dossier de presse - Site officiel du groupe Les Iguanes

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dossier de presse - Site officiel du groupe Les Iguanes
DOSSIER
DE
PRESSE
CONTACT : Association Les Iguanes
Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou))
Le Larcher
Email : [email protected]
01990 CHANEINS
www.lesiguanes.free.fr
Le Groupe
Lanou :
Basse
Seb :
Guitare soliste
Pedro :
Batterie
Mich :
Chant
Titan :
Guitare rythmique
En 1993,Mich,Pedro,Titan
commencent à jouer ensemble "Juste pour le plaisir" (c'est une citation originale d' un
des 3 précédemment cité, et c' est pas pompé sur le titre d' un certain Herbert H. qui
a fait un tabac longtemps, longtemps il y en a).
Premiers textes, premières compositions.
Trois ans plus tard, avec encore plus de plaisir,
les frères Nugues se greffent au trio. Ils ont entre 25 et 35 ans ( pas les frères
Nugues, mais les 5 réunis).
Michel Morel, Christian et Pierre Goy, Sébastien et Hervé Nugues formirent t' alors:
« Les The ZIguanes »
Les Iguanes tabassent donc un Reptil'N'Roll français (quoique...)
à guitares rabattues ( à cause du Nugues tout frais entre autres) et se propulsent à
l'assault des bars et fiestas où on leur accorde une paire d'heures pour se faire les
crocs. et pis voilà que c'est trop tard, le people y a goûté avec ses oreilles et ses yeux
et il en r'demande!! Chaque concert enflamme la salle, les gens repartent trop contents
avec le tout 1er diks (1999)(bravo la pochette au passage!) et leur affiche dédicacée
et un canon dans l'nez. Et puis c' est l' engrenage, le succès bien mérité, les groupies,
de la Heineken à la place de la Kro, la classe, quoi...
Une musique « brûlante » pratiquée de sang « froid »
...Jusqu'à ce qu' un soir, Pedro nous ramène un type au local: il avait pas l' air bien
malin et un gros nez qui supportait des lunettes rondes, mais bon, il fallait bien
remplacer notre Larby Nugues à la basse ( celui-ci étant parti, non sans prévenir, s'
affairer à d'aut'zaffaires tout à fait louables ma foi...). Et puis voilà que les flammes
repartirent de plus belle avec ce bizzare individu du nom de "Alain Combi"(c'était un
drôle de nom en plus, alors ça a pas trainé à devenir "Lanou"), et même le Seb Nugues
qui continuait-avec paraissait s'éclater encore plus!.. Il s'est mis à redoubler ou
requintupler de dexterité et de speedité dans ses solos trop top Klâssieux que t'en
reste scotché dans ton fauteuil...(ah non, merde, on est debout aux concerts...) Enfin, il
bosse vachment + que les autres tout seul chez lui...Et Titan "Bouges pas, j'm'accorde!"
qui rigole comme d'hab' mais qui est bien content quand même. Quant au GröMich, qui
n' avait pas besoin de ça pour délirer et se donner à fond, toujours-est-t'il kill est aux
anges..."saoûles"!!.................................
L'apothéôzzzz...L'osmôzz comme dit Titan!
Un feeling qui tue, une atmosphère au plus hot, les mots sont francs,
les textes en français (parfois en lituanien), l'ambiance est spontanée et imprévisible...
(Merci Mich!..et Lanou aussi pour son jeu de jambe sur le 3ème couplet-4ème tirade de
"L'as des Astres"
Huit ans d'existence pour Les Iguanes qui canalisent une énergie de feu:
énergie disponible sur leurs deux albums auto-produit et enregistrés au studio ADN.
CD 11 titres « A l'ombre des 40° » sortit en Février 2003
CD 10 titres « Y'a pas d'lézards... » sortit en Novembre 1999
Avec une maîtrise redoutable de la scène, ils ont entre autre joué avec
avec Drakkar Tone, Forlax, Parabellum, Iggy Pop (de la Cx Rousse), Big Mama...
En Avril 1998, ils rendaient fous les phacochères de la fosse du Transbordeur
en première partie de Parabellum.
En Septembre 2001, ils ont fait brasser toute la salle de la brasserie du Ninkasi (Lyon
Gerland).
En Mai 2001, ils étaient en première partie de Big Mama pour les 24 heures de l'INSA
à Villeurbanne devant 5000 personnes.
