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BREAKING NEWS 1ER SEMESTRE 2014 JEWLY À BOUT PORTANT N'essayez pas de résister, le combat est perdu d'avance ! Jewly vise juste et quand elle fait feu, elle fait mouche et, à bout portant, atteint sa cible : vous rallier à sa cause. Les jeux sont faits, n'en doutez pas, parce que ses arguments sont multiples : Tout d'abord ses armes. Elles ont été forgées dans le plus précieux des métaux, ce Rock'n'Roll américain, celui des rebelles qui se frayaient, guitares à la main, un chemin vers la liberté d'être, celui né dans les champs de coton dans lesquels les esclaves noirs chantaient pour survivre, celui, qui en passant par l'Angleterre des Rolling Stones, s'est gorgé d'universalité. Mais Jewly ne peut se contenter de ces racines, aussi nourricières soient-elles. Elle est chanteuse du 21e siècle et aborde les sujets de son époque, de sa condition. Vectrice de ses colères, de ses amours, de ses peurs, de ses erreurs et de ses espoirs, sa voix, marinée dans un velours éraillé, dans une poussière soyeuse, dans une féroce douceur, vous racontera sa vie, celle de ses contemporains. Et vous finirez par chanter avec elle, parce que Jewly est contagieuse quand elle dépose à vos pieds l'offrande de son talent. Sa présence, ensuite. Sur les scènes de France, d'outre Navarre, des USA où elle croisa Rover, Florent Pagny, Axelle Red, Manu Lanvin…, elle porte toujours sa cartouchière de femme reptile ondulante, sa cartouchière de sensualité électrique, sa cartouchière de bête de scène. Habiter une scène, savoir la dévaler pieds nus, la caresser de sa présence, n'est pas donné à tout le monde. Jewly fait partie des artistes à avoir cette capacité là. «Bang Bang Bang» enfin. Le deuxième opus de Jewly a été réalisé par un ancien Trust, la basse y est jouée par un anglais au pedigree tout droit issu du who's who du Rock international, ses fidèles guitariste et batteur ont largement dépassé les frontières de l'excellent. Ce joyau brut a du coffre, de l'âme, de l'ampleur et délivre une salve de chansons coups de poing qui vous tatoueront l'âme de bonheur. Marc Lehmann Jewly, quel que soit l'angle d'attaque, vous bousculera, vous remuera, vous charmera, vous convaincra. Avec un sourire en prime, avec un clin d'œil en bonus, mais à bout portant, cette artiste totale sait vous ôter toute velléité de résistance. N'essayez pas, le combat est perdu d'avance, vous succomberez, heureux, à Jewly ! JEWLY-BREAKING NEWS 2 # N°7 - 1er semestre 2014 INTERVIEW BIOGRAPHIE SUR LA ROUTE JEWLY EN QUELQUES DATES BRÈVES Tournées dans toute la France (Alsace, Bretagne, Corse, Rhône-Alpes...) jusqu’à La Réunion (mars 2013) et en Allemagne, avec notamment un Live sur La Matinale de Réunion 1ère, radio à La Réunion (mars 2013), concerts à la Cathédrale et au Parlement Européen de Strasbourg (mai 2013), en Saxe-Anhalt en Allemagne pour la Fête de la Musique, ouverture du Festival Automobile de Mulhouse (juillet 2013), Les Lundis du Crouesty à Arzon (août 2013), le Festival Padul'ella à Moriani en Corse (août 2013)… Novembre 2012 Élue «Meilleure Chanteuse Espoir» au Music Alive Trophy (concours récompensant les différents acteurs de la vie culturelle du grand Est de la France). Eté 2012 Tournées aux États-Unis (New-York - Philadelphie - Ardmore - Phoenixville) et en Corse. 2012 Tournées à travers toute la France, l’Allemagne et la Suisse et multiplie les dates de concert : notamment les Bains municipaux de Strasbourg (mai 2012), le Caf’Conc d’Ensisheim (juin 2012), Scène NRJ de la Fête de la Musique à Strasbourg, Le 114 à Paris et 1ère partie de Rover (Festival FNAC Live) (juillet 2012), Foire Européenne de Strasbourg (septembre 2012), le Casino de Bâle en Suisse (novembre 2012)… 2011 Tournées au Canada (Toronto - mai 2011), en France jusqu’à La Réunion (octobre 2011), en Allemagne. Fait la 1ère partie d’Axelle Red (juin 2011) et se produit dans diverses salles et festivals notamment sur les scènes du Enghien Jazz Festival et du Sunset-Sunside à Paris (juillet 2011). Sort son deuxième album «No Shoes», un EP 5 titres où elle groove sur les couleurs du rock’n’blues et du funk. 2010 Se produit sur plusieurs scènes et fait la 1ère partie de Florent Pagny au Festival de Champagne à Troyes (juin 2010). Septembre 2009 Jewly ambassadrice de l’Alsace, de l’Allemagne et de la Suisse au Canada Tournée aux USA «C’était d’enfer, c’est la deuxième fois que je vois des Français qui déchirent comme ça !» Rob du Local 269 – Manhattan. «Je ne savais pas que les Français savaient jouer du rock et du blues comme ça !» Steve du Goodbye Blue Monday – Brooklyn. «Quelle présence scénique !» Spectateurs des six lieux. Ces trois commentaires unanimes et récurrents reflètent parfaitement la tournée «USA Summer 2012». Trois concerts à New-York, un à Philadelphie, un à Ardmore et un à Phoenixville où les frenchies ont carrément mis le feu ! 