Réseaux de neurones

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Réseaux de neurones
Réseaux de neurones
Quand lis ordinateurs
réfléchissent comme
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les humains
Clones BD :
la visio-conférence
enfin en temps réel !
fi]is Scan - Z/i Ft
1T,TB-FS -
Industrie : l'an
2000
sera-t-il Onix ou NT ?
Processeurs : de nouveaux
concurrents pour Intel !
Pratique Installer un
lecteur SparQ sous Linux
Réseaux :
SSH, le nouveau
nom de la sécurité
informatique
Puissantes mais méconnues...
379230603900200550
Guide d'achat des stations Alpha
L in u x .
Démarrez
Linux est un véritable système d'exploitation Freeware 32 bit multitâche - multi-utilisateurs et dépend des termes de la "GNU Public License".
Linux est de type Unix ™ (POSIX) avec des extensions System V et Berkeley, et est disponible sous forme de code source et de binaires.
e n
t o u t e
t r a n q u i l l i t é
Votre PC devient Station-X !
&
DISPLAY h m m if
SERVER I
‘“ I O ffice Suite
OpcnLinux
“1
B ase
lin u x MNIS 0 9/98 (base sur Debian, noyau 2.0.35, 3 CD s)
210
Linux S.u.S.E. 5.3 0 8/98 (vers. U5)
295
-A
Linux S.u.S.E. 5.3 vers. Fr (avec support à Installation en France)
335
Linux Snapshot 5.3 (S.u.S.E.) 0 8/9 8
190
Linux Officiel Red Hat 5.1 (Intel) Française (Logiciels du Soleil)
340
Linux Official Red Hat 5.1 (Intel)
315
Linux Red Hat Po w erïools 5.1 (Intel / Alpha)
170
Linux Official Red Hat 5.1 (Alpha)
330
Linux Official Red Hat 5.1 (Sparc)
330
Extreme.Linux (Red Hat)
195
Linux Library vers. 4 (Red Hat) Doc (800 000 p.)
165
Caldera Open Linux Base 1.2 VF ou US (+ StarOffice 4.0 )
495
Caldera Open Linux Standard 1.2 (vers. US)
Linux Office suite 99 S.u.S.E. (Applixware 4.4.1 + Applix Développeur)
Accelerated-X
Applixw are 4.3.7 Office Suite (Red Hat)
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence non com merciale)
StarOffice 4.0 (Caldera) Office Suite (licence com merciale)
CDE Client Edition (Red Hat)
W abi 2.2 pour Linux (ém ulateur W in3.1x) -CalderaMotif Red Hat 2.1.10 (Intel)
Arkeia Mini Lan Offer (sauvegarde pour Linux) Knox Software
- Accelerated-AX 4.1 Display Server Linux/BSD (XiGraphics)
Accelerated-LX 4.1 Laptop Server Linux/BSD (XiGraphics)
OpenGL 4.1 Display Server Linux/BSD (Xi Graphics)
1795
Linux InfoMagic 0 6/98
175
Linux Archives (InfoMagic) 0 6/98
170
Applixw are 4.3.7 Office Suite (Logiciels du Soleil)
Multi-Head pour Linux Vers. 4.1/BSD (Xi Graphics)
CDE (Xi Graphics) : bundle (CDE + Applications Builder
pour Motif + Motif 1.2.5 + Accelerated-AX 4.1 (Linux BSD)
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Tool Box InfoMagic (Linux InfoMagic 06/98+ livre Runnig Linux) "O'Reilly" 360
V ^
> 4=
Linux Slackware 3.5 (W alnut Creek) 0 6/98
185
Turbo Linux for PowerPC -support G3- (Pacific HiTech)
285 ■
MkLinux DR2.1 + livre 320 pages (Rich Morin)
330
Real Time Linux (04/98) MNIS
235
Applications Graphiques pour Linux (MNIS)
Linux Turbo Business Applications 01 /98 (Pacific HiTech)
GIMP 1.0 (W ilber Works)
135
Linux Games 01/98 (Pacific HiTech)
160
GNU HURD Temps Réel
Mach 4.0 (MCD')
____ 0-*“_ ■ - JW
JAVA WorkShop 2.0 SunSoft
L i v r e s ___________________________________________
|AVA WorkShop 2.0 (Tarif Education) SunSoft
Le Sytème Linux "O'Reilly" -590 pages- 2ème Ed. (FR)
290
Unix Feeware 01/98 (Walnut Creek)
210
Adm inistration Réseau sous Linux "O'Reilly" (368 p.) (FR)
230
C/C++ User Group Library 04/98 (W alnut Creek)
255
Son et Images sous Linux "O'Reilly" (450 p.) (FR)
230
Perl 0 8/98 (Walnut Creek)
210
Introduction à Péri "O'Reilly (334 p.) (FR)
230
Ada 0 4/98 (Walnut Creek)
190
Linux Devices Drivers "O'Reilly" (US)
265
C O M PLETE
COM M AND
R E F E R EN CE
UNDÉRCO
i
Tous les titres de la collections O'Reilly sur com m ande FR/US
L inux
250
1090
Linux et XFree86 "Eyrolles" (404 pages) FR
215
Linux Undercover "Red Hat" (2019 p.) US
320 -
Linux Complété Comm and Reference "Red Hat" (1500 p.) US
365
Maximum RPM "Red Hat" (442 p.) US
260
Doctor Linux 6th Edition (1631 p.) US
310
Samba Integrating Unix/W indows (300 p. + CD) SSC
285
235
Complété FreeBSD (CD s 2.2.7 + Livre 1750 p.) US
395
w
d^f c
650
QRZ Ham Radio (Walnut Creek) 03/98
140
CICA 32 W 95/ NT 0 8/98 (Walnut Creek)
220
Hobbes OS/2 0 4/98 (W alnut Creek)
150
Simtel MS DOS 0 3/98 (W alnut Creek)
170
WinFiles.com 06/98 (InfoMagic)
190
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FreeB S D
FreeBSD 2.2.7 (W alnut Creek) 0 8/98
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NOUS ENVOYONS
L£S DERNIERES
versions
[Fi COURS
BON DE COMMANDE A retourner à MCD2 Diffusion
* 72, quai des Carrières 94220 Charenton / Tél. 01 56 29 23 00 / Fax. 01 56 29 23 01
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C H |e règ le p a r c h è q u e à l’o rd re d e M C D 2 D iffusion
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C.P
Fttc
email : [email protected]
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expire :
Dream fête ce mois-ci ses cinq années
d'existence ! "Déjà ?" s'exclameront nos
^
plus récents lecteurs, ceux qui s'étonnent
encore de l'existence d'un support pour la micro alternative en
1998. Oui, mais n'oublions pas que Dream est né avec le
patronyme "Amiga", celui-là même d ’une machine qui méritait,
en 1993, qu'on lui consacre quatre magazines sur le marché
français. L'ouverture au monde alternatif dans sa totalité date,
elle, d'un an et demi. Pourquoi cette généralisation, d'ailleurs ?
Les mauvaises langues diront qu'il s'agissait juste d'anticiper la
mort de la presse spécialisée et ceux qui n'ont rien compris
affirmeront que nous sommes passés aux mains du complot
planétaire "anti-Amiga" (fomenté par Microsoft, sans aucun
doute...). Rien de tout cela en réalité. Dès lors qu'il a été question
d'assimiler le micro-ordinateur à un lecteur multimédia, la chose a
commencé à ne plus devenir passionnante. Et, ce, quelle que soit
la machine : revendiquer que I Amiga, l'Atari ou le RiscPC - platesformes sans support commercial - puissent s'asseoir sur les mêmes
étals que des PC maquillés en combinés TV/magnétoscope n'avait
plus de sens. Alors que le langage de beaucoup dans le domaine
de la micro-informatique s'apparente à celui des marchands de
tapis, l'alternatif, lui, s'exprime parla technologie à l'état pur.
Comment mieux parler d'un AmigaOS, inspiré d'Unix, lui-même
démocratisé par Linux, lequel a servi de modèle à BeOS,
concurrent de NextStep, qu'en généralisant ? D'autant que les
innovations s'effectuent sur une plate-forme différente d'un mois
à l'autre, peu ou pas de support commercial oblige.
Dans tout cela, que devient !'Amiga, ancien cheval de bataille du
magazine, que les nostalgiques d'AmigaNews nous reprochent
d'abandonner un peu plus chaque mois au profit de Linux ?
Apparemment, la segmentation éditoriale des numéros 38, 39 et
40 (une partie Amiga, une partie BeOS, une partie Linux) a laissé
des séquelles douloureuses dans plusieurs esprits. Aujourd'hui, les
84 pages du magazine sont le reflet de l'actualité alternative dans
sa globalité, sans aucun sectarisme. Chaque plate-forme
apparaît au fil des rubriques suivant son propre rythme et
nous sommes
fiers de rester le
seul média
dans lequel
elles ont toutes
droit de cité.
4.CD-Rom
6. Courant A lternatif
22. Dossier :
Les réseaux de neurones
Labo
34. Blizzard PPC
36. Icq et ses clones sous Linux
37. Megahal
37. Gnu Robots 0.8
38. CoolEdit/Coollcon
39. Puise
39. GTAC
40. M akeCD
41 . O p en g ro u p ja va For Lin u x
1 . 1.6
42. Amp
42. BeMP
# Découverte
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DfJ 3
D R EA M
N°55 - OCTOBRE 1998
44. Coda FS
46. Une vidéo-conférence o rig i­
nale
48. Le point sur l'Alpha
50. SSH
# En Pratique
5 2 . C o n n e c te r un S p a rQ sous
Lin ux
54. Co nfigurer KDE
56. Franciser Risc Os
58. Traitem ent d'images par lots
60. OS/2 en réseau local
1Approfondir
6 2 . Im p r im e r s u r un s e rv e u r
W indows
Program m ation
64. Objet : les relations
66. Perl : scripts CGI
68. C : les tableaux
70. Java : initiatio n aux Beans
72. Initiation au Blitz Basic
Zone libre
74. M icrostory : Gary Kildall
78. Le cou rrier des lecteurs
80. Petites Annonces
Abonnement P.79
Dream's bootik P.82
CD
.
Rien que pour vos yeux !
Les derniers bastions
des opposants de Linux
cèdent peu à peu.
D'aucuns disent Linux
peu convivial, mais les
nouveaux Window
Manager et leurs outils
graphiques nous
prouvent le contraire.
D'autres affirment qu'il
est nécessaire de parler
couramment anglais
pour s'immiscer dans les
méandres de la
configuration du
système, mais les
fameux Howto se
trouvent désormais
disponibles en français.
Enfin, certains
prétendent que Linux
est dépourvu
d'applications
intéressantes, malgré
tous les logiciels
consacrés aux bases de
données, fournis ce
mois-ci. Et pourtant,
elles tournent !
uoi de plus important que de tra­
vailler dans un environnem ent
graphique agréable et adapté à
ses goûts ? Heureusement, Linux permet
de changer de gestionnaire de fenêtres
très facilem ent, et Dream vous propose
un bouquet de W indow M anager dans
lequel vous devriez trouver votre bon­
heur. Vous découvrirez notamment l'in­
contournable Afterstep dans sa dernière
version, le sage XFCE et ses petits airs de
CDE, ainsi que le petit dernier IceWM.
Figurent égalem ent au programme des
utilitaires totalement graphiques, dont le
gestionnaire de fichiers XNC, la barre de
tâches du GXDesktop, sans oublier les
Q
avec une touche de KDE.
tout derniers utilitaires pour KDE qui ren­
dent cet environnement si convivial.
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Le classique mais splendide AfterStep.
Impossible de rester de glace avec IceWM.
Mozilla 5.0 débarque !
uelques mois après l'annonce offi­
cielle de Netscape de diffuser publi­
q uem ent les sources de son
Naviqatei une première version beta est
Navigateur,
enfin disponible, mais uniquement sous la
forme de sources. L'archive fournie sur le CD
contient les sources
MM
1
‘
/<
-î 8
4
2 co m p ilab les sous
W indow s et sous
mdz 11d on
li Lin u x, avec les
fichiers de configu­
ration requis pour
chacune des deux
p la t e - f o r m e s .
Attention, la version
Linux requiert dans
sa version actuelle
O » N du ti.iiam luna ot ihe artM ail mmUmTair
la présence des
MaolUilMao
^ rcwiptmd Thc^ ^
HTH’ '.•.ravie* • ,
librairies M otif qui
U30%forui
■vente senion on ■ 28 8 m
sont, malheureuse­
BusziU» beeti rouptettty porte») lo ftr l Ifyouwrrc
inuratcd in BucnOi H um , a il *e»e put ofl bjr K*
m ent, payantes.
dependenry on TCL,yt«
* ---------* ~ • Notez égalem ent
que ces sources
Mozilla est un projet ambitieux.
Q
1
wmm
it
Un avant-goût
du futur Netscape, sans Motif.
s'adressent en priorité aux développeurs et
comprennent donc les instructions de débugage. Ne vous attendez donc pas à un
monstre de rapidité.
L'Unix pour les compatibles
qui vous fera tirer le
maximun de votre micro!
Les Howto en français !
es célèbres Howto, les "comment faire", résident sur le CD de ce
mois-ci. Plus qu'une base documentaire, ces outils constituent
des éléments indispensables pour se sortir d'un mauvais pas. Pas
toujours accessibles à tout le monde en anglais, ils deviennent, dans
notre chère langue, les compagnons indispensables du Linuxien
anglophobe dans le pétrin. De la gravure de CD-Rom à la connexion
à Internet en passant par la configuration de X ou même l'utilisation
de disques RAID, les Howto vous disent tout, et selon votre désir au
format HTML ou Postscript.
L
Répertoire Linux
Vous aimez les bases de données ? Alors, retrouvez sur le CD un large
échantillon de logiciels s'y référant. En vrac, GnuSQL, GtkSQL, MySQL
ou GmySQL se partagent le répertoire. RipperX, quant à lui, vous per­
mettra de convertir directement un CD audio au format MP3. Les plus
anciens adeptes de Linux apprécieront les patches permettant de
mettre à jour leur noyau. Séjournent également sur le CD, les dernières
versions des principales librairies, ainsi que de nombreuses autres appli­
cations.
Répertoire Amiga
Envie de belles images et de beaux effets ? Alors, les 18 Mo de démos
et les 12 Mo de jeux offerts ce mois-ci devraient vous combler. Et si
votre machine refuse de les faire fonctionner, vous trouverez les der­
niers drivers et patches en date, qui devraient vous aider dans votre
démarche. A défaut, rabattez-vous sur le premier émulateur PC compi­
lé pour PPC. Enfin, pour les plus artistes d'entre vous, le CD contient la
totale pour faire du MP3 ainsi qu'un modeleur 3D.
Maintenant disponible
n lan9ue française!
S.u.S.E. Linux 5.3
S.u.S.E. Linux est un système d'exploitation puissant, fiable et rapide
avec plus de 800 paquetages de grande qualité, intégrés au système
Il est doté d'une interface graphique dont les possibilités enthousias­
meront aussi bien les néophytes que les professionnels.
S.u.S.E. Linux est un systèm e d'exploitation "simple comme
Bonjour" qui répondra parfaitement à toutes vos exigences.
YaST, l'outil unique de S.u.S.E. vous assistera lors de toutes les phases
d'installation, de configuration et d'administration de votre machine
ou de votre réseau.
Le manuel de 450 pages en anglais avec son supplément français est
une aide précieuse pour les débutants comme pour les professionnels.
Le lancement des paquetages à partir des CD-ROM est possible sans
installation préalable.
Une Assistance Technique à l'installation en langue française, avec
un numéro d'appel en France est offerte pendant 60 jours après
l'achat de S.u.S.E Linux.
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Répertoire BeOs
Heureux possesseurs de BeOS version 3.0 ou 3. 7, passez à la 3.2 grâce
à l'update accueilli sur le CD ! Découvrez également Be sous son vrai
jour avec les drivers ATI et Riva permettant enfin à Be de révéler toute
sa grandeur graphique. Egalement présents sur le CD ce mois-ci, TeX
et Eddie, l'éditeur idéal pour le programmeur, ainsi que des jeux et des
outils indispensables.
Répertoire RiscOs
Retrouvez ce mois-ci sur le CD-Rom tout le contenu du magazine :
notamment des démos de Frédéric Elisei, Puise, GTAC et Farwest, un jeu
réalisé grâce à celui-ci. Pour le reste, plus de 70 Mo d'applications.
Répertoire Os/2
Ce mois-ci, les démos du séquenceur Nota Musica, de l'utilitaire de sau­
vegarde PC-BaX et de Virus Check Pro, tous fonctionnels mais pour une
durée limitée.
Répertoire Atari
Ce mois-ci, vous découvrirez plus de 25 Mo d'applications en tous
genres pour votre Atari. Des outils Internet aux langages de program­
mation, ainsi que 50 Mo d'applications, répondent à l'appel. Vous
trouverez tout pour votre système.
S.u.S.E.Unux est un système offrant de nombreuses possibilités:
► des applications variées,
des versions de démonstrations des applications courantes,
de nombreux langages de programmation,
des logiciels serveur Internet incluant Netscape Communicator,
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o
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Applixware 4.4.1
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de traitement de texte, tableur et éditeur graphique.
Nouvelle version incluant Applix Développeur,
Applix Data, ainsi qu'un manuel de 300 pages.
Pour toute commande veuillez
vous adresser à
Répertoire Java
L'alternative à Sun passe par Pizza, compilateur remplaçant Javac et
Gnujps, la version Free Software du Java Server Page de Sun. Vous ferez
leur connaissance sur le CD du présent numéro, qui recèle bien
d'autres choses encore.
MCD2 Diffusion,
72, Quai des Carrières
94220 Charenton le Pont
Tél : 01 56 29 23 00
Fax : 01 56 29 23 01
Email: [email protected]
565 F
p o rt co m p ris
S.u.S.E.
S.u.S.E. GmbH
GebhardtstraBe 2
D -90762 Fürth
Tel. +49 911 740 53 81
Fax +49 911 741 77 55
Email: [email protected]
http://www.suse.de/f/
Micro-ordinateur
Phénix, ou l'informatique
propriétaire selon Centek
Célèbre dans le monde Atari pour ses cartes accélératricesle constructeur français Centek
propose aujourd'hui un micro à part entière. Non, ce n'est pas un nouvel Atari !
nTT
.«...
LJnL^L_SnL_ïn SI ■;
formes de demain. L'arrière de la machine se complète par des
entrées/sorties audio (quatre cinchs et deux jacks), des prises série
et parallèle standard s et deux em p lacem ents réservés à des
connecteurs optionnels. Ces derniers représentent en fait un
connecteur série à la norme RS422 (identique à \'Ethertalk du Mac)
et un connecteur série DB9 supplémentaire. Ces connecteurs ne
sont pas livrés en standard, parce qu'ils pourraient gêner les baies
réservées aux sorties des cartes PCI qui se situent juste au-dessus
d'eux. Par ailleurs, leur usage ne se conçoit que dans le cadre bien
déterminé d'une application professionnelle, laquelle nécessiterait
un recarrossage éventuel du Phénix. Un port DSP vient compléter
le tout et sert de port d'extension externe à la machine. Il s'agit
d'un connecteur multifonctions qui permettra au Phénix de piloter
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C
3 CPl CENTEK
H EN
IX W
1998
La carte mère du Phénix.
ela faisait un bon petit moment que la presse spécialisée en
parlait sans jamais le voir. Mais cette fois, ça y est, il a mon­
tré le bout de son nez. Il s'agit du Phénix, un tout nouvel
ordinateur conçu par le Français Centek. Contrairement à ce que
l'on pourrait croire - connaissant l'activité de Centek - le Phénix ne
constitue pas un nouvel Atari, bien que sa philosophie s'en inspire
franchement : construit autour d'une architecture 680x0, il se des­
tine principalement au même marché de l'audio. En ce sens, des
noms prestigieux du show-business musical auraient déjà réservé
leur exemplaire.
O uvert aux sta n d a rd s de dem ain
De prime abord, le Phénix a tout d'un micro moderne. Son boîtier
respecte les toutes dernières spécifications de la norme Atx, ce qui
permet à la machine de s'éteindre ou de s'allumer automatique­
ment, soit sur un horaire prédéfini, soit par le biais d'un signal
émis à distance (télécommande, réseau...). Par ailleurs, les lecteurs
de CD-Rom et de disquettes se voient ici avantageusement rem­
placés par un DVD-Rom et un L S I20. Celui-ci, relativement répan­
du dans le monde PC, offre l'extrême avantage de pouvoir lire et
écrire indifféremment sur tous les types de disquettes, ainsi que
sur un form at propriétaire perm ettant de stocker 120 Mo. Le
disque dur, pour sa part, est à la norme Ultra SCSI, ce qui consti­
tue un excellent compromis entre fiabilité (il s'agit du SCSI), rapi­
dité (20 Mo/s de taux de transfert) et disponibilité (les périphé­
riques Ultra SCSI utilisent des connecteurs 50 broches, nettement
plus répandus que les connecteurs 68 broches du Wide SCSI). Le
clavier et la souris, quant à eux, se trouvent au standard USB,
lequel tend à devenir le connecteur d’extension absolu des plates-
C
tout type d'instrument électronique. On pense bien évidemment
à l'appareillage audio complet d'un studio, mais d'autres perspec­
tives telles que la domotique se montrent parfaitement envisa­
geables.
2 ... 3 ... 4 p ro cesseu rs !
Mais les atouts les plus impressionnants du Phénix se situent sur
sa carte mère. La première surprise vient de ce que la machine
est conçue pour fonctionner avec plusieurs microprocesseurs en
parallèle ! De base, on trouve deux supports sur la carte mère,
mais il y aura moyen d'en augmenter encore le nombre, en pas­
sant par une carte d 'extension sp écifiq ue, à brancher sur le
connecteur propriétaire qui prend place au centre de la machine.
Pour l'heure, les supports seront pourvus soit de 68040 (poussés
à 40 MHz), soit de 68060 (poussés à 72 MHz). Les configurations
les plus économiques pourront par ailleurs ne disposer que d'un
seul processeur. A noter qu'il est exclu de m élanger les deux
222 1
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Dolmen est totalem ent écrit en assembleur.
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Les logiciels de Centek seront adaptés au Phénix.
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1024+0704
0800+0608
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104H z
Ultra-SCSI et d'un composant sonore 20 bits,
permettant une restitution audio à 44,1 et 48
KHz. Il est important de souligner l'importance
du DMA dans le Phénix : optimisée à l'extrême,
la carte graphique s'avère par exemple capable
de d é co m p re sser en tem p s réel une vidéo
Mpeg (pour peu que le module Mpeg soit ins­
tallé) enregistrée sur un disque dur, sans même
que les données ne passent par le processeur.
Une a rch ite ctu re o p tim isée à l'extrêm e
En ce qui concerne les extensions, le Phénix
dispose de trois connecteurs PCI dont les trans­
ferts avec le reste de la carte mère sont optimi­
sés de façon iné d ite , grâce à l'em ploi d'un
c o n trô le u r P C I, d éd ié au x p ro ce sse u rs de
M otorola. Une prem ière, des Pow erM ac au
Milan (clone allemand de l'Atari ST), le bus PCI
se trouve contrôlé par une puce Intel, ce qui
implique l'interprétation de chaque instruction
et ralentit d'autant le flux des données. A cet
égard, c'est sur une carte d'extension PCI que
résidera le circuit d'affichage, à savoir un S3
Virge (fonctions 2D et 3D) avec 4 Mo de Ram.
L'extension mémoire se voit assurée par quatre
emplacements Simm, autorisant en théorie une
Ram m axim ale de 512 M o ... Celle-ci cepen­
dant atteindra difficilem ent ce chiffre, du fait
de la rareté des barrettes de 128, ou même 64
Mo.
Fin du fin, le Phénix dispose d'un système d'ex­
ploitation cousu sur mesure. Dolmen, voilà son
nom, est écrit à 100 % en assembleur 68040
(tous les autres restent écrits en C, voire p ire ...)
et utilise directement les particularités du DSP
ou du 53 Virge. E n tiè re m e n t m u ltitâ ch e , il
reconnaît autom atiquem ent les périphériques
S C S I, e m p lo ie des p o lic e s v e c to rie lle s
(TrueType), émule le hardware des Atari STE,
d isp o se d 'u n e in te rfa c e H TM L in té g ré e et
exploite les fichiers d'une manière à la fois com­
p a tib le a v e c U n ix et W in d o w s . C e n te k
• C yb erg rap h X
co m m ercial ?
,
Selon ses développeurs la
prochaine version de CybergraphX
poun'ait bien s'avérer
commerciale ! Rappelons que
CybergraphX est la bibliothèque de
pilotes nécessaire à l'utilisation de
cartes graphiques sur Amiga. Le
fait qu 'ilfaille payer un surcoût
pour l'usage d’une carte graphique
chèrement acquise se montre à
plusieurs niveaux étonnant : d'une
part ce sera bien la premièrefois
que l'on dissocie le pilote de la carte
pour laquelle il se trouve conçu et
d'autre part la stabilité de ces
pilotes représente historiquement
parlant une affaire de longue
haleine. Or cettefameuse version 4
disponible dès le mois prochain ne
serait mêmepas encore terminée...
,
, ,
,,
,,
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Dolmen sera totalement optimisé pour le 53 Virge.
types de processeurs. Le choix de composants
de type 680x0 s'est imposé à Centek pour des
raisons pratiques : ils symbolisent un excellent
compromis entre puissance et prix (depuis l'ar­
rivée des PowerPC, le prix du 68040 a complè­
tement dégringolé) et perm ettent de surcroît
d 'épauler le systèm e d 'e xp lo itatio n dans sa
com patibilité ascendante avec les principales
applications interfacées G EM . Le parallélism e
entre les processeurs, ainsi que les accès DMA
de tous les autres composants de la carte mère,
sont assurés par deux puces propriétaires (Anna
et Thalie). Et comme si cette puissance ne suffi­
sait pas enco re, les processeurs se tro uven t
épaulés par un DSP 56301 à 80 MHz de chez
M otorola (8 0 M ips, taux de transfert de 30
Mo/s avec le reste de la carte mère). De plus,
un connecteur interne donne également le pri­
vilège de multiplier le nombre de DSP dans la
machine. Enfin, les entrées/sorties sont contrô­
lées par un 68360 à 40 MHz. Celui-ci, qui res­
semble à un 68030 largement complété par de
m u ltip le s fo n c tio n s (c o n trô le u r de D Ram ,
contrôleur de flash, gestionnaire des interrup­
tions, timers 16 bits, canaux D M A ...), constitue
en fait le véritable cerveau de la machine. C'est
lui qui démarre l'exécution de la Rom (256 Ko,
flash ab le), arbitre les prop riétés de chaque
composant et demeure fonctionnel lorsque le
reste de la machine demeure en veille. Pour le
reste, la carte mère se constitue d'un contrôleur
(Nogent-sur-Oise, 60) nous confirm e que les
premières versions de la machine seront dispo­
nibles pour les développeurs d'ici à la fin de
l'année et que les clients se bousculent dores et
déjà au portillon.
MIGA
ATARI
LINUX
RISC PC
BE OS
OS/2
DIVERS
• Au revo ir New Tek
Face à Timmobilisme d'Amiga hic.
dans l'affaire des Amiga 4000
interdits defabrication fvoir
Dreatn précédent), la société
NewTek a décidé de changer
radicalement son fusil d'épaule.
Désonnais, les stations graphiques
qu'elle vendra à Hollywoodpour
l’industrie des effets spéciaux ne
seront plus des Amiga maquillés
mais des PC. NewTek n 'exclutpas
la possibilité defaire marche
arrière lejour où Amiga Inc.
sortira enfin une nouvelle machine.
EM U LA TEU RS
Le Risc Pc toujours au fait de
l'actualité
Em ulateur PC Engine.
Le monde des émulateurs sous Risc Os s'est vivement réveillé depuis
quelques mois. Dernièrement, on a pu avoir accès aux dernières ver­
sions de Marne, Mess ainsi qu'à celles des émulateurs Cam eBoy,
V2600 et Super Nintendo.
Dans un autre registre, une version optimisée de l'émulateur PC
Engine vient de faire son apparition. La version d'origine atteignait
péniblement les 10 images par seconde sur un Risc PC StrongArm ;
la nouvelle mouture dépasse sans problème les soixante images par
seconde et dispose même du son !
Des émulateurs CP/M et Vie 20 se trouvent également en cours de
développement, ce qui ne nous rajeunit pas. ArcEm est l'émulateur
Archimedes pour machines Unix. Actuellem ent sur un Pentium 2-
233, il arrive à presque 15 % de la vitesse d'un A5000, soit environ 1 % de la vitesse d'un Risc Pc avec
S tro n g A rm : d iffic ile à é m u le r, ce d a m n é Arm ! L 'é m u la tio n sur Risc Pc a une ad resse :
http://www.cybervillage.co.uk/acorn/emulation
EM PLOI
JEU X
Eternal Destiny :
la délivrance
Octamed
SoundStudio
pour BeOS
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La sortie & Eternal Destiny, le
clone de Doom sous Risc Os,
était devenue très incertaine.
Retards après retards, on ne
vo yait to ujo urs rien arriver.
Destiny avait une sortie prévue
pour la fin 1997 ; on n'aura eu
Une p artie de Space Invaders ?
L'un des plus célèbres logi­
c ie ls m u s ic a u x a été porté
sous W in d o w s et en to u te
logique une version BeOs est
envisagée ; quoi de plus nor-
droit qu'à une démo de mauvai­
se qualité. Destiny devait ensuite
faire son entrée en scène au
Wakefield Show 1998 ; le stand
est resté vide. Mais contre toute attente, Destiny a fini par arriver !
Le jeu doit plutôt être considéré comme un clone de Duke Nukem que
de Doom. Il se montre très tactique. Si vous avez l'habitude de foncer
en tira n t sur to u t ce qui
bouge, vous n'avez aucune
chance d'aller bien loin. Dans
la série des bonnes nouvelles,
on peut apprécier les mini­
jeux d'arcade accrochés aux
m urs, qui p e rm e tte n t de
refaire le plein d'énergie, les
graphismes haute résolution
ou la musique au top niveau
(l'oeuvre de Mirko Vidovic).
Deu* flingues valent mieux qu 'un.
Bref, le bébé de Robert Templeman (hé, hé !) est sorti. La première
impression s'avère mitigée ; tactique mais difficile, graphismes très
beaux et monstres affreusement laids et mal animés. Destiny reste tou­
tefois une valeur sûre sur Risc Pc.
Site : http://ds.dial.pipex.com/rtt
Démo : ftp://mphhpd.ph.man.ac.uk/pub/destdem2.zip
\A/é.vtr
mal, puisque Be constitue le
sy s tè m e " m u ltim é d ia p a r
e x c e lle n c e "? T o u te fo is , les
auteurs se trouvent dans l'im­
passe et recherchent un pro­
gram m eur BeOS expérimenté
p o ur le p o rta g e . Le tra v a il
n 'est a priori pas rém unéré
d irecte m e n t, mais le ou les
auteurs toucheront 50 % des
royalties des ventes du pro­
d u it. T o u t su r O c ta m e d à
l'ad resse h ttp ://w w w .o c ta m ed.co.uk.
ASSOCIATIONS
Deux nouvelles
associations de
développeurs sur Risc Pc
METTEZ UN ALPHA
DANS VOTRE PC
Utilisateurs de Linux
et de Windows NT.
Découvrez chez CDE
les cartes et processeurs Alpha.
L’unique architecture 64 bits
disponible commercialement
Le nouveau moteur 3D freeware du monde Acorn.
A la suite des derniers messages postés dans les Newsgroups, il
apparaît que les développeurs souhaiteraient pouvoir être plus liés,
entre eux et autour de grands projets.
Le Caug (C Acorn User Group) ne répond pas aux espérances de
tous : ainsi, un site Web est en cours de développement pour la
communauté des développeurs. L'idée d'une liste de diffusion com­
m une se trouve aussi à l'étu d e , en plus du new sgroup
comp.sys.acorn.programmer.
Le deuxième projet s'appelle Sunflower ; le but consiste à diffuser une
aide à la création de jeux sous Risc Os et Ne Os. Ecrire un module
'Sunflower" qui facilitera la gestion des jeux constituera le premier pas
à franchir. La deuxième étape sera de fournir une aide aux program­
meurs et un kit de développement de jeux qui pourra s'utiliser sans
connaissance en programmation.
En ce qui concerne les bibliothèques d'aide au développement, il faut
signaler le magnifique moteur 3D offert par Martin Piper, optimisé
par Robin Watts et récemment reversé dans le domaine public.
Site Web des développeurs : http://www.dcs.warwick.ac.uk/~charlest
Projet Sunflower : http://www.argonet.co.uk/users/briggs/sunflower
Moteur 3D gratuit :
http://www.pinknoise.demon.co.uk/3dEngine.zip
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SYSTEME
BeOS Release 3.2
On peut dire que l'on ne chôme pas chez Be Inc. ! Quelques
semaines après la R 3.1, qui a posé quelques problèmes à certains
lors de la mise à jour, Be nous en offre une nouvelle, la R3.2. Vous
pouvez télécharger cette version inédite sur le site BeDepot
(http://www.bedepot.com) pour upgrader depuis la R3.0 ou bien
depuis la R3.1. La compatibilité s'accroît avec notamment de nou­
veaux drivers de cartes vidéo et réseaux.
AlphaPC 164 U X 2/U X 4
29, rue Ledru Rollin
92150 Suresnes
TéL : 014144 33 33
Fax : 01 4118 99 30
A lphaPC 164 LX 2/L X 4
E-Mail : bmamou@ aol
http://w w w .sam sungscm i.com
h ttp :// alphapow ercd.com
C ontactez-nous pour connaître
le revendeur le plus proche de chez vous
C CDE
A lp h a P o w e r e d
iiLl Ec/ic r v m m
• O ffice su r A m ig a ?
La bureautique sur Amiga s'entiche
d'une nouvelle suite : Final Office
1.0. Editépar SoftPartners Final
Office est enfait la compilation des
outils de SoftWoods en la matière :
Final Writer Final Cale Final
Data et... Final Writerpour
Windows ! Eh oui SoftPartners
(suite logique de SoftWoods on
l'aura compris) se présente comme
un éditeur "multiplates-formes".
Defait ses produits à venir
devraient se composer d'un seul
CD-Rom sur lequel on trouvera les
version RiscPC, Amiga Macintosh
Windows et Linux du logiciel.
http:llwww.softpartners.coml
,
,
NetPositive v2.0 beta
,
,
A chaque plate-forme alternative
son navigateur Web particulier.
Pour Be, NetPositive fait figure
de référence. Une nouvelle ver­
sion se tro uve d isp o nib le dès
maintenant sur le site BeDepot
( h tt p :/ / w w w .b e d e p o t .c o m ).
Bien que cette version soit une
beta, elle se révèle relativement
stable comparée à la précédente
versio n . De nom b reux tém o i­
,
,
,
SYSTEM E
N AVIGATEUR
,
gnages rapportent q u 'il s'agit
du plus rapide butineur rencon­
tré, toute plates-formes confondues. En revanche, ils soulignent
que cette version est lente pour résoudre les adresses via DNS.
NetPositive se montre compatible avec les dernières normes HTML
et supporte bien des subtilités du Web, notamment les frames, les
tables ou autres gif animés. Il faudra toutefois attendre encore un
peu pour bénéficier du SSL, du javascript et des applets java.
SALON
W arpstock 98
Warpstock
19 9 8 C h ic a g o
CD-Rom de
démonstra­
tion de BeOS
Vous en aviez rêvé, Be l'a fait !
Vous pouvez dès m aintenant
c o m m a n d e r v o tre C D de
d é m o n s tra tio n de BeO S à
http://w w w .be.com /dem oCD
/. Il est vendu à prix coûtant,
soit 3,95USD pour le territoire
américain et 9,95USD pour le
reste du monde, port compris,
Bientôt sur votre écran ?
non remboursable. A vrai dire,
ce CD donne difficilement une
idée correcte de la puissance
de BeOS, car il ne s'avère pas
installable sur disque dur et ne
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â SÊM m F
■
W
f i l
Ce salon entièrement consacré à OS/2
Warp se tiendra pour sa cuvée 98 à
Chicago les 17 et 18 octobre prochains.
r
Seront présentes toutes les sociétés ou
associations gravitant autour de l'univers OS/2 (cependant IBM n'y a
toujours pas de stand), de BMT à ZGC en passant par Stardivision ou
Stardock.
Au programme, des démos, des conférences et un point sur l'avenir
d'OS/2 qui, devant la pression des "grands comptes", se montre peutêtre plus propice qu'on pourrait le supposer. Timur Tabi, le gourou du
projet Win32-OS/2, annonce une surprise de taille pour ce salon, tandis
qu'un certain nombre d'éditeurs a retardé la sortie de nouveaux pro­
duits pour Warpstock.
De sont côté, l'Europe n'est pas en reste, puisqu'un "Warpstock Europe"
s'organisera les 1 8 ,1 9 et 20 décem bre 1998 à O snab rück en
Allemagne. Plus d'infos concernant Warpstock sur http://www.warpstock.org.
possède donc pas de mémoire
pag inée. Il n ’est possible de
booter qu'à partir du CD et
d'écrire que sur disquette (600
Ko après fo rm atag e) ; cette
version s'ad resse e xc lu siv e ­
ment aux propriétaires de pro­
cesseurs x 86 . Ce CD apparaît
donc com m e une version de
test de compatibilité de votre
m ach in e x 8 6 . To utefo is, les
prog ram m es livrés en sta n ­
dard fo n ctio n n e n t co rre cte ­
m e n t une fo is c h a rg é s en
m é m o ire . De quoi d o nc se
faire une première idée du sys­
tème Be sans débourser trop.
CREATION
Maxon Ciném a 4D
pour BeOS
Alors que Maxon a abandonné tout support de la
version Amiga de leur produit d'images de synthè­
se, Cinéma 4D, il annonce aujourd'hui la sortie
prochaine d'une version BeOS. Cinéma 4D sera
alors le seul sur le marché de l'imagerie de synthè­
se sur BeOS, si l'on omet le concurrent potentiel
que peut
représen­
ter le sharew are
POV. Le
d é v e lo p Cinema4D bientôt sous BeOS
pement
du produit se révèle déjà bien avancé et la date de
mise en vente prévue est la même que celle de
BeOS R4, soit avant la fin de l'année.
C D J E U X M A T E R IE L
PROCESSEURS
Arm : la valse des
processeurs
3. Arm, pour sa part, sort de multiples micropro­
cesseurs utilisant le noyau Arm 9 : Arm 910, 920
et 940. L'événement pour Arm sera la sortie de
yArm 10, qui devrait se montrer plus performant
que le StrongArm. Fort de plus de 500 Mips, il
s'a g ira it du p rocesseur g é n é ­
rique Risc 32 bits le plus rapide
du marché. Sa sortie est prévue
pour 1999.
Pou r les p ro g ra m m e u rs qui
souhaitent développer sur Arm,
la firm e vient de mettre à leur
disposition un kit de développe­
ment Arm 60 se branchant sur le
port parallèle d'un ordinateur.
C elui-ci coûte m oins de 2000
francs, ce qui se révèle plutôt
exceptionnel pour ce genre de
p rod uit, qui se trouve cep en ­
Vue de la très économ ique carte Arm 60 Pie.
dant fourni sans logiciel : il fau­
dra choisir entre le coûteux Sdt ou les éventuels
Arm est déjà dans le trio de tête des micropro­
cesseurs Risc 32 bits. Cette fam ille de compo­
outils Gnu qui ne manqueront pas de sortir. Pour
sants se voit sur le point de passer en deuxième
aller plus loin, la machine de Chaltech, qui est
livrée entièrement équipée, pour environ 7000
position. Arm profite m aintenant d'un nombre
francs, semble tout indiquée.
conséquent de partenaires utilisant et dévelop­
Arm : www .arm .com
pant la gamme des processeurs.
