Réseaux de neurones
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Réseaux de neurones
Réseaux de neurones Quand lis ordinateurs réfléchissent comme Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM les humains Clones BD : la visio-conférence enfin en temps réel ! fi]is Scan - Z/i Ft 1T,TB-FS - Industrie : l'an 2000 sera-t-il Onix ou NT ? Processeurs : de nouveaux concurrents pour Intel ! Pratique Installer un lecteur SparQ sous Linux Réseaux : SSH, le nouveau nom de la sécurité informatique Puissantes mais méconnues... 379230603900200550 Guide d'achat des stations Alpha L in u x . Démarrez Linux est un véritable système d'exploitation Freeware 32 bit multitâche - multi-utilisateurs et dépend des termes de la "GNU Public License". Linux est de type Unix ™ (POSIX) avec des extensions System V et Berkeley, et est disponible sous forme de code source et de binaires. e n t o u t e t r a n q u i l l i t é Votre PC devient Station-X ! & DISPLAY h m m if SERVER I ‘“ I O ffice Suite OpcnLinux “1 B ase lin u x MNIS 0 9/98 (base sur Debian, noyau 2.0.35, 3 CD s) 210 Linux S.u.S.E. 5.3 0 8/98 (vers. U5) 295 -A Linux S.u.S.E. 5.3 vers. Fr (avec support à Installation en France) 335 Linux Snapshot 5.3 (S.u.S.E.) 0 8/9 8 190 Linux Officiel Red Hat 5.1 (Intel) Française (Logiciels du Soleil) 340 Linux Official Red Hat 5.1 (Intel) 315 Linux Red Hat Po w erïools 5.1 (Intel / Alpha) 170 Linux Official Red Hat 5.1 (Alpha) 330 Linux Official Red Hat 5.1 (Sparc) 330 Extreme.Linux (Red Hat) 195 Linux Library vers. 4 (Red Hat) Doc (800 000 p.) 165 Caldera Open Linux Base 1.2 VF ou US (+ StarOffice 4.0 ) 495 Caldera Open Linux Standard 1.2 (vers. US) Linux Office suite 99 S.u.S.E. (Applixware 4.4.1 + Applix Développeur) Accelerated-X Applixw are 4.3.7 Office Suite (Red Hat) StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence non com merciale) StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence com merciale) CDE Client Edition (Red Hat) W abi 2.2 pour Linux (ém ulateur W in3.1x) -CalderaMotif Red Hat 2.1.10 (Intel) Arkeia Mini Lan Offer (sauvegarde pour Linux) Knox Software - Accelerated-AX 4.1 Display Server Linux/BSD (XiGraphics) Accelerated-LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (XiGraphics) OpenGL 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi Graphics) 1795 Linux InfoMagic 0 6/98 175 Linux Archives (InfoMagic) 0 6/98 170 Applixw are 4.3.7 Office Suite (Logiciels du Soleil) Multi-Head pour Linux Vers. 4.1/BSD (Xi Graphics) CDE (Xi Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated-AX 4.1 (Linux BSD) Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Tool Box InfoMagic (Linux InfoMagic 06/98+ livre Runnig Linux) "O'Reilly" 360 V ^ > 4= Linux Slackware 3.5 (W alnut Creek) 0 6/98 185 Turbo Linux for PowerPC -support G3- (Pacific HiTech) 285 ■ MkLinux DR2.1 + livre 320 pages (Rich Morin) 330 Real Time Linux (04/98) MNIS 235 Applications Graphiques pour Linux (MNIS) Linux Turbo Business Applications 01 /98 (Pacific HiTech) GIMP 1.0 (W ilber Works) 135 Linux Games 01/98 (Pacific HiTech) 160 GNU HURD Temps Réel Mach 4.0 (MCD') ____ 0-*“_ ■ - JW JAVA WorkShop 2.0 SunSoft L i v r e s ___________________________________________ |AVA WorkShop 2.0 (Tarif Education) SunSoft Le Sytème Linux "O'Reilly" -590 pages- 2ème Ed. (FR) 290 Unix Feeware 01/98 (Walnut Creek) 210 Adm inistration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR) 230 C/C++ User Group Library 04/98 (W alnut Creek) 255 Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR) 230 Perl 0 8/98 (Walnut Creek) 210 Introduction à Péri "O'Reilly (334 p.) (FR) 230 Ada 0 4/98 (Walnut Creek) 190 Linux Devices Drivers "O'Reilly" (US) 265 C O M PLETE COM M AND R E F E R EN CE UNDÉRCO i Tous les titres de la collections O'Reilly sur com m ande FR/US L inux 250 1090 Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR 215 Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) US 320 - Linux Complété Comm and Reference "Red Hat" (1500 p.) US 365 Maximum RPM "Red Hat" (442 p.) US 260 Doctor Linux 6th Edition (1631 p.) US 310 Samba Integrating Unix/W indows (300 p. + CD) SSC 285 235 Complété FreeBSD (CD s 2.2.7 + Livre 1750 p.) US 395 w d^f c 650 QRZ Ham Radio (Walnut Creek) 03/98 140 CICA 32 W 95/ NT 0 8/98 (Walnut Creek) 220 Hobbes OS/2 0 4/98 (W alnut Creek) 150 Simtel MS DOS 0 3/98 (W alnut Creek) 170 WinFiles.com 06/98 (InfoMagic) 190 e t bien d'a utres titre s FreeB S D FreeBSD 2.2.7 (W alnut Creek) 0 8/98 tJ — i•f1 î' ... NOUS ENVOYONS L£S DERNIERES versions [Fi COURS BON DE COMMANDE A retourner à MCD2 Diffusion * 72, quai des Carrières 94220 Charenton / Tél. 01 56 29 23 00 / Fax. 01 56 29 23 01 □ Je suis intéressé(e) par □ Je désire commander _ et désire recevoir une documentation. N o m __ au p rix d e _________________F n c au p rix d e ________________ Fttc au p rix d e ________________ Fttc , ct port Total 1 Prénom Société Adresse Ville I Je rè g le p a r C a rte B an ca ire e n re p o rta n t so n n ° ci-dessous Tél. 1 1 I 1 1 http://www.mcd2-diff.fr uwai*on so u s 4 8 /7 2 h- C H |e règ le p a r c h è q u e à l’o rd re d e M C D 2 D iffusion I C.P Fttc email : [email protected] I I I I I I : LL expire : Dream fête ce mois-ci ses cinq années d'existence ! "Déjà ?" s'exclameront nos ^ plus récents lecteurs, ceux qui s'étonnent encore de l'existence d'un support pour la micro alternative en 1998. Oui, mais n'oublions pas que Dream est né avec le patronyme "Amiga", celui-là même d ’une machine qui méritait, en 1993, qu'on lui consacre quatre magazines sur le marché français. L'ouverture au monde alternatif dans sa totalité date, elle, d'un an et demi. Pourquoi cette généralisation, d'ailleurs ? Les mauvaises langues diront qu'il s'agissait juste d'anticiper la mort de la presse spécialisée et ceux qui n'ont rien compris affirmeront que nous sommes passés aux mains du complot planétaire "anti-Amiga" (fomenté par Microsoft, sans aucun doute...). Rien de tout cela en réalité. Dès lors qu'il a été question d'assimiler le micro-ordinateur à un lecteur multimédia, la chose a commencé à ne plus devenir passionnante. Et, ce, quelle que soit la machine : revendiquer que I Amiga, l'Atari ou le RiscPC - platesformes sans support commercial - puissent s'asseoir sur les mêmes étals que des PC maquillés en combinés TV/magnétoscope n'avait plus de sens. Alors que le langage de beaucoup dans le domaine de la micro-informatique s'apparente à celui des marchands de tapis, l'alternatif, lui, s'exprime parla technologie à l'état pur. Comment mieux parler d'un AmigaOS, inspiré d'Unix, lui-même démocratisé par Linux, lequel a servi de modèle à BeOS, concurrent de NextStep, qu'en généralisant ? D'autant que les innovations s'effectuent sur une plate-forme différente d'un mois à l'autre, peu ou pas de support commercial oblige. Dans tout cela, que devient !'Amiga, ancien cheval de bataille du magazine, que les nostalgiques d'AmigaNews nous reprochent d'abandonner un peu plus chaque mois au profit de Linux ? Apparemment, la segmentation éditoriale des numéros 38, 39 et 40 (une partie Amiga, une partie BeOS, une partie Linux) a laissé des séquelles douloureuses dans plusieurs esprits. Aujourd'hui, les 84 pages du magazine sont le reflet de l'actualité alternative dans sa globalité, sans aucun sectarisme. Chaque plate-forme apparaît au fil des rubriques suivant son propre rythme et nous sommes fiers de rester le seul média dans lequel elles ont toutes droit de cité. 4.CD-Rom 6. Courant A lternatif 22. Dossier : Les réseaux de neurones Labo 34. Blizzard PPC 36. Icq et ses clones sous Linux 37. Megahal 37. Gnu Robots 0.8 38. CoolEdit/Coollcon 39. Puise 39. GTAC 40. M akeCD 41 . O p en g ro u p ja va For Lin u x 1 . 1.6 42. Amp 42. BeMP # Découverte Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM DfJ 3 D R EA M N°55 - OCTOBRE 1998 44. Coda FS 46. Une vidéo-conférence o rig i nale 48. Le point sur l'Alpha 50. SSH # En Pratique 5 2 . C o n n e c te r un S p a rQ sous Lin ux 54. Co nfigurer KDE 56. Franciser Risc Os 58. Traitem ent d'images par lots 60. OS/2 en réseau local 1Approfondir 6 2 . Im p r im e r s u r un s e rv e u r W indows Program m ation 64. Objet : les relations 66. Perl : scripts CGI 68. C : les tableaux 70. Java : initiatio n aux Beans 72. Initiation au Blitz Basic Zone libre 74. M icrostory : Gary Kildall 78. Le cou rrier des lecteurs 80. Petites Annonces Abonnement P.79 Dream's bootik P.82 CD . Rien que pour vos yeux ! Les derniers bastions des opposants de Linux cèdent peu à peu. D'aucuns disent Linux peu convivial, mais les nouveaux Window Manager et leurs outils graphiques nous prouvent le contraire. D'autres affirment qu'il est nécessaire de parler couramment anglais pour s'immiscer dans les méandres de la configuration du système, mais les fameux Howto se trouvent désormais disponibles en français. Enfin, certains prétendent que Linux est dépourvu d'applications intéressantes, malgré tous les logiciels consacrés aux bases de données, fournis ce mois-ci. Et pourtant, elles tournent ! uoi de plus important que de tra vailler dans un environnem ent graphique agréable et adapté à ses goûts ? Heureusement, Linux permet de changer de gestionnaire de fenêtres très facilem ent, et Dream vous propose un bouquet de W indow M anager dans lequel vous devriez trouver votre bon heur. Vous découvrirez notamment l'in contournable Afterstep dans sa dernière version, le sage XFCE et ses petits airs de CDE, ainsi que le petit dernier IceWM. Figurent égalem ent au programme des utilitaires totalement graphiques, dont le gestionnaire de fichiers XNC, la barre de tâches du GXDesktop, sans oublier les Q avec une touche de KDE. tout derniers utilitaires pour KDE qui ren dent cet environnement si convivial. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le classique mais splendide AfterStep. Impossible de rester de glace avec IceWM. Mozilla 5.0 débarque ! uelques mois après l'annonce offi cielle de Netscape de diffuser publi q uem ent les sources de son Naviqatei une première version beta est Navigateur, enfin disponible, mais uniquement sous la forme de sources. L'archive fournie sur le CD contient les sources MM 1 ‘ /< -î 8 4 2 co m p ilab les sous W indow s et sous mdz 11d on li Lin u x, avec les fichiers de configu ration requis pour chacune des deux p la t e - f o r m e s . Attention, la version Linux requiert dans sa version actuelle O » N du ti.iiam luna ot ihe artM ail mmUmTair la présence des MaolUilMao ^ rcwiptmd Thc^ ^ HTH’ '.•.ravie* • , librairies M otif qui U30%forui ■vente senion on ■ 28 8 m sont, malheureuse BusziU» beeti rouptettty porte») lo ftr l Ifyouwrrc inuratcd in BucnOi H um , a il *e»e put ofl bjr K* m ent, payantes. dependenry on TCL,yt« * ---------* ~ • Notez égalem ent que ces sources Mozilla est un projet ambitieux. Q 1 wmm it Un avant-goût du futur Netscape, sans Motif. s'adressent en priorité aux développeurs et comprennent donc les instructions de débugage. Ne vous attendez donc pas à un monstre de rapidité. L'Unix pour les compatibles qui vous fera tirer le maximun de votre micro! Les Howto en français ! es célèbres Howto, les "comment faire", résident sur le CD de ce mois-ci. Plus qu'une base documentaire, ces outils constituent des éléments indispensables pour se sortir d'un mauvais pas. Pas toujours accessibles à tout le monde en anglais, ils deviennent, dans notre chère langue, les compagnons indispensables du Linuxien anglophobe dans le pétrin. De la gravure de CD-Rom à la connexion à Internet en passant par la configuration de X ou même l'utilisation de disques RAID, les Howto vous disent tout, et selon votre désir au format HTML ou Postscript. L Répertoire Linux Vous aimez les bases de données ? Alors, retrouvez sur le CD un large échantillon de logiciels s'y référant. En vrac, GnuSQL, GtkSQL, MySQL ou GmySQL se partagent le répertoire. RipperX, quant à lui, vous per mettra de convertir directement un CD audio au format MP3. Les plus anciens adeptes de Linux apprécieront les patches permettant de mettre à jour leur noyau. Séjournent également sur le CD, les dernières versions des principales librairies, ainsi que de nombreuses autres appli cations. Répertoire Amiga Envie de belles images et de beaux effets ? Alors, les 18 Mo de démos et les 12 Mo de jeux offerts ce mois-ci devraient vous combler. Et si votre machine refuse de les faire fonctionner, vous trouverez les der niers drivers et patches en date, qui devraient vous aider dans votre démarche. A défaut, rabattez-vous sur le premier émulateur PC compi lé pour PPC. Enfin, pour les plus artistes d'entre vous, le CD contient la totale pour faire du MP3 ainsi qu'un modeleur 3D. Maintenant disponible n lan9ue française! S.u.S.E. Linux 5.3 S.u.S.E. Linux est un système d'exploitation puissant, fiable et rapide avec plus de 800 paquetages de grande qualité, intégrés au système Il est doté d'une interface graphique dont les possibilités enthousias meront aussi bien les néophytes que les professionnels. S.u.S.E. Linux est un systèm e d'exploitation "simple comme Bonjour" qui répondra parfaitement à toutes vos exigences. YaST, l'outil unique de S.u.S.E. vous assistera lors de toutes les phases d'installation, de configuration et d'administration de votre machine ou de votre réseau. Le manuel de 450 pages en anglais avec son supplément français est une aide précieuse pour les débutants comme pour les professionnels. Le lancement des paquetages à partir des CD-ROM est possible sans installation préalable. Une Assistance Technique à l'installation en langue française, avec un numéro d'appel en France est offerte pendant 60 jours après l'achat de S.u.S.E Linux. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Répertoire BeOs Heureux possesseurs de BeOS version 3.0 ou 3. 7, passez à la 3.2 grâce à l'update accueilli sur le CD ! Découvrez également Be sous son vrai jour avec les drivers ATI et Riva permettant enfin à Be de révéler toute sa grandeur graphique. Egalement présents sur le CD ce mois-ci, TeX et Eddie, l'éditeur idéal pour le programmeur, ainsi que des jeux et des outils indispensables. Répertoire RiscOs Retrouvez ce mois-ci sur le CD-Rom tout le contenu du magazine : notamment des démos de Frédéric Elisei, Puise, GTAC et Farwest, un jeu réalisé grâce à celui-ci. Pour le reste, plus de 70 Mo d'applications. Répertoire Os/2 Ce mois-ci, les démos du séquenceur Nota Musica, de l'utilitaire de sau vegarde PC-BaX et de Virus Check Pro, tous fonctionnels mais pour une durée limitée. Répertoire Atari Ce mois-ci, vous découvrirez plus de 25 Mo d'applications en tous genres pour votre Atari. Des outils Internet aux langages de program mation, ainsi que 50 Mo d'applications, répondent à l'appel. Vous trouverez tout pour votre système. S.u.S.E.Unux est un système offrant de nombreuses possibilités: ► des applications variées, des versions de démonstrations des applications courantes, de nombreux langages de programmation, des logiciels serveur Internet incluant Netscape Communicator, émulateur DOS, o de nombreux jeux et beaucoup plus encore... S.u.S.E Linux est un système d'exploitation à la portée de tous. Le leader parmi les systèmes Linux ne coûte que 335 Francs (port compris). Essayez-le dès maintenant! Applixware 4.4.1 La suite bureautique fiable et rapide avec ses logiciels de traitement de texte, tableur et éditeur graphique. Nouvelle version incluant Applix Développeur, Applix Data, ainsi qu'un manuel de 300 pages. Pour toute commande veuillez vous adresser à Répertoire Java L'alternative à Sun passe par Pizza, compilateur remplaçant Javac et Gnujps, la version Free Software du Java Server Page de Sun. Vous ferez leur connaissance sur le CD du présent numéro, qui recèle bien d'autres choses encore. MCD2 Diffusion, 72, Quai des Carrières 94220 Charenton le Pont Tél : 01 56 29 23 00 Fax : 01 56 29 23 01 Email: [email protected] 565 F p o rt co m p ris S.u.S.E. S.u.S.E. GmbH GebhardtstraBe 2 D -90762 Fürth Tel. +49 911 740 53 81 Fax +49 911 741 77 55 Email: [email protected] http://www.suse.de/f/ Micro-ordinateur Phénix, ou l'informatique propriétaire selon Centek Célèbre dans le monde Atari pour ses cartes accélératricesle constructeur français Centek propose aujourd'hui un micro à part entière. Non, ce n'est pas un nouvel Atari ! nTT .«... LJnL^L_SnL_ïn SI ■; formes de demain. L'arrière de la machine se complète par des entrées/sorties audio (quatre cinchs et deux jacks), des prises série et parallèle standard s et deux em p lacem ents réservés à des connecteurs optionnels. Ces derniers représentent en fait un connecteur série à la norme RS422 (identique à \'Ethertalk du Mac) et un connecteur série DB9 supplémentaire. Ces connecteurs ne sont pas livrés en standard, parce qu'ils pourraient gêner les baies réservées aux sorties des cartes PCI qui se situent juste au-dessus d'eux. Par ailleurs, leur usage ne se conçoit que dans le cadre bien déterminé d'une application professionnelle, laquelle nécessiterait un recarrossage éventuel du Phénix. Un port DSP vient compléter le tout et sert de port d'extension externe à la machine. Il s'agit d'un connecteur multifonctions qui permettra au Phénix de piloter Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM C 3 CPl CENTEK H EN IX W 1998 La carte mère du Phénix. ela faisait un bon petit moment que la presse spécialisée en parlait sans jamais le voir. Mais cette fois, ça y est, il a mon tré le bout de son nez. Il s'agit du Phénix, un tout nouvel ordinateur conçu par le Français Centek. Contrairement à ce que l'on pourrait croire - connaissant l'activité de Centek - le Phénix ne constitue pas un nouvel Atari, bien que sa philosophie s'en inspire franchement : construit autour d'une architecture 680x0, il se des tine principalement au même marché de l'audio. En ce sens, des noms prestigieux du show-business musical auraient déjà réservé leur exemplaire. O uvert aux sta n d a rd s de dem ain De prime abord, le Phénix a tout d'un micro moderne. Son boîtier respecte les toutes dernières spécifications de la norme Atx, ce qui permet à la machine de s'éteindre ou de s'allumer automatique ment, soit sur un horaire prédéfini, soit par le biais d'un signal émis à distance (télécommande, réseau...). Par ailleurs, les lecteurs de CD-Rom et de disquettes se voient ici avantageusement rem placés par un DVD-Rom et un L S I20. Celui-ci, relativement répan du dans le monde PC, offre l'extrême avantage de pouvoir lire et écrire indifféremment sur tous les types de disquettes, ainsi que sur un form at propriétaire perm ettant de stocker 120 Mo. Le disque dur, pour sa part, est à la norme Ultra SCSI, ce qui consti tue un excellent compromis entre fiabilité (il s'agit du SCSI), rapi dité (20 Mo/s de taux de transfert) et disponibilité (les périphé riques Ultra SCSI utilisent des connecteurs 50 broches, nettement plus répandus que les connecteurs 68 broches du Wide SCSI). Le clavier et la souris, quant à eux, se trouvent au standard USB, lequel tend à devenir le connecteur d’extension absolu des plates- C tout type d'instrument électronique. On pense bien évidemment à l'appareillage audio complet d'un studio, mais d'autres perspec tives telles que la domotique se montrent parfaitement envisa geables. 2 ... 3 ... 4 p ro cesseu rs ! Mais les atouts les plus impressionnants du Phénix se situent sur sa carte mère. La première surprise vient de ce que la machine est conçue pour fonctionner avec plusieurs microprocesseurs en parallèle ! De base, on trouve deux supports sur la carte mère, mais il y aura moyen d'en augmenter encore le nombre, en pas sant par une carte d 'extension sp écifiq ue, à brancher sur le connecteur propriétaire qui prend place au centre de la machine. Pour l'heure, les supports seront pourvus soit de 68040 (poussés à 40 MHz), soit de 68060 (poussés à 72 MHz). Les configurations les plus économiques pourront par ailleurs ne disposer que d'un seul processeur. A noter qu'il est exclu de m élanger les deux 222 1 S;S;Bk o f— i 3ZK. i s a « y GâBlI Dolmen est totalem ent écrit en assembleur. 1.2.4 Micro-ordinateur i*a I [ «* Tï TtUTI ÎT pr eu Iew - ♦ -sa - ♦ R h - ♦ • en B R P P L IQ U F R Les logiciels de Centek seront adaptés au Phénix. nODE ÜIDEO p & V Q £ 12 V 1... ■■ / § % U ndo AN N U LEJ Return A P P L IQ U E ) or * t 1024+0768 TC 0640+0480 o | « $ r n c a r | Ty fer"- f 7 7 -1 E n t r e la c é 0800+0592 1600+0608 . d 1024+0704 0800+0608 1 104H z Ultra-SCSI et d'un composant sonore 20 bits, permettant une restitution audio à 44,1 et 48 KHz. Il est important de souligner l'importance du DMA dans le Phénix : optimisée à l'extrême, la carte graphique s'avère par exemple capable de d é co m p re sser en tem p s réel une vidéo Mpeg (pour peu que le module Mpeg soit ins tallé) enregistrée sur un disque dur, sans même que les données ne passent par le processeur. Une a rch ite ctu re o p tim isée à l'extrêm e En ce qui concerne les extensions, le Phénix dispose de trois connecteurs PCI dont les trans ferts avec le reste de la carte mère sont optimi sés de façon iné d ite , grâce à l'em ploi d'un c o n trô le u r P C I, d éd ié au x p ro ce sse u rs de M otorola. Une prem ière, des Pow erM ac au Milan (clone allemand de l'Atari ST), le bus PCI se trouve contrôlé par une puce Intel, ce qui implique l'interprétation de chaque instruction et ralentit d'autant le flux des données. A cet égard, c'est sur une carte d'extension PCI que résidera le circuit d'affichage, à savoir un S3 Virge (fonctions 2D et 3D) avec 4 Mo de Ram. L'extension mémoire se voit assurée par quatre emplacements Simm, autorisant en théorie une Ram m axim ale de 512 M o ... Celle-ci cepen dant atteindra difficilem ent ce chiffre, du fait de la rareté des barrettes de 128, ou même 64 Mo. Fin du fin, le Phénix dispose d'un système d'ex ploitation cousu sur mesure. Dolmen, voilà son nom, est écrit à 100 % en assembleur 68040 (tous les autres restent écrits en C, voire p ire ...) et utilise directement les particularités du DSP ou du 53 Virge. E n tiè re m e n t m u ltitâ ch e , il reconnaît autom atiquem ent les périphériques S C S I, e m p lo ie des p o lic e s v e c to rie lle s (TrueType), émule le hardware des Atari STE, d isp o se d 'u n e in te rfa c e H TM L in té g ré e et exploite les fichiers d'une manière à la fois com p a tib le a v e c U n ix et W in d o w s . C e n te k • C yb erg rap h X co m m ercial ? , Selon ses développeurs la prochaine version de CybergraphX poun'ait bien s'avérer commerciale ! Rappelons que CybergraphX est la bibliothèque de pilotes nécessaire à l'utilisation de cartes graphiques sur Amiga. Le fait qu 'ilfaille payer un surcoût pour l'usage d’une carte graphique chèrement acquise se montre à plusieurs niveaux étonnant : d'une part ce sera bien la premièrefois que l'on dissocie le pilote de la carte pour laquelle il se trouve conçu et d'autre part la stabilité de ces pilotes représente historiquement parlant une affaire de longue haleine. Or cettefameuse version 4 disponible dès le mois prochain ne serait mêmepas encore terminée... , , , ,, ,, Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Dolmen sera totalement optimisé pour le 53 Virge. types de processeurs. Le choix de composants de type 680x0 s'est imposé à Centek pour des raisons pratiques : ils symbolisent un excellent compromis entre puissance et prix (depuis l'ar rivée des PowerPC, le prix du 68040 a complè tement dégringolé) et perm ettent de surcroît d 'épauler le systèm e d 'e xp lo itatio n dans sa com patibilité ascendante avec les principales applications interfacées G EM . Le parallélism e entre les processeurs, ainsi que les accès DMA de tous les autres composants de la carte mère, sont assurés par deux puces propriétaires (Anna et Thalie). Et comme si cette puissance ne suffi sait pas enco re, les processeurs se tro uven t épaulés par un DSP 56301 à 80 MHz de chez M otorola (8 0 M ips, taux de transfert de 30 Mo/s avec le reste de la carte mère). De plus, un connecteur interne donne également le pri vilège de multiplier le nombre de DSP dans la machine. Enfin, les entrées/sorties sont contrô lées par un 68360 à 40 MHz. Celui-ci, qui res semble à un 68030 largement complété par de m u ltip le s fo n c tio n s (c o n trô le u r de D Ram , contrôleur de flash, gestionnaire des interrup tions, timers 16 bits, canaux D M A ...), constitue en fait le véritable cerveau de la machine. C'est lui qui démarre l'exécution de la Rom (256 Ko, flash ab le), arbitre les prop riétés de chaque composant et demeure fonctionnel lorsque le reste de la machine demeure en veille. Pour le reste, la carte mère se constitue d'un contrôleur (Nogent-sur-Oise, 60) nous confirm e que les premières versions de la machine seront dispo nibles pour les développeurs d'ici à la fin de l'année et que les clients se bousculent dores et déjà au portillon. MIGA ATARI LINUX RISC PC BE OS OS/2 DIVERS • Au revo ir New Tek Face à Timmobilisme d'Amiga hic. dans l'affaire des Amiga 4000 interdits defabrication fvoir Dreatn précédent), la société NewTek a décidé de changer radicalement son fusil d'épaule. Désonnais, les stations graphiques qu'elle vendra à Hollywoodpour l’industrie des effets spéciaux ne seront plus des Amiga maquillés mais des PC. NewTek n 'exclutpas la possibilité defaire marche arrière lejour où Amiga Inc. sortira enfin une nouvelle machine. EM U LA TEU RS Le Risc Pc toujours au fait de l'actualité Em ulateur PC Engine. Le monde des émulateurs sous Risc Os s'est vivement réveillé depuis quelques mois. Dernièrement, on a pu avoir accès aux dernières ver sions de Marne, Mess ainsi qu'à celles des émulateurs Cam eBoy, V2600 et Super Nintendo. Dans un autre registre, une version optimisée de l'émulateur PC Engine vient de faire son apparition. La version d'origine atteignait péniblement les 10 images par seconde sur un Risc PC StrongArm ; la nouvelle mouture dépasse sans problème les soixante images par seconde et dispose même du son ! Des émulateurs CP/M et Vie 20 se trouvent également en cours de développement, ce qui ne nous rajeunit pas. ArcEm est l'émulateur Archimedes pour machines Unix. Actuellem ent sur un Pentium 2- 233, il arrive à presque 15 % de la vitesse d'un A5000, soit environ 1 % de la vitesse d'un Risc Pc avec S tro n g A rm : d iffic ile à é m u le r, ce d a m n é Arm ! L 'é m u la tio n sur Risc Pc a une ad resse : http://www.cybervillage.co.uk/acorn/emulation EM PLOI JEU X Eternal Destiny : la délivrance Octamed SoundStudio pour BeOS Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM La sortie & Eternal Destiny, le clone de Doom sous Risc Os, était devenue très incertaine. Retards après retards, on ne vo yait to ujo urs rien arriver. Destiny avait une sortie prévue pour la fin 1997 ; on n'aura eu Une p artie de Space Invaders ? L'un des plus célèbres logi c ie ls m u s ic a u x a été porté sous W in d o w s et en to u te logique une version BeOs est envisagée ; quoi de plus nor- droit qu'à une démo de mauvai se qualité. Destiny devait ensuite faire son entrée en scène au Wakefield Show 1998 ; le stand est resté vide. Mais contre toute attente, Destiny a fini par arriver ! Le jeu doit plutôt être considéré comme un clone de Duke Nukem que de Doom. Il se montre très tactique. Si vous avez l'habitude de foncer en tira n t sur to u t ce qui bouge, vous n'avez aucune chance d'aller bien loin. Dans la série des bonnes nouvelles, on peut apprécier les mini jeux d'arcade accrochés aux m urs, qui p e rm e tte n t de refaire le plein d'énergie, les graphismes haute résolution ou la musique au top niveau (l'oeuvre de Mirko Vidovic). Deu* flingues valent mieux qu 'un. Bref, le bébé de Robert Templeman (hé, hé !) est sorti. La première impression s'avère mitigée ; tactique mais difficile, graphismes très beaux et monstres affreusement laids et mal animés. Destiny reste tou tefois une valeur sûre sur Risc Pc. Site : http://ds.dial.pipex.com/rtt Démo : ftp://mphhpd.ph.man.ac.uk/pub/destdem2.zip \A/é.vtr mal, puisque Be constitue le sy s tè m e " m u ltim é d ia p a r e x c e lle n c e "? T o u te fo is , les auteurs se trouvent dans l'im passe et recherchent un pro gram m eur BeOS expérimenté p o ur le p o rta g e . Le tra v a il n 'est a priori pas rém unéré d irecte m e n t, mais le ou les auteurs toucheront 50 % des royalties des ventes du pro d u it. T o u t su r O c ta m e d à l'ad resse h ttp ://w w w .o c ta m ed.co.uk. ASSOCIATIONS Deux nouvelles associations de développeurs sur Risc Pc METTEZ UN ALPHA DANS VOTRE PC Utilisateurs de Linux et de Windows NT. Découvrez chez CDE les cartes et processeurs Alpha. L’unique architecture 64 bits disponible commercialement Le nouveau moteur 3D freeware du monde Acorn. A la suite des derniers messages postés dans les Newsgroups, il apparaît que les développeurs souhaiteraient pouvoir être plus liés, entre eux et autour de grands projets. Le Caug (C Acorn User Group) ne répond pas aux espérances de tous : ainsi, un site Web est en cours de développement pour la communauté des développeurs. L'idée d'une liste de diffusion com m une se trouve aussi à l'étu d e , en plus du new sgroup comp.sys.acorn.programmer. Le deuxième projet s'appelle Sunflower ; le but consiste à diffuser une aide à la création de jeux sous Risc Os et Ne Os. Ecrire un module 'Sunflower" qui facilitera la gestion des jeux constituera le premier pas à franchir. La deuxième étape sera de fournir une aide aux program meurs et un kit de développement de jeux qui pourra s'utiliser sans connaissance en programmation. En ce qui concerne les bibliothèques d'aide au développement, il faut signaler le magnifique moteur 3D offert par Martin Piper, optimisé par Robin Watts et récemment reversé dans le domaine public. Site Web des développeurs : http://www.dcs.warwick.ac.uk/~charlest Projet Sunflower : http://www.argonet.co.uk/users/briggs/sunflower Moteur 3D gratuit : http://www.pinknoise.demon.co.uk/3dEngine.zip Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM SYSTEME BeOS Release 3.2 On peut dire que l'on ne chôme pas chez Be Inc. ! Quelques semaines après la R 3.1, qui a posé quelques problèmes à certains lors de la mise à jour, Be nous en offre une nouvelle, la R3.2. Vous pouvez télécharger cette version inédite sur le site BeDepot (http://www.bedepot.com) pour upgrader depuis la R3.0 ou bien depuis la R3.1. La compatibilité s'accroît avec notamment de nou veaux drivers de cartes vidéo et réseaux. AlphaPC 164 U X 2/U X 4 29, rue Ledru Rollin 92150 Suresnes TéL : 014144 33 33 Fax : 01 4118 99 30 A lphaPC 164 LX 2/L X 4 E-Mail : bmamou@ aol http://w w w .sam sungscm i.com h ttp :// alphapow ercd.com C ontactez-nous pour connaître le revendeur le plus proche de chez vous C CDE A lp h a P o w e r e d iiLl Ec/ic r v m m • O ffice su r A m ig a ? La bureautique sur Amiga s'entiche d'une nouvelle suite : Final Office 1.0. Editépar SoftPartners Final Office est enfait la compilation des outils de SoftWoods en la matière : Final Writer Final Cale Final Data et... Final Writerpour Windows ! Eh oui SoftPartners (suite logique de SoftWoods on l'aura compris) se présente comme un éditeur "multiplates-formes". Defait ses produits à venir devraient se composer d'un seul CD-Rom sur lequel on trouvera les version RiscPC, Amiga Macintosh Windows et Linux du logiciel. http:llwww.softpartners.coml , , NetPositive v2.0 beta , , A chaque plate-forme alternative son navigateur Web particulier. Pour Be, NetPositive fait figure de référence. Une nouvelle ver sion se tro uve d isp o nib le dès maintenant sur le site BeDepot ( h tt p :/ / w w w .b e d e p o t .c o m ). Bien que cette version soit une beta, elle se révèle relativement stable comparée à la précédente versio n . De nom b reux tém o i , , , SYSTEM E N AVIGATEUR , gnages rapportent q u 'il s'agit du plus rapide butineur rencon tré, toute plates-formes confondues. En revanche, ils soulignent que cette version est lente pour résoudre les adresses via DNS. NetPositive se montre compatible avec les dernières normes HTML et supporte bien des subtilités du Web, notamment les frames, les tables ou autres gif animés. Il faudra toutefois attendre encore un peu pour bénéficier du SSL, du javascript et des applets java. SALON W arpstock 98 Warpstock 19 9 8 C h ic a g o CD-Rom de démonstra tion de BeOS Vous en aviez rêvé, Be l'a fait ! Vous pouvez dès m aintenant c o m m a n d e r v o tre C D de d é m o n s tra tio n de BeO S à http://w w w .be.com /dem oCD /. Il est vendu à prix coûtant, soit 3,95USD pour le territoire américain et 9,95USD pour le reste du monde, port compris, Bientôt sur votre écran ? non remboursable. A vrai dire, ce CD donne difficilement une idée correcte de la puissance de BeOS, car il ne s'avère pas installable sur disque dur et ne Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM â SÊM m F ■ W f i l Ce salon entièrement consacré à OS/2 Warp se tiendra pour sa cuvée 98 à Chicago les 17 et 18 octobre prochains. r Seront présentes toutes les sociétés ou associations gravitant autour de l'univers OS/2 (cependant IBM n'y a toujours pas de stand), de BMT à ZGC en passant par Stardivision ou Stardock. Au programme, des démos, des conférences et un point sur l'avenir d'OS/2 qui, devant la pression des "grands comptes", se montre peutêtre plus propice qu'on pourrait le supposer. Timur Tabi, le gourou du projet Win32-OS/2, annonce une surprise de taille pour ce salon, tandis qu'un certain nombre d'éditeurs a retardé la sortie de nouveaux pro duits pour Warpstock. De sont côté, l'Europe n'est pas en reste, puisqu'un "Warpstock Europe" s'organisera les 1 8 ,1 9 et 20 décem bre 1998 à O snab rück en Allemagne. Plus d'infos concernant Warpstock sur http://www.warpstock.org. possède donc pas de mémoire pag inée. Il n ’est possible de booter qu'à partir du CD et d'écrire que sur disquette (600 Ko après fo rm atag e) ; cette version s'ad resse e xc lu siv e ment aux propriétaires de pro cesseurs x 86 . Ce CD apparaît donc com m e une version de test de compatibilité de votre m ach in e x 8 6 . To utefo is, les prog ram m es livrés en sta n dard fo n ctio n n e n t co rre cte m e n t une fo is c h a rg é s en m é m o ire . De quoi d o nc se faire une première idée du sys tème Be sans débourser trop. CREATION Maxon Ciném a 4D pour BeOS Alors que Maxon a abandonné tout support de la version Amiga de leur produit d'images de synthè se, Cinéma 4D, il annonce aujourd'hui la sortie prochaine d'une version BeOS. Cinéma 4D sera alors le seul sur le marché de l'imagerie de synthè se sur BeOS, si l'on omet le concurrent potentiel que peut représen ter le sharew are POV. Le d é v e lo p Cinema4D bientôt sous BeOS pement du produit se révèle déjà bien avancé et la date de mise en vente prévue est la même que celle de BeOS R4, soit avant la fin de l'année. C D J E U X M A T E R IE L PROCESSEURS Arm : la valse des processeurs 3. Arm, pour sa part, sort de multiples micropro cesseurs utilisant le noyau Arm 9 : Arm 910, 920 et 940. L'événement pour Arm sera la sortie de yArm 10, qui devrait se montrer plus performant que le StrongArm. Fort de plus de 500 Mips, il s'a g ira it du p rocesseur g é n é rique Risc 32 bits le plus rapide du marché. Sa sortie est prévue pour 1999. Pou r les p ro g ra m m e u rs qui souhaitent développer sur Arm, la firm e vient de mettre à leur disposition un kit de développe ment Arm 60 se branchant sur le port parallèle d'un ordinateur. C elui-ci coûte m oins de 2000 francs, ce qui se révèle plutôt exceptionnel pour ce genre de p rod uit, qui se trouve cep en Vue de la très économ ique carte Arm 60 Pie. dant fourni sans logiciel : il fau dra choisir entre le coûteux Sdt ou les éventuels Arm est déjà dans le trio de tête des micropro cesseurs Risc 32 bits. Cette fam ille de compo outils Gnu qui ne manqueront pas de sortir. Pour sants se voit sur le point de passer en deuxième aller plus loin, la machine de Chaltech, qui est livrée entièrement équipée, pour environ 7000 position. Arm profite m aintenant d'un nombre francs, semble tout indiquée. conséquent de partenaires utilisant et dévelop Arm : www .arm .com pant la gamme des processeurs. Intel : www.intel.com Intel dispose des StrongArm 110 e t 1100. Il Chaltech : www.chaltech.com annonce le StrongArm 1500 et les StrongArm 2 et lcdfs 3.9a VF ....... .^ 55 F ü) Burn It 2.0 PAO..*.!?.......'/ T 9 0 F ^ Deluxe paint 5 cd................. 219 F »= Elastic dreams cd................ 520 F q _ Fusion Mac emulator..........690 F CD lbrowse J .2 ................339 F Masterlso 590 F > Miami 3...................................... 339 F ^ Network PC + cable II........229 F , Oxyron patcher..................... 139 F ^ Pfs 2 cd........................ J * . . . . 375 F 00 Scala MM400 cd....................565 F O Turbocalc 5.1 cd VF............ 599 F ^ Turboprint 6.2 i . ....... 439 F [ X j Ultimate blitz basic-Gd.......219 F ^ Wordworth 7cd VF.............. 490 F iQ LO Final Odyssey cd.................285 F ° Flying hight cd......................* 9 9 F $ Flying hîght datas disk 2 ..85 F UFoundation cd................«...... 279 F Genetic species cd... Master axe.................... .......... 159 F O Mobile Warfacfiu~...................125 F Myst cd...................................... 375 F N On escapee cd...................... 279 F ^ Quake c d ................................... 379 F g Samba world cup rH __ F^ Ultimate Sskidm arks cd...159 F O Virtual karting 2.................... 179 F “ôj ADE 2..................... 1.................. 105£ é L Aminet 2 3 ,2 4 ,2 5 ou 26.......85 F LU Aminet set 5 ou set 6......... 209 F Amimes babes S E ............... 179 F ^ Amiga format cd.....................49 F ^ Gateway 3 (2 cd) mu i ^ ' c 0 Golden demos.......................... 95 F o Magic publisher......................179 F ^ Mods anthology........ *..........206 F co Texture cd vol1 ........... 149 F ^ Work bench. designer 2......120 F > Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM CORRECTIF IMarche ! L'iMac, la nouvelle coqueluche bleue d'Apple, s'attirait les foudres des pionniers de l'infor matique moderne qui s'étaient lancés dès les premiers jours dans l'aventure Imac ; en effet, la belle machine étant dépourvue des ports de com m unication clas siques, l'utilisation d'une im prim ante, outre la solution du réseau, suppose une connexion par le port Usb, via un adaptateur. Or, de nombreux utilisa teurs se sont plaints de ne pouvoir M a t é r i e l - , u tiliser co rre ctem e n t certaines imprim an tes, notamment des Epson, de cette m a n iè re . La p re m iè re réponse d 'A p p le à ce problèm e fut de conseiller d'utiliser des im p rim an tes réseau, et ne satisfit guère les iMacistes en mal d'im pression. Heureusement, Apple a revu sa position et a développé un cor rectif d'ores et déjà disponible avec les autres 'software updates' à l'adresse : h ttp ://sw u p d a te s.in fo .a p p le .co m /cg i-b in /lister.pl?Apple_Support_Area/Apple_Softw are_Up d a te s / U S / Epson, de son côté, voulant bénéficier des fortes ventes de la nouvelle m achine et de sa situation actuellem ent quasi-m onopolis tique de fournisseur d'im prim antes fo nctio n nant avec l'Im ac, continue le développem ent de ses drivers pour augm enter le nom bre de ses produits com patibles. Tous les drivers sont disponibles sur le site d'Epson, à l'adresse : http://w w w.epson.com /support/pdcip_m .htm l D O E 03 Tbwer Jnifinrtiv II —l Tower Infînvtiv II, alim 230W..1490 F ® Adaptateur écran VGA 85 F 0 Scandoubler interne A1200....659 F Scandoubler A1200T/A4000...599 F CE L Scandoubler exterm?.............. 825F Lecteur de disks HD inteme...559 Fp 8 Nappe IDE 2.5 > 2x3.5............ 125 F ' Quadrupleur IDE...................... 165 F CD Disque dur IDE 3.5, 2.5 GO.lfWB PTÇ Disque dur SCSI 3.5,2 GO...1750 F ^ Lecteur cd-rom ATAPI x ....490 F -g Blizzard PPC 603e 160 68040/25 Mhz. ^ ......2590 F • Cyberstorm PPC 604 180 Mhz, 68040/25Mhz et UW SCSI 5190 F ^ Carte ethemet Amiganet 1550 F (/> Xartedpn 16 bits Préludé— 1890F *5 16 rhô simms 32 bits 60TIS 2 32 mo simms 32 60ns 315 F J/A4000.350 F CL Rom 3.1 A1200// Souris et tapis Fr design....145 F Q ) 1 7 îT P ^ 5 ^ Digitaliser audio + soft........350 F s Cable pamet 3 m + soft.........99 F Sü CDRW Ricoh x2 x2 x6.......... 2990 F ^ fra is de p o rt VPÇ ; lo g ic ie ls 35 F, m atériel 80 F, tour, écran 100F com R e v.en icronîK rvice fficiei • Linux reco n nu ! Compaq a annoncé au cours du salon Eurêka son désir de supporter de manière internationale le système Linux. Ainsi dans un proche avenir il devrait être possible à tout acheteur de Pc Compaq de choisir entre Windows et Linux. A l'instar de son "homologue" de Microsoft Linux devrait se voirfourni pré installé et l'utilisateur bénéficier d'un support technique au même titre que les autres consommateurs. Espérons que cette bonne initiative pousse les autres constructeurs à faire de même. , , ’ , , , Linux Party nationale L'AFUL (A ssociation Francophone des utilisa teurs de Lin u x) co m p te o rg aniser une party Lin ux d 'am p leur nationale le 10 o cto b re. Le principe consiste à mettre en place localement des "install parties" à travers toute la France, regroupées sous cette enseigne de party natio nale. De nom breux départem ents, par l'inter médiaire des divers LUG (Linux Users Groups) locaux, ont déjà déployé l'infrastructure néces saire, et d'autres sont à la recherche d'une salle. En vrac, Grenoble, Marseille, Strasbourg, Brest, Nantes, Lyon et Paris participent à l'opération. Ce type de manifestation entend surtout four nir une aide à l'installation de Linux pour tous ceux qui le désirent. Linux étant rarem ent livré avec des m achines, et la procédure d'installa tion du système ne se m ontrant pas évidente p o u r to u t le m o n d e , c e tte party offre la p o s s ib ilit é , p o u r to u s c e u x qui v e u le n t d é c o u v rir L in u x , de rencontrer des utilisa teurs averAinsi, chacun est libre de venir avec son PC sous le bras pour se faire installer et configurer Linux, ou de venir les mains dans les poches afin de découvrir les ap p licatio ns disponibles pour cet enviro nne m ent. Tous les détails, ainsi que la liste complè te des sites à travers la France, se trouvent dis ponibles à l'adresse http://w w w .aful.org/linuxparty / N AVIGATEUR NOSTALGIE BeZilla, RTS Party Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Netscape pour BeOS Pour une prem ière éd ition , BeZilla concrétise la tentative de portage de Mozilla, la version de Netscape 5.0 dont les sources se trouvent maintenant disponibles gratuitem ent. BeZilla a l'am bi tion d'am éliorer M ozilla grâce aux spécificités de BeOS, pour suivant comm e but premier de faire fonctionner le navigateur avec les sources actuels sur BeOS avant de s'attaquer aux choses Mettez un lézard dans votre Be. sérieuses, les améliorations. Aux dernières nouvelles, une version beta est déjà disponible, malheu reusement pour un groupe de beta-testeurs très restreint. CORRECTIF Des correctifs pour Faxworks La société Keller Group qui édite le logiciel de Fax Faxworks pour O S/2 an n o n ce un ensem b le de co rre ctifs pour son lo g icie l. Rappelons que Faxworks est fourni en standard avec Warp 4.0 et Warp Server. Keller divulgue également son intention de continuer à faire évoluer son produit vers une version 4.0. Plus d'infos sur www.kellergroup.com ce fu t un coup de m aître ! P rès de 2 5 0 p e rso n n e s a v a ie n t rép o n d u p rése n t à l'in v it a t io n la n c é e par q u e lq u e s p assio n n é s de la région de Grenoble, le weekend des 5, 6 et 7 Septembre d e rn iers. Alors que certains se ré p o n d e n t à c o u p s de M é g a H e rtz , d 'a u tre s , plus nostalgiques, se sont souve n u s q u e , il y a e n c o re quelques années, tout avait co m m en cé avec des m achines com m e le C64 ou le C PC . C'est impressionnant ce que l'on peut faire avec un C PC ou un Hades ! Une am biance form idable, vérita b le m e n t o rie n té e " s c è n e " . Tous les autres résultats sont su r le W eb : h t t p : / / rtsparty.im ag.fr Alpha à PARIS!!! Démonstration permanente! Kit Alpha Un micro disque dur IBM a présenté dans le courant du mois de septembre le plus petit et le plus léger des disques durs. De la taille d'une grosse pièce de mon naie et à peine plus lourd qu'une disquette classique, le Microdrive offre une capacité de 340 mégaoctets, soit plus de 230 fois la capaci té d'une disquette 3"112. Les applications évidentes pour cette nouvelle génération de disques sont sans conteste les caméras et appareils photos numériques, ainsi que les ordinateurs de poche, qui nécessitent tous des capacités de stockage de plus en plus élevées. Actuellement, la technologie des mémoires flash à semi-conducteurs s'utilise pour ces applications, car elle seule pouvait fournir des capacités de stockage suffisant dans un volume restreint. Le Microdrive d'IBM utilise quant à lui les technolo gies magnétiques classiques des disques durs, offrant, outre des taux de transferts supérieurs, un coût par mégaoctet bien inférieur à celui des mémoires flash. D'autre part, le Microdrive est compatible CompactElash Type II et a donc le moyen de s'insérer sans problème dans n'importe quel slot de ce type. Ainsi, outre les appareils photos numériques et autre ordina teurs de poche, c'est toutes les habitudes de transferts de données qui risquent-de se voir remises en cause. Le disque pourra être trans porté sans aucune difficulté et il suffira simplement de l'insérer dans un slot libre pour avoir le privilège d'utiliser ses données, où que l'on se trouve. La sortie du Microdrive est prévue pour la mi-1999, mais le prix annoncé atteindrait un dollar par mégaoctet, ce qui représente plus de 2000 francs. Les premières utilisations de cette technologie revêti ront donc l'aspect des appareils numériques professionnels à plu sieurs dizaines de milliers de francs, mais si la demande se montre suf fisante, l'augmentation de production devrait rapidement faire baisser les prix jusqu'à un niveau abordable pour Monsieur-tout-le-monde. m Boitier Middle Tour A T X C arte m ère S am su n g Alpha 1 6 4LX 64Mo DIMM Processeur Alpha 21164 533MHz 11.990F TTC:!!! Alpha I64UX2 Boitier Middle Tour A T Xk Moniteur 17” Monyka C lavier 105 T o u ch es PS/2 27.000F Lecteur 3 ” 1/2 So ny S o u ris Logitech Pilot P lu s C arte m ère Sam su ng Alpha 164U X2 TTC!!! Processeur Alpha 21164 533MHz 128Mo de S D R a m C arte vidéo Matrox Millenium II 8 Mo Contrôleur UW S C S I 2 D isq u es durs Q uantum Viking II 4 ,5 G o UW C D -R o m P io neer 3 6 X Atapi Contrôleur Fast-Ethernet D E C Red Hat Linux pour Alpha installé Processeur Alpha 600 Processeur Alpha 633 Disques Atlas III 9 ,1 Go Disques Atlas III 18,2 G o +8100F Lecteur Zip interne ID E +7S0F +8950F Passage à écran 19” Monyka +2S90F +6500F Passage à 256Mo de RAM +2500F + 15000F W indows N T4 + 1200F Alpha I64LX2 Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Boitier Middle Tour A TX Moniteur 15” Monyka C lavier 105 T o uch es PS/2 Lecteur 3 ” 1/2 Sony S o u ris Logitech Pilot Plus C arte m ère Sam su n g Alpha 16 4 LX 2 Processeur Alpha 21164 533MHz 64Mo de S D R a m C arte vidéo S 3 Virge 4Mo D isque dur Quantum Fireball E L 5,1 G o C D -R o m P io n eer 3 6 X Atapi Red Hat Linux pour Alpha installé Processeur Alpha 600 Processeur Alpha 633 Disque Fireball E L 7,6 Go Disque Fireball E L 18,2 Go +8100F +8950F +550F + II0 0 F Lecteur Zip interne IDE Passage à écran 17” Monyka Passage à l28Mo de RAM W indows N T4 +750F +1000F +2170F + 1200F Autres configurations (W indow s N T, P C standard à base d’Intel. 