
La base d’imposition :
Elle est égale à la valeur locative nette définie
comme la moitié de la valeur locative brute.
Cet abattement est destiné à compenser les
frais d’amortissement et d’entretien supportés par les propriétaires du bien imposé.
La valeur locative brute est calculée de la
même façon que pour la taxe d’habitation.
Le taux d’imposition :
Chaque collectivité locale concernée vote
un taux de taxe foncière :
➜L
a Ville de Franconville,
➜L
es Syndicats de communes,
➜L
e Département (Conseil général),
Ces taux s’appliquent à la même base d’im-
position pour donner un total de cotisations
majoré de :
➜L
a taxe spéciale d’équipement,
➜L
a taxe d’enlèvement des ordures ménagères,
➜L
es frais de gestion de recouvrement
perçus par les services fiscaux de l’Etat.
Ce qui a changé depuis 2011 sur la
feuille d’impôt par rapport à 2010
concernant la taxe foncière :
➜S
uppression de la part régionale (1,27%
en 2010),
➜A
ugmentation équivalente de la part
départementale : 1,27%, majorée de
1,32% de frais de gestion.
La part départementale (6,65% en 2010)
est ainsi portée du fait de la réforme fiscale
à 9,24%.
La part départementale 2012 votée est de 11,24%.
Le montant de l’impôt varie également en
raison du taux des syndicats de communes,
de la taxe spéciale d’équipement qui augmente en raison du projet du Grand Paris,
de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères et de la revalorisation de la valeur
locative correspondant à l’inflation.
les taux de la
fiscalité communale
ne changent pas
Les parts communales de la taxe d’habitation et de la taxe foncière sont donc, exception faite de l’impact de la réforme fiscale,
équivalentes en 2012 à celles de 2011.
Les Franconvillois peuvent ainsi constater
que, malgré les difficultés dues à la crise, la
pression fiscale communale n’a pas augmenté en 2012, comme depuis plus de 14
ans, grâce à une politique de stabilité de la
fiscalité et une gestion rigoureuse des
finances de la Ville.
7
a réforme des finances locales appliquée à partir de 2011 modifie la répartition de la fiscalité directe perçue par les collectivités locales
et donc sa présentation pour les contribuables. La fiscalité directe est la principale ressource de fonctionnement des budgets des collectivités locales. Le produit de cette fiscalité est réparti entre les différentes collectivités : Commune, Département (Conseil général),
Région et Syndicats de communes, et à partir de 2013, la communauté d’agglomération.
INITIATIVES
JARDIN des GLACES
est OUVERT
à la
le
8
NOUVEAU !
PATINOIRE
D
epuis le mois dernier la patinoire du CSL accueille tous les samedis de 10h à 11h45 les enfants âgés de 3 à 10 ans. Ceux-ci sont
répartis sur la glace en deux groupes d’âges. L’un pour les 3-6 ans nécessite parfois la présence des parents sur la glace, alors
que dans l’espace des 7-10 ans les enfants peuvent évoluer seuls sur les parcours. Un éducateur du service des Sports présent
dans chacun des deux groupes apporte son aide et conseille les enfants en difficulté. Les petits se voient proposer des parcours de
motricité, alors que les plus grands profitent des animations ludiques inscrites au programme (jeux, courses, parcours…). Le Jardin
des glaces est libre d’accès et ouvert à tous ceux qui veulent apprendre les bases du patinage. Tout en restant responsable de leur
enfant, les parents peuvent s’appuyer sur les compétences des éducateurs sportifs du service des Sports.
➜ Renseignements au service municipal des sports : 01 39 32 67 56
Programme des animations à la patinoire
➜S
oirée coup double
samedi 17/11/2012 à 14h30 et à 20h45
Patinez l’après-midi et recevez gratuitement un ticket d’accès pour la soirée
spéciale LATINO de 20h45 avec DJ.
➜S
oirée battle
vendredi 14/12/2012 à 20h45
Démonstration de FREESTYLE sur glace.
Une casquette sera offerte
au vainqueur.
➜S
oirée show laser
vendredi 18/01/2013 à 20h45
Ambiance brouillard, fumé, laser multicolore et DJ au programme. Pour l’achat d’une
consommation, un bracelet fluo sera offert.
➜S
oirée mousse
vendredi 15/02/2013 à 20h45
La mousse est de retour à la patinoire.
➜S
oirée lady’s
vendredi 01/03/2013 à 20h45
Entrées gratuites pour toutes les filles.
Une boisson offerte sous conditions.
➜S
oirée top 50
samedi 30/03/2013 à 20h45
Soirée années 80-90. N’hésitez pas à
ressortir vos perruques, lunettes disco,
pantalons pattes d’éph, paillettes… Pour
l’achat d’une consommation, un accessoire
de déguisement sera offert.
➜B
ataille de pistolets à eau
dimanche 26/05/2013 à 14h30
Venez nombreux équipés de vos
pistolets à eau. A cette occasion
100 pistolets seront distribués.
➜S
oirée déguisée
vendredi 19/04/2013 à 20h45
Venez déguisés. Distribution de crêpes
gratuites et concours des meilleurs
déguisements. Nombreux lots à gagner
dont 1 PASS patinoire. Un menu offert
aux trois premiers.
Multisports : le monde des sports se découvre
E
n matière d’éducation sportive la ville a toujours été en
avance et ses initiatives dans ce domaine sont nombreuses.
Les séances « multisports » permettent ainsi à un plus
grand nombre d’enfants de découvrir les joies du sport. Comment s’initier à une discipline sportive, quelles sont les techniques de base du badminton, du volley, du cirque… ? Depuis plusieurs années, à travers cette animation spécifique et gratuite,
les enfants, du CP au CM2, peuvent s’initier au sport en suivant
les conseils des éducateurs sportifs présents à leur côté.
Ainsi, informés, ils pourront ensuite choisir leur activité. Tennis,
tennis de table, volley, badminton, gymnastique, hockey, handball… sont au programme. Les enfants en difficulté dans l’eau
peuvent également venir s’initier et découvrir, tout en s’amusant
qu’ils peuvent être à l’aise dans le milieu aquatique.
➜L
es séances ont lieu les : mardi et jeudi de 17h à 18h30
et le mercredi de 9h à 11h30
➜C
ondition d’admission : les enfants doivent être domiciliés
à Franconville et/ou fréquenter une école de la ville.
INITIATIVES
la
MÉDIATHÈQUE
la
JOUE CARTE de
LIGNE
A la
Médiathèque…
« Les auteurs
franconvillois
se livrent »
I
ls écrivent et l’ont fait savoir le 29 septembre à la Médiathèque qui organisait
pour la première fois un « Salon des
auteurs franconvillois ». Sept auteurs, écrivains amateurs pour la plupart, ont présenté leur dernier ouvrage et échangé
avec un nombreux public avide de questions sur les univers, les genres littéraires,
le parcours et les motivations des écrivains
réunis. Le fantastique et la science-fiction
étaient bien représentés. Etaient présents :
Frédéric Gobillot auteur du « Cycle de
l’Eveil » (fantasy urbaine) ; Annick Kersulec ancienne bibliothécaire auteur de
« Sur les traces d’Ahez » une histoire policière qui se déroule dans une Bretagne
profonde et mystérieuse ; David Lassalle,
auteur de « Mauvaises ondes » ; Olivier
Lecollinet, auteur de « La Bretagne secrète
et insolite » ; Romain Mageau, auteur d’Alter Homo (science-fiction), Kevin Magloire,
auteur de « Choc de cultures », et François
Sacerdot auteur de « Musculation : entraînement et mode de vie ».
9
L’AUTO-FORMATION
en
L
es abonnés de la Médiathèque ont accès depuis septembre à de nouvelles ressources
en ligne gratuites. Dans le domaine de la formation ou de l’auto-formation, la Médiathèque développe son offre avec un site d’apprentissage du Français utile pour tous
les publics récemment arrivés dans notre pays qui ont besoin de connaître notre langue,
mais aussi à destination des personnes qui souhaitent revoir les apprentissages de base
du français pour des raisons professionnelles ou personnelles : Français Langue
Etrangère ou « FLE » est une référence
choisie par la Médiathèque. Via le portail, on accède aussi au site Permisecole.com, outil pédagogique qui permet
aux prétendants au permis de conduire
de faire leur apprentissage au code de la
route. Ce site labellisé par la Prévention
routière propose par ailleurs un test de
code de la route gratuit.
En matière de formation aux langues
étrangères, la Médiathèque propose
également depuis l’an dernier des accès
en ligne gratuits à « Assimil e-learning », spécialiste reconnu de l’auto-apprentissage des langues étrangères.
➜R
enseignements : 01 39 32 66 09, par mail : [email protected].
Et sur le site web : http://mediatheque.ville-franconville.fr
EN UNE
la
10
petite enfance
La ville s’attache à aider les parents qui travaillent et ont besoin de solutions de garde adaptées. Dans l’accueil de la petite enfance (de 3 mois
à 6 ans) l’exigence de qualité est de toute façon la règle imposée à Franconville.
Volontarisme
La redynamisation du secteur de la
petite enfance a commencé à Franconville en 1998 avec la construction de la « Maison de l’Enfance »
à Montédour, rue des Folles Entreprises. Un contrat Enfance a été
signé avec la Caisse d’allocations
familiales (CAF) se traduisant par
des aménagements d’horaires et
la création de nouvelles structures, crèches et halte-garderies,
en l’occurrence : le Chalet des P’tits
Loups, ouvert en 2003 ; le Chalet
Pom’Pouce en 2008 ; la dernière
en date étant le « Jardin d’éveil
Pirouet’ » de 15 places ouvert il y a
deux ans dans les locaux de la Maison de l’Enfance.