Intel : www.intel.com
Intel dispose des StrongArm 110 e t 1100. Il
Chaltech : www.chaltech.com
annonce le StrongArm 1500 et les StrongArm 2 et
lcdfs 3.9a VF
....... .^ 55 F ü)
Burn It 2.0 PAO..*.!?.......'/ T 9 0 F ^
Deluxe paint 5 cd................. 219 F »=
Elastic dreams cd................ 520 F q _
Fusion Mac emulator..........690 F CD
lbrowse J .2
................339 F
Masterlso
590 F >
Miami 3...................................... 339 F ^
Network PC + cable II........229 F ,
Oxyron patcher..................... 139 F ^
Pfs 2 cd........................ J * . . . . 375 F 00
Scala MM400 cd....................565 F O
Turbocalc 5.1 cd VF............ 599 F ^
Turboprint 6.2
i . ....... 439 F [ X j
Ultimate blitz basic-Gd.......219 F ^
Wordworth 7cd VF.............. 490 F iQ
LO
Final Odyssey cd.................285 F °
Flying hight cd......................* 9 9 F $
Flying hîght datas disk 2 ..85 F UFoundation cd................«...... 279 F
Genetic species cd...
Master axe.................... .......... 159 F O
Mobile Warfacfiu~...................125 F
Myst cd...................................... 375 F N
On escapee cd...................... 279 F ^
Quake c d ................................... 379 F g
Samba world cup rH __
F^
Ultimate Sskidm arks cd...159 F O
Virtual karting 2.................... 179 F “ôj
ADE 2..................... 1.................. 105£ é L
Aminet 2 3 ,2 4 ,2 5 ou 26.......85 F LU
Aminet set 5 ou set 6......... 209 F
Amimes babes S E ............... 179 F ^
Amiga format cd.....................49 F ^
Gateway 3 (2 cd)
mu i ^ ' c 0
Golden demos.......................... 95 F o
Magic publisher......................179 F ^
Mods anthology........ *..........206 F co
Texture cd vol1
........... 149 F ^
Work bench. designer 2......120 F >
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CORRECTIF
IMarche !
L'iMac, la nouvelle coqueluche bleue d'Apple,
s'attirait les foudres des pionniers de l'infor­
matique moderne qui s'étaient lancés dès
les premiers jours dans l'aventure Imac ;
en effet, la belle machine étant dépourvue des ports de com m unication clas­
siques, l'utilisation d'une im prim ante,
outre la solution du réseau, suppose
une connexion par le port Usb, via un
adaptateur. Or, de nombreux utilisa­
teurs se sont plaints de ne pouvoir
M a t é r i e l
-
,
u tiliser co rre ctem e n t
certaines imprim an­
tes, notamment des
Epson, de cette m a­
n iè re . La p re m iè re
réponse d 'A p p le à ce
problèm e fut de conseiller d'utiliser des
im p rim an tes réseau, et ne satisfit guère les
iMacistes en mal d'im pression. Heureusement,
Apple a revu sa position et a développé un cor­
rectif d'ores et déjà disponible avec les autres
'software updates' à l'adresse :
h ttp ://sw u p d a te s.in fo .a p p le .co m /cg i-b in /lister.pl?Apple_Support_Area/Apple_Softw are_Up
d a te s / U S /
Epson, de son côté, voulant bénéficier
des fortes ventes de la nouvelle m achine et
de sa situation actuellem ent quasi-m onopolis­
tique de fournisseur d'im prim antes fo nctio n ­
nant avec l'Im ac, continue le développem ent
de ses drivers pour augm enter le nom bre de
ses produits com patibles. Tous les drivers sont
disponibles sur le site d'Epson, à l'adresse :
http://w w w.epson.com /support/pdcip_m .htm l
D
O
E
03
Tbwer Jnifinrtiv II
—l
Tower Infînvtiv II, alim 230W..1490 F ®
Adaptateur écran VGA
85 F
0
Scandoubler interne A1200....659 F
Scandoubler A1200T/A4000...599 F CE L
Scandoubler exterm?.............. 825F
Lecteur de disks HD inteme...559 Fp 8
Nappe IDE 2.5 > 2x3.5............ 125 F '
Quadrupleur IDE...................... 165 F CD
Disque dur IDE 3.5, 2.5 GO.lfWB PTÇ
Disque dur SCSI 3.5,2 GO...1750 F ^
Lecteur cd-rom ATAPI x ....490 F -g
Blizzard PPC 603e 160
68040/25 Mhz.
^ ......2590 F •
Cyberstorm PPC 604 180 Mhz,
68040/25Mhz et UW SCSI 5190 F ^
Carte ethemet Amiganet 1550 F (/>
Xartedpn 16 bits Préludé— 1890F *5
16 rhô simms 32 bits 60TIS
2
32 mo simms 32
60ns 315 F
J/A4000.350 F CL
Rom 3.1 A1200//
Souris et tapis Fr design....145 F Q )
1 7 îT P ^ 5 ^
Digitaliser audio + soft........350 F s
Cable pamet 3 m + soft.........99 F Sü
CDRW Ricoh x2 x2 x6.......... 2990 F ^
fra is de p o rt VPÇ ;
lo g ic ie ls 35 F, m atériel 80 F,
tour, écran 100F
com
R e v.en
icronîK
rvice
fficiei
• Linux reco n nu !
Compaq a annoncé au cours du
salon Eurêka son désir de
supporter de manière
internationale le système Linux.
Ainsi dans un proche avenir il
devrait être possible à tout acheteur
de Pc Compaq de choisir entre
Windows et Linux. A l'instar de
son "homologue" de Microsoft
Linux devrait se voirfourni pré­
installé et l'utilisateur bénéficier
d'un support technique au même
titre que les autres consommateurs.
Espérons que cette bonne initiative
pousse les autres constructeurs à
faire de même.
,
,
’
,
,
,
Linux Party
nationale
L'AFUL (A ssociation Francophone des utilisa­
teurs de Lin u x) co m p te o rg aniser une party
Lin ux d 'am p leur nationale le 10 o cto b re. Le
principe consiste à mettre en place localement
des "install parties" à travers toute la France,
regroupées sous cette enseigne de party natio­
nale. De nom breux départem ents, par l'inter­
médiaire des divers LUG (Linux Users Groups)
locaux, ont déjà déployé l'infrastructure néces­
saire, et d'autres sont à la recherche d'une salle.
En vrac, Grenoble, Marseille, Strasbourg, Brest,
Nantes, Lyon et Paris participent à l'opération.
Ce type de manifestation entend surtout four­
nir une aide à l'installation de Linux pour tous
ceux qui le désirent. Linux étant rarem ent livré
avec des m achines, et la procédure d'installa­
tion du système ne se m ontrant pas évidente
p o u r to u t le
m o n d e , c e tte
party offre la
p o s s ib ilit é ,
p o u r to u s
c e u x qui
v e u le n t
d é c o u v rir
L in u x , de
rencontrer
des utilisa­
teurs averAinsi, chacun est
libre de venir avec son PC sous le bras pour se
faire installer et configurer Linux, ou de venir
les mains dans les poches afin de découvrir les
ap p licatio ns disponibles pour cet enviro nne­
m ent. Tous les détails, ainsi que la liste complè­
te des sites à travers la France, se trouvent dis­
ponibles à l'adresse http://w w w .aful.org/linuxparty /
N AVIGATEUR
NOSTALGIE
BeZilla,
RTS Party
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Netscape pour BeOS
Pour une prem ière éd ition ,
BeZilla concrétise la tentative de
portage de Mozilla, la version de
Netscape 5.0 dont les sources se
trouvent maintenant disponibles
gratuitem ent. BeZilla a l'am bi­
tion d'am éliorer M ozilla grâce
aux spécificités de BeOS, pour­
suivant comm e but premier de
faire fonctionner le navigateur
avec les sources actuels sur BeOS
avant de s'attaquer aux choses
Mettez un lézard dans votre Be.
sérieuses, les améliorations. Aux
dernières nouvelles, une version beta est déjà disponible, malheu­
reusement pour un groupe de beta-testeurs très restreint.
CORRECTIF
Des correctifs pour
Faxworks
La société Keller Group qui édite le logiciel de Fax Faxworks pour
O S/2 an n o n ce un ensem b le de co rre ctifs pour son lo g icie l.
Rappelons que Faxworks est fourni en standard avec Warp 4.0 et
Warp Server. Keller divulgue également son intention de continuer
à faire évoluer son produit vers une version 4.0. Plus d'infos sur
www.kellergroup.com
ce fu t un coup de m aître !
P rès de 2 5 0 p e rso n n e s
a v a ie n t rép o n d u p rése n t à
l'in v it a t io n
la n c é e
par
q u e lq u e s p assio n n é s de la
région de Grenoble, le weekend des 5, 6 et 7 Septembre
d e rn iers. Alors que certains
se ré p o n d e n t à c o u p s de
M é g a H e rtz , d 'a u tre s , plus
nostalgiques, se sont souve­
n u s q u e , il y a e n c o re
quelques années, tout avait
co m m en cé
avec
des
m achines com m e le C64 ou
le C PC . C'est impressionnant
ce que l'on peut faire avec
un C PC ou un Hades ! Une
am biance form idable, vérita­
b le m e n t o rie n té e " s c è n e " .
Tous les autres résultats sont
su r le W eb : h t t p : / / rtsparty.im ag.fr
Alpha à PARIS!!!
Démonstration permanente!
Kit Alpha
Un micro disque dur
IBM a présenté dans le courant du mois de septembre le plus petit et
le plus léger des disques durs. De la taille d'une grosse pièce de mon­
naie et à peine plus lourd qu'une disquette classique, le Microdrive
offre une capacité de 340 mégaoctets, soit plus de 230 fois la capaci­
té d'une disquette 3"112.
Les applications évidentes pour cette nouvelle génération de disques
sont sans conteste les caméras et appareils photos numériques, ainsi
que les ordinateurs de poche, qui nécessitent tous des capacités de
stockage de plus en plus élevées. Actuellement, la technologie des
mémoires flash à semi-conducteurs s'utilise pour ces applications, car
elle seule pouvait fournir des capacités de stockage suffisant dans un
volume restreint. Le Microdrive d'IBM utilise quant à lui les technolo­
gies magnétiques classiques des disques durs, offrant, outre des taux
de transferts supérieurs, un coût par mégaoctet bien inférieur à celui
des mémoires flash.
D'autre part, le Microdrive est compatible CompactElash Type II et a
donc le moyen de s'insérer sans problème dans n'importe quel slot de
ce type. Ainsi, outre les appareils photos numériques et autre ordina­
teurs de poche, c'est toutes les habitudes de transferts de données
qui risquent-de se voir remises en cause. Le disque pourra être trans­
porté sans aucune difficulté et il suffira simplement de l'insérer dans
un slot libre pour avoir le privilège d'utiliser ses données, où que l'on
se trouve.
La sortie du Microdrive est prévue pour la mi-1999, mais le prix
annoncé atteindrait un dollar par mégaoctet, ce qui représente plus
de 2000 francs. Les premières utilisations de cette technologie revêti­
ront donc l'aspect des appareils numériques professionnels à plu­
sieurs dizaines de milliers de francs, mais si la demande se montre suf­
fisante, l'augmentation de production devrait rapidement faire baisser
les prix jusqu'à un niveau abordable pour Monsieur-tout-le-monde.
m
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C D -R o m P io neer 3 6 X Atapi
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Processeur Alpha 600
Processeur Alpha 633
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Disques Atlas III 18,2 G o
+8100F Lecteur Zip interne ID E
+7S0F
+8950F Passage à écran 19” Monyka +2S90F
+6500F Passage à 256Mo de RAM
+2500F
+ 15000F W indows N T4
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Alpha I64LX2
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C D -R o m P io n eer 3 6 X Atapi
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Processeur Alpha 633
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Disque Fireball E L 18,2 Go
+8100F
+8950F
+550F
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Passage à écran 17” Monyka
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nombreuses années en version
papier ils viennent de revoir le
jour sousforme électronique.
Soucieux de toujours plus
supporter les développeurs Amiga
Inc. vient en effet de les publier sur
son site Internet
(http:llwww.amiga.cofn
fdev_reference!).
;
,
PROCESSEURS
Intel bientôt
Untel ?
à plus de 85 % par Intel, il y a certainement une
place à se faire pour qui sait s'y prendre. Dès le 12
octobre prochain, au fam eux M icroprocessor
Forum, Rise fera l'annonce officielle de son
qui, à puisssance équivalente, consomme beau­
coup moins de courant que les processeurs Intel.
Transmeta, de son côté, œuvre dans le plus grand
secret, en affichant notamment comme seul conte­
nu de son site web un simple "This web page is
not here yet". Le peu d'informations ayant réussi à
percer à ce jour concerne leur produit, le fameux
processeur, et quelques grands noms d'employés,
dont notamment Linus Torvalds, Robert Collin l'un des premiers ingénieurs de Texas Instruments et Paul Allen, co-fondateur de Microsoft, apportant
son soutien financier. D'aucuns prétendent que
Transmeta travaillerait sur un processeur non com­
patible directement, mais capable d'émuler parfai­
tement le fonctionnement d'un processeur x 86 et
ce, grâce à une architecture particulièrement in­
novante. D'autres font toutefois état de la possibili­
té d'un processeur compatible, mais destiné au
marché des mobiles. En effet, dans ce domaine, les
processeurs Intel ont toujours souffert de leur
consom m ation trop élevée. Il y a donc, à ce
niveau, fort à gagner pour qui se révèle capable de
fournir un processeur aussi puissant, compatible, et
surtout moins gourmand en énergie.
Cependant, pour que ces nouveaux venus puissent
faire face aux trois géants implantés, Intel, Cyrix et
AMD, il leur faudra, en plus d'une conception ori­
ginale, affronter les difficultés liées au développe­
ment, à la production en masse, à la commerciali­
sation et à la propriété intellectuelle pour ne citer
que celles-là. Le prix constitue un autre problème,
puisqu'en face, les trois grosses compagnies ont la
capacité de diminuer leurs marges pour se lancer
dans une véritable guerre des prix, ce que des
start-ups ne sont pas nécessairement en mesure de
supporter. Nous ne pouvons que leur souhaiter
bonne chance, en espérant une saine concurrence
tirant les performances vers le haut et les prix vers
le bas.
MP6
Jusqu'alors, Intel jouait le rôle de leader incontesté
dans le domaine des processeurs compatibles avec
son propre x 86 . Les deux seuls concurrents, AMD
et Cyrix, font parfois pâle figure, surtout face à des
détracteurs clamant haut et fort que les proces­
seurs des deux fondeurs ne sont pas complète­
ment compatibles et encore moins exempts de
bugs. Malgré tout, Intel a certainem ent pris la
menace au sérieux en se protégeant légalement
derrière des Slots 1 et 2, totalement propriétaires
et surtout propriété d'Intel. Mais AMD, avec son
K6-2, a prouvé que les Slots 1 et 2 n'étaient absolu­
ment pas nécessaires pour rivaliser de puissance
avec les tout derniers Pentium II d'Intel. Cyrix a
développé une nouvelle gamme, capable égale­
ment de jouer dans la cour des grands. De son
côté, Intel s'est offert le luxe de définir des catégo­
ries d'acheteurs potentiels et de segmenter le mar­
ché. Son processeur Celeron censé équiper les PC
bas de gamme alors même qu'il se révèle moins
puissant et plus cher que certains Pentium clas­
siques, a été mal reçu par le public. D’où un retour
en arrière, avec un futur Celeron possédant de la
mémoire cache et fonctionnant sur un ancien
Socket et non plus sur un Slot. De quoi troubler
même les plus assidus des consommateurs.
Fortes de cet enseignement de la concurrence et
de la relative indécision commerciale d'Intel, de
nouvelles entreprises tentent de se lancer sur le
marché des processeurs grand public. Transmeta
(b ie n tô t h ttp ://w w w .tra n s m e ta .c o m ) et Rise
(http://www.rise.com) se sont lancés dans la cour­
se aux processeurs basse consommation à faible
coût, destinés à équiper les ordinateurs de bureau
aussi bien que les portables. Un troisième larron,
M etaflow , avec l'appui de sa m aison-m ère St
Microelectronics, s'essaye également à la réalisa­
tion de clones de processeurs Intel.
Dans un marché très prometteur, bien que dominé
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Le M P6 bientôt au cœur des PC ?
INDISCRETION
Linux lit le courrier...
... enfin du moins les adresses inscrites sur les enveloppes. Le
projet am éricain de reconnaissance autom atique des adresses
postales, engagé dans le courant de l'année 1997, a m ainte­
nant été totalem ent concrétisé, et surtout, a fait ses preuves.
Déjà en possession d'un systèm e com p let de reconnaissance
des adresses, com posé d 'ord inateurs vieillissants et de scan ­
ners d é d ié s, l'U n ite d States Postal S e rvice (U S P S ) a vou lu
m oderniser tout son appareillage, et plus particulièrem ent les
fo nctio n s d'O C R (O p tic a l C a ra cte r R é co g n itio n ), en im plém entant des alg o rith m e s fo u rn is par RAF T e ch n o lo g ie s. Le
ch o ix du systèm e d 'e xp lo ita tio n ne fu t guère d iffic ile ; en
effet, l'architecture utilisée nécessitait des m achines p articu ­
lières et so uvent une seule carte Eth ern et avec une cartemère, devant fo nctio nner avec très peu de m ém oire. Il fallait
donc un systèm e m odulable et recom pilable à souhait. Cela
explique la mise à l'écart des systèm es M icrosoft, au profit de
Linux, retenu parce que livré avec ses sources, et libre. USPS a
donc installé plus de 9 0 0 systèm es Lin ux sur l’ensem ble du
territoire am éricain.
Chacun se com pose de cinq ord inateurs bi-Pentium Pro 20 0
M Hz - p o urvus re s p e c tiv e m e n t d 'u n d isq u e de 2 ,5 G o et
d'une RAM de 128 Mo - ainsi que d'une m achine Pentium Pro
200 équipée du même disque et d'une RAM identique, mais
possédant en plus un m oniteur, une souris, un clavier et des
lecteurs de CD et de disquettes.
En fait, les spécifications prem ières prévoyaient des architec­
tures plus sim ples, destinées uniquem ent à la reconnaissance
des adresses dactylographiées, qui représentent de loin le plus
grand nom bre d'enveloppes à traiter. Mais, les algorithm es de
reconnaissance de l'écriture m anuscrite ayant été jugés suffi­
sam m ent fiables, la décision fut finalem ent prise de construire
un systèm e cap ab le de re co n n a ître l'ad resse sur to u t typ e
d'enveloppe.
A insi, les enveloppes sont scannées avec une résolution de
deux cent douze points par pouce, à raison de douze unités par
seconde.
Chaque im age se trouve ensuite envoyée à l'une des m achines
par le biais d'un câble et d'une carte dédiés. L'im age se voit
ensuite com pressée et envoyée par liaison Ethernet à l'un des
d ix p ro ce ssu s (u n p ar p ro c e sse u r) de re c o n n a issa n c e des
c a r a c t è r e s . U ne fo is c e u x - c i id e n t if ié s , les o rd in a t e u rs
"esclaves" renvoient, sur une seconde ligne Ethernet, le résul­
tat de leur labeur sous la form e d'une chaîne A SC II. Cela a cer­
tainem ent l'air an o d in , m ais il est nécessaire de bien co m ­
p ren d re que les d o u ze e n v e lo p p e s scan n é e s p ar seco n d e
représentent un flux de 28 Mo/s, im possible à stocker directe­
m ent sur un disque. Le procédé rem plit donc la RAM de la
m achine, qui effectue la com pression à la volée, ou éventuel­
lem ent stocke certaines données sur le disque, si la RAM est
pleine. Ainsi, le débit se m ontre quasim ent continu. Et Linux a
com blé toutes les attentes.
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• V isual Age Java
La version 2.0 de Visual Age Java
pour OS/2 et Win32 a jailli sur le
marché. Le produit supporte
désormais le JDK 1.1.6. Une
version d'évaluation est
téléchargeable sur le site d'IB. M. Les
heureux possesseurs de la version
l.X de VA Java auront une mise à
jour gratuite vers la V 2.0.
SYSTEM ES
Unix et NT main
dans la main ?
Microsoft et Compaq, désormais propriétaire de
Digital et de son système Digital Unix, viennent
de signer un accord tendant à rapprocher leurs
deux systèmes concurrents. Le but avoué consiste
à fournir une plus grande interopérabilité entre
ces deux mondes, et de procurer à Windows NT
certaines fonctionnalités de haut niveau issues du
monde Unix. Compaq s'engage à aider Microsoft
à inclure dans son systèm e des technologies
issues de ses deux systèm es, D igital U nix et
D ig ital O pen VM S. Parmi celles-ci, on citera
notamment la gestion complète du clustering, du
côté des fichiers et de l'administration, les possibi­
lités d'administration à distance avec détection
des erreurs et l'infrastructure de partitionnement
des données et des fichiers. A l'inverse, les deux
sociétés ont décidé d'ajouter dans les deux sys­
tèm es D ig ital le sup p ort de M icro soft CO M
(C o m p o n e n t O b je ct M od el) et de tra v a ille r
conjointem ent dans le domaine de la sécurité.
Espérons que cette association permette de faire
progresser les deux systèmes, et non pas l'un au
détriment de l'autre.
Pour sa p art, Sun M icro system s, p lutôt que
d'oeuvrer en collaboration avec Microsoft, tente
de remplacer les serveurs Windows NT par des
serveurs sous Solaris. Sun vient en effet d'annon­
cer une nouvelle technologie, qui donne la possi­
bilité à un système sous Solaris de s'intégrer sans
aucun difficulté à un réseau Windows NT. Le pro­
jet, baptisé Cascade, entend offrir à un serveur
Solaris, indifféremment à base de processeur Intel
ou Sparc, tous les services indispensables à la
communication avec des machines NT. Il s'agira
notamment de la gestion des noms de fichiers,
de l'authentification et du partage de ceux-ci ainsi
que des imprimantes propres à l'environnement
de M icro soft. Sun présente son projet de la
manière suivante : il procurerait le moyen de pos­
séder un réseau de clients NT avec un serveur
co m p lè te m e n t c o m p a tib le , m ais o ffrant un
niveau de sécurité bien plus élevé que ne pourrait
le faire un serveur NT classique. Bien évidem­
ment, Cascade supporte parfaitement le système
de fichiers NTFS de Windows NT et se montre
capable de fonctionner avec des clients Windows
NT; 95, 98 et 3.11.
Pour justifier ce nouveau projet, Sun est parti de
la simple constatation que la majorité des ser­
veurs NT ne s'employait que pour fournir à des
postes clients l'accès à des imprimantes et à des
fichiers partagés, avec, éventuellement, une vérifi­
cation de l'identité des utilisateurs. D'autre part,
le manque de flexibilité des serveurs NT a conduit
moult entreprises à se suréquiper de ce genre de
machines, en créant ainsi un réseau complexe à
administrer et entraînant d'énormes surcoûts de
gestion. Il s'avère en effet courant de rencontrer
des réseaux dans lesquels est implanté un serveur
Nt pour chaque tâche : un pour gérer le courrier
électronique, un second dédié à l'administration
des comptes utilisateurs et un troisième spécialisé
dans la gestion des connections Internet. Ainsi,
Sun nourrit l'ambition de remplacer l'ensemble
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de ces serveurs par une seule m achine sous
Solaris, capable d'effectuer simplement la totalité
des fonctions courantes, tout en s'insérant de
m anière com p lètem ent transparente dans un
réseau N T ; et d'insister fortement sur la baisse
des coûts de gestion que cette solution pourrait
apporter. Le second point susceptible de décider
les entreprises vient de la simplicité de mise en
oeuvre et d'utilisation du projet Cascade. En effet,
celui-ci propose des outils d'adm inistration et
d'observation tout à fait semblables à ceux four­
nis sous Windows NT. De cette manière, il n'y a
aucune adaptation ni apprentissage nécessaires
pour un administrateur habitué à NT. Du côté des
clients, le changement de serveur serait complè­
tem ent transparent, les utilisateurs accédant de
manière identique aux ressources fournies par le
serveur, que celui-ci fonctionne sous Windows NT
ou sous Solaris.
Cascade devrait se trouver disponible dans le cou­
rant du mois de novembre pour certaines entre­
prises pilotes et accessible à tous au début de
l'année prochaine.
Une station Sun dans un réseau NT.
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C O H A B IT A T IO N
Le projet Win32-OS/2
Le projet de traduction d'exécutables Win32 vers 05/2 progresse.
Une nouvelle beta est attendue début octobre (le 17 au plus tard :
Warpstock oblige). Cette version devrait convertir les programmes
Win32 à la volée (sans avoir à faire de manipulations complexes).
Nous n'avions pas présenté les tests de la première beta, qui
n'avait que le mérite d'exister et de convertir Quake II. Toutefois,
cette deuxième mouture sera certainement bien plus intéressante
et fera sûrement l'objet d'un prochain article dans Dream.
A L L IA N C E
Intel soutient Unix
Intel travaille ardemment
à l'instauration d'un stan­
dard U n ix, devenu
nécessaire au succès de
CO M PATIBLE
n* umi ra» « iwgu cohhfik
son futur processeur 64
bits, le M erced. Dans
l'optique d'un "Unix uni■
DIGITAL
U V IX
fi®", Intel désire travailler
conjointement avec tous
les grands acteurs du
monde Unix, Compaq,
Hewlett Packard, Sun, IBM et SCO notamment. Sur le lucratif marché
des grandes entreprises, directement concerné par le nouveau pro­
cesseur, alors que Microsoft tente d'imposer sa technologie NT, Intel,
de son côté, préfère œuvrer en faveur d'Unix, jugeant que "l'accéléra­
tion du déploiement d'Unix sur les serveurs Intel est un élément important
pour le développem ent d'un modèle stand ard de serveur haut de
gamme". La stratégie du fondeur s'oriente vers un standard baptisé
SHVS (Standard High-Volume Server) permettant de réduire très net­
tement les coûts. Selon les dires de la société, "Intel joint ses forces à
celles des principaux fournisseurs de systèmes Unix, ainsi qu'à celles des
plus importants fabricants de périphériques, pour surmonter les pro­
blèmes actuels d'incompatibilité qui compliquent les possibilités de déve­
loppement du marché Unix". Mais plus que le système, Intel s'intéresse
tout particulièrement aux pilotes de périphériques, qui symbolisent la
plus importante source d'incompatibilités, en travaillant activement
au développement d'un standard dans ce domaine, par le biais de la
spécification UDI (Uniform Driver Interface). Celui-ci apparaît aux
yeux des constructeurs comme un moyen possible de n'implémenter
qu'un seul pilote, capable de fonctionner avec toutes les Unices sur
plate-forme Merced, et donc de réduire le temps et le coût de déve­
loppement.
Cette volonté d'unification des systèmes Unix ne date toutefois pas
d'hier, chez Intel. Andy Grove a effectué une première tentative
quelques années auparavant, essentiellement motivée par le désir
d'indépendance vis-à-vis de Microsoft. Cet essai avait échoué notam­
ment à cause d'IBM et de Sun qui ne voulaient à l'époque pas aban­
donner leur propre système. Pour la récidive d'aujourd'hui, Intel s'est
engagé à fournir toutes les informations techniques nécessaires et à
coopérer totalement, afin de faciliter le développement de cet Unix
unifié. Gageons que la situation dominante de Windows N T devrait
pousser les grands noms du monde Unix à suivre le mouvement.
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Krusty fun house les Simpsons. 139 F
Hook le capitaine crochet.............139 F
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Harlequin.............................................139 F
Stree Fighter 2...................................139 F
Piracy on the High seas................ 139 F
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Mickey Jeu de mémoire................139 F
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Darkman........................................... 139 F
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990 F
Module Pablo Picasso.................. 890 F
Disque dur IBM 2'A.................... 1729 F
Doubleur de fréquence................. 659 F
Pamet.................................................... 165 F
Scanner Epson G T 5500.............1990 F
Semet....................................................249 F
Tour Atéo...........................................980 F
Tour Micronik...............................1240 F
Alimentation interne 200 W
449 F
Coque clavier+adapt.+cable
420 F
Carte Zorro I I ................................ 1390F
Carte Zorro I II............................... 3189 F
Sortie externe SCSI Micronik... 169 F
Adaptateur PCMCIA Micronik. 245 F
Lecteur interne D D ........................ 270 F
Lecteur interne DD Micronik.... 380 F
Lecteur externe HD Micronik... 629
Souris 2 boutons........................... 129F
Souris 3 boutons........................... 209 '
Joystick à partir d e ...................... 149 F
Topolino pour A2000...................320F
Topolino autre Amiga..................295 F
OS 3.1 A500, A600, A2000 ...... 590F
OS 3.1 A 1200, A3000. A4000.. 690 F
MATERIELS
Matériels spécifiques PC
Clavier standard............................... 158 F
Clavier ergonomique..................... 399 F
Carte modem USRobotics........... 690 F
Game Pad............................................169 F
Logitech Pilot Mouse.................... 129 F
Microsoft Home Mouse.................169 F
Souris 3 boutons..........................
85F
Amiga A 1200................................. 2590 F
Amiga A 1200 H D .........................3290 F
Amiga A 1300................................. 3340 F
Amiga A 1400 Zorro I I ................4849 F
Amiga A 1500 Zorro I I I ..............5949 F
Blizzard 1260................................. 3690 F
Blizzard extension SC SI...............690 F
Blizzard Ppc .... Toutes les références
Cyberstorm Ppc Toutes les références
Cyberstorm MK3 uw scsi..........4480 F
BVision.....................à partir de 1590 F
mm
Écran 15 ‘ * garanti 3 ans........... 1840 F
Lecteur CDx32 ID E .......................790F
Lecteur CDx32 S C S I.................... 890'
Lecteur ZIP // ou S C S I............... 990 F
Disque dur IBM 3Vi.................. 1729 F
Stylus color 400............................1290 [
Stylus color 700............................1790
SYSTEM E
La technologie sans Faust
notes.
Sun retourne sa veste
Loin des considérations d'Intel sur le projet d'Unix unifié, Sun
profite du retard à la fois du M erced, processeur 64 bits d'Intel,
et de celui de Windows N T 5 de M icrosoft, pour présenter sa
te ch n o lo g ie to u t 64 b its, à savo ir son nouveau p rocesseur
UltraSparc III et la nouvelle version de son Système Unix, Solaris
64. Alors que le Merced se trouve repoussé à la mi-1999 et que
Windows N T 5 est retardé jusqu'à une date pour le m oment
indéfinie, Sun com pte bien profiter de ce délai pour tenter d'im­
Le parc des expositions de Toulouse abritera pour la septième fois le
salon FA U ST, Forum des A rts de l'U n ive rs S c ie n tifiq u e et
Technologique, du 21 au 25 octobre prochain. Toutes les nouvelles
technologies seront représentées, de l'image à Internet en passant
par la musique, le langage et les arts du spectacle.
Les principaux acteurs dans ces domaines en plein essor seront pré­
sents pour mettre en valeur, pour les 60000 visiteurs attendus, leurs
produits et services. Dream y sera bien entendu représenté.
Plus encore, fidèle à sa tradition de spectacle, le salon Faust accueille­
ra également de nombreux spectacles et expositions sur le thème des
technologies de pointe. Il sera également possible pour les visiteurs
de prendre part à des stages de fo rm ation dans chacun des
domaines représentés, ainsi que
de participer à l'un des nombreux
concours organisés tout au long
de l'événement. Le programme
complet du salon est disponible
atteint lui aussi les phases finales de développement et devrait
entrer en production de masse dans les prochains mois. Il y a
fort à parier que Sun va profiter de sa technologie Cascade, per­
m ettan t à un serveur Solaris de s'in sérer aisém ent dans un
réseau Windows NT, pour imposer ses nouveaux produits auprès
sur le site web de Faust, à l'adresse
http://www.faust.ascode.fr.
de clients déçus par un retard toujours plus grand des offres
concurrentes d'Intel et de Microsoft.
poser ses nouvelles technologies, qui verront le jour sans aucun
doute avant celles d'Intel et de M icrosoft. La phase de concep­
tion du tout nouveau UltraSparc a d'ores et déjà pris fin, et le
processeur est actuellem ent en cours de validation. Les premiers
échantillons seront envoyés à certains clients avant la fin de l'an­
née en cours. Solaris 64, version 64 bits du système de Sun, a
B U REA U TIQ U E
Wordworth (formatage de textes, dictionnaires,
Un nouveau
insertion de tableaux et de dessins, etc.) avec la
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
rapidité en plus. Mais là ne réside pas son seul inté­
traitement de
rêt. Volontairement ouvert aux développeurs tiers,
le logiciel se montrera suffisamment ouvert pour
texte sur Amiga
que n'importe qui puisse lui programmer rapide­
L'allemand Haage & Partner, à qui l’on doit toute
une kyrielle de langages de programmation, l'OS
des cartes PPC, PageStream (Pao) et le fameux Art
Effect (lo g ic ie l de reto u ch e p h o to , sosie de
Photoshop), vient d'annoncer qu'il allait très pro­
chainement compléter son catalogue avec un nou­
veau traitement de texte. Amiga Writer, c'est son
nom , offrira de base toutes les fonctions d'un
Enfin un traitem ent de texte rapide !
ment des extensions, telles que la reconnaissance
de nouveaux formats de fichiers ou la compatibilité
avec des dictionnaires existants sur d'autres platesformes. Prévu pour la fin du mois, Amiga Writer a la
volonté de devenir le traitement de texte de réfé­
rence sur Amiga. A tel point qu'Haage & Partner a
même acquis une licence auprès d'Amiga Inc. pour
que le logiciel puisse porter le même nom que la
machine.
Toutes les fonctions d'un Word.
PROCESSEUR
Le nouveau
Chipset Am iga
est en route
p résent essen tielles dans l'arch ite ctu re
Amiga : Paula (son), Usa (affichage), Alice
(B litte r, C o p p er, D M A) et les deux CIA
(entrées/sorties). Il offrira de nouvelles réso­
lutions (jusqu'à 1024x768 en 65536 cou­
leurs, véritables modes Chunky Pixels), un
SuperlO, afin de gérer simplement tous les
types de périphériques (série, parallèle,
UltraDMA Ide et USB). Pourquoi développer
un nouveau Chipset Amiga, alors que la
machine se sert depuis la nuit des temps de
banales cartes d'extension pour se mettre au
Access Innovation, constructeur
goût du jour ? Tout simplement
anglais de cartes mères compa­
parce que l'Amiga a abouti à
tibles Amiga et anciennem ent
une situ a tio n absurde : il a
connu sous le nom d 'in d e x
besoin de son C h ip set pour
In fo rm a tio n , a c o n firm é la
fonctionner (le Chipset reste le
bonne m arche du développe­
centre nerveux de tout ordina­
m ent d'un n o u veau C h ip se t
teur), mais celui-ci est tellement
pour Amiga. Rappelons à ce pro­
vieux qu'il faut compenser cha­
pos qu'avec ses différentes ver­
cune de ses carences par une
sions O C S , ECS et A G A , le
n o u ve lle carte d 'e xte n sio n
Chipset Amiga a toujours été la
importée du monde PC (pour
S ia m e s e PCI
particularité de la machine. En
l'affichage, essentiellem ent).
Le Siamese, un exemple du talent d Access Innovation.
bien (a n im a tio n 2 D , q u alité
Une redondance qui finit par
sonore, D M A ), com m e en mal (p as de
son 16 bits, un DMA optimisé et un contrô­
rendre la machine finale très chère, pour pas
mode Chunky Pixels, lenteur de la gestion
leur d'extensions PCI intégré. L'AA+ se mon­
grand-chose. Compatibilité ascendante et
des disquettes HD). Vingt fois plus rapide
trera totalement compatible AGA et s'inté­
intégration économique représentent les
que l'AGA, VAA+ se présente com m e un
grera parfaitem ent sur une carte mère à
m aîtres-mots des futures générations de
composant 32 bits qui intégrera à lui seul
base de 680x0, ColdFire ou PowerPC. Par
cartes mères Amiga, comme les conçoivent
ailleurs, il pourra s'interfacer avec une puce
les fonctionnalités de cinq puces jusqu'à
Accès Innovation, Phase 5 et Dce.
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M icrosoft corrom pt les
SCANDALE
instituteurs
Microsoft a découvert une nouvelle méthode de promotion de ses
produits. Aux Etats-Unis, tout professeur d'inform atique faisant
mention des produits Microsoft dans le cadre de ses cours se voit
gracieusement offrir la somme de deux cents dollars par le géant
du logiciel. Bien évidemment, pour éviter de se faire accuser de cor­
ruption, Microsoft justifie son action en présentant cette rétribution
comme une participation aux frais que les professeurs ne manque­
ront pas d'engager pour acquérir des produits Microsoft. Il est indé­
niable qu'un enseignant hésitant quant aux logiciels à utiliser se
tournera naturellem ent vers ceux de M icrosoft, et pourra, les
poches pleines, convertir toute une génération de têtes blondes à la
religion Microsoft.
COMMERCE
Sym antec roule pour
OS/2 ?
A la suite des accords passés avec IBM concernant son produit
Antivirus, Symantec commercialise un antivirus pour OS/2, dérivé
de Norton Antivirus. Il semblerait que les ventes soient suffisam­
m ent nom breuses pour que Sym antec envisage l'adaptation
d'autres best-sellers pour OS/2.
BORDEAUX
MOUVEMENT
INFORMATIQUE
ALTERNATIF
• La s e m a in e
PR O G R A M M A TIO N
d u lo g ic ie l lib r e
La Cité des Sciences et de
l'Industrie de la Vidette abritera du
samedi 3 au dimanche octobre
la semaine des logiciels libres
organisée notamment par lA pril
(http:llwww.april.org) et l'Aful
(http:llwww.aful.org). Au
programme conférences et ateliers
de présentation des logiciels libres.
A l'occasion de ta Semaine de la
Science la Willette sera ouverte
gratuitement le week-end des 0 et
octobre.
//
,
,
,
//
/
G old Ed
S tu d io 5
a rriv e
G o ld E d r e p r é s e n t e
le p lu s
fa m e u x é d ite u r de te x t e su r
A m ig a . En p lus de to u te s les
1 f b _ | SAS/C
È - _ | Configuration
—a Syntax Highlighting
Mouse
Keyboard
— _ ) Menus
—LLTo olb ars
—[7 Miscellaneous
—“ Context
Dictionary
—/ / Plug-Ins
_ j Récognition
|—«5cf*
(c|cc|cpp|ccp|c-*
Pool
_ j Rie search
' | Keyboard
-< ^ sas.keyboard
standard keyboard
-< ^ stormc.keyboard
Layout
_ j Menus
1 | Miscellaneous
_ j Mouse
_ j Plug-Ins
_ j Prlnter
_ j Project configuration
standard project
& - _ J Reference files
t H _ | Syntax Highlighting
fo nctio n s propres au fo rm a ta­
ge d ’un texte, son grand inté­
rê t c o n s is te à d is p o s e r d 'u n
lexiq u e p o ur ch a cu n des lan ­
gag es en v ig u e u r sur A m ig a .
De fa it, le p ro g ram m eu r peut
v is u a lis e r a is é m e n t les d iffé ­
C h a q u e la n g a g e p e u t d isp o se r d'un en viron n em en t p rop re.
re n ts é lé m e n ts d e so n c o d e
D 'autant plus pratique qu'il y a
Studio 5, dispose d'une interfa­
g râ c e à la m ise en g ra s, au x
possibilité de lancer tel ou tel
ce plus intuitive, dans laquelle
ita liq u e s ou à la c o u le u r des
co m p ilate u r d ep u is un m en u .
le
instructions, labels et routines.
La n o u velle ve rsio n , n o m m ée
opp o rtun, ainsi que d'un nou­
D r a g 'n 'd r o p
se m o n tre
v e a u c o n c e p t d e le x iq u e s .
D é s o r m a is ,
c h a q u e e rr e u r
d 'é critu re se tro uve visualisée
en tem ps réel par une mise en
su rb rillan ce au m o m en t de la
frap p e. Et puisque la dernière
version d é tie n t ég alem en t un
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
d ic t io n n a ir e (a n g la is , p o u r
l'in s t a n t ), !e lo g ic ie l d e v ie n t
m ê m e id é a l p o u r ta p e r des
a rtic le s au k ilo m è tre (H T M L ,
S A S / C ). En a tte n d a n t le test
d an s un p ro c h a in n u m é ro , il
est possible de télécharger gra­
tu ite m e n t la p ré cé d e n te v e r­
sion sur le site : h ttp ://m e m bers.tripod .com /~ golded/.