Les 7 et 8 Aout 2004, ils font vibrer les 20000 spectateurs du Burns Day, qui a lieu à
Rivesaltes.
A L'HACIENDA A VILLEFRANCHE
Revue
« Y'a pas d'lézard »…
de
C'est devant une salle archi-comble, que s'est produit
un groupe insolite baptisé « Iguane ».
Le « reptile rock » fait son apparition...
Après deux ans de «dur labeur», les Iguanes, qui n'ont pas moins de 40
concerts à leur actif, entendent bien faire valoir un nouveau style de
musique : le «reptile rock», une musique «chaude» pratiquée de «sang
froid».
Formé à la dure école des mini-concerts et autres concerts «garages».
Les Iguanes ont pris une autre dimension avec la compil' «Rock en
Saône» parue en C.D. Curieusement, ils n'ont eu aucun «retour» après
cette parution. Toutefois, une tournée dans les départements de la
Drôme et de l'Ardèche ainsi qu'en pays suisse est prévue, donnant ainsi
au jeune groupe l'occasion d'échanges «culturels».
Un moyen aussi de faire facilement passer des textes en français, eux
qui se disent plutôt influencés par des groupes comme Trust ou
Téléphone, restant dans la mouvance du rock français du milieu des
années 70. Leurs textes, toujours très forts, sont un condensé de tous
les «trucs» vécus par le chanteur, qui nous avoue «ne pas connaître la
langue de Shakespeare», mais mieux «celle de Dante».
Le groupe qui ne recule devant aucun déguisement, même les plus
«kitch», est capable de varier les genres, passant du rock le plus
débridé à la ballade la plus romantique, jusqu'au quadrille façon FarWest mâtiné de français. «Virus», «Août» ou «Franchise» sont
quelques-unes des compositions originales de ce groupe qui ne manque
pas... d'originalité.
«Des textes qui tiennent la route» comme ils le disent eux-mêmes. Et
comme ils ont raison !
Presse
Enfin les Iguanes, quintet
pyromane de Saint-Trivier. Vu et
apprécié pour sa capacité à
embraser les scènes du secteur à
grands coups de rock baston et
tendre à la fois servi tout chaud
par des textes bien crus.
Conclusion: pas de lézard,
comme disait l'Iggy Pop qui s'y
connaît. Tous les reptiles ne sont
pas des dinosaures sous glace...
RASCAL & TORPÉDO
Le Progrès - 21/01/98
Enfin, Les Iguanes, redoutable
combo reptilien du val de Saône,
capable de déchiqueter une salle
d'un coup de groove frénétique ou
de la faire frémir d'une langue
fourchue. Allez, crache ton venin !
J-C R
Le Progrès – 12/11/97
Du coup, tout le monde s'y
retrouve. Aujourd'hui encore fidèle, le
Transbordeur travaille toujours avec
ceux qui faisaient leur premier fanzine
(Mr. Hublot) pour les groupes en
devenir. C'est ainsi que Louise
Attaque, Les Barking Dogs, Namas
Pamos, Lojo Triban, Cornu, Les Ogres
de Barback, La Tordue, Têtes Raides
ou Tryo (à la fin du mois) sont passés
d'un bar de la Croix-Rousse à la
grande scène du boulevard Stalingrad,
sans oublier des groupes bressans
comme Jour de Fête, les Complices,
les Iguanes, ou Euthanasie pour des
premières parties.
OLIVIER LEROY
Le Progrès – Mai 98
A une heure avancée de la
nuit, c'était au tour des
Iguanes
(un
hommage
caché à Iggy Pop) d'investir
la scène.
Flanqué d'un chanteur pour
le moins haut en couleur, ce
groupe possède de réels
atouts.
On notait aussi, comme par
enchantement, une nette
amélioration du son. Ainsi,
chaque instrument devenait
distinct.
Il est visible que les Iguanes
ont une longue expérience
de la scène derrière eux.
Leur jeu est bien huilé et
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RASCAL & TORPÉDO
Le Progrès - 05/05/98
tous
les
morceaux
s'enchaînent naturellement.
Proposant un rock plus
conventionnel
et
plus
mélodique, le groupe peut
se targuer de disposer d'un
répertoire
original.
Incontestablement,
le
meilleur de la soirée. Cette
soirée, organisée par la ville
et l'association "Une Ile au
large", aurait donc mérité un
meilleur sort. Tout était
réuni pour que la fête soit
réussie. Elle le fut dans
l'ensemble. Dommage que
peu en aie profité.
