Un scanner high-tech Le n°2, bientôt dans vos établissements

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Un scanner high-tech Le n°2, bientôt dans vos établissements
Juillet / Août 2008
Polyclinique Notre-Dame à Draguignan (Var)
Un scanner high-tech
Voici quelques semaines se déroulait l’inauguration du scanner «Philips
Brillance» à la Polyclinique Notre-Dame de Draguignan. Une petite révolution.
Brèves
Opération « mains propres » à
Castres et à Vannes
La Polyclinique du Sidobre à Castres
et la Clinique Océane à Vannes ont
participé vendredi 23 mai à la journée
nationale pour la lutte contre les maladies
nosocomiales. L’opération poursuit un
double objectif : rappeler l’interdiction
de porter des bijoux sur les mains et les
avant-bras ; et promouvoir l’utilisation
de produits hydro-alcooliques pour
se frictionner les mains au moins 30
secondes.
Gestion prévisionnelle des
compétences
Suite à un dépôt de dossier à l’A.R.H.,
la Polyclinique de la Châtaigneraie
à Beaumont (Puy-de-Dôme) et la
Polyclinique Saint-François/SaintAntoine à Montluçon (Allier) ont obtenu
une subvention de 20 000€ chacune. Cette
subvention leur permet de lancer le projet
de la Gestion Prévisionnelle des Emplois
et des Compétences (G.P.E.C.).
Journée découverte
à Saint-Omer
De nombreuses personnalités
médicales et civiles, dont le maire
de Draguignan, Max Piselli, étaient
présentes lors de l’inauguration.
S
oumis à l’autorisation de l’A.R.H.
(Agence Régionale de l’Hospitalisation)
et de l’A.S.N. (Agence de Sécurité
Nucléaire), le projet devait répondre à trois
impératifs : efficacité, innovation, sécurité.
Pari réussi !
Selon le Docteur Valadié, radiologue :
« Le défi était de répondre à une demande
croissante d’examens scanographiques
dans des délais acceptables en assurant
une qualité d’examen parfaite. La mise en
place d’un agenda numérisé a permis d’autre
part, de proposer des rendez-vous dans les
meilleurs délais. »
Ce scanner d’un genre nouveau possède
40 récepteurs et permet d’accéder à toutes
les gammes de diagnostics de la médecine
moderne. Sa puissance informatique permet
des traitements d’images complexes avec
reconstructions dans tous les plans de
l’espace et en volume, très utiles dans
l’étude du squelette ou des vaisseaux et pour
le repérage des lésions. Des logiciels plus
complexes donnent accès à des techniques
novatrices comme la détection des tumeurs
pulmonaires à un stade précoce. La rapidité
d’acquisition des images (10 à 20 secondes
pour l’exploration du corps entier) assure
au patient un plus grand confort et permet
au médecin de consacrer plus de temps à
l’écoute de son patient et à l’établissement
du diagnostic.
L’innovation la plus intéressante reprend le
Docteur Valadié  « réside dans l’association
radiologues-cardiologues, pour la réalisation
de coronaro-scanners. Cette nouvelle
technique ouvre la voie au diagnostic
précoce des maladies coronaires et à la
prévention de l’infarctus du myocarde ».
Quant à la sécurité, ce scanner est
doté d’un système limitant les doses de
rayonnement au minimum et d’un appareil
de mesure affichant instantanément les
doses délivrées, clairement inscrites sur le
commentaire de l’examen.
Un investissement d’un million d’euros :
l’appareil a coûté 750 000 €. Le reste a
été consacré aux travaux d’aménagement
du local. Voilà donc Draguignan dotée d’un
équipement dont la haute technologie, la
souplesse d’utilisation devrait en assurer le
succès !
dernière minute
➤ Réseau départemental des urgences dans le Tarn
Une réflexion départementale est engagée à la Clinique Toulouse-Lautrec à Albi et à la Clinique du
Sidobre à Castres sur la mise en place d’un réseau d’urgences pour le Tarn Sud et le Tarn Nord.
