dossier de presse - Site officiel du groupe Les Iguanes
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dossier de presse - Site officiel du groupe Les Iguanes
DOSSIER DE PRESSE CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Le Groupe Lanou : Basse Seb : Guitare soliste Pedro : Batterie Mich : Chant Titan : Guitare rythmique En 1993,Mich,Pedro,Titan commencent à jouer ensemble "Juste pour le plaisir" (c'est une citation originale d' un des 3 précédemment cité, et c' est pas pompé sur le titre d' un certain Herbert H. qui a fait un tabac longtemps, longtemps il y en a). Premiers textes, premières compositions. Trois ans plus tard, avec encore plus de plaisir, les frères Nugues se greffent au trio. Ils ont entre 25 et 35 ans ( pas les frères Nugues, mais les 5 réunis). Michel Morel, Christian et Pierre Goy, Sébastien et Hervé Nugues formirent t' alors: « Les The ZIguanes » Les Iguanes tabassent donc un Reptil'N'Roll français (quoique...) à guitares rabattues ( à cause du Nugues tout frais entre autres) et se propulsent à l'assault des bars et fiestas où on leur accorde une paire d'heures pour se faire les crocs. et pis voilà que c'est trop tard, le people y a goûté avec ses oreilles et ses yeux et il en r'demande!! Chaque concert enflamme la salle, les gens repartent trop contents avec le tout 1er diks (1999)(bravo la pochette au passage!) et leur affiche dédicacée et un canon dans l'nez. Et puis c' est l' engrenage, le succès bien mérité, les groupies, de la Heineken à la place de la Kro, la classe, quoi... Une musique « brûlante » pratiquée de sang « froid » ...Jusqu'à ce qu' un soir, Pedro nous ramène un type au local: il avait pas l' air bien malin et un gros nez qui supportait des lunettes rondes, mais bon, il fallait bien remplacer notre Larby Nugues à la basse ( celui-ci étant parti, non sans prévenir, s' affairer à d'aut'zaffaires tout à fait louables ma foi...). Et puis voilà que les flammes repartirent de plus belle avec ce bizzare individu du nom de "Alain Combi"(c'était un drôle de nom en plus, alors ça a pas trainé à devenir "Lanou"), et même le Seb Nugues qui continuait-avec paraissait s'éclater encore plus!.. Il s'est mis à redoubler ou requintupler de dexterité et de speedité dans ses solos trop top Klâssieux que t'en reste scotché dans ton fauteuil...(ah non, merde, on est debout aux concerts...) Enfin, il bosse vachment + que les autres tout seul chez lui...Et Titan "Bouges pas, j'm'accorde!" qui rigole comme d'hab' mais qui est bien content quand même. Quant au GröMich, qui n' avait pas besoin de ça pour délirer et se donner à fond, toujours-est-t'il kill est aux anges..."saoûles"!!................................. L'apothéôzzzz...L'osmôzz comme dit Titan! Un feeling qui tue, une atmosphère au plus hot, les mots sont francs, les textes en français (parfois en lituanien), l'ambiance est spontanée et imprévisible... (Merci Mich!..et Lanou aussi pour son jeu de jambe sur le 3ème couplet-4ème tirade de "L'as des Astres" Huit ans d'existence pour Les Iguanes qui canalisent une énergie de feu: énergie disponible sur leurs deux albums auto-produit et enregistrés au studio ADN. CD 11 titres « A l'ombre des 40° » sortit en Février 2003 CD 10 titres « Y'a pas d'lézards... » sortit en Novembre 1999 Avec une maîtrise redoutable de la scène, ils ont entre autre joué avec avec Drakkar Tone, Forlax, Parabellum, Iggy Pop (de la Cx Rousse), Big Mama... En Avril 1998, ils rendaient fous les phacochères de la fosse du Transbordeur en première partie de Parabellum. En Septembre 2001, ils ont fait brasser toute la salle de la brasserie du Ninkasi (Lyon Gerland). En Mai 2001, ils étaient en première partie de Big Mama pour les 24 heures de l'INSA à Villeurbanne devant 5000 personnes. Les 7 et 8 Aout 2004, ils font vibrer les 20000 spectateurs du Burns Day, qui a lieu