K600i Case Study Imprimerie Billet FR

Imprimerie Billet, la K600i pour accéder à de nouveaux
marchés
Scanner le QR Code pour
découvrir l’imprimerie Billet
ou
aller à l’adresse suivante:
http://goo.gl/EhG8K6
Présentation
L’imprimerie Billet est spécialiste de l’étiquette de champagne depuis 103 ans. Avec 35 % de part de marché, 1700 clients
et 300 millions d’étiquettes imprimées par an, elle est leader et compte bien le rester tout en s’ouvrant à d’autres applications et secteurs d’activités.
Les étiquettes de luxe réalisées en milliers d’exemplaires sont le quotidien de l’entreprise, mais de nouveaux besoins
voient le jour : traçabilté, lutte anti contrefaçon et données dynamiques à but marketing exigent désormais l’impression de
mentions variables. A l’origine de ce projet, un client, la Maison Taittinger qui souhaitait apposer sur ses étiquettes des codes
100% fiables, intégrés sur un espace d’environ 1 cm2, faciles à relire avec une douchette ou un smartphone.
En bref
• Spécialiste de l’étiquette depuis 103 ans
• 300 millions d’étiquettes imprimées par an
• Traçabilité, lutte anti-contrefaçon et données
dynamiques à but marketing
• K600i Domino intégrée à la reconditionneuse
SRAMAG pour le repiquage d’étiquette et
l’impression de codes 2D.
Rencontre avec Patrice Cauet, Directeur de production et Arnold Deregnaucourt, Président du directoire
« Nous souhaitions répondre à cette demande en
intégrant le système de marquage à notre matériel
de finition. Nous nous sommes tournés vers Domino qui était la seule entreprise à nous proposer
un marquage de haute qualité, en 600 dpi, à haute
vitesse, ici 60 m/min, avec une précision de + /- 0.15
mm Le partenariat entre Sramag, Domino et Billet,
a permis d’aboutir à la solution actuelle et qui nous
donne entière satisfaction », précise Patrice Cauet.
pondent aux besoins de traçabilité, de
nouveaux besoins voient le jour.
La K600i, outre sa qualité et sa vitesse
d’impression pouvant atteindre 150 m/
min, est facile à piloter, l’éditor GT crée
et gère aisément, de manière fluide, les
messages en association avec la base
de données. Les têtes d’impression
se positionnent automatiquement en
fonction de la laize de papier. Le temps
de maintenance est réduit. Grâce à la
fonction CleanCap i-Tech, la K600i
gère automatiquement le nettoyage et
la protection de la tête d’impression :
pas de perte de temps de l’opérateur
avec un nettoyage quotidien. D’autre
part l’accès au compartiment d’encre
est aisé. L’utilisation d’encres à séchage
UV permet l’impression sur les supports les plus divers.
Au-delà de l’impression des codes 2D
DataMatrix, QR ou autres applications
de numéros d’identification incrémentés sur le dorsal des étiquettes, qui ré-
«Assurer à nos clients une information
toujours à la pointe de l’actualité, même
3 ou 4 ans après que, par exemple, la
bouteille de champagne ait été étiquetée est désormais possible. Le code
imprimé est relié à un contenu
stocké sur le web qui est mis à
jour par le client, comme il le
souhaite. L’étiquette évolue, devient intelligente, cette conjonction entre impression et nouvelles technologies nous ouvre
de nouveaux marchés», précise
Arnold Deregnaucourt.
Une autre problématique se
pose aujourd’hui, elle est malheureusement en pleine expansion, la contrefaçon. Le code
crypté, lié au QR code par exemple,
permet une lutte efficace. Il détecte,
partout dans le monde, si le produit
est contrefait. Son principe, en complément du QR code classique, est
d’imprimer des informations stockées
et répertoriées sur un serveur.
A n’importe quel moment, tout au
long de la vie du produit, il est possible de le géo localiser et de
comparer directement les
données présentes sur celui-ci, à celles
cryptées lors de la fabrication de l’étiquette. Un simple message «vrai» ou
«faux» s’affiche. Patrice Cauet précise
« Ce procédé est développé par la
société Adents, notre partenaire logiciel et seule la qualité du marquage de
Domino en assure la fiabilité».
Arnold Deregnaucourt conclut «Ces
solutions innovantes répondent actuellement aux attentes de nos clients et
nous nous en réjouissons. D’autres se
profilent à l’horizon et nous veillons à
construire des partenariats avec des
sociétés aux compétences complémentaires aux nôtres. Nos marchés
évoluent et nous aussi, ce qui me rend
très confiant pour l’avenir».