Groupe VITALIA
5, rue du Cirque 75008 Paris
Tel: +33 (1) 58 56 16 80 Fax: +33 (1) 58 56 16 81
Email : [email protected]
www.groupe-vitalia.com
Ce numéro de la Lettre de Vitalia a été imprimé a 10 000 exemplaires
Les enfants des salariés de la Clinique
Saint-Omer sont invités à venir découvrir
le lieu de travail de leurs parents. Au
programme : visite de la clinique, atelier
éducatif sur l’hygiène buco-dentaire,
l’hygiène des mains et le tri des déchets.
Vitalia devient partenaire du
Festival Interceltique
Le Groupe Vitalia vient de signer un
partenariat « sécurité et prévention »
avec le Festival Interceltique de Lorient,
un rendez-vous musical majeur de l’été.
Le groupe s’inscrit dans une démarche
d’accompagnement de la prévention
santé : prise en charge des frais de
secours et des médecins urgentistes.
Grâce à ce partenariat, des stands de
prévention devraient même voir le jour
afin d’informer les festivaliers des risques
et précautions à prendre lors de tels
événements.
Futur partenariat public/privé en
Creuse
Des rencontres ont été organisées à la
Clinique de La Marche à Guéret afin
d’envisager un futur partenariat public/
privé qui permettra d’organiser la prise en
charge des patients dans la département.
Groupement de coopérations
sanitaires à Aurillac
Au C.M.C. de Tronquières à Aurillac,
un dialogue régulier a été établi avec
l’hôpital pour conduire ensemble une
politique de prise en charge des patients.
Sont envisagés des coopérations dans la
cancérologie et les pathologies cardiovasculaires. Par ailleurs sont envisagés la
poursuite de coopérations dans le cadre
des urgences et de la réanimation.
du Groupe Vitalia / n°8
Editorial
Le futur
de Vitalia
En ce début d’été,
les réflexions sur le
changement éventuel
d’actionnaire de Vitalia se
poursuivent. Vous avez
probablement lu dans la
presse de nombreuses
informations contradictoires.
Faisons donc un point
rapide. Nous connaitrons
dans le courant du mois
de juillet les grandes
lignes de la réorganisation
actionnariale de Vitalia.
Dans tous les cas, Vitalia va
poursuivre la réorganisation
et la modernisation de ses
établissements ainsi que
son développement. Notre
stratégie repose sur une
croissance en réseaux de
santé régionaux. C’est
le fondement du projet
médical de Vitalia. Cela ne
se traduira donc pas par la
vente d’établissements. Au
contraire, en ce début d’été,
il nous a semblé important de
vous confirmer que l’avenir
de Vitalia est à la fois dans la
consolidation de l’existant et
dans la croissance.
Dr Christian Le Dorze
Jean-Baptiste Mortier
Président de Vitalia
Directeur Général de Vitalia
Le magazine de Vitalia
rencontre
Le n°2, bientôt dans
vos établissements
Les patients avaient adoré le
premier numéro. La direction de la
communication sortira dans quelques
semaines le numéro 2, plus ludique,
plus épais et autofinancé par nos
fournisseurs ! Un tirage à 250 000
exemplaires … Autant que l’Express !
Interview de Eric Brunet, Directeur
de la communication
ARIELLE
DOMBASLEest
“L’évasion rue”
au coin de la
et à l’œil malicieux,
à la chevelure blonde
attachante.
