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Bulletin officiel Volume 15, No 1 29 janvier 2015 À lire dans ce numéro… MOT DU DG  Mot du DG (suite)  100 % À l’amorce de 2015 p.2  Sondage Mobilisa on du personnel p. 3  Internet Nous sommes déjà à la fin du mois de comparaison. Dans ce e op que, nous janvier. Mais il n’est pas trop tard pour ne pouvons être sa sfaits des résultats ! souhaiter à vous toutes et tous Un plan d’ac ons devra être élaboré, mes souhaits pour la nouvelle année. mais ce e fois, au lieu d’être conçu à Bien sûr, de la santé et du bonheur à par r du point de vue de la haute direc‐
profusion ! on, il sera basé sur les proposi ons émanant des personnes et des équipes. Je me dois d’emblée de souligner une Pour ce faire, vous serez invités à belle réussite en ma ère de préven on participer, dans les prochaines et de contrôle des infec ons. En effet, semaines, à des groupes de discussion cela fait bientôt un an que nous pour échanger sur les résultats n’avons pas eu une nouvelle éclosion en secteur hospitalier. Un travail considérable a été accompli par les équipes de soins et d’hygiène salubrité. Nous le savons tous, le combat contre les bactéries en est un qui ne finira jamais. Alors bravo Un travail du sondage et éme re des considérable proposi ons d’améliora on. a été accompli Je ne peux évidemment passer par les équipes sous silence la situa on de soins et budgétaire de l’établissement d’hygiène qui s’améliore constamment. salubrité. Ainsi, à la fin de la période 10, à toutes et à tous ! Maintenons notre rigueur, notre constance et notre persévérance dans nos ac ons ! Nous avons également reçu les résultats nous avons dégagé un autre surplus. Nous devrions donc terminer l’année en équilibre budgétaire, ce qui, je dois le souligner, est un exploit pour l’organisa‐
on. Bravo à toutes et à tous et du sondage sur la mobilisa on du par culièrement aux centres d’ac vités personnel. Merci aux 382 personnes qui du secteur de l’hôpital qui, par le passé, ont complété le ques onnaire ! Ce occasionnaient la bonne propor on du nouveau sondage démontre une légère dépassement budgétaire. La par e n’est améliora on des résultats servant à toutefois pas terminée car le surplus mesurer le climat organisa onnel. budgétaire actuel provient d’économies Agrément Canada se dit sa sfait des temporaires qu’il faut remplacer par des résultats dans le cadre du processus mesures permanentes. C’est tout de d’agrément. De notre part, malgré ce e même une bonne nouvelle, car nous améliora on, nous constatons que nos avons un bien meilleur contrôle de nos résultats des 8 indicateurs sont dépenses. inférieurs à la moyenne des résultats pour chacun des indicateurs du groupe d’établissements u lisés pour fin de [lire la suite en page 2]  Lancement officiel  Concours‐éclair  Bo n des aînés d’Argenteuil p. 4  CMDP ‐ Portrait  ITSS  Histoire pour enfants p. 5  Amis des bébés  Persévérance scolaire p. 6  Campagnes de sensibilisa on  Capsule DRH p. 7  Noël un retour  Comité des loisirs p. 8  Fonda on  Centraide p. 9  Soins pallia fs  La mort  Au revoir p. 10  Donnez au suivant  Noël des résidents p. 11  Né que e  Intranet p. 12 Congé de février Vendredi 13 février Semaine de relâche du 1er au 7 mars Congés de Pâques Vendredi saint, 3 avril Lundi de Pâques, 6 avril 2 À l’amorce de 2015 (suite de la page 1) Que nous réserve donc 2015 ? Une nouvelle réforme se jeunesse, le CRDP Le Bouclier et le Centre du Florès en présentera à coup sûr dans la foulée du projet de loi 10. deuxième ligne, ne sont pas parfaitement alignés et À moins d’un revirement de situa on, si je me fie aux travaux complémentaires, ce qui crée bien souvent des obstacles dans de la commission parlementaire, la région des Lauren des sera le parcours de soins pour l’usager. L’autonomie légale et composée d’un seul centre intégré de santé et de services administra ve dont disposent les établissements actuels, ayant sociaux (CISSS). Le mot intégré dans l’appella on prend tout chacun à leur tête un CA et une direc on générale qui leur son sens. Il s’agit, en fait, d’une véritable intégra on des sont propres, ne favorise pas toujours comme il se doit une missions et des services dans une région avec une ligne d’auto‐
cohérence et une concerta on des ac ons et ne place pas rité, de gouvernance et d’imputabilité plus claire, notamment toujours comme il se doit l’usager au centre des décisions. En par l’aboli on d’un palier, soit celui de l’Agence régionale. tant que directeur général, j’en fais le constat au quo dien. De grandes avancées furent constatées depuis la créa on des Nous vous endrons informés de l’évolu on de ce dossier. CSSS. Toutefois, ceux‐ci fonc onnent malheureusement encore trop en silos et les services de première ligne des CSSS Yves St‐Onge, directeur général avec ceux des établissements régionaux comme le Centre Intrigue en la demeure... 100 %... Intrigués par toutes les affiches 100 % qui tapissent notre environnement, n’est‐ce pas ? Eh bien voilà ! Le 11 janvier 2015… nous sommes arrivés à terme, tous ensemble ! Ce fut 9 mois de travail et d’a en on de tous les instants. 9 mois à y voir, à le créer ensemble. 6 574,5 heures, 394 470 minutes !!! 9 mois à le souhaiter, à y penser, à y croire, parfois à y douter… 9 mois d’engagement, de dur labeur et de nausées à certains moments, à changer nos habitudes, à se soutenir mutuellement ! 9 mois de persé‐
