Et hop, tous à l`école
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Et hop, tous à l`école
Saint-Denis grandit Entretien avec le maire, Didier Paillard Et hop, tous à l’école ! Un nouveau groupe scolaire, l’amélioration du temps de repas, l’ouverture de la Maison des parents : le point sur les moments forts de la rentrée scolaire. N°1-AUTOMNE-2011 Propreté Des moyens ambitieux Festival Hip-Hop Kenza Farah, à Saint-Denis Sommaire Une journée avec… La Maison des parents L’interview du maire Propreté Sous les projecteurs La Fabrique de la ville Travaux Porte de Paris Médiateurs de nuit Objectif emploi Une nouvelle maternité Personnes âgées Une rentrée sur tous les fronts La ville en images Agenda Mémoire Jeux Le coin des enfants Tribunes À votre service Recette 4 5 6 8 10 11 12 13 14 16 17 18 32 35 40 41 42 44 45 47 Retrouvez plus d’actus, des vidéos, des événements et des bons plans sur le site internet de la ville www.ville-saint-denis.fr et en vous abonnant à la newsletter. La ville de Saint-Denis est aussi sur Facebook www.facebook/ villedeSaintDenis Rejoignez nous ! Pour nous contacter, nous faire part de vos réactions et suggestions : [email protected] Saint-Denis le magazine Mairie de Saint-Denis BP 269 93 205 Saint-Denis cedex 01 49 33 66 66 - www.ville-saint-denis.fr Magazine édité par la direction de la communication de la Ville de Saint-Denis. Responsable de la publication Didier Paillard Rédaction en chef Isabelle Wan-Hoi Rédaction Clémence Bahin Rosalie Becquet, Fanny Costes, Laura Denis, Ressources urbaines : Ludovic Luppino, Meriem Laribi, Erwan Ruty, Nadia Sweeny Secretaire de rédaction Thomas Plazy Direction artistique Mélanie Gautry Photos Baptiste Lignel (couv., p. 4, 7, 18, 20, 23, 25, 26, 27, 47), Virginie Suères, Julien Jaulin, Contextes, Marc Boulenaz, Stéphane Kovalsky, Yann Mambert, Cyberceb, Fanny Costes, Ressources urbaines : Meriem Laribi, Camille Millerand Impression PSD. Imprimé à 50 000 exemplaires sur papier écologique. Édito Saint-Denis a son magazine Notre ville grandit et évolue. Elle foisonne de projets, de personnalités, de talents. C’est tout cela que nous avions envie de partager avec vous. Trois fois par an, ce magazine vous présentera donc l’essentiel de l’actualité dionysienne. Vous y trouverez notamment un agenda avec les temps forts de la vie culturelle, associative, sportive ou citoyenne ou encore des informations pratiques sur le service public municipal. Ce premier numéro est majoritairement dédié à la rentrée scolaire qui, dans une ville jeune comme la nôtre, emplit le quotidien de la plupart des familles. Dans quelques jours, plus de 14 000 écoliers prendront le chemin de l’école aux côtés de près de 10 000 collégiens et lycéens. L’ouverture d’un nouveau groupe scolaire Robert DoisneauMaria Casarès à La Plaine en intercommunalité avec Aubervilliers, l’allongement de la pause déjeuner dans toutes les écoles de la ville afin d’en améliorer la qualité, le maintien de la résidence scolaire Mériel et l’inauguration d’une Maison des parents sont des évènements qui doivent nous réjouir. Mais il ne faudra pas pour autant laisser faiblir la mobilisation de chacun d’entre nous afin d’obtenir une école pour tous, dans laquelle les classes ne sont ni surchargées ni privées d’enseignants pendant plusieurs semaines. Ce magazine sera un lien précieux pour communiquer avec vous sur l’ensemble de ces sujets qui font notre quotidien. Je vous souhaite donc à tous une bonne lecture, et une excellente rentrée. Didier Paillard Maire de Saint-Denis Vice-président de Plaine Commune Une journée avec Gilbert Loimon La Maison des parents ouvrira fin 2011, et mettra l’accent sur l’accueil et l’échange Garde de l’environnement Gilbert Loimon a la quarantaine juvénile. Trapu, bonhomme, il est garde de l’environnement à Franc-Moisin. Un travail qui demande beaucoup de doigté. Cela fait à peine un an que Gilbert officie dans le quartier. Avant, il opérait dans le secteur de la gare de Saint-Denis. Pas marrant tous les jours mais, quand même, « on faisait beaucoup de médiation », assure-t-il pudiquement. Voitures stationnées n’importe où, dépôts sauvages, toxicomanes, sortie des écoles… il ne chômait pas, mais la tâche était variée. Ici, c’est plus délicat : « On ne peut pas faire tout et n’importe quoi. Il faut se faire accepter quand on vient d’ailleurs. Et quand ça dégénère, il faut savoir se retirer. » Le service a été suspendu pendant près de trois mois. Il reprend, et « les habitants apprécient de voir qu’ils ne sont pas oubliés. J’habite dans une cité, je sais ce que c’est que de se sentir mis de côté ». Il le reconnaît, avoir grandi à Pierrefitte, avoir un fils qui fait de la boxe à Franc-Moisin et donc y connaître « des grands », ça aide. « Il faut avoir la bonne tête, et les codes. On est testés. Mais il est important de montrer que notre travail est fait pour tous les quartiers. Et qu’on n’est pas des policiers, ni des indics. » Un rôle de médiation Avant ce travail, détenteur d’une formation d’éducateur de trois ans, il a œuvré avec les scolaires et les Une journée avec… 4 sans-abri. La médiation, il connaît… Ici, il « sensibilise » les habitants sur l’environnement : les fameux écogestes, les dépôts d’ordures, les motos qui vont trop vite au milieu du parc alors qu’il y a des enfants. « Les habitants savent très bien ce qu’on leur dit : il faut juste rappeler les évidences ». « Les habitants apprécient de voir qu’ils ne sont pas oubliés » Du coup, il est nécessaire de travailler avec les associations comme les Femmes des Francs-Moisins, ou avec les écoles maternelles… « Il faut commencer avec les petits, sinon, ce n’est pas possible ici. Ils trouvent ça normal de jeter par terre, en disant : mon frère ou ma sœur le font bien ! » Ils sont 22 travailleurs assermentés à Saint-Denis, à occuper cette fonction de garde de l’environnement créée en 1993 en remplacement des gardeschampêtres, alors que le béton a fini de remplacer la campagne. Leurs profils sont différents selon les quartiers, bien sûr : le boulot n’est pas le même au parc de la Légion d’honneur et à Franc-Moisin. « La ville évolue, les fonctions doivent changer… » D’ici la fin de l’année, tous les parents pourront échanger, se confier ou obtenir des conseils au sein de la Maison des parents. « Depuis deux ans, nous organisons des rencontres afin de demander aux habitants ce qu’ils aimeraient trouver dans ce lieu d’écoute et de partage », explique Oriane Delivré, la responsable du lieu. S’adressant à tous, futurs parents, parents de tout petits, d’ados, d’enfants majeurs ou grandsparents, le 29 rue Gabriel Péri accueillera gratuitement et anonymement tous ceux qui s’y rendront. Conçue comme un lieu ouvert, la Maison des parents permettra d’obtenir un entretien individuel à la demande et sans rendez-vous, mais surtout de profiter de moments collectifs avec les autres parents et des professionnels. « Il y aura des temps d’échanges spécifiques, comme des éducateurs ou des psychologues », poursuit Oriane Delivré. Les parents pourront non seulement venir boire un café et bavarder au hasard des rencontres, mais aussi assister à des débats, des réunions, des activités grâce aux ludothèques par exemple, ou encore participer à des bourses aux jouets ou aux vêtements. Ce sera aussi l’occasion d’identifier les besoins des parents à l’échelle de la ville, et de travailler avec l’ensemble des partenaires pour y répondre. L’équipe de la Maison des parents a déjà agi en ce sens. D’ici la rentrée 2013, la ville prévoit ainsi de développer l’accueil du matin pour les élèves de maternelle et d’élémentaire. Enfin, la Maison des parents sera un lieu de ressources pour les professionnels de l’enfance et de la parentalité. Des réunions d’information publiques sont prévues dès le mois de septembre pour présenter ce nouveau lieu à la population. Retrouvez les dates sur le site internet de la ville. Maison des parents 29 rue Gabriel Péri 01 49 33 68 55 [email protected] 5 La Maison des parents L’interview du maire Le bilan à mi-mandat Saint-Denis grandit et évolue. Didier Paillard et l’équipe municipale souhaitent dialoguer avec tous les habitants des transformations en cours. C’est l’esprit de Saint-Denis pour tous : faire la ville ensemble. À mi-mandat, quelles réalisations vous satisfont-elles le plus ? Les initiatives dédiées aux jeunes générations. Depuis cinq ans, 115 nouvelles classes ont été ouvertes, au rythme d’un groupe scolaire livré chaque année. C’est un des reflets du développement économique de la ville et de notre politique en faveur du droit au logement par la construction de logements diversifiés. Plus généralement, il n’est pas un seul quartier de Saint-Denis qui n’ait connu d’évolution. Le quartier Sémard notamment, avec l’inauguration d’un chantier de nouveaux logements, ou encore le quartier Franc-Moisin Bel-Air, avec la construction d’une médiathèque. Ce sont également trois chantiers de tramway et l’arrivée prochaine d’une nouvelle station de métro. Nous sommes entrés dans L’interview du maire 6 La ville avance, parlons-en ! une dynamique de requalification, pour vivre mieux dans la ville. Mieux comprendre vos besoins et votre point de vue, c’est mieux organiser les projets de demain. L’avis de tous est attendu ! Avez-vous des regrets ? Oui. Si plus de 2 500 habitants du territoire ont été embauchés en application de la charte Entreprise territoire, négociée par Plaine Commune, le chômage demeure la préoccupation majeure. Les Dionysiens ne profitent pas encore assez des nouveaux emplois que comptent la ville. Il nous faut donc renforcer le dialogue avec les entreprises. Par ailleurs, je suis inquiet de l’état de propreté de Saint-Denis et de sa tranquillité. « Rester au 4 grands rendezvous ouverts à tous pour donner votre avis sur la ville, ses projets et son avenir Pour vivre dans un espace public agréable et partagé, il nous faut non seulement être plus exigeants à l’égard des habitants qui ne le respectent pas, mais aussi conforter les services en charge de ces questions. La Ville et Plaine Commune engagent 21 millions d’euros et nous avons convaincu l’État et d’autres partenaires de nous accompagner dans le cadre du programme national de rénovation, pour un montant global de plus de 50 millions d’euros. La mobilité nous préoccupe énormément aussi. La mise en route des nouveaux tramways ainsi que la nécessité de dédoubler la ligne 13 du métro en font partie. La ville évolue vite et nous avons besoin de compléter le projet imaginé il y a trois ans. C’est pour cela que je souhaite ouvrir dès septembre un temps fort de dialogue avec les Dionysiens. Pour la fin du mandat, avez-vous de nouveaux projets pour la ville ? Résorber l’habitat indigne privé dans le centre-ville, notamment dans les quartiers Gare et Porte de Paris. En quoi consistera ce dialogue avec les Dionysiens ? Les différents engagements du contrat d’action communal sont réalisés ou en cours de réalisation. Mais au fur cœur d’une même réalité, avec les habitants » et à mesure de l’évolution de la ville, les enjeux changent. De nouveaux habitants s’installent, 47 % des Dionysiens ont moins de 30 ans : ce dynamisme impulsé par tous les acteurs de la ville comporte autant d’atouts que de défis. Il faut donc prendre du temps et du recul pour parler avec les habitants des différents projets. Ces échanges doivent être les plus riches et les plus divers possibles, et la participation des citoyens aux réunions et sur Internet est très importante. Il n’y aura pas de petits intérêts. Tous pourront faire part de leurs satisfactions, de leurs besoins, de leurs réserves, pour que nous soyons ensuite en mesure de mener ensemble les actions nécessaires. Échanger avec les habitants, c’est entretenir le lien avec eux pour être au cœur d’une même réalité. 