C o rrectio n en cou rs d e fra pp e.
MISE A JOUR
ts»
rt>
->
•W >
BeBasics de BeatW are
passe en version 2.1
f« * .<
i.
> & •&. * >j *
1 -J » ^ (V I I -t . - E3li IIS >)!!' QTÂ
The BeatW are Beat
La suite b u reau tiq u e BeBasics profite d'une petite m ise à
jo u r, d o n t le b u t est de c o rrig e r q u e lq u e s b ug s de la
suite et surto u t d 'in té g re r des d atatyp es d 'im p o rtatio n et
d 'e xp o rtatio n vers les fo rm ats "texte-p lat" et RTF, afin de
f a c i l i t e r la c o m m u n ic a t io n a v e c le s a p p lic a t io n s
, Enough is Enoughf
W in d o w sie n n es et le reste du m o n d e . BeatW are p révo it
é g a le m e n t l'a jo u t du s u p p o rt de l'H T M L e t du fo rm a t
■Mil-.IUItMlil U V |4 «V -V f wn»
2 .2 se vo it déjà a n n o n cée et ne d e vrait pas ta rd e r à vo ir
le jo u r. To us les ren seig n e m e n ts et la possib ilité de c o m ­
—
«« *■<»
■Un
W in W o rd p o ur les p ro ch ain es versio n s. U ne m ise à jo ur
«mnjijw NtuoMNocndiM
Thf W inin ol t»nr Durartcal
**
»y»
i n. i . ny.
BeBasics, p a s s i b a siq u e que cela !
m a n d e r BeBasics 2 .1 au p rix de 6 9 d o lla rs so n t d isp o ­
nib les à l'adresse : h ttp ://w w w .b e d e p o t.c o m /sh o p /p ro d u c ts/b e a tw a re /b e b a sic s.a sp .
Les u tilisateu rs déjà enreg istrés re ce vro n t une m ise à jo u r g ratu ite .
M o n ite u rs & Video
C a rte s PPC U itra-W ide A 4 0 0 0
AverTVGenie ProTV (Vidéo PAL sur écran VGA)
Ô50
Atéo Dus + Pixel64.........................................1 9 9 0
BVision PPC 4 M o ........................................... 1 4 5 0
CyberVision PPC 8 M o .................................... 1 7 9 0
Moniteur 15" 0 .2 8 ............................................ 1 5 0 0
Moniteur 17' 0 .2 8 ................................
2 550
Moniteur 17' 0 .2 6 ............................................2 9 5 0
Mitsubishi 17' 0.25 Plus 71........................... 5 5 9 0
Mitsubishi 17" 0.25 Plus 7 2 ..................... 3 9 9 0
A m ig a - M a c in to s h - L in u x - PC
Incroyable !!!
Pour l’a c h a t d ’une c a rte
PPC, nous vous o ffro n s :
• 16Mo (Blizzard)
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La sortie des DvisionPPC (A1200)
est repoussée à début octobre...
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pour profiter de vos CyberVisionPPC.
Les cartes à base de 6Ô060
sont de retour !
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iM ém oires de m asse
Lecteur CDROM IDE 3 2 x ........................
Graveur CD SCSI Teac B55S x4 x12
Disque dur IDE 2.1 Go ............................
Disque dur IDE 3.2 G o ...........................
Disque dur IDE 4.3 G o ...........................
DD SCSI 4.3 G o ......................................
DD SCSI UW 4.3 G o ...............................
Lecteur ZIP ATAPI in te rn e ......................
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2 790
930
1150
1250
2 090
2 590
750
M ém oires & Divers
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5IMM 16 Mo EDO
150 F
SIMM 32 Mo EDO............................................... 2 7 0 F
Doitier Atéo 1200 + Clavier
1090 F
Modem USR S p o rts te r V 9 0
1350 F
Wordworth 7 .0 fr a n ç a is .............................,.. 4 9 0 F
CD A m in e t 2 6
30 F
Cyberstorm 180Mhz support 040 ou œo...................... 4 4 9 0 F
Cyberstorm
4 390 F
1 8 0 M h z a v e c 0 4 O à 2 6 M H z ....
Cyberstorm 160Mhz avec 0 6 0 à so mhz.._
6
990 F
Cyberstorm 200Mhzsupport040ou06o
5 290 F
Cyberstorm 200Mhz avsc 040 à 25 MHz
5 590 F
oeo à 50 M Hz
7 890 F
Cyberstorm
2 0 0 M h z avec
Cyberstorm
2 3 3 M h z support 040 ou oeo
Cyberstorm
2 3 3 M h z a v e c 0 4 0 à 2 5 M H z ..............................6
Cyberstorm
2 3 3 M h z avec œ o à
...........5 75 0 F
200 F
50 mhz ...............7 9 9 0 F
C a rte s PPC U ltra-S C S I A1200
990 F
Blizzard
6 0 3 e + 160M hz& 04O A 25M H Z
2
Blizzard
6 0 3 e + 2 0 0 M h z su p p o rt0 6 0 à 6 0 M H z
3 450 F
Blizzard
6 0 3 e + 2 0 0 M h z & 0 4 O à 2 5 M H z ..............3
550 F
Blizzard 603e+ 200Mhz &œo à 50 m h z
5 990 F
Blizzard 603e+ 240Mhz support 060 à50 m h z
3 990 F
Blizzard 603e+ 240Mhz &040 à 25 M H z ............... 4 150 F
Blizzard 603e+ 24OMhz&060 à 5 0 M H z
6 590 F
C a rte s PPC A 1200
Blizzard 603e
1 6 0 M H z & 0 4 0 A 2 5 m h z ................ 2
450 F
H z ............... 2
990 F
Blizzard 603e 200Mhz&040 i2 5 M
Blizzard 603e 240Mhz &0 4 0
à 25 M H z
................3 5 9 0 F
Nappe S C S I UW 6 8 p ts - 4 connecteurs internes M + slot externe F (idéal Cyberstorm)
A dap tateur S C S I - 1 connecteur PSub68 F vers 1 connecteur HE10-50M ................................
A d ap tateu r S C S I - 1 connecteur DSub68 F vers 1 connecteur HE10-50F ................................
A d ap tateu r IDE -1 connecteur IDE 2 1/2 vers 1 connecteur IDE 3 1/2............................................
Câble S C S I-2 - Mini D50 M vers DB25 M ...................................................................................................
Route départementale 523 • 3Ô5 7 0 TENCIN
430
190
190
50
................120
F ra is de p o rt :
Moniteurs et boitier : 150 F
Connectique, RAM & logiciels : 25 F
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[ Les réseaux de
perm et pas de toujours résoudre les problèmes
d'une application informatique dans un domaine
particulier. Certaines applications souffrent encore,
malgré la puissance des machines, d'un temps de
calcul rédhibitoire. Progressivement s'est donc impo­
sée l'idée que les manques de performances pou­
vaient provenir aussi bien du logiciel que du maté­
riel. D'où l'apparition de nouvelles formes d'ap­
proche de la conception des applications. En plus de
la classique algorithmique se sont progressivement
dessinés l'intelligence artificielle, ou approche par
connaissance, et le connexionnisme, tendant à faire
fonctionner une machine sur le modèle du cerveau
humain.
Les approches classiques
L'approche algorithm ique consiste à concevoir,
avant même d'écrire la moindre ligne de code, tout
le processus que la machine devra suivre dans le but
de résoudre le problème. Lorsque celui-ci peut se
résumer à quelques équations mathématiques, l'al­
go rithm iq ue rem plit p arfaitem ent son rôle. En
revanche, lorsque la complexité s'accroît, résoudre
un problème de cette façon peut s'avérer coûteux en
temps, voire simplement impossible. De plus, ce
type d'approche oblige le concepteur à envisager
tous les cas de figure envisageables, car la machine,
résolument binaire et disciplinée, sera incapable de
prendre seule des décisions face à une situation pour
laquelle elle n'a pas été programmée.
C'est d'ailleurs le désir de fournir à une machine les
moyens de prendre des décisions qui a fait voir le
jour à une approche complètement différente : l'in­
telligence artificielle (IA ou Al en anglais). A l'opposé
de l'algorithmique, la résolution du problème passe
ici directement par des règles établies grâce à un
expert humain dans le dom aine considéré, sans
avoir recours à un technicien informatique chargé de
transcrire des concepts humains en concepts infor­
matiques. Mais là encore, seuls les comportements
envisagés par le concepteur pourront être reproduits
par la machine. Il est d'ailleurs souvent fait allusion à
l'intelligence artificielle, avec le terme d'approche
par connaissance ; le système se montre capable de
stocker certaines règles prédéfinies et de fonctionner
par analogie. Mais là encore, le fonctionnem ent
reste purement binaire, donc limité, face à des situa­
tions non prévues au moment de la conception et
trop éloignées des règles de base. L'intelligence arti­
ficielle a sans aucun doute une grande utilité pour
les sciences dites exactes, telles que les mathéma­
tiques, l'électronique ou la physique, mais ses limita­
tions se font nettem ent sentir dans le cas des
sciences humaines, par opposition à exactes, comme
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
V*
La science-fiction fait état d'ordinateurs intelligents,
capables de raisonner, voire de conquérir le monde. Loin
de ces scénarii catastrophes, les réseaux de neurones
offrent néanmoins à l'ordinateur un semblant
d'intelligence, en lui permettant de trouver de lui-même
les moyens d'obtenir les résultats qu'attend l'utilisateur
devant son clavier.
’informatique est par définition la science du
traitement automatique de l'information. Au
cours de l'histoire de cette nouvelle science,
débutée réellement en 1946 avec l'apparition de
YENIAC, la puissance de calcul des ordinateurs n'a
cessé de croître, repoussant toujours plus loin la
complexité des tâches rendues possibles.
Cependant, cette augmentation de puissance ne
L
n e u ro n e s
1
la médecine ou la psychologie, dont les principes de
base sont avant tout empiriques et impossibles à tra­
duire en expressions mathématiques.
L'hum ain, m odèle de l'in fo rm atiq u e
Ces deux ap p ro ch es, a lg o rith m iq u e et base de
connaissance, se révèlent malheureusement insuffi­
santes pour résoudre tous les problèmes existants. Il
peut même s'avérer frustrant de voir une machine
paradoxalem ent capable d'effectuer en quelques
secondes un calcul qui prendrait toute une vie à la
main et quasiment incapable d'accomplir des tâches
tout à fait banales pour un humain, comme mettre
un nom sur un visage. Certains domaines d'applica­
tion n'ont d'ailleurs jamais été pourvus de systèmes
automatiques, faute d’approche logicielle capable de
les ap p réhen d er avec la puissance actu e lle des
machines. Quelques essais algorithmiques ou à base
de c o n n a is s a n c e s o n t été e ffe c tu é s d an s des
domaines tels que la reconnaissance de formes, la
compréhension du langage, ou la traduction auto­
m atique, mais sans jam ais ren co n tre r le succès
escompté.
Pour espérer un jour automatiser ce type de proces­
modèle humain simplifié, ont vu le jour.
Une science nouvelle est née de ces observations, le
connexionnism e. Elle constitue d'ailleurs l'un des
principaux centres d'intérêt de la recherche actuelle
dans bon nombre de domaines, dont notamment
l'informatique, la physique, la psychologie, la linguis­
tique, la biologie ou la m édecine. Sous le terme
"connexionnism e" se cache un moyen particulier de
traiter l'information, calqué sur les principes fonda­
mentaux de fonctionnement du cerveau humain. Le
co nn exion nism e se structure autour d'un grand
nombre de cellules primitives, ou unités, connectées
entre elles par des liens, et fonctionnant en parallèle,
sur les bases du modèle humain évoqué plus haut.
sus, il a fallu envisager un autre type d'approche. Les
progrès de la médecine aidant, les informaticiens se
sont penchés sur l'analyse du fonctionnem ent du
cerveau humain pour tenter de reproduire certains
Une fois l'intérêt du connexionnisme établi il est
essentiel de s'intéresser aux moyens nécessaires
pour le mettre en œuvre.
de ses mécanismes sur une m achine. Le point de
départ fut l'analyse de la capacité d'un humain à rai­
e modèle général de réseau de neurones artifi­
ciels se compose d'unités attachées entre elles
par des liens pondérés à sens unique. Par ana­
logie aux neurones biologiques, le réseau artificiel
fonctionne grâce à la circulation de signaux d'activa­
tion entre les différentes unités, au travers des liens,
ou connexions.
Unités et connexions
Principes
des réseaux
de neurones
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sonner et à s'adapter à des situations nouvelles.
L'étude des processus physiologiques a permis d'at­
tribuer au réseau de neurones humains, connectés
entre eux par des synapses, la capacité de réfléchir
par le biais de la transmission de signaux actifs. Une
fois établie l'importance de la connexion des neu­
rones, des réseaux neuraux artificiels, s'inspirant d'un
,
L
Les unités, ou cellules, ou neurones, peuvent être de
'
y
•
»
•
i
»
i1
Î.W .Y.V.W AV.V.V.V.VAV.V.V/AW AVVkV.V*
Reconnaissance d'un 0 avec 30 % de bruit dans un réseau de Hopfield.
trois types, en fonction de leur position dans le
réseau. Les cellules par lesquelles se trouvent intro­
duites les valeurs dans le réseau, ont pour nom "uni­
tés d'entrée". Les points par lesquels les résultats
vont se voir communiqués au monde extérieur sont,
suivant la même logique, baptisés "unités de sortie".
Toutes les cellules restantes s'ap p e lle n t "un ités
cachées", car elle ne possèdent aucun lien direct
avec le monde extérieur. Toutes ces unités s'organi­
sent généralem ent en couches et chaque cellule
d'une couche est connectée à chacune des unités
des couches adjacentes. Ainsi, chaque unité d'entrée
se verra connectée à chacune des cellules de la pre­
mière couche cachée et chacune de celles-ci se trou­
vera ég ale m en t reliée à to utes les unités de la
couche suivante, et ainsi de suite jusqu'aux cellules
de la couche de sortie.
Les connexions perm ettent le transit des signaux
d'activation entre les différentes cellules. Ces liens
ont un sens unique qui détermine la direction dans
laquelle le signal va se propager. D'ailleurs, l'unité de
laquelle part la connexion est nommée "unité sour­
c e " , et la d e u x iè m e , " u n ité de d e s tin a tio n " .
L'utilisation de ce vocabulaire permet d'inclure impli­
citement cette notion de direction. Chacun de ces
liens possède en plus un poids, indiquant l'effet qu'il
va produire sur le signal qu'il fera transiter entre
deux cellules. Si le poids est positif, le lien aura ten­
dance à amplifier le signal, tandis qu'avec un poids
négatif, il se montrera plutôt enclin, au contraire, à
l'inhiber. Les combinaisons de poids négatifs et posi­
tifs d'un réseau permettent de garantir des valeurs
de sortie raison n ab les, ni trop grandes, ni trop
petites, et donc d'assurer une certaine stabilité de
fonctionnement.
D'une m anière générale, les réseaux se révèlent
purement linéaires ; autrement dit, le signal circule
de la couche d'entrée vers la couche de sortie en
passant su cce ssive m en t par to u tes les couches
cachées. Il en va notamment ainsi pour ce qui est
appelé "perceptron", historiquement apparu parmi
les premiers réseaux et considéré comme le modèle
classique le plus couram m ent utilisé. Mais il existe
certains types de réseaux dont la topologie particu­
lière rend les termes généraux inadaptés. En effet,
certains réseaux peuvent fonctionner de manière
récursive, en connectant quelques sorties sur cer­
ta in e s des e n tré e s . De m êm e, une p a rtie des
connexions peut s'accomplir avec une seule cellule,
faisant à la fois office de source et de destination.
Fonctions d'activatio n et de sortie
Bien évidemment, la simple connexion de plusieurs
cellules entre elles, même avec la présence de poids
sur les liens, ne permet pas à un réseau de fonction­
ner. Il reste en effet à définir la façon dont le signal
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va être modifié au cours du périple qui va l'emmener
de l'entrée vers la sortie du réseau.
Chaque unité constitutive de celui-ci possède deux
fonctions propres, la fonction d'activation et la fonc|0 0 tÆ | | SETUP 1 | FREEZE 1
|OONE| | SETUP | |FRE EZE |
Deux exemples de réseau XOR, l'un simple, l'autre
récursif.
tion de sortie. Pour appréhender le rôle de chacune,
il est important de bien comprendre que toute cellu­
le possède une entrée et une sortie. L'entrée se défi­
nit comme une valeur calculée à partir de toutes les
connexions de la cellule en provenance de la couche
précédente. La sortie est quant à elle la valeur qui se
verra transmise vers toutes les cellules de la couche
suivante. La fonction d'activation permet de définir
la valeur d'entrée de la cellule en fonction de toutes
les connexions, dont la cellule est la destination, et
de leurs poids respectifs. La fonction de sortie, pour
sa part, détermine la relation unique entre l'entrée et
la sortie de la cellule considérée. G énéralem ent,
cette fonction constitue l'identité, ce qui signifie que
l'en trée est sim p le m e n t c o p ié e vers la so rtie .
Toutefois, certains réseaux un peu complexes peu­
vent utiliser des fonctions autres.
La fonction d'activation dem eure de loin la plus
importante des deux, car elle conditionne le com ­
Une structure TDNN.
des poids des connexions, et se montrera capable
par la suite de fonctionner de manière autonome en
mettant en pratique son apprentissage.
La méthode d'apprentissage la plus répandue est l'al­
gorithme de rétropropagation, "backpropagation"
dans la langue de Shakespeare. Celle-ci consiste à
définir des valeurs d'entrée du réseau et les valeurs
de sortie attendues, ensemble communément appe­
lé "pattern". Les entrées sont appliquées au réseau,
qui va les propager en direction de la sortie de
manière traditionnelle, en effectuant la m ultiplica­
tion des valeurs par les poids et en appliquant les
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portement général du réseau. Le plus fréquemment,
dans les modèles classiques, la fonction d'activation
commence par calculer la somme pondérée des sor­
ties de toutes les unités de la couche précédente,
connectées avec la cellule en question. Cela veut
dire que chaque valeur de sortie de cellule de la
couche précédente est multipliée par le poids de la
co nnexion entre les deux cellules et qu'ensuite
toutes ces valeurs s'additionnent entre elles. Une
fonction mathématique est ensuite appliquée à ce
résultat, permettant de stabiliser le réseau en évitant
une trop grande dérive des valeurs.
L'apprentissage
Au moment où un réseau voit le jour, il se résume à
un simple squelette composé de cellules connectées
entre elles par des liens, dont les poids se voient initialisés à des valeurs aléatoires. Il s'avère impossible
pour le réseau à ce stade d'effectuer la tâche pour
laquelle il a été conçu. Pour le rendre fonctionnel, il
convient de faire son apprentissage en lui présentant
des exemples de situations qu'il devra résoudre par
la suite. Le réseau va s'adapter de lui-même pour
fournir les réponses désirées, en ajustant les valeurs
fonctions d'activation et de sortie définies. Cette
phase s'appelle "phase de propagation avant", ou
"forward propagation" en anglais. Une fois le résul­
tat obtenu à la sortie, le delta, c'est-à-dire la différen-
S i m u l a t e u r s e t b i b l i o t h è q u e s de d é v e l o p p e m e n t
Il existe deux grands types de logiciels, les bibliothèques et les simulateurs. Les
premières sont les plus rudimentaires, car il ne s'agit que des compilations de
fo n ction s destinées à se vo ir utilisées p a r les program m eurs, désireux de
fa b riq u e r leurs ré se a u x. Il co n v ie n t avec celles-ci de se p lo n g e r dan s la
documentation et d'écrire soi-même son propre programme, le plus souvent en
lan gage C, ou au moyen de langages spécialisés, tel que celui du logiciel
m athém atique M a tla b . Les sim ulateurs s'a vèren t bien plus intéressants et
intuitifs. Il suffit de dessiner la structure de son réseau, de définir les paramètres
d'apprentissage et d'observer les résultats. Certains proposent beaucoup de
types de réseaux prédéfinis, ne laissant plus à l'utilisateur que l'adaptation à son
cas p articu lier. De plus, certains offrent égalem ent des outils d'analyse de
perform ance du réseau, en traçan t p a r exem ple les courbes d'évolution des
erreurs, ce qui permet d'optimiser son réseau le plus simplement du monde. Une
fois fonctionnel, la p lup a rt des simulateurs proposent l'exportation dans un
langage de program m ation de haut niveau, souvent le C, afin de pouvoir
l'utiliser directement dans un programme.
ce entre cette valeur et le résultat atten­
du, est calculé, puis utilisé avec la sortie
de la cellule source d'une connexion
pour calculer l'ajustement à apporter sur
le poids du lien en question. Le poids de
chaque lien entre une cellule de sortie et
une autre de la couche précédente se
voit ainsi ajusté. Ensuite, le delta se pro­
page et s'utilise pour réaliser la correc­
tion des poids entre l'avant-dernière
couche du réseau et celle qui la précède,
et ain si de suite jusq u 'à l'en trée du
réseau. Cette phase se nomme logique­
ment la "rétropropagation", ou "backpropagation" en anglais. L'ajustement à
apporter aux différents poids est obtenu
en effectuant la multiplication du delta
par la sortie de la cellule source et par
une constante dite d'apprentissage. Cette constante
est fixée avant le début de la phase d'apprentissage
et permet d'établir à l'avance l'ordre de grandeur des
variations.
En effectuant de nombreuses fois ce cycle de propa­
gation avant et arrière, avec des données différentes,
le réseau va petit à petit converger vers des valeurs
de poids qui lui permettront de fonctionner avec un
taux d'erreur m inim al. Il faut savoir toutefois que
plus le réseau s'avère compliqué et plus le nombre
de cycles d'apprentissage devra être im portant,
excédant parfois les 10000 .
V alid ation du réseau
Avant que le réseau ainsi entraîné se montre utili­
sable, il faut procéder à une phase de validation et à
une phase de test. Dans les trois cas, les données ont
un type identique, à savoir l'ensemble des entrées à
placer sur le réseau et les sorties attendues. La seule
différence réside dans l'utilisation de ces données.
Les échantillons d'apprentissage sont utilisés en per­
manence pour l'apprentissage, ceux de validation
s'em ploient ponctuellem ent afin d'estim er l'état
d'entraînement du réseau et enfin les échantillons de
tests n'interviennent qu'en dernier pour vérifier la
conformité du réseau. Plus exactement, la phase de
validation doit s'effectuer parallèlement à l'entraîne­
m ent. En effet, si le taux d'erreur mesuré sur les
Pour calculer un sinus, le réseau a du nez.
apprend véritablem ent et s'adapte à la situation.
Cependant, passé un certain point, le réseau devient
surentraîné ; il perd alors sa faculté de généralisation
et se spécialise uniquement sur les échantillons d'ap­
prentissage. Pour schématiser, on pourrait dire que
le réseau apprend par cœur les données d'apprentis­
sage et perd sa faculté à "raisonner" sur des échan­
tillons différents. Ainsi, pour entraîner au mieux un
réseau, il faut effectuer régulièrement des validations
et suivre l'évolution de l'erreur sur celles-ci. Au
moment où la courbe d'erreur commence à remon­
ter, le réseau est dans un état de généralisation opti­
male. Le troisième jeu de données, appelé "jeu de
test", n'a jamais été présenté au réseau. Il permet de
vérifier, à la fin de l'apprentissage, que le fonctionne­
ment général du réseau lui donne la possibilité de
résoudre correctement les types de problèmes qu'il
aura à affronter.
Toutefois, cette méthode de validation, qualifiée de
"m éthode à arrêt prém aturé" (early-stopping), ne
s'applique parfaitement que dans les cas théoriques,
ou é ve n tu e lle m e n t dans ce rta in s cas p ratiques
simples pour lesquels le nom bre d'unités dans le
réseau dépasse largem ent ce qui est nécessaire.
D'autres méthodes de validation existent ; il y en a
certainem ent autant que de chercheurs spécialisés
dans les réseaux de neurones artificiels. Certaines
toutefois sont plus employées que d'autres. La vali­
dation croisée (cross valid atio n) en constitue un
exemple. Dans ce cas, l'ensemble des échantillons se
divise en n groupes de taille à peu près égale. Le
réseau est alors entraîné avec l'ensemble des échan­
tillons moins un des n groupes, qui sert alors de
données de test. La procédure d'apprentissage conti­
nue en choisissant à chaque fois un des n groupes
d'échantillons différents pour le test. Un autre type
d'apprentissage/validation est connu sous le nom de
"bootstrapping". Le principe consiste à choisir aléa­
to ire m e n t un groupe d 'é ch an tillo n s parm i l'en ­
semble de ceux disponibles pour l'apprentissage et à
procéder de même pour les données de test. Pour
que le caractère aléatoire prenne un sens, il convient
de posséder un nombre im portant d'échantillons,
typiquem ent entre 200 et 2 0 0 0 . Dans ce cas, le
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échantillons d'apprentissage reste toujours stricte­
ment décroissant dans le temps, il n'en va pas de
même avec les données de validation inconnues par
le réseau. Les courbes d'évolution des erreurs com ­
mises sur des échantillons de validation ont toujours
un aspect similaire : décroissantes au début, puis
croissantes à partir d'un certain nombre de cycles
e ffe ctu é s. D u ran t la p rem ière p a rtie , le réseau
F IL E
C 0N TR0L
INFO
DISPLflV
PRUNING | | CASCADE | | KQHONEN ( | U EIG H TS
PRIN T
| |
H ELP
I 30 DISPLfiV
| |PR03EC TI0N |
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BIG N ET
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L'interface austère mais com plète de Snns.
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bootstrapping perm et un apprentissage souvent
plus rapide que la validation croisée.
De nombreux autres processus d'apprentissage ont
été inventés, mais les énumérer tous sort très large­
ment des limites de ce dossier.
Quelques modèles
de réseaux
Bien que les généralités évoquées plus haut
soient valables dans la plupart des cas, de
nombreux modèles de réseaux différents existent.
Voici les plus importants.
e nombreux modèles : il s'agit presque d'un
e u p h é m ism e que de d ire c e la . Il se ra it
presque plus juste de dire qu'il y a autant de
modèles de réseaux que de problèmes résolus grâce
à ces méthodes. Toutefois, certaines grandes familles
peuvent se distinguer au milieu de cette multitude.
Réseau de Hopfield
Sous le nom de réseau de Hopfield se dissimule un
algorithme récursif pour lequel tous les nœuds se
voient connectés entre eux. Chacune des unités joue
à la fois le rôle d'entrée et de sortie et sa valeur
dépend de la valeur de toutes les autres. Chaque cel­
lule constitutive d'un réseau de Hopfield est pure­
ment binaire, puisque les filtres appliqués se mon­
trent tels qu'une unité ne peut se trouver qu'ouverte
ou fermée. Chaque changem ent d'état d'une des
cellules va se répercuter par le biais des liens vers
toutes les autres cellules qui peuvent alors, en fonc­
tion des poids, changer de valeur à leur tour.
Ce type de connexionnisme s'inspire fortement du
fonctionnement (du moins ce que l'on en connaît à
l'heure actuelle) de la mémoire humaine, purement
associative. Et c'est précisément la fonction qu'un
réseau de Hopfield réalise à merveille : la mémoire.
En effet, une fois un réseau de Hopfield entraîné
avec des formes à m ém oriser, celui-ci se révélera
capable de les reconstituer à partir d'un signal bruité. Les cellules vont changer d'état en fonction des
autres, modifiant à chaque itération l'état du réseau,
jusqu’à aboutir, inévitablement, à une situation par­
faitement stable. Dans le cas idéal, le résultat obtenu
s'avérera très proche de l’une des figures apprises.
D
Un exem ple de réseau de Hopfield appliqué à la
reconnaissance des chiffres est fonctionnel en ligne à
l'adresse : http://suhep.phy.syr.edu/cgi-bin/hop.
TDNN
T D N N est l'a c ro n y m e de T im e D e la y N eu ral
Network, autrem ent dit réseau neural à décalage
tem porel. Cette topologie particulière de réseau
s'utilise spécifiquement pour la reconnaissance d'élé­
ments au milieu d'un grand ensemble de points. Les
TD N N perm ettent d'éviter de prendre une grille
d'entrée de taille trop importante et qui nécessiterait
d'énorm es calculs. A la place, une petite fenêtre
s é le c tio n n e une m o d e ste p a rtie de la g rille ,
employée pour effectuer les calculs. La fenêtre se
déplace ensuite vers une autre partie de la grille
d'entrée, puis les nouveaux calculs s'effectuent et
ainsi de suite jusqu'à ce que l'ensemble de la grille
ait été parcouru.
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S u r le CD
Pour les plus curieux, se trouvent sur le CD dans
le répertoire/dossier situé à la racine, des logiciels
ayant trait aux réseaux de neurones et ce, pour
diverses plates-form es. Pour Linux, le fam eux
SN N S fig u r a n t p a rm i les ré fé re n c e s des
simulateurs. Pour Amiga, un simulateur un peu
ancien mais toutefois parfaitem ent fonctionnel.
P o u r R isc O s, IN e u ro , q u i c o n s titu e une
bibliothèque de développement.
Une fonction classique de transition d'unité,
stabilisant le réseau.
Si l'on ne considère que la portion de valeurs visibles
par la fenêtre, un réseau TDNN s'apparente au perceptron classique. Malheureusement, ce modèle ne
possède pas de m ém o ire et ne p erm et pas de
prendre en compte les éléments de la grille non pré­
sents dans la fenêtre. Pour résoudre ce problème, le
réseau TDNN introduit la notion de décalage tem­
porel ; les unités utilisées pour la première phase de
calcul sont indicées avec un temps égal à 1 , les sui­
vantes avec un temps 2 et ainsi de suite jusqu'aux
dernières. Toutes les entrées de la couche supérieure
s'obtiennent alors en multipliant les valeurs par l'in­
dice temporel. De cette manière, une couche cachée
se com porte com m e si elle avait N liens avec la
couche précédente, mais en n'ayant à calculer que n
(n<N) liens simultanés.
Ces particularités font du TDNN l'outil idéal pour la
reconnaissance automatique de formes, notamment
sur des images de grandes dimensions.
Kohonen
Sous le nom de Kohonen se cache un ensemble d'al­
gorithmes bien maîtrisés dont le plus célèbre est la
carte au to o rg an isatrice (SO M : Self-O rganizing
Map).
Les SOM se co m p osent de deux couches : une
couche d'entrée monodimensionnelle et une couche
bidimensionnelle, structurée comme une grille, qui
ne peut être considérée ni comme une couche d'en­
trée ni comme une strate cachée. Ces réseaux se
révèlent très particuliers au sens où leur apprentissa­
ge n'est pas supervisé, car ils reproduisent une carto­
graphie bi-dimensionnelle de l'ensemble des don­
nées fournies en entrée, tout en préservant la topologie. Chaque unité se trouve géographiquem ent
localisée et sa valeur de sortie peut se voir représen­
tée par un vecteur, faisant ressembler la couche bidimensionnelle à un champ de vecteurs représentatif
de l'espace des valeurs d'entrée.
Les autres
De nombreux autres modèles existent, qui mettent
en oeuvre une architecture particulière ou reposent
sur des processus d'apprentissage. Les recenser tous
nécessiterait plus de pages qu'il n'y en a au total
pour ce dossier. Il est possible toutefois d'en nom­
mer certains rapidem ent. Les Cascade Corrélation
son réseau constitue une étape essentielle pour le
bon fonctionnement de celui-ci. Mais, contre toute
attente, la définition de la structure du réseau n'in­
tervient qu'au tout dernier m om ent. En effet, le
choix du type de réseau dépend énormément des
échantillons d'apprentissage, de test et de validation.
D'une manière générale, plus ceux-ci seront nom­
breux et complexes, et plus la structure du réseau
s'avérera com pliquée. Il incom bera au réseau de
s'adapter aux données à traiter, et non l'inverse.
La première étape du choix de la structure est bien
évidemment le type de réseau qui devra se voir utili­
sé. Comme il a été vu précédemment, chaque type
de réseau possède son d o m ain e d 'a p p lic a tio n
propre. Ainsi, cette première étape se révèle relative­
ment simple, puisqu'il suffit de choisir dans une liste
établie le modèle le plus adéquat au type de tâches
que le réseau devra effectuer.
Le plus difficile une fois ce choix arrêté est de définir
le nombre de couches et d'unités cachées que le
réseau devra contenir. Les entrées et les sorties ne
posent pas de problème en elles-mêmes, puisqu'elles
sont logiquement déterminées de manière implicite
par l'analyse de la fonction que le réseau doit effec­
tuer. Toutefois, il convient d'accorder un soin parti­
culier à cette phase d'analyse, afin de déterminer au
mieux les sorties et surtout les entrées du réseau. En
effet, il s'avère crucial d'établir avec précision les
paramètres ayant une influence directe sur le résul­
tat, afin d'en n'omettre aucun, ce qui pourrait influer
sur la pertinence des réponses, et de ne pas en ajou­
ter d'inutiles qui co m p liq ueraient inutilem ent la
structure du réseau. Mais par définition, les réseaux
de neurones servent à résoudre des problèmes que
les mathématiques se montrent incapables de décri­
re simplem ent, donc pour lesquels les paramètres
influents sont délicats à définir. Voilà pourquoi cette
étape dianalyse apparaît comme la plus coûteuse, de
loin, en temps.
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(C C ) u tilise n t une a rc h ite c tu re casca d ée , dans
laquelle les unités cachées sont ajoutées une à une
durant la phase d'apprentissage sans subir par la
suite de modification, puisque chaque nouvelle unité
optimise le réseau dans l'état dans lequel elle appa­
raît. Le Pruning représente une légère variante du
CC, qui calcule l'erreur minimale attendue au lieu de
l'erreur actuelle d'apprentissage. Il est possible égale­
m ent de c ite r la fa m ille des A R T (A d a p ta tiv e
Résonance T h eo ry), com p renant différents algo­
rith m e s, A R T 1 , A RT2 ou e n co re A R T M A P . Les
réseaux Art se montrent récursifs, avec un apprentis­
sage non-supervisé et suceptibles d'apprendre rapi­
dement à classifier en catégories des entrées de vec­
teurs aléatoires. Ces ensembles d'algorithmes abon­
dent dans le dom aine du traitem ent du signal et
spécialement dans celui des radars.
Parmi les différentes méthodes d'apprentissages, le
QuickProp, supposé plus rapide que le backpropagation classique, calcule la dérivée seconde de la cour­
be d'erreur, afin de trouver le nom bre de cycles
nécessaires à l'apprentissage optimal et sauter direc­
tement à celui-ci.
D éfinir la stru ctu re de son réseau
Maintenant que nous avons fait le tour des princi­
paux types de réseaux, il est possible d'envisager le
problème de la structure. Définir l'architecture de
En considérant les entrées et les sorties définies, il
faut donc, pour finir, établir la structure des couches
cachées. Certains ont tenté d'établir des règles de
calcul simples, comme par exemple le nombre d'uni­
tés de sorties plus le nombre d'entrées divisé par
Genesis, un simulateur hautement professionnel.
c'est néanmoins la seule qui puisse fonctionner dans
tous les cas.
Cependant, il y a moyen de se simplifier parfois la
tâche. A cet égard, lorsque le principe de l'earlystopping se trouve utilisé durant la phase de valida­
tion, il vaut mieux employer le plus d'unités cachées
possibles, sachant que la phase d'apprentissage sera
avortée avant que la longue période de stabilisation
normalement nécessaire n'ait commencé. Toutefois,
il faut garder à l'esprit que plus l'architecture du
réseau se montrera complexe et plus les temps de
calcul seront longs, surtout sur une machine mono­
processeur.
m am w Z
AH/ M W .3 £ S W l? A f 5
p f& M à D H ïe ,,.
?£ 2 *te > a X ïU )b £
UllSMw m a »
Réalisation
d'un réseau simple
deux, en rajoutant, de temps à autre, une petite
racine carrée pour faire plus scientifique. Toutefois,
l'expérience montre l'inefficacité de toutes ces for­
mules. En effet, elles ne prennent pas en compte les
élém ents essentiels que sont le nombre d'échan­
tillons d'apprentissage, la quantité de bruit ou même
la complexité des fonctions que le réseau doit rem­
plir. Il existe des exemples de réseau avec une seule
entrée et une sortie unique, nécessitant de nom ­
breuses co u ch es ca ch é e s, et in v e rse m e n t, des
réseaux pourvus de nombreuses entrées et sorties
parfaitem ent fonctionnels avec une seule couche
cachée, voire avec aucune.
Déterm iner précisément le nombre de couches et
d'unités cachées d'un réseau relève avant tout de
l'expérience. En effet, la seule règle toujours valide,
quel que soit le problème, consiste à simuler diffé­
rents réseaux avec un nombre d'unités cachées diffé­
rent à chaque fois et à conserver celui qui, au final,
présentera la plus faible erreur sur les échantillons de
test. Même si cette méthode, ou plus exactem ent
cette absence de méthode, peut paraître étonnante,
,
Afin de rendre la théorie un peu plus concrète le
mieux est d'examiner un exemple aisément
appréhendabie.
ous allons donc étudier en détails un réseau
de neurones permettant de réaliser une fonc­
tion sim ple, le XO R, autrem ent dit le "ou
exclusif". Cette fonction est très simple et couram­
ment utilisée en électronique, ainsi qu'en informa­
tique pour travailler sur les bits. Le XOR prend deux
bits en entrée et en calcule un en sortie, selon une
règle simple : si l’un et seulement l'un des deux bits
d'entrée vaut un, la sortie vaudra également un, et
zéro dans le cas contraire. Avec seulement deux bits
en entrée, il n'existe que quatre cas de figure diffé­
rents :
N
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Une démo de réseau sur le web.
0
XO R
0
=
0
0
XO R
1
=
1
1
XO R
0
=
1
1
XO R
1
=
0
Cette fonction n'a nullement besoin de réseaux de
neurones pour fonctionner ; c'est même sous-exploiter
la puissance de ceux-ci que de les utiliser dans ce cas
précis. Mais l'avantage indéniable du XOR vient de ce
qu'il permet de se familiariser avec la conception d'un
réseau sur un exemple simple, tout en sachant précisé­
ment les résultats que l'on doit obtenir. D'autre part,
comme les valeurs ne peuvent être que 0 ou 1, il s'avè­
re intéressant de voir les résultats décimaux du réseau
tendre vers ces deux valeurs entières.
Par ailleurs, cet exemple permet d’illustrer la philoso­
phie des réseaux de neurones. En effet, le seul élément
en possession du réseau est un ensemble de résultats
que nous désirons obtenir. A aucun moment, il n’y
aura besoin de réfléchir à un quelconque algorithme
ou à un moyen mathématique pour parvenir au résul­
tat. Il suffit de montrer au réseau ce que l'on souhaite
obtenir, et il s'ajustera seul, empiriquement, pour four­
nir les valeurs attendues.
D éfin itio n du processus d 'apprentissage
Dans le cas présent, la phase d'apprentissage est très
simple à définir, puisque les deux entrées binaires ne
sont en mesure de revêtir que quatre états différents.
Un fichier d'apprentissage simple contiendra tout
simplement les quatre possibilités avec les résultats
attenants. Les échantillons de test pourront prendre
la forme de valeurs décimales, afin de vérifier le bon
comportement du réseau. Par exemple, il est envisa­
geable de reprendre les valeurs d'apprentissage en
rem plaçant, en entrée uniquem ent, les 1 par des
0,95 et les 0 par des 0 ,0 5 . Ainsi, il y a moyen de
vérifier la capacité de généralisation du réseau.
Janet : un sim ulateur en Java.
Structure du réseau
Comme nous l'avons vu précédem ment, la défini­
tion de la structure du réseau n'intervient qu'après
avoir déterminé les échantillons d'apprentissage et
de validation. Au vu de la simplicité de la fonction
que nous voulons mettre en oeuvre, un perceptron
m ulticouches constitue le modèle le plus adapté.