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Dès le 12 octobre prochain, au fam eux M icroprocessor Forum, Rise fera l'annonce officielle de son qui, à puisssance équivalente, consomme beau coup moins de courant que les processeurs Intel. Transmeta, de son côté, œuvre dans le plus grand secret, en affichant notamment comme seul conte nu de son site web un simple "This web page is not here yet". Le peu d'informations ayant réussi à percer à ce jour concerne leur produit, le fameux processeur, et quelques grands noms d'employés, dont notamment Linus Torvalds, Robert Collin l'un des premiers ingénieurs de Texas Instruments et Paul Allen, co-fondateur de Microsoft, apportant son soutien financier. D'aucuns prétendent que Transmeta travaillerait sur un processeur non com patible directement, mais capable d'émuler parfai tement le fonctionnement d'un processeur x 86 et ce, grâce à une architecture particulièrement in novante. D'autres font toutefois état de la possibili té d'un processeur compatible, mais destiné au marché des mobiles. En effet, dans ce domaine, les processeurs Intel ont toujours souffert de leur consom m ation trop élevée. Il y a donc, à ce niveau, fort à gagner pour qui se révèle capable de fournir un processeur aussi puissant, compatible, et surtout moins gourmand en énergie. Cependant, pour que ces nouveaux venus puissent faire face aux trois géants implantés, Intel, Cyrix et AMD, il leur faudra, en plus d'une conception ori ginale, affronter les difficultés liées au développe ment, à la production en masse, à la commerciali sation et à la propriété intellectuelle pour ne citer que celles-là. Le prix constitue un autre problème, puisqu'en face, les trois grosses compagnies ont la capacité de diminuer leurs marges pour se lancer dans une véritable guerre des prix, ce que des start-ups ne sont pas nécessairement en mesure de supporter. Nous ne pouvons que leur souhaiter bonne chance, en espérant une saine concurrence tirant les performances vers le haut et les prix vers le bas. MP6 Jusqu'alors, Intel jouait le rôle de leader incontesté dans le domaine des processeurs compatibles avec son propre x 86 . Les deux seuls concurrents, AMD et Cyrix, font parfois pâle figure, surtout face à des détracteurs clamant haut et fort que les proces seurs des deux fondeurs ne sont pas complète ment compatibles et encore moins exempts de bugs. Malgré tout, Intel a certainem ent pris la menace au sérieux en se protégeant légalement derrière des Slots 1 et 2, totalement propriétaires et surtout propriété d'Intel. Mais AMD, avec son K6-2, a prouvé que les Slots 1 et 2 n'étaient absolu ment pas nécessaires pour rivaliser de puissance avec les tout derniers Pentium II d'Intel. Cyrix a développé une nouvelle gamme, capable égale ment de jouer dans la cour des grands. De son côté, Intel s'est offert le luxe de définir des catégo ries d'acheteurs potentiels et de segmenter le mar ché. Son processeur Celeron censé équiper les PC bas de gamme alors même qu'il se révèle moins puissant et plus cher que certains Pentium clas siques, a été mal reçu par le public. D’où un retour en arrière, avec un futur Celeron possédant de la mémoire cache et fonctionnant sur un ancien Socket et non plus sur un Slot. De quoi troubler même les plus assidus des consommateurs. Fortes de cet enseignement de la concurrence et de la relative indécision commerciale d'Intel, de nouvelles entreprises tentent de se lancer sur le marché des processeurs grand public. Transmeta (b ie n tô t h ttp ://w w w .tra n s m e ta .c o m ) et Rise (http://www.rise.com) se sont lancés dans la cour se aux processeurs basse consommation à faible coût, destinés à équiper les ordinateurs de bureau aussi bien que les portables. Un troisième larron, M etaflow , avec l'appui de sa m aison-m ère St Microelectronics, s'essaye également à la réalisa tion de clones de processeurs Intel. Dans un marché très prometteur, bien que dominé Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le M P6 bientôt au cœur des PC ? INDISCRETION Linux lit le courrier... ... enfin du moins les adresses inscrites sur les enveloppes. Le projet am éricain de reconnaissance autom atique des adresses postales, engagé dans le courant de l'année 1997, a m ainte nant été totalem ent concrétisé, et surtout, a fait ses preuves. Déjà en possession d'un systèm e com p let de reconnaissance des adresses, com posé d 'ord inateurs vieillissants et de scan ners d é d ié s, l'U n ite d States Postal S e rvice (U S P S ) a vou lu m oderniser tout son appareillage, et plus particulièrem ent les fo nctio n s d'O C R (O p tic a l C a ra cte r R é co g n itio n ), en im plém entant des alg o rith m e s fo u rn is par RAF T e ch n o lo g ie s. Le ch o ix du systèm e d 'e xp lo ita tio n ne fu t guère d iffic ile ; en effet, l'architecture utilisée nécessitait des m achines p articu lières et so uvent une seule carte Eth ern et avec une cartemère, devant fo nctio nner avec très peu de m ém oire. Il fallait donc un systèm e m odulable et recom pilable à souhait. Cela explique la mise à l'écart des systèm es M icrosoft, au profit de Linux, retenu parce que livré avec ses sources, et libre. USPS a donc installé plus de 9 0 0 systèm es Lin ux sur l’ensem ble du territoire am éricain. Chacun se com pose de cinq ord inateurs bi-Pentium Pro 20 0 M Hz - p o urvus re s p e c tiv e m e n t d 'u n d isq u e de 2 ,5 G o et d'une RAM de 128 Mo - ainsi que d'une m achine Pentium Pro 200 équipée du même disque et d'une RAM identique, mais possédant en plus un m oniteur, une souris, un clavier et des lecteurs de CD et de disquettes. En fait, les spécifications prem ières prévoyaient des architec tures plus sim ples, destinées uniquem ent à la reconnaissance des adresses dactylographiées, qui représentent de loin le plus grand nom bre d'enveloppes à traiter. Mais, les algorithm es de reconnaissance de l'écriture m anuscrite ayant été jugés suffi sam m ent fiables, la décision fut finalem ent prise de construire un systèm e cap ab le de re co n n a ître l'ad resse sur to u t typ e d'enveloppe. A insi, les enveloppes sont scannées avec une résolution de deux cent douze points par pouce, à raison de douze unités par seconde. Chaque im age se trouve ensuite envoyée à l'une des m achines par le biais d'un câble et d'une carte dédiés. L'im age se voit ensuite com pressée et envoyée par liaison Ethernet à l'un des d ix p ro ce ssu s (u n p ar p ro c e sse u r) de re c o n n a issa n c e des c a r a c t è r e s . U ne fo is c e u x - c i id e n t if ié s , les o rd in a t e u rs "esclaves" renvoient, sur une seconde ligne Ethernet, le résul tat de leur labeur sous la form e d'une chaîne A SC II. Cela a cer tainem ent l'air an o d in , m ais il est nécessaire de bien co m p ren d re que les d o u ze e n v e lo p p e s scan n é e s p ar seco n d e représentent un flux de 28 Mo/s, im possible à stocker directe m ent sur un disque. Le procédé rem plit donc la RAM de la m achine, qui effectue la com pression à la volée, ou éventuel lem ent stocke certaines données sur le disque, si la RAM est pleine. Ainsi, le débit se m ontre quasim ent continu. Et Linux a com blé toutes les attentes. Posse Press recrute pour l’ensemble de ses magazines Rédacteur technique hardw are/softw are - ret p c t p Excellentes connaissances techniques (architecture, programmation, réseaux...) et bonne connaissance du marché hardware et software pour Pc. Bon contact, maîtrise de l'anglais et bonne plume nécessaires. Rédacteur technique systèm es - ret ## Maîtrise parfaite du système Unix/Linux. Excellentes connaissances techniques (programmation C et Java, réseaux...). La connaissance des systèmes OS/2, BeOs, RiscOS ou AmigaOs serait un plus. Bon contact, maîtrise de l'anglais et bonne plume nécessaires. M aquettiste PAO - re t mq Bonne connaissance des logiciels Xpress, Photoshop et lllustrator. Fibre créative souhaitée. Stagiaires - ret s t Rédaction, création multimédia ou commercial Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM A dresser CV et prétentions à Posse Press / Recrutement 16 . rue de la Fontaine au Roi 750/1 Paris Merci de préciser la référence du poste sur l’enveloppe • V isual Age Java La version 2.0 de Visual Age Java pour OS/2 et Win32 a jailli sur le marché. Le produit supporte désormais le JDK 1.1.6. Une version d'évaluation est téléchargeable sur le site d'IB. M. Les heureux possesseurs de la version l.X de VA Java auront une mise à jour gratuite vers la V 2.0. SYSTEM ES Unix et NT main dans la main ? Microsoft et Compaq, désormais propriétaire de Digital et de son système Digital Unix, viennent de signer un accord tendant à rapprocher leurs deux systèmes concurrents. Le but avoué consiste à fournir une plus grande interopérabilité entre ces deux mondes, et de procurer à Windows NT certaines fonctionnalités de haut niveau issues du monde Unix. Compaq s'engage à aider Microsoft à inclure dans son systèm e des technologies issues de ses deux systèm es, D igital U nix et D ig ital O pen VM S. Parmi celles-ci, on citera notamment la gestion complète du clustering, du côté des fichiers et de l'administration, les possibi lités d'administration à distance avec détection des erreurs et l'infrastructure de partitionnement des données et des fichiers. A l'inverse, les deux sociétés ont décidé d'ajouter dans les deux sys tèm es D ig ital le sup p ort de M icro soft CO M (C o m p o n e n t O b je ct M od el) et de tra v a ille r conjointem ent dans le domaine de la sécurité. Espérons que cette association permette de faire progresser les deux systèmes, et non pas l'un au détriment de l'autre. Pour sa p art, Sun M icro system s, p lutôt que d'oeuvrer en collaboration avec Microsoft, tente de remplacer les serveurs Windows NT par des serveurs sous Solaris. Sun vient en effet d'annon cer une nouvelle technologie, qui donne la possi bilité à un système sous Solaris de s'intégrer sans aucun difficulté à un réseau Windows NT. Le pro jet, baptisé Cascade, entend offrir à un serveur Solaris, indifféremment à base de processeur Intel ou Sparc, tous les services indispensables à la communication avec des machines NT. Il s'agira notamment de la gestion des noms de fichiers, de l'authentification et du partage de ceux-ci ainsi que des imprimantes propres à l'environnement de M icro soft. Sun présente son projet de la manière suivante : il procurerait le moyen de pos séder un réseau de clients NT avec un serveur co m p lè te m e n t c o m p a tib le , m ais o ffrant un niveau de sécurité bien plus élevé que ne pourrait le faire un serveur NT classique. Bien évidem ment, Cascade supporte parfaitement le système de fichiers NTFS de Windows NT et se montre capable de fonctionner avec des clients Windows NT; 95, 98 et 3.11. Pour justifier ce nouveau projet, Sun est parti de la simple constatation que la majorité des ser veurs NT ne s'employait que pour fournir à des postes clients l'accès à des imprimantes et à des fichiers partagés, avec, éventuellement, une vérifi cation de l'identité des utilisateurs. D'autre part, le manque de flexibilité des serveurs NT a conduit moult entreprises à se suréquiper de ce genre de machines, en créant ainsi un réseau complexe à administrer et entraînant d'énormes surcoûts de gestion. Il s'avère en effet courant de rencontrer des réseaux dans lesquels est implanté un serveur Nt pour chaque tâche : un pour gérer le courrier électronique, un second dédié à l'administration des comptes utilisateurs et un troisième spécialisé dans la gestion des connections Internet. Ainsi, Sun nourrit l'ambition de remplacer l'ensemble Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM de ces serveurs par une seule m achine sous Solaris, capable d'effectuer simplement la totalité des fonctions courantes, tout en s'insérant de m anière com p lètem ent transparente dans un réseau N T ; et d'insister fortement sur la baisse des coûts de gestion que cette solution pourrait apporter. Le second point susceptible de décider les entreprises vient de la simplicité de mise en oeuvre et d'utilisation du projet Cascade. En effet, celui-ci propose des outils d'adm inistration et d'observation tout à fait semblables à ceux four nis sous Windows NT. De cette manière, il n'y a aucune adaptation ni apprentissage nécessaires pour un administrateur habitué à NT. Du côté des clients, le changement de serveur serait complè tem ent transparent, les utilisateurs accédant de manière identique aux ressources fournies par le serveur, que celui-ci fonctionne sous Windows NT ou sous Solaris. Cascade devrait se trouver disponible dans le cou rant du mois de novembre pour certaines entre prises pilotes et accessible à tous au début de l'année prochaine. Une station Sun dans un réseau NT. A.D.r.L .APPLJüAJJ'jJ i VENTE D 4 .7 3 .3 4 .3 4 .3 4 . RÉPARATION M agasin et V P C : 47 avenue de la L ib é ra tio n - F63000 C lerm ont Ferrand. C O H A B IT A T IO N Le projet Win32-OS/2 Le projet de traduction d'exécutables Win32 vers 05/2 progresse. Une nouvelle beta est attendue début octobre (le 17 au plus tard : Warpstock oblige). Cette version devrait convertir les programmes Win32 à la volée (sans avoir à faire de manipulations complexes). Nous n'avions pas présenté les tests de la première beta, qui n'avait que le mérite d'exister et de convertir Quake II. Toutefois, cette deuxième mouture sera certainement bien plus intéressante et fera sûrement l'objet d'un prochain article dans Dream. A L L IA N C E Intel soutient Unix Intel travaille ardemment à l'instauration d'un stan dard U n ix, devenu nécessaire au succès de CO M PATIBLE n* umi ra» « iwgu cohhfik son futur processeur 64 bits, le M erced. Dans l'optique d'un "Unix uni■ DIGITAL U V IX fi®", Intel désire travailler conjointement avec tous les grands acteurs du monde Unix, Compaq, Hewlett Packard, Sun, IBM et SCO notamment. Sur le lucratif marché des grandes entreprises, directement concerné par le nouveau pro cesseur, alors que Microsoft tente d'imposer sa technologie NT, Intel, de son côté, préfère œuvrer en faveur d'Unix, jugeant que "l'accéléra tion du déploiement d'Unix sur les serveurs Intel est un élément important pour le développem ent d'un modèle stand ard de serveur haut de gamme". La stratégie du fondeur s'oriente vers un standard baptisé SHVS (Standard High-Volume Server) permettant de réduire très net tement les coûts. Selon les dires de la société, "Intel joint ses forces à celles des principaux fournisseurs de systèmes Unix, ainsi qu'à celles des plus importants fabricants de périphériques, pour surmonter les pro blèmes actuels d'incompatibilité qui compliquent les possibilités de déve loppement du marché Unix". Mais plus que le système, Intel s'intéresse tout particulièrement aux pilotes de périphériques, qui symbolisent la plus importante source d'incompatibilités, en travaillant activement au développement d'un standard dans ce domaine, par le biais de la spécification UDI (Uniform Driver Interface). Celui-ci apparaît aux yeux des constructeurs comme un moyen possible de n'implémenter qu'un seul pilote, capable de fonctionner avec toutes les Unices sur plate-forme Merced, et donc de réduire le temps et le coût de déve loppement. Cette volonté d'unification des systèmes Unix ne date toutefois pas d'hier, chez Intel. Andy Grove a effectué une première tentative quelques années auparavant, essentiellement motivée par le désir d'indépendance vis-à-vis de Microsoft. Cet essai avait échoué notam ment à cause d'IBM et de Sun qui ne voulaient à l'époque pas aban donner leur propre système. Pour la récidive d'aujourd'hui, Intel s'est engagé à fournir toutes les informations techniques nécessaires et à coopérer totalement, afin de faciliter le développement de cet Unix unifié. Gageons que la situation dominante de Windows N T devrait pousser les grands noms du monde Unix à suivre le mouvement. S o l a r is . UnixWare Port total sans m atériel = 50 F. Port total avec un m atériel ou plus = 80 F. Assurance = +30F par tranche de 2500Fet dans la limite de 10 000F. Traitem ent prioritaire = +20F. É tranger en Europe = +15 F. Recommandé = +70 F. Toutes les commandes sont fermes et définitives. CONSEIL Attention : n'envoyez aucun matériel sans un numéro de colisage. Cette publicité a été mise en page avec PageStream A V ER TISS EM EN T Les Editions A I).F I. et llaage & partner ont signé un contrat de distribution cÇtlusi\c sur les principaux pa\s francophones et depuis 1996 nous distribuons une version française exclusive de leurs principaux logiciels. Il apparait que certains de ces produits ont été mis sur le marché en dehors des Editions A.D .F.I. ou de ses revendeurs. Ces logiciels sont notamment en contravention a\cc les législations belges et françaises relatives à la francisation sur les importations. Si vous en ave/ été victime veuille/ nous contacter ainsi que le service de la consommation et de la répression et des fraudes. E/OLUSîlVITÉ A.D.F.I. BMXXBZnSi StormC V F avec manuel si cours............................ 1340F Manuel Storm C en français seul................................290 F Cours C ANSI/C ++ Esthelle seul...............................240 F Art Effect 2.6 Nouvelle version.................................. 98 0F PageStream Mac Version Française.........................1690 F PageStream Amiga Version Française....................1690 F •a- Tous les filtres et Extension pourPageStream sont bien sûr disponibles. PageStream mise à jour................................................... 490 F TypeSmith l'éditeur de fonte Version Française... 490 F n m tim m Devpac 3.50...........................................................................790 F »• La vraie nouvelle version est entièrement en français, fonctionne sur tous les processeurs et coprocesseurs 680xx. et comprend cours, macros, aides hypertextes, dictionnaires, etc. (14 disquettes après décompactage). nui Draw Studio 2 le dessin vectoriel. . 980f Réparateur A .B .E .................................................................470 F Spouleur d'impression.......................................................120 F Pilotes d'impression Stylus et Canon........................... 190 F Encyclopédie sur l'Amiga : tout savoir sur l'Amiga Tome 1 : Tout sur Exec, le noyau du système 320 F Tome 2 : Tout sur le matériel...........................................320 F Bien débuter sur Amiga (préciser l’ordinateur) 190 F Éducatif Décollages............................................................290 F Thème Espace pour Décollages.....................................140F Thème Lettre pour Décollages....................................... 140 F Thème Chiffres pour Décollages.................................. 140 F Thème La mer pour Décollages.....................................140 F Magic Synthesis : Bientôt.................................................690 F Clavier accentué Amiga..................................................... 120 F OFFRES PO DE LA Fi El ITFiEE Architecture es mondes retrouvés.....................199 F Smar^uit^Millenium PlwsiquePre S \tlas mondial Larousse.................199 F 1229 .........................349 F E3S3BESE Dr Brain Voyage dans le temps. 149 F QEMM 9 7 ........................................ 240 ' ('omiminiculioi Delrina Fax Pro 8.0 10 postes.4019 F La 2 C V .............................................. 249 F |Larousse MM encyclopédique.. 299 F I .udn-éducutil J'ai trouvé ............................299 F La grande aventure de Pabo........ 199 F 249 F Forestia.............................................. 249 1 Démarrez avec Windows 9 8 ...... 149 F Formation MM Illustrator...........490 F Mon prof. MM Windows98..........99 F ( iraphique Paint Shop Pro 5.0. .899 Spécial O P S ...................................... 369 F Red Baron I I ......................................240 F Mon Prof Multimédia.................... 149 F Norton AV 5 Pro Educ..................359 1 Norton utilities 3.0......................... 170F Logiciels extraits du catalogue AD F! Cinémascope.....................................390 Cinémascope........... F im iiM im M iiia iiB i Print Master Gold 4 .0 .................... 149 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM J'apprendsà calculer........................ 149 J'apprends les chiffres.....................149 F Maths Terminales 98/99...............349 F HB3E30HSSB Works 3 .0 ......................................... 1890 F anHHsns Le comte de Monte-Cristo IHTW OFFRES AlVIIOA DE LA REl ITFiEE Flash ROM volume I I ...................189 1 Six Sens Investigation..................359 F Amiga Format 3 1...............................49 F Bob’s bad day...................................139 F Compilation Sport 2 ..................... 139 F Tiny Sweek.......................................139 F Compilation Metalic Power...... 139 F W izkid................................................ 139' Compilation Dream Team.......... 139 F Euro League Manager..................175 F Virtual Karting................................ 190 F Flying Hight..................................... 245 F Colonization..................................... 159 F Civilization........................................159 F Fifa international Soccer.............175 F Lethal Weapon l'arme fatale.......139 F Super Tetris........................................139 F Compilation Fox Collection........139 F McDonaldland..................................139 F Cytron...................................................139 F WWF European Rampage tour. 139 F Motorhead.......................................... 139 F Krusty fun house les Simpsons. 139 F Hook le capitaine crochet.............139 F Kyrandia A500..................................149 F Harlequin.............................................139 F Stree Fighter 2...................................139 F Piracy on the High seas................ 139 F Mickey Puzzle animés...................139 F Mickey Jeu de mémoire................139 F Mickey 123............................. 139 F Mickey A B C ..................................... 139 F Mickey Mots croisés................... 139F Alien 3 ............................................... 139 f Lotus III ........................................... . 139 F Wild Wheels................................... 139 F No Second Prive.......................... 139 f Vroom data disk........................... 139 f Darkman........................................... 139 F Chase H.Q........................................ 139 F Navy seals...................................... . 139 F Compilation Quattro adventure ... 99 F Compilation Quattro Fighters ... 99 1 Les aventures de Moktar........... 139 f Sikworm........................................... 139 F E l f ...................................................... 139 f Suspicious cargo.......................... . 139 f Wild Wheels Karting................... 139' 3D Images........................................... 155 1 Amiga Forever.................................. 369 F Anime Babes spécial édition....240 F Light ROM 6 (4 C D )......................390 F Speccy Classix'98..........................190 F True 3 D ...............................................190 F WEB it...................................................155 F Jeux Time of Reckoning............ 235 F Nombreux jeux à partir de.............. 99 F Amiga Format 31 (et moins)......... 49 F Amiga tools 8 (et moins)...............139 F Aminet 27 (et moins)........................ 89 F Aminet set 6 (et moins)................. 199 F APC TC P 6 (et moins).....................89 F Asim C D F S ....................................... 480 F Elastic Dream....................................499 F Euro Cd 3 (et moins)..................... 129 F Fusion Mac Emulator....................699 F Geek Gadget.......................................159 F GPFax.................................................. 495 F Ibrownse..............................................380 F In to the net........................................155 F Kara collection................................. 265 F Magic W B .......................................... 109 F Meeting pearls....................................69 F M iami.................................................. 279 F Netnews offline..................................39 Organiser V F ......................................240 F Personal Paint.................................. 199 f Print studio........................................2591 Scala MM400.................................... 499 F Scanquix............................................ 690f Siamese system............................... 299 F Siegfried anti virus pro................. 285 F STFax Pro......................................... 640 F Turbo Cale V F .................................. 490 r TurboPrint........................................ 449 f WordWorth V F .................................. 490 F Workbench Designer 2 ................. 159 F Ariadne Ethernet............................1690 Picasso IV avec ScanDoubler. 2990 F Module Concierto Picasso 1290 F Module Palomar Picasso 990 F Module Pablo Picasso.................. 890 F Disque dur IBM 2'A.................... 1729 F Doubleur de fréquence................. 659 F Pamet.................................................... 165 F Scanner Epson G T 5500.............1990 F Semet....................................................249 F Tour Atéo...........................................980 F Tour Micronik...............................1240 F Alimentation interne 200 W 449 F Coque clavier+adapt.+cable 420 F Carte Zorro I I ................................ 1390F Carte Zorro I II............................... 3189 F Sortie externe SCSI Micronik... 169 F Adaptateur PCMCIA Micronik. 245 F Lecteur interne D D ........................ 270 F Lecteur interne DD Micronik.... 380 F Lecteur externe HD Micronik... 629 Souris 2 boutons........................... 129F Souris 3 boutons........................... 209 ' Joystick à partir d e ...................... 149 F Topolino pour A2000...................320F Topolino autre Amiga..................295 F OS 3.1 A500, A600, A2000 ...... 590F OS 3.1 A 1200, A3000. A4000.. 690 F MATERIELS Matériels spécifiques PC Clavier standard............................... 158 F Clavier ergonomique..................... 399 F Carte modem USRobotics........... 690 F Game Pad............................................169 F Logitech Pilot Mouse.................... 129 F Microsoft Home Mouse.................169 F Souris 3 boutons.......................... 85F Amiga A 1200................................. 2590 F Amiga A 1200 H D .........................3290 F Amiga A 1300................................. 3340 F Amiga A 1400 Zorro I I ................4849 F Amiga A 1500 Zorro I I I ..............5949 F Blizzard 1260................................. 3690 F Blizzard extension SC SI...............690 F Blizzard Ppc .... Toutes les références Cyberstorm Ppc Toutes les références Cyberstorm MK3 uw scsi..........4480 F BVision.....................à partir de 1590 F mm Écran 15 ‘ * garanti 3 ans........... 1840 F Lecteur CDx32 ID E .......................790F Lecteur CDx32 S C S I.................... 890' Lecteur ZIP // ou S C S I............... 990 F Disque dur IBM 3Vi.................. 1729 F Stylus color 400............................1290 [ Stylus color 700............................1790 SYSTEM E La technologie sans Faust notes. Sun retourne sa veste Loin des considérations d'Intel sur le projet d'Unix unifié, Sun profite du retard à la fois du M erced, processeur 64 bits d'Intel, et de celui de Windows N T 5 de M icrosoft, pour présenter sa te ch n o lo g ie to u t 64 b its, à savo ir son nouveau p rocesseur UltraSparc III et la nouvelle version de son Système Unix, Solaris 64. Alors que le Merced se trouve repoussé à la mi-1999 et que Windows N T 5 est retardé jusqu'à une date pour le m oment indéfinie, Sun com pte bien profiter de ce délai pour tenter d'im Le parc des expositions de Toulouse abritera pour la septième fois le salon FA U ST, Forum des A rts de l'U n ive rs S c ie n tifiq u e et Technologique, du 21 au 25 octobre prochain. Toutes les nouvelles technologies seront représentées, de l'image à Internet en passant par la musique, le langage et les arts du spectacle. Les principaux acteurs dans ces domaines en plein essor seront pré sents pour mettre en valeur, pour les 60000 visiteurs attendus, leurs produits et services. Dream y sera bien entendu représenté. Plus encore, fidèle à sa tradition de spectacle, le salon Faust accueille ra également de nombreux spectacles et expositions sur le thème des technologies de pointe. Il sera également possible pour les visiteurs de prendre part à des stages de fo rm ation dans chacun des domaines représentés, ainsi que de participer à l'un des nombreux concours organisés tout au long de l'événement. Le programme complet du salon est disponible atteint lui aussi les phases finales de développement et devrait entrer en production de masse dans les prochains mois. Il y a fort à parier que Sun va profiter de sa technologie Cascade, per m ettan t à un serveur Solaris de s'in sérer aisém ent dans un réseau Windows NT, pour imposer ses nouveaux produits auprès sur le site web de Faust, à l'adresse http://www.faust.ascode.fr. de clients déçus par un retard toujours plus grand des offres concurrentes d'Intel et de Microsoft. poser ses nouvelles technologies, qui verront le jour sans aucun doute avant celles d'Intel et de M icrosoft. La phase de concep tion du tout nouveau UltraSparc a d'ores et déjà pris fin, et le processeur est actuellem ent en cours de validation. Les premiers échantillons seront envoyés à certains clients avant la fin de l'an née en cours. Solaris 64, version 64 bits du système de Sun, a B U REA U TIQ U E Wordworth (formatage de textes, dictionnaires, Un nouveau insertion de tableaux et de dessins, etc.) avec la Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM rapidité en plus. Mais là ne réside pas son seul inté traitement de rêt. Volontairement ouvert aux développeurs tiers, le logiciel se montrera suffisamment ouvert pour texte sur Amiga que n'importe qui puisse lui programmer rapide L'allemand Haage & Partner, à qui l’on doit toute une kyrielle de langages de programmation, l'OS des cartes PPC, PageStream (Pao) et le fameux Art Effect (lo g ic ie l de reto u ch e p h o to , sosie de Photoshop), vient d'annoncer qu'il allait très pro chainement compléter son catalogue avec un nou veau traitement de texte. Amiga Writer, c'est son nom , offrira de base toutes les fonctions d'un Enfin un traitem ent de texte rapide ! ment des extensions, telles que la reconnaissance de nouveaux formats de fichiers ou la compatibilité avec des dictionnaires existants sur d'autres platesformes. Prévu pour la fin du mois, Amiga Writer a la volonté de devenir le traitement de texte de réfé rence sur Amiga. A tel point qu'Haage & Partner a même acquis une licence auprès d'Amiga Inc. pour que le logiciel puisse porter le même nom que la machine. Toutes les fonctions d'un Word. PROCESSEUR Le nouveau Chipset Am iga est en route p résent essen tielles dans l'arch ite ctu re Amiga : Paula (son), Usa (affichage), Alice (B litte r, C o p p er, D M A) et les deux CIA (entrées/sorties). Il offrira de nouvelles réso lutions (jusqu'à 1024x768 en 65536 cou leurs, véritables modes Chunky Pixels), un SuperlO, afin de gérer simplement tous les types de périphériques (série, parallèle, UltraDMA Ide et USB). Pourquoi développer un nouveau Chipset Amiga, alors que la machine se sert depuis la nuit des temps de banales cartes d'extension pour se mettre au Access Innovation, constructeur goût du jour ? Tout simplement anglais de cartes mères compa parce que l'Amiga a abouti à tibles Amiga et anciennem ent une situ a tio n absurde : il a connu sous le nom d 'in d e x besoin de son C h ip set pour In fo rm a tio n , a c o n firm é la fonctionner (le Chipset reste le bonne m arche du développe centre nerveux de tout ordina m ent d'un n o u veau C h ip se t teur), mais celui-ci est tellement pour Amiga. Rappelons à ce pro vieux qu'il faut compenser cha pos qu'avec ses différentes ver cune de ses carences par une sions O C S , ECS et A G A , le n o u ve lle carte d 'e xte n sio n Chipset Amiga a toujours été la importée du monde PC (pour S ia m e s e PCI particularité de la machine. En l'affichage, essentiellem ent). Le Siamese, un exemple du talent d Access Innovation. bien (a n im a tio n 2 D , q u alité Une redondance qui finit par sonore, D M A ), com m e en mal (p as de son 16 bits, un DMA optimisé et un contrô rendre la machine finale très chère, pour pas mode Chunky Pixels, lenteur de la gestion leur d'extensions PCI intégré. L'AA+ se mon grand-chose. Compatibilité ascendante et des disquettes HD). Vingt fois plus rapide trera totalement compatible AGA et s'inté intégration économique représentent les que l'AGA, VAA+ se présente com m e un grera parfaitem ent sur une carte mère à m aîtres-mots des futures générations de composant 32 bits qui intégrera à lui seul base de 680x0, ColdFire ou PowerPC. Par cartes mères Amiga, comme les conçoivent ailleurs, il pourra s'interfacer avec une puce les fonctionnalités de cinq puces jusqu'à Accès Innovation, Phase 5 et Dce. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM M icrosoft corrom pt les SCANDALE instituteurs Microsoft a découvert une nouvelle méthode de promotion de ses produits. Aux Etats-Unis, tout professeur d'inform atique faisant mention des produits Microsoft dans le cadre de ses cours se voit gracieusement offrir la somme de deux cents dollars par le géant du logiciel. Bien évidemment, pour éviter de se faire accuser de cor ruption, Microsoft justifie son action en présentant cette rétribution comme une participation aux frais que les professeurs ne manque ront pas d'engager pour acquérir des produits Microsoft. Il est indé niable qu'un enseignant hésitant quant aux logiciels à utiliser se tournera naturellem ent vers ceux de M icrosoft, et pourra, les poches pleines, convertir toute une génération de têtes blondes à la religion Microsoft. COMMERCE Sym antec roule pour OS/2 ? A la suite des accords passés avec IBM concernant son produit Antivirus, Symantec commercialise un antivirus pour OS/2, dérivé de Norton Antivirus. Il semblerait que les ventes soient suffisam m ent nom breuses pour que Sym antec envisage l'adaptation d'autres best-sellers pour OS/2. BORDEAUX MOUVEMENT INFORMATIQUE ALTERNATIF • La s e m a in e PR O G R A M M A TIO N d u lo g ic ie l lib r e La Cité des Sciences et de l'Industrie de la Vidette abritera du samedi 3 au dimanche octobre la semaine des logiciels libres organisée notamment par lA pril (http:llwww.april.org) et l'Aful (http:llwww.aful.org). Au programme conférences et ateliers de présentation des logiciels libres. A l'occasion de ta Semaine de la Science la Willette sera ouverte gratuitement le week-end des 0 et octobre. // , , , // / G old Ed S tu d io 5 a rriv e G o ld E d r e p r é s e n t e le p lu s fa m e u x é d ite u r de te x t e su r A m ig a . En p lus de to u te s les 1 f b _ | SAS/C È - _ | Configuration —a Syntax Highlighting Mouse Keyboard — _ ) Menus —LLTo olb ars —[7 Miscellaneous —“ Context Dictionary —/ / Plug-Ins _ j Récognition |—«5cf* (c|cc|cpp|ccp|c-* Pool _ j Rie search ' | Keyboard -< ^ sas.keyboard standard keyboard -< ^ stormc.keyboard Layout _ j Menus 1 | Miscellaneous _ j Mouse _ j Plug-Ins _ j Prlnter _ j Project configuration standard project & - _ J Reference files t H _ | Syntax Highlighting fo nctio n s propres au fo rm a ta ge d ’un texte, son grand inté rê t c o n s is te à d is p o s e r d 'u n lexiq u e p o ur ch a cu n des lan gag es en v ig u e u r sur A m ig a . De fa it, le p ro g ram m eu r peut v is u a lis e r a is é m e n t les d iffé C h a q u e la n g a g e p e u t d isp o se r d'un en viron n em en t p rop re. re n ts é lé m e n ts d e so n c o d e D 'autant plus pratique qu'il y a Studio 5, dispose d'une interfa g râ c e à la m ise en g ra s, au x possibilité de lancer tel ou tel ce plus intuitive, dans laquelle ita liq u e s ou à la c o u le u r des co m p ilate u r d ep u is un m en u . le instructions, labels et routines. La n o u velle ve rsio n , n o m m ée opp o rtun, ainsi que d'un nou D r a g 'n 'd r o p se m o n tre v e a u c o n c e p t d e le x iq u e s . D é s o r m a is , c h a q u e e rr e u r d 'é critu re se tro uve visualisée en tem ps réel par une mise en su rb rillan ce au m o m en t de la frap p e. Et puisque la dernière version d é tie n t ég alem en t un Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM d ic t io n n a ir e (a n g la is , p o u r l'in s t a n t ), !e lo g ic ie l d e v ie n t m ê m e id é a l p o u r ta p e r des a rtic le s au k ilo m è tre (H T M L , S A S / C ). En a tte n d a n t le test d an s un p ro c h a in n u m é ro , il est possible de télécharger gra tu ite m e n t la p ré cé d e n te v e r sion sur le site : h ttp ://m e m bers.tripod .com /~ golded/. C o rrectio n en cou rs d e fra pp e. MISE A JOUR ts» rt> -> •W > BeBasics de BeatW are passe en version 2.1 f« * .< i. > & •&. * >j * 1 -J » ^ (V I I -t . - E3li IIS >)!!' QT The BeatW are Beat La suite b u reau tiq u e BeBasics profite d'une petite m ise à jo u r, d o n t le b u t est de c o rrig e r q u e lq u e s b ug s de la suite et surto u t d 'in té g re r des d atatyp es d 'im p o rtatio n et d 'e xp o rtatio n vers les fo rm ats "texte-p lat" et RTF, afin de f a c i l i t e r la c o m m u n ic a t io n a v e c le s a p p lic a t io n s , Enough is Enoughf W in d o w sie n n es et le reste du m o n d e . BeatW are p révo it é g a le m e n t l'a jo u t du s u p p o rt de l'H T M L e t du fo rm a t ■Mil-.IUItMlil U V |4 «V -V f wn» 2 .2 se vo it déjà a n n o n cée et ne d e vrait pas ta rd e r à vo ir le jo u r. To us les ren seig n e m e n ts et la possib ilité de c o m — «« *■<» ■Un W in W o rd p o ur les p ro ch ain es versio n s. U ne m ise à jo ur «mnjijw NtuoMNocndiM Thf W inin ol t»nr Durartcal ** »y» i n. i . ny. BeBasics, p a s s i b a siq u e que cela ! m a n d e r BeBasics 2 .1 au p rix de 6 9 d o lla rs so n t d isp o nib les à l'adresse : h ttp ://w w w .b e d e p o t.c o m /sh o p /p ro d u c ts/b e a tw a re /b e b a sic s.a sp . Les u tilisateu rs déjà enreg istrés re ce vro n t une m ise à jo u r g ratu ite . M o n ite u rs & Video C a rte s PPC U itra-W ide A 4 0 0 0 AverTVGenie ProTV (Vidéo PAL sur écran VGA) Ô50 Atéo Dus + Pixel64.........................................1 9 9 0 BVision PPC 4 M o ........................................... 1 4 5 0 CyberVision PPC 8 M o .................................... 1 7 9 0 Moniteur 15" 0 .2 8 ............................................ 1 5 0 0 Moniteur 17' 0 .2 8 ................................ 2 550 Moniteur 17' 0 .2 6 ............................................2 9 5 0 Mitsubishi 17' 0.25 Plus 71........................... 5 5 9 0 Mitsubishi 17" 0.25 Plus 7 2 ..................... 3 9 9 0 A m ig a - M a c in to s h - L in u x - PC Incroyable !!! Pour l’a c h a t d ’une c a rte PPC, nous vous o ffro n s : • 16Mo (Blizzard) • 32Mo (CyberStorm)s • Port gratuit La sortie des DvisionPPC (A1200) est repoussée à début octobre... Pensez à surveiller www.vgr.com pour profiter de vos CyberVisionPPC. Les cartes à base de 6Ô060 sont de retour ! F F F F F F F F F iM ém oires de m asse Lecteur CDROM IDE 3 2 x ........................ Graveur CD SCSI Teac B55S x4 x12 Disque dur IDE 2.1 Go ............................ Disque dur IDE 3.2 G o ........................... Disque dur IDE 4.3 G o ........................... DD SCSI 4.3 G o ...................................... DD SCSI UW 4.3 G o ............................... Lecteur ZIP ATAPI in te rn e ...................... 390 2 790 930 1150 1250 2 090 2 590 750 M ém oires & Divers F F F F F F F F 0 5IMM 16 Mo EDO 150 F SIMM 32 Mo EDO............................................... 2 7 0 F Doitier Atéo 1200 + Clavier 1090 F Modem USR S p o rts te r V 9 0 1350 F Wordworth 7 .0 fr a n ç a is .............................,.. 4 9 0 F CD A m in e t 2 6 30 F Cyberstorm 180Mhz support 040 ou œo...................... 4 4 9 0 F Cyberstorm 4 390 F 1 8 0 M h z a v e c 0 4 O à 2 6 M H z .... Cyberstorm 160Mhz avec 0 6 0 à so mhz.._ 6 990 F Cyberstorm 200Mhzsupport040ou06o 5 290 F Cyberstorm 200Mhz avsc 040 à 25 MHz 5 590 F oeo à 50 M Hz 7 890 F Cyberstorm 2 0 0 M h z avec Cyberstorm 2 3 3 M h z support 040 ou oeo Cyberstorm 2 3 3 M h z a v e c 0 4 0 à 2 5 M H z ..............................6 Cyberstorm 2 3 3 M h z avec œ o à ...........5 75 0 F 200 F 50 mhz ...............7 9 9 0 F C a rte s PPC U ltra-S C S I A1200 990 F Blizzard 6 0 3 e + 160M hz& 04O A 25M H Z 2 Blizzard 6 0 3 e + 2 0 0 M h z su p p o rt0 6 0 à 6 0 M H z 3 450 F Blizzard 6 0 3 e + 2 0 0 M h z & 0 4 O à 2 5 M H z ..............3 550 F Blizzard 603e+ 200Mhz &œo à 50 m h z 5 990 F Blizzard 603e+ 240Mhz support 060 à50 m h z 3 990 F Blizzard 603e+ 240Mhz &040 à 25 M H z ............... 4 150 F Blizzard 603e+ 24OMhz&060 à 5 0 M H z 6 590 F C a rte s PPC A 1200 Blizzard 603e 1 6 0 M H z & 0 4 0 A 2 5 m h z ................ 2 450 F H z ............... 2 990 F Blizzard 603e 200Mhz&040 i2 5 M Blizzard 603e 240Mhz &0 4 0 à 25 M H z ................3 5 9 0 F Nappe S C S I UW 6 8 p ts - 4 connecteurs internes M + slot externe F (idéal Cyberstorm) A dap tateur S C S I - 1 connecteur PSub68 F vers 1 connecteur HE10-50M ................................ A d ap tateu r S C S I - 1 connecteur DSub68 F vers 1 connecteur HE10-50F ................................ A d ap tateu r IDE -1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2............................................ Câble S C S I-2 - Mini D50 M vers DB25 M ................................................................................................... Route départementale 523 • 3Ô5 7 0 TENCIN 430 190 190 50 ................120 F ra is de p o rt : Moniteurs et boitier : 150 F Connectique, RAM & logiciels : 25 F Autre : 50 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Tél. : 0 4 7 6 4 5 6 0 6 0 - Fax 0 4 7 6 4 5 6 0 5 5 • www.pragma-info.com Tout l'univers du PC Chaque mois, le m agazine + 2 CD-Rom =42 f Ludi CD : CD Pro : Grand Prix Legends, prenez le volant d’une Lotus 49, un bolide précurseur des F1 actuelles. Audioactive Production Studio Lite : stockez vos chansons préfé rées sur disque dur ! + 6 démos de kit développement JAVA F F F F F [ Les réseaux de perm et pas de toujours résoudre les problèmes d'une application informatique dans un domaine particulier. Certaines applications souffrent encore, malgré la puissance des machines, d'un temps de calcul rédhibitoire. Progressivement s'est donc impo sée l'idée que les manques de performances pou vaient provenir aussi bien du logiciel que du maté riel. D'où l'apparition de nouvelles formes d'ap proche de la conception des applications. En plus de la classique algorithmique se sont progressivement dessinés l'intelligence artificielle, ou approche par connaissance, et le connexionnisme, tendant à faire fonctionner une machine sur le modèle du cerveau humain. Les approches classiques L'approche algorithm ique consiste à concevoir, avant même d'écrire la moindre ligne de code, tout le processus que la machine devra suivre dans le but de résoudre le problème. Lorsque celui-ci peut se résumer à quelques équations mathématiques, l'al go rithm iq ue rem plit p arfaitem ent son rôle. En revanche, lorsque la complexité s'accroît, résoudre un problème de cette façon peut s'avérer coûteux en temps, voire simplement impossible. De plus, ce type d'approche oblige le concepteur à envisager tous les cas de figure envisageables, car la machine, résolument binaire et disciplinée, sera incapable de prendre seule des décisions face à une situation pour laquelle elle n'a pas été programmée. C'est d'ailleurs le désir de fournir à une machine les moyens de prendre des décisions qui a fait voir le jour à une approche complètement différente : l'in telligence artificielle (IA ou Al en anglais). A l'opposé de l'algorithmique, la résolution du problème passe ici directement par des règles établies grâce à un expert humain dans le dom aine considéré, sans avoir recours à un technicien informatique chargé de transcrire des concepts humains en concepts infor matiques. Mais là encore, seuls les comportements envisagés par le concepteur pourront être reproduits par la machine. Il est d'ailleurs souvent fait allusion à l'intelligence artificielle, avec le terme d'approche par connaissance ; le système se montre capable de stocker certaines règles prédéfinies et de fonctionner par analogie. Mais là encore, le fonctionnem ent reste purement binaire, donc limité, face à des situa tions non prévues au moment de la conception et trop éloignées des règles de base. L'intelligence arti ficielle a sans aucun doute une grande utilité pour les sciences dites exactes, telles que les mathéma tiques, l'électronique ou la physique, mais ses limita tions se font nettem ent sentir dans le cas des sciences humaines, par opposition à exactes, comme Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM V* La science-fiction fait état d'ordinateurs intelligents, capables de raisonner, voire de conquérir le monde. Loin de ces scénarii catastrophes, les réseaux de neurones offrent néanmoins à l'ordinateur un semblant d'intelligence, en lui permettant de trouver de lui-même les moyens d'obtenir les résultats qu'attend l'utilisateur devant son clavier. ’informatique est par définition la science du traitement automatique de l'information. Au cours de l'histoire de cette nouvelle science, débutée réellement en 1946 avec l'apparition de YENIAC, la puissance de calcul des ordinateurs n'a cessé de croître, repoussant toujours plus loin la complexité des tâches rendues possibles. Cependant, cette augmentation de puissance ne L n e u ro n e s 1 la médecine ou la psychologie, dont les principes de base sont avant tout empiriques et impossibles à tra duire en expressions mathématiques. L'hum ain, m odèle de l'in fo rm atiq u e Ces deux ap p ro ch es, a lg o rith m iq u e et base de connaissance, se révèlent malheureusement insuffi santes pour résoudre tous les problèmes existants. Il peut même s'avérer frustrant de voir une machine paradoxalem ent capable d'effectuer en quelques secondes un calcul qui prendrait toute une vie à la main et quasiment incapable d'accomplir des tâches tout à fait banales pour un humain, comme mettre un nom sur un visage. Certains domaines d'applica tion n'ont d'ailleurs jamais été pourvus de systèmes automatiques, faute d’approche logicielle capable de les ap p réhen d er avec la puissance actu e lle des machines. Quelques essais algorithmiques ou à base de c o n n a is s a n c e s o n t été e ffe c tu é s d an s des domaines tels que la reconnaissance de formes, la compréhension du langage, ou la traduction auto m atique, mais sans jam ais ren co n tre r le succès escompté. Pour espérer un jour automatiser ce type de proces modèle humain simplifié, ont vu le jour. Une science nouvelle est née de ces observations, le connexionnism e. Elle constitue d'ailleurs l'un des principaux centres d'intérêt de la recherche actuelle dans bon nombre de domaines, dont notamment l'informatique, la physique, la psychologie, la linguis tique, la biologie ou la m édecine. Sous le terme "connexionnism e" se cache un moyen particulier de traiter l'information, calqué sur les principes fonda mentaux de fonctionnement du cerveau humain. Le co nn exion nism e se structure autour d'un grand nombre de cellules primitives, ou unités, connectées entre elles par des liens, et fonctionnant en parallèle, sur les bases du modèle humain évoqué plus haut. sus, il a fallu envisager un autre type d'approche. Les progrès de la médecine aidant, les informaticiens se sont penchés sur l'analyse du fonctionnem ent du cerveau humain pour tenter de reproduire certains Une fois l'intérêt du connexionnisme établi il est essentiel de s'intéresser aux moyens nécessaires pour le mettre en œuvre. de ses mécanismes sur une m achine. Le point de départ fut l'analyse de la capacité d'un humain à rai e modèle général de réseau de neurones artifi ciels se compose d'unités attachées entre elles par des liens pondérés à sens unique. Par ana logie aux neurones biologiques, le réseau artificiel fonctionne grâce à la circulation de signaux d'activa tion entre les différentes unités, au travers des liens, ou connexions. Unités et connexions Principes des réseaux de neurones Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM sonner et à s'adapter à des situations nouvelles. L'étude des processus physiologiques a permis d'at tribuer au réseau de neurones humains, connectés entre eux par des synapses, la capacité de réfléchir par le biais de la transmission de signaux actifs. Une fois établie l'importance de la connexion des neu rones, des réseaux neuraux artificiels, s'inspirant d'un , L Les unités, ou cellules, ou neurones, peuvent être de ' y • » • i » i1 Î.W .Y.V.W AV.V.V.V.VAV.V.V/AW AVVkV.V* Reconnaissance d'un 0 avec 30 % de bruit dans un réseau de Hopfield. trois types, en fonction de leur position dans le réseau. Les cellules par lesquelles se trouvent intro duites les valeurs dans le réseau, ont pour nom "uni tés d'entrée". Les points par lesquels les résultats vont se voir communiqués au monde extérieur sont, suivant la même logique, baptisés "unités de sortie". Toutes les cellules restantes s'ap p e lle n t "un ités cachées", car elle ne possèdent aucun lien direct avec le monde extérieur. Toutes ces unités s'organi sent généralem ent en couches et chaque cellule d'une couche est connectée à chacune des unités des couches adjacentes. Ainsi, chaque unité d'entrée se verra connectée à chacune des cellules de la pre mière couche cachée et chacune de celles-ci se trou vera ég ale m en t reliée à to utes les unités de la couche suivante, et ainsi de suite jusqu'aux cellules de la couche de sortie. Les connexions perm ettent le transit des signaux d'activation entre les différentes cellules. Ces liens ont un sens unique qui détermine la direction dans laquelle le signal va se propager. D'ailleurs, l'unité de laquelle part la connexion est nommée "unité sour c e " , et la d e u x iè m e , " u n ité de d e s tin a tio n " . L'utilisation de ce vocabulaire permet d'inclure impli citement cette notion de direction. Chacun de ces liens possède en plus un poids, indiquant l'effet qu'il va produire sur le signal qu'il fera transiter entre deux cellules. Si le poids est positif, le lien aura ten dance à amplifier le signal, tandis qu'avec un poids négatif, il se montrera plutôt enclin, au contraire, à l'inhiber. Les combinaisons de poids négatifs et posi tifs d'un réseau permettent de garantir des valeurs de sortie raison n ab les, ni trop grandes, ni trop petites, et donc d'assurer une certaine stabilité de fonctionnement. D'une m anière générale, les réseaux se révèlent purement linéaires ; autrement dit, le signal circule de la couche d'entrée vers la couche de sortie en passant su cce ssive m en t par to u tes les couches cachées. Il en va notamment ainsi pour ce qui est appelé "perceptron", historiquement apparu parmi les premiers réseaux et considéré comme le modèle classique le plus couram m ent utilisé. Mais il existe certains types de réseaux dont la topologie particu lière rend les termes généraux inadaptés. En effet, certains réseaux peuvent fonctionner de manière récursive, en connectant quelques sorties sur cer ta in e s des e n tré e s . De m êm e, une p a rtie des connexions peut s'accomplir avec une seule cellule, faisant à la fois office de source et de destination. Fonctions d'activatio n et de sortie Bien évidemment, la simple connexion de plusieurs cellules entre elles, même avec la présence de poids sur les liens, ne permet pas à un réseau de fonction ner. Il reste en effet à définir la façon dont le signal Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM va être modifié au cours du périple qui va l'emmener de l'entrée vers la sortie du réseau. Chaque unité constitutive de celui-ci possède deux fonctions propres, la fonction d'activation et la fonc|0 0 tÆ | | SETUP 1 | FREEZE 1 |OONE| | SETUP | |FRE EZE | Deux exemples de réseau XOR, l'un simple, l'autre récursif. tion de sortie. Pour appréhender le rôle de chacune, il est important de bien comprendre que toute cellu le possède une entrée et une sortie. L'entrée se défi nit comme une valeur calculée à partir de toutes les connexions de la cellule en provenance de la couche précédente. La sortie est quant à elle la valeur qui se verra transmise vers toutes les cellules de la couche suivante. La fonction d'activation permet de définir la valeur d'entrée de la cellule en fonction de toutes les connexions, dont la cellule est la destination, et de leurs poids respectifs. La fonction de sortie, pour sa part, détermine la relation unique entre l'entrée et la sortie de la cellule considérée. G énéralem ent, cette fonction constitue l'identité, ce qui signifie que l'en trée est sim p le m e n t c o p ié e vers la so rtie . Toutefois, certains réseaux un peu complexes peu vent utiliser des fonctions autres. La fonction d'activation dem eure de loin la plus importante des deux, car elle conditionne le com Une structure TDNN. des poids des connexions, et se montrera capable par la suite de fonctionner de manière autonome en mettant en pratique son apprentissage. La méthode d'apprentissage la plus répandue est l'al gorithme de rétropropagation, "backpropagation" dans la langue de Shakespeare. Celle-ci consiste à définir des valeurs d'entrée du réseau et les valeurs de sortie attendues, ensemble communément appe lé "pattern". Les entrées sont appliquées au réseau, qui va les propager en direction de la sortie de manière traditionnelle, en effectuant la m ultiplica tion des valeurs par les poids et en appliquant les Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM portement général du réseau. Le plus fréquemment, dans les modèles classiques, la fonction d'activation commence par calculer la somme pondérée des sor ties de toutes les unités de la couche précédente, connectées avec la cellule en question. Cela veut dire que chaque valeur de sortie de cellule de la couche précédente est multipliée par le poids de la co nnexion entre les deux cellules et qu'ensuite toutes ces valeurs s'additionnent entre elles. Une fonction mathématique est ensuite appliquée à ce résultat, permettant de stabiliser le réseau en évitant une trop grande dérive des valeurs. L'apprentissage Au moment où un réseau voit le jour, il se résume à un simple squelette composé de cellules connectées entre elles par des liens, dont les poids se voient initialisés à des valeurs aléatoires. Il s'avère impossible pour le réseau à ce stade d'effectuer la tâche pour laquelle il a été conçu. Pour le rendre fonctionnel, il convient de faire son apprentissage en lui présentant des exemples de situations qu'il devra résoudre par la suite. Le réseau va s'adapter de lui-même pour fournir les réponses désirées, en ajustant les valeurs fonctions d'activation et de sortie définies. Cette phase s'appelle "phase de propagation avant", ou "forward propagation" en anglais. Une fois le résul tat obtenu à la sortie, le delta, c'est-à-dire la différen- S i m u l a t e u r s e t b i b l i o t h è q u e s de d é v e l o p p e m e n t Il existe deux grands types de logiciels, les bibliothèques et les simulateurs. Les premières sont les plus rudimentaires, car il ne s'agit que des compilations de fo n ction s destinées à se vo ir utilisées p a r les program m eurs, désireux de fa b riq u e r leurs ré se a u x. Il co n v ie n t avec celles-ci de se p lo n g e r dan s la documentation et d'écrire soi-même son propre programme, le plus souvent en lan gage C, ou au moyen de langages spécialisés, tel que celui du logiciel m athém atique M a tla b . Les sim ulateurs s'a vèren t bien plus intéressants et intuitifs. Il suffit de dessiner la structure de son réseau, de définir les paramètres d'apprentissage et d'observer les résultats. Certains proposent beaucoup de types de réseaux prédéfinis, ne laissant plus à l'utilisateur que l'adaptation à son cas p articu lier. De plus, certains offrent égalem ent des outils d'analyse de perform ance du réseau, en traçan t p a r exem ple les courbes d'évolution des erreurs, ce qui permet d'optimiser son réseau le plus simplement du monde. Une fois fonctionnel, la p lup a rt des simulateurs proposent l'exportation dans un langage de program m ation de haut niveau, souvent le C, afin de pouvoir l'utiliser directement dans un programme. ce entre cette valeur et le résultat atten du, est calculé, puis utilisé avec la sortie de la cellule source d'une connexion pour calculer l'ajustement à apporter sur le poids du lien en question. Le poids de chaque lien entre une cellule de sortie et une autre de la couche précédente se voit ainsi ajusté. Ensuite, le delta se pro page et s'utilise pour réaliser la correc tion des poids entre l'avant-dernière couche du réseau et celle qui la précède, et ain si de suite jusq u 'à l'en trée du réseau. Cette phase se nomme logique ment la "rétropropagation", ou "backpropagation" en anglais. L'ajustement à apporter aux différents poids est obtenu en effectuant la multiplication du delta par la sortie de la cellule source et par une constante dite d'apprentissage. Cette constante est fixée avant le début de la phase d'apprentissage et permet d'établir à l'avance l'ordre de grandeur des variations. En effectuant de nombreuses fois ce cycle de propa gation avant et arrière, avec des données différentes, le réseau va petit à petit converger vers des valeurs de poids qui lui permettront de fonctionner avec un taux d'erreur m inim al. Il faut savoir toutefois que plus le réseau s'avère compliqué et plus le nombre de cycles d'apprentissage devra être im portant, excédant parfois les 10000 . V alid ation du réseau Avant que le réseau ainsi entraîné se montre utili sable, il faut procéder à une phase de validation et à une phase de test. Dans les trois cas, les données ont un type identique, à savoir l'ensemble des entrées à placer sur le réseau et les sorties attendues. La seule différence réside dans l'utilisation de ces données. Les échantillons d'apprentissage sont utilisés en per manence pour l'apprentissage, ceux de validation s'em ploient ponctuellem ent afin d'estim er l'état d'entraînement du réseau et enfin les échantillons de tests n'interviennent qu'en dernier pour vérifier la conformité du réseau. Plus exactement, la phase de validation doit s'effectuer parallèlement à l'entraîne m ent. En effet, si le taux d'erreur mesuré sur les Pour calculer un sinus, le réseau a du nez. apprend véritablem ent et s'adapte à la situation. Cependant, passé un certain point, le réseau devient surentraîné ; il perd alors sa faculté de généralisation et se spécialise uniquement sur les échantillons d'ap prentissage. Pour schématiser, on pourrait dire que le réseau apprend par cœur les données d'apprentis sage et perd sa faculté à "raisonner" sur des échan tillons différents. Ainsi, pour entraîner au mieux un réseau, il faut effectuer régulièrement des validations et suivre l'évolution de l'erreur sur celles-ci. Au moment où la courbe d'erreur commence à remon ter, le réseau est dans un état de généralisation opti male. Le troisième jeu de données, appelé "jeu de test", n'a jamais été présenté au réseau. Il permet de vérifier, à la fin de l'apprentissage, que le fonctionne ment général du réseau lui donne la possibilité de résoudre correctement les types de problèmes qu'il aura à affronter. Toutefois, cette méthode de validation, qualifiée de "m éthode à arrêt prém aturé" (early-stopping), ne s'applique parfaitement que dans les cas théoriques, ou é ve n tu e lle m e n t dans ce rta in s cas p ratiques simples pour lesquels le nom bre d'unités dans le réseau dépasse largem ent ce qui est nécessaire. D'autres méthodes de validation existent ; il y en a certainem ent autant que de chercheurs spécialisés dans les réseaux de neurones artificiels. Certaines toutefois sont plus employées que d'autres. La vali dation croisée (cross valid atio n) en constitue un exemple. Dans ce cas, l'ensemble des échantillons se divise en n groupes de taille à peu près égale. Le réseau est alors entraîné avec l'ensemble des échan tillons moins un des n groupes, qui sert alors de données de test. La procédure d'apprentissage conti nue en choisissant à chaque fois un des n groupes d'échantillons différents pour le test. Un autre type d'apprentissage/validation est connu sous le nom de "bootstrapping". Le principe consiste à choisir aléa to ire m e n t un groupe d 'é ch an tillo n s parm i l'en semble de ceux disponibles pour l'apprentissage et à procéder de même pour les données de test. Pour que le caractère aléatoire prenne un sens, il convient de posséder un nombre im portant d'échantillons, typiquem ent entre 200 et 2 0 0 0 . Dans ce cas, le Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM échantillons d'apprentissage reste toujours stricte ment décroissant dans le temps, il n'en va pas de même avec les données de validation inconnues par le réseau. Les courbes d'évolution des erreurs com mises sur des échantillons de validation ont toujours un aspect similaire : décroissantes au début, puis croissantes à partir d'un certain nombre de cycles e ffe ctu é s. D u ran t la p rem ière p a rtie , le réseau F IL E C 0N TR0L INFO DISPLflV PRUNING | | CASCADE | | KQHONEN ( | U EIG H TS PRIN T | | H ELP I 30 DISPLfiV | |PR03EC TI0N | GRflPH \ BIG N ET R N flLYZER | | INUERSIO N 1 El L'interface austère mais com plète de Snns. QUIT KHEOPS A ^ in u x ^ i e o p s D istrib u teur fran çais sp écialiste de la vente dans les pays franco phones des distrib utio ns LINUX et des app lications optim isées pour ce systèm e d’exp lo itatio n, KHEOPS vous propose un ensem ble de prestations pour m igrer vos app lications sous LINUX. 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Quelques modèles de réseaux Bien que les généralités évoquées plus haut soient valables dans la plupart des cas, de nombreux modèles de réseaux différents existent. Voici les plus importants. e nombreux modèles : il s'agit presque d'un e u p h é m ism e que de d ire c e la . Il se ra it presque plus juste de dire qu'il y a autant de modèles de réseaux que de problèmes résolus grâce à ces méthodes. Toutefois, certaines grandes familles peuvent se distinguer au milieu de cette multitude. Réseau de Hopfield Sous le nom de réseau de Hopfield se dissimule un algorithme récursif pour lequel tous les nœuds se voient connectés entre eux. Chacune des unités joue à la fois le rôle d'entrée et de sortie et sa valeur dépend de la valeur de toutes les autres. Chaque cel lule constitutive d'un réseau de Hopfield est pure ment binaire, puisque les filtres appliqués se mon trent tels qu'une unité ne peut se trouver qu'ouverte ou fermée. Chaque changem ent d'état d'une des cellules va se répercuter par le biais des liens vers toutes les autres cellules qui peuvent alors, en fonc tion des poids, changer de valeur à leur tour. Ce type de connexionnisme s'inspire fortement du fonctionnement (du moins ce que l'on en connaît à l'heure actuelle) de la mémoire humaine, purement associative. Et c'est précisément la fonction qu'un réseau de Hopfield réalise à merveille : la mémoire. En effet, une fois un réseau de Hopfield entraîné avec des formes à m ém oriser, celui-ci se révélera capable de les reconstituer à partir d'un signal bruité. Les cellules vont changer d'état en fonction des autres, modifiant à chaque itération l'état du réseau, jusqu’à aboutir, inévitablement, à une situation par faitement stable. Dans le cas idéal, le résultat obtenu s'avérera très proche de l’une des figures apprises. D Un exem ple de réseau de Hopfield appliqué à la reconnaissance des chiffres est fonctionnel en ligne à l'adresse : http://suhep.phy.syr.edu/cgi-bin/hop. TDNN T D N N est l'a c ro n y m e de T im e D e la y N eu ral Network, autrem ent dit réseau neural à décalage tem porel. Cette topologie particulière de réseau s'utilise spécifiquement pour la reconnaissance d'élé ments au milieu d'un grand ensemble de points. Les TD N N perm ettent d'éviter de prendre une grille d'entrée de taille trop importante et qui nécessiterait d'énorm es calculs. A la place, une petite fenêtre s é le c tio n n e une m o d e ste p a rtie de la g rille , employée pour effectuer les calculs. La fenêtre se déplace ensuite vers une autre partie de la grille d'entrée, puis les nouveaux calculs s'effectuent et ainsi de suite jusqu'à ce que l'ensemble de la grille ait été parcouru. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM S u r le CD Pour les plus curieux, se trouvent sur le CD dans le répertoire/dossier situé à la racine, des logiciels ayant trait aux réseaux de neurones et ce, pour diverses plates-form es. Pour Linux, le fam eux SN N S fig u r a n t p a rm i les ré fé re n c e s des simulateurs. Pour Amiga, un simulateur un peu ancien mais toutefois parfaitem ent fonctionnel. P o u r R isc O s, IN e u ro , q u i c o n s titu e une bibliothèque de développement. Une fonction classique de transition d'unité, stabilisant le réseau. Si l'on ne considère que la portion de valeurs visibles par la fenêtre, un réseau TDNN s'apparente au perceptron classique. Malheureusement, ce modèle ne possède pas de m ém o ire et ne p erm et pas de prendre en compte les éléments de la grille non pré sents dans la fenêtre. Pour résoudre ce problème, le réseau TDNN introduit la notion de décalage tem porel ; les unités utilisées pour la première phase de calcul sont indicées avec un temps égal à 1 , les sui vantes avec un temps 2 et ainsi de suite jusqu'aux dernières. Toutes les entrées de la couche supérieure s'obtiennent alors en multipliant les valeurs par l'in dice temporel. De cette manière, une couche cachée se com porte com m e si elle avait N liens avec la couche précédente, mais en n'ayant à calculer que n (n<N) liens simultanés. Ces particularités font du TDNN l'outil idéal pour la reconnaissance automatique de formes, notamment sur des images de grandes dimensions. Kohonen Sous le nom de Kohonen se cache un ensemble d'al gorithmes bien maîtrisés dont le plus célèbre est la carte au to o rg an isatrice (SO M : Self-O rganizing Map). Les SOM se co m p osent de deux couches : une couche d'entrée monodimensionnelle et une couche bidimensionnelle, structurée comme une grille, qui ne peut être considérée ni comme une couche d'en trée ni comme une strate cachée. Ces réseaux se révèlent très particuliers au sens où leur apprentissa ge n'est pas supervisé, car ils reproduisent une carto graphie bi-dimensionnelle de l'ensemble des don nées fournies en entrée, tout en préservant la topologie. Chaque unité se trouve géographiquem ent localisée et sa valeur de sortie peut se voir représen tée par un vecteur, faisant ressembler la couche bidimensionnelle à un champ de vecteurs représentatif de l'espace des valeurs d'entrée. Les autres De nombreux autres modèles existent, qui mettent en oeuvre une architecture particulière ou reposent sur des processus d'apprentissage. Les recenser tous nécessiterait plus de pages qu'il n'y en a au total pour ce dossier. Il est possible toutefois d'en nom mer certains rapidem ent. Les Cascade Corrélation son réseau constitue une étape essentielle pour le bon fonctionnement de celui-ci. Mais, contre toute attente, la définition de la structure du réseau n'in tervient qu'au tout dernier m om ent. En effet, le choix du type de réseau dépend énormément des échantillons d'apprentissage, de test et de validation. D'une manière générale, plus ceux-ci seront nom breux et complexes, et plus la structure du réseau s'avérera com pliquée. Il incom bera au réseau de s'adapter aux données à traiter, et non l'inverse. La première étape du choix de la structure est bien évidemment le type de réseau qui devra se voir utili sé. Comme il a été vu précédemment, chaque type de réseau possède son d o m ain e d 'a p p lic a tio n propre. Ainsi, cette première étape se révèle relative ment simple, puisqu'il suffit de choisir dans une liste établie le modèle le plus adéquat au type de tâches que le réseau devra effectuer. Le plus difficile une fois ce choix arrêté est de définir le nombre de couches et d'unités cachées que le réseau devra contenir. Les entrées et les sorties ne posent pas de problème en elles-mêmes, puisqu'elles sont logiquement déterminées de manière implicite par l'analyse de la fonction que le réseau doit effec tuer. Toutefois, il convient d'accorder un soin parti culier à cette phase d'analyse, afin de déterminer au mieux les sorties et surtout les entrées du réseau. En effet, il s'avère crucial d'établir avec précision les paramètres ayant une influence directe sur le résul tat, afin d'en n'omettre aucun, ce qui pourrait influer sur la pertinence des réponses, et de ne pas en ajou ter d'inutiles qui co m p liq ueraient inutilem ent la structure du réseau. Mais par définition, les réseaux de neurones servent à résoudre des problèmes que les mathématiques se montrent incapables de décri re simplem ent, donc pour lesquels les paramètres influents sont délicats à définir. Voilà pourquoi cette étape dianalyse apparaît comme la plus coûteuse, de loin, en temps. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM (C C ) u tilise n t une a rc h ite c tu re casca d ée , dans laquelle les unités cachées sont ajoutées une à une durant la phase d'apprentissage sans subir par la suite de modification, puisque chaque nouvelle unité optimise le réseau dans l'état dans lequel elle appa raît. Le Pruning représente une légère variante du CC, qui calcule l'erreur minimale attendue au lieu de l'erreur actuelle d'apprentissage. Il est possible égale m ent de c ite r la fa m ille des A R T (A d a p ta tiv e Résonance T h eo ry), com p renant différents algo rith m e s, A R T 1 , A RT2 ou e n co re A R T M A P . Les réseaux Art se montrent récursifs, avec un apprentis sage non-supervisé et suceptibles d'apprendre rapi dement à classifier en catégories des entrées de vec teurs aléatoires. Ces ensembles d'algorithmes abon dent dans le dom aine du traitem ent du signal et spécialement dans celui des radars. Parmi les différentes méthodes d'apprentissages, le QuickProp, supposé plus rapide que le backpropagation classique, calcule la dérivée seconde de la cour be d'erreur, afin de trouver le nom bre de cycles nécessaires à l'apprentissage optimal et sauter direc tement à celui-ci. D éfinir la stru ctu re de son réseau Maintenant que nous avons fait le tour des princi paux types de réseaux, il est possible d'envisager le problème de la structure. Définir l'architecture de En considérant les entrées et les sorties définies, il faut donc, pour finir, établir la structure des couches cachées. Certains ont tenté d'établir des règles de calcul simples, comme par exemple le nombre d'uni tés de sorties plus le nombre d'entrées divisé par Genesis, un simulateur hautement professionnel. c'est néanmoins la seule qui puisse fonctionner dans tous les cas. Cependant, il y a moyen de se simplifier parfois la tâche. A cet égard, lorsque le principe de l'earlystopping se trouve utilisé durant la phase de valida tion, il vaut mieux employer le plus d'unités cachées possibles, sachant que la phase d'apprentissage sera avortée avant que la longue période de stabilisation normalement nécessaire n'ait commencé. Toutefois, il faut garder à l'esprit que plus l'architecture du réseau se montrera complexe et plus les temps de calcul seront longs, surtout sur une machine mono processeur. m am w Z AH/ M W .3 £ S W l? A f 5 p f& M à D H ïe ,,. ?£ 2 *te > a X ïU )b £ UllSMw m a » Réalisation d'un réseau simple deux, en rajoutant, de temps à autre, une petite racine carrée pour faire plus scientifique. Toutefois, l'expérience montre l'inefficacité de toutes ces for mules. En effet, elles ne prennent pas en compte les élém ents essentiels que sont le nombre d'échan tillons d'apprentissage, la quantité de bruit ou même la complexité des fonctions que le réseau doit rem plir. Il existe des exemples de réseau avec une seule entrée et une sortie unique, nécessitant de nom breuses co u ch es ca ch é e s, et in v e rse m e n t, des réseaux pourvus de nombreuses entrées et sorties parfaitem ent fonctionnels avec une seule couche cachée, voire avec aucune. Déterm iner précisément le nombre de couches et d'unités cachées d'un réseau relève avant tout de l'expérience. En effet, la seule règle toujours valide, quel que soit le problème, consiste à simuler diffé rents réseaux avec un nombre d'unités cachées diffé rent à chaque fois et à conserver celui qui, au final, présentera la plus faible erreur sur les échantillons de test. Même si cette méthode, ou plus exactem ent cette absence de méthode, peut paraître étonnante, , Afin de rendre la théorie un peu plus concrète le mieux est d'examiner un exemple aisément appréhendabie. ous allons donc étudier en détails un réseau de neurones permettant de réaliser une fonc tion sim ple, le XO R, autrem ent dit le "ou exclusif". Cette fonction est très simple et couram ment utilisée en électronique, ainsi qu'en informa tique pour travailler sur les bits. Le XOR prend deux bits en entrée et en calcule un en sortie, selon une règle simple : si l’un et seulement l'un des deux bits d'entrée vaut un, la sortie vaudra également un, et zéro dans le cas contraire. Avec seulement deux bits en entrée, il n'existe que quatre cas de figure diffé rents : N Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Une démo de réseau sur le web. 0 XO R 0 = 0 0 XO R 1 = 1 1 XO R 0 = 1 1 XO R 1 = 0 Cette fonction n'a nullement besoin de réseaux de neurones pour fonctionner ; c'est même sous-exploiter la puissance de ceux-ci que de les utiliser dans ce cas précis. Mais l'avantage indéniable du XOR vient de ce qu'il permet de se familiariser avec la conception d'un réseau sur un exemple simple, tout en sachant précisé ment les résultats que l'on doit obtenir. D'autre part, comme les valeurs ne peuvent être que 0 ou 1, il s'avè re intéressant de voir les résultats décimaux du réseau tendre vers ces deux valeurs entières. Par ailleurs, cet exemple permet d’illustrer la philoso phie des réseaux de neurones. En effet, le seul élément en possession du réseau est un ensemble de résultats que nous désirons obtenir. A aucun moment, il n’y aura besoin de réfléchir à un quelconque algorithme ou à un moyen mathématique pour parvenir au résul tat. Il suffit de montrer au réseau ce que l'on souhaite obtenir, et il s'ajustera seul, empiriquement, pour four nir les valeurs attendues. D éfin itio n du processus d 'apprentissage Dans le cas présent, la phase d'apprentissage est très simple à définir, puisque les deux entrées binaires ne sont en mesure de revêtir que quatre états différents. Un fichier d'apprentissage simple contiendra tout simplement les quatre possibilités avec les résultats attenants. Les échantillons de test pourront prendre la forme de valeurs décimales, afin de vérifier le bon comportement du réseau. Par exemple, il est envisa geable de reprendre les valeurs d'apprentissage en rem plaçant, en entrée uniquem ent, les 1 par des 0,95 et les 0 par des 0 ,0 5 . Ainsi, il y a moyen de vérifier la capacité de généralisation du réseau. Janet : un sim ulateur en Java. Structure du réseau Comme nous l'avons vu précédem ment, la défini tion de la structure du réseau n'intervient qu'après avoir déterminé les échantillons d'apprentissage et de validation. Au vu de la simplicité de la fonction que nous voulons mettre en oeuvre, un perceptron m ulticouches constitue le modèle le plus adapté. Nul besoin d'avoir recours à des modèles récursifs, ou dépendants du temps. La définition des couches d'entrée et de sortie s'avère on ne peut plus simple, puisqu'elles sont déterminées par la nature même du problème : deux unités d'entrée et une unité de sor tie. Il n'y a plus qu'à définir les couches cachées. Même si l'on tient com pte des valeurs décimales introduites dans les populations de test et de valida tion, le nombre de situations reste de quatre. On peut en effet co nsid érer qu'il ne s'agit que des quatre situations de base, éventuellement bruitées. Quasim ent tous les logiciels de sim ulation dispo nibles fournissent des exemples de réseaux, et parmi valeurs comprises entre, m ettons, 0,8 et 1 , et de même, celles comprises entre 0 et 0,2 pourront se trouver associées à la valeur '0'. Ce filtrage donne le moyen de compenser les quelques erreurs que le réseau commettra inévitablement, car il est impos sible d'en imaginer un parfait. Cette correction ne se montre absolument pas gênante, dans la mesure où elle se révèle très simple à mettre en œuvre, se résu mant grossièrement à une petite série de 'if', quel que soit le langage utilisé. Les applications des réseaux de neurones Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM eux la fonction XOR, qui fait indéniablement partie des classiques. En regardant de plus près la structure utilisée, on se rend compte qu'il existe une quantité impressionnante d'architectures possibles. Certains utilisent des p erceptrons classiques à une seule couche, d’autres déforment ce modèle en connec tant la couche d'entrée à la couche de sortie en plus de celle qui reste cachée ; on trouve m êm e des réseaux récursifs. Tout cela pour dire que la résolu tion du problème n'est pas unique. Toutefois, un modèle simple et fonctionnel concerne le perceptron classique avec une couche cachée de d e u x u n ité s . Il n ou s d o n n e q u a tre lien s entrée/cachée et deux liens cachée/sortie, soit un total de six liens et donc de six poids ajustables. Cela devrait s'avérer suffisant pour affronter nos quatre situations possibles, et suffisam m ent sim ple pour être correctem ent adapté au peu d 'échantillon s d'apprentissage dont nous disposons. Mise en route Avant de disposer d'un réseau fonctionnel, il faut avoir recours à un simulateur qui va permettre d'ef fectuer l'apprentissage et de sauvegarder le chefd'œuvre. La méthode à utiliser pour réaliser la simu lation dépend du logiciel utilisé ; nous n'allons pas entrer dans les détails et laissons chacun se reporter à la documentation propre à son environnement. Pour finir et obtenir un réseau vraiment fonctionnel, il est im pératif d'ajouter un filtre qui, com m e en électronique, va permettre d'attribuer une valeur de sortie à une plage de données. Par exemple, pour ront se voir considérées comm e des 'V toutes les Malgré son aspect austère, voire de sujet de recherche fondamentale, le réseau de neurones fait partie intégrante des outils disponibles pour automatiser des tâches. Voyons quelques exemples concrets d'utilisation, un peu plus intéressants que la fonction XOR évoquée précédemment. râce à son m ode de fo n ctio n n e m e n t, le réseau de neurones est p articu lièrem en t adapté à tous les domaines pour lesquels il n'y a pas moyen de définir un modèle m athém a G tiq ue ou p h ysiq ue. Nous avio ns m en tio n n é les Les re s s o u rc e s sur I n t e rn e t Internet regorge de sites consacrés aux réseaux de neurones. Voici une liste de ce u x q u i se m b le n t p a r tic u liè r e m e n t in té r e s s a n ts . D eu x p a g e s so n t particulièrement instructives, car elles proposent de nombreux liens vers d'autres sites traitant du sujet. Leurs adresses sont : http://mars.elcom .nitech.ac.jp/Eresearch/neusite.htm l http://w w w .m ds. mdh.se/~adb 94 fwk/links/neural.htm. Un autre élément intéressant s'intitule La Foire Aux Questions du newsgroup comp.ai.neural-nets, qui se trouve à l'adresse : ftp://ftp.sas. com/pub/neural/FAQ.html. Si vous avez franchi le pas et voulez installer des logiciels de simulations ou même des bibloith èques, la p a g e h ttp ://tita n .eh b .itu .ed u .tr/~ m ey/sh a rew a r.h tm ! recense quelques logiciels, toutes plates-formes confondues. Enfin, pour les plus sceptiques, la page http://www.emsl.pnl.gov:2080/proj/neuron/neural/demos.html propose des liens vers des démonstrations de réseaux de neurones fonctionnels, pouvant être exécutés dans la fenêtre de tout navigateur; car le plus souvent écrits en Java. D ream prof • Bruit Le bruit est un terme provenant du jargon entourant le traitement du signal. Il s'utilise pour désigner un signal indéfini le plus souvent parasite. Dans le cas des réseaux de neurones le bruit peut avoir diverses origines dépendantes de la fonction réalisée. Dans le cas d'un réseau connecté en sortie d’un appareil de mesure le bruit résulte des imprécisions de l'appareil. En étendant un peu la définition le bruit se définit comme l'imprécision des valeurs d'entrée. , , ; , sciences "humaines" telles que la m édecine ou la psychologie, mais il est aussi possible de parler de la reconnaissance de form es, de la prédiction ou de l'analyse des données, ou même de la compression d'images. A ide au d iag no stic m édical Certains hôpitaux américains ont déjà mis en place des logiciels d ’aide au diagnostic médical, axé sur des réseaux de neurones. Ceux-ci mettent en corres pondance une liste de paramètres propres au patient (âge, se xe ...) et de symptômes décelés, ainsi que les maladies potentielles avec leurs traitements associés. Les archives de ces hôpitaux ont donné les moyens d’établir une base d'apprentissage de plusieurs mil liers d'anciens patients, avec ch a cu n des p a ra m ètres et s y m p tô m e s, sans oublier le diagnostic effectué par le médecin traitant de l'époque. Elles ont perm is de posséder un nombre d'échantillons d'apprentissage et de test suffisant pour entraîner le réseau de m anière co r recte. Il est fait mention d'un taux de réussite de l'o rd re de 75 % , alors que celui d'un praticien pour but de déterminer à l'avance les vitesses des réactions chimiques en fonction de la température, de la quantité et de la nature des catalyseurs utilisés. Le système semble satisfaire les chercheurs, puisque ceux-ci envisag ent de d é velo p p er de nouveaux réseaux pour prévoir les capacités physico-chimiques de sous-produits de réaction et même pour prédire les ventes potentielles de nouveaux produits. Un autre laboratoire utilise un réseau de neurones comme nez artificiel. Relié à un capteur sensible aux vapeurs, le réseau se montre apte à identifier auto matiquement les composés présents dans une atmo sphère. Actuellem ent, ce système s'employe pour identifier la nature d'environnem ents supposés à risques, ou encore pour évaluer le niveau de pureté, ou plus exactem ent de pollution de l'air. Certains font également mention de projets destinés à analy ser les odeurs corporelles, afin de déceler d'éven tuelles maladies. Les ap p licatio n s fin an cières Les Colden Boys ont inévitablement été intéressés par cette possibilité de pressentir automatiquement les bonnes affaires de la bourse. Certains d'entre eux utilisent les réseaux de neurones comme outil d'aide à la décision de vente et d'achat d'actions. En lui fai sant apprendre les évolutions antérieures de la bour se en fonction des événements, le système est deve nu capable de gérer parfaitem ent une enveloppe d'actions de plus d'un milliard de dollars, en transpo sant les expériences passées sur le présent. D'ores et déjà, le réseau de neurones a avantageusement rem placé les anciennes méthodes de régression linéaire jusque-là employées pour tenter d'anticiper l'évolu tion des cours de la bourse. De grandes sociétés dans différents secteurs d'activi té u tilise n t é g alem en t les réseaux de neurones comme aide à la prédiction, ou plus exactement aux prédictions. Qu'il s'agisse d'évaluer les mouvements de p erso n nels, de p révo ir les ventes à court et Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ^ ^ r*M 1.(Ml.•*•!.••• ■■ ’i t i v' 3 *.*M l.«M h h - 'Ü ' S■ » «f.«i ee m i.ew'fl» jL IL lJ b Un réseau simpliste de reconnaissance de caractères majuscules. Le même, vu en 3D. confirmé approche les 60 % , le stress aid ant à le faire baisser. Un au tre h ô p ita l de la même lointaine contrée a pour sa part intégré à ses outils un réseau, capable de p révo ir la durée du séjour d'un patient dans ses locaux. Le p etit ch im iste Hormis la blouse blanche qui n'a pas lieu d'être, un réseau de neurones peut se com porter com m e le m eilleur des laborantins. Un centre de recherches u tilis e en e ffe t d e p u is q u e lq u e s te m p s un réseau de neurones ayant moyen terme, de choisir les marchés potentiels, ou même d'optim iser les processus de fabrication, le réseau est devenu indispensable pour certains. Non que les résultats obtenus atteignent la perfection, mais un réseau de neurones, avec les bons para mètres d'entrée, a la capacité, dans ces domaines précis, de fournir des éléments de réponse mettant en échec l'esprit d'analyse d'un humain. La com p ression d'im ages La compression d'images constitue une application intéressante, à cause de la m éthode em ployée, même si les résultats nécessitent certaines conditions particulières pour soutenir la comparaison avec des méthodes plus traditionnelles (gif, jpg...)- Le princi pe consiste à utiliser un réseau identité, ce qui signi fie que ses valeurs de sortie sont exactement iden tiques aux valeurs d'entrées, et qu'il possède une seule couche cachée, aux dimensions aussi réduites que possible. Une fois le réseau défini et entraîné, lorsque l'on applique toujours les mêmes valeurs à l'entrée de la couche cachée, le même résultat appa raîtra en sortie. Suivant ce principe, pour retrouver l'image que l'on avait mise en entrée du réseau, il « a Distribution Fax : 03.20.82.17.99 ICC S o ftw a re m m P w A M tC A e r P* * G O E S P O W E R P C TM Du lundi au vendredi de 9 h à 18 h email : [email protected] Logiciels Amiga Asim CDFS v3.9a -Version FrançaiseIBrowse -VoMaster ISO 2.1 -Vo-Pour graveurs->PROMO Miami 3.x enregistré - VoOrganiser 2.0 -Version FrançaiseOrganiser 2.0 -Version Française Mise à jour- Çgrtes accélératrices PowerPC Amiga 1200T : Sans contrôleur Fast-SCSI-ll (ajout impossible) Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25 Mhz2.490F Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25 Mhz2.990F Nous consulter pour les conditions de mise à jour. Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25 Mhz3.590 F Oxyron Patcher - VoPersonal Paint 6.4 -Version FrançaiseVersion 68060 50 Mhz au lieu du 040 25 Mhz +2.300 F P FS 2 -VoAvec contrôleur Fast-SCSI-ll d’origine Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français) Blizzard 603e+ (160/200/240 +040 / 060) +500 F Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français) Offres de reprises de cartes Blizzard Tél. Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour Cartes accélératrices PowerPC Amiga 3000/4000 : Cyberstorm PPC604e 180 Mhz + UltraWide SCSI 4.390 F Cyberstorm PPC604e 200 Mhz + UltraWrie SCSI 5.290 F Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + UltraWide SCSI 5.790 F Option 68040 25 Mhz monté sur la carte + 525 F Option 68060 50 Mhz monté sur la carte + 2.500 F Les 040060 des Bfezard et Cyberstorm sort équçës de MMU et FPU. Cartes Graphiques î , Tél : 03.20.02.06.63 i S tru c tu re d 'u n résea u d e K o h o n en . suffit de connaître la couche cachée et celle de sortie, ainsi que les valeurs d'entrée de celles-ci pour pouvoir obtenir en sortie l'image d'origine. M alheureusement, puisqu'il faut conserver tous les poids de toutes les connexions entre la couche cachée et celle de sortie, ainsi que le vecteur d'activation de la couche cachée, les taux de com pressions obtenus se m o ntrent assez faibles, parfois même inférieurs à un (ce qui veut dire que l'image est plus grosse avant qu'après). Le systèm e trouve sont intérêt lorsqu'il y a besoin de com presser de nom breuses im ages, de m êm e taille et suffisam AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T 1.990 F BVision64 4 Mo (Blizzard PPC) 1.590 F Cybervision PPC 8 Mo (Cyberstorm PPC) 1.990 F Périphériques / Accessoires Divers Boîtiers Tours : Tour Atéo pour A1200 + Interface clavier PC + clavier PC + Alim 200 W+ Emplacements pour l’extension AtéoBus & Pixel 64 1.090 F Divers Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F Joystick Konix pour tous les Amiga 99 F JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga 189 F Souris 2 boutons pour tous les Amiga 129 F Adaptateur pour souris PC (2 ou 3 boutons) 249 F Blizzard SCSI-Kit pour B1230-4/1240/1260 540 F Squirrel SCSI (Contrôleur SC SI PCMCIA) 550 F SuftSquirrel SC SI (Idem+rapide + port série) 790 F Digitaliseur Audio 8 bit Megalosound -VA350 F Nappes IDE & SC SI (nombreux modèles) Tél. Câbles & adaptateurs SCSI (nombreux modèles) Tél. Adaptateur SC SI Interne B1230/40/60 290 F Adaptateur M1438/1538 pour PC 159 F Adaptateur VGA pour A1200/4000 149 F Coude PCMCIA pour Tour 259 F Scandoubler externe pour tous les Amiga 790 F ROM 3.1 (seules) A1200/3/4000 (précisez) 349 F 053.1 complet A1200/A4000 (précisez) 649 F ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F 053.1 complet A500/+/600/2000 (précisez) 549 F Modem USRobotics : Sportster 56Ko Message Modem 1.165 F Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD +149 F Lecteurs de disquettes : DD 720 / 880 Ko interne A600/1200 230 F DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F DD 720/880 Ko externe pour tous 480 F HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000 650 F HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F HD Interne 1.4 /1.76 Mo A1200 (classique) 650 F HD Externe 1.4 /1.76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F SIMM EDO 32 Mo Tél. 390 F 349 F 490 F 279 F 349 F 249 F 139 F 39 F 349 F 490 F 490 F 320 F Nous consulter pour les conditions de mise à jour. Turbo Print 6.02 -VoTurbo Print 6.02 -Vo- Mise à jour Wordworth 7.01 CD - Version Française Wordworth 7.01 Disk - Version Française 450 F 250 F 490 F 490 F La version Françaises officielle de Wordworth est livrée avec un manuel imprimé en Français et avec une carte d'enregistrement à l'adresse de Free Distribution Software. Wordworth 7.01 CD ou Disk (mise à jour) 290 F La mise à jour de Wordworth 7 est disponible exclusivement chez Free Distribution Software. Nous consulter. ZipTools - Vo - ||j§ 210 F CD-ROM Amiga g -■ Amiga Format 30 Amiga Format 31 Amiga Format 32 Aminet 24 (Avril 98) - Promotion Aminet 25 (Juin 98) Aminet 26 (Août 98) Aminet 27 (Octobre 98) - Dispo vers le 15 Aminet Set 1 ou 2 ou 3 Aminet Set 4 ou 5 ou 6 Best of Mecomp Vol.2 Euro CD Volume 3 French Storm (Libre essai en Français) Light Rom 6 (4 Cds) Personal Paint 7.1 Scala MM400 JEU X Foundation CD Genetic Species Quake CD Myst CD Time of Reckoning 59 F 59 F 59 F 79 F 89 F 89 F 89 F 150 F 199 F 109 F 89 F 39 F 349 F 240 F 519 F 310 F 310 F 349 F 339 F 199 F Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ment comparables pour qu'elles puissent toutes se voir com pres sées efficacement avec le même réseau. Dans ce cas, le taux de compression se révèle presque proportionnel au nombre d'images. Dans le cas de 100 images, il est possible d'envisager un taux de compression de l'ordre de 500. Les autres applications Les exem ples présentés ici ne s'avèrent absolum ent pas exhaustifs. D'une m anière générale, les réseaux de neurones présentent un intérêt dès lors qu'il faut trouver des associations et des points de ressemblance, que le volum e de données à traiter se m ontre très important, ou encore que la nature du problèm e est tel que le lien entre les différents paramètres en devient difficile à définir précisé ment. Dans tous ces cas, le réseau de neurones donnera le moyen d 'autom atiser les processus de p ré d ictio n ou d 'é valu atio n . En revanche, il ne faut pas perdre de vue qu'un réseau de neurones ne saura aucunem ent définir les relations et encore m oins les équa CD-AUDIO (Réalisés sur Amiga) Amiga Theme CD - Back for the Future Neuland - das schwarze System 59 F 59 F Plus de 200 CD-ROMs Amiga sont disponibles !! Demandez notre catalogue gratuit ou consultez sur internet : http://www.fdsoft.com Amiga Forever 2.0 CD Emulateur Amiga pour PC/Pentium Amiga Forever 1.0 -> 2.0 CD update 399 F 160 F Périphériques Lecteur CD 32 X Atapi Interne Disque Dur 3.5” - 3.2 Go IDE Interne 390 F 910 F Lecteur CD Pioneer 32 X SCSI-II Interne Lecteur CD Pioneer 32 X SCSI-II Externe 790 F 1.150 F Disque Dur 4,3 Go Ultra SCSI Interne Boîtier Externe alimenté en option 2.090 F +540 F Nous consulter pour les autres périphériques. * Contrôleur SC S I requis. tions perm ettant seules de résoudre le problèm e en question. Enfin, un réseau de neurones étant intrinsèquem ent un système parallèle, une structure peut s'avérer trop com plexe pour pouvoir se trouver exploitée sur une m achine classique. Dans ce cas, seuls les ordinateurs parallèles p arvien d ro n t à app o rter la puissance nécessaire au fonctionnem ent du réseau. Ainsi s'achève ce tour d'horizon des réseaux de neurones et de leurs a p p lic a tio n s. Bien é vid e m m e n t, ce dossier n'est q u 'u n e Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande par chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone, téleoopie ou Internet. Pour l$ France Métropolitaine, le forfait de transport n’est que de 35 F par commande. meme pour les périphériques. Ce forfait couvre une expédition en Colissimo Recommandé (avec assurance). Pour les configurations et Tours, le forfait est de 100 F CATALOGUE COM PLET GRATUIT - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT Venez visiter notre site web : http://www.fdsoft.com vous pourrez vous abonner à notre mailing-list pour recevoir par email nos listes de __________ ___________________________promotions et de nouveautés;_____________ _______ ________ Bon de Commande à retourner à : F R E E DISTRIBUTION SOFTW ARE approche très lointaine de cette science, bien vaste, et sous ses 82 Rue de Sailly, BP 134 - 59453 LYS L E Z LANNOY C ED EX aspects parfois triviaux, très m athém atiques. Le but de cette pré NOM /Prénom : ............................................................................................................................................................................ A dresse : ........................................................................................................................................................................................... Code Postal : ! _ ! _ ! _ ! _ ! _ ! V IL L E : ........................................................................................................................ Téléphone (facultatif m ais conseillé) : ........................................................................................................................... Désignation Qté Prix sentation consistait à aborder dans sa globalité les m écanismes des réseaux neuraux pour tenter de com prendre quelque peu les impli cations. Pour ceux que le domaine intéresse et que les mathéma tiques n'effraient pas, Internet regorge de documentations plus exhaustives. Frédéric D ubuy Forfait de transport : 35 F (sauf configurations et tours : 100 F) 1 Montant total de la commande Ci-joint mon règlement par ( ) Chèque, ( ) Mandat, ( ) Carte Bancaire n° : !