2009 Invitée à chanter au Canada lors de l’Expo Québec pour représenter sa région, l’Alsace, mais aussi la France. 2007 Accompagnée par l’UNICEF, elle est invitée par le gouvernement roumain à chanter dans les orphelinats. 2006 Enregistre son premier CD single «Terre Permise», vendu au profit de l’UNICEF. 2005 Organise un concert au profit de l’ONG. Apprend la guitare pour s’accompagner au chant et écrit ses premières chansons. 1988 – 1996 Apprend le violon et en jouera jusqu’à l'âge de 15 ans. Elle chante sur sa première scène alors qu’elle n’a pas encore 10 ans. LE 114 en partenariat avec le Festival FNAC Live : Jewly et Rover En juillet 2012, Jewly a la chance de partager le plateau avec Rover dans le fameux club de la rue Oberkampf : Le 114 by Puma Social. Une ambiance chaude et rock qui boostera l’équipe à 2 jours du départ pour les Etats-Unis. 1987 – 1988 Commence son parcours musical par l’apprentissage de l’alto. 17/07/1981 Naissance en Alsace. Jewly au Sunset-Sunside à Paris Alors que Jewly fait la 1ère partie d’Axelle Red, un professionnel de la musique travaillant à La Réunion, de passage à Strasbourg, est charmé par la jeune chanteuse. Il décide de lui organiser une tournée à La Réunion en automne 2011. Jewly est à nouveau invitée en mars 2013. Concerts sur des scènes paradisiaques devant un public qui l’est tout autant. Des musiciens réunionnais montent sur scène et les concerts se transforment vite en un véritable bœuf musical ; Jah Pinpin, l’excellent saxophoniste de Jean-Jacques Goldman et de F.F.F., entre autres, viendra rejoindre Jewly lors de deux concerts. Jewly fera également un «featuring» avec le groupe DZORD durant le Festival Kaloo Bang. Lors de son Live sur La Matinale de Réunion 1ère, radio à La Réunion, elle rencontre Françoise Guimbert, la mère du Maloya, qui lui fait la surprise de revenir à l'un de ses concerts pour lui chanter une chanson spécialement composée pour la «rockeuse Jewly», comme elle l'a surnommée. C’est à Troyes que Jewly rencontre le public de Florent Pagny lors des Foires de Champagne. 3 500 personnes qui l’embarquent dans une belle aventure. Avant de monter sur scène : beaucoup de trac, à la sortie : «je veux y retourner !». Beau succès pour l’artiste qui a reçu un accueil plus que chaleureux du public, une foule communicative, réceptive et applaudissant de plus en plus fort. Enghien Jazz Festival Emmanuel Hoff En juillet 2011, Jewly a la belle opportunité de jouer au Sunset-Sunside à Paris, un club mythique encore imprégné de l’essence des plus grands musiciens de la planète. Virginie Faucher Tournées en Corse Après une première tournée en septembre 2012, l'île fait rapidement revenir Jewly. En été 2013, elle est programmée au Festival Padul'ella à Moriani et va sillonner les routes de Corse. Elle retrouve entre autres le Dusty Rose Saloon, avec son ambiance américaine et ses Harley-Davidson, pour 2h de concert. Ces tournées donnent lieu à un véritable coup de foudre de Jewly pour l’île et ses habitants… et vice versa. Mina Moutski En mai 2013 lors de la Nuit des Cathédrales, Jewly a la joie d'interpréter 3 de ses titres dans ce lieu mythique et grandiose. Une prestation pour le moins originale car accompagnée de la conception d'un lustre géant en chocolat par le célèbre chocolatier Thierry Mulhaupt. Le Enghien Jazz Festival, dont la réputation n’est plus à faire, accueille Jewly en juillet 2011. Petite anecdote : Raph prête sa batterie cocktail à Lee Finkelstein, batteur des Blues Brothers, intrigué par l’instrument. Ce dernier vient partager quelques instants de musique pendant la balance de Jewly. Le plaisir de l’atmosphère des festivals ! Jewly et l’UNICEF Sensible depuis toujours à la cause des enfants, la chanteuse s’engage très vite auprès de l'UNICEF. Après un single vendu au profit de l'ONG en 2007 puis, à l’invitation du gouvernement roumain, un voyage en Roumanie avec une délégation de l’UNICEF pour aller chanter dans les orphelinats, elle continue de mener son action pour faire entendre les besoins et droits des enfants. 