Le Larcher
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En deux ans, le
sympathique reptile du
val de Saône a apposé
sa griffe sur le rock
régional. Après avoir
cassé la baraque en
première partie de
Parabellum, les
Iguanes semblent bien
carapaçonnés pour
lézarder quelques
édifices. Mais l'animal
est méfiant de nature
et n'entend pas lâcher
la proie pour l'ombre
« On a tous de bons boulots à côté. L'intermittence ? Après le
Transbordeur, on s'est posé la question. Mais ça nous fait peur »
Iguana rock
P
etit larousse. I, ig..., ignoré...
saurien
iguane
:
"reptile
d'Amérique tropicale atteignant
1,50 mètres de long, portant une crête
dorsale d'écailles pointues, herbivore. Sa
chair est très estimée." Également,
groupe de rock de l'Ain. Le rapport entre
les deux ? S'agissant aussi du surnom
d'Iggy Pop, père reptilien du binaire
électrocuté, le rapprochement vient
immédiatement à l'esprit. « Non, c'est
un hasard » infirme le chanteur Michel.
« Un jour, on a trouvé un iguane en
plastique sur la route. Il est devenu la
mascotte de la bande. Un copain a fait
un super-dessin d'un iguane en rocker
avec la cigarette sur l'oreille... C'est peut
être plus le dessin que la bête qui nous
a décidé de prendre ce nom-là. »
Au carbone 14, la naissance de
l'animal remonte à 96, " a l'époque du
"Tostaky" », l'album clé des Noir Dés'. "
J'avais deux amis, Christian et Pierre,
deux frères qui jouaient de la guitare et
de la batterie dans leur cave à St-Trivier.
J'aimais bien écrire des chansons et
Christian aimait bien les jouer. On a fait
huit ou neuf morceaux. C'est parti
comme ça. » Le trio s'étoffe rapidement
avec l'arrivée de deux autres frangins
originaires de Villars. Sébastien prend la
guitare solo tandis qu'Hervé se met à la
basse. « Il a appris en même temps que
le groupe. Il apprend tout vite. »
La progression du bébé saurien
Les autres aussi d'ailleurs. Appelez ça
"groove", "énergie", "feeling", "contact"
mais quoi qu'il en soit, les Iguanes
possèdent d'entrée ce "petit-quelquechose-en-plus" qui retient les molécules
et fait toute la différence. A un concert à
Châtillon, Frédéric Devinant dresse
l'oreille. Le chargé de mission de l'ADDIM
les intègre dans l'opération "C'est ma
tournée 97" avec petite formation sur les
balances en prime. Ils suivent également
les
"répétitions
sur
écoute"
et
s'enregistrent dans le home studio de
l'ADDIM sous la haute autorité de
Caracas, ingénieux du son respecté et
redouté. « Il nous a écoutés pendant une
demi-heure... et nous a démolis pendant
une heure ! »
Les apprentis sauriens apprennent ainsi
le métier, comment bosser en répét' ou
structurer un morceau. Progression
sensible. En recherche d'amélioration
permanente ( « on est des éternels
insatisfaits » ), rôdé à l'école de la scène,
le sympathique groupe de bar devient en
deux ans un gang particulièrement
efficace, capable d'en remontrer à plus
d'une sélection régionale de ceci cela en
matière de rock'n roll.
Jungle, terrible jungle
Au jeu des sept familles, les Iguanes
pourraient être rattachés au clan très
fréquenté du "rock français à guitares qui
cavalent" avec des variantes selon les
membres. « Christian serait plus blues.
Le soliste, c'est Vaï ou Satriani. Le
batteur est un ex-punk, fan de la Souris
Déglinguée ou de Parabellum. C'est lui
qui m'emmenait à tous les concerts.
Hervé et moi, on est Noir Désir à fond. »
Influence perceptible dans des textes
crocs acérés et langue fourchue ( « je
regarde beaucoup la télé, ça m'inspire...
» ), un rien barré ( la vie de l'iguane y
tient une large place ), tout en finesse,
images et allusions. " On dissimule
beaucoup de choses. On aime bien que
les gens cherchent un peu. "
sens de la mélodie et goût de la
performance, ces iguanes-là semblent
bien carapaçonnés pour affronter la
jungle du milieu. Ou tout au moins pour
lézarder quelques édifices. A l'automne
dernier au Transbordeur, ils cassent
même carrément la baraque en première
partie de Parabellum. S'apprêtent à sortir
leur premier CD en août et se portent
candidats aux prochaines découvertes du
Printemps de Bourges.