Mi-sylphide, mi-sirène,
créature irréelle et très
« possède à la fois
Arielle Dombasle est une
de Dior, dit d’elle qu’elle
John Galliano, le couturier et une innocence enfantine. »
félin,
la force et la grâce d’un
arc : avec sa voix
a plusieurs cordes à son
latino (« Amor,
Effectivement, la belle
sexy, elle chante des airs
de soprano et son timbre
») qui remportent un
glamour (« C’est si bon
amor ») et des refrains
formes de rêve, elle peut
sa taille de guêpe et ses
énorme succès. Avec
cinéma des rôles de
au
jouer
comme
se dévêtir au Crazy Horse
cérébrales ou de joyeuses
fil
délurées. Si l’on suit le
d’Arielle, il peut nous entraîner
loin sur des terres inconnues.
loisirs
Les mordus de la randonnée
Saine, agréable et bonne pour la santé, la randonnée
de six
est un loisir auquel s’adonnent régulièrement plus
font-ils ?
millions de Français. Qui sont-ils ? Pourquoi en
LAURE RIQUIER
Rencontre avec ces infatigables marcheurs. PAR
LA VILLE
L’ATLANTIQUE
« Depuis tout petit, j’aime
marcher. Cela vient du fait que
j’avais
j’ai grandi à la campagne et qu’adolescent,
tendance à rater le car scolaire qui m’emmenait
au collège. Or, celui-ci se trouvait à six kilomètres
de chez moi. C’est comme ça que j’ai découvert
le plaisir de la marche... Depuis je passe toutes
les
mes vacances avec mon sac à dos à suivre
je
chemins de Grande Randonnée. L’été dernier,
suis retourné sur le célèbre GR20 qui traverse
la Corse. Mais je trouve que le GR20 ressemble
parfois à un boulevard tant le nombre de
pas
randonneurs est important. Même si on n’est
propriétaire des voies. »
LA MONTAGNE
« Ce que j’aime,
c’est marcher
en ville. Il y
a plein de choses à voir, de
personnes à observer. Pour moi
qui travaille enfermée dans un
bureau au cœur de Paris, aller
dehors et chercher la lumière
de la ville, c’est primordial. Alors
chaque midi, j’ai pris l’habitude
d’aller me balader pendant ma
pause déjeuner. Si la journée a
été dure, ça me fait du bien de
rentrer jusqu’à la gare SaintLazare à pied, juste pour le
plaisir de flâner. Et lorsque je suis
en vacances, c’est pareil. J’ai
l’impression de mieux découvrir
une ville lorsque je la parcours en
marchant. C’est ainsi que j’ai
découvert Londres, en me
perdant dans ses petites rues. »
« Mon truc à moi,
c’est le bord
de mer. Et en Vendée, je suis
gâtée ! J’emmène mon chien faire
de longues marches le long de
l’océan. Malgré le vent, c’est très
apaisant. Les littoraux sont assez
bien préservés dans la région. La
côte sauvage n’a pas été livrée
aux promoteurs et les sentiers
ont été aménagés pour pouvoir
se ménager quelques pauses.
Sur les rivages de l’Atlantique,
on peut parcourir des kilomètres
entre terre et mer. J’aime aussi
prendre le bac pour l’île d’Yeu. Si
l’été, l’endroit est très touristique,
avant et après la saison, ce pays
constitué de landes, de plages et
de chemins redevient le paradis
des marcheurs. »
S
Une activité récente...
LE LOT
LE GR20
i l’homme marche et se
déplace depuis son apparition
il y a six millions d’années, la
randonnée, telle que nous la
connaissons, n’est apparue
qu’au XIXème siècle. On la doit à un citoyen
Suisse, Horace-Bénédict de Saussure,
qui, uniquement pour son plaisir, s’était
mis en tête de gravir le Mont-Blanc et de
parcourir le Jura, les Vosges, le Forez ou
encore le Vivarais. C’est en France, en
1837, qu’est publié le premier guide de
randonnée: « Quatre promenades en forêt
de Fontainebleau ». Cinq années plus tard,
le gardien de la caserne de Fontainebleau,
Claude-François Denecourt, trace
le premier sentier dans cette même
forêt. Aujourd’hui encore, les « sentiers
Denecourt » existent toujours. Et cela pour
notre plus grand plaisir.
La Lettre : Quel est le principe du
Magazine de Vitalia ?