1ère partie d’Axelle Red Cathédrale de Strasbourg Virginie Faucher Tournées à La Réunion 1ère partie de Florent Pagny 2002 1997 Hervé Koster, FR Réalisateur Réf : Batteur de Trust, Cock Robin, Yannick Noah, Louis Bertignac, Johnny Hallyday… Raph Schuler, FR Batterie Le projet Upper Rhine Valley présente aux canadiens les attraits touristiques et culturels de la région trinationale partagée entre l’Allemagne, la Suisse et la France. L’artiste, dont la palette musicale transcende les styles et les nations, est choisie pour porter les couleurs de ces 3 régions. Après une première escapade au Canada en 2008 pour représenter l’Alsace et la France lors de l’expo Québec, c’est à Toronto que Jewly pose ses valises en mai 2011. Sortie de son premier album «Behind the Line». Premiers concerts de jazz, en parallèle de ses études. Jewly, FR Phil Spalding, UK Basse Réf : Mick Jagger, Seal, Elton John, Robbie Williams, Randy Crawford… Retour aux sources et bel «hasard» pour Jewly en juin 2011 : elle a la joie de faire la 1ère partie d’Axelle Red à Strasbourg, sur la scène Têtes d’Affiche de la Fête de la Musique. Environ 6 000 personnes, à vue d’œil et un accueil du public émouvant pour l’artiste : «Je me suis sentie comme chez moi, avec plein d’amis… Et avant une artiste généreuse, soutenant l’UNICEF… Un moment gravé dans ma mémoire et riche en émotions.» Q N I C S LE S T G I O D N I A M A L E D Ils sont cinq. Talentueux, professionnels, tendres, drôles et très différents les uns des autres, ils ont accompagné, soutenu et guidé Jewly dans la construction de l'univers musical brut et sensible de «Bang Bang Bang». Ils sont ses hommes de notes, ses Tontons Flingueurs, ses «dark angels», ils s'appellent Hervé Koster, Phil Spalding, Raph Schuler, Sylvain Troesch et Steven Forward. Ils cumulent 200 ans de musique, envoient des tonnes d'énergie et adorent faire rire les filles. Je les ai interviewés, quelques jours après le mastering à Londres. Ils ont répondu avec la sincérité des grands pros… Et m'ont fait rire, avec le talent des vrais mecs. Mina Moutski : Quels ont été vos rôles respectifs au sein de l'équipe, sur l'album ? Hervé Koster : Réalisateur de l'album et des arrangements. J'ai beaucoup travaillé avec Jewly en amont des enregistrements. Il y avait du potentiel mais aussi du boulot pour arriver là où nous sommes aujourd'hui. C'est moi également qui ai constitué l'équipe qui a travaillé sur le disque. Puis j'ai choisi les lieux d'enregistrement et la manière d'enregistrer. Phil Spalding : Bassiste. J'ai aussi travaillé sur les arrangements. Comme j'ai pas mal de vécu et d'expérience en studio, j'ai souhaité que cela facilite le travail et crée du lien entre nous. J'ai donc essayé de partager au maximum pour guider les autres. Raph Schuler : Batteur. Et fournisseur de blagues à deux balles. Grâce à moi nous étions à l'heure le matin. J'ai été la Maman de l'équipe… Pourquoi vous rigolez ? Plus sérieusement, c'est moi qui ai mis Jewly et Hervé Koster en contact et je pense que c'était une bonne idée. Sylvain Troesch : Guitariste. Pour cet album, je pense que j'ai eu un rôle de déclencheur d'idées musicales. Steven Forward : Ingénieur son. J'ai assuré l'enregistrement et le mix de l'album, j'ai également participé aux arrangements et au mastering. Ça fait 37 ans que je suis dans le métier, Hervé m'a demandé de travailler avec lui sur ce projet. Je l'ai mis en contact avec Phil, ça me semblait évident. Je les connais bien, ils sont mes amis tous les deux. P.S. : La musique, c'était évident qu'on y arriverait. Mais nous avons vécu des moments profonds de partage que je n'oublierai pas. Et ça, ce n'est jamais gagné d'avance. J'ai trouvé des amis, des gens en qui je peux avoir confiance. Comme une sœur ou des frères. M.M. : Si l'album était une ville, laquelle serait-il ? R.S. : New-York. Pour l'énergie et le bordel organisé. Il y a plein de choses, mais tout s'emboite et c'est spontané. Il y a de la magie, on n'a pas le temps de s'ennuyer et ça ne s'arrête jamais. P.S. : Moi, je trouve que l'album de Jewly ressemble à Berlin. Il a un son métissé. Il est le résultat de différentes influences… Françaises, Anglaises. Comme cette ville. Et cela donne un côté underground à l'album, comme à Berlin. S.F. : Je dirais plutôt Hambourg. Il y a de l'agressivité, de l'énergie, mais aussi de la noirceur, des boites, l'industrie du sexe, la prostitution. Un côté abusif, violent. Un peu comme Liverpool aussi. M.M. : Si l'album était une couleur, laquelle serait-il ? S.T. : Bordeaux. Parce que Bourgogne et Côtes du Rhône ne sont pas des couleurs. Et bien sûr le bleu, pour les influences blues. (Hervé Koster approuve le bleu d'un mouvement de tête) S.F. : Rouge ou noir. Pour les mêmes raisons qui m'ont fait choisir Hambourg. «Nous avons vécu des moments profonds de partage que je n'oublierai pas. Et ça, ce n'est jamais gagné d'avance.» M.M. : Quel est