Mais l'iguane est méfiant de nature. « On
a tous des bons boulots à côté. Pierre est
plâtrier-peintre. Sébastien et Hervé ont
une entreprise de cartons aux Echets,
Christian est opticien à St-Genis Laval et
moi je travaille chez Mavic. On répète
tous les jeudis de 22 h 00 à 2 h 00 mais
actuellement, ce serait difficile de faire
plus. C'est pour ça qu'on est toujours
resté dans un rayon restreint à faire des
petites salles qu'on connaît bien comme
l'Hacienda à Villefranche ou le First Rock
à Bourg. » Prendre une année
sabbatique
pour
voir,
devenir
intermittents? « Après le Transbo, on
s'est posé la question. Mais ça nous fait
peur, On évite d'en parler entre nous. Je
ne sais pas si l'on est fait pour
l'intermittence. Le soliste va sans doute
essayer de vivre de sa guitare. Si un jour
l'opportunité se présente, je pense que
tout le monde prendrait le risque. C'est
un rêve mais on essaie de rester les
pieds sur terre. »
MARC DAZY
Le progrès - 23/07/99
Les Iguanes en concert samedi soir
à la salle polyvalente de Marboz
dans le cadre de la concentration
moto. Première partie, Burn Out.
Ajoutons puissance de feu indiscutable,
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Albums ambiants
T
rois petites notes de musique"
en ouverture et des dizaines de
souvenirs remontent en surface.
Le "Bruxelles" de Brel, le "Padam" de la
Môme ou la "Mémère" immortalisée par
Michel Simon, ça cause tout seul à tout
le monde. Et que celui qui n'a jamais
beuglé "tel qu'il est, il me plait" dans la
tourmente d'un bal de noce improbable
ose prétendre le contraire.
Fidèle à sa vocation, "L'Herbe à Trottoir"
défriche
le
patrimoine
chansons
françaises fin 19e/années 50. Sur ce
premier album enregistré à Bourg par
Didier Boyat, les tubes d'époque
voisinent avec des œuvres plus
obscures, dans tous les sens du terme.
Tels "Le champ de naviote" de Coûté ou
"Le couteau" de Botrel. «L'autre jour,
une petite mamie est venue nous voir
pour nous dire que sa grand-mère lui
chantait cette chanson et qu'elle ne
l'avait plus jamais entendu depuis.»
raconte Patrick Perret.
L'ancien Bock de Joie a ainsi
définitivement débranché les amplis
pour faire l'herboriste en compagnie de
Régis Coisne, guitariste acoustique et
touche-à-tout. «On reste très attachés à
la formule duo.» Celle qui garantit
l'originalité de l'entreprise. Le fin
technicien de la six cordes s'est en effet
attelé à traduire tous les arrangements
en langage guitare et beaucoup travaillé
sur les effets. Résultat : «un orchestre
pour moi tout seul»... et un chant
puissant, vibrant, traînant qui hérissera
probablement le poil des puristes.
Pour cette raison, l'hybride ne s'adresse
pas uniquement aux mères-grand. Se
rouler dans l'Herbe à Trottoir c'est aussi
se
prendre
de
l'atmosphère
"atmosphêêêre" en pleine gueule,
redécouvir le noir et blanc et les
mystères de Paris. Un univers proche du
cinéma "caméra sur l'épaule" bien fait
pour titiller l'imaginaire de chacun.
Réserve par contre en ce qui concerne
une pochette à la lisibilité délicate. Bleu
marine sur fond noir, bonjour la
conjonctivite !
Le "best of" de l'iguane
Reproche que ne saurait souffrir les
Iguanes de Saint-Trivier. Le graphisme
avec le célèbre "rockroco" à la langue
gluante a été particulièrement étudié sur
«
R
O
C
K
E
N
B
L
O
C
K
L'Herbe à Trottoir et les Iguanes sortent
leurs CD respectifs. Comme quoi la flore et la
faune locales se portent bien.