19/10/2011 19 h / Groupe scolaire Doisneau-Casarès 3 rue Cristino Garcia 4/11/2011 19 h / La Raquette. 9 av. Roger Sémat 19/11/2011 10 h / Groupe scolaire Marville-Saint-Exupéry 3 passage des Écoles 25/11/2011 19 h / Salle de la Légion d’honneur 6 rue de la Légion d’honneur. À l’issue de ces quatre rendez-vous, une réunion publique de restitution aura lieu le 27 janvier 2012. www.saintdenis parlonsen.com 7 L’interview du maire Propreté De nouvelles actions ambitieuses Saint-Denis et son agglomération ont débloqué d’importants moyens financiers, humains et techniques pour assurer la propreté de la ville. L’état de propreté de Saint-Denis est problématique. Habitants et commer çants ont manifesté leur colère face à des bennes débordantes ou au dépôt sauvage d’ordures sur l’espace public. Depuis 2010, et suite à de nombreuses plaintes, les élus de la municipalité et la communauté d’agglomération ont donc pris le problème à bras-lecorps. Après la réalisation d’un diagnostic propreté à Saint-Denis, des moyens ont été débloqués pour corriger les manques. Les personnels ont été renforcés par l’embauche de deux responsables de régie, l’un dans le sud de l’agglomé ration, l’autre dans les quartiers nord, centre et est. « Ils travailleront en lien Propreté 8 direct avec la nouvelle directrice de l’unité propreté cadre de vie de SaintDenis, Myriam Alberti, qui prend ses fonctions en septembre », explique Robert Figueras, directeur de la propreté et du cadre de vie à la communauté d’agglomération Plaine Commune. Outre ce renforcement nécessaire, la ville a choisi de se doter de son propre centre d’entretien des engins et a ainsi diminué le taux d’immobilisation des matériels. De nouvelles balayeuses et laveuses ont également été acquises et louées pour accroître la capacité de nettoyage. Par ailleurs, outre des réorganisations multiples, les agents qui interviennent sur le secteur sud sont désormais installés rue de la Métallurgie. Cela permet de ne pas perdre de temps pendant les trajets et d’optimiser le travail rendu. Tout ce dispositif d’ac- Gare aux dépôts sauvages ! « On a besoin de partager ce plan avec les habitants pour le faire évoluer » tions a été complété par des moyens supplémentaires à hauteur de 200 000 euros avec la participation des entreprises d’insertion dans les quartiers Plaine, Floréal et Cosmonautes qui présentaient des problématiques récurrentes d’entretien. Parallèlement, le nettoyage des squares de la ville de Saint-Denis a été transféré en mars dernier à la Direction parcs et jardins pour plus d’efficacité. Une enveloppe de 165 000 euros permet de faire réaliser ces missions par des entreprises d’insertion par le travail. Mais c’est surtout en lien avec les habitants que Plaine Commune compte améliorer la situation. Car « c’est aussi à un manque de civisme que l’on doit les problèmes de propreté, souligne Robert Figueras. Il est essentiel de respecter les jours de collecte et d’utiliser les containers et bennes prévus à cet effet ». Au sein de chaque Démarche quartier, un comité de suivi a été mis en place pour évaluer ce nouveau dispositif avec les habitants. Robert Figueras insiste : « On a besoin de partager ce plan avec les habitants pour le faire évoluer, et apporter les changements nécessaires ». Plaine Commune a mis en place, depuis le 3 janvier, une équipe de prévention des dépôts sauvages composée de cinq agents et d’un responsable qui sillonnent la ville. « Elle intervient suivant une cartographie des points noirs que nous avons éditée après le diagnostic », explique Robert Figueras. Elle a d’abord vocation à sensibiliser les personnes qui n’utilisent pas les bennes pour leurs déchets et déposent ceux-ci sur l’espace public. En cas d’infraction répétée et prouvée, ses agents délivrent des amendes aux contrevenants, en lien avec la police municipale. Pour toute question sur la propreté, vous pouvez joindre Allo Agglo ! au 0 800 074 904 appel gratuit depuis un poste fixe 9 Propreté Sous les projecteurs Saint-Denis pour décor Tourné en partie à Saint-Denis avec des figurants dionysiens, Beur sur la ville sortira en salles le 12 octobre. Son réalisateur, Djamel Bensalah, à qui l’on doit notamment, Le ciel, les oiseaux et… ta mère , vient présenter son film en avant-première à l’Écran le 22 septembre. Rencontre. Avant-première Beur sur la ville , en présence de Djamel Bensalah. Jeudi 22 septembre à 20 h 30. Entrée libre sous réserve des places disponibles. Réservation : direction.communi [email protected] 01 49 33 64 60 Cinéma l’Écran 14 passage de l’Aqueduc Que raconte votre nouveau film ? C’est l’histoire de Khalid Belkacem : le plus mauvais flic de France qui va enquêter sur l’histoire la plus pourrie du pays ! En fait c’est un film sur la discrimination positive dans la police. L’histoire d’un gamin de banlieue qui va devenir flic non pas parce qu’il est bon, mais pour une question de quotas. Pourquoi tourner à Saint-Denis ? Parce que c’est ma ville. C’est important pour moi de tourner dans ma ville ! Tous mes films évoquent SaintDenis : mes personnages en parlent ou en sont originaires, mais je n’y avais jamais tourné. J’ai filmé dans SaintDenis, avec des figurants d’ici, mais pour reconstituer une ville qui n’existe pas : Villeneuve-sous-Bois ! C’est une banlieue imaginaire mais universelle. C’est un peu partout, une banlieue pourrie, rigolote, où tous les trucs qui ne vont pas dans la société française sont réunis. « C’est très important de tourner dans ma ville ! » Comment avez-vous été accueilli par la ville ? Nous avons reçu un accueil extraordinaire. La mairie s’est pliée en quatre pour nous permettre de tourner. Je ne savais pas qu’une rue aussi petite (la rue du Cygne, ndlr) pouvait être le centre névralgique de la ville. Ça a mis une pagaille sans nom mais c’est un bon souvenir et, j’espère, un film réussi. Visite insolite La Fabrique de la ville La Fabrique de la ville est une invitation à découvrir, de façon ludique, les transformations de SaintDenis du xve siècle à nos jours. Qu’est-ce-que c’est ? Deux maisons exceptionnellement pré servées sont les témoins de six siècles de construction. Leur squelette et char pente se visitent grâce à un échafaudage unique en son genre. Les bâtiments de viennent alors une véritable maquette grandeur nature. La visite s’achève en haut d’un belvédère de 20 m qui offre une vue inédite sur la ville. Un champignon blanc à pois rouges ? Seule partie visible de l’extérieur, le « champignon » abrite l’échafaudage. Imaginé et conçu par Patrick Bouchain et Loïc Julienne (Construire), Pierre Schneider et François Wunschel (1024 architecture), il fait de ce lieu un concept unique et pédagogique pour découvrir la ville autrement. Comment la visiter ? La Fabrique de la ville ouvrira le 17 sep tembre. Destinées à tous les publics, les visites sont gratuites. Les groupes seront guidés par un médiateur. « Il ne s’agit pas d’une vision passéiste, mais active de la ville, précise Nicole Rodrigues, de l’unité d’archéologie de la ville de SaintDenis. Notre volonté est de transmettre à d’autres, pour construire une ville future. C’est l’essence de l’archéologie urbaine ». Renseignements et réservations : Unité d’archéologie 01 49 33 80 20 www.ville-saint-denis.fr Sous les projecteurs 10 Les fouilles de l’îlot Cygne À deux pas de la Fabrique de la ville, sur l’îlot Cygne, un chantier de fouilles archéologiques accueille le public jusqu’au 28 octobre prochain, du mardi au vendredi, de 14 h à 16 h. Outre les visites guidées, des cessions sont ouvertes aux plus petits, sur un modèle de fouilles adaptées aux enfants. La formation est au cœur du projet, puisque les Dionysiens peuvent bénéficier de stages de trois semaines. Renseignements : Unité d’archéologie - 01 49 33 80 20 11 La Fabrique de la ville Tranquillité publique Des médiateurs veillent sur vos nuits En travaux La Porte de Paris change de visage Une nouvelle organisation des bus En raison des travaux, l’actuelle gare de bus de la Porte de Paris ne pourra être maintenue en service. Des janvier 2012, des arrêts provisoires seront mis en place au début de la rue de la Légion d’honneur (lignes 153, 253 et 239), dans la rue Danielle Casanova (lignes 254 et 170) et sur l’avenue Paul Vaillant-Couturier (ligne 256). Afin de dégrader le moins possible le service aux usagers, les lignes 256 et 154 connaîtront un changement d’itinéraire. PLUS d’infoRMATIONS sur www.ratp.fr ou au 32 36 En travaux 12 La Porte de Paris vit au rythme de chantiers spectaculaires. Alors que les travaux du parking battent leur plein, d’autres opérations vont commencer. Focus sur les aménagements à venir… Un quartier animé avec des logements, des activités économiques, des commerces, un groupe scolaire, un espace apaisé pour accueillir les piétons et les vélos, un cheminement facilité entre le centre-ville et la Plaine, l’arrivée du nouveau tramway T8, un parking rénové, des plantations d’arbres, des constructions écologiques… tel sera le nouveau visage du quartier de la Porte de Paris à l’horizon 2014. Les travaux d’ampleur ont commencé en mai dernier avec l’arasement de la partie supérieure du parking et le réaménagement des souterrains. Depuis le 1er juin, dix médiateurs de nuit ont pour mission d’assurer, en douceur, la tranquillité dans les quartiers République - Gare et Centre-ville - Basilique. Début 2012, le chantier s’intensifie avec le commencement des travaux de voirie, destinés à permettre le passage du futur tramway T8 (mise en service au troisième trimestre 2014) et le redressement de la rue Casanova (été 2013). Parallèlement, les chantiers du groupe scolaire (16 classes de maternelle et d’élémentaire et un centre de loisirs), du foyer Adoma et des îlots D1 et D2 – qui laisseront respectivement place à un hôtel et un immeuble mêlant bureaux, logements et commerces en rez-de-chaussée – battront leur plein. « Écouter, renseigner, orienter, secourir, apaiser les conflits », telles sont les missions des médiateurs de nuit. Présents de 18 h à minuit, du mardi au samedi, dans les quartiers Centreville - Basilique et République - Gare, ils assurent une présence rassurante, pour que l’espace public reste un lieu d’échanges et de tranquillité. Leur objectif : résoudre par la médiation des conflits survenus à l’occasion, par exemple, de bruit excessif, d’occupation des parties communes ou de nuisances sur la voie publique. Les médiateurs font appel aux autorités compétentes (pompiers, urgences, police, Samu social, etc.) en cas de besoin, mais ne peuvent en aucun cas les remplacer. Ce dispositif est piloté par différents partenaires publics (État, ville de Saint-Denis, Plaine Commune Habitat) et privés (groupe immobilier 3F, Toit et Joie, La Poste, Carrefour, Maison du commerce et de l’artisanat). La ville y contribue financièrement à hauteur de 72 %. Des projets très attendus des habitants qui occasionneront d’inévitables désagréments. Afin de minimiser la gêne, des cheminements provisoires et balisés seront mis en place dès janvier 2012 pour faciliter la circulation des piétons, des cyclistes et des automobilistes. Perspective de l’aménagement de la Porte de Paris Une médiation de jour existe dans les quartiers Plaine et Pleyel. Elle est portée par l’association Partenaires pour la ville et poursuit des missions similaires. Saint-Denis et Aubervilliers accueillent le prochain Forum Européen de sécurité urbaine Le Comité exécutif du Forum européen de sécurité urbaine (FESU) a retenu la candidature commune de Saint-Denis et d’Aubervilliers pour l’organisation de sa quatrième conférence internationale, prévue en décembre 2012 et dont le thème sera « Le futur de la prévention ». Près de 1 000 délégués, venus de tous les continents, échangeront sur les problématiques de prévention et de sécurité. 