votre meilleur souvenir sur cet album ? Brouhaha… Ils répondent tous en même temps, puis s'accordent à dire qu'il est difficile d'isoler un événement en particulier parce que l'album a été une expérience humaine incroyable. Il a été enregistré rapidement, presque dans l'urgence, en quatre jours. La dynamique s'est donc mise en place sans hésitation. S.F. : Dans ce type de situation, tu acceptes les contraintes, tu cherches les conditions et les personnes qui seront les mieux adaptées au contexte et tu y vas. S.T. : Et ça a marché. Dès le premier soir, on a tous été potes. En confiance. C'est ce qui a donné son énergie à l'album. P.S. : J'insisterais sur le rouge, parce que c'est la force. La force d'avancer, de conquérir. La force de gagner des batailles. M.M. : Si l'album était un aliment ? P.S. : Ce serait de la viande. Parce que c'est la nourriture des soldats. S.F. : Des sushis ou des sashimis. Un truc qui file droit, qui est honnête et simple. Japonais. R.S. : Un bonbon acidulé. Tu le mets en bouche et ça te défonce la gueule. Ou un piment, un truc qui t'arrache la tronche. M.M. : Si l'album était un objet ? P.S. : Il serait une voiture qui roule vite. C'est toujours cette même idée de force pour avancer. R.S. : Une machette... Ou plutôt, un gourdin avec des pointes au bout. Ou un objet qui fait du bien et du mal en même temps. «Elle a une puissance de travail et de schizophrénie tout à fait bluffante.» H.K. : Un vrai disque physique qui s'écoute de A jusqu'à Z, pas un truc qui se télécharge par morceaux. La majeure partie du boulot a porté sur la cohérence. Et on a bossé, de manière super agréable pour tout le monde, sans aucun soucis d'ego. Jewly a su se poser les bonnes questions, tout le monde a été très ouvert et c'est pour ça qu'on en est arrivé là. Le but principal a été atteint. Oui… Si c'était un objet, ce serait un disque. Un tout. M.M. : Quelle est selon vous la particularité de cet album ? S.F. : Il est le reflet des caractères des individus qui jouent dessus. Il est un mélange de personnalités. Et il y a Jewly. Elle est forte et ne tombe pas dans les pièges du rock français. Elle sait garder sa sincérité et sa simplicité. S.T. : Pour moi, c'est évidemment du rock. Brut de décoffrage. Nous avons fait une musique très spontanée qui tient du premier geste, du premier cri. C'est sans doute lié au fait que nous avions quatre jours pour enregistrer dix morceaux. H.K. : Je suis d'accord avec Steven, c'est une photo de Jewly, du groupe aujourd'hui et je pense qu'elle est fidèle. Je suis content de ça. J'ai l'impression que tout le monde a sorti ses tripes. Les uns ont étonné les autres et chacun s'est étonné soi-même. C'est différent peut-être de ce qu'ils avaient imaginé. Mais c'est ça un album, le résultat d'un travail énorme. M.M. : Que retirez-vous, à titre personnel de cette expérience ? R.S. : Une grande fierté. On n'a pas particulièrement cherché à faire ça. C'est la symbiose entre nous qui nous a conduits, naturellement à ce résultat. Parce que nous étions tous dans le même état d'esprit. Marc Lehmann 2013 Février 2011 Steven Forward, UK Ingénieur son/Mix Réf : Ray Charles & Dee Dee Bridgewater, Depeche Mode, Stevie Wonder, Paul Mc Cartney, Chris Rea, Jimmy Page, Axel Bauer, Johnny Hallyday… Raph Schuler Sortie de son prochain album «Bang Bang Bang». Sylvain Troesch, FR Guitare Sébastien Riotto 2014 JEWLY-BREAKING NEWS # 3 N°7 - 1er semestre 2014 S.T. : C'est une expérience qui stimule mon questionnement. Petit à petit, je vais digérer et mettre en pratique. J'ai appris énormément sur ce qu'est le son anglais. Sur la manière de jouer. Phil nous a emmenés vers des choses qu'on ne sait pas vraiment faire en France. H.K. : On a eu le supplément d'âme qu'il fallait pour réussir. Le choix des gens était primordial. Je suis ravi que Steven et Phil aient accepté de participer au projet. Ça a filé la patate à tout le monde et tu donnes forcément le meilleur de toimême dans ces conditions-là. C'est purement humain. Une histoire de transmission qui s'est faite. On a mis le doigt sur ce qui est pour moi la musique telle qu'elle doit l'être. M.M. : Votre message à Jewly ? H.K. : Elle a une puissance de travail et de schizophrénie tout à fait bluffante. Elle m'impressionne parce qu'être artiste, ce n'est pas juste chanter et faire la maline sur scène. Dans l'ombre, elle bosse pour que tout soit réglo, elle ne laisse rien passer. Et quand tu la mets derrière le micro, elle ne s'occupe plus que de ça, elle oublie le reste. C'est une capacité peu courante, qui fait sa force. S.F. : Je suis d'accord avec Hervé. Mon message pour Jewly est