BC1623 - areps
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Belgique België P.P.-B.P. 1070 Bruxelles 7 BC1623 N°4 octobre, novembre, décembre, 2006. Revue de l’Association de Recherches et d’Etudes des Phénomènes Spatiaux. Association de Recherche et d’Etudes des Phénomènes Spatiaux. A.s.b.l. Association sans but lucratif. Siège social :rue Longue vie 20 1050 Ixelles 02/377.55.62 Fax 02/377.55.62 Editeur responsable : Recolet Daniel Korenbloemstraat 27 1600 Sint-Pieters-Leeuw Email http://[email protected] Bureau de dépôt 1070 Bruxelles 7 n° d’agréation P 204047 Des réactions chez nos membres Glané Daniel Récolet nous parle des univers parallèles Il croit aux extra-terrestres mais se méfie des crop-circles Pour ceux qui sont allergiques aux glutens Formulaire d’inscription à l'A.R.E.P.S. Nom : .. Prénom ………………………….. Adresse: ……………………n°……………………………BP: ville: …………………Province: ……………………Pays:…………………… Tel. Fax : ……………… N° sémaphore ou GSM : ……………… Profession :………………………… Disposez-vous d'un moyen de transport et si oui, lequel ? Quelles sont les possibilités matérielles qui pourraient nous être utiles ? Appareil photo, camera, jumelles, télescope, ou autre ?………………….. Pouvez-vous travailler sur ordinateur ? Si oui, lequel ?………………….. Pouvons-nous vous atteindre à tout moment ? Non oui où ? ……………… Pour quelles raisons souhaitez-vous faire partie de notre association ?…………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… …………………………………………………………………………………… Quelle(s) langue(s) pouvez-vous traduire ? ………………………………. En tant que membre adhérent, je verse la cotisation de 25 € pour l'année….. Ce document est à renvoyer à Recolet Daniel Korenbloemstraat 27 1600 Sint-Pieters-Leeuw. ccp n° 000-0882339-27 areps, rue longue vie 20 1050 Ixelles Soussigné M……………………. A.R.E.P.S. Association de Recherches et d’Etudes des phénomènes Spatiaux Siège social : Rue Longue-vie 20 1050 Ixelles ccp :000.0882339.27 02/377.55.62 02/377.55.62. GSM 0475.33.19.76 Crop- Circles belges : saga 2006 Nous résumons ici les déplacements de l’A.R.E.P.S. effectués dans l’espoir de démêler des informations relatives aux trois cropcircles ou agro glyphes autour du lion de Waterloo. La médiatisation a été forte, des choses contradictoires ont été dites, beaucoup de rumeurs ont circulé. Merci à Paul Van Akter, le propriétaire des trois champs. Il nous a reçus avec patience et gentillesse. Voici l’essentiel de nos démarches. Trois jours après l'apparition du premier Crop-Circle, nous nous sommes rendus sur les lieux. Les impressions étaient très partagées. Nous avons croisé des visiteurs qui nous ont déclaré ressentir l’endroit comme fortement énergétique ; nous savons par contre, par la lecture de forums, que des examinateurs prétendent avoir trouvé des traces de pieux. C’est ce C.C. qui a inspiré à Daniel Récolet une réflexion sur les univers parallèles, mais il le considère comme un graphisme au symbolisme intéressant, sans s’engager quant à l’authenticité de la formation. En fait, c’est plutôt l’occasion d’évoquer une hypothèse qui le motive. Après l'apparition d’un autre motif dans les blés, nous avons fait la connaissance du fermier, un homme ouvert et courtois, qui, à notre troisième visite, nous a emmenés dans la grange où il conservait des bottes d'épis et de lin intéressantes destinées à une conférence qui lui avait été demandée. Paul Van Akter nous a dit avoir découvert le sujet avec intérêt après avoir été « honoré » du premier crop-circle. Les trois se situent dans ses champs ! Il dit s’être beaucoup documenté et souhaite connaître le fin mot de l'histoire, avec une préférence pour l’origine extraterrestre (sa façon de répéter à plusieurs reprises que nous ne sommes pas seuls était 1 Déjà un aveu !) Nous avons appris par lui-même que son vaste champ de lin, tout proche et déjà coupé, avait été aussi marqué aussi par une formation au graphisme simple ; le lin semblait parfois pris dans un tourbillon, nous avons pu le vérifier ; il nous a montré aussi, des tiges de lin recourbées presque en épingles à cheveux, chose qu'il n'a jamais constatée avant car le lin, très souple, même soumis à une torsion, se redresse parfaitement. Cette forme était définitive comme lorsqu'une barre de métal a été pliée avant de refroidir. Nous avons cependant repéré, en bordure du champ, une fine rangée non coupée du fait de la proximité d’une haie, et la courbure de ces plantes était très nette aussi, bien que moins frappante. La chaleur exceptionnelle, par cette canicule, n’a-t-elle pas eu des effets ? Le crop-circle le plus spectaculaire et le plus visible a été formé en dernier. Il a été écrit que Paul Van Akter était sur place occupé à travailler et que, le temps qu'il se retourne à nouveau vers son champ, la formation était là. Voici ce que lui-même nous a expliqué. Il travaillait de nuit dans un grand champ qui fait face, de l’autre côté de la route (Chemin de la Croix) et est resté sur place jusqu’à 3 h du matin, ses travailleurs prolongeant leur présence jusqu’à 6 H. Aucun d’eux n’a remarqué de mouvement particulier. Mais ensuite, en cours de