__________ !____________!__________ !__________ ! Exp !____ !____ ! Date et signature Offre valable dans la limite < prix donnés à titre indicatifs, les CD-ROMS et certains logiciels sont en langue Blizzard PPC 603e pour A m iga 1200 Quelques mois après la sortie des cartes PPC pour Amiga 4000, voici le même produit, mais cette fois-ci destiné à l'Amiga 1200, modèle le plus populaire de la gamme de feu Commodore. refusé de démarrer. Ce n'est qu'après a v o ir m is un "vie u x" se tp atch (le 39.6) et fait un reset au démarrage que la machine a daigné booter cor rectement. Cette manipulation, dans notre cas, s'avère aujourd'hui néces saire. La co m p atib ilité A m igaO S sem ble parfaite : toutes les applications habi tuelles se lancent sans problème. Pour ceux qui auront opté pour la version 040 et qui possédaient auparavant un 68060, la douche est un peu froide : l'affichage sous AGA se trouve forcé m ent ralenti, ainsi que les accès au é ritab le bond de g éan t, la carte Blizzard PPC 603e pro pulse le modeste 1200 de 14 MHz à plus de 166 ! Un bus spécial permet même de connecter une carte graphique 3D dernier cri. Une révolu tion pour le 1200, malgré quelques petits problèmes de jeunesse. P résen tatio n Si la Cyberstorm PPC du 4000 était déjà b elle à v o ir, la B lizzard PPC représente un petit bijou d'intégra V Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM tion électronique. Phase 5 a réussi la prouesse de faire tenir sur une seule carte deux processeurs (un 68040 ou 060 pour la compatibilité AmigaOS et un PowerPC, bien entendu), un bus ultra rapide pour carte graphique 3D, un contrôleur FAST SCSI II et deux slots SIM M d e stin é s à é te n d re la mémoire ! Théoriquement, la petites se de cette Blizzard lui permet d'être directem ent insérée dans un Amiga 1200 desktop, tel qu'en distribuent Commodore ou Escom. Mais un boî tier tour se révélera en réalité bien venu. Outre une question de confort (raccord direct des unités SCSI en interne, par exem ple), on remarque effectivement que le 68040 dégage La carte Blizzard PPC. PPC et Marne : de nouvelles perspectives ludiques. beaucoup trop de chaleur pour être à l'aise dans un espace réduit. La carte se trouve livrée avec deux disquettes (une contenant les librai ries PPC, l'autre l'installation du SCSI II), un CD-Rom rempli d'applications PPC (p o u r la p lu p a rt en v e rsio n démo, hélas) et avec un manuel judi c ie u s e m e n t d é ta illé , bien qu 'en anglais. Il existe plusieurs versions de la carte : PowerPC 603e 166, 200 ou 2 4 0 M H z. De p lu s, le p ro ce sseu r 6 8 0 x 0 c o m p a g n o n p e u t ê tre un 68040 ou un 68060. Il faudra veiller à installer les bonnes librairies à partir du CD sous peine de se heurter à des plantages fréquents. L 'in s ta lla tio n se m o n tre des plus simples. On insère la carte sur le slot interne du 1200 et celle-ci démarre toute seule. Une Flash Rom permet une utilisation immédiate et, comme dirait l'autre, "Plug'n Play". Des ver sions ultérieures de cette Flash Rom pourront se voir récupérées sur le site de Phase 5 (ftp://ftp.phase5.de). Le co m p o rte m e n t Dès la première utilisation, la carte a disque dur. La version 68060 conser ve toute la vitesse du système, mais son prix est bien plus élevé. De plus, Phase 5 a en ce moment beaucoup de mal à se procurer des processeurs de ce type, ce qui freine d'autant la commande. Le P o w erP C , un "autre" p ro cesseu r La p lu p a rt de ces a p p lic a tio n s réécrites pour le PowerPC s'avèrent beaucoup plus rapides que leurs ver sions d ’origine sur 680x0, surtout si l’on établit la comparaison avec un 68040. En ce qui concerne le 68060, la différence est surtout flagrante lors qu'il y a à effectuer des calculs impor tants. Il suffit de lancer une version de Quake PPC ou Marne PPC pour s'en rendre com pte. En ce qui concerne l'AGA, la lenteur de l'affichage sera bien entendu inévitable, mais on ose à peine imaginer ce que donnera le couple PowerPC/Permedia 2 dès que les applications se montreront spécifi quement conçues pour lui. Il faut en effet considérer que les premiers pro grammes PPC sont souvent des por- Enfin , le gros p ro b lèm e des ca rte s PowerUP sur Amiga vient de leur systè me d 'e xp lo ita tio n . Com m e on a pu le lire il y a quelques m o is, la g u e rre a éclaté entre Phase 5 (le fa b ric a n t de la c a rte ) et Haage & Partner (grand nom du logiciel Am iga), c h a c u n v o u la n t Le MP3 est enfin utilisable. im poser son systè tag es ra p id e s en p ro v e n a n c e du me PPC à l'autre. Pour verrouiller son monde PC. Autrement dit, ils se trou produit, Phase 5 a mis son système vent juste recompilés en C et ne cher P o w e rU P en Flash Rom su r les chen t n u lle m e n t à o p tim ise r leur Blizzard PPC, empêchant ainsi les pro fonctionnement par rapport au hard grammes utilisant le WarpOS de H&P ware hôte. de fo n c tio n n e r. C e u x-ci o nt alors Quelques p ro b lèm es de trouvé une parade en la personne du jeunesse "Terminator", un patch demandant à Certains petits inconvénients sont à l'utilisateur s'il veut bien enlever le noter. Ainsi, de temps en temps, les système PowerUP de la mémoire afin applications PowerPC ne se lancent de p o uvo ir faire to u rn er W arp O S. pas : un bon reset suffit à résoudre le L'im p re ssio n g é n é ra le d é n o te un problème mais cela reste quelque peu c o m p o rte m e n t du systèm e assez bizarre. De plus, lors du boot, il est ingrat envers l'utilisateur. Heureuse arrivé à plusieurs reprises d'avoir une perspective, les deux acteurs auraient "Recoverable A le rt", sorte d'alerte fait la paix lors du dernier World of jaune de l'Amiga sans conséquence. A m iga et un systèm e com m un ne On clique et la séquence de démarra devrait pas tarder à voir enfin le jour. ge continue. Certains utilisateurs ont Mais bon, on attend toujours. aussi décelé un fort ralentissem ent Un bel av en ir des accès au disque dur IDE, ainsi que Il reste que ce produit remet l'Amiga des plantages "sauvages" inopinés. 1200 au goût du jour et de fort belle Ces problèmes ne sont pas survenus m an ière. Voilà ainsi un ord inateur sur notre carte de test. conçu vers 1992, dont l'OS n'a pour ainsi dire pratiquement pas changé et qui tient toujours la tête haute face au x Pentium 2 0 0 M H z. Pour peu qu'on lui ajoute la carte graphique 3D de Phase 5 (e n te st le m ois p ro ch ain ... normalement), l'Amiga 1200 devien t une m achine au potentiel én o rm e que les d é v e lo p p e u rs ne m an q u ero n t pas d 'e xp lo ite r. Cela donnera peut-être envie à certains déserteurs de revenir sur le marché A m ig a. En to u t cas, l'u tilisa te u r y trouvera une valeur sûre et puissante, en l'attente du m ystérieux Pre\Box de Phase 5. Ben Yoris B l i z z a r d PPC 6 0 3 e En hausse Entre 2S00 et 4000 francs A Puissance A Possibilité de mettre deux barrettes SIM M jusqu 'à 128 Mo A Installation automatique A Le bus carte 3D En baisse ▼ Encore cher, surtout en 68060 ▼ Plantages de jeunesse Y La guerre PhaseS/H&P Note Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM P ow erP C" M ic ro p ro c e s s o r Roadm ap ▼ S o m e rs e t D evelo p m ent Exp ando d ▼ M u ltip le Fu tu re G é n é ra tio n s in S im u lta n e o u s D esig n ▼ O p tim ize d fo r V o lum e S y ste m s PowerPC I — ■ IM < ■ IM S ■ 1 La roadm ap PPC. ★ ★ ★ ★ Quelles applications ? Les a p p lic a tio n s PPC A m iga com m en cen t à se fa ire nombreuses. Elle sont pour la plupart disponibles en version démo, au moins sur les fameux sites Aminet. En voici une liste non exhaustive : - compression : versions de lha, Izx, tgz et zip pour PPC. - retouche d'images, painting : ArtEffect, Elastic Dreams, Personnal Paint, Candy Factory. - je u x : p lu sie u rs versio n s de Doom et D escent. Sont annoncés Explorer 2260 et Lost Days In Paradise (clones de Wing Commander), Claws O f The Devil (clone de Tomb Raider), Z des Bitmap Brothers et Total Combustion (course automobile en 3D). La plupart de ces jeux exploiteront la ca rte BVision à base de Perm edia 2, qui d e vra it être disponible au moment où vous lisez ces lignes. A noter également l'excellent Marne, émulateur de jeux d'arcade disponible en version PPC. - graphisme 3D : un viewer d'objets LightWave, ainsi que Tornado 3D, sont disponibles et une version d'Imagine PPC se trouve annoncée. - vidéo et son : des players de MPEG, MP2 et MP3 et AVI sont télechargeables sur Aminet. - programmation : Storm C et Storm ASM PPC de Haage & Partner, ainsi que 5A5 C PPC. » ICQ : Linux wins ! Après des mois d'attente et de promesses de la part de la société Mirabilis, Linux se voit enfin gratifié d'outils d'ICQ dignes de ce nom. f5 l i t i n s A u th o r l 13 n e nve ES the_quexV • IJ • AiDeTe E3 3ov»1‘M«a n F. Nam®: [jêrêrnÿ Nlck: |dOulOS L. Name: | Wlse • Rab ÇB Wenth IP (207.142.179.81 • PoWwPiC • Bn>ck$Horo< S®X: ’ Mal® .eth» City: I I State ' Ml Phone Email: JjwlseCpathwaynet.com Home Page; | http://www pathway n et. c om/~jwl s e/ Authonzatlon |No authorizatlon needed | Help S Jason m NeMEsiS H Knight m Offline Dingo m S477382Chn» Meedevs 419761 Bn«n Curas 7201789PeWuPiO 816158BrocK Lynii 10306243DeveYendl 7777037 Lethel FtomHell 446661 TcddRijgs 2936695Michael B ro w a © P**aR 202000$Men 84142S7Snnsth Mwtnprsfeda 4755960Cher!»s ScheidetW 13991244Roaaldo Estrvw 15236850Tim Ryeo Fox ftdd Um t » S System ICO Online 12085984 Jett Meuun(tx 5401647Brett Thèmes 14925819! «ajourna* 62014iaMeürceie Bens'h 3844683AntySo«U • MrBouncy U se r lu fu n iM tio n UIN: [4664755 X r i (ilk ltQ L ic q ( A p o th ro « is ) System Users Stems S 1Ahes_____________ 1 UIN 646273Werrta Dmnu • Werrtfl et WoA 0 0 Demis m M ed.Cet 0 RedWood 0 wariocfcXavlef © Wermer Biopez N " Syitem About; I 1 J Connection Hutory Close g Online -J | ■ 1 = Ctk-ICQ : une interface simplifiée. CQ (p ro n o n ce r I Seek Yo u ) est tout d'abord un logiciel client/ser veur Windows. Il s'agit d'un servi ce permettant de discuter en temps réel, d'échanger des fichiers ou des adresses Internet. ICQ indique à tout m om ent quels sont les utilisateurs connectés parmi ceux figurant dans le carnet d'adresses. Les responsables de ce projet ont évi demment misé sur ICQ Ja v a les p lates-fo rm es Statut : Gratuit non distribuable Wintel, puis, devant Source : http:/www.mirabilis.com la dem ande g ran dissante, développé En hausse A C'est l'original une version Java, En baisse calm ant ainsi tous ▼ Beaucoup de bugs les m é c o n t e n t s . Note Mais les utilisateurs de Linux sont d'in ★ ★ curables program meurs susceptibles : ne pas avo ir un Gtk-ICQ logiciel d'ICQ natif Statut : GPL Linux constituait un Source : véritable affront. ICQJava : tout y http:M ww.pathwaynet.com /gtkicq/ est En hausse A Un ICQ vraiment libre Le premier soft ICQ En baisse fonctionnant sous ▼ Encore un peu jeune Linux est ce fameux Note IC Q Java, et p o u r ★ ★ ★ ★ cau se : il to u rn e partout où le Jdk a L'inconvénient ? Il faut choisir. été porté. Ce logiciel bénéficie des avan ta g e s m u lti-p late s-fo rm e s de java, mais souffre d'une lenteur into lérable pour un outil si petit. ICQJava hérite de toutes les possibilités de son homologue Windows-ICQ, chose tout à fait naturelle, puisque ce sont les créateurs de l'ICQ qui ont réalisé ce portage Java. Dem eure tout de même un nombre impressionnant de bugs pour une si petite application client/serveur. Si cette mouture d'/CQ a dépanné les férus de ce système de "chat", la prolifération d'outils bien Qt, un homologue Gtk lui fait immé diatement de l'ombre et ce n'est pas pour nous déplaire. Cette mouture d'ICQ, bien que moins avancée que LICQ prom et d'être plus com plète. Cette version est tout de même utili sable, mais peu pratique. On notera également la possibilité de compiler G tk-IC Q ave c le su p p o rt G n o m e , pour une parfaite intégration dans le bureau GNU. Ces tro is lo g iciels ne sont que les exemples les plus connus ou utilisés de logiciels ICQ sous Linux. Il en exis te e n co re b eau cou p d 'au tres, qui devraient perm ettre à tout un cha cun de tro u v e r la so lu tio n de ses rêves. Emile Heitor- [email protected] I Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM plus efficaces va certainement le relé guer au rang d'antiquité. LICQ : l'o u tsid er Voici encore un outil fondé sur les lib ra irie s Q t. C 'e st bien là le seul reproche que l'on pourra attribuer à ce fabuleux logiciel d'ICQ. En effet, si les p re m iè re s v e rs io n s de L/C Q ten aien t plus du g a d g e t, les récentes modifications lui permettent quasiment d'égaler l'original créé par Mirabilis. Configurable au possible, il n'omet aucun paramètre. Cette ver sion 0.41 comporte encore quelques bugs, mais reste pleinement exploi table ; un grand bravo donc à son génial créateur. C tk -IC Q : la solution Comme de coutume, lorsqu'un outil indispensable se voit développé sous LICQ Statut : Gratuit non distribuable Source : h ttp:/pages. infinit. net/fa iroff/licq/in dex.htm l En hausse ▲ Les possibilités offertes En baisse ▼ Le toolkit Qt non GPL Note ★ ★ ★ ★ k La b M egahal Discussions électroniques et surréalistes. our "démontrer" que les machines P seraient toujours plus bêtes que les humains, Alan Türing a mis au point un test axé sur la discussion entre deux personnes et un interlocuteur (ou juge). Selon Türing, aucune machine ne pourrait passer le test. Humains contre machines Le concours Loebner offre depuis 1991 l'occasion à de jeunes spécialistes d'intel ligence artificielle de relever le "défi" de Türing. Le test de Türing est effectué en parallèle sur des ordinateurs et des humains. Si un des programmes soumis fait mieux qu'un des humains passant le test, un prix exorbitant de 100 000 dol lars se voit attribué au programmeur. Pour l'instant, personne n'a encore gagné le prix Loebner, mais les failles du concours laissent entrevoir une occasion pour les machines de prendre le pas sur l'humanité ! Simulateur de conversation Megahal fait partie des prétendants au titre. Il s'agit d'un simulateur de conver sation utilisant une technique originale reposant sur des modèles de Markov. A partir de quatre symboles, les modèles de Markov permettent d'effectuer des prédictions sur le symbole qui précède ou suit cette séquence. A partir d'un vocabulaire stocké sur disque, Megahal est ainsi capable de construire des phrases à partir des informations entrées par l'utilisateur. Après une période d'ap prentissage très importante, Megahal se montre ainsi capable de conduire une conversation, avec de temps en temps des résultats intéressants (cf. copie d'écran). Cependant, les limites du pro gramme se font rapidement sentir : > > G u illa u m e i s G u illa u m e i s it a n ic e guy a f r e n c h m a g a z in e c o n t a in s p a p e rs a b o u t l i n u x . > G u illa u m e i s > n o t a fre n c h m a g a z in e G u illa u m e i s a n ic e g u y. > G u illa u m e i s a fr ie n d o f > Ja k u b G u illa u m e i s a f r e n c h m a g a z in e . Le principal problème de Megahal est qu'il n'intègre aucune donnée séman tiq u e, mais utilise des algorithm es purem ent syntaxiques. Cependant, on se prend assez rapidement au jeu et les conversations surréalistes avec le program m e peuvent durer assez longtemps ! Fred Pesch M egahal Statut : CPL Source : http://ciips.ee.uwa.edu.au/~hutch/hal/ En hausse A Conversations surréalistes A Algorithme utilisé A Apprentissage En baisse ▼ Limites rapidement atteintes ▼ Pas de critères sémantiques Note ★★★★★ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM GNU Robots 0 .8 Programmez des robots en Guile : amusant et intéressant ! lors que les célèbres P-Robot et C-Robot proposaient des c o m b a ts de ro b o ts, GN U Robots plonge un unique robot dans un monde (map) peuplé de méchants, de murs et de trésors. Le but du jeu étant de ramasser le plus de trésors possibles, pour un monde donné. La durée de vie, élément principal du jeu, dépend de deux facteurs : énergie et A GNU Robots 0 .8 . Statut : GPL A A A ▼ ▼ b o u clier. Des affro n tem en ts entre robots en réseau sont annoncés pour la version 2.0. P ro g ra m m a tio n du rob o t Le p rincip al attrait de GNU Robots provient du langage utilisé pour créer les robots : GUILE. Les fonctions de base sont simples : regarder, cher ch e r, p ren d re, tirer avec un laser, tourner et se déplacer. L'approche fo n ctio n n e lle de G U ILE perm et de créer des programmes très concis et clairs. Voici par exemple une fonction du robot qui permet de tourner dans une autre direction lorsqu'un robot est en vue droit devant : (d e f i n e En hausse Un programme intelligent GUILE pour créer les robots Une version X-Window assez jolie En baisse Moins puissant que P-Robot Les monstres ne bougent pas ★★★★ Note (if ( a v o id - b a d d ie ) (e q v ? ( r o b o t - lo o k "b a d - d ie " ) # t) )) (ro b o t- tu m 1) Pédagogie à tous les niveaux Outre son intérêt ludique (qui reste cependant inférieur à P-Robot), GNU Robots est avant tout un logiciel éduca Apprenez à votre robot à survivre dans ce monde cruel. tif. Il offre une alternative intéressante au passage "obligatoire" par un langage p ro céd u ral. N otez à ce propos les co n stru ctio n s p seud o -im p ératives (while) de GUILE (et Scheme) qui évi te n t l'u tilisa tio n systém atiq ue des constructions récursives (com m e en Caml). Ceux qui n'aiment pas les robots et qui ont déjà un niveau avancé doi vent donc penser qu'il n'y a rien pour eux ici. En fait, ils ont tort, car GNU Robots est avan t to u t un sup erbe exemple d'utilisation de GUILE comme langage embarqué dans un logiciel. Ajoutez du GUILE à un programme en C ou C++ est une affaire de minutes ! Fred Pesch Cooledit/Coolicon Des utilitaires peu gourmands et rapides : Cool ! es nouveautés en logiciel libre pour Unix s'enchaînent à un ryth me effréné, à tel point que l'on risque souvent de passer à côté de pro grammes très intéressants. Les Cool uti lities font un peu partie de cette caté gorie de logiciels méconnus et pourtant dignes d'intérêt. Le Cool Toolkit Les utilitaires proposés par Paul Sheer reposent tous sur une boîte à outils "maison" assez originale. Ses principales caractéristiques sont la simplicité de programmation, l'efficacité et l'utilisa tion vraiment réduite en matière de res sources. Ce panorama, s'il semble plu tôt alléchant au premier abord, est mal heureusement terni par une caractéris tique parfois jugée secondaire : l'allure. L’auteur a des goûts semble-t-il assez originaux et l'aspect des Cool utilities risque de déchaîner les passions : soit on adore, soit on déteste. L'originalité se retrouve à tous les niveaux avec les fenêtre type MDI "à la Windows", les encadrements des boutons de menus et autres "étrangetés". On dénombre six utilitaires, avec un minuscule ges tionnaire de fichier (coolbrowse), une boîte de message configurable (coolmessage), un gestionnaire d'aide (coolman) et trois utilitaires plus ambitieux : Cooledit, Smalledit et Coolicon. Cool Edit : un petit monstre L'utilitaire le plus impressionnant du lot est sans aucun doute l'éditeur de texte. Ses fonctionnalités n'ont rien à envier L aux ténors du genre comme Nedit (Xemacs ne joue pas dans la même catégorie) : multi-fenêtres, coloration syntaxique, scripts, aide en ligne, etc. La gestion des fenêtres multiples se montre vraiment originale et déroutan te : même la barre de menus est déplaçable au pixel près (ce qui ne sert abso lument à rien !). On regrette à ce pro pos l'absence de fonctions de range- quitter, etc.). Une interface utilisateur très bien faite permet de créer/éditer les icônes de façon totalement graphique. On regrettera cependant l'absence de gestionnaire d'icônes associé. Vers un Cool desktop ? Les Cool utilities tombent à pic pour ceux qui préfèrent les solutions "hétéro gènes" aux intégrés comme KDE ou Gnome. Avec le support du protocol DND, il y a moyen d'élaborer un envi ronnement de travail intéressant, à base de Cool Icon, Xem acs, Fof et Afterstep (wharf), sans oublier l'utilitaire Trash des utilitaires OffiX. Les fonction nalités proposées n'ont alors que peu de choses à envier aux desk tops "nouvelle génération" (ne pas oublier Netscape dans le lo t), même si une évolution vers le protocole Xdnd, annoncé comme standard incontournable, serait souhai tab le. C ep en les sens... dant, la contribu tion des Cool utilities demeure relative ment restreinte, puisque seul Coolicon n'impose pas le look "cool", décidé ment controversé. Fred Pesch Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le desktop "hétérogène” : pas mal non plus ! Des fenêtres MDI dans tous ment des fenêtres (mosaïque, cascade). L'étonnante réactivité de l'interface rend l'utilisation de cet éditeur très agréable, notamment sur les petites configurations. Une version plus limitée de l'éditeur, Smalledit; permet d'éditer efficacement les fichiers de configura tion en tous genres. Notons tout de même un petit bémol : quelques bugs de jeunesse se tro uven t présents (essayez de redimensionner Cooledit !). Cool Icon : pour agrémenter le desktop Le gestionnaire d'icônes Cool Icon offre un parfait complément aux gestion naires de fenêtres de type Fvwm2, Afterstep ou WindowMaker. Il permet de placer des icônes sur la root Window et d'associer des actions à ces icônes, soit par double-clic, soit par drag and drop (protocole OffiX DND). Les icônes et images livrées en guise d'exem ple s'avèrent encore une fois esthétique ment "désastreuses", mais il est possible d'utiliser n'importe quelle image au for mat Xpm, ce qui résout le problème. Les actions se com posent de shell scripts pouvant être créés par couples (par exemple, créer une connexion puis la couper, lancer un programme puis le Cooledit/Coolicon Statut : Logiciel libre (CPL) Source : http://www. obsidian.co.za/cooledit/ En hausse A Interface simple, rapide, efficace Cooledit : la puissance au rendezvous A Le support du protocole de drag and drop Offix DND A L'API du Cool Toolkit A Parfait pour les petites configurations En baisse ▼ Le look déroutant (pour beaucoup : moche !) du Cool Toolkit ▼ Quelques bugs gênants dans CoolEdit ▼ Interface MDI éloignée de la "philosophie " X -Window Note ★★★★k Puise : un tracker et un auteur prometteurs Puise est un Soundtracker gratuit proposé p a r King, alias Bruno Moyne. Celui-ci est un nouvel arrivant sur la scène Acorn française. quelques superbes logiciels ( Blockout) et autres travaux sur le sujet de la M é c a n iq u e A ssisté e p ar O rd i es program m es de King sont essentiellement écrits en Basic, d o m a in e d an s le q u e l il fa it montre d'un indéniable talent. Le tra c k e r rep o se su r le m o d u le QtmTracker de Quantum , une petite merveille automatisant la lecture des modules Qtm de l'Amiga. Puise est un éditeur qui fonctionne entièrem ent sous Wimp et permet toutes les facé ties ; édition des sons, des pistes et des liens entre celles-ci. Bref, il s'agit d'un tracker classique, mais au design d é fin itivem e n t hors du co m m un ! C'est vraiment très joli. Puise souffre toutefois de quelques défauts, tel le manque d'intégration avec le module QtmTracker ou la relati ve lenteur d'affichage sur StrongArm, n a te u r ou de la p ro g ra m m a tio n Basic sous W imp. Vous trouverez une archive co nte nant les log iciels de 'King' M oyne sur le CD accom pagnant ce num é ro. alors qu'avec un Arm 7T0, c'est vrai ment parfait. On trouve aussi quelques bugs, mais rien de bien gênant. Le look très personnel pourra aussi trou bler certains utilisateurs du Wimp. Pour un p rem ie r essai, c'est v ra i m e n t un c o u p de m a ît r e . N o u s n'osons pas im ag iner ce que sera capable de program m er King dans quelques années. Evid em m ent, ce n 'e st pas p a r fa it, m ais K in g fa it d'ores et déjà preuve d'un sens artis tique peu com m un. Et la fam ille est g ra n d e , p u isq u e D a n ie l M o y n e , nous a, pour sa p art, g ratifié s de Puise L David Feugey Statut : Freeware En hausse ▲ Un tracker gratuit ! A Interface, ergonomie et look irréprochables A Puissant et raisonnablement rapide En baisse ▼ Quelques bugs ▼ Liaison avec le module QtmTracker ★★★ Note Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le tableau de bord Puise. Gtac, le retour des jeux d'aventure Dans la série des moteurs de jeu , je voudrais Ctac... Graphie Text Adventure Creator. G tac est un créateur d 'ave n tu re s m ê la n t g ra p h iq u e s , textes et sons. On retrouve là le modèle classique des jeux d'aven ture en mode texte, avec de nom breuses am éliorations. G tac est un vrai petit langage de programmation, bien qu'il n'y ait pas besoin de saisir une seule ligne de code pour l'utiliser. Ce logiciel gère avec b o nh eur les im ag es (m ê m e sous fo rm e compressée) et les sons, ce qui renouvelle un peu le genre en rendant encore plus interactif ce type de jeux. Pour le reste, c'est classiq u e , on édite les pièces une à une et on crée les liens entre celles-ci... On peut égalem ent avoir accès à une quantité limitée de variables. La force de Gtac vient de son côté résolument professionnel. Difficile de trouver le moindre défaut dans ce logiciel. Ce qui est reg ret table, c'est qu'il soit si peu utilisé, m algré ses q u alités. Andréa G allo, l'auteur, en a fait un Shareware à 50 francs. Les jeux créés avec Gtac peu vent être distribués sans limitation et fonctionneront avec bonheur sur un grand nom bre de m ach in es de la marque. G tac constitue un outil très abouti qui est aussi idéal pour créer de petites présentations interactives ou, grâce à sa facilité d'utilisation, des logiciels éducatifs. Une version commer ciale de Gtac pourrait voir pro c h a in e m en t le jo u r, A ndréa tra vaillant actuellem ent à l'aboutisse ment de ce créateur de jeux dont la puissance et la simplicité pourront se révéler opportunes pour tout déve loppeur. Vous pourrez trouver Gtac sur l'Acorn Demos serveur d'Armoric : http://aglaee.imag.fr/ AcornDemos. David Feugey Statut : Shareware (50 francs) Source : http://aglaee.im ag.fr/ AcornDemos En hausse ▲ Outil puissant et simple A M oteur de jeu rapide A Concept très abouti En baisse ▼ Limité à un seul type de jeux (c'était prévisible) Note ★★★★ MakeCD 3.2 Graver soi-même ses CD est devenu un sport courant. La toute dernière version de MakeCD rend la chose encore plus simple ! lnlKSI OK • Iri'Jce^*--±J il Tfiifÿbi --------- peut produire que des CD lisibles sur Amiga, à savoir de l'/so 9660 Level 1 et 2 avec extensions Rockridge, ainsi que de l'audio. Voilà un moyen idéal de sauvegarder son disque dur ou d'effectuer des compilations à carac tère musical, mais qui s'avère inutile pour réaliser des CD-Rom bootables dans un fo rm a t peu co m m un (M a c in to sh , P la y s ta tio n ...). C ela étant, MakeCD permet tout de même de copier en hardware (bloc par bloc, uniquement avec la version enregis trée) n’importe quel CD et peut s'ar ranger pour qu'un disque créé par l'u tilisa te u r soit b o o tab le sous AmigaOS ou MS/DOS. Ergonom ie et prise en main Détail plaisant, sa très bonne ergono mie donne à M akeCD le privilège d'avoir plusieurs niveaux d'utilisation. Les opérations basiques comm e la copie de CD, le formatage d'un CDRW, la réparation d'un CD-R ou enco re la fixation d'une session sont toutes directement accessibles par un simple menu, bien plus fourni dans cette ver sion 3.2. En revanche, la création d'un CD original passe par un chemin de fer du projet. Il s'agit d'une fenêtre que l'on remplit avec autant de pistes que désiré, en appuyant sur le bouton nommé Add. On clique ensuite sur le nom d'une piste pour en définir les paramètres : la source de son contenu (piste audio existante, répertoire du disque dur, sauvegarde numérique sur □ I MakeCD: îra c k Irack; | r l| 4 | ►] | 1. »Data (Mode 1ÿ« Type: I ïoursip ■ ------File system orrfy available for audio âtart block / Length: | jij'lji j| ji;;l |min/blocks Q I Direct to CD writer Image file f........................................ ' - ^ I B Delete file . • A d v c in c e d CJpUoriî» - Track type Q| . a Data (Mode 1) Pause: 100 00 / 0 min/blocks ISR£: if ü ü n Copie d'un CD. ft»ad frort sgjrca ;[ D A T...), sa durée (uniquement pour une piste audio), le format dans lequel elle devra être écrite (donnée, audio, XA, etc.) et la présence ou l'absence d'une sauvegarde dans un fichier avant le début de la gravure. Il s'agit là d'un point important, car MakeCD se montre en effet capable de sauve garder directem ent tout un disque dur sur un CD-Rom, sans même pas ser par un fichier image (image Iso). La dernière étape consiste simplement à appuyer sur le bouton "Write Tracks" pour lancer la gravure. A noter que cette dernière version de MakeCD pousse le confort jusqu'à sélectionner toute seule les diverses options un tant soit peu com pliquées (m ode Novice) ! M ieux, il suffit de rester quelques instants sur un bouton pour que son explication apparaisse dans une nouvelle fenêtre ! Yann Serra Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Paramétrage d'une piste. ace à IsoBuilder, Burnit et autres Masterlso, MakeCD s'est imposé com m e la solution lo g icielle optimale pour graver ses propres CD. Son premier atout vient de la recon naissance au to m atiq u e d'un très grand nombre de lecteurs et de gra veurs (sur support réinscriptible ou non). Ainsi, chaque modèle s'utilisera au mieux, prenant intelligemment en compte sa vitesse, sa modernité (pos sibilité ou non de graver toutes les pistes d’un CD en une seule fois), sa façon de communiquer les données (Intel ou Motorola) et les bugs éven tuels de son firmware. La gestion du hardware représente d'ailleurs la carte maîtresse de MakeCD... au détriment du software. En effet, le logiciel ne F VÜ1E3 MakeCD Currew Pfùjàci r Remove Advanced Options... L» | I Û»wn Irack Options Ç ria le fciage file. I l Total size: 100 00,00 min A ▼ | .info Le chemin de fer du projet. v ' I World ac ce ss I Save Amiga file aitributes ISO LeveL l? | ISO 9660 Amiga _____ |Conv e rt .info s u f% to lower case Add &rite tracks.. I Rock Ridge I £roup a c c e ss I | ★★★★ — a A| ▼| | Statut : Shareware Source : Aminet En hausse A Reconnaissance du hardware A Ergonomie A Aide constante En baisse ▼ Pas de formats étrangers Note Sort o rder info 1 . >Data (Mode 1 )« Add M a k e C D 3.2a Save Remove _____ |Conv e rt ISO Qames to upper case LJse Format du CD. Çancel Opengroup Java For Linux 1.1.6 Contrairement à un logiciel comme Kaffe OpenVM, Java For Linux n 'est pas une nouvelle implémentation de Java mais un port de la JVM de Sun sous Linux ; la même, donc que celle déjà distribuée par Blackdown. , our l'utilisateur, cela apporte un avantage certain : il dispose de la JVM de référence et n'a pas besoin de se soucier de compatibilité ou de caractéristiques non supportées. Une implémentation de qualité Opengroup oblige, cette version est bien plus soignée que celle de Blackdown. La JVM ne se voit par défaut liée avec aucune bibliothèque gra phique, laquelle n'est chargé dynami quement qu’en cas de besoin. Ainsi, P pour utiliser une application non gra phique (javac, jdb...), la JVM utilise peu de mémoire et se charge rapidement. Si l’application fait appel à l'interface utilisateur graphique, les bibliothèques Motif et X I 1 seront effectivement char gées : finis les scripts de lancement et les variables d'environnement des JDK Blackdown ! Mais le principal intérêt de cette version provient du fait que l'implémentation utilise exclusivement les API Posix, particulièrement en ce qui concerne le multithreading. A chaque thread Java correspond donc effective ment un thread système (la version Blackdown utilise des threads utilisa teurs) : le résultat se traduit par une meilleure robustesse et un gain de per formances sur une machine multipro cesseurs. En revanche, sur un seul pro cesseur, cette JVM se montre légèrement plus lente que celle de Blackdown ; nul n'ignore en effet que les threads utilisa teurs restent les plus rapides. Un package incontournable A l'heure actuelle, Java For Linux est donc la plus aboutie des implémenta tions de Java sous Linux. Son utilisation demeure iden tique à celle de la version Blackdown (il s'agit après tout du même lo g iciel !), y com p ris en ce qui concerne le com pilateur JIT tya qui en amé Netbeans en action sous Java For Linux. liore les perfor mances d'un fac teur 4 à 5. Jakub Zimmermann Source : www.opengroup.org Statut : Gratuit mais propriétaire En hausse A 100 % compatible A Excellente implémentation En baisse ▼ Encore quelques (rares) bugs ▼ Nécessite une machine musclée Note ★★★★★ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM S.LDiffusion Informatique* Word." N o u vH e VISA 03 88 62 20 94 Cable Péritel (Amiga ou ATARI) 79,Cable MONITEUR 1084 129,Nappe 2,5-3,5" 139Nappe 2,5-3,5"-3,5" 169Nappe Postes-H ect ext 1 8 9 Nappe Ultra Wide SCSI postes 369,Terminaison Ultra “ “ Active 2 1 9 - SGI 7 Demandez no que gratuit Viper A500 52 AT/CD + 8M0+I _____________ 1 099,> E-MATRIX TS30-40 + IDE 1 179,E-MATRIX T530-50 + IDE 1 47?,E-MATRIX T530-33 + IDE +SCSI1 279,E-MATRIX TS30-40 + IDE+SCSI1 379,E-MATRIX T530-50 + IDE+SCSI 1 679,Nlegi CHIP A500/2000 749,Ext 512Ko int +Horloge Amiga 500 149,Pour A2000 Carte A2000/030/50Mhz Appolo 1 389,Pour A600 M-Tec 68030/40Mhz+4Mo 899,M-Tec 68030/40Mhz+8Mo 1129,Pour Al 2 0 0 Micronik 1200+Horloge Ext de 0 à 8 Mo 3 2 9 ,Amiga 12 0 0 + Pack Magic 1 9 9 0 ,ROM AMIGA Kick Rom 3,1 (A500-A600-A2000) 2 3 9 ,Kick Rom 3,1 Al 200 2 5 9 ,Disquettes OS 3,1 119,- P o r t Tour-M o n iteu r-Scan n er,U C , 120 F, CD 20 F, Lo g iciel 35 F, S o u ris,C a b le 25 F, au tre 70 F . Cartes SCSI. RESEAUX. IDE Carte AmigaNet BNC PCMCIA1200 1479,Carte AmigaNet BNC + Twisted Pair 1 589,Carte BUDHA IDE X 4 Zorroll 489,Modules Mémoire SIMM 70ns Standard Ram SIMM 8 . . . . pour ... Mtec,Micronik, etc... Ram SIMM 16 MO 60ns R a m S IM M 3 2 M 0 60ns 3 1 9 ,Mémoire ZIP 51440 2Mo 159,169,549,- Pemaildez notre catalogue de CD-Rom ScanDoubler et FlickerFixer ScanMagic Scandoubler interne 6 8 9 ,FlickerMagic 1200/4000 int 7 9 9 ,Amiscan Scandoubler ext 6 8 9 ,- - e d i v n ______________ Appareil EtitifiLfiMmérique pour a MIu A Olympus 820L 4 779,Olympus 840L 5 879,- Disques Durs IDE 3,5" Interne Disque D. IDE 2J-Xio Seagate 9 8 9 ,Disque D. IDÇSGcTSiagate .1 4 5 9 ,Disque D. IDE 6 Go IBM Disque I). IDE 8 Go IBM 2 349>Disques Durs IDE 2,5" Internet • Disque Ûk IDE 260 Mo -rnappe S , Disque D>4DE 1,6 Go+nappe 1 8 7 9 ,, Disque D. IDE 3 Go+nappe. 2 2 5 9 ,. Disque D. ]DE 4 Go+nappe 3 919 ,-Disques Durs SCSI interne DD. 1 Go IBM 1 169,DD. 2 Go «M . 1 5 5 9 ,DD. 9 Go IBM ~ 4 9 8 9 ,- 22 Route du Général de Gaulle S a m Votre Com m ande par co u rrie r avec vo tre rè glem ent p ar ch è q u e ,m an d at cash ou carte b a n c a ire . Ah.!8h V e n d re d i Llvré avec Cam Control V I . O Cam Control seul 349,- Um ax 6 IOS PHOTOSCOPE seul 1 369,349,- pour Umax 610s, 1200S, 1220S A Tour W inner C Scanner Couleur S C S I^ * "Artec AT6 + ScanQuix £VF 1 8 8 *-4- C E / b o fc t a lim pour AMIGA liÔ O 1 189,- F « ÜL« ! • m pour AMIGA 1200 F Format A4 - 30 Bits/1 Passe - 1 1300 DPI ou 600x1200 DPI (AT12) ou 20 000 DP l/interpolation - Calibratix - Scan to disk OS 3,0 Minimum + 6 Mo Ram Fonction Photocopie N&B/Couleur avec ScanQuix/AMIGA (neccessite turbo-print) (livré en plus a^c carte scsi pour PC et logiciels PC el Mac ainsi qu'un J cobk scs 25/ 50) 8 8 62 20 94 - 499,- F 239,- F «T ap is de souris Boing P ad » 3 9 ,- Fax: 03 88 33 16 53 AMP vO.7.6 La grande mode concernant les modules musicaux, c'est le MP3. Windows possède son lecteur WinAmp, porté sur Amiga sous le nom d'AmigaAmp et sous Linux avec X 1 1Amp. BeOS ne fait bien sûr pas exception à la règle, en nous offrant Amp, BeMP et SoundPlay. P3 représente l'extension des fichiers de type mpeg3, nom qui prête à confusion, puisque la vraie dénomination du for mat reste MPEG 1 ou 2 Layer 3. Amp vO.7.6 se montre capable de lire les formats MPEG 1 et 2 Layer 2 et 3, mais ne fonctionne qu'en mode texte, étant dérivé du monde Linux. Les affi- M Exécution de modules MP3 p a r script shell. cionados du shell pourront donc écrire des scripts de chargement pour jouer ses m odules, ce qui d'une certaine manière lui donne une grande flexibili té. Il y a moyen de configurer la taille du buffer, d 'affich er le num éro de frame et le temps écoulé, de mixer les canaux stéréo et de régler le volume. Sur la machine de test, un PII-333, l'uti lisation du Cpu est de moins de 15 % durant la décompression. Mais ce qui apparaît particulièrement intéressant vient de l'éventuelle conversion d'un fichier MP3 au format Wave. On voit alors que la taille du fichier Wave est dix fois plus importante que celle du fichier MP3 ; le form at MP3 permet donc de stocker sur un seul CD-Rom l'équivalent de 8 à 10 albums audio pleins à craquer. L'utilisateur peut donc décompresser ses m orceaux personnels (pas ceux trouvés sur un CD MP3 commercial) en Wav pour ensuite les graver sur ses CD audio. Sur la même machine, la décompres sion du morceau "Virtual (void)" (livré avec BeOS R3.0) du MP3 (2,8 Mo) vers le format Wave (31.1 Mo) prend 40 secondes. M alheureusem ent, Amp n'offre pas la procédure inverse, bien plus utile quant à elle. Fabrice Mansat fmansat@amiganews. com AMP vo.7.6 Auteur : Andy Lo A Foe [email protected] Statut : Freeware URL : http://www.cs.vu.nl/~arloafoe/ programs/amp-0 .7 .6 x 8 6 . zip En hausse ▲ Très peu gourm and en ressources A Excellente stabilité A Sources inclus En baisse ▼ Pas de conversion Wave->MP3 Note ★ ★ ★ Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM BeMP v l.2 2 Pour ceux qui veulent jo u e r des modules MP3 avec le confort d'une interface graphique, la solution s'appelle BeMP v l.2 2 . Paramétrage des options. eM P v l .2 2 rep o se sur Amp v0.7.6c et requiert la présence de la librairie libamp.so (four nie). Sur un PII-333, il consomme dans les 15 % de temps CPU, tout comme Amp. BeMP apporte cependant beau coup plus que celui-ci, excepté sur cer tains points. Tout d'abord, il possède une interface graphique assez voisine d'une interface de CD Player. B Il s'avère possible d'ajouter un autre "slot", soit une rangée de boutons pour jo uer un d eu xièm e m orceau s im u lta n é m e n t. Pour ré a lise r des mixages de bandes son, cette option s'avère des plus utiles. Le plus surprenant vient du privilège offert à l'utilisateur de jouer jusqu'à cinq morceaux MP3 conjointement à partir d'un CD-Rom (ID E 2 0 x), sans aucun trou dans les m o r ceaux et ce en ne consom mant que 50-60 % de Cpu. Il est également possible de r _ créer, d'éditer et de sauve garder vos sélections (play* --------lists), m ais m alh e u re u se —a. m» — r rr m en t pas de ch a rg e r les playlists au format WinAMP. D e p lu s , on p e u t fa ire varier le volum e et la vites se de lecture, sélectionner une p a rtie d'u n m o d ule Quatre morceaux simultanés pour deux oreilles I ou e n c o re jo u e r les m odules d'une liste aléatoirem ent. Malheureusement, le "tag editor", per mettant de documenter les morceaux de la liste, semble ne pas vouloir fonc tionner. L'auteur connaissant l'existen ce de ce b u g , les c o rre c tifs ne devraient cependant pas tarder. Il est également regrettable que le support d'une télécommande infrarouge ainsi que l'encodage et le décodage MPEG manquent à l'appel. Fabrice Mansat BeMP V 1 .2 2 Statut : Freeware URL : ftp://ftp.be.com /pub/contrib/ audio/BeM P_l 22 _x86.zip En hausse ▲ Très peu gourm and en ressources A Excellente stabilité A Interface graphique A Sources inclus En baisse ▼ Un petit bug qui rend le "Tag Editor" inutilisable ▼ Pas d'encodage/décodage Note ★ ★ ★ ★ ★ DUCHET COMPUTERS 51 Saint-George Road - CHEPSTOW - NP6 5LA - Angleterre T é l:0 0 44 1291 625 780 (8 h à 19 h lundi - samedi) Fax: 00 44 1291 627 046 (24h/24) Ligne téléphonique directe en français MINITEL 361 6 AZERTY rubrique DUC LA SEULE ADRESSE POUR VOUS FOURNIR DIRECTEMENT EN ANGLETERRE! N O US NE P R O PO SO N S J A M A IS D ES A R T IC L E S QUI N 'E X IS T E N T P A S OU Q U E N O U S N 'A V O N S P A S EN IN VENTAIRE DU MATERIEL AM IGA DISPONIBLE (Prix en Francs Français, T.T.C . port compris) Interface PCM CIA S C S I2 Hisoft SU R F SQ U IRREL (A1200) 745 TECHNO SOUND TURBO 2 stéréo (F) Compatible AMIPHONE TC P 285 Adaptateur pour brancher les manettes analogues PC sur AMIGA: 4 5 F - les 2: 8 0 HOUSSE AMIGA 500/600/1200 (PRECISEZ SVP) 25 F - 3 pour 50 Câble série (1.80m ) pour relier 2 Amigas (pour jeux, transferts, etc...) 95 CARTE SÉRIE HYPER RAPIDE W H IPPET PCM CIA (A600/1200) 425 INTERFACE MIDI PROMIDI 215 Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F - pour 1084 SPI (2 mètres) 115 LECTEUR INTERNE AMIGA 500 285 LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [PRÉCISEZ SVP] 285 Connecteur pour 2 manettes port joystick 45 F F F F F F F F F F F Extension mémoire 1 Mo pour Amiga 600 SOURIS AMIGA 125 F - 2 pour 220 F - 3 pour Câble Péritel 2 mètres pour tous Amigas: 95 F - 2 pour Câble Péritel pour C D 32 [modèle avec 3 fiches banane] QUADRUPLEUR de M AN ETTES: 50 F - 4 pour Carte A U RA 16bit PCMCIA (A 600/A 1200) Carte A U RA 8 bit -tous AmigasCâble pour moniteur 1084 D (2 mètres) Câble pour moniteur Philips C M 8833 Mk2 (2 mètres) Câble double rallonge ports souris et joystick ALIM ENTATION 220/240V POUR CD 32 KIT [avec software + câble multi standard 2 mètres] de transfert de fichiers AMIGA < = > PC (doc. F): 1 2 0 F - Kit avec câble 5m: 145 F - avec câble 10m: C O P IE U R "H A R D ": X C O P Y PRO + In te rfa c e C YC LO N E (d o c e n f r a n ç a is ) 275 300 150 95 150 695 295 125 115 45 225 F F F F F F F F F F F 165 F 2 5 0 F POUR avec Permet de relier plusieurs périphériques au même port de votre Amiga - - A M IG A 5 0 0 , 6 0 0 , 1 2 0 0 , 2 0 0 0 , 3 0 0 0 , 4 0 0 0 , ET C ... c â b le G R A T U IT de r a c c o r d s p é c ia l pour A M IG A p o u r p o r t s é r ie o u p o r t im p r im a n t e - p r é c is e z , s v p D A T A S W IT C H D A T A S W IT C H POUR CO N N ECTER 2 PÉRIPHÉRIQUES: 1 4 5 F F D A T A S W IT C H POUR 4 PÉRIPHÉRIQUES: 1 8 5 F F - D A T A S W IT C H POUR 3 PÉRIPHÉRIQUES: 1 7 5 F F LES DA TA SW ITCH SON T EN VO YÉS PAR PAQ UET SÉPARÉ JOYPADS / JOYSTICKS / M ANETTES DE JEU SPÉCIALS A M IG A ACTION PAD (JOYPAD) - Amiga seulement ................................... 125 F - 2 pour 220 F EXECU TIVE MINI JO YSTICK (LO R IC IEL) 59 F ERGO STICK (SUNCOM) - TYPE "SPEEDKING", SE TIENT DANS LA MAIN . . 119 F Q STICK (SUNCOM) JO YSTICK DE P R ÉC ISIO N 79 F J T 153 ATTACK - JO YSTICK DE TYPE "Manche à balai" avec 2 boutons FEU + switch TIR AUTOMATIQUE RAPIDE + très long c â b le .................. 125 FF PR O G ICIELS A M IG A D ISPO N IB LES (Prix en Francs Français, T .T .C . port compris) M AKE CD : D ISP O N IB LE ! C H E Z N O U S, A U C U N P R O B LÈM E DE S T O C K ! M A K E CD 3 .2 a + T A O - Progiciel pour graver les CD ROMS - version complète enregistrée, localisée français, manuel imprimé: 3 2 5 F M A K E CD 3 .2 a + P A O - Copie directe de CD à CD en 1 seule opération - version complète enregistrée, localisée français, manuel imprimé: Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM C IN E M A 4D [C D PHOTON PAINT 2 .0 1 GP FAX v 2 .3 5 0 TERMITE TCP GAMESMITH HISPEED PASCAL (dernière version) DELUXE PAINT 5 [CD ROM) RO M ] pack 65 F 375 F 295 F 425 F 425 F 195 F c o m p le t c o n t e n a n t é g a le m e n t C IN E M A W O RLD G .F.A . BASIC 3 .5 1 (avec manuel technique de 4 2 0 pages) 9 5 DEVPAC 3 .1 8 6 8 0 0 0 /0 2 0 / 040 / COPRO 395 HISOFT BASIC 2 (dernière version officielle de Hisoft) 395 NET & WEB (Contient IBROWSE 1 .2 2 + complet + MUI) 2 9 5 IBROW SE - v e rs io n 1.22+ complète- contient MUI 3 .8 + 245 ULTIMATE BLITZ BASIC 2 .1 [CD ROM) 195 e t C IN E M A F F F F F F FO N T 425 F 8 2 5 F DIRECTORY OPUS 5 .6 MAGELLAN BLITZ BASIC 2 .1 B .u .m . 9 a /9 b 1 0 a /1 0 b (4 disks) B.U.M. 5 16 17 /8 (4 disks) 495 F B li t z s u p p o rt s u ite (3 d isk s ) 110 F DELUXE PAINT 5 [DISKS] 195 F 175 F 65 F 40 F SO U N D P R O BE 16-bit (Hisoft) Progiciel de digitalisation sonore et m usicale. Seulem ent .... 