Nul besoin d'avoir recours à des modèles récursifs,
ou dépendants du temps. La définition des couches
d'entrée et de sortie s'avère on ne peut plus simple,
puisqu'elles sont déterminées par la nature même du
problème : deux unités d'entrée et une unité de sor­
tie. Il n'y a plus qu'à définir les couches cachées.
Même si l'on tient com pte des valeurs décimales
introduites dans les populations de test et de valida­
tion, le nombre de situations reste de quatre. On
peut en effet co nsid érer qu'il ne s'agit que des
quatre situations de base, éventuellement bruitées.
Quasim ent tous les logiciels de sim ulation dispo­
nibles fournissent des exemples de réseaux, et parmi
valeurs comprises entre, m ettons, 0,8 et 1 , et de
même, celles comprises entre 0 et 0,2 pourront se
trouver associées à la valeur '0'. Ce filtrage donne le
moyen de compenser les quelques erreurs que le
réseau commettra inévitablement, car il est impos­
sible d'en imaginer un parfait. Cette correction ne se
montre absolument pas gênante, dans la mesure où
elle se révèle très simple à mettre en œuvre, se résu­
mant grossièrement à une petite série de 'if', quel
que soit le langage utilisé.
Les applications
des réseaux
de neurones
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eux la fonction XOR, qui fait indéniablement partie
des classiques. En regardant de plus près la structure
utilisée, on se rend compte qu'il existe une quantité
impressionnante d'architectures possibles. Certains
utilisent des p erceptrons classiques à une seule
couche, d’autres déforment ce modèle en connec­
tant la couche d'entrée à la couche de sortie en plus
de celle qui reste cachée ; on trouve m êm e des
réseaux récursifs. Tout cela pour dire que la résolu­
tion du problème n'est pas unique.
Toutefois, un modèle simple et fonctionnel concerne
le perceptron classique avec une couche cachée de
d e u x u n ité s . Il n ou s d o n n e q u a tre lien s
entrée/cachée et deux liens cachée/sortie, soit un
total de six liens et donc de six poids ajustables. Cela
devrait s'avérer suffisant pour affronter nos quatre
situations possibles, et suffisam m ent sim ple pour
être correctem ent adapté au peu d 'échantillon s
d'apprentissage dont nous disposons.
Mise en route
Avant de disposer d'un réseau fonctionnel, il faut
avoir recours à un simulateur qui va permettre d'ef­
fectuer l'apprentissage et de sauvegarder le chefd'œuvre. La méthode à utiliser pour réaliser la simu­
lation dépend du logiciel utilisé ; nous n'allons pas
entrer dans les détails et laissons chacun se reporter
à la documentation propre à son environnement.
Pour finir et obtenir un réseau vraiment fonctionnel,
il est im pératif d'ajouter un filtre qui, com m e en
électronique, va permettre d'attribuer une valeur de
sortie à une plage de données. Par exemple, pour­
ront se voir considérées comm e des 'V toutes les
Malgré son aspect austère, voire de sujet de
recherche fondamentale, le réseau de neurones
fait partie intégrante des outils disponibles pour
automatiser des tâches. Voyons quelques
exemples concrets d'utilisation, un peu plus
intéressants que la fonction XOR évoquée
précédemment.
râce à son m ode de fo n ctio n n e m e n t, le
réseau de neurones est p articu lièrem en t
adapté à tous les domaines pour lesquels il
n'y a pas moyen de définir un modèle m athém a­
G
tiq ue ou p h ysiq ue. Nous avio ns m en tio n n é les
Les re s s o u rc e s sur I n t e rn e t
Internet regorge de sites consacrés aux réseaux de neurones. Voici une liste de
ce u x q u i se m b le n t p a r tic u liè r e m e n t in té r e s s a n ts . D eu x p a g e s so n t
particulièrement instructives, car elles proposent de nombreux liens vers d'autres
sites traitant du sujet. Leurs adresses sont :
http://mars.elcom .nitech.ac.jp/Eresearch/neusite.htm l
http://w w w .m ds. mdh.se/~adb 94 fwk/links/neural.htm.
Un autre élément intéressant s'intitule La Foire Aux Questions du newsgroup
comp.ai.neural-nets, qui se trouve à l'adresse :
ftp://ftp.sas. com/pub/neural/FAQ.html.
Si vous avez franchi le pas et voulez installer des logiciels de simulations ou même
des bibloith èques, la p a g e h ttp ://tita n .eh b .itu .ed u .tr/~ m ey/sh a rew a r.h tm !
recense quelques logiciels, toutes plates-formes confondues. Enfin, pour les plus
sceptiques, la page http://www.emsl.pnl.gov:2080/proj/neuron/neural/demos.html
propose des liens vers des démonstrations de réseaux de neurones fonctionnels,
pouvant être exécutés dans la fenêtre de tout navigateur; car le plus souvent
écrits en Java.
D ream prof
• Bruit
Le bruit est un terme provenant du jargon entourant le traitement du
signal. Il s'utilise pour désigner un signal indéfini le plus souvent
parasite. Dans le cas des réseaux de neurones le bruit peut avoir
diverses origines dépendantes de la fonction réalisée. Dans le cas d'un
réseau connecté en sortie d’un appareil de mesure le bruit résulte des
imprécisions de l'appareil. En étendant un peu la définition le bruit
se définit comme l'imprécision des valeurs d'entrée.
, ,
;
,
sciences "humaines" telles que la m édecine ou la
psychologie, mais il est aussi possible de parler de la
reconnaissance de form es, de la prédiction ou de
l'analyse des données, ou même de la compression
d'images.
A ide au d iag no stic m édical
Certains hôpitaux américains ont déjà mis en place
des logiciels d ’aide au diagnostic médical, axé sur
des réseaux de neurones. Ceux-ci mettent en corres­
pondance une liste de paramètres propres au patient
(âge, se xe ...) et de symptômes décelés, ainsi que les
maladies potentielles avec leurs traitements associés.
Les archives de ces hôpitaux ont donné les moyens
d’établir une base d'apprentissage de plusieurs mil­
liers d'anciens patients,
avec ch a cu n des p a ra ­
m ètres et s y m p tô m e s,
sans oublier le diagnostic
effectué par le médecin
traitant de l'époque. Elles
ont perm is de posséder
un nombre d'échantillons
d'apprentissage et de test
suffisant pour entraîner le
réseau de m anière co r­
recte. Il est fait mention
d'un taux de réussite de
l'o rd re de 75 % , alors
que celui d'un praticien
pour but de déterminer à l'avance les vitesses des
réactions chimiques en fonction de la température,
de la quantité et de la nature des catalyseurs utilisés.
Le système semble satisfaire les chercheurs, puisque
ceux-ci envisag ent de d é velo p p er de nouveaux
réseaux pour prévoir les capacités physico-chimiques
de sous-produits de réaction et même pour prédire
les ventes potentielles de nouveaux produits.
Un autre laboratoire utilise un réseau de neurones
comme nez artificiel. Relié à un capteur sensible aux
vapeurs, le réseau se montre apte à identifier auto­
matiquement les composés présents dans une atmo­
sphère. Actuellem ent, ce système s'employe pour
identifier la nature d'environnem ents supposés à
risques, ou encore pour évaluer le niveau de pureté,
ou plus exactem ent de pollution de l'air. Certains
font également mention de projets destinés à analy­
ser les odeurs corporelles, afin de déceler d'éven­
tuelles maladies.
Les ap p licatio n s fin an cières
Les Colden Boys ont inévitablement été intéressés
par cette possibilité de pressentir automatiquement
les bonnes affaires de la bourse. Certains d'entre eux
utilisent les réseaux de neurones comme outil d'aide
à la décision de vente et d'achat d'actions. En lui fai­
sant apprendre les évolutions antérieures de la bour­
se en fonction des événements, le système est deve­
nu capable de gérer parfaitem ent une enveloppe
d'actions de plus d'un milliard de dollars, en transpo­
sant les expériences passées sur le présent. D'ores et
déjà, le réseau de neurones a avantageusement rem­
placé les anciennes méthodes de régression linéaire
jusque-là employées pour tenter d'anticiper l'évolu­
tion des cours de la bourse.
De grandes sociétés dans différents secteurs d'activi­
té u tilise n t é g alem en t les réseaux de neurones
comme aide à la prédiction, ou plus exactement aux
prédictions. Qu'il s'agisse d'évaluer les mouvements
de p erso n nels, de p révo ir les ventes à court et
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^
^
r*M 1.(Ml.•*•!.•••
■■ ’i t i v' 3
*.*M l.«M
h
h
- 'Ü '
S■ » «f.«i ee m
i.ew'fl»
jL IL lJ b
Un réseau simpliste de reconnaissance
de caractères majuscules.
Le même, vu en 3D.
confirmé approche les 60
% , le stress aid ant à le
faire baisser.
Un au tre h ô p ita l de la
même lointaine contrée a
pour sa part intégré à ses
outils un réseau, capable
de p révo ir la durée du
séjour d'un patient dans
ses locaux.
Le p etit ch im iste
Hormis la blouse blanche
qui n'a pas lieu d'être, un
réseau de neurones peut
se com porter com m e le
m eilleur des laborantins.
Un centre de recherches
u tilis e en e ffe t d e p u is
q u e lq u e s te m p s un
réseau de neurones ayant
moyen terme, de choisir les marchés potentiels, ou
même d'optim iser les processus de fabrication, le
réseau est devenu indispensable pour certains. Non
que les résultats obtenus atteignent la perfection,
mais un réseau de neurones, avec les bons para­
mètres d'entrée, a la capacité, dans ces domaines
précis, de fournir des éléments de réponse mettant
en échec l'esprit d'analyse d'un humain.
La com p ression d'im ages
La compression d'images constitue une application
intéressante, à cause de la m éthode em ployée,
même si les résultats nécessitent certaines conditions
particulières pour soutenir la comparaison avec des
méthodes plus traditionnelles (gif, jpg...)- Le princi­
pe consiste à utiliser un réseau identité, ce qui signi­
fie que ses valeurs de sortie sont exactement iden­
tiques aux valeurs d'entrées, et qu'il possède une
seule couche cachée, aux dimensions aussi réduites
que possible. Une fois le réseau défini et entraîné,
lorsque l'on applique toujours les mêmes valeurs à
l'entrée de la couche cachée, le même résultat appa­
raîtra en sortie. Suivant ce principe, pour retrouver
l'image que l'on avait mise en entrée du réseau, il
« a Distribution
Fax : 03.20.82.17.99
ICC S o ftw a re
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m
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Logiciels Amiga
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Miami 3.x enregistré - VoOrganiser 2.0 -Version FrançaiseOrganiser 2.0 -Version Française Mise à jour-
Çgrtes accélératrices PowerPC Amiga 1200T :
Sans contrôleur Fast-SCSI-ll (ajout impossible)
Blizzard 603e 160 Mhz + 68040 25
Mhz2.490F
Blizzard 603e 200 Mhz + 68040 25
Mhz2.990F Nous consulter pour les conditions de mise à jour.
Blizzard 603e 240 Mhz + 68040 25
Mhz3.590 F Oxyron Patcher - VoPersonal Paint 6.4 -Version FrançaiseVersion 68060 50 Mhz au lieu du 040 25 Mhz +2.300 F
P FS 2 -VoAvec contrôleur Fast-SCSI-ll d’origine
Turbo Cale 5.xx CD (Doc V4 en Français)
Blizzard 603e+ (160/200/240 +040 / 060) +500 F
Turbo Cale 5.xx Disk (Doc V4 en Français)
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Turbo Cale 5.xx CD / disk mise à jour
Cartes accélératrices PowerPC Amiga 3000/4000 :
Cyberstorm PPC604e 180 Mhz + UltraWide SCSI 4.390 F
Cyberstorm PPC604e 200 Mhz + UltraWrie SCSI 5.290 F
Cyberstorm PPC604e 233 Mhz + UltraWide SCSI 5.790 F
Option 68040 25 Mhz monté sur la carte
+ 525 F
Option 68060 50 Mhz monté sur la carte
+ 2.500 F
Les 040060 des Bfezard et Cyberstorm sort équçës de MMU et FPU.
Cartes Graphiques
î
,
Tél : 03.20.02.06.63
i
S tru c tu re d 'u n résea u d e K o h o n en .
suffit de connaître la couche cachée et celle de sortie, ainsi que les
valeurs d'entrée de celles-ci pour pouvoir obtenir en sortie l'image
d'origine. M alheureusement, puisqu'il faut conserver tous les poids
de toutes les connexions entre la couche cachée et celle de sortie,
ainsi que le vecteur d'activation de la couche cachée, les taux de
com pressions obtenus se m o ntrent assez faibles, parfois même
inférieurs à un (ce qui veut dire que l'image est plus grosse avant
qu'après). Le systèm e trouve sont intérêt lorsqu'il y a besoin de
com presser de nom breuses im ages, de m êm e taille et suffisam ­
AtéoBus + Pixel 64 pour Amiga 1200 T
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clavier PC + Alim 200 W+ Emplacements pour
l’extension AtéoBus & Pixel 64
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Divers
Alimentation originale / ou 200 Watts 290 F / 490 F
Joystick Konix pour tous les Amiga
99 F
JoyPad Compétition Pro CD32 & Amiga
189 F
Souris 2 boutons pour tous les Amiga
129 F
Adaptateur pour souris PC (2 ou 3 boutons) 249 F
Blizzard SCSI-Kit pour B1230-4/1240/1260 540 F
Squirrel SCSI (Contrôleur SC SI PCMCIA)
550 F
SuftSquirrel SC SI (Idem+rapide + port série) 790 F
Digitaliseur Audio 8 bit Megalosound -VA350 F
Nappes IDE & SC SI (nombreux modèles)
Tél.
Câbles & adaptateurs SCSI (nombreux modèles) Tél.
Adaptateur SC SI Interne B1230/40/60
290 F
Adaptateur M1438/1538 pour PC
159 F
Adaptateur VGA pour A1200/4000
149 F
Coude PCMCIA pour Tour
259 F
Scandoubler externe pour tous les Amiga
790 F
ROM 3.1 (seules) A1200/3/4000 (précisez) 349 F
053.1 complet A1200/A4000 (précisez)
649 F
ROM 3.1 (seule) A500/+/600/2000 (précisez) 249 F
053.1 complet A500/+/600/2000 (précisez) 549 F
Modem USRobotics :
Sportster 56Ko Message Modem
1.165 F
Option : Kit Internet Amiga @-Net II CD
+149 F
Lecteurs de disquettes :
DD 720 / 880 Ko interne A600/1200
230 F
DD 720 / 880 Ko interne pour A2000/4000 210 F
DD 720/880 Ko externe pour tous
480 F
HD Interne 1.4 /1.76 Mo pour A2000/4000 650 F
HD Interne 1.4/1.76 Mo A1200T (avec façade) 650 F
HD Interne 1.4 /1.76 Mo A1200 (classique) 650 F
HD Externe 1.4 /1.76 Mo (WB2.04 minimum) 770 F
SIMM EDO 32 Mo
Tél.
390 F
349 F
490 F
279 F
349 F
249 F
139 F
39 F
349 F
490 F
490 F
320 F
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79 F
89 F
89 F
89 F
150 F
199 F
109 F
89 F
39 F
349 F
240 F
519 F
310 F
310 F
349 F
339 F
199 F
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
ment comparables pour qu'elles puissent toutes se voir com pres­
sées efficacement avec le même réseau. Dans ce cas, le taux de
compression se révèle presque proportionnel au nombre d'images.
Dans le cas de 100 images, il est possible d'envisager un taux de
compression de l'ordre de 500.
Les autres applications
Les exem ples présentés ici ne s'avèrent absolum ent pas exhaustifs.
D'une m anière générale, les réseaux de neurones présentent un
intérêt dès lors qu'il faut trouver des associations et des points de
ressemblance, que le volum e de données à traiter se m ontre très
important, ou encore que la nature du problèm e est tel que le lien
entre les différents paramètres en devient difficile à définir précisé­
ment. Dans tous ces cas, le réseau de neurones donnera le moyen
d 'autom atiser les processus de p ré d ictio n ou d 'é valu atio n . En
revanche, il ne faut pas perdre de vue qu'un réseau de neurones ne
saura aucunem ent définir les relations et encore m oins les équa­
CD-AUDIO (Réalisés sur Amiga)
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Nous consulter pour les autres périphériques.
* Contrôleur SC S I requis.
tions perm ettant seules de résoudre le problèm e en question.
Enfin, un réseau de neurones étant intrinsèquem ent un système
parallèle, une structure peut s'avérer trop com plexe pour pouvoir
se trouver exploitée sur une m achine classique. Dans ce cas, seuls
les ordinateurs parallèles p arvien d ro n t à app o rter la puissance
nécessaire au fonctionnem ent du réseau.
Ainsi s'achève ce tour d'horizon des réseaux de neurones et de
leurs a p p lic a tio n s. Bien é vid e m m e n t, ce dossier n'est q u 'u n e
Commande sur papier libre ou sur le bon de commande ci-dessous. Règlement joint à la commande
par chèque, mandat ou Carte Bancaire par téléphone, téleoopie ou Internet.
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approche très lointaine de cette science, bien vaste, et sous ses
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aspects parfois triviaux, très m athém atiques. Le but de cette pré­
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Téléphone (facultatif m ais conseillé) : ...........................................................................................................................
Désignation
Qté
Prix
sentation consistait à aborder dans sa globalité les m écanismes des
réseaux neuraux pour tenter de com prendre quelque peu les impli­
cations. Pour ceux que le domaine intéresse et que les mathéma­
tiques n'effraient pas, Internet regorge de documentations plus
exhaustives.
Frédéric D ubuy
Forfait de transport : 35 F (sauf configurations et tours : 100 F)
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Montant total de la commande
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Blizzard PPC 603e
pour A m iga 1200
Quelques mois après la sortie des cartes PPC pour Amiga 4000, voici le
même produit, mais cette fois-ci destiné à l'Amiga 1200, modèle le plus
populaire de la gamme de feu Commodore.
refusé de démarrer. Ce n'est qu'après
a v o ir m is un "vie u x" se tp atch (le
39.6) et fait un reset au démarrage
que la machine a daigné booter cor­
rectement. Cette manipulation, dans
notre cas, s'avère aujourd'hui néces­
saire.
La co m p atib ilité A m igaO S sem ble
parfaite : toutes les applications habi­
tuelles se lancent sans problème. Pour
ceux qui auront opté pour la version
040 et qui possédaient auparavant un
68060, la douche est un peu froide :
l'affichage sous AGA se trouve forcé­
m ent ralenti, ainsi que les accès au
é ritab le bond de g éan t, la
carte Blizzard PPC 603e pro­
pulse le modeste 1200 de 14
MHz à plus de 166 ! Un bus spécial
permet même de connecter une carte
graphique 3D dernier cri. Une révolu­
tion pour le 1200, malgré quelques
petits problèmes de jeunesse.
P résen tatio n
Si la Cyberstorm PPC du 4000 était
déjà b elle à v o ir, la B lizzard PPC
représente un petit bijou d'intégra­
V
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
tion électronique. Phase 5 a réussi la
prouesse de faire tenir sur une seule
carte deux processeurs (un 68040 ou
060 pour la compatibilité AmigaOS et
un PowerPC, bien entendu), un bus
ultra rapide pour carte graphique 3D,
un contrôleur FAST SCSI II et deux
slots SIM M d e stin é s à é te n d re la
mémoire ! Théoriquement, la petites­
se de cette Blizzard lui permet d'être
directem ent insérée dans un Amiga
1200 desktop, tel qu'en distribuent
Commodore ou Escom. Mais un boî­
tier tour se révélera en réalité bien
venu. Outre une question de confort
(raccord direct des unités SCSI en
interne, par exem ple), on remarque
effectivement que le 68040 dégage
La carte Blizzard PPC.
PPC et Marne : de nouvelles perspectives ludiques.
beaucoup trop de chaleur pour être à
l'aise dans un espace réduit.
La carte se trouve livrée avec deux
disquettes (une contenant les librai­
ries PPC, l'autre l'installation du SCSI
II), un CD-Rom rempli d'applications
PPC (p o u r la p lu p a rt en v e rsio n
démo, hélas) et avec un manuel judi­
c ie u s e m e n t d é ta illé , bien qu 'en
anglais. Il existe plusieurs versions de
la carte : PowerPC 603e 166, 200 ou
2 4 0 M H z. De p lu s, le p ro ce sseu r
6 8 0 x 0 c o m p a g n o n p e u t ê tre un
68040 ou un 68060. Il faudra veiller à
installer les bonnes librairies à partir
du CD sous peine de se heurter à des
plantages fréquents.
L 'in s ta lla tio n se m o n tre des plus
simples. On insère la carte sur le slot
interne du 1200 et celle-ci démarre
toute seule. Une Flash Rom permet
une utilisation immédiate et, comme
dirait l'autre, "Plug'n Play". Des ver­
sions ultérieures de cette Flash Rom
pourront se voir récupérées sur le site
de Phase 5 (ftp://ftp.phase5.de).
Le co m p o rte m e n t
Dès la première utilisation, la carte a
disque dur. La version 68060 conser­
ve toute la vitesse du système, mais
son prix est bien plus élevé. De plus,
Phase 5 a en ce moment beaucoup
de mal à se procurer des processeurs
de ce type, ce qui freine d'autant la
commande.
Le P o w erP C , un "autre"
p ro cesseu r
La p lu p a rt de ces a p p lic a tio n s
réécrites pour le PowerPC s'avèrent
beaucoup plus rapides que leurs ver­
sions d ’origine sur 680x0, surtout si
l’on établit la comparaison avec un
68040. En ce qui concerne le 68060,
la différence est surtout flagrante lors­
qu'il y a à effectuer des calculs impor­
tants. Il suffit de lancer une version de
Quake PPC ou Marne PPC pour s'en
rendre com pte. En ce qui concerne
l'AGA, la lenteur de l'affichage sera
bien entendu inévitable, mais on ose
à peine imaginer ce que donnera le
couple PowerPC/Permedia 2 dès que
les applications se montreront spécifi­
quement conçues pour lui. Il faut en
effet considérer que les premiers pro­
grammes PPC sont souvent des por-
Enfin , le gros p ro ­
b lèm e des ca rte s
PowerUP sur Amiga
vient de leur systè­
me d 'e xp lo ita tio n .
Com m e on a pu le
lire il y a quelques
m o is, la g u e rre a
éclaté entre Phase 5
(le fa b ric a n t de la
c a rte ) et Haage &
Partner (grand nom
du logiciel Am iga),
c h a c u n v o u la n t
Le MP3 est enfin utilisable.
im poser son systè­
tag es ra p id e s en p ro v e n a n c e du
me PPC à l'autre. Pour verrouiller son
monde PC. Autrement dit, ils se trou­
produit, Phase 5 a mis son système
vent juste recompilés en C et ne cher­
P o w e rU P en Flash Rom su r les
chen t n u lle m e n t à o p tim ise r leur
Blizzard PPC, empêchant ainsi les pro­
fonctionnement par rapport au hard­
grammes utilisant le WarpOS de H&P
ware hôte.
de fo n c tio n n e r. C e u x-ci o nt alors
Quelques p ro b lèm es de
trouvé une parade en la personne du
jeunesse
"Terminator", un patch demandant à
Certains petits inconvénients sont à
l'utilisateur s'il veut bien enlever le
noter. Ainsi, de temps en temps, les
système PowerUP de la mémoire afin
applications PowerPC ne se lancent
de p o uvo ir faire to u rn er W arp O S.
pas : un bon reset suffit à résoudre le
L'im p re ssio n g é n é ra le d é n o te un
problème mais cela reste quelque peu
c o m p o rte m e n t du systèm e assez
bizarre. De plus, lors du boot, il est
ingrat envers l'utilisateur. Heureuse
arrivé à plusieurs reprises d'avoir une
perspective, les deux acteurs auraient
"Recoverable A le rt", sorte d'alerte
fait la paix lors du dernier World of
jaune de l'Amiga sans conséquence.
A m iga et un systèm e com m un ne
On clique et la séquence de démarra­
devrait pas tarder à voir enfin le jour.
ge continue. Certains utilisateurs ont
Mais bon, on attend toujours.
aussi décelé un fort ralentissem ent
Un bel av en ir
des accès au disque dur IDE, ainsi que
Il reste que ce produit remet l'Amiga
des plantages "sauvages" inopinés.
1200 au goût du jour et de fort belle
Ces problèmes ne sont pas survenus
m an ière. Voilà ainsi un ord inateur
sur notre carte de test.
conçu vers 1992, dont l'OS n'a pour
ainsi dire pratiquement pas changé et
qui tient toujours la tête haute face
au x Pentium 2 0 0 M H z. Pour peu
qu'on lui ajoute la carte graphique 3D
de Phase 5 (e n te st le m ois p ro ­
ch ain ... normalement), l'Amiga 1200
devien t une m achine au potentiel
én o rm e que les d é v e lo p p e u rs ne
m an q u ero n t pas d 'e xp lo ite r. Cela
donnera peut-être envie à certains
déserteurs de revenir sur le marché
A m ig a. En to u t cas, l'u tilisa te u r y
trouvera une valeur sûre et puissante,
en l'attente du m ystérieux Pre\Box
de Phase 5.
Ben Yoris
B l i z z a r d PPC 6 0 3 e
En hausse
Entre 2S00 et 4000 francs
A Puissance
A Possibilité de mettre deux
barrettes SIM M jusqu 'à 128 Mo
A Installation automatique
A Le bus carte 3D
En baisse
▼ Encore cher, surtout en 68060
▼ Plantages de jeunesse
Y La guerre PhaseS/H&P
Note
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
P ow erP C" M ic ro p ro c e s s o r Roadm ap
▼ S o m e rs e t D evelo p m ent Exp ando d
▼ M u ltip le Fu tu re G é n é ra tio n s in
S im u lta n e o u s D esig n
▼ O p tim ize d fo r V o lum e S y ste m s
PowerPC
I — ■
IM <
■
IM S
■ 1
La roadm ap PPC.
★
★
★
★
Quelles applications ?
Les a p p lic a tio n s PPC A m iga com m en cen t à se fa ire
nombreuses. Elle sont pour la plupart disponibles en version
démo, au moins sur les fameux sites Aminet. En voici une
liste non exhaustive :
- compression : versions de lha, Izx, tgz et zip pour PPC.
- retouche d'images, painting : ArtEffect, Elastic Dreams,
Personnal Paint, Candy Factory.
- je u x : p lu sie u rs versio n s de Doom et D escent. Sont
annoncés Explorer 2260 et Lost Days In Paradise (clones de
Wing Commander), Claws O f The Devil (clone de Tomb
Raider), Z des Bitmap Brothers et Total Combustion (course
automobile en 3D). La plupart de ces jeux exploiteront la
ca rte BVision à base de Perm edia 2, qui d e vra it être
disponible au moment où vous lisez ces lignes. A noter
également l'excellent Marne, émulateur de jeux d'arcade
disponible en version PPC.
- graphisme 3D : un viewer d'objets LightWave, ainsi que
Tornado 3D, sont disponibles et une version d'Imagine PPC
se trouve annoncée.
- vidéo et son : des players de MPEG, MP2 et MP3 et AVI
sont télechargeables sur Aminet.
- programmation : Storm C et Storm ASM PPC de Haage &
Partner, ainsi que 5A5 C PPC.
»
ICQ : Linux wins !
Après des mois d'attente et de promesses
de la part de la société Mirabilis, Linux se
voit enfin gratifié d'outils d'ICQ dignes de
ce nom.
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Email: JjwlseCpathwaynet.com
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Ctk-ICQ : une interface simplifiée.
CQ (p ro n o n ce r I Seek Yo u ) est
tout d'abord un logiciel client/ser­
veur Windows. Il s'agit d'un servi­
ce permettant de discuter en temps
réel, d'échanger des fichiers ou des
adresses Internet. ICQ indique à tout
m om ent quels sont les utilisateurs
connectés parmi ceux figurant dans le
carnet d'adresses. Les responsables de
ce projet ont évi­
demment misé sur
ICQ Ja v a
les p lates-fo rm es
Statut : Gratuit non distribuable
Wintel, puis, devant
Source : http:/www.mirabilis.com
la dem ande g ran ­
dissante, développé
En hausse
A C'est l'original
une version Java,
En baisse
calm ant ainsi tous
▼ Beaucoup de bugs
les m é c o n t e n t s .
Note
Mais les utilisateurs
de Linux sont d'in­
★ ★
curables program ­
meurs susceptibles :
ne pas avo ir un
Gtk-ICQ
logiciel d'ICQ natif
Statut : GPL
Linux constituait un
Source :
véritable affront.
ICQJava : tout y
http:M ww.pathwaynet.com /gtkicq/
est
En hausse
A Un ICQ vraiment libre
Le premier soft ICQ
En baisse
fonctionnant sous
▼ Encore un peu jeune
Linux est ce fameux
Note
IC Q Java, et p o u r
★ ★ ★
★
cau se : il to u rn e
partout où le Jdk a
L'inconvénient ? Il faut choisir.
été porté. Ce logiciel bénéficie des
avan ta g e s m u lti-p late s-fo rm e s de
java, mais souffre d'une lenteur into­
lérable pour un outil si petit. ICQJava
hérite de toutes les possibilités de
son homologue Windows-ICQ, chose
tout à fait naturelle, puisque ce sont
les créateurs de l'ICQ qui ont réalisé
ce portage Java. Dem eure tout de
même un nombre impressionnant de
bugs pour une si petite application
client/serveur. Si cette mouture d'/CQ
a dépanné les férus de ce système de
"chat", la prolifération d'outils bien
Qt, un homologue Gtk lui fait immé­
diatement de l'ombre et ce n'est pas
pour nous déplaire. Cette mouture
d'ICQ, bien que moins avancée que
LICQ prom et d'être plus com plète.
Cette version est tout de même utili­
sable, mais peu pratique. On notera
également la possibilité de compiler
G tk-IC Q ave c le su p p o rt G n o m e ,
pour une parfaite intégration dans le
bureau GNU.
Ces tro is lo g iciels ne sont que les
exemples les plus connus ou utilisés
de logiciels ICQ sous Linux. Il en exis­
te e n co re b eau cou p d 'au tres, qui
devraient perm ettre à tout un cha­
cun de tro u v e r la so lu tio n de ses
rêves.
Emile Heitor- [email protected]
I
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
plus efficaces va certainement le relé­
guer au rang d'antiquité.
LICQ : l'o u tsid er
Voici encore un outil fondé sur les
lib ra irie s Q t. C 'e st bien là le seul
reproche que l'on pourra attribuer à
ce fabuleux logiciel d'ICQ. En effet, si
les
p re m iè re s
v e rs io n s
de
L/C Q ten aien t plus du g a d g e t, les
récentes modifications lui permettent
quasiment d'égaler l'original créé par
Mirabilis. Configurable au possible, il
n'omet aucun paramètre. Cette ver­
sion 0.41 comporte encore quelques
bugs, mais reste pleinement exploi­
table ; un grand bravo donc à son
génial créateur.
C tk -IC Q : la solution
Comme de coutume, lorsqu'un outil
indispensable se voit développé sous
LICQ
Statut : Gratuit non distribuable
Source :
h ttp:/pages. infinit. net/fa iroff/licq/in
dex.htm l
En hausse
▲ Les possibilités offertes
En baisse
▼ Le toolkit Qt non GPL
Note
★
★
★
★
k
La b
M egahal
Discussions électroniques et
surréalistes.
our "démontrer" que les machines
P
seraient toujours plus bêtes que
les humains, Alan Türing a mis au
point un test axé sur la discussion entre
deux personnes et un interlocuteur (ou
juge). Selon Türing, aucune machine ne
pourrait passer le test.
Humains contre machines
Le concours Loebner offre depuis 1991
l'occasion à de jeunes spécialistes d'intel­
ligence artificielle de relever le "défi" de
Türing. Le test de Türing est effectué en
parallèle sur des ordinateurs et des
humains. Si un des programmes soumis
fait mieux qu'un des humains passant le
test, un prix exorbitant de 100 000 dol­
lars se voit attribué au programmeur.
Pour l'instant, personne n'a encore
gagné le prix Loebner, mais les failles du
concours laissent entrevoir une occasion
pour les machines de prendre le pas sur
l'humanité !
Simulateur de conversation
Megahal fait partie des prétendants au
titre. Il s'agit d'un simulateur de conver­
sation utilisant une technique originale
reposant sur des modèles de Markov. A
partir de quatre symboles, les modèles
de Markov permettent d'effectuer des
prédictions sur le symbole qui précède
ou suit cette séquence. A partir d'un
vocabulaire stocké sur disque, Megahal
est ainsi capable de construire des
phrases à partir des informations entrées
par l'utilisateur. Après une période d'ap­
prentissage très importante, Megahal se
montre ainsi capable de conduire une
conversation, avec de temps en temps
des résultats intéressants (cf. copie
d'écran). Cependant, les limites du pro­
gramme se font rapidement sentir :
>
> G u illa u m e i s
G u illa u m e i s
it
a n ic e guy
a f r e n c h m a g a z in e
c o n t a in s p a p e rs a b o u t l i n u x .
> G u illa u m e i s
>
n o t a fre n c h
m a g a z in e
G u illa u m e i s
a n ic e g u y.
> G u illa u m e i s
a fr ie n d o f
>
Ja k u b
G u illa u m e i s
a f r e n c h m a g a z in e .
Le principal problème de Megahal est
qu'il n'intègre aucune donnée séman­
tiq u e, mais utilise des algorithm es
purem ent syntaxiques. Cependant,
on se prend assez rapidement au jeu
et les conversations surréalistes avec
le program m e peuvent durer assez
longtemps !
Fred Pesch
M egahal
Statut : CPL
Source :
http://ciips.ee.uwa.edu.au/~hutch/hal/
En hausse
A Conversations surréalistes
A Algorithme utilisé
A Apprentissage
En baisse
▼ Limites rapidement atteintes
▼ Pas de critères sémantiques
Note
★★★★★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
GNU Robots 0 .8
Programmez des robots en Guile :
amusant et intéressant !
lors que les célèbres P-Robot
et C-Robot proposaient des
c o m b a ts de ro b o ts, GN U
Robots plonge un unique robot dans
un monde (map) peuplé de méchants,
de murs et de trésors. Le but du jeu
étant de ramasser le plus de trésors
possibles, pour un monde donné. La
durée de vie, élément principal du jeu,
dépend de deux facteurs : énergie et
A
GNU
Robots 0 .8 .
Statut : GPL
A
A
A
▼
▼
b o u clier. Des affro n tem en ts entre
robots en réseau sont annoncés pour
la version 2.0.
P ro g ra m m a tio n du rob o t
Le p rincip al attrait de GNU Robots
provient du langage utilisé pour créer
les robots : GUILE. Les fonctions de
base sont simples : regarder, cher­
ch e r, p ren d re, tirer avec un laser,
tourner et se déplacer. L'approche
fo n ctio n n e lle de G U ILE perm et de
créer des programmes très concis et
clairs. Voici par exemple une fonction
du robot qui permet de tourner dans
une autre direction lorsqu'un robot
est en vue droit devant :
(d e f i n e
En hausse
Un programme intelligent
GUILE pour créer les robots
Une version X-Window assez jolie
En baisse
Moins puissant que P-Robot
Les monstres ne bougent pas
★★★★
Note
(if
( a v o id - b a d d ie )
(e q v ?
( r o b o t - lo o k "b a d -
d ie " ) # t)
))
(ro b o t- tu m
1)
Pédagogie à tous les niveaux
Outre son intérêt ludique (qui reste
cependant inférieur à P-Robot), GNU
Robots est avant tout un logiciel éduca­
Apprenez à votre robot à survivre dans ce monde cruel.
tif. Il offre une alternative intéressante
au passage "obligatoire" par un langage
p ro céd u ral. N otez à ce propos les
co n stru ctio n s p seud o -im p ératives
(while) de GUILE (et Scheme) qui évi­
te n t l'u tilisa tio n systém atiq ue des
constructions récursives (com m e en
Caml). Ceux qui n'aiment pas les robots
et qui ont déjà un niveau avancé doi­
vent donc penser qu'il n'y a rien pour
eux ici. En fait, ils ont tort, car GNU
Robots est avan t to u t un sup erbe
exemple d'utilisation de GUILE comme
langage embarqué dans un logiciel.
Ajoutez du GUILE à un programme en
C ou C++ est une affaire de minutes !
Fred Pesch
Cooledit/Coolicon
Des utilitaires peu gourmands et rapides :
Cool !
es nouveautés en logiciel libre
pour Unix s'enchaînent à un ryth­
me effréné, à tel point que l'on
risque souvent de passer à côté de pro­
grammes très intéressants. Les Cool uti­
lities font un peu partie de cette caté­
gorie de logiciels méconnus et pourtant
dignes d'intérêt.
Le Cool Toolkit
Les utilitaires proposés par Paul Sheer
reposent tous sur une boîte à outils
"maison" assez originale. Ses principales
caractéristiques sont la simplicité de
programmation, l'efficacité et l'utilisa­
tion vraiment réduite en matière de res­
sources. Ce panorama, s'il semble plu­
tôt alléchant au premier abord, est mal­
heureusement terni par une caractéris­
tique parfois jugée secondaire : l'allure.
L’auteur a des goûts semble-t-il assez
originaux et l'aspect des Cool utilities
risque de déchaîner les passions : soit
on adore, soit on déteste. L'originalité
se retrouve à tous les niveaux avec les
fenêtre type MDI "à la Windows", les
encadrements des boutons de menus
et autres "étrangetés". On dénombre
six utilitaires, avec un minuscule ges­
tionnaire de fichier (coolbrowse), une
boîte de message configurable (coolmessage), un gestionnaire d'aide (coolman) et trois utilitaires plus ambitieux :
Cooledit, Smalledit et Coolicon.
Cool Edit : un petit monstre
L'utilitaire le plus impressionnant du lot
est sans aucun doute l'éditeur de texte.
Ses fonctionnalités n'ont rien à envier
L
aux ténors du genre comme Nedit
(Xemacs ne joue pas dans la même
catégorie) : multi-fenêtres, coloration
syntaxique, scripts, aide en ligne, etc.
La gestion des fenêtres multiples se
montre vraiment originale et déroutan­
te : même la barre de menus est déplaçable au pixel près (ce qui ne sert abso­
lument à rien !). On regrette à ce pro­
pos l'absence de fonctions de range-
quitter, etc.). Une interface utilisateur
très bien faite permet de créer/éditer les
icônes de façon totalement graphique.
On regrettera cependant l'absence de
gestionnaire d'icônes associé.
Vers un Cool desktop ?
Les Cool utilities tombent à pic pour
ceux qui préfèrent les solutions "hétéro­
gènes" aux intégrés comme KDE ou
Gnome. Avec le support du protocol
DND, il y a moyen d'élaborer un envi­
ronnement de travail intéressant, à
base de Cool Icon, Xem acs, Fof et
Afterstep (wharf), sans oublier l'utilitaire
Trash des utilitaires OffiX. Les fonction­
nalités proposées
n'ont alors que
peu de choses à
envier aux desk­
tops "nouvelle
génération" (ne
pas oublier
Netscape dans le
lo t), même si
une évolution
vers le protocole
Xdnd, annoncé
comme standard
incontournable,
serait souhai­
tab le. C ep en­
les sens...
dant, la contribu­
tion des Cool utilities demeure relative­
ment restreinte, puisque seul Coolicon
n'impose pas le look "cool", décidé­
ment controversé.
Fred Pesch
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Le desktop "hétérogène” : pas mal non plus !
Des fenêtres MDI dans tous
ment des fenêtres (mosaïque, cascade).
L'étonnante réactivité de l'interface
rend l'utilisation de cet éditeur très
agréable, notamment sur les petites
configurations. Une version plus limitée
de l'éditeur, Smalledit; permet d'éditer
efficacement les fichiers de configura­
tion en tous genres. Notons tout de
même un petit bémol : quelques bugs
de jeunesse se tro uven t présents
(essayez de redimensionner Cooledit !).