journée, il a été prévenu par une connaissance qui s'est déclarée certaine qu'il n'y avait rien dans le champ au début de sa promenade alors que la formation était visible deux heures après. Reste la possibilité qu'elle n'ait pas vu le crop-circle à son premier passage, ce qui laisse beaucoup de flou dans l’évaluation chronologique. Il a été écrit dans plusieurs quotidiens que des membres de la SOBEPS ont observé des éléments lumineux particuliers dans la première ou la seconde nuit qui a suivi, alors qu'ils étaient en observation. Nos membres abonnés à la revue de la SOBEPS seront peut-être en mesure de nous donner des précisions. Nous avons parlé à de nombreux visiteurs « new-âge » dont les exaltations sont peu fiables. Des gens s’excitent parce que des photographies révèlent des éléments lumineux insolites… un petit tour sur le site d’Emmanuel Dehlinger (« Ovnis, l’Armée démasquée ») suffit déjà à dégonfler ce mythe, né du fonctionnement de certains types de lentilles dans les nouveaux appareils. Les ovnis au-dessus des cercles font souvent partie de la même mythologie : ce sont des oiseaux bizarrement pixellisés, nous avons été bien placés pour expérimenter cette déconvenue voici deux ans. Certaines expériences sont utiles… nous ne nous étonnons plus de filmer parfois des étoiles carrées ! Il faut être pris pour être appris, dit l’adage. 2 Après beaucoup de tentatives infructueuses, ayant entendu parler d’une « famille de 10 personnes qui avait assisté à des événements lumineux extraordinaires », nous avons réussi à rencontrer un des « « héros » de cette mirobolante aventure. Le récit est moins fabuleux, bien qu’intéressant. Cet adolescent timide semblait sincère, avec beaucoup de réticences, il a accepté de nous raconter son expérience : comme souvent par ces belles soirées d’été, il bavardait avec ses amis, sur un trottoir devant la boulangerie de Plancenoit, le visage tourné vers la vitrine. Il était plus de minuit. Son attention a été attirée par un gros mouvement lumineux dans cette vitrine qui faisait miroir. Il a vu une boule blanche très brillante fendre le ciel en descendant, comme pour aller tomber non loin. Ce « non loin », en se plaçant comme lui et en suivant ses précisions, pourrait coïncider avec les champs concernés. La boule lumineuse serait beaucoup plus importante que les dimensions habituelles d’une étoile filante. Il parle de la dimension d’un soleil…nous le citons simplement. Le lendemain, au bord du crop-circle, il a écouté des adultes raconter qu’ils avaient vu ce même soir une boule blanche brillante descendre rapidement et se diviser ensuite en deux parties qui se sont « remises en route » vers le ciel ! Ces personnes auraient prétendu faire partie de la SOBEPS. Un autre témoin - son frère- a été spontanément cité par lui comme susceptible de confirmer mais notre jeune homme n’a pas réussi à le toucher par G.S.M. Paul Van Akter nous a aussi raconté que quelques semaines avant ces événements, tard dans la nuit, un garde-chasse de la région aurait vu bas dans le ciel plusieurs éléments lumineux impressionnants. Au point d'avoir eu peur. Cet homme lui aurait confié avoir peu parlé de son observation, craignant le ridicule. Enfin, toujours selon Paul Van Akter, une jeune fille, quelques temps avant également, aurait vu du dehors, tard dans la nuit, audessus d'une maison isolée, une forme très lumineuse qu'elle a carrément appelée "une soucoupe volante". Elle n’a pas demandé son reste ! Nous avons dû en rester là car le fermier s’en est volontairement tenu à l’anonymat. Il était en outre difficile d’abuser de son temps alors que des travaux importants l’attendaient. Quelques jours après, il nous a donné l'adresse d'une personne dont le témoignage s'annonçait intéressant et dont il était certain qu’elle ne craignait pas un peu de médiatisation. Nous nous sommes rendus sur les lieux: à quelque centaines de mètres du crop - circle, une petite maison au bord de la chaussée dont l’arrière donne en plus vers les champs où est apparue la première formation. Nous avons été reçus sans 3 problèmes par une famille très spontanée et voici l'essentiel des déclarations de Paola, une des jeunes filles. Vers 23 heures 30, par une belle nuit claire de canicule, Paola, qui se tenait proche de la fenêtre ouverte de sa chambre, occupée avec son ordinateur, a levé la tête, alertée par des éclairages insolites. Elle a pu constater que trois sortes de barres lumineuses importantes défilaient à l’horizontale dans le ciel, trois gros rayons blancs intenses. Elle a réalisé presque aussitôt que c’étaient en réalité des reflets qui se manifestaient ainsi, ayant comme support un arbre immense, un saule pleureur, situé sur la gauche de son jardin. Ensuite, une fois l’arbre dépassé, les reflets se sont manifestés sur les champs, en forte pente et donc constituant un bon support. Cela provenait manifestement de quelque chose qui évoluait de l’autre côté de la maison, côté chaussée. Cet éclairage insolite et très impressionnant a défilé pendant environ 10 secondes, sans bruit. Paola situe les reflets à une hauteur