195 F TO US LES JEU X CI-D ESSO U S SO N T EN S T O C K ! (Prix T .T .C . port compris): ALIEN BREED 3D2 Killing Grounds . A-320 AIRBUS I I ......................................... B-17 FLYING FO RTRESS -500/600BLITZTENNIS -CENTER COURT- (F) BLITZKREIG (W ARGAME) ................... BLOODNET (F) - A l 200 ......................... BLOODNET (F) -A 500+ /A600 . . . BUBBLE & SQ UEAK -A 1200 BUBBLE & SQUEAK -A 6 0 0 ................ CHAOS ENGINE AGA -A 1200 ----C IV ILIZ A T IO N ................................................ CRIME DOES NOT PAY (T it u s ) ----COLONIZATION ( F ) ................................... DESERT STR IK E ......................................... DOGFIGHT (Microprose) ...................... DUNE 2 ............................................................ DUNGEON MASTER 2 (VF) A 1 200 . . . ELITE 2 (Version Française) ................ E uroleague manager (2 mo ram ) . . . 145 135 125 . 95 . 45 110 110 . 65 . 65 . 65 115 . 45 125 . 95 . 95 115 . 95 125 . 85 F F F F F F F F F F F F F F F F F F F E volution HUMANS 3 (F) A 1 2 0 0 . . EXILE - A 1 2 0 0 ............................................. E X ILE - A 6 0 0 ................................................ F-15 II (M icro p ro se )................................... F-19 STEALTH FIGHTER -A 500/2000 . FIELD S OF GLORY (WB 2 + ) ----FIELD S OF GLORY -A 1200 ................ GUNSHIP 2 0 0 0 ............................................. Im po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 00 Im po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 1200 JA M E S POND 2 (F )-A 1 2 0 0 ............. M ICROPROSE GRAND PRIX F1 M IN SKIES the Abduction -A 1200 . NICK FALDO GOLF ................................... NIGHTHAW K F-117 A 2 .0 -v 3.01 O D Y S S EY A 6 0 0 /1 200 ............................. PGA EURO TO UR GOLF - A G A - ----PINBALL FA N TA SIES AGA -A1200 PINBALL ILLUSIONS (F) A 1200 . . . . 95 75 . 75 125 125 125 125 125 . 95 . 95 . 35 115 . 85 . 35 . 95 . 75 . 45 . 65 . 95 F F F F F F F F F F F F F F F F F F F PLAYER MANAGER 2 ( A N C O )_____ POWER DRIVE ( F ) ...................................... PRIMAL RAGE ............................................. RAILROAD T Y C O O N ................................ ROAD R A S H ................................................... SEN SIBLE GOLF .......................................... SEN SIBLE SO C C ER EURO CHAM P . SEN SIBLE WORLD OF SO CCER . . . SHAQ FU -A 1 2 0 0 - ................................... SILEN T SERV IC E 2 ................................... SKELETO N KREW (F) - A 1200 _____ SPEC IA L FO RCES (Microprose) . . . . STARLO RD (Microprose) ....................... S TR EET RACER [A 1200 non-Escom] SUPER SKID M ARKS - A 1 2 0 0 ............. SUP ST. FIGHTER 2 TURB0(F|-A1200 SUPER TENNIS C H A M P IO N ................ T E S T A M E N T -A 1 200/4000- ............. THEM E PARK -A 1 2 0 0 .......................... 95 35 95 125 95 95 75 95 60 125 75 95 95 125 85 95 75 125 125 F F F F F F F F F F F F F F F F F F F THEM E PARK -A 600 ............................ TURNING POINTS -A 5 0 0 - ................... U .F.O . (A 6 0 0 ) ............................................ U .F.O . (A 1200) ........................................ V IRTU A L KARTING -A1200 (F) . . . W HITE DEATH (WARGAME) ............ WING C O M M A N D ER ............................... WORMS (VF) ............................................... W ORMS Director's Cut -AGAXTREM E RACING -A 1 2 0 0 - ................ Xtreme Racing A G A: 2 DATA DISKS ZEEW O LF 1 (NF) ..................................... ZEEW OLF 2 Wild J u s t ic e ...................... ZEEW OLF 1 + ZEEWOLF 2 ................ ZOOL (F) - A 500/600 ............................ COMPILATION (1) A 1200: GUARDIAN -i- SKIDM ARKS + GLOOM COMPILATION (2) A 1200: FEARS + ROADKILL + LEGENDS (F) . 125 . 55 125 125 . 75 . 45 . 95 . 95 145 . 75 55 . 45 . 65 . 95 . 35 F F F F F F F F F F F F F F F 145 F 145 F SELEC TIO N JEU X A M IG A CD ROM et CD 3 2 (Prix T .T .C . port compris) - Les "C D RO M " sont pour Amiga 1 2 0 0 /4 0 0 0 + lecteur CD BRUTAL PAW S OF FURY ( V F ) ----BU BBA 'N 'STYX ( F ) ................................... C A STLES 2 ...................................................... Alfred CHICKEN ( F ) ................................... CHUCK ROCK 1 ( F ) ................................... CHUCK ROCK 2 ( F ) ................................... CIVILIZATION AGA [CDROM] ----- . 50 F . 45 F . 35 F . 50 F . 65 F 125 F ELITE 2 ................................................................ EVOLUTION HUMANS 3 ( F ) ................ E X I L E ................................................................... G U A R D IA N ...................................................... HUMANS 1 + HUMANS 2 ................ LEGENDS ( F ) ................................................... LIBERATION C A P TIV E 2 ....................... . . . . . . . 95 95 50 75 45 95 70 F F F F F F F MARVIN M A R V E L LO U S .......................... MEAN ARENAS (F) ................................... NAUGHTY ONES .......................................... PREMIERE (F) ................................................ SO C C ER K I D ................................................... S PERIS LEG A CY (Doc F) CD32/CDROM S TA R CRUSADER [C D R O M ]................ 45 45 60 45 50 95 95 F F F F F F F STR EET RACER [CDROM] ................... SUPER LEAGUE MANAGER ................ S uper S treet F ighter 2 T urbo (F) . . THEM E PARK [C D R O M ]......................... ULTIM ATE GLOOM [CDROM] ----ULTIM A TE SKIDM ARKS [CD ROM] W ORMS (VF) CD 32 et CDROM . . . 125 F . 75 F . 95 F 125 F 125 F 125 F 125 F Pour un envoi immédiat d'articles ci-dessus (règlement par carte internationale VISA/ EUROCARD): téléphonez-nous (pas de panique, notre personnel est FRAN ÇAIS), ou taxez votre commande signée avec détails de votre carte bancaire. Par Minitel: 3 6 1 6 A ZER TY puis DUC. Ou rédigez (EN FRAN ÇAIS SVP) sur papier libre et joignez votre règlement. Nous acceptons les chèques ordinaires français, les chèques La Poste Français, les cartes internationales VISA et EUROCARD, mandats internationaux (ou Eurochèque en sterling si vous n'avez pas de chéquier Français). Notre catalogue complet vous est envoyé -gratuitement- avec votre première commande. Si vous désirez recevoir un catalogue CO M PLET afin de faire votre choix, écrivez-vous en FRAN ÇAIS SVP et joignez 6 timbres à 3 FF ou 4 C .R .I.; précisez votre configuration exacte, ou nous ne pourrons pas donner suite à votre demande. TO U S NOS PRIX SONT T .T .C et PORT COM PRIS TRANSACTION MINIMUM 100 FF O CTOBRE 1998 - Stock et prix valables pour la durée de publication du magazine - Toute commande est considérée comme ferme. Nouveau! Passez votre commande par email -> ventes@ duchet.globalnet.co.uk Présentation du Coda Filesystem Un nouveau système de fichiers réparti apparaît dans les nouvelles versions de Linux et, autant le dire tout de suite, il s'avère des plus prometteurs ! éveloppé depuis plusieurs années à l'université de Carnegie Mellon en son concurrent RFS et l'AndrewFS, conçu pour les très grands réseaux. CodaFS utilise une architecture qui s'en inspire et apporte de belles performances, mais aussi la toléran ce aux pannes, un mode de fonctionnement spécialement destiné aux ordinateurs por tables et un haut niveau de sécurité. Com m ent m arche CodaFS ? Comme tous les autres systèmes de ce type, D tant que sujet de recherches, le pro jet Coda vise à mettre au point un système de fichiers réparti (c'est-à-dire un système de fichiers qui permet de partager des données sur un réseau de façon transparente) de nou velle génération. Actuellement, le NFS de Sun représente un standard de fait, suivi par CodaFS p art du p rin c ip e qu'un serveur "exporte" des fichiers auxquels des postes clients peuvent accéder par le réseau. La première origi nalité (héritée justement de l'AndrewFS) provient du fait qu'ici, les données partagées ne sont pas organisées en fichiers et répertoires dispo nibles depuis "une m achi ne" ; à la place, on parle de "cellules Coda". Chaque cel lule se trouve administrée par un serveur m aître et, éventuellement, par des ser- veurs secondaires dont on parlera un peu plus loin. Chaque client désirant travailler en réseau doit entrer dans une cellule en se connectant à un ou plusieurs de ses serveurs. Il a alors accès à l'intégralité de l'arborescen ce partagée dans cette cellule et tous les clients "voient" donc exactement la même chose. Cela simplifie largement le travail de l'administrateur : il n'y a en effet rien de pire qu'un réseau où chaque station "monte" dif féremment les volumes partagés ! L'organisation des cellules Une cellule Coda est donc placée sous le contrôle d'un serveur maître. Là "remontent" toutes les transactions effectuées dans la cel lule, tandis que l'administrateur de la cellule peut y décider de ce qui sera, oui ou non, mis à disposition des clients. Du point de vue technique, la mise en place et l'adminis tration d'un serveur Coda ne représentent pas une mince affaire, d'autant plus que la puissance machine requise se révèle considé rable. Elle s'apparente plus à la création d'un serveur FTP qu'au "partage de fichiers sur réseau" auquel NFS et Windows 95 nous ont habitués ; il s'agit par conséquent d'une opération effectuée une fois pour toutes, avec un objectif précis. Si la taille des don nées diffusées par le serveur ou le nombre de clients risquent de devenir importants, le ser veur peut se voir épaulé par des serveurs Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Cnil.» developnmnts Eichier Edition <£ Cr W ÊÊH ÊÊÊÊÊ Affichage O Rà Signets ® Sache Qptions Aide ? | http./AwAv.coda.cs.cmu.edu about Co da papers m anuals mailing llsts mail to us Coda proiect sea rch C arm -R ie M ellon Coda File System downloads: Linux F repB$D N efêSQ (Hlustration by Gaich Muramatau) What is Coda? Coda 1$ an advanced networked filesystem. It has been developed at CMU during the last six years by the Systems group of M. Satvanaravanan. In the SCS deparment. Why is Coda promising and potentially very important? Pour tout savoir sur le p rojet Coda : http://w w w .coda.cs.cm u.edu secondaires qui en maintiennent une image. Chaque serveur dessert ainsi un nombre réduit de clients et offre donc de meilleures performances, tout comme les miroirs d'un site Web permettent souvent un accès plus rapide. D 'autre part, les clients gardent généralement des contacts avec plusieurs serveurs : cette redondance permet à la cel lule de continuer à fonctionner normale ment, même si des serveurs tom bent en panne. Les clien ts En ce qui concerne les clients, CodaFS se pré sente avant tout com m e un système de fichiers, ce qui signifie que le système d'ex ploitation doit disposer d'un module le sup portant. Celui-ci constitue à peu près le seul élément réellement dépendant de l'OS utili sé. Lorsqu'une application désire accéder à un fichier partagé par CodaFS, ce module transm et la requête à Venus, un démon s'exécutant sur chaque machine client et qui effectuera les transactions nécessaires avec les serveurs avant de renvoyer le résultat. Pourquoi passer par Venus plutôt qu'expé dier la requête directement à un serveur ? Toute la gestion à proprem ent parler du sant sur le cryptage, il obtient en retour un "jeton" qui lui perm et de circuler sur le réseau et donne des droits sur certains fichiers (lecture, écriture, création, etc.) et ce pendant une journée, après quoi le jeton n'est plus valable et doit se voir renouvelé par un nouveau contrôle d'identité. Ce systè me n'importune pas trop l'utilisateur (a prio ri, un seul "login" par session de travail), garantit une bonne sécurité et, surtout, s'avère très flexible. Par exemple, un utilisa teur "anonymous" obtient un jeton lui don nant accès à des fichiers publics ; en outre, chaque utilisateur qui a son compte dans la cellule recueille un jeton permettant d'accé der à ses fichiers (et seulement les siens), CodaFS se trouve ainsi dans un programme tandis que l'administrateur dispose de jetons propre système indépendant. Il y a deux rai générique et portable, et, de ce fait, la partie qui l'autorisent à accéder à tout, sauf aux sons à cela. D'une part, CodaFS se destine à dépendante du système est réduite au mini tous les systèmes, pas seulement à Unix, et il documents privés des utilisateurs. Les ap p lications de CodaFS mum. Par ailleurs, Venus gère un cache de faut donc que la sécurité soit assurée unifor données : chaque fois qu'un fichier se voit Sa conception donne à CodaFS une excel mément partout. Par ailleurs, les fichiers par lente capacité d'adaptation, il s'utilise avec transféré de la cellule vers le client, Venus le tagés peuvent se trouver soumis à des règles succès aussi bien sur un réseau local que sur garde en mémoire et pourra le fournir luid'utilisation particulières et différentes de même directement à une application, sans celles qui s'appliquent en local. Chaque un gros site ou même un réseau de plu solliciter les serveurs. Le trans sieu rs m illie rs de postes. m m m “ 1 fert d'informations entre les Néanmoins, à cause d'une complexité certaine d’admi clients et le serveur est donc Fllesystems j réduit au m inim um ; voilà nistration et des ressources J Help | qui ravira les utilisateurs ne matérielles nécessaires, il ne y y V 1| ♦ n ! Quota support disposant que d'un sim ple remplacera certainement pas m ♦ n Mlnix fs support Help | w NFS lorsqu'il s'agit sim ple modem ! Plus im portant, il sz m i v n Second extended fs support | Help | [♦ y ment de partager quelques s'avère même possible d'utili ISO9660 cdrom filesystem support | Help | |V y ♦ m v n ser les fichiers partagés "offlifichiers entre des stations de Help | v n Microsoft Jollet cdrom extensions ♦y V travail. En revanche, il trouve ne", ce qui ve u t d ire sans Help DOS FAT fs support naturellement sa place par connexion à la cellule ! Dans ^ y ♦ m v n tout où il s'agit de mettre ce cas, la lecture d'un fichier ♦ m v n MSDOS fs support v l_ a s j d'énormes quantités de don se fait depuis le cach e de v m ♦ n Help | -i umsdos: Unix like fs on top of std MSDOS FAT fs v nées à disposition d'un très Venus, qui mémorise égale ♦ m >✓ n VFA T (Wlndows-95) fs support Help J large public : certains propo ment toutes les modifications Help | /proc filesystem support v n V ♦ y sent par exem ple déjà de é ve n tu e lle s fa ite s sur ce ♦ m v n Help | remplacer les sites FTP Linux NFS filesystem support fichier. Dès que la connexion v y et leurs m iro irs par une est rétablie, tout se met à jour v _y ■v ! H«'p 1 gigantesque cellule Coda. De automatiquement. Là encore, IV y ♦ m v n NFS server support J He,p ! même, il peut se révéler très cela se montre particulière ♦ m >✓ n Coda filesystem support (advanced network fs) Help j v y p ratiq u e de p artag er par ment intéressant pour ceux Help | v y ♦ mi - n SMB filesystem support (to mount WfW shares etc.,) CodaFS le répertoire /home qui ne p ossèdent pas une Help en tre un o rd in ate u r de >✓ n SMB Win95 bug work-around connexion perm anente, ou ♦y bureau et un portable (à pour les heureux propriétaires J Help ' v |v v / co n d itio n de p rend re la d 'o rd in ate u rs p o rta b le s ... Main Menu Next | Prev 1 peine de tout installer une Néanmoins, la nécessité de . i fois) : finis les oublis de mise disposer d'un cache de 10 Mo Les nouveaux noyaux Linux supportent CodaFS. à jour des fichiers sur le PC ! m inim um par client signifie Ceux qui rêvent de disposer que CodaFS est surtout conçu au moins d'un "porte-documents" comme fichier et répertoire partagé dans une cellule pour le partage d'informations en environne sous Windows seront comblés. Si, actuelle possède donc une "Access Control List" qui ment réparti, et non pas pour économiser de ment, CodaFS ne se voit supporté que par définit quel(s) utilisateur(s) ou groupe(s) la place sur les clients en évitant de posséder Linux, FreeBSD et NetBSD, il sera à terme d'utilisateurs ont le droit d'y accéder et com les fichiers en local. disponible sous tous les Unices (certains por ment. L'utilisateur qui désire accéder à un La sécurité tages se trouvent déjà en cours), mais aussi fichier ou à un répertoire partagé par CodaFS Alors que dans NFS par exemple, la sécurité NT, Windows, OS/2 et certainement sous doit d'abord s'identifier auprès du service des données se voit contrôlée par le méca d'autres systèmes encore. d'authentification de la cellule. Une fois son nisme interne d'Unix, les concepteurs du Jakub Zimmerman identité contrôlée par une méthode repo CodaFS ont décidé de mettre en place leur Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM C o m m u n i c a t i o n s Expérience de vidéo-conférence virtuelle : un Risc Pc dans un laboratoire La vidéo-conférence est un domaine passionnant, presque inexploré, et couvrant un gros marché potentiel. Les logiciels existants ont tous les mêmes caractéristiques ; ils assurent la transmission de la vidéo et du son, sans prendre en compte les problèmes de bande passante et de communication entre les gens. 'éq uip e ViS et le lab o rato ire Cravir/lmag oeuvrent dans la ville de Grenoble et proposent une approche différente du concept de-vidéo-conférence. Le fait intéressant vient de ce que Frédéric Elisei, un des grands noms de la scène Acorn française, fait partie de cette équipe et utilise son Risc Pc pour dévelop per ce projet. Cette équipe utilise trois concepts : clones 3D, vidéo et son spatialisés. Nous verrons plus loin de quoi il s'agit. Le concept fort est de pouvoir faire de la vidéo-conférence sans devoir utiliser de m achine de très forte puissance, ni d'outils aux prix inac cessibles. Le clone BD L'idée du clone 3D a un but : réduire la bande passante utilisée par le logiciel sur le réseau (la vidéo n'est souvent pas synchro nisée avec le son). Au lieu d'utiliser une vidéo compressée complète de la person ne, on crée un clone 3D sur lequel on fera apparaître les expressions de l'intéressé, avec tous les problèmes que cela suppose. Le clone 3D améliore la communication, car il est ressemblant (contrairement aux avatars) et peut s'utiliser suivant plus de points de vue qu’une image plate. Un problème difficile consiste à créer le modèle. Habituellement, on passe par un scanner laser 3D, qui a le défaut de coûter très cher et pose des La c r é a t i o n d ' u n c l o n e problèmes à l'utilisation (m auvaise capture des c h e v e u x, d ang er du laser pour les yeux...). Le travail a donc porté sur la création d'un modèle à p artir d'une cam éra devant laquelle on fait tourner le sujet. Les per / / sonnes pourront donc ( b ien tô t o b te n ir une Contours 3D représenté Exemples de rendu. image 3D de leur visage en fils de fer. aussi facilement qu'une photo d'identité. Armé de ce m odèle, il ne reste plus qu'à le reproduire. La méthode la plus co u ram m e n t employée est celle d'un clone. 3D construit à par tir d'un ensem b le de La texture cylindrique associée. polygones. Cependant, s'il est facile d'animer un L visage de 2000 polygones (qui ne sera pas très précis), quelle puissance faudra-t-il ap p o rte r pour m ettre en scène une réunion de dix personnes (20000 poly gones à animer en même temps !) ? La solution choisie est de mapper l'image 3D de la personne sur une structure en fil de fer qui imite le relief de la tête (en particu lier les profils qui servent à la reconnaissan ce). On n'employe pas de polygones, mais des routines moins génériques, inspirées des techniques d'affichage de terrains dans les simulateurs. Lorsque l'on anime dix per sonnes, leur visage est plus petit à l'écran, donc plus facile à exploiter, ce qui n'induit pas une trop forte hausse de la consomma tion de puissance du microprocesseur. Ce visage ne pourra avoir qu'un nombre de mouvements limités (zoom et rotation). Reste ensuite à incruster la vidéo des lèvres, des yeux et des sourcils. Le but n'est pas de reproduire toutes les expressions d'un visa ge mais de faire le maximum pour que la communication s'établisse dans de bonnes conditions. Le problème avec la plupart des logiciels vient de ce qu'ils prennent le parti "d'analy ser" l'expression de la personne et qu'ils recréent à l'autre bout quelque chose que le programme estime similaire. Ainsi, le clone reconstruit pourra sourire au lieu de grimacer... D'où le choix volontaire de lais ser l'analyse des expressions être faite directement par les intervenants. La vidéo sp atialisée On a donc tous les éléments pour repro duire un visage ; il faut maintenant gérer le groupe d'intervenants. La vidéo spatialisée permet de montrer toutes les personnes dans un même espace, sous des angles variés, grâce aux clones. Il s'agit de contrôler les mouvements de caméra pour suivre le débat, comme sur un plateau de télévision. Mais, comme dit Frédéric, "tout le monde ne peut pas se payer les services d'un metteur en scène". On met donc en oeuvre un système qui orien te les caméras en fonction des interven tions de chacun. Quand une personne parle, une des caméras peut pivoter et zoo- Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM V\ mer sur elle, lorsque le débat devient hou leux, celle-ci fait un grand angle, si une personne coupe succinctement et plusieurs fois la parole aux autres, les cam éras ne reviendront pas sur elle de façon systéma tique, etc. Les mouvements des caméras sont fluides et on peut en avoir un nombre non lim i té. Les in te rve n a n ts ont é g a le m e n t le moyen d'agir m anuellement sur l'angle de vue. C e p e n d a n t, la m ach in e n 'e st pas in te llig e n te : e lle ne sa u ra p a s, p ar exemple, réagir au sens de la phrase pour deviner l'identité du prochain interlocu teur. Le son sp a tia lisé Le concept est simple : il s'agit de posi tionner le son en fonction de la position des personnes et d'étouffer plus ou moins les voix suivant la distance (com m e dans la réalité). La v o ix de la perso nne de g au ch e est retransmise à gauche, etc. Le problème à résoudre consiste à contrôler les mouve ments de caméra. Lorsque la caméra fait un plan sur la personne de gauche, il faut que le son semble provenir du centre ; nécessité une puissance énorme. Le but du projet prévoit de faire tourner l'en sem b le de ces tech n o lo g ie s sur un processeur classique de puissance moyen ne, comm e on peut en trouver dans un Network Com puter par exemple, en pas sant par un réseau de bande passante moyenne, telle une ligne Numéris. Le modèle pratique a été développé sur Risc Pc, en ayant recours au Basic et à son assem bleur intégré. L'avantage du Basic est qu'en tant que langage interp rété, l'utilisateur peut très facilem ent corriger son code et faire des expérimentations. La force de l'assembleur Arm vient évidem m ent de sa puissance m ais aussi de sa simplicité. Interrogé sur son ch o ix, Frédéric arg u coût modéré, celui-ci, aidé d'une carte de digitalisation, joue parfaitement son rôle. Il capture et reproduit la vidéo, corrige la cou leur de la peau (qui change en fonction de l'éclairage) pour s'approcher de celle du modèle 3D, digitalise les mouvements des yeux et de la bouche, les reproduit en temps réel sur le modèle 3D, et tout ça dans la même fenêtre ! Evidemment, il faut le v o ir p o ur se rendre com pte de la perfor m an ce. F ré d é ric, en d ig n e d em o m aker, s'est aussi am usé à coder des petits pro grammes, dont un sys Frédéric Eiisei, tèm e de déform ation membre du d'image en temps réel, groupe de à savoir le retour des développement. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM autrem ent, on a l'im pression que c'est une autre personne qui parle. Cependant, l'image du débat ne se com pose pas que de mouvements continus de caméra. Par exem ple, il y a des change m ents de p lan (in s ta n ta n é s ) et il est pénible d'entendre une voix passer brus quement de la gauche vers la droite ou le centre. Le système utilise donc un micro virtuel qui suit la vue des caméras, mais en assurant des transitions plus douces. Lorsque la vue passe de la gauche vers le centre, le son change de position plus lentement. L'en sem b le Le systè m e c o m p le t p e rm e t d o n c de sim u ler une vid éo -co n fé ren ce réa liste , sans toutefois nécessiter une grosse puis sance. Certes, il était possible d'utiliser des modèles en 3D polygonale et une spatiali sation du son haut-niveau (com m e le spatialisateu r de l'Irc a m ), m ais cela aurait m ente que le Basic est e xc e lle n t pour c e tte a p p lic a tio n très m o d u la ire . Son m o d èle a p p liq u é à d 'a u tre s lan g ag es n'aurait pas forcément donné de meilleurs résultats : l'équivalent en C aurait probable ment été interfacé par Tcl/Tk, pour rendre l'assemblage et les essais plus interactifs. Nul doute que la taille du code, les performances et les facilités de dévelo p p em ent et de débuggage y auraient plutôt perdu. Le Risc Pc représente ici la plate-forme idéale pour prototyper ce logiciel. En plus de son CONFERENCE m e cu s miroirs déformants, qui a beaucoup amusé les gens de l'Armada lors de leur dernière rencontre. Malgré tout, le projet demeure nettement plus sérieux, puis qu'il s'agit de son sujet de thèse, et nous ne pouvons que lui souhaiter de le mener à terme... avec succès. http://www-vis.imag.fr/elisei/Jeudi David Feugey Mille Alpha, la technologie qu'il vous faut ? On dit de la technologie Alpha qu'elle est la plus puissante. Compaq l'a rachetée, Microsoft la soutient, Samsung l'impose et des nouvelles cartes mères viennent d'arriver chez votre assembleur. Com paq a racheté Digital et l'Alpha y a gagné un soutien com m ercial renforcé, notam m ent grâce à la création d'Alpha Processor Inc., décidée conjointement par Compaq, Microsoft et Samsung. Plus que jamais, l'Alpha s'impose comm e la plate forme haut de gamme actuelle. Les p ro cesseu rs actu els L'Alpha 21164. a plate-form e Alpha représente la suite logique, d'ores et déjà dispo nible, du compatible PC. Dotée d'un processeur 64 bits qui atteint le GHz et d'une carte mère Atx suréquipée, l'Alpha fonctionne sous W indow s, ou Lin ux, et peut m êm e d ire cte m e n t e xé c u te r des applications écrites pour Pentium. Inventée en 1991 par Digital, l'Alpha s'adresse initia lement aux seules entreprises, chez les quelles elle revêt la forme d’une station de travail dévoreuse de calculs. Début 1997, la te ch n o lo g ie s'est o u ve rte au g rand public : des licences ont été cédées à diffé rents constructeurs pour alimenter un mar ché de m asse et faire c h u te r les p rix . Désorm ais, l'Alpha s'achète com m e un compatible PC : cartes mères et proces seurs se trouvent chez les assem bleurs. Enfin, cette année 1998 aura été le théâtre de revirem ents p o litiq ues im p o rtants : L Symbole même de cette technologie, le processeur des stations Alpha fonctionne avec une fréquence com prise entre 400 MHz et 1 GHz et se divise en trois gammes : 21164 PC, 21164 et 21264. Le 21164 PC est un é q u iv a le n t du M M X d 'In te l. Il intègre un module DSP qui lui donne des rapide, même s'il réside sur la même "car touche". La comparaison avec le monde Intel s'arrête d'ailleurs là : si les processeurs Alpha ont bel et bien une longueur d'avan ce sur les Pentium II, actuels ou à venir, c'est parce qu'ils se posent dès aujourd'hui en co n cu rre n ts du processeur Intel de d e m ain , à savo ir le M erced. Les Alpha constituent des processeurs Risc 64 bits. Les Pentium II se résument encore à des puces Cisc 32 bits... Avec une fréquence montant jusqu'à 667 MHz (soit 2,6 milliards d'instructions à la seconde !), le 2 1 1 6 4 est le processeur Alpha le plus courant chez les assembleurs. # Mais attention, Digital et Samsung propo sent chacun leurs versions du composant et ils ne s'avèrent pas forcément interchan geables d'une marque à l'autre : les puces de Digital fonctionnent en 3,3 volts alors que celles de Samsung s'en tiennent à 2,5 volts. Par ailleurs, il convient de noter que les 21164 de Digital ne comportant pas la lettre "a" à la fin de leur nom sont des pro cesseurs obsolètes qui tournent à moins de 4 0 0 MHz (cette règle n'existe pas chez Samsung). Dernier rejeton de la famille, l'Alpha 21264 constitue le premier processeur de la pla nète à atteindre la barrière symbolique de 1 G H z. Encore fab riq u é à peu d 'exem plaires (seule la version à 667 MHz de Samsung est distribuée), ce processeur dis pose de deux caches internes de 64 Ko chacun, ainsi que d'unités d'exécution lar gement améliorées. Pour l'heure, aucune carte mère adaptée ne se trouve disponible sur le marché et les anciennes se montrent incompatibles. Car là réside une des nom breuses originalités de cet Alpha 21264 : livré dans une cartouche similaire à celle du Pentium II, il s'insère dans un connec Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ailes en termes de fonctions multimédiaS (M V I), tels la décom pression M PEG en temps réel, l'application de filtres sur une image ou encore l'accélération O penGL. Revers de la médaille, ce processeur est le moins rapide de la fam ille en termes de calculs flottants et celui qui dispose de la plage de fréquences la moins élevée. La chose s'explique en partie par la présence d'un cache supplémentaire dans le proces seur suivant, VAlpha 21164. Celui-ci intègre une Ram tampon de 96 Ko dans ses cir cuits en lieu et place du module MVI. A noter qu'une technique similaire se trouvait utilisée dans le Pentium Pro, mais pas dans le Pentium II. Le cache de celui-ci est en effet externe au processeur, donc moins teur processeur appelé Slot A, ce qui le rendra directem ent interchangeable avec le fu tu r K7 d 'A M D . A n o te r que la Roadmap de Digital prévoit les processeurs Alpha 2 1 2 6 4 P C , Alpha 2 1 3 6 4 et Alpha 21464 pour le prochain millénaire. Les c a rte s m ères La mise sur le marché grand public des sta tions Alpha est avant tout passée par une chute libre du prix des cartes mères. Une pilule que certains revendeurs spécialisés ont eu du mal à avaler, surtout lorsqu'ils ont dû évaluer les stocks de la génération précédente leur restant sur les bras. De fait, Carte mère 164SX. Carte mère 164LX. l'utilisateur devra se révéler particulière ment attentif lors de son achat s'il ne veut pas se retrouver avec un vieux rossignol passé de mode. D'une part, la carte mère sera incapable de supporter des proces seurs à haute fréquence (500 MHz grand m axim um ) et, d'autre part, elle n'accep tera pas fo rc é m e n t les extensions du m onde PC. Et voilà une grande force de l'Alpha nouvel le g énératio n : p o ur vues de c o n n e cte u rs PCI et IS A , les m a ch in e s a c c e p te n t sans broncher les der n iè res ca rte s g ra phiques, audio, réseau et autres co n trô le u rs du monde W intel, tels que c e u x v e n d u s en grande surface. Pour l'heure, la philoso Les d iffé r e n t s p ro c e s se u rs A lp ha Processeur Dec 2 1 164PC D ec21164PC Dec 2 1 164PC Dec 21164a Sam 21164 Dec 2 1 164a Sam. 21164 Dec 2 1 164a Sam. 21164 Sam. 21164 Sam. 21264 Sam. 21264 phie des d e rn iè re s cartes mères de Samsung et Digital consis te principalement à booster l'équipement actuel des utilisateurs de PC. Horm is la technologie Alpha, celles-ci n'ont rien de spécialem ent novateur : pas d'USB, pas d'AGP, pas d'IDE U ltra-D M A... Au m ieux, les modèles UX/BX de Samsung disposent de l'Ultra-Wide SCSI. Pour la machine du futur, il faudra attendre la prochaine géné ration : celle qui disposera d'un Slot A pour accueillir un 21264 ou un K 7. Samsung nous promet à ce moment-là (premier tri Fréquence 400 MHz 466 MHz 533 MHz 433 MHz 466 MHz 500 MHz 533 MHz 600 MHz 633 MHz 667 MHz 667 MHz 1 CHz Cache (Instr./D ata /Level 2) 16 K o / 8 K o / 16 K o / 8 K o / I 6 K 0 / 8 K0 / 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 8 K o / 8 K o / 96 Ko 64 K o / 64 K o / 64 K o / 64 K o / - Speclnt95 10.4 14.6 16.1 13.3 Non testé 15.4 16.1 18.0 Non testé Non testé 44.0 ~66.0 dispose d'un sup p ort p a rticu liè re m e n t dynamique sur Alpha. En effet, Microsoft a élu la technologie de Digital comme plate forme officielle de secours... au cas où la fidélité d'Intel s'avérerait un jour défaillan te. Ainsi, le système dispose d'un module nom m é Fx!32, lui perm ettant d'exécuter en temps réel toute application écrite pour PC. En ce qui concerne Linux, on retrouve les d is trib u tio n s les plus ré p u té e s du monde Intel, en l'occurrence les dernières versions de la RedHat et de la D ebian. Attention cependant, de nombreuses ver sions de cartes mères Alpha sont livrées avec une partie de Windows NT dans leur firm w are. Il faudra l'en déloger avant de pouvoir installer Linux. Pour se faire, Digital prop ose de té lé ch a rg e r tous les o utils nécessaires à l'adresse : ftp :/ / ftp .d ig ita l.c o m / p u b / D E C / L in u x Alpha/. On y découvrira également tous les noyaux et toutes les images de boot pour chacune des cartes mères, y compris les SpecFp95 14.2 17.4 18.8 18.3 Non testé Référence 211PC-01 2 1 1PC-02 2 1 1PC-03 2 1 164-IC KP-466CN 21.1 2 1 164-P8 KP-533CN 2 1 164-MC KP-633CN KP-667CN KP21264 KP21264 22.5 27.0 Non testé Non testé 66.0 - 100.0 plus vieux modèles. Enfin, signalons que l'Alpha se montre également à même de fonctionner sous Digital Unix (de moins en m oins supporté par le constructeur) ou OpenVMS. Yann Serra Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM m estre 1 9 9 9 ) une c o m p a tib ilité ave c toutes les dernières norm es de co nn ec teurs, ainsi que la palpitante perspective de placer deux processeurs en parallèle. Les systèm es d 'e xp lo ita tio n L'A lpha ne d ép aysera p e rso n n e : to u t comme un PC, la machine fonctionne sous Linux et Windows. Pour celui-ci, la version en vigueur ici est N T 4, lequel bénéficie d 'u n e in te rfa c e id e n tiq u e à c e lle de Windows 95/98. A noter que ce système r Dec A lp h aPC 164SX et 164ZX AlphaPC 21164 CPU Fréq. max. 533 MHz Chipset Dec 211 74 Cache 1 Mo Ram 4 supports Dimm Rom 1 Mo (Flash) PCI 32 bits 2 slots à 33 MHz PCI 64 bits 2 slots à 33 MHz Non AGP ISA 2 slots IDE Oui SCSI Non Clavier/souris PS/2 Ethernet Non L'Alpha 2 1 1 64PC. Les ca rte s m ères a c tu e lle s Dec A lp h aP C 164LX Alpha 21164 600 MHz Dec 21174 2 Mo 4 supports Dimm 1 Mo (Flash) 2 slots à 33 MHz 2 slots à 33 MHz Non 2 slots Oui Non PS/2 Non Sam sung 164-LX2 Alpha 21164 Mult. de 66 MHz Pyxis 2 Mo 4 supports Dimm 1 Mo (Flash) 2 slots à 33 MHz 2 slots à 33 MHz Non 2 slots Oui Non PS/2 Non Sam sung 164-UX2 et BX2 Alpha 21164 Mult. de 66 MHz Pyxis 2 Mo 6 supports Dimm 512 Ko (Flash) 5 slots à 33 MHz 1 slot à 33 MHz Non 1 slot Non Ultra-Wide PS/2 10/100 Mb/s Sam sung 164-UX4 et BX4 Alpha 21164 Mult. de 66 MHz Pyxis Sam sung 264-DP 1 ou 2 Alpha 21264 Mult. de 66 MHz ? 4 Mo 6 supports Dimm 512 Ko (Flash) 5 slots à 33 MHz 1 slot à 33 MHz Non ? ? ? ? ? 1 slot Non Ultra-Wide PS/2 10/100 Mb/s Oui ? Non ? (+ IEEE1 394) USB ? 4. 1 l. V- r-N " | ^ A■ Présentation et installation de'ssh 1.2.26 Alors que se multiplient les outils de sniffing et autres craqueurs de password Unix, la solution d'accès/copie à distance la plus complète tend à devenir ni plus ni moins qu'un standard : il s'agit du Secure Shell. M e ln e t, rsh, rlogin et autres clones sont longtemps restés au goût du jour dans l'accès à des machines dis tantes, mais tous trois souffrent depuis tou jours de différents trous de sécurité qui ont fait les jours heureux des hackers en herbe. Le point le plus dérangeant, présent dans tous ces outils, réside dans l'architecture même d'un réseau. En effet, si le mot de passe est crypté sur la m achine serveur après qu'il eut été entré, les caractères pas sent en clair dans les trames tcp/ip. D'autre part, si un password Unix reste et restera à jamais indécryptable, à cause du principe du "One Way Crypting" (cryptage à sens unique), il peut tout à fait se voir reconsti tué par ce qu'il est convenu d'appeler un password-cracker qui essaye, en cryptant tous les termes d'un dictionnaire gigan te sq u e ou en c o m b in a n t c e u x - c i, de re tro u v e r le m o tif du m o t de p asse . Finalement, nul n'ignore que X, et en par ticulier ses fonctions d'export, possède en son sein un nombre effrayant de failles de sécurité. Ce sont ces défauts spécifiques à un U nix sta n d a rd , parm i d 'autres plus pointus, que le logiciel ssh se propose de pallier. "S "olide, S t a n d a r d et "H "autem ent résistan t Nous avons compilé la version 1.2.26 de ssh sur cinq plates-formes différentes sans rencontrer le moindre souci : Linux (é vid em m e n t), FreeBSD, NetBSD, OpenBSD et Solaris 2 .6 ; quel que soit le type d'Unix, un simple "./configure; make; make install" suffit à compiler, installer et engendrer les clefs publiques et privées propres au système. Nous reviendrons sur ce p o in t qui c o n s titu e l'u n e des plus grandes forces de ce shell. V ers les "Paranoia-settings" Nous considérerons dans cet exemple de mise en place que l'on veut totalem ent supprimer la possibilité de nous connec ter à notre machine serveur par un autre m o yen que ssh et que le systèm e de password Unix n'of fre pas une garantie de sécurité suffisante pour nos besoins. La première chose à faire consiste à ins ta lle r ssh su r les machines client et la m a c h in e s e rv e u r. Dans l'absolu, seul le clien t est néces saire sur les postes c lie n ts , m ais pour éviter d 'in term in a bles séances de ftp, il s'avère plus simple de suivre le schéma classique du "make install" sur toutes les machines. Il faut savoir que si le poste serveur ne p e u t ê tre a tte in t Q U 'E N ssh , il in com be à l'adm inis trateur réseau d'au to ris e r ou non un Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM "Lo po com pris..." utilisateur à avoir accès à ssh. Cette précision s'adresse aux res p onsables de réseau x de d iza in e s de m a ch in e s que ce tte démarche rebutera peut-être, du fait de sa grande rigueur. L'étape suivante prévoit la création d'une paire de clefs, privée et publique, que devra engendrer l'utilisateur d'un ssh client. Cela s'opère grâce à la com m ande "ssh-keygen". Celle-ci élaborera dans son S H O M E un ré p e rto ire .ssh a v e c des d ro its de lecture/écriture bien précis, dans lequel on trouvera une clef publique, une clef privée, la liste des hôtes connus ainsi qu'un pointeur de nombre aléatoire. Finalement, le fichier identity.pub devra être ajouté à un fichier authorized_keys (s'il n'existe pas, il faudra le créer) dans le répertoire .ssh de l'utilisateur par lequel on se connectera sur le poste serveur. Cette manipulation l'emporte sur le système d'authentification standard "login : password" ; en effet, lorsque l'on se connectera au serveur, il ne faudra plus ren trer le password Unix mais la passphrase qui a servi à concevoir la paire de clefs. Il s'agit d'un système d'authentification RSA. Le plus simple pour réaliser cette procédure est d'ouvrir un ser veur ftp sur le poste serveur et de procéder comme suit : $ ftp 192.168.0.254 # ( on se connecte au poste serveur ) Name (domaine:utilisateur): utilisateur password : xxxxxxx ftp> cd .ssh ftp> put identity.pub authorized_keys Une fois ce pas effectué, il faut vérifier que l'authentification s'ef fectue bien en RSA et non plus de façon "Unixienne" : ssh [email protected] Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Host key not found from the list of known hosts. Are you sure you want to continue connecting (yes/no) ? yes Enter passphrase for RSA key '[email protected]' : On nous demande en effet la passphrase RSA ; adieu, "login & password" ! Retenons la première question qui nous est posée à propos de l'hôte sur lequel nous voulons nous connecter. La première fois que nous allons accéder au serveur ssh, le client local ne va pas trouver son identifiant dans le fichier SHOME/.ssh/known_hosts et demande si nous voulons tout de même continuer. Cette tech nique évite de se connecter sur un serveur malveillant ayant spoofé son adresse sur celle du serveur désiré, autrement dit, ayant court-circuité le chemin vers le serveur réel, nous amenant ainsi à nous connecter chez lui. Du point de vue du sniffing, la chose se montre très simple : chaque caractère tapé au clavier est crypté par un algorithme 3DES, puis envoyé au serveur qui le décrypte à la volée. On remarquera sur les photos d'écran les tentatives peu fructueuses de lecture d'un password... Finalement, telle la myrtille sur le gâteau, notons que ssh exporte automatiquement la variable DISPLAY de la machine serveur sur la machine client, lorsque l'utilisateur se connecte dessus. Cela signifie qu'à tout moment, s'il désire lancer une application gra phique depuis son shell distant, le logiciel s'exécutera sur son X local, sans avoir à spécifier quoi que ce soit. Il va de soi que les trames entre les deux serveurs X sont elles aussi cryptées. Il demeure fortement conseillé, malgré cette brève description des possibilités de ce fabuleux shell, d'ingurgiter l'intégralité des FAQs, manpages et HOW TOs disponibles dans l'archive, sous peine de ne plus pouvoir se connecter du tout sur son propre ser veur ! Emile HEITOR <[email protected]> S C S I. ID E pour A té o B u s........................... Bientôt multi-parallèlB/série pour A té o B u s......... Dispo. Carte Ethernet pour A té o B u s...... Carte Audio 16bits pour AtéoBus Scandoubleur. Kit d’adaptation : AtéoBus -> Tours Micronik •ichement module S C S I dans Towers stateur universel pour les LEO .:............... Adaptateur de périphériques 3.5* vers 5"1/4 Lecteurs DD int. A50O, A6/1200. A 2/4000......... 250, 230, 210 DD externe tout A m ig a........................................... . 450 HD interné pour CatWeaSél (S O N Y )..........................175 Apollo 630 / 68030 à 50 Mhz Pour Amiga 1200 Apollo 1240 / 40 à 25MHz ou 40MHz 1390/1990 Apollo 1260 / 60 à 50MHz ou 66MHz 2990 / 3590 Module S C S I II pour Apollo .............................. . ;.........590 Blizzard 603e à 160MHz + 68040 à 25MHz 2590 3790 Blizzard 603e à 240MHz + 68040 à 25MHz Blizzard 603e à 160MHz + 68060 à 50M Hz....... 4890 Blizzard 603e à 240MHz + 68060 à 50MHz .. coon Blizzard 603e+ à 240MHz + 68060 à 50MHz Pour Amis ï________ Apollo 2030 / 68030 50 I Apollo 2040 / 68040 à 40 ! Apollo 2060 / 68060 à Périphériques IDEATAPl Pour. 2 Go Ultra-DMA.......... ApoHo 404° / 6 8 0 4 Q J4 0 Mhz + SC interne + prise casqu 590 1 Apollo 4060 / 68060%' 50 MHz + S ( .3 8 9 0 le pour disque dur IDE 150 Apollo 4060 / 88060 à 66 MHz * 4490 Périphériques SCSI 5190 Cyberstom 604e/180MHz ast S C S I3 2.4 Go. Seagati 2390 ... 6890 /180MHz 2x interne (Sony), silencie [ 119° Cyberstom 604e/233C 6490 r lecteur Z7ID IP .....................................100 Æ 8290 Cyberstom 604e/< C S I + Séne sur port P C M C IA ) .... 690 E + L ) RICO H CD-RW 6 2 0 0 S 3390 P é rip h é riq u e s Surf Squii Graveur 2: Soft pour Scanner A4, Boîtiers ext. «jr^Make CD V 3 .T ..........................395 )0x600. 24 bits / Soft 1490 / 200 teur (1/2 baies) N.C. R a l l o n g e 3 . 5 MM a l e v e r s 2 x 3 . 5 " ...... »... 8 9 Cable 2.5'' vers 3.5" (approx. 30 c m )............................ 69 Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5“ (approx. 30 c m ) 89 Doubleurs d’alim entations....................... 25 Nappe IDE 2 / 3 connecteurs ....... 30 / 50 Nappe S C S I 2 / 4 / 8 connecteurs 5 0 / 1 3 0 /1 8 0 Cable S C S I avec centronic50 p t s ............................... 120 le 50pts vers SUB-D 2 5 p ts 150 Tern^ipaisaultessive S C S I centronic 5 0 p ts 99 A d a A teu«gEtt|>r DIN 5 vers Mini-DIN 6 .................. 