donc simple : démarre le suivant ! Continue à croire en ce que tu fais et ça marchera, même si cela demande des jours ou des années pour faire un bon album. Ne laisse jamais le business décider pour toi. Refuse la compromission et continue à créer. P.S. : Don't give up. Comment tu dis en Français ? Continue. Voilà c'est ça, ne lâche rien. R.S. : Je la remercie. Je suis fier d'avoir contribué à ce projet et aussi d'être là depuis le début. Il faut que ça continue. Elle a tout drivé. Ce disque c'est elle, alors quand je l'écoute, c'est elle que je vois. S.T. : D'abord lui dire combien je l'aime, évidemment. Et surtout lui rendre un sincère et vibrant hommage pour son énergie, sa volonté inébranlable et sa détermination. Elle est quelqu'un en qui je crois. «C'est évidemment du rock. Brut de décoffrage. Nous avons fait une musique très spontanée qui tient du premier geste, du premier cri.» nuel H off Rap h Sc hule r stien Séba o Riott Nicolas rt Lambe hule r h Sc Rap Virginie r Fauche stien Séba Riotto ller e Alain K n Stéphie ien Stép h n ehman Marc L uel Hoff Emman JEWLY-BREAKING NEWS Emma iotto en R asti Séb Sébastien Riotto 4 # N°7 - 1er semestre 2014 N°7 - 1er semestre 2014 JEWLY-BREAKING NEWS # 5 JEWLY-BREAKING NEWS 6 # N°7 - 1er semestre 2014 JEWLY-BREAKING NEWS # 7 N°7 - 1er semestre 2014 FOCUS LA PRESSE EN PARLE Corse Matin Août 2013 – J.P. S'en suit Jewly, formidable artiste de la région, accompagnée de ses non moins talentueux musiciens, Louis (basse), Raphaël (batterie) et Sylvain (guitare). Peut-on se contenter de classer cette musique comme «rock teinté de blues» ou est-ce une fusion des points forts de nombreux styles ? J'opte pour les deux. Quand la voix se promène entre la soul de Joss Stone et le rock de Bon Scott, la basse puise son inspiration dans le claquant du jazz-rock, la batterie mène la progression énergique des morceaux avec brio, reste une guitare aussi fonctionnelle qu'un couteau suisse, incluant des cocottes funky, des soli blues dans la lignée de BB King, et un rock crunchy des jeunes années. Les paroles intimistes traduisent quant à elles une grande ouverture d'esprit. L'album «Behind The Line» et l'EP «No Shoes» sont d’ores et déjà disponibles et on n’hésitera pas à les prescrire à tous les mélomanes en mal de fraîcheur sonore. Les Chroniques Zikocafiennes Juin 2012 – Mathieu Meyer AMERICAN DREAM OUVERTURE DU FESTIVAL FÉMININ AVEC LE ROCK BLUESY DE JEWLY Première édition du festival Padul'ella de Moriani, premiers concerts et premières bonnes sensations. Jewly et son band de boys prenaient tout de suite possession de la scène sise en bord de mer. Le public bigarré découvrait émerveillé cette jeune femme à l'énergie exacerbée. Le temps de faire la transition avec la voix douce et charmeuse de Davia Santucci, qui avait assuré la première partie, et voilà la Madonne et ses trois lascars partis dans des riffs aux accents bluesy. Sylvain Troesch sur sa guitare, avec son air de ne pas y toucher, balançait ses notes qui faisaient mouche. Raph Schuler (batterie) la jouait appliquée mais n'en oubliait pas pour autant de faire swinguer la machine. Enfin, Lionel à la basse, le dernier à avoir intégré le groupe, donnait du Jaco Pastorius en faisant scintiller ses notes slappées. Le programme du futur album de Jewly prenait forme. La chanteuse haranguait le public qui répondait, et des fois non. «Proud Mary» était l'occasion d'un partage avec le public de la station balnéaire. «Peanuts» et «The Other Side Bang Bang Bang» exposés avec ferveur s'annonçaient déjà comme des «hits» en puissance. La fraîcheur s'installait peu à peu sur le bord de la scène. Le show se poursuivait et la qualité s'affirmait. Il ne restait plus qu'au combo à signer des autographes et échanger des E-mails pour les photos et les vidéos et élargir ainsi le champ des amis qui permettront, à n'en pas douter de baliser la voie de Jewly vers le succès. AU CAF’CONC New York, Philadelphie. Jewly au pays des merveilles pour six concerts dans les entrailles du rock’n blues. Ici, le trip se fait avec les tripes. Ça tombe à pic : son groove est distributeur d’énergie et la scène l’électrise. JEWLY CHANTEUSE, DU ROCK BLUES ENVOÛTANT… Elle est belle, elle est talentueuse, elle donne quelques concerts dans l'île cette semaine. Jewly, une chanteuse à «la sensualité déroutante» à découvrir... […] 7Magazine (La Réunion) Mars 2013 – A.P. […] 26 juillet Jewly, Raph Schuler (batterie), Lionel Ehrhart (Basse) et Sylvain Troesch (guitare) découvrent le Local 269. «Wouah, ça y est, je suis à New York ! Tout en me demandant comment ils allaient réagir à ma musique dont les