d’environ 10 mètres. Les chiens de la maison ont beaucoup aboyé et se sont montrés très agités un bon moment. Le lendemain Paola a appris qu’un crop-circle avait été découvert. Trois ou quatre nuits après, de la même fenêtre, dans la nuit, Paola s’est effrayée de voir des sortes de puissants projecteurs blancs évoluer au loin dans un grand champ. Ils se situaient au sol et aucun bruit n’a été perçu. Le tout a disparu en un clin d’œil. Mais le fermier, informé de notre nouvelle enquête, a signalé qu’il a travaillé de nuit dans ses champs pour une récolte de pois. Il déclare que Paola pourrait avoir vu son tracteur, lequel aurait disparu à ses yeux au moment où il a coupé l’éclairage. Lors d’une veillée au bord du grand crop-circle, tard dans la soirée, nous avons vu ce genre de manifestation très lumineuse et rapide, avec extinction totale à mi-parcours d’un trajet qui s’était répété plusieurs fois. La thèse d’un véhicule agricole nous semble très plausible. Des réactions chez nos membres Merci surtout à M. qui nous a communiqué beaucoup d’informations utiles. Sur place pour le premier glyphe et aussi 48 heures après l’apparition, sur place dans la grande formation, il a pris de magnifiques photos avec sa caméra digitale, laquelle nous dit-il n’a pas eu de défaillance, pas plus que son GSM. 4 Un examen minutieux du second glyphe lui a permis de repérer quelques tiges particulières sur les bords des motifs, malgré les innombrables piétinements ; on voit nettement l’allongement du nœud inférieur et une courbure à 70° ou même plus (un visiteur emportait un blé courbé à 90°) ; lors de notre réunion de septembre, M. nous a permis d’examiner sur une tige cette indiscutable déformation. Il nous a transmis des images montrant une sorte de carbonisation de tiges et pense à la théorie d’un échauffement intense et ultracourt. Un petit sac plastique enfoui dans la terre était par contre intact : le flux énergétique, suggère M., serait induit uniquement dans les tiges végétales… « Ce qui fait plier la tige est peut-être une force intelligente comme par exemple une programmation informatisée. » Les réactions fortes et régulières - tous les 7 pas- de ses baguettes lui font penser à la présence d’une matrice géomagnétique, présente donc dans le sol. Il possède pour cette théorie des documents approfondis mis à notre disposition lors de notre rencontre en octobre, en schématisant un cas simple. Il remarque aussi que les « fabricants » ont laissé un cercle avec une botte verticale au centre… comme un clin d’œil : « nous n’avons pas utilisé de bâton pour faire compas… » ! Des nombreux avions sont passés sur le temps de sa visite : 3 Jets militaires F16, un hélicoptère militaire Agusta, un Marchetti militaire, un grand hélicoptère décrivant 360°. C’était la veille du défilé militaire traditionnel mais cela laisse rêveur. Aurait-on modifié les trajectoires pour passer au-dessus du lieu mystérieux ? Nous avons vu aussi, après le 21 juillet, deux gros avions de chasse survoler le site très bas et le serveur d’un café voisin nous a dit que de tels survols étaient totalement inhabituels. 5 Glané… ( !) Dans « La Libre » du 29/7/2006 : « Il se passe là-bas des choses qu’un esprit cartésien a du mal à comprendre. On y a vu un chien refuser d’entrer dans la zone. Une dame qui avait des problèmes de respiration depuis la canicule est ressortie sans plus ressentir le moindre mal à la poitrine. D’autres se couchent dans les blés pour ressentir les ondes positives qui s’en dégagent. Et puis, il y a la manière dont les blés ont été pliés et égrenés qui laisse vraiment perplexes. C’est devenu une zone sacrée», expliquait jeudi matin une géobiologue occupée à mesurer les forces avec ce qui ressemble à une baguette de sourcier sophistiquée : «Partout sur le champ de bataille, les ondes sont négatives à cause des douleurs ressenties par les combattants décédés en 1815. C’est ce qui explique d’ailleurs que les géobiologues ont tant de mal à rééquilibrer les forces dans les maisons des alentours. Ici, par contre, c’est une zone à part. Au point que des personnes malades peuvent aisément venir faire redémarrer leur système lymphatique ». (… ) Un vieux fermier d’ajouter : « Plus on se rapproche du centre des cercles, plus les blés sont égrenés. Aujourd’hui, c’est dur de le montrer car les blés sont arrivés à maturité, mais ils étaient encore verts lorsque ceci s’est dévoilé. C’était alors impossible de le faire à la main sans arracher l’épi, voire les racines. Je ne vois qu’un battage à l’ancienne pour arriver à un tel résultat. Bref, c’est comme si ces blés avaient mûri d’un coup. » Dans « La Libre » du 17 août : « Pierre Lagrange est sociologue et chercheur au Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de l’institution de la culture du CNRS. Il est spécialisé dans l’étude des controverses sur les ovnis et la vie extraterrestre. Ecoutons-le. « Pour moi, c’est du «Land Art», une forme d’art dans la nature qui est d’ailleurs revendiquée comme telle par certains. Il y a d’ailleurs des équipes qui étaient clandestines au départ et qui se sont professionnalisées pour en faire une activité commerciale. » Dans la commune, des rumeurs circulent quant à l’arrivée de Britanniques, spécialistes des crops-circles…mais aussi sur la présence de jeunes avec du matériel, non loin des sites concernés, la veille de «l’apparition» ! Intrigant également : le gestionnaire du Hameau du Lion avait aussi refusé la réalisation dans ses champs d’un labyrinthe végétal, peu de temps avant les faits. La police de Lasne suit d’ailleurs une piste précise et bien humaine, sans détenir encore de preuves. (…) Le commissaire Duchenne a ouvert une enquête pour troubles de l’ordre public et a déjà lancé des «invitations», malgré les vacances. «Il faut voir à qui cela profite... » Dès que l’enquête aura abouti, il avertira le parquet. Mais l’auteur ne risque pas de poursuites, aucune plainte n’ayant été introduite. » 6 Dans « Le Soir », 8 octobre : « Dans les bistrots et les chaumières de la région, chacun mène également son enquête et relaie la rumeur selon laquelle une bande de jeunes de 20-25 ans est arrivée un beau matin au Café de l’Empereur ; des jeunes excités par le forfait qu’ils avaient accompli la nuit précédente pour le compte de . . . . » X ! ( non cité dans ce journal)» Dans « La Dernière Heure », même date : « Le président de l’Intercommunale Bataille de Waterloo 1815, sur base de l’enquête réalisée par le commissaire Jean-Michel Duchenne, de la police de la Mazerine, a des preuves que le mouvement raélien est derrière ces fameux dessins. Magnifiques s’il en était... Des dépliants ont été distribués pendant la braderie brainoise et dans le centre de Waterloo, invitant la population à une conférence sur le sujet le vendredi 22 septembre au restaurant Wellington. L’adresse de référence est celle du site de la secte. « On trouve l’invitation également sur le site, appuie Jean-Michel Duchenne. Des Finlandais avaient même réservé hôtel et repas pour y assister. » Et Yves Vander Cruysen d’ajouter : « La salle n’avait pas été réservée sous le nom du mouvement. J’ai donc annulé la réunion car je ne souhaite pas que, derrière la conférence, la secte essaie surtout de recruter de nouveaux membres. » Pour le commissaire, l’apparition de crop circles est toujours suivie un bon mois après d’une conférence de Raël : « Il semble que cela soit leur technique. » Malgré ces explications, il restera toutes ces choses inexplicables, comme les grains égrenés comme arrivés d’un coup à maturité ou ces personnes souffrant du cou ou du dos qui sont ressorties du cercle sans plus rien ressentir. Le crop circle aurait-il eu un effet placebo ? Quoi qu’il en soit, certains iraient aujourd’hui jusqu’à vendre 5 € la tige de blé coupée dans l’agro glyphe. » (Si on avait su… de quoi vous dispenser de payer la prochaine cotisation !!!! ; et remarquons en passant que les raéliens pourraient aussi se tenir à l’affût des apparitions de crop-circles sans pour autant commanditer leur fabrication… wait and see ! ) Elevons le débat, loin des possibles magouilles d’une secte particulièrement odieuse et vénale… et pensons aux « univers parallèles » Cet été 2006, un crop-circle à Waterloo, le premier, nous a proposé par son graphisme très simple mais riche de sens une réflexion sur l’hypothèse des univers parallèles : deux cercles (des planètes ?) réunis par une ondulation régulière, une sinusoïde schématisant, je crois, une oscillation qui constitue un lien entre les deux éléments. Bref, selon moi, la schématisation 7 d’une différence de potentiels énergétiques, créatrice de possibilités de perturbations pour une possibilité de passage entre deux univers. Une occasion de vous exposer mon hypothèse. Après plus de quarante années d’observations, de réflexion puis de recherches dans le domaine des apparitions d’objets mystérieux, je me suis dirigé vers une piste qui me tient à cœur : l’analyse de l’état climatique de notre terre et des perturbations atmosphériques causées par les fluctuations de l’énergie solaire, ces immenses taches qui produisent des éruptions gigantesques en nous envoyant des particules électriques transportées par un vent solaire puissant , composé d’électrons, protons, photons et de gaz ionisés conducteurs de courant électrique. Ce flux gigantesque se précipite dans la haute atmosphère et produit notamment nos magnifiques et mystérieuses aurores boréales. Sa densité est calculée en protons /cm3. Il est très possible que ce colossal apport d’énergie déstabilise notre environnement en provoquant une différence de potentiels énergétiques entre deux états ( univers parallèle ? ) E= MC2… Il y a de quoi méditer ! Une instabilité de la matière provoquerait un frottement, d’où le passage d’un état à l’autre, faisant apparaître des manifestations d’objets mystérieux, des phénomènes qualifiés de paranormaux tels les effets poltergeists, toutes ces manifestations provenant des confins de notre univers … ou d’un univers jumeau. 