Le célèbre "Rockroco". "Y'a pas d'Lézard démontre que
l'iguane est un animal à sang très chaud carapaçonné pour
la vie en public.
et à l'intérieur de la
pochette. «Pierre-Yves est
un artiste» et le confirme
d'un
coup
de
patte
brillantissime. Pour la zique,
"Y'a pas d'Iézards" reproduit
fidèlement l'énergie de la
bête, sans pour autant
tomber dans le piège du
gros son. Dans son repaire
de
St-Jean-sur-VeyIe,
Christian Nys a su coller au
plus près à la nature
profonde de l'Iguane, animal
à sang très chaud carapaçonné pour la vie en public.
Du beau boulot de studio et
le meilleur compliment que
l'on puisse adresser à un
groupe
viscéralement
attaché à la scène.
Les dix titres ont été soumis
au vote. En ressort un genre
de "best of" retraçant quatre
ans d'aventures reptiliennes
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avec
ces
guitares
incendiaires, ces charges
rockies/punkies,
ces
mélodies héroïques et ces
textes apaches et rusés.
D'un ensemble plutôt speed
nuancé de quelques plages
«cool
mais
délirantes»,
mention spéciale à "Conte
de faits", morceau de
bravoure à la progression
implacable digne du grand
Parabellum. Bonne pioche.
MARC DAZY
Le Progrès – 15/12/99
L'Herbe à Trottoir en apéroconcert-dédicace cet aprèsmidi à partir de 15h00 au
magasin Compact & co,
place Quinet à Bourg
Contacts : Esquisse,
Tel : 04 74 35 25 43.
Les Iguanes.
"Y'a pas d'Lézards".
Tel : 04 74 55 90 55.
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Les Iguanes : sortie du deuxième CD,
«40° à l'ombre»
Samedi dernier, les Iguanes
se produisaient au Bistro de
Saint-Trivier-sur-Moignans,
transformé en salle de concert
pour l'occasion.
La salle était trop petite pour
contenir tous les fans des Iguanes.
Mais l'ambiance était chaleureuse et
amicale, comme toujours, avec les
amateurs de ce groupe qui couvre un
public qui va de 7 (et parfois moins) à
77 ans. Alors, peu importe, les enfants
étaient placés devant pour mieux voir
et les adultes, après avoir profité de
quelques chansons, sortaient pour
laisser la place aux autres. Mais
attention, dehors nous n'étions pas
seuls, il y en avait autant dehors que
dedans. Et tout le monde chantait,
dansait,
discutait
en
toute
convivialité.
Les Iguanes ont, après plusieurs
mois de gestation, « pondu » un
second CD, « 40° à l’ombre » qui fera
date. Mich, le chanteur-auteur s’est
surpassé, ce qui semble incroyable
quand on a écouté le premier. Ses
textes sont ciselés tels des joyaux.
Regard percutant et inquisiteur sur le
monde, sur les hommes. Non pas
désillusionné mais réaliste et sûr de
ses frères, ceux qui savent partager.
La musique, résultat d’un travail en
commun est un vrai bonheur. Du rock, vrai
et pur, avec parfois des accents spanish,
afro, indo qui font la particularité, le son
des Iguanes. Un grand chapeau à Pédro, Seb,
Titan, Larby et Lanou, le petit dernier de la
bande.
Comme toujours avec les Iguanes
l’humour est présent, potache ou incisif. Ce
CD nous présente un florilège de tranches de
vie comme « y’avait péno » (amis du foot un
peu beauf bonjour) ou « générique SVP »
(couples en perdition attention n’écoutez
pas). « Le retour du gros Mich » sent le vécu
et rappellera bien des souvenirs à plus d’un.
« A nos aieuls » est dédié aux amateurs de
café/dijo couleur fiesta. « Les anges saoules
» tient du chant indien, parcours initiatique
à la vie pour celui qui voudrait plus. Les
images défiles dans une chevauchée
fantastique, vision planétaire et cosmique
de la vie, du monde, de ses blessures, de ses
espoirs.
A noter que la participation de la chorale
«Luth en joie » de St Trivier contribue à
donner une dimension spatiale à ce
morceau. Dans la même lignée « L’homme »
où il est dit que les hommes naissent tous
sous une faux et que « le chef dans son
tipie mène en danse son troupeau », ou
encore que « l’homme crée la faim. »
Et puis les Iguanes c’est aussi les plaies, les
bosses avec « Juste une de plus pour toi »
dédiée à Stéphane et « Popeye song » (en
La nuit de l’iguane
« live » s’il vous plait) où la chanson vient
comme un cri, une douleur lancinante, nous
interpelle. Si vous aimez la musique vous aimerez
forcément les Iguanes. D’autant qu’en plus des
chansons ils offrent un vrai spectacle et se
donnent sans compter. Pour les amateurs voici
quelques unes des dates de leurs prochains
concerts :
Samedi 8 Mars au Baribal à Montluel Vendredi 4 Avril au Victor Hugo à Bourg en
Bresse - Samedi 9 Mai, sous réserve de
confirmation, il devrait se produire à la Salle
Polyvalente de Villars les Dombes.