Entre 1998 et 2008 le nombre de
structures municipales réservées à
l’accueil des 3 mois-3 ans a doublé,
de sorte qu’en l’espace de dix ans
la capacité d’accueil a été portée
de moins de 130 places à plus
de 270. Et cette capacité devrait
encore augmenter comme le laisse
prévoir un projet d’implantation
d’une crèche privée de 50 berceaux au total. Cette nouvelle structure dont l’ouverture est prévue en
2014 viendrait s’ajouter aux structures de la Ville. Evidemment, dans
une ville qui enregistre plus de 550
naissances par an, les structures
municipales aux places limitées
ne sauraient suffire aux besoins
d’accueil. L’action des assistantes
maternelles indépendantes agrées
par le Conseil général et celles de la
ville est donc indispensable.
EN UNE
un
grand service public
La petite enfance est un secteur exigeant qui nécessite l’embauche de
personnels qualifiés (éducatrices de
jeunes enfants, infirmiers, puéricultrices, auxiliaires de puériculture) et
en nombre suffisant. Les charges de
personnel et frais assimilés pour les
crèches et garderies s’est élevé en 2011
à 3, 4 millions d’euros (source : budget
2011 du CCAS), sachant que la Convention signée avec la Caisse d’Allocations
Familiales permet d’alléger le coût de
construction et de fonctionnement de
ces structures.
Modes de
garde diversifiés
La ville manifeste son souci de répondre aux différents besoins des
parents et décide de moderniser les
accueils. Elle a installé des modes de
garde différenciés : crèche collective,
crèche familiale (les enfants sont
gardés au domicile de l’assistante
maternelle employée par la Ville),
halte-garderie... : place au « multi-accueil ». Il s’agit de réussir un double
pari ou défi : assurer un accompagnement de qualité pour chaque enfant
et répondre au maximum aux besoins
des parents. Le Jardin d’éveil illustre
parfaitement cette volonté de service
aux parents. Cette structure a été
conçue pour les mamans qui voient
venir la fin de leur congé parental et
doivent reprendre leur activité professionnelle. Il accueille les enfants
de 2 à 4 ans en attente d’entrer à la
maternelle.
L’accompagnement de la petite
enfance ne s’arrête pas à l’entrée
en maternelle. Les 11 centres de
loisirs maternels et primaires répartis dans les groupes scolaires
de la ville accueillent chaque jour
(en moyenne) 256 enfants de 7h
à 8h30 (accueil préscolaire) et
plus de 300 enfants à 16h30 (postscolaire). Ces accueils encadrés
concernent les petits Franconvillois
de 3 ans à 11 ans. Tous les Centres
de loisirs fonctionnent aussi avec
un projet éducatif.
Label
« ville amie
des enfants »
La ville souhaite se porter candidate pour l’obtention du label de
l’UNICEF décernant son label de «
Villes amies des enfants » à celles
qui font preuve d’un engagement remarquable en direction des enfants
y compris des tout-petits. Les droits
de l’enfant en matière de soins et de
protection seront célébrés le 22 novembre prochain lors d’une journée
internationale.
11
L’enjeu essentiel est d’accompagner
individuellement chaque enfant, de
mettre en place les activités favorisant son éveil, son autonomie et
son adaptation à la vie en groupe.
Cette socialisation précoce prépare
l’enfant à l’entrée à l’école maternelle. Le jeu est omniprésent et au
centre de toutes les activités éducatives à cet âge. Chaque structure
travaille avec un projet éducatif et
pédagogique faisant intervenir différentes compétences : musicienne,
psychologue, médecin, partenariat
avec la Médiathèque, avec la piscine... selon les projets.
EN UNE
RENCONTRE AVEC…
Françoise Lascot,
maire-adjoint délégué
à la Petite enfance
12
« La petite enfance est un véritable service public et un service
exigeant. Il consiste à accueillir
chaque enfant et à lui garantir les
soins et l’accompagnement le plus
propice à son développement. La
socialisation par le jeu, la diversité
des accueils (crèche collective, familiale, halte-garderie, jardin d’éveil..) sont autant d’actions que
nous menons dans nos différentes structures. Notre mission
est définie : nous devons contribuer jour après jour à l’éveil des
enfants afin de les mener vers l’autonomie pour qu’ils puissent
entrer à l’école maternelle dans les meilleures conditions. »
Quel est le coût d’une place en crèche aujourd’hui ?
Environ 13 000 € par enfant et par an. Dans ce secteur,
l’exigence de formation et d’encadrement est forte et compréhensible. La norme est de un professionnel pour cinq
enfants dans les sections où les enfants ne marchent pas, et
d’un professionnel pour huit enfants dans les grandes sections où les enfants marchent. Dans les sections de 15 enfants nous employons quatre personnes avec des horaires
en roulement.
La crèche collective est la plus demandée par les parents ?
Beaucoup de parents effectivement déclarent leur préférence
pour ce mode de garde. Ils y voient l’intérêt d’une socialisa-
Le Relais Assistantes Maternelles :
un lieu d’échanges et d’information
C’est un lieu important d’écoute d’information et d’échanges
pour les parents et assistantes maternelles indépendantes.
Il accueille d’une part des assistantes maternelles indépen-
tion qui prépare l’enfant à l’école maternelle. S’agissant de
socialisation, je leur réponds que leur enfant fait déjà partie
d’un milieu social important: sa famille. Il a bien le temps de
devenir un « être social ». Si la crèche collective présente des
avantages, ne sous-estimons pas les compétences de l’assistante maternelle indépendante qui accueille chez elle plusieurs enfants et peut se rendre avec eux aux accueils-jeux du
Relais Assistantes Maternelles ou les assistantes maternelles
de crèche familiale avec les activités proposées par la crèche
familiale municipale. Aucun enfant n’est isolé et les parents
peuvent venir avec lui dans des lieux d’accueil aménagés en
« espaces jeux ». Le Crocobulle au Chalet des P’tits Loups
et le Ludobulle à Pom’Pouce sont des lieux d’échanges et de
convivialité ouverts aux parents et grands-parents.
Une maman qui ne travaille pas peut-elle inscrire
son enfant dans une crèche ?
Elle peut l’inscrire à la halte-garderie pour un temps donné
soit une journée ou une demi-journée dans la semaine. Par
exemple, une maman qui travaille à temps partiel ou qui a
besoin de temps libre pour chercher un emploi peut utiliser
ce type de garde.
Confirmez-vous le projet d’ouverture d’une crèche
privée prochainement à Franconville ?
Ce projet a été annoncé et nous sommes en train de le
concrétiser. Pour l’instant, le dossier est à l’étude. Il s’agit
d’une crèche privée d’entreprises. Le principe est le suivant : la ville n’investit pas dans la construction. Elle a prévu
d’acheter 25 des 50 berceaux (ou places de crèche) qu’elle
mettrait à la disposition de ses administrés. Je tiens à le
dire : la qualité du projet pédagogique sera déterminante
dans notre choix de l’entreprise qui implantera cette crèche.
dantes qui ont besoin d’informations diverses et variées sur
leur statut, la rémunération, les droits sociaux, certains aspects de leur métier, et pour rencontrer d’autres assistantes
maternelles ; d’autre part, des parents et futurs parents qui
cherchent un mode de garde pour leur enfant de moins de 6
ans, ou qui souhaitent s’informer sur les conditions d’emploi
d’une assistante maternelle, les démarches à effectuer...
Le RAM est un lieu animé qui organise dans la semaine des
temps d’accueil-jeux pour les enfants accompagnés de leur
assistante maternelle. Ces accueils-jeux permettent de socialiser les enfants et de rompre l’isolement des assistantes
maternelles. Le Relais qui édite un petit journal organise
souvent des visites à la Médiathèque où les tout-petits découvrent les livres-hochets, des livres-jeux. Ces séances se
terminent souvent par des petites chansons. L’année dernière un CD composé de chansons apprises lors des séances
de musique a été réalisé. L’éducatrice du Relais anime également deux lieux d’accueil enfants-parents aménagés en
« espace jeux » : le Crocobulle aux P’tits Loups (jeudi matin)
et le Ludobulle (vendredi matin) au Chalet Pom’Pouce, rue
des Pommiers Saulniers.
EN UNE
L’accueil-jeu du RAM :
les assistantes maternelles y reviennent
Au Chalet Pom’Pouce l’accueil-jeu existe depuis l’ouverture
de la structure en 2008. Cette grande et belle salle remplie
de jouets, aménagée avec du mobilier adapté en bois clair est
ouverte aux assistantes maternelles employées par des particuliers qui viennent quand elles le souhaitent, sur inscription, avec les enfants qu’elles accueillent (trois maximum par
séance) les lundi matin, mardi matin et certains vendredis ?
Responsable du relais assistantes maternelles et des lieux
d’accueil enfants-parents (LAEP), Brigitte Gallwitz accueille
ce matin-là 6 assistantes maternelles et 15 tout-petits âgés
de 3 mois à deux ans et demi.