40 A d a f f l S B E ! S l 3 t o 6 L M « r s SUB-D 25pts F 39 ivoy & Termite) Carte Buodha (de HDE pour A2/3/4000)... CatW easel MK2 (contrôleur de d7 HD) CatW easel Zll/lll (Buddha+CatWeasel) Digltaliseur Audio 8 bits (fantastique Souris 600 DPI 3 boutons WI2 Mémoires ED O 60ns, 4, 8, 11 Mémoires Fast Page Me Modem Spor Jeu x NEf Système Système 3.1 c o m ^ M lÇ n S IlH ffil Montage A1200 ■ Logiciels et ieux d'occa; gx Connecter un lecteur SparQ sur le port parallèle sous Linux Dernier lecteur en date de chez Syquest, le SparQ de 1.0 Co s'impose comme le digne successeur du Syjet. Possédant une plus grande capacité de stockage que les populaires disquettes Zip de Iomega, le SparQ a néanmoins le défaut de ne pas posséder de connexion SCSI, que ce soit en interne ou en externe via le port parallèle. Ce mois-ci, Dream vous propose de connecter le SparQ 1.0 Co par l'intermédiaire du port parallèle IDE sur votre machine Linux. e plus en plus, on se trouve amené à utiliser de nouveaux périphé riques sur Linux qui nécessitent, soit l'usage du SCSI, soit des drivers spéci fiques ou encore du port parallèle. Le SCSI, pour l'instant, fait l'unanim ité D grâce à sa sim p lic ité d 'u tilis a tio n . La connexion du matériel et une seule com mande permettent la détection du hard ware ; il n'y a rien de plus simple. Les dri vers nécessitent au pire un reboot de la m achine, mais la difficulté se situe plus dans l'idée de posséder les drivers adé quats. Quant au port parallèle, il impose dans notre cas une reco m p ilatio n du noyau, un patch et quelques lignes de com m ande. On com prendra aisém ent, aussi bien pour les linuxiens que pour les débutants, leur préférence pour le SCSI. Linux et le port parallèle De nos jours, il est possible de brancher par le truchement du port parallèle aussi bien son Zip de 100 Mo que son SparQ d'1 G o, mais aussi le D itto (7 C o ) de Iomega ainsi qu'une QuickCam pour la visio-conférence. Bien sûr, ces branche ments ne s'effectuent pas juste pour le plaisir, mais par contraintes techniques. Par exem ple, pour le SparQ de Syquest, il n'existe que trois configurations possibles : - en interne EIDE (PC). - en externe par le port parallèle (PC). - en externe par le port USB (PC et iMac). Et grâce au développeur du noyau Linux, il est concevable de pouvoir brancher quasi ment toutes sortes de périphériques via le port parallèle par le biais de quelques démarches parfois longues. De plus, il faut préciser que les développeurs n'ont pas eu recours aux spécifications techniques des différents constructeurs, ce qui devrait logi quem ent n'exclure aucun périphérique que l'on désirerait connecter à sa machine. D eux sup ports p rin cip au x donnent le moyen d'utiliser ces périphériques. Le supp ort Paride Beaucoup de périphériques externes se connectent par l'interm édiaire du port parallèle. Pour la plupart d'entre eux, ils sont IDE et usent l'adaptation IDE du port parallèle, contrôlé grâce au support Paride. Une fois le sup port co nstruit avec le noyau ou bien chargé en tant que module (paride.o), on lui associe le protocole souhaité. Le protocole EPAT Vous l'aurez compris, il s'agit ni plus ni moins du protocole destiné au p o rt p a ra llè le ID E. S h uttle T e ch n o lo g y l'a in ve n té et des grandes firmes telles que HewlettPackard, Syquest, Imation et Avatar l'ont utilisé. P ratique ! Pour notre test, nous avons effectué les démarches sur une machine Linux ayant pour distribution la RedHat 5.1 (avec le noyau 2.1.106) et bien sûr un port paral lèle. Malgré la sortie récente de la RedHat, son noyau ne peut nous être utile pour ce genre d'opérations. En effet, la RedHat 5.1 a pour version du noyau la 2.0.34 ; afin de tenir compte des protocoles du port paral lèle, il faut au moins upgrader son noyau à Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM L'équivalent de 10 disquettes Zip sur une cartouche ! la version 2 .0.35. Pour upgrader le noyau, rien de plus simple : il convient de déposer les sources de la nouvelle version du noyau ou les patchs s'y rapportant dans le réper toire /usr/src/. L'u tilisateu r doit ensuite recompiler le noyau, de façon à ce que le bon protocole, EPAT, se trouve pris en charge pour le traitement du port parallèle IDE. Une fois le noyau upgradé, il suffit d'utiliser le patch de G rant R. G uenther (fourni sur le C D ) afin d 'active r le port parallèle. Pour cela, il s'avère nécessaire de copier le patch Paride-2.0 .3 4 .patch dans le répertoire /usr/src. Puis vous effectuez : p atch -pO < P a rid e - 2 .0 .3 5 .p atch afin d'ajouter le patch au système. Vous pouvez aussi lancer le patch en tant que module chargeable. Les périphériques associés au port parallèle IDE sont pda, pda2, pda3, etc, contraire ment à sda, sda2, etc, pour le SCSI. Effectuez enfin quelques vérifications - qui vous permettent de voir si le module de Grant G uenther est chargé ou non - au moyen de Ismod, commande utile dans le cas où le module Ip se trouve chargé et uti lise donc le port parallèle. p a r id e : e p a t r e g is t e r e d a s p ro to col 0 %>in sm o d pd p d a : e p a t 0 .9 4 , S h u t t le EPA T c h ip c 6 a t 0 x 3 7 8 , u s i n g mode 0 ( 4 - b i t ) p d a : S y Q u e s t S p a rQ , [957M ] , 1960560 b lo c k s ( 1 9 4 5 / 1 6 / 6 3 ) , re m o v a b le m e d ia pda : p d a l Il ne vous reste plus qu'à mounter le device pda dans le rép erto ire désiré. Ah oui ! N'oubliez pas d'insérer la disquette, sinon vous aurez droit à : %>mount / d e v / p d a / S p a rQ p d a : b l o c k do n e : s t a t u s = 0 x 2 5 1 = # D ream prof • Le Zip de Iomega Un lecteur Zip connectéen SCSI est détectésans aucun problème. Mais son homologue parallèle fonctionne égalementparfaitement. De la même manière que pour le SparQ Paride vous permettra d'adapter le SCSI via leport parallèle ; la différence viendra du module utilisé à savoir ppa.o. , /d e v/p d a : e r r e u r d 'e n t r é e / s o r t ie Et avec disquette, ça donne ment : E R R S E E K READY TK 0N F %>mount / d e v / p d a pda : d o _p d _re a d p d a : S y Q u e s t S p a rQ , : s t a t u s = 0x251 = E R R S E E K READY TK 0N F [957M ] , m e d ia E R R S E E K READY TK 0N F pda : p d a l plus claire /S p a rQ (1 9 4 5 / 1 6 / 6 3 ), p d a : b lo c k done : s t a t u s = 0x251 = pda : d o _p d _re a d ’ 19 60 56 0 b lo c k s re m o v a b le : s t a t u s = 0x251 = E R R S E E K READY TK 0N F Dominique CLAIN <[email protected]> e n d _ r e q u e s t : I/ O e r r o r s d e v 2d :0 0 , se c- to r 2. %>lsm o d Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM M o dule Pages pd 3 epat 3 p a r id e 1 e p a t] [p d 1 Premier essai : %>more p d a pda : O p é r a t io n no n s u p p o r té e p a r c e p é r i p h é r iq u e Le m o d ule P arid e n'a pas encore été chargé et le device pda ne se voit pas recon nu. Têtus comme vous êtes, vous essayerez quand même de mounter le device non reconnu. >mount / d e v / p d a /S p a rQ 1.0 GB p ou r votre backup, votre second disque dur. Le S p a r Q en q u e lq u e s o c t e t s m ount : t h e k e r n e l d o e s n o t r e c o g n iz e / d e v / p d a a s a b l o c k d e v ic e Le SparQ symbolise 'la solution personnelle' selon Syquest. Techniquement, il est plus ou (m aybe ' in sm o d d r i v e r ' moins sem blable à ses concurrents et ne révèle pas de grandes différences en ce qui concerne les performances, avec un temps d'accès de 12 ms, un taux de transfert variant de 3 .7 à 6.9 MB/s en EIDE, un taux de 0.7 MB/s via le port USB, et 0.9 Mb/s p a r le port parallèle. Il possède cependant trois configurations possibles (port parallèle, EIDE interne et USB) qui lui donnent la possibilité de fonctionner sur quasiment tout type de machine. Quasiment au même p rix que le lecteur Zip plus d'Iom éga, c'est-à-dire environ 1500 francs (seule la cartouche SparQ se trouve à un prix deux fois plus élevé), le SparQ a donc l'avan tage, grâce à sa capacité de stockage (d ix fois plus, ce qui ne se m ontre pas négligeable). Vu qu'il s'avère maintenant possible de connecter via le port parallèle un périphérique de ce type, il ne reste plus au SparQ de Syquest qu'à obtenir la popularité acquise p a r le Zip d'Iom éga, afin de passer de solution personnelle à solution «grand public», quel que soit le système d'exploitation utilisé. ?) Quoi de plus explicite ? Craignant de pas ser pour un bleu au sein de votre commu nauté Linux, vous essayez : %>in sm o d p a r i d e p a r id e : v e r s i o n 0 .9 4 i n s t a l l e d Ô rage ! Ô des espoirs ! Le module est reconnu et installé ! Il ne vous reste plus qu'à activer le bon protoco le, d'où : %>in sm o d e p a t r” 1 tz 11 p i a L que • A KDE m Les périphériques sous KDE Pour terminer notre exploration de KDE, nous allons voir comment gérer ses périphériques de la même façon que sous Windows, c'est-à-dire à l'aide d'icônes sur le bureau. £ ichier Edition O £> O |/c drom/L inux/E dltors P P BeOs C£ Dlstrib P Signets jâffichage Gfe Gâche Options (rem placez éventu elle m e n t /d e v /h d d p ar le périphérique qui c o rre s p o n d à vo tre le cte u r de C D - R o m ). Pour Aide (S ? y* 3 Y1QJ/ ca xe m a cs-2 0 4 / P . , Ja v a ^ Linux P I Divers ^ Editors P Games P Q& GnomeO 26 P ^ P Ç | Magazine ^ C l Software P e ivis-Z iil a r M « mswordview0 D.ZB.tar gz Libs C i Pl3Web e* S e* .man-202 tar qz p lu s d 'in fo r m a tions sur ce fichier et le m o u n tag e, n ou s vo u s in v i tons à co n su lte r les m an fstab et man mount. Cela n m o sd w -4 1 tar g : 0 wpldpr for g j 1 "mounté" et une qui correspondra au cas "non mounté". Vous avez terminé : à pré sent, fermez donc la boîte de dialogue en cliquant sur "OK". Dans le cas où le même périphérique est déclaré dans fstab de plu sieurs manières différentes (par exemple, si vous travaillez à la fois avec des dis quettes MS-DOS et Extended 2), il s'avére ra nécessaire de préciser le systèm e de fichiers à utiliser et le point de mountage : dans l'exemple cité, on pourrait créer un device pour /dev/fdO avec le système de fichiers ext2 et mounté sous /floppy, et un autre /dev/fdO avec le système de fichiers vfat et mounté sous /dos/a. U tilisa tio n Une fois l'icône créée et configurée, son utilisation est identique à ce qui se passe sous W in d o w s. L o rs q u 'o n c liq u e sur "Lecteur de CD ", KDE mounte autom ati q u e m e n t le C D -R o m et a ffic h e une fenêtre avec son contenu. Une fois que l'on a fini d 'u tiliser le CD -Rom , un clic droit sur son icône permet de le démounter. Jakub Zimmerman é ta n t fa it , nous p o u v o n s e n fin Parcourez le CD de Dream avec KDE ! passer à KDE. csa C réatio n et p aram étrag e d'un device e but avoué de KDE consiste à rendre Général | Permissions l'utilisation de Linux semblable à celle KDE représente chaque périphérique par de Windows ou de MacOS, y compris une icône, exactem ent comm e Windows. Périphérique (/dev/fdO) en ce qui concerne l'utilisation des dis Cependant, à la différence de celui-ci, il |/dev/hdd -i permet de placer cette icône où l'utilisateur quettes ou des CD-Rom . Sous Windows, Point d'attache (/Hoppy) c'est très sim ple : on cliq ue sur l'icône le désire : sur le bureau, bien sûr, mais I rep résen tan t le lecteu r et il n 'y a rien vous pouvez aussi par exemple vous créer Système de fichiers (Iso9660. msdos, vfat, default) d'autre à faire ! Mais le principe du "mounun répertoire "périphériques"... Choisissez tage" des périphériques propre à U nix, donc un em placem ent pour l'icône, puis bien que d'une extrême élégance, se révèle sélectionnez Fichier/N ouveau/D evice (si Icône “attaché" icône “détaché” vous voulez la placer sur le bureau, un clic peu adapté à l'utilisation de ces médias am ovibles ; en outre, avoir toujours un d roit dans la root-w indow vous perm et shell sous la m ain p o u r ta p e r m o u n t d'accéder à cette option). Donnez un nom /cdrom et umount /cdrom ne se montre au périphérique (par exemple : "Lecteur de guère pratique. Heureusement, les icônes CD") et la nouvelle icône apparaît aussitôt. "device" sont là pour nous faciliter la tâche. Il c o n v ie n t à Configuration d'un device. Simple, non ? Nous allons exam iner l'exem ple du CDprésent de l'as Rom, sachant que le même m écanism e socier effective s'applique indifféremment à tous les autres m en t au CD médias (disques durs, disquettes, Zip, etc.). Rom : pour cela, D éclaratio n du p érip h ériq u e c liq u e z dessus Afin de pouvoir m anip uler un CD-Rom avec le bouton sous KDE, il faut bien sûr avant tout qu'il droit et ouvrez soit correctem ent déclaré dans le fichier " p r o p r ié t é s " . /etc/fstab et avoir le droit d'y accéder. Pour Sous l'o n g le t le vérifier, tapez (en tant que simple utilisa "périphérique", teur) mount /cdrom, en supposant que vos saisissez le péCD se "mountent" sous /cdrom (par défaut riphérique dans toutes les distributions). Si vous obte concerné (dans nez un message d'erreur et que le CD n'est notre exem ple, pas "mounté", il faut alors éditer le fichier /dev/hdd), puis /e tc /fs ta b c h o isisse z une et y ajouter la ligne : ic ô n e qui re j » m m / d e v / h d d /cd ro m is o 9 6 6 0 u s e r ,n o a u p ré se n te ra le Un bureau avec de nom breu x devices. t o , n o s u i d ,r o 0 2 p é r ip h é r iq u e L Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Village Multimedia* Cité Internet »»"•» ••■ ; Conférences -Débats Spectacles - Expositions» Stages » m— » ■1 ■ Concours <s= = 21-25 octobre parc des expositions Toulouse m Ü Système Fra n cise r Risc Os Risc Os se trouve actuellement livré avec un système en langue anglaise, ce qui n'est pas pratique pour une machine dont les cibles sont le grand public et le marché de l'éducation. Cependant, il se révèle bien conçu, puisque la francisation du système peut se voir réalisée sans connaissances en programmation. vier international Acorn et à ses astuces pour taper les accents, n'ont plus aucune envie d'en changer (cet article est tapé sur une machine Acorn avec clavier Qwerty). En conclusion, nous allons indiquer au systè me que la langue parlée est le français (ça Normalement, il faut, pour passer au français, disposer du module correspondant et fixer la peut servir pour les applications) via la com machine sur le pays France avec la comman mande ‘ Configure Country France mais nous de ‘ Configure Territory France. Le module laisserons le paramètre Territory sur UK. Cette doit être situé à la racine du disque dur, ainsi astuce n'a, à ce jour, présenté que des avan que tous les autres éléments liés au pays tages par rapport à la solution conventionnel le. (encodage des caractères, représentation des nombres et dates, clavier...). Prem ières constatations Ce système se m ontre efficace, quoique Nous allons tout d'abord lister le contenu de d'une mise en oeuvre un peu com plexe. l'unité 'Resources'. Pour ce faire, il suffit de sélectionner le menu de l'unité Apps qui ne Heureusement pour nous, il y a une solution plus simple : la Grande-Bretagne et la France comporte qu'une option, Open '$', que nous représentent deux pays de culture presque nous ferons un plaisir de traduire un peu plus tard. identique, si bien que la représentation des dates, le sens de l'écriture et divers éléments L'unité 'Resources' est maintenant ouverte. sont les mêmes que pour les autres pays de Elle contient au moins trois dossiers : Apps culture latine. qui se compose des liens vers les applications La traduction du système se résume donc à les plus utilisées, Fonts regroupant les fontes une traduction mot à mot des termes. Pour contenues dans la Rom et Resources, heu... le clavier français, il existe un module, libre les ressources ! ment disponible, qui effectue l'adaptation, Le dossier Resources contient donc toutes mais, en général, ceux qui ont goûté au cla c e lle s u tilis é e s p ar le systè m e et les m o d ules qui o n t pu être c h a rg é s . Par m App> Font» Resources H "resso urces", Rcsources-$.Resources il fa u t c o m &ADFS ADFSFilcr Pi Alarm es ARM £3BASIC Pi BuotCmds _ prendre, te x Pl BoolNct Pi BufTcrs ÉüCDFS eiCDFSDnvcr £3CDFSFiler £3Chars fâCL.b £jCo*ourDbux PlColourMcnu PlCokmrs £3DCS PlPrbuRger tes, icônes et Desktop Pi DcuceFS PlDispUv £3DMA £3DOSFS £3l)ratt d e s c r i p t ifs p DrawFile £)Dra»Mud ftEoonci £5 FileInfo Pi FileCtw esfcta G Filer pFilcSwuch PlFtherMgr Pi FonlDtvx Pi FontMenu pi FQrrAct des fe n ê tres. ftFont» Pi FFfamibtor OFiw Pi Frccway P^FSLock H o rm is les fâHdp Pi konBar es ne Pi frucmalto Pi Intcrnei Pi Jt'Wlik Pi Kernel pjMjkcPSFcni Pi Menu Pi Mouse Pi MsgTrans £3Net Templates qui £} Ne«Filer QNrtFS ec*v> ÔNciPnni £gPami £3Parallel £|PDnvcrs PltVlCUSMOII QPicker Pi Pinhourd d é c riv e n t les £5 PipeFS £3 Podulo Pi PnntDbox Pi Prirncrs QProglnlo Pi PS2Driver £3Qui' £ 3RAMFS fe n ê tre s , les £jRAMFSFiler Pi RcanotePrm PlRcsFiler £gResourveFS £3RISC_OSL«b £3 RTCAdjusi eSScafc Pi SaveAs es SciBUnkcr PlScicenModc £3Senal Pi Sc«Mouse fic h ie rs s é ejShflirFS ftShelICLl Pi SoundChann Pi SoundDMA £^SoundSched PlSprEœnd journent dans p-Siringl.ib PlSwiichcr ftSpnicl'til Ê Squat* QSywmDevs £jTaskWindo» ejTcrrMgr QTinySuik pToolbox Pi VVaveSynih £3"mip des fo rm a ts £)Wmdo* “ d ire c te m e n t utilisables par Hm a n HunJDivcJ ii Apps !Edit ou /Paint. Vue des ressources du système. Le p ro b lè m e ous allo ns donc nous livre r à quelques essais, pour vous montrer comment traduire facilement Risc Os en français. Principes N de l'unité Resources vient de ce qu'il est im possible d'y écrire la m oindre chose. Heureusement, de nombreux utilitaires tels que /ResRom p erm ettent de m ettre son contenu à jour. ResRom crée à partir de fichier un module qui modifie le contenu de 'Resources' et dem ande aux modules mis à jour de se relancer. Prenons comme premier exemple le dos sier Arm. Il comprend un fichier Messages que l'on peut facilement traduire. Une partie du contenu d'origine... M00 C ache on M OI C ache off M02 C ache on M03 C ache off M04 C ache on Io f f Qui devient... M00 : C ache a c t iv é M OI : C ach e d é s a c t iv é M02 : C ache a c t iv é M03 : C ach e d é s a c t iv é M04 : C ache o n |o ff Le reste du texte renferme les messages d'aide et d'erreur sous forme codée. Il est possible de les décoder pour les traduire, grâce à un utilitaire comme /MsgPress. En principe, cela n'aura d'intérêt que pour les messages d'erreurs, l'aide en ligne s'avé rant partiellement disponible en français, sous une autre forme. On peut faire glisser le dossier Arm vers ResRom, en faisant attention que le dossier par défaut soit Resources et non pas Apps. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM ResRom crée un module que l’on peut exé c u te r. O n c o n sta te que la co m m and e ‘ Cache ne renvoie plus 'Cache on' mais 'Cache activé'. Allons plus loin Le premier exemple se voulait simple, mais il se révèle peu intéressant. L'utilité de traduire les messages de la ligne de commande se montre peu évidente, sachant que celle-ci s'adresse avant tout aux spécialistes. De plus, il est sans doute préférable que le Cli reste identique, pour n'importe quel pays. L'intérêt de la traduction résulte de la trans formation du Wimp. Nous allons donc nous attaq u er à un autre m odule. Le dossier ResFiler possède les ressources du gestionnai re de fichiers (le filer) de l'unité Resources. Une partie du contenu d'origine... T00 : R e so u rc e s MO2 : Open ' $ ' B a n n e r : R e so u rc e F i l e r Qui devient... T00 : R e so u rc e s M02 : O u v r i r '$ ' B a n n e r : G e s t io n R e s o u r c e s F S Le fichier Messages du dossier Arm. M il Le module Arm traduit en français. : N o i r e t B la n c Les deux premières lignes constituent le des criptif du menu. Banner est le nom de la Ml2 : 4 g r is tâche dans le système. Après un passage dans ResRom et l'exécution du module, on M l 4 : 16 c o u le u r s peut apprécier la différence... Une partie du Wimp parle français ! Attaquons-nous au dossier Display regrou pant les ressources de l'utilitaire de sélection des modes d'écrans. Celui-ci comporte deux fichiers, le fichier Messages et un fichier Templates. Une partie du contenu d'origine... M l 6 : 25 6 c o u le u r s M l 3 : 16 g r i s M l 5 : 25 6 g r i s M l 7 : 32 m i l l e M l 8 : 16 m i l l i o n s T02 : R é s o lu t io n T03 : F ré q u e n ce drer directement un nouveau dossier qui com plétera l'ancien. Une fois votre module finalisé, il faudra veiller à le charger avant le Wimp, en le déposant dans le dossier IBoot.Choices.Boot.Predesk. Il convient de charger ce module le plus tôt pos sible : certains modules initialisés avant vos modifications peuvent refuser de mettre leurs ressources à jour. Dans ce cas, il faudra voir au coup par coup, mais cet exemple de figure reste plutôt rare. Vous remarquerez que les icônes du système apparaissent dans le dossier Resources.Wimp. N'ayez pas recours à ResRom pour les modifier, mais préférez les commandes *lconSprites <Nom du fichier> et *ToolSprites <Nom du fichier>. La modification directe de ce fichier ne donnerait pas les résultats attendus. Nous rappelons que tout ce qui touche la fran cisation du système et des manuels fait partie d'un projet de groupe de l'association Armada. Pour suivre les avancées de ces travaux ou y participer, vous pouvez écrire à [email protected]. Bonne chance ! David Feugey Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM T it le : D i s p l a y M an ag e r V e r s io n : 0 .3 3 (ll- J a n - 9 5 ) Unknown : Unknown T00 : D is p la y M O I: I n f o MO2 : Mode TO I C o lo u r s M il B la c k / w h it e Ml2 4 g re y s M 13 : 16 g r e y s Ml4 16 c o l o u r s Ml 5 256 g r e y s Ml 6 256 c o l o u r s Ml7 :3 2 th o u s a n d Ml 8 16 m i l l i o n T02 : R e s o lu t io n T03 : F ra m e r a t e Qui devient... T it le : G e s t io n d ' é c r a n V e r s io n : 0 .3 3 (1 1 J a n 9 5 ) Unknown : In c o n n u T00 : A f f ic h a g e MOI : I n f o r m a t io n MO2 : Mode T O I : C o u le u r s Le fichier Templates pourra être modifié via ITemplEd. On a le moyen de tout faire dans ce fichier à partir du m oment où l'on ne modifie pas les intitulés de cham p. Après e x é c u tio n du m o dule o b te n u g râce à ResRom , on d isp o se d'un sé le c te u r de modes en grande partie francisé. Conclusion En trois exemples, le système entier s'est déjà transformé. La traduction complète des parties visibles du Wimp ne prend qu'un week-end, car seuls quelques fichiers sont à traduire : la plupart des autres concernent la ligne de com mande. Vous pouvez ■B é g alem en t u tiliser □ m.«W cette méthode pour 11 i créer votre propre jeu mm de messages. i Q u e lq u e s co n seils to u tefo is. Lorsque vous m odifiez plu sieurs dossiers dans les ressources, vous pouvez les regrou per dans un même d o ssier Reso urces que vous passerez à trave rs ResRom en ô ta n t le nom qui apparaît dans l'op tion Directory. Vous L'édition des Templates. pouvez ainsi engen- mm E DU q u e • H s Traitement par lot et opérations non interactives avec ImageMagick Certains logiciels permettent de réaliser de la retouche d'images, simplement et efficacement. Mais lorsqu'il devient nécessaire de retoucher un grand nombre d'images, des solutions plus adaptées s'imposent. couleur de fond sur la plus grande largeur à chaque fois. Autrem ent dit, on enlève le cadre blanc, qui n'offre aucun intérêt. En outre, convert est un programme pourvu de bon sens puisque, sauvant par défaut dans le même format que celui de l'image source, il opte autom atiquem ent pour la méthode de compression la plus appropriée. Ainsi, avec une im age fournie en noir et blanc et compressée en LZW, le résultat a été quant à lui compressé en CCITT Group IV, ce qui se révèle assurément plus écono mique. Bien entendu, le mieux étant l'ennemi du bien, comme la gestion de cet algorithme de compression ne se montre pas très répan due dans les programmes manipulant le for mat TIFF, son emploi peut desservir l'utilisa teur. MAIS il existe une parade qui se limite malheureusement à interdire purement et simplement toute compression avec l'option +compress, qu'il suffirait de placer avant l'op tion -crop. Incidemment, et comme si cela ne suffisait pas, convert règle un problème apparaissant avec certains autres logiciels. Il s'agit de ceux qui ont la mauvaise idée de coder le para mètre ’RowsPerStrip' des images sauvées au format TIFF avec la valeur 'Infinité'. Or, si cela est autorisé, il existe au moins un program me du commerce, spécialisé dans la consul tation d'archives au format TIFF, qui n'aime pas du tout cette valeur, et qui figure bien évidem m ent parmi les plus fréquemment utilisés. La bonne nouvelle vient de ce que convert rectifie automatiquement le tir en donnant à ce paramètre la valeur souhaitée. M ogrify Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM CROP Elim ination du contour grâce à convert. es interfaces graphiques bien pensées sont en effet idéales pour réaliser le traitement d'une seule image, ou éven tuellement d'un petit nombre. En revanche, il s'avère fastidieux d'effectuer par ce moyen des opérations répétitives sur un grand nombre de fichiers. Les méthodes explicitées ici sont issues d'un cas concret, en l'occurrence l'archivage d'un grand nombre d'images en provenance d'un scanner, pour lesquelles il convenait de sup primer les marges inutiles. La première solu tion, rapidement abandonnée, fut d'ouvrir et de modifier les images une à une. La secon de envisagée consista en l'utilisation des scripts Photoshop, mais d'une part, ceux-ci se montrent délicats à réaliser, et d'autre part, aussi intéressant soit-il, Photoshop n'incarne pas le produit le plus économ ique pour résoudre ce genre de problème. Enfin, et surtout, même si la version 5 sait désormais lire les fichiers TIFF compressés dans le mode L CCITT Group IV, il ne permet en aucun cas d'enregistrer dans ce mode, ce qui le rend inutilisable dans le cas présent. La so lu tio n à ce p rob lèm e réside dans ImageMagick et ses différents utilitaires. En survolant quelque peu le manuel de la com mande convert, il s'avère que ce programme a effectivement quelque chose de 'Magick'. Voici un premier script rapidement écrit : # ! / b in / b a s h fo r f ie in * .t if do e c h o - n C ro p p in g $ f i c ... / u s r / X H R 6 / b in / c o n v e r t - c ro p 0x0 $ f i c c r o p p e d _ $ f ic e c h o OK don e Au cœur de celui-ci se trouve la fameuse com m ande convert, avec pour principal paramètre, l'action à effectuer ; ici, la sup pression des bordures ne contient que la Les traitements de groupes de fichiers peu vent se voir réalisés à l'aide de la commande mogrify, comme dans l'exemple suivant : m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ { l , 2 } . t i f f La différence majeure avec convert résulte dans le rem p lace m en t du contenu des fichiers d'origine par le résultat du traitement dont ils font l'objet. Le principal avantage avec cette commande réside dans l'inutilité de scripts comme celui présenté plus haut, ce qui implique une prise en main plus simple et plus rapide pour tous ceux qui ne souhaitent pas se plonger dans les méandres des shells. Toutefois il subsiste quand même certaines petites (ou grandes) prérogatives des scripts, surtout avec des program m es aussi peu loquaces (ou au contraire trop verbeux). L'une d'entre elles consiste à pouvoir afficher la progression de la tâche demandée, tout particulièrement si elle est longue. Il s'avère toujours rassurant de savoir qu'un blocage n'a pas eu lieu lorsque l'on se voit informé, GIMP vs. Photoshop Loin de les m ettre en o p p o sitio n com m e p o u rra it le la isser croire le titre de cet encadré, une différen ce de taille mérite d'être soulignée, car elle p ou rra it inciter certains utilisateurs de P h o tosh o p à se to u rn e r vers son o u tsid e r. Elle con cern e la lim itation arbitraire qu'im pose ce program m e, avec des images d ont les dimensions ne peuvent excéder très exactem ent 30 000 pixels de côté. Et cela reste vrai dans la version 5 qui vient de sortir. Un tel ch iffre p eu t p a ra ître dém esurém ent g ra n d et hors de portée mais quand vous êtes amenés à utiliser des scanners à tam bo ur form a t AO avec une finesse p o u v a n t a tte in d re les 1200 dpi, vous mesurez rapidem ent que les limites évoquées ne tiennent plus du tout du fantasm e. GIM P, et vous p ou vez faire le test, accepte p a rfa item en t de créer des im ages supérieures à 65000 pixels. Ce qui n'a rien de délirant, puisque des form ats comme le TIFF acceptent, depuis la nuit des temps, de telles valeurs. fichier après fichier, que le traitement continue. Le premier exemple évoqué plus haut avec mogrify est intéressant, car il va nous permettre de bien comprendre la différence de compor tement qu'offre ce programme par rapport à convert. Une commande comme c o n v e r t - c r o p 0 x 0 im a g e _ { 1 , 2 } . t i f f Pour conclure, le rôle de convert ne se cantonne pas aux nettoyages d'images ou aux découpages ; il inclut aussi la création d'animations, au format GIF par exemple, ou la réalisation de planches contact, en utilisant plusieurs images comme sources. Il est aussi capable d'extrai re une image isolée ou une séquence au sein d'une animation. Le principal reproche que l'on pourrait faire à ces outils (convert ou mogrify), outre qu'ils ne préparent toujours pas le café, provient de leur mutisme, que bien des espions soumis à la torture leurs envie raient. S'il existe des programmes qui vous racontent leur vie pour un oui ou pour un non, le moins qu'on puisse dire pour convert et mogrify, c'est qu'ils ne permettent pas de comprendre leur fonctionnement ni la syntaxe qu'ils attendent par une suite d'essais et d'échecs. La réalité s'avère un peu plus nuancée, car chacun de ces pro grammes dispose d'une option verbose. Mais, d'une part, elle n'ap porte aucune aide en cas de syntaxe erronée et d'autre part, elle illustre parfaitement le proverbe "le mieux est l'ennemi du bien", car elle affiche les caractéristiques détaillées de chaque document, à l'ima ge de ce que peut afficher la commande tiffinfo lorsqu'il s'agit d'un fichier au format TIFF. De surcroît, l'option verbose provoque l'affichage d'informations, non pas sur la sortie standard mais sur celle des.erreurs, ce qui ne facilite pas le filtrage des messages dans l'optique de se focaliser aux seuls représentatifs de la progression des traitements demandés. Vous pourrez trouver ImageMagick à l'adresse : ftp://ftp.wizards.dupont.eom/pub/lmageMagick/lmageMagick.X.tar. gz (où X correspond à la numérotation de la dernière version dispo nible). est traduite par le shell en Yannick Cadin Yannick@kommando. com Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM c o n v e rt - c ro p 0x0 i m a g e _ l . t i f f im a g e _ 2 .t if f ce qui signifie dans la syntaxe comprise par convert "opère le traitem ent dem andé sur le contenu du fichier im ag e _1 .tiff et enregistre le résultat dans le fichier im age_2.tiff ". À l'opposé, les mêmes paramètres fournis à mogrify dans la com mande m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ { l , 2 } . t i f f sont évidemment traduits de la même manière par le shell en m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ l . t i f f i m a g e _ 2 . t i f f MAIS se trouvent transformés par ce programme en "opère un traite ment sur le contenu du fichier image_1 .tiff et enregistre le résultat dans le fichier image_1 .tiff, PUIS, opère le traitement demandé sur le contenu du fichier image_2.tiff et enregistre le résultat dans ce fichier image_2.tiff ". Ce qui, vous en conviendrez, ne revient pas du tout au même. Pour finir Remarque en passant, à la suite de tentatives avortées, des fichiers temporaires engendrés par convert ou mogrify peuvent polluer votre répertoire /tmp, portant des noms préfixés avec 'magicka', et se ter minant par un numéro qui correspond de toute évidence au PID, auquel était associé le programme en cours d'exécution avant de se voir sauvagement interrompu. En d'autres termes, si ces fichiers se multiplient et que la fréquence de nettoyage de ce dossier ne se révè le pas assez importante, vous risquez rapidement de ne plus avoir de place sur votre filesystem. Conseil : avant de vous lancer avec d'imposants fichiers, faites des tests à l'aide des documents de taille très raisonnable, de façon à ne pas être surpris ensuite par les durées des différents traitements et d'éviter ainsi de vous ronger les ongles devant un ordinateur en appa rence inerte. ALPHA ALPHA NT & LINUX LINUX & NT Carte mère, processeur, MediumTour ATX, 64 Mo sDram-ECC LX2-533 kit 1 Kit n °l LX2-533 Mhz/ 12.990 TTC Kit n°2 UX2-533 Mhz/ 14.990 TTC Kit n°3 UX4-600 Mhz/ 24.990 TTC Kit n°3 UX4-2x 533 Mhz/ 38.990 TTC + 6.4 Go Udma, FD 3"12, M illénium H 4 Mo, 15" 0.25, CD-ROM 32x, Clavier PS2, Souris PS2 16.990 FTTC ALPHA DORS AI LINUX & NT U X 2 -5 3 3 Kit 2 + 4.5 Go SCSI UW, FD M illénium H 8 Mo, 17" IDEK 0.25, CD-ROM 32x SCSI P ionner, Clavier PS2, Souris PS2 25.990 FTTC INTERROGEZ-NOUS, EQUIPEZ-VOUS, UP-GRADEZ-VOUS Pour passer commande Tél. Messagerie 01 46 65 70 20 Fax 01 46 65 13 20 E-MAIL [email protected] % O S / 2 e t le ré s e a u lo c a l 1 : in t r o d u c t io n au ré s e a u W a r p 4 .0 . OS/2 est l'un des premiers systèmes à avoir proposé un client/serveur pour le partage de fichiers sur micro-ordinateurs. Dès 1988, le logiciel Lan Server permettait de transformer une station OS/2 en serveur de fichiers, d'impression ou de port de communication Configuration et installation d'05/2 Warp Sélectez les fonctions à installer : A ❖ s i Etat en cours □ Fondions Poste à Poste Version en cours □ Fondions TCP/IP Version en cours □ LAN Distance Installation impossible □ Fondions client de gestion de systèmes Dernière version o b te n ir une m a ch in e p rivé e de to u te chance de com m uniquer sur le réseau. Il sera plus tard en mesure de relancer la configuration réseau avortée par le biais de l'éxécutable \ib m in st\n p co nfig .exe. O r, cette surcouche réseau se compose elle-même de plusieurs couches. La pre mière se retrouve aussi bien sur le serveur que sur le client. Cette couche se nomme Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM □ Client NetWare Installation impossible □ Mobile File Sync Précédent Suivant Non installée Aide L'installation du réseau poste à poste. u jo u rd 'h u i, d ix ans a p rè s, Lan Server a évolué en Warp Server. Ce logiciel n'est autre qu'un OS/2 Warp 3.0 avec une surcouche Lan Server 5.0. Du côté poste à poste, il a fallu attendre la version 3 d'OS/2 (1 99 4 ) et notam m ent sa d é clin aiso n en Warp C o n n ect pour b é n é ficie r d 'u ne p o ssib ilité de réseau poste à poste comme le faisait à l'époque Windows For Workgroup ou Lantastic. Poste à poste ou c lie n t/ s e rv e u r ? A Dans le monde des réseaux PC, il y a en gros deux écoles : le poste à poste pour les petits rése au x, et le c lie n t/se rv e u r pour des réseaux plus importants ou plus e x ig e a n ts . En p o ste à p o ste , ch a q u e machine se trouve susceptible de fournir des services aux autres et donc de faire un petit peu office de serveur : l'inform a tion est distribuée entre les m achines sur le réseau. Dans le mode client/serveur, seules quelques m achines appelées ser veurs possèdent des ressources e xp lo i tables par toutes les autres m achines : MPTS. La co u ch e M PTS MPTS signifie : M ulti-Protocol Transport Services (S e rv ic e s de T ra n sp o rt M ultiProtocole). Cette couche permet à OS/2 de contrôler les cartes réseaux et les pro tocoles sur la m achine. Elle doit être obli gatoirem ent installée pour toute activité réseau (p as sim p le m en t pour partager des fichiers). l'information se voit centralisée... On peut à loisir panacher les deux types de réseau. Il y a en e ffe t m o ye n de Ressources partagées et Connexions réseau - Param ètres X □□ m ettre en place ces Identité Connexions Partages Droits Utilisateurs Groupes C o nfiguration Icône d eux types d 'a rch i Configuration Configuration - Page 1/2 te c tu re a v e c W arp se lo n q u e l'o n a it Configuration du poste de travail. re c o u rs ou non à Valeurs maximales Warp Server. Utilisateurs admis simultanément I32 Une h isto ire de Ressources pouvant être partagées |64 "couches'' Verrous de fichiers (64 Aujourd'hui encore, Connexions aux ressources le réseau sous 0 5 /2 1128 Fichiers ouverts est une s u rc o u c h e |l6 0 au système d'exploi Délai d’impression DOS (s ) |90 tation. Il s'avère très Taille de l'antémémoire (ko) facile de séparer le 1-1 système de sa partie Déconnexion des sessions inactives |b4 réseau. Ainsi, lors de l'in s t a lla t io n de Warp 4 .0 , l'u t ilis a te u r p e u t in t e r Sauvegarde Par défaut rompre le processus Configuration du poste à poste. d 'in s ta lla tio n p o ur La c o n fig u ra tio n de M TPS se tro u v e accessible dans le dossier de configura tion du système. L'outil donne la possibi lité d 'ajo u ter de n ou velles cartes p h y siques ou logiques, ainsi que des proto c o le s in é d its et de les c o n fig u r e r . L'utilisation avancée de MPTS fera l'objet d'un futur article. La co uche c lie n t ou "requester" Cette couche réside aussi bien sur le ser veur que sur le client. C'est elle qui per met au système de dem ander l'ouverture d'une session u tilisateu r. Lorsque cette couche s'active, l'utilisateur a le moyen d 'e x p lo it e r des re s s o u rc e s d is ta n te s (fich iers, im p rim an tes, ports co m ). On déclenche cette couche clien t en ch e r ch an t à o u v rir une se ssio n . Les o u tils d'ouverture de celle-ci tout com m e les outils de manipulation du réseau sont acces sibles dans le dossier "connexion/réseau" (sur le bureau Warp 4.0). L'ouverture d'une session s'opère soit en lo ca l s o it su r un s e rv e u r . En ce q u i concerne le poste à poste, on effectuera une ouverture de session locale afin de permettre aux autres stations d'identifier l'utilisateu r et d o nc de d é te rm in er ses droits : l'id en tité n'est co ntrô lée qu'au moment où la station "cliente" demande Configuration de la carte réseau et du protocole Sélectez une carte réseau et le protocole correspondant. Cartes r é s e a u -------------------------------, Protocoles IBM NULL MAC Driver NE2000 Compatible NDIS 2.01 No Network Adapter 3270 Adapter for 3174 Peer Communie? ^ NetWare NetBIOS Emulation 0 IBM IEEE 802.2 IBM OS/2 NETBIOS IBM Netware Requester SuppM] - il— "«* i JJ - mu Ajout j jj Modification Autres cartes. Ajout Autres protocoles... Configuration en cours Sélectez OK lorsque vous Pour modifier les paramètres du pilote, sélectez un élément ci-dessous, puis Edition. 1NE2000 Compatible NDIS 2.01 ....... 0 - IBM OS/2 NETBIOS 0 - IBM 1CP/IP L lT “ Edition Retrait d | Annulation a JJi i 0K Aide Modification du numéro... | Configuration de MPTS. le s o u s - d o s s ie r "s e s s io n " du d o s s ie r "réseau". La co uch e d 'a d m in istra tio n g ra p h iq u e du se rve u r Cette couche n'a d'utilité que si l'on dis pose d'un serveur. Elle permet d'adminis trer le serveur à distance en créant des com ptes utilisateurs ou en d éclarant le partag e de certaines resso urces. Nous reviendrons sur cette interface à la faveur des articles sur Warp Server. L'outil d'ad ministration est accessible dans le dossier "Fonctions Réseau". rie directe qui se voit lancée autom ati quem ent lorsque la couche client s'initialise. Elle donne le privilège de dialoguer entre utilisateurs du réseau et permet à l'adm inistrateur d 'avertir les utilisateurs d'événem ents ou d'interruption de servi ce. D 'au tres co uch es ? Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM accès à la ressource de la station "ser veur". En client/serveur, l'authentification a lieu du côté du serveur qui contient une base de tous les utilisateurs et de leurs mots de passe. La co uch e se rve u r La couche serveur est lancée auto m ati quement au démarrage sur Warp Server. A propos de la station cliente devant par tag e r des resso u rce s (en a rc h ite c tu re poste à poste donc), il convient de lancer les fonctions poste à poste pour activer une couche serveur allégée. L'icône de lancement de ces fonctions se situe dans C o n n e xio n s - A rborescen ce Les fonctions poste à poste possèdent un outil spécifique pour déclarer les comptes u tilisateu rs et les resso urces. C et outil prend la form e de l'icône "Ressources p artag ées et c o n n e x io n s réseau x" qui s é jo u rn e d a n s le d o s s ie r " F o n c tio n s Réseau". La co uch e M essen g er La dernière couche est celle de message O □ Il existe d'autres fonctio nnalités réseau sous OS/2, comme l'HPFS 386 ou le mirroring, qui sont propres à Warp Server. Nous les détaillerons dans une série d'ar ticles consacrée à Warp Server. A su ivre Le décor se trouve à présent planté. Dans les articles suivants, nous détaille rons les différentes couches et outils que nous venons de passer en revue. Après quoi, une série d'articles détaillera l'utilisation du serveur 05/2 ; Warp Server. Antoine Sabot-Durand a a A d m in is tra tio n du S e r v e u r d e r é s e a u lo c a l - Ic ô n e s Qbjet Visualisation Objets sélectionnés Aide g f § | Connexions 8 H u a Unités — ; Modèle Domaine Imprimantes Poste de travail local A B S ID E CONCILE Doubles de serveurs b Q lÜ = a r y Fonctions Poste à Poste pour OS/2 Afficheur de ressources Fonctions réseau % Sessions Sites Internet A objects, 0 K bytes total. 1 selected, 0 K bytes. Poste de travail local sur lequel n'est installé aucun serveur Le dossier connexion. Adm inistration de serveur de réseau local. p p r o f o n d i r • Réseau Imprimer sur un LAN/Windows S'il est beaucoup plus naturel de reléguer la tâche du serveur d'impression à une station Unix, moult entreprises et quelques particuliers se voient obligés de passer par un serveur d'impression Windows. Point de salut ? Le plus souvent, il sera déjà en place sur votre système, mais dans le cas contraire, mieux vaut opter pour le package binaire correspondant à votre distribution. Pour information, des version alphas de samba 2.0 se trouvent déjà disponibles et fonc tionnent sans le moindre souci. Il est inutile, dans l'emploi que nous allons faire de samba, de configurer ni même de lancer les démons smbd et nmbd, les divers clients fournis dans l'archive représentant les seuls outils nécessaires. Il demeure impératif toutefois de posséder e couple Linux/samba s'intégre de façon tout à fait naturelle dans un réseau Microsoft. Comme nous avons pu le constater au travers de précédents articles, une machine Linux sur laquelle to u rn en t les dém ons sm b d /nm b d est visible d'un réseau MS au même titre qu'un simple poste 95, la souplesse en plus. La partie client de samba se montre tout aussi attrayante, surtout lorsque l'on doit utiliser un serveur d'impression Windows. En bonne et due forme L'installation de samba se révèle typique. L PrintTool Ipd Tests Help P rin ter Queues in /e tc /p rin tc a p SMB - Canon BJ-lOe on \\luke\CANON un noyau relativement récent, au moins supérieur au 2 .0 .0 , des outils standards d'impression et évidemment, une impri mante connectée sur le poste Windows serveur. Principes de l'impression Avant d'aller plus loin, il faut bien com prendre le fonctionnement du processus d'impression sous Linux. S'il est possible de copier directement un fichier sur l'impri mante (/dev/lpO), il s'avère plus opportun d'avoir recours à un spool d'impression, fonctionnant en tâche de fond et capable de tirer parti des spécificités d'une impri mante. Cette file d'impression fonctionne sur le modèle du client/serveur avec un client, Ipr, place les travaux d'impression dans la file, et le serveur, Ipd, les prend en charge. Normalement, le serveur Ipd est chargé au démarrage du système et lit les informations de configuration situées dans le fichier /etc/printcap qui décrit toutes les imprimantes connues par le système. Lorsque Ipr est invoqué, il insère deux fichiers dans le spool d'impression (généra lem ent /var/spool), l'un contenant une co p ie des d o n nées à im p rim e r, et le second com prenant une description du travail à effectuer. Le serveur Ipd, averti de la présence d'un nouveau travail, va utiliser les informations contenues dans le fichier /etc/printcap pour savoir comment traiter le docum ent. La souplesse de ce fichier permet de définir tous types de travaux d'im pression, d'appliquer des prétraite ments, voire de ne pas imprimer du tout en redirigeant la sortie vers un simple fichier. Il y a donc moyen, et c'est précisément ce que nous allons réaliser, de n'affecter l'im prim ante à aucun port physique, et de manipuler un script shell qui fera office de filtre d'impression. Celui-ci permettra d'in voquer un client samba afin de diriger l'im pression vers l'imprimante connectée sur le poste Windows. "VI" mon ami Dans un premier temps, nous allons définir l'imprimante dans le fichier /etc/printcap exactement comme suit : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Edit j Add M > m Delete ; : Names (namel |name2|...) lP Spool Directory /var/spoo1/1p d /1p File Limit ïn Kto (0 = no limit) Hostname of FYinter Server P ---------------------- (Tüke IPnum berof Server (optiona!) 192.168*0*2 CANON Printer Name rr User Password Input Filter Select ♦auto* - CanoriBJlOe # F i c h i e r / e t c / p r in t c a p lp :\ : s d = / v a r / s p o o l/ I p d / l p : \ Suppress Headers :mx#0 : \ OK : sh : \ Cancel : lp = / d e v / n u ll: \ : a f= / v a r / s p o o l/ Ip d / lp / a c c t C'est laid, mais c'est graphique. :\ A p p r o f o n d i r r-LLLÉJi PhntTool Ipd T e sts Help # F ilt r e P rin te r Queues in /e tc/p rin tce p Samba SMB - Canon BJ-lOe on WlukeNCPNON # d 'im p r e s s io n / v a r / s p o o l/ lp d / lp / fil- te r lo g f i l e = / v a r / lo g / s m b p r i n t . lo g J Edit Detete Windows, serveur d'impression... hérésie ? : if = / v a r / s p o o l/ lp d / lp / f il- s p o o l_ d ir = / v a r / s p o o l / Ip d / l p te r: c o n f i g _ f i l e = $ s p o o l _ d i r / .c o n f i g # f i n du f i c h i e r / e t c / p r i n t c a p e v a l 'c a t $ c o n f ig _ file N La première ligne définit le nom de l'impri mante, ici, Ip, le nom par défaut. Ensuite, viennent les différents paramètres. Les plus importants sont sd (spool directory), qui détermine le répertoire de la file d'impres sion, Ip (line printer), lequel spécifie le port physique sur lequel est connecté l'impri mante - ici, aucun - et if (input filter), per mettant de préciser un filtre d'impression. Tous les autres paramètres sont explicités clairement dans les manpages de printcap. Dans le cas présent, nous avons assigné "Ip" au filtre "filter" que nous allons créer plus bas dans le répertoire /var/spool/lpd/lp/. A partir de ce point, on peut démarrer le démon d'impression Ipd. Lorsque tout se déroulera comme prévu, on pourra faire en sorte que ce démon se lance à chaque dém arrag e en l'a p p e la n t dep uis /etc/rc.d/rc.local ou en plaçant son rac courci dans les répertoires de runlevel. echo "se rv e u r $ s e r v ic e " » $ se rv e r, s e r v ic e $ lo g f ile ( # La lig n e " t r a n s la t e " p e rm e t la c o r r e c t i o n de l ' e f f e t e s c a l i e r . ech o t r a n s l a t e ech o " p r i n t cat ) | / u s r / b in / s m b c lie n t "\\\\$ se r- menu "Print" font appel par défaut à la commande lpr et définissent lp comme l'imprimante standard. Donc, une fois la configuration effectuée comme indiquée, il n'y a plus à se soucier de l'imprimante ; il reste juste à cliquer sur 'print1, en espérant toutefois que le poste Windows serveur ne soit pas planté. Le form at PostScript Si votre imprimante reconnaît le langage Postscript de manière standard, passez votre chemin ; ce chapitre s'adresse aux g u e rrie rs et aux vétéran s qui ont su prendre soin de leur vieille imprimante. Le symptôme est très simple à identifier ; il suffit de lancer une impression depuis Netscape ou n'im porte quel outil gra phique réalisant une sortie imprimante. Si le résultat est un langage incompréhen sible par le commun des mortels, ne pani quez pas, voici la marche à suivre. Il est tout d'abord primordial de connaître l'identifiant GhostScript de notre impriman te, car nous utiliserons ce visualiseur de fichiers PS pour traduire nos impressions sauvages. Pour ce faire, nous allons taper la commande "gs -h" qui affichera tous les types d'imprimantes supportées. Nous sup poserons pour la suite des événements que notre im prim ante est une Canon quel conque et que notre filtre se nomme "bjlOe". Ensuite, la démarche est simplissime : nous allons remplacer le simple "cat" situé dans le fichier "filter", que nous avons créé précédemment, par : Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Créons maintenant un fichier de configura tion sur la machine serveur, qui va définir les paramètres indispensables à samba pour se connecter sur la machine serveur : # F ic h ie r de c o n fig u r a t io n " .c o n f ig " # S it u é dans le r é p e r t o ir e v e r \ \ $ s e r v ic e " N -P » $ p a ss w o rd -U $ u s e r - $ lo g f ile # V é r if ie z 1 ' e m p lacem en t de c lie n t " dans v o tre d is t r ib u t io n # f i n du f i l t r e "sm b! d ' im p r e s s io n Ce filtre, simple script shell, définit notam ment un fichier de log, le répertoire de spool ainsi que le chemin d'accès au fichier de configuration défini plus haut. Le gros du travail est effectué par le client samba, smbdient, invoqué en mode non interactif, qui va se c o n n e c te r sur l'o rd in a te u r Windows spécifié, et transférer le fichier vers l'imprimante indiquée. C'est tout ! Maintenant, si tout a été entré c o rre c te m e n t, il su ffit de la n ce r une impression par la commande : / v a r / sp o o 1 / I p d / lp l p r fic h le r _ a _ im p r im e r s e rv e r= L U K E et celui-ci sortira sur l'imprimante connec tée à notre machine Windows. Un fichier de log est créé lors de chaque impression sous le nom de sm b -p rin t.lo g dans le répertoire /var/log, qui permet d'identifier très facilem ent les éventuels problèmes e m p ê ch an t une im p ressio n c o rre c te . N'hésitez pas à le consulter en cas de pro blème. H eureusem ent, il n'est pas nécessaire d'avoir recours systématiquement à la ligne de commande pour pouvoir imprimer. En effet, tous les outils graphiques incluant un service= CA N O N p a ssw o rd = "" u s e r = IM IL # F i n du f i c h i e r de c o n f ig u r a t io n où "server" est le nom W indow s de la machine serveur, "service" le nom affecté à l'imprimante sur ce serveur et "user", notre nom d'utilisateur Windows. Ecrivons main tenant le filtre à proprement parler : # ! / b in / s h - x / u s r / b in / g s -d S A FER -dNOPAUSE - q - sD E V IC E = b jlO e - s O u t p u t F ile = - Ceci traduira à la volée la sortie PS du fichier envoyé en données brutes compréhensibles et imprimables. Unix, c'est vraim ent pas simple Si cette démarche relève de l'exploit, d'in nombrables distributions fournissent des interfaces graphiques de configuration d’im primantes distantes ; notons par exemple l'outil printtool présent dans la distribution RedHat, qui rend cette configuration autre ment plus intuitive (voir photo d'écran). En effet, dans cet outil, la création des filtres et de l'entrée im prim ante dans le fichier /etc/printcap est réalisée automatiquement. Il suffit ici de spécifier le nom du serveur Windows, son ip et le nom de l'imprimante. On sélectionne ensuite l'imprimante corres pondante en cliquant sur "Select" et le tour est joué : c'est la magie du tout graphique. A noter pour les utilisateurs de distributions autres que RedHat, que printtool est tout à fait exploitable pour eux aussi, à la condi tion de pouvoir installer des packages Rpm. Emile HEITOR - [email protected] Objet Relations entre objets Après sélection des candidats au titre d'objet; la véritable conception peut commencer par la définition des relations entre objets. un" T W IN G O , ou l'in ve rse ! M ais C LIO "est un" V O ITU R E : nos objets sont donc en quelque sorte frères. Nous avons par consé quent eu besoin d 'in tro d u ire un concept abstrait (VOITURE), pour relier deux objets proches mais dotés du même niveau d'abstrac tion (ici, ce que l'on appelle des objets concrets). La n o ta tio n UM L asso cié e à n o tre exemple se trouve représentée en figure 1. En guise d'exercice, ajoutez donc les o b jets su ivan ts à n otre d iag ram m e : V E H IC U L E , C A M IO N , M O T O , et MOTEUR. Le principal intérêt de l'hérita ge ne vient pas forcément de l'absence de réplication des fonctionnalités (même si elle représente un avantage certain, surtout lorsque l'on s'intéressera à l'implémentation). La possibilité de considé rer ind ifférem m ent C LIO ou TW IN G O comme une VOITURE s'avère d’un inté rêt c a p it a l. Le te rm e g é n é ra le m e n t employé pour définir cette propriété est le polymorphisme. Ce mot quelque peu A r i t é des r e la t io n s Les re la tio n s d 'a g ré g a tio n ou d'association peuvent être agrémentées d'informations concernant ia rité de ces relations. Par exemple, une base peut contenir plusieurs fiches ; on indique donc iarité 0..