vérance, de constance et de rigueur ! 9 bons mois ! Oui, on peut dire que 9 mois sans la moindre éclosion d’ERV à l’USCD révèle que l’on est capable de croire en nos objec fs, que l’on est ca‐
pable de croire surtout qu’on peut les a eindre ! Mission accomplie à 100 % ! Ce premier objec f a eint, visons maintenant le suivant : Visons 100 % de mains propres ! La poli que d’hygiène des mains sera implantée sous peu. La par cipa on de tous est essen elle à sa réalisa on. Ensemble nous pouvons faire la différence, toute la différence ! 100 % de mains propres, ça vous tente ? Moi j’embarque à 100 %. Et toi ? Manon Bergeron Conseillère en préven on et contrôle des infec ons Merci à tout le monde pour votre pa ence. Vous avez été nombreux à nous interroger sur la défini on de tous ces 100 % affichés partout dans l’établissement. Maintenant, quand vous verrez l’un de ces 100 %, vous savez : 100 % de mains propres ! Avez‐vous lavé les vôtres tout récemment ? Ps ! Raison de plus pour avoir son désinfectant pour les mains… à portée de main au quo dien 
Si la serrure d’une por ère de voiture est gelée, injectez‐y du désinfectant, il fera fondre la glace ! Astuce offerte par Manon Gauthier, AstraZeneca Canada 3 Sondage Mobilisa on du personnel Vous avez su relever le défi ! MERCI ! Vous avez par cipé en grand nombre au sondage Mobilisa on du personnel : 62 % ! Vous avez répondu de manière construc ve, ce qui nous a permis d’iden fier nos zones de fragilité dans l’ensemble du CSSS et aussi dans chacune des équipes et chacun de nos services. Un taux de réponse très sa sfaisant. Voici ci‐dessous un échan llon des données cumulées. Nous vous invitons à lire d’autres faits saillants du sondage et l’ensemble des résultats sur Intranet \ À lire \ Nos rapports. Principaux faits saillants Profil des répondants  Taux de réponse en hausse  Climat organisa onnel amélioré pour l’ensemble des indicateurs Personnel infirmier 23 % Inhalothérapeutes 2 %  Indicateur en hausse : Communica on Préposés aux bénéficiaires et auxiliaires familiales 21 % Personnel des services auxiliaires et mé ers 6,5 % Personnel de bureau, techniciens et professionnels de l’administra on 10 %  Indicateurs en baisse : Collabora on et Leadership  Rela on avec le supérieur immédiat et entre collègues : respectueuse et juste  Climat de travail plus posi f au sein des équipes que pour l’ensemble de l’établissement Sur 382 répondants 6 % Techniciens de la santé et des services sociaux 5,5% Professionnels de la santé et des services sociaux Personnel d’encadrement 4 % Médecins et pharmaciens 3 % 19 % Sans réponse Résultats globaux des 8 indicateurs Compara fs sondages précédents 2010 2011 2013 % % % 73 71 76 Indicateurs Réalisa on Implica on 65 65 59 Collabora on 70 71 76 Sou en 59 59 64 Communica on 57 59 61 61 62 65 ‐ ‐ ‐ Leadership organisa onnel * Leadership du ges onnaire * Santé et environnement de travail 2014 % 75 73 74 65 62 54 68 62 * L’indicateur Leadership a été scindé en 2 catégories en 2014 Perception globale du climat de travail 2013 % 2014 % De façon générale, je suis sa sfait du climat de travail dans l'organisa on 65 65 De façon générale, je suis sa sfait du climat de travail dans mon équipe 77 74 J'ai l'inten on de demeurer à l'emploi dans mon organisa on pour plusieurs années encore 82 79 Mon organisa on est un milieu de travail que je recommanderais 70 67 Nos forces ! 1 De façon générale, je suis capable de résoudre les problèmes que je rencontre dans mon travail 83 % 2 De façon générale, je contribue à améliorer l'organisa on du travail dans mon secteur (équipe) 82 % 3 Je dispose de l'autonomie nécessaire pour accomplir mon travail 82 % 4 Je suis fier de ce que j'accomplis dans mon travail 82 % 5 La plupart du temps, les tâches que j'ai à accomplir correspondent à mes compétences 81 % Nos points à travailler 1 2 Au cours des dernières années, la direction a démontré sa capacité à développer des projets stimulants pour l'ensemble du personnel De façon générale, dans mon organisation, les problèmes sont traités dans un délai raisonnable 39 % 38 % 3 Les activités de reconnaissance, présentes dans mon organisation, sont satisfaisantes 37 % 4 De façon générale, je fais confiance à la direction pour les décisions qu'elle prend sur la façon de répondre aux besoins de la clientèle 34 % 5 De façon générale, je considère que la qualité de l'air dans mon milieu de travail est adéquate 34 % www.csssargenteuil.qc.ca 4 Lancement officiel Le 20 janvier dernier, le CSSS d’Argenteuil lançait officiellement son tout nouveau site Internet. Toujours à la même adresse, mais un changement de look complet, une naviga
on des plus conviviales et un contenu beaucoup plus étoffé ! L’environnement de notre site web a été conçu à notre image, par notre monde. Il est le fruit d’un beau travail d’équipe en con nu. Un site Internet d’un établissement tel que le nôtre est une vitrine incontestable. Avant même son lan‐
cement, notre site a reçu pour décembre seulement, alors que nous é ons en période de rodage, pas moins de 1 900 visites, et sur ce nombre, 1 284 étaient des visiteurs différents ! Voilà pourquoi il faut être soucieux de son contenu. Dès qu’il y a des changements, il faut aviser l’a achée de sa direc on pour s’assurer que ceux‐là soient apportés sur le site. Avant que l’usager ne se déplace, il prend de plus en plus l’habitude de consulter en ligne. Ici, nous de‐
vons également les inviter à consulter notre site. L’habitude doit se vivre dans les deux sens. Le site Internet du CSSS d’Argenteuil se révèle aussi un bon ou l de travail pour le personnel. Quand on est moins familier avec un aspect ou un autre de notre milieu, souvent la réponse à notre ques on est sur une page de notre site. N’hésitez donc pas à vous y référer en tout temps ! Si des usagers ou même des collègues vous interrogent régulièrement sur vos services offerts, il serait peut‐être per nent de les retrouver sur le site... Résultats du concours‐éclair 1. Où trouve‐t‐on la liste des ac vités tenues au CSSS, dans la communauté ou ailleurs dans le monde, par exemple pour les Journées de la persévérance scolaire qui se dérouleront en février ? Page‐réponse : Accueil \Renseignements généraux \ Nos ac vités 2. Comme usager, vous ne savez pas qui voir ni où vous diriger. Sur quelle page trouverez‐vous réponse à vos ques ons ? Page‐réponse : Accueil \ Besoin de consulter ? 3. Où trouve‐t‐on le dernier rapport Agrément Canada 2013 ? Page‐réponse : Accueil \ Documenta ons \ Publica ons \ Publica ons corpora ves \ Rapports d’agrément 4. Où trouve‐t‐on la liste des divers sou ens proposés par le CSSS en ce qui concerne la personne en perte d’autonomie ? Page‐réponse : Accueil \ Soins et services \ Aîné ‐ Personne en perte d’autonomie 5. L’usager devra subir une coloscopie prochainement et il souhaite lire à la maison toute l’informa on en lien avec cet examen qui le stresse. Où se trouve ce e informa on ? Page‐réponse : Accueil \ Soins et services \ Informa ons pra ques \ Qu’est‐ce qu’une coloscopie Et les gagnantes sont... Parmi tous les bulle ns de par cipa on reçus, nous avons procédé à un rage au sort en présence de la direc on des services administra fs. Les personnes gagnantes, remportant chacune un ensemble de 6 verres à pied en cristal, gracieuseté de la Fonda on de l’Hôpital d’Argenteuil, sont… 1 Emma Barnes Crevier (DRH) 2 Louise Masse (DCPA) 3 Mar ne Modérie (DSI‐SP‐SM) Bottin des aîné(e)s d’Argenteuil Édition de janvier 2015 disponible Bo n convoité par divers organismes et distribué large‐
ment auprès des personnes aînées sur le territoire d’Argenteuil, il est une source de références essen elles. Que l’on y cherche des numéros de téléphone d’urgence, d’associa ons ou d’orga‐
nismes divers, de services en lien avec les droits, l’éduca on ou les loisirs par exemple, le Bo n répond à bien des a entes chez nos personnes aînées. Besoin du numéro de téléphone d’une phar‐
macie ? Besoin d’un transport ou d’un accompagnement ? De l’aide domes que ? Des services de santé ? Bref, le Bo n voit à offrir une informa on diversifiée et la plus complète possible. Réalisé par la Table de concerta on Parole aux aînés d’Argenteuil, le Bo n reçoit un sou en finan‐
cier de plusieurs organismes. La dernière édi on, janvier 2015, a fait l’objet d’une belle refonte. Apportez un Bo n à vos proches et expliquez‐leur comment en faire usage. C’est gratuit ! CMDP ‐ Portrait 5 Brigi e Lallement, pharmacienne « Quand j’étais pe te, je voulais être pro‐ l’harmonie qui y règne, l’entraide, le sou‐ préven on des infec‐
fesseur. Un peu après, c’est le domaine de en que j’y trouve qui me font tant aimer ons, CMDP…). la santé qui m’a a rée. Pour mes études mon travail et mon milieu. » Il lui plaît par Décidément, le travail supérieures, j’ai procédé par élimina on exemple de toucher à un peu toutes les de pharmacien au dans les divers programmes et voilà, la tâches, ce que permet un établissement de CSSS est dynamique pharmacie l’a emporté ! Et c’est tout à fait première ligne. et ressourçant pour elle. moi ! Pour preuve, j’aime toujours me Ici, le pharmacien est appelé sur différents Mais Brigi e Lallement, lever le ma n pour venir au travail. » C’est fronts, donc adieu la monotonie ! Brigi e la connaissons‐nous s’assure que les médicaments administrés vraiment ? Femme authen que, ce que « Si l’une de mes filles voulait être conviennent au pa ent (versus sa fonc on l’on perçoit d’elle est juste : fille d’équipe, pharmacienne, oui, je l’encouragerais » rénale), voit aux interac ons avec sa médi‐ calme et réservée. Elle avouera que trop en ces quelques mots que notre pharma‐
ca on, s’il y a lieu, et ajuste la dose. Les de réserve parfois lui joue des tours... cienne Brigi e Lallement a dressé un pharmaciens du CSSS se partagent diverses Dans la vie, elle est la mère de Camille et survol de son parcours d’hier à aujourd’hui ! tâches dont la médica on pour les usagers Julie e, 13 et 11 ans, et sa famille vaut son Pharmacienne depuis 1997, ce e femme en traitement de chimiothérapie, l’ajuste‐
pesant d’or, famille qui lui offre son pe t originaire de Saint‐Placide exerce sa pro‐ ment du Coumadin® (an coagulants) et cocon dont elle a besoin au quo dien. Sa fession au CSSS d’Argenteuil depuis mai des médicaments pour les pa ents en dose quoi ! Si tennis et pickle‐ball se 1999, donc depuis bientôt 16 ans. soins pallia fs. De plus, le pharmacien est pra quent régulièrement, un voyage toujours présent pour répondre aux À l’écouter, elle ne travaillerait pas ailleurs. l’interpelle de temps en temps, mais elle ques ons des médecins et des infirmières. D’abord et avant tout, c’est l’équipe de la opte dès qu’elle peut ‐ jamais assez ! ‐ L’équipe de pharmaciens se partage pharmacie qui la garde ici. « J’adore non pour la lecture, histoire de renouer avec également une par cipa on à divers comi‐