A l’unanimité les assistantes maternelles présentes se disent satisfaites :
« L’endroit est bien, déclare
une ASMAT, cela nous permet de voir du monde,
d’être conseillées si on a un
problème. Comme cela on
n’est pas isolée. Et puis c’est
aussi un avantage pour les
enfants qui peuvent jouer
ici avec d’autres plus grands ou d’âges différents. C’est vraiment une salle faite pour eux ! » Le RAM, le LAEP et la crèche
familiale se partagent les lieux. « C’est un peu du luxe ici, déclare Brigitte Gallwitz en guidant le visiteur jusqu’à la salle
de pychomotricité climatisée où sont rangés gros ballons et
toboggans. On a vraiment ici une superstructure ! ».
De plus en plus fréquenté
A côté, fonctionne la crèche collective où s’animent les
enfants répartis dans les quatre sections (bébés, moyens,
moyens-grands et grands). L’accueil-jeu dure de 9h30 à 11h30.
Sur les petites tables les assiettes de fruits et indiquent la
pause goûter. Les gommettes, le papier crépon, la pâte à modeler, les peintures à l’eau retournent dans les tiroirs. Cet accueil sur inscription est de plus en plus demandé : « J’essaie
toujours de trouver une place pour celles qui veulent venir,
déclare Brigitte, même si ce n’est pas tout de suite. »
Assistante maternelle : métier-passion
C’est un métier passionnant que de favoriser l’éveil d’un enfant, de le mener à l’autonomie afin qu’il fasse son entrée
à l’école maternelle dans les meilleures conditions. « On ne
peut pas exercer convenablement ce métier si l’on n’aime
pas vraiment les enfants. » Trois fois maman et quatre fois
mamie Martine Lemeslif, exerce à Franconville en crèche
familiale* depuis août 1983. Elle garde actuellement à son
domicile trois enfants : Elyna, Coralie et Lilian. Martine travaille en liaison avec la crèche familiale du Chalet des P’tits
Loups qui supervise l’activité d’une vingtaine d’assistantes
maternelles. La crèche familiale est ouverte de 7h à 19h.
« On n’a pas le droit d’être
mal réveillée »
« J’ai de la chance cette année, déclare Mme Lemeslif. Les enfants accompagnés des parents arrivent vers 8h30 et repartent
le soir vers 18h. Pendant quatre années de suite j’ai fonctionné
avec des parents qui amenaient les enfants à 7h30 et les reprenaient vers 19h. Du coup, cette année je souffle un peu. » Le
gain d’une heure ne l’empêche de se lever tôt. «Je me lève vers
6h pour préparer le repas du midi que je n’aurais plus qu’à réchauffer. C’est une question d’organisation. Ainsi je peux avoir
plus de disponibilité pour les enfants au moment du repas. »
Ensuite c’est l’arrivée des parents et des enfants. Un moment
important où l’assistante maternelle se renseigne pour savoir
si l’enfant a passé une bonne nuit : « Quand les enfants arrivent
je suis prête. Ce qui signifie être à leur écoute et savoir effacer
avec un sourire les petites tensions du matin quand le stress du
départ est là. Des tensions que l’enfant ressent. On n’a pas le
droit d’être mal réveillé ou de mauvaise humeur quand on est
assistante maternelle ! Et le soir parfois nous retrouvons des
papas et des mamans qui ont vécu une dure journée au bureau
ou dans les transports (parfois les deux !) ».
Les groupes de jeux
La journée d’une assistante maternelle ne connaît pas de
temps mort, remplie d’activités avec les enfants, au domicile
ou à l’extérieur. La séance de jeu du matin précède l’heure de
la promenade matinale dans le parc ou dans les rues de Franconville. Puis c’est l’heure du déjeuner, de la sieste et enfin des
activités. Les sorties à la crèche familiale des P’tits Loups sont
très attendues. La structure met à leur disposition deux belles
salles. L’assistante maternelle de crèche familiale est loin
d’être isolée. Elle reçoit fréquemment la visite de la directrice
de la crèche avec qui elle échange. Une éducatrice de jeunes
enfants encadre les groupes de jeux hebdomadaires des plus
grands. Des intervenants comme la musicienne, la psychomotricienne travaillent aussi avec l’équipe de la crèche familiale.
« C’est un métier où l’on apprend beaucoup, où l’on donne et
l’on reçoit beaucoup aussi. En ce moment on prépare l’hiver :
on ramasse des pommes de pin, des feuilles d’arbres... »
*Les « ASMAT », comme on les appelle dans ce milieu se divisent en deux catégories :
les assistantes maternelles indépendantes employées par les particuliers (contrôlée
par la PMI) et les assistantes maternelles de crèches familiales rémunérées par la ville.
13
REPORTAGE
ce mois-ci
aurélie
cabrel
14
N
aturellement la fille de l’auteur de « Petite Marie » et de
« Je l’aime à mourir » a
côtoyé très tôt le milieu de la chanson française. Après un début de
carrière dans le management d’artistes, Aurélie est revenue à une
activité plus en accord avec sa sensibilité : l’écriture de textes de chansons. Après quelques stages à
Astaffort (où se tiennent les Rencontres musicales créées par Francis Cabrel), elle a abandonné son
activité de Manager pour se lancer
corps et âme dans la chanson. Pour
ses beaux yeux bleus, un auteurcompositeur belge, Esthen, lui a
apporté son concours pour la sortie
de son premier album au titre tout
trouvé « Oserais-je ? ». Depuis un
an la question ne se pose plus. La
jeune chanteuse monte sur scène et
dévoile en douceur sa sensibilité à
travers des mélodies pop-rock. Sa
rencontre avec le public se poursuit.
Elle sera sur scène à Franconville le
23 novembre à 21h pour une soirée
chanson résolument féminine avec
Claire Denamur en double plateau,
qui tout comme Aurélie Cabrel,
conjugue jeunesse et maturité
musicale.
Dans le but d’aider les jeunes talents
de la chanson française, Francis
Cabrel a créé « Voix du Sud » en
1992, et ne cesse d’initier des stages
d’écriture, des scènes ouvertes, et des partenariats afin de révéler ces jeunes artistes, qu’ils soient auteurs, compositeurs ou interprètes.
Les « Rencontres d’Astaffort » en sont le moment fort, et chaque année un parrain de renom les préside et suit les jeunes artistes dans leur
démarche artistique : de Maxime Leforestier à Renan Luce, de Thomas Dutronc à Emilie Loizeau, tous ont répondu présents à l’action de
Francis Cabrel.
Depuis plusieurs années, l’Espace Saint-Exupéry a initié un partenariat, séduit par la qualité des artistes issus de ces rencontres, et par l’enthousiasme de l’équipe de « Voix du Sud ». C’est ainsi qu’ont été accueillis à Franconville de nombreux artistes prometteurs en 1 ère partie :
Sarah Caillibot, Zed Van Traumat, Olivia Auclair ou Lily Justine. En juin 2011, avec la présence exceptionnelle de Francis Cabrel, l’Espace
Saint-Exupéry avait présenté avec succès la création de Yannick Jaulin issue des « Rencontres d’Astaffort » : L’Enfant Porte.
Tout récemment, Léo et les Fées Papillon, comédie musicale jeune public a enchanté un vaste public familial.
La présence d’Aurélie Cabrel, avec sa personnalité fragile et forte à la fois, était donc une évidence…
➜ Concert double plateau Aurélie Cabrel et Claire Denamur, le 23 novembre à 21h à l’Espace Saint-Exupéry.
Carole Mathieu
à suivre…
RENCONTRE AVEC…
patrick
et
duponD
leïla da rocha
à l’Espace Saint-Exupéry
La danse c’est la vie, et Patrick Dupond a failli perdre les deux. Le
passage à l’an 2000 a été pour lui synonyme d’épreuves : après
un licenciement de l’Opéra, son « berceau natal » en 1995 à la
suite de désaccords avec la direction, un terrible accident de voiture (40 fractures !) en 2000 dont il mettra plusieurs années à se
remettre avec un corps brisé à reconstruire. A force de volonté.
Il se souvient de son cri (étouffé) quand le chirurgien au retour
d’une énième intervention l’a informé de son avenir : « marcher :
oui, vous pourrez peut-être… danser, non ». « J’ai dit Non ! C’était
inacceptable. » Et puis il y a eu le décès en 2003 de son professeur et mentor Max Bozzoni, et l’incendie de sa maison près de
Dreux en 2007.
Résurrection
La série noire est terminée depuis un certain temps. Patrick
Dupond a tourné la page. La reconstruction ou la « résurrection »
est achevée, grâce à Leila Da Rocha auprès de qui ce danseur fondamental, successeur de Noureev à l’Opéra, a retrouvé le plaisir
de danser, d’enseigner et de vivre. Il a tourné la page. C’est à Soissons, son havre de paix depuis sept ans, qu’il enseigne et transmet
à des élèves émerveillés de pouvoir côtoyer ce danseur célèbre,
âgé de 53 ans, qui a reconquis, marche après marche, son énergie, sa force, son art et qui est toujours pressé de le partager. « Ce
n’est pas un métier qu’on peut faire tout seul, je savais que je ferai
une rencontre » dit-il. Elle a eu lieu. Ex-basketteuse professionnelle,
Leïla Da Rocha, a dû arrêter sa carrière sportive plus tôt que prévu
à la suite d’une grave blessure au genou. Elle s’est alors tournée
vers sa deuxième passion : la danse, en particulier la danse orientale sacrée. Ces deux-là étaient faits pour se rencontrer.