* (ou 0..n ou *, toutes ces notations sont autorisées) du côté de l'objet contenu. La relation d'association entre la base et la fiche "modèle'' est de type 1:1 (un objet de chaque côté). Ces informations donnent parfois un indice im p o rta n t c o n c e rn a n t le rô le de la liaison . Essayez donc de les indiquer systém atiquem ent (même lorsque cela paraît évident). trom peur signifie sim p lem ent que les collections de VOITURE peuvent se com poser d'objets proches mais différents, par exemple des CLIO et des TW INGO. Les langages orientés objets proposent plusieurs solutions pour offrir cette fonc tionnalité, mais ils reposent tous sur la notion d'héritage. A g rég at ou a p p a rte n a n ce : "a un" L'appartenance constitue une autre rela tion très fréquente. Si vous avez tenté de réaliser notre petit exem ple "m éca nique", vous avez sûrement eu des diffi cultés pour caser l'ob jet M OTEUR. En fait, la seule relation qui nous vient à l'esprit est : VO ITURE "a un" MOTEUR (C A M IO N et M O TO ég ale m en t, mais pas fo rc é m e n t V E H IC U L E ). Bien sûr, C L IO et T W IN G O d is p o s e n t to u te s (ap rès fa b ric a tio n et avan t accid e n t) d'un moteur, mais cela ne pose pas de problèm e puisqu'ils héritent des fo nc tio n n a lit é s de V O IT U R E (d o n c du MOTEUR). Notre exemple montre donc sim ultaném ent l'intérêt de l'héritage et de l'agrégation utilisés conjointem ent. La figure 2 e xp licite la notation UML Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Relations d'héritage. n objet (au sens de la classe, pas de l'instance), tel que nous l'avons défini le mois dernier, se doit d'of frir une caractéristique supplémentaire : la simplicité. Il ne s'agit pas (encore) d'implémentation mais plutôt du rôle de l'ob jet. Les objets ne doivent pas "ratisser" trop large. Cela semble contradictoire, puisque nous tentons de modéliser des problèmes com plexes à l'aide d'objets simples. Un premier élém ent im portant de la conception entre alors en jeu : les relations statiques entre objets. Héritage et spécialisation : "est un" L'héritage, intuitivem ent, explique que l'objet enfant hérite des caractéristiques de son (ou ses) objet(s) parent(s). Mais le terme de spécialisation convient m ieux puisque l'objet enfant offre des fonction nalités qui lui sont propres. Ce type de relation s'utilise de façon "aléatoire", mais il est pourtant question de modéliser une relation sémantique très simple : "est un". Deux objets TWINGO et VOITURE pour raient par exem ple être reliés, puisque TWINGO "est un" VOITURE. D'un point de vue p ra tiq u e , l'h é rita g e nous aide à regrouper des objets offrant certaines sim ilitudes. Im aginez l'objet C LIO , qui est très proche de TWINGO. On ne peut pas u tilis e r l'h é rita g e d ire c te m e n t, puisque l'on modéliserait alors CLIO "est U Programmation m < g ë a s s o c ié e à l'a g r é g a t io n (lie n e n tre M O TEU R et V O IT U R E ). La n o rm e d is tingue à ce propos deux types d'agréga tion : forte et faib le (lo san g e plein ou vide). Il s'agit essentiellem ent d'un point de détail (on utilise la notation "faible" avec le losange vid e par d é fau t), mais qu'il s'avère possible de ra ffin e r. Pour certains (ce n’est pas "standardisé"), une agrégation forte correspond à des objets dont la durée de vie se m ontre exacte m ent id e n tiq u e à celle de leu r c o n te neur, c'est-à-dire que le co n te n e u r ne peut "vivre" sans son contenu. R e la tio n d 'a sso cia tio n Héritage et agrégation ne représentent quer ensuite pourquoi ils se voient liés. Nous co n n aisso n s déjà d e u x typ es de réponse à cette question : l'héritage et l'ag rég atio n. M ais très souvent (en fait in v a ria b le m e n t), le co up lag e entre les objets liés se révèle nettem ent plus faible. Il existe donc un autre type de lien qu'il va fa llo ir e x p lic it e r . C o n s id é ro n s par e xe m p le l'o b je t C O N S T R U C T E U R , qui désigne le fabricant d'un véhicule. Il n'y a in tu itive m e n t aucun lien d'h éritag e ou d 'a g ré g a tio n e n tre ces d e u x o b je ts . Pourtant, chaque véhicule dispose d 'in formations concernant son constructeur ; il existe par conséquent un lien que l'on pourrait étiqueter "a été construit par". C es lien s so n t les plus im p o rta n ts au stade initial de la conception. On cher chera bien e n te n d u à d é fin ir les c o u objets. UML désigne ce type de schéma sous l'appellation "diagramme de classe". D iag ram m e de classes pour MiniDB Pour l'instant, nous avons parlé d'objets et de relations entre objets de façon intuitive. Mais n'oubliez pas que nous voulons réali ser un prog ram m e bien co n cret, s'ap puyant sur une conception objet "propre". Nous allons donc commencer par définir une ébauche du diagram m e de classes pour M iniDB. Nous allons nous limiter à nos p rin c ip a u x o b jets, "découverts" le m ois d e rn ie r : B A S E, F IC H E , C H A M P, A TTR IB U T, TYPE et VA LEU R. Il est clair qu'une base de donnée contient des fiches (agrégation). De la même manière, une fiche comprend des champs, eux-mêmes c o m p o sé s de trip le ts (A ttrib u t, T yp e , Valeur). Il se présente différents types de champs (chaîne, nombre, date, comman de, etc.). La classe ATTRIBUT permettra de les réunir au sein d'une hiérarchie. Le type C H A IN E C A C H EE (m o t de passe) serait susceptible d'hériter idéalement du type CHAINE (car une chaîne cachée reste une chaîne). Notre analyse du problème indi q u ait qu'une fich e de base d evait être conservée (union de toutes les Fiches). On pourrait simplement le figurer en utilisant une association simple vers la classe FICHE (la fiche de référence se trouve également sto ckée dans la base) depuis la classe BASE. On obtient alors le diagramme de classe de la figure 4. Notez que nous nous situons encore bien loin du résultat final. Nous n'avons pas, par exemple, abordé le problèm e de la m odification des objets (b ases, fic h e s, c h a m p s). Nous verrons donc le mois prochain que ce problème particulier est en fait de caractère dyna mique ; s'imposera également la nécessité de créer d’autres objets "utilitaires", qui modifieront notre diagramme statique de classe. Fred Pesch Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM pourtant pas des liens faciles à étab lir. Une étape prélim inaire consiste à tenter de relier les objets entre eux et d'expli plages les plus fo rts possib les, m ais les d é v e lo p p e u rs C++ ou java oublient bien tro p so u Base Fiche m odèle v e n t de s 'in té resser aux asso ciations simples (ce qui n'est pas le cas des déve loppeurs Smalltalk). L'exem ple Cham ps ^A ttrib u t : String V aleur Chaine Entier Date Com m ande Chaine cachée Ebauche de diagram m e de classe pour MiniDB. le plus flag ran t c o n c e rn e les n av ig a te u rs de classes (C++ ou java) ; la plupart d 'e n tre e u x ne considèrent que l'h é r ita g e . La figure 3 synthé tise to u te s les relatio n s m ises en jeu par nos D ia g ra m m e s d 'o b jet et d ia g ra m m e s de c o l l a b o r a t i o n Le diagramme de classe dispose d'un équi valent du côté des instances de classe : le diagramme d'objet. Ces diagrammes per mettent de préciser les relations d'associa tion (mais pas d'appartenance ou d'hérita ge) entre les objets, au travers des opéra tions définies pour ceux-ci. Un diagramme plus intéressant, celui de collaboration, introduit le concept de message que nous étudierons le mois prochain, du fait de son caractère dynamique. Perl Lecture des paramètres d'un CGI Ce mois-ci, nous allons étudier un autre exemple concret, à savoir une sous-routine très utile pour tous les CGI, qui nous permettra de progresser encore dans notre exploration du langage Perl. situe entre deux accolades. Pour appeler une sous-fonction depuis une autre partie du programme, on utilise le caractère Exemple : & m a _ fo n c tio n ; Le passage de paramètres à une sous-foncd'autres langages, nous pouvons aussi en Perl définir des sous-fonctions. Celles-ci se résument à des bouts de programme que l'on a décidé d'isoler, soit parce qu'il s'agit d'une procédure que l'on souhaitera ap e listing que vous pouvez vo ir en encadré est une sous-fonction, qui donne la possibilité de relire les don nées saisies dans un form ulaire HTM L. Il vous suffit de l'appeler en début de pro gramme et ensuite libre à vous d'utiliser L ces données com m e vous le souhaitez. Vous pourrez les afficher, les stocker dans un fichier, rediriger l'internaute sur une autre page, etc. Les sous-fonctions en Perl T o u t co m m e en C , en Pascal et bien peler plusieurs fois au cours d'un même program m e, soit pour aérer et alléger la fonction principale, soit les deux. On défi nit une sous-fonction en Perl grâce à la d irective "su b " suivie d 'u n e chaîne de caractères non-réservée (le nom de la sousfonction). Ensuite, le bloc d'instructions se tion est assez particulier en Perl. Le nombre de paramètres et leur nature n'apparais sent pas dans l'en-tête de la fonction, mais au début du bloc d'instructio ns qu'elle contient, grâce à la variable interne " ". De même, si une sous-fonction doit ren voyer une valeur en sortie, elle utilisera cette variable. Voici un exemple : # A p p e l d a n s l e program m e p r i n c i p a l $ to ta l = & a d d it io n ( $ v a l e u r l , $v a l e u r 2 ) ; # D é f in it io n de l a s o u s - f o n c t io n s u b m a _ f o n c t io n { Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Eichier <£ Édition Q Affichage O ife Signets (S Çache Options Aide ? lo c a l ($ a r g l, $ a rg 2 ) = @_; |htlp/Avwv/altavista digrtaJ coirVcgi- bin/query^pg-q&ld-XX&q-%2Bper1*%2Bcgi lo c a l $add [AltaVista’ S«arch any language ' | Search | péri cgi J = $ a rg l + $ a rg 2 ; S*a*ca Za®« Secrets Heu Web f .r ($ a d d ); $add; } Refine I fatà the catrftfo lAJuta? wci Tip: Try wfcng a question, e g w Les v a ria b les locales La fo n c tio n in te rn e "local" permet de définir ÇSçfcHa*; 1,7tM39m a tch e sw e refotnd Cfcfc afcove for the nwlIMw»!»ml tw easy web address for company and product rames PM.: on>nK mm Fte mrssng (agari) Mafcefite in mod_perl-0 83 06 tar gz Doug MacEacbem (dougm&OSF ORG)Thu, 17 Oet 1996 23:43:12 -0400 Messages sortedby (date H . w-Hr-ee - dw si» 2K - ■*0*dM*l23EJSÎJ 2. ■rtjg l V'fc»» Pe | —frreq—4 Ré: fnodperf] mod_per1-0 80 Doug MacEachem (dougm^osf org) Sun, 8 Sep 1996 17:1924 -0400 (EDT) Messages sorted by (date ((thread ((subtect ](.. LwtaodHM so-Mr-ee - mw «m ex - n e n # * r ^aann «MOCrMOOKMM MacPerl] Passing a Perl Scator to an Applescript Shawn Pearce (spearce^Nersey com) Tue, 31 Oct 1995 2022:32*1100 Messages sorted by [ datte )( U dnodH M a-w t-ee-m a »ri»a n-inen**t ..* 1 Personatver2e»ctin«s Fachnchturg Phys* Institut for Phys* Domstr 10a, TetefonvorwaW: (♦49>-(0)3834 Fax 86-4701 e-mail ustnodMD-an-ee-p*9tsie«4K-inO — Prev](Next](»sdex][Thread] Perl and HTML To: www-html#wwwl0 w3 org Sobiect: Perl and HTML. From Srrvastava Nandn <randrii0 henraJtd erneti >.. U » t» o < M *d2 0 -M H '-s e-m a»*»îr -inl httpd A apache-httpd not found Doug MacEachern Jul1997/0072 html ______ le mC om pingI Mod-Perl — I http7/outside com/mail- arc hiv Les scripts CCI sont couramm ent utilisés. des v a ria b le s lo ca le s, c 'e s t-à -d ire que leur d u ré e de v ie et leu r champ d'action se trou v e n t lim ité s à la sousfo n ctio n dans laq uelle elles so nt d é fin ie s. De cette faço n , si une v a ria b le du p ro g ra m m e p rin cip a l porte déjà le m êm e nom , il n 'y aura aucune am biguïté pour l'interpréteur Perl. La d e rn iè re lig n e de l'e x e m p le p ré c é d e n t équivaut à = $add L 'a ffe c ta tio n du co nten u de la variab le " S a d d " à la v a ria b le interne se fait par défaut. N otre sous-fonction en encadré n'utilise pas de paramètres, ni en entrée ni en sortie, mais il était bon de voir de quelle manière s'opérait la démarche. Le passag e d 'a rg u m e n ts en CGI Il y a deux méthodes pour un serveur HTTP de passer des arguments à un script CGI : "GET" et "PO ST". Ce choix s'effectue par l'intermédiaire du paramètre "M ETH O D " de la balise HTM L "FO R M ". La première ajoute les arguments dans l'URL d'appel du C G I, dans l'en-tête même de la requête HTTP, en intercalant un point d'interroga tion "?" entre le nom du CGI et les para mètres en question. La seconde transmet les arguments dans le corps de l'en-tête HTTP. Dans les deux cas, les argum ents sont codés au préalable par le navigateur, de manière à transmettre correctement les espaces et les caractères spéciaux (il s'agit des règles établies dans le protocole CG I). Cela va influer sur la manière de récupérer les argum ents, mais notre sous-fonction peut traiter ces deux méthodes indifférem ment (lignes 3 et 6). Listing # !/ u s r : lo c a l/ b in / p e r l # b a s e p o u r u n C G I - l e c t u r e d e s a rg u m e n ts ### p rogram m e p r i n c i p a l & P a rs e F o rm ; p r i n t STDOUT " C o n t e n t - t y p e : t e x t / p l a i n \ n \ n " ; p r in t ### s o u s - f o n c t i o n s ####################################### # P a rs e F o r m # 1 . s u b P a rs e F o r m 2. lo c a l 3. if { ( © p a ir e s , $ p a ir e , © p a ir e s = s p l i t ( / & / , e ls if a rg u m e n t I = v a le u r l& a r g u m e n t 2 = v a le u r 2 7. &. 8. 5. $ b u ffe r, ( $EN V{ 1REQUEST_M ETHOD' } 4. Les arguments tels qu'ils sont lus par un CGI se présentent de la manière suivante : . . "* o k \n "; $nom, $v a l e u r ) ; e q 'G E T ' ) { $ E N V {' Q U E R Y _S T R IN G ' } ) ; } ( $EN V{ ' REQUEST_M ETHOD' } r e a d ( S T D IN , e q 'P O S T ') { $ b u f f e r , $ E N V {' CON TEN T_LEN GTH' } ) ; © p a ir e s = s p l i t ( / & / , $ b u ffe r); Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 9. Dans un premier temps, il faut donc sépa rer les différents arguments reçus (lignes 4 et 8). La fonction "split" s'avère très pra tique pour ce genre de manipulations : elle permet de découper une chaîne de carac tères en plusieurs mots, en fonction du déli miteur de champ qu'on lui fournit en pre mier paramètre. Nous avons donc mainte nant le tableau "@paires" qui contient nos différents couples "argument=valeur". Les noms des argum ents reproduisent ceux que vous avez choisis grâce au paramètre "NAME" des différents éléments de formu laire de votre page HTML. Les valeurs sont ou bien les données saisies par l'internaute (pour des champs de type "text" ou "textarea"par exemple), ou bien des valeurs que vous avez prédéfinies (pour les champs de type "radio" ou "checkbox" par exemple). Dans un deuxième temps (lignes 13 à 25), on va découper ces chaînes, les décoder et sto cke r les v a le u rs a in si lues d ans un tableau de hachage (nous avions vu ce type de structure dans le numéro 51 de Dream). On fait à nouveau appel à la fonction inter ne "split", afin de séparer le nom de l'argu m ent d'un côté ($ no m ) et sa valeur de l'autre (îvaleur). Ensuite, les lignes 15 à 18 utilisent des fonc tions de recherche et de rem placem ent dans des chaînes (fonctions empruntées au sed) pour retransformer les "+" en "espa ce" et les codes hexadécimaux des carac } 10. e ls e 11. { d ie " U t ilis e z 12. } 13. fo re a c h $ p a ir e l a m é th o d e 'G E T ' ou 'P O S T ' ( © p a ir e s ) $ v a le u r ) !" ; { 14. ($nom , 15. $nom =~ t r / + / /; 16. $n o m s/% ( [a-fA -FO -9] [a-fA -FO -9] ) /p a c k ( "C ", =~ = s p l i t (/= /, $ p a ir ) ; h e x ( $ l ) ) /eg; 17. $ v a l e u r =~ t r / + / 18. $ v a le u r =- /; s/% ( [a-fA -FO -9] [a-fA -FO -9] ) /p a ck ( "C ", h e x ( $ l ) ) /eg; 19. if ($FO RM {$nom ) ) 20. $FORM{$nom> 21 . } 22. e ls e 23. .= " # $ v a l e u r " ; { $FORM{$nom} = $v a l e u r ; 24. } 25. 26. { } } tères spéciaux en leurs valeurs ascii. Pour finir, les lignes 19 à 24 vérifient qu'un a rg u m e n t avec ce nom -là e xiste d éjà, auquel cas la nouvelle valeur est concaténée avec la valeur existante ; dans le cas contraire, on crée une nouvelle entrée dans notre tableau de hachage, avec comme clé le nom de l'argument. Une fois cette sous-fonction exécutée, vous p o urrez par la suite u tilise r la varia b le " % FO RM " afin de relire tous les argu ments qui ont été transmis à votre CGI. Par exem ple, si vous aviez dans votre page HTML une entrée de la forme : < IN P U T TYPE= " t e x t " N A M E= "n o m " S IZ E = " 3 0 " > vous pourrez récupérer la valeur entrée par l'internaute grâce à la ligne suivante : $nom = $FORM{ 'n o m '} ; Vincent Oneto <[email protected]» Les tableaux Au travers des paramètres de la ligne de commande et des tableaux, nous allons ce mois-ci réaliser un petit programme qui indique le nombre le plus élevé, parmi ceux fournis en paramètres. c h a in e [ 2 ] n' ; c h a i n e [3 ] u' ; c h a in e [ 4 ] x 'j \0 c h a i n e [5 ] La q u atrièm e d im ension Que se passe-t-il si chaque élément d'un tableau est un autre tableau ? On obtient tout simplement un tableau à deux dimen sions (cf. figure 2), que l'on peut déclarer de la manière suivante : in t tab[10][5]; drea>:~# cat plusgrand.c finclude <stdio.h> fincluda <stdlib.h> int «ain (int argc. char “argvCD f double plusgrand: int i: if (argc < 3) i printf (“Pas assez de para«ètres\n") : return -1: > plusgrand = atof (argvCll): for (i = 2: i < argc: !♦♦) { if (atof (argvCil) > atof (argvCi-1])) plusgrand - atof (argvCll): > printf (“Le plus grand est Xf\n~. plusgrand). return 0: drea«:~# gcc -o plusgrand plusgrand.c drea«:~# ./plusgrand 1 23 45.12 45.13 68 rien 34.3 Le plus grand est 74.456460 drea«:~# [] c o n te n ir d ix e n tie rs . Com m e on le rem arque aisém ent, la syntaxe est identiqu e à celle d 'u ne d é cla ra tio n c lassiq u e à cela près que l'on indique, outre le type de données des éléments, la taille du tableau (ou plus exacte m ent le n om b re m a x i mum d'élém ents). Il est envisageable de ne pas spécifier de taille lors de la déclaration, mais comme nous ne pouvons accéder au monde merveilleux des 3.1415927 74.45646 pointeurs, nous devrons nous borner à ce genre de déclarations pour le moment. Une fois défi ni, le tableau doit être rempli. Cela s'effec tue le plus sim plem ent du m onde de la manière suivante, en notant que le premier élément du tableau est numéroté 0 : Ce tableau contient dix tableaux de cinq entiers chacun. Ce principe s'avère généralisable à n dimensions mais n'est plus repré sentable simplement à partir de n = 4. P aram ètres de la ligne de com m ande Nous avons déjà vu que la fonction main acceptait des arguments particuliers. Ceuxci permettent de récupérer les paramètres passés au programme via la ligne de com mande. # in c lu d e < s t d io .h > i n t m a in (i n t a r g c , c h a r *a rg v [ ] ) { p r in t f ( " H e llo W o rld ! \ n " ) ; re tu rn 0; Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM n tableau est un ensem ble d'élé ments indexés. La notion de tableau se tro uve intrinsèq u em ent liée à celle de pointeur, mais nous prendrons soin d'étudier tout cela en profondeur plus tard. L'ensemble des nombres entiers naturels composé de 1, 2, et 3 est identique à l'en semble composé de 3, 2, et 1. En revanche, dans un tableau, l'ordre importe ; ainsi le tableau à deux éléments dont le premier est l'entier 1 et le second 2 n'équivaut nulle U ment à un tableau à deux éléments dont le premier élément est 2 et le second 1. Un tableau se caractérise par le nombre d'élé ments qu'il contient et le type de ces élé ments. On notera au passage qu'un tableau ne peut contenir qu'un seul type de don nées (sauf unions, mais c'est une autre his toire). La déclaration suivante réserve la m ém oire n éce ssaire pour c o n te n ir un tableau de dix entiers courts : sh o rt in t t a b [ 1 0 ] ; t a b l e a u [0 ] = 1 ; t a b l e a u [1 ] = 2 ; t a b l e a u [2 ] = 3 ; Bien sûr, le compilateur ne manquera pas de vous rappeler à l’ordre si vous avez la prétention de mettre un nombre à virgule dans un tableau de caractères. A ce propos, on notera qu'une chaîne de caractères cor respond en fait à un tableau de caractères. La représentation interne d'une telle chaîne est un tableau de char dont la taille est supérieure de 1 au nombre de caractères. Cela s'explique par le fait que le caractère nul '\0 ' m arq uant le bout de la chaîne s'ajoute à la fin du tableau, c h a r c h a in e [ 6 ] ; c h a i n e [0 ] = ' L ' ; Le tableau se nomme tab et a la capacité de c h a i n e [1 ] = ' i ' ; } Ce petit programme montre que les argu ments de la fonction main sont au nombre de deux : argc est un entier positif conte nant le nombre de paramètres passés au program m e (le nom du program me luimême est considéré comme un paramètre) et argv est un tableau de chaînes de carac tères (d o n c un ta b le a u c o n te n an t des tableaux de caractères). Ne tenez absolu ment pas compte de la déclaration barbare de argv (nous y reviendrons plus tard), mais considérez sim plem ent qu'il contient les arguments de la ligne de commande, sous forme de chaînes de caractères. Voyons ce que cela donne pour un programme toto, appelé avec les paramètres foo et bar de la manière suivante : t o t o fo o b a r A l'intérieur du programme, les arguments peuvent être récupérés par argv[1] pour "foo" et par argv[2] pour "bar", argc vaut donc 3 et argv[0] contient le nom du pro- ls - 1 « r ç jv lO J a rç jv [l] /u s r /v a r a r ç jv [2 ] a rç jv [3 ] Les param ètres de la ligne de commande sont autom atiquem ent stockés dans argv. gramme, en l'occurrence "toto". Qui est le plus grand ? Voici donc une version simple (une version récursive aurait été plus amu sante...) de notre programme visant à déterminer le plus grand de plu sieurs nombres. # in c lu d e < s td io .h > # in c lu d e < s t d lib .h > 25 LINUX REDHAT A GAGNER ! i n t m a in ( i n t a r g c , c h a r * a r g v [ ] ) { d o u b le p lu s g r a n d ; in t i ; if (a r g c < 3) p r in t f { (" P a s a s s e z de p a r a m è t r e s \ n " ) ; Les Logiciels du Soleil et Dream offrent aux 25 prem ières demandes une Linux RedHat 5.1 Edition française re tu m -1 ; } p lu s g r a n d = a t o f f o r ( i = 2 ; i < a r g c ; i+ + ) if (a to f ( a r g v [ i] ) p lu s g r a n d = a t o f p r in t f Nombreuses caractéristiques nou velles : (arg v[l]); { > a to f (argv[i-l])) (arg v[ij); ( " L e p lu s g ra n d e s t % f \ n " , p lu s g r a n d ) ; re tu m 0; } La première chose à faire consiste à vérifier que l'utilisateur a bien fourni deux arguments au programme, c'est-à-dire que argc vaut 3 au minimum, puisqu'il y a le nom du programme à prendre en compte. Ensuite, l'algorith me se révèle très simple : on suppose que le premier argument constitue le nombre le plus grand, puis on teste chacun des autres pour vérifier. Si l'un d'eux s'avère être plus grand, alors tous les autres se verront désormais com parés à celui-ci. Et tout cela s'effectue tant que tous les arguments n'ont pas été passés en revue. Par ailleurs, on découvre la structure de boucle for. Une boucle permet d'effectuer une opération plusieurs fois, tant qu'une condition se trouve véri fiée. Il existe plusieurs boucles en C et toutes les situations peuvent être envisagées en utilisant chacu ne de ces boucles. Cependant, certaines se montrent plus adap tées que d'autres à certaines situa tions. On utilise couramment la boucle for, lorsque l'on incrémente une variable à chaque passage Figure 2 : un tableau de tableaux. de la boucle, simulant ainsi le fonc tionnement de la boucle for du Pascal ou du Basic. On notera que dans une boucle (for, etc.) ou lors d'un test (if, etc.), il convient d'utiliser des accolades s'il y a plus d'une instruction à exécuter. Attention, le délimiteur d'instruc tions en C n'est PAS le saut de ligne ou le retour chariot, mais le point-virgu le. En conséquence, plusieurs instructions peuvent parfaitement prendre place sur la même ligne tout comme il y a moyen d'étendre une seule ins truction sur plusieurs lignes. On ne met pas de point-virgule après la clause conditionnelle dans un if ou une boucle for. Le tableau argv contient des chaînes de caractères, mais comme nous voulons comparer des valeurs numériques, nous devons travailler sur des nombres. La fonction atof inter vient à ce moment-là, car elle renvoie un nombre de type double lorsqu'on lui fournit une chaîne de caractères. Ainsi, la chaîne "3.14" deviendra le nombre 3.140000. Si la chaîne ne représente pas un nombre, alors atof ren voie 0.000000. Le programme "plugrand" évoqué ci-dessus renverra donc 3.000000, si on l'utilise de la manière suivante : - choix du langage pendant la phase d'installation - possibilité de revenir en arrière pendant l'installation - vrai com pilateur Fortran77 - Afterstep a été intégré dans Anotherlevel Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM t a b 1 e a u a \0 t s \o 1 \o \o \o p lu s g ra n d 1 2 tr e s g r a n d 3 r i e n p e t i t 2 . 7 1 Notons que les prototypes des fonctions printf et atof sont contenus dans les fichiers d'en-tête stdio.h et stdlib.h. Guillaume Girard - intégration de linuxconf au proces sus de configuration... Pour avoir une chance d'obtenir une version de Linux Redhat 5.1, renvoyez sur carte postale vos coordonnées à l'adresse suivante : Dream/Cadeau RedHat, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Les gagnants recevront directem ent leur exem plaire de Linux Redhat d irectem ent par la poste. Java In itia tio n aux )ava-Beans Nous allons entamer aujourd'hui l'exploration des Java-Beans. Un exemple valant mieux qu'un long discours, nous vous proposons donc de commencer par un petit TP pour voir de quoi il retourne. -is[HoÜ^trr^Twtpa^e forM yA ppütâsa nA P P L É lT □ X F ile E d rt V te wP la ce s Sep Z I. 8:53AM H e lp Q ? P la ce JileA m p /m yA p p le t/m yA p p le th tm l A p p le ts ta rte d Test fo r MyApplet as an APPLET This is an example of the use of the generated MyApplet applet Notice the Applet tag requires several archives, one per JA R used in building the Applet 1Start j |Stop | | Reset L'applet est créée automatiquem ent. re p ré se n te v o tre e sp ace de travail : pour l'instant, il est vide. La fenêtre Toolbox contient l'en sem ble des Beans disponibles ; enfin, la fenêtre Properties permet de paramétrer à tout moment le Bean actuellem en t sélectionné. Nous allons avoir besoin de deux Beans supplém entaires par rap port à ceux fournis en standard. Pour les charger, ouvrez le menu File, sélectionnez Load Jar et choi sissez le fichier DemoBeans.jar se trouvant dans le répertoire Java sur le CD du m ois. Vous verrez deux nouveaux Beans apparaître dans la T o o lb o x : Com pteur et Horloge. P re m iè re a p p lic a t io n bouton, donnez-lui les couleurs et la police que vous voulez, puis tapez "Start" dans le champ "label" (il s'agit du libellé du bou ton). De même, le second bouton s'appel lera "Stop" et le troisièm e "Reset". A ce stade, nous avons tout simplement élaboré l'interface graphique de notre programme, et ce, sans éditer aucune ligne de code ! Vous pouvez encore la peaufiner en dépla çant ou redim ensionnant ces quatre élé ments. La figure 1 vous donne un exemple de ce à quoi votre écran devrait ressem bler. Il marche ! Nous avons donc l'interface du chrono m ètre ; encore faut-il à présent le faire fonctionner. Le principe consiste à connec te r les B eans e n tre e u x . C liq u e z par exemple sur le bouton "Reset" et allez dans le m enu E d it. Vous devez sé lectio nn er l'événem ent auquel le program m e doit réagir. Dans notre cas, il se résume à un sim p le c lic sur un b o u to n , à sa v o ir "actionPerformed" du sous-menu "button push". Il faut à présent définir ce qui doit Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM F il* E«t View infoBus OrangaBuflon OwBoQon ‘ Ih I ExpireItButOfl * u n ie s - Compteur Nous allons construi re un p e tit c h ro n o mètre digital en utili arriver lorsque cet événement se produit : BeanBox sym bolise cela en traçant une ligne rouge entre le Bean en question et le curseur. Le but est de remettre le comp teur à zéro : cliquez donc sur le compteur pour établir la connexion. Une boîte de EventMonitor san t tro is typ es de Beans : des boutons TICkToefc pour co m m ander le vo»r chronomètre, un Bean QuoteMonitor JOBC capable d'afficher des SorterSean 14 Bi'dgeTester heures, des minutes et des secondes ( Comp teur) et l'horloge qui (Tenwnai) ® (We/tiom (kvt<2>) » ToolBox H « BeanBox. ém et rég u lière m e n t «JI des "tics". Cliquez sur » âl c & "C o m p teu r" dans la Une application en quelques clics de souris... Toolbox : le pointeur our cette démonstration, nous allons se transforme en croix pour indiquer qu'un u tiliser le logiciel BeanBox, inclus Bean est s é le c tio n n é . C liq u e z dans la dans le Bean D evelopm ent Kit de fenêtre principale pour y déposer le comp Sun. Vous pouvez le télécharger gratuite teur. De la même manière, placez-y trois exemplaires de ExplicitButton. A présent, il m ent depuis h ttp ://w w w .ja v a .su n .co m , s'agit de faire ressembler cela à un chrono mais nous ne pouvons malheureusement mètre. Sélectionnez à nouveau le com p pas le fo u rn ir sur le C D . Ecrit en ja v a , teur dans la fenêtre principale et utilisez la BeanBox est utilisable sur tout système qui fenêtre Properties pour lui donner une dispose de Java version 7.7 ou supérieure. Une fois le logiciel lancé (des scripts de lan apparence qui vous convienne (police de cem ent se tro uven t fo urn is pour U n ix, caractères, couleurs...). Les trois boutons que nous avons placés Windows et OS/2. Sur un autre système, appuyez-vous sur l'un de ces deux scripts sur l'espace de travail auront pour fonction respective de lancer, arrêter et remettre le pour voir ce qu'il faut faire), vous pouvez chronomètre à zéro. Cliquez sur le premier voir trois fenêtres. La fenêtre principale JW yBiar Chanqefteportee select P dialogue apparaît (cf. figure 2), vous invi tant à choisir la méthode à appeler lors de l'événem ent ; sélectionnez "reset". Pour vérifier que tout se déroule normalement, on peut cliquer sur le compteur, saisir n'im porte quoi dans le champ "text", puis cli quer sur "Reset" : le compteur doit à nou veau afficher "0 :0 :0 ". Enfin, pour que le chronomètre marche vraiment, il nous faut utiliser le bean Horloge qui émet un événe ment toutes les secondes. Placez une hor loge sur l'espace de travail (l'emplacement im p o rte p e u ) et a c c é d e z au m enu Ed it/E ve n ts pour relier son événem ent "p ro p e rty C h a n g e " (c 'e s t l'é v é n e m e n t engendré toutes les secondes) à la métho de incrémenterSecondes du compteur. Il Erratum Pour des raisons techniques indépendantes de notre volonté, il nous a été impossible d'inclure sur le CD les ressources utilisées pour cette rubrique. Vous les retrouverez bien évidemment sur le CD du mois pro chain, avec toutes nos excuses. Le J a v a A r c h i v e r L'utilitaire "jar" fourni avec le JDK est cal qué sur le "tar" d'Unix. On l'utilise pour rassembler les divers *.class dont se com pose une application en un même fichier; par exemple : jar cvf *.class MonApplication.jar De même, on peut décompresser un .jar en tapant : jar xvf MonApplication.jar. jar possède une option supplémentaire : il permet d'associer à une archive un fichier "Manifeste" qui en documente le contenu. On l'utilise surtout pour la création des Beans. Par exemple, la création de l'archive M o n B e a n .ja r avec le m anifeste MonBean.mft se fait par : jar cvmf MonBean.jar MonBean.mft *.class ne reste plus qu'à relier les deux boutons Start et Stop aux méthodes start et stop de l'horloge et l'on obtient alors un chrono mètre totalement fonctionnel ! Si le résul tat vous plaît, vous pouvez réduire la taille de la fenêtre de travail pour supprim er toute la surface inutilisée, puis sélectionner "M ake ap p let" dans le m enu "File" : BeanBox exportera notre application sous forme d'applet et créera même automati quement un fichier HTML permettant de lancer notre applet dans un browser (figu re 3) ! Et ron a fait tout cela sans avoir recours à la programmation... C ré a tio n des B eans On va donc m aintenant s'intéresser à la façon de créer nos propres Beans, que d'autres pourront alors utiliser. Comme on est en Java, un Bean ne représente rien d'autre qu'une classe. Par exemple, regar dons le bean Compteur : import java.awt.*; public class Compteur extends Label { private int heures, minutes, secondes; private void change() { setText(heures*":"+minutes+":"+seco ndes); Pour ceux à qui taper une ligne de com mande donne de l'urticaire, signalons l'exis tence de l'utilitaire Moajar (disponible sur http://www. opengroup. org/RI,/DMO/moa jar/index, htm l), qui fait exactement la même chose que jar, l'interface graphique en plus. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM } (v o ir e n c a d ré ), en sp é cifia n t dans le Manifeste qu'il s'agit d'un Java Bean. Il faut pour cela créer le fichier Compteur.mft sui vant : public Compteur() { reset(); } public void reset() { heures=minutes=secondes=0; change(); Name: Compteur.class Java-Bean: True } public void incrementerSecondes() { secondes**; if(secondes==60) { secondes=0; minutes++; } — jdialog if(m in u te s = = 6 0 ) { m in u te s = 0 ; P le a s e c h o se a ta rg e t method: h e u r e s ++; } 1notify notify Ail change( ) ; } } rem oveNotify repairit re q u e stF o cu s isho w tran sfe rFo cu s C ancel OK Sélection de la méthode à appeler. Le m ois p ro ch ain , nous co m m e n tero n s plus en d é tails le co m p te u r et expliquerons pourquoi il s'agit bien d'un Bean. Une fois cette classe saisie dans un fichier Compteur.java, on la com pile par javac C o m p te u r.ja va , puis on doit créer un fich ier .jar On crée alors le .jar en tapant : jar cvfm Compteur.jar Compteur.mft Compteur.class. Dès lors, on peut charger Com pteur.jar pour l'utiliser dans BeanBox (ou tout autre logiciel utilisant des Beans) ! Ceux qui se sont essayé aux horreurs des technologies co m p arab les sous d 'au tres systèm es (ActiveX, OpenDoc, X Toolkit, etc.) appré cieront la simplicité et l'élégance des Java Beans. Effectivement, programmer et utiliser des beans n'est pas plus compliqué que cela ! Bien sûr, il y a des choses à savoir et à gérer dès que l'on s'attaque à des beans un peu plus sophistiqués, mais il s'agira tou jours d'une application directe du langage java et jamais de librairies, ni d'appels sys tème impossibles à retenir (ou même à comprendre). Jakub Zimmerman ■armiiiiiirnrin» | B I it z Basic r«5#r | \ In itia tio n au B litz B asic ie partie Le Blitz Basic constitue un langage pour Amiga à la portée de tous. Bien plus simple que le C ou l'assembleur, il permet de développer rapidement des applications de grande envergure. 'intérêt de programmer sur Amiga en Blitz Basic est triple. En tout premier lieu, il s'agit d'un Basic, ce langage ancestral qui a démocratisé la programma tion auprès du grand public. Son appren tissage se révèle donc aisé et l'écriture de logiciels n'en est que plus rap id e. En second lieu, le Blitz Basic offre toutes les fonctions nécessaires à l'intégration d'une application dans le système d'exploitation. Ce qui implique deux choses : nos pro grammes ne vont pas déparer le reste de nos outils Workbench et ils resteront com patibles avec n'importe quelle machine, quel que soit son hardware (oui, une appli cation écrite en Blitz Basic peut s'ouvrir sur un écran CybergraphX !). Enfin, le Blitz Basic dispose d'une particularité pleine de perspectives : il permet d'inclure des lignes d'assembleur dans un code, en plus des instructions du Basic. Les développeurs expérimentés pourront ainsi allier facilité de conception et optimisation. Les v a ria b le s En tant que langage, le B litz Basic se constitue d'instructions et de variables (que l'on pourrait respectivement rapprocher des verbes et des complém ents d'objet dans la langue française). Ces variables sont de différentes natures : il y a celles qui contiennent des nombres, celles qui renfer m ent du te x t e ... Ces catég o ries de variables se subdivisent elles-mêmes en dif férents types, afin d'en tirer un usage opti mal suivant les circonstances. Pour les variab les n u m é riq u es, on tro u ve par exemple les types Byte, Word, Long, Quick et Float (vo ir leur d escrip tio n dans le tableau 1). Ainsi, une variable mavariable.b L (le suffixe .b signifie qu'elle est de type Byte) ne pourra jamais contenir que des entiers compris entre +127 et -128. Dans un programme écrit en Blitz Basic, la définition d'une variable s'écrit simplement de la façon suivante : A .w = 27567 Notons que l'instruction DEFTYPE représen te un raccourci pour définir en une seule fois un type commun à plusieurs variables : La s y m b o l i q u e des s i g n e s Signe Signification * Multiplication / Division A Exposant ; Commentaire, juste pour le programmeur $ Nombre hexadécimal A jo u te une a u tre instruction sur la même ligne ! Lance une macro D E F T Y P E .w A ,B,C A = 27567B = 30000C = 17000 Dans l'exem p le p récé d e n t, toutes les variables sont de type Word (suffixe .w ). L'avantage de cette méthode vient de ce que l'utilisateur n'aura plus à taper A.w dans tout le reste du code lorsqu'il voudra faire référence à la variable A. Celle-ci (ainsi que B et C) se trouve définie dès le début comme étant de type Word et elle le reste ra jusqu'à la fin du programme. Pour faire référence à cette variable, il suffira donc d'écrire A. P re m ie r p ro g ra m m e Notre premier programme consiste juste à effectuer quelques opérations de base du système d'exploitation. En l'occurrence, nous allons ouvrir notre propre écran (un bon v ie u x 6 4 0 x 2 5 6 en 16 co u le u rs ; com m e ça, ça m arche chez to u t le monde), afficher une fenêtre avec du texte ("Hello World") et des boutons (un "Ok" plus un gadget de fermeture pour effacer la fenêtre) et ajouter un menu "Fichier" (lequel contient "Relancer" pour faire réap paraître la fenêtre et "Quitter" pour termi- ner le programme). Touche finale, nous ajouterons même des raccourcis clavier pour accéder aux deux fonctions du menu. Attention, pour pouvoir taper le program me du mois, vous devrez disposer du Blitz Basic 2.1 ainsi que des BSS (Blitz Support Suite), faute de quoi certaines commandes seront remplacées par des ?????. Benjamin Vernoux Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM L e s t y p e s de v a r i a b l e s n u m é r i q u e s Type Byte Word Long Quick Float Suffixe .b .IV ./ •<7 A Variation + 127 à -128 +32767 à -32768 +2147483647 à -2147483648 +32767,0000 à -32768,0000 +9*(10*18) à -9*(10* 18) Précision Entier Entier Entier 1/65536 1/(10*18) Octets occupés 1 2 4 2 4 L e s t y p e s de v a r i a b l e s n u m é r i q u e s W B S ta r tu p ; p e rm e t d e l a n c e r Club Blitz (d'innombrables exemples Blitz) : http://www. nfinity. com/~ amicom/blitz. html Blitz Source Code: Http://ip.pt/~ip234558 l e p rogram m e du W o rkb e n ch S cre e n BlitzBasic2 Site officiel: http://www.ldngedge.demon.co.uk BlitzListFrançaise Site de Xavier NUEL : http://www.a2points.com/homepage/3698138/ Blitz Program Collection: http://www. thenet. co. uk/~ awingrove/blitz/index.html Nos programmes faits en Blitz : http://www.chez.com/titan/ 0 , 0 , 0 , 6 4 0 , 2 5 6 , 4 , $ 8 0 0 0 , "Mon Ecran",1 ,0 ; S c re e n ( 0 ) num éro d e l ' é c r a n , ( 0 ) P o s it io n X , (0)Position Y , ( 6 4 0 ) L a r g e u r ,( 2 5 6 ) H a u t e u r ; (4 )B it p la n e s (n b r e de co u l e u r s ) , ( $ 8 0 0 0 ) R é s o l u t i o n ,( " M on E c r a n " ) t i t r e , ( 1 ) ( 2 ) cou s e 20 e t l'o r d o n n é e 40 d a n s le u r s de 1 'é c ra n la ; c r é a t i o n du menu é c r it le N P r i n t " h e l l o W o rld " l a p o s it io n du c u r s e u r e t G T M e n u Ite m 0 , 0 , 0 , 0 , " R e l a n c e r dans la " , " R" ; r a f r a îc h it le fe n ê tre fe n ê tre 0 m enus à l a I f M en u H it= 0 ; s i l e menu 0 e s t a c t i v é S e l e c t I t e m H it ; on r e g a r d e q u e l ID fe n ê tre 0 (nu m éro ) a é té a c t iv é E n d M a cro A m ig a R i n c l u s ) C ase 0 : !r a f r a i c h i t ; fa it u n e s é p a r a t i o n d a n s l e menu ! fe n e tre G TM en u Ite m 0 , 0 , 0 , 2 , " Q u i t t e r fe n ê tre ","Q" ev= $ 1 0 0 ; menu a c t io n n é ? G TSetM en u 0 ; a t t a c h e l e s te x te (ra c c o u rc i G TM en u Ite m 0 , 0 , 0 , 1 If ; t e x t e h e l l o W o rld à G T M e n u T it le 0 , 0 , " F i c h i e r " dans la E n d lf fe n ê tre 0 exécute la Macro ; s i o n a c t io n n e l ' o p t i o n , r e l a n c e r d a n s l e menu P r o j e t ; q u i t t e l e program m e ; ç a e x é c u t e l a m a cro M a cro r a f r a i c h i t ( r a c c o u r c i A m ig a Q i n c l u s ) ; m a cro q u i C r e a t e M e n u S t r ip 0 ; c r é é l e te ste s i la menu o u v e rte e t r a f r a î c h i t le r a fr a ic h it C ase 2 :q u it t e r = l fe n ê tre e s t ; q u i t t e r s i 1 ' I D du menu e s t Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM 2 te x te W indow 1 ,0,11,640,245,$800,"",1,2 0 E n d lf c a r on ne E n d lf ! fe n e tre peux d 'o r d in a ir e r é a lis e r w in c lo s e = 0 G TSetM en u 0 ; a t t a c h e l e s fe n ê tre 1 1 'é cra n c a r la ; e x é c u te à l a M a cro f e n ê t r e c e t t e o p é r a t io n (d o n c a fe n ê tre e s t E n d lf C lo se W in d o w 0 : F r e e G T L i s t ; b id o u ille pour a tta c h e r le s m enus à l ' é c r a n , m enus a l a End S e le c t I f w in c lo s e = 0 If ; d i t que la C lo se W in d o w 0 f e n ê t r e e s t fe rm é e Repeat l e o u l e s g a d g e ts a f f e c t é ( s ) ; r é p è t e l a b o u c le à la fe n ê tre e v .l = W a i t E v e n t ; a t t e n d u n fe n ê tre ; p e rm e t b o u to n o u a u t r e l a p h r a s e h e l l o W o rld A c t iv a t e 1 ; a c t iv e la E n d lf If e v= $ 40 ; u n g a d g e t e s t If W indow 0 ,2 0 0 ,4 0 ,2 0 0 ,1 0 0 ,$ 2 | $ 8 | $400| $ 1 0 0 0 ," h e l l o W o r l d " , 1 , 2 A t t a c h G T L is t 0 ,0 U n t i l q u i t t e r = l ; ju s q u 'à c e a c t io n n é ? G T B u tto n 0 , 1 , 4 0 , 5 0 , 1 0 0 , 2 0 , "Ok",16 E ven tW in d o w = 0 ; un 1 la ; q u it fe n ê tre 0 ? S e l e c t G a d g e t H it C ase 1 C lo se W in d o w ; a tta c h e 0 :D e t a c h G T L is t 0 : A c t i v a t e f e n ê t r e h e l l o W o rld 1 :w in c l o s e = l c u r s e u r de t e x t e à l ' a b s c i s que q u i t t e r p re n n e l a v a le u r événem ent s ' e s t p r o d u it d an s l e o u l e s g a d g e ts d a n s l a ; p la c e le fe n ê tre fe n ê tre 1 fe n ê tre h e llo W o rld a v e c u n b o u to n OK e t ; d é ta c h e w in c lo s e = l é v é n e m e n t comme a p p u i d 'u n Ok fe rm e p ro p re m e n t l a D e t a c h G T L is t 0 ; c r é a t io n de l a W L o ca te 5 0 , 3 5 ; E n d M a cro h e l l o W o rld a v e c s o n b o u t t o n d ’ a ffic h e r la fe n ê tre 0 e s t - il a c t if ? in v is ib le ) M a cro f e n e t r e ev= $ 200 ; l e b o u to n d e fe rm e tu re de l a End S e le c t E n d lf C lo se W in d o w 0 p ro p re m e n t l a ; fe rm e fe n ê tre F re e G T L is t 0 ; e ffa c e le o u l e s g a d g e ts d e l a m ém oire F o r b i d _ ; p e rm e t d e q u i t t e r p ro p re m e n t End M icro story Gary Kildall L'homme qui aurait pu changer le cours de l'histoire informatique s'appelle Cary Kildall : au début des années 80, son système CP/M faillit damer le pion au MS/Dos de Microsoft. Mais le génie de Cary Kildall ne s'exerçait qu'en programmation... Bill Cates avait pour lui le génie des affaires. / / T ■ u seras professeur dans l'école T fondée par ton grand-père". En une phrase, le père de Gary Kildall avait scellé ainsi le destin de son fils indécis. Comme toute la famille, Gary était donc allé étudier les mathéma tiques à l'Université de Washington, avant de faire ses premiers pas comme ensei gnant à l'Ecole Navale de Monterey en Californie. La vie de Gary bascule devant une publici té. Ou plus exactement devant une page de publicité tirée du magazine Electronic News et affichée ostensiblement dans une boutique d'électronique : "Votre micro-ordi nateur pour 25 dollars". Gary a déjà touché aux systèmes qui équipent son université, mais au début des années 70, la microinformatique n'existe pas et l'annonce se m ontre p articu lièrem en t alléch an te. A l'étude, il s'aperçoit pourtant que la publi cité (1) est un peu mensongère : elle vante en fait les mérites d'un microprocesseur (et non pas d'un micro-ordinateur), le 4004, conçu par une petite société portant le nom d'Intel (Integrated Electronics). Gary décide malgré tout d'acheter le processeur. Prem iers program m es Son premier programme sur 4004 est des tiné à son père afin de lui faciliter les cal culs nécessaires à la pratique de la naviga tion. Mais les limites du 4004 apparaissent rapidement : le "4" dans "4004" signifie que le processeur travaille en blocs de 4 bits, soit moins d'un caractère. Faire réali ser le moindre calcul au 4004 tient du sup plice chinois (2 ). "l'a i failli devenir fou " raconte Gary en songeant à cette époque. Fasciné malgré tout par le potentiel d'une telle invention, il rend visite à Intel en 1972 pour leur faire part des problèmes qu'il rencontre avec ce processeur. La précision des co n n aissan ces de G ary séduit les quelques personnes de la division micro processeur. Ils lui proposent justement de devenir consultant pour la sortie du pro cesseur 8008. Gary est aux anges. Il déve loppe sur gros système un programme simulant le 8008 et son jeu d'instructions afin de concevoir plus facilement des pro grammes. En quelques mois, il crée ainsi le PL/M (Program m ing Language/M icroprocessor). En contrepartie de son experti se, Intel offre à G ary un lntellec-8, un micro-ordinateur fabriqué par la firme à base de 8008. Gary installe la machine dans sa salle de classe et encourage les étu diants à découvrir cette science inconnue. Avec l'arrivée du nouveau processeur 8080, Gary constate que le hardware est désor m ais un fre in à l'é v o lu tio n de ses recherches : au début des années 70, le stockage sur cartes perforées ne s'avère ni très fiable, ni très rapide. Gary entend alors parler d’un nouveau système de stockage sur disque magnétique, introduit par IBM. Il contacte alors Shugart (3), le pionnier dans l’industrie des lecteurs de disquettes, et lui propose des petits développements en échange d'un lecteur 8". Une fois sur son bureau, le lecteur ne se montre pas d'une très grande aide : il manque à Gary une carte électro niq u e p erm ettant de contrôler l'échange de données entre l'or dinateur et le lecteur. Malgré des dizaines d'heures passées à manier le fer à souder, Gary comprend que ses connaissances en programmation ne lui sont d'aucune aide en matière d'électronique. Il part voir son am i John To ro d e de l'U n ive rsité de W a sh in g to n et s'adresse à lui en ses termes : "John, je pourrais faire des choses sensationnelles si tu arrives à faire fonction ner ce lecteur de disquettes avec ce microordinateuiJ'. john prit la machine et s'enfer ma quelques mois pour l'étudier de près. Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM L 'Imsai sera le prem ier succès du CP/M. L Astrology m achine Pendant ce temps, Gary fait ses premières armes comme homme d'affaires, il s'associe avec un de ses amis designer hardware, Ben Cooper, pour lancer l'Astrology M achine, un micro-ordinateur spécialement program mé pour l'étude d'horoscopes. L'idée fait un véritable bide, mais G ary en garde une grande expérience en matière de program mation : pour le lancement de l'Astrology Machine, il a dû concevoir un débugger, un assembleur, un éditeur de textes et même un interp réteur b a sic ... Et lorsque john Torode lui annonce qu'il a enfin réussi à faire fonctionner le lecteur de disquette sur l'Intellec, Gary s'empresse de les adapter et de les peaufiner. moins de m ille francs), G NAT Com puter pourra installer sur toutes ses m achines, actuelles et futures, le CP/M. Quelques mois plus tard, le prix aura été m ultiplié par cent... L'ascension En 1977, Seymour Rubinstein (4 ), patron d'IM SAI (p rin cip al co n cu rre n t d 'A lta ir), contacte G ary : il souhaite acquérir une lic e n c e du C P /M p o ur ses m a c h in e s. Rubinstein est un fin négociateur et il a réel lement la conviction de faire une fabuleuse affaire en achetant 25 000 dollars la licence du CP/M à Gary, qu'il juge excellent techni cien mais bien piètre vendeur. La faiblesse apparente de Gary sur ce prix effectivement System) était né. Ainsi constitué, le CP/M peut être vendu en une seule et même ver sion à des ingénieurs, des revendeurs, des hobbyistes, disposant tous de machines très différentes. En 1980, l'Apple II représente la machine la plus vendue dans le monde... Elle reste mal gré tout la seule à ne pas faire tourner le CP/M. Le jeune Bill Gates y voit là un mar ché intéressant pour sa société Microsoft. Il conçoit alors une carte hardware pour Apple Il (la "Soft card"), pouvant faire tourner le CP/M dont il achète la licence. Le succès se révèle colossal et Microsoft devient rapide m ent le prem ier clie n t de DRI. A cette époque, plus de 200 000 micro-ordinateurs dans le monde sont équipés du CP/M et DRI em ploie près de quatre-vingts per sonnes. De l'astuce de M icrosoft C'est aussi cette année-là qu’IBM annonce ses plans pour sortir un ordinateur person nel. L'histoire a été souvent - et de manière très différente - racontée : en ratant l'offre d'IBM, Digital a ouvert à Microsoft les che mins de son indécent succès. A l'époque, Big Blue recherche en externe des compétences pour développer un systè me d'exploitation pour la nouvelle machine. Le choix du système ne fait aucun doute : le CP/M de Gary Kildall est idéal pour le pre mier PC. Une équipe d'IBM est envoyée à l'im proviste chez DRI pour entam er des négociations. Gary est absent des locaux (il se trouve à bord de son avion personnel) et Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM G ary jug e ses p ro g ram m e s assez puissants pour les propo ser à In te l. Bob N o y c e , le patron d'Intel, refuse en bloc ses propositions : d'après lui, le microprocesseur n'a pas d'ave nir dans le domaine de l'infor matique mais plutôt dans "le domaine des montres" ! Parmi tous les program m es refusés par Intel (dont un "jeu d'arca de" pour le 4004), Gary est par ticulièrem ent fier de son gestionnaire de disque. Fin 1974, il décide de fonder avec son épouse Dorothy "Intergalactic Digital Research Inc" pour la commercialisation de ce program m e rebaptisé CP/M (Control Program/Monitor ou Control Program for Microcomputers). Le p rem ier clie n t de D ig ita l est G N A T Computer. A l'époque, un "système d'ex ploitation" représente un produit nouveau et Gary n'a pas de référence pour fixer ses p rix. Fin alem en t, pour 90 d o llars (so it L'intellec 8 d'Intel. très bas résulte pourtant d'un calcul : en cédant au premier constructeur de micro ordinateur la licence de son CP/M , Gary peut espérer en faire un standard. Sa straté gie s'avère pertinente : à partir de cette date, le chiffre d'affaires d 'Interg alactic Digital Research (rebaptisé Digital Research Inc.) se développera de manière exponen tie lle . Pour c o n tre r l'a p p a ritio n de ses concurrents, Gary améliore encore le CP/M pour le rendre indépendant du hardware de la machine : le BIOS (Basic Input/output Dorothy refuse de signer l'accord de confi dentialité présenté par IBM. Agacée, l'équi pe d'IBM se tourne alors vers Microsoft qui a, de notoriété publique, des accords de licence avancés avec DRI. Ce n'est pas réel lement le cas, mais Microsoft se garde bien de le sig n a le r à IB M . D ans l'u rg e n c e , Microsoft s'adresse à Tim Paterson (5) de la Seattle Computer Company. Programmeur de génie de 24 ans, Tim a mis au point le "QDOS", acronyme pour "Quick and Dirty Operating System" (système d'exploitation rapide et sale), un clone du CP/M ré-écrit pour les processeurs 16 bits. M icrosoft achète le QDOS à Paterson pour la somme de 50 000 dollars (environ 250 000 francs)... Renommé MS/DOS, c'est finalement grâce à l'absence de Gary de ses bureaux que tous les PC de la planète seront équipés du systè me de Microsoft. G randeur et décadence L'épisode n'affecte pas, du moins sur l'ins tant, Gary : il continue à cultiver son génie pour la programmation. Il est à l'origine des principes du m ultitâche préem ptif et du RAM Disk. Il écrit également une version du Logo pour son fils Scott, dans le seul but de Microstory une écurie de quatorze voitures de course et un studio d'enregistrement. En 1994, il décède à 52 ans d’une hémorra gie cérébrale après une chute dans un res taurant. L'histoire n'est pas pour autant term inée En 1995, Gary obtient à titre posthume le prix de la Software Publisher Association au m êm e titre que Steve W o zn iak, G râce Hopper, Seymour Papert... En 1996, Caldera Corp a racheté à Novell les licences du CP/M. Estimant que celui-ci (et ses d e sc e n d a n ts, le D R-D O S et N m s REAL/32) a été injustement écarté du mar ché par les p ratiq u es co m m erciales de Microsoft, Caldera a déposé cette année-là une plainte contre la firme de Bill Gates. Le 29 juillet dernier, lors de la première audien ce consacrée à cette affaire, le juge Ron Boyce a demandé à Microsoft de livrer à Caldera une partie du code de Windows 95, afin que des analyses plus poussées puissent Les bureaux de D igital Research. lui apprendre la logique et la programma tion. Le programme s'avère si bien conçu qu'il obtiendra beaucoup de succès lors de sa diffusion, sous le célèbre nom de DR Logo. ‘Gary est également concepteur du GEM ( Graphical Environment Manager), une interface graphique qui présente l'immense avantage de s'installer sur n'importe quelle machine. L'environnement ne verra jamais le jour : Apple trouve le GEM trop proche du système du Usa et menace DRI de pour suites judiciaires. DRI fera marche arrière, n'imaginant pas que, quelques temps plus tard, Microsoft allait sortir Windows sans être inquiété (en définitive) par Apple. Les investissements gaspillés sur le GEM viennent s'ajouter à une multitude d'autres dysfonctionnements : DRI est par exemple incapable de répondre aux demandes tech niques des utilisateurs du CP/M . Ceux-ci nourrissent au fil des mois un vif ressenti ment à l'égard de DRI, qui laisse ses utilisa teurs dans le pétrin. L'image de marque de la société en souffre. Au même moment, Gary se sépare de Dorothy, qui conserve m alg ré to u t son p oste ch e z DRI . . . L'ambiance dans la société devient irrespi rable. A cette époque, l'inéluctable ascension de M icro so ft rem ue le p e tit m onde de la Silicon Valley. Gary semble mal le vivre, conscient d'avoir raté le coche. Ben Cooper se souvient d'une conversation avec Gary : "Un jour, il m'a pris à part et a commencé à me parler d'Apple, j'y ai tout de suite vu de l'amertume. Il m'a dit : "Regarde Steve Jobs. Il n'est rien. Steve Wozniak a tout fait. Le hardware et le so ftw a re ". Il ne fa isa it aucun doute qu'il souffrait du succès de Bill Gates et du manque de reconnais sance pour son travaiP. être effectuées sur la com patibilité et les similitudes de Windows et du DR-DOS... Une première victoire pour Caldera et une petite revanche en mémoire de Gary. Wim Sical Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Le 4004, le premier processeur Intel. Après un labeur acharné a u to u r de l'in te rfa c e m ic ro - o rd in a te u r/ C D Rom , G a ry d é c id e de vendre DRI à Novell en 1 9 9 1 . T o u s les p ro je ts furent absorbés et dissous en quelques m ois. G ary déménage alors au Texas. Le deal avec Novell a fait de lui un homme riche. Il dispose d'un ranch près d'un lac, où il entretient Notes ( ! ) Cette annonce est l'œuvre de Regis McKenna, un publicitaire qui contribuera par la suite au destin d'Apple en gérant les pre mières campagnes de communication de la Pomme. Le flou entretenu dans la publicité autour de "micro-ordinateur" et "micropro cesseur" répond en fait à une volonté de Ted Hoff (l'un des ingénieurs d'Intel), qui avait vu là le moyen de rendre le produit beaucoup plus séduisant. Nul doute qu'aujourd'hui une telle arnaque relèverait de la répression des fraudes... (2) Le 4004, qui comptait à l'époque 2300 transistors (contre 5 ,5 millions pour un Pentium Pro), a malgré tout équipé la navet te Pionneer 10, lancée le 2 mars 7972. (3) Quelques années plus tard, le fondateur de S h u g a rt, Alan S h u g art (à ne pas confondre avec Alan Sugar), créera Seagate Technologies. (4) Seymour Rubinstein sera par la suite à l'origine de Wordstar, le premier traitement de textes ayant connu un succès commer cial. On lui doit également le tableur Quattro Pro. (5) Tim Paterson est désormais consultant pour Microsoft. Même si la vente de son sys tème ne lui a pas rapporté grand-chose, les parts qu'il possède dans Microsoft depuis 1981 l'ont rendu millionnaire. Ho r s - sér ie Pc t e r m n "4 S p é c ia l h isto ire de lr ET D E S J E U X VIDÉD MICRO D e i. h p r é h i s t o i r e r u d e r n i e r P e n t i u m 1 0 p o r t r a it s d e p io n n ie r s 2 0 m a c h i n e s d e lé g e n d e 5 0 j e u x q u i o n t f a i t le j e u v id é o ! Toute l’ histoire L e s s c a n d a l e s , le s s u c c e s s - s t o r i e s , le s s a l e s c o u p s , le s b id e s c o m m e r c i a u x .. . le\fandesdal«' de la micTO et dujeuvide' dtUm uto liimatlilTi^d»légende S ur l e C D - R o m ! ''% ► l u 5(.p ln \V ,n d ,' ,u* del'hiitolr» Ihrtloued»' lo^icîeU T o u s le s é m u l a t e u r s pj©l tMIflWWl' dularça!*' dtptosnwmalion T o u s le s c l o n e s d e s p l u s g r a n d s c l a s s i q u e s d u j e u v id é o U n q u i z z i n é d i t e t e x c l u s i f s u r l ’ h i s t o i r e d u j e u v id é o ( p lu s d e 8 0 Ô q u e s t i o n s !) £ | - iwsl dtlamitto lu u»ntlal*v luclom.Wibit»*' tpteam '. mtïTxrCTw'ss'h Hors Séri e E n m io so u e R u P R IH D E 39 FRAN CS ! Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM | | Æk * M Y G A i L l Clavier A1200 Quaterback 5 Tel/Fax : 04.93.13.06.35 21 90f 349f 750f 1250f 500f 24 90f 3 1 0 0 f - 5390f 2990f 36 90f - 5990f 3590f +500f 1100f BVision PPC 4 Mo Dispo 1590f AMIGA 4QQQ PPC604e200+40/25-60/50+scsi PPC604e200+socket 60+scsi PPC604e233+40/25-60/50+scsi PPC604e233+socket 60+scsi FlickerFixer interne A2000/3000/4000 5 7 9 0 f - 7790f 5390f 6 2 9 0 f - 8290f 5890f 1100f Cybervision PPC 8 Mo Dispo 1990f Nous reprenons vos cartes pour l’achat d’une PPC Apollo 2030/28+68882+scsi Apollo 2040/25+scsi 1200f 1750f PROMOTIONS Carte Zorro II Micronik Video slot Zll Micronik Alim 20A A500/A600/A1200 Alim 3A A500/A600/A1200 Picture Manager 4 Pro (va) Art Studio Pro (va) Burn It TAO (va) Gravage CD Fifa Soccer Dk Blockhead Dk Flying High Data * r r i u m u d u iv iw io . 31 B d R a im b a ld i 0 6 0 0 0 N IC E A M IG A 1200 Processeur 68060 Copro 68882/50 Mhz PG A Apollo 1230/40 Apollo 1240/25 Module S C S I Apollo PPC603e160+68040/25 PPC603e200+40/25-60/50 PPC603e200+socket 60 PPC603e240+40/25-60/50 PPC603e240+socket 60 PPC avec S C S I II FlickerFixer externe tout amiga = 990f 399f 349f 199f 299f 249f 24 9f 100f 100f 80f 100f 10Of F R A IS D E P O R T C D /je u x/Lo g icie l : 3 5 f C arte/H D /M em : 6 0 f T o u r: 100f +1 Of par produit en plus 10H30-12H30 / 14H-19H M E M O IR E / C O P R O C E S S E U R SIMM 32 bits 16 Mo EDO 60ns 180f SIMM 32 bits 32 Mo EDO 60ns 299f Disque Dur ID E 2 Go 1190f CD Rom ID E Interne 32X 449f DIVERS Lecteur 1.76Mo interne(4) / Externe 4 4 9 f Souris Wizard Cable Pamet + Programmes Cable 2.5/3.5/3.5 Tour Micronik A1200 Alim Micronik Tour A1200 Boîtier Clavier A1200 S csi slot pour tour Tour+alim+boitier clavier Tablette Wacom Artpad 2 Pad Compétition Pro X1 / X3 129f WordWorth 7 Miami V3 (va) l-Browse (va) TurboPrint 6 (va) Elastic Dreams CD (va) Deluxe Paint V CD Scala MM400 CD (va) Siam ese System (va) Amiga Tools 8 CD Aminet 16 à 22 CD Aminet 23 à 26 CD Aminet set 6 CD Amiga Forever 2.0 Samba World Cup CD ou Dk Quake CD Time Reckoning Quake CD (Add On) Foudation CD Genetics species CD / 540f 120f 120f 100f 990f 399f 349f 149f 1590f 1250f / 349f 449f 299f 299f 399f 499f 199f 49 9f 299f 120f 65f 85f 199f 369f 269f 349f 199f 269f 269f Akira CD32 Workbench Designer 2 CD Amiga Tools 6 CD Geek Gadgets A D E 1 ou 2 CD Quaterback Tools Bundle Distant Suns 5.01 CD Distant Suns 4.2 Flight Amazon Queen Blitz Tennis Nemac IV CD Testament Master Axe Humans 3 CD/Dk Cygnus 8 Uropa 2 CD Shadow of 3Rd moon CD Myst CD Brain Damage Pinball Simon Sorcerer CD Megablast Enemy Railroad Tycoon Colonisation Giga Graphics CD P-OS Pre release CD Sword PPaint 7.1 CD UFO Mega Typhoon Theme Park Chaos engine 2 AGA Mods Anthology CD Trapped 2 CD Tiny Troops Light Rom Gold CD Light Rom 5 CD Light Rom 6 CD Diavolo Backup Magic Publisher CD Scala Plug In CD F15 Strike Eagle II Final Odyssey CD On Escapee CD PRIX NETS TTC MODIFIAB ES SANS PREAVIS - CHEQUE A L’ORDRE DE MYGALE 80f 120f 80f 100f 180f 169f 10Of 169f 100f 149f 129f 129f 149f 100f 199f 199f 299f 149f 149f 100f 149f 149f 180f 149f 120f 160f 249f 149f 149f 149f 149f 180f 180f 180f 180f 199f 290f 299f 199f 199f 149f 269f 269f Lecteurs D r e a m est é d ité p a r Po sse Press, SARL au press'. 6) Linux a été conçu de maniè c a p ita l d e 2 5 0 0 0 0 fra n c s , 1 6 , ru e d e La la ta ille de ma p a rtitio n de Swap qui est actuellem ent de re intelligente et ne crée donc pas de fichiers sur le disque uni Télécopie : 01 4 3 55 6 6 68 4 0 Mo ? q u em ent p o u r le p la isir. Le passer à 64 Mo. Devrais-je m odifier le noyau ou changer Jaja FLO T DE QUESTIONS fichier core conçu offre une Email : rcanonge@ posse-press.com D ire ctrice d e la ré d a ctio n : Christine Robert 1) Lors de l'installation d'une image de l'état de la mémoire nouvelle version d'un package et du système au moment de D ire ctrice p ro m o tio n /p u b licité : tgz, au moment du ''make ins tall", les fichiers vont être récem m ent, mais étant un uti copiés en écrasant les précé la cause de Terreur. Toutefois, lisateur de Dos et W in d o w s, dentes versions si elles existent. Donc, nul besoin de désinstaller pour exploiter ce fichier, il faut le plus souvent avoir recours à un outil spécialisé, comme Cdb. essayé plusieurs distributions, j'ai o p té fin a le m e n t p o u r la uniquement pour la Debian. Il Red H a t 5 .0 p o u r l a q u e l l e doit être disponible sous forme courante, le plus simple consis te à supprimer le fichier. de p a c k a g e RedH at, et Dans le cadre d ’une utilisation pour la 7) Il y a sous Linux a u ta n t fo n ctio n n e de d'antivirus que de virus : aucun. rpm Email : crobert@ posse-press.com H élène Blondel Tél. : 01 53 36 84 20 Em ail : hblondel@ posse-press.com C h e f d e p u b licité : M arie-Hélène Dussottier Tél. : 01 5 3 36 8 4 21 le package antérieur. 2) L'utilitaire alien n'existe pas voici une foule de questions 1 ) C o m m e n t m e ttre à j o u r Rom ain C an o n g e Tél. : 01 5 3 36 84 24 J'ai d é c o u v e r t L i n u x a s s e z a v e c c e t U n i x . A p rè s a v o i r D ire c te u r d e p u b lica tio n : Tél. : 01 5 3 36 8 4 25 Terreur, dont le but premier est d'aider le développeur à trouver j'avoue que j'ai un peu de mal Fontaine au Roi, 75011 Paris. T é lé p h o n e : 01 5 3 36 8 4 10 des lo g icie ls fo u rn is en p ac manière identique à son homo 8) Nul besoin de recompiler le ka ges " tgz" ? Ex is t e- t- il un logue Debian : un package tgz, noyau ni de modifier la taille du autre m oyen q u 'en lever l'an rmp ou deb est pris en entrée Swap. Si les 40 Mo suffisaient cienne version, avant d'instal et converti au choix en rpm ou avec 16 Mo de RAM, cela sera ler la nouvelle ? en deb. 2 ) P eu t-o n tra n s fo rm e r des 3) Une première partie de la encore plus vrai avec 64 Mo, puisque cette partition se verra p a c k a g e s " t g z " en " r p m " , réponse se trouve indiquée ci- moins sollicitée. Em ail : pub@ posse-press.com R e sp o n sa b le co m p ta b le e t ad m in istra tiv e : A ngelina Parmentier Tél. : 01 5 3 36 8 4 23 Em ail : adm in@ posse-press.com A ssistan te d e d ire ctio n : Valérie Am brosio Tél. : 01 5 3 36 8 4 2 2 S e cré ta ire g é n é ra le : A nna Vincent Tél. : 01 5 3 36 8 4 10 R e n se ig n e m e n ts : (te c h n iq u e , v p c , a b o n n e m e n ts) Tél. : 01 5 3 36 84 18 du m ardi au vendredi d e 1 0 h 0 0 à 12h30 D ire c te u r a d jo in t d e la ré d a ctio n : Yann Serra Tél. : 01 53 36 8 4 15 Email : yserra@ posse-press.com comme le f a i t l'u tilitaire d'un package tgz se m ontre Debian ? généralement très simple : Frédéric D ubuy Tél. : 01 5 3 36 8 4 1 3 Email : fdubuy@ posse-press.com R é d a cte u r e n c h e f a d jo in t : G u illaum e Girard Tél. : 01 5 3 36 8 4 11 Email : ggirard@ posse-press.com dessus. Toutefois, l'installation "alierf" p o u r la d is trib u tio n R é d a cte u r e n c h e f : S e cré ta ire d e ré d a c tio n : Bernard M édioni Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM B O O T E R S U R UN CD ? Tél. : 01 53 36 8 4 14 D ire c te u r d e s p ro je ts m u ltim é d ia : 3) Existe-t-il un utilitaire d'ins tallation (hors Slackware) pour les packages "tgz" ou faut-il attend re d 'avo ir une version rp m ou deb ou encore essayer de les co nstru ire soi- Frédéric Botton tar xzf package.tgz cd <répertoire> ./configure make make install L Am iga est-il capable de boo- ter à partir d'un CD-Rom ? Si oui, celui-ci doit-il être dans un form at particulier ? Bruno même (question 2 ) ? Tél. : 01 5 3 3 6 8 4 12 Em ail : fbotton@ posse-press.com O n t co lla b o ré à c e n u m é ro : Yannick C ad in , D o m in iq u e Clain, David Feugey, Em ile Heitor, Fabien M ansart, Vincent O neto , Frédéric Peschanski, A ntoine SabotD urand, Y ann Serra, W im Sical, Benjam in V em o u x, Ben Yoris, jakub Zim m erm ann . D ire c te u r a rtistiq u e : Pierre-Yves Roudy Tél. : 01 5 3 36 8 4 28 4 ) J'ai r e m a r q u é , t o u j o u r s p our les p ackag es tg z, qu'il Ceci marche dans plus de 99 % En version de base, le CDTV et des cas. le CD32 sont les seuls Amiga Em ail : pyroudy@ posse-press.com R é d a c te u rs g ra p h iste s : Séverine Briaud fichiers 4) Le make uninstall ne se voit capables de b oo ter à p artir Tél. : 01 5 3 36 84 2 7 d éco m p ressés p o u r p o u v o ir pas toujours couronné de suc d'un CD-Rom, car ils disposent Julie C harvet faut garder les Em ail : crea@ posse-press.com Tél. : 01 53 36 8 4 2 7 les enlever avec "make unins- cès. Aussi est-il plus facile, lors de la routine nécessaire dans tall". autre du make install, de rediriger la leur Rom. Grâce aux dernières Illu stra te u r : m oyen, histoire de gagner de versions des cartes S C S I de R éalisa tio n d u C D : Posse Press la place ? sortie standard vers un fichier log, qui contiendra ainsi la liste 5 ) Q u e l l e est la d i f f é r e n c e des fichiers déjà installés. Il suf Existe-t-il un Em ail : crea@ posse-press.com Ch ristophe Bardon F a b rica tio n : Phase 5, les Amiga 4000, 3000 et 1200 ont depuis peu acquis P h o to g rav u re : La station graphique Im p re ssio n : Léon ce Deprez R éa sso rt : Distrim édia (Toulouse) e n t r e les f i c h i e r s " t g z " et fit de conserver ce seul fichier cette caractéristique. Tél. : 0 5 61 4 0 74 74 "tar.g z" ? J'ai rem arq u é que pour pouvoir ensuite effacer les D é p ô t légal : à parution pkgtool, entre autres, n'avait fichiers devenus inutiles. Autrement, il reste toujours la possibilité de bidouiller. Tout pas le m êm e co m p o rte m e n t pour l'un ou l'autre. 5) Il n'existe aucune différence d'abord, en p a ssa n t p a r les émulateurs CD32 offerts avec 6) Les fich iers core ap p a ra is entre tar.gz et tgz, mis à part le nom. La dénomination origi Rom ain C an o n g e, Christine Robert les pilotes de CD-Rom (genre Toute représentation ou toute reproduction inté sent quand une erreur se pro nale est tar.gz, qui apparaît duit. Peut-on s'en servir pour parfois sous la forme .tgz, cer Idefix). Ensuite, en faisant sem blant de booter sur le CD. La c o r r i g e r les e r r e u r s ( o u au tainement pour s'adapter à cer m oins essayer de les trouver) tains systèmes ne comprenant D iffu sio n : Mlp C o m m issio n p a rita ire : n °7 5 3 6 4 R e p ré se n ta n t lé g a l : Rom ain C an o n g e A sso cié s p rin cip a u x : Co pyrigh t 1 9 9 7 - Posse Press grale ou partielle du magazine, toute utilisation du logo de Dream ne peuvent se faire sans l'accord de l'éditeur. L'envoi de textes, photos, logiciels à l'édi teur implique l'acceptation par l'auteur de leur libre procédure se montre simple : on laisse l'ordinateur booter à publication. Sauf accord spécial, les documents ne sont jamais restitués. L'éditeur décline toute respon sabilité quant aux opinions formulées dans les ou faut-il sim plem ent les sup prim er ? pas la présence de deux points partir de son disque dur mais articles, celles-ci n'engageant que les auteurs. Les d ans fichier. en ayant au préalable modifié respectifs. Leur citation est faite sans aucun but 7 ) E x i s t e - t - i l des a n t i v i r u s Attention toutefois aux fichiers la Startup-sequence. Celle-ci cédés soient tombés dans le domaine public. pour Linux ? .taz qui sont en fait des . tar.Z', doit rediriger toutes les assigna 8 ) je p o ssèd e a c tu e lle m e n t donc des archives compressées tions vers le CD -Rom de la 16 Mo de RAM et je désirerais à l'aide de la commande 'com- manière suivante : un nom de marques citées appartiennent à leurs propriétaires publicitaire et ne signifie en aucun cas que les pro pcSvSe. À Abonnement Dream, le magazine de la micro alternative. ïntrociuri ion 11 numéros de Dream avec son CD-Rom = 429 francs + Introduction à Perl, Editions O'Reilly = 220 francs Soit un total de^649-francs 419 francs Offre spéciale Perl! TCP/IP Offre Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM spéciale 479 francs TCP/IP! soit plus de 35% d'économie ! Ouvrage également disponible en librairie 11 numéros de Dream avec son CD-Rom = 429 francs + TCP/IP, Administration de réseaux, Editions O'Reilly = 320 francs Soit un total de'749-francs soit plus de 35% d'économie ! Ouvrage également disponible en librairie 2eédition u N N Oui, je souhaite m 'a b o n n er à Dream pour un an. □ Formule 1 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + Introduction à Perl, Editions O'Reilly, 419 francs à l'ordre de Posse Press. Le livre me parviendra séparément, en recommandé. □ Formule 2 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + TCP/IP, Administration de réseaux, Editions O'Reilly, 479 francs à l'ordre de Posse Press. Le livre me parviendra séparément, en recommandé. □ Formule 3 : abonnement d'un an à Dream avec CD-Rom, 329 francs. Nom : ......................................................Prénom : ........................................................ Adresse : ................................................................................................................................................................ ..................................................................... Code postal.: .................................................. Ville.: ....................................................................................................................................................................... Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : ............................. Ci-joint un règlement d e francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press. i . n Y i i i iY <L i i i Y zj j j Y expire le L , My D R @ A M En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander : Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00 Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 Offre à renvoyer à Dream/Abonnements, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. T a r if p o u r la F ra n c e m é tr o p o lita in e u n iq u e m e n t. D O M / T O M © e t é t r a n g e r , a j o u t e r 1 0 0 fr a n c s a u p r ix d e l'a b o n n e m e n t , p a i e m e n t p a r m a n d a t u n iq u e m e n t . O f f r e v a l a b l e j u s q u 'a u 1 0 n o v e m b r e 1 9 9 8 ( c a c h e t d e la p o s t e f a is a n t f o i) . I n f o r m a t i q u e s e t l i b e r t é s : e n a p p l i c a t i o n d e l ' a r t i c l e L 2 7 d e l a l o i d u 6 j a n v i e r 1 9 7 8 , r e l a t i v e à l ’i n f o r m a t i q u e e t a u x l i b e r t é s , v o u s d i s p o s e z d ' u n d r o i t d 'a c c è s e t d e r e c t i f i c a t i o n p o u r t o u t e i n f o r m a t i o n v o u s c o n c e r n a n t e n v o u s a d r e s s a n t à n o t r e s i è g e s o c i a l . L e s i n f o r m a t i o n s r e q u i s e s s o n t n é c e s s a i r e s à l ’é t a b l i s s e m e n t d e v o t r e c o m m a n d e . E l l e s p o u r r o n t é g a l e m e n t ê t r e c é d é e s à d e s o r g a n i s m e s e x t é r i e u r s , s a u f i n d i c a t i o n c o n t r a i r e d e v o t r e p a r t . F o r u m i Assign Assign Assign Assign Petites Ann on ces SYS: CDO: Libs: CD0:libs/ Devs: CD0:devs/ S: CDO:s/ com prendre que la version 3D, qui a succédé à la version 64 tout court, serait moins puissante, bien que plus récente ? Dominique Et de terminer le script par un simple : Exécuté CDO:S/Startupsequence QUELLE CARTE GRAPHIQUE ? Dans votre test de la carte graphique CybervisionPPC ( Dream No 54), vous dites : "l'affichage du Workbench se montre en moyenne aussi rapide qu'avec une Picasso IV ou une Cybervision64, c'est-àdire moins rapide qu'une Cybervision 64/3D". Dois-je VENTES Vends 3 Amigas : un 1200 DD écran 1 300 francs pièce, un 4030 à 4500 francs avec écran et un 4040 DD écran Vlab à 5500 francs. Tél. : 05 65 30 00 77. Demander P. LAVAUR. La Cybervision 6 4 /3 D est une carte économique ; voilà pour quoi Phase 5 l'a choisie comme rem plaçante de la Cybervision 64 (d o n t les ve n te s se ré v é laient déceva n tes). La version 3D e st en fa ite c o n s tr u ite autour de la puce graphique 53 Virge, d o n t la ca rriè re su r le marché "PC bon marché" s'est avérée très honorable. C o n struite p o u r être très peu onéreuse, elle offre des perfor m an ces ju s te com m e il fa u t, sans plus. Néanmoins, Phase 5 a joué sur le fait q u ’elle dispo (Packard Bell) + écran + etc. 3500 francs. Téléphone pour renseignements après 19 h. au 04 77 83 89 52. sait de fonctions 3D intégrées, contrairem ent à la Cybervision 64. Attention, les fonctions 3D en question sont loin de rivali ser avec ce que sait faire une carte 3Dfx sur PC ; par ailleurs, elles s'utilisent sur Amiga (seule une version du jeu Descent les exploite). Enfin, il convient de rem arquer que le scandoubler de la Cybervision 6 4 /3 D n ’est livré q u ’en option et ne peut se brancher que dans un connec t e u r s p é c ifiq u e de l ’A m ig a 4 0 0 0 . P o u r le s u t ilis a t e u r s d ’u n e a u tre m a c h in e , n o u s conseillerions p lu tô t une carte Picasso IV ou, dès q u ’un scan doubler dédié sortira, l ’un des n o u v e a u x m o d è le s de c a rte g rap h iqu e que vend a ctu elle m ent Phase 5 (Bvision P P C et CyberVisionPPC). 59760 Grande Synthe. Cherche contacts sur Amiga Aga. Vds Impr. Canon BJC 4000 : 900 F. Ecrire à Blanc Christophe, 99, rue Marcel Désormais, il est possible d'écrire à Dream par E-mail ! N'hésitez donc pas à envoyer toutes vos missives à l'adresse [email protected]. Nos experts se feront un plaisir de répondre à toutes vos questions ! Sembat. 56600 Lanester. Cherche contacts sur Amiga 1200 CD, sur 75/78. Rachète CD (skm 2, mods, d o o m ...). Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Vds pour A l 200 : Tour Atéo + CD x8 + Lect. HD + MTEC 68030 28 MHz 4 Mo + Idemux. Tél. : 02 41 51 48 21 ou 02 47 38 67 12. *Vds Pen tiu m 2 2 6 6 6 4 Mo SDRam , 6 ,4 Go DD, V id éo ATI XPERT AGP, A w e 64, carte m ère A b it 4 4 0 Ix, écran 15" : 8 0 0 0 fra n c s. Tél. : 06 12 36 43 57. A l 200 + 1220 28 + 4 Mo + DD 120 + CD x 16 + 1083 S + Digit. Son + Int. MIDI + NBES Disks + CD + Divers : 2 800 F. : 300 F à débattre. Tél. : 03 85 34 71 14 (71). Vds A l 200 + HD plein + jeux et utilitaires + joystick 2500 francs. HD 420 Mo 500 francs. 68030 50 = 8 Mo 700 francs. Tél. : 06 81 51 59 52. Vds A600 + 2 Mo graph + carte mémoire 4 Mo + jeux + joystick 1000 francs. Tél. : 06 81 51 59 52. Vds Psion Serie 5 8 Mo, avec son alimentation secteur. Peu servi. 4500 francs, soit une éco nomie de plus de 600 francs sur un Psion neuf ! Tél., le soir : 01 44 65 09 77 (David). Email [email protected] O livier 19 h. 01 30 43 30 41. 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C ontacter Blondel Dany, 3 voie Henri Dunant, Règlement p a r chèque ou m andat à l ’o rdre de Posse Press/PA, i o, ; rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris. Parution de l'annonce sous un ou deux mois en fonction des dates de bouclages du magazine. La vente et l'échange de logiciels concerne uniquement les o rig in a u x. Posse Press se réserve le d ro it de refuser toute annonce portant à confusion. En kwoque toiut Léo mou - 58 franco oeulement avec oon CD-Rom ï o u t l ' u n i u e r s de la c r é a t i o n n u m é r i Q u e : 3 0 , 20, i m a g e de s y n t h è s e , r e t o u c h e d ' i m a g e m i s e en p a g e h t m l , c o n c e p t i o n llteb, c o n c e p t i o n m u l t i m é d i a , m u s i q u e , u i d é o n u m e r i g u e J o u t e s l e s m a c h i n e s : PC. Mac. f i mi ga . A t a r i . R i s c O s . S t a t i o n s . . . Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Au sommaire : Dossier : Le phénomène "Fr. l\ts pokei * Max 2.5 Fii^-VoiK^ in t e iy ^ a p l» i toyicn-'» cornpM o ff e r t 1 1 Touch" Pratique 3D : Amapi ° Inspire 3D R u b riq u e * * P« Pratique 2D : Photoshop 5, lllustrator 7 A in a P < poser 1 inspire 30 Pratique On/off line Stratavision Flah 3, Director 6 Photoshop llhistratoi Pratique musique spécial tec Seq 3 0 3 , Rave e Jay F la s h i D iie c t o r Pratique vidéo ; Prerrr MhsUv»*' S « l3 0 î R ave eJay le s e tt e t s s p ^ t,a ,lî< A tlo h e P re m *f M«<ria Studio d ' A f » n ^ eddo11 Tests : 3D S max 2 5 Sur le CD : Logiciel complet : Convert Images : auto...~v le traitement de vos images 20F 35F Le Pc sans se planter Tout pour comprendre et acheter un ordinateur multimédia : l'unité centrale, le stockage magnétique, l'affichage, le multimédia, les communications, les imprimantes, les souris, les joysticks... Avec CD-Rom Le Pc sans fausses notes Tout sur la musique assistée par ordinateur : le Midi, le hardware, le software, Internet, rubriques pratiques... Avec un CD comprenant 34 démonstrations commerciales, 50 Mo de modules, 13 trackers, 100 fichiers Wav... Le PC dans la poche Tous les ordinateurs de poche : Psion sériés 3 et 5, Palmpilot, Hp48, Ti92, Newton, Windows C e ... Avec tous les logiciels de connexion pour Amiga, Atari, Linux, etc. PORT • D ream n°1 Dossier : la CD-32 Reportage : l'ECTS de Londres Disquette : DSS 1, version complète • D ream n°2 Dossier : les jeux de Noël Reportage : comparatif numériseurs Disquette : Amos Turbo • D ream n°3 Labo : Photogenics... Disquette : Skidmarks II, la démo • D ream n°16 Dossier : les clones Amiga arrivent Reportage : l'Amiga s'impose à Imagina Disquette : Photogenics, la démo • D ream n°17 Dossier : la Doom-mania arrive sur Dossier : les imprimantes Reportage : le Supergames show Amiga Labo : GoldEd 2 .1 .1 , Easy calc, Studio Disquette : Cinem orph, version complète • D ream n°4 Dossier : les virus professional 2 ... Disquette : DSS 3, version complète • D ream n°18 Reportage : le Winter Ces de Las Vegas Disquette : Quickwrite, version complète • D ream n°5 Dossier : l'ECTS de Londres Labo : DPaint V, Scala m m 400, Sherlock, Diavolo, Power C D ... Disquette : Brutal, la démo • D ream n°19 Dossier : sex'n'Amiga Labo : Blitz Basic 2, Mediapoint... Dossier : les dessous du rachat par Escom Disquette : Skidmarks démo • D ream n°6 Dossier : le salon Imagina 94 Labo : ADPro 2.5, Quarterback... Disquette : Personal Paint 4, version complète • D ream n°7 Reportage : l'Amiga à L'E3 de Los Angeles Disquette : OctaMed pro 5 .0 4 , version complète • D ream n°20 Dossier : l'Amiga et Internet Labo : Photogenics 1.2, Kit tower 1200, Digita Organiser... Disquette : Obsession Flipper, la démo • D ream n°21 Dossier : transformez votre Amiga en PC, M ac... Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ... Disquette : Flight Of The Amazon Queen, la démo • D ream n°22 Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga Labo : CD Write, lecteur Zip... Disquette : Vroom Multiplayer, version complète • D ream n°23 Dossier : optimisez votre Workbench ! Reportage : l'Amiga aux commandes du virtuel Disquette : Coala, la démo • D ream n°24 Dossier : choisir un lecteur CD-Rom pour Amiga Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo, Action replay 1200... Disquette : Boston Bomb Club, version complète • D ream n°25 Dossier : l'Amiga expo fait un carton Labo : Directory Opus 5.0 Disquette : Virus Checker 8.03 • D ream n °26 Dossier : les ordinateurs exotiques Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1, Arts et frontières... Disquette : Zeewolf 2, la démo • D ream n°27 • D ream n°28 Dossier : les extension du PC au service de l'Amiga Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc 3.5, © -N etDisquette : TurboPrint Professional 4. 1, version light • D ream n°29 Dossier : Viscorp rachète l'Amiga Labo : DeltaTower, D iskSalv4... Disquette : MandelTour AGA, version complète • D ream n°30 Dossier : toutes les clés pour éviter la galère Labo : Wordworth 5, World Atlas, encyclopédie Adfi... Disquette : Blitzbank 2.1 • D ream n°31 Dossier : le quizz de l'été Labo : Image FX 2 .a, Artpad 2, Vid 24, Kit Internet... Disquette : une sélection de DP • D ream n°32 Dossier : quel fournisseur Internet choisir ? Labo : Turbo print v 4 .1 ... Disquette : Poweroïds • D ream n°33 Dossier : le multimédia et l'Amiga Labo : la carte Cyberstorm 060 Disquette : une sélection de DP • D ream n°34 Dossier : la communauté Amiga à la Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Toute l'histoire de la micro De l'Eniac à la BeBox en passant par le ZX81, l'Apple II ou l'Amstrad, découvrez la grande aventure de la micro informatique. Avec un CD-Rom 15F Le CD PC Team ♦PORIf (n°10 à 24) Retrouvez sur chacun de ces CD-Rom un répertoire Amiga d'environ 10 Mo : jeux, utilitaires, astuces, fichiers images, sons... cpteam Dossier : le piratage Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le PAR... Disquette : Canon Studio, version complète • D ream n°8 Dossier : les simulateurs Labo : Overdrive C D , Caligari, Directory Opus... Disquette : Personal Font Maker, version light • D ream n°9 Dossier : l'Amiga en vacances Labo : Imagine 3.0, Emplant Disquette : Abank • D ream n°10 Dossier : les mangas et l'Amiga Labo : carte M-Tec, Can do... Disquette : une sélection de DP • D ream n °1 1 Dossier : l'avenir de l'Amiga Labo : Lightwave, Dice, Videostage... Disquette : Painter 3D, version complète • D ream n°12 Dossier : la création d'un jeu Labo : DSS 3.0, DirWork, Brilliance 2... Disquette : Desktop Magic • D ream n°13 Dossier : l'Amiga à la télé Labo : PageStream, Panorama Disquette : Virus Checker 6.41 • D ream n°14 Dossier : l'Amiga et les graphismes Reportage : le World of Amiga Disquette : Real Time Sound Processor Il Lite • D ream n°15 Dossier : le rachat de l'Amiga Dossier : le guide du programmeur Labo : la carte 68060 Blizzard 1260T Disquette : Gloom Deluxe, la démo rescousse Labo : O ctaM ED, Soundstudio, Imagine 5 .0 ... Disquette : Alien Breed 3D 2, la démo • D ream n°35 Jeu : Capital Punishment Labo : iBrowse, InterOffice, MaxDOS • D ream n °36 Dossier : pourquoi investir sur Amiga Labo : 2 modems 33600bps, X-DVE, SM D -100... Disquette : une sélection de DP • D ream n °37 Dossier : gagnez de l'argent avec votre Amiga Reportage : l'histoire de l'informatique à Londres Disquette : Magic Menu 2.15 • D ream n°38 Amigazone : Typesmith, Wordworth Linuxzone : Lincity, Xquad, Lyx Disquette Amiga (épuisée) • D ream n°39 Amigazone : les browsers Web, Shapeshifter... Linuxzone : XW indow, The gimp, Mesa O penGL, Xclam ation... Disquette Amiga : Gestion 2000 (dém o) et FirePower • D ream n°40 Amigazone : Blobz, Cybervision 64 3D, Airmail Linux : les distributions, Maëlstrom, D DD , C D E... Disquette Amiga : Amigameboy, WebDesign, VirusZ-ll... LES A N C I E N S N U M É R O S A V E C CO A M I G A . A T A R I . BE, L I N U X , R I S C P C . . . 30F PORT • Dream n°41 (épuisé) Sur le CD : Kde, version complète traitements de textes alternatifs • Dream n°42 (épuisé) d'Octam ed, Mint, le Fixpack 5, Linux absolus... Dossier : les secrets de l'informatique • Dream n°43 (épuisé) pour RiscPC... • D ream N°51 théorique révélés • Dream n°44 • D ream N°48 Dossier : comment choisir du matériel Format MP3 : comment fonctionne-t-il ? Dossier : Persistence Of Vision Dossier : à la découverte des alternatif ? Comment booster son Amiga ? Tests : StarOffice 3.1 pour Linux, ordinateurs de poche Connexion Internet : pourra-t-on aller Scandale : la sécurité de Windows système pOS, Psion séries 5 Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous plus vite ? ébranlée par un grain de sable ! Découverte : Warp 4.0, le processeur les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga, Périphériques Scsi : toutes les normes Power installation d 'O s/2 ... enfin expliquées ! • Dream N°54 Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari, Sur le CD : tout Linux pour PowerMac • D ream N°52 Linux, Risc P C ... et la version exclusive de Tornado 3D. Apple, Amiga, A co rn ... Toutes les • Dream n°45 • D ream N°49 machines de la rentrée en avant- Dossier : Latex pour tous les systèmes Com ment Netscape veut s'emparer première ! Labo : Art effect 2, Applixware 4 .3 ... d'Internet ! Test : la nouvelle interface de Linux s'appelle Gnome ! Plein feu : les processeurs Alpha Puces en cuivre : Ibm pousse le Sur le CD : 50 Mo de bureautique PowerPC à 1 Ghz Spécial : W indows 95, Linux, Am iga... Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques Mise au point : que vaudra Windows Tous en réseau ! pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour Nt 5 ? Emacs : le compagnon essentiel de Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga. S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ? Linux enfin décortiqué ! • Dream N°46 Mais aussi : Compaq se paye les Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte Dossier : remplacez Windows par la stations les plus puissantes du monde, graphique Pixel 64 ? Debian Gnu Linux Gateway 2000 présente le nouvel • D ream N°53 Labo : Cyberstorm Ppc, The Gimp, Amiga, réveillez la puissance Micros, consoles, stations : toutes les Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM Window Maker... d'Altavista... Découverte : que vaut BeOs pr2 ? • D ream N°50 l'imaginaire ! Sur le CD : distribution Debian Gnu Linux, Amiga, BeOS : comment A quoi sert vraiment Java ? nouvelles puces 3D au service de Linux (pour PC) et Dream Linux (pour fonctionne un système d'exploitation ? Test : éxécuter des applications Amiga). Logiciels Gnu pour Os/2, 40 Le nouvel Amiga est une bombe ! W indows 95 sous Linux. Mo de démos Falcon, 100 Mo de Apprenez à graver un CD-Rom ! Compatible tous systèmes, démos commerciales pour Risc PC. Rhapsody, le croisement parfait entre exclusivement en réseau : Citrix • Dream N°47 Unix et MacOS ! présente l'ordinateur universel ! Dossier : les secrets des nouveaux La compilation du noyau enfin Project-X : Amiga et Motorola sont-ils processeurs. expliquée ! vraiment derrière la technologie du Labo : deux stations Alpha, Kde, Descent arrive sur Amiga ! futur ? Cyberstorm Mk3, Coldfire... Wordperfect 7 et Wordworth 7, les B N M Coupon à ren vo yer à Posse Press Dream's bootik - 16, rue d e la Fo n tain e au Roi, 75011 Paris. Code clie n t (fa c u lta tif) : ............................... Nom : ................................................................. Prénom : .......................................................... Adresse : ............................................................ Code postal : ................................................... Ville : .................................................................. Téléphone : ...................................................... M N Articles choisis Prix Port A : g ratu it (Fran ce, é tran g er et D om -Tom ) Port B : 16 fran cs (F ra n ce ), 20 fran cs (é tran g e r et Dom -Tom ) Port C : 21 francs (F ra n ce ), 35 fran cs (é tran g e r et D om -Tom ) Si plusieurs produits sont commandés avec des ports différents, ne compter que le port le plus cher. + port Total M achine/Systèm e : ....................................... Je règle par : □ chèque à l'ordre de Posse Press Date et signature obligatoires : □ m andat □ carte bancaire n° i i i i i .......................... ii i i i ..................... expire le i i i i i En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi com m ander : • Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 10h30 à 18h00 • Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 • Par email : [email protected] Informatiques et libertés : en application de l'article 127 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'inform atique et aux libertés, vous disposez d'un droit d ’a ccès et de rectification pour toute information vous concernant en vous adressant à notre siège social. Les inform ations requises sont nécessaires à l'établissem ent de votre com m ande. Elles pourront égalem ent être cédées à des organism es extérieurs, sauf indication contraire de votre part. ÆL Bienvenue sous Linux ! Deuxième édition Le système Linux Matt Welsh & Lar Kaufman Septembre 1997 674 pages 2-84177-033-8 280 F Son et images sous Linux Jeff Tranter Mars 1997 402 pages 2-84177-014-1 220 F Les ÉDITIONS Deuxième édition Administration Les bases de réseau sous Linux O’REILLY l'administration Olaf Kirch système Mars 1995 368 pages Æleen Frisch vous 2-84177-007-9 Avril 1996 220 F 768 pages aident 2-84177-008-7 320 F à en tirer Linux in a Pilotes de 1 Nutshell périphériques Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM le Jessica Perry Heckman sous Linux Novembre 1998 Alessartdro Rubini pages 1998 meilleur 500Décembre LINUX 450 2-84177-031-1 pages (env.) 220 F 2-84177-064-8 parti 280 F (env.) système Le shell Bash Cameron Newham & Bill Rosenblatt Février 1996 343 pages 2-84177-023-0 220 F Apache, Installation et mise en œuvre Ben & Peter Laurie Octobre 1997 310 pages 2-84177-036-2 220 F Tous ces livres et bien d’autres sont en vente chez votre libraire habituel O’REILLY' http://www.editions-oreilly.fr/
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