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Youn Sun Nah
« Same Girl »
Extraits de presse
© Sung Yull Nah
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Olivier Casaÿs / [email protected]
10 rue Sénard - 76000 Rouen - France / Tel. : 02 35 88 75 74 - Fax : 02 35 89 20 33
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YOUN SUN NAH
© Sung Yull Nah
Biographie
Chanteuse Coréenne, née à Séoul le 28 août 1969.
Fille d’un père chef de chœur et d’une mère cantatrice. Elle
commence sa carrière musicale à l’âge de 23 ans avec le
Korean Symphony Orchestra, sans avoir véritablement étudié le
chant. Elle participe ensuite à des comédies musicales coréennes, pour lesquelles elle est mainte fois récompensée.
Ne s’épanouissant pas pleinement lors de ces premières expériences musicales, elle décide de partir à Paris en 1995 pour
y étudier le jazz et la chanson française. Elle s’inscrit au CIM,
alors seule école de jazz de la capitale, à l’Institut National de
Musique de Beauvais et au Conservatoire Nadia et Lili Boulanger. Son penchant naturel pour le jazz se révèle dès lors qu’elle
commence à jouer dans les clubs parisiens en 1996-1997. Elle
se fait rapidement remarquer par le contrebassiste Jacques
Vidal qui l’invite sur son disque “Ramblin’” (1999).
Elle reçoit de nombreux prix lors des concours de Jazz (La
Défense, Saint Maur, Montmartre…), continue à sillonner les
clubs et participe aussi à des festivals.
Parallèlement elle se produit en Corée. Des opportunités qui
lui font mener une double carrière, entre la France, sa terre
d’adoption, et son pays natal. La distance géographique l’obligeant à mener une double vie.
Entre 2000 et 2005, elle enregistre 4 disques (deux sont distribués exclusivement en Asie), et se
produit dans de nombreux festivals en France, en Europe, en Australie, en Corée du Sud et dans toute
l’Asie.
En 2003, elle obtient une reconnaissance totale du public et des médias coréens en devenant
lauréate du prix de la meilleure artiste jazz de l’année.
En 2004, la sortie de son album “So I am…” est largement fêtée par la presse française (Télérama, Le
Monde, Les Echos, Libération, Psychologies, Jazzman …) qui la présente comme l’une des chanteuses
les plus singulières de la nouvelle génération, et déjà artiste confirmée.
Enfin, ses prestations scéniques sont récompensées par le grand prix du jury lors du Festival Jazz
à Juan Révélations 2005. Elle est aussi élue, la même année, meilleure jeune artiste de l’année en
Corée (prix décerné à un(e) artiste toute catégorie et genre confondus).
Entre mi 2005 et mi 2006 elle effectue avec son quintet français (David Georgelet, Benjamin
Moussay, Yoni Zelnik et David Neerman) environ 100 concerts en France, en Corée du Sud, en Chine,
en Australie, au Japon, en Indonésie, en Malaisie, à Singapour, à Hong-Kong et Taïwan.
En 2007, elle s’est consacrée presque exclusivement à un projet de disque (“Memory lane”) et des
tournées en Corée du Sud et en Asie.
En 2009, elle sort un nouvel album “Voyage” sur le label allemand ACT, qu’elle enregistre avec des
musiciens européens comme les suédois Ulf Walenius et Lars Danielsson, le norvégien Mathias Eick
et le français Xavier Desandre-Navarre.
Cette nouvelle collaboration avec le label ACT lui ouvre de nouvelles perspectives et elle commence
à tourner de plus en plus en Europe, notamment avec le duo voix / guitare qu’elle constitue avec Ulf
Wakenius. Ils effectuent plus d‘une soixantaine de concerts ensemble dans une vingtaine de pays en
Europe (France, Angleterre, Allemagne, Espagne, Suède, Finlande, Pologne, Estonie, Suisse…) en Asie
(Corée du Sud, Chine, Malaisie…) et au Canada.