à Rivesaltes. A L'HACIENDA A VILLEFRANCHE Revue « Y'a pas d'lézard »… de C'est devant une salle archi-comble, que s'est produit un groupe insolite baptisé « Iguane ». Le « reptile rock » fait son apparition... Après deux ans de «dur labeur», les Iguanes, qui n'ont pas moins de 40 concerts à leur actif, entendent bien faire valoir un nouveau style de musique : le «reptile rock», une musique «chaude» pratiquée de «sang froid». Formé à la dure école des mini-concerts et autres concerts «garages». Les Iguanes ont pris une autre dimension avec la compil' «Rock en Saône» parue en C.D. Curieusement, ils n'ont eu aucun «retour» après cette parution. Toutefois, une tournée dans les départements de la Drôme et de l'Ardèche ainsi qu'en pays suisse est prévue, donnant ainsi au jeune groupe l'occasion d'échanges «culturels». Un moyen aussi de faire facilement passer des textes en français, eux qui se disent plutôt influencés par des groupes comme Trust ou Téléphone, restant dans la mouvance du rock français du milieu des années 70. Leurs textes, toujours très forts, sont un condensé de tous les «trucs» vécus par le chanteur, qui nous avoue «ne pas connaître la langue de Shakespeare», mais mieux «celle de Dante». Le groupe qui ne recule devant aucun déguisement, même les plus «kitch», est capable de varier les genres, passant du rock le plus débridé à la ballade la plus romantique, jusqu'au quadrille façon FarWest mâtiné de français. «Virus», «Août» ou «Franchise» sont quelques-unes des compositions originales de ce groupe qui ne manque pas... d'originalité. «Des textes qui tiennent la route» comme ils le disent eux-mêmes. Et comme ils ont raison ! Presse Enfin les Iguanes, quintet pyromane de Saint-Trivier. Vu et apprécié pour sa capacité à embraser les scènes du secteur à grands coups de rock baston et tendre à la fois servi tout chaud par des textes bien crus. Conclusion: pas de lézard, comme disait l'Iggy Pop qui s'y connaît. Tous les reptiles ne sont pas des dinosaures sous glace... RASCAL & TORPÉDO Le Progrès - 21/01/98 Enfin, Les Iguanes, redoutable combo reptilien du val de Saône, capable de déchiqueter une salle d'un coup de groove frénétique ou de la faire frémir d'une langue fourchue. Allez, crache ton venin ! J-C R Le Progrès – 12/11/97 Du coup, tout le monde s'y retrouve. Aujourd'hui encore fidèle, le Transbordeur travaille toujours avec ceux qui faisaient leur premier fanzine (Mr. Hublot) pour les groupes en devenir. C'est ainsi que Louise Attaque, Les Barking Dogs, Namas Pamos, Lojo Triban, Cornu, Les Ogres de Barback, La Tordue, Têtes Raides ou Tryo (à la fin du mois) sont passés d'un bar de la Croix-Rousse à la grande scène du boulevard Stalingrad, sans oublier des groupes bressans comme Jour de Fête, les Complices, les Iguanes, ou Euthanasie pour des premières parties. OLIVIER LEROY Le Progrès – Mai 98 A une heure avancée de la nuit, c'était au tour des Iguanes (un hommage caché à Iggy Pop) d'investir la scène. Flanqué d'un chanteur pour le moins haut en couleur, ce groupe possède de réels atouts. On notait aussi, comme par enchantement, une nette amélioration du son. Ainsi, chaque instrument devenait distinct. Il est visible que les Iguanes ont une longue expérience de la scène derrière eux. Leur jeu est bien huilé et CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) RASCAL & TORPÉDO Le Progrès - 05/05/98 tous les morceaux s'enchaînent naturellement. Proposant un rock plus conventionnel et plus mélodique, le groupe peut se targuer de disposer d'un répertoire original. Incontestablement, le meilleur de la soirée. Cette soirée, organisée par la ville et l'association "Une Ile au large", aurait donc mérité un meilleur sort. Tout était réuni pour que la fête soit réussie. Elle le fut dans l'ensemble. Dommage que peu en aie profité. Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr En deux ans, le sympathique reptile du val de Saône a apposé sa griffe sur le rock régional. Après avoir cassé la baraque en première partie de Parabellum, les Iguanes semblent bien carapaçonnés pour lézarder quelques édifices. Mais l'animal est méfiant de nature et n'entend pas lâcher la proie pour l'ombre « On a tous de bons boulots à côté. L'intermittence ? Après le Transbordeur, on s'est posé la question. Mais ça nous fait peur » Iguana rock P etit larousse. I, ig..., ignoré... saurien iguane : "reptile d'Amérique tropicale atteignant 1,50 mètres de long, portant une crête dorsale d'écailles pointues, herbivore. Sa chair est très estimée." Également, groupe de rock de l'Ain. Le rapport entre les deux ? S'agissant aussi du surnom d'Iggy Pop, père reptilien du binaire électrocuté, le rapprochement vient immédiatement à l'esprit. « Non, c'est un hasard » infirme le chanteur Michel. « Un jour, on a trouvé un iguane en plastique sur la route. Il est devenu la mascotte de la bande. Un copain a fait un super-dessin d'un iguane en rocker avec la cigarette sur l'oreille... C'est peut être plus le dessin que la bête qui nous a décidé de prendre ce nom-là. » Au carbone 14, la naissance de l'animal remonte à 96, " a l'époque du "Tostaky" », l'album clé des Noir Dés'. " J'avais deux amis, Christian et Pierre, deux frères qui jouaient de la guitare et de la batterie dans leur cave à St-Trivier. J'aimais bien écrire des chansons et Christian aimait bien les jouer. On a fait huit ou neuf morceaux. C'est parti comme ça. » Le trio s'étoffe rapidement avec l'arrivée de deux autres frangins originaires de Villars. Sébastien prend la guitare solo tandis qu'Hervé se met à la basse. « Il a appris en même temps que le groupe. Il apprend tout vite. » La progression du bébé saurien Les autres aussi d'ailleurs. Appelez ça "groove", "énergie", "feeling", "contact" mais quoi qu'il en soit, les Iguanes possèdent d'entrée ce "petit-quelquechose-en-plus" qui retient les molécules et fait toute la différence. A un concert à Châtillon, Frédéric Devinant dresse l'oreille. Le chargé de mission de l'ADDIM les intègre dans l'opération "C'est ma tournée 97" avec petite formation sur les balances en prime. Ils suivent également les "répétitions sur écoute" et s'enregistrent dans le home studio de l'ADDIM sous la haute autorité de Caracas, ingénieux du son respecté et redouté. « Il nous a écoutés pendant une demi-heure... et nous a démolis pendant une heure ! » Les apprentis sauriens apprennent ainsi le métier, comment bosser en répét' ou structurer un morceau. Progression sensible. En recherche d'amélioration permanente ( « on est des éternels insatisfaits » ), rôdé à l'école de la scène, le sympathique groupe de bar devient en deux ans un gang particulièrement efficace, capable d'en remontrer à plus d'une sélection régionale de ceci cela en matière de rock'n roll. Jungle, terrible jungle Au jeu des sept familles, les Iguanes pourraient être rattachés au clan très fréquenté du "rock français à guitares qui cavalent" avec des variantes selon les membres. « Christian serait plus blues. Le soliste, c'est Vaï ou Satriani. Le batteur est un ex-punk, fan de la Souris Déglinguée ou de Parabellum. C'est lui qui m'emmenait à tous les concerts. Hervé et moi, on est Noir Désir à fond. » Influence perceptible dans des textes crocs acérés et langue fourchue ( « je regarde beaucoup la télé, ça m'inspire... » ), un rien barré ( la vie de l'iguane y tient une large place ), tout en finesse, images et allusions. " On dissimule beaucoup de choses. On aime bien que les gens cherchent un peu. " sens de la mélodie et goût de la performance, ces iguanes-là semblent bien carapaçonnés pour affronter la jungle du milieu. Ou tout au moins pour lézarder quelques édifices. A l'automne dernier au Transbordeur, ils