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BREAKING NEWS
1ER SEMESTRE 2014
JEWLY
À BOUT
PORTANT
N'essayez pas de résister, le combat est perdu d'avance !
Jewly vise juste et quand elle fait feu, elle fait mouche et, à bout portant,
atteint sa cible : vous rallier à sa cause. Les jeux sont faits,
n'en doutez pas, parce que ses arguments sont multiples :
Tout d'abord ses armes.
Elles ont été forgées dans le plus précieux des métaux,
ce Rock'n'Roll américain, celui des rebelles qui se frayaient,
guitares à la main, un chemin vers la liberté d'être,
celui né dans les champs de coton dans lesquels les esclaves noirs
chantaient pour survivre, celui, qui en passant par l'Angleterre
des Rolling Stones, s'est gorgé d'universalité.
Mais Jewly ne peut se contenter de ces racines, aussi nourricières soient-elles.
Elle est chanteuse du 21e siècle et aborde les sujets de son époque, de sa condition.
Vectrice de ses colères, de ses amours, de ses peurs, de ses erreurs et de ses espoirs,
sa voix, marinée dans un velours éraillé, dans une poussière soyeuse,
dans une féroce douceur, vous racontera sa vie, celle de ses contemporains.
Et vous finirez par chanter avec elle, parce que Jewly est contagieuse
quand elle dépose à vos pieds l'offrande de son talent.
Sa présence, ensuite.
Sur les scènes de France, d'outre Navarre, des USA où elle croisa Rover,
Florent Pagny, Axelle Red, Manu Lanvin…, elle porte toujours sa cartouchière
de femme reptile ondulante, sa cartouchière de sensualité électrique,
sa cartouchière de bête de scène. Habiter une scène, savoir la dévaler pieds nus,
la caresser de sa présence, n'est pas donné à tout le monde.
Jewly fait partie des artistes à avoir cette capacité là.
«Bang Bang Bang» enfin.
Le deuxième opus de Jewly a été réalisé par un ancien Trust, la basse y est jouée
par un anglais au pedigree tout droit issu du who's who du Rock international,
ses fidèles guitariste et batteur ont largement dépassé les frontières de l'excellent.
Ce joyau brut a du coffre, de l'âme, de l'ampleur et délivre une salve de chansons coups
de poing qui vous tatoueront l'âme de bonheur.
Marc Lehmann
Jewly, quel que soit l'angle d'attaque, vous bousculera, vous remuera, vous charmera,
vous convaincra. Avec un sourire en prime, avec un clin d'œil en bonus, mais à bout portant,
cette artiste totale sait vous ôter toute velléité de résistance.
N'essayez pas, le combat est perdu d'avance, vous succomberez, heureux, à Jewly !
JEWLY-BREAKING NEWS
2 # N°7 - 1er semestre 2014
INTERVIEW
BIOGRAPHIE
SUR LA ROUTE
JEWLY EN
QUELQUES
DATES
BRÈVES
Tournées dans toute la France (Alsace,
Bretagne, Corse, Rhône-Alpes...)
jusqu’à La Réunion (mars 2013)
et en Allemagne, avec notamment un Live
sur La Matinale de Réunion 1ère, radio
à La Réunion (mars 2013), concerts
à la Cathédrale et au Parlement Européen
de Strasbourg (mai 2013), en Saxe-Anhalt
en Allemagne pour la Fête de la Musique,
ouverture du Festival Automobile
de Mulhouse (juillet 2013), Les Lundis
du Crouesty à Arzon (août 2013), le Festival
Padul'ella à Moriani en Corse (août 2013)…
Novembre 2012
Élue «Meilleure Chanteuse Espoir» au
Music Alive Trophy (concours récompensant
les différents acteurs de la vie culturelle
du grand Est de la France).
Eté 2012
Tournées aux États-Unis
(New-York - Philadelphie - Ardmore
- Phoenixville) et en Corse.
2012
Tournées à travers toute la France,
l’Allemagne et la Suisse et multiplie
les dates de concert : notamment les Bains
municipaux de Strasbourg (mai 2012),
le Caf’Conc d’Ensisheim (juin 2012),
Scène NRJ de la Fête de la Musique
à Strasbourg, Le 114 à Paris et 1ère partie
de Rover (Festival FNAC Live) (juillet 2012),
Foire Européenne de Strasbourg (septembre
2012), le Casino de Bâle en Suisse
(novembre 2012)…
2011
Tournées au Canada (Toronto - mai 2011),
en France jusqu’à La Réunion (octobre
2011), en Allemagne. Fait la 1ère partie
d’Axelle Red (juin 2011) et se produit
dans diverses salles et festivals notamment
sur les scènes du Enghien Jazz Festival
et du Sunset-Sunside à Paris (juillet 2011).
Sort son deuxième album «No Shoes»,
un EP 5 titres où elle groove sur les
couleurs du rock’n’blues et du funk.
2010
Se produit sur plusieurs scènes et fait
la 1ère partie de Florent Pagny au Festival
de Champagne à Troyes (juin 2010).
Septembre 2009
Jewly ambassadrice de l’Alsace, de
l’Allemagne et de la Suisse au Canada
Tournée aux USA
«C’était d’enfer, c’est la deuxième fois que je vois des Français qui déchirent comme ça !» Rob
du Local 269 – Manhattan. «Je ne savais pas que les Français savaient jouer du rock et du
blues comme ça !» Steve du Goodbye Blue Monday – Brooklyn. «Quelle présence scénique !»
Spectateurs des six lieux.
Ces trois commentaires unanimes et récurrents reflètent parfaitement la tournée «USA Summer
2012». Trois concerts à New-York, un à Philadelphie, un à Ardmore et un à Phoenixville où les
frenchies ont carrément mis le feu !
2009
Invitée à chanter au Canada lors de l’Expo
Québec pour représenter sa région, l’Alsace,
mais aussi la France.
2007
Accompagnée par l’UNICEF, elle est invitée
par le gouvernement roumain à chanter
dans les orphelinats.
2006
Enregistre son premier CD single «Terre
Permise», vendu au profit de l’UNICEF.
2005
Organise un concert au profit de l’ONG.
Apprend la guitare pour s’accompagner
au chant et écrit ses premières chansons.
1988 – 1996
Apprend le violon et en jouera jusqu’à l'âge
de 15 ans. Elle chante sur sa première
scène alors qu’elle n’a pas encore 10 ans.
LE 114 en partenariat
avec le Festival FNAC Live :
Jewly et Rover
En juillet 2012, Jewly a la chance de partager le plateau avec Rover dans le fameux club de la
rue Oberkampf : Le 114 by Puma Social. Une ambiance chaude et rock qui boostera l’équipe à
2 jours du départ pour les Etats-Unis.
1987 – 1988
Commence son parcours musical
par l’apprentissage de l’alto.
17/07/1981
Naissance en Alsace.
Jewly au
Sunset-Sunside
à Paris
Alors que Jewly fait la 1ère partie d’Axelle Red, un
professionnel de la musique travaillant à La Réunion, de passage à Strasbourg, est charmé par
la jeune chanteuse. Il décide de lui organiser une
tournée à La Réunion en automne 2011. Jewly
est à nouveau invitée en mars 2013. Concerts
sur des scènes paradisiaques devant un public
qui l’est tout autant. Des musiciens réunionnais
montent sur scène et les concerts se transforment vite en un véritable bœuf musical ; Jah
Pinpin, l’excellent saxophoniste de Jean-Jacques
Goldman et de F.F.F., entre autres, viendra rejoindre Jewly lors de deux concerts. Jewly fera
également un «featuring» avec le groupe DZORD
durant le Festival Kaloo Bang. Lors de son Live
sur La Matinale de Réunion 1ère, radio à La Réunion, elle rencontre Françoise Guimbert, la mère
du Maloya, qui lui fait la surprise de revenir à
l'un de ses concerts pour lui chanter une chanson spécialement composée pour la «rockeuse
Jewly», comme elle l'a surnommée.
C’est à Troyes que Jewly rencontre le
public de Florent Pagny lors des Foires de
Champagne. 3 500 personnes qui l’embarquent dans une belle aventure. Avant
de monter sur scène : beaucoup de trac,
à la sortie : «je veux y retourner !». Beau
succès pour l’artiste qui a reçu un accueil
plus que chaleureux du public, une foule
communicative, réceptive et applaudissant de plus en plus fort.
Enghien
Jazz Festival
Emmanuel Hoff
En juillet 2011, Jewly a la belle opportunité de jouer au Sunset-Sunside à Paris,
un club mythique encore imprégné de
l’essence des plus grands musiciens de
la planète.
Virginie Faucher
Tournées
en Corse
Après une première tournée en septembre 2012,
l'île fait rapidement revenir Jewly. En été 2013,
elle est programmée au Festival Padul'ella à
Moriani et va sillonner les routes de Corse. Elle
retrouve entre autres le Dusty Rose Saloon, avec
son ambiance américaine et ses Harley-Davidson, pour 2h de concert. Ces tournées donnent
lieu à un véritable coup de foudre de Jewly pour
l’île et ses habitants… et vice versa.
Mina Moutski
En mai 2013 lors de la Nuit des Cathédrales,
Jewly a la joie d'interpréter 3 de ses titres dans
ce lieu mythique et grandiose. Une prestation
pour le moins originale car accompagnée de la
conception d'un lustre géant en chocolat par le
célèbre chocolatier Thierry Mulhaupt.
Le Enghien Jazz Festival, dont la réputation
n’est plus à faire, accueille Jewly en juillet
2011. Petite anecdote : Raph prête sa batterie
cocktail à Lee Finkelstein, batteur des Blues
Brothers, intrigué par l’instrument. Ce dernier
vient partager quelques instants de musique
pendant la balance de Jewly. Le plaisir de
l’atmosphère des festivals !
Jewly et l’UNICEF
Sensible depuis toujours à la cause des enfants, la chanteuse s’engage très vite auprès
de l'UNICEF. Après un single vendu au profit de
l'ONG en 2007 puis, à l’invitation du gouvernement roumain, un voyage en Roumanie avec
une délégation de l’UNICEF pour aller chanter
dans les orphelinats, elle continue de mener
son action pour faire entendre les besoins et
droits des enfants.
1ère partie
d’Axelle Red
Cathédrale
de Strasbourg
Virginie Faucher
Tournées
à La Réunion
1ère partie de
Florent Pagny
2002
1997
Hervé Koster, FR
Réalisateur
Réf : Batteur de Trust, Cock Robin,
Yannick Noah, Louis Bertignac,
Johnny Hallyday…
Raph Schuler, FR
Batterie
Le projet Upper Rhine Valley présente aux canadiens les attraits touristiques et culturels de la région
trinationale partagée entre l’Allemagne, la Suisse et la France. L’artiste, dont la palette musicale
transcende les styles et les nations, est choisie pour porter les couleurs de ces 3 régions. Après une
première escapade au Canada en 2008 pour représenter l’Alsace et la France lors de l’expo Québec,
c’est à Toronto que Jewly pose ses valises en mai 2011.
Sortie de son premier album
«Behind the Line».
Premiers concerts de jazz, en parallèle
de ses études.
Jewly, FR
Phil Spalding, UK
Basse
Réf : Mick Jagger, Seal,
Elton John, Robbie Williams,
Randy Crawford…
Retour aux sources et bel «hasard» pour
Jewly en juin 2011 : elle a la joie de faire
la 1ère partie d’Axelle Red à Strasbourg,
sur la scène Têtes d’Affiche de la Fête de
la Musique. Environ 6 000 personnes, à
vue d’œil et un accueil du public émouvant pour l’artiste : «Je me suis sentie
comme chez moi, avec plein d’amis… Et
avant une artiste généreuse, soutenant
l’UNICEF… Un moment gravé dans ma
mémoire et riche en émotions.»
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Ils sont cinq. Talentueux, professionnels, tendres, drôles et très différents les uns des autres, ils ont accompagné, soutenu et
guidé Jewly dans la construction de l'univers musical brut et sensible de «Bang Bang Bang». Ils sont ses hommes
de notes, ses Tontons Flingueurs, ses «dark angels», ils s'appellent Hervé Koster, Phil Spalding, Raph Schuler, Sylvain
Troesch et Steven Forward. Ils cumulent 200 ans de musique, envoient des tonnes d'énergie et adorent faire rire les filles.
Je les ai interviewés, quelques jours après le mastering à Londres. Ils ont répondu avec la sincérité des grands pros…
Et m'ont fait rire, avec le talent des vrais mecs.
Mina Moutski : Quels ont été vos rôles respectifs
au sein de l'équipe, sur l'album ?
Hervé Koster : Réalisateur de l'album et des arrangements.
J'ai beaucoup travaillé avec Jewly en amont des enregistrements. Il y avait du potentiel mais aussi du boulot pour
arriver là où nous sommes aujourd'hui. C'est moi également
qui ai constitué l'équipe qui a travaillé sur le disque. Puis j'ai
choisi les lieux d'enregistrement et la manière d'enregistrer.
Phil Spalding : Bassiste. J'ai aussi travaillé sur les arrangements. Comme j'ai pas mal de vécu et d'expérience en
studio, j'ai souhaité que cela facilite le travail et crée du lien
entre nous. J'ai donc essayé de partager au maximum pour
guider les autres.
Raph Schuler : Batteur. Et fournisseur de blagues à deux
balles. Grâce à moi nous étions à l'heure le matin. J'ai
été la Maman de l'équipe… Pourquoi vous rigolez ? Plus
sérieusement, c'est moi qui ai mis Jewly et Hervé Koster en
contact et je pense que c'était une bonne idée.
Sylvain Troesch : Guitariste. Pour cet album, je pense que
j'ai eu un rôle de déclencheur d'idées musicales.
Steven Forward : Ingénieur son. J'ai assuré l'enregistrement et le mix de l'album, j'ai également participé aux
arrangements et au mastering. Ça fait 37 ans que je suis
dans le métier, Hervé m'a demandé de travailler avec lui sur
ce projet. Je l'ai mis en contact avec Phil, ça me semblait
évident. Je les connais bien, ils sont mes amis tous les deux.
P.S. : La musique, c'était évident qu'on y arriverait. Mais
nous avons vécu des moments profonds de partage que je
n'oublierai pas. Et ça, ce n'est jamais gagné d'avance. J'ai
trouvé des amis, des gens en qui je peux avoir confiance.
Comme une sœur ou des frères.
M.M. : Si l'album était une ville, laquelle serait-il ?
R.S. : New-York. Pour l'énergie et le bordel organisé. Il y a
plein de choses, mais tout s'emboite et c'est spontané. Il y
a de la magie, on n'a pas le temps de s'ennuyer et ça ne
s'arrête jamais.
P.S. : Moi, je trouve que l'album de Jewly ressemble à
Berlin. Il a un son métissé. Il est le résultat de différentes
influences… Françaises, Anglaises. Comme cette ville. Et
cela donne un côté underground à l'album, comme à Berlin.
S.F. : Je dirais plutôt Hambourg. Il y a de l'agressivité, de
l'énergie, mais aussi de la noirceur, des boites, l'industrie du
sexe, la prostitution. Un côté abusif, violent. Un peu comme
Liverpool aussi.
M.M. : Si l'album était une couleur, laquelle serait-il ?
S.T. : Bordeaux. Parce que Bourgogne et Côtes du Rhône
ne sont pas des couleurs. Et bien sûr le bleu, pour les influences blues. (Hervé Koster approuve le bleu d'un mouvement de tête)
S.F. : Rouge ou noir. Pour les mêmes raisons qui m'ont fait
choisir Hambourg.
«Nous avons vécu des moments profonds
de partage que je n'oublierai pas.
Et ça, ce n'est jamais gagné d'avance.»
M.M. : Quel est votre meilleur souvenir sur cet album ?
Brouhaha… Ils répondent tous en même temps, puis s'accordent à dire qu'il est difficile d'isoler un événement en
particulier parce que l'album a été une expérience humaine
incroyable. Il a été enregistré rapidement, presque dans
l'urgence, en quatre jours. La dynamique s'est donc mise en
place sans hésitation.
S.F. : Dans ce type de situation, tu acceptes les contraintes,
tu cherches les conditions et les personnes qui seront les
mieux adaptées au contexte et tu y vas.
S.T. : Et ça a marché. Dès le premier soir, on a tous été potes.
En confiance. C'est ce qui a donné son énergie à l'album.
P.S. : J'insisterais sur le rouge, parce que c'est la force.
La force d'avancer, de conquérir. La force de gagner des
batailles.
M.M. : Si l'album était un aliment ?
P.S. : Ce serait de la viande. Parce que c'est la nourriture
des soldats.
S.F. : Des sushis ou des sashimis. Un truc qui file droit, qui
est honnête et simple. Japonais.
R.S. : Un bonbon acidulé. Tu le mets en bouche et ça te
défonce la gueule. Ou un piment, un truc qui t'arrache la
tronche.
M.M. : Si l'album était un objet ?
P.S. : Il serait une voiture qui roule vite. C'est toujours cette
même idée de force pour avancer.
R.S. : Une machette... Ou plutôt, un gourdin avec des pointes
au bout. Ou un objet qui fait du bien et du mal en même temps.
«Elle a une
puissance
de travail et de
schizophrénie tout
à fait bluffante.»
H.K. : Un vrai disque physique qui s'écoute de A jusqu'à
Z, pas un truc qui se télécharge par morceaux. La majeure
partie du boulot a porté sur la cohérence. Et on a bossé,
de manière super agréable pour tout le monde, sans aucun
soucis d'ego. Jewly a su se poser les bonnes questions, tout
le monde a été très ouvert et c'est pour ça qu'on en est
arrivé là. Le but principal a été atteint. Oui… Si c'était un
objet, ce serait un disque. Un tout.
M.M. : Quelle est selon vous la particularité de cet album ?
S.F. : Il est le reflet des caractères des individus qui jouent
dessus. Il est un mélange de personnalités. Et il y a Jewly.
Elle est forte et ne tombe pas dans les pièges du rock français. Elle sait garder sa sincérité et sa simplicité.
S.T. : Pour moi, c'est évidemment du rock. Brut de décoffrage. Nous avons fait une musique très spontanée qui tient
du premier geste, du premier cri. C'est sans doute lié au fait
que nous avions quatre jours pour enregistrer dix morceaux.
H.K. : Je suis d'accord avec Steven, c'est une photo de Jewly,
du groupe aujourd'hui et je pense qu'elle est fidèle. Je suis
content de ça. J'ai l'impression que tout le monde a sorti ses
tripes. Les uns ont étonné les autres et chacun s'est étonné
soi-même. C'est différent peut-être de ce qu'ils avaient imaginé. Mais c'est ça un album, le résultat d'un travail énorme.
M.M. : Que retirez-vous, à titre personnel de cette
expérience ?
R.S. : Une grande fierté. On n'a pas particulièrement cherché à faire ça. C'est la symbiose entre nous qui nous a
conduits, naturellement à ce résultat. Parce que nous étions
tous dans le même état d'esprit.
Marc Lehmann
2013
Février 2011
Steven Forward, UK
Ingénieur son/Mix
Réf : Ray Charles & Dee Dee Bridgewater,
Depeche Mode, Stevie Wonder,
Paul Mc Cartney, Chris Rea,
Jimmy Page, Axel Bauer,
Johnny Hallyday…
Raph Schuler
Sortie de son prochain album
«Bang Bang Bang».
Sylvain Troesch, FR
Guitare
Sébastien Riotto
2014
JEWLY-BREAKING NEWS # 3
N°7 - 1er semestre 2014
S.T. : C'est une expérience qui stimule mon questionnement.
Petit à petit, je vais digérer et mettre en pratique. J'ai appris
énormément sur ce qu'est le son anglais. Sur la manière de
jouer. Phil nous a emmenés vers des choses qu'on ne sait
pas vraiment faire en France.
H.K. : On a eu le supplément d'âme qu'il fallait pour réussir.
Le choix des gens était primordial. Je suis ravi que Steven et
Phil aient accepté de participer au projet. Ça a filé la patate
à tout le monde et tu donnes forcément le meilleur de toimême dans ces conditions-là. C'est purement humain. Une
histoire de transmission qui s'est faite. On a mis le doigt sur
ce qui est pour moi la musique telle qu'elle doit l'être.
M.M. : Votre message à Jewly ?
H.K. : Elle a une puissance de travail et de schizophrénie
tout à fait bluffante. Elle m'impressionne parce qu'être artiste, ce n'est pas juste chanter et faire la maline sur scène.
Dans l'ombre, elle bosse pour que tout soit réglo, elle ne
laisse rien passer. Et quand tu la mets derrière le micro, elle
ne s'occupe plus que de ça, elle oublie le reste. C'est une
capacité peu courante, qui fait sa force.
S.F. : Je suis d'accord avec Hervé. Mon message pour Jewly
est donc simple : démarre le suivant ! Continue à croire en
ce que tu fais et ça marchera, même si cela demande des
jours ou des années pour faire un bon album. Ne laisse jamais le business décider pour toi. Refuse la compromission
et continue à créer.
P.S. : Don't give up. Comment tu dis en Français ? Continue.
Voilà c'est ça, ne lâche rien.
R.S. : Je la remercie. Je suis fier d'avoir contribué à ce projet et aussi d'être là depuis le début. Il faut que ça continue.
Elle a tout drivé. Ce disque c'est elle, alors quand je l'écoute,
c'est elle que je vois.
S.T. : D'abord lui dire combien je l'aime, évidemment. Et
surtout lui rendre un sincère et vibrant hommage pour son
énergie, sa volonté inébranlable et sa détermination. Elle est
quelqu'un en qui je crois.
«C'est évidemment
du rock.
Brut de décoffrage.
Nous avons fait
une musique très
spontanée qui tient
du premier geste,
du premier cri.»
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JEWLY-BREAKING NEWS
Emma
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Sébastien Riotto
4 # N°7 - 1er semestre 2014
N°7 - 1er semestre 2014
JEWLY-BREAKING NEWS # 5
JEWLY-BREAKING NEWS
6 # N°7 - 1er semestre 2014
JEWLY-BREAKING NEWS # 7
N°7 - 1er semestre 2014
FOCUS
LA PRESSE
EN PARLE
Corse Matin Août 2013 – J.P.
S'en suit Jewly, formidable artiste de la région, accompagnée de ses non moins talentueux musiciens, Louis
(basse), Raphaël (batterie) et Sylvain (guitare). Peut-on se contenter de classer cette musique comme «rock
teinté de blues» ou est-ce une fusion des points forts de nombreux styles ? J'opte pour les deux. Quand la
voix se promène entre la soul de Joss Stone et le rock de Bon Scott, la basse puise son inspiration dans le
claquant du jazz-rock, la batterie mène la progression énergique des morceaux avec brio, reste une guitare
aussi fonctionnelle qu'un couteau suisse, incluant des cocottes funky, des soli blues dans la lignée de BB
King, et un rock crunchy des jeunes années. Les paroles intimistes traduisent quant à elles une grande
ouverture d'esprit.
L'album «Behind The Line» et l'EP «No Shoes» sont d’ores et déjà disponibles et on n’hésitera pas à les
prescrire à tous les mélomanes en mal de fraîcheur sonore.
Les Chroniques Zikocafiennes
Juin 2012 – Mathieu Meyer
AMERICAN DREAM
OUVERTURE DU FESTIVAL FÉMININ
AVEC LE ROCK BLUESY DE JEWLY
Première édition du festival Padul'ella de Moriani, premiers concerts et premières bonnes sensations.
Jewly et son band de boys prenaient tout de suite possession de la scène sise en bord de mer. Le public
bigarré découvrait émerveillé cette jeune femme à l'énergie exacerbée.
Le temps de faire la transition avec la voix douce et charmeuse de Davia Santucci, qui avait assuré la
première partie, et voilà la Madonne et ses trois lascars partis dans des riffs aux accents bluesy. Sylvain
Troesch sur sa guitare, avec son air de ne pas y toucher, balançait ses notes qui faisaient mouche. Raph
Schuler (batterie) la jouait appliquée mais n'en oubliait pas pour autant de faire swinguer la machine.
Enfin, Lionel à la basse, le dernier à avoir intégré le groupe, donnait du Jaco Pastorius en faisant scintiller
ses notes slappées. Le programme du futur album de Jewly prenait forme. La chanteuse haranguait
le public qui répondait, et des fois non. «Proud Mary» était l'occasion d'un partage avec le public de la
station balnéaire. «Peanuts» et «The Other Side Bang Bang Bang» exposés avec ferveur s'annonçaient
déjà comme des «hits» en puissance. La fraîcheur s'installait peu à peu sur le bord de la scène. Le show
se poursuivait et la qualité s'affirmait.
Il ne restait plus qu'au combo à signer des autographes et échanger des E-mails pour les photos et les
vidéos et élargir ainsi le champ des amis qui permettront, à n'en pas douter de baliser la voie de Jewly
vers le succès.
AU CAF’CONC
New York, Philadelphie. Jewly au pays
des merveilles pour six concerts dans
les entrailles du rock’n blues. Ici, le trip se fait
avec les tripes. Ça tombe à pic : son groove est
distributeur d’énergie et la scène l’électrise.
JEWLY CHANTEUSE,
DU ROCK BLUES
ENVOÛTANT…
Elle est belle, elle est talentueuse, elle donne
quelques concerts dans l'île cette semaine.
Jewly, une chanteuse à «la sensualité déroutante» à découvrir... […]
7Magazine (La Réunion)
Mars 2013 – A.P.
[…] 26 juillet
Jewly, Raph Schuler (batterie), Lionel Ehrhart
(Basse) et Sylvain Troesch (guitare) découvrent le
Local 269.
«Wouah, ça y est, je suis à New York ! Tout
en me demandant comment ils allaient réagir à ma musique dont les influences sont
en majorité américaines. Me retrouver sur scène
aux States, ça allait bien au-delà du fantasme.
J’avais envie, besoin même, de me confronter avec
ce public-là. Pour voir si j’étais dans le vrai, pour
évoluer aussi.»
Et pour lancer son opération séduction, Jewly
démarre son set avec une chanson en français («2x6 ans»). Gonflée, la fille. «Ça me tenait
à cœur. Par fierté, mais aussi par l’envie
de partager. C’est passé comme une lettre
à la poste. Et là, je me suis dit : ça va le faire !
Ils sont hyper réactifs, applaudissent tous
les morceaux. J’étais dedans, à fond. Une
complicité avec la salle s’est installée.
En interprétant «Peanuts», je chante «it was
raining cats and dogs». Et dehors, en effet,
il pleuvait des seaux. On a tous éclaté de rire.»
Même kif, même sensation, le lendemain
au Goodbye Blue Monday. Décor vintage
et ambiance torride entretenue par un ventilo capricieux. Lionel, le bassiste, monte le son.
[…] 1er, 6 août. Les trois derniers concerts
en Pennsylvanie. Mina Moutski, écrivain et parolière, retrace le carnet de bord. «À Phoenixville, ce
fut notre premier Byob (Bring your own beer). Le
plus difficile ? Trouver où acheter les bières ! The
Steel City Coffee House était un endroit chaleureux
dans un décor de dessin animé. Un public dansant et un joli moment de partage dans la bonne
humeur. Mais la bonne surprise viendra du Milkboy Coffee. Pas de batterie, ni d’amplis, une boîte
en plastique en guise de grosse caisse, mais une
énergie contagieuse. Et les jolies filles du public ont
galvanisé les musiciens. Au final, le concert d’Ardmore a été l’un des plus beaux moments.» […]
[…] Dès les premières notes, les spectateurs
comprennent que les Français vont frapper fort,
très fort. Ils tapent dans leurs mains, crient aux
sons des riffs de guitare et des solos de batterie. À la fin du premier soir, Rob, le patron du
Local 269 sur Manhattan, est aux anges : «C’était
d’enfer, c’est la deuxième fois que des Français
déchirent comme ça !»
[…] L’expérience est un franc succès. En plus
de l’aspect humain d’une tournée qui soude les
formations, il y a la satisfaction de voir l’impact
fort de leurs chansons sur le public américain. Et
quand on voit l’accueil qui a été réservé aux artistes, on peut être sûr que l’Amérique les reverra
dès que possible.
RUBBER FACTORY
«La meilleure c'est la suivante
et la dernière donne envie de tout
réécouter ! Ils arrivent à concilier
recherche sonore et esprit garage :
leur son est brut et épais,
sans fioritures inutiles, mais surtout
d’une vitalité débordante.
Les mélodies imparables sont
renforcées par des riffs crasseux.
L’Alsace
Août 2012 – Sébastien Riotto
Du très bon blues rock mais avec
quelque chose de plus moderne,
de plus lourd et chaque titre projette
dans un paysage américain
authentique avec son peuple
et sa culture.»
WAS Magazine
4e trimestre 2012 – Patrick Schwertz
LENNY
KRAVITZ
BLACK AND WHITE
AMERICA
JEWLY ÉLECTRISE
LE PUBLIC DU PORT DU CROUESTY
Lundi soir au port du Crouesty, Jewly a livré une prestation électrique qui a conquis le public.
Minijupe, tatouages et veste en cuir, Jewly monte sur scène telle une icône du rock, rugissant dans son
micro. Très vite, sa reprise de Satisfaction des Rolling Stones fait se trémousser petits et grands. «Vous
allez me montrer ce que c'est la Bretagne», lance-t-elle d'un air de défi.
Elle enchaîne sur Peanuts, un titre plus blues, se déhanchant lascivement, et sa voix rauque se fait de
velours. Entre les chansons, tantôt en français tantôt en anglais, elle instaure un vrai dialogue avec le
public.
Bientôt, Johnny et Méline se retrouvent sur scène, choristes improvisés le temps d'une chanson. Jewly
lance un challenge de photographie, invitant chacun à lui envoyer «une photo de fou du concert».
Quand elle reprend Rolling on the river, de Tina Turner, le public frappe des mains en cadence, et Johnny
se lance dans un rock endiablé. Jewly descend dans le public pour un petit bain de foule.
Sous prétexte d'une photo, elle invite les spectateurs à se rapprocher. «On est mieux comme ça, non ?»
Lundi soir au port du Crouesty, on était bien avec Jewly.
Ouest France Août 2013
[…] De son enfance, Jewly a gardé l'amour
de la musique classique que lui a transmis
son grand-père. Amour et partage. Puis le
souvenir ému de son violon, compagnon
de ses premiers pas sur scène. Vibrations,
cordes sensibles. La petite fille grandit,
trouve sa voie, puis, bientôt, sa voix. Sensible, puissante, sincère, généreuse.
Lorsque vous la rencontrez dans la vie de
tous les jours, Jewly est une jeune femme
tranquille, paisible, bien dans ses baskets.
Mais dès qu'elle se déchausse et monte sur
scène, en une fraction de seconde, la transformation s'opère. Un peu comme quand les
personnages de Dragon Ball se changent
en Super Saiyan. D'un instant à l'autre, la
miss semble s'électrifier. Son expression et
sa gestuelle changent du tout au tout. Sa
voix émane du plus profond d'elle-même.
Une voix rauque, rock et chaude comme un
bon vieux whisky, qui fait jaillir les émotions
et foudroie littéralement l'auditoire. Quand la
chanson se termine, elle baisse les yeux et
murmure un merci presque timide comme si
le démon qui avait pris possession d'elle venait de se retirer. Aussi fragile qu'un souffle,
aussi forte qu'une tempête. La scène comme
catalyseur de ce fantastique dédoublement
de personnalité. Vous en sortez groggy, sonné, comme si vous veniez de vous prendre
une rafale d'uppercuts dans la tronche
mais, à la fin, vous n'avez qu'une seule
envie : remonter sur le ring pour connaître à
nouveau cette sensation grisante, cette décharge électrique. La légende raconte que le
bluesman Robert Johnson avait vendu son
âme au diable en échange de son jeu de guitare virtuose. J'ignore si Jewly a conclu un
pacte similaire pour atteindre une telle intensité vocale. Mais, quoi qu'il en soit, avec ses
complices musiciens, elle donne naissance
à un univers singulier, qui puise ses racines
chez les plus grands du blues et du rock. Un
héritage auquel, sans rien renier du passé,
elle apporte sa touche de modernité et de
féminité. C'est fort, très fort et vous aussi,
bientôt, vous y succomberez...
Blog J'ai tout lu, tout vu, tout
bu... Septembre 2012
MON
TOP 3
THE BLACK
KEYS
JEWLY
Jewly a effectué l'ouverture du festival féminin de Padul'ella.
ALBUMS
COUPS
DE COEUR
[…] La jeune chanteuse haut-rhinoise a livré une
heure et demie d’un concert vivant et dynamique, à
l’image de son interprète, auteur et compositeur. […]
[…] La deuxième partie de soirée est une grande première à Bourgheim et une fierté pour Dyn’Anim :
l’accueil de Jewly.
Jeune artiste française, interprète, auteur, compositeur, Jewly développe ses facettes en groovant sur
les couleurs du rock’n’blues […]
DNA Juillet 2012
Tour à tour sensuelle, touchante
et provocante
Jewly a su y faire pour que son public ne s’ennuie
pas. La chanteuse, pieds nus sur scène (d’où le
titre de son dernier album), a pris le temps de
venir plusieurs fois au contact de son public,
se promenant dans les allées ou s’asseyant à
ses côtés. Tour à tour sensuelle, touchante et
provocante, elle a su mettre à profit sa voix à
la fois puissante et douce. […] La chanteuse a
accompagné ses mélodies rock - pour la plupart
chantées en anglais - d’échanges avec la salle
entre chaque morceau. L’anniversaire de l’un, un
clin d’œil à l’autre, un aparté sur la chanson à
venir, Jewly est apparue à l’image de ses textes,
douce et forte à la fois. I’m living for provocation,
No Shoes ou encore Behind the line, issu de son
premier album, ont semble-t-il enchanté le public
présent samedi soir.
Des thèmes très personnels
Elle s’est agenouillée, s’est assise, a presque
couru sur scène : on retrouve dans son caractère les traits qui marquent ses chansons, avec
des thèmes très personnels, comme sa relation
avec le public, ou le jugement d’autrui. Elle a
même profité de son passage à la Saline pour
déboucher, sur scène, une bouteille de vin. Et a
de suite proposé à la salle de la partager avec elle
et ses musiciens. […] Le rappel, lui, s’est fait sur
Now, I know. Jewly pouvait alors quitter la lumière
blanche qui l’a illuminée tout au long du concert.
SEASICK
STEVE
YOU CAN’T TEACH
AN OLD DOG NEW
TRICKS
Corse Matin Septembre 2012 – Michel Maestracci
DNA
Juillet 2012 – Sophie Sanchez
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Les Chroniques de Mandor - L’Alsace - Zikannuaire - Impul’sons - Offenburger Tageblatt (DEU) - Mittelbadische Presse (DEU) - City Strass - Zut ! - Musicalive - Le point Éco - Blog
Les Agités du Bocal...
C'est chaud, funky, rock, and soul,
avec des accents motown, des
mélodies simples mais envoûtantes,
des textes matures et plus
personnels et des arrangements
recherchés et maîtrisés. Ce disque
met de bonne humeur et est bourré
d'optimisme.»
DNA Avril 2012 – B.H.
Le Dusty Rose Saloon de Borgo offrait aux derniers estivants et au public local un concert de qualité
vendredi soir. Jewly, chanteuse de blues venue de l’est de l’Hexagone, était à l’affiche avec son combo de
musiciens. Les premières notes délivrées par Sylvain Troesch à la guitare et Raph Schuler à la batterie ne
laissaient planer aucun doute, la soirée allait être d’enfer. Un enfer bien agréable avec la voix de Jewly qui
allait impressionner l’auditoire. […]
[…] Artiste découverte en 2006, lors de l’hymne
Unicef de la période de Noël, puis sacrée deux
ans plus tard «meilleur espoir local». Celle qui fit
aussi la première partie des concerts de Florent
Pagny possède indéniablement un certain charisme sur scène. Sa voix chaude et grave se
réclame d’influences soul, funk et jazzy, mais
parvient à déployer une énergie très rock and roll.
Longue liane aux cheveux de jais, elle chante et
danse avec un plaisir évident devant un public
sous le charme. […]
«Un album très diversifié, beaucoup
de sons différents, du rock
aux ballades en passant par des
titres plus "urbains". Album très
intéressant et qui s'écoute à volonté !
«La musique que ce grand homme
est capable de sortir avec trois fois
rien, une caisse en guise de batterie,
trois cordes pourries tendues
sur une boîte à savon au son
inimitable nous rappelle les origines
du blues. Avec Seasick Steve on
retrouve l'essence, la quintessence
du blues.
[…] Alliant différents univers musicaux, le style Jewly est des plus imaginatifs et audacieux : ruptures
rythmiques et mélodies de grande amplitude vont de pair pour donner à ses chansons un éclat très
personnel, empreint de jazz, rythm’n blues et de rock […].
C’est probablement sa voix qui a retenu l’attention du public présent dans la cour du festival : grave et
de velours, elle donne une couleur et un relief à chacun des morceaux, interprétés en langue française
ou anglaise […]. Évoquant les choix de vie et des accidents de parcours, ses chansons préfèrent les
cicatrices de l’âme aux tableaux arcadiens de bonheurs surannés.
Sur la scène du festival, telle une tornade, Jewly a débarqué pieds nus, un clin d’œil à son EP «No
Shoes», sorti tout récemment. C’est aussi un titre présent sur sa dernière production qui invite l’auditeur
à retirer ses baskets et se lancer pleinement dans la vie.
Un morceau qui finalement résume excellemment le personnage et l’esprit du concert : spontanés et
énergiques. «Une fois que je me suis appropriée une chanson, j’aime la vivre sur la scène. C’est un
réel plaisir», reconnaît Jewly. Durant une heure, d’un bout à l’autre du plateau, l’artiste s’est donnée au
public, charmé par son sourire ravageur. L’irruption de plages instrumentales a créé des sortes de respiration durant le concert. Ces instants ont été l’occasion pour Jewly d’affirmer de façon stupéfiante son
omniprésence sur la scène, complétée par une certaine facilité à habiter l’espace grâce à une complicité
avec les musiciens et des danses appropriées. La performance s’est achevée sous des applaudissements nourris et un nouveau public conquis.
La jeune et belle artiste, bourrée de dynamisme, a su enchanter les spectateurs conquis par son talent.
Sa voix cuivrée lui permet d’interpréter tous les styles de musique, tantôt doux, tantôt rythmés façon rock,
funk ou blues, quand ce n’est tout simplement un mélange de tout […].
Au vu de sa prestation samedi à La Scène, son titre de «meilleur espoir local» au Trophée Est People en
2008 confirme son talent et sa musique innovante, authentique et quasi unique en France.
Sa carrière semble également bien lancée, témoins ses nombreuses scènes comme en 2010 en première
partie de Florent Pagny ou plus récemment celle d’Axelle Red à Strasbourg.
Proche du public, elle n’a d’ailleurs pas hésité à passer dans les gradins, tout en continuant à chanter.
Et la salve d’applaudissements en fin de concert l’a justement récompensée de sa débauche d’énergie,
avant qu’elle ne satisfasse quelques fans en dédicaçant son dernier album.
DNA Août 2011 – F. Mi
DNA Décembre 2011
Un chaman capable de scotcher
avec trois notes sur une corde
même pas assez tendue et sa voix
de bourlingueur qui a tout vu,
tout entendu, tout subi et tout connu.
La diversité de sonorités avec son
utilisation d’instruments artisanaux
amène une touche encore plus
personnelle. Des chansons
stupéfiantes de justesse, que ce soit
dans la musique ou dans les textes.
Juste magnifique !»
son actualité, ses chansons et ses vidéos
sur ses différentes plateformes en ligne !
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www.jewlymusic.com
TEAM JEWLY
Avec leurs petits doigts sur le clavier : Admirable Nelson, Mina Moutski et Jewly
Orchestration graphique : manahoana.com
Boussoles artistiques : Emmanuel Hoff, Marc Lehmann
Stéphien
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