influences sont en majorité américaines. Me retrouver sur scène aux States, ça allait bien au-delà du fantasme. J’avais envie, besoin même, de me confronter avec ce public-là. Pour voir si j’étais dans le vrai, pour évoluer aussi.» Et pour lancer son opération séduction, Jewly démarre son set avec une chanson en français («2x6 ans»). Gonflée, la fille. «Ça me tenait à cœur. Par fierté, mais aussi par l’envie de partager. C’est passé comme une lettre à la poste. Et là, je me suis dit : ça va le faire ! Ils sont hyper réactifs, applaudissent tous les morceaux. J’étais dedans, à fond. Une complicité avec la salle s’est installée. En interprétant «Peanuts», je chante «it was raining cats and dogs». Et dehors, en effet, il pleuvait des seaux. On a tous éclaté de rire.» Même kif, même sensation, le lendemain au Goodbye Blue Monday. Décor vintage et ambiance torride entretenue par un ventilo capricieux. Lionel, le bassiste, monte le son. […] 1er, 6 août. Les trois derniers concerts en Pennsylvanie. Mina Moutski, écrivain et parolière, retrace le carnet de bord. «À Phoenixville, ce fut notre premier Byob (Bring your own beer). Le plus difficile ? Trouver où acheter les bières ! The Steel City Coffee House était un endroit chaleureux dans un décor de dessin animé. Un public dansant et un joli moment de partage dans la bonne humeur. Mais la bonne surprise viendra du Milkboy Coffee. Pas de batterie, ni d’amplis, une boîte en plastique en guise de grosse caisse, mais une énergie contagieuse. Et les jolies filles du public ont galvanisé les musiciens. Au final, le concert d’Ardmore a été l’un des plus beaux moments.» […] […] Dès les premières notes, les spectateurs comprennent que les Français vont frapper fort, très fort. Ils tapent dans leurs mains, crient aux sons des riffs de guitare et des solos de batterie. À la fin du premier soir, Rob, le patron du Local 269 sur Manhattan, est aux anges : «C’était d’enfer, c’est la deuxième fois que des Français déchirent comme ça !» […] L’expérience est un franc succès. En plus de l’aspect humain d’une tournée qui soude les formations, il y a la satisfaction de voir l’impact fort de leurs chansons sur le public américain. Et quand on voit l’accueil qui a été réservé aux artistes, on peut être sûr que l’Amérique les reverra dès que possible. RUBBER FACTORY «La meilleure c'est la suivante et la dernière donne envie de tout réécouter ! Ils arrivent à concilier recherche sonore et esprit garage : leur son est brut et épais, sans fioritures inutiles, mais surtout d’une vitalité débordante. Les mélodies imparables sont renforcées par des riffs crasseux. L’Alsace Août 2012 – Sébastien Riotto Du très bon blues rock mais avec quelque chose de plus moderne, de plus lourd et chaque titre projette dans un paysage américain authentique avec son peuple et sa culture.» WAS Magazine 4e trimestre 2012 – Patrick Schwertz LENNY KRAVITZ BLACK AND WHITE AMERICA JEWLY ÉLECTRISE LE PUBLIC DU PORT DU CROUESTY Lundi soir au port du Crouesty, Jewly a livré une prestation électrique qui a conquis le public. Minijupe, tatouages et veste en cuir, Jewly monte sur scène telle une icône du rock, rugissant dans son micro. Très vite, sa reprise de Satisfaction des Rolling Stones fait se trémousser petits et grands. «Vous allez me montrer ce que c'est la Bretagne», lance-t-elle d'un air de défi. Elle enchaîne sur Peanuts, un titre plus blues, se déhanchant lascivement, et sa voix rauque se fait de velours. Entre les chansons, tantôt en français tantôt en anglais, elle instaure un vrai dialogue avec le public. Bientôt, Johnny et Méline se retrouvent sur scène, choristes improvisés le temps d'une chanson. Jewly lance un challenge de photographie, invitant chacun à lui envoyer «une photo de fou du concert». Quand elle reprend Rolling on the river, de Tina Turner, le public frappe des mains en cadence, et Johnny se lance dans un rock endiablé. Jewly descend dans le public pour un petit bain de foule. Sous prétexte d'une photo, elle invite les spectateurs à se rapprocher. «On est mieux comme ça, non ?» Lundi soir au port du Crouesty, on était bien avec Jewly. Ouest France Août 2013 […] De son enfance, Jewly a gardé l'amour de la musique classique que lui a transmis son grand-père. Amour et partage. Puis le souvenir ému de son violon, compagnon de ses premiers pas sur scène. Vibrations, cordes sensibles. La petite fille grandit, trouve sa voie, puis, bientôt, sa voix. Sensible, puissante, sincère, généreuse. Lorsque vous la rencontrez dans la vie de tous les jours, Jewly est une jeune femme tranquille, paisible, bien dans ses baskets. Mais dès qu'elle se déchausse et monte sur scène, en une fraction de seconde, la transformation s'opère. Un peu comme quand les personnages de Dragon Ball se changent en Super Saiyan. D'un instant à l'autre, la miss semble s'électrifier. Son expression et sa gestuelle changent du tout au tout. Sa voix émane du plus profond d'elle-même. Une voix rauque, rock et chaude comme un bon vieux whisky, qui fait jaillir les émotions et foudroie littéralement l'auditoire. Quand la chanson se termine, elle baisse les yeux et murmure un merci presque timide comme si le démon qui avait pris possession d'elle venait de se retirer. Aussi fragile qu'un souffle, aussi forte qu'une tempête. La scène comme catalyseur de ce fantastique dédoublement de personnalité. Vous en sortez groggy, sonné, comme si vous veniez de vous prendre une rafale d'uppercuts dans la tronche mais, à la fin, vous n'avez qu'une seule envie : remonter sur le ring pour connaître à nouveau cette sensation grisante, cette décharge électrique. La légende raconte que le bluesman Robert Johnson avait vendu son âme au diable en échange de son jeu de guitare virtuose. J'ignore si Jewly a conclu un pacte similaire pour atteindre une telle intensité vocale. Mais, quoi qu'il en soit, avec ses complices musiciens, elle donne naissance à un univers singulier, qui puise ses racines chez les plus grands du blues et du rock. Un héritage auquel, sans rien renier du passé, elle apporte sa touche de modernité et de féminité. C'est fort, très fort et vous aussi, bientôt, vous y succomberez... Blog J'ai tout lu, tout vu, tout bu... Septembre 2012 MON TOP 3 THE BLACK KEYS JEWLY Jewly a effectué l'ouverture du festival féminin de Padul'ella. ALBUMS COUPS DE COEUR […] La jeune chanteuse haut-rhinoise a livré une heure et demie d’un concert vivant et dynamique, à l’image de son interprète, auteur et compositeur. […] […] La deuxième partie de soirée est une grande première à Bourgheim et une fierté pour Dyn’Anim : l’accueil de Jewly. Jeune artiste française, interprète, auteur, compositeur, Jewly développe ses facettes en groovant sur les couleurs du rock’n’blues […] DNA Juillet 2012 Tour à tour sensuelle, touchante et provocante Jewly a su y faire pour que son public ne s’ennuie pas. La chanteuse, pieds nus sur scène (d’où le titre de son dernier album), a pris le temps de venir plusieurs fois au contact de son public, se promenant dans les allées ou s’asseyant à ses côtés. Tour à tour sensuelle, touchante et provocante, elle a su mettre à profit sa voix à la fois puissante et douce. […] La chanteuse a accompagné ses mélodies rock - pour la plupart chantées en anglais - d’échanges avec la salle entre chaque morceau. L’anniversaire de l’un, un clin d’œil à l’autre, un aparté sur la chanson à venir, Jewly est apparue à l’image de ses textes, douce et forte à la fois. I’m living for provocation, No Shoes ou encore Behind the line, issu de son premier album, ont semble-t-il enchanté le public présent samedi soir. Des thèmes très personnels Elle s’est agenouillée, s’est assise, a presque couru sur scène : on retrouve dans son caractère les traits qui marquent ses chansons, avec des thèmes très personnels, comme sa relation avec le public, ou le jugement d’autrui. Elle a même profité de son passage à la Saline pour déboucher, sur scène, une bouteille de vin. Et a de suite proposé à la salle de la partager avec elle et ses musiciens. […] Le rappel, lui, s’est fait sur Now, I know. Jewly pouvait alors quitter la lumière blanche qui l’a illuminée tout au long du concert. SEASICK STEVE YOU CAN’T TEACH AN OLD DOG NEW TRICKS Corse Matin Septembre 2012 – Michel Maestracci DNA Juillet 2012 – Sophie Sanchez RETROUVEZ L’INTÉGRALITÉ DES ARTICLES SUR SON SITE WWW.JEWLYMUSIC.COM ET RETROUVEZ ÉGALEMENT LES ARTICLES ANTÉRIEURS : Les Chroniques de Mandor - L’Alsace - Zikannuaire - Impul’sons - Offenburger Tageblatt (DEU) - Mittelbadische Presse (DEU) - City Strass - Zut ! - Musicalive - Le point Éco - Blog Les Agités du Bocal... C'est chaud, funky, rock, and soul, avec des accents motown, des mélodies simples mais envoûtantes, des textes matures et plus personnels et des arrangements recherchés et maîtrisés. Ce disque met de bonne humeur et est bourré d'optimisme.» DNA Avril 2012 – B.H. Le Dusty Rose Saloon de Borgo offrait aux derniers estivants et au public local un concert de qualité vendredi soir. Jewly, chanteuse de blues venue de l’est de l’Hexagone, était à l’affiche avec son combo de musiciens. Les premières notes délivrées par Sylvain Troesch à la guitare et Raph Schuler à la batterie ne laissaient planer aucun doute, la soirée allait être