8 Pour cette hypothèse, je me base sur des témoignages et sur des faits vécus sur le terrain, lors d’observations nocturnes faites par notre association. Des témoignages - En 1989 un avion de l’armée belge prend en chasse un objet signalé par son radar de bord ; malgré plusieurs minutes de poursuite, le pilote ne peut rattraper l’objet qui reste constamment à même distance. Cet objet semble situé « de l’autre côté » de notre espace. - Dans le courant de la même année, à Faischau, une jeune fille, vers 3 heures du matin, observe au-dessus de son domicile un objet triangulaire ; cette forme éclaire toute la cour ; la mère se précipite à l’étage mais ne voit rien; elle déclare avoir eu une impression d’irréalité, « comme si l’objet ne se trouvait pas ici ». Une bande vidéo à l’enregistrement est retrouvée effacée. - A Namur, dans les années de la vague belge, une observatrice voit une sphère lumineuse longer les murs extérieurs de son appartement, devenus transparents. - Rappelons (Flash 1 /2006) Jean G. qui observa longuement avec sa famille une forme d’immense canotier se balançant au-dessus d’une grande antenne ; l’aspect lui a semblé totalement irréel par rapport aux couleurs et matières terrestres. Cette sorte de gigantesque hologramme est devenu en un instant un point lumineux fulgurant. - En octobre 87, notre ami Robert L., dans un grand champ, en Israël, voit dans le sol une pyramide lumineuse tronquée palpiter et il garde pendant plusieurs minutes le contact intérieur avec cette présence. Nous vous avons parlé de l’extraordinaire vague d’ovnis, d’apparitions et de poltergeists qui, exactement le même jour, commence en Israël, après l’éclatement ( analysé) d’une forme brillante dans les sables de Shikmona Beach. - Dans ce fameux ranch en Utah où Robert Bigelow a organisé des mois d’enquêtes, il a été souvent évoqué, entre autres, d’étranges appareils qui planaient sur le territoire mais n’étaient visibles que pour certains observateurs, peut-être selon la position oculaire. Le chapitre « La fenêtre », dans le livre consacré à ce cas exceptionnel, décrit l’observation fréquente d’une sorte de cercle orange qui un jour permettra d’observer à travers des jumelles une découpe de ciel bleu alors qu’il fait nuit au-dessus du ranch. Après bien des observations, le rancher comprendra que ce cercle, devenu presque invisible – à peine une brume orangée- lorsque l’observateur se déplace latéralement, est en fait la bouche d’un tunnel d’où 9 sortent des formes rapides, souvent triangulaires. Il conclut « c’était comme un tunnel tridimensionnel et les côtés extérieurs étaient camouflés dans le ciel » et « commença à penser que les étranges événements du ranch pouvaient être expliqués en termes d’autres dimensions et de réalités alternées ( Flash n°1 /2003 et « The mystery Ranch » de Kelleher et Knapp) - Et que penser de ces témoignages de personnes invitées à pénétrer dans des ovnis et qui s’étonnent d’avoir découvert un espace beaucoup plus grand que ne le laissait présager l’objet vu de l’extérieur ? L’expérience est connue et on parle à ce sujet de « l’effet cathédrale », une belle image pour suggérer l’impression d’espace qui frappe le visiteur et est totalement irrationnelle par rapport aux mesures extérieures. Passons à nos constatations personnelles : - En 1993, vers le mois de février, à Tournai, non loin du Mont SaintAubert, nous sommes en observation en plein champ et vers 20 h GMT, nous voyons sous la couche nuageuse trois sphères rouge cerise en position triangulaire ; leur comportement semble intelligent par rapport aux mouvements des nuages ; en laissant une bizarre auréole orangée, l’ensemble finalement se retire à une vitesse fulgurante, défiant toutes nos lois de la matière… - Le 3 juin 2000 à Aubel, province de Liège, observation et film d’un objet lumineux qui passe au-dessus du fermier en plein travail lors d’une nuit « agitée » ( voir ma conférence à ce sujet) où une énergie de lumière d’une dimension étonnante , au loin, sort du sol à trois reprises, comme un soleil levant qui jaillit à toute vitesse du sol . Je rappelle aussi ce moment très particulier où l’épaisse couche de nuages , pendant quelques minutes, s’est ouverte en un cercle parfait révélant un ciel serein rempli d’étoiles. - Le 15 avril 2001 à Ethe, (Luxembourg), au cœur de la nuit, je suis stupéfait devant une manifestation extraordinaire : une sphère sort du sol et se transforme en un rectangle montant à la verticale, amenant comme le mirage d’un gros immeuble, une bâtisse qui en réalité n’existe pas à cet endroit, nos nombreux retours servant à vérifier cette chose étonnante (un vortex ?) - Autre indication sur laquelle je me base pour supposer des mondes parallèles observables grâce à de nouvelles technologies (la transvideo) : des images venues « de nulle part »… mais ces images existent bel et bien … Il s’agit selon moi d’un lieu situé dans une autre dimension (toujours ce monde parallèle). Et là aussi nos recherches semblent avoir avancé. Il y a quelques temps nous avons eu la tristesse de perdre notre ami Eugène 10 Fusenne. Il s’intéressait beaucoup à nos hypothèses et, bien conscient que la mort arrivait, avait manifesté son désir de parvenir à nous contacter. Quelques semaines plus tard nous avons fait une tentative de transvideo. Nous avons obtenu des images provenant d’on ne sait où mais bien évidentes : une tête humanoïde au crâne surdéveloppé et de style africain ; deux formes dont une qui semble nous faire signe de la main, et une autre au front très dégagé derrière une sorte de caméra pointée dans notre direction comme si on voulait nous contacter. Le père Brune, l’auteur du livre « Les morts nous parlent », venu chez moi deux ans plus tard, a pu constater sur mon écran d’ordinateur que ces formes se trouvent bien dans notre film ; malheureusement ces précieuses images ne présentent pas les qualités requises pour être imprimées. Je compte mettre bientôt à profit le temps libre de la prépension pour réaliser un montage sur CD de façon à ce que nos membres puissent profiter de ces documents étonnants. Daniel Récolet. Il croit aux extra-terrestres mais se méfie des crop-circles… Il, c’est Jean-Pierre Petit, que l’on ne présente plus. Hautement documenté sur les technologies des ondes, il propose un site que nous recommandons aux surfeurs. Voici des extraits intéressants, même s’ils dégonflent nos thèses. « Et si les crop-circles correspondaient à des essais d’impact de balayages de micro-ondes sur des végétaux ? A ce sujet posez-vous la question suivant : « pourquoi sur des blés arrivés à maturité ? ». Une première réponse serait « pour former ces jolis dessins ». Mais il y en a une autre qui a été imaginée par mon épouse et que je trouve fort pertinente. Parce que les seuls endroits de l’Angleterre où on est sûr de ne trouver ni êtres humains, ni animaux de bonne taille sont précisément les champs de blés, lorsque celui-ci est haut. On ne peut ni s’y déplacer, ni s’y coucher. Le corollaire serait que ces impacts de micro-ondes, à de telles puissances, pourraient s’avérer dommageables, voire mortel pour des êtres humains. Si ces blés plient à une certaine partie de leur tige c’est qu’en cet endroit un certain type d’effecteur peut diminuer localement leur résistance mécanique, un agent peut-être beaucoup plus simple que « des ondes gravitationnelles ». Il y a des recherches à faire dans cette direction, avec des micro-ondes pulsées, ou modulées en basses fréquences. On peut aisément imaginer que si un rayonnement peut être assez efficace pour plier du blé il puisse aussi léser l’encéphale d’être humains, voire les tuer. Quel serait le but exact de ces essais ? Cela demande à être élucidé. S’agirait-il d’une « arme incapacitante » destinée à l’homme ? On sait que les grandes puissances étudient des systèmes à micro-ondes mobiles qui pourraient être 11 utilisés contre des mouvements de foules. Le dossier Haarp nous dit que des systèmes incapacitants auraient été utilisés contre les Irakiens au moment de la guerre du Golfe. De tels faisceaux permettraient-ils de sonder la profondeur du sol pour y détecter la présence de bunkers ? Il existe une autre possibilité, évoquée par Luc Mampaey dans son rapport sur Haarp : que ces actions sur les blés s’inscrivent, entre autre, dans l’optique d’une lutte anti-drogue, dans les pays d’amérique du sud. Si on peut démolir des végétaux à distance, en toute discrétion, pourquoi ne pas s’en prendre aux pavots (auquel cas si d’aventure des paysans se trouvaient touchés par des systèmes à micro-ondes il ne s’agirait que de « dommages collatéraux). Tout est possible. Dans tous les cas de figure si ces « ronds dans les blés » ont une telle origine il y aurait une source, à distance, au sol, et en altitude un « miroir », sous la forme d’une ionosphère artificielle. Dans un premier temps il serait important de pouvoir reconstituer le phénomène, de savoir quel type de rayonnement, quelles fréquences et quelles modulations seraient utilisées. Il ne doit pas y en avoir trente six. Si cette étape était franchie, des capteurs enregistreurs, posés dans les campagnes ordinairement visées, ne coûteraient pas des fortunes était donnée les puissances mises en jeu. Des études basées sur les ondes courtes permettraient en parallèle de savoir si un écran réflecteur se trouve formé, dans l’ionosphère ou même plus bas. » (Nous ajoutons notre grain de sel en rappelant ce témoignage d’un pilote survolant une zone de crop-circles en Angleterre, qui aurait vu son propre avion se refléter sur une plaque mystérieuse…) « Les dossiers Haarp et Crop Circles se recoupent. Voir les dernières infos ( = 2001 ) inscrites se référant à l’évocation des « Eweapons » que les Etats-Unis envisageraient d’utiliser contre les bunkers de Saddam Hussein, pour stopper dans l’urgence son développement d’armes de destruction massive. La contribution anglaise pour ce type d’armes est explicitement mentionnée dans un article du Daily Telegraph. Celles-ci auraient été essayées dans le sud-ouest de l’Angleterre. Des gens me disent : Mais, si les Anglais, travaillant la main dans la main avec les Américains, font effectivement des essais dans les campagnes, pourquoi réaliser des dessins aussi exotiques ? Il y a deux réponses à cette question. On a déjà fourni l’une d’elles : pourquoi