Cool Icon : pour agrémenter le
desktop
Le gestionnaire d'icônes Cool Icon offre
un parfait complément aux gestion­
naires de fenêtres de type Fvwm2,
Afterstep ou WindowMaker. Il permet de
placer des icônes sur la root Window et
d'associer des actions à ces icônes, soit
par double-clic, soit par drag and drop
(protocole OffiX DND). Les icônes et
images livrées en guise d'exem ple
s'avèrent encore une fois esthétique­
ment "désastreuses", mais il est possible
d'utiliser n'importe quelle image au for­
mat Xpm, ce qui résout le problème.
Les actions se com posent de shell
scripts pouvant être créés par couples
(par exemple, créer une connexion puis
la couper, lancer un programme puis le
Cooledit/Coolicon
Statut : Logiciel libre (CPL)
Source :
http://www. obsidian.co.za/cooledit/
En hausse
A Interface simple, rapide, efficace
Cooledit : la puissance au rendezvous
A Le support du protocole de drag
and drop Offix DND
A L'API du Cool Toolkit
A Parfait pour les petites
configurations
En baisse
▼ Le look déroutant (pour
beaucoup : moche !) du Cool Toolkit
▼ Quelques bugs gênants dans
CoolEdit
▼ Interface MDI éloignée de la
"philosophie " X -Window
Note
★★★★k
Puise : un tracker et un auteur prometteurs
Puise est un Soundtracker gratuit proposé p a r King, alias Bruno Moyne.
Celui-ci est un nouvel arrivant sur la scène Acorn française.
quelques superbes logiciels ( Blockout) et autres travaux sur le sujet de
la M é c a n iq u e A ssisté e p ar O rd i­
es program m es de King sont
essentiellement écrits en Basic,
d o m a in e d an s le q u e l il fa it
montre d'un indéniable talent.
Le tra c k e r rep o se su r le m o d u le
QtmTracker de Quantum , une petite
merveille automatisant la lecture des
modules Qtm de l'Amiga. Puise est un
éditeur qui fonctionne entièrem ent
sous Wimp et permet toutes les facé­
ties ; édition des sons, des pistes et
des liens entre celles-ci. Bref, il s'agit
d'un tracker classique, mais au design
d é fin itivem e n t hors du co m m un !
C'est vraiment très joli.
Puise souffre toutefois de quelques
défauts, tel le manque d'intégration
avec le module QtmTracker ou la relati­
ve lenteur d'affichage sur StrongArm,
n a te u r ou de la p ro g ra m m a tio n
Basic sous W imp.
Vous trouverez une archive co nte­
nant les log iciels de 'King' M oyne
sur le CD accom pagnant ce num é­
ro.
alors qu'avec un Arm 7T0, c'est vrai­
ment parfait. On trouve aussi quelques
bugs, mais rien de bien gênant. Le
look très personnel pourra aussi trou­
bler certains utilisateurs du Wimp.
Pour un p rem ie r essai, c'est v ra i­
m e n t un c o u p de m a ît r e . N o u s
n'osons pas im ag iner ce que sera
capable de program m er King dans
quelques années. Evid em m ent, ce
n 'e st pas p a r fa it, m ais K in g fa it
d'ores et déjà preuve d'un sens artis­
tique peu com m un. Et la fam ille est
g ra n d e , p u isq u e D a n ie l M o y n e ,
nous a, pour sa p art, g ratifié s de
Puise
L
David Feugey
Statut : Freeware
En hausse
▲ Un tracker gratuit !
A Interface, ergonomie et look
irréprochables
A Puissant et raisonnablement rapide
En baisse
▼ Quelques bugs
▼ Liaison avec le module
QtmTracker
★★★
Note
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Le tableau de bord Puise.
Gtac, le retour des jeux d'aventure
Dans la série des moteurs de jeu , je
voudrais Ctac... Graphie Text
Adventure Creator.
G
tac est un créateur d 'ave n ­
tu re s m ê la n t g ra p h iq u e s ,
textes et sons. On retrouve là
le modèle classique des jeux d'aven­
ture en mode texte, avec de nom ­
breuses am éliorations. G tac est un
vrai petit langage de programmation,
bien qu'il n'y ait pas besoin de saisir
une seule ligne de code pour l'utiliser.
Ce logiciel gère avec b o nh eur les
im ag es (m ê m e sous fo rm e
compressée) et les sons, ce qui
renouvelle un peu le genre en
rendant encore plus interactif
ce type de jeux. Pour le reste,
c'est classiq u e , on édite les
pièces une à une et on crée les
liens entre celles-ci... On peut
égalem ent avoir accès à une
quantité limitée de variables.
La force de Gtac vient de son
côté résolument professionnel.
Difficile de trouver le moindre défaut
dans ce logiciel. Ce qui est reg ret­
table, c'est qu'il soit si peu utilisé,
m algré ses q u alités. Andréa G allo,
l'auteur, en a fait un Shareware à 50
francs. Les jeux créés avec Gtac peu­
vent être distribués sans limitation et
fonctionneront avec bonheur sur un
grand nom bre de m ach in es de la
marque.
G tac constitue un outil très abouti qui
est aussi idéal pour créer de petites
présentations interactives ou, grâce à
sa facilité d'utilisation, des logiciels
éducatifs. Une version commer­
ciale de Gtac pourrait voir pro­
c h a in e m en t le jo u r, A ndréa tra ­
vaillant actuellem ent à l'aboutisse­
ment de ce créateur de jeux dont la
puissance et la simplicité pourront se
révéler opportunes pour tout déve­
loppeur. Vous pourrez trouver Gtac
sur l'Acorn Demos serveur d'Armoric :
http://aglaee.imag.fr/ AcornDemos.
David Feugey
Statut : Shareware (50 francs)
Source : http://aglaee.im ag.fr/
AcornDemos
En hausse
▲ Outil puissant et simple
A M oteur de jeu rapide
A Concept très abouti
En baisse
▼ Limité à un seul type de jeux
(c'était prévisible)
Note
★★★★
MakeCD 3.2
Graver soi-même ses CD est devenu un sport courant. La toute dernière
version de MakeCD rend la chose encore plus simple !
lnlKSI
OK
• Iri'Jce^*--±J il
Tfiifÿbi ---------
peut produire que des CD lisibles sur
Amiga, à savoir de l'/so 9660 Level 1
et 2 avec extensions Rockridge, ainsi
que de l'audio. Voilà un moyen idéal
de sauvegarder son disque dur ou
d'effectuer des compilations à carac­
tère musical, mais qui s'avère inutile
pour réaliser des CD-Rom bootables
dans un fo rm a t peu co m m un
(M a c in to sh , P la y s ta tio n ...). C ela
étant, MakeCD permet tout de même
de copier en hardware (bloc par bloc,
uniquement avec la version enregis­
trée) n’importe quel CD et peut s'ar­
ranger pour qu'un disque créé par
l'u tilisa te u r soit b o o tab le sous
AmigaOS ou MS/DOS.
Ergonom ie et prise en main
Détail plaisant, sa très bonne ergono­
mie donne à M akeCD le privilège
d'avoir plusieurs niveaux d'utilisation.
Les opérations basiques comm e la
copie de CD, le formatage d'un CDRW, la réparation d'un CD-R ou enco­
re la fixation d'une session sont toutes
directement accessibles par un simple
menu, bien plus fourni dans cette ver­
sion 3.2. En revanche, la création d'un
CD original passe par un chemin de
fer du projet. Il s'agit d'une fenêtre
que l'on remplit avec autant de pistes
que désiré, en appuyant sur le bouton
nommé Add. On clique ensuite sur le
nom d'une piste pour en définir les
paramètres : la source de son contenu
(piste audio existante, répertoire du
disque dur, sauvegarde numérique sur
□ I MakeCD: îra c k
Irack; | r l| 4 | ►] | 1. »Data (Mode 1ÿ«
Type:
I
ïoursip ■
------File system
orrfy available for audio
âtart block / Length: | jij'lji j| ji;;l |min/blocks
Q I
Direct to CD writer
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Delete file
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Track type
Q|
.
a
Data (Mode 1)
Pause: 100 00 / 0
min/blocks
ISR£:
if ü ü n
Copie d'un CD.
ft»ad frort sgjrca ;[
D A T...), sa durée (uniquement pour
une piste audio), le format dans lequel
elle devra être écrite (donnée, audio,
XA, etc.) et la présence ou l'absence
d'une sauvegarde dans un fichier
avant le début de la gravure. Il s'agit
là d'un point important, car MakeCD
se montre en effet capable de sauve­
garder directem ent tout un disque
dur sur un CD-Rom, sans même pas­
ser par un fichier image (image Iso).
La dernière étape consiste simplement
à appuyer sur le bouton "Write Tracks"
pour lancer la gravure. A noter que
cette dernière version de MakeCD
pousse le confort jusqu'à sélectionner
toute seule les diverses options un
tant soit peu com pliquées (m ode
Novice) ! M ieux, il suffit de rester
quelques instants sur un bouton pour
que son explication apparaisse dans
une nouvelle fenêtre !
Yann Serra
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Paramétrage d'une piste.
ace à IsoBuilder, Burnit et autres
Masterlso, MakeCD s'est imposé
com m e la solution lo g icielle
optimale pour graver ses propres CD.
Son premier atout vient de la recon­
naissance au to m atiq u e d'un très
grand nombre de lecteurs et de gra­
veurs (sur support réinscriptible ou
non). Ainsi, chaque modèle s'utilisera
au mieux, prenant intelligemment en
compte sa vitesse, sa modernité (pos­
sibilité ou non de graver toutes les
pistes d’un CD en une seule fois), sa
façon de communiquer les données
(Intel ou Motorola) et les bugs éven­
tuels de son firmware. La gestion du
hardware représente d'ailleurs la carte
maîtresse de MakeCD... au détriment
du software. En effet, le logiciel ne
F
VÜ1E3
MakeCD
Currew Pfùjàci
r
Remove
Advanced Options...
L»
|
I
Û»wn
Irack Options
Ç ria le fciage file. I l
Total size: 100 00,00 min
A
▼
| .info
Le chemin de fer du projet.
v ' I World ac ce ss
I Save Amiga file aitributes
ISO LeveL
l? |
ISO 9660 Amiga
_____ |Conv e rt .info s u f% to lower case
Add
&rite tracks..
I Rock Ridge
I £roup a c c e ss
I
|
★★★★
—
a
A|
▼|
|
Statut : Shareware
Source : Aminet
En hausse
A Reconnaissance du hardware
A Ergonomie
A Aide constante
En baisse
▼ Pas de formats étrangers
Note
Sort o rder
info
1 . >Data (Mode 1 )«
Add
M a k e C D 3.2a
Save
Remove
_____ |Conv e rt ISO Qames to upper case
LJse
Format du CD.
Çancel
Opengroup
Java For
Linux 1.1.6
Contrairement à un logiciel comme
Kaffe OpenVM, Java For Linux
n 'est pas une nouvelle
implémentation de Java mais un
port de la JVM de Sun sous Linux ;
la même, donc que celle déjà
distribuée par Blackdown.
,
our l'utilisateur, cela apporte un
avantage certain : il dispose de la
JVM de référence et n'a pas
besoin de se soucier de compatibilité
ou de caractéristiques non supportées.
Une implémentation de qualité
Opengroup oblige, cette version est
bien plus soignée que celle de
Blackdown. La JVM ne se voit par défaut
liée avec aucune bibliothèque gra­
phique, laquelle n'est chargé dynami­
quement qu’en cas de besoin. Ainsi,
P
pour utiliser une application non gra­
phique (javac, jdb...), la JVM utilise peu
de mémoire et se charge rapidement.
Si l’application fait appel à l'interface
utilisateur graphique, les bibliothèques
Motif et X I 1 seront effectivement char­
gées : finis les scripts de lancement et
les variables d'environnement des JDK
Blackdown ! Mais le principal intérêt de
cette version provient du fait que l'implémentation utilise exclusivement les
API Posix, particulièrement en ce qui
concerne le multithreading. A chaque
thread Java correspond donc effective­
ment un thread système (la version
Blackdown utilise des threads utilisa­
teurs) : le résultat se traduit par une
meilleure robustesse et un gain de per­
formances sur une machine multipro­
cesseurs. En revanche, sur un seul pro­
cesseur, cette JVM se montre légèrement
plus lente que celle de Blackdown ; nul
n'ignore en effet que les threads utilisa­
teurs restent les plus rapides.
Un package incontournable
A l'heure actuelle, Java For Linux est
donc la plus aboutie des implémenta­
tions de Java sous Linux. Son utilisation
demeure iden­
tique à celle de la
version Blackdown
(il s'agit après
tout du même
lo g iciel !), y
com p ris en ce
qui concerne le
com pilateur JIT
tya qui en amé­
Netbeans en action sous Java For Linux.
liore les perfor­
mances d'un fac­
teur 4 à 5.
Jakub Zimmermann
Source : www.opengroup.org
Statut : Gratuit mais propriétaire
En hausse
A 100 % compatible
A Excellente implémentation
En baisse
▼ Encore quelques (rares) bugs
▼ Nécessite une machine musclée
Note
★★★★★
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AMP vO.7.6
La grande mode concernant les modules musicaux, c'est le MP3. Windows
possède son lecteur WinAmp, porté sur Amiga sous le nom d'AmigaAmp et
sous Linux avec X 1 1Amp. BeOS ne fait bien sûr pas exception à la règle, en
nous offrant Amp, BeMP et SoundPlay.
P3 représente l'extension
des fichiers de type mpeg3,
nom qui prête à confusion,
puisque la vraie dénomination du for­
mat reste MPEG 1 ou 2 Layer 3.
Amp vO.7.6 se montre capable de lire
les formats MPEG 1 et 2 Layer 2 et 3,
mais ne fonctionne qu'en mode texte,
étant dérivé du monde Linux. Les affi-
M
Exécution de modules MP3
p a r script shell.
cionados du shell pourront donc écrire
des scripts de chargement pour jouer
ses m odules, ce qui d'une certaine
manière lui donne une grande flexibili­
té. Il y a moyen de configurer la taille
du buffer, d 'affich er le num éro de
frame et le temps écoulé, de mixer les
canaux stéréo et de régler le volume.
Sur la machine de test, un PII-333, l'uti­
lisation du Cpu est de moins de 15 %
durant la décompression. Mais ce qui
apparaît particulièrement intéressant
vient de l'éventuelle conversion d'un
fichier MP3 au format Wave. On voit
alors que la taille du fichier Wave est
dix fois plus importante que celle du
fichier MP3 ; le form at MP3 permet
donc de stocker sur un seul CD-Rom
l'équivalent de 8 à 10 albums audio
pleins à craquer.
L'utilisateur peut donc décompresser
ses m orceaux personnels (pas ceux
trouvés sur un CD MP3 commercial)
en Wav pour ensuite les graver sur ses
CD audio.
Sur la même machine, la décompres­
sion du morceau "Virtual (void)" (livré
avec BeOS R3.0) du MP3 (2,8 Mo) vers
le format Wave (31.1 Mo) prend 40
secondes. M alheureusem ent, Amp
n'offre pas la procédure inverse, bien
plus utile quant à elle.
Fabrice Mansat
fmansat@amiganews. com
AMP vo.7.6
Auteur : Andy Lo A Foe
[email protected]
Statut : Freeware
URL : http://www.cs.vu.nl/~arloafoe/
programs/amp-0 .7 .6 x 8 6 . zip
En hausse
▲ Très peu gourm and en ressources
A Excellente stabilité
A Sources inclus
En baisse
▼ Pas de conversion Wave->MP3
Note
★ ★ ★
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
BeMP v l.2 2
Pour ceux qui veulent jo u e r des modules MP3 avec le confort d'une
interface graphique, la solution s'appelle BeMP v l.2 2 .
Paramétrage
des options.
eM P v l .2 2 rep o se sur Amp
v0.7.6c et requiert la présence
de la librairie libamp.so (four­
nie). Sur un PII-333, il consomme dans
les 15 % de temps CPU, tout comme
Amp. BeMP apporte cependant beau­
coup plus que celui-ci, excepté sur cer­
tains points. Tout d'abord, il possède
une interface graphique assez voisine
d'une interface de CD Player.
B
Il s'avère possible d'ajouter un autre
"slot", soit une rangée de boutons
pour jo uer un d eu xièm e m orceau
s im u lta n é m e n t. Pour ré a lise r des
mixages de bandes son, cette option
s'avère des plus utiles.
Le plus surprenant vient du privilège
offert à l'utilisateur de jouer jusqu'à
cinq morceaux MP3 conjointement à
partir d'un CD-Rom (ID E 2 0 x), sans
aucun trou dans les m o r­
ceaux et ce en ne consom­
mant que 50-60 % de Cpu.
Il est également possible de
r _
créer, d'éditer et de sauve­
garder vos sélections (play* --------lists), m ais m alh e u re u se ­
—a. m»
— r rr
m en t pas de ch a rg e r les
playlists au format WinAMP.
D e p lu s , on p e u t fa ire
varier le volum e et la vites­
se de lecture, sélectionner
une p a rtie d'u n m o d ule
Quatre morceaux simultanés pour deux oreilles I
ou e n c o re jo u e r les
m odules d'une liste aléatoirem ent.
Malheureusement, le "tag editor", per­
mettant de documenter les morceaux
de la liste, semble ne pas vouloir fonc­
tionner. L'auteur connaissant l'existen­
ce de ce b u g , les c o rre c tifs ne
devraient cependant pas tarder. Il est
également regrettable que le support
d'une télécommande infrarouge ainsi
que l'encodage et le décodage MPEG
manquent à l'appel.
Fabrice Mansat
BeMP
V 1 .2 2
Statut : Freeware
URL : ftp://ftp.be.com /pub/contrib/
audio/BeM P_l 22 _x86.zip
En hausse
▲ Très peu gourm and en ressources
A Excellente stabilité
A Interface graphique
A Sources inclus
En baisse
▼ Un petit bug qui rend le "Tag
Editor" inutilisable
▼ Pas d'encodage/décodage
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425
INTERFACE MIDI PROMIDI
215
Câble pour moniteur 1084 S (2 mètres) 100 F - pour 1084 SPI (2 mètres) 115
LECTEUR INTERNE AMIGA 500
285
LECTEUR INTERNE AMIGA 600 / 1200 [PRÉCISEZ SVP]
285
Connecteur pour 2 manettes port joystick
45
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
Extension mémoire 1 Mo pour Amiga 600
SOURIS AMIGA
125 F - 2 pour 220 F - 3 pour
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50 F - 4 pour
Carte A U RA 16bit PCMCIA (A 600/A 1200)
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95
150
695
295
125
115
45
225
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
165 F
2 5 0 F
POUR
avec
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-
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145
135
125
. 95
. 45
110
110
. 65
. 65
. 65
115
. 45
125
. 95
. 95
115
. 95
125
. 85
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F
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EXILE - A 1 2 0 0 .............................................
E X ILE - A 6 0 0 ................................................
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Im po ssible M ission 2 0 2 5 (v f ) a 6 00
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PINBALL ILLUSIONS (F) A 1200 . . .
. 95
75
. 75
125
125
125
125
125
. 95
. 95
. 35
115
. 85
. 35
. 95
. 75
. 45
. 65
. 95
F
F
F
F
F
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F
F
F
F
F
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F
F
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F
PLAYER MANAGER 2 ( A N C O )_____
POWER DRIVE ( F ) ......................................
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SUP ST. FIGHTER 2 TURB0(F|-A1200
SUPER TENNIS C H A M P IO N ................
T E S T A M E N T -A 1 200/4000- .............
THEM E PARK -A 1 2 0 0 ..........................
95
35
95
125
95
95
75
95
60
125
75
95
95
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85
95
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125
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F
THEM E PARK -A 600 ............................
TURNING POINTS -A 5 0 0 - ...................
U .F.O . (A 6 0 0 ) ............................................
U .F.O . (A 1200) ........................................
V IRTU A L KARTING -A1200 (F) . . .
W HITE DEATH (WARGAME) ............
WING C O M M A N D ER ...............................
WORMS (VF) ...............................................
W ORMS Director's Cut -AGAXTREM E RACING -A 1 2 0 0 - ................
Xtreme Racing A G A: 2 DATA DISKS
ZEEW O LF 1 (NF) .....................................
ZEEW OLF 2 Wild J u s t ic e ......................
ZEEW OLF 1 + ZEEWOLF 2 ................
ZOOL (F) - A 500/600 ............................
COMPILATION (1) A 1200:
GUARDIAN -i- SKIDM ARKS + GLOOM
COMPILATION (2) A 1200:
FEARS + ROADKILL + LEGENDS (F) .
125
. 55
125
125
. 75
. 45
. 95
. 95
145
. 75
55
. 45
. 65
. 95
. 35
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145 F
145 F
SELEC TIO N JEU X A M IG A CD ROM et CD 3 2 (Prix T .T .C . port compris) - Les "C D RO M " sont pour Amiga 1 2 0 0 /4 0 0 0 + lecteur CD
BRUTAL PAW S OF FURY ( V F ) ----BU BBA 'N 'STYX ( F ) ...................................
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. 50 F
. 45 F
. 35 F
. 50 F
. 65 F
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ELITE 2 ................................................................
EVOLUTION HUMANS 3 ( F ) ................
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HUMANS 1 + HUMANS 2 ................
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LIBERATION C A P TIV E 2 .......................
.
.
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.
.
.
.
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95
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MARVIN M A R V E L LO U S ..........................
MEAN ARENAS (F) ...................................
NAUGHTY ONES ..........................................
PREMIERE (F) ................................................
SO C C ER K I D ...................................................
S PERIS LEG A CY (Doc F) CD32/CDROM
S TA R CRUSADER [C D R O M ]................
45
45
60
45
50
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STR EET RACER [CDROM] ...................
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S uper S treet F ighter 2 T urbo (F) . .
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W ORMS (VF) CD 32 et CDROM . . .
125 F
. 75 F
. 95 F
125 F
125 F
125 F
125 F
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Présentation du Coda Filesystem
Un nouveau système de fichiers réparti apparaît dans les
nouvelles versions de Linux et, autant le dire tout de suite,
il s'avère des plus prometteurs !
éveloppé depuis plusieurs années à
l'université de Carnegie Mellon en
son concurrent RFS et l'AndrewFS, conçu
pour les très grands réseaux. CodaFS utilise
une architecture qui s'en inspire et apporte
de belles performances, mais aussi la toléran­
ce aux pannes, un mode de fonctionnement
spécialement destiné aux ordinateurs por­
tables et un haut niveau de sécurité.
Com m ent m arche CodaFS ?
Comme tous les autres systèmes de ce type,
D
tant que sujet de recherches, le pro­
jet Coda vise à mettre au point un système
de fichiers réparti (c'est-à-dire un système de
fichiers qui permet de partager des données
sur un réseau de façon transparente) de nou­
velle génération. Actuellement, le NFS de
Sun représente un standard de fait, suivi par
CodaFS p art du p rin c ip e
qu'un serveur "exporte" des
fichiers auxquels des postes
clients peuvent accéder par
le réseau. La première origi­
nalité (héritée justement de
l'AndrewFS) provient du fait
qu'ici, les données partagées
ne sont pas organisées en
fichiers et répertoires dispo­
nibles depuis "une m achi­
ne" ; à la place, on parle de
"cellules Coda". Chaque cel­
lule se trouve administrée
par un serveur m aître et,
éventuellement, par des ser-
veurs secondaires dont on parlera un peu
plus loin. Chaque client désirant travailler en
réseau doit entrer dans une cellule en se
connectant à un ou plusieurs de ses serveurs.
Il a alors accès à l'intégralité de l'arborescen­
ce partagée dans cette cellule et tous les
clients "voient" donc exactement la même
chose. Cela simplifie largement le travail de
l'administrateur : il n'y a en effet rien de pire
qu'un réseau où chaque station "monte" dif­
féremment les volumes partagés !
L'organisation des cellules
Une cellule Coda est donc placée sous le
contrôle d'un serveur maître. Là "remontent"
toutes les transactions effectuées dans la cel­
lule, tandis que l'administrateur de la cellule
peut y décider de ce qui sera, oui ou non,
mis à disposition des clients. Du point de
vue technique, la mise en place et l'adminis­
tration d'un serveur Coda ne représentent
pas une mince affaire, d'autant plus que la
puissance machine requise se révèle considé­
rable. Elle s'apparente plus à la création d'un
serveur FTP qu'au "partage de fichiers sur
réseau" auquel NFS et Windows 95 nous ont
habitués ; il s'agit par conséquent d'une
opération effectuée une fois pour toutes,
avec un objectif précis. Si la taille des don­
nées diffusées par le serveur ou le nombre de
clients risquent de devenir importants, le ser­
veur peut se voir épaulé par des serveurs
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Cnil.» developnmnts
Eichier
Edition
<£
Cr
W ÊÊH ÊÊÊÊÊ
Affichage
O
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Signets
®
Sache
Qptions
Aide
?
| http./AwAv.coda.cs.cmu.edu
about
Co da
papers
m anuals
mailing
llsts
mail to us
Coda
proiect
sea rch
C arm -R ie
M ellon
Coda File System
downloads:
Linux
F repB$D
N efêSQ
(Hlustration by Gaich Muramatau)
What is Coda?
Coda 1$ an advanced networked filesystem. It has been developed at CMU during the last six
years by the Systems group of M. Satvanaravanan. In the SCS deparment.
Why is Coda promising and potentially very important?
Pour tout savoir sur le p rojet Coda : http://w w w .coda.cs.cm u.edu
secondaires qui en maintiennent une image.
Chaque serveur dessert ainsi un nombre
réduit de clients et offre donc de meilleures
performances, tout comme les miroirs d'un
site Web permettent souvent un accès plus
rapide. D 'autre part, les clients gardent
généralement des contacts avec plusieurs
serveurs : cette redondance permet à la cel­
lule de continuer à fonctionner normale­
ment, même si des serveurs tom bent en
panne.
Les clien ts
En ce qui concerne les clients, CodaFS se pré­
sente avant tout com m e un système de
fichiers, ce qui signifie que le système d'ex­
ploitation doit disposer d'un module le sup­
portant. Celui-ci constitue à peu près le seul
élément réellement dépendant de l'OS utili­
sé. Lorsqu'une application désire accéder à
un fichier partagé par CodaFS, ce module
transm et la requête à Venus, un démon
s'exécutant sur chaque machine client et qui
effectuera les transactions nécessaires avec
les serveurs avant de renvoyer le résultat.
Pourquoi passer par Venus plutôt qu'expé­
dier la requête directement à un serveur ?
Toute la gestion à proprem ent parler du
sant sur le cryptage, il obtient en retour un
"jeton" qui lui perm et de circuler sur le
réseau et donne des droits sur certains
fichiers (lecture, écriture, création, etc.) et ce
pendant une journée, après quoi le jeton
n'est plus valable et doit se voir renouvelé
par un nouveau contrôle d'identité. Ce systè­
me n'importune pas trop l'utilisateur (a prio­
ri, un seul "login" par session de travail),
garantit une bonne sécurité et, surtout,
s'avère très flexible. Par exemple, un utilisa­
teur "anonymous" obtient un jeton lui don­
nant accès à des fichiers publics ; en outre,
chaque utilisateur qui a son compte dans la
cellule recueille un jeton permettant d'accé­
der à ses fichiers (et seulement les siens),
CodaFS se trouve ainsi dans un programme
tandis que l'administrateur dispose de jetons
propre système indépendant. Il y a deux rai­
générique et portable, et, de ce fait, la partie
qui l'autorisent à accéder à tout, sauf aux
sons à cela. D'une part, CodaFS se destine à
dépendante du système est réduite au mini­
tous les systèmes, pas seulement à Unix, et il
documents privés des utilisateurs.
Les ap p lications de CodaFS
mum. Par ailleurs, Venus gère un cache de
faut donc que la sécurité soit assurée unifor­
données : chaque fois qu'un fichier se voit
Sa conception donne à CodaFS une excel­
mément partout. Par ailleurs, les fichiers par­
lente capacité d'adaptation, il s'utilise avec
transféré de la cellule vers le client, Venus le
tagés peuvent se trouver soumis à des règles
succès aussi bien sur un réseau local que sur
garde en mémoire et pourra le fournir luid'utilisation particulières et différentes de
même directement à une application, sans
celles qui s'appliquent en local. Chaque
un gros site ou même un réseau de plu­
solliciter les serveurs. Le trans­
sieu rs m illie rs de postes.
m m m
“ 1
fert d'informations entre les
Néanmoins, à cause d'une
complexité certaine d’admi­
clients et le serveur est donc
Fllesystems j
réduit au m inim um ; voilà
nistration et des ressources
J Help |
qui ravira les utilisateurs ne
matérielles nécessaires, il ne
y y V
1| ♦ n ! Quota support
disposant que d'un sim ple
remplacera certainement pas
m ♦ n Mlnix fs support
Help |
w
NFS lorsqu'il s'agit sim ple­
modem ! Plus im portant, il
sz m i v n
Second extended fs support
| Help |
[♦ y
ment de partager quelques
s'avère même possible d'utili­
ISO9660 cdrom filesystem support
| Help |
|V y ♦ m v n
ser les fichiers partagés "offlifichiers entre des stations de
Help |
v n Microsoft Jollet cdrom extensions
♦y V
travail. En revanche, il trouve
ne", ce qui ve u t d ire sans
Help
DOS FAT fs support
naturellement sa place par­
connexion à la cellule ! Dans
^ y ♦ m v n
tout
où il s'agit de mettre
ce cas, la lecture d'un fichier
♦ m v n MSDOS fs support
v
l_ a s j
d'énormes
quantités de don­
se fait depuis le cach e de
v m ♦ n
Help | -i
umsdos: Unix like fs on top of std MSDOS FAT fs
v
nées à disposition d'un très
Venus, qui mémorise égale­
♦ m >✓ n VFA T (Wlndows-95) fs support
Help J
large public : certains propo­
ment toutes les modifications
Help |
/proc
filesystem
support
v
n
V
♦
y
sent par exem ple déjà de
é ve n tu e lle s fa ite s sur ce
♦ m v n
Help |
remplacer les sites FTP Linux
NFS filesystem support
fichier. Dès que la connexion
v y
et
leurs m iro irs par une
est rétablie, tout se met à jour
v _y ■v ! H«'p 1
gigantesque cellule Coda. De
automatiquement. Là encore,
IV y ♦ m v n NFS server support
J He,p !
même, il peut se révéler très
cela se montre particulière­
♦ m >✓ n Coda filesystem support (advanced network fs)
Help j
v
y
p ratiq u e de p artag er par
ment intéressant pour ceux
Help |
v y ♦ mi - n SMB filesystem support (to mount WfW shares etc.,)
CodaFS le répertoire /home
qui ne p ossèdent pas une
Help
en tre un o rd in ate u r de
>✓ n
SMB Win95 bug work-around
connexion perm anente, ou
♦y
bureau et un portable (à
pour les heureux propriétaires
J Help '
v
|v v
/
co n d itio n de p rend re la
d 'o rd in ate u rs p o rta b le s ...
Main Menu
Next
|
Prev
1
peine de tout installer une
Néanmoins, la nécessité de
. i
fois) : finis les oublis de mise
disposer d'un cache de 10 Mo
Les nouveaux noyaux Linux supportent CodaFS.
à jour des fichiers sur le PC !
m inim um par client signifie
Ceux qui rêvent de disposer
que CodaFS est surtout conçu
au moins d'un "porte-documents" comme
fichier et répertoire partagé dans une cellule
pour le partage d'informations en environne­
sous Windows seront comblés. Si, actuelle­
possède donc une "Access Control List" qui
ment réparti, et non pas pour économiser de
ment, CodaFS ne se voit supporté que par
définit quel(s) utilisateur(s) ou groupe(s)
la place sur les clients en évitant de posséder
Linux, FreeBSD et NetBSD, il sera à terme
d'utilisateurs ont le droit d'y accéder et com­
les fichiers en local.
disponible sous tous les Unices (certains por­
ment. L'utilisateur qui désire accéder à un
La sécurité
tages se trouvent déjà en cours), mais aussi
fichier ou à un répertoire partagé par CodaFS
Alors que dans NFS par exemple, la sécurité
NT, Windows, OS/2 et certainement sous
doit d'abord s'identifier auprès du service
des données se voit contrôlée par le méca­
d'autres systèmes encore.
d'authentification de la cellule. Une fois son
nisme interne d'Unix, les concepteurs du
Jakub Zimmerman
identité contrôlée par une méthode repo­
CodaFS ont décidé de mettre en place leur
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
C o m m u n i c a t i o n s
Expérience
de vidéo-conférence
virtuelle : un Risc Pc
dans un laboratoire
La vidéo-conférence est un domaine passionnant, presque
inexploré, et couvrant un gros marché potentiel. Les logiciels
existants ont tous les mêmes caractéristiques ; ils assurent la
transmission de la vidéo et du son, sans prendre en compte les
problèmes de bande passante et de communication entre les gens.
'éq uip e ViS et le lab o rato ire
Cravir/lmag oeuvrent dans la ville de
Grenoble et proposent une approche
différente du concept de-vidéo-conférence. Le fait intéressant vient de ce que
Frédéric Elisei, un des grands noms de la
scène Acorn française, fait partie de cette
équipe et utilise son Risc Pc pour dévelop­
per ce projet.
Cette équipe utilise trois concepts : clones
3D, vidéo et son spatialisés. Nous verrons
plus loin de quoi il s'agit. Le concept fort
est de pouvoir faire de la vidéo-conférence
sans devoir utiliser de m achine de très
forte puissance, ni d'outils aux prix inac­
cessibles.
Le clone BD
L'idée du clone 3D a un but : réduire la
bande passante utilisée par le logiciel sur le
réseau (la vidéo n'est souvent pas synchro­
nisée avec le son). Au lieu d'utiliser une
vidéo compressée complète de la person­
ne, on crée un clone 3D sur lequel on fera
apparaître les expressions de l'intéressé,
avec tous les problèmes que cela suppose.
Le clone 3D améliore la communication,
car il est ressemblant (contrairement aux
avatars) et peut s'utiliser suivant plus de
points de vue qu’une image plate.
Un problème difficile consiste à créer le
modèle. Habituellement, on passe par un
scanner laser 3D, qui a le défaut de coûter
très cher et pose des
La c r é a t i o n d ' u n c l o n e
problèmes à l'utilisation
(m auvaise capture des
c h e v e u x, d ang er du
laser pour les yeux...). Le
travail a donc porté sur
la création d'un modèle
à p artir d'une cam éra
devant laquelle on fait
tourner le sujet. Les per­
/ /
sonnes pourront donc
(
b ien tô t o b te n ir une
Contours 3D représenté
Exemples de rendu.
image 3D de leur visage
en fils de fer.
aussi facilement qu'une
photo d'identité.
Armé de ce m odèle, il
ne reste plus qu'à le
reproduire. La méthode
la plus co u ram m e n t
employée est celle d'un
clone. 3D construit à par­
tir d'un ensem b le de
La texture cylindrique associée.
polygones. Cependant,
s'il est facile d'animer un
L
visage de 2000 polygones (qui ne sera pas
très précis), quelle puissance faudra-t-il
ap p o rte r pour m ettre en scène une
réunion de dix personnes (20000 poly­
gones à animer en même temps !) ? La
solution choisie est de mapper l'image 3D
de la personne sur une structure en fil de
fer qui imite le relief de la tête (en particu­
lier les profils qui servent à la reconnaissan­
ce). On n'employe pas de polygones, mais
des routines moins génériques, inspirées
des techniques d'affichage de terrains dans
les simulateurs. Lorsque l'on anime dix per­
sonnes, leur visage est plus petit à l'écran,
donc plus facile à exploiter, ce qui n'induit
pas une trop forte hausse de la consomma­
tion de puissance du microprocesseur.
Ce visage ne pourra avoir qu'un nombre
de mouvements limités (zoom et rotation).
Reste ensuite à incruster la vidéo des lèvres,
des yeux et des sourcils. Le but n'est pas de
reproduire toutes les expressions d'un visa­
ge mais de faire le maximum pour que la
communication s'établisse dans de bonnes
conditions.
Le problème avec la plupart des logiciels
vient de ce qu'ils prennent le parti "d'analy­
ser" l'expression de la personne et qu'ils
recréent à l'autre bout quelque chose que
le programme estime similaire. Ainsi, le
clone reconstruit pourra sourire au lieu de
grimacer... D'où le choix volontaire de lais­
ser l'analyse des expressions être faite
directement par les intervenants.
La vidéo sp atialisée
On a donc tous les éléments pour repro­
duire un visage ; il faut maintenant gérer le
groupe d'intervenants. La vidéo spatialisée
permet de montrer toutes les personnes
dans un même espace, sous des angles
variés, grâce aux clones.
Il s'agit de contrôler les mouvements de
caméra pour suivre le débat, comme sur
un plateau de télévision. Mais, comme dit
Frédéric, "tout le monde ne peut pas se
payer les services d'un metteur en scène". On
met donc en oeuvre un système qui orien­
te les caméras en fonction des interven­
tions de chacun. Quand une personne
parle, une des caméras peut pivoter et zoo-
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
V\
mer sur elle, lorsque le débat devient hou­
leux, celle-ci fait un grand angle, si une
personne coupe succinctement et plusieurs
fois la parole aux autres, les cam éras ne
reviendront pas sur elle de façon systéma­
tique, etc.
Les mouvements des caméras sont fluides
et on peut en avoir un nombre non lim i­
té. Les in te rve n a n ts ont é g a le m e n t le
moyen d'agir m anuellement sur l'angle de
vue. C e p e n d a n t, la m ach in e n 'e st pas
in te llig e n te : e lle ne sa u ra p a s, p ar
exemple, réagir au sens de la phrase pour
deviner l'identité du prochain interlocu­
teur.
Le son sp a tia lisé
Le concept est simple : il s'agit de posi­
tionner le son en fonction de la position
des personnes et d'étouffer plus ou moins
les voix suivant la distance (com m e dans
la réalité).
La v o ix de la perso nne de g au ch e est
retransmise à gauche, etc. Le problème à
résoudre consiste à contrôler les mouve­
ments de caméra. Lorsque la caméra fait
un plan sur la personne de gauche, il faut
que le son semble provenir du centre ;
nécessité une puissance énorme.
Le but du projet prévoit de faire tourner
l'en sem b le de ces tech n o lo g ie s sur un
processeur classique de puissance moyen­
ne, comm e on peut en trouver dans un
Network Com puter par exemple, en pas­
sant par un réseau de bande passante
moyenne, telle une ligne Numéris.
Le modèle pratique a été développé sur
Risc Pc, en ayant recours au Basic et à son
assem bleur intégré. L'avantage du Basic
est qu'en tant que langage interp rété,
l'utilisateur peut très facilem ent corriger
son code et faire des expérimentations. La
force de l'assembleur Arm vient évidem ­
m ent de sa puissance m ais aussi de sa
simplicité.
Interrogé sur son ch o ix, Frédéric arg u­
coût modéré, celui-ci, aidé d'une carte de
digitalisation, joue parfaitement son rôle. Il
capture et reproduit la vidéo, corrige la cou­
leur de la peau (qui change en fonction de
l'éclairage) pour s'approcher de celle du
modèle 3D, digitalise les mouvements des
yeux et de la bouche, les reproduit en temps
réel sur le modèle 3D, et tout ça dans la
même fenêtre !
Evidemment, il faut le
v o ir p o ur se rendre
com pte de la perfor­
m an ce. F ré d é ric, en
d ig n e d em o m aker,
s'est aussi am usé à
coder des petits pro­
grammes, dont un sys­
Frédéric Eiisei,
tèm e de déform ation
membre du
d'image en temps réel,
groupe de
à savoir le retour des
développement.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
autrem ent, on a l'im pression que c'est
une autre personne qui parle.
Cependant, l'image du débat ne se com ­
pose pas que de mouvements continus de
caméra. Par exem ple, il y a des change­
m ents de p lan (in s ta n ta n é s ) et il est
pénible d'entendre une voix passer brus­
quement de la gauche vers la droite ou le
centre. Le système utilise donc un micro
virtuel qui suit la vue des caméras, mais
en assurant des transitions plus douces.
Lorsque la vue passe de la gauche vers le
centre, le son change de position plus
lentement.