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“Voyage” est récompensé par le prix du meilleur album jazz 2009 en Corée du Sud. En France, l’accueil médiatique est toujours aussi enthousiaste (Choc de la revue Jazzman, ffff du magazine Télérama, L’Express, le Monde etc…), et le reste de l’Europe tout entier découvre, et salue, le travail singulier, et la voix unique, de Youn Sun Nah (Jazzthing, Jazzthetik, Jazzpodium… en Allemagne ; Jazzwise,
London Jazz… en Angleterre ; Concerto, Jazzeit en Autriche… ; Le Temps… en Suisse ; Lira… en Suède
; Jazz Special… au Danemark).
Mais 2009 c’est aussi l’année où Youn Sun Nah est décorée du titre de Chevalier des Arts et des
Lettres.
Partagée entre Paris et Séoul depuis de nombreuses années, elle est devenue un symbole du lien
d’amitié qui unit la France et la Corée du Sud. Une ambassadrice qui participe aux échanges culturels
entre les deux pays. Une double culture qui l’accompagne dans le monde et qu’elle partage avec toutes les personnes qu’elle rencontre.
Fin septembre 2010, elle sort un nouvel album “Same girl”, toujours sur le label allemand ACT.
Fin novembre / début décembre : résidence à Séoul avec des musiciens français (Isabelle Olivier,
Olivier Sens, Stéphan Oliva, Vincent Peirani…).
Album « Same Girl »
Act Music, septembre 2010
Choc Jazzman, fff Télérama
Meilleurs ventes jazz septembre 2010
Avec Voyage - son précédent CD paru en 2009 - et une tournée
dans vingt pays d’Europe, d’Asie et d‘Amérique du Nord, Youn
Sun Nah a conquis de nouveaux fans. Ce que savaient déjà les
français et les coréens est maintenant à la portée du monde
entier : Youn Sun Nah touche droit au coeur. Une artiste capable de jeter des passerelles musicales et humaines entre les
continents, de créer son art vocal en toute liberté et avec tous
les publics.
Avec Same Girl, elle poursuit son voyage musical et ses explorations en jouant avec différents styles
et genres. Là encore les chansons proviennent d’horizons très variés, mais on retrouve la… ”même
fille”, justement - celle que le public aime tant - même si elle se plaît à le surprendre par des morceaux
revisités de manière très personnelle, libérée des conventions stylistiques. ”Je ne voulais pas rester
confinée dans un répertoire précis, mais au contraire restituer le plus possible de moments vécus”,
déclare-t-elle. ”En ce sens, il me semble que cet album est bien plus varié que Voyage ; par certains
côtés, il a plus de relief, il reflète plus de facettes de ma personnalité.”
Same Girl s’ouvre sur ”My Favorite Things“. Ecrit par Oscar Hammerstein et Richard Rodgers, ce
standard incarne à lui seul le ”Great American songbook” ; mais il est repris ici de façon inédite : Youn
Sun Nah le chante seule en s’accompagnant à la kalimba (de même que la chanson-titre, le ”Same
Girl” de Randy Newman, seule à la boîte à musique), avec pour résultat une sorte de monologue méditatif aux intonations asiatiques. ”Pancake” - composition personnelle née d’un moment de fringale
pendant une séance de travail - est conçu pour laisser s’exprimer les musiciens ; le résultat est une
version humoristique, voire l’antithèse rythmique, de ”My Favorite Things.” ”Kangwondo Arirang”, un
traditionnel coréen, et ”Breakfast In Baghdad”, d’Ulf Wakenius, laissent libre cours à ses capacités
vocales quasi illimitées, qui vont de l’onomatopée très précise, à l’unisson avec un instrument donné,
aux explosions les plus expressives, en passant par de délicats pianissimos au phrasé en filigrane.
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Ainsi, que ce soit sur ”Same Girl”, ”Song of No Regrets” (Sergio Mendes), ”La Chanson d’Hélène”
(Philippe Sarde), ou ”Enter Sandman”, du groupe de heavy metal Metallica, dont elle n’a gardé que le
texte, Youn Sun Nah colore de sa personnalité des domaines très divers de la pop music.