l’été, dans des blés pleinement développés ? Parce que sur ces zones là on ne risque pas d’amocher des êtres humains. ( A.R.E.P.S. : Une bonne occasion de rappeler les nuits de garde d’Andy Buquois qui, dans sa vieille camionnette postée sur les collines anglaises, a vu maintes fois des black hélicoptères errer AVANT la formation d’un crop-circle… peut-être pour s’assurer que des amoureux ne sont pas « tendrement enlacés » dans les blés… tendrement et imprudemment !) La seconde laisse la porte ouverte à une interprétation extraterrestre en cas de mise en évidence d’effets négatifs sur les êtres vivant. Les extraterrestres 12 serviraient alors de « boucs émissaires potentiels ». C’est un jeu délicat, mais les responsables de ces projets, en sponsorisant les deux camps (ceux qui sont pour une origine extraterrestre et ceux qui sont contre) se ménagent les deux portes de sorties. D’ailleurs, l’idéal n’est pas de créer une relation avérée de cause à effet, qui pourrait engendrer des paniques, mais simplement d’infiltrer un doute dans la tête des gens. Je crois que les gens imagineraient mal l’énergie et les budgets consacrés à la manipulation des opinions publiques et à des opérations de désinformation. S’il se confirme dans l’avenir que ces « ronds dans les blés » correspondent bien à des essais anglo-américains effectués sur le territoire anglais, « chez des civils » et non « dans un polygone de tir » (pourquoi ne pas aller faire cela dans un site spécialement implanté en Australie, par exemple ?) c’est une affaire très grave. Si ces systèmes permettent de tuer des oiseaux et des hérissons, ils peuvent tout aussi bien tuer à distance des êtres humains. Les anglo-américains se seraient donc livrés à des essais d’armes « léthales » en visant des sites civils ! Pourquoi ne pas confiner ces essais dans des polygones de tir ? La réponse est simple. Il est important de tester l’arme dans toutes les conditions de manière à tester son efficacité pour toutes les météorologies possibles. Les Américains ont des sanctuaires où effectuer leurs essais, au Nevada. Mais la climatologie du Nevada est très particulière. C’est sec ! D’après « Effervescience » nombre de traces ont été faites par temps brumeux, couvert. D'où l'intérêt de ces essais en Angleterre… » Pour ceux qui sont allergiques aux glutens! Tree-circles, ice-circles, snow-circles, sand-circles… il y en a pour tous les goûts, même s’ils sont moins nombreux et moins connus. Les cercles dans les arbres : des formations bien circulaires, comme des anneaux, des cercles concentriques ou des spirales, ont été observées à partir de troncs d’arbres. Cas rares mais intrigants. Voici un des plus intéressants. Au Canada, à Grand Lake, New-Brunswick, voici une quarantaine d’années, d’après un témoin qui s’est manifesté sur des forums. Des jeunes pins d’environ 4 ans, bien serrés, bien droits, replantés par une compagnie minière, ont été trouvés couchés en cercle de façon très géométrique. Le témoin, alors adolescent, passait en bicyclette. De chaque côté de la route, deux cercles étaient disposés, de même taille (environ 6 m de diamètre) et chacun à la même distance du bord de route. Les têtes des arbres étaient orientées vers l’extérieur de ces étranges cercles, tous deux parfaits de forme. Aucune brisure ne se voyait sur les troncs et la partie la plus large, à la base du tronc, était nettement et souplement incurvée comme lorsque l’on forme un arc de cercle avec une tige flexible ! 13 Le témoin a longuement examiné les lieux, conscient de la bizarrerie du fait. Il retourna le lendemain au même endroit ; des voitures militaires étaient disposées le long de la route, invitant les automobilistes à accélérer. La rumeur circula, en ville, que des ours avaient occasionné cela mais il n’y crut pas un seul instant. Quelques temps après, le lieu fut barbelé et les arbres coupés mais en tendant le cou, on pouvait voir la courbure à la base des troncs coupés. Voici quelques années ce témoin invitait les lecteurs à le contacter mais son adresse est aujourd’hui désactivée, au grand dam de certains enquêteurs. Un « spécialiste », Busty taylor, reconnaît avoir étudié de près un très beau cas de ce genre mais la localisation est gardée secrète pour répondre aux exigences du propriétaire terrien et Busty Taylor se réserve le droit de couver le dossier jusqu’à la sortie d’un prochain livre. . . préparez vos euro ! Les cercles dans la glace et dans la neige : Ils sont intéressants à considérer, même si des scientifiques les prétendent formés par des effets physiques dus aux tourbillons de l’eau en profondeur, sous l’effet des différences de températures ces conditions étant surtout réunies dans les endroits formant une courbe. Depuis 87 des cas sont suivis avec attention. Le nord de la Suède et la Norvège comptent plusieurs beaux exemples et nous rappelons qu’un tel cercle, assez petit, a été observé dans le fameux ranch en Utah, lieu d’innombrables poltergeists (Voir Flash 2005). Robert Bigelow, le mystérieux milliardaire fan du paranormal, qui a acheté ce ranch pour se livrer