Les indicateurs emploi-formation du BTP en Rhône

Transcription

Edition 2004
Les indicateurs
emploi-formation
du BTP en Rhône-Alpes
Observatoire de l’Emploi et de la Formation dans
le Bâtiment et les Travaux Publics en Rhône-Alpes
2004
AVANT-PROPOS
Les indicateurs emploi-formation du BTP en Rhône-Alpes
Troisième édition des
« Indicateurs emploi-formation du Bâtiment et
des Travaux Publics en Rhône-Alpes »
Prolongeant les réflexions de l’Observatoire régional de l’emploi et de la
formation dans le BTP, ce tableau de bord a été réalisé pour et par la
profession.

Il se veut l’expression de la volonté de la profession du BTP (accords du 3
décembre 1996 et du 6 novembre 1998 et accord national interprofessionnel
du 20 septembre 2003) de se doter, à partir des Observatoires BTP mis en
place, d’instruments permettant de suivre et de mesurer les évolutions du
secteur en regard de ses grandes priorités.

A cet égard, nous remercions les professionnels qui ont contribué à la
réalisation de ce document.

De portée régionale, ce tableau de bord, par la batterie d’indicateurs qu’il
propose, constitue un outil indispensable au suivi du contrat d’objectifs entre
les Pouvoirs Publics et la Profession BTP en Rhône-Alpes.

Ont été publiés précédemment :
-
1992
1997
2000
2002
2003
:
:
:
:
:
« L’emploi et la formation dans le BTP en Rhône-Alpes »
Les études par métier du Contrat d’Etudes Prospectives BTP
11 tableaux de bord par métier du BTP
« Indicateurs du BTP en Rhône-Alpes » - édition janvier 2002
« Indicateurs du BTP en Rhône-Alpes » - édition 2003
Observatoire de l’Emploi et de la Formation dans le BTP en Rhône-Alpes – Edition 2004 – page 1
2004
SOMMAIRE
Sommaire
ACTIVITE ET METIERS DU BTP
1. Le Bâtiment
2. Les Travaux Publics
3. La production des entreprises du Bâtiment
4. La production des entreprises de Travaux Publics
ENTREPRISES
5. Le tissu d’entreprises
6. Les créations et défaillances d’entreprises
ACTIFS DU SECTEUR BTP
7. Les non-salariés
8. L’effectif salarié
SALARIES
9. La pyramide des âges des salariés
10. La qualification des ouvriers
INTERIMAIRES
11. Le nombre d’intérimaires
DEMANDEURS D’EMPLOI
12. Les demandeurs d’emploi
FORMATION INITIALE
13. La formation initiale : effectif en formation
14. La formation initiale : résultats aux examens
FORMATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI
15. Les formations des demandeurs d’emploi
FORMATION EN ALTERNANCE
16. La formation en alternance
FORMATION CONTINUE
17. La formation continue des artisans et des salariés
RELATION EMPLOI-FORMATION
18. Les sortants de formation initiale
19. Les sorties de jeunes diplômés vers la vie active
20. Le flux d’entrants et le besoin de renouvellement
21. La place des jeunes et des qualifiés
2004
1. Le
Bâtiment
Les activités
Les métiers
Maçonnerie et connexes

Les marchés

Stabilisation des marchés de construction de maisons
individuelles, de logements collectifs, de bâtiments
publics, et entretien-rénovation.

Les nouveaux marchés
Stations d’épurations de petite taille, usine de traitement
de l’eau, déconstruction , chape d’enrobage de planchers
chauffants de type chape liquide, réhabilitation d’usines
de fabrication de produits alimentaires afin de les rendre
conformes aux normes sanitaires, déconstruction
sélective, utilisation de béton plus performant.
Le métier
Le maçon « gros œuvre » met en place les coffrages, les
aciers, coule le béton et monte les agglos, bâtit des murs
avec des briques et blocs de béton cellulaire.
Le maçon « finition » réalise des façades, enduits,
réagréages, chapes de sols. Il est cimentier : il met en
œuvre différents bétons et mortiers, maîtrise parfaitement
le fil à plomb, le niveau et l’équerre.
Le maçon « généraliste » synthétise les savoir-faire du
maçon finition et du maçon gros oeuvre. Il est capable de
réaliser seul un coffrage traditionnel et de faire des travaux
annexes tels que canalisations, passages de gaines, agglos,
clôtures, pose de pierres en murs et en sol et pavages.

Les critères d’embauche
Meilleur niveau de qualification, plus grande motivation.
Exigences axées sur les connaissances en technologie, et
la connaissance des nouveaux produits ; la rapidité
d’exécution est une attente des entreprises.
Menuiserie

Les marchés

Menuiserie extérieure bois, menuiserie extérieure PVC,
menuiserie intérieure et agencement. Dans le secteur du
neuf, les menuiseries extérieures sont parfois posées par
les maçons et les portes intérieures par les plaquistes.
Les entreprises sont confrontées au problème de la
diversification lié à la présence de nombreuses solutions
constructives. Les marchés tels que les parquets flottants,
secteur concurrencé par les poseurs de revêtements de
sols, continuent de se développer.

Forte progression des aménagements de placards,
rayonnages, des volets roulants et des portails
automatiques. Développement de la production de
produits semi-finis.
Le métier
Le menuisier fabrique les ouvrages intérieurs et extérieurs
tels que : portes, fenêtres, boiseries, placards, volets,
escaliers, parquets … et les pose. Il peut également être
assemblier. L’évolution actuelle est essentiellement due à
sa position économique, le menuisier étant concurrencé à
la fois par les grandes surfaces de bricolage, par les
industriels fabricants de composants et par d’autres
professions du bâtiment.
Exigences axées sur un meilleur niveau de qualification,
une plus grande motivation, des notions de réglementation
et d’esthétique. La polyvalence (fabrication et pose) ou
inversement la spécialisation, est une exigence qui dépend
de la taille des entreprises.
Charpente Bois

Les marchés
Les marchés de charpente sont en hausse. Ils concernent
le neuf comme la rénovation. La maison à ossature bois
continue à se développer.

Emergence de marchés tels que bardages bois, extension
ou surélévation, terrasse, habillage de ponts, structure de
ponts en petite portée type passerelle, rénovation de gros
ensembles immobiliers.
Le métier
Le charpentier conçoit, calcule (résistance des
matériaux), trace, débite et façonne les pièces de bois des
charpentes des édifices, puis monte et assemble les
différents éléments.

Les exigences des entreprises en matière de recrutement
sont axées sur un meilleur niveau de qualification et une
plus grande motivation. Des connaissances en matière de
normes et de réglementations sont de plus en plus
demandées.
2004
1. Le
Bâtiment
Les activités
Les métiers
Couverture-zinguerie

Les marchés

Les marchés sont ceux de la couverture traditionnelle et
de la couverture - zinguerie, quels que soient la nature
des travaux et le type de construction.

Emergence de nouveaux produits en terre cuite, plus
légers et de plus grandes surfaces. Les produits à base
d’amiante sont remplacés par de nouveaux matériaux. La
couverture métallique se développe. Les couvertures
cintrées ou de formes variées en zinc ou cuivre sont de
plus en plus demandées. Croissance des marchés liés à
l’amélioration du confort. On note enfin l’utilisation de
plus en plus fréquente de nouveaux matériaux qui
doivent non seulement permettre la mise hors d’eau des
bâtiments, mais aussi assurer une fonction d’isolation
thermique, acoustique et d’éclairage.
Le métier
Le couvreur-zingueur est un technicien hautement
qualifié qui réalise la couverture et l’entretient. Il met en
œuvre des matériaux très variés tels que le bois (le PVC),
l’ardoise, la tuile (en terre cuite, béton ou verre), le
bardeau bitumé, les métaux : zinc, tôle, aluminium, cuivre,
plomb, bac acier. L’ouvrage doit s’intégrer dans
l’environnement en alliant la technique et l’esthétique, dans
de bonnes conditions de durabilité. Il innove par l’utilisation
de produits issus de nouvelles technologies. Il participe au
tri sélectif des matériaux déposés. Il intervient sur le
patrimoine architectural. Il réalise et pose des éléments
métalliques de raccordement (capteurs solaires). Il est
amené à déposer des éléments comme l’amiante
nécessitant une protection individuelle.

Polyvalence dans le travail du bois et des matériaux.
Importance croissante de la démarche de présentation des
risques professionnels et des normes de qualité. Un savoirêtre est attendu pour évoluer dans l’entreprise.
Plomberie

Les marchés

Progression des marchés fluide, air comprimé,
évacuation, traitement, énergies nouvelles, habitat
individuel. Croissance de la demande de rénovationamélioration (cuisine, salle de bain, aménagements
globaux, …). Des travaux se réalisent aussi dans des
locaux industriels et commerciaux.

Les marchés de Gestion Technique des Bâtiments (GTB)
correspondant à des marchés de maintenance continuent
à se développer. WC économiseurs d’eau à double
touche, robinets à détection électronique ou à limitation
de débit, introduisent une évolution du savoir-faire.
L’installation en énergie solaire se développe, ainsi que le
remplacement de canalisations en plomb.
Le métier
Le plombier est un technicien qualifié qui se charge de
tout ce qui transporte les fluides (fourniture et pose). Il
installe et pose les canalisations, les tuyauteries d’eau, de
gaz et d’air comprimé. Il fournit, installe et se charge des
raccordements des équipements sanitaires en amont et en
aval des réseaux. Il effectue des travaux neufs, d’entretien
et de rénovation. Il intervient aussi sur des piscines,
protections incendie, traitement des eaux et épuration. Il
emploie des matériaux différents (cuivre, acier, PVC, …).

Connaissances en sécurité. Pour le recrutement de jeunes
de niveau CAP, les entreprises souhaitent un niveau de
qualification plus élevé. Un savoir-être est nécessaire pour
évoluer dans l’entreprise.
Génie climatique

Les marchés
Installations thermiques et installations en climatisation
sont les principaux marchés. Progression du chauffage au
gaz naturel. La climatisation des maisons et parallèlement
le climatiseur réversible (chaud/froid) se sont développés.
Les travaux se réalisent aussi dans les locaux industriels
et commerciaux (tertiaire).

Forte conséquence des aides des pouvoirs publics en
matière d’énergies renouvelables. Croissance de la
cogénération d’électricité (production privée) avec mise
en place de micros centrales. La fonction mise en service
des installations est devenue une phase importante. La
Gestion Technique de Bâtiments continue à se
développer en France.

Le métier
Le monteur en chauffage et climatisation est un
technicien qualifié qui installe chauffage, climatisation et
ventilation (production, distribution et appareils terminaux).
Il peut également en assurer la maintenance et le
dépannage. Il effectue des travaux neufs et de rénovation,
il emploie des matériaux différents (cuivre, acier…). Il
répond aux exigences de bien-être et de confort et innove
par l’utilisation de produits issus de nouvelles technologies.
Il participe au tri sélectif des matériaux déposés.

Connaissances en sécurité. Pour le recrutement de jeunes
de niveau CAP, les entreprises souhaitent un niveau de
qualification plus élevé. Un savoir-être est nécessaire pour
évoluer dans l’entreprise. On insistera sur les problèmes
d’hygiène.
2004
1. Le
Bâtiment
Les activités
Les métiers
Peinture – Vitrerie - Revêtements

Les marchés
Le métier

Peinture industrielle, peinture en décors, vitrerie, miroiterie,
façade, peinture, revêtement sols/murs, faux-plafonds
décoratifs (plafonds tendus) connaissent actuellement une
croissance forte. Les activités liées à la construction neuve sont
à distinguer de celles liées à l’entretien-rénovation.
Il comprend préparation et remise en état des supports et
mise en œuvre de matériaux contribuant à :
la protection et l’embellissement des murs, des sols et
des plafonds,
l’application de peinture traditionnelle et de peinture
décorative, la pose de revêtements souples et d’éléments
décoratifs,
l’isolation acoustique et thermique de technicité courante,
Notions de carrelage et de faïence ; application de produits
de rejointoiement, pose de baguettes ou couvre-joints.
En terme général, il doit avoir une bonne connaissance des
produits compte tenu de la nouvelle technologie des
peintures ou enduits.

On a noté une renaissance du marché du particulier et
l’émergence des peintures de techniques industrielles (sols
résineux, intumescents et traitement de l’amiante). L’activité de
décoration se développe mais reste un secteur concurrencé par
d’autres métiers. Les produits de décoration très spécifiques
sont en croissance.

Recrutement de jeunes motivés avec un niveau de
qualification supérieur. La polyvalence ou inversement, la
spécialisation, dépend de la taille des entreprises et de leur
organisation.
Carrelage

Les marchés

Les marchés concernent la réhabilitation et les locaux neufs, du
particulier à l’industriel. Les principales activités sont : la pose
de carrelage de sol intérieur et de céramique sur les murs.

De nouveaux marchés se développent comme : l’application de
résines pour l’étanchéité, les poses collées sur isolant phonique,
les chapes liquides…
Le métier
Le carreleur habille sols, murs, façades et piscines... Il
utilise des carreaux céramique, faïence, grès (cérame,
émaillé), terre cuite, ainsi que des dalles et carreaux
ciment, et des matériaux durs naturels (pierre, marbre…).

Savoir-faire, expérience (préférence pour les jeunes formés
par l’apprentissage), qualité du travail, intégration aux
équipes, mentalité et motivation sont les principaux critères
actuels d’embauche.
Plâtrerie

Les marchés
Plâtrerie, isolation thermique intérieure et phonique, protection
au feu, faux plafonds décoratifs et chauffants connaissent
globalement une forte croissance. Staff de décoration et stuc
sont également présents.

Préfabriqué en plâtre, cloisons de grande hauteur et de
séparation (haute performance acoustique), construction en
filière sèche (logement, tertiaire), plafond rayonnant plâtre
(PRP) et modulaire (PRM).

Le métier
Le plâtrier intervient dans tous types de bâtiment (neuf ou
rénovation). Réalisation de cloisons, de doublages de
plafonds et parfois de sols. Il réalise également l’isolation
thermique et acoustique, la protection au feu, la décoration
de l’aménagement intérieur. Utilisation de produits tels que
plâtre, plaques de plâtre, carreaux de plâtre ou de terre
cuite, briques plâtrières, isolant, dalles de faux plafond.

Recruter des jeunes motivés et d’un niveau de qualification
supérieur.
La
polyvalence
(ou
inversement
la
spécialisation), dépend de la taille des entreprises et de leur
organisation.
2004
1. Le
Bâtiment
Les activités
Les métiers
Métallerie

Les marchés

Métallerie, agencement / décoration, structure, et travaux liés à
la sécurité sont les principaux marchés.

Les marchés qui émergent sont ceux liés à la protection /
sécurité (protection feu, vitrage de sécurité, vitrage isolant RT
2000, protection solaire), à la mise en œuvre d’acier inoxydable
et de menuiseries métalliques acier (profils acier nouvelle
génération), au laquage des ouvrages et à la construction
d’immeubles de bureau en acier.
Le métier
Le métallier fabrique (ou façonne) et met en œuvre des
ouvrages en acier, aluminium, inox, laiton, pour aménager
ou réaliser des bâtiments. Il utilise également des produits
verriers et des matériaux de synthèse.

Nécessité de recruter après la 3ème, et préférence pour les
jeunes formés par la voie de l’alternance. La polyvalence fabrication en atelier et pose sur le chantier - est également
un critère attendu.
Electricité

Les marchés
L’électricité
du
bâtiment
(logement
ou
tertiaire),
l’électrotechnique (secteur industriel), le chauffage électrique,
les installations en domotique-immotique, les installations en
courants faibles, les installations en câblage Voix Données
Images (VDI), les systèmes de sûreté et sécurité, les signaux
de réseaux extérieurs d’automatismes, d’informatique
industrielle et d’instrumentation.

Forte progression de la rénovation de chauffages électriques,
de l’installation de chauffage thermodynamique (géothermie –
pompe à chaleur), de la maintenance des matériels à forte
technicité (vidéo, contrôle d’accès, VDI,…) avec une importante
contrainte en termes de résultats, de la production d’électricité
par énergie renouvelable et géothermie, de l’assistance aux
comportements économes, d’appareillage et procédés
économes avec comptage et contrôle des gains réalisés.

Le métier
L’électricien réalise et maintient des installations de
distribution simples ou complexes, de courant faible ou fort,
à partir de schémas qu’il conçoit. Il assure la connexion et
la mise en service d’appareils divers. Son activité suit
l’évolution rapide des technologies et oblige à une
formation régulière. A la haute technicité du métier s’ajoute
la nécessité d’une bonne connaissance des normes et de la
réglementation. Les acquis théoriques sont, de fait, très
importants.

La polyvalence, l’autonomie pour les jeunes les plus
qualifiés, sont des exigences dans la plus grande majorité
des entreprises. La connaissance des courants faibles est
incontournable. Des qualités relationnelles sont attendues.
2004
2. Les
Travaux Publics
Les activités
Les métiers
Génie civil

Les marchés

On distingue les ouvrages d’art (ponts, viaduc…) du Génie Civil
(stations d’épuration, barrages, digues, quais…).

Les nouveaux marchés :
Les marchés qui se développent sont ceux de l’entretien
réparation des ouvrages d’art et de génie civil.
Les métiers
Le maçon-coffreur met en place banches, moules ou
coffrages (bois ou métal). Il met en œuvre le béton de
l’ouvrage.
Le coffreur réalise et met en place les moules en bois ou
coffrages de différentes formes d’ouvrages en béton, qu’ils
soient simples ou complexes. Il réalise également
l’étaiement des coffrages qu’il met en œuvre. C’est un
homme de base des grands travaux : ponts, barrages, … ou
de la construction d’éléments préfabriqués.
Le ferrailleur assemble les aciers et les met en place dans
les coffrages.

Le noyau de personnel fixe doit avoir un profil très
polyvalent. Difficultés pour le recrutement de jeunes
qualifiés d’un bon niveau.
Réseaux électriques

Les marchés

Construction des réseaux électriques HTA/BTA, réseaux
d’éclairage neufs aériens et souterrains publics ou privés,
entretien des réseaux. Travaux relatifs aux réseaux de
distribution de l’énergie et d’électrification des voies de
transport.
Construction
de
réseaux
modernes
de
communications.

Travaux de reconstruction des réseaux de distribution et
maintenance.
Les métiers
Le monteur de réseaux aériens HTA/BTA construit des
réseaux électriques aériens haute tension et basse tension
en fils nus ou isolés. Le monteur va dérouler, régler et fixer
au sommet des poteaux les conducteurs électriques.
Le monteur de réseaux construit des réseaux électriques
souterrains en haute tension et basse tension, en posant
des câbles isolés en fond de tranchées. Il participe à
l’ouverture de la tranchée, à son remblayage et à son
compactage.
L’installateur de réseaux câblés de communication
participe à la construction des réseaux modernes de
communication.
Le monteur de réseaux d’éclairage public participe à
la mise en place de réseaux neufs aériens et souterrains et
à l’entretien de ces réseaux. Il participe à la maintenance
des réseaux d’éclairage, en effectuant le contrôle et le
changement des ampoules. Il utilise couramment une
nacelle ou plate forme élévatrice mobile pour exercer cette
activité.

Bonnes connaissances en électricité et en réseau
d’éclairage public. Etre reconnu apte au travail sous
tension, respecter les règles de sécurité, la nature et son
environnement, être rigoureux dans son travail, et avoir
une bonne constitution physique.
Canalisations (eaux/assainissement)

Les marchés
Adduction d'eau, assainissement, sont les différents marchés de
canalisation de même que les travaux d’irrigation.

Le marché de la réhabilitation des réseaux existants s’est
fortement développé. On observe aussi l’arrivée de marchés
plus techniques : arrosage automatique, stabilisateurs de
pression, vannes à sur-vitesse…

Les métiers
Le canalisateur d’eau potable installe les réseaux
extérieurs de transport et de distribution de l’eau potable.
Le canalisateur d’assainissement installe tous les
réseaux publics ou privés d’évacuation des eaux usées ou
pluviales.

Les critères d’embauche :
polyvalent. La profession rencontre toujours des difficultés
à recruter des jeunes qualifiés d'un bon niveau.
2004
2. Les
Travaux Publics
Les métiers
Les activités
Routes et voies ferrées

Les marchés

Routes et aérodromes, parkings, dallage et pavage, voies
ferrées, assainissement sont les différents marchés des
entreprises de routes.

Aménagement de rues et de places.
Les métiers
Le compagnon routier réalise les travaux de voirie. Il
construit et entretient routes et trottoirs, met en œuvre les
revêtements de chaussées, d’équipements sportifs, de
parkings ou aérodromes.
Le conducteur d’engins est toujours présent dans la
construction. Les engins qui lui sont confiés sont très
divers, utilisés pour tous les travaux de terrassement, de
mise en œuvre de matériaux, de manutention et de
nivellement.
L’ouvrier en voiries et réseaux divers réalise tout ou
partie des travaux nécessaires à la viabilité en site urbain. Il
participe au pavage, à la maçonnerie, à la pose de bordures
et canalisations, au blindage et à la mise en place des
réseaux d’assainissement ou d’adduction de gaz,
d’électricité, de télécommunication. L’ouvrier VRD est
polyvalent, ses activités sont très variées et requièrent des
connaissances topographiques et géométriques. Il peut
participer à la mise en oeuvre des revêtements routiers.
Le paveur exécute les revêtements de chaussées et
revêtements minéraux (pavage, dallage), pose les bordures
de trottoirs. Il « décore » les espaces paysagers. Il
intervient après le terrassier qui a préparé le sol. Il effectue
le tracé du travail à réaliser, détermine les niveaux de la
chaussée, des bateaux, etc., limite le pavage par des
cordeaux puis dispose les pavés selon les dessins prévus.
Le mécanicien de chantier entretient et dépanne les engins
et machines utilisés sur les chantiers.
L’ouvrier poseur de voies ferrées (tramway, métro, …)
participe à la construction et à l’entretien des voies ferrées
et de leurs infrastructures, plates-formes, ballasts, fossés,...
Le monteur de caténaires équipe les lignes de la SNCF des
éléments électriques nécessaires à la traction des
locomotives. Il procède au montage et au réglage des
caténaires et équipements particuliers : sectionneurs,
appareils tendeurs, aiguillages, signaux spéciaux.

polyvalent. Difficultés dans le recrutement de jeunes
qualifiés d'un bon niveau.
Conduite et mécanique

Les métiers
Le conducteur d’engins et le grutier : les engins
leur sont confiés sont très divers, utilisés pour tous
travaux de terrassement, de manutention et
nivellement…
Le mécanicien de chantier entretient et dépanne
engins et machines utilisés sur les chantiers.
qui
les
de
les
Géomètre topographe

Le métier
Le géomètre topographe calcule, délimite, représente le
terrain et reporte le futur ouvrage sur celui-ci. Sur place, il
relève les niveaux du sol à l’aide d’instruments de mesure
spécialisés.
2004
ACTIVITE
3.
La production des entreprises du Bâtiment
10,765
Volume de production
des
entreprises (Hors taxes, en euros courants)
milliards d’Euros en 2002
11 % du national
Source : CERA (Cellule Économique Rhône-Alpes)
10,77 M d€
10,55 M d€
9,91 M d€
9,10 M d€
7,36 M d€
7,41 M d€
7,79 M d€
7,40 M d€
Logements neufs
Entretien Logements
25,0%
29,0%
25,0%
1995
1996
1997
1998
1999
2000
2001
2002
21,0%
Bâtiments non
résidentiels neufs
Production
1999
2000
2001
2002
Travaux en
Rhône-Alpes en
Milliards d’Euros
courants
9,10 Md€
9,91 Md€
10,55 Md€
10,77 Md€
Entretien Bâtiments
non résidentiels
2003
La production du Bâtiment s’est stabilisée à un haut niveau depuis 2002.
Cette stabilité d’ensemble cache, en 2003, d’importantes disparités :
la construction neuve de logements s’inscrit en légère croissance,
la construction neuve de locaux baisse,
l’activité entretien du Bâtiment reste stable.
Les prévisions 2004 oscillent de nouveau autour d’une activité stable.
2004
ACTIVITE
4.
La production des entreprises de Travaux Publics
3,244
Volume de production
des
entreprises (Hors taxes, en euros courants)
milliards d’Euros en 2002
11% du national
Source : Fédération Régionale des Travaux Publics
Rhône-Alpes
3.36 Md€
3.28 Md€
3,244
2001
2002
2.94 Md€
2.82 Md€
1998
1999
Nature des travaux
(en millions d’euros)
Travaux de routes,
2000
Année 2002
%
877 M€
27
610 M€
18.8
Travaux électriques
709 M€
21.8
Terrassements
581 M€
17.9
214 M€
6.6
255 M€
7.9
d’aérodromes et travaux analogues
Adduction d’eau, assainissement,
autres canalisations et installations
Ouvrages d’art
équipements industriels, génie civil et agricole,
structures métalliques
Autres
2003
Après 2 ans de baisse, l’activité des Travaux Publics s’améliore en 2003.
L’amélioration n’est toutefois pas homogène :
le chiffre d’affaires réalisé dans le secteur des routes diminue,
il augmente dans le domaine de l’eau et de l’assainissement.
En 2004, cette amélioration devrait se confirmer.
2004
ENTREPRISES
5.
Le tissu d’entreprises
Nombre d’entreprises
36 335 entreprises
réparties en
fonction de leur taille
de BTP en 2002
Sources : INSEE – Sirène / ASSEDIC / Fédération Régionale
des Travaux Publics Rhône-Alpes / Fédération Nationale des
Travaux Publics
11% du BTP national
Répartition des salariés et
des entreprises de BTP
60 000
50 000
38,1%
36,3%
40 000
30 000
19,7%
20 000
Entreprises (SIRENE)
51,1%
41,5%
10 000
4,5%
6,6%
0,6%
0
0 sal
Salariés (ASSEDIC)
1 à 9 sal
10 à 49
sal
1,4%
0,1%
0,1%
50 à 199 200 à 499 + de 499
sal
sal
sal
2003
Répartition des entreprises
par activité
9 447
26%
25 513
70%
Plâtrerie
1 304
4%
Gros oeuvre
Taille de
l’entreprise
Nombre d’entreprises
Gros
oeuvre
Second
oeuvre
Travaux
Publics
Second oeuvre
Total
Sans salarié
3 030
11 595
374
14 999
Plomberie, chauffage
5 045
14%
1 à 9 salariés
5 557
12 379
525
18 461
Menuiserie, charpente,
couverture
5 279
14%
10 à 19
salariés
498
1 032
200
1 730
Electricité
4 068
11%
20 à 49
salariés
8 403
23%
274
411
174
859
Peinture, aménagement
finitions
Métallerie, serrurerie
1 414
4%
88
96
102
286
1 375
4%
9 447
25 513
1 375
36 335
36 335
100 %
50 salariés et
plus
Total
Travaux Publics
Total
40% des entreprises n’emploient pas de salariés.
Les entreprises de plus de 10 salariés emploient 64% des effectifs du BTP.
2004
ENTREPRISES
6.
Les créations et défaillances d’entreprises
3 998 créations d’entreprises Nombre de créations d’entreprises
(y compris reprises ou réactivations)
de BTP en 2002
Source : INSEE
10.5% du BTP national
14.6% de l’économie régionale
3 913
3 998
3 799
3 955
3 523
1995
1996
2003
3 520
3 381
3 384
1997
1998
1999
2000
2001
2002
Nombre de défaillances d’entreprises
Source : INSEE
763 défaillances d’entreprises
2003
de BTP en 2002
1 116
1 030
1 054
893
Les
statistiques
de
défaillances
concernent l’ensemble des jugements
prononçant soit l’ouverture d’une
procédure de redressement judiciaire
soit
directement
la
liquidation
judiciaire. Elles ne tiennent pas compte
de
l’issue
des
procédures
:
redressement par continuation ou
reprise.
757
1995
1996
1997
1998
1999
699
715
2000
2001
Le nombre d’entreprises du BTP est pratiquement stable mais les défaillances et
créations augmentent de façon notable, impliquant un accroissement du taux de
renouvellement du système productif.
763
2002
2004
7. Les
non-salariés
Nombre d’artisans
23 005 artisans du BTP
en 2002
Source : Répertoire Informatique des Métiers
(Artisans en entreprise individuelle hors SARL)
Age moyen : 43 ans
10,9% du BTP national
Ain
9%
Haute-Savoie
15%
Ardèche
7%
Savoie
9%
Drôme
9%
Rhône
22%
21%
Isère
19%
Loire
11%
2003
Répartition des artisans par activité
Maçons, carreleurs, plâtriers
Couvreurs, plombiers, chauffagistes
Menuisiers, serruriers, charpentiers
Electriciens
Peintres, aménagement finitions
Terrassiers, VRD
Divers
Total
5 682
3 236
4 068
2 588
5 917
1 094
420
25%
14%
18%
11%
26%
5%
1%
23 005
100%
23 005 artisans en entreprise individuelle (hors SARL) sont répertoriés en
Rhône-Alpes. La stabilité apparente du nombre d’entreprises cache des taux
importants de création et de défaillance (cf. page 13)
2004
8.
L’effectif salarié
Nombre de salariés du Bâtiment et des
115 671 salariés du
Travaux Publics, résidant en Rhône-Alpes (hors
apprentis)
BTP en 2002
Source : CNS-BTP au 15 mars (Caisse Nationale de
Surcompensation du BTP)
10% du BTP national
Ouvriers
140 000
ETAM (1)
IAC (2)
120 000
100 000
80 000
2003
60 000
40 000
20 000
0
1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002
(1) ETAM : Employés, Techniciens, Agents de Maîtrise (2) IAC : Ingénieurs, Assimilés et Cadres
Groupes métiers
ouvriers
2001
2002
20 238
19 916
Carrelage
1 840
1 887
Menuiserie
5 543
5 540
Charpente bois
3 004
3 098
Couverture
1 921
1 978
Plomberie
4 050
4 039
Chauffage
2 464
2 419
Peinture
7 839
7 665
Plâtrerie
3 062
3 133
Métallerie
3 815
3 772
Électricité
7 552
7 554
Travaux Publics
20 273
20 188
Total ouvriers
81 601
81 189
Maçonnerie & Connexes
02/01
% de
femmes
Hommes
Femmes
Ouvriers
80 338
851
1,05
ETAM
14 606
9 759
40,1
9 235
882
8,7
104 179
11 492
9,9
ETAM+IAC
2001
2002
02/01
Technique
15 808
15 576
Administratif
14 637
14 947
849
899
2 302
3 060
33 596
34 482
IAC
Total
Commercial
Divers
Total
ETAM+IAC
En 2002, l’effectif des salariés dans le secteur du BTP est resté globalement stable,
avec une légère augmentation des catégories ETAM et IAC.
Pour la plupart des chefs d’entreprise, les perspectives d’emploi 2004 restent stables.
2004
SALARIES
La pyramide des âges des salariés
9.
Structure par âge de la population
39,5 ans en moyenne en 2002
salariée (hors apprentis) : âge moyen et
proportion de moins de 25 ans
10,2% de moins de 25 ans
39,6 ans et 9,3% pour le BTP national
1997
Age moyen : 39.5 ans
Proportion de moins de 25 ans : 6,6%
104 601 salariés d’âge connu (hors apprentis)
60 et +
1,6%
2002
Age moyen : 39.5 ans
Proportion de moins de 25 ans : 10,2%
115 411 salariés d’âge connu (hors apprentis)
60 et +
8,0%
55/59
45/49
13,7%
12,7%
40/44
30/34
14,4%
- de 25
11,7%
13,3%
15,8%
14,7%
30/34
11,4%
10,2%
- de 25
Age
moy.
% - de
25 ans
39.9
10.9
Carrelage
36.4
16.9
Menuiserie
36.5
17.1
Charpente bois
34.4
21.3
Couverture
37.4
14.4
Plomberie
36.6
18.6
Chauffage
37.9
12.8
Peinture
39.1
10.7
Plâtrerie
37.6
13.7
Métallerie
37.9
Électricité
VRD et canalisations
Conduite d’engins et
mécanique
Total ouvriers
45/49
25/29
6,6%
Groupes métiers
ouvriers
12,0%
35/39
16,7%
25/29
50/54
40/44
14,2%
35/39
9,0%
55/59
12,1%
50/54
2,1%
02/01
2003
Fonctions
ETAM+IAC
Age
moy.
% - de
25 ans
12.5
Technique
41.6
3.9
36.8
13.9
40.6
10.2
Administratif
Commercial
42.1
41.7
5.2
6.5
40.9
7.2
41.8
4.6
38.5
12.5
Total
ETAM+IAC
L’âge moyen des salariés du BTP reste stable à 39.5 ans.
La part des moins de 25 ans augmente pour tous les métiers ouvriers, ce qui
compense juste le vieillissement.
02/
01
2004
SALARIES
10.
La qualification des ouvriers
63% des ouvriers sont
qualifiés ou très qualifiés en
2002
70% au niveau national
60 et +
55/59
Source : CNS-BTP au 15 mars 2002 (Caisse Nationale
de Surcompensation du BTP)
Très qualifiés
Coefficients conventions collectives
Bat (185-210) TP (125-140)
Bat (230-270) TP (165-180)
60 et +
497
collectives du Bâtiment et des Travaux Publics
Qualifiés
Peu qualifiés
Bat (150-170) TP (100-110)
Répartition des ouvriers par
qualification selon les conventions
850
3 178
55/59
1 342
60 et +
356
1 975
55/59
50/54
1 870
50/54
4 168
50/54
2 641
45/49
1 983
45/49
4 184
45/49
2 407
40/44
2 494
35/39
2 430
7 297
- de 25
3 771
25/29
5 413
25/29
5 797
30/34
4 963
30/34
6 323
35/39
3 888
35/39
4 970
40/44
2 774
40/44
2 624
- de 25
1 540
30/34
25/29
- de 25
Groupes métiers ouvriers
Peu
qualifiés
Qualifiés
Très
qualifiés
% Qual et
Très Qual
Carrelage
Menuiserie
Charpente bois
Couverture
Plomberie
Chauffage
Peinture
Plâtrerie
Métallerie
Électricité
Conduite d’engins et mécanique
40%
43%
39%
44%
39%
37%
32%
38%
44%
38%
28%
36%
20%
40%
39%
43%
41%
39%
41%
40%
43%
36%
42%
49%
52%
66%
20%
17%
18%
15%
22%
22%
29%
19%
20%
20%
23%
11%
14%
60%
57%
61%
56%
61%
63%
68%
62%
56%
62%
72%
64%
80%
Total ouvriers
38%
44%
18%
62%
640
202
02/01
La part des ouvriers Très Qualifiés ou Qualifiés dans le total des ouvriers du BTP
en Rhône-Alpes reste stable et inférieure à la moyenne nationale.
2004
INTERIMAIRES
Le nombre d’intérimaires
11.
Emplois intérimaires
10 966 intérimaires
en équivalent temps plein (ETP) dans
une entreprise du BTP (1)
BTP en 2002
10% du BTP national
Source : DARES (Direction de l’Animation de la
Recherche, des Etudes et des Statistiques du
Ministère de l’Emploi et de la Solidarité)
Emplois intérimaires BTP en équivalent Temps Plein
2ème trim 03
1er trim 03
4ème trim 02
3ème trim 02
1er trim 02
2ème trim 02
4ème trim 01
3ème trim 01
1er trim 01
2ème trim 01
4ème trim 00
3ème trim 00
1er trim 00
2ème trim 00
4ème trim 99
3ème trim 99
2ème trim 99
1er trim 99
4ème trim 98
3ème trim 98
2ème trim 98
000
000
000
000
000
000
000
000
0
1er trim 98
16
14
12
10
8
6
4
2
(1) l’Equivalent Temps Plein est calculé en rapportant le volume de travail en semaines effectué par les intérimaires au
volume de travail en semaines effectué par une personne à temps plein dans la construction
Emplois intérimaires BTP - Nombre de contrats conclus
60 000
50 000
40 000
30 000
20 000
10 000
1998
1999
2000
2001
2002
2002/
2001
Equivalent
Temps Plein
9 055
10 839
12 286
11 476
10 966
-4,4%
Contrats conclus
35 883
43 233
45 010
42 129
40 216
-4,5%
Emplois
intérimaires
2ème trim 03
1er trim 03
4ème trim 02
3ème trim 02
2ème trim 02
1er trim 02
4ème trim 01
3ème trim 01
2ème trim 01
1er trim 01
4ème trim 00
3ème trim 00
2ème trim 00
1er trim 00
4ème trim 99
3ème trim 99
2ème trim 99
1er trim 99
4ème trim 98
3ème trim 98
2ème trim 98
1er trim 98
0
2003
Après une forte croissance sur la période 1995-2000, l’emploi intérimaire recule pour
la deuxième année consécutive. En 2002, l’emploi intérimaire BTP représentait
l’équivalent d’un peu moins de 11 000 emplois temps plein, pour un peu plus de
40 000 contrats conclus.
2004
DEMANDEURS D’EMPLOI
12.
Les demandeurs d’emploi
Demandeurs d’Emploi en Fin de
Mois pour un métier du Bâtiment et des
14 805 demandeurs
d’emploi en fin de mois*
à fin décembre 2002
Travaux Publics (catégorie 1 : demandeur
d’emploi à durée indéterminée et à temps plein)
Source : DRTEFP Rhône-Alpes (Direction Régionale du
Travail, de l’Emploi et de la Formation Professionnelle) –
ROME (par métier demandé)
Evolution du nombre de demandeurs
d’emploi ouvriers du BTP par secteur
Evolution du nombre de
demandeurs d’emploi BTP*
30 000
12 000
25 000
10 000
20 000
8 000
15 000
6 000
10 000
4 000
* Il s’agit du nombre de demandeurs d’emploi ayant exercé
une activité dans le secteur BTP (fichier déclaratif)
Métiers demandés
Menuiserie
Charpente bois
Couverture
Plomberie chauffage
Plâtrerie
Métallerie
Electricité
Peinture, vitrerie et
revêtements
Travaux Publics
Total ouvriers
- 25
ans
388
116
43
33
290
105
39
335
2002
2001
2000
1999
1998
1997
sept-03
mars-03
sept-02
mars-02
sept-01
mars-01
sept-00
mars-00
sept-99
mars-99
sept-98
mars-98
sept-97
0
mars-97
0
2003*
2 000
5 000
* Estimation CERA
Gros œuvre
Travaux Publics
Second œuvre
Total
2 698
486
160
231
889
575
220
1 112
439
2 397
542
2 330
2 734
11 502
2003
ETAM + IAC
ETAM
IAC
Total ETAM+IAC
- 25
ans
141
50
191
Total
964
729
1 693
Le nombre de demandeurs d’emploi dans le BTP a augmenté de 5.6% sur un an (à fin
septembre). Cette augmentation concerne principalement les demandes d’emploi dans
le second œuvre.
2004
FORMATION INITIALE
13.
La formation initiale : effectif en formation
Effectif total en formation
dans
les lycées et CFA, pour les diplômes préparant
à une spécialité du Bâtiment et des Travaux
Publics, par la voie scolaire ou l’apprentissage
15 055 en 2002/2003
9% du BTP national
Sources : Rectorats, CCCA-BTP (Comité Central de
Coordination de l’Apprentissage du BTP)
Apprentissage
15 500
Voie scolaire
Total
15 055
14 185
13 500
11 500
9 199
8 250
9 500
7 500
5 500
4 986
6 805
3 500
1997
Groupes
spécialités
Maçonnerie &
Connexes
1998
1999
2000
2001
2002
2003
CAP
BEP
MC
BP
Bac
Pro
BT
BTS
Total
785
239
5
133
101
-
166
1 429
+8
Menuiserie
942
962
-
258
260
114
83
2 619
+4
Charpente bois
266
91
-
78
-
-
-
435
+10
Couverture
78
-
17
3
-
-
-
98
-19
Plomberie
810
108
-
13
-
-
-
931
-2
Chauffage
423
674
19
144
439
-
124
1 823
+5
Peinture, vitrerie
et revêtements
551
182
-
82
47
-
18
880
+8
Carrelage
244
24
-
42
-
-
-
310
+10
Plâtrerie
279
55
12
-
-
-
-
346
-9
Métallerie
656
263
-
61
59
-
66
1 105
-1
Électricité
730
1 839
-
162
611
-
171
3 513
-1
Travaux Publics
63
32
-
-
44
-
55
194
+5
377
183
-
40
69
-
-
669
+8
5
310
-
-
86
177
125
703
-10
6 209
4 962
53
1 016
1 716
291
808
15 055
+2
Conduite et
mécanique
Etudes et
encadrement
Toutes
spécialités
02/01
Les effectifs formés aux spécialités du BTP augmentent pour la deuxième année consécutive
(+1,8%).
Les effectifs en apprentissage progressent toujours : +21% en 5 ans.
Les effectifs en voie scolaire sont stables.
2004
FORMATION INITIALE
14.
La formation initiale : résultats aux examens
74%
Taux de réussite aux examens
en 2002
pour les diplômes préparant à une spécialité du
Bâtiment et des Travaux Publics, par la voie
scolaire ou l’apprentissage dans les lycées et CFA
71% au niveau national
Sources : Rectorats, CCCA-BTP (Comité Central de
Coordination de l’Apprentissage du BTP)
83,5%
85%
80%
2002
78,5%
75%
72,1%
70%
65%
1996
1997
1998
Niveau V
1999
2000
Niveau IV
2001
2002
Niveau III
Menuiserie
Charpente bois
Couverture
Plomberie
Chauffage
Peinture, vitrerie et
revêtements
Carrelage
Plâtrerie
Métallerie
Électricité
Travaux Publics
81,6
76,5
69,7
75
66,1
81,2
70,1
79,4
80,5
56,9
71,6
75
76,5
69,2
78,4
58,8
45,5
100
73,5
Bac
Pro
74,4
78,3
84
57,9
64,8
-
65,5
86,5
55,6
73,9
72,6
88,9
42,9
46,2
61,4
70,3
87,5
61,5
-
83,9
75
Etudes encadrement
25
Toutes spécialités
73,1
Groupes spécialités
CAP
BEP
MC
BP
BT
BTS
Total
66,7
-
78,2
73,5
88,5
77,9
75,7
69,2
75,4
65,3
78,2
88,9
-
100
62,5
78,6
96
85,5
-
73,1
82,1
96,2
-
86,2
75,6
92,6
82,7
54,6
73,1
73,8
92
-
91,7
79,5
-
-
80,9
65,9
-
-
61,4
89
93
73,4
71,0
70,6
73,1
80,7
80,8
83,5
74
Unité : %
Le taux de réussite global est d’un excellent niveau.
La progression des résultats aux examens de niveau V est régulière depuis 4 ans.
02/
01
2004
FORMATION DES DEMANDEURS D’EMPLOI
15.
Les formations des demandeurs d’emploi
Personnes présentées
840 personnes sortant de
au Certificat de
Formation Professionnelle ou au Certificat de
Perfectionnement Professionnel pour des métiers
du BTP
l’AFPA en 2002
Source : AFPA (Association pour la Formation
Professionnelle des Adultes)
Métiers du BTP
789
51
Niveau IV
Niveau V
Niveau V
Niveau IV
Total
91
-
91
Menuiserie
66
-
66
Plomberie
6
-
6
Chauffage
110
10
120
Peinture, vitrerie et revêtements
167
-
167
Carrelage
121
-
121
Plâtrerie
61
-
61
Métallerie
22
-
22
Electricité
145
-
145
-
41
41
789
51
840
Etudes encadrement
Total
Les demandeurs d’emploi
formés dans les GRETA
et dans d’autres centres
de formation – formations
financées en partie par
la Région Rhône - Alpes
A titre d’exemple,
nombre de stagiaires,
demandeurs d’emploi en formation continue dans
les GRETA de l’académie de Lyon en 2002
Source : DAFCO de Lyon
GRETA - Académie de Lyon
Métiers du Bâtiment et Travaux Publics
Niveau III
2
Niveau IV
2
Niveau V
22
Tout niveau
10
Total
36
Les formations de l’AFPA sont essentiellement de niveau V. 840 personnes ont été
formées en Rhône-Alpes en 2002 par l’AFPA. Les formations aux métiers « Peinture,
vitrerie et revêtements » représentent près de 20% des effectifs.
Les formations effectuées par l’AFPA ne représentent qu’une partie de la formation
des demandeurs d’emploi. S’ajoutent les personnes formées par d’autres centres de
formation, dont les GRETA.
2004
FORMATION EN ALTERNANCE
16. La
formation en alternance
1 454 en 2002
651 jeunes dans les entreprises
de moins de 10 salariés
803
jeunes dans les entreprises
de 10 salariés et plus
Nombre de jeunes
embauchés dans
le cadre des contrats d’insertion en alternance
(contrats de qualification, d’adaptation et
d’orientation)
Sources : GFC-BTP (Groupement Professionnel paritaire
pour la Formation Continue dans le BTP) et FAF.SAB
(Fonds d’Assurance Formation des Salariés de
l’Artisanat du Bâtiment)
1 600
1 400
2003
1 200
1 000
800
600
400
200
0
1997
Orientation
Adaptation
Qualification
1998
1999
2000
2001
2002
Répartition du nombre de contrats par activité d’entreprises
Groupes spécialités
Menuiserie Charpente bois
Couverture
Construction métallique
Menuiserie bois et plastique
Menuiserie métallique
Electricité Bâtiment
Installations sanitaires
Chauffage et génie climatique
Plâtrerie
Peinture vitrerie - revêtements
Ouvrage d’art – Génie Civil
Terrassement
Routes
Canalisations
Electricité réseaux
Autres BTP
Total
Total
205
67
15
6
110
50
193
99
99
22
176
9
76
66
38
15
208
1 454
%
02/01
14.1
4.6
1.0
0.4
7.6
3.4
13.3
6.8
6.8
1.5
12.1
0.6
5.2
4.5
2.6
1.0
14.3
100
-31.2%
+13.6%
-77.3%
-70.0%
-28.6%
-21.9%
+21.4%
+25.3%
+17.9%
-63.9%
+30.4%
+12.5%
+1.3%
-21.4%
+18.8%
-55.9%
-38.8%
-17.0%
L’année 2002 est marquée par une baisse des contrats de qualification.
Cette baisse est moins importante dans le BTP que dans l’ensemble de l’économie.
Le nombre de contrats, en 2003, est en augmentation.
2004
FORMATION CONTINUE
17. La
formation continue des artisans et salariés
Nombre de stagiaires comptabilisés à partir des
formations réalisées dans le cadre du financement
FAFAB
ARTISANS
3 027 stagiaires dans le
Source : estimations à partir des données nationales du FAFAB (Fonds
d’Assurance Formation de l’Artisanat du Bâtiment)
BTP en 2002
2003
Formation
diplômante
6%
Culture générale
12%
Effectif
(1)
Nature
Technique
Gestion informatique
Culture générale
Formation diplômante
Total
Technique
54%
Gestion
28%
SALARIES
16 075
stagiaires en 2002
Dont
13 557 stagiaires dans les
entreprises de plus de 10 salariés
2 518 stagiaires dans les
entreprises de moins de 10 salariés
Total
1 622
29 024
859
858
189
17 405
6 438
10 445
3 027
63 311
(1) Nombre de stagiaires artisans, conjoint, auxiliaire
(2) Pour chaque stage (nombre de stagiaires x nombre d’heures)
Nombre de stagiaires comptabilisés à partir des dossiers
de stages suivis par les salariés en formation continue
(y compris les dirigeants d’entreprises ayant un statut de
salarié)
Sources : GFC-BTP (Groupement Professionnel paritaire pour la Formation
Continue dans le BTP) et FAF.SAB (Fonds d’Assurance Formation des
Salariés de l’Artisanat du Bâtiment)
Tendance
2003
2 615
3 021
16
19
4 580 597
2 689 121
28
16
Nombre
d’heures
de
formation*
72 158
34 662
3 456
21
4 495 086
27
86 616
26
2 400
4 165
418
15
26
3
3 204 936
1 152 117
520 795
19
7
3
53 187
13 521
69 858
16
4
21
16 075
100
16 642 652
100
330 002
100
Nombre
de
stagiaires
Techniques du BTP
Informatique
Administration, gestion,
conseil
Conduite
Sécurité
Enseignement général
Nombre
d’heures
(2)
%
Engagements
en euros
%
%
22
11
* Dans les entreprises de plus de 10 salariés
Les formations à la sécurité concernent le plus grand nombre de salariés.
Les formations aux techniques du BTP et à la gestion représentent les volumes
horaires et les montants d’engagements financiers les plus importants.
2004
18.
Les sortants de formation initiale
3 958 en 2003
Nombre de sortants de niveau V et IV formés à
un diplôme du BTP, par la voie scolaire ou l’apprentissage
en lycées et CFA, dans
12 groupes de métiers
Estimations à partir de sources Rectorat, CCCA-BTP, AFPA
141
CAP
Lecture : sur un effectif de 2 652 en année terminale
de CAP, 141 redoublent, 771 poursuivent vers CAP en
1 an, ou MC ou BP et 1 740 sortent vers la vie active
174
BEP
Effectif en année terminale : 6 487
CAP 2 652, en 1 an 290, MC 53,
BEP 2 228, BP 480, Bac Pro 784
CAP en 1 an
771
1 207
MC
11
28
BP
Bac Pro, BT
197
BTS
Bac Pro, BT, BTn
1 740
847
290
53
2 930 sortants
1 116 non diplômés / 1 814 diplômés V
469
559
1 028 sortants
220 diplômés V / 808 diplômés IV
Groupes spécialités Effectif Non diplômés Diplômés V Diplômés IV Total sortants
Maçonnerie & Co.
Carrelage
Menuiserie
Charpente bois
Couverture
Plomberie
Chauffage
Peinture
Plâtrerie
Métallerie
Électricité
mécanique
Total
565
139
1 152
204
66
449
874
390
178
481
1 619
51
88
15
163
35
5
118
99
101
48
106
289
6
225
72
358
65
52
142
250
124
94
179
338
17
75
18
160
20
1
5
170
41
0
36
225
12
388
105
681
120
58
265
519
266
142
321
852
35
319
43
118
45
206
6 487
1 116
2 034
808
3 958
Sur 6 487 jeunes en année terminale de formation initiale, le flux de sortants
(compte-tenu des poursuites d’études) est de l’ordre de 3 960 dont 2 850 diplômés.
2004
Les sorties de jeunes diplômés vers la vie active
19.
Nombre de jeunes diplômés
(diplôme
ou titre homologué) de niveau V et IV sortants
annuellement de formation initiale, de l’alternance
ou de formation de demandeurs d’emploi de moins
3 132 actuelles
à 4 744 optimisées
de
de 25 ans, dans
BTP
12 groupes de métiers
du
Estimations à partir de sources Rectorat, CCCA-BTP, AFPA
Sorties actuelles
Sorties de jeunes diplômés
Sorties optimisées
diplômés
V
diplômés
IV
diplômés
V
diplômés
IV
Maçonnerie & connexes
270
82
393
125
Carrelage
107
18
146
38
Menuiserie
385
178
541
233
Charpente bois
88
30
143
61
Couverture
63
3
88
10
Plomberie
144
5
242
6
Chauffage
266
171
369
225
Peinture
166
43
298
73
Plâtrerie
99
0
194
0
Métallerie
184
36
334
66
Electricité
366
233
604
310
20
12
43
20
118
45
132
50
Total
2 276
856
3 527
1 217
Sorties actuelles :
sortants de formation initiale (indicateur 18)
+ sortants diplômés par l’alternance
(indicateur 16, en partie)
+ demandeurs d’emploi obtenant un CFP
ou CPP* (indicateur 15, en partie)
Sorties optimisées :
même définition que ci-contre mais avec un
fonctionnement théorique optimal de l’appareil
de formation (remplissage des capacités d’accueil
et 80% de réussite à l’examen au minimum).
*titres homologués du Ministère du Travail
Les sorties de diplômés vers la vie active (de 3 130 actuelles à 4 740 optimisées) sont
à rapprocher du besoin de renouvellement d’environ 7 110 jeunes ouvriers
qualifiés et très qualifiés, pour l’ensemble des 12 groupes de métiers BTP.
2004
Le flux d’entrants et le besoin de renouvellement
20.
Ouvriers
n’ayant eu, préalablement à
cette entrée, aucune activité dans le secteur
23 515 recrutements
d’ouvriers dans le BTP en 2002
dont 13 471 entrants pour
la première fois (57%)
25 ans et +
5 951
13 471
- de 25 ans
Groupes métiers ouvriers
- de 25 ans
25 ans et +
Total
2001
2002/2001
1 619
1 333
2 952
3 321
-11,1%
Carrelage
168
127
295
321
-8,1%
Menuiserie
605
320
925
1 048
-11,7%
Charpente
401
212
613
678
-9,6%
Couverture
193
144
337
336
+0,3%
Plomberie
371
201
572
674
-15,1%
Chauffage
239
174
413
453
-8,8%
Peinture
607
584
1 191
1 317
-9,6%
Plâtrerie
270
212
482
473
+1,9%
Métallerie
350
257
607
657
-7,6%
Electricité
730
426
1 156
1 312
-11,9%
mécanique
Divers
406
406
812
897
-9,5%
188
260
448
460
-2,6%
1 373
1 295
2 668
2 753
-3,1%
7 520
5 951
13 471
14 700
-8,4%
Total ouvriers
7 106 jeunes
Ouvriers qualifiés
nécessaires
dans le BTP par an
7 520
Ouvriers
qualifiés et très qualifiés de moins de 25 ans, à
recruter chaque année pour satisfaire les besoins théoriques
de renouvellement à l’horizon 2005
Sources : CERA, CCCA-BTP
Groupes métiers
Qualifiés
Très
Qualifiés
Qualifiés et très
Qualifiés
Besoin annuel de
recrutement basé sur :
Maçonnerie et carrelage
2 269
570
2 839
Menuiserie
391
66
457
Une croissance
économique modérée à
l’horizon 2005, 1,5%
par an pour le
Bâtiment, 1% pour les
Travaux Publics
Charpente bois

Le renforcement du
poids des jeunes et des
qualifiés dans l’emploi
ouvrier
177
29
206
Couverture
93
14
107
Plomberie
215
71
286
Chauffage
185
55
240
Peinture
820
88
908
Plâtrerie
254
30
284
Métallerie
297
97
394
Electricité
454
337
791
406
406
188
188
Total
7 106 Qualifiés et Très Qualifiés
2004
21.
La place des jeunes et des qualifiés
Besoin en recrutement de jeunes
Qualifiés et Très qualifiés :
La place des jeunes et des qualifiés et la
couverture des besoins de
renouvellement.
Scénario avec appareil de formation
optimisé (remplissage des capacités
d’accueil et 80% de réussite aux
examens)
7 106
Sortie de jeunes diplômés vers la vie
active :
4 744
Plus de qualifiés
Légende
Le besoin est
couvert
Chauffage
Le
besoin
n’est
pas
couvert
Besoin
Diplômés
1
Peu de jeunes, mais
importante qualification
Electricité
2
Importance des jeunes
et de la qualification
Plomberie
Peinture
Maçonnerie
et carrelage
Couverture
Métallerie
8%
12%
% de moins
20% de 25 ans
16%
Menuiserie
Plâtrerie
VRD et
canalisateurs
4
3
Importance des jeunes
mais faible qualification
Peu de jeunes et
faible qualification
Charpente
Moins de qualifiés
Si au plan régional l’appareil de formation apparaît globalement sous-dimensionné,
la cause en est due principalement aux métiers déficitaires en jeunes : maçonnerie et
carrelage, peinture, ouvriers VRD et canalisateurs, plâtrerie.
Tableau de Bord Emploi-Formation du BTP en Rhône-Alpes élaboré avec le concours d’entreprises
de BTP et des membres de l’Observatoire de l’Emploi et de la Formation dans le BTP :
• La Fédération Française du Bâtiment
Région Rhône-Alpes - Tél : 04-72-44-45-20
Contacts : J.L. COURBON – F. GIANORDOLI – P. GABE
Site web : www.rhone-alpes.ffbatiment.fr
ERL-GDA de RHONE-ALPES
• L’Echelon Régional de Liaison des Groupements
Départementaux d’Apprentissage de Rhône-Alpes
(ERL-GDA) - Tél : 04-72-44-45-20
Contact : H. ESPAIGNET
• La Fédération Régionale des Travaux
Publics Rhône-Alpes - Tél : 04-72-44-45-20
Contacts : J.L. COURBON – D. BRICAUD
Site web : www.frtp.org/rhonealpes/
• La Fédération Rhône-Alpes Auvergne des
Sociétés Coopératives de Production du BTP
(SCOP BTP Rhône-Alpes) - Tél : 04-78-53-08-06
Contact : B. RECORBET
Site web : www.raa.scopbtp.org
• La Confédération de l’Artisanat et des Petites
Entreprises du Bâtiment Rhône-Alpes
(CAPEB Rhône-Alpes) - Tél : 04-72-85-06-66
Contacts : C. CHAPUIS – H. TERRASSE
Site web : www.capeb.fr
• L’Association Régionale pour le Développement de la
Formation Continue dans le BTP
(AREF BTP Rhône-Alpes) - Tél : 04-78-89-96-10
Contact : M. SANTOS
Site web : www.aref-rhonealpes.com
La rédaction et la mise en forme du document ont été réalisées par :
• La Cellule Economique Rhône-Alpes
Tél : 04-72-61-06-30
Contacts : L. HERBEAUX – A. LABORIER – C. ALLEGRE
Site web : www.cellule-eco-rhone-alpes.asso.fr
CCCA-BTP
• Le Service d’Etudes du Comité Central de Coordination de
l’Apprentissage du BTP (CCCA-BTP) Tél : 01-40-64-26-00
Contacts : J. VUTHAN – W. SALZE - Site web : www.ccca-btp.fr