Complicité
« Fusion », le ballet autobiographique qu’ils ont créé sur le thème
du mélange entre la danse classique et la danse orientale sacrée
poursuit sa carrière en France et à l’étranger. Il témoigne d’une
vraie rencontre humaine et artistique « Ce n’est pas un ballet traditionnel, figé, déclare le protégé de Claude Bessy. On l’a laissé évoluer au fil du temps, on l’a affiné, peaufiné. C’est un diamant qui se
polit doucement. Notre complicité a atteint son point d’orgue sur
le plan musical, technique, émotionnel. » Leila Da Rocha ajoute :
« Ce ballet ne pouvait pas exister pleinement avant. Il a fallu sept
années, de recherche, de travail ensemble pour parvenir à l’aboutissement. Aujourd’hui nous pouvons échanger totalement avec le
public. Notre spectacle est prêt humainement et artistiquement »
Le duo est fier d’avoir obtenu pour leur spectacle le concours
d’un grand créateur de lumière, Jacques Rouveyrollis. Regardant
Patrick Dupond avec une certaine admiration, Leïla s’exprime avec
sincérité : « J’ai de la chance de l’avoir avec moi et on a de la chance
de l’avoir en France » La « fusion » est réalisée également entre
ces deux êtres qui avancent sur la même voie de sagesse, de vérité.
« On ne fait pas ce métier en se limitant à l’esthétisme, sinon on
triche » affirme Leila Da Rocha. Le frère du Dalaï-lama les a baptisés il y a huit ans. Fort de son vécu, « après l’accident, je suis
revenu aux fondamentaux qu’on m’a enseignés », Patrick Dupond
reconnaît qu’il est devenu meilleur danseur, moins impulsif, plus
serein, et toujours prêt à partager. Avec le public, avec les élèves
de l’école de danse de Soissons, avec les autres. « Avant j’étais un
« extrahumain », toujours dans la performance. C’est fini. Je me
sens aujourd’hui plus proche du public que je ne l’ai jamais été. »
Des élèves franconvillois en danse classique et contemporaine auront eu la chance de participer à une « Master class » de 2 heures
avec les deux danseurs.
➜ Fusion, le 30 novembre à 21h à l’Espace Saint-Exupéry.
15
S
i la résilience est la capacité pour un individu de surmonter d’importants traumatismes, Patrick Dupond, ex-danseur étoile à l’Opéra de Paris, danseur virtuose qui a
connu la gloire et les honneurs est un exemple personnifié de
l’être résilient.
à L’AffIChe
2012
culture
ThÉÂTRe
ThÉÂTRe
(à l’auditorium
ZooM
➜ samedi 17 novembre, 20h
Catsilou
16
bUILDIng
➜ vendredi 9 novembre, 21h
Un building de treize étages, celui de Consulting Conseil, une
entreprise qui a pour mission de coacher les coachs…
guidés par le discours polissé du Président directeur général, les trentedeux personnages de la pièce, interprétés par cinq comédiens, s’affairent
à tous les étages, dans la chronologie d’une journée de travail.
alors que les Français placent le travail en deuxième position de
condition du bonheur, Léonore Confino, auteur de cette pièce, a voulu
révéler le durcissement des pratiques managériales, qui instaurent la
pression et la peur, dans un souci de performance et de rentabilité.
Catherine Schaub, metteur en scène, a mis en avant cette mise
sous tension, où les personnages étouffent sous la pression sociale,
dans un univers où la proposition musicale et chorégraphique n’est
pas sans rappeler Jacques Tati.
Caustique, drôle et poétique, Building nous interroge sur notre
rapport au travail, avec l’espoir qu’une réflexion commune nous
incite à redonner toute sa place à l’humain.
eXpoSITIon - JeU
Début d’année scolaire, réunion de parents d’élèves.
Elle est là, elle aussi, la mère de Burt, celle qu’on
n’a pas vue depuis des années, celle qu’on aurait
sans doute préféré ne pas revoir ; le fils n’est plus
dans l’établissement pourtant elle s’est invitée.
alors, comme le professeur principal est en retard,
elle se raconte, raconte son fils, cet « enfant difficile »,
comme on lui a appris à dire.
Elle reprend les débuts, les rêves qu’elle a eus pour son fils.
grotesque, « à côté de la plaque », elle nous fait rire
la mère de Burt ! Mais derrière ce parcours clownesque
c’est bien la détresse d’une femme paumée et de son fils
qui nous est donnée à voir.
Drôle oui, mais touchante aussi, comme les espoirs perdus.
Superbe texte de gilles granouillet, mis en scène avec
justesse par François Rancillac, et magnifiquement
interprété par Linda Chaïb, bouleversante et lumineuse.
Une pièce qui touche au cœur, en traitant du lourd silence
qui peut s’installer entre parents et enfants, malgré
tout l’amour du monde.
(dès
4 ans)
qUeL ARTISTe, Ce MATISSe !
➜ Du jeudi 29 novembre au jeudi 20 décembre. Musée en herbe
Cette exposition dédiée à Matisse et qui s’adresse plus particulièrement aux enfants,
se veut ludique et pédagogique. a travers quinze grandes valises ouvertes sont présentées
des œuvres majeures du peintre, et pour chacune, le jeu ou la manipulation appropriée.
né en 1869, fils d’un marchand de grains et d’une mère peintre-amateur, Henri Matisse
s’ouvrira à la peinture à l’âge de 20 ans à l’occasion d’une mauvaise crise d’appendicite le
forçant à s’aliter. Dès son rétablissement, il poursuit des études de dessin, et exposera très
rapidement, s’intéressant d’abord au mouvement impressionniste, puis à des artistes comme
Derain et De Vlaminck. Enrichi par ces multiples influences, Matisse s’affirmera ensuite comme
le chef de file du fauvisme, et mènera une carrière à la fois de peintre, de dessinateur et de
sculpteur. Connu dans le monde entier et reconnu de son vivant, Matisse s’éteindra en
1954, laissant une œuvre marquée par la richesse des couleurs et une énergie rare.
Proposer l’œuvre de Matisse aux plus jeunes est une évidence tant sa peinture
leur va droit au cœur, et éveille leur imaginaire.
Mardi de 14h à 19h ; mercredi et samedi de 10h à 12h et de 14h à 18 ; jeudi et vendredi de 14h à 18h
Exposition-jeu conçue et réalisée par sylvie Girardet et norbert Journo
Jean-Marc Lobbé
de l’ecole de musique)
SAINT-EXUPERY
E S P A C E
32 bis rue de la Station Tél 01 39 32 66 05 www.ville-franconville.fr
DAnSe
fUSIon, pATRICK DUponD
eT LeÏLA DA RoChA
COMPLET
après 10 ans d’absence scénique, l’icône de la danse classique, Patrick Dupond,
revient dans ce nouveau spectacle, celui de sa renaissance.
« Je m’appelle Dupond, comme tout le monde… mais avec un D comme Danseur ! » :
premier Français à remporter le grand Prix du concours de Varna (Bulgarie) à 17 ans,
Patrick Dupond sera nommé Danseur Etoile à l’Opéra de Paris à l’âge de 20 ans, où
il interprétera les plus grands ballets de façon magistrale. Sollicité sur les scènes du
monde entier, il aura une carrière triomphale, deviendra directeur du Ballet national
de nancy, puis du Ballet de l’Opéra de Paris pendant 5 ans. En 2000, un terrible accident de voiture le fracasse. quarante fractures.
On lui annonce qu’il pourra peut-être marcher, mais plus jamais danser. C’est méconnaître la volonté de ce danseur hors du commun.
aidé par Max Bozzoni, il reprend l’entraînement. Sa rencontre avec Leïla Da Rocha en 2005 sera déterminante.
Héritière d’une tradition ancestrale, formée à la danse contemporaine, Leïla Da Rocha a toujours souhaité redonné ses lettres de
noblesse à la danse orientale en l’ouvrant au métissage. Fusion est né de cette rencontre intime de deux artistes que tout semble
dissocier, du métissage de l’Orient et de l’Occident avec toute la richesse de leurs différences. Danser à la rencontre des autres…
Ozamu
ConCeRT DoUbLe pLATeAU
CLAIRe DenAMUR
AURÉLIe CAbReL
D’origine « moitié argentine, un quart hollandaise et
un quart française », Claire Denamur a vécu jusqu’à ses
15 ans aux Etats-Unis dont elle a gardé la culture musicale.
aujourd’hui elle s’affirme ce 2e album envoûtant, concocté
en collaboration avec Da Silva, avec une tonalité résolument
néo-country et néo-folk : Vagabonde.
Look androgyne à l’appui,
elle aborde différents
thèmes de société,
dénonce l’individualisme
envahissant, la rudesse des
sentiments et déjà, à tout
juste 27 ans, la nostalgie
du temps qui passe ;
mais elle l’assume avec
une belle détermination !
D’une voix profonde,
avec un timbre légèrement
éraillé, Claire Denamur
nous dévoile une belle
personnalité, en quête
de liberté.
Sacré challenge
pour celle qui fut
l’inspiratrice d’un des
plus beaux albums de
son père Sarbacane,
qui a grandi dans la
musique, puis a pensé
faire carrière dans les
coulisses dans le rôle
de manager.
Et puis, celle qui écrivait des textes en secret,
s’est laissée guider par son père qui lui a proposé
de suivre un stage de chansons à astaffort.
De ce stage et de sa rencontre
avec Esthen, auteur-compositeur belge, la création
et la réalisation d’un album se sont concrétisées,
avec un titre tout trouvé Oserais-je ?
avec ses immenses yeux bleus qui lui illuminent le
visage, aurélie Cabrel dévoile une personnalité à la fois
fragile et forte, celle d’une jeune femme de 25 ans, qui
redoute de passer à l’âge adulte, qui s’interroge sur ses
choix de vie, mais aussi qui assume une belle féminité.