d’enfer. Un enfer bien agréable avec la voix de Jewly qui allait impressionner l’auditoire. […] […] Artiste découverte en 2006, lors de l’hymne Unicef de la période de Noël, puis sacrée deux ans plus tard «meilleur espoir local». Celle qui fit aussi la première partie des concerts de Florent Pagny possède indéniablement un certain charisme sur scène. Sa voix chaude et grave se réclame d’influences soul, funk et jazzy, mais parvient à déployer une énergie très rock and roll. Longue liane aux cheveux de jais, elle chante et danse avec un plaisir évident devant un public sous le charme. […] «Un album très diversifié, beaucoup de sons différents, du rock aux ballades en passant par des titres plus "urbains". Album très intéressant et qui s'écoute à volonté ! «La musique que ce grand homme est capable de sortir avec trois fois rien, une caisse en guise de batterie, trois cordes pourries tendues sur une boîte à savon au son inimitable nous rappelle les origines du blues. Avec Seasick Steve on retrouve l'essence, la quintessence du blues. […] Alliant différents univers musicaux, le style Jewly est des plus imaginatifs et audacieux : ruptures rythmiques et mélodies de grande amplitude vont de pair pour donner à ses chansons un éclat très personnel, empreint de jazz, rythm’n blues et de rock […]. C’est probablement sa voix qui a retenu l’attention du public présent dans la cour du festival : grave et de velours, elle donne une couleur et un relief à chacun des morceaux, interprétés en langue française ou anglaise […]. Évoquant les choix de vie et des accidents de parcours, ses chansons préfèrent les cicatrices de l’âme aux tableaux arcadiens de bonheurs surannés. Sur la scène du festival, telle une tornade, Jewly a débarqué pieds nus, un clin d’œil à son EP «No Shoes», sorti tout récemment. C’est aussi un titre présent sur sa dernière production qui invite l’auditeur à retirer ses baskets et se lancer pleinement dans la vie. Un morceau qui finalement résume excellemment le personnage et l’esprit du concert : spontanés et énergiques. «Une fois que je me suis appropriée une chanson, j’aime la vivre sur la scène. C’est un réel plaisir», reconnaît Jewly. Durant une heure, d’un bout à l’autre du plateau, l’artiste s’est donnée au public, charmé par son sourire ravageur. L’irruption de plages instrumentales a créé des sortes de respiration durant le concert. Ces instants ont été l’occasion pour Jewly d’affirmer de façon stupéfiante son omniprésence sur la scène, complétée par une certaine facilité à habiter l’espace grâce à une complicité avec les musiciens et des danses appropriées. La performance s’est achevée sous des applaudissements nourris et un nouveau public conquis. La jeune et belle artiste, bourrée de dynamisme, a su enchanter les spectateurs conquis par son talent. Sa voix cuivrée lui permet d’interpréter tous les styles de musique, tantôt doux, tantôt rythmés façon rock, funk ou blues, quand ce n’est tout simplement un mélange de tout […]. Au vu de sa prestation samedi à La Scène, son titre de «meilleur espoir local» au Trophée Est People en 2008 confirme son talent et sa musique innovante, authentique et quasi unique en France. Sa carrière semble également bien lancée, témoins ses nombreuses scènes comme en 2010 en première partie de Florent Pagny ou plus récemment celle d’Axelle Red à Strasbourg. Proche du public, elle n’a d’ailleurs pas hésité à passer dans les gradins, tout en continuant à chanter. Et la salve d’applaudissements en fin de concert l’a justement récompensée de sa débauche d’énergie, avant qu’elle ne satisfasse quelques fans en dédicaçant son dernier album. DNA Août 2011 – F. Mi DNA Décembre 2011 Un chaman capable de scotcher avec trois notes sur une corde même pas assez tendue et sa voix de bourlingueur qui a tout vu, tout entendu, tout subi et tout connu. La diversité de sonorités avec son utilisation d’instruments artisanaux amène une touche encore plus personnelle. Des chansons stupéfiantes de justesse, que ce soit dans la musique ou dans les textes. Juste magnifique !» son actualité, ses chansons et ses vidéos sur ses différentes plateformes en ligne ! jewlymusic JewlyFanpage jewly_music JewlyMusic POUR TOUTE DEMANDE, N'HÉSITEZ PAS À PRENDRE CONTACT : [email protected] +33 (0)7 81 86 17 70 Retrouvez ce dossier de presse en version numérique, ainsi que des visuels en haute définition sur le site www.jewlymusic.com TEAM JEWLY Avec leurs petits doigts sur le clavier : Admirable Nelson, Mina Moutski et Jewly Orchestration graphique : manahoana.com Boussoles artistiques : Emmanuel Hoff, Marc Lehmann Stéphien RETROUVEZ JEWLY