seulement le travail en pharmacie d’hôpi‐
elle‐même. tés (pharmaco‐nursing, pharmacologie, tal, mais c’est la stabilité de mon équipe, Propos recueillis par Suzanne Séguin ITSS Le réseau de la santé se mobilise pour faire face à l’augmenta on L’objec f de mobilisa on et de sou en du réseau quant à la des ITSS (Infec ons transmissibles sexuellement et par le sang) probléma que des ITSS doit être poursuivi, et ce, malgré le contexte chez les 15 à 24 ans. de changement annoncé auquel il faudra faire face dans les pro‐
chains mois. Les ITSS con nueront à se propager et à infecter nos Argenteuil y était Le 1er décembre dernier, notre équipe jeunes, peu importe la forme que prendra l’organisa on, non ? en préven on ITSS était présente lors de la journée théma que sur le sujet, journée qui a réuni des Source : ASSS des Lauren des membres des sept CSSS de la région, du Centre Jeunesse des Lauren des, du Centre de réadapta on en dépendance et des organismes communautaires dont le Centre Sida Ami é et l’Écluse des Lauren des. À ce groupe s’est ajoutée une équipe du CSSS – Ins tut universitaire gériatrique de Sherbrooke.  La journée théma que s’est déroulée en trois étapes : On part d’où ?, Où veut‐on aller ? et Comment y arrive‐t‐on ? Ce e mobilisa on a permis à la direc on de santé publique des Lau‐
ren des de connaître les besoins du réseau. Les données recueillies serviront de base à l’élabora on d’une planifica on régionale intégrée en ITSS. Ce e planifica on devra perme re de soutenir le travail pour prévenir, dépister et traiter plus et mieux. Autour de la table du CSSS d’Argenteuil, on reconnaît (dans le sens horaire) : D r e F r a n c e D e s b i e n s , Cindy Deland (IPS), Pier P. Lortie (IUGS Sherbrooke), Carole Gravel (inf.), Sylvie Desro‐
siers (inf.), Lauraine Cyr (chef de services Santé publique), Michèle Morin (IUGS‐Sherbrooke) et D re France St‐Pierre. Histoire pour enfants Il était une fois, dans une salle d’a ente d’une urgence bondée, des poupons pleuraient, des fille es et garçonnets n’en pouvaient plus d’a endre d’être appelés au micro par le docteur, parce que tous ces pe ts choux souffraient. Le temps y était tellement long, si long qu’une fée finit par passer par là. « Si je ne peux guérir ces enfants, il faut au moins que je fasse quelque chose pour les aider à oublier leur mal », s’était‐elle convaincue. Et en un coup de bague e magique, des dizaines de films pour enfants apparurent, flambant neufs ! Aussitôt, on inséra un premier DVD. 5‐6 paires d’yeux se tournèrent vers l’écran, des sourires se dessinèrent sur les visages des pe ts, mais aussi des grands. Quand le docteur appela la pe te Rose, elle se mit à pleurer. Non pas qu’elle avait mal, mais plutôt qu’elle ne voulait pas manquer la suite de son film… Ah ! Merci à fée Diane Kennedy ! 6 Amis des bébés Le CSSS et l’allaitement maternel Saviez‐vous que dans le cadre du programme « Amis des bébés », le CSSS d’Argenteuil a l’obliga on d’informer les familles des bienfaits de l’allaitement maternel et des ressources disponibles dans leur com‐
munauté ? Eh oui, c’est la 3e condi on de notre poli que d’allaitement maternel adoptée au CSSS. Ici dans Argenteuil, plusieurs services s’offrent à nos nouvelles familles. Lorsque vous êtes enceinte, nous Chantal Morrisse e e
vous offrons la possibilité d’assister à quatre rencontres prénatales : infirmière Ma grossesse ‐ par r du bon pied Caroline Brutsch Caroline Brutsch
Accouchement et naissance nutritionniste Le nouveau‐né et ses besoins Devenir parents et le retour à la maison Les bienfaits de l’allaitement maternel pour bébé et maman Saviez‐vous que pour certains bienfaits, la protec on est sont abordés dans le cours du nouveau‐né et ses besoins. propor onnelle à la durée de l’allaitement ? Ça donne le goût d’allaiter le plus longtemps possible ! Lors d’un cours prénatal vous avez le privilège de discuter avec des familles allaitantes expérimentées. En bonus, l’allaitement contribue à réduire les dépenses en temps et en argent ; et quel bonheur pour notre environne‐
Outre les an corps présents dans le lait maternel qui dimi‐
ment ! Quoi de mieux… nuent les risques d’infec ons diverses, connaissez‐vous Vous êtes enceinte ou connaissez une femme qui a end un d’autres raisons d’allaiter ? enfant ? Contactez‐nous ! Il nous fera plaisir de répondre à vos Si l’on vous disait qu’il existe autant de bonnes raisons d’allai‐
ques ons et vous faire part des différentes ressources ter que de bonnes raisons de s’en réjouir ! Vous en pensez disponibles dans notre belle région. quoi ? Au‐delà des bienfaits pour bébé, la mère en profite tout autant. L’allaitement peut, entre autres, réduire les risques de dépression post‐partum et de développer diverses formes de cancers, en plus de prévenir l’ostéoporose. Coin allaitement Accueil 0‐5 ans 450 562‐3761, poste 72403 Un espace désigné Le CSSS d’Argenteuil est cer fié Amis des bébés depuis 2004 et vise la recer fica on à l’automne 2015. L’un des critères de qualité Amis des bébés est non seulement de perme re aux mamans d’allaiter partout dans le CSSS, mais de réserver un espace désigné pour la maman qui recherche un endroit plus in me pour nourrir au sein son poupon. Dans ce cadre, un nouvel espace, dissimulé par un paravent, a été installé dans la salle d’a ente, secteur Centre de ren‐