L’alliance des arrangements musicaux résolument poprock et de la voix à la fois fragile et mûre, donne à cet
album un caractère particulièrement envoûtant.
Jan Welters
17
ce mois-ci
CINÉ
18
Astérix et Obélix :
Au service de sa
Majesté 3D et 2D
Comédie Française
de Laurent Tirard
Avec Gérard Depardieu,
Edouard Baer,
Guillaume Gallienne
bis, rue de la Station - 08 92 68 12 85
Henri Langlois [email protected]
- Fermeture le lundi
(0,34 € la minute)
Le Chien
du Tibet
Une nouvelle
chance
Film d’animation
Japonais, Chinois
de Masayuki Kojima
Drame Américain
de Robert Lorenz
Avec Clint Eastwood,
Amy Adams, Justin
Timberlake
Clochette et le Twilight - Chap. 5 :
secret des fées Révélation 2e partie
Film d’animation
Américain de Peggy
Holmes Avec Mae
Whitman, Lucy Hale,
Raven-Symoné
Argo
Nous York
Film Fantastique,
Thriller, Drame de Ben Comédie Française de
Romance de Bill
Affleck Avec Ben
Géraldine Nakache,
Condon Avec Robert
Affleck, Bryan
Hervé Mimran Avec
Pattinson, Kristen
Cranston, John
Leïla Bekhti, Géraldine
Stewart, Taylor Lautner
Goodman
Nakache, Manu Payet
Du côté de la Médiathèque 01 39 32 66 09
FESTIVAL DU CONTE DU VAL-D’OISE
Heure du conte : gnomes, sorcières et compagnie
Samedi 10 novembre, 10h30
Médiathèque - 7 ans et plus
FESTIVAL DU CONTE
DU VAL-D’OISE
FESTIVAL DU CONTE
DU VAL-D’OISE
Conte : Océanie, collier des dieux
Samedi 10 novembre, 17h
Espace Saint-Exupéry (salle polyvalente)
Ados, adultes - Places limitées
Inscriptions sur place et au 01 39 32 66 09
Délit de lire
Médiathèque - 12 ans et plus
Spectacle interactif
Soirée enquête à Franconville :
quand le spectateur devient acteur…
Compagnie Twins Animations
Médiathèque - Public ados-adultes
Places limitées - Inscriptions sur place et au 01 39 32 66 09
Conte : petite goutte d’eau,
voyage au gré du vent
Mercredi 28 novembre, 10h30
Médiathèque 18 mois - 3 ans
ÉCOLE DE MUSIQUE DE DANSE ET D’ART DRAMATIQUE AGRÉÉE
➜S
CENE OUVERTE
Les classes d’instruments
Mardi 20 novembre, 19h Ecole de musique
➜ R enseignements auprès de l’accueil
de l’École de musique : 01 39 32 68 43.
dans la limite des places disponibles
côté sports
RÉSULTATs
Basket
PAC 95
➜ Après s’être imposées à Rennes 69 à 60 pour le compte de la première
journée de Championnat NF1, les joueuses du Basket Club Franconville
PB ont reçu l’équipe de Wasquehal : défaite 68-76 après prolongation.
➜D
eux nouveaux prix d’équipe sur route pour le PAC 95 à Epinay-surSeine. En 2e et 3e catégorie, Philippe Ropars (2e), Maximilien Andreo
(3e) et Mickael Moulinier (7e) ont permis au club de remporter son
19e prix d’équipe de la saison.
➜A
drien Dailly, pilote cadet
2e année du BCVO Franconville, a gagné, en catégorie
junior, la quatrième et dernière manche de la Coupe de
France VTT d’Enduro à Font
Romeu. Au classement final
de la Coupe de France d’Enduro VTT 2012, il est 2e en catégorie Junior et termine 16e
au scratch, toutes catégories
confondues, sur 288 compétiteurs classés.
➜A
vec seulement 3 coureurs du club au départ de cette épreuve
sur 44, Arnaud Pierru (2e) Adrien Goutière (9e) et Thomas Pruvot
se sont surpassés pour remporter eux aussi un très beau prix
d’équipe.
➜L
e PAC présentait une petite équipe en minimes à Mennecy : Antonin Clay (3e), Lucas Silva (8e) et Gaetan Buirette (10e) ont démarré
cette saison en fanfare avec un premier prix d’équipe.
➜E
nfin, en VTT, Yann Fromont associé à un coureur des Sangliers du
Vexin, a remporté les 3h de Saint-Crépin (Oise), tandis que Julien
Oberti (vainqueur des 4h de Villers-en-Arthies la semaine précédente) terminait 3e avec Frédéric Ramon.
SPORTS
➜ Un Paris-Londres à vélo au temps des J.O.
« Une expérience humaine
enrichissante... ». Adhérente
depuis six ans au Cyclo club de
Franconville, Ghislaine Brion
résume son périple à vélo qui
l’a mené de Paris à Londres au
mois d’août la veille de l’ouverture des Jeux paralympiques.
Le voyage sportif était organisé
par la Fédération Française de
cyclotourisme. Au programme :
120 km pour rejoindre Dieppe en
passant par Gisors, Bazincourt,
Forges-les-Eaux, Bures, SaintVast, Dieppe. La cyclote franconvilloise faisait partie d’un
groupe de 250 cyclotouristes
composé notamment des 80 cyclos du Pékin-Paris-Londres, de
sportifs handicapés et de leurs
accompagnateurs, de 24 jeunes
filles du Comité Régional Olympique et Sportif d’Ile-de-France
avec leurs éducateurs. Partis
de Paris le 24 août, après avoir
traversé le Channel et débarqué
à Newhaven, les cyclos français ont été rejoints à Crowley
(dernière étape) par des cyclos
anglais qui les ont accompagnés au pied du Tower Bridge.
Ghislaine Brion est revenue de
Londres avec plein de souvenirs parmi lesquels : l’ambiance
et l’émotion des Jeux, une rencontre fortuite avec un médaillé
d’or nigérian, une réception à l’Institut de France (en présence du Ministre des Sports
français et de l’Ambassadeur de France au Royaume-Uni !) et une météo « so british ! »
RENDEZ-VOUS
Foot en salle
➜ Mercredi 7 novembre, 9h à 17h,
gymnase du Cosec
Patinoire
➜ Vendredi 9 novembre, 20h45-minuit :
Gala de glace « Comme au cinéma sur la
glace »
Patinoire
➜ Samedi 17 novembre, 14h30, patinoire :
soirée Coup double, patinez l’après-midi et
revenez gratuitement à la Soirée latino
19
Bicross
prenez note
MAIRIE
Permanences Boutique
de gestion
9 et 23 novembre
La Mairie organise des permanences gratuites
d’aide à la création d’entreprise le 9 novembre,
matin, à la Maison de l’Europe et le 23 novembre,
toute la journée, à l’Espace Fontaines.
20
Cérémonie du 9 novembre
➜ Prendre rendez-vous au 01 39 32 67 24.
La commémoration de la mort du Général De
Gaulle se déroulera place Charles De Gaulle le vendredi 9 novembre à 19h30.
94e anniversaire
du 11 novembre 1918
Verdun, Douaumont, les taxis de Marne, la bataille
de la Somme, les tranchées : notre mémoire collective est remplie des clichés et des expressions de
souffrances vues sur les visages des Poilus. La Première Guerre mondiale a causé la mort de 9 millions de soldats en Europe - dont 1,4 million de
soldats en France. Chaque 11 novembre, l’histoire
convoque les Français et les appelle à se souvenir
de la première tragédie du XXème siècle toujours
présente dans nos esprits… à presque un siècle de
distance. Une tragédie qui a pris fin le 11 novembre
1918, à 11 onze heures, en application de l’armistice signé à l’aube à l’intérieur d’un wagon isolé
dans la forêt de Compiègne, en présence des représentants des belligérants et du généralissime des
armées alliées, le futur Maréchal Foch à qui l’on
doit cette réflexion : « Les peuples cessent de vivre
lorsqu’ils cessent de se souvenir. »
Dimanche 11 novembre
10h messe en l’Eglise Sainte-Madeleine - 11h Parvis de la Mairie, rassemblement et départ pour le
cimetière - Retour à la mairie.
Avec le concours des Sapeurs-pompiers, de l’Harmonie
Big Band de Franconville, du Comité de la CroixRouge, des Secouristes de Franconville et du Souvenir
Français. Des porte-drapeaux et des responsables d’associations locales.
Thé dansant
16 novembre
Le CCAS organise un thé dansant au Centre socioculturel de l’Epine-Guyon le vendredi 16 novembre
de 14h à 17h30.
Circuit cimetière
1er et 21 novembre
Depuis le 21 mars, le « Circuit de Taxi–Cimetière » a
été remis en place, une fois par mois aux dates suivantes : mercredi 1er novembre et mercredi 21
novembre. Les modalités d’inscriptions sont : une
simple inscription à la mairie au service du CCAS
permet de remettre aux personnes une carte qui
sera à présenter au chauffeur de taxi.
CONSEILS
DE QUARTIER
Fête de la noix
Samedi 17 novembre
Le Conseil de quartier des Noyers de Saint-Edme
fête la noix le samedi 17 novembre de 11h30 à
13h30 à la Maison de la Mare des Noues, rue de la
Mare des Noues. Nombreuses spécialités aux noix
à découvrir. Quizz et jeux. Entrée gratuite.