Voix de l’Ain – 28/02/2003
LES programmateurs de salles ayant pris la fâcheuse habitude de
calquer leurs plannings sur ceux des profs, le chat est plutôt maigre
cette semaine. Ce genre de contingences administratives dépassent
les Iguanes, définitivement hors du temps, hors jeu et c'est tant
mieux. Profitant lâchement des congés scolaires, le meilleur groupe
de rock'n roll de Saint-Trivier du monde sort son deuxième album.
"40° à l'ombre", « comme la fièvre, la météo... ou la prune » selon
Mich, chanteur grande gueule et parolier fou à lier.
La pochette, signée P.Yves annonce la couleur : chaude, reptilienne,
carnivore, chargée comme un relent de gnôle. La galette, réalisée
comme la précédente chez le voisin Christian Nys, aurait pu être
extraite de "Parabellum, l’intégrale", ou figurer sur un "Tribute to
Los Carayos", le super-groupe d'avant la Mano Negra. "40° à
l'ombre" est un petit brûlot de rock alterno comme il s'en consumait
au début des années 80. Donc, rythmique dans le bois dur, guitares
en cavale et électricité à tous les étages. Beaucoup plus fins qu'ils
veulent le laisser paraître, les Iguanes ont chiadé les chœurs,
notamment avec... la chorale de Saint-Trivier-sur-Moignans sur "Les
anges saoules". D'où cette amplitude thermique qui transforme des
compos basiques en hymnes de stade.
Les Iguanes présentent leur nouvel album
« 40° à l’ombre » ce soir dans leur fief de
Saint-Trivier-sur-Moignans.
Question textes, Mich a aussi affiné la question et révèle un petit
talent d'écriture pour ce qui est de trousser des chroniques
rageuses, acides et désabusées, des instantanés hyper-réalistes sur
fond d'alcoolémies ravageuses. Le tout interprété d'une voix
fiévreuse, pas très loin de celle du Mano Solo des Frères Misères.
« 40° à l’ombre », « comme la fièvre, la météo… ou la prune »
selon Mich, chanteur grande gueule et parolier fou à lier.
CONTACT : Association Les Iguanes
Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou))
Bilan : "40° à l'ombre" et rien de bien neuf sous le soleil du rock'n
roll. Mais l'album annonce quelques nuits blanches chauffées au
rouge entre Saône et Rhône. La première aura lieu à partir de
19h00 ce soir au très approprié "Bistrot" de Saint-Trivier-surMoignans pour la présentation "officielle".
MARC DAZY
Le Progrès – 01/03/2003
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Houlgate
Trois concerts rock avec les Iguanes et la
Tchoucrav'
Prévu samedi à 20 h, le concert a débuté à 21 h 30, le public
emplissant la salle des fêtes d'Houlgate lentement mais
sûrement. A l'affiche : Les Iguanes et la Tchoucrav' étaient
annoncés. Christophe Noveau, membre de Drakkar tone,
organisateur, expliquait la présence d'un groupe lyonnais, les
Iguanes, une • pointure • dans cette région : « II y a deux ans,
nous avons fait la connaissance des musiciens au cours de
vendanges dans le Beaujolais et avons sympathisé, depuis nous
fonctionnons comme une association de jumelage tacite, cette
année c'était à nous de les inviter. En ce qui concerne la
Tchoucrav', les présentations ne sont plus à faire pour ce
groupe caennais archi connu ». Rappelons que Drakkar tone
est une association d'amateurs passionnés de rock, domiciliés
et répétant à Houlgate, dont vous pourrez obtenir plus de
renseignements auprès du président Fabrice Morcel au 02 31
91 16 64.
« Ouest France »
Mardi 10 Décembre 2002
Les Iguanes en concert
Vendredi soir tous les jeunes, et
moins jeunes, de Villars se sont
retrouvés au bar du camping pour le
concert des Iguanes.