dez‐vous. Soyons respectueux et gardons cet espace invitant. N’hési‐
tons pas à proposer cet endroit consacré à toute maman qui allaite. Persévérance scolaire Un kilomètre à marcher bien significa f ! Élèves, enseignants de toutes écoles, membres de la communauté, du 16 au 20 février, venir marcher votre kilomètre pour la persévérance scolaire, c’est démontrer votre appui à la cause. Pour une 6e année consécu ve, les gens de toutes les entreprises de la région sont invités à joindre la cause et à souligner la persévé‐
rance scolaire en par cipant à la « marche synchronisée » et en portant le ruban vert et blanc de la persévérance scolaire. Porter le ruban de la persévérance scolaire, c‘est afficher son engagement à soutenir les jeunes dans leurs efforts et leur réussite scolaire. Pour info. : prel.qc.ca/communaute‐perseverance Source : PREL (Partenaires pour la réussite éduca ve dans les Lauren des) Le ruban vert et blanc est l‘expression d‘une valeur, d‘un engagement à l‘égard de la persé‐
vérance scolaire. Le vert symbolise la jeunesse et l‘espérance. Il représente les jeunes qui ont besoin de reconnaissance et de valorisation pour persévérer. Le blanc, synthèse de toutes les couleurs, est la métaphore de la communauté qui contribue au développement des jeunes. Les deux rubans, entrecroisés, illustrent le lien qui les unit. La boucle, ouverte vers l‘infini, est la promesse d‘un avenir meilleur. 7 Campagnes de sensibilisa on Le Défi 5|30 Équilibre 6 semaines de mo va on pour améliorer nos habitudes de vie ! En solo, en famille ou en équipe, du 1er mars au 11 avril  Apprenez à vous organiser pour manger mieux  Trouvez vos façons pour bouger plus  Arrêtez un moment pour prendre soin de vous Inscrip ons en cours ! Capsule DRH SAVIEZ‐VOUS QUE… ...en cas d’absence maladie, le CSSSA paie les 104 premières semaines ? Après quoi, ce sont vos assurances collec‐
tives (contribution à chacune de vos paies) qui versent votre salaire, et ce, jusqu’à 65 ans si votre invalidité est permanente.
Absence maladie de 3 jours et moins Quoi faire si vous n’êtes pas à remplacer ? Contactez votre supérieur immédiat Quoi faire si vous devez être remplacé ? Contactez votre supérieur immédiat S’il vous est impossible de joindre votre gestionnaire, contactez l’assistante‐chef ou autre personne déléguée et le bureau des horaires Absence maladie de 3 jours et plus Quoi faire ? Vous devez obligatoirement fournir un certificat médical au 4 e jour d’absence au bureau de santé Le certificat médical doit comprendre :  Diagnostic  Durée de l’absence  Les suivis médicaux  Les traitements Veuillez noter que l’employeur peut, dès le premier jour d’absence, demander le certificat médical. Surveillez bien notre prochaine capsule ! 8 Clins d’œil du party de Noël Party des employés Au rythme des Beatles, près de 150 personnes ont par cipé au tradi onnel party de Noël le 12 décembre dernier au Club de golf de Lachute. La soirée a débuté par un délicieux souper suivi de plusieurs heures de déhanchements sur une piste de danse qui en a vu bouger plus d’un ! À souligner ! Chaque année, un couple, devenu célèbre et pour cause, se pointe à la fête en prenant le thème toujours très au sérieux : Dre France Desbiens et Denis Corbeil, psychologue, tous les deux de l’équipe jeunesse, se sont plus que large‐
ment inspirés du look Sergent Peppers. Très réussi ! Année après année, on a end le couple avec beaucoup de curiosité. Merci pour votre originalité ! Photos gracieuseté Louise Beauchênes Avis de recherche Boucle d’oreille perdue ? Trouvée ! À récupérer à la DRH Personnel au travail—Prix de présence 25 décembre Pierre Henry Patrick Lanthier Alexandra Guay 1er janvier Karen Jacobsen Stéphanie Cross Manon Laframboise Message du Comité des loisirs Des idées d'activités qui pourraient intéresser le personnel du CSSSA vous trottent dans la tête ? N'hésitez pas à entrer en communication avec la présidente du comité des loisirs, Manon Desjardins, infirmière auxiliaire à l’unité du Pavillon, ou avec le vice‐président, Roger Larocque, préposé aux bénéficiaires à l'URFI. 9 Ça bouge à la FHA ! Depuis septembre 2014, la Fondation a reçu au‐delà de 62 000 $ en dons afin de continuer à soutenir notre CSSS. Voici quelques moments forts de remises de dons... Des fauteuils pour l’hémato‐onco En septembre dernier, la clinique d’hémato‐oncologie du CSSS recevait quatre nouveaux fauteuils de traitement, entièrement financés par l’entremise de dons remis à la FHA. Une valeur totale de près 23 000 $. Ces dons sont issus de la générosité de plusieurs personnes ayant perdu un être cher à la suite d’un combat contre le cancer. La Fondation tient à remercier particulièrement la famille Cousineau pour son don offert en mémoire de M. Marc Cousineau, et M me Diane Kennedy (Comeau) pour son don en mémoire de sa sœur Vivian Dewar (Comeau) et de son époux Donald Kennedy. Depuis, des plaques commémoratives ont été installées en hommage à ces familles qui ont apporté leur soutien à la Fondation. Enbridge Tim Hortons LA FHA veut remercier les employés Un immense merci aux membres