13 Tranquillité publique Objectif emploi Les jeunes en profitent L’Espace EVA a réouvert Créé en 1983 pour répondre aux besoins spécifiques des adolescentes, EVA a failli disparaître Depuis cinq ans, le nombre de jeunes suivis par l’association Objectif emploi a doublé. Ils sont aussi trois fois plus nombreux à accéder à l’emploi ou à la formation. Créée il y a une quinzaine d’années par la ville, l’association Objectif emploi est aujourd’hui un acteur central dans l’accompagnement vers l’emploi des jeunes de Saint-Denis et de Pierrefitte. Le bilan de l’année 2010 est même particulièrement encourageant, dans un contexte général de dégradation de l’emploi des jeunes. 3 334 jeunes étaient ainsi suivis en 2010 par Objectif emploi, dont 1 414 en premier accueil. Une augmentation de 6 % par rapport à 2009 et de 50 % par rapport à 2000, preuve que l’association bénéficie d’une bonne image chez les jeunes. Même si son directeur, Joël Simon, tempère cet enthousiasme : « cela peut vouloir dire aussi qu’il y a beaucoup plus de jeunes en galère ». à la suite du ils étaient 1 564 en 2010, soit près de 47 % des jeunes suivis. « Lorsque l’on parle d’emploi chez nous, on parle soit de CDI, soit de CDD de plus de six mois. On ne comptabilise pas l’emploi précaire qui concerne aujourd’hui 800 jeunes que nous accompagnons. On ne lâche pas le suivi tant qu’ils ne sont pas dans l’emploi, tient à préciser Joël Simon. Par ailleurs, une grande partie des jeunes manquent de qualifications. Il faut définir avec eux un projet et les accompagner vers la formation adéquate ». Ainsi 70 % des jeunes suivis en 2010 possédaient un niveau inférieur au bac. Mais se pencher uniquement sur l’emploi ne saurait répondre à la vocation de l’association d’aider durablement les jeunes qui s’adressent à elle. Beaucoup de Dionysiens cumu- lent les problèmes. Il ne s’agit pas seulement de chômage mais également de mal-logement, de santé fragile ou de violences. Le témoignage d’Islam Rezaul, jeune Dionysien de 19 ans, souligne cette réalité : « J’avais de gros problèmes de logement et d’emploi et un ami m’a conseillé de m’inscrire à Objectif emploi il y a huit mois environ. Une conseillère m’a immédiatement suivi et aidé à établir un projet professionnel. J’arrive bientôt à la fin de ma formation hôtellerie-réception de quatre mois. Elle m’a aussi permis de trouver un logement en colocation. Et elle m’aidera ensuite à trouver un emploi stable. Grâce à l’association, je suis revenu sur le bon chemin ! » Pourtant l’enthousiasme suscité par les résultats d’Objectif emploi a récemment laissé place aux inquiétudes. Grâce au plan de relance de l’État, l’as sociation avait embauché deux conseil lers supplémentaires. Mais les crédits n’étant pas reconduits, elle craint de ne pouvoir maintenir une telle qualité de suivi. « On ne peut pas dire à un jeune “rendez-vous dans un mois”, on sait qu’il ne reviendra pas. Leur galère, c’est main tenant. Il faut réagir vite. Et ce n’est pos sible qu’en ayant les moyens nécessaires, déplore Joël Simon. Toutes les missions locales sont aujourd’hui touchées. À l’État de réagir. C’est un choix de société ». désengagement de la protection judiciaire de la jeunesse. L’association NordOuest l’a réouvert en mai dernier avec le soutien de la ville, du Conseil général, de l’État, du Mouvement français pour le planning familial et du Centre d’information du droit des femmes et des familles. Cet espace s’appuie sur 4 principes : Objectif emploi 5 avenue Jean-Jaurès 01 48 13 13 20 anonymat, volontariat, confidentialité et gratuité. Deux éducatrices, une infirmière et un psychologue y reçoivent les jeunes filles sur les questions liées à la santé, la sexualité, la famille, la scolarité, l’accès aux droits, la toxicomanie, les relations fillesgarçons, le rapport à la loi et la justice. 18 rue des Boucheries Du lundi au vendredi Reste que les résultats ne mentent pas. En cinq ans, trois fois plus de jeunes accèdent à l’emploi ou la formation ; Objectif emploi 14 de 9 h 30 à 17 h 30 01 55 87 60 49 Joël Simon, directeur de l’association Objectif emploi Islam Rezaul en formation hôtellerie-réception grâce à Objectif emploi 15 Objectif emploi Hôpital Delafontaine Une nouvelle maternité Ahmed Le 19 juillet, le premier bébé de la nouvelle maternité de l’hôpital Delafontaine voyait le jour. À 13 h 03, Ahmed, 3,765 kg pour 47 cm, a poussé ses premiers cris, et fait la joie de ses parents Bérengère et Ali Chaibi. « J’ai beaucoup apprécié de pouvoir assister aux premiers soins donnés à mon bébé dans ma propre chambre. Je trouve les lieux très agréables et modernes. On en oublie presque que l’on est à l’hôpital », a confié Bérengère Chaibi. Maternité de l’hôpital Delafontaine Rue du Moulin Basset 01 42 35 61 60 Maternité Delafontaine 16 Saint-Denis est une ville jeune. Elle enregistre chaque année plus de naissances. L’hôpital Delafontaine, qui avait également besoin de se moderniser, a donc décidé il y a deux ans d’investir dans une nouvelle maternité. Elle est officiellement en fonction depuis le 19 juillet dernier. Plus grande – l’espace a doublé –, la maternité de l’hôpital Delafontaine est désormais plus moderne, plus accueillante. « Des couleurs vertes, roses créent une atmosphère chaleureuse pour les futures mamans et leurs conjoints. À l’entrée de chaque service ont été aménagés des salons pour les familles, afin de rendre plus agréables l’attente et l’accompagnement des mamans par leurs proches », décrit Mme Likeng, cadre supérieure de la maternité. La nouvelle maternité est composée, au premier étage, d’un service de néonatologie et d’urgence maternité, d’un deuxième étage dédié aux grossesses à risques et d’un troisième niveau consacré aux suites de couche. Parmi les nouveautés, l’hôpital a assuré une formation du personnel aux massages pour bébés, et décidé d’installer les premiers soins donnés aux petits dans les chambres des mamans. « Les patientes et les familles sont très contentes car les chambres sont agréables et climatisées, équipées d’une télévision à écran plat, de douche, de toilettes et d’une baignoire pour bébé, ce qui leur permet de donner le bain dans la chambre », ajoute Mme Likeng. Un cadre des plus apaisants pour accueillir les nouveaux Dionysiens. Personnes âgées Un film pour se retrouver Mardi 28 juin, le restaurant de la résidence Croizat s’est transformé en salle de projection. Les personnes âgées attendaient d’y découvrir Monsieur Sfartz, le court-métrage auquel elles ont participé. En attendant les derniers réglages de son, Abel Tissot, personnage principal du film et habitant de la résidence Basilique, amuse la galerie. « Si monsieur Sfartz fait tout le temps la gueule, moi pas : ce soir, c’est la fiesta ! ». Malgré la joyeuse indiscipline de la vingtaine de personnes âgées présentes, les lumières se tamisent et le film démarre. L’émotion est palpable. « Ils y mettent leur vécu et on sent bien que ça fait appel à des choses enfouies et très intimes chez eux, assure Brigitte Sztulcman, la réalisatrice. C’est ce qui me fait dire que le film fonctionne. Je voulais faire un film sur le troisième âge et créer un évènement autour, comme un atelier cinéma où ils passent de leur réalité quotidienne à la réalité cinématographique. » Simple film universitaire au départ, Monsieur Sfartz est peu à peu devenu un véritable projet collectif. « Le tournage a duré quelques mois et c’était vraiment agréable. J’ai été heureux de le faire », témoigne Abel Tissot. « C’était intéressant de faire traiter par les personnes âgées l’histoire de ce monsieur Sfartz qui a du mal à s’intégrer dans un établissement », explique à son tour Philippe Vallin, coordinateur du service animation et vie sociale de la Direction municipale des retraités. Ce film sera présenté lors de la Semaine nationale des retraités, du 17 au 23 octobre. À Saint-Denis, cette Semaine bleue sera l’occasion de faire un « focus sur les projets des retraités, poursuit-il. Nous allons rendre leur vie visible à travers de multiples rencontres, et valoriser des projets. Il y a des spectacles, une journée forum pour se renseigner sur toutes les composantes de la vie des personnes âgées, les loisirs, les droits… C’est véritablement mettre en valeur les personnes retraitées dans leur ville ». Le programme complet de la Semaine bleue est disponible dans les services municipaux ouverts au public et sur le site internet de la ville : www.ville-saint-denis.fr Abel Abel Tissot, 85 ans, personnage principal du film de Brigitte Sztulcman, habite la résidence Basilique. Il interprète le rôle-titre de Monsieur Sfartz. Deux projections sont déjà programmées. Abel estime que « si cela permet aux gens de Saint-Denis de voir comment vivent les personnes âgées dans une résidence, le côté positif comme les difficultés, c’est gagné. » projection Monsieur Sfartz Lundi 17 octobre à 15 h à la résidence Croizat 10 avenue Romain Rolland. Vendredi 21 octobre à 14 h 30 au cinéma l’Écran 14 passage de l’Aqueduc. 17 Personnes âgées Une rentrée sur tous les fronts Saint-Denis grandit. Des nouveaux arrivants, plus de naissances : la ville connaît un véri table boom démographique. 