L'en sem b le
Le systè m e c o m p le t p e rm e t d o n c de
sim u ler une vid éo -co n fé ren ce réa liste ,
sans toutefois nécessiter une grosse puis­
sance. Certes, il était possible d'utiliser des
modèles en 3D polygonale et une spatiali­
sation du son haut-niveau (com m e le spatialisateu r de l'Irc a m ), m ais cela aurait
m ente que le Basic est e xc e lle n t pour
c e tte a p p lic a tio n très m o d u la ire . Son
m o d èle a p p liq u é à d 'a u tre s lan g ag es
n'aurait pas forcément donné de meilleurs
résultats : l'équivalent en C aurait probable­
ment été interfacé par Tcl/Tk, pour rendre
l'assemblage et les essais plus interactifs. Nul
doute que la taille du code, les performances
et les facilités de dévelo p p em ent et de
débuggage y auraient plutôt perdu.
Le Risc Pc représente ici la plate-forme idéale
pour prototyper ce logiciel. En plus de son
CONFERENCE
m e cu s
miroirs déformants, qui
a beaucoup amusé les gens de l'Armada lors
de leur dernière rencontre. Malgré tout, le
projet demeure nettement plus sérieux, puis­
qu'il s'agit de son sujet de thèse, et nous ne
pouvons que lui souhaiter de le mener à
terme... avec succès.
http://www-vis.imag.fr/elisei/Jeudi
David Feugey
Mille
Alpha, la technologie
qu'il vous faut ?
On dit de la technologie Alpha qu'elle est la plus puissante.
Compaq l'a rachetée, Microsoft la soutient, Samsung l'impose
et des nouvelles cartes mères viennent d'arriver chez votre
assembleur.
Com paq a racheté Digital et l'Alpha y a
gagné un soutien com m ercial renforcé,
notam m ent grâce à la création d'Alpha
Processor Inc., décidée conjointement par
Compaq, Microsoft et Samsung. Plus que
jamais, l'Alpha s'impose comm e la plate­
forme haut de gamme actuelle.
Les p ro cesseu rs actu els
L'Alpha 21164.
a plate-form e Alpha représente la
suite logique, d'ores et déjà dispo­
nible, du compatible PC. Dotée d'un
processeur 64 bits qui atteint le GHz et
d'une carte mère Atx suréquipée, l'Alpha
fonctionne sous W indow s, ou Lin ux, et
peut m êm e d ire cte m e n t e xé c u te r des
applications écrites pour Pentium. Inventée
en 1991 par Digital, l'Alpha s'adresse initia­
lement aux seules entreprises, chez les­
quelles elle revêt la forme d’une station de
travail dévoreuse de calculs. Début 1997,
la te ch n o lo g ie s'est o u ve rte au g rand
public : des licences ont été cédées à diffé­
rents constructeurs pour alimenter un mar­
ché de m asse et faire c h u te r les p rix .
Désorm ais, l'Alpha s'achète com m e un
compatible PC : cartes mères et proces­
seurs se trouvent chez les assem bleurs.
Enfin, cette année 1998 aura été le théâtre
de revirem ents p o litiq ues im p o rtants :
L
Symbole même de cette technologie, le
processeur des stations Alpha fonctionne
avec une fréquence com prise entre 400
MHz et 1 GHz et se divise en trois gammes :
21164 PC, 21164 et 21264. Le 21164 PC
est un é q u iv a le n t du M M X d 'In te l. Il
intègre un module DSP qui lui donne des
rapide, même s'il réside sur la même "car­
touche". La comparaison avec le monde
Intel s'arrête d'ailleurs là : si les processeurs
Alpha ont bel et bien une longueur d'avan­
ce sur les Pentium II, actuels ou à venir,
c'est parce qu'ils se posent dès aujourd'hui
en co n cu rre n ts du processeur Intel de
d e m ain , à savo ir le M erced. Les Alpha
constituent des processeurs Risc 64 bits.
Les Pentium II se résument encore à des
puces Cisc 32 bits...
Avec une fréquence montant jusqu'à 667
MHz (soit 2,6 milliards d'instructions à la
seconde !), le 2 1 1 6 4 est le processeur
Alpha le plus courant chez les assembleurs.
#
Mais attention, Digital et Samsung propo­
sent chacun leurs versions du composant
et ils ne s'avèrent pas forcément interchan­
geables d'une marque à l'autre : les puces
de Digital fonctionnent en 3,3 volts alors
que celles de Samsung s'en tiennent à 2,5
volts. Par ailleurs, il convient de noter que
les 21164 de Digital ne comportant pas la
lettre "a" à la fin de leur nom sont des pro­
cesseurs obsolètes qui tournent à moins de
4 0 0 MHz (cette règle n'existe pas chez
Samsung).
Dernier rejeton de la famille, l'Alpha 21264
constitue le premier processeur de la pla­
nète à atteindre la barrière symbolique de
1 G H z. Encore fab riq u é à peu d 'exem ­
plaires (seule la version à 667 MHz de
Samsung est distribuée), ce processeur dis­
pose de deux caches internes de 64 Ko
chacun, ainsi que d'unités d'exécution lar­
gement améliorées. Pour l'heure, aucune
carte mère adaptée ne se trouve disponible
sur le marché et les anciennes se montrent
incompatibles. Car là réside une des nom­
breuses originalités de cet Alpha 21264 :
livré dans une cartouche similaire à celle
du Pentium II, il s'insère dans un connec­
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ailes en termes de fonctions multimédiaS
(M V I), tels la décom pression M PEG en
temps réel, l'application de filtres sur une
image ou encore l'accélération O penGL.
Revers de la médaille, ce processeur est le
moins rapide de la fam ille en termes de
calculs flottants et celui qui dispose de la
plage de fréquences la moins élevée. La
chose s'explique en partie par la présence
d'un cache supplémentaire dans le proces­
seur suivant, VAlpha 21164. Celui-ci intègre
une Ram tampon de 96 Ko dans ses cir­
cuits en lieu et place du module MVI. A
noter qu'une technique similaire se trouvait
utilisée dans le Pentium Pro, mais pas dans
le Pentium II. Le cache de celui-ci est en
effet externe au processeur, donc moins
teur processeur appelé Slot A, ce qui le
rendra directem ent interchangeable avec
le fu tu r K7 d 'A M D . A n o te r que la
Roadmap de Digital prévoit les processeurs
Alpha 2 1 2 6 4 P C , Alpha 2 1 3 6 4 et Alpha
21464 pour le prochain millénaire.
Les c a rte s m ères
La mise sur le marché grand public des sta­
tions Alpha est avant tout passée par une
chute libre du prix des cartes mères. Une
pilule que certains revendeurs spécialisés
ont eu du mal à avaler, surtout lorsqu'ils
ont dû évaluer les stocks de la génération
précédente leur restant sur les bras. De fait,
Carte mère 164SX.
Carte mère 164LX.
l'utilisateur devra se révéler particulière­
ment attentif lors de son achat s'il ne veut
pas se retrouver avec un vieux rossignol
passé de mode. D'une part, la carte mère
sera incapable de supporter des proces­
seurs à haute fréquence (500 MHz grand
m axim um ) et, d'autre
part, elle n'accep tera
pas fo rc é m e n t les
extensions du m onde
PC. Et voilà une grande
force de l'Alpha nouvel­
le g énératio n : p o ur­
vues de c o n n e cte u rs
PCI
et
IS A ,
les
m a ch in e s a c c e p te n t
sans broncher les der­
n iè res ca rte s g ra ­
phiques, audio, réseau
et autres co n trô le u rs
du monde W intel, tels
que c e u x v e n d u s en
grande surface.
Pour l'heure, la philoso­
Les d iffé r e n t s p ro c e s se u rs A lp ha
Processeur
Dec 2 1 164PC
D ec21164PC
Dec 2 1 164PC
Dec 21164a
Sam 21164
Dec 2 1 164a
Sam. 21164
Dec 2 1 164a
Sam. 21164
Sam. 21164
Sam. 21264
Sam. 21264
phie des d e rn iè re s
cartes mères de Samsung et Digital consis­
te principalement à booster l'équipement
actuel des utilisateurs de PC. Horm is la
technologie Alpha, celles-ci n'ont rien de
spécialem ent novateur : pas d'USB, pas
d'AGP, pas d'IDE U ltra-D M A... Au m ieux,
les modèles UX/BX de Samsung disposent
de l'Ultra-Wide SCSI. Pour la machine du
futur, il faudra attendre la prochaine géné­
ration : celle qui disposera d'un Slot A pour
accueillir un 21264 ou un K 7. Samsung
nous promet à ce moment-là (premier tri­
Fréquence
400 MHz
466 MHz
533 MHz
433 MHz
466 MHz
500 MHz
533 MHz
600 MHz
633 MHz
667 MHz
667 MHz
1 CHz
Cache (Instr./D ata /Level 2)
16 K o / 8 K o / 16 K o / 8 K o / I 6 K 0 / 8 K0 / 8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
8 K o / 8 K o / 96 Ko
64 K o / 64 K o / 64 K o / 64 K o / -
Speclnt95
10.4
14.6
16.1
13.3
Non testé
15.4
16.1
18.0
Non testé
Non testé
44.0
~66.0
dispose d'un sup p ort p a rticu liè re m e n t
dynamique sur Alpha. En effet, Microsoft a
élu la technologie de Digital comme plate­
forme officielle de secours... au cas où la
fidélité d'Intel s'avérerait un jour défaillan­
te. Ainsi, le système dispose d'un module
nom m é Fx!32, lui perm ettant d'exécuter
en temps réel toute application écrite pour
PC. En ce qui concerne Linux, on retrouve
les d is trib u tio n s les plus ré p u té e s du
monde Intel, en l'occurrence les dernières
versions de la RedHat et de la D ebian.
Attention cependant, de nombreuses ver­
sions de cartes mères Alpha sont livrées
avec une partie de Windows NT dans leur
firm w are. Il faudra l'en déloger avant de
pouvoir installer Linux. Pour se faire, Digital
prop ose de té lé ch a rg e r tous les o utils
nécessaires à l'adresse :
ftp :/ / ftp .d ig ita l.c o m / p u b / D E C / L in u x Alpha/. On y découvrira également tous les
noyaux et toutes les images de boot pour
chacune des cartes mères, y compris les
SpecFp95
14.2
17.4
18.8
18.3
Non testé
Référence
211PC-01
2 1 1PC-02
2 1 1PC-03
2 1 164-IC
KP-466CN
21.1
2 1 164-P8
KP-533CN
2 1 164-MC
KP-633CN
KP-667CN
KP21264
KP21264
22.5
27.0
Non testé
Non testé
66.0
- 100.0
plus vieux modèles. Enfin, signalons que
l'Alpha se montre également à même de
fonctionner sous Digital Unix (de moins en
m oins supporté par le constructeur) ou
OpenVMS.
Yann Serra
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
m estre 1 9 9 9 ) une c o m p a tib ilité ave c
toutes les dernières norm es de co nn ec­
teurs, ainsi que la palpitante perspective de
placer deux processeurs en parallèle.
Les systèm es d 'e xp lo ita tio n
L'A lpha ne d ép aysera p e rso n n e : to u t
comme un PC, la machine fonctionne sous
Linux et Windows. Pour celui-ci, la version
en vigueur ici est N T 4, lequel bénéficie
d 'u n e in te rfa c e id e n tiq u e à c e lle de
Windows 95/98. A noter que ce système
r
Dec A lp h aPC
164SX et 164ZX
AlphaPC 21164
CPU
Fréq. max.
533 MHz
Chipset
Dec 211 74
Cache
1 Mo
Ram
4 supports Dimm
Rom
1 Mo (Flash)
PCI 32 bits
2 slots à 33 MHz
PCI 64 bits
2 slots à 33 MHz
Non
AGP
ISA
2 slots
IDE
Oui
SCSI
Non
Clavier/souris PS/2
Ethernet
Non
L'Alpha 2 1 1 64PC.
Les ca rte s m ères a c tu e lle s
Dec A lp h aP C
164LX
Alpha 21164
600 MHz
Dec 21174
2 Mo
4 supports Dimm
1 Mo (Flash)
2 slots à 33 MHz
2 slots à 33 MHz
Non
2 slots
Oui
Non
PS/2
Non
Sam sung
164-LX2
Alpha 21164
Mult. de 66 MHz
Pyxis
2 Mo
4 supports Dimm
1 Mo (Flash)
2 slots à 33 MHz
2 slots à 33 MHz
Non
2 slots
Oui
Non
PS/2
Non
Sam sung
164-UX2 et BX2
Alpha 21164
Mult. de 66 MHz
Pyxis
2 Mo
6 supports Dimm
512 Ko (Flash)
5 slots à 33 MHz
1 slot à 33 MHz
Non
1 slot
Non
Ultra-Wide
PS/2
10/100 Mb/s
Sam sung
164-UX4 et BX4
Alpha 21164
Mult. de 66 MHz
Pyxis
Sam sung
264-DP
1 ou 2 Alpha 21264
Mult. de 66 MHz
?
4 Mo
6 supports Dimm
512 Ko (Flash)
5 slots à 33 MHz
1 slot à 33 MHz
Non
?
?
?
?
?
1 slot
Non
Ultra-Wide
PS/2
10/100 Mb/s
Oui
?
Non
? (+ IEEE1 394)
USB
?
4.
1 l. V-
r-N "
|
^
A■
Présentation et installation
de'ssh 1.2.26
Alors que se multiplient les outils de sniffing et autres craqueurs
de password Unix, la solution d'accès/copie à distance la plus
complète tend à devenir ni plus ni moins qu'un standard :
il s'agit du Secure Shell.
M e ln e t, rsh, rlogin et autres clones
sont longtemps restés au goût du
jour dans l'accès à des machines dis­
tantes, mais tous trois souffrent depuis tou­
jours de différents trous de sécurité qui ont
fait les jours heureux des hackers en herbe.
Le point le plus dérangeant, présent dans
tous ces outils, réside dans l'architecture
même d'un réseau. En effet, si le mot de
passe est crypté sur la m achine serveur
après qu'il eut été entré, les caractères pas­
sent en clair dans les trames tcp/ip. D'autre
part, si un password Unix reste et restera à
jamais indécryptable, à cause du principe
du "One Way Crypting" (cryptage à sens
unique), il peut tout à fait se voir reconsti­
tué par ce qu'il est convenu d'appeler un
password-cracker qui essaye, en cryptant
tous les termes d'un dictionnaire gigan­
te sq u e ou en c o m b in a n t c e u x - c i, de
re tro u v e r le m o tif du m o t de p asse .
Finalement, nul n'ignore que X, et en par­
ticulier ses fonctions d'export, possède en
son sein un nombre effrayant de failles de
sécurité. Ce sont ces défauts spécifiques à
un U nix sta n d a rd , parm i d 'autres plus
pointus, que le logiciel ssh se propose de
pallier.
"S "olide, S t a n d a r d
et "H "autem ent résistan t
Nous avons compilé la version 1.2.26 de
ssh sur cinq plates-formes différentes sans
rencontrer le moindre souci :
Linux (é vid em m e n t), FreeBSD, NetBSD,
OpenBSD et Solaris 2 .6 ; quel que soit le
type d'Unix, un simple "./configure; make;
make install" suffit à compiler, installer et
engendrer les clefs publiques et privées
propres au système. Nous reviendrons sur
ce p o in t qui c o n s titu e l'u n e des plus
grandes forces de ce shell.
V ers les "Paranoia-settings"
Nous considérerons dans cet exemple de
mise en place que l'on veut totalem ent
supprimer la possibilité de nous connec­
ter à notre machine
serveur par un autre
m o yen que ssh et
que le systèm e de
password Unix n'of­
fre pas une garantie
de sécurité suffisante
pour nos besoins.
La première chose à
faire consiste à ins­
ta lle r ssh su r les
machines client et la
m a c h in e s e rv e u r.
Dans l'absolu, seul
le clien t est néces­
saire sur les postes
c lie n ts , m ais pour
éviter d 'in term in a­
bles séances de ftp,
il s'avère plus simple
de suivre le schéma
classique du "make
install" sur toutes les
machines.
Il faut savoir que si
le poste serveur ne
p e u t ê tre a tte in t
Q U 'E N ssh , il in ­
com be à l'adm inis­
trateur réseau d'au­
to ris e r ou non un
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
"Lo po com pris..."
utilisateur à avoir accès à ssh. Cette précision s'adresse aux res­
p onsables de réseau x de d iza in e s de m a ch in e s que ce tte
démarche rebutera peut-être, du fait de sa grande rigueur.
L'étape suivante prévoit la création d'une paire de clefs, privée et
publique, que devra engendrer l'utilisateur d'un ssh client. Cela
s'opère grâce à la com m ande "ssh-keygen". Celle-ci élaborera
dans son S H O M E un ré p e rto ire .ssh a v e c des d ro its de
lecture/écriture bien précis, dans lequel on trouvera une clef
publique, une clef privée, la liste des hôtes connus ainsi qu'un
pointeur de nombre aléatoire. Finalement, le fichier identity.pub
devra être ajouté à un fichier authorized_keys (s'il n'existe pas, il
faudra le créer) dans le répertoire .ssh de l'utilisateur par lequel on
se connectera sur le poste serveur. Cette manipulation l'emporte
sur le système d'authentification standard "login : password" ; en
effet, lorsque l'on se connectera au serveur, il ne faudra plus ren­
trer le password Unix mais la passphrase qui a servi à concevoir la
paire de clefs. Il s'agit d'un système d'authentification RSA.
Le plus simple pour réaliser cette procédure est d'ouvrir un ser­
veur ftp sur le poste serveur et de procéder comme suit :
$ ftp 192.168.0.254
# ( on se connecte au poste serveur )
Name (domaine:utilisateur): utilisateur
password : xxxxxxx
ftp> cd .ssh
ftp> put identity.pub authorized_keys
Une fois ce pas effectué, il faut vérifier que l'authentification s'ef­
fectue bien en RSA et non plus de façon "Unixienne" :
ssh [email protected]
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Host key not found from the list of known hosts.
Are
you
sure
you
want
to
continue
connecting
(yes/no) ? yes
Enter passphrase for RSA key '[email protected]' :
On nous demande en effet la passphrase RSA ; adieu, "login &
password" !
Retenons la première question qui nous est posée à propos de
l'hôte sur lequel nous voulons nous connecter. La première fois
que nous allons accéder au serveur ssh, le client local ne va pas
trouver son identifiant dans le fichier SHOME/.ssh/known_hosts
et demande si nous voulons tout de même continuer. Cette tech­
nique évite de se connecter sur un serveur malveillant ayant spoofé son adresse sur celle du serveur désiré, autrement dit, ayant
court-circuité le chemin vers le serveur réel, nous amenant ainsi à
nous connecter chez lui.
Du point de vue du sniffing, la chose se montre très simple :
chaque caractère tapé au clavier est crypté par un algorithme
3DES, puis envoyé au serveur qui le décrypte à la volée. On
remarquera sur les photos d'écran les tentatives peu fructueuses
de lecture d'un password...
Finalement, telle la myrtille sur le gâteau, notons que ssh exporte
automatiquement la variable DISPLAY de la machine serveur sur
la machine client, lorsque l'utilisateur se connecte dessus. Cela
signifie qu'à tout moment, s'il désire lancer une application gra­
phique depuis son shell distant, le logiciel s'exécutera sur son X
local, sans avoir à spécifier quoi que ce soit. Il va de soi que les
trames entre les deux serveurs X sont elles aussi cryptées.
Il demeure fortement conseillé, malgré cette brève description
des possibilités de ce fabuleux shell, d'ingurgiter l'intégralité des
FAQs, manpages et HOW TOs disponibles dans l'archive, sous
peine de ne plus pouvoir se connecter du tout sur son propre ser­
veur !
Emile HEITOR <[email protected]>
S C S I. ID E pour A té o B u s........................... Bientôt
multi-parallèlB/série pour A té o B u s......... Dispo.
Carte Ethernet pour A té o B u s......
Carte Audio 16bits pour AtéoBus
Scandoubleur.
Kit d’adaptation : AtéoBus -> Tours Micronik
•ichement module S C S I dans Towers
stateur universel pour les LEO .:...............
Adaptateur de périphériques 3.5* vers 5"1/4
Lecteurs
DD int. A50O, A6/1200. A 2/4000......... 250, 230, 210
DD externe tout A m ig a........................................... .
450
HD interné pour CatWeaSél (S O N Y )..........................175
Apollo 630 / 68030 à 50 Mhz
Pour Amiga 1200
Apollo 1240 / 40 à 25MHz ou 40MHz
1390/1990
Apollo 1260 / 60 à 50MHz ou 66MHz 2990 / 3590
Module S C S I II pour Apollo .............................. . ;.........590
Blizzard 603e à 160MHz + 68040 à 25MHz
2590
3790
Blizzard 603e à 240MHz + 68040 à 25MHz
Blizzard 603e à 160MHz + 68060 à 50M Hz....... 4890
Blizzard 603e à 240MHz + 68060 à 50MHz .. coon
Blizzard 603e+ à 240MHz + 68060 à 50MHz
Pour Amis
ï________
Apollo 2030 / 68030 50 I
Apollo 2040 / 68040 à 40
! Apollo 2060 / 68060 à
Périphériques IDEATAPl
Pour.
2 Go Ultra-DMA..........
ApoHo 404° / 6 8 0 4 Q J4 0 Mhz + SC
interne + prise casqu
590 1 Apollo 4060 / 68060%' 50 MHz + S (
.3 8 9 0
le pour disque dur IDE
150
Apollo 4060 / 88060 à 66 MHz *
4490
Périphériques SCSI
5190
Cyberstom 604e/180MHz
ast S C S I3 2.4 Go. Seagati
2390
... 6890
/180MHz
2x interne (Sony), silencie
[ 119° Cyberstom 604e/233C
6490
r lecteur Z7ID
IP
.....................................100
Æ 8290
Cyberstom 604e/<
C S I + Séne sur port P C M C IA ) .... 690
E + L ) RICO H CD-RW 6 2 0 0 S
3390
P é rip h é riq u e s
Surf Squii
Graveur 2:
Soft pour
Scanner A4,
Boîtiers ext.
«jr^Make CD V 3 .T ..........................395
)0x600. 24 bits / Soft
1490 / 200
teur (1/2 baies)
N.C.
R a l l o n g e 3 . 5 MM a l e v e r s 2 x 3 . 5 " ......
»... 8 9
Cable 2.5'' vers 3.5" (approx. 30 c m )............................ 69
Cable 2.5" vers 2.5" et 3.5“ (approx. 30 c m )
89
Doubleurs d’alim entations.......................
25
Nappe IDE 2 / 3 connecteurs
....... 30 / 50
Nappe S C S I 2 / 4 / 8 connecteurs
5 0 / 1 3 0 /1 8 0
Cable S C S I avec centronic50 p t s ............................... 120
le 50pts vers SUB-D 2 5 p ts
150
Tern^ipaisaultessive S C S I centronic 5 0 p ts
99
A d a A teu«gEtt|>r DIN 5 vers Mini-DIN 6 .................. 40
A d a f f l S B E ! S l 3 t o 6 L M « r s SUB-D 25pts F
39
ivoy & Termite)
Carte Buodha (de HDE pour A2/3/4000)...
CatW easel MK2 (contrôleur de d7 HD)
CatW easel Zll/lll (Buddha+CatWeasel)
Digltaliseur Audio 8 bits (fantastique
Souris 600 DPI 3 boutons WI2
Mémoires ED O 60ns, 4, 8, 11
Mémoires Fast Page Me
Modem Spor
Jeu x NEf
Système
Système 3.1 c o m ^ M lÇ n S IlH ffil
Montage A1200 ■
Logiciels et ieux d'occa;
gx
Connecter un lecteur
SparQ sur le port
parallèle sous Linux
Dernier lecteur en date de chez Syquest, le SparQ de 1.0 Co
s'impose comme le digne successeur du Syjet. Possédant une
plus grande capacité de stockage que les populaires
disquettes Zip de Iomega, le SparQ a néanmoins le défaut de
ne pas posséder de connexion SCSI, que ce soit en interne ou
en externe via le port parallèle.
Ce mois-ci, Dream vous propose de connecter le SparQ 1.0
Co par l'intermédiaire du port parallèle IDE sur votre
machine Linux.
e plus en plus, on se trouve amené
à utiliser de nouveaux périphé­
riques sur Linux qui nécessitent,
soit l'usage du SCSI, soit des drivers spéci­
fiques ou encore du port parallèle.
Le SCSI, pour l'instant, fait l'unanim ité
D
grâce à sa sim p lic ité d 'u tilis a tio n . La
connexion du matériel et une seule com­
mande permettent la détection du hard­
ware ; il n'y a rien de plus simple. Les dri­
vers nécessitent au pire un reboot de la
m achine, mais la difficulté se situe plus
dans l'idée de posséder les drivers adé­
quats. Quant au port parallèle, il impose
dans notre cas une reco m p ilatio n du
noyau, un patch et quelques lignes de
com m ande. On com prendra aisém ent,
aussi bien pour les linuxiens que pour les
débutants, leur préférence pour le SCSI.
Linux et le port parallèle
De nos jours, il est possible de brancher
par le truchement du port parallèle aussi
bien son Zip de 100 Mo que son SparQ
d'1 G o, mais aussi le D itto (7 C o ) de
Iomega ainsi qu'une QuickCam pour la
visio-conférence. Bien sûr, ces branche­
ments ne s'effectuent pas juste pour le
plaisir, mais par contraintes techniques. Par
exem ple, pour le SparQ de Syquest, il
n'existe que trois configurations possibles :
- en interne EIDE (PC).
- en externe par le port parallèle (PC).
- en externe par le port USB (PC et iMac).
Et grâce au développeur du noyau Linux, il
est concevable de pouvoir brancher quasi­
ment toutes sortes de périphériques via le
port parallèle par le biais de quelques
démarches parfois longues. De plus, il faut
préciser que les développeurs n'ont pas eu
recours aux spécifications techniques des
différents constructeurs, ce qui devrait logi­
quem ent n'exclure aucun périphérique
que l'on désirerait connecter à sa machine.
D eux sup ports p rin cip au x donnent le
moyen d'utiliser ces périphériques.
Le supp ort Paride
Beaucoup de périphériques externes se
connectent par l'interm édiaire du port
parallèle. Pour la plupart d'entre eux, ils
sont IDE et usent l'adaptation IDE du port
parallèle, contrôlé grâce au support Paride.
Une fois le sup port co nstruit
avec le noyau ou bien chargé en
tant que module (paride.o), on
lui associe le protocole souhaité.
Le protocole EPAT
Vous l'aurez compris, il s'agit ni
plus ni moins du protocole destiné
au p o rt p a ra llè le ID E. S h uttle
T e ch n o lo g y l'a in ve n té et des
grandes firmes telles que HewlettPackard, Syquest, Imation et Avatar
l'ont utilisé.
P ratique !
Pour notre test, nous avons effectué les
démarches sur une machine Linux ayant
pour distribution la RedHat 5.1 (avec le
noyau 2.1.106) et bien sûr un port paral­
lèle. Malgré la sortie récente de la RedHat,
son noyau ne peut nous être utile pour ce
genre d'opérations. En effet, la RedHat 5.1
a pour version du noyau la 2.0.34 ; afin de
tenir compte des protocoles du port paral­
lèle, il faut au moins upgrader son noyau à
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
L'équivalent de 10 disquettes Zip sur une cartouche !
la version 2 .0.35. Pour upgrader le noyau,
rien de plus simple : il convient de déposer
les sources de la nouvelle version du noyau
ou les patchs s'y rapportant dans le réper­
toire /usr/src/. L'u tilisateu r doit ensuite
recompiler le noyau, de façon à ce que le
bon protocole, EPAT, se trouve pris en
charge pour le traitement du port parallèle
IDE. Une fois le noyau upgradé, il suffit
d'utiliser le patch de G rant R. G uenther
(fourni sur le C D ) afin d 'active r le port
parallèle. Pour cela, il s'avère nécessaire de
copier le patch Paride-2.0 .3 4 .patch dans le
répertoire /usr/src. Puis vous effectuez :
p atch -pO < P a rid e - 2 .0 .3 5 .p atch afin
d'ajouter le patch au système. Vous pouvez
aussi lancer le patch en tant que module
chargeable.
Les périphériques associés au port parallèle
IDE sont pda, pda2, pda3, etc, contraire­
ment à sda, sda2, etc, pour le SCSI.
Effectuez enfin quelques vérifications - qui
vous permettent de voir si le module de
Grant G uenther est chargé ou non - au
moyen de Ismod, commande utile dans le
cas où le module Ip se trouve chargé et uti­
lise donc le port parallèle.
p a r id e
: e p a t r e g is t e r e d a s p ro to ­
col 0
%>in sm o d pd
p d a : e p a t 0 .9 4 ,
S h u t t le EPA T c h ip
c 6 a t 0 x 3 7 8 , u s i n g mode 0 ( 4 - b i t )
p d a : S y Q u e s t S p a rQ ,
[957M ] ,
1960560 b lo c k s
( 1 9 4 5 / 1 6 / 6 3 ) , re m o v a b le
m e d ia
pda : p d a l
Il ne vous reste plus qu'à mounter le device
pda dans le rép erto ire désiré. Ah oui !
N'oubliez pas d'insérer la disquette, sinon
vous aurez droit à :
%>mount / d e v / p d a
/ S p a rQ
p d a : b l o c k do n e : s t a t u s = 0 x 2 5 1 =
#
D ream prof
• Le Zip de Iomega
Un lecteur Zip connectéen SCSI est détectésans
aucun problème. Mais son homologue parallèle
fonctionne égalementparfaitement. De la même
manière que pour le SparQ Paride vous permettra
d'adapter le SCSI via leport parallèle ; la
différence viendra du module utilisé à savoir
ppa.o.
,
/d e v/p d a : e r r e u r d 'e n t r é e / s o r t ie
Et avec disquette, ça donne
ment :
E R R S E E K READY TK 0N F
%>mount / d e v / p d a
pda : d o _p d _re a d
p d a : S y Q u e s t S p a rQ ,
: s t a t u s = 0x251 =
E R R S E E K READY TK 0N F
[957M ] ,
m e d ia
E R R S E E K READY TK 0N F
pda : p d a l
plus claire­
/S p a rQ
(1 9 4 5 / 1 6 / 6 3 ),
p d a : b lo c k done : s t a t u s = 0x251 =
pda : d o _p d _re a d
’
19 60 56 0 b lo c k s
re m o v a b le
: s t a t u s = 0x251 =
E R R S E E K READY TK 0N F
Dominique CLAIN <[email protected]>
e n d _ r e q u e s t : I/ O
e r r o r s d e v 2d
:0 0 ,
se c-
to r 2.
%>lsm o d
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M o dule
Pages
pd
3
epat
3
p a r id e
1
e p a t]
[p d
1
Premier essai :
%>more p d a
pda :
O p é r a t io n no n
s u p p o r té e p a r c e p é r i ­
p h é r iq u e
Le m o d ule P arid e n'a pas
encore été chargé et le device pda ne se voit pas recon­
nu. Têtus comme vous êtes,
vous essayerez quand même
de mounter le device non reconnu.
>mount
/ d e v / p d a /S p a rQ
1.0 GB p ou r votre backup, votre second disque dur.
Le S p a r Q en q u e lq u e s o c t e t s
m ount : t h e k e r n e l d o e s n o t r e c o g n iz e / d e v / p d a a s a b l o c k d e v ic e
Le SparQ symbolise 'la solution personnelle' selon Syquest. Techniquement, il est plus ou
(m aybe ' in sm o d d r i v e r '
moins sem blable à ses concurrents et ne révèle pas de grandes différences en ce qui
concerne les performances, avec un temps d'accès de 12 ms, un taux de transfert variant
de 3 .7 à 6.9 MB/s en EIDE, un taux de 0.7 MB/s via le port USB, et 0.9 Mb/s p a r le port
parallèle. Il possède cependant trois configurations possibles (port parallèle, EIDE interne
et USB) qui lui donnent la possibilité de fonctionner sur quasiment tout type de machine.
Quasiment au même p rix que le lecteur Zip plus d'Iom éga, c'est-à-dire environ 1500
francs (seule la cartouche SparQ se trouve à un prix deux fois plus élevé), le SparQ a donc
l'avan tage, grâce à sa capacité de stockage (d ix fois plus, ce qui ne se m ontre pas
négligeable). Vu qu'il s'avère maintenant possible de connecter via le port parallèle un
périphérique de ce type, il ne reste plus au SparQ de Syquest qu'à obtenir la popularité
acquise p a r le Zip d'Iom éga, afin de passer de solution personnelle à solution «grand
public», quel que soit le système d'exploitation utilisé.
?)
Quoi de plus explicite ? Craignant de pas­
ser pour un bleu au sein de votre commu­
nauté Linux, vous essayez :
%>in sm o d p a r i d e
p a r id e
: v e r s i o n 0 .9 4 i n s t a l l e d
Ô rage ! Ô des espoirs !
Le module est reconnu et installé ! Il ne
vous reste plus qu'à activer le bon protoco­
le, d'où :
%>in sm o d e p a t
r”
1
tz 11 p i a L que • A
KDE
m
Les périphériques sous KDE
Pour terminer notre exploration de KDE, nous allons voir
comment gérer ses périphériques de la même façon que sous
Windows, c'est-à-dire à l'aide d'icônes sur le bureau.
£ ichier
Edition
O
£>
O
|/c drom/L inux/E dltors
P
P
BeOs
C£ Dlstrib
P
Signets
jâffichage
Gfe
Gâche
Options
(rem placez éventu elle m e n t
/d e v /h d d p ar le
périphérique qui
c o rre s p o n d
à
vo tre le cte u r de
C D - R o m ). Pour
Aide
(S ?
y*
3
Y1QJ/
ca
xe m a cs-2 0 4 /
P . ,
Ja v a
^
Linux
P
I
Divers
^
Editors
P
Games
P
Q& GnomeO 26
P
^
P
Ç | Magazine
^
C l Software
P
e ivis-Z iil a r
M
«
mswordview0 D.ZB.tar gz
Libs
C i Pl3Web
e*
S
e*
.man-202
tar qz
p lu s d 'in fo r m a ­
tions sur ce fichier
et le m o u n tag e,
n ou s vo u s in v i­
tons à co n su lte r
les m an fstab et
man mount. Cela
n
m o sd w -4 1
tar g :
0
wpldpr for g j
1
"mounté" et une qui correspondra au cas
"non mounté". Vous avez terminé : à pré­
sent, fermez donc la boîte de dialogue en
cliquant sur "OK". Dans le cas où le même
périphérique est déclaré dans fstab de plu­
sieurs manières différentes (par exemple,
si vous travaillez à la fois avec des dis­
quettes MS-DOS et Extended 2), il s'avére­
ra nécessaire de préciser le systèm e de
fichiers à utiliser et le point de mountage :
dans l'exemple cité, on pourrait créer un
device pour /dev/fdO avec le système de
fichiers ext2 et mounté sous /floppy, et un
autre /dev/fdO avec le système de fichiers
vfat et mounté sous /dos/a.
U tilisa tio n
Une fois l'icône créée et configurée, son
utilisation est identique à ce qui se passe
sous W in d o w s. L o rs q u 'o n c liq u e sur
"Lecteur de CD ", KDE mounte autom ati­
q u e m e n t le C D -R o m et a ffic h e une
fenêtre avec son contenu. Une fois que
l'on a fini d 'u tiliser le CD -Rom , un clic
droit sur son icône permet de le démounter.
Jakub Zimmerman
é ta n t fa it , nous
p o u v o n s e n fin
Parcourez le CD de Dream avec KDE !
passer à KDE.
csa
C réatio n et p aram étrag e d'un device
e but avoué de KDE consiste à rendre
Général | Permissions
l'utilisation de Linux semblable à celle
KDE représente chaque périphérique par
de Windows ou de MacOS, y compris
une icône, exactem ent comm e Windows.
Périphérique (/dev/fdO)
en ce qui concerne l'utilisation des dis­
Cependant, à la différence de celui-ci, il
|/dev/hdd
-i
permet de placer cette icône où l'utilisateur
quettes ou des CD-Rom . Sous Windows,
Point d'attache (/Hoppy)
c'est très sim ple : on cliq ue sur l'icône
le désire : sur le bureau, bien sûr, mais
I
rep résen tan t le lecteu r et il n 'y a rien
vous pouvez aussi par exemple vous créer
Système de fichiers (Iso9660. msdos, vfat, default)
d'autre à faire ! Mais le principe du "mounun répertoire "périphériques"... Choisissez
tage" des périphériques propre à U nix,
donc un em placem ent pour l'icône, puis
bien que d'une extrême élégance, se révèle
sélectionnez Fichier/N ouveau/D evice (si
Icône “attaché"
icône “détaché”
vous voulez la placer sur le bureau, un clic
peu adapté à l'utilisation de ces médias
am ovibles ; en outre, avoir toujours un
d roit dans la root-w indow vous perm et
shell sous la m ain p o u r ta p e r m o u n t
d'accéder à cette option). Donnez un nom
/cdrom et umount /cdrom ne se montre
au périphérique (par exemple : "Lecteur de
guère pratique. Heureusement, les icônes
CD") et la nouvelle icône apparaît aussitôt.
"device" sont là pour nous faciliter la tâche.
Il c o n v ie n t à
Configuration d'un device. Simple, non ?
Nous allons exam iner l'exem ple du CDprésent de l'as­
Rom, sachant que le même m écanism e
socier effective­
s'applique indifféremment à tous les autres
m en t au CD médias (disques durs, disquettes, Zip, etc.).
Rom : pour cela,
D éclaratio n du p érip h ériq u e
c liq u e z dessus
Afin de pouvoir m anip uler un CD-Rom
avec le bouton
sous KDE, il faut bien sûr avant tout qu'il
droit et ouvrez
soit correctem ent déclaré dans le fichier
" p r o p r ié t é s " .
/etc/fstab et avoir le droit d'y accéder. Pour
Sous l'o n g le t
le vérifier, tapez (en tant que simple utilisa­
"périphérique",
teur) mount /cdrom, en supposant que vos
saisissez le péCD se "mountent" sous /cdrom (par défaut
riphérique
dans toutes les distributions). Si vous obte­
concerné (dans
nez un message d'erreur et que le CD n'est
notre exem ple,
pas "mounté", il faut alors éditer le fichier
/dev/hdd), puis
/e tc /fs ta b
c h o isisse z une
et y ajouter la ligne :
ic ô n e qui re ­
j
»
m
m
/ d e v / h d d /cd ro m is o 9 6 6 0 u s e r ,n o a u p ré se n te ra le
Un bureau avec de nom breu x devices.
t o , n o s u i d ,r o 0 2
p é r ip h é r iq u e
L
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Village Multimedia*
Cité Internet »»"•» ••■
;
Conférences -Débats
Spectacles - Expositions»
Stages » m— » ■1 ■
Concours
<s= =
21-25
octobre
parc des expositions
Toulouse
m Ü
Système
Fra n cise r Risc Os
Risc Os se trouve actuellement livré avec un système en langue
anglaise, ce qui n'est pas pratique pour une machine dont les
cibles sont le grand public et le marché de l'éducation.
Cependant, il se révèle bien conçu, puisque la francisation du
système peut se voir réalisée sans connaissances en
programmation.
vier international Acorn et à ses astuces pour
taper les accents, n'ont plus aucune envie
d'en changer (cet article est tapé sur une
machine Acorn avec clavier Qwerty).
En conclusion, nous allons indiquer au systè­
me que la langue parlée est le français (ça
Normalement, il faut, pour passer au français,
disposer du module correspondant et fixer la
peut servir pour les applications) via la com­
machine sur le pays France avec la comman­
mande ‘ Configure Country France mais nous
de ‘ Configure Territory France. Le module
laisserons le paramètre Territory sur UK. Cette
doit être situé à la racine du disque dur, ainsi
astuce n'a, à ce jour, présenté que des avan­
que tous les autres éléments liés au pays
tages par rapport à la solution conventionnel­
le.
(encodage des caractères, représentation des
nombres et dates, clavier...).