du personnel qui ont participé aux deux collectes de fonds des derniers mois. Tirage des billets de hockey dans le cadre de la campagne Centraide/FHA Belle réussite ! Quelques nouveaux adeptes et ceux qui étaient déjà inscrits au programme du prélèvement à la source ont tous accepté de donner ! Valmont Gagnon À ce jour, le total amassé annuellement est de 1 566 $. La gagnante de la paire de billets pour assister au match des Canadiens est… Élaine Cardinal ! Bravo ! Verres à Vin Bohemia Trudeau La FHA a écoulé 67 boîtes (de 6 verres) lors d’une vente en kiosque en décembre, ce qui a permis d’amasser 724 $, tout pour la Fonda on ! Merci encore ! Lachute Motor Sport Club Campagne Centraide 2014 La campagne Centraide 2014 s’est officiellement terminée avec la remise de nos gains à l’organisme Centraide Lauren des. Avant de clore le dossier jusqu'à l'automne prochain, il nous fait plaisir de vous partager ces bons résultats. Avec une campagne de 2221 $ au final, nous avons: • ...dépassé le cap du 2000 $ grâce à l'appel à tous lancé en décembre • ...doublé la campagne de 2013 (1093 $) • ...recruté 19 donateurs du CSSSA. Considérant que, dans les Lauren des seulement, deux CSSS ont amélioré leur campagne, considérant la mouvance du réseau de la santé, nous sommes par culièrement fiers du résultat de la campagne 2014 et nous vous remercions grandement pour votre belle générosité. Mar ne Ayo e et Suzanne Séguin, comité organisateur Quand la fin est proche... Après la naissance, le moment le plus si‐
gnifiant de la vie est la mort. On sait toute notre vie que ce moment viendra, et de plus en plus avec l’âge, mais souvent on ignore quand il frappera. 10 Piste de réflexion expériences. Et chacun éprouve un en‐
semble d’émo ons, tristesse, colère, peur, légèreté, etc., qui teinte nos réac ons, nos pensées. Devant la mort, nous ne pou‐
vons qu’être unique. Quelle est ce e couleur qui nous est propre ? En trouvant La mort fait peur. Elle provoque l’incom‐
la réponse, nous pourrons plus facilement préhension, suscite des réac ons de fuite, vivre l’épreuve. des a tudes de rejet. Comment accompa‐
gner le mourant ? Comment limiter l’isole‐ On entend souvent dire que la mort fait ment de son entourage, impuissant ? par e de la vie. Ajoutons, oserait‐on dire, Comment rendre à la mort la place qui lui qu’elle mul plie sa valeur. Apprendre à soit propre ? La réponse est‐elle dans vivre nous aide à découvrir nos forces face notre façon à nous d’apprivoiser notre à la mort. Comme la vie met de nom‐
propre mort ? N’est‐ce pas devant la mort breuses expériences sur notre route, u li‐
prochaine de quelqu’un qu’on aime ou de sons chaque expérience pour apprendre à quelqu’un qu’on soigne qu’émergent ces mieux vivre et à apprivoiser la mort. Et si ques ons ? Ce moment devient alors pro‐ la vraie ques on était : Comment vivre ? pice à la réflexion. Prenons‐le comme une Côtoyer un mourant ne laisse personne occasion de mieux se connaître soi‐même. indifférent, et quand apparaît une sorte L’enfant qui assiste à la perte d’un proche d’indifférence, comprenons que derrière par exemple, sans que l’événement ne lui se cache un malaise profond. On ne sait soit expliqué, qui voit ceux qu’il aime trop que faire, s’il faut réagir ou l’éviter, s’effondrer, nourrira un tel sen ment lui parler de ce qui se passe, lui cacher la d’impuissance et d’incompréhension peine que crée son départ proche… La qu’une peur innommable face à la mort mort est LA perte ul me. Et si toutes les s’agitera en lui à chaque occasion de deuil pertes de notre vie étaient tout autant de tant et aussi longtemps qu’il n’aura pas moyens d’apprivoiser la mort ? Et si la fait la lumière sur ce e expérience. Re‐ mort de l’autre devenait une occasion connaître ce e expérience, si tel est le cas, privilégiée de s’arrêter, de réfléchir et de partager sur notre percep on de la mort ? l’aidera à mieux vivre les pertes à venir. On se rendrait compte que le regard porté Il n’existe pas de rece e toute faite sur sur l’événement change un peu. comment bien mourir ni comment bien accompagner une personne en fin de vie. Contrairement à ce que l’on peut penser, Pas de méthode éprouvée pour enseigner apprivoiser la mort n’est pas acquérir la l’art d’être à l’aise avec la mort. À chacun capacité de ne pas éprouver d’émo on son cheminement personnel et ses ré‐ face à la perte, bien sûr que non, mais flexions sur la mort, sur SA mort. Parce plutôt être en mesure de les reconnaître, qu’indubitablement, la mort de l’autre de les laisser vivre en étant conscient nous interpelle sur notre propre mort… qu’ils ne sont qu’une par e de nous. sans minimiser, sans essayer de nous réconforter. On parle souvent du silence devant l’événement. Le silence, denrée rare dans notre monde bruyant, est un moment à privilégier. Il est essen el pour prendre contact avec soi, avec l’autre. L’intervenant L’intervenant devient un exemple pour la famille touchée. Plus que jamais, il est observé. Il a pour tâche d’accompagner le mourant, les proches. Il devient primordial alors pour lui de soigner ses propres deuils parce que chaque fois, la mort se charge de lui ramener ses deuils non réso‐
lus… Devant la mort, l’intervenant n’est surtout pas à l’abri ; il est d’abord et avant tout humain. Dans l’accompagnement, l’écoute est primordiale. Une écoute a en ve dans le respect de la personne saura créer ce lien de confiance qui amène le mourant ou ses proches à partager non seulement leurs émo ons, mais aussi leurs ques ons et leurs propres réponses. Et il y a l’espoir… Trouver un objet d’es‐
poir réaliste aide à poursuivre, malgré toutes les difficultés : l’espoir de réaliser un rêve avant de mourir, l’espoir de mou‐
rir avec le moins de douleur possible, l’es‐
poir de laisser quelque chose à ceux qu’on qui e… Par exemple, ce e dame en fin de vie à qui l’on a demandé quel moment de l’année elle préférait d’entre tous. À sa réponse, l’intervenante en a discuté avec ses proches et, ensemble, ils ont fêté Noël en novembre, la chambre joliment décorée pour l’occasion. Aidons à conserver de l’espoir ! Chacun de nous est unique. Il va de soi Prenons le temps de regarder nos émo‐ Sylvie Desrosiers, infirmière clinicienne en que l’on réagisse à sa façon selon nos va‐ ons, d’en discuter avec quelqu’un qui soins pallia fs… aujourd’hui à la retraite leurs, nos forces, nos faiblesses et nos saura nous écouter vraiment, sans ajouter, Suzanne Séguin, agente d’informa on Au revoir Sylvie Desrosiers ! Je tenais à vous écrire un pe t mot afin d’exprimer ma gra tude à chacun d'entre vous. Comme je n’habite pas la région, les gens de mon entourage ont souvent ques onné mon choix. Malgré certaines journées exigeantes, j’ai toujours proclamé haut et fort que c’était à cause des gens que j’avais choisi de travailler au CSSS d’Argenteuil. Des gens de cœur qui, lorsqu’il « t’adopte », t’intègre et te garde dans la « famille ». J'ai vécu, au cours des cinq dernières années, des moments de joie, de partage et de tristesse. Certaines journées ont été exi‐
geantes, mais la présence de chacun d’entre vous a fait la différence. Je ne nommerai personne de peur d’en oublier, mais vous me connaissez, vous savez à quel point la rencontre avec chaque être humain est importante pour moi. Merci du plus profond de mon cœur de votre précieuse collabora on auprès de la clientèle en soins pallia fs. J’ai semé quelques grains qui con nueront de grandir. Aujourd’hui, nos routes se séparent, mais les expériences, les échanges et les bonheurs partagés restent. Au plaisir de vous revoir, Sylvie
Mille mercis ! 11 Donnez au suivant En novembre dernier avait lieu la 5e édi on de la populaire jour‐
née Donnez au suivant pour la clientèle de l’hébergement du CSSS d’Argenteuil. Une ac vité fort populaire ini ée par Miche‐
line Ouellet, infirmière auxiliaire retraitée de l’hébergement et massothérapeute, et moi‐même, Sylvie Guay, récréologue au CSSS. Dans le tourbillon de notre vie, nous avions le goût d’offrir des pe ts moments de bonheur à la clientèle hébergée en leur offrant des soins gratuitement. Je voulais que nos résidents soient gâtés en recevant un soin d’une durée de 30 minutes environ. Pour que ce désir devienne réalité, il fallait solliciter des professionnels dans le domaine de la massothérapie, de l’esthé que et de la coiffure. Au fil des ans, la journée Donnez au suivant a été améliorée et a Quelque 100 résidents ont profité permis de recruter des professionnels généreux d’un soin par culier et passionnés par leur mé er. Nous avons aussi des employés du CSSSA qui ont une forma on dans ces différents domaines, ils n’ont pas hésité à donner leur journée. D’ailleurs tous ces professionnels le font gratuitement. Sans compter la présence des bénévoles de l’hé‐
bergement qui assurent le transport et la supervision du casse‐
croûte durant le déroulement. préparé en tenant compte des contraintes du milieu. Alors, le personnel infirmier travaille fort ce e journée‐là pour que les résidents soient fin prêts pour profiter des soins qui leur seront apportés dans la journée. Les résidents adorent ce e ac vité ! Ils apprécient de pouvoir se faire dorloter. Les commentaires sont aussi très posi fs de leur part et un calme règne sur les uni‐
tés durant les heures qui suivent, car les soins ont des effets bénéfiques et relaxants pour la plupart d’entre eux. Ce e ac vité demande un temps énorme au niveau de la prépa‐
ra on. C’est pourquoi la contribu on de stagiaires en loisirs est essen elle. Nous avons pu profiter d’une commandite pour un buffet bien apprécié, pour les professionnels le midi et pour une pe te colla on à chaque résident après leur soin. Les ailes du palais à St‐Janvier ont fait preuve d’une grande générosité à notre égard et nous les remercions. De plus, ce e année j’ai voulu développer le concept Donnez au suivant car l’objec f est de redonner au suivant. Alors, j’ai fait un mémo s’adressant aux familles afin de les inciter à redonner à leur tour. Ce fut fort intéressant de voir encore une fois cet élan de générosité qui s’est concré sé par différentes ac ons de leur part auprès de notre clientèle et aussi dans la communauté. Les commentaires recueillis sont unanimes : « Ça fait du bien de faire du bien ! » Les personnes impliquées es ment ce e jour‐ En terminant, je remercie sincèrement tous les acteurs et sou‐
née extraordinaire et souhaitent pouvoir revenir en 2015. Il est haite longue vie à ce projet ! sûr que les équipes de soins des secteurs sont mis à contribu‐
