Rien de mieux qu`un petit Sourire rafraîchissant
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Rien de mieux qu`un petit Sourire rafraîchissant
CRÉATION : LA JEUNESSE MAROCAINE À L’ŒUVRE Page 7 Des Pages de libre expression «L’ODJ» : 2 Pages d’expression libre depuis la fin des années 60. Elles sont et resteront toujours au service de la Jeunesse marocaine : Celle de l’époque et celle d’aujourd’hui Au rythme attrayant des belles rimes Mes vives espérances Je désire atténuer le feu Par les larmes des vieux Et supplier notre Dieu De nous éclaircir les lieux ! Je désire parler avec le vent Et de lui dire de souffler Très fort Sur les ouragans D’aérer les esprits et les allées Où s’unissent les gens ! Je désire briser les armes Qui se servent pour tuer Les innocents Je désire soulager les âmes Et de ne plus les mouiller Par leur propre sang ! Je désire dire aux enfants De ne plus avoir peur De vivre le bonheur Et de ne plus s’intéresser A la folie des grands ! Je désire écrire avec la plume Des humains Et que mes paroles riment Sur tous les chemins Que le soleil réchauffe l’univers Et que l’amour règne sur terre ! Jamal BOUSSELHAM de CASABLANCA (Fidèle lecteur, auteur de Recueils de Poésie) Un père protecteur Père : protecteur et maître des céans Sublime éducateur et bienveillant Tes géniaux conseils éblouissent Pertinentes répliques épanouissent ! Guide sûr et certain, conscient, omniprésent Tu assistes, corriges tes enfants à tout moment Agis en bon chef de famille, bon maître spirituel Dans ce bas monde, si incertain et conflictuel ! A ta progéniture, tu insuffles patience, courage Dictant la sagesse à traverstes bons messages Répandant l’équanimité, la joie et le bonheur Préservant ton foyer des douleurs du malheur ! Mme Hassanatène Saïfi de RABAT (auteure de recueils de Poésie) • Poème dédié à tous les papas protecteurs. 2 Rendez-vous à ne pas rater 2 Pages le Mardi -- 2 Pages le Jeudi « L’OPINION DE LA JEUNESSE » Un vieux facebook sur papier, utilisé librement par la Jeunesse marocaine depuis la fin des années 60, afin de faire entendre sa voix Une bonne adresse à retenir : «L’ODJ» : Boîte postale 10 -Rabat- (Maroc) Contre les fortes chaleurs... ---------0-------- La lumière céleste enveloppera Son âme heureuse de l’Aura Pieuse et enchanteresse Le baignera dans l’ivresse De cette adoration divine Qui méduse l’esprit et le mine... ---------0-------- Et naîtra la petite fleur d’amour Petite graine en instance du jour Grandit de plus en plus la nuit Grâce aux prières épanouies Dieu dans son omniprésence Divine est son omnipotence... ---------0-------- Dieu est omniscient Il a tout bien calculé L’espace et le temps, Tout est bien géré Et rien ne doit pour autant Muer ou changer... • UN MONSIEUR très élégant, passe devant deux jolies filles assises à la terrasse d’un café. L’une d’elles le suit des yeux jusqu’à ce qu’il disparaisse complètement de leur vue. --- Tu le connais ou quoi ? demande l’autre. --- Bien sûr, quel salaud ! il pourrait tout de même me dire «Bonjour !» --- Tu l’as connu comment ? --- Oh, c’est long à raconter ! Je l’ai rendu millionnaire ! --- Comment tu t’y es prise ? --- Tout simplement ! Avant, il était milliardaire... *A LA POSTE, un monsieur dont la main est dans le plâtre s’approche d’une dame qui fait la queue au guichet : --- Pardon, Madame, voudriez-vous m’écrire l’adresse sur cette carte postale? La dame s’exécute de bonne grâce, acceptant même d’ajouter quelques mots et de signer pour lui... --- Voilà ! dit-elle, puis-je faire autre chose pour vous ? --- Oui, répond le monsieur, pourriez-vous ajou- ter en Post-Scriptum : «Prière d’excuser l’écritu- re». • LE GARDIEN-CHEF pénètre dans une cellule qu’occupe un condamné à perpétuité. Et après avoir jeté sur les lieux un regard dégoûté, il lui ordonne : --- Dis donc, mon vieux, il faudra nettoyer convenablement ta cellule. Demain matin, le directeur de la prison doit y venir. Alors, très joyeux, le condamné demande : --- Sans blague ?!.. Ils se sont enfin décidés à le coffrer ! * DEUX FEMMES se rencontrent. L’une dit à l’autre : --- Tu as l’air bien contente ! --- Eh oui ! j’ai réussi a faire un puzzle en trois jours ! C’est fantastique ! --- Et qu’y a-t-il d’extraordinaire à ceci ? --- C’est que sur la boite, c’était écrit « de 4 à 6 ans »... * UN GARS RENTRE dans un café en disant bien fort pour que tout le monde l’entende : --- Est-ce que le Pit-bull qui est dehors appartient à quelqu’un ici ? --- Oui : C’est le mien ! répond un type, vraiment pas engageant. Qu’est-ce qu’il y a mon pauvre type ? --- Eh bien, je pense que mon Chihuahua vient de tuer votre gros chien. --- Ah, ah ah ! Ah ! Ton chihuahua ? Comment ta petite fourmI de chien pourrait faire du mal à mon molosse ? --- Ben... En fait, je crois que votre pit-bull s’est étouffé en le mangeant ! Blagues choisies et proposées par : Mme Soundouss Eddrif-Chami de la ville de CHEFCHAOUEN Cet insupportable remords qui m’étouffe * Un insupportable remords m’étouffe, me bouffe la patience. Parfois c’est comme si l’air autour de moi avait été aspiré. La conscience d’avoir mal agi me dévore très fort. Un chao dans mon esprit me taraude, me détruit irrémédiablement. Mes pensées tournent quotidiennement, obsessionnellement autour de l’héritage que j’ai touché indument. Je sens de plus en plus la profondeur de mes regrets. * J’ai des peurs nauséabondes, des angoisses qui me terrassent. Je m’en veux à mort d’avoir nié sans sourciller une vérité patente. La tentation était trop forte. La rapacité a pris le pas sur la vérité, l’argent a aveuglé. * J’ai résisté effroyablement, avec arrogance à des évidences sans éprouver le moindre effroi. De mauvaise foi, j’ai fait le mauvais choix. J’ai fait taire ma conscience et j’ai plongé tête basse dans la mécréance. J’ai menti pour avoir une grosse part de l’héritage du défunt. J’ai lésé l’ayant droit principal, le vrai propriétaire de la maison, celui qui y a mis toutes ses économies. * La joie de l’argent touché a si peu duré. J’ai pêché en toute connaissance de cause, et maintenant je vis avec un lourd remords qui me perfore le corps. Je ne connais plus de paix. Chaque jour, on doit être prêt à apparaître devant Dieu. Que vais-je dire à notre Créateur ? Un très ancien lecteur de l’ODJ Ahmed AOUINATOU de la ville de MEKNÈS ---------0-------- Gloire à notre suprême Créateur A son unique divinité et grandeur Nous sommes ses fideles adorateurs Il nous protège et nous guide l’Eternel Vers cette douce aisance spirituelle Qui nous tient détaché du monde actuel... Zinèbe Saïfi d’El Harhoura Mais... Où sont passés les « Avis de Concours » égayant autrefois les pages des journaux ? ... Rien de mieux qu’un petit Sourire rafraîchissant L’Amour de Dieu Dieu est Amour La Foi en est l’atout Et pour l’être dévot L’espoir de ce parcours Viendra tôt ou tard à bout Et pour cet être dévot... 28 Juillet 2016 Il ne faut jamais s’arrêter en cours de chemin * « Il faut toujours continuer d'avancer, d'ouvrir de nouvelles portes, de chercher, d'innover, de créer : car nous sommes curieux et la curiosité nous entraîne toujours sur de nouveaux et brillants chemins.» • DANS UN TEMPS pas très lointain donc, presque tout au long de l’année, les pages des journaux fleurissaient d’ «Annonces d’Emploi. • EN CETTE PÉRIODE-LÀ, les pages des quotidiens (et des magazines) étaient pleines d’Avis de Concours organisés par telle ou telle administration publique ou privée en vue de recruter des jeunes diplômés après leur sortie de l’Ecole (Lycée, Fac, Ecoles privées de formation, etc...). • AUJOURD’HUI les pages des journaux paraissent toujours mais... allez chercher à la loupe la moindre ligne se rapportant à un quelconque Concours ou offre d’emploi ! • CE QUI REVIENT à dire que nos administrations ne recrutent plus (ou trop peu) et nos jeunes diplômés peuvent toujours prendre leur mal en patience, hélas ! • CE QUI SIGNIFIE surtout que le chômage enfonce de plus en plus, et sans la moindre pitié, ses griffes aiguisées dans la chair de la jeune génération cultivée, qu’on a instruit et formée à coup de gros budgets sans pour autant chercher à tirer --- et c’est l’essentiel --- le moindre profit de ce coûteux investissement humain. Mounir RAHMOUNI Citations et Humour * La misère a cela de bon qu’elle supprime la crainte des voleurs. * C’est parce que la fortune vient en dormant que celle-ci arrive si lentement. * Quand on ne travaillera plus les lendemains des jours de repos, la fatigue sera vaincue. * Avant de choisir le prénom d’un garçon, pensez toujours a la femme qui aura a le murmurer plus tard. * La société est divisée en deux classes : Ceux qui ont plus de dîners que d’appétit et ceux qui ont plus d’appétit que de dîners. * Le premier homme qui s’est marié, il ne savait pas... Le deuxième, il est inexcusable. * J’ai un truc pour se souvenir de la date d’anniversaire de votre femme : il suffit de l’oublier une fois ! * L’expérience : nom dont les hommes baptisent leurs erreurs ! Je ne veux plus vivre ! On ne m’entend plus rire On ne me voit plus sourire Depuis longtemps Je ne veux plus écrire Je ne sais plus quoi dire Depuis longtemps Je ne veux plus souffrir De cette guerre, qui ne veut Plus finir Je ne veux plus vivre. Mme Jaâfar El Mehdi de la ville d’OUJDA DE