14 000 élèves sont inscrits dans les écoles maternelles et élémentaires de la ville et 13 nouvelles classes devraient ouvrir à la rentrée. Mais dans un climat pour le moins morose… En effet, du côté de l’Éducation nationale, l’ambiance est plutôt au dégraissage : suppressions massives de postes, compressions budgétaires, difficile remplacement des professeurs absents, réduction de la formation des professeurs, « assouplissement » de la carte scolaire… Un paysage éducatif fortement ébranlé, à tel point que les manifestations de grogne des parents se multiplient : la fédération de parents d’élèves FCPE a saisi la Halde pour discrimination territoriale visà-vis de la Seine-Saint-Denis en mars 2011 ; le 20 mai une Nuit des écoles avec occupation des bâtiments par des parents et des professeurs mécontents s’accompagnait d’un appel « pour que l’école redevienne une priorité ». Dans ce contexte, la ville de Saint-Denis agit pour la réussite de tous. Pas de résignation ! De l’imagination ! Sauvetage de la résidence scolaire Mériel, projets pédagogiques multipliés, construction de groupes scolaires, allongement de la pause déjeuner… 19 Une rentrée sur tous les fronts Pause déjeuner : solidarité, qualité, tranquillité Mme Dahimène 3 millions d’euros de Travaux à la cuisine centrale Pour accueillir tous les enfants dans les cantines, la ville de Saint-Denis rénove sa cuisine centrale. L’objectif étant de doubler le nombre de repas servis : « Dans un premier temps, la production qui était de 7 000 repas / jour sera portée à 9 500 repas / jour et, à l’horizon 2014, sa capacité de production pourra atteindre 14 000 repas / jour », nous explique Francis Bureau, contrôleur des travaux. La Ville a également décidé de réintégrer la fabrication des repas des personnes âgées, jusqu’à présent externalisée. Fin des travaux, fin octobre 2011. Coût, 3 millions d’euros. Pause déjeuner 20 riaux spécialisés des écoles maternelles (ATSEM) sont intégrés à l’équipe d’encadrement. Un temps d’apprentissage Pour Amélie Bourasseau, diététicienne, le temps du repas est aussi un moment d’apprentissage : « Les menus sont équilibrés et les aliments diversifiés. Cela fait prendre conscience aux enfants qu’il est possible de manger autre chose que du fast-food et des féculents. Des repas à thème sont proposés régulièrement afin qu’ils puissent découvrir des plats de pays et de régions. Les animateurs ont un rôle important en incitant les enfants à goûter chacun des plats ». À la rentrée 2011, la pause déjeuner est allongée d’une demi-heure dans les 59 écoles de Saint-Denis. Une cantine accessible à tous Le premier objectif de cette nouvelle pause déjeuner, expérimentée dans 5 sites pilotes l’an dernier, est d’accueillir tous les enfants dans les meilleures conditions possibles. Au contraire de bien des cantines de France qui n’acceptent que les enfants dont les parents travaillent, « nous n’imposons aucun critère à la cantine, explique Anne-Sophie Rabiat, chef du service animation scolaire. Tous les enfants sont acceptés. » Tarifs imbattables En plus de la qualité de l’accueil et de celle des repas, les prix défient toute concurrence : entre 15 centimes et 3,84 euros, alors que le repas revient à 8,16 euros à la collectivité. « Ce sont les tarifs les moins chers de la Seine-Saint- Denis, assure David Proult, adjoint au maire chargé de l’éducation. Chez nous, 21 % des enfants bénéficient du tarif le moins cher et 12 % du tarif le plus cher, cela répond donc à une demande sociale ». Calme et encadrement Grâce à la mise en place de deux services, les restaurants sont moins bruyants et peuvent laisser la place à des animations. Les agents territo- La qualité, ce n’est pas un luxe ! Très sensible à la qualité des repas servis à ses enfants, la ville privilégie les produits de qualité et le bio dans les cantines scolaires ! Amélie Bourasseau, veille au grain : « Cette qualité débute par le choix des denrées alimentaires brutes (produits labellisés, issus de l’agriculture biologique, de bonne composition nutritionnelle, etc.) mais aussi la garantie de l’équilibre alimentaire ». Attention aux nouveaux horaires Avec la nouvelle pause déjeuner, le temps des repas est allongé d’une demi-heure. Cette nouvelle organisation implique la mise en place de nouveaux horaires. Pour maintenir le temps d’enseignement nécessaire, la fin de classe aura lieu à 16 h 30 au lieu de 16 h. Après l’école, l’étude se terminera à 18 h et le centre de loisirs à 19 h. responsable de la restauration de l’école maternelle Les Gueldres Avant, la pause déjeuner se faisait dans le stress car il fallait que tout le monde mange très vite. Maintenant, on a du temps. Pour les animations, nous disposons des locaux du centre de loisirs et de la bibliothèque, ce qui nous permet d’organiser de nombreuses activités : vidéo, lecture, coloriage, etc. Quant à la qualité de la nourriture, nous attendons avec impatience la réouverture de la cuisine centrale. M. Vasiljkovic animateur à l’école maternelle Les Gueldres Je m’occupe des plus petits et l’allongement du temps de la pause est très bénéfique. Grâce à cela, nous avons le temps d’être avec les enfants à la cantine pour leur faire goûter à tout et les aider à couper leur viande, leur servir de l’eau, etc. Ensuite, nous les emmenons au dortoir, et nous avons maintenant le temps de leur lire une histoire et de les endormir avant que les instituteurs n’arrivent. Avant, tout cela se faisait dans la précipitation. 21 Pause déjeuner Collège Iqbal Masih : contre le décrochage scolaire Une dynamique plus générale de lutte contre le décrochage scolaire est en œuvre dans l’ensemble des collèges de SaintDenis. Elle se nourrit continuellement des travaux réalisés au collège Iqbal Masih. Contre le décrochage scolaire 22 « Mon collège est dans mon quartier, mon quartier est dans mon collège », c’est l’intitulé du projet contre le décrochage scolaire développé au collège Iqbal Masih. Du principal Didier Georges aux services de la ville en passant par la communauté éducative, les élèves, les parents, la médiathèque et le Conseil général, tout le monde s’est mis au travail pour lutter contre le décrochage scolaire à travers deux axes : un La résidence scolaire Mériel reste ouverte ! Menacée de fermeture, la résidence scolaire de Saint-Denis rouvrira bien ses portes à la rentrée. volet « territoire » dans le quartier et un volet « éducation » à l’intérieur du collège. Pour Frédéric Gagnet, responsable du service enseignement secondaire et supérieur de la ville de Saint-Denis, « avec ce projet, il s’agit de partir de l’intérieur de l’établissement où émergent les phénomènes de décrochage scolaire afin d’en analyser les causes et d’y apporter les changements nécessaires ». Une étude menée en partenariat avec l’équipe du collège a permis de créer une dynamique de projets au sein de l’établissement et de nombreuses actions à destination des élèves ont été mises en place. La maison de quartier Plaine travaille sur le volet territorial à travers de nombreuses initiatives. L’atelier Un autre regard retisse du lien entre les enfants aux parcours difficiles et leurs parents à travers l’art-thérapie, et un pôle information jeunesse sera inauguré le 24 septembre. convaincus du bien-fondé de ce dispositif qui a fait ses preuves » Autre projet, le Samedi matin au collège (SMAC), élaboré en partenariat avec le Conseil général, organise des ateliers artistiques, culturels et sportifs, et de la sensibilisation à la nutrition, à l’hygiène de vie et à la santé. Des groupes de parole « ado » ont été élaborés, ainsi que de nombreuses rencontres sur les conduites à risque et l’estime de soi, la sexualité, l’alcool, les drogues, Internet, les jeux, les réseaux sociaux, les relation ados-adultes, etc. « Il y a une réelle avancée entre le collège, l’équipe éducative et nous », constate Martine Dubail, responsable adjointe de la maison de quartier. Pour pérenniser la situation, la ville a mis la main à la poche et accepté de prendre en charge les salaires des personnels assurant l’entretien des locaux et la restauration. La préfecture de Seine-Saint-Denis a pour sa part « réévalué sa contribution pour les années scolaires 2011 et 2012, soit 100 000 euros au lieu des 70 000 euros prévus initialement », explique JeanMarc Robinet, responsable du projet de réussite éducative de Saint-Denis. Quant à l’Éducation nationale, elle a attribué un poste d’assistant d’éducation à temps plein, en plus des deux postes d’enseignants. « Nous sommes Situé à Mériel (Val-d’Oise), la résidence créée en 2008 dans le cadre de la réussite éducative pour les enfants et pré-adolescents en grande difficulté scolaire, sociale ou économique, a pâti d’une réduction des financements de l’État. Mais la mobilisation a fini par payer. « Nous sommes convaincus du bien-fondé de ce dispositif qui a fait ses preuves », explique Annie Portal, inspectrice de l’Éducation nationale, précisant qu’il « n’en est qu’à ses prémices » et qu’il peut « encore être amélioré ». Depuis son ouverture, l’internat de Mériel a profité à une soixantaine d’enfants dont 29 l’an passé. Ces derniers y sont accueillis du lundi matin au vendredi soir pendant une durée variable, « déterminée dans le cadre du parcours personnalisé construit avec l’enfant et sa famille », allant de trois mois à la quasi totalité de l’année scolaire. La proposition d’internat peut être présentée à l’enfant et à sa famille par différents partenaires tels que l’Éducation nationale, la médiatrice prévention du second degré, les directions d’écoles ou encore les équipes des Réseaux d’aide et de soutien aux enfants en difficulté (Rased). 23 Résidence scolaire Mériel S’engager pour que l’éducation redevienne une priorité Un appel intitulé « Pour que l’éducation redevienne une priorité nationale » a été lancé en mai dernier par 93 parents et enseignants de Seine-Saint-Denis, à la suite d’une mobilisation grandissante depuis des mois sur tout le territoire. Daniel Mollier-Sabet, président de la FCPE Saint-Denis, dresse un constat alarmant : « Depuis la période Darcos [Ministre de l’Éducation Nationale de 2007 à 2009, NDLR], on a affaire à toute une série de réformes aux effets extrêmement négatifs ». Le non-remplacement des enseignants partant à la retraite entraîne une suppression massive de postes. 14 000 suppressions sont prévues à la rentrée sur l’ensemble du territoire, 60 à 80 000 sur les cinq années à venir. Suppression des cours du samedi matin, ajout de matières, modification des contenus, pour le président de la FCPE, « c’est un retour à des méthodes anciennes, remises en cause depuis la Seconde Guerre mondiale ». De plus, le nombre d’enseignants des Réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED) a subi une forte réduction, bien qu’un élève sur cinq en aurait besoin à Saint-Denis. « On a non seulement l’impression de ne pas être entendus mais, en plus, on nous met des bâtons dans les roues », regrette Didier Paillard, maire de Saint-Denis. « On ne demande pas de discrimination positive, juste le même traitement qu’ailleurs ». En outre, l’assouplissement de la carte scolaire, du primaire au lycée, produit un système élitiste. Didier Paillard est très inquiet : « Le taux de réussite au bac et au brevet est de 10 % inférieur à la moyenne nationale. Les élèves d’ici ne sont pas plus bêtes qu’ailleurs, seulement, les besoins en matière d’éducation ne sont pas pris en compte ». Sans compter les absen ces non remplacées de professeurs qui, en primaire, atteignent jusqu’à l’équi valent d’une année scolaire. Par ailleurs, alors qu’elle est l’une des villes les plus jeunes de France (47 % de la population a moins de 30 ans : 10 000 collégiens et lycéens, 14 000 écoliers), Saint-Denis reste en déficit de 16 postes d’assistants d’éducation depuis des années (psycho logues, éducateurs etc.) La réforme de la formation des enseignants (avec peu d’éléments de pédago gie) constitue aussi un recul. Quand le département a besoin d’enseignants chevronnés, un sur trois est débutant. Un tableau pas vraiment rose… Témoignages Une mobilisation payante : la Nuit des écoles. Témoignages de parents d’élèves militants L’éducation, une priorité 24 Philippe Goutte secrétaire général de la FCPE Saint-Denis Lorsqu’un enseignant n’est pas remplacé et que les parents se mobilisent, l’inspection le remplace. Le problème est qu’elle ne crée pas un poste mais le prend dans une autre école : le projet du gouvernement est de supprimer un poste sur deux quoi qu’il arrive. Mon fils est dans un petit collège de 500 élèves avec une équipe enseignante assez réactive et impliquée, mais il y a un manque de personnel encadrant. Les enseignants sont obligés de consacrer beaucoup de temps à la discipline. Adjera Lakehal-Brafman militante associative J’ai participé à la Nuit des écoles à l’école Jules Vallès à Saint-Denis. Le débat auquel j’ai pris part portait sur les moyens, sur la formation des enseignants et sur la place des parents. Nous ne voulons pas être là seulement pour faire des gâteaux lors des kermesses. On ne peut pas laisser les parents à la porte, sur des territoires tels que les nôtres. Mais les enseignants peuvent avoir une perception négative des familles. Je crois que l’éducation doit être repensée, l’école de Jules Ferry n’est plus adaptée en 2011. 