à des recherches intensives, a confié à ses chercheurs d’autres cas de cercles dans la glace. L’étude la plus approfondie qu’il a subventionnée concerne un cercle découvert le 21 février 2002 en Utah et la conclusion est qu’un « outillage » a été utilisé pour réaliser ce cercle parfait de presque 2 m de diamètre délicatement taillé dans une glace excessivement fine (ceci exclut qu’un humain se place sur la glace et utilise une sorte de compas). Autres beaux cas : En 2005, le 9 décembre, en Ontario, une formation parfaite de presque 15 mètres de diamètre est apparue dans une crique. Les bords extrêmement aigus font penser au travail d’un outil ; avant la formation, d’étranges odeurs ont été signalées par plusieurs personnes et ont duré pendant 3 jours. En 2003 (le 11 décembre) un modèle complexe a été découvert et longuement examiné en Norvège, près de Snasa. Il était très régulier (sur les photos la chose est moins évidente car de la neige est retombée.) Ce dessin dans la glace se trouvait sur le sol et non sur la glace de l’eau. Des échantillons ont été expédiés à l’équipe de Nancy Talbott (le BLT Research) mais rien n’a été trouvé. Remarquons toutefois que pour trouver quelque chose, il faut savoir quelle piste examiner et que les analyses pourraient être innombrables ! 14 En 91, à Pâques, en Norvège (Haukelifjel), une petite formation profonde de 5 cm a beaucoup intéressé les observateurs. Des lumières étranges ont été observées dans le ciel pendant trois jours, avant que ne soit repéré ce motif. D’après de nombreux témoins, ces lumières passaient du rouge au vert en révélant entre les deux une sorte de métal brillant. Ces éléments, à chaque fois, planaient plus d’une demi-heure. UFO Norway a collecté des échantillons de neige et abouti à la constatation que dans un des cercles, la concentration en bactéries était plus forte. Cette conclusion ne révèle évidemment rien de valable. La Russie nous offre un très beau cas de snowcircle ; peut-être un des plus beaux et bien trop méconnu. Le 20 décembre 1990, un cadre installé devant sa télévision, au 9ème étage, dans la banlieue de Moscou, s’est étonné de voir l’extérieur s’illuminer comme en plein jour. Il a voulu en savoir la raison et en s’approchant d’une fenêtre, a pu constater qu’une sphère flottait. Une sphère ou une boule de lumière… c’était aveuglant et cela dura près d’une minute. On trouva dans la neige, à l’emplacement survolé, une formation de 8 mètres de diamètre, 20 anneaux concentriques très réguliers séparés entre eux par environ 20cm. Le relief de ces motifs était de 6 à 8 cm de haut. Plus extraordinaire : 3 petites formations circulaires du même genre étaient en plus intégrées dans le grand ensemble sans qu’aucun défaut de tracé ne soit observable… quelle prouesse ! L’observateur, ébloui par l’intensité lumineuse, avait eu le réflexe de saisir sa caméra mais ce n’était pas un film adapté pour la nuit et l’analyse n’a rien donné. Au moment où il filma, il vit la lumière reculer et disparaître, peut-être derrière l’angle d’un toit. Un voisin déclara avoir vu aussi le phénomène et remarqué une sorte d’appendice, peut-être même plusieurs, l’éblouissante lumière rendant l’observation difficile. Ces témoins, après réflexion, estiment qu’il y avait peut-être plusieurs taches lumineuses proches l’une de l’autre. Toujours en Russie, dans l’Oural : Le 23 novembre 2004, des employés d’une école primaire de Cyxom Lore découvrent en arrivant au travail trois cercles concentriques de 30m, 10m et le plus petit non mesuré. D’étranges effets lumineux ont été signalés la veille ; le directeur a décidé de fermer momentanément l’école, prétextant une menace d’épidémie pour ne pas s’attirer de problèmes avec ses supérieurs administratifs. Une enquête a suivi et l’on n’a constaté aucune particularité pour la radioactivité ni pour l’électromagnétisme. Dans le sable : Il en existe aussi. Le 13/9/94, en Oregon, 33 cercles concentriques sur la plage ! A la circonférence, on repère, comme pour Moscou, des petits cercles intégrés. Ils sont photographiés et repérés avant la marée. Six mois après, une chercheuse réussira à repérer l’endroit au moyen de baguettes magnétiques ! Des prélèvements dans le sable à plus de 15 20 cm de profondeur seront analysés et le niveau des anions se révélera plus élevé de 51% par rapport au sable extérieur. Le groupe d’étude de ce cas émet l’hypothèse que des ondes sonores sont à l’origine de telles formations. Plus de 2 ans après l’apparition, des mesures étaient encore possibles (Gaussmètre et échelle électrostatique). Dans le gravier : Au Canada, le 1/9/90, un cercle de 9m est découvert, pressé dans une surface de gravier. L’enfoncement régulier est de 5cm et des zones de gravillons pulvérisés se voient nettement. La circonférence est une entaille de 15 cm de profondeur. Des lumières étranges, inexplicables, ont été vues avant et sont rapportées par de nombreux témoins. 16 A.R.E..P.S. Association de Recherches et d’Etudes des Phénomènes Spatiaux a.s.b.l. Siège social : Rue Longue vie n°20 1050 Ixelles 02/377.55.62 02/377.55.62 17