Mais elle ne se contente pas de proposer ses relectures audacieuses de chansons signées par des
orfèvres en la matière : ce disque contient aussi des perles rares. Par exemple, un ”Moondog” très
bluesy, composé par le Britannique Terry Cox (batteur de Pentangle, David Bowie, Elton John, Charles Aznavour…). Par ailleurs, en reprenant ”My Name Is Carnival”, elle veille aussi à ce que demeure
dans nos mémoires le grand Jackson C. Frank et son éclatant talent. Vaincu par la maladie et les
problèmes psychologiques, ce chanteur folk américain n’aura en effet laissé qu’un seul album. Enfin,
Youn Sun Nah réalise un rêve : interpréter ”La Chanson d’Hélène” (Les choses de la vie) ; après tout,
n’a-t-elle pas fait des études de littérature française en Corée avant d’entreprendre une carrière musicale et de tenter sa chance en France ? Cela donne une version sensible de la mélodie interprétée
à l’origine par Romy Schneider, avec Michel Piccoli comme narrateur. Ici ce rôle est tenu par Roland
Brival, musicien, chanteur, peintre et écrivain originaire de la Martinique. ”En entendant sa voix j’ai
tout de suite su qu’elle formerait un contraste intéressant avec la mienne” , déclare-t-elle.
”On ne change pas une équipe qui gagne”, telle pourrait être la devise de Same Girl. En effet, Youn Sun
Nah y est une fois de plus entourée de Lars Danielsson à la contrebasse et au violoncelle, de Xavier
Desandre-Navarre aux percussions et surtout Ulf Wakenius, son partenaire de scène, à la guitare.
En résumé, le nouvel album de Youn Sun Nah rassemble onze interprétations captivantes dans un
style qui n’appartient qu’à elle, et sa voix rare confère une indéniable unité au large éventail de ses
goûts musicaux. Si la manière, le genre, varient d’une chanson à l’autre, c’est bien la même personne
qu’on écoute : Youn Sun Nah, à nulle autre pareille.
Le CD :
Same Girl – Youn Sun Nah – ACT 9024-2 – LC 07644
© Sung Yull Nah
Line Up :
Youn Sun Nah (voix, kalimba, boîte à musique, kazoo)
Ulf Wakenius (guitares)
Lars Danielsson (contrebasse et violoncelle)
Xavier Desandre-Navarre (percussions)
Roland Brival (narration sur ”La chanson d’Hélène”)
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Le Monde Magazine, 12 mars 2011
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Jazz News mai 2011
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http://sites.radiofrance.fr/francemusique/blog/alexdutilh/index.php?id=30#p3790
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Télérama, sortir
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So Jazz
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Les Inrockuptibles, 13 octobre 2010
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Jazzman/Jazz Magazine, octobre 2010
YOUN SUN NAH
SAME GIRL
1 CD ACT/HARMONIA MUNDI
N’en doutons pas : cette Coréenne
débarquée voici quinze ans à
Paris (qu’elle visite depuis régulièrement) ne va pas tarder à
emprunter, en Europe, les mêmes
chemins que dans son pays natal,
ceux de la gloire. Douée de capacités vocales hors du commun,
cette fille de cantatrice possède
une palette de timbres étonnante
et semble capable de chanter
tout ce qui lui passe par la tête
grâce à une maîtrise technique
époustouflante. Son jeu, tout en
nuances, lui permet d’aller de la
note murmurée à la puissance la
plus explosive. Ces exceptionnelles qualités d’interprète, elle les met
au service de la grande musicienne qu’elle est, ne reculant devant
aucun répertoire. Jazz, pop, rock, français, traditionnel, elle se plait
à remodeler tout ce qui lui tombe entre les cordes vocales, libérée de
toute convention stylistique et arrivant à chaque fois à en faire une
œuvre marquée de sa griffe. Avec My Favorite Things et Same Girl de
Randy Newman, elle sait restituer l’essentiel avec dépouillement. Pour
Enter Sandman, du groupe Metallica, elle ne garde que les paroles et,
dans La Chanson d’Hélène de Philippe Sarde, on oublie Romy Schneider tant elle s’approprie le texte. Et dans les originaux, elle s’en donne
à cœur joie, se lançant dans un unisson vertigineux avec la guitare
d’Ulf Wakenius dans Breakfast In Baghdad. Ne ratez pas ces 47 minutes de bonheur intense avec l’une des voix les plus originales de ce
début de siècle, pas plus que ses concerts français de ce mois à Calluire le 12 octobre, à Paris (Duc des Lombards) les 13 et 14, à Nancy
(festival) le 15.k PHILIPPE VINCENT
Youn Sun Nah (voc, sanza, boîte à musique) et selon les plages, Ulf Wakenius
(g), Lars Danielsson (b, cello, melodica), Xavier Desandre-Navarre (perc),
Mathias Eick (tp). Du 2 au 4 juin 2008.