Eric Brunet : Chaque patient qui vient
en consultation ou en ambulatoire
doit pouvoir le lire. Chaque personne
hospitalisée doit le trouver dans sa
chambre. Il est l’ambassadeur de notre
marque. Il signifie une idée simple :
Vitalia s’occupe de votre santé mais
aussi de la qualité de votre séjour. Ce
journal est une attention de plus que
nous portons à nos patients.
La Lettre : Comment les patients de
Vitalia ont-ils reçu le premier numéro
du magazine ?
E.B. : Les patients jugent souvent
leur hospitalisation sur des critères
qui ne sont pas médicaux. On
connaît par exemple l’importance
de la nourriture ou du sourire
du personnel soignant. Vous
comprenez donc que ce journal distribué
dans chaque chambre a été un rayon de
soleil pour des dizaines de milliers de
patients.
La Lettre : Pourquoi un second numéro ?
E.B. : Ce n’est pas la direction de la
communication qui l’a voulu. Ce deuxième
numéro nous est réclamé par les
personnels des établissements qui voient
là une occasion de créer du lien avec les
patients.
La Lettre : Comment sera ce numéro 2 ?
E.B. : Nous avons demandé à une
vraie rédaction d’y travailler. Il aura plus
de contenu, plus de jeux. Il y aura des
interviews de célébrités, des articles de fond,
des enquêtes … Ayant vu le numéro 1, de
nombreux fournisseurs nous ont demandé
une page de publicité dans ce numéro-ci.
Il sera donc autofinancé, ce n’est pas un
détail anodin.
La Lettre : Le mode de diffusion repose
beaucoup sur les personnels des
cliniques …
E.B. : C’est vrai mais la quasi-totalité des
cliniques a joué le jeu. Les personnels ont
compris que ce magazine était un sésame
formidable. Une occasion de plus de dire
au patient : nous sommes à vos côtés.
La Lettre : Quand les établissements
recevront-ils ce magazine ?
E.B. : Il sera livré dans la dernière
semaine du mois d’août à chacun de nos
établissements et en quantité suffisante
pour l’automne.
Brèves
Mathis, le 5 000ème bébé de la
maternité Océane (Vannes)
Sage comme une image, Mathis a vu le jour
le samedi 7 juin à 9h45. Un beau p’tit gars
de 4,160 kg ! Il ne le sait pas encore, mais il
est le 5 000ème bébé né à la maternité de
la Clinique Océane. Alors, pour marquer
l’événement, la direction de la clinique
a tenu à faire un cadeau aux parents. Le
couple de militaires du 3ème régiment
d’infanterie de marine de Vannes s’est
vu offrir un week-end dans un hôtel de
charme.
L’affiche est déjà
disponible dans vos
établissements.
Vitalia lance une campagne
contre la iatrogénie
En France, les mauvaises associations de médicaments font 10 000 victimes par
an, soit deux fois plus que la route. Cette « maladie » a un nom : la iatrogénie.
La Lettre : En quoi va consister la campagne
Vitalia contre la iatrogénie ?
François Larue : Nous
allons mener une
campagne d’affichage
pour amener le patient
à mieux informer
son praticien. Notre
objectif est de recenser
tous les traitements
Dr François Larue, médicamenteux du
Directeur de la
patient, en premier
qualité du Groupe lieu les traitements
Vitalia
qu’il prenait avant son
hospitalisation.
La Lettre : Cette action n’était-elle pas plutôt du
ressort des pouvoirs publics ?
F.L. : On ne peut pas dire que les pouvoirs
publics n’ont rien fait : les campagnes pour le
« bon usage du médicament » par exemple se
sont mises en place il y a plus de quinze ans.
Les règles de prescription et d’administration
des traitements lors d’une hospitalisation
apparaissent dans des textes qui ont près de
dix ans ! Le manuel de certification rappelle
ces règles et les experts-visiteurs vérifient
lors des visites la conformité du « circuit du
médicament ». En cas de non-conformité, des
décisions sévères sont prononcées.