Plus une place n'était libre pour ce
concert où nous eûmes le plaisir de
retrouver plusieurs titres de leur
premier CD, «y'a pas d'Iézard»,
allègrement repris en chœur par les
inconditionnels : la chanson des
Iguanes, Hors la loi, l'Autostupeur,
l'Homme sans vie. Tribus. etc. Mich
(voix lead), très en forme, scandait ses
hymnes à plein poumon, tel un petit
ozvose à la jupe trop longue et un
quelque chose de Bison futé avec sa
coiffe en fourrure aux cornes décadentes. Sa présence «électrique»
emballa les plus réservés. Pedro
(batterie). Titan (guitare rythmique),
Seb (guitare solo) et le petit dernier
Lanou (guitare basse), l'entourèrent de
leurs plus belles et déjantées
prestations.
Si la salle était trop petite, il faut
savoir que le sourire était sur tous les
visages que rien, pas même un peu de
larsen, n'égratigna. Tout le monde se
sentait bien dans cette ambiance
chaleureuse, électrique, amicale et
surtout bon enfant. Les jeunes étaient
heureux de pouvoir se retrouver en
écoutant la musique qu'ils aiment, et
les plus anciens se régalaient à écouter
un vrai, bon, groupe rock. Ils tentaient
de fendre la foule pour s'approcher de
leurs idoles, mais à l'impossible nul
n'est tenu.
Tanguy, le Manager des Iguanes,
nous a confié que leur second CD
sortirait fin janvier. Fort de 11
nouveaux titres qu'ils ont écrits en un
an, ils ont enregistré chez Christian
Nys à St-Jean-sur-Veyle._Là, les
Iguanes se sentent bien, dans une
ambiance de copains qui sont toujours
tentés par la fête. Comme dit
Tanguy «ils ne vieilliront jamais» !
Cet album qu'ils peaufinent
actuellement comportera quelques
petits plus : un titre en live
«Popey song», et une plage
fantôme dédié à Stéphane. Ils y
travaillent d'arraché pied pour
faire émerger des sonorités plus
approfondies, plus ciselées bien
qu'ils ne puissent répéter qu'une
fois par semaine. Pierre Yves,
graphiste,
s'est
à
nouveau
proposé pour réaliser la jaquette
qui, nous en sommes sûrs, accrochera l'œil comme la première.
Pour ceux qui ne connaissent
pas encore les Iguanes, nous
pourrions leur dire que ce groupe
se situent entre les Négresses
Vertes, Boby Lapointe et les Doors
pour les paroles, les Sex Pistols
avec un soupçon d'ACDC pour la
musique. Une grandiloquence
délirante à la Jimmy Hendrix, Alice
Carol ou encore les Rita Mitsouko.
CONTACT : Association Les Iguanes
Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou))
Un
groupe
paradoxal
et
inclassable, car chacun de ses
membres, telle une éponge, a
absorbé tout le meilleur de la
musique car, comme dit Bernard Lavillier «De n'importe quel
pays, de n'importe quelle
couleur, la musique est un cri
qui vient de l'intérieur».
Un
groupe
à
voir
absolument sur scène. Surtout
ne ratez pas l'interprétation de
Pedro en fin de programme qui
offre un «Still loving you»
déjanté, hurlant et unique que
vendredi il dédia au petit nouveau.
Nous vous conseillons de
réserver l'une de ces dates : 11
janvier à la MJC de Bourg, le 8
mars à Montluel au Jacky Jack,
le 20 juin à Chaneins et le 21
juin à Lyon pour la fête de la
musique.
Nous ne manquerons pas de
vous donner de leurs nouvelles.
Voix de l’Ain – 02/01/03
Le Larcher
Email : [email protected]
01990 CHANEINS
www.lesiguanes.free.fr
Les Iguanes
Cinq défenseurs du rock'n drôle
Michel, Christian, Pierre, Sébastien et Hervé professent un rock
visuellement exubérant. Si leurs textes se font parfois critiques, ils refusent
de se prendre au sérieux. Un premier CD vient de sortir que le public
caladois pourra découvrir, en live, samedi 11 décembre à l'Hacienda.
I
ls ne se doutaient pas
quand, sur une route, ils
ont ramassé un petit iguane
en plastique que cette bestiole
leur soufflerait leur nom de
scène. Ils ont entre 23 et 33 ans.