Sylvie Guay on. Un horaire des soins pour chaque professionnel doit être Récréologue Professionnelles présentes : soins de mains, esthé cienne, soins de pieds, réflexologie, faciales, coiffeuses et massothérapeutes Bénévoles : Ils ne manquent pas ! Ce type d’ac vités les touche par culièrement, parce que les résidents se font gâter ! La journée Donnez au suivant a sollicité 32 personnes dont la récréologue, 2 stagiaires en technique de loisirs et une poignée de bénévoles et de professionnelles empreints d’une grande générosité ! « Donner ainsi est un baume pour le cœur, une caresse pour l’âme »  Noël de nos résidents Quelque 30 bénévoles se sont réunis pour bien gâter nos résidents. C’était Noël à l’unité du Pavillon le 10 décembre dernier ! Dîner spécial, animation, danses, chants… tout pour accompagner papa Noël venu distri‐
buer poignées de mains et cadeaux. Merci aux Chevaliers de Colomb de Lachute Organisée par les Chevaliers de Colomb de Lachute et soutenue par Sylvie Guay, récréologue, deux stagiaires en loisirs, plusieurs bénévoles du CSSS et des Filles d’Isabelle, cette journée particulière a touché près de 70 résidents. Quelques membres des familles ont tenu à accompagner leurs parents pour l’événement. Pour les Cheva‐
liers de Colomb, cette fête est devenue une tra‐
dition et il n’est pas question que ça cesse ! Le CSSS tient à chaleureusement remercier les Chevaliers et tous les bénévoles qui ont fait ce qu’il faut pour rendre nos résidents heureux. Quelques règles d’or nétiquette—n.f. ‐ Ensemble des conventions de bienséance régissant le compor‐
tement des internautes dans le réseau, notamment lors des échanges dans les forums ou par courrier électronique. Office québécois de la langue française
Quand vous envoyez un courriel, observez‐vous la né que e ? La nétiquette (mot valise formé de net et étiquette) 
repose sur plusieurs valeurs dont la tolérance, le res‐
pect d’autrui, l’écoute et la politesse. En fait, les règles élémentaires de savoir‐vivre s’appliquent autant dans 
l’univers d’Internet que dans celui des communications traditionnelles. 
Les échanges électroniques se rapprochent de la com‐
munication orale par leur rapidité et leur concision, mais ils ne s’accompagnent pas des mêmes signes non verbaux, ce qui peut provoquer des malentendus. L’hu‐ 
mour et l’ironie peuvent parfois être mal interprétés. Ne conserver que les parties pertinentes d’un courriel auquel on répond plutôt que de renvoyer l’intégral du message original. Ne jamais laisser plus de 48 h un message qui demande réponse. Aviser ses interlocuteurs de son absence grâce à la fonction des messageries qui permet de transmettre une réponse automatique d’absence. Aviser un expéditeur de l’erreur si le courriel ne nous est pas destiné. Pour observer la nétiquette, il est souhaitable de respecter  Respecter les droits d’auteur de ce que l’on repro‐
certaines consignes de nature plus ou moins technique, duit et citer les sources utilisées. par exemple :  Éviter d’intégrer un fond d’écran ou un papier à  Utiliser un langage courtois. lettres, qui nuisent à la lisibilité et à la taille du courriel.  Éviter d’écrire en majuscules, car cela équivaut à crier ou protester avec force. Pour mettre en évi‐
 Compresser les fichiers joints lourds pour limiter le dence, on recourt au caractère gras ou à la couleur, temps de téléchargement. mais avec parcimonie.   Ne pas envoyer de chaînes de courriels ni de publicité  Le soulignement est réservé aux hyperliens et l’ita‐
par courriel.
lique aux usages habituels (mots étrangers, citations, slogans, titres, etc.). Source : Le français au bureau, OQLF, 2014
 Soit dit entre nous... Le site Internet du Centre de santé et de services sociaux d’Argenteuil et L’Entre nous, bulle n officiel du CSSSA ainsi que son bulle n dérivé L’Entre‐deux, sont des ou ls de communica on dont on ne saurait se passer en 2015. Toutefois, peu d’entre nous u lisons la plateforme Intranet, disponible sur tous les ordinateurs internes au 145, av. de la Providence. Il faudra bien y recourir de plus en plus, car le répertoire Public, logé sur nos bureaux d’ordinateur, est appelé à disparaître ce e année, étant devenu un poids lourd pour notre réseau interne. L’Intranet concerne exclusivement le personnel et les membres de l’équipe médicale. Ce e plateforme propose 5 onglets : Présenta on du CSSS d’Argenteuil / À lire / Coffre à ou ls / Vie sociale / Espace des direc ons. Sous‐u lisé, l’Intranet est pourtant une avenue intéressante pour y dénicher de l’informa on, en plus d’être de naviga on agréable. Il est vrai que le contenu de l’Intranet est actuellement incomplet. Dans les semaines à venir, les différentes direc ons seront interpellées pour que les informa ons du répertoire Public soient transférées sur l’Intranet. Vous serez donc appelés, tous et chacun, à vous y référer de plus en plus. Pourquoi ne pas en profiter pour y faire un saut à chaque jour, histoire de vous habituer à le fréquenter ? Répertoire Public vs Intranet L’Entre nous a maintenant un nouveau look qui évoluera au fil des saisons... Il était temps ! Plus épuré, plus moderne, il fait de plus un clin d’œil à notre nouveau site Internet. Souhaitons que vous aimez aussi ! Pour finir... Diffusion : 5 fois par année Prochaine édi on : 22 avril 2015 Réserva on : avant le 23 mars Tombée texte/photo : 6 avril Réalisa on Suzanne Séguin, Agente d’informa on 450 562‐3761, poste 72164 [email protected] 

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