La Lettre : Concrètement que demandez-vous
aux patients ?
F.L. : Nous leur demandons leur participation.
Il est indispensable que les médecins
qui les prendront en charge en cours
d’hospitalisation connaissent avec précision
les traitements pris à domicile. Certains
doivent être poursuivis, certains arrêtés.
Mais cette information est essentielle pour
adapter les traitements prescrits. Les patients
doivent la fournir  lors des consultations,
soit en amenant leurs ordonnances, soit
en venant avec une lettre de leur médecin.
Notre campagne d’affichage dans les salles
d’attente des établissements Vitalia invitera
les patients à préciser leurs traitements
personnels.
La Lettre : Comment peuvent s’insérer les
médecins de Vitalia dans cette action ?
F.L. : Tous les professionnels ont leur place
dans ce dispositif. Mais les médecins ont la
responsabilité spécifique de la prescription.
Cette prescription doit se faire avec rigueur.
Par exemple, la prescription orale est interdite
en dehors de l’urgence vitale. Les infirmières
n’ont pas le droit de donner un médicament
qui ne fait pas l’objet d’une prescription
écrite, datée, signée, lisible… Les audits
pratiqués dans les cliniques montrent que
ces règles ne sont pas systématiquement
respectées. Pourtant on ne peut pas se
permettre d’approximation dans ce domaine.
La Lettre : Pensez-vous vraiment que cette
campagne peut réduire les statistiques
macabres de la iatrogénie ?
F.L. : Cette campagne est indispensable.
Elle donnera forcément des résultats dont
l’importance dépendra de l’implication de
tous, patients et soignants.
Des sites Internet plus clairs et
plus pratiques !
Notre équipe du marketing a repensé la
mise en page des sites web des cliniques
du groupe afin de rendre la lecture plus
attrayante et plus claire. Les informations
essentielles à l’hospitalisation des patients
sont ainsi plus faciles d’accès. Elles sont
là pour rassurer les patients et leur
famille. Des documents pratiques (fiche
de pré-inscription, livret d’informations
sur le séjour, fiche de désignation de la
personne de confiance) sont disponibles au
téléchargement afin de préparer au mieux
l’admission des patients.
27 nouveaux lits à Vendôme
Le projet médical et la réorganisation des
blocs à la Clinique Saint Cœur à Vendôme
ont permis de finaliser un projet de mise
en place de 27 lits de soins de suite et de
réadaptation.
Construire le dialogue avec la
presse locale
La plupart des quarante-six délégués
communication des cliniques Vitalia
ont participé fin mai et début juin à
des séances de formation à la prise de
parole en public. Objectif : améliorer
la communication au sein des
établissements, mais aussi communiquer
face aux journalistes qui sont des relais
d’opinion importants entre nos cliniques
et nos patients.
Réunion du Club des
orthopédistes
Le 14 juin a eu lieu la réunion du club des
orthopédistes de Vitalia à la Maison des
Arts et Métiers à Paris. Cette journée avait
pour objectif l’élection du bureau du club.
D’autres sujets ont été abordés tels que les
prothèses de genou et de hanche.
Création de la Direction de la
Politique Médicale
Nous avons le plaisir de vous annoncer
la création de la Direction de la Politique
Médicale de Vitalia. Le rôle de cette
nouvelle direction est d’accompagner
le groupe dans le développement de la
qualité et de la sécurité des soins avec un
objectif d’efficience médico-économique.
Elle est composée du Docteur Richard
Benhaïm (Bourges), du Docteur Jacques
Delfosse (Nancy) et du Docteur Daniel
Gontiès (Provins).
Zoom sur la Polyclinique de Gentilly, à Nancy (Meurthe-et-Moselle)
Les 40 printemps
de la Polyclinique
de Gentilly
Le 27 juin,
la Polyclinique de
Gentilly fêtait son
40ème anniversaire. Au
travers d’un historique
et d’interviews, La
Lettre de Vitalia retrace
son évolution.