Prem ières constatations
Ce système se m ontre efficace, quoique
Nous allons tout d'abord lister le contenu de
d'une mise en oeuvre un peu com plexe.
l'unité 'Resources'. Pour ce faire, il suffit de
sélectionner le menu de l'unité Apps qui ne
Heureusement pour nous, il y a une solution
plus simple : la Grande-Bretagne et la France
comporte qu'une option, Open '$', que nous
représentent deux pays de culture presque
nous ferons un plaisir de traduire un peu plus
tard.
identique, si bien que la représentation des
dates, le sens de l'écriture et divers éléments
L'unité 'Resources' est maintenant ouverte.
sont les mêmes que pour les autres pays de
Elle contient au moins trois dossiers : Apps
culture latine.
qui se compose des liens vers les applications
La traduction du système se résume donc à
les plus utilisées, Fonts regroupant les fontes
une traduction mot à mot des termes. Pour
contenues dans la Rom et Resources, heu...
le clavier français, il existe un module, libre­
les ressources !
ment disponible, qui effectue l'adaptation,
Le dossier Resources contient donc toutes
mais, en général, ceux qui ont goûté au cla­
c e lle s u tilis é e s p ar le systè m e et les
m o d ules qui
o n t pu être
c h a rg é s . Par
m
App>
Font»
Resources H
"resso urces",
Rcsources-$.Resources
il fa u t c o m ­
&ADFS
ADFSFilcr Pi Alarm
es ARM
£3BASIC
Pi BuotCmds _
prendre, te x­
Pl BoolNct
Pi BufTcrs
ÉüCDFS
eiCDFSDnvcr £3CDFSFiler £3Chars
fâCL.b
£jCo*ourDbux PlColourMcnu PlCokmrs
£3DCS
PlPrbuRger
tes, icônes et
Desktop
Pi DcuceFS PlDispUv
£3DMA
£3DOSFS
£3l)ratt
d e s c r i p t ifs
p DrawFile
£)Dra»Mud ftEoonci
£5 FileInfo
Pi FileCtw
esfcta
G Filer
pFilcSwuch PlFtherMgr Pi FonlDtvx Pi FontMenu
pi FQrrAct
des fe n ê tres.
ftFont»
Pi FFfamibtor OFiw
Pi Frccway
P^FSLock
H o rm is
les
fâHdp
Pi konBar
es ne
Pi frucmalto Pi Intcrnei
Pi Jt'Wlik
Pi Kernel
pjMjkcPSFcni Pi Menu
Pi Mouse
Pi MsgTrans £3Net
Templates qui
£} Ne«Filer
QNrtFS
ec*v>
ÔNciPnni
£gPami
£3Parallel
£|PDnvcrs
PltVlCUSMOII QPicker
Pi Pinhourd
d é c riv e n t les
£5 PipeFS
£3 Podulo
Pi PnntDbox Pi Prirncrs
QProglnlo
Pi PS2Driver £3Qui'
£ 3RAMFS
fe
n ê tre s , les
£jRAMFSFiler Pi RcanotePrm PlRcsFiler
£gResourveFS £3RISC_OSL«b £3 RTCAdjusi
eSScafc
Pi SaveAs
es SciBUnkcr PlScicenModc £3Senal
Pi Sc«Mouse
fic h ie rs s é ­
ejShflirFS
ftShelICLl
Pi SoundChann Pi SoundDMA £^SoundSched PlSprEœnd
journent dans
p-Siringl.ib PlSwiichcr
ftSpnicl'til Ê Squat*
QSywmDevs £jTaskWindo»
ejTcrrMgr
QTinySuik pToolbox
Pi VVaveSynih £3"mip
des fo rm a ts
£)Wmdo*
“
d ire c te m e n t
utilisables par
Hm a n
HunJDivcJ ii Apps
!Edit ou /Paint.
Vue des ressources du système.
Le p ro b lè m e
ous allo ns donc nous livre r à
quelques essais, pour vous montrer
comment traduire facilement Risc Os
en français.
Principes
N
de l'unité Resources vient de ce qu'il est
im possible d'y écrire la m oindre chose.
Heureusement, de nombreux utilitaires tels
que /ResRom p erm ettent de m ettre son
contenu à jour. ResRom crée à partir de
fichier un module qui modifie le contenu
de 'Resources' et dem ande aux modules
mis à jour de se relancer.
Prenons comme premier exemple le dos­
sier Arm. Il comprend un fichier Messages
que l'on peut facilement traduire.
Une partie du contenu d'origine...
M00
C ache
on
M OI
C ache
off
M02
C ache
on
M03
C ache
off
M04
C ache
on Io f f
Qui devient...
M00
: C ache a c t iv é
M OI
: C ach e d é s a c t iv é
M02
: C ache a c t iv é
M03
: C ach e d é s a c t iv é
M04
: C ache o n |o ff
Le reste du texte renferme les messages
d'aide et d'erreur sous forme codée. Il est
possible de les décoder pour les traduire,
grâce à un utilitaire comme /MsgPress. En
principe, cela n'aura d'intérêt que pour les
messages d'erreurs, l'aide en ligne s'avé­
rant partiellement disponible en français,
sous une autre forme.
On peut faire glisser le dossier Arm vers
ResRom, en faisant attention que le dossier
par défaut soit Resources et non pas Apps.
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ResRom crée un module que l’on peut exé­
c u te r. O n c o n sta te que la co m m and e
‘ Cache ne renvoie plus 'Cache on' mais
'Cache activé'.
Allons plus loin
Le premier exemple se voulait simple, mais il
se révèle peu intéressant. L'utilité de traduire
les messages de la ligne de commande se
montre peu évidente, sachant que celle-ci
s'adresse avant tout aux spécialistes. De plus,
il est sans doute préférable que le Cli reste
identique, pour n'importe quel pays.
L'intérêt de la traduction résulte de la trans­
formation du Wimp. Nous allons donc nous
attaq u er à un autre m odule. Le dossier
ResFiler possède les ressources du gestionnai­
re de fichiers (le filer) de l'unité Resources.
Une partie du contenu d'origine...
T00
: R e so u rc e s
MO2 : Open ' $ '
B a n n e r : R e so u rc e F i l e r
Qui devient...
T00
: R e so u rc e s
M02 : O u v r i r
'$ '
B a n n e r : G e s t io n R e s o u r c e s F S
Le fichier Messages du dossier Arm.
M il
Le module Arm traduit en français.
: N o i r e t B la n c
Les deux premières lignes constituent le des­
criptif du menu. Banner est le nom de la
Ml2 : 4 g r is
tâche dans le système. Après un passage
dans ResRom et l'exécution du module, on
M l 4 : 16 c o u le u r s
peut apprécier la différence... Une partie du
Wimp parle français !
Attaquons-nous au dossier Display regrou­
pant les ressources de l'utilitaire de sélection
des modes d'écrans. Celui-ci comporte deux
fichiers, le fichier Messages et un fichier
Templates.
Une partie du contenu d'origine...
M l 6 : 25 6 c o u le u r s
M l 3 : 16 g r i s
M l 5 : 25 6 g r i s
M l 7 : 32 m i l l e
M l 8 : 16 m i l l i o n s
T02
: R é s o lu t io n
T03
: F ré q u e n ce
drer directement un nouveau dossier qui com­
plétera l'ancien.
Une fois votre module finalisé, il faudra veiller à
le charger avant le Wimp, en le déposant dans
le dossier IBoot.Choices.Boot.Predesk. Il
convient de charger ce module le plus tôt pos­
sible : certains modules initialisés avant vos
modifications peuvent refuser de mettre leurs
ressources à jour. Dans ce cas, il faudra voir au
coup par coup, mais cet exemple de figure
reste plutôt rare.
Vous remarquerez que les icônes du système
apparaissent dans le dossier Resources.Wimp.
N'ayez pas recours à ResRom pour les modifier,
mais préférez les commandes *lconSprites
<Nom du fichier> et *ToolSprites <Nom du
fichier>. La modification directe de ce fichier
ne donnerait pas les résultats attendus.
Nous rappelons que tout ce qui touche la fran­
cisation du système et des manuels fait partie
d'un projet de groupe de l'association Armada.
Pour suivre les avancées de ces travaux ou y
participer, vous pouvez écrire à [email protected]. Bonne chance !
David Feugey
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T it le
: D i s p l a y M an ag e r
V e r s io n
: 0 .3 3
(ll- J a n - 9 5 )
Unknown : Unknown
T00
: D is p la y
M O I: I n f o
MO2 : Mode
TO I
C o lo u r s
M il
B la c k / w h it e
Ml2
4 g re y s
M 13 : 16 g r e y s
Ml4
16 c o l o u r s
Ml 5
256 g r e y s
Ml 6
256 c o l o u r s
Ml7
:3 2 th o u s a n d
Ml 8
16 m i l l i o n
T02
: R e s o lu t io n
T03
: F ra m e r a t e
Qui devient...
T it le
: G e s t io n d ' é c r a n
V e r s io n
: 0 .3 3
(1 1 J a n 9 5 )
Unknown : In c o n n u
T00 : A f f ic h a g e
MOI : I n f o r m a t io n
MO2 : Mode
T O I : C o u le u r s
Le fichier Templates pourra être modifié via
ITemplEd. On a le moyen de tout faire dans
ce fichier à partir du m oment où l'on ne
modifie pas les intitulés de cham p. Après
e x é c u tio n du m o dule o b te n u g râce à
ResRom , on d isp o se d'un sé le c te u r de
modes en grande partie francisé.
Conclusion
En trois exemples, le système entier s'est déjà
transformé. La traduction complète des parties
visibles du Wimp ne prend qu'un week-end,
car seuls quelques fichiers sont à traduire : la
plupart des autres concernent la ligne de com­
mande. Vous pouvez
■B
é g alem en t u tiliser
□ m.«W
cette méthode pour
11
i
créer votre propre jeu
mm
de messages.
i
Q u e lq u e s co n seils
to u tefo is. Lorsque
vous m odifiez plu­
sieurs dossiers dans
les ressources, vous
pouvez les regrou­
per dans un même
d o ssier Reso urces
que vous passerez à
trave rs ResRom en
ô ta n t le nom qui
apparaît dans l'op­
tion Directory. Vous
L'édition des Templates.
pouvez ainsi engen-
mm
E
DU
q u e
•
H
s
Traitement par lot
et opérations non
interactives avec
ImageMagick
Certains logiciels permettent de réaliser de la retouche d'images,
simplement et efficacement. Mais lorsqu'il devient nécessaire de
retoucher un grand nombre d'images, des solutions plus
adaptées s'imposent.
couleur de fond sur la plus grande largeur à
chaque fois. Autrem ent dit, on enlève le
cadre blanc, qui n'offre aucun intérêt.
En outre, convert est un programme pourvu
de bon sens puisque, sauvant par défaut
dans le même format que celui de l'image
source, il opte autom atiquem ent pour la
méthode de compression la plus appropriée.
Ainsi, avec une im age fournie en noir et
blanc et compressée en LZW, le résultat a
été quant à lui compressé en CCITT Group
IV, ce qui se révèle assurément plus écono­
mique.
Bien entendu, le mieux étant l'ennemi du
bien, comme la gestion de cet algorithme
de compression ne se montre pas très répan­
due dans les programmes manipulant le for­
mat TIFF, son emploi peut desservir l'utilisa­
teur. MAIS il existe une parade qui se limite
malheureusement à interdire purement et
simplement toute compression avec l'option
+compress, qu'il suffirait de placer avant l'op­
tion -crop.
Incidemment, et comme si cela ne suffisait
pas, convert règle un problème apparaissant
avec certains autres logiciels. Il s'agit de ceux
qui ont la mauvaise idée de coder le para­
mètre ’RowsPerStrip' des images sauvées au
format TIFF avec la valeur 'Infinité'. Or, si cela
est autorisé, il existe au moins un program­
me du commerce, spécialisé dans la consul­
tation d'archives au format TIFF, qui n'aime
pas du tout cette valeur, et qui figure bien
évidem m ent parmi les plus fréquemment
utilisés. La bonne nouvelle vient de ce que
convert rectifie automatiquement le tir en
donnant à ce paramètre la valeur souhaitée.
M ogrify
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
CROP
Elim ination du contour grâce à convert.
es interfaces graphiques bien pensées
sont en effet idéales pour réaliser le
traitement d'une seule image, ou éven­
tuellement d'un petit nombre. En revanche,
il s'avère fastidieux d'effectuer par ce moyen
des opérations répétitives sur un grand
nombre de fichiers.
Les méthodes explicitées ici sont issues d'un
cas concret, en l'occurrence l'archivage d'un
grand nombre d'images en provenance d'un
scanner, pour lesquelles il convenait de sup­
primer les marges inutiles. La première solu­
tion, rapidement abandonnée, fut d'ouvrir et
de modifier les images une à une. La secon­
de envisagée consista en l'utilisation des
scripts Photoshop, mais d'une part, ceux-ci se
montrent délicats à réaliser, et d'autre part,
aussi intéressant soit-il, Photoshop n'incarne
pas le produit le plus économ ique pour
résoudre ce genre de problème. Enfin, et
surtout, même si la version 5 sait désormais
lire les fichiers TIFF compressés dans le mode
L
CCITT Group IV, il ne permet en aucun cas
d'enregistrer dans ce mode, ce qui le rend
inutilisable dans le cas présent.
La so lu tio n à ce p rob lèm e réside dans
ImageMagick et ses différents utilitaires. En
survolant quelque peu le manuel de la com­
mande convert, il s'avère que ce programme
a effectivement quelque chose de 'Magick'.
Voici un premier script rapidement écrit :
# ! / b in / b a s h
fo r f ie
in
* .t if
do
e c h o - n C ro p p in g $ f i c
...
/ u s r / X H R 6 / b in / c o n v e r t
- c ro p 0x0 $ f i c
c r o p p e d _ $ f ic
e c h o OK
don e
Au cœur de celui-ci se trouve la fameuse
com m ande convert, avec pour principal
paramètre, l'action à effectuer ; ici, la sup­
pression des bordures ne contient que la
Les traitements de groupes de fichiers peu­
vent se voir réalisés à l'aide de la commande
mogrify, comme dans l'exemple suivant :
m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ { l , 2 } . t i f f
La différence majeure avec convert résulte
dans le rem p lace m en t du contenu des
fichiers d'origine par le résultat du traitement
dont ils font l'objet.
Le principal avantage avec cette commande
réside dans l'inutilité de scripts comme celui
présenté plus haut, ce qui implique une prise
en main plus simple et plus rapide pour tous
ceux qui ne souhaitent pas se plonger dans
les méandres des shells.
Toutefois il subsiste quand même certaines
petites (ou grandes) prérogatives des scripts,
surtout avec des program m es aussi peu
loquaces (ou au contraire trop verbeux).
L'une d'entre elles consiste à pouvoir afficher
la progression de la tâche demandée, tout
particulièrement si elle est longue. Il s'avère
toujours rassurant de savoir qu'un blocage
n'a pas eu lieu lorsque l'on se voit informé,
GIMP vs. Photoshop
Loin de les m ettre en o p p o sitio n com m e p o u rra it le la isser
croire le titre de cet encadré, une différen ce de taille mérite
d'être soulignée, car elle p ou rra it inciter certains utilisateurs de
P h o tosh o p à se to u rn e r vers son o u tsid e r. Elle con cern e la
lim itation arbitraire qu'im pose ce program m e, avec des images
d ont les dimensions ne peuvent excéder très exactem ent 30 000
pixels de côté. Et cela reste vrai dans la version 5 qui vient de
sortir.
Un tel ch iffre p eu t p a ra ître dém esurém ent g ra n d et hors de
portée mais quand vous êtes amenés à utiliser des scanners à
tam bo ur form a t AO avec une finesse p o u v a n t a tte in d re les
1200 dpi, vous mesurez rapidem ent que les limites évoquées ne
tiennent plus du tout du fantasm e.
GIM P, et vous p ou vez faire le test, accepte p a rfa item en t de
créer des im ages supérieures à 65000 pixels. Ce qui n'a rien de
délirant, puisque des form ats comme le TIFF acceptent, depuis
la nuit des temps, de telles valeurs.
fichier après fichier, que le traitement continue.
Le premier exemple évoqué plus haut avec mogrify est intéressant,
car il va nous permettre de bien comprendre la différence de compor­
tement qu'offre ce programme par rapport à convert.
Une commande comme
c o n v e r t - c r o p 0 x 0 im a g e _ { 1 , 2 } . t i f f
Pour conclure, le rôle de convert ne se cantonne pas aux nettoyages
d'images ou aux découpages ; il inclut aussi la création d'animations,
au format GIF par exemple, ou la réalisation de planches contact, en
utilisant plusieurs images comme sources. Il est aussi capable d'extrai­
re une image isolée ou une séquence au sein d'une animation.
Le principal reproche que l'on pourrait faire à ces outils (convert ou
mogrify), outre qu'ils ne préparent toujours pas le café, provient de
leur mutisme, que bien des espions soumis à la torture leurs envie­
raient.
S'il existe des programmes qui vous racontent leur vie pour un oui ou
pour un non, le moins qu'on puisse dire pour convert et mogrify, c'est
qu'ils ne permettent pas de comprendre leur fonctionnement ni la
syntaxe qu'ils attendent par une suite d'essais et d'échecs.
La réalité s'avère un peu plus nuancée, car chacun de ces pro­
grammes dispose d'une option verbose. Mais, d'une part, elle n'ap­
porte aucune aide en cas de syntaxe erronée et d'autre part, elle
illustre parfaitement le proverbe "le mieux est l'ennemi du bien", car
elle affiche les caractéristiques détaillées de chaque document, à l'ima­
ge de ce que peut afficher la commande tiffinfo lorsqu'il s'agit d'un
fichier au format TIFF.
De surcroît, l'option verbose provoque l'affichage d'informations, non
pas sur la sortie standard mais sur celle des.erreurs, ce qui ne facilite
pas le filtrage des messages dans l'optique de se focaliser aux seuls
représentatifs de la progression des traitements demandés.
Vous pourrez trouver ImageMagick à l'adresse :
ftp://ftp.wizards.dupont.eom/pub/lmageMagick/lmageMagick.X.tar.
gz (où X correspond à la numérotation de la dernière version dispo­
nible).
est traduite par le shell en
Yannick Cadin
Yannick@kommando. com
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
c o n v e rt - c ro p 0x0 i m a g e _ l . t i f f im a g e _ 2 .t if f
ce qui signifie dans la syntaxe comprise par convert "opère le
traitem ent dem andé sur le contenu du fichier im ag e _1 .tiff et
enregistre le résultat dans le fichier im age_2.tiff ".
À l'opposé, les mêmes paramètres fournis à mogrify dans la com­
mande
m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ { l , 2 } . t i f f
sont évidemment traduits de la même manière par le shell en
m o g r if y - c r o p 0 x 0 i m a g e _ l . t i f f i m a g e _ 2 . t i f f
MAIS se trouvent transformés par ce programme en "opère un traite­
ment sur le contenu du fichier image_1 .tiff et enregistre le résultat
dans le fichier image_1 .tiff, PUIS, opère le traitement demandé sur le
contenu du fichier image_2.tiff et enregistre le résultat dans ce fichier
image_2.tiff ".
Ce qui, vous en conviendrez, ne revient pas du tout au même.
Pour finir
Remarque en passant, à la suite de tentatives avortées, des fichiers
temporaires engendrés par convert ou mogrify peuvent polluer votre
répertoire /tmp, portant des noms préfixés avec 'magicka', et se ter­
minant par un numéro qui correspond de toute évidence au PID,
auquel était associé le programme en cours d'exécution avant de se
voir sauvagement interrompu. En d'autres termes, si ces fichiers se
multiplient et que la fréquence de nettoyage de ce dossier ne se révè­
le pas assez importante, vous risquez rapidement de ne plus avoir de
place sur votre filesystem.
Conseil : avant de vous lancer avec d'imposants fichiers, faites des
tests à l'aide des documents de taille très raisonnable, de façon à ne
pas être surpris ensuite par les durées des différents traitements et
d'éviter ainsi de vous ronger les ongles devant un ordinateur en appa­
rence inerte.
ALPHA
ALPHA
NT & LINUX
LINUX & NT
Carte mère, processeur,
MediumTour ATX, 64 Mo sDram-ECC
LX2-533
kit 1
Kit n °l
LX2-533 Mhz/ 12.990 TTC
Kit n°2
UX2-533 Mhz/ 14.990 TTC
Kit n°3
UX4-600 Mhz/ 24.990 TTC
Kit n°3
UX4-2x 533 Mhz/ 38.990 TTC
+
6.4 Go Udma, FD 3"12,
M illénium H 4 Mo,
15" 0.25, CD-ROM 32x,
Clavier PS2, Souris PS2
16.990 FTTC
ALPHA
DORS
AI
LINUX & NT
U X 2 -5 3 3
Kit 2
+
4.5 Go SCSI UW,
FD
M illénium H 8 Mo,
17" IDEK 0.25,
CD-ROM 32x SCSI P ionner,
Clavier PS2, Souris PS2
25.990 FTTC
INTERROGEZ-NOUS,
EQUIPEZ-VOUS,
UP-GRADEZ-VOUS
Pour passer commande
Tél. Messagerie
01 46 65 70 20
Fax 01 46 65 13 20
E-MAIL
[email protected]
%
O S / 2 e t le ré s e a u
lo c a l 1 : in t r o d u c t io n
au ré s e a u W a r p 4 .0 .
OS/2 est l'un des premiers systèmes à avoir proposé un client/serveur pour le partage de fichiers
sur micro-ordinateurs. Dès 1988, le logiciel Lan Server permettait de transformer une station
OS/2 en serveur de fichiers, d'impression ou de port de communication
Configuration et installation d'05/2 Warp
Sélectez les fonctions à installer :
A
❖
s
i
Etat en cours
□ Fondions Poste à Poste
Version en cours
□ Fondions TCP/IP
Version en cours
□ LAN Distance
Installation impossible
□ Fondions client de gestion de systèmes
Dernière version
o b te n ir une m a ch in e p rivé e de to u te
chance de com m uniquer sur le réseau. Il
sera plus tard en mesure de relancer la
configuration réseau avortée par le biais
de l'éxécutable \ib m in st\n p co nfig .exe.
O r, cette surcouche réseau se compose
elle-même de plusieurs couches. La pre­
mière se retrouve aussi bien sur le serveur
que sur le client. Cette couche se nomme
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
□ Client NetWare
Installation impossible
□ Mobile File Sync
Précédent
Suivant
Non installée
Aide
L'installation du réseau poste à poste.
u jo u rd 'h u i, d ix ans a p rè s, Lan
Server a évolué en Warp Server.
Ce logiciel n'est autre qu'un OS/2
Warp 3.0 avec une surcouche Lan Server
5.0.
Du côté poste à poste, il a fallu attendre
la version 3 d'OS/2 (1 99 4 ) et notam m ent
sa d é clin aiso n en Warp C o n n ect pour
b é n é ficie r d 'u ne p o ssib ilité de réseau
poste à poste comme le faisait à l'époque
Windows For Workgroup ou Lantastic.
Poste à poste ou c lie n t/ s e rv e u r ?
A
Dans le monde des réseaux PC, il y a en
gros deux écoles : le poste à poste pour
les petits rése au x, et le c lie n t/se rv e u r
pour des réseaux plus importants ou plus
e x ig e a n ts . En p o ste à p o ste , ch a q u e
machine se trouve susceptible de fournir
des services aux autres et donc de faire
un petit peu office de serveur : l'inform a­
tion est distribuée entre les m achines sur
le réseau. Dans le mode client/serveur,
seules quelques m achines appelées ser­
veurs possèdent des ressources e xp lo i­
tables par toutes les autres m achines :
MPTS.
La co u ch e M PTS
MPTS signifie : M ulti-Protocol Transport
Services (S e rv ic e s de T ra n sp o rt M ultiProtocole). Cette couche permet à OS/2
de contrôler les cartes réseaux et les pro­
tocoles sur la m achine. Elle doit être obli­
gatoirem ent installée pour toute activité
réseau (p as sim p le m en t pour partager
des fichiers).
l'information se voit centralisée...
On peut à loisir panacher les deux types
de réseau. Il y a en
e ffe t m o ye n
de
Ressources partagées et Connexions réseau - Param ètres
X □□
m ettre en place ces
Identité Connexions Partages Droits Utilisateurs Groupes C o nfiguration Icône
d eux types d 'a rch i­
Configuration
Configuration - Page 1/2
te c tu re a v e c W arp
se lo n q u e l'o n a it
Configuration du poste de travail.
re c o u rs ou non à
Valeurs maximales
Warp Server.
Utilisateurs admis simultanément
I32
Une h isto ire de
Ressources pouvant être partagées
|64
"couches''
Verrous de fichiers
(64
Aujourd'hui encore,
Connexions aux ressources
le réseau sous 0 5 /2
1128
Fichiers
ouverts
est une s u rc o u c h e
|l6 0
au système d'exploi­
Délai d’impression DOS (s )
|90
tation. Il s'avère très
Taille de l'antémémoire (ko)
facile de séparer le
1-1
système de sa partie
Déconnexion des sessions inactives
|b4
réseau. Ainsi, lors de
l'in s t a lla t io n
de
Warp 4 .0 , l'u t ilis a ­
te u r p e u t in t e r ­
Sauvegarde
Par défaut
rompre le processus
Configuration du poste à poste.
d 'in s ta lla tio n p o ur
La c o n fig u ra tio n de M TPS se tro u v e
accessible dans le dossier de configura­
tion du système. L'outil donne la possibi­
lité d 'ajo u ter de n ou velles cartes p h y­
siques ou logiques, ainsi que des proto­
c o le s in é d its et de les c o n fig u r e r .
L'utilisation avancée de MPTS fera l'objet
d'un futur article.
La co uche c lie n t ou "requester"
Cette couche réside aussi bien sur le ser­
veur que sur le client. C'est elle qui per­
met au système de dem ander l'ouverture
d'une session u tilisateu r. Lorsque cette
couche s'active, l'utilisateur a le moyen
d 'e x p lo it e r des re s s o u rc e s d is ta n te s
(fich iers, im p rim an tes, ports co m ). On
déclenche cette couche clien t en ch e r­
ch an t à o u v rir une se ssio n . Les o u tils
d'ouverture de celle-ci tout com m e les
outils de manipulation du réseau sont acces­
sibles dans le dossier "connexion/réseau" (sur
le bureau Warp 4.0).
L'ouverture d'une session s'opère soit en
lo ca l s o it su r un s e rv e u r . En ce q u i
concerne le poste à poste, on effectuera
une ouverture de session locale afin de
permettre aux autres stations d'identifier
l'utilisateu r et d o nc de d é te rm in er ses
droits : l'id en tité n'est co ntrô lée qu'au
moment où la station "cliente" demande
Configuration de la carte réseau et du protocole
Sélectez une carte réseau et le protocole correspondant.
Cartes r é s e a u -------------------------------,
Protocoles
IBM NULL MAC Driver
NE2000 Compatible NDIS 2.01
No Network Adapter
3270 Adapter for 3174 Peer Communie? ^
NetWare NetBIOS Emulation 0
IBM IEEE 802.2
IBM OS/2 NETBIOS
IBM Netware Requester SuppM]
- il— "«*
i
JJ
-
mu
Ajout
j
jj
Modification
Autres cartes.
Ajout
Autres protocoles...
Configuration en cours
Sélectez OK
lorsque vous
Pour modifier les paramètres du pilote, sélectez un
élément ci-dessous, puis Edition.
1NE2000 Compatible NDIS 2.01 .......
0 - IBM OS/2 NETBIOS
0 - IBM 1CP/IP
L lT “
Edition
Retrait
d
|
Annulation
a
JJi
i
0K
Aide
Modification du numéro... |
Configuration de MPTS.
le s o u s - d o s s ie r "s e s s io n " du d o s s ie r
"réseau".
La co uch e d 'a d m in istra tio n
g ra p h iq u e du se rve u r
Cette couche n'a d'utilité que si l'on dis­
pose d'un serveur. Elle permet d'adminis­
trer le serveur à distance en créant des
com ptes utilisateurs ou en d éclarant le
partag e de certaines resso urces. Nous
reviendrons sur cette interface à la faveur
des articles sur Warp Server. L'outil d'ad­
ministration est accessible dans le dossier
"Fonctions Réseau".
rie directe qui se voit lancée autom ati­
quem ent lorsque la couche client s'initialise. Elle donne le privilège de dialoguer
entre utilisateurs du réseau et permet à
l'adm inistrateur d 'avertir les utilisateurs
d'événem ents ou d'interruption de servi­
ce.
D 'au tres co uch es ?
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
accès à la ressource de la station "ser­
veur".
En client/serveur, l'authentification a lieu
du côté du serveur qui contient une base
de tous les utilisateurs et de leurs mots de
passe.
La co uch e se rve u r
La couche serveur est lancée auto m ati­
quement au démarrage sur Warp Server.
A propos de la station cliente devant par­
tag e r des resso u rce s (en a rc h ite c tu re
poste à poste donc), il convient de lancer
les fonctions poste à poste pour activer
une couche serveur allégée. L'icône de
lancement de ces fonctions se situe dans
C o n n e xio n s - A rborescen ce
Les fonctions poste à poste possèdent un
outil spécifique pour déclarer les comptes
u tilisateu rs et les resso urces. C et outil
prend la form e de l'icône "Ressources
p artag ées et c o n n e x io n s réseau x" qui
s é jo u rn e d a n s le d o s s ie r " F o n c tio n s
Réseau".
La co uch e M essen g er
La dernière couche est celle de message­
O □
Il existe d'autres fonctio nnalités réseau
sous OS/2, comme l'HPFS 386 ou le mirroring, qui sont propres à Warp Server.
Nous les détaillerons dans une série d'ar­
ticles consacrée à Warp Server.
A su ivre
Le décor se trouve à présent planté.
Dans les articles suivants, nous détaille­
rons les différentes couches et outils que
nous venons de passer en revue.
Après quoi, une série d'articles détaillera
l'utilisation du serveur 05/2 ; Warp Server.
Antoine Sabot-Durand
a a
A d m in is tra tio n du S e r v e u r d e r é s e a u lo c a l - Ic ô n e s
Qbjet
Visualisation
Objets sélectionnés
Aide
g f § | Connexions
8
H u a Unités
—
; Modèle Domaine
Imprimantes
Poste de travail local A B S ID E
CONCILE
Doubles de serveurs
b Q lÜ = a
r y Fonctions Poste à Poste pour OS/2
Afficheur de ressources
Fonctions réseau
%
Sessions
Sites Internet
A objects, 0 K bytes total. 1 selected, 0 K bytes.
Poste de travail local sur lequel n'est installé aucun serveur
Le dossier connexion.
Adm inistration de serveur de réseau local.
p p r o f o n d i r
•
Réseau
Imprimer sur un LAN/Windows
S'il est beaucoup plus naturel de reléguer la tâche du serveur
d'impression à une station Unix, moult entreprises et quelques
particuliers se voient obligés de passer par un serveur
d'impression Windows. Point de salut ?
Le plus souvent, il sera déjà en place sur
votre système, mais dans le cas contraire,
mieux vaut opter pour le package binaire
correspondant à votre distribution. Pour
information, des version alphas de samba
2.0 se trouvent déjà disponibles et fonc­
tionnent sans le moindre souci.
Il est inutile, dans l'emploi que nous allons
faire de samba, de configurer ni même de
lancer les démons smbd et nmbd, les divers
clients fournis dans l'archive représentant
les seuls outils nécessaires.
Il demeure impératif toutefois de posséder
e couple Linux/samba s'intégre de
façon tout à fait naturelle dans un
réseau Microsoft. Comme nous avons
pu le constater au travers de précédents
articles, une machine Linux sur laquelle
to u rn en t les dém ons sm b d /nm b d est
visible d'un réseau MS au même titre qu'un
simple poste 95, la souplesse en plus. La
partie client de samba se montre tout aussi
attrayante, surtout lorsque l'on doit utiliser
un serveur d'impression Windows.
En bonne et due forme
L'installation de samba se révèle typique.
L
PrintTool Ipd Tests
Help
P rin ter Queues in /e tc /p rin tc a p
SMB - Canon BJ-lOe on \\luke\CANON
un noyau relativement récent, au moins
supérieur au 2 .0 .0 , des outils standards
d'impression et évidemment, une impri­
mante connectée sur le poste Windows
serveur.
Principes de l'impression
Avant d'aller plus loin, il faut bien com­
prendre le fonctionnement du processus
d'impression sous Linux. S'il est possible de
copier directement un fichier sur l'impri­
mante (/dev/lpO), il s'avère plus opportun
d'avoir recours à un spool d'impression,
fonctionnant en tâche de fond et capable
de tirer parti des spécificités d'une impri­
mante. Cette file d'impression fonctionne
sur le modèle du client/serveur avec un
client, Ipr, place les travaux d'impression
dans la file, et le serveur, Ipd, les prend en
charge. Normalement, le serveur Ipd est
chargé au démarrage du système et lit les
informations de configuration situées dans
le fichier /etc/printcap qui décrit toutes les
imprimantes connues par le système.
Lorsque Ipr est invoqué, il insère deux
fichiers dans le spool d'impression (généra­
lem ent /var/spool), l'un contenant une
co p ie des d o n nées à im p rim e r, et le
second com prenant une description du
travail à effectuer. Le serveur Ipd, averti de
la présence d'un nouveau travail, va utiliser
les informations contenues dans le fichier
/etc/printcap pour savoir comment traiter
le docum ent. La souplesse de ce fichier
permet de définir tous types de travaux
d'im pression, d'appliquer des prétraite­
ments, voire de ne pas imprimer du tout en
redirigeant la sortie vers un simple fichier.
Il y a donc moyen, et c'est précisément ce
que nous allons réaliser, de n'affecter l'im­
prim ante à aucun port physique, et de
manipuler un script shell qui fera office de
filtre d'impression. Celui-ci permettra d'in­
voquer un client samba afin de diriger l'im­
pression vers l'imprimante connectée sur le
poste Windows.
"VI" mon ami
Dans un premier temps, nous allons définir
l'imprimante dans le fichier /etc/printcap
exactement comme suit :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Edit
j
Add
M
>
m
Delete
; :
Names (namel |name2|...)
lP
Spool Directory
/var/spoo1/1p d /1p
File Limit ïn Kto (0 = no limit)
Hostname of FYinter Server
P ----------------------
(Tüke
IPnum berof Server (optiona!) 192.168*0*2
CANON
Printer Name
rr
User
Password
Input Filter
Select
♦auto* - CanoriBJlOe
# F i c h i e r / e t c / p r in t c a p
lp :\
: s d = / v a r / s p o o l/ I p d / l p : \
Suppress Headers
:mx#0 : \
OK
: sh : \
Cancel
: lp = / d e v / n u ll: \
: a f= / v a r / s p o o l/ Ip d / lp / a c c t
C'est laid, mais c'est graphique.
:\
A p p r o f o n d i r
r-LLLÉJi
PhntTool Ipd T e sts
Help
#
F ilt r e
P rin te r Queues in /e tc/p rin tce p
Samba
SMB - Canon BJ-lOe on WlukeNCPNON
#
d 'im p r e s s io n
/ v a r / s p o o l/ lp d / lp / fil-
te r
lo g f i l e = / v a r / lo g / s m b p r i n t . lo g
J
Edit
Detete
Windows, serveur d'impression... hérésie ?
: if = / v a r / s p o o l/ lp d / lp / f il-
s p o o l_ d ir = / v a r / s p o o l / Ip d / l p
te r:
c o n f i g _ f i l e = $ s p o o l _ d i r / .c o n f i g
# f i n du f i c h i e r / e t c / p r i n t c a p
e v a l 'c a t $ c o n f ig _ file N
La première ligne définit le nom de l'impri­
mante, ici, Ip, le nom par défaut. Ensuite,
viennent les différents paramètres. Les plus
importants sont sd (spool directory), qui
détermine le répertoire de la file d'impres­
sion, Ip (line printer), lequel spécifie le port
physique sur lequel est connecté l'impri­
mante - ici, aucun - et if (input filter), per­
mettant de préciser un filtre d'impression.
Tous les autres paramètres sont explicités
clairement dans les manpages de printcap.
Dans le cas présent, nous avons assigné
"Ip" au filtre "filter" que nous allons créer plus
bas dans le répertoire /var/spool/lpd/lp/. A
partir de ce point, on peut démarrer le
démon d'impression Ipd. Lorsque tout se
déroulera comme prévu, on pourra faire en
sorte que ce démon se lance à chaque
dém arrag e
en
l'a p p e la n t dep uis
/etc/rc.d/rc.local ou en plaçant son rac­
courci dans les répertoires de runlevel.
echo
"se rv e u r
$ s e r v ic e " »
$ se rv e r,
s e r v ic e
$ lo g f ile
(
# La
lig n e
" t r a n s la t e "
p e rm e t
la
c o r r e c t i o n de l ' e f f e t e s c a l i e r .
ech o t r a n s l a t e
ech o " p r i n t
cat
)
|
/ u s r / b in / s m b c lie n t
"\\\\$ se r-
menu "Print" font appel par défaut à la
commande lpr et définissent lp comme
l'imprimante standard. Donc, une fois la
configuration effectuée comme indiquée, il
n'y a plus à se soucier de l'imprimante ; il
reste juste à cliquer sur 'print1, en espérant
toutefois que le poste Windows serveur ne
soit pas planté.
Le form at PostScript
Si votre imprimante reconnaît le langage
Postscript de manière standard, passez
votre chemin ; ce chapitre s'adresse aux
g u e rrie rs et aux vétéran s qui ont su
prendre soin de leur vieille imprimante. Le
symptôme est très simple à identifier ; il
suffit de lancer une impression depuis
Netscape ou n'im porte quel outil gra­
phique réalisant une sortie imprimante. Si
le résultat est un langage incompréhen­
sible par le commun des mortels, ne pani­
quez pas, voici la marche à suivre.
Il est tout d'abord primordial de connaître
l'identifiant GhostScript de notre impriman­
te, car nous utiliserons ce visualiseur de
fichiers PS pour traduire nos impressions
sauvages. Pour ce faire, nous allons taper la
commande "gs -h" qui affichera tous les
types d'imprimantes supportées. Nous sup­
poserons pour la suite des événements que
notre im prim ante est une Canon quel­
conque et que notre filtre se nomme
"bjlOe". Ensuite, la démarche est simplissime : nous allons remplacer le simple "cat"
situé dans le fichier "filter", que nous avons
créé précédemment, par :
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Créons maintenant un fichier de configura­
tion sur la machine serveur, qui va définir
les paramètres indispensables à samba
pour se connecter sur la machine serveur :
#
F ic h ie r
de
c o n fig u r a t io n
" .c o n f ig "
#
S it u é
dans
le
r é p e r t o ir e
v e r \ \ $ s e r v ic e "
N -P »
$ p a ss w o rd -U $ u s e r -
$ lo g f ile
# V é r if ie z
1 ' e m p lacem en t
de
c lie n t " dans v o tre d is t r ib u t io n
# f i n du f i l t r e
"sm b!
d ' im p r e s s io n
Ce filtre, simple script shell, définit notam­
ment un fichier de log, le répertoire de
spool ainsi que le chemin d'accès au fichier
de configuration défini plus haut. Le gros
du travail est effectué par le client samba,
smbdient, invoqué en mode non interactif,
qui va se c o n n e c te r sur l'o rd in a te u r
Windows spécifié, et transférer le fichier
vers l'imprimante indiquée.
C'est tout ! Maintenant, si tout a été entré
c o rre c te m e n t, il su ffit de la n ce r une
impression par la commande :
/ v a r / sp o o 1 / I p d / lp
l p r fic h le r _ a _ im p r im e r
s e rv e r= L U K E
et celui-ci sortira sur l'imprimante connec­
tée à notre machine Windows. Un fichier
de log est créé lors de chaque impression
sous le nom de sm b -p rin t.lo g dans le
répertoire /var/log, qui permet d'identifier
très facilem ent les éventuels problèmes
e m p ê ch an t une im p ressio n c o rre c te .
N'hésitez pas à le consulter en cas de pro­
blème.