FOCUS
t
BLUES IN FRANCE
DU BLUES FAÇON CAJUN AU BLUES À LA FRANÇAISE IL N’Y A
QU’UN PAS QUE NOUS FAIT FRANCHIR LA PARUTION SIMULTANÉE
DES DISQUES DE BENOÎT BLUE BOY ET PATRICK VERBEKE.
Comme on l’a dit pour le rock, le français serait
incompatible avec le blues. Pourtant Benoit Blue
Boy a posé depuis longtemps les bases d’un blues
à la française qui a fait des adeptes à travers de
nombreux groupes qui, comme leur modèle,
connaissent une regrettable sous-exposition médiatique. Son treizième album, “Funky Aloo” (1) a le
charme et les qualités qui font la personnalité de
BBB : une décontraction vocale qui va jusqu’à la
nonchalance, une technique d’harmonica brillante
mais jamais démonstrative, des textes minimalistes à l’humour ravageur, des ambiances épaisses
et moites, comme des bayous de Louisiane. Il reçoit
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le soutien de Freddie Roulette, légende de la lap
steel guitar, dont les glissades se fondent dans les
étirements voluptueux de l’harmonica. Fidèle et
soudé, le groupe de BBB, les Tortilleurs, est plus sollicité que jamais,
notamment l’excellent guitariste Stan Noubard-Pacha qui publie par ail-
Télérama, 29 septembre 2010
Same Girl - Youn Sun Nah - Jazz - Télérama.fr
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Same Girl
Youn Sun Nah
JAZZ
Eh oui, c'est la même fille (same girl), la Sud-Coréenne Youn Sun
Nah qui chante le matin calme avec la même voix, juste encore
plus juste, émouvante et sidérante quand elle acrobatise dans l'aigu ou les
forte. Avec le même guitariste, parfait, Ulf Wakenius, un Suédois entre
deux âges que la jolie jeune femme doit menotter au radiateur pour qu'il
n'aille pas voir ailleurs dans la file des chanteuses qui rêveraient de réussir
un duo comme Voyage, l'an dernier (ffff). La contrebasse ou le violoncelle
de Lars Danielsson, les percussions de Xavier Dessandre-Navarre
s'ajoutent ici ou là, mais Youn commence solo, avec My favorite things,
égrenant sur les lamelles d'une kalimba quatre notes qui « asiatisent » sur
un seul accord la célèbre mélodie de Rodgers & Hammerstein. Oubliés
Julie Andrews dans La Mélodie du bonheur, John Coltrane et son soprano
et tous les autres : seul reste le timbre si tendre, qui fait se pâmer les
Ulysse du jazz ayant juré de ne plus céder aux sirènes. Car Youn Sun Nah
chante comme si elle inventait le chant. Sur des chansons sans défaut,
Same Girl, de Randy Newman, ou Enter Sandman, de Metallica, prenant
des risques fous. La ravissante Chanson d'Hélène, de Philippe Sarde et
Jean-Loup Dabadie pour Les Choses de la vie, clôt un disque radicalement
neuf pour cette même fille dont les possibilités semblent illimitées.
Michel Contat
Telerama n° 3168 - 02 octobre 2010
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