➜ 01 39 32 67 26/83.
ASSOCIATIONS
Nicolas Layani
chante « YVES MONTAND »
18 novembre
Spectacle proposé par le CFCF
Nicolas Layani : Chant - Bruno Desmet dit Zinzin :
Accordéon - Laurent Chevauché : Piano - Fred :
Contrebasse
Dimanche 18 novembre à 15h - Théâtre Jean Cocteau – Espace Saint Exupéry - Durée 1h20
Ancien élève du Petit Conservatoire de Mireille,
Nicolas Layani a créé au Petit Journal Montparnasse à Paris, puis en Avignon en 2011, ce spectacle en hommage à Yves Montand. A la fois
comédien et chanteur, Nicolas Layani a multiplié les collaborations artistiques, de Robert
Hossein au Palais des Sports, à Jean-Paul Belmondo, au Théâtre Marigny, dans la reprise
flamboyante de Cyrano de Bergerac. Pour faire
revivre les chansons inoubliables d’Yves Montand, il s’est associé avec l’accordéoniste Zinzin,
surnommé ainsi par Pascal Sevran, avec lequel il
a collaboré à l’émission La chance aux chansons
pendant plus de 20 ans, ainsi que Laurent Chevauché au piano, et Fred à la Contrebasse. C’est
avec plaisir que nous retrouvons les chansons
plus ou moins connues d’Yves Montand,
recréées par ce quartet qui allie le charme, l’humour et la virtuosité.
➜T
arifs : Plein tarif : 10 €
Tarif réduit (- de 18 ans) : 8 €
Permanences CFCF au 1er étage de l’Espace
Saint-Exupéry : Mardis 6 et 13 novembre
de 17h à 19h - Samedis 10 et 17 novembre
de 10h à 12h
Renseignements : CFCF : 06 45 15 76 56
Soirée orientale
24 novembre
L’association Les enfants du Nil organise une Soirée
orientale le samedi 24 novembre à partir de 20h à
l’Espace Saint-Exupéry. Vente des billets (10 euros)
à l’Espace Saint-Exupéry les 20 et 22 novembre de
15h à 19h.
➜A
ssociation Les Enfants du Nil
15 rue Tailhade - 95130 Franconville
01 34 13 33 33 et 06 86 18 65 44
Dons du sang
24 et 25 novembre
Les dates de collecte de sang par l’Etablissement
français du sang auront lieu le samedi 24 novembre
de 9h à 13h et de 14h à 16h à la Maison des Associations 2 rue du Maréchal Foch et le dimanche 25
novembre de 9h à 13h au Centre Socioculturel de
l’Epine-Guyon 2 rue des Hayettes.
Après-midi festif
de Fleurs d’amour
25 novembre
Le dimanche 25 novembre à 14h30 au 64 boulevard
Maurice Berteaux, salle Jean-Paul II, l’association
Fleurs d’Amour organise un après-midi festif. Participation de 5 euros par personne. Gratuit pour les
enfants de moins de 10 ans. Au programme : le Gospel d’Osny, un prestidigitateur, des danses orientales
et un orchestre de jeunes. Le projet cette année est
l’alphabétisation et l’apprentissage à un métier pour
des adolescentes en détresse recueillies par le centre
Maria Goretti. Actuellement elles sont une soixantaine de pensionnaires à l’entière charge du centre.
Foire aux vêtements d’hiver
30 novembre
et 1er décembre
L’association Loisirs Amitié Culture organise une
Foire aux vêtements pour adultes et enfants les 30
novembre et 1er décembre au Centre socioculturel de
l’Epine-Guyon. Retrait des étiquettes le 27 septembre de 14h à 19h30, vente des étiquettes le mardi
20 novembre, dépôt le jeudi 29 novembre de 10h à
19h, vente le vendredi 30 novembre de 14h à 19h et
le samedi 1er décembre de 10h à 17h30. Restitution le
lundi 3 décembre de 14h30 à 19h. Maximum accepté
par déposant : 20 articles + linge de maison.
➜ Centre socioculturel de l’Epine-Guyon,
2 rue des Hayettes. 01 34 15 88 06.
Voyage en solitude,
comédie musicale
9 et 16 décembre
« Il y a une histoire qu’il faut que tu connaisses. Elle
nous concerne tous. C’est l’histoire d’un homme
qui a cru pouvoir trouver son chemin seul. Il voit
bien qu’il s’est trompé, mais il a peur de revenir… »
Cette comédie musicale transpose dans le monde
moderne la parabole du Fils Prodigue. Catherine, la
fille cadette, coupe les ponts avec sa famille lors du
mariage de sa sœur aînée. Elle s’en va aux EtatsUnis pour un voyage en solitaire, qui la conduira
finalement au bout de la solitude. Comment
pourra-t-elle en revenir ?
11 comédiens, 8 chansons originales, de la danse,
du rire et de l’émotion pour un spectacle qui ne
vous laissera certainement pas indifférent.
➜D
imanche 9 décembre à 16h30
Centre socioculturel de l’Epine-Guyon,
Franconville - Entrée libre et gratuite
➜D
imanche 16 décembre 2012 à 16h30 Eglise Evangélique, 69bis rue du Pré Brochet,
Sannois - Entrée libre et gratuite
LA vIe en vILLe
Les inscriptions électorales et les recensements militaires peuvent se
faire en ligne sur le site : mon.service-public.fr
Il vous sera nécessaire de créer un compte. Des justificatifs numérisés seront demandés et parviendront au service communal concerné.
DEManDEs D’état civiL
Les demandes d’acte de naissance, mariage ou décès peuvent désormais être faites par le site internet : www.acte-etat-civil.fr
La mairie de Franconville ne pourra délivrer que les actes dont l’événement est survenu sur la commune. Elle ne possède pas les registres
des communes voisines (Le Plessis-Bouchard, Ermont…) et n’a donc
pas les actes. Qui délivre les actes ?
Les actes de naissance/mariage ne peuvent être délivrés que par la
mairie du lieu de naissance/mariage. Les actes de décès sont délivrés
par la mairie du lieu de décès ou par la mairie de domicile du défunt
(transcription de décès). Qui peut obtenir l’acte ?
Les copies intégrales d’acte de naissance ou de mariage ne peuvent
être délivrées qu’à l’intéressé(e) lui-même, à ses ascendants ou ses
descendants majeurs. Les copies intégrales d’acte de décès sont délivrables à tous requérants.
10 000 Missions DE sErvicE civiqUE PrêtEs
PoUr DEs JEUnEs voLontairEs
10 000 missions de Service Civique ont été mises en ligne sur le site
www.service-civique.gouv.fr, proposées par les organismes agréés
par l’Agence du Service Civique, aux jeunes qui souhaitent s’engager
comme volontaires pour une période de 6 à 12 mois. Pour faire son Service Civique quand on a moins de 26 ans, la principale condition est la
motivation. Les missions de Service Civique couvrent 9 thématiques ;
elles offrent l’opportunité de s’engager auprès de publics variés, comme
par exemple : venir en aide aux sans abris, accompagner des personnes
âgées, soutenir les personnes handicapées dans leurs activités sportives ainsi que par exemple sensibiliser les enfants aux sciences.
Le Service Civique est un engagement volontaire au service de l’intérêt général pour tous les jeunes de 16 à 25 ans. Il s’effectue en
France ou à l’Etranger pour une mission d’au moins 24 h par semaine.
Il est indemnisé 570 €* net par mois. Pour la plupart des missions,
seuls comptent les savoirs-être et la motivation. Le Service Civique
peut être effectué dans 9 grands domaines : culture et loisirs, développement international et action humanitaire, éducation pour tous,
environnement, intervention d’urgence en cas de crise, mémoire et
citoyenneté, santé, solidarité, sport.
*465,83 € net par mois pris en charge par l’État, complétés au minimum
à hauteur de 105,96 € net par mois par l’organisme d’accueil. Cette indemnité peut être majorée de 106,04 € net par mois sur critères sociaux.
➜ www.service-civique.gouv.fr
Unis-cité rEcrUtE DEs
voLontairEs En sErvicE civiqUE
Une société plus solidaire ? Plus tolérante ? Plus ouverte ? C’est possible ! Les volontaires en service civique d’Ile-de-France s’y engagent.
Agés de 17 à 25 ans, ils consacrent 6 ou 9 mois à temps plein pour faire
bouger la société en s’investissant dans des missions de solidarité : lutte
contre la discrimination, sensibilisation au développement durable et à
la consommation responsable, renforcement du lien social avec les personnes âgées, accompagnement périscolaire d’enfants… Ils unissent leur
forces au sein d’une équipe, mettent leurs idéaux en actions et vivent
une expérience humaine unique. Pour les aider à accomplir leurs missions, les jeunes sont accompagnés par des professionnels et bénéficient de formations spécifiques. Des formations citoyennes et un dispositif d’accompagnement à la valorisation du volontariat sont également
dispensés. Une indemnisation mensuelle de 457 € + 103 € de frais en
nature leur est attribuée, ainsi qu’une protection sociale complète.
➜ 01 40 37 60 98.
L’UDaF rEchErchE DEs BénévoLEs
L’Union Départementale des Associations Familiales du Val-d’Oise (UDAF
95) recherche des bénévoles pour développer l’action « Lire et faire lire »
en partenariat avec la Fédération des Œuvres Laïques du Val-d’Oise,
coordinateur départemental de la Ligue Française de l’Enseignement.