H eureusem ent, il n'est pas nécessaire
d'avoir recours systématiquement à la ligne
de commande pour pouvoir imprimer. En
effet, tous les outils graphiques incluant un
service= CA N O N
p a ssw o rd = ""
u s e r = IM IL
# F i n du f i c h i e r de c o n f ig u r a t io n
où "server" est le nom W indow s de la
machine serveur, "service" le nom affecté à
l'imprimante sur ce serveur et "user", notre
nom d'utilisateur Windows. Ecrivons main­
tenant le filtre à proprement parler :
# ! / b in / s h - x
/ u s r / b in / g s
-d S A FER -dNOPAUSE - q -
sD E V IC E = b jlO e - s O u t p u t F ile = -
Ceci traduira à la volée la sortie PS du fichier
envoyé en données brutes compréhensibles
et imprimables.
Unix, c'est vraim ent pas simple
Si cette démarche relève de l'exploit, d'in­
nombrables distributions fournissent des
interfaces graphiques de configuration d’im­
primantes distantes ; notons par exemple
l'outil printtool présent dans la distribution
RedHat, qui rend cette configuration autre­
ment plus intuitive (voir photo d'écran). En
effet, dans cet outil, la création des filtres et
de l'entrée im prim ante dans le fichier
/etc/printcap est réalisée automatiquement.
Il suffit ici de spécifier le nom du serveur
Windows, son ip et le nom de l'imprimante.
On sélectionne ensuite l'imprimante corres­
pondante en cliquant sur "Select" et le tour
est joué : c'est la magie du tout graphique.
A noter pour les utilisateurs de distributions
autres que RedHat, que printtool est tout à
fait exploitable pour eux aussi, à la condi­
tion de pouvoir installer des packages Rpm.
Emile HEITOR - [email protected]
Objet
Relations entre objets
Après sélection des candidats au titre d'objet; la véritable
conception peut commencer par la définition des relations entre
objets.
un" T W IN G O ,
ou l'in ve rse !
M ais C LIO "est
un" V O ITU R E :
nos objets sont
donc en quelque
sorte frères. Nous
avons par consé­
quent eu besoin
d 'in tro d u ire un
concept abstrait
(VOITURE), pour
relier deux objets
proches
mais
dotés du même
niveau d'abstrac­
tion (ici, ce que
l'on appelle des
objets concrets).
La n o ta tio n UM L asso cié e à n o tre
exemple se trouve représentée en figure
1. En guise d'exercice, ajoutez donc les
o b jets su ivan ts à n otre d iag ram m e :
V E H IC U L E , C A M IO N , M O T O , et
MOTEUR. Le principal intérêt de l'hérita­
ge ne vient pas forcément de l'absence
de réplication des fonctionnalités (même
si elle représente un avantage certain,
surtout lorsque l'on s'intéressera à l'implémentation). La possibilité de considé­
rer ind ifférem m ent C LIO ou TW IN G O
comme une VOITURE s'avère d’un inté­
rêt c a p it a l. Le te rm e g é n é ra le m e n t
employé pour définir cette propriété est
le polymorphisme. Ce mot quelque peu
A r i t é des r e la t io n s
Les
re la tio n s
d 'a g ré g a tio n
ou
d'association peuvent être agrémentées
d'informations concernant ia rité de ces
relations. Par exemple, une base peut
contenir plusieurs fiches ; on indique
donc iarité 0..* (ou 0..n ou *, toutes ces
notations sont autorisées) du côté de
l'objet contenu. La relation d'association
entre la base et la fiche "modèle'' est de
type 1:1 (un objet de chaque côté). Ces
informations donnent parfois un indice
im p o rta n t c o n c e rn a n t le rô le de la
liaison . Essayez donc de les indiquer
systém atiquem ent (même lorsque cela
paraît évident).
trom peur signifie sim p lem ent que les
collections de VOITURE peuvent se com­
poser d'objets proches mais différents,
par exemple des CLIO et des TW INGO.
Les langages orientés objets proposent
plusieurs solutions pour offrir cette fonc­
tionnalité, mais ils reposent tous sur la
notion d'héritage.
A g rég at ou a p p a rte n a n ce : "a un"
L'appartenance constitue une autre rela­
tion très fréquente. Si vous avez tenté
de réaliser notre petit exem ple "m éca­
nique", vous avez sûrement eu des diffi­
cultés pour caser l'ob jet M OTEUR. En
fait, la seule relation qui nous vient à
l'esprit est : VO ITURE "a un" MOTEUR
(C A M IO N et M O TO ég ale m en t, mais
pas fo rc é m e n t V E H IC U L E ). Bien sûr,
C L IO et T W IN G O d is p o s e n t to u te s
(ap rès fa b ric a tio n et avan t accid e n t)
d'un moteur, mais cela ne pose pas de
problèm e puisqu'ils héritent des fo nc­
tio n n a lit é s de V O IT U R E (d o n c du
MOTEUR). Notre exemple montre donc
sim ultaném ent l'intérêt de l'héritage et
de l'agrégation utilisés conjointem ent.
La figure 2 e xp licite la notation UML
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Relations d'héritage.
n objet (au sens de la classe, pas
de l'instance), tel que nous l'avons
défini le mois dernier, se doit d'of­
frir une caractéristique supplémentaire : la
simplicité. Il ne s'agit pas (encore) d'implémentation mais plutôt du rôle de l'ob­
jet. Les objets ne doivent pas "ratisser"
trop large. Cela semble contradictoire,
puisque nous tentons de modéliser des
problèmes com plexes à l'aide d'objets
simples. Un premier élém ent im portant
de la conception entre alors en jeu : les
relations statiques entre objets.
Héritage et spécialisation : "est un"
L'héritage, intuitivem ent, explique que
l'objet enfant hérite des caractéristiques
de son (ou ses) objet(s) parent(s). Mais le
terme de spécialisation convient m ieux
puisque l'objet enfant offre des fonction­
nalités qui lui sont propres. Ce type de
relation s'utilise de façon "aléatoire", mais
il est pourtant question de modéliser une
relation sémantique très simple : "est un".
Deux objets TWINGO et VOITURE pour­
raient par exem ple être reliés, puisque
TWINGO "est un" VOITURE. D'un point de
vue p ra tiq u e , l'h é rita g e nous aide à
regrouper des objets offrant certaines
sim ilitudes. Im aginez l'objet C LIO , qui
est très proche de TWINGO. On ne peut
pas u tilis e r l'h é rita g e d ire c te m e n t,
puisque l'on modéliserait alors CLIO "est
U
Programmation
m
<
g
ë
a s s o c ié e à l'a g r é g a t io n (lie n e n tre
M O TEU R et V O IT U R E ). La n o rm e d is ­
tingue à ce propos deux types d'agréga­
tion : forte et faib le (lo san g e plein ou
vide). Il s'agit essentiellem ent d'un point
de détail (on utilise la notation "faible"
avec le losange vid e par d é fau t), mais
qu'il s'avère possible de ra ffin e r. Pour
certains (ce n’est pas "standardisé"), une
agrégation forte correspond à des objets
dont la durée de vie se m ontre exacte­
m ent id e n tiq u e à celle de leu r c o n te ­
neur, c'est-à-dire que le co n te n e u r ne
peut "vivre" sans son contenu.
R e la tio n d 'a sso cia tio n
Héritage et agrégation ne représentent
quer ensuite pourquoi ils se voient liés.
Nous co n n aisso n s déjà d e u x typ es de
réponse à cette question : l'héritage et
l'ag rég atio n. M ais très souvent (en fait
in v a ria b le m e n t), le co up lag e entre les
objets liés se révèle nettem ent plus faible.
Il existe donc un autre type de lien qu'il
va fa llo ir e x p lic it e r . C o n s id é ro n s par
e xe m p le l'o b je t C O N S T R U C T E U R , qui
désigne le fabricant d'un véhicule. Il n'y a
in tu itive m e n t aucun lien d'h éritag e ou
d 'a g ré g a tio n e n tre ces d e u x o b je ts .
Pourtant, chaque véhicule dispose d 'in­
formations concernant son constructeur ;
il existe par conséquent un lien que l'on
pourrait étiqueter "a été construit par".
C es lien s so n t les plus im p o rta n ts au
stade initial de la conception. On cher­
chera bien e n te n d u à d é fin ir les c o u ­
objets. UML désigne ce type de schéma
sous l'appellation "diagramme de classe".
D iag ram m e de classes pour MiniDB
Pour l'instant, nous avons parlé d'objets et
de relations entre objets de façon intuitive.
Mais n'oubliez pas que nous voulons réali­
ser un prog ram m e bien co n cret, s'ap ­
puyant sur une conception objet "propre".
Nous allons donc commencer par définir
une ébauche du diagram m e de classes
pour M iniDB. Nous allons nous limiter à
nos p rin c ip a u x o b jets, "découverts" le
m ois d e rn ie r : B A S E, F IC H E , C H A M P,
A TTR IB U T, TYPE et VA LEU R. Il est clair
qu'une base de donnée contient des fiches
(agrégation). De la même manière, une
fiche comprend des champs, eux-mêmes
c o m p o sé s de trip le ts (A ttrib u t, T yp e ,
Valeur). Il se présente différents types de
champs (chaîne, nombre, date, comman­
de, etc.). La classe ATTRIBUT permettra de
les réunir au sein d'une hiérarchie. Le type
C H A IN E C A C H EE (m o t de passe) serait
susceptible d'hériter idéalement du type
CHAINE (car une chaîne cachée reste une
chaîne). Notre analyse du problème indi­
q u ait qu'une fich e de base d evait être
conservée (union de toutes les Fiches). On
pourrait simplement le figurer en utilisant
une association simple vers la classe FICHE
(la fiche de référence se trouve également
sto ckée dans la base) depuis la classe
BASE. On obtient alors le diagramme de
classe de la figure 4. Notez que nous nous
situons encore bien loin du résultat final.
Nous n'avons pas, par exemple, abordé le
problèm e de la m odification des objets
(b ases, fic h e s, c h a m p s). Nous verrons
donc le mois prochain que ce problème
particulier est en fait de caractère dyna­
mique ; s'imposera également la nécessité
de créer d’autres objets "utilitaires", qui
modifieront notre diagramme statique de
classe.
Fred Pesch
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pourtant pas des liens faciles à étab lir.
Une étape prélim inaire consiste à tenter
de relier les objets entre eux et d'expli­
plages les plus
fo rts possib les,
m ais les d é v e ­
lo p p e u rs C++
ou java oublient
bien tro p so u ­
Base
Fiche m odèle
v e n t de s 'in té ­
resser aux asso­
ciations simples
(ce qui n'est pas
le cas des déve­
loppeurs Smalltalk). L'exem ple
Cham ps
^A ttrib u t : String
V aleur
Chaine
Entier
Date
Com m ande
Chaine cachée
Ebauche de diagram m e de classe pour MiniDB.
le plus flag ran t
c o n c e rn e
les
n av ig a te u rs de
classes (C++ ou
java) ; la plupart
d 'e n tre e u x ne
considèrent que
l'h é r ita g e . La
figure 3 synthé­
tise to u te s les
relatio n s m ises
en jeu par nos
D ia g ra m m e s d 'o b jet
et d ia g ra m m e s
de c o l l a b o r a t i o n
Le diagramme de classe dispose d'un équi­
valent du côté des instances de classe : le
diagramme d'objet. Ces diagrammes per­
mettent de préciser les relations d'associa­
tion (mais pas d'appartenance ou d'hérita­
ge) entre les objets, au travers des opéra­
tions définies pour ceux-ci. Un diagramme
plus intéressant, celui de collaboration,
introduit le concept de message que nous
étudierons le mois prochain, du fait de son
caractère dynamique.
Perl
Lecture des paramètres
d'un CGI
Ce mois-ci, nous allons étudier un autre exemple concret,
à savoir une sous-routine très utile pour tous les CGI, qui nous
permettra de progresser encore dans notre exploration
du langage Perl.
situe entre deux accolades. Pour appeler
une sous-fonction depuis une autre partie
du programme, on utilise le caractère
Exemple :
& m a _ fo n c tio n ;
Le passage de paramètres à une sous-foncd'autres langages, nous pouvons aussi en
Perl définir des sous-fonctions. Celles-ci se
résument à des bouts de programme que
l'on a décidé d'isoler, soit parce qu'il s'agit
d'une procédure que l'on souhaitera ap­
e listing que vous pouvez vo ir en
encadré est une sous-fonction, qui
donne la possibilité de relire les don­
nées saisies dans un form ulaire HTM L. Il
vous suffit de l'appeler en début de pro­
gramme et ensuite libre à vous d'utiliser
L
ces données com m e vous le souhaitez.
Vous pourrez les afficher, les stocker dans
un fichier, rediriger l'internaute sur une
autre page, etc.
Les sous-fonctions en Perl
T o u t co m m e en C , en Pascal et bien
peler plusieurs fois au cours d'un même
program m e, soit pour aérer et alléger la
fonction principale, soit les deux. On défi­
nit une sous-fonction en Perl grâce à la
d irective "su b " suivie d 'u n e chaîne de
caractères non-réservée (le nom de la sousfonction). Ensuite, le bloc d'instructions se
tion est assez particulier en Perl. Le nombre
de paramètres et leur nature n'apparais­
sent pas dans l'en-tête de la fonction, mais
au début du bloc d'instructio ns qu'elle
contient, grâce à la variable interne "
".
De même, si une sous-fonction doit ren­
voyer une valeur en sortie, elle utilisera
cette variable. Voici un exemple :
# A p p e l d a n s l e program m e p r i n c i p a l
$ to ta l
=
& a d d it io n ( $ v a l e u r l ,
$v a l e u r 2 ) ;
# D é f in it io n de l a
s o u s - f o n c t io n
s u b m a _ f o n c t io n {
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Eichier
<£
Édition
Q
Affichage
O
ife
Signets
(S
Çache
Options
Aide
?
lo c a l
($ a r g l,
$ a rg 2 )
= @_;
|htlp/Avwv/altavista digrtaJ coirVcgi- bin/query^pg-q&ld-XX&q-%2Bper1*%2Bcgi
lo c a l
$add
[AltaVista’
S«arch
any language ' |
Search
| péri cgi
J
=
$ a rg l
+
$ a rg 2 ;
S*a*ca Za®« Secrets Heu
Web f .r
($ a d d );
$add;
}
Refine
I
fatà the catrftfo lAJuta? wci
Tip: Try wfcng a question, e g w
Les v a ria b les locales
La fo n c tio n in te rn e
"local" permet de définir
ÇSçfcHa*;
1,7tM39m
a
tch
e
sw
e
refotnd
Cfcfc afcove for the nwlIMw»!»ml tw easy web address for company and product rames
PM.:
on>nK
mm
Fte mrssng (agari) Mafcefite in mod_perl-0 83 06 tar gz Doug MacEacbem
(dougm&OSF ORG)Thu, 17 Oet 1996 23:43:12 -0400 Messages sortedby (date H .
w-Hr-ee - dw si» 2K - ■*0*dM*l23EJSÎJ
2. ■rtjg l V'fc»» Pe | —frreq—4
Ré: fnodperf] mod_per1-0 80 Doug MacEachem (dougm^osf org) Sun, 8 Sep 1996
17:1924 -0400 (EDT) Messages sorted by (date ((thread ((subtect ](..
LwtaodHM so-Mr-ee - mw «m ex - n e n # * r ^aann
«MOCrMOOKMM
MacPerl] Passing a Perl Scator to an Applescript Shawn Pearce (spearce^Nersey com)
Tue, 31 Oct 1995 2022:32*1100 Messages sorted by [ datte )(
U
dnodH
M
a-w
t-ee-m
a
»ri»a
n-inen**t
..* 1
Personatver2e»ctin«s Fachnchturg Phys* Institut for Phys* Domstr 10a, TetefonvorwaW:
(♦49>-(0)3834 Fax 86-4701 e-mail
ustnodMD-an-ee-p*9tsie«4K-inO
—
Prev](Next](»sdex][Thread] Perl and HTML To: www-html#wwwl0 w3 org Sobiect: Perl
and HTML. From Srrvastava Nandn <randrii0 henraJtd erneti >..
U
»
t»
o
<
M
*d2 0 -M
H
'-s
e-m
a»*»îr -inl
httpd A apache-httpd not found Doug MacEachern
Jul1997/0072 html
______
le
mC
om
pingI
Mod-Perl —
I http7/outside
com/mail- arc hiv
Les scripts CCI sont couramm ent utilisés.
des v a ria b le s lo ca le s,
c 'e s t-à -d ire que leur
d u ré e de v ie et leu r
champ d'action se trou­
v e n t lim ité s à la sousfo n ctio n dans laq uelle
elles so nt d é fin ie s. De
cette faço n , si une v a ­
ria b le du p ro g ra m m e
p rin cip a l porte déjà le
m êm e nom , il n 'y aura
aucune am biguïté pour
l'interpréteur Perl.
La d e rn iè re lig n e de
l'e x e m p le p ré c é d e n t
équivaut à
= $add
L 'a ffe c ta tio n du
co nten u de la variab le
" S a d d " à la v a ria b le
interne
se fait par
défaut.
N otre sous-fonction en
encadré n'utilise pas de paramètres, ni en
entrée ni en sortie, mais il était bon de voir
de quelle manière s'opérait la démarche.
Le passag e d 'a rg u m e n ts en CGI
Il y a deux méthodes pour un serveur HTTP
de passer des arguments à un script CGI :
"GET" et "PO ST". Ce choix s'effectue par
l'intermédiaire du paramètre "M ETH O D "
de la balise HTM L "FO R M ". La première
ajoute les arguments dans l'URL d'appel du
C G I, dans l'en-tête même de la requête
HTTP, en intercalant un point d'interroga­
tion "?" entre le nom du CGI et les para­
mètres en question. La seconde transmet
les arguments dans le corps de l'en-tête
HTTP. Dans les deux cas, les argum ents
sont codés au préalable par le navigateur,
de manière à transmettre correctement les
espaces et les caractères spéciaux (il s'agit
des règles établies dans le protocole CG I).
Cela va influer sur la manière de récupérer
les argum ents, mais notre sous-fonction
peut traiter ces deux méthodes indifférem­
ment (lignes 3 et 6).
Listing
# !/ u s r : lo c a l/ b in / p e r l
# b a s e p o u r u n C G I - l e c t u r e d e s a rg u m e n ts
### p rogram m e p r i n c i p a l
& P a rs e F o rm ;
p r i n t STDOUT " C o n t e n t - t y p e : t e x t / p l a i n \ n \ n " ;
p r in t
### s o u s - f o n c t i o n s
#######################################
# P a rs e F o r m
#
1 . s u b P a rs e F o r m
2.
lo c a l
3.
if
{
( © p a ir e s ,
$ p a ir e ,
© p a ir e s = s p l i t ( / & / ,
e ls if
a rg u m e n t I = v a le u r l& a r g u m e n t 2 = v a le u r 2
7.
&.
8.
5.
$ b u ffe r,
( $EN V{ 1REQUEST_M ETHOD' }
4.
Les arguments tels qu'ils sont lus par un
CGI se présentent de la manière suivante :
. .
"* o k \n ";
$nom, $v a l e u r ) ;
e q 'G E T ' )
{
$ E N V {' Q U E R Y _S T R IN G ' } ) ;
}
( $EN V{ ' REQUEST_M ETHOD' }
r e a d ( S T D IN ,
e q 'P O S T ')
{
$ b u f f e r , $ E N V {' CON TEN T_LEN GTH' } ) ;
© p a ir e s = s p l i t ( / & / ,
$ b u ffe r);
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9.
Dans un premier temps, il faut donc sépa­
rer les différents arguments reçus (lignes 4
et 8). La fonction "split" s'avère très pra­
tique pour ce genre de manipulations : elle
permet de découper une chaîne de carac­
tères en plusieurs mots, en fonction du déli­
miteur de champ qu'on lui fournit en pre­
mier paramètre. Nous avons donc mainte­
nant le tableau "@paires" qui contient nos
différents couples "argument=valeur". Les
noms des argum ents reproduisent ceux
que vous avez choisis grâce au paramètre
"NAME" des différents éléments de formu­
laire de votre page HTML. Les valeurs sont
ou bien les données saisies par l'internaute
(pour des champs de type "text" ou "textarea"par exemple), ou bien des valeurs que
vous avez prédéfinies (pour les champs de
type "radio" ou "checkbox" par exemple).
Dans un deuxième temps (lignes 13 à 25),
on va découper ces chaînes, les décoder et
sto cke r les v a le u rs a in si lues d ans un
tableau de hachage (nous avions vu ce type
de structure dans le numéro 51 de Dream).
On fait à nouveau appel à la fonction inter­
ne "split", afin de séparer le nom de l'argu­
m ent d'un côté ($ no m ) et sa valeur de
l'autre (îvaleur).
Ensuite, les lignes 15 à 18 utilisent des fonc­
tions de recherche et de rem placem ent
dans des chaînes (fonctions empruntées au
sed) pour retransformer les "+" en "espa­
ce" et les codes hexadécimaux des carac­
}
10.
e ls e
11.
{
d ie
" U t ilis e z
12.
}
13.
fo re a c h $ p a ir e
l a m é th o d e 'G E T ' ou 'P O S T '
( © p a ir e s )
$ v a le u r )
!" ;
{
14.
($nom ,
15.
$nom =~ t r / + /
/;
16.
$n o m
s/% ( [a-fA -FO -9] [a-fA -FO -9] ) /p a c k ( "C ",
=~
= s p l i t (/= /,
$ p a ir ) ;
h e x ( $ l ) ) /eg;
17.
$ v a l e u r =~ t r / + /
18.
$ v a le u r
=-
/;
s/% ( [a-fA -FO -9] [a-fA -FO -9] ) /p a ck ( "C ",
h e x ( $ l ) ) /eg;
19.
if
($FO RM {$nom ) )
20.
$FORM{$nom>
21 .
}
22.
e ls e
23.
.= " # $ v a l e u r " ;
{
$FORM{$nom} = $v a l e u r ;
24.
}
25.
26.
{
}
}
tères spéciaux en leurs valeurs ascii.
Pour finir, les lignes 19 à 24 vérifient qu'un
a rg u m e n t avec ce nom -là e xiste d éjà,
auquel cas la nouvelle valeur est concaténée avec la valeur existante ; dans le cas
contraire, on crée une nouvelle entrée dans
notre tableau de hachage, avec comme clé
le nom de l'argument.
Une fois cette sous-fonction exécutée, vous
p o urrez par la suite u tilise r la varia b le
" % FO RM " afin de relire tous les argu­
ments qui ont été transmis à votre CGI. Par
exem ple, si vous aviez dans votre page
HTML une entrée de la forme :
< IN P U T
TYPE= " t e x t "
N A M E= "n o m "
S IZ E = " 3 0 " >
vous pourrez récupérer la valeur entrée par
l'internaute grâce à la ligne suivante :
$nom = $FORM{ 'n o m '} ;
Vincent Oneto
<[email protected]»
Les tableaux
Au travers des paramètres de la ligne de commande
et des tableaux, nous allons ce mois-ci réaliser un petit
programme qui indique le nombre le plus élevé, parmi ceux
fournis en paramètres.
c h a in e [ 2 ]
n' ;
c h a i n e [3 ]
u' ;
c h a in e [ 4 ]
x 'j
\0
c h a i n e [5 ]
La q u atrièm e d im ension
Que se passe-t-il si chaque élément d'un
tableau est un autre tableau ? On obtient
tout simplement un tableau à deux dimen­
sions (cf. figure 2), que l'on peut déclarer de
la manière suivante :
in t tab[10][5];
drea>:~# cat plusgrand.c
finclude <stdio.h>
fincluda <stdlib.h>
int «ain (int argc. char “argvCD f
double plusgrand:
int i:
if (argc < 3) i
printf (“Pas assez de para«ètres\n") :
return -1:
>
plusgrand = atof (argvCll):
for (i = 2: i < argc: !♦♦) {
if (atof (argvCil) > atof (argvCi-1]))
plusgrand - atof (argvCll):
>
printf (“Le plus grand est Xf\n~. plusgrand).
return 0:
drea«:~# gcc -o plusgrand plusgrand.c
drea«:~# ./plusgrand 1 23 45.12 45.13 68 rien 34.3
Le plus grand est 74.456460
drea«:~# []
c o n te n ir d ix e n tie rs .
Com m e on le rem arque
aisém ent, la syntaxe est
identiqu e à celle d 'u ne
d é cla ra tio n c lassiq u e à
cela près que l'on indique,
outre le type de données
des éléments, la taille du
tableau (ou plus exacte­
m ent le n om b re m a x i­
mum d'élém ents). Il est
envisageable de ne pas
spécifier de taille lors de la
déclaration, mais comme
nous ne pouvons accéder
au monde merveilleux des
3.1415927 74.45646
pointeurs, nous devrons
nous borner à ce genre de
déclarations pour le moment. Une fois défi­
ni, le tableau doit être rempli. Cela s'effec­
tue le plus sim plem ent du m onde de la
manière suivante, en notant que le premier
élément du tableau est numéroté 0 :
Ce tableau contient dix tableaux de cinq
entiers chacun. Ce principe s'avère généralisable à n dimensions mais n'est plus repré­
sentable simplement à partir de n = 4.
P aram ètres de la ligne
de com m ande
Nous avons déjà vu que la fonction main
acceptait des arguments particuliers. Ceuxci permettent de récupérer les paramètres
passés au programme via la ligne de com­
mande.
# in c lu d e < s t d io .h >
i n t m a in
(i n t a r g c , c h a r *a rg v [ ] )
{
p r in t f
( " H e llo W o rld ! \ n " ) ;
re tu rn 0;
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
n tableau est un ensem ble d'élé­
ments indexés. La notion de tableau
se tro uve intrinsèq u em ent liée à
celle de pointeur, mais nous prendrons soin
d'étudier tout cela en profondeur plus tard.
L'ensemble des nombres entiers naturels
composé de 1, 2, et 3 est identique à l'en­
semble composé de 3, 2, et 1. En revanche,
dans un tableau, l'ordre importe ; ainsi le
tableau à deux éléments dont le premier est
l'entier 1 et le second 2 n'équivaut nulle­
U
ment à un tableau à deux éléments dont le
premier élément est 2 et le second 1. Un
tableau se caractérise par le nombre d'élé­
ments qu'il contient et le type de ces élé­
ments. On notera au passage qu'un tableau
ne peut contenir qu'un seul type de don­
nées (sauf unions, mais c'est une autre his­
toire). La déclaration suivante réserve la
m ém oire n éce ssaire pour c o n te n ir un
tableau de dix entiers courts :
sh o rt in t t a b [ 1 0 ] ;
t a b l e a u [0 ] = 1 ;
t a b l e a u [1 ] = 2 ;
t a b l e a u [2 ] = 3 ;
Bien sûr, le compilateur ne manquera pas
de vous rappeler à l’ordre si vous avez la
prétention de mettre un nombre à virgule
dans un tableau de caractères. A ce propos,
on notera qu'une chaîne de caractères cor­
respond en fait à un tableau de caractères.
La représentation interne d'une telle chaîne
est un tableau de char dont la taille est
supérieure de 1 au nombre de caractères.
Cela s'explique par le fait que le caractère
nul '\0 ' m arq uant le bout de la chaîne
s'ajoute à la fin du tableau,
c h a r c h a in e [ 6 ] ;
c h a i n e [0 ] = ' L ' ;
Le tableau se nomme tab et a la capacité de
c h a i n e [1 ] = ' i ' ;
}
Ce petit programme montre que les argu­
ments de la fonction main sont au nombre
de deux : argc est un entier positif conte­
nant le nombre de paramètres passés au
program m e (le nom du program me luimême est considéré comme un paramètre)
et argv est un tableau de chaînes de carac­
tères (d o n c un ta b le a u c o n te n an t des
tableaux de caractères). Ne tenez absolu­
ment pas compte de la déclaration barbare
de argv (nous y reviendrons plus tard), mais
considérez sim plem ent qu'il contient les
arguments de la ligne de commande, sous
forme de chaînes de caractères. Voyons ce
que cela donne pour un programme toto,
appelé avec les paramètres foo et bar de la
manière suivante :
t o t o fo o b a r
A l'intérieur du programme, les arguments
peuvent être récupérés par argv[1] pour
"foo" et par argv[2] pour "bar", argc vaut
donc 3 et argv[0] contient le nom du pro-
ls
- 1
« r ç jv lO J
a rç jv [l]
/u s r
/v a r
a r ç jv [2 ]
a rç jv [3 ]
Les param ètres de la ligne de commande sont
autom atiquem ent stockés dans argv.
gramme, en l'occurrence "toto".
Qui est le plus grand ?
Voici donc une version simple (une version récursive aurait été plus amu­
sante...) de notre programme visant à déterminer le plus grand de plu­
sieurs nombres.
# in c lu d e < s td io .h >
# in c lu d e < s t d lib .h >
25 LINUX REDHAT
A GAGNER !
i n t m a in ( i n t a r g c , c h a r * a r g v [ ] ) {
d o u b le p lu s g r a n d ;
in t i ;
if
(a r g c < 3)
p r in t f
{
(" P a s a s s e z de p a r a m è t r e s \ n " ) ;
Les Logiciels du Soleil et Dream offrent
aux 25 prem ières demandes une Linux
RedHat 5.1 Edition française
re tu m -1 ;
}
p lu s g r a n d = a t o f
f o r ( i = 2 ; i < a r g c ; i+ + )
if
(a to f ( a r g v [ i] )
p lu s g r a n d = a t o f
p r in t f
Nombreuses caractéristiques nou­
velles :
(arg v[l]);
{
> a to f
(argv[i-l]))
(arg v[ij);
( " L e p lu s g ra n d e s t % f \ n " , p lu s g r a n d ) ;
re tu m 0;
}
La première chose à faire consiste à vérifier que l'utilisateur a bien fourni
deux arguments au programme, c'est-à-dire que argc vaut 3 au minimum,
puisqu'il y a le nom du programme à prendre en compte. Ensuite, l'algorith­
me se révèle très simple : on suppose que le premier argument constitue le
nombre le plus grand, puis on teste chacun des autres pour vérifier. Si l'un
d'eux s'avère être plus grand, alors tous les autres se verront désormais com­
parés à celui-ci. Et tout cela s'effectue tant que tous les arguments n'ont pas
été passés en revue. Par ailleurs, on découvre la structure de boucle for. Une
boucle permet d'effectuer une
opération plusieurs fois, tant
qu'une condition se trouve véri­
fiée. Il existe plusieurs boucles en C
et toutes les situations peuvent
être envisagées en utilisant chacu­
ne de ces boucles. Cependant,
certaines se montrent plus adap­
tées que d'autres à certaines situa­
tions. On utilise couramment la
boucle for, lorsque l'on incrémente une variable à chaque passage
Figure 2 : un tableau de tableaux.
de la boucle, simulant ainsi le fonc­
tionnement de la boucle for du Pascal ou du Basic. On notera que dans une
boucle (for, etc.) ou lors d'un test (if, etc.), il convient d'utiliser des accolades
s'il y a plus d'une instruction à exécuter. Attention, le délimiteur d'instruc­
tions en C n'est PAS le saut de ligne ou le retour chariot, mais le point-virgu­
le. En conséquence, plusieurs instructions peuvent parfaitement prendre
place sur la même ligne tout comme il y a moyen d'étendre une seule ins­
truction sur plusieurs lignes. On ne met pas de point-virgule après la clause
conditionnelle dans un if ou une boucle for. Le tableau argv contient des
chaînes de caractères, mais comme nous voulons comparer des valeurs
numériques, nous devons travailler sur des nombres. La fonction atof inter­
vient à ce moment-là, car elle renvoie un nombre de type double lorsqu'on
lui fournit une chaîne de caractères. Ainsi, la chaîne "3.14" deviendra le
nombre 3.140000. Si la chaîne ne représente pas un nombre, alors atof ren­
voie 0.000000. Le programme "plugrand" évoqué ci-dessus renverra donc
3.000000, si on l'utilise de la manière suivante :
- choix du langage pendant la phase
d'installation
- possibilité de revenir en arrière
pendant l'installation
- vrai com pilateur Fortran77
- Afterstep a été intégré dans
Anotherlevel
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t a b 1 e
a u a \0 t
s \o 1
\o
\o
\o
p lu s g ra n d 1 2 tr e s g r a n d 3 r i e n p e t i t 2 . 7 1
Notons que les prototypes des fonctions printf et atof sont contenus dans
les fichiers d'en-tête stdio.h et stdlib.h.
Guillaume Girard
- intégration de linuxconf au proces­
sus de configuration...
Pour avoir une chance d'obtenir une
version de Linux Redhat 5.1, renvoyez
sur carte postale vos coordonnées à
l'adresse suivante : Dream/Cadeau
RedHat, 16, rue de la Fontaine au Roi,
75011 Paris.
Les gagnants recevront directem ent
leur exem plaire de Linux Redhat
d irectem ent par la poste.
Java
In itia tio n aux )ava-Beans
Nous allons entamer aujourd'hui l'exploration des Java-Beans.
Un exemple valant mieux qu'un long discours, nous vous
proposons donc de commencer par un petit TP pour voir de
quoi il retourne.
-is[HoÜ^trr^Twtpa^e forM
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ppütâsa
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Sep Z I.
8:53AM
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t/m
yA
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tm
l
A
p
p
le
ts
ta
rte
d
Test fo r MyApplet as an APPLET
This is an example of the use of the generated MyApplet applet Notice the
Applet tag requires several archives, one per JA R used in building the Applet
1Start j |Stop | | Reset
L'applet est créée automatiquem ent.
re p ré se n te v o tre e sp ace de
travail : pour l'instant, il est vide.
La fenêtre Toolbox contient l'en­
sem ble des Beans disponibles ;
enfin, la fenêtre Properties permet
de paramétrer à tout moment le
Bean actuellem en t sélectionné.
Nous allons avoir besoin de deux
Beans supplém entaires par rap­
port à ceux fournis en standard.
Pour les charger, ouvrez le menu
File, sélectionnez Load Jar et choi­
sissez le fichier DemoBeans.jar se
trouvant dans le répertoire Java
sur le CD du m ois. Vous verrez
deux nouveaux Beans apparaître
dans la T o o lb o x : Com pteur et
Horloge.
P re m iè re
a p p lic a t io n
bouton, donnez-lui les couleurs et la police
que vous voulez, puis tapez "Start" dans le
champ "label" (il s'agit du libellé du bou­
ton). De même, le second bouton s'appel­
lera "Stop" et le troisièm e "Reset". A ce
stade, nous avons tout simplement élaboré
l'interface graphique de notre programme,
et ce, sans éditer aucune ligne de code !
Vous pouvez encore la peaufiner en dépla­
çant ou redim ensionnant ces quatre élé­
ments. La figure 1 vous donne un exemple
de ce à quoi votre écran devrait ressem­
bler. Il marche !
Nous avons donc l'interface du chrono­
m ètre ; encore faut-il à présent le faire
fonctionner. Le principe consiste à connec­
te r les B eans e n tre e u x . C liq u e z par
exemple sur le bouton "Reset" et allez dans
le m enu E d it. Vous devez sé lectio nn er
l'événem ent auquel le program m e doit
réagir. Dans notre cas, il se résume à un
sim p le c lic sur un b o u to n , à sa v o ir
"actionPerformed" du sous-menu "button
push". Il faut à présent définir ce qui doit
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F il*
E«t
View
infoBus
OrangaBuflon
OwBoQon
‘ Ih I ExpireItButOfl
*
u n ie s - Compteur
Nous allons construi­
re un p e tit c h ro n o ­
mètre digital en utili­
arriver lorsque cet événement se produit :
BeanBox sym bolise cela en traçant une
ligne rouge entre le Bean en question et le
curseur. Le but est de remettre le comp­
teur à zéro : cliquez donc sur le compteur
pour établir la connexion. Une boîte de
EventMonitor
san t tro is typ es de
Beans : des boutons
TICkToefc
pour co m m ander le
vo»r
chronomètre,
un Bean
QuoteMonitor
JOBC
capable
d'afficher
des
SorterSean
14 Bi'dgeTester
heures, des minutes et
des secondes ( Comp­
teur) et l'horloge qui
(Tenwnai) ® (We/tiom
(kvt<2>)
» ToolBox H « BeanBox.
ém et rég u lière m e n t
«JI
des "tics". Cliquez sur
» âl c
&
"C o m p teu r" dans la
Une application en quelques clics de souris...
Toolbox : le pointeur
our cette démonstration, nous allons
se transforme en croix pour indiquer qu'un
u tiliser le logiciel BeanBox, inclus
Bean est s é le c tio n n é . C liq u e z dans la
dans le Bean D evelopm ent Kit de
fenêtre principale pour y déposer le comp­
Sun. Vous pouvez le télécharger gratuite­
teur. De la même manière, placez-y trois
exemplaires de ExplicitButton. A présent, il
m ent depuis h ttp ://w w w .ja v a .su n .co m ,
s'agit de faire ressembler cela à un chrono­
mais nous ne pouvons malheureusement
mètre. Sélectionnez à nouveau le com p­
pas le fo u rn ir sur le C D . Ecrit en ja v a ,
teur dans la fenêtre principale et utilisez la
BeanBox est utilisable sur tout système qui
fenêtre Properties pour lui donner une
dispose de Java version 7.7 ou supérieure.
Une fois le logiciel lancé (des scripts de lan­
apparence qui vous convienne (police de
cem ent se tro uven t fo urn is pour U n ix,
caractères, couleurs...).
Les trois boutons que nous avons placés
Windows et OS/2. Sur un autre système,
appuyez-vous sur l'un de ces deux scripts
sur l'espace de travail auront pour fonction
respective de lancer, arrêter et remettre le
pour voir ce qu'il faut faire), vous pouvez
chronomètre à zéro. Cliquez sur le premier
voir trois fenêtres. La fenêtre principale
JW yBiar
Chanqefteportee
select
P
dialogue apparaît (cf. figure 2), vous invi­
tant à choisir la méthode à appeler lors de
l'événem ent ; sélectionnez "reset". Pour
vérifier que tout se déroule normalement,
on peut cliquer sur le compteur, saisir n'im­
porte quoi dans le champ "text", puis cli­
quer sur "Reset" : le compteur doit à nou­
veau afficher "0 :0 :0 ". Enfin, pour que le
chronomètre marche vraiment, il nous faut
utiliser le bean Horloge qui émet un événe­
ment toutes les secondes. Placez une hor­
loge sur l'espace de travail (l'emplacement
im p o rte p e u ) et a c c é d e z au m enu
Ed it/E ve n ts pour relier son événem ent
"p ro p e rty C h a n g e " (c 'e s t l'é v é n e m e n t
engendré toutes les secondes) à la métho­
de incrémenterSecondes du compteur. Il
Erratum
Pour des raisons techniques indépendantes
de notre volonté, il nous a été impossible
d'inclure sur le CD les ressources utilisées
pour cette rubrique. Vous les retrouverez
bien évidemment sur le CD du mois pro­
chain, avec toutes nos excuses.
Le J a v a A r c h i v e r
L'utilitaire "jar" fourni avec le JDK est cal­
qué sur le "tar" d'Unix. On l'utilise pour
rassembler les divers *.class dont se com­
pose une application en un même fichier;
par exemple :
jar
cvf
*.class
MonApplication.jar
De même, on peut décompresser un .jar en
tapant :
jar xvf MonApplication.jar.
jar possède une option supplémentaire : il
permet d'associer à une archive un fichier
"Manifeste" qui en documente le contenu.
On l'utilise surtout pour la création des
Beans. Par exemple, la création de l'archive
M o n B e a n .ja r avec
le m anifeste
MonBean.mft se fait par :
jar cvmf MonBean.jar MonBean.mft
*.class
ne reste plus qu'à relier les deux boutons
Start et Stop aux méthodes start et stop de
l'horloge et l'on obtient alors un chrono­
mètre totalement fonctionnel ! Si le résul­
tat vous plaît, vous pouvez réduire la taille
de la fenêtre de travail pour supprim er
toute la surface inutilisée, puis sélectionner
"M ake ap p let" dans le m enu "File" :
BeanBox exportera notre application sous
forme d'applet et créera même automati­
quement un fichier HTML permettant de
lancer notre applet dans un browser (figu­
re 3) ! Et ron a fait tout cela sans avoir
recours à la programmation...
C ré a tio n des B eans
On va donc m aintenