Dossier de Presse 2014 TELECHARGER

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 Disponible le 09.06
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Manu Lanvin a déjà 4 albums à son actif (« Venir au
monde », « Les temps mauvais », « Faible humain » et
« Mauvais casting ») et de nombreuses collaborations
artistiques comme avec Calvin Russell, Neal Black et Paul
Personne. Son dernier opus lui a permis de faire plus de 120
concerts en 2013, dont des scènes prestigieuses en Europe
comme aux Etats-Unis ( L’Olympia, L’Apollo Theater, le
Montreux Jazz festival, le Cahors Blues Festival…)
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Le chanteur/guitariste est de retour avec « Son(s) of the
blues » (dans les bacs et sur iTunes), un opus enregistré
entre Paris et Memphis avec la complicité du Devil Blues
(Jimmi Montout à la batterie, Gabriel Barry à la
contrebasse).
Actuellement en tournée, il se produira au New Morning à
Paris le samedi 14 juin ainsi que le 15 octobre 2014.
Pour revoir le clip de « Sur la route sixty one » :
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des bluesmen français les plus doués, aussi méconnu chez nous que respecté
outre-Atlantique, où il est l'invité permanent du mythique producteur
de Michael Jackson, Quincy Jones, et de sa Jazz Foundation of America.
Bon sang ne saurait mentir... « Mon père et ma mère Jennifer, qui était
chanteuse, m'ont fait grandir en musique, raconte Manu dans son studio
d'enregistrement de Pigalle. A la maison, les disques de Led Zeppelin et des
Stones tournaient 24 heures sur 24, et leurs amis étaient plus des musiciens que
des acteurs : Bernie Bonvoisin de Trust, Corine de Téléphone, Paul Personne,
Dani... »
Le fils Lanvin s'est d'abord mis à la batterie. « Puis à la guitare, un peu pour faire
plaisir à mon père », avoue-t-il en montrant une antique six-cordes posée sur
une chaise. « C'est la guitare que Michel Blanc et mon père trimbalaient dans le
film Marche à l'ombre. Le producteur Christian Fechner l'avait offerte à mon
père, qui me l'a donnée en me disant qu'elle m'accompagnerait partout. » Il a
monté son premier groupe à 13 ans, Caïman. « Que des fils de, sourit-il. Le fils
d'un Charlot, dont on piquait les textes, celui de Jacques Villeret à la basse... Nos
répétitions étaient la seule sortie que mes parents, très stricts, m'accordaient. »
Sauvetage réciproque avec le rockeur texan Calvin Russel
Son premier concert, à la Fête de la musique à Cergy (Val-d'Oise), a été un déclic.
« La scène, c'est ma maison ! » C'est elle qui l'a porté pendant toutes ces années,
avec 70 à 100 dates par an. Car ses trois premiers albums n'ont pas connu le
succès espéré. « Dans les années 2000, les radios ne voulaient pas de guitare,
regrette-t-il, et un jour, on m'a dit carrément : change de métier. Même mes
parents n'y croyaient plus. A 33 ans, j'étais dans le trou. On me proposait certes
des comédies musicales, le Roi Soleil, Mozart, Dom Juan, mais je ne me voyais
vraiment pas avec une chemise à jabot et une épée. Et puis un jour, Paul
Personne m'a présenté le rockeur texan Calvin Russel... »
Coup de foudre et sauvetage réciproque : Manu Lanvin lui a offert son dernier
album et le musicien américain lui a redonné confiance. « Et puis il y a deux ans,
le patron du Festival de Montreux m'a invité et après m'avoir vu sur scène, m'a
proposé d'animer la soirée de Quincy Jones. J'étais hyper intimidé... et
finalement on a joué jusqu'à 6 heures du matin. Quincy Jones était persuadé que
je n'étais pas français ! »
« Son(s) of the Blues » de Manu Lanvin & The Devil Blues, Verycords, 14,99 € et
9,99 € en digital. En tournée, le 27 juin à Marne-la-Vallée, le 28 à Lyon, le 3 juillet
à Gresivaudan, le 4 à Bourges, le 10 au Montreux Jazz Festival...
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