Michel Morel, Christian et
Pierre Goy, Sébastien et Hervé
Nugues sont les Iguanes, un
groupe de rock français dont les
premières notes ont sonné, il y a
trois ans seulement du côté de
Châtillon-sur-Chalaronne,
et
dont le premier album, Y a pas
d'lézards, vient de sortir. Un CD
de dix titres entièrement
composé et produit par ces cinq
musiciens
autodidactes,
à
découvrir samedi 11 décembre
en concert à Villefranche, au bar
l'Hacienda.
Comparé à d'autres groupes qui
ne parviennent à aligner que
quelques
concerts
plus
qu'intimistes, tout est allé très
vite pour les Iguanes. En 1993,
Michel, dit Mich, Pierre, dit
Pedro, et Christian, alias Titan,
commencent à jouer ensemble.
"Juste pour le plaisir." Premiers
textes, premières compositions.
Deux ans plus tard, les frères
Nugues se greffent sur le trio. Et
tout s'enchaîne. Le responsable
du secteur Musiques actuelles
pour l'Addim de l'Ain, les repère
et leur offre à la fois la
possibilité de se former aux
techniques de la scène et
l'occasion de jouer. "En 1997,
nous avons fait dix concerts en
Rhône-Alpes dans le cadre de
l'opération C'est ma tournée",
racontent les cinq musiciens.
Depuis, ils tournent sans
relâche. La semaine, les Iguanes
vaquent à leurs occupations
professionnelles (tous travaillent
hors musique). Le jeudi soir, ils
répètent et, le week-end, ils
retrouvent leur public sur les
scènes de la Dombes et du Val
de Saône. "On essaye aussi de
plus en plus de se produire en
festivals", précisent-ils. Ils ont
manqué la sélection régionale
pour le printemps de Bourges
mais ne se découragent pas et
visent
maintenant
les
Eurockéennes de Belfort. En
attendant, le festival rock de
l'ArbresIe, Région'r, les a déjà
accueillis de même que Rock en
Saône à Trévoux. "Nous avons
d'ailleurs enregistré deux titres
sur la compilation de ce
festival." Comme un avant-goût
de l'album sorti le 25 novembre.
Un album pour lequel on leur
avait
déconseillé
de
se
bousculer. La plupart des
groupes
auraient
d'ailleurs
attendu quelques années de plus.
Mais pour les cinq iguanes,
signer ce CD s'imposait. Ce
disque, c'est leur bébé, de A à Z.
Entièrement
financé
par
l'association
qu'ils
ont
constituée, il a été réalisé chez
un particulier, Christian Nys à
Saint-Jean-de-VeyIe dans l'Ain.
Six jours d'enregistrement, trois
jours de mixage et une réflexion
hyper pointue sur la conception
graphique de la pochette. "On
voulait quelque chose de pro",
expliquent les cinq rockers. Et le
contenu est tout à fait à la
hauteur de la forme. Ce qui ne
gâche rien. Car malgré leur
toute jeune expérience, la
musique des Iguanes s'avère
bien aboutie. Leurs influences
diverses (Satriani pour l'un,
AC/DC et Noir désir pour un
autre...) transparaissent parfois
dans un riff de guitare ou dans
une inflexion de voix. Mais sans
phagocyter la personnalité de
leurs compositions. C'est un
rock franc et sain qu'ils nous
balancent. Un rock dénué de
tout
artifice
électronique,
préférant laisser la place aux
instruments des vieux de la
vieille. Un rock parfois musclé
sans virer trash, parfois plus
chaloupé sans glisser dans la
mièvrerie facile. Les textes,
écrits et chantés par Michel,
laissent une part importante à la
révolte - berceau du genre tout
de même - mais sans négliger un
bon brin d'humour. "On fait des
chansons tristes mais aussi du
rock'n drôle."
ESTELLE GRANET
VENDREDI 10 DÉCEMBRE 1999
Le Patriote
CONTACT : Association Les Iguanes
Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou))
Le Larcher
Email : [email protected]
01990 CHANEINS
www.lesiguanes.free.fr
Festival RockArtRacol, Montracol (01), 26 juin 2004
(Article "Le progrès")
Festival ZiK, Bourg en Bresse (01), 5 juin 2004
(Article "Le progrès")
Caveau Jacques Higelin, Villefranche (69), 12 juin 2004
(Article "Le progrès")
Burns Day, Rivesaltes (66), 7 & 8 août 2004
(Article "Speed Bike")
Festival Musiques à Flots, Attignat (01), 11 septembre 2004
(Article "Le progrès")
Erratum : 20000 spectateurs étaient présents au Burns Day, et non 2000.

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