➜ 01 30 75 00 25 - [email protected]
L’association FranÇaisE DEs scLérosés
En PLaqUEs rEchErchE DEs BénévoLEs
Dans LE vaL-D’oisE
L’AFSEP (Association Française des Sclérosés en Plaques) recherche
un(e) ou des bénévole(s) dans le Val-d’Oise pour compléter l’équipe
déjà existante. Volontaire et disponible, le bénévole est touché directement ou indirectement par la sclérose en plaques. Il deviendra le
correspondant de l’AFSEP dans son département. Il aura pour mission
de faire connaître l’association et la maladie en menant régulièrement
des actions au plan local, par le biais de rencontres amicales, de réunions d’information, de groupes de paroles ou de manifestations de
collectes de fonds. Il est nécessaire d’avoir le sens de l’écoute pour
soutenir les personnes atteintes de sclérose en plaques, les informer
et les orienter dans leurs démarches administratives. Afin de mener
à bien sa mission, le bénévole bénéficiera d’une formation, et, sera
encadré par les membres du siège social.
➜ 05 34 55 77 00 ou [email protected]
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long : 30 sortes de fromages au lait cru, à la coupe ou à l’unité.
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inscriPtions éLEctoraLEs Et rEcEnsEMEnt
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ABONNEZ-VOUS
à la Newsletter de la mairie :
[email protected]
service pratique
Vos maires adjoints
Marie-Christine CAVECCHI
1er adjoint au maire, communication,
affaires Scolaires, restauration
Tous les jours en mairie sur RDV
- service Scolaire : 01 39 32 66 13
- service Communication : 01 39 32 66 02
Françoise LASCOT
Petite enfance, enfance, centres de Loisirs,
Jeunesse, Conseil Municipal des Jeunes,
Politique de la Ville
Samedi : 10h-12h sur RDV en mairie.
22
FAIRE-pART
Roland CHANUDET
Vos conseillers
municipaux délégués
Pierrette CATUSSE
B ienvenue aux bébés
JUILLET
Transports, voirie
Tous les jours sur RDV Bât administratif.
01 39 32 66 59
30 Anna-Elina GANNE
Max-Elian GANNE
Jean-Hubert MONTOUT
23
24
28
29
30
31
Logement
sur RDV en mairie.
01 39 32 66 48
Alda BAUGÉ
Jumelage, Médiathèque
Samedi : 9h-12h et en semaine
sur RDV Espace Saint-Exupéry.
01 39 32 67 38
Sports
Samedi : 9h-12h sur RDV
Bât administratif. 01 39 32 67 14
Claude FINCK
Viviane BETIS
Muriel MICHAUT-Nicolae
Informatique
AOUT
Christopher DIDIER
Kristen BONY
Maëlle BONY
Ilyes BOUARFA
Maxime PELLERIN
Nolan CASTEL
Lysanna MARQUES
Lilia DA SILVA
Assia TLEMÇANI
Taslim FAUTRAI
Gabin CORNIOU DUVAL
SEPTEMBRE
Affaires sociales
Mardi après-midi et jeudi matin
sur RDV en mairie. 01 39 32 67 77
Environnement, service Hygiène et
Santé. Samedi : 10h-12h sur RDV
Roger LANDRY
Charles SOUIED
Finances, budget
Mardi et Jeudi : 9h30-12h
sur RDV en mairie. 01 39 32 67 28
Eva HINAUX
Culture, École de Musique,
Événementiel culturel.
Sur RDV : 01 39 32 66 05
Yousef BENLARBI
Espaces verts, Parcs et Jardins.
Ateliers municipaux et bâtiments,
garage, propreté de la ville.
Mardi : 10h-12h sur RDV
Eve Wozniak
Commerce, développement économique,
marchés de détail
Sur RDV 01 39 32 67 60
Azzedine JABR
Centre de Santé
Mardi : 14h-16h sur RDV.
01 39 32 66 29
Henri FERNANDEZ
Service Entretien
Mardi : 18h-19h30 ; jeudi : 18h-19h30 ;
samedi 10h-12h sur RDV. 01 39 32 67 60
George YVARS
Laurie DODIN
Personnel communal
Tous les jours sur RDV en mairie.
01 39 32 67 00
Alain VERBRUGGHE
Urbanisme, PLU, habitat, administration des
services Techniques, travaux neufs des
bâtiments. Mardi : 9h-11h sur RDV
Xavier MELKI
Conseils de quartier, voirie, réseaux divers,
entretien des travaux neufs de voirie,
réglementation. Tous les lundis sur RDV.
01 39 32 66 64 et 01 39 32 67 26
Service à la population : état civil,
cimetière, élections, recensement
Samedi : 10h-12h sur RDV en mairie.
01 39 32 66 48
Bruno DE Carli
Seniors
01 39 32 67 77
MICHEL DONOT
01Tiago QUIATOL FERNANDES
DOS SANTOS
02 Dayana GBIZIE
03 Léo FAUCHEREAU BERTHAUME
04 Janaa IBOUGHAGH
05 Evan BOUCARD
Ashley BOUCARD
07 Raphaël MAGNAC - WEBEDEMBOM
Souleymane SIAD
08 Ruben CARPENTIER
Paul-Horeb DJESSEBIO
Adriana CALIN
SEPTEMBRE
01
08
22
29
A vec nos regrets
Christian LE ROUX
SEPTEMBRE
➜ et d’autres permanences
• Sur le Marché du Mail : les 10 et 24 novembre
Francis Delattre reçoit en mairie sur rendez-vous et en permanence libre
le dernier vendredi du mois à partir de 16h.
Marie-Christine Cavecchi, Vice-présidente du Conseil général
du Val-d’Oise reçoit sur rendez-vous.
Gérard Sébaoun, Député de la 4e circonscription (Franconville Citoyenne) :
chaque 4e samedi du mois, sur rendez-vous de 10h à 12h à la Maison des associations,
pendant les périodes d’ouverture. Tél : 06 15 58 85 65.
01
02
04
05
Maîwenn BARREAU
Dorine SCHEFFLER
Lassana KANTE
Ashley NANA
Ahsen KARATEPE
OCTOBRE
Guillaume PUT & Aurélia BIARD
Grégory FERNANDEZ & Aurélie FISCH
Alexandre JORGE & Fanny ALESSANDRINI
Sébastien COUR & Virginie BOURROUSSE
Abdelhalim TEYAB & Julie THOMAS
Frédéric GIRARD & Laetitia TROIS
Jean-Pierre TREBAUX & Pascale DUPUIS
Francis CHABÉ & Valérie GODICHEAU
Idir BELHOUL & Sarah AÏT DJOUDI OUFELLA
Alexandre METZLER & Sophie LANNIAUX
Brice GUIGNO & Jeanne CHARRIERES
Nadir COSKUN & Farah AZZAOUI
AOUT
Outre leur présence sur le terrain au quotidien où vous pouvez les rencontrer selon leur délégation,
les élus vous reçoivent sur rendez-vous.
Safia KASSOU
Aliya BERKA
Sarah MASSON
Maëlys THUMEREL
Amine JAÂLI
Lyam BOINOT JEREMIE
Amina ATMANE
Dany FIGUEIRINHAS
Alix ONDO ONA
Sarah ABGHOUR
Yanis BOKO OTSHINGA
Manon RUZÉ BARTOLI
Fatima-Zahra BENSOUNA
Chayma SASSI
Hafsa EL BOUAZZAOUI
Isaac KACHACH
Jeanne AMIRAL
Ethan HEMBERT
Maddy MOJON
Léa BRANDIN
Messi-Milo MICHEL
Saïd KSOURI
Kaïs MHAYA
T ous nos vœux de bonheur
Aire d’accueil des gens du voyage
01 39 32 66 00
Sécurité
2e samedi du mois sur RDV
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22 Suzanne PIGEAT née ROUSSEL
30 Claude GIESSNER
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René HANANIA
Jacques BOITIER
Michel LEDOUX
Gaëtan DESPREZ
Roland GOULON
Marc SARROUILLE
Yves BARUTEL
Pierre-Marie FAGES
Anaïs HAGAREL
Jacqueline PLAUD née FIENT
James MENARD
Mireille SANCHEZ née MARNOT
Yves MOREAUX
Mohamed-El-Bachir ATHMANI
Oudom EAP
David CHAMAS
tribune libre
Union Franconville avenir
Halte à la désinformation !
Gouverner c’est anticiper…
Comme vous, nous constatons que le journal municipal est
devenu l’organe de propagande de la majorité municipale. Des
pages et des pages pour justifier son action … Nous condamnons
cette situation dans laquelle la majorité municipale loin de
défendre les intérêts des Franconvillois défend ses propres
intérêts, au frais des contribuables.
Sur le cinéma Henri Langlois : la majorité municipale se réjouit
du passage du cinéma au numérique. Elle ne dit rien sur son
inaction durant ses 3 dernières années, laissant la fréquentation
du cinéma baissée et ses finances se dégradées. Pas un mot
non plus sur son projet d’implantation d’un multiplexe sur les
espaces verts de la butte de Cormeilles, avorté suite à l’avis
défavorable de la Com. Nat. d’Aménagement Commercial.
Sur les équipements scolaires : Les promesses électorales – celles
de la réhabilitation des écoles J. Ferry et de la F. Bertin – sont loin
et la majorité municipale est rattrapée par le développement de la
ville. Pour preuve : une 1ère adjointe, M. C. Cavecchi plus qu’hésitante
sur la prévision des effectifs scolaires à 3 ans. N’oublions pas que
la majorité en est venue à vendre des terrains municipaux pour
boucler le budget et réaliser les travaux des écoles. On a vu mieux
en matière de gestion de bon père de famille.