25 L’éducation, une priorité On réussit à Saint-Denis Pour l’enseignement du premier degré, la ville est à l’initiative de projets pédagogiques par le biais de PAE (projets d’action éducative) ou des classes à projet artistique et culturel (PAC, voir encadré ci-dessous). Les enseignants porteurs de projets retenus reçoivent une aide financière et/ ou matérielle pour les mener à bien. La ville propose aussi des dispositifs comme Musicalecol. Cette année, des intervenants du conservatoire ont monté une chorale avec trois classes de l’école Blériot. Un projet très motivant qui a eu des répercussions sur la concentration des élèves en classe. Rien d’étonnant pour Bilal Khadja, conseiller municipal délégué aux collèges et lycées qui souligne que « si les jeunes se sentent réellement soutenus et encadrés, le résultat est visible. Ce sont les actions mises bout à bout et portées en “communauté” [liant l’Éducation nationale avec les établissements, la commune et les associations, ndlr], qui permettent de lutter efficacement contre l’échec scolaire ». Zékéyé et ses amis La ville de Saint-Denis accompagne la réussite de tous à travers les nombreux projets pédagogiques qu’elle soutient ou initie. Focus. Des dispositifs étatiques de réussite scolaire existent et la ville de SaintDenis les accompagne. Se situant parfois « hors du temps scolaire », certaines actions visent à favoriser l’épanouissement de l’enfant ou de l’adolescent en permettant à sa famille d’accéder à ce qui se fait couramment dans d’autres quartiers plus favorisés. À titre d’exemple, l’accompagnement éducatif après l’école pour lequel la ville met à disposition ses locaux. Tout On réussit à Saint-Denis 26 comme le projet Demos, qui a permis à des jeunes Dionysiens de 10 à 15 ans d’apprendre le violon. Localement, une multitude d’autres initiatives sont développées. Souvent portées par des enseignants, elles reçoivent le soutien de la ville de SaintDenis. Des élèves d’une classe de première du lycée Paul-Éluard ont ainsi passé, au printemps dernier, deux semaines au Guatemala où ils ont étudié les peuples indigènes et visité des vestiges de la civilisation maya. À l’automne, ils rendront compte de cette expérience lors d’une conférence scientifique à l’université Paris XIII. Sandrine Pannaud, professeur des écoles à la maternelle Moulin Dos d’âne, a travaillé toute l’année avec des enfants de grande section sur la création d’un conte intitulé Zékéyé et ses amis dans le cadre d’un PAC (projet artistique et culturel financé par la municipalité et l’Éducation nationale). « Nous avons travaillé sur des contes africains, parmi lesquels les élèves ont choisi un personnage, Zékéyé. Autour de lui, ils ont inventé une histoire portant sur l’Afrique. Ils ont ensuite raconté cette histoire à d’autres élèves, et à leurs parents. Il s’agit de travailler le récit et la maîtrise de la langue, de s’approprier l’histoire. Ils ont d’ailleurs acquis beaucoup de vocabulaire. Ils ont construit, par petits groupes de six, des maquettes en argile correspondant à chaque phrase de cette histoire, avec l’aide notamment du Musée d’art et d’histoire de Saint-Denis. J’ai également réalisé moi-même des fresques. Une photographe professionnelle de l’association Images buissonnières, Svetlana Loboff, leur a fourni une approche de l’appareil photo, du flou, du net, de l’objectif, etc. Le 28 mai, à l’occasion de la fête de l’école, une exposition a eu lieu. Chaque enfant a obtenu un CD avec les photos. Un livre a également été réalisé et restera dans la classe. J’ai eu beaucoup de retours de la part des parents, c’est donc que ça a fonctionné… » 27 On réussit à Saint-Denis Ouverture du groupe scolaire Robert DoisneauMaria Casarès Maria Casarès et Robert Doisneau, deux artistes qui ont marqué leur temps Le point commun entre Casarès et Doisneau ? La fibre artistique. Actrice de cinéma et de théâtre, fille d’un ministre de l’éphémère République espagnole des années 30, Maria Casarès donne légitimement son nom à une école située dans un quartier historiquement habité par des enfants de réfugiés républicains. Elle a joué dans des classiques tels Les Enfants du paradis ou Orphée. L’intensité de son jeu en fait l’une des plus grandes actrices du milieu du xxe siècle. Robert Doisneau, lui, est l’une des références de la photographie humaniste. Né à Gentilly en 1912, il a trouvé nombre de sujets d’inspiration à Saint-Denis, et préférait circuler « là où il n’y a rien à voir », privilégiant des moments furtifs et la vie quotidienne des quartiers. Groupe scolaire Doisneau-Casarès 28 Il est tout beau, tout neuf. Le groupe scolaire Robert Doisneau-Maria Casarès a ouvert ses portes à la rentrée. Situé entre Saint-Denis et Aubervilliers, dans le quartier Cristino Garcia en pleine rénovation urbaine, cette école intercommunale a la particularité de rassembler des élèves venant des deux communes. À l’occasion de cette première rentrée, ils seront 550 au total pour 23 classes. « Les écoles intercommunales sont rares en France, si ce n’est dans les zones rurales où l’on regroupe les élèves de différents villages pour des raisons de facilité », assure Sophie Leduc, directrice générale adjointe à l’éducation et la jeunesse à la ville de Saint-Denis. Sur un terrain de 5 490 m2 jouxtant le Hogar – mythique foyer espagnol –, un bâtiment en U a été construit pour accueillir les enfants de la maternelle Robert Doisneau et de l’élémentaire Maria Casarès. Mais pas seulement : une salle de sport, une salle informatique, un centre de loisirs, des locaux communs dont une infirmerie, un restaurant scolaire et un gymnase ont également été aménagés. « Un jardin thérapeutique et une salle multimédia sont aussi en projet », précise Sophie Leduc. L’architecte Vincent Parreira a privilégié le bois pour l’équipement dédié aux scolaires. La toiture, en partie végétalisée, permet de réguler la température. Construit sur le même principe (charpente en bois sur socle en béton), le bâtiment regroupant l’espace de restauration et le gymnase Micro-trottoir Votre meilleur ou votre pire souvenir de rentrée scolaire ? fait penser quant à lui aux anciennes halles de marché. Les façades intérieures sont pour leur part habillées de longues coursives et la cour est abritée du bruit et du vent. Pour rappeler le passé industriel du site, une cheminée a été conservée et remise en état à la demande du maire de Saint-Denis, Didier Paillard. Le montant des travaux, qui ont duré seize mois, est évalué à 26 millions d’euros, financés notamment par Saint-Denis, Aubervilliers, l’Anru (Agence nationale de rénovation urbaine) et la Région Île-de-France. Afida, 41 ans J’ai d’excellents souvenirs de l’école. J’étais excitée la veille des rentrées. Nous avions de nouveaux vêtements, de nouvelles affaires. Toutefois, mon bien-être dépendait souvent des relations avec les profs. Mais je trouve qu’à notre époque, nous étions beaucoup moins encadrés que maintenant. J’ai aussi l’impression qu’ils apprennent plus tôt les tables de multiplication et les langues vivantes. Jean-Michel, 22 ans Je redoutais les rentrées scolaires. J’appréhendais de devoir me réintégrer à une nouvelle classe avec des nouveaux camarades et des programmes plus difficiles. En plus, j’étais souvent puni ! Mon meilleur souvenir est lorsque nous avons gagné un tournoi interscolaire. Nicolas, 28 ans À chaque rentrée, j’étais déterminé à bien travailler et à me concentrer mais j’étais influençable et, dès qu’un camarade faisait une bêtise, je la faisais avec lui. Le seul bon souvenir que j’ai de l’école est que j’y ai appris le rugby avec un copain. Sandra et Jean-Baptiste, 24 ans Sandra : Pour moi, la rentrée signait la fin des vacances et le retour aux contraintes. Mon meilleur souvenir est lorsque je partais en classe verte : être dans la nature, goûter du fromage. Mon pire souvenir, c’était en CP, j’avais imité la signature de ma mère pour ne pas lui montrer mon carnet, et la psychologue scolaire était intervenue pour dire que ce n’était pas normal. J’ai trouvé ça complètement disproportionné par rapport à mon acte. Jean-Baptiste : Les relations avec les profs étaient plutôt distantes. Il n’y en a qu’un qui m’a marqué. Il avait quelque chose de particulier : un esprit critique captivant. Il me paraissait sage et brut à la fois. C’est lui qui m’a fait découvrir la nouvelle L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. 29 Micro-trottoir Infos écoles SOS Rentrée Chaque année, des élèves se retrouvent à la rentrée sans affectation. Afin de les informer et de les soutenir, le service enseignement met en place SOS rentrée, une permanence d’accueil en mairie. L’objectif : créer une interface entre ces jeunes et l’institution scolaire afin de trouver toute les solutions possibles d’affectation et d’orientation. Chaque année, SOS rentrée permet à environ soixante-dix jeunes de continuer leurs études ou de trouver leur voie. Accueil du bâtiment administratif Place du Caquet 01 49 33 65 84 De 9 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 [email protected] Travaux estivaux dans les écoles Chaque été, la ville de Saint-Denis réalise des travaux dans les crèches et les écoles maternelles et élémentaires de la ville. Cette année, les services municipaux sont intervenus dans 6 crèches et 31 écoles pour un montant global de 3 500 000 euros, afin d’améliorer le confort des élèves et des personnels. Élections des parents d’élèves Les élections des représentants de parents d’élèves aux conseils d’école et aux conseils d’administration des établissements secondaires auront lieu mi-octobre. Chaque parent d’élève est électeur et éligible. Le vote par correspondance est possible jusqu’au jour du scrutin. Inscription au centre de loisirs Les centres de loisirs de Saint-Denis accueillent les enfants de maternelle et d’élémentaire le soir après la classe, le mercredi et pendant les vacances scolaires. Il est encore possible de s’inscrire en septembre auprès de la Direction de l’enfance. La participation de chaque famille est déterminée selon le quotient familial. Direction de l’enfance - Place du Caquet - 01 49 33 68 30. Inscription à l’école d’arts plastiques Les inscriptions sont ouvertes de début septembre aux vacances de la Toussaint. Pièces à fournir : carte de quotient familial 2011-2012, photo d’identité, justificatif de domicile et, pour les enfants, une attestation d’assurance extrascolaire. École d’arts plastiques Gustave Courbet 51 rue Auguste Poullain 01 58 34 39 34 - [email protected] Forum des associations sportives Pour se réinscrire à son activité sportive préférée ou découvrir un nouveau sport, il y a un rendez-vous à ne pas manquer à la rentrée, le Forum des associations sportives, samedi 10 septembre au Palais des sports. 9 avenue Roger Sémat - de 13 h 30 à 18 h. Inscription à l’école municipale des sports L’école municipale des sports propose aux enfants de 5 à 11 ans de pratiquer des activités sportives le mercredi (sports collectifs ou individuels, activités nautiques, motricité…) Inscriptions à partir du 29 août à la Direction des sports. Pièces à fournir : certificat médical multisport, carte de quotient familial 2011-2012, photo d’identité. Direction des sports - place du Caquet - 01 49 33 65 83 / 68 71 Infos écoles 30 Inscription centres de loisirs Il existe plusieurs centres de loisirs dans chaque quartier de Saint-Denis. Les enfants de maternelle et d’élémentaires y sont accueillis le soir après la classe, le mercredi et pendant les vacances scolaires. Pour les retardataires, il est encore possible de s’inscrire en septembre auprès de la direction de l’enfance. La participation de chaque famille est déterminée selon le quotient familial. Direction de l’enfance Place du Caquet - 01 49 33 68 30 tionnaire ? 21 juin Atl as ou dic 6e, la ville de Pour leur passage en s les futurs Saint-Denis offre à tou un dictionnaire. collégiens un atlas ou 4 juillet / 26 août er ! és dans mon quarti les AMO, des activit isin rs Allende, Franc-Mo rtie qua des ans 4 Les 11-1 ités fiter tout l’été d’activ pro pu ont ville treet Cen cadre ou manuelles dans le sportives, culturelles x ouverts (AMO) ! ieu mil en s tion ma des ani r la rénovation 14 juin DEUX prix pou Sémard rre Pie er rti qua du rénovation urbaine L’Agence nationale de au maire prix x deu is rem a ru) (An Paillard, pour la ier Did s, eni nt-D Sai de r Pierre Sémard. réhabilitation du quartie récompensent ils €, 000 100 de és Dot hitecturale la qualité urbaine, arc aux réalisés. trav des ère sag pay et 18 juin / 11 sep tembre avec le FAR u Un été au bord de l’ea artistes du 6B invitent , les Jusqu’au 11 septembre e à rêves d de l’eau à la Fabriqu à passer un été au bor ette, ngu gui se, dan ts, cer con (FAR). Au programme : expos, s, lier ate es, anc form jeux d’eau, théâtre, per et jacuzzi… pique-nique, barbecue Juillet / août loisirs ! dans les centres de le plein d’activités de loisirs ont permis tres cen les é, l’ét t Ouverts tou nt de leurs s de profiter pleineme à de nombreux enfant . De quoi attaquer la eur hum ne bon la s vacances, dan e ! rentrée en pleine form 13 juillet n au parc de la Légio jours d’honneur, c’est tou un feu d’artifice ! valses Banquet républicain, cubaines entraînantes, danses ns surchauffées, chanso lophiles, italiennes, furies ang DJ slows à pleurer, set de tifice et un magnifique feu d’ar du groupe F étaient au ébration programme d’une cél 2011 très réussie. e 5 juillet / 28 octobr lic illes ouvert au pub un chantier de fou e, les utiv séc con ée ann e Pour la troisièm t de Saint-Denis ouvren archéologues de la ville s de l’îlot Cygne, ille fou de r ntie cha les por tes du e inclus. L’occasion du 5 juillet au 28 octobr rir la fouille et de découv de tion olu de suivre l’év e… ogu éol rch le métier d’a La ville en images 32 18 juin ine ne jeunesse à la Pla Une nouvelle anten rue Jeumont 15 ée situ se nes jeu La nouvelle antenne te, elle spacieuse et accueillan a été inaugurée. Plus au vendredi. di lun du és ivit act s propose de nombreuse Juillet / août e l’été, on ne rel âch pas l’effort ! Le ser vice animation rt et éducation par le spo propose tout l’été des activités gratuites aux 8-13 ans, dans les es cinq structures sportiv foot, de la ville : handball, le, basket, tennis de tab mate, tennis, speed ball, ulti escalade, piscine… 33 La ville en images Agenda Septembre/2011 Juillet / août s de vacances… les jolies colonie nysiens sont par tis cet Dio nes Près de 800 jeu gne ou à la campagne nta mo la été à la mer, à sés s de vacances organi our séj des dans le cadre de camp, x feu e : mm gra pro Au par la mairie. ons, res, batailles de poloch cabanes dans les arb és qui laisseront ivit act res aut et air jeux en plein irs de vacances. de très beaux souven Février / septembre istoire le Musée d’art et d’h fait peau neuve et les assauts Abîmées par l’humidité cloître datant du temps, les piles du es et consolidées, du xviie ont été drainé es ont été les pierres déchaussé cées. restaurées ou rempla 300 € dont Coût de l’opération : 853 l’État et 124 567 € 102 520 € financés par nce par la région Île-de-Fra 6 MAI , invité Le lycée Bartholdi Denis du Festival de Saintio France En par tenariat avec Rad s, eni et le Festival de Saint-D re technique une classe de premiè it du lycée Bar tholdi a écr péra un véritable livret d’o initiative Et nous le monde… Une né lieu a enrichissante qui a don c le chœur un concer t le 6 mai ave chestre de Radio France et l’Or national de France. 18 mai sée pour La ville récompen asse à bois biom e eri uff sa cha Saint-Denis, de ire ma d, llar Pai Didier Marianne d’or la de 1 201 prix le u a reç biomasse à bois au titre de la chaufferie octobre 2011. en vice ser en rera qui ent millions 14 de ent sem stis Un inve d’assurer plus d’euros qui permettra de chaleur tion duc pro la de de 25 % yen d’une mo au ien nys dio eau du rés . ble ela ouv ren énergie juin à sep tembre e ! Les quartiers en fêt vices municipaux, Organisées par les ser acteurs locaux, elles les associations et les de faire des rencontres ion cas l’oc rs jou tou sont breuses animations : nom de à per tici par et de s, jeux… ade par s, lier ate ts, concer La ville en images 34 Jusqu’au 31 octobre Les Gisants Exposition de photographie Jusqu’au 30 septembre, du lundi au samedi de 10 h à 18 h 15 et le dimanche de 12 h à 18 h 15. Du 1er au 31 octobre, du lundi au samedi, de 10 h à 17 h 15 et le dimanche de 12 h à 17 h 15. 7 € / tarif réduit 5 €. Basilique de Saint-Denis Place Victor-Hugo 01 48 09 83 54 2 septembre Faramix Concerts Carte blanche Sonotown (électro) 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 3 septembre 19 h Pique-nique Concert Concerts Fred Louisor (afro-caribéen), Janey’Ann (chanson française et créole) et Baster (sega-maloya électrique et reggae). Restauration sur place. Entrée libre. Parvis de la basilique 3 septembre 17 h Farock Performance / concerts 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 4 septembre 10 h Le bonheur est dans le souk Concerts, installations, performances, théâtre Toute la journée, carte blanche à SoukMachine 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 7 septembre 17 h Zik du Far-Est Théâtre, concerts, cinéma en plein air 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 10 septembre 12 h Journée culturelle Animations, spectacles À la découverte de la culture des Caraïbes Parvis sud du Stade de France Hugues Solvar - 06 70 53 05 98 - [email protected] 10 septembre 16 h Clôture 1/2 Parade, concerts, théâtre, bal 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 11 septembre 16 h Clôture 2/2 Théâtre, concerts, contes, cinéma en plein-air 6B 6 bis quai de Seine - www.far6B.org 10 septembre 15 h Invitation au voyage Animations, jeux, concerts, cinéma en plein air La Prairie-Floréal Démarche quartier - 01 48 22 82 20 [email protected] 10 septembre 13 h 30 Forum des associations sportives Forum Pour se réinscrire à son activité sportive préférée, découvrir un nouveau sport… Palais des sports 9 avenue Roger Sémat Office des Sports - 01 49 22 01 37 ou [email protected] 10 septembre 9 h Brocante Joliot-Curie Rue Maurice Audin - 01 49 33 66 19 / 71 44 10 septembre 9 h / 19 h 15e braderie de Saint-Denis Dans le centre-ville piéton et place du 8 mai 1945 Maison de commerce et d’artisanat - 01 48 09 46 27 13 septembre 18 h Soirée d’ouverture de la LIGNE13 Présentation de la programmation de septembre à décembre 2011. Inauguration des fresques. Pot amical et concert de jazz avec le Round Trip Trio. Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation - 01 83 72 20 90 Du 13 au 18 septembre Une semaine en compagnie Théâtre Présentation de six spectacles. 14/10/5 € TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 15 septembre 11 h 30 Inauguration du Relais d’assistantes maternelles de Pleyel 11 place des Pianos 16 septembre / 31 octobre Chapelle Vidéo 1 : Éffacement visible Exposition Nouveau cycle d’expositions d’œuvres vidéo de la Collection d’art contemporain du Département sur le thème de la mémoire et le passage du temps. 1 €. Musée d’art et d’histoire 22bis rue Gabriel Péri 01 42 43 37 57 et sur www.ville-saint-denis.fr 16 septembre / 31 octobre Diplomates écrivains, xixe-xxe siècles Exposition De Chateaubriand à Romain Gary, les liens entre la pratique diplomatique et la liberté créatrice. Musée d’art et d’histoire 22bis rue Gabriel Péri 01 42 43 37 57 et sur www.ville-saint-denis.fr 17 septembre 10 h 30 Inauguration de la Fabrique de la ville Sous l’étrange champignon de la rue du Cygne se cache un « squelette » de maison et sa charpente caractéristique des transformations que la ville a connu depuis la fin du Moyen Âge. Unité d’archéologie 4 rue du Cygne - 01 49 33 80 20 35 Agenda Agenda Septembre/2011 Samedi 17 et dimanche 18 septembre Journées européennes du patrimoine Manifestation nationale (Re)découverte des monuments phares du patrimoine dionysien, parcours thématiques. Entrée libre. 01 49 33 66 53 et sur www.ville-saint-denis.fr Lundi 19 septembre Saint-Denis Jazz club -TGP Concert Tangora invite Mario Canonge. 6/3€ TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 20 et 21 septembre Semaine du cœur Sensibilisation aux maladies cardio-vasculaires Dépistage gratuit des maladies cardio-vasculaires Maison de la santé 47 rue Jean Jaurès Initiation aux gestes qui sauvent Maison de la santé 47 rue Jean Jaurès, place Jean Jaurès et Maison de la jeunesse 12 place de la Résistance et de la Déportation. Conférence « Bon cœur, bon corps ». Centre cardiologique du nord 32-36 avenue des Moulins Gémeaux Programme complet sur www.ville-saint-denis.fr 21 septembre 18 h 30 Démarche quartier Péri/Langevin/Stalingrad/Politzer Présentation de la saison culturelle, point d’étape sur le budget participatif. Antenne jeunesse Péri Rue Baudelaire - 01 49 33 66 19 / 71 44 24 septembre 12 h Fête de quartier Cosmonautes Animations, ateliers, jeux, concerts. Restauration sur place. Groupe scolaire Cosmonautes 5-7 rue Valentina Terechkova 01 49 33 70 25 - www.ville-saint-denis.fr 24 septembre 10 h - 3es Assises de la Gare Confluence 12 h 30 - Fête de quartier République-Gare Construction de nouveaux logements, création d’une médiathèque à l’Île-Saint-Denis, programme de lutte contre l’habitat insalubre, travaux des tramways T1 et T8… Toutes les opérations des prochains mois seront présentées au cours des Assises de la Gare Confluence. 12 h 30 Fête de quartier sur le parvis, déambulation, animations, ateliers, tournoi de foot. 18 h - 22 h La fête continue au 6B avec des concerts et un bal. 6 bis quai de Seine. Brocante et braderie solidaire toute la journée. Parvis de la gare RER www.ville-saint-denis.fr - www.gareconfluence.fr 23 septembre 17 h 30 Comité consultatif Lamaze Hôtel de ville - Salle du bureau municipal Place Victor Hugo - 01 49 33 66 19 / 71 44 23 septembre à 20 h 30 Ushman2 et La Waguess Family Concert Concert en soutien aux familles vivant avec le VIH. 5 €. Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation - 01 83 72 20 90 Du 23 au 25 septembre présentation de la saison Projections numériques, rencontres et convivialité. Cinéma L’Écran 14 passage de l’Aqueduc - 01 49 33 66 88 Agenda 36 D’octobre à décembre Le cirque à l’honneur Exposition, contes, visites, stages et spectacle à la Belle Étoile, organisés par les Médiathèques de Plaine Commune et la ville. Programme complet sur : www.ville-saint-denis.fr www.mediatheques-plainecommune.fr 13 et 14 octobre Savante banlieue Manifestation de culture scientifique et technique Thème 2011 : « Sciences et société de l’image ». Campus de Saint-Denis 2 rue de la Liberté 01 55 93 56 81/82 http://savantebanlieue.plainecommune.fr 1er octobre 12 h Fête de Saint-Denis Fête de la ville Forum des associations, découvertes des projets et services municipaux, animations, parades, danse, concerts. Centre-ville - www.ville-saint-denis.fr Du 14 au 22 octobre Semaine bleue Actions de sensibilisation, animations Thème 2011 : « À tout âge : acteurs, proches et solidaires ». Découverte des fouilles archéologiques et du nouveau parcours historique, projections, spectacles, ateliers, initiation à la danse, forum… Programme complet : www.ville-saint-denis.fr. Du 3 au 17 octobre Festival Mots à Croquer Contes, lectures, écritures, organisés par l’association Mots et Regards. Différents lieux de Saint-Denis Renseignements et programme complet : www.motsetregards.org - 01 48 20 66 95 4 octobre 18 h 30 démarche quartier Saint-Rémy Présentation des critères de relogement pour les locataires de Saint-Rémy, résultats des fouilles de l’été 2011. Maison de quartier Romain Rolland 2 rue Henri Barbusse - 01 49 33 66 19 / 71 44 8 octobre Journée nationale de l’accessibilité Pour sensibiliser les commerces sur la question de l’accessibilité de leur établissement aux personnes à mobilité réduite. Recrutement de bénévoles. Pour participer, contact : Natacha Carré au 01 49 33 68 76 22 septembre 18 h 30 Démarche quartier Joliot-Curie Débat sur l’aménagement des espaces extérieurs de la cité. Antenne jeunesse Joliot-Curie 14 rue Albert Einstein - 01 49 33 66 19 / 71 44 22 septembre 18 h 30 Démarche quartier République-Gare Échanges sur l’avancement du projet d’aménagement de l’îlot Condroyer. École Jules Vallès 55 boulevard Jules Guesde - 01 49 33 66 19 / 71 44 Agenda octobre/2011 24 septembre 15 h inauguration de la maison de quartier Plaine brocante de la Plaine 5 rue Saint-Just. Le même jour, se tiendra la brocante de la Plaine, rue Saint-Just 01 83 72 20 50 [email protected] Du 26 septembre au 16 octobre Micro Théâtre, rock, danse Avec Micro, le chorégraphe Pierre Rigal concrétise son désir d’un spectacle total, explorant l’interaction des corps et de la musique rock. 22/16/13/11€ TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 30 septembre et 1er octobre 14 h FPP part en live ! Festival FPP, la radio libre, propose une journée festive. Scène DJ’s, concerts reggae et punk-rock, soirée hip-hop. Bar, restauration et animations. 6 € Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation - 01 83 72 20 90 Samedi 8 octobre 20 h 30 Festival d’Île-de-France à l’académie Fratellini Concert Alice au pays des merveilles, création. Avec Ibrahim Maalouf (composition, direction, trompette), Oxmo Puccino (livret et narration) et l’Ensemble instrumental du C.R.R. d’Aubervilliers-La Courneuve. 15/20 € Académie Fratellini Rue des Cheminots - La Plaine 01 58 71 01 01 15 octobre 10 h 30 Concertation quartier Saint-Rémy Concertation sur les noms des rues et l’aménagement du square. Maison de quartier Romain Rolland 2 rue Henri Barbusse - 01 49 33 66 19 / 71 44 16 octobre 13 h Voie Royale semi-marathon Marathons de 10 km, 5 km et 1,9 km. Nouveauté, la marche nordique sur une distance de 5 km. Centre-ville - www.saint-denis-marathon.com 16 et 17 octobre 50e anniversaire du 17 octobre 1961 La ville de Saint-Denis rend hommage aux victimes du crime d’État qui a coûté la vie à des centaines d’Algériens. Projection du film 17 octobre 1961 de Yasmina Adi au cinéma l’Écran (14 passage de l’Aqueduc), signature du livre Meurtres pour mémoire de Didier Daeninckx, exposition, concert de Samira Brahima, témoignages… Commémoration le 17 octobre, place des Victimes du 17 octobre 1961. Programme complet : www.ville-saint-denis.fr Lundi 10 octobre Saint-Denis Jazz Club Concert Kartet avec Guillaume Orti (sax alto), Hubert Dupont (double basse), Chander Sardjoe (batterie) et Benoît Delbecq (piano). 6/3€ TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 Les 12 et 15 octobre Y es-tu ? festival Et moi alors ? Théâtre jeune public Une histoire de loup et de petites filles qui ne fait presque pas peur… Pour les 6-8 ans. 7/5 € TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 37 Agenda Agenda octobre/2011 Dès le 19 octobre La ville avance, Parlons-en ! Mieux comprendre vos besoins et votre point de vue, c’est mieux organiser les projets de demain. Parce que vous êtes les mieux placés pour nous dire comment vous vivez la ville, parce que Saint-Denis a besoin de ses habitants pour réussir. L’avis de tous est attendu ! 4 grands rendez-vous ouverts à tous, dans différents points de la ville Mercredi 19 octobre 19 h Groupe scolaire Casarès-Doisneau 3 rue Cristino Garcia Vendredi 4 novembre 19 h La Raquette Parc Auguste Delaune - 9 avenue Roger Sémat Samedi 19 novembre 10 h Groupe scolaire Marville - Saint-Exupéry 1 passage des Écoles Vendredi 25 novembre 19 h Salle de la Légion d’honneur 6 rue de la Légion d’honneur À l’issue de ces quatre rendez-vous, une réunion publique de restitution aura lieu le 27 janvier 2012 pour tirer le bilan des temps forts de ces rencontres et de ce qui en aura émergé. Que vous aimiez prendre la parole en public ou pas, ces rencontres sont conçues pour donner une place à chacun et se veulent un moment important de construction collective entre Dionysiens. www.saintdenisparlonsen.com Agenda novembre dÉcembre/2011 Du 21 au 29 octobre Festival hip-hop et des cultures urbaines de Saint-Denis Concerts, light painting, graff, slam, rap, street danse, expositions, projections, coupé-décalé. La ville de Saint-Denis propose pour cette douzième édition du Festival Hip-Hop et des cultures urbaines une programmation à l’image de la richesse des cultures urbaines d’aujourd’hui. vendredi 21 Light painting, démo de danse, slam, samedi 22 Rap, danse dimanche 23 Rap créole lundi 24 Expo graff’, photo et vidéo mardi 25 Projection et concert hip-hop, reggae, dancehall mercredi 26 Swiftguad (rap), danse urbaine & guests jeudi 27 Dany Boss (rap) vendredi 28 Kenza Farah & guests samedi 29 Coupé-décalé Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation Salle de la Légion d’honneur 6 rue de la Légion d’honneur 6B 6 bis quai de Seine Information et réservations 01 83 72 20 90 www.ville-saint-denis.fr Lundi 7 novembre Saint-Denis jazz Club Concert Times, avec Jean-Christophe Cholet (piano), Geoffroy de Masure (trombone), Chander Sardjoie (batterie) et Linley Marthe (basse). 6/3€ TGP 59 boulevard Jules Guesde - 01 48 13 70 00 12 novembre 14 h Birdyhunt, Soyouz, Polar Polar Polar Polar Concerts de rock Nourri d’influences multiples, Polar Polar Polar Polar assurera une 1re partie « dramatico-jubilatoire » ! Suivra Soyouz, entre post-rock et musiques électroniques, arabe et anglais. Enfin, Birdy Hunt enverra un concentré de rock énergique, au son garage et à la pulsation électro. 5 € Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation 01 83 72 20 90 Du 14 au 4 décembre L’entêtement Théâtre Pièce de Rafael Spregelburd, inspirée du tableau de Jérôme Bosch La Roue des sept péchés capitaux (1475). TGP 59 bd Jules Guesde - 01 48 13 70 00 - 22/16/13/11€ 19 novembre 16 h Les Assises de l’outre-mer Rencontre-débat Didier Paillard, maire de Saint-Denis, invite les Ultramarins du territoire à une rencontre-débat. Spectacle de danse par la Compagnie Boukousou. Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la déportation. Cabinet de Didier Paillard, Tony Ruellan, 01 49 33 65 23, [email protected] 19 novembre à 20 h 30 New Gospel Family Concert Issus de divers pays d’Afrique, des Antilles, d’Haïti, du Brésil ou d’Europe, les choristes de NGF partagent l’authenticité et la force du gospel, son message d’amour, de paix, de tolérance. 17 et 12 € Salle de la Légion d’honneur 6 rue de la Légion d’honneur - 01 83 72 20 90 20 novembre Nuit capitale Circus à l’académie Fratellini Concert Soirée spéciale organisée dans le cadre des Nuits capitales, semaine dédiée à la musique live et au clubbing à Paris et en Île-de-France. Académie Fratellini Rue des Cheminots - La Plaine 01 43 58 38 50 26 novembre 14 h Mamy Brunette Concert Mamy Brunette est une jeune femme originaire du sud-est de Madagascar. Par sa simplicité déconcertante et sa fougue inouïe, elle nous entraîne à la rencontre des différentes cultures malgaches. Un mélange de chants traditionnels du sud-est et du rythme tsapiky du grand sud. Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation. 01 83 72 20 90 2 et 3 décembre 16 h Working girls théâtre Quatre pièces de théâtre, quatre auteures, quatre héroïnes, quatre tranches de vie qui racontent la condition des femmes dans le monde. Salle de la Ligne13 12 place de la Résistance et de la Déportation. 01 83 72 20 90 Les 9 et 10 décembre Festival AFRICOLOR Concerts Vendredi 9 à 20 h : Érik. 1re partie : Edmond Mondésir. Samedi 10 à 20 h : Amazigh Kateb. 15 € TGP 59 boulevard Jules Guesde 01 48 13 70 00 10 décembre 1 h première pierre de la cité Saint-Rémy Événement autour de la pose de la première pierre au cœur de la cité : inauguration, animations. Parking de la cité Saint-Rémy 01 49 33 66 19 / 71 44 Lundi 12 décembre Saint-Denis Jazz Club Concert Jean-Philippe Viret Trio. 6/3€ TGP 59 boulevard Jules Guesde 01 48 13 70 00 29 octobre 10 h La banane d’Outre-mer autrement Débats, animations, dégustations Tables rondes, projections, dégustations, vêtements et bijoux, mais aussi animations et spectacles. Entrée libre. Bourse du Travail 9-11 rue Génin CM 98 : Josy Saint-Maximin - 06 21 28 29 33 Agenda 38 39 Agenda Mémoire Carte photographique ou carte postale ? jeuxjeuxjeuxjeuxjeuxjeuxjeux Créés par le verbicruciste Philippe Imbert pour tous les cruciverbistes ! Testez vos connaissances sur le patrimoine de Saint-Denis. Carte photographique Les enfants de la rue Ternois. La carte photographique est une véritable photographie tirée en peu d’exemplaires sur du papier photosensible déjà imprimé au dos pour servir de carte postale. La carte photographique ne s’intéresse pas au décor. C’est la personne, son visage et son maintien qui comptent. Elle est souvent annotée. C’est un objet personnel. Carte postale Les écoles de La Plaine Saint-Denis. La carte postale est imprimée, et s’achète « toute faite ». Elle s’intéresse au bâti, au paysage, aux perspectives, aux ambiances générales. Le photographe privilégie un cadre large, une grande profondeur de champ. Les personnes (ici les enfants) font partie du « décor ». Vous pouvez visionner des centaines de cartes postales et de cartes photographiques de Saint-Denis sur le portail des Archives municipales : http://archives. ville-saint-denis.fr Mémoire 40 Au début du xxe siècle, il y a 100 ans, ni Facebook ni Twitter n’existaient. Pas de téléphone pour tous et encore moins de téléphone portable. Pour se donner des nouvelles, se donner rendez-vous pour le lendemain ou le dimanche à venir, on s’envoyait une carte postale ou une carte photo graphique. Le geste était rapide et pas cher. Une carte, déposée à La poste de La Plaine le matin, arrivait l’aprèsmidi rue de la République, au centre de Saint-Denis. Le facteur allait à vélo. Ilt était toujours le bienvenu. Sudoku Une grille de Sudoku est composée de 9 carrés de 9 cases soit 81 cases. Le but du jeu est de parvenir à inscrire tous les chiffres de 1 à 9, sans qu’ils se répètent, dans un ordre quelconque dans chaque ligne, dans chaque colonne et dans chaque carré de neuf cases. Tout le monde peut jouer, il