BC1623 - areps

Transcription

BC1623 - areps
Belgique België
P.P.-B.P.
1070 Bruxelles 7
BC1623
N°4 octobre, novembre, décembre, 2006. Revue de l’Association de Recherches et d’Etudes des Phénomènes
Spatiaux.
Association de Recherche et d’Etudes des Phénomènes Spatiaux. A.s.b.l. Association sans but lucratif.
Siège social :rue Longue vie 20 1050 Ixelles  02/377.55.62 Fax 02/377.55.62
Editeur responsable : Recolet Daniel Korenbloemstraat 27 1600 Sint-Pieters-Leeuw
Email http://[email protected] Bureau de dépôt 1070 Bruxelles 7
n° d’agréation P 204047
Des réactions chez nos membres
Glané
Daniel Récolet nous parle des univers parallèles
Il croit aux extra-terrestres mais se méfie des crop-circles
Pour ceux qui sont allergiques aux glutens
Formulaire d’inscription à l'A.R.E.P.S.
Nom : ..
Prénom …………………………..
Adresse: ……………………n°……………………………BP:
ville: …………………Province: ……………………Pays:……………………
Tel. Fax : ……………… N° sémaphore ou GSM : ………………
Profession :…………………………
Disposez-vous d'un moyen de transport et si oui, lequel ?
Quelles sont les possibilités matérielles qui pourraient nous être utiles ?
Appareil photo, camera, jumelles, télescope, ou autre ?…………………..
Pouvez-vous travailler sur ordinateur ? Si oui, lequel ?…………………..
Pouvons-nous vous atteindre à tout moment ? Non oui où ? ………………
Pour quelles raisons souhaitez-vous faire partie de notre
association ?……………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………
Quelle(s) langue(s) pouvez-vous traduire ? ……………………………….
En tant que membre adhérent, je verse la cotisation de 25 € pour l'année…..
Ce document est à renvoyer à Recolet Daniel
Korenbloemstraat 27 1600 Sint-Pieters-Leeuw.
ccp n° 000-0882339-27 areps, rue longue vie 20 1050 Ixelles
Soussigné M…………………….
A.R.E.P.S. Association de Recherches et d’Etudes des phénomènes Spatiaux
Siège social : Rue Longue-vie 20 1050 Ixelles ccp :000.0882339.27
 02/377.55.62  02/377.55.62. GSM 0475.33.19.76
Crop- Circles belges : saga 2006
Nous résumons ici les déplacements de l’A.R.E.P.S. effectués dans l’espoir
de démêler des informations relatives aux trois cropcircles ou agro glyphes autour du lion de Waterloo.
La médiatisation a été forte, des choses
contradictoires ont été dites, beaucoup de rumeurs
ont circulé. Merci à Paul Van Akter, le propriétaire
des trois champs. Il nous a reçus avec patience et
gentillesse. Voici l’essentiel de nos démarches. Trois
jours après l'apparition du premier Crop-Circle,
nous nous sommes rendus sur les lieux. Les
impressions étaient très partagées.
Nous avons croisé des visiteurs qui nous ont déclaré ressentir l’endroit
comme fortement énergétique ; nous savons par contre, par la lecture de
forums, que des examinateurs prétendent avoir trouvé des traces de pieux.
C’est ce C.C. qui a inspiré à Daniel Récolet une réflexion sur les univers
parallèles, mais il le considère comme un graphisme au symbolisme
intéressant, sans s’engager quant à l’authenticité de la formation. En fait,
c’est plutôt l’occasion d’évoquer une hypothèse qui le motive.
Après l'apparition d’un autre motif dans les blés, nous avons fait la
connaissance du fermier, un homme ouvert et courtois, qui, à notre
troisième visite, nous a emmenés dans la grange où il conservait des bottes
d'épis et de lin
intéressantes
destinées à une conférence qui lui
avait été demandée. Paul Van Akter
nous a dit avoir découvert le sujet
avec intérêt après avoir été
« honoré » du premier crop-circle.
Les trois se situent dans ses champs !
Il dit s’être beaucoup documenté et
souhaite connaître le fin mot de
l'histoire, avec une préférence pour
l’origine extraterrestre (sa façon de
répéter à plusieurs reprises que nous
ne sommes pas seuls était
1
Déjà un aveu !) Nous avons appris par lui-même que son vaste champ de
lin, tout proche et déjà coupé, avait été aussi marqué aussi par une
formation au graphisme simple ; le lin semblait parfois pris dans un
tourbillon, nous avons pu le vérifier ; il nous a montré aussi, des tiges de
lin recourbées presque en épingles à cheveux, chose qu'il n'a jamais
constatée avant car le lin, très souple, même soumis à une torsion, se
redresse parfaitement. Cette forme était définitive comme lorsqu'une barre
de métal a été pliée avant de refroidir. Nous avons cependant repéré, en
bordure du champ, une fine rangée non coupée du fait de la proximité
d’une haie, et la courbure de ces plantes était très nette aussi, bien que
moins frappante. La chaleur exceptionnelle, par cette canicule, n’a-t-elle
pas eu des effets ? Le crop-circle le plus spectaculaire et le plus visible a été
formé en dernier. Il a été écrit que Paul Van Akter était sur place occupé à
travailler et que, le temps qu'il se retourne à nouveau vers son champ, la
formation était là. Voici ce que lui-même nous a expliqué. Il travaillait de
nuit dans un grand champ qui fait face, de l’autre côté de la route (Chemin
de la Croix) et est resté sur place jusqu’à 3 h du matin, ses travailleurs
prolongeant leur présence jusqu’à 6 H. Aucun d’eux n’a remarqué de
mouvement particulier. Mais ensuite, en cours de journée, il a été prévenu
par une connaissance qui s'est déclarée certaine qu'il n'y avait rien dans le
champ au début de sa promenade alors que la formation était visible deux
heures après. Reste la possibilité qu'elle n'ait pas vu le crop-circle à son
premier passage, ce qui laisse beaucoup de flou dans l’évaluation
chronologique. Il a été écrit dans plusieurs quotidiens que des membres de
la SOBEPS ont observé des éléments lumineux particuliers dans la
première ou la seconde nuit qui a suivi, alors qu'ils étaient en observation.
Nos membres abonnés à la revue de la SOBEPS seront peut-être en mesure
de nous donner des précisions. Nous avons parlé à de nombreux visiteurs
« new-âge » dont les exaltations sont peu fiables. Des gens s’excitent parce
que des photographies révèlent des éléments lumineux insolites… un petit
tour sur le site d’Emmanuel Dehlinger (« Ovnis, l’Armée démasquée »)
suffit déjà à dégonfler ce mythe, né du fonctionnement de certains types de
lentilles dans les nouveaux appareils. Les ovnis au-dessus des cercles font
souvent partie de la même mythologie : ce sont des oiseaux bizarrement
pixellisés, nous avons été bien placés pour expérimenter cette déconvenue
voici deux ans. Certaines expériences sont utiles… nous ne nous étonnons
plus de filmer parfois des étoiles carrées ! Il faut être pris pour être appris,
dit l’adage.
2
Après beaucoup de tentatives infructueuses, ayant entendu parler d’une
« famille de 10 personnes qui avait assisté à des événements lumineux
extraordinaires », nous avons réussi à rencontrer un des « « héros » de cette
mirobolante aventure. Le récit est moins fabuleux, bien qu’intéressant. Cet
adolescent timide semblait sincère, avec beaucoup de réticences, il a
accepté de nous raconter son expérience : comme souvent par ces belles
soirées d’été, il bavardait avec ses amis, sur un trottoir devant la
boulangerie de Plancenoit, le visage tourné vers la vitrine. Il était plus de
minuit. Son attention a été attirée par un gros mouvement lumineux dans
cette vitrine qui faisait miroir. Il a vu une boule blanche très brillante
fendre le ciel en descendant, comme pour aller tomber non loin. Ce « non
loin », en se plaçant comme lui et en suivant ses précisions, pourrait
coïncider avec les champs concernés. La boule lumineuse serait beaucoup
plus importante que les dimensions habituelles d’une étoile filante. Il parle
de la dimension d’un soleil…nous le citons simplement. Le lendemain, au
bord du crop-circle, il a écouté des adultes raconter qu’ils avaient vu ce
même soir une boule blanche brillante descendre rapidement et se diviser
ensuite en deux parties qui se sont « remises en route » vers le ciel ! Ces
personnes auraient prétendu faire partie de la SOBEPS.
Un autre témoin - son frère- a été spontanément cité par lui comme
susceptible de confirmer mais notre jeune homme n’a pas réussi à le
toucher par G.S.M.
Paul Van Akter nous a aussi raconté que quelques semaines avant ces
événements, tard dans la nuit, un garde-chasse de la région aurait vu bas
dans le ciel plusieurs éléments lumineux impressionnants. Au point d'avoir
eu peur. Cet homme lui aurait confié avoir peu parlé de son observation,
craignant le ridicule. Enfin, toujours selon Paul Van Akter, une jeune fille,
quelques temps avant également, aurait vu du dehors, tard dans la nuit, audessus d'une maison isolée, une forme très lumineuse qu'elle a carrément
appelée "une soucoupe volante". Elle n’a pas demandé son reste ! Nous
avons dû en rester là car le fermier s’en est volontairement tenu à
l’anonymat. Il était en outre difficile d’abuser de son temps alors que des
travaux importants l’attendaient. Quelques jours après, il nous a donné
l'adresse d'une personne dont le témoignage s'annonçait intéressant et dont
il était certain qu’elle ne craignait pas un peu de médiatisation. Nous nous
sommes rendus sur les lieux: à quelque centaines de mètres du crop - circle,
une petite maison au bord de la chaussée dont l’arrière donne en plus vers
les champs où est apparue la première formation. Nous avons été reçus sans
3
problèmes par une famille très spontanée et voici l'essentiel des déclarations
de Paola, une des jeunes filles. Vers 23 heures 30, par une belle nuit claire
de canicule, Paola, qui se tenait proche de la fenêtre ouverte de sa
chambre, occupée avec son ordinateur, a levé la tête, alertée par des
éclairages insolites. Elle a pu constater que trois sortes de barres
lumineuses importantes défilaient à l’horizontale dans le ciel, trois gros
rayons blancs intenses. Elle a réalisé presque aussitôt que c’étaient en
réalité des reflets qui se manifestaient ainsi, ayant comme support un
arbre immense, un saule pleureur, situé sur la gauche de son jardin.
Ensuite, une fois l’arbre dépassé, les reflets se sont manifestés sur les
champs, en forte pente et donc constituant un bon support. Cela provenait
manifestement de quelque chose qui évoluait de l’autre côté de la maison,
côté chaussée. Cet éclairage insolite et très impressionnant a défilé
pendant environ 10 secondes, sans bruit. Paola situe les reflets à une
hauteur d’environ 10 mètres. Les chiens de la maison ont beaucoup aboyé
et se sont montrés très agités un bon moment. Le lendemain Paola a appris
qu’un crop-circle avait été découvert.
Trois ou quatre nuits après, de la même fenêtre, dans la nuit, Paola s’est
effrayée de voir des sortes de puissants projecteurs blancs évoluer au loin
dans un grand champ. Ils se situaient au sol et aucun bruit n’a été perçu. Le
tout a disparu en un clin d’œil. Mais le fermier, informé de notre nouvelle
enquête, a signalé qu’il a travaillé de nuit dans ses champs pour une récolte
de pois. Il déclare que Paola pourrait avoir vu son tracteur, lequel aurait
disparu à ses yeux au moment où il a coupé l’éclairage. Lors d’une veillée
au bord du grand crop-circle, tard dans la soirée, nous avons vu ce genre de
manifestation très lumineuse et rapide, avec extinction totale à mi-parcours
d’un trajet qui s’était répété plusieurs fois. La thèse d’un véhicule agricole
nous semble très plausible.
Des réactions chez nos membres
Merci surtout à M. qui nous a
communiqué
beaucoup
d’informations utiles. Sur place
pour le premier glyphe et aussi 48
heures après l’apparition, sur place
dans la grande formation, il a pris
de magnifiques photos avec sa
caméra digitale, laquelle nous dit-il
n’a pas eu de défaillance, pas plus
que son GSM.
4
Un examen minutieux du second glyphe lui a permis de repérer quelques
tiges particulières sur les bords des motifs, malgré les innombrables
piétinements ; on voit nettement l’allongement du nœud inférieur et une
courbure à 70° ou même plus (un visiteur emportait un blé courbé à 90°) ;
lors de notre réunion de septembre, M. nous a permis d’examiner sur une
tige cette indiscutable déformation. Il
nous a transmis des images montrant une
sorte de carbonisation de tiges et pense à
la théorie d’un échauffement intense et
ultracourt. Un petit sac plastique enfoui
dans la terre était par contre intact :
le flux énergétique, suggère M., serait
induit uniquement dans les tiges
végétales… « Ce qui fait plier la tige est
peut-être une force intelligente comme
par exemple une programmation
informatisée. » Les réactions fortes et
régulières - tous les 7 pas- de ses baguettes lui font penser à la présence
d’une matrice géomagnétique, présente donc dans le sol. Il possède pour
cette théorie des documents approfondis mis à notre disposition lors de
notre rencontre en octobre, en schématisant un cas simple. Il remarque
aussi que les « fabricants » ont
laissé un cercle avec une botte
verticale au centre… comme un
clin d’œil : « nous n’avons pas
utilisé de bâton pour faire
compas… » ! Des nombreux
avions sont passés sur le temps
de sa visite : 3 Jets militaires F16,
un hélicoptère militaire Agusta,
un Marchetti militaire, un grand
hélicoptère décrivant
360°.
C’était
la veille du défilé
militaire traditionnel mais cela laisse rêveur. Aurait-on modifié les
trajectoires pour passer au-dessus du lieu mystérieux ? Nous avons vu
aussi, après le 21 juillet, deux gros avions de chasse survoler le site très bas
et le serveur d’un café voisin nous a dit que de tels survols étaient
totalement inhabituels.
5
Glané… ( !)
Dans « La Libre » du 29/7/2006 : « Il se passe là-bas des choses qu’un esprit
cartésien a du mal à comprendre. On y a vu un chien refuser d’entrer dans
la zone. Une dame qui avait des problèmes de respiration depuis la canicule
est ressortie sans plus ressentir le moindre mal à la poitrine. D’autres se
couchent dans les blés pour ressentir les ondes positives qui s’en dégagent.
Et puis, il y a la manière dont les blés ont été pliés et égrenés qui laisse
vraiment perplexes. C’est devenu une zone sacrée», expliquait jeudi matin
une géobiologue occupée à mesurer les forces avec ce qui ressemble à une
baguette de sourcier sophistiquée : «Partout sur le champ de bataille, les
ondes sont négatives à cause des douleurs ressenties par les combattants
décédés en 1815. C’est ce qui explique d’ailleurs que les géobiologues ont
tant de mal à rééquilibrer les forces dans les maisons des alentours. Ici, par
contre, c’est une zone à part. Au point que des personnes malades peuvent
aisément venir faire redémarrer leur système lymphatique ». (… ) Un vieux
fermier d’ajouter : « Plus on se rapproche du centre des cercles, plus les
blés sont égrenés. Aujourd’hui, c’est dur de le montrer car les blés sont
arrivés à maturité, mais ils étaient encore verts lorsque ceci s’est dévoilé.
C’était alors impossible de le faire à la main sans arracher l’épi, voire les
racines. Je ne vois qu’un battage à l’ancienne pour arriver à un tel résultat.
Bref, c’est comme si ces blés avaient mûri d’un coup. »
Dans « La Libre » du 17 août : « Pierre Lagrange est sociologue et
chercheur au Laboratoire d’anthropologie et d’histoire de l’institution de la
culture du CNRS. Il est spécialisé dans l’étude des controverses sur les
ovnis et la vie extraterrestre. Ecoutons-le. « Pour moi, c’est du «Land Art»,
une forme d’art dans la nature qui est d’ailleurs revendiquée comme telle
par certains. Il y a d’ailleurs des équipes qui étaient clandestines au départ
et qui se sont professionnalisées pour en faire une activité commerciale. »
Dans la commune, des rumeurs circulent quant à l’arrivée
de
Britanniques, spécialistes des crops-circles…mais aussi sur la présence de
jeunes avec du matériel, non loin des sites concernés, la veille de
«l’apparition» ! Intrigant également : le gestionnaire du Hameau du Lion
avait aussi refusé la réalisation dans ses champs d’un labyrinthe végétal,
peu de temps avant les faits. La police de Lasne suit d’ailleurs une piste
précise et bien humaine, sans détenir encore de preuves. (…) Le
commissaire Duchenne a ouvert une enquête pour troubles de l’ordre
public et a déjà lancé des «invitations», malgré les vacances. «Il faut voir à
qui cela profite... » Dès que l’enquête aura abouti, il avertira le parquet.
Mais l’auteur ne risque pas de poursuites, aucune plainte n’ayant été
introduite. »
6
Dans « Le Soir », 8 octobre : « Dans les bistrots et les chaumières de la
région, chacun mène également son enquête et relaie la rumeur selon
laquelle une bande de jeunes de 20-25 ans est arrivée un beau matin au
Café de l’Empereur ; des jeunes excités par le forfait qu’ils avaient
accompli la nuit précédente pour le compte de . . . . » X ! ( non cité dans ce
journal)»
Dans « La Dernière Heure », même date : « Le président de
l’Intercommunale Bataille de Waterloo 1815, sur base de l’enquête réalisée
par le commissaire Jean-Michel Duchenne, de la police de la Mazerine, a
des preuves que le mouvement raélien est derrière ces fameux dessins.
Magnifiques s’il en était... Des dépliants ont été distribués pendant la
braderie brainoise et dans le centre de Waterloo, invitant la population à
une conférence sur le sujet le vendredi 22 septembre au restaurant
Wellington. L’adresse de référence est celle du site de la secte. « On trouve
l’invitation également sur le site, appuie Jean-Michel Duchenne. Des
Finlandais avaient même réservé hôtel et repas pour y assister. » Et Yves
Vander Cruysen d’ajouter : « La salle n’avait pas été réservée sous le nom
du mouvement. J’ai donc annulé la réunion car je ne souhaite pas que,
derrière la conférence, la secte essaie surtout de recruter de nouveaux
membres. » Pour le commissaire, l’apparition de crop circles est toujours
suivie un bon mois après d’une conférence de Raël : « Il semble que cela
soit leur technique. » Malgré ces explications, il restera toutes ces choses
inexplicables, comme les grains égrenés comme arrivés d’un coup à
maturité ou ces personnes souffrant du cou ou du dos qui sont ressorties du
cercle sans plus rien ressentir. Le crop circle aurait-il eu un effet placebo ?
Quoi qu’il en soit, certains iraient aujourd’hui jusqu’à vendre 5 € la tige de
blé coupée dans l’agro glyphe. »
(Si on avait su… de quoi vous dispenser de payer la prochaine
cotisation !!!! ; et remarquons en passant que les raéliens pourraient aussi
se tenir à l’affût des apparitions de crop-circles sans pour autant
commanditer leur fabrication… wait and see ! ) Elevons le débat, loin des
possibles magouilles d’une secte particulièrement odieuse et vénale… et
pensons aux « univers parallèles »
Cet été 2006, un crop-circle à Waterloo, le premier, nous a proposé par son
graphisme très simple mais riche de sens une réflexion sur l’hypothèse des
univers parallèles : deux cercles (des planètes ?) réunis par une ondulation
régulière, une sinusoïde schématisant, je crois,
une oscillation qui
constitue un lien entre les deux éléments. Bref, selon moi, la schématisation
7
d’une différence de potentiels énergétiques, créatrice de possibilités de
perturbations pour une possibilité de passage entre deux univers. Une
occasion de vous exposer mon hypothèse.
Après plus de quarante années d’observations, de réflexion puis de
recherches dans le domaine des apparitions d’objets mystérieux, je me suis
dirigé vers une piste qui me tient à cœur : l’analyse de l’état climatique de
notre terre et des perturbations
atmosphériques causées par les
fluctuations de l’énergie solaire, ces immenses taches qui produisent des
éruptions gigantesques en nous envoyant des particules électriques
transportées par un vent solaire puissant , composé d’électrons, protons,
photons et de gaz ionisés conducteurs de courant électrique. Ce flux
gigantesque se précipite dans la haute atmosphère et produit notamment
nos magnifiques et mystérieuses aurores boréales. Sa densité est calculée en
protons /cm3. Il est très possible que ce colossal apport d’énergie
déstabilise notre environnement en provoquant une différence de potentiels
énergétiques entre deux états ( univers parallèle ? ) E= MC2… Il y a de
quoi méditer ! Une instabilité de la matière provoquerait un frottement,
d’où le passage d’un état à l’autre, faisant apparaître des manifestations
d’objets mystérieux, des phénomènes qualifiés de paranormaux tels les
effets poltergeists, toutes ces manifestations provenant des confins de notre
univers … ou d’un univers jumeau.
8
Pour cette hypothèse, je me base sur des témoignages et sur des faits vécus
sur le terrain, lors d’observations nocturnes faites par notre association.
Des témoignages
- En 1989 un avion de l’armée belge prend en chasse un objet signalé par
son radar de bord ; malgré plusieurs minutes de poursuite, le pilote ne peut
rattraper l’objet qui reste constamment à même distance. Cet objet semble
situé « de l’autre côté » de notre espace.
- Dans le courant de la même année, à Faischau, une jeune fille, vers 3
heures du matin, observe au-dessus de son domicile un objet triangulaire ;
cette forme éclaire toute la cour ; la mère se précipite à l’étage mais ne voit
rien; elle déclare avoir eu une impression d’irréalité, « comme si l’objet ne
se trouvait pas ici ». Une bande vidéo à l’enregistrement est retrouvée
effacée.
- A Namur, dans les années de la vague belge, une observatrice voit une
sphère lumineuse longer les murs extérieurs de son appartement, devenus
transparents.
- Rappelons (Flash 1 /2006) Jean G. qui observa longuement avec sa famille
une forme d’immense canotier se balançant au-dessus d’une grande
antenne ; l’aspect lui a semblé totalement irréel par rapport aux couleurs et
matières terrestres. Cette sorte de gigantesque hologramme est devenu en
un instant un point lumineux fulgurant.
- En octobre 87, notre ami Robert L., dans un grand champ, en Israël, voit
dans le sol une pyramide lumineuse tronquée palpiter et il garde pendant
plusieurs minutes le contact intérieur avec cette présence. Nous vous avons
parlé de l’extraordinaire vague d’ovnis, d’apparitions et de poltergeists
qui, exactement le même jour, commence en Israël, après l’éclatement
( analysé) d’une forme brillante dans les sables de Shikmona Beach.
- Dans ce fameux ranch en Utah où Robert Bigelow a organisé des mois
d’enquêtes, il a été souvent évoqué, entre autres, d’étranges appareils qui
planaient sur le territoire mais n’étaient visibles que pour certains
observateurs, peut-être selon la position oculaire. Le chapitre « La
fenêtre », dans le livre consacré à ce cas exceptionnel, décrit l’observation
fréquente d’une sorte de cercle orange qui un jour permettra d’observer à
travers des jumelles une découpe de ciel bleu alors qu’il fait nuit au-dessus
du ranch. Après bien des observations, le rancher comprendra que ce
cercle, devenu presque invisible – à peine une brume orangée- lorsque
l’observateur se déplace latéralement, est en fait la bouche d’un tunnel d’où
9
sortent des formes rapides, souvent triangulaires. Il conclut « c’était
comme un tunnel tridimensionnel et les côtés extérieurs étaient camouflés
dans le ciel » et « commença à penser que les étranges événements du ranch
pouvaient être expliqués en termes d’autres dimensions et de réalités
alternées ( Flash n°1 /2003 et « The mystery Ranch » de Kelleher et Knapp)
- Et que penser de ces témoignages de personnes invitées à pénétrer dans
des ovnis et qui s’étonnent d’avoir découvert un espace beaucoup plus
grand que ne le laissait présager l’objet vu de l’extérieur ? L’expérience est
connue et on parle à ce sujet de « l’effet cathédrale », une belle image pour
suggérer l’impression d’espace qui frappe le visiteur et est totalement
irrationnelle par rapport aux mesures extérieures.
Passons à nos constatations personnelles :
- En 1993, vers le mois de février, à Tournai, non loin du Mont SaintAubert, nous sommes en observation en plein champ et vers 20 h GMT,
nous voyons sous la couche nuageuse trois sphères rouge cerise en position
triangulaire ; leur comportement semble intelligent par rapport aux
mouvements des nuages ; en laissant une bizarre auréole orangée,
l’ensemble finalement se retire à une vitesse fulgurante, défiant toutes nos
lois de la matière…
- Le 3 juin 2000 à Aubel, province de Liège, observation et film d’un objet
lumineux qui passe au-dessus du fermier en plein travail lors d’une nuit
« agitée » ( voir ma conférence à ce sujet) où une énergie de lumière d’une
dimension étonnante , au loin, sort du sol à trois reprises, comme un soleil
levant qui jaillit à toute vitesse du sol . Je rappelle aussi ce moment très
particulier où l’épaisse couche de nuages , pendant quelques minutes, s’est
ouverte en un cercle parfait révélant un ciel serein rempli d’étoiles.
- Le 15 avril 2001 à Ethe, (Luxembourg), au cœur de la nuit, je suis
stupéfait devant une manifestation extraordinaire : une sphère sort du sol
et se transforme en un rectangle montant à la verticale, amenant comme le
mirage d’un gros immeuble, une bâtisse qui en réalité n’existe pas à cet
endroit, nos nombreux retours servant à vérifier cette chose étonnante (un
vortex ?)
- Autre indication sur laquelle je me base pour supposer des mondes
parallèles observables grâce à de nouvelles technologies (la transvideo) : des
images venues « de nulle part »… mais ces images existent bel et bien … Il
s’agit selon moi d’un lieu situé dans une autre dimension (toujours ce
monde parallèle). Et là aussi nos recherches semblent avoir avancé. Il y a
quelques temps nous avons eu la tristesse de perdre notre ami Eugène
10
Fusenne. Il s’intéressait beaucoup à nos hypothèses et, bien conscient que
la mort arrivait, avait manifesté son désir de parvenir à nous contacter.
Quelques semaines plus tard nous avons fait une tentative de transvideo.
Nous avons obtenu des images provenant d’on ne sait où mais bien
évidentes : une tête humanoïde au crâne surdéveloppé et de style
africain ; deux formes dont une qui semble nous faire signe de la main, et
une autre au front très dégagé derrière une sorte de caméra pointée dans
notre direction comme si on voulait nous contacter. Le père Brune,
l’auteur du livre « Les morts nous parlent », venu chez moi deux ans plus
tard, a pu constater sur mon écran d’ordinateur que ces formes se trouvent
bien dans notre film ; malheureusement ces précieuses images ne
présentent pas les qualités requises pour être imprimées. Je compte
mettre bientôt à profit le temps libre de la prépension pour réaliser un
montage sur CD de façon à ce que nos membres puissent profiter de ces
documents étonnants.
Daniel Récolet.
Il croit aux extra-terrestres mais se méfie des crop-circles…
Il, c’est Jean-Pierre Petit, que l’on ne présente plus. Hautement documenté
sur les technologies des ondes, il propose un site que nous recommandons
aux surfeurs. Voici des extraits intéressants, même s’ils dégonflent nos
thèses. « Et si les crop-circles correspondaient à des essais d’impact de
balayages de micro-ondes sur des végétaux ? A ce sujet posez-vous la
question suivant : « pourquoi sur des blés arrivés à maturité ? ». Une
première réponse serait « pour former ces jolis dessins ». Mais il y en a une
autre qui a été imaginée par mon épouse et que je trouve fort pertinente.
Parce que les seuls endroits de l’Angleterre où on est sûr de ne trouver ni
êtres humains, ni animaux de bonne taille sont précisément les champs de
blés, lorsque celui-ci est haut. On ne peut ni s’y déplacer, ni s’y coucher. Le
corollaire serait que ces impacts de micro-ondes, à de telles puissances,
pourraient s’avérer dommageables, voire mortel pour des êtres humains. Si
ces blés plient à une certaine partie de leur tige c’est qu’en cet endroit un
certain type d’effecteur peut diminuer localement leur résistance
mécanique, un agent peut-être beaucoup plus simple que « des ondes
gravitationnelles ». Il y a des recherches à faire dans cette direction, avec
des micro-ondes pulsées, ou modulées en basses fréquences. On peut
aisément imaginer que si un rayonnement peut être assez efficace pour plier
du blé il puisse aussi léser l’encéphale d’être humains, voire les tuer. Quel
serait le but exact de ces essais ? Cela demande à être élucidé. S’agirait-il
d’une « arme incapacitante » destinée à l’homme ? On sait que les grandes
puissances étudient des systèmes à micro-ondes mobiles qui pourraient être
11
utilisés contre des mouvements de foules. Le dossier Haarp nous dit que des
systèmes incapacitants auraient été utilisés contre les Irakiens au moment
de la guerre du Golfe. De tels faisceaux permettraient-ils de sonder la
profondeur du sol pour y détecter la présence de bunkers ? Il existe une
autre possibilité, évoquée par Luc Mampaey dans son rapport sur Haarp :
que ces actions sur les blés s’inscrivent, entre autre, dans l’optique d’une
lutte anti-drogue, dans les pays d’amérique du sud. Si on peut démolir des
végétaux à distance, en toute discrétion, pourquoi ne pas s’en prendre aux
pavots (auquel cas si d’aventure des paysans se trouvaient touchés par des
systèmes à micro-ondes il ne s’agirait que de « dommages collatéraux). Tout
est possible. Dans tous les cas de figure si ces « ronds dans les blés » ont une
telle origine il y aurait une source, à distance, au sol, et en altitude un
« miroir », sous la forme d’une ionosphère artificielle. Dans un premier
temps il serait important de pouvoir reconstituer le phénomène, de savoir
quel type de rayonnement, quelles fréquences et quelles modulations
seraient utilisées. Il ne doit pas y en avoir trente six. Si cette étape était
franchie, des capteurs enregistreurs, posés dans les campagnes
ordinairement visées, ne coûteraient pas des fortunes était donnée les
puissances mises en jeu. Des études basées sur les ondes courtes
permettraient en parallèle de savoir si un écran réflecteur se trouve formé,
dans l’ionosphère ou même plus bas. » (Nous ajoutons notre grain de sel en
rappelant ce témoignage d’un pilote survolant une zone de crop-circles en
Angleterre, qui aurait vu son propre avion se refléter sur une plaque
mystérieuse…) « Les dossiers Haarp et Crop Circles se recoupent. Voir les
dernières infos ( = 2001 ) inscrites se référant à l’évocation des « Eweapons » que les Etats-Unis envisageraient d’utiliser contre les bunkers de
Saddam Hussein, pour stopper dans l’urgence son développement d’armes
de destruction massive. La contribution anglaise pour ce type d’armes est
explicitement mentionnée dans un article du Daily Telegraph. Celles-ci
auraient été essayées dans le sud-ouest de l’Angleterre. Des gens me
disent : Mais, si les Anglais, travaillant la main dans la main avec les
Américains, font effectivement des essais dans les campagnes, pourquoi
réaliser des dessins aussi exotiques ? Il y a deux réponses à cette question.
On a déjà fourni l’une d’elles : pourquoi l’été, dans des blés pleinement
développés ? Parce que sur ces zones là on ne risque pas d’amocher des
êtres humains.
( A.R.E.P.S. : Une bonne occasion de rappeler les nuits de garde d’Andy
Buquois qui, dans sa vieille camionnette postée sur les collines anglaises, a
vu maintes fois des black hélicoptères errer AVANT la formation d’un
crop-circle… peut-être pour s’assurer que des amoureux ne sont pas
« tendrement enlacés » dans les blés… tendrement et imprudemment !) La
seconde laisse la porte ouverte à une interprétation extraterrestre en cas de
mise en évidence d’effets négatifs sur les êtres vivant. Les extraterrestres
12
serviraient alors de « boucs émissaires potentiels ». C’est un jeu délicat,
mais les responsables de ces projets, en sponsorisant les deux camps (ceux
qui sont pour une origine extraterrestre et ceux qui sont contre) se
ménagent les deux portes de sorties. D’ailleurs, l’idéal n’est pas de créer
une relation avérée de cause à effet, qui pourrait engendrer des paniques,
mais simplement d’infiltrer un doute dans la tête des gens. Je crois que les
gens imagineraient mal l’énergie et les budgets consacrés à la manipulation
des opinions publiques et à des opérations de désinformation. S’il se
confirme dans l’avenir que ces « ronds dans les blés » correspondent bien à
des essais anglo-américains effectués sur le territoire anglais, « chez des
civils » et non « dans un polygone de tir » (pourquoi ne pas aller faire cela
dans un site spécialement implanté en Australie, par exemple ?) c’est une
affaire très grave. Si ces systèmes permettent de tuer des oiseaux et des
hérissons, ils peuvent tout aussi bien tuer à distance des êtres humains. Les
anglo-américains se seraient donc livrés à des essais d’armes « léthales » en
visant des sites civils ! Pourquoi ne pas confiner ces essais dans des
polygones de tir ? La réponse est simple. Il est important de tester l’arme
dans toutes les conditions de manière à tester son efficacité pour toutes les
météorologies possibles. Les Américains ont des sanctuaires où effectuer
leurs essais, au Nevada. Mais la climatologie du Nevada est très
particulière. C’est sec ! D’après « Effervescience » nombre de traces ont été
faites par temps brumeux, couvert. D'où l'intérêt de ces essais en
Angleterre… »
Pour ceux qui sont allergiques aux glutens!
Tree-circles, ice-circles, snow-circles, sand-circles… il y en a pour tous les
goûts, même s’ils sont moins nombreux et moins connus.
Les cercles dans les arbres : des formations bien circulaires, comme des
anneaux, des cercles concentriques ou des spirales, ont été observées à
partir de troncs d’arbres. Cas rares mais intrigants. Voici un des plus
intéressants. Au Canada, à Grand Lake, New-Brunswick, voici une
quarantaine d’années, d’après un témoin qui s’est manifesté sur des
forums. Des jeunes pins d’environ 4 ans, bien serrés, bien droits, replantés
par une compagnie minière, ont été trouvés couchés en cercle de façon très
géométrique. Le témoin, alors adolescent, passait en bicyclette. De chaque
côté de la route, deux cercles étaient disposés, de même taille (environ 6 m
de diamètre) et chacun à la même distance du bord de route. Les têtes des
arbres étaient orientées vers l’extérieur de ces étranges cercles, tous deux
parfaits de forme. Aucune brisure ne se voyait sur les troncs et la partie la
plus large, à la base du tronc, était nettement et souplement incurvée
comme lorsque l’on forme un arc de cercle avec une tige flexible !
13
Le témoin a longuement examiné les lieux, conscient de la bizarrerie du fait.
Il retourna le lendemain au même endroit ; des voitures militaires étaient
disposées le long de la route, invitant les automobilistes à accélérer. La
rumeur circula, en ville, que des ours avaient occasionné cela mais il n’y
crut pas un seul instant. Quelques temps après, le lieu fut barbelé et les
arbres coupés mais en tendant le cou, on pouvait voir la courbure à la base
des troncs coupés. Voici quelques années ce témoin invitait les lecteurs à le
contacter mais son adresse est aujourd’hui désactivée, au grand dam de
certains enquêteurs. Un « spécialiste », Busty taylor, reconnaît avoir étudié
de près un très beau cas de ce genre mais la localisation est gardée secrète
pour répondre aux exigences du propriétaire terrien et Busty Taylor se
réserve le droit de couver le dossier jusqu’à la sortie d’un prochain livre. . .
préparez vos euro !
Les cercles dans la glace et dans la neige : Ils sont intéressants à considérer,
même si des scientifiques les prétendent formés par des effets physiques dus
aux tourbillons de l’eau en profondeur, sous l’effet des différences de
températures ces conditions étant surtout réunies dans les endroits
formant une courbe. Depuis 87 des cas sont suivis avec attention. Le nord
de la Suède et la Norvège comptent plusieurs beaux exemples et nous
rappelons qu’un tel cercle, assez petit, a été observé dans le fameux ranch
en Utah, lieu d’innombrables poltergeists (Voir Flash 2005). Robert
Bigelow, le mystérieux milliardaire fan du paranormal, qui a acheté ce
ranch pour se livrer à des recherches intensives, a confié à ses chercheurs
d’autres cas de cercles dans la glace. L’étude la plus approfondie qu’il a
subventionnée concerne un cercle découvert le 21 février 2002 en Utah et la
conclusion est qu’un « outillage » a été utilisé pour réaliser ce cercle parfait
de presque 2 m de diamètre délicatement taillé dans une glace
excessivement fine (ceci exclut qu’un humain se place sur la glace et utilise
une sorte de compas). Autres beaux cas : En 2005, le 9 décembre, en
Ontario, une formation parfaite de presque 15 mètres de diamètre est
apparue dans une crique. Les bords extrêmement aigus font penser au
travail d’un outil ; avant la formation, d’étranges odeurs ont été signalées
par plusieurs personnes et ont duré pendant 3 jours. En 2003 (le 11
décembre) un modèle complexe a été découvert et longuement examiné en
Norvège, près de Snasa. Il était très régulier (sur les photos la chose est
moins évidente car de la neige est retombée.) Ce dessin dans la glace se
trouvait sur le sol et non sur la glace de l’eau. Des échantillons ont été
expédiés à l’équipe de Nancy Talbott (le BLT Research) mais rien n’a été
trouvé. Remarquons toutefois que pour trouver quelque chose, il faut savoir
quelle piste examiner et que les analyses pourraient être innombrables !
14
En 91, à Pâques, en Norvège (Haukelifjel), une petite formation profonde
de 5 cm a beaucoup intéressé les observateurs. Des lumières étranges ont
été observées dans le ciel pendant trois jours, avant que ne soit repéré ce
motif. D’après de nombreux témoins, ces lumières passaient du rouge au
vert en révélant entre les deux une sorte de métal brillant. Ces éléments, à
chaque fois, planaient plus d’une demi-heure. UFO Norway a collecté des
échantillons de neige et abouti à la constatation que dans un des cercles, la
concentration en bactéries était plus forte. Cette conclusion ne révèle
évidemment rien de valable. La Russie nous offre un très beau cas de snowcircle ; peut-être un des plus beaux et bien trop méconnu. Le 20 décembre
1990, un cadre installé devant sa télévision, au 9ème étage, dans la banlieue
de Moscou, s’est étonné de voir l’extérieur s’illuminer comme en plein jour.
Il a voulu en savoir la raison et en s’approchant d’une fenêtre, a pu
constater qu’une sphère flottait. Une sphère ou une boule de lumière…
c’était aveuglant et cela dura près d’une minute. On trouva dans la neige, à
l’emplacement survolé, une formation de 8 mètres de diamètre, 20 anneaux
concentriques très réguliers séparés entre eux par environ 20cm. Le relief
de ces motifs était de 6 à 8 cm de haut. Plus extraordinaire : 3 petites
formations circulaires du même genre étaient en plus intégrées dans le
grand ensemble sans qu’aucun défaut de tracé ne soit observable… quelle
prouesse ! L’observateur, ébloui par l’intensité lumineuse, avait eu le
réflexe de saisir sa caméra mais ce n’était pas un film adapté pour la nuit et
l’analyse n’a rien donné. Au moment où il filma, il vit la lumière reculer et
disparaître, peut-être derrière l’angle d’un toit. Un voisin déclara avoir vu
aussi le phénomène et remarqué une sorte d’appendice, peut-être même
plusieurs, l’éblouissante lumière rendant l’observation difficile. Ces
témoins, après réflexion, estiment qu’il y avait peut-être plusieurs taches
lumineuses proches l’une de l’autre.
Toujours en Russie, dans l’Oural : Le 23 novembre 2004, des employés
d’une école primaire de Cyxom Lore découvrent en arrivant au travail trois
cercles concentriques de 30m, 10m et le plus petit non mesuré. D’étranges
effets lumineux ont été signalés la veille ; le directeur a décidé de fermer
momentanément l’école, prétextant une menace d’épidémie pour ne pas
s’attirer de problèmes avec ses supérieurs administratifs. Une enquête a
suivi et l’on n’a constaté aucune particularité pour la radioactivité ni pour
l’électromagnétisme.
Dans le sable : Il en existe aussi. Le 13/9/94, en Oregon, 33 cercles
concentriques sur la plage ! A la circonférence, on repère, comme pour
Moscou, des petits cercles intégrés. Ils sont photographiés et repérés avant
la marée. Six mois après, une chercheuse réussira à repérer l’endroit au
moyen de baguettes magnétiques ! Des prélèvements dans le sable à plus de
15
20 cm de profondeur seront analysés et le niveau des anions se révélera plus
élevé de 51% par rapport au sable extérieur. Le groupe d’étude de ce cas
émet l’hypothèse que des ondes sonores sont à l’origine de telles formations.
Plus de 2 ans après l’apparition, des mesures étaient encore possibles
(Gaussmètre et échelle électrostatique).
Dans le gravier : Au Canada, le 1/9/90, un cercle de 9m est découvert,
pressé dans une surface de gravier. L’enfoncement régulier est de 5cm et
des zones de gravillons pulvérisés se voient nettement. La circonférence est
une entaille de 15 cm de profondeur. Des lumières étranges, inexplicables,
ont été vues avant et sont rapportées par de nombreux témoins.
16
A.R.E..P.S. Association de Recherches et d’Etudes des Phénomènes Spatiaux a.s.b.l.
Siège social : Rue Longue vie n°20 1050 Ixelles  02/377.55.62  02/377.55.62
17