cassent même carrément la baraque en première partie de Parabellum. S'apprêtent à sortir leur premier CD en août et se portent candidats aux prochaines découvertes du Printemps de Bourges. Mais l'iguane est méfiant de nature. « On a tous des bons boulots à côté. Pierre est plâtrier-peintre. Sébastien et Hervé ont une entreprise de cartons aux Echets, Christian est opticien à St-Genis Laval et moi je travaille chez Mavic. On répète tous les jeudis de 22 h 00 à 2 h 00 mais actuellement, ce serait difficile de faire plus. C'est pour ça qu'on est toujours resté dans un rayon restreint à faire des petites salles qu'on connaît bien comme l'Hacienda à Villefranche ou le First Rock à Bourg. » Prendre une année sabbatique pour voir, devenir intermittents? « Après le Transbo, on s'est posé la question. Mais ça nous fait peur, On évite d'en parler entre nous. Je ne sais pas si l'on est fait pour l'intermittence. Le soliste va sans doute essayer de vivre de sa guitare. Si un jour l'opportunité se présente, je pense que tout le monde prendrait le risque. C'est un rêve mais on essaie de rester les pieds sur terre. » MARC DAZY Le progrès - 23/07/99 Les Iguanes en concert samedi soir à la salle polyvalente de Marboz dans le cadre de la concentration moto. Première partie, Burn Out. Ajoutons puissance de feu indiscutable, CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Albums ambiants T rois petites notes de musique" en ouverture et des dizaines de souvenirs remontent en surface. Le "Bruxelles" de Brel, le "Padam" de la Môme ou la "Mémère" immortalisée par Michel Simon, ça cause tout seul à tout le monde. Et que celui qui n'a jamais beuglé "tel qu'il est, il me plait" dans la tourmente d'un bal de noce improbable ose prétendre le contraire. Fidèle à sa vocation, "L'Herbe à Trottoir" défriche le patrimoine chansons françaises fin 19e/années 50. Sur ce premier album enregistré à Bourg par Didier Boyat, les tubes d'époque voisinent avec des œuvres plus obscures, dans tous les sens du terme. Tels "Le champ de naviote" de Coûté ou "Le couteau" de Botrel. «L'autre jour, une petite mamie est venue nous voir pour nous dire que sa grand-mère lui chantait cette chanson et qu'elle ne l'avait plus jamais entendu depuis.» raconte Patrick Perret. L'ancien Bock de Joie a ainsi définitivement débranché les amplis pour faire l'herboriste en compagnie de Régis Coisne, guitariste acoustique et touche-à-tout. «On reste très attachés à la formule duo.» Celle qui garantit l'originalité de l'entreprise. Le fin technicien de la six cordes s'est en effet attelé à traduire tous les arrangements en langage guitare et beaucoup travaillé sur les effets. Résultat : «un orchestre pour moi tout seul»... et un chant puissant, vibrant, traînant qui hérissera probablement le poil des puristes. Pour cette raison, l'hybride ne s'adresse pas uniquement aux mères-grand. Se rouler dans l'Herbe à Trottoir c'est aussi se prendre de l'atmosphère "atmosphêêêre" en pleine gueule, redécouvir le noir et blanc et les mystères de Paris. Un univers proche du cinéma "caméra sur l'épaule" bien fait pour titiller l'imaginaire de chacun. Réserve par contre en ce qui concerne une pochette à la lisibilité délicate. Bleu marine sur fond noir, bonjour la conjonctivite ! Le "best of" de l'iguane Reproche que ne saurait souffrir les Iguanes de Saint-Trivier. Le graphisme avec le célèbre "rockroco" à la langue gluante a été particulièrement étudié sur « R O C K E N B L O C K L'Herbe à Trottoir et les Iguanes sortent leurs CD respectifs. Comme quoi la flore et la faune locales se portent bien. Le célèbre "Rockroco". "Y'a pas d'Lézard démontre que l'iguane est un animal à sang très chaud carapaçonné pour la vie en public. et à l'intérieur de la pochette. «Pierre-Yves est un artiste» et le confirme d'un coup de patte brillantissime. Pour la