suffit d’être patient et surtout logique ! facile difficile 41 Jeux Le coin des enfants Le tri sélectif sera mis en place dans toutes les écoles de la ville à la rentrée 2011-2012. L’écoparlement des écoliers avait décidé de travailler pendant toute l’année 2010 sur son installation. Sensibilisation, écogestes… Ces petites histoires ont été écrites par les classes de CM1 des écoles Jules Vallès et André Diez avec mesdames Dilly et Zaidi, ainsi que par la classe de CE2 de l’école Rolland Madigou avec madame Langlois. Quand mes vêtements deviennent trop petits, je les donne au lieu de les jeter. Les jeux et les objets dont je n’ai plus besoin, je les donne, ils peuvent toujours servir à quelqu’un d’autre. Quand je dessine, j’utilise toujours les deux côtés de ma feuille. Je n’achète plus de bouteille en plastique, je préfère utiliser une gourde. Mes fournitures scolaires, j’en prends soin, je les garde d’une année sur l’autre, je jette moins et j’économise ! Le coin des enfants 42 Je jette toujours dans une poubelle car je tiens à préserver mon environnement. Cette double page a pour vocation de présenter le travail des enfants des écoles et des centres de loisirs de la ville de Saint-Denis. Si vous souhaitez y voir figurer l’un de vos projets, merci de nous écrire à l’adresse suivante : [email protected] 43 Le coin des enfants Tribunes À votre service La rentrée scolaire et les enjeux de l’école Vos élus vous reçoivent Lieu privilégié d’apprentissage pour les jeunes, l’école doit demeurer un service public chargé de transmettre des valeurs et permettre la réussite scolaire, pour une réussite sociale. La rentrée scolaire est le moment de prendre conscience des enjeux de l’école. Les moyens alloués et les ré formes engagées ces dernières années ont souvent fait l’objet de protestations légitimes. Sans moyens suffisants, il est difficile d’assurer une éducation de qualité, avec de véritables objectifs de réussite. Aussi, on constate des inégalités qui auront des répercussions sur l’en semble de la société. Les enfants des territoires pauvres et populaires n’ont pas les mêmes chances de réussite que les autres. Les suppressions de postes observées depuis de nombreuses années ont des conséquences néfastes sur le bon déroulement de la scolarité. Une véritable présence des personnels de l’enseignement, mais également des éducateurs, des personnels para médicaux ou encore des assistants est absolument nécessaire à la réussite scolaire. L’éducation est un enjeu politique majeur d’intégration et de promotion sociale. Cependant, la réussite scolaire ne va pas sans l’éducation à la citoyen neté et à l’environnement. Il est important de concevoir un partenariat large (État, collectivité, associations, parents) pour servir un tel enjeu. Par ailleurs, un ensemble de nouveaux projets devrait favoriser une meilleure scolarité et contribuer au bien-être des enfants. Ainsi, la mise en place de la pause méridienne permettra aux enfants de prendre du temps pour déjeuner. L’introduction des produits issus de l’agriculture biologique, comme le pain, dans la restauration scolaire améliorera la qualité des repas. Elle témoigne aussi d’une plus grande prise en compte de la santé des enfants. L’éducation est au cœur du développement durable. Donner la possibilité à chaque enfant de concevoir une société plus juste, plus égalitaire, plus écologique est de la responsabilité des politiques. Le maire et les élus de la ville de Saint-Denis vous reçoivent chaque semaine, sur rendez-vous, pour vous renseigner sur tous les projets et sujets de la compétence de la ville (petite enfance, enfance, enseignement, jeunesse, démocratie locale, sécurité, développement durable, transports, urbanisme, projets d’aménagement, logement, propreté, solidarités et développement social, développement économique, culture, sport, séniors, vie associative, santé, handicaps et coopération décentralisée). Les rendez-vous peuvent être pris par téléphone au 01 49 33 66 66 ou par courrier à l’adresse suivante Mairie de Saint-Denis BP 269 93205 Saint-Denis cedex Cécile Ranguin, Europe Écologie-Les Verts, adjointe au maire déléguée au développement durable, aux modes de déplacement, à la gestion de l’eau. Liste « Saint Denis pour tous » Remettre l’école au centre des politiques publiques La rentrée scolaire devrait être un moment d’intense satisfaction : les enfants commencent ou poursuivent leur scolarité et peuvent ainsi cheminer vers la construction de leur devenir adulte. Pour notre collectivité, l’école reste plus que jamais la source essentielle d’espoir dans l’amélioration des conditions de vie pour les générations nouvelles. C’est un outil fondamental d’insertion dans la société et il est indispensable de le protéger et de le renforcer. Notre ville connaît malheureusement un niveau d’échec scolaire bien trop élevé et il s’agit là d’une inégalité insupportable ! En dépit de cette réalité révoltante, les moyens de l’Éducation nationale ne cessent d’être affaiblis par le gouvernement Sarkozy-Fillon. Les équipes enseignantes, déjà surchargées, doivent faire face une nouvelle fois à des conditions de travail aggravées. Espérons que le peuple les congédiera en mai 2012 lors de l’élection présidentielle : le projet socialiste met la jeunesse et l’enjeu éducatif au cœur de son action. La gestion municipale de la rentrée est insuffisante : 1 - la réforme de la pause méridienne continue à poser problème faute d’une réelle concertation avec les personnels communaux et les parents d’élèves ; 2 - le tarif de 0,15 euro par repas ne sera toujours pas appliqué aux enfants des familles ayant un revenu inférieur au seuil de pauvreté (parce que supérieur au RMI-RSA !) ; 3 - la participation municipale au plan de réussite éducative financé par l’État reste minimaliste, renonçant à toute dynamique de mobilisation des acteurs éducatifs locaux Ensemble pour un nouveau Saint-Denis Texte non communiqué Tribunes 44 4 - le soutien municipal aux projets éducatifs des enseignants reste dérisoire alors que les aides devraient se multiplier. Mais le plus grave concerne la dramatique absence d’anticipation du besoin en nombre de classes dans plusieurs écoles. Le nombre de classes en préfabriqué ne fait que s’accroître d’année en année ! Pour les élus PS & Partenaires, l’école mériterait d’être également placée au centre de l’action municipale. Plus d’informations sur le blog du président du groupe PS : www.georgessali.fr Georges Sali, président du groupe PS & Partenaires. Liste « Ensemble pour l’avenir de Saint-Denis » Des permanences pour tous, sur rendez-vous Permanences juridiques Généraliste Hôtel de ville - le jeudi de 18 h à 20 h 01 49 33 68 01 Droits des femmes et de la famille • Maison de quartier Romain Rolland 2 rue Henri Barbusse Le jeudi après-midi - 01 49 33 70 20 • Maison de la justice et du droit 16 rue des Boucheries Le mardi après-midi et le jeudi matin 01 55 84 05 30 • Maison de quartier Floréal 3 promenade de la Basilique Le mardi après-midi - 01 48 22 82 20 • Maison de quartier la Plaine 4 allée Saint-Just Le mardi - 01 49 98 15 90 • Espace services publics 75 rue Danielle Casanova Le jeudi après-midi - 01 49 33 70 30 Médiation familiale • Maison de la justice et du droit 16 rue des Boucheries Le jeudi après-midi 01 55 84 05 30 • Permanence sociale du quartier 15 rue Catulienne Le jeudi et le vendredi matin 01 48 30 21 21 45 À votre service Interprétariat et écrivains publics • Maison de la justice et du droit 16 rue des Boucheries Le mardi, jeudi et vendredi après-midi - 01 55 84 05 30 • Permanence sociale Félix Faure Cité La Saussaie/bâtiment 6/escalier 4 Le mercredi matin • Permanence sociale Sémard 11 rue Jean- Pierre Timbaud - le vendredi matin • Espace services publics 75 rue Danielle Casanova Le mercredi après-midi et les 2e et 4e lundis du mois 01 49 33 70 30 • Maison de quartier Romain Rolland 2 rue Henri Barbusse - le lundi matin - 01 49 33 70 20 • Maison de quartier La Plaine 4 allée Saint-Just Le mercredi après-midi - 01 49 98 15 90 Permanences sociales, de 9 h à 12 h • Quartiers Centre-ville, Basilique, Péri, Langevin, Stalingrad, Politzer 20 boulevard Félix Faure - 01 49 33 69 65 • Quartiers Franc-Moisin, Bel-Air Espace services publics - 75 rue Danielle Casanova 01 49 33 70 24 • Quartiers Joliot-Curie, Cosmonautes 12 rue Albert Einstein - 01 49 33 69 52 • Quartiers République-Gare, Pleyel, Porte de Paris 15 rue Catulienne - 01 49 33 69 48 / 68 38 • Quartier La Plaine 120 avenue du Président Wilson - 01 49 33 69 40 • Quartiers Sémard, Delaune, Guynemer, Delaunay Belleville - rue Fernand Vanhollebeke - 01 49 33 64 51 Solutions des jeux page 41 • Quartiers Floréal, Saussaie, Courtille, Allende Cité La Saussaie/bâtiment 6/escalier 4 01 49 33 68 98 Agence départementale d’information sur le logement du 93 Maison de la justice et du droit 16 rue des Boucheries Le mercredi de 16 h à 18 h – 01 55 84 05 30 IDEMU Recette Délice de bananes vertes au coquillage lambi Cette recette est proposée par Nicole Malle de l’association dionysienne Bay Lanmen, qui promeut et défend les traditions et la culture antillaises sur le territoire depuis 1989. Très active, cette association propose du soutien scolaire, des ateliers de théâtre, cuisine et danse ainsi qu’un service d’écoute et d’aide sociale. Bay Lanmen : [email protected] Conseils pour réduire vos factures d’énergies Permanence du service social municipal 15 rue Catulienne Le dernier jeudi du mois - 01 49 33 63 77 Les prochains conseils municipaux Venez assister aux prochains conseils municipaux à 19 h dans la salle du conseil municipal de l’Hôtel de ville (place Victor Hugo) : • Jeudi 15 septembre • Jeudi 20 octobre • Jeudi 24 novembre • Jeudi 15 décembre Coordonnées de la mairie Mairie de Saint-Denis Place du Caquet 93200 Saint-Denis 01 49 33 66 66 Horaires d’ouverture : le lundi de 9 h 30 à 17 h 30, du mardi au vendredi de 8 h 30 à 17 h 30 et le samedi de 8 h 30 à 12 h. Ingrédients pour 4 personnes - 8 bananes vertes - 1 kg de lambi - 3 cuillerées à soupe de purée de tomates fraîches - 1/2 cuillère à café de curcuma - 4 pieds de cives - persil - 1 gros oignon - 2 piments végétariens (1 rouge et un vert) - 1 piment vert - 2 poivrons (1 rouge et un vert) - Court-bouillon : 2 carottes, 1 bouquet garni (cives, persil, thym), laurier, sel, poivre, 2 clous de girofle, 1 cube, eau. facile difficile À votre service 46 - Aïoli : citron, huile, poivre, ail, sel (si besoin). Nettoyer le lambi puis le faire cuire dans le court-bouillon pendant 1 à 2 heures, retirer du court-bouillon et couper en morceaux. Conserver le court-bouillon. Éplucher les bananes vertes et les couper en lamelles moyennes. Hacher les épices et les faire revenir dans un peu d’huile, ajouter la purée de tomates, le curcurma, les morceaux de lambi, les bananes et les poivrons râpés, recouvrir avec le court-bouillon et laisser cuire à feu doux pendant 10 à 15 minutes. En fin de cuisson rectifier avec l’aïoli et un piment vert entier, laisser mijoter 5 minutes. Servir chaud. Dans le cadre de l’Année des Outre-mer, les associations Bay Lanmen, CM 98, AHDEL, ARSD 93 et la Compagnie Boukousou proposent une journée dédiée à la banane. Le 29 octobre dès 10 h, découvrez « Banane d’outre-mer autrement », avec des tables rondes, des projections, des dégustations, la vente de vêtements et bijoux, mais aussi des animations et des spectacles. Entrée libre. Bourse du Travail 9-11 rue Génin