Les années 70 :
Les Docteurs Pierre Lamy
et Jean Lochard ont l’idée
de créer une grande
clinique privée à Nancy.
Ils ont pour souhait de
construire un établissement
pluridisciplinaire avec des
La Polyclinique de Gentilly,
40 ans d’histoire
praticiens compétents et
des moyens techniques de
haute qualité. Pari gagné !
Après six semaines d’activité, les 216 lits sont
occupés, et la polyclinique devient une des
Que
premières grandes cliniques de France.
représente la Polyclinique de Gentilly pour vous ?
Les années 80 :
Ces années sont marquées par le
développement du premier service de
dialyse de Nancy et du service d’oncologie.
Ces démarches répondent à l’explosion
des besoins en compétences et technicités
médicales. Gentilly entre dans l’âge adulte.
Les années 90 :
Le développement de la polyclinique
s’accélère et se diversifie. Elle développe
la chirurgie ambulatoire ainsi que des
pôles d’excellence tels que l’orthopédie et
la cancérologie grâce au recrutement de
nouveaux praticiens et au rachat de plusieurs
cliniques.
Les années 2000 :
Le 8 février 2007, la Polyclinique de Gentilly
rejoint le Groupe Vitalia. Son entrée dans
le groupe lui permet d’élargir son offre de
soins de l’hospitalisation de courte durée à
la fin de vie en passant par la rééducation
fonctionnelle et la gériatrie.
Michèle COLLET,
Chef des blocs opératoires
Gentilly est un établissement
évolutif et multipôles qui m’a
permis de mener plusieurs
projets, notamment sur les
plateaux techniques. Je
suis fière d’être une de ces
professionnelles à qui on a fait
confiance.
Séverine BENAÏSSA,
Assistante du chef des blocs
opératoires
C’est un important et beau
vaisseau dont j’apprécie depuis
quinze années déjà d’être
mousse.
Jean-Marc WEBER,
Infirmier, référent
informatique
C’est un établissement convivial
dont sa politique en matière de
formation professionnelle m’a
permis d’une part d’accéder à
la formation d’I.D.E. et ensuite
d’intégrer le service informatique
en tant que référent I.D.E.
Vers le premier pôle sanitaire européen : le Médipôle
Interview de Rémi Bouvier, Directeur de la Polyclinique de Gentilly.
La Lettre : Rémi Bouvier, quel est votre
regard sur Gentilly ?
Rémi Bouvier : L’établissement s’est fait
rapidement remarquer dans le monde de
la santé et de l’hospitalisation comme un
site de référence et de qualité.
La Lettre : Un mot sur le Médipôle ? Sans
angélisme on peut dire que cette structure
illustre la culture de l’excellence qui règne
chez vous…
R.B. : Ce sont les praticiens qui ont eu
l’ambition de construire autour de cet
établissement, un centre de prise en
charge médicale pluridisciplinaire : le
Médipôle. On ne le répète pas assez
souvent, le Médipôle intègre un des
plateaux d’imagerie les plus importants
de France mais aussi un laboratoire
de biologie et de nombreux cabinets
médicaux et plateaux techniques
libéraux. C’est un concentré de talent, de
performance médicale… J’en suis très fier.
La Lettre : Il n’y a plus rien à faire alors ?
R.B. : Vous plaisantez ? Aujourd’hui,
nous ambitionnons de regrouper sur ce
Médipôle toutes les autres structures
d’excellence afin de constituer le premier
Pôle Sanitaire Européen. La venue de
Vitalia va nous permettre de concrétiser
ce rêve. Beaucoup pensaient le monde de
la santé figé, pour ne pas dire en déclin…
Les praticiens du Médipôle alliés à Vitalia
relèvent le défi. Nous allons passer du rêve
à la réalité. Rendez-vous dans quelques
années sur le plus grand Pôle Privé
Européen !

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