zique, "Y'a pas d'Iézards" reproduit fidèlement l'énergie de la bête, sans pour autant tomber dans le piège du gros son. Dans son repaire de St-Jean-sur-VeyIe, Christian Nys a su coller au plus près à la nature profonde de l'Iguane, animal à sang très chaud carapaçonné pour la vie en public. Du beau boulot de studio et le meilleur compliment que l'on puisse adresser à un groupe viscéralement attaché à la scène. Les dix titres ont été soumis au vote. En ressort un genre de "best of" retraçant quatre ans d'aventures reptiliennes CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Le Larcher Email : [email protected] avec ces guitares incendiaires, ces charges rockies/punkies, ces mélodies héroïques et ces textes apaches et rusés. D'un ensemble plutôt speed nuancé de quelques plages «cool mais délirantes», mention spéciale à "Conte de faits", morceau de bravoure à la progression implacable digne du grand Parabellum. Bonne pioche. MARC DAZY Le Progrès – 15/12/99 L'Herbe à Trottoir en apéroconcert-dédicace cet aprèsmidi à partir de 15h00 au magasin Compact & co, place Quinet à Bourg Contacts : Esquisse, Tel : 04 74 35 25 43. Les Iguanes. "Y'a pas d'Lézards". Tel : 04 74 55 90 55. 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Les Iguanes : sortie du deuxième CD, «40° à l'ombre» Samedi dernier, les Iguanes se produisaient au Bistro de Saint-Trivier-sur-Moignans, transformé en salle de concert pour l'occasion. La salle était trop petite pour contenir tous les fans des Iguanes. Mais l'ambiance était chaleureuse et amicale, comme toujours, avec les amateurs de ce groupe qui couvre un public qui va de 7 (et parfois moins) à 77 ans. Alors, peu importe, les enfants étaient placés devant pour mieux voir et les adultes, après avoir profité de quelques chansons, sortaient pour laisser la place aux autres. Mais attention, dehors nous n'étions pas seuls, il y en avait autant dehors que dedans. Et tout le monde chantait, dansait, discutait en toute convivialité. Les Iguanes ont, après plusieurs mois de gestation, « pondu » un second CD, « 40° à l’ombre » qui fera date. Mich, le chanteur-auteur s’est surpassé, ce qui semble incroyable quand on a écouté le premier. Ses textes sont ciselés tels des joyaux. Regard percutant et inquisiteur sur le monde, sur les hommes. Non pas désillusionné mais réaliste et sûr de ses frères, ceux qui savent partager. La musique, résultat d’un travail en commun est un vrai bonheur. Du rock, vrai et pur, avec parfois des accents spanish, afro, indo qui font la particularité, le son des Iguanes. Un grand chapeau à Pédro, Seb, Titan, Larby et Lanou, le petit dernier de la bande. Comme toujours avec les Iguanes l’humour est présent, potache ou incisif. Ce CD nous présente un florilège de tranches de vie comme « y’avait péno » (amis du foot un peu beauf bonjour) ou « générique SVP » (couples en perdition attention n’écoutez pas). « Le retour du gros Mich » sent le vécu et rappellera bien des souvenirs à plus d’un. « A nos aieuls » est dédié aux amateurs de café/dijo couleur fiesta. « Les anges saoules » tient du chant indien, parcours initiatique à la vie pour celui qui voudrait plus. Les images défiles dans une chevauchée fantastique, vision planétaire et cosmique de la vie, du monde, de ses blessures, de ses espoirs. A noter que la participation de la chorale «Luth en joie » de St Trivier contribue à donner une dimension spatiale à ce morceau. Dans la même lignée « L’homme » où il est dit que les hommes naissent tous sous une faux et que « le chef dans son tipie mène en danse son troupeau », ou encore que « l’homme crée la faim. » Et puis les Iguanes c’est aussi les plaies, les bosses avec « Juste une de plus pour toi » dédiée à Stéphane et « Popeye song » (en La nuit de l’iguane « live » s’il vous plait) où la chanson vient comme un cri, une douleur lancinante, nous