Sur le développement urbain et la révision (encore !) du PLU : ce
sont les mêmes qui nous expliquaient hier que la densification
et l’accroissement de la population étaient un danger pour
l’équilibre de la ville qui défendent aujourd’hui le « laissez-faire »
des promoteurs. Toujours les mêmes qui nous disaient en 2009 :
« le PLU, c’est pour 15 ans », qui le modifient chaque année au
gré des opportunités, sans cohérence, ni vision d’ensemble.
Sur la politique du logement : le passage sur les affectations de
logements sociaux est « scandaleux » ! Au-delà de la démagogie
dont F. Delattre est coutumier, il est une insulte pour tous ceux
qui ont des difficultés à se loger. Les non Franconvillois ne sont
pas des sous-citoyens. Entre le logement social partout et les
programmes immobiliers à 4 000d/m2, il existe une politique
publique équilibrée du logement à mettre en œuvre afin de le
rendre accessible à tous.
Le journal municipal doit être un média citoyen, au service de tous
les Franconvillois, et non l’organe de presse d’une majorité politique.
www.franconvillecitoyenne.net
Alors que le gouvernement s’apprête à prélever 1,5 milliard
sur deux ans de dotations aux collectivités territoriales, leurs
représentants locaux s’étonnent que nous poursuivions à
mener une politique destinée à élargir notre base fiscale…
A défaut, ce sont les taux des impôts locaux de Franconville qui
seraient relevés, ce à quoi nous nous refusons !
A ceci s’ajoute la réforme en cours de la taxe professionnelle qui
sera totalement transférée aux Communautés d’agglomération
en 2013.
Outre le grand flou quant aux intentions de ce gouvernement
sur les partenariats qu’il souhaite conduire avec les communes,
nous devons prendre des décisions aujourd’hui qui anticipent
une situation où nous ne disposerons plus que de deux
impôts pour faire fonctionner les services de la ville, avec 700
employés : la Taxe d’Habitation et la Taxe sur le Foncier bâti.
A ceci s’ajoute le discours sur le besoin de ce pays à stopper
son endettement : cela tient pour les collectivités locales.
Ainsi, nous sommes fiers de n’avoir emprunté que 1 million
d’euros en 2011 et de ne pas avoir emprunté en 2012 tout en
ayant investi 29 millions d’euros en valorisant certains terrains
(montant total : 5 723 000 € en 2011 et 3 482 000 € en 2012)
dont le total a couvert le financement de la restructuration
des écoles de notre ville et l’entretien du patrimoine
communal (bâtiments, voirie etc..).
Agir pour Franconville
2e modification du PLU
Pour la 2e fois en moins de 3 ans, le plan local d’urbanisme (PLU)
« de long terme » va être modifié. Parmi les quartiers concernés :
• Bordures de l’A115, côté « Franconville » (résidence pour
personnes âgées) et côté « Ermont » (espace vert au lieu de la
chaufferie initialement prévue)
• Nouvelles possibilités de construction en limite d’Ermont et du
Plessis-Bouchard (chaussée Jules César / rue de Cernay)
• Nouvelles règles de retrait pour les divisions de terrain UI
(individuel)
Comme d’habitude, nous vous invitons à être vigilants. Nous le serons.
modem-franconville.fr
Ceci c’est du concret, ce n’est pas l’aventure.
A toutes fins utiles, voici quelques éléments chiffrés concernant
les subventions de la ville au Ciné Henri Langlois :
- 60 000 € en 2010
- 80 000 € en 2011
- 60 000 € en 2012 + 60 000 € d’avance de subvention pour
2013 pour acquisition du système numérique.
La Ville a pris en charge la modernisation de la façade de l’Espace
Saint-Exupéry afin de valoriser le cinéma et la communication
sur les programmes et les films projetés. L’opposition, qui fait
partie du Conseil d’Administration, n’a jamais émis quant à
elle, la moindre idée pour développer le cinéma.
[email protected]
23
Franconville citoyenne
DÉCOUVERTE
« voyages
tous »
pour
a soufflé ses 20 bougies
24
L
’association créée il y a vingt ans par Eric Charreau a doublé le nombre de ses adhérents en 10
ans. Une centaine de personnes adhèrent actuellement à cette association orientée vers l’organisation
d’activités de loisirs-voyages. Escapades, repas à
thème, soirées dansantes, sorties à la patinoire, weekend ski, randonnée équestre, journée karting, visites
des caves du Beaujolais... le programme est varié et
toutes les occasions sont bonnes pour se retrouver
entre amis dans une association qui cultive avec succès la fraternité et la convivialité. Eric Charreau
déclare « Ce qui nous unit : l’amitié et la bonne
humeur ». Et ça marche ! Deux à trois sorties sont programmées chaque mois, et certains films vidéos postés sur Youtube font partager l’ambiance de certaines
sorties et voyages. Un journal-vidéo de l’association
est créé tous les deux mois.
➜ Voyages pour tous - Eric Charreau 06 82 70 19 54
Le Billard Club et ses succès
l
e Billard Club Franconville, créé il y a 20 ans, se porte très bien. Riche de 130
licenciés, il figure au premier rang des 12 clubs du Val-d’Oise et occupe le 2e rang
en Ile-de-France.
Pierre Bibaut, champion d’Europe des moins de 17 ans
Formé au club, remarqué en 2009 après avoir qualifié son club pour la finale du
Championnat d’Ile-de-France en « 3 bandes », Champion de France cadet en 2010,
Pierre Bibaut, 17 ans, a honoré une nouvelle fois son club en lui offrant cette saison un
titre européen. C’est la première fois que le BCF décroche un titre de Champion d’Europe. Pierre Bibaut, appartient désormais à la catégorie des sportifs de haut niveau
reconnus par le ministère de la Jeunesse et des Sports. Un record qui honore ce club
formateur présidé par Michel Rouzay, classé parmi les meilleurs clubs nationaux.
La salle la plus fréquentée du CSL
La salle Roger Baumeyer ouverte en 2006 regroupe 12 billards français. « C’est la
salle du CSL la plus fréquentée » déclare Michel Rouzay. Elle reçoit par jour (7 jours
sur 7) plus de 50 pratiquants adhérents.
Evénement : le Championnat de France cadets par équipe
les 26 et 27 janvier
Le podium du Championnat d’Europe à Billy Montigny
Sous l’égide de la Fédération Française de Billard, le BCF/Billard Club Franconville organise les 26 et 27 janvier 2013 un Championnat de
France de jeunes de moins de 19 ans. La compétition est ouverte aux clubs nationaux qui possèdent une école de billard. Cette compétition
regroupe généralement 4 à 6 équipes de 3 joueurs.
➜B
illard Club Franconville - Michel Rouzay - 01 30 72 90 67 - [email protected] - www.bcfranconville.com
disparition
Disparition d’un Franconvillois
dévoué à la France
en images…
[1]12 septembre
Sos Rentrée organisé
par la Mission locale
Vallée de Montmorency
[2]14 septembre
Nuit de la glisse
à la patinoire
[1] [2]
25
Nous avons appris le décès le 19 juillet dernier de M. Michel
Dantin à l’âge de 88 ans. Francis Delattre lui avait remis le 18
juin 2010, au cours d’une émouvante cérémonie, les insignes
de Chevalier de la Légion d’Honneur. Médaillé de guerre 193945, titulaire de la Croix du Combattant, de la Croix de guerre
TOE (théâtre d’opérations extérieures), Croix de la France
Libre, de la Médaille Coloniale. Michel Dantin, né en Martinique en 1924, engagé volontaire dans les troupes de Marine
à 18 ans, a mené une vie exemplaire au service de la France. Il
participé aux combats de la Libération de la France en Afrique
du Nord notamment, dans le Sud de la France avant de participer à la guerre d’Indochine. Sa carrière militaire se poursuivra après la guerre jusqu’en 1966. Rendu à la vie civile il exercera le métier d’infirmier jusqu’à sa retraite. Ses amis conserveront le souvenir d’un
Franconvillois qui alliait la gentillesse et la modestie. Monsieur Dantin faisait partie de cette génération d’hommes dont la jeunesse a été marquée
par la Seconde Guerre mondiale et dont la carrière professionnelle s’est accomplie, pour l’essentiel, sous les drapeaux, au service de la France.
Nous présentons à sa famille toutes nos condoléances.
en images…
[3]15 et 16 septembre
Forum des associations
Les années 80
[4]16 septembre
Accueil des nouveaux
arrivants
[3]
[4]
26
[5]22 et 23 septembre
Exposition-vente Playmobil
J.P. Broussin
[6]23 septembre
Promenade découverte : le
Quartier de l’Hôtel de Ville
[5] [6]
[6]
[7]28, 29 et
30 septembre
Les 3F
[8]28 septembre
Inauguration de quatre
ruches pédagogiques
[8]
27
[7]
[9]
[9]29 septembre
SICSEF : Journée
Portes ouvertes
[10]29 septembre
Un après-midi pour
sauver sa ville organisé
par le Conseil Municipal
des Jeunes avec l’aide
des Scouts
[10] [11]
[11]29 septembre
Un fruit, une saison,
un geste pour
l’environnement,
organisé par le
Conseil de Quartier
du Séquoïa de la Gare
IMPRIMER
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Novembre 2012 - Franconville

Transcription

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