interpelle. Si vous aimez la musique vous aimerez forcément les Iguanes. D’autant qu’en plus des chansons ils offrent un vrai spectacle et se donnent sans compter. Pour les amateurs voici quelques unes des dates de leurs prochains concerts : Samedi 8 Mars au Baribal à Montluel Vendredi 4 Avril au Victor Hugo à Bourg en Bresse - Samedi 9 Mai, sous réserve de confirmation, il devrait se produire à la Salle Polyvalente de Villars les Dombes. Voix de l’Ain – 28/02/2003 LES programmateurs de salles ayant pris la fâcheuse habitude de calquer leurs plannings sur ceux des profs, le chat est plutôt maigre cette semaine. Ce genre de contingences administratives dépassent les Iguanes, définitivement hors du temps, hors jeu et c'est tant mieux. Profitant lâchement des congés scolaires, le meilleur groupe de rock'n roll de Saint-Trivier du monde sort son deuxième album. "40° à l'ombre", « comme la fièvre, la météo... ou la prune » selon Mich, chanteur grande gueule et parolier fou à lier. La pochette, signée P.Yves annonce la couleur : chaude, reptilienne, carnivore, chargée comme un relent de gnôle. La galette, réalisée comme la précédente chez le voisin Christian Nys, aurait pu être extraite de "Parabellum, l’intégrale", ou figurer sur un "Tribute to Los Carayos", le super-groupe d'avant la Mano Negra. "40° à l'ombre" est un petit brûlot de rock alterno comme il s'en consumait au début des années 80. Donc, rythmique dans le bois dur, guitares en cavale et électricité à tous les étages. Beaucoup plus fins qu'ils veulent le laisser paraître, les Iguanes ont chiadé les chœurs, notamment avec... la chorale de Saint-Trivier-sur-Moignans sur "Les anges saoules". D'où cette amplitude thermique qui transforme des compos basiques en hymnes de stade. Les Iguanes présentent leur nouvel album « 40° à l’ombre » ce soir dans leur fief de Saint-Trivier-sur-Moignans. Question textes, Mich a aussi affiné la question et révèle un petit talent d'écriture pour ce qui est de trousser des chroniques rageuses, acides et désabusées, des instantanés hyper-réalistes sur fond d'alcoolémies ravageuses. Le tout interprété d'une voix fiévreuse, pas très loin de celle du Mano Solo des Frères Misères. « 40° à l’ombre », « comme la fièvre, la météo… ou la prune » selon Mich, chanteur grande gueule et parolier fou à lier. CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Bilan : "40° à l'ombre" et rien de bien neuf sous le soleil du rock'n roll. Mais l'album annonce quelques nuits blanches chauffées au rouge entre Saône et Rhône. La première aura lieu à partir de 19h00 ce soir au très approprié "Bistrot" de Saint-Trivier-surMoignans pour la présentation "officielle". MARC DAZY Le Progrès – 01/03/2003 Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Houlgate Trois concerts rock avec les Iguanes et la Tchoucrav' Prévu samedi à 20 h, le concert a débuté à 21 h 30, le public emplissant la salle des fêtes d'Houlgate lentement mais sûrement. A l'affiche : Les Iguanes et la Tchoucrav' étaient annoncés. Christophe Noveau, membre de Drakkar tone, organisateur, expliquait la présence d'un groupe lyonnais, les Iguanes, une • pointure • dans cette région : « II y a deux ans, nous avons fait la connaissance des musiciens au cours de vendanges dans le Beaujolais et avons sympathisé, depuis nous fonctionnons comme une association de jumelage tacite, cette année c'était à nous de les inviter. En ce qui concerne la Tchoucrav', les présentations ne sont plus à faire pour ce groupe caennais archi connu ». Rappelons que Drakkar tone est une association d'amateurs passionnés de rock, domiciliés et répétant à Houlgate, dont vous pourrez obtenir plus de renseignements auprès du président Fabrice Morcel au 02 31 91 16 64. « Ouest France » Mardi 10 Décembre 2002 Les Iguanes en concert Vendredi soir tous les jeunes, et moins jeunes, de Villars se sont retrouvés au bar du camping pour le concert des Iguanes. Plus une place n'était libre pour ce concert où nous eûmes le plaisir de retrouver plusieurs titres de leur premier CD, «y'a pas d'Iézard», allègrement repris en chœur par les inconditionnels : la chanson des Iguanes, Hors la loi, l'Autostupeur, l'Homme sans vie. Tribus. etc. Mich (voix lead), très en forme, scandait ses hymnes à plein poumon, tel un petit ozvose à la jupe trop longue et un quelque chose de Bison futé avec sa coiffe en fourrure aux cornes décadentes. Sa présence «électrique» emballa les plus réservés. Pedro (batterie). Titan (guitare rythmique), Seb (guitare solo) et le petit dernier Lanou (guitare basse), l'entourèrent de leurs plus belles et déjantées prestations. Si la salle était trop petite, il faut savoir que le sourire était sur tous les visages que rien, pas même un peu de larsen, n'égratigna. Tout le monde se sentait bien dans cette ambiance chaleureuse, électrique, amicale et surtout bon enfant. Les jeunes étaient heureux de pouvoir se retrouver en écoutant la musique qu'ils aiment, et les plus anciens se régalaient à écouter un vrai, bon, groupe rock. Ils tentaient de fendre la foule pour s'approcher de leurs idoles, mais à l'impossible nul n'est tenu. Tanguy, le Manager des Iguanes, nous a confié que leur second CD sortirait fin janvier. Fort de 11 nouveaux titres qu'ils ont écrits en un an, ils ont enregistré chez Christian Nys à St-Jean-sur-Veyle._Là, les Iguanes se sentent bien, dans une ambiance de copains qui sont toujours tentés par la fête. Comme dit Tanguy «ils ne vieilliront jamais» ! Cet album qu'ils peaufinent actuellement comportera quelques petits plus : un titre en live «Popey song», et une plage fantôme dédié à Stéphane. Ils y travaillent d'arraché pied pour faire émerger des sonorités plus approfondies, plus ciselées bien qu'ils ne puissent répéter qu'une fois par semaine. Pierre Yves, graphiste, s'est à nouveau proposé pour réaliser la jaquette qui, nous en sommes sûrs, accrochera l'œil comme la première. Pour ceux qui ne connaissent pas encore les Iguanes, nous pourrions leur dire que ce groupe se situent entre les Négresses Vertes, Boby Lapointe et les Doors pour les paroles, les Sex Pistols avec un soupçon d'ACDC pour la musique. Une grandiloquence délirante à la Jimmy Hendrix, Alice Carol ou encore les Rita Mitsouko. CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Un groupe paradoxal et inclassable, car chacun de ses membres, telle une éponge, a absorbé tout le meilleur de la musique car, comme dit Bernard Lavillier «De n'importe quel pays, de n'importe quelle couleur, la musique est un cri qui vient de l'intérieur». Un groupe à voir absolument sur scène. Surtout ne ratez pas l'interprétation de Pedro en fin de programme qui offre un «Still loving you» déjanté, hurlant et unique que vendredi il dédia au petit nouveau. Nous vous conseillons de réserver l'une de ces dates : 11 janvier à la MJC de Bourg, le 8 mars à Montluel au Jacky Jack, le 20 juin à Chaneins et le 21 juin à Lyon pour la fête de la musique. Nous ne manquerons pas de vous donner de leurs nouvelles. Voix de l’Ain – 02/01/03 Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Les Iguanes Cinq défenseurs du rock'n drôle Michel, Christian, Pierre, Sébastien et Hervé professent un rock visuellement exubérant. Si leurs textes se font parfois critiques, ils refusent de se prendre au sérieux. Un premier CD vient de sortir que le public caladois pourra découvrir, en live, samedi 11 décembre à l'Hacienda. I ls ne se doutaient pas quand, sur une route, ils ont ramassé un petit iguane en plastique que cette bestiole leur soufflerait leur nom de scène. Ils ont entre 23 et 33 ans. Michel Morel, Christian et Pierre Goy, Sébastien et Hervé Nugues sont les Iguanes, un groupe de rock français dont les premières notes ont sonné, il y a trois ans seulement du côté de Châtillon-sur-Chalaronne, et dont le premier album, Y a pas d'lézards, vient de sortir. Un CD de dix titres entièrement composé et produit par ces cinq musiciens autodidactes, à découvrir samedi 11 décembre en concert à Villefranche, au bar l'Hacienda. Comparé à d'autres groupes qui ne parviennent à aligner que quelques concerts plus qu'intimistes, tout est allé très vite pour les Iguanes. En 1993, Michel, dit Mich, Pierre, dit Pedro, et Christian, alias Titan, commencent à jouer ensemble. "Juste pour le plaisir." Premiers textes, premières compositions. Deux ans plus tard, les frères Nugues se greffent sur le trio. Et tout s'enchaîne. Le responsable du secteur Musiques actuelles pour l'Addim de l'Ain, les repère et leur offre à la fois la possibilité de se former aux techniques de la scène et l'occasion de jouer. "En 1997, nous avons fait dix concerts en Rhône-Alpes dans le cadre de l'opération C'est ma tournée", racontent les cinq musiciens. Depuis, ils tournent sans relâche. La semaine, les Iguanes vaquent à leurs occupations professionnelles (tous travaillent hors musique). Le jeudi soir, ils répètent et, le week-end, ils retrouvent leur public sur les scènes de la Dombes et du Val de Saône. "On essaye aussi de plus en plus de se produire en festivals", précisent-ils. Ils ont manqué la sélection régionale pour le printemps de Bourges mais ne se découragent pas et visent maintenant les Eurockéennes de Belfort. En attendant, le festival rock de l'ArbresIe, Région'r, les a déjà accueillis de même que Rock en Saône à Trévoux. "Nous avons d'ailleurs enregistré deux titres sur la compilation de ce festival." Comme un avant-goût de l'album sorti le 25 novembre. Un album pour lequel on leur avait déconseillé de se bousculer. La plupart des groupes auraient d'ailleurs attendu quelques années de plus. Mais pour les cinq iguanes, signer ce CD s'imposait. Ce disque, c'est leur bébé, de A à Z. Entièrement financé par l'association qu'ils ont constituée, il a été réalisé chez un particulier, Christian Nys à Saint-Jean-de-VeyIe dans l'Ain. Six jours d'enregistrement, trois jours de mixage et une réflexion hyper pointue sur la conception graphique de la pochette. "On voulait quelque chose de pro", expliquent les cinq rockers. Et le contenu est tout à fait à la hauteur de la forme. Ce qui ne gâche rien. Car malgré leur toute jeune expérience, la musique des Iguanes s'avère bien aboutie. Leurs influences diverses (Satriani pour l'un, AC/DC et Noir désir pour un autre...) transparaissent parfois dans un riff de guitare ou dans une inflexion de voix. Mais sans phagocyter la personnalité de leurs compositions. C'est un rock franc et sain qu'ils nous balancent. Un rock dénué de tout artifice électronique, préférant laisser la place aux instruments des vieux de la vieille. Un rock parfois musclé sans virer trash, parfois plus chaloupé sans glisser dans la mièvrerie facile. Les textes, écrits et chantés par Michel, laissent une part importante à la révolte - berceau du genre tout de même - mais sans négliger un bon brin d'humour. "On fait des chansons tristes mais aussi du rock'n drôle." ESTELLE GRANET VENDREDI 10 DÉCEMBRE 1999 Le Patriote CONTACT : Association Les Iguanes Tél. : 06 76 08 49 95 (Lanou)) Le Larcher Email : [email protected] 01990 CHANEINS www.lesiguanes.free.fr Festival RockArtRacol, Montracol (01), 26 juin 2004 (Article "Le progrès") Festival ZiK, Bourg en Bresse (01), 5 juin 2004 (Article "Le progrès") Caveau Jacques Higelin, Villefranche (69), 12 juin 2004 (Article "Le progrès") Burns Day, Rivesaltes (66), 7 & 8 août 2004 (Article "Speed Bike") Festival Musiques à Flots, Attignat (01), 11 septembre 2004 (Article "Le progrès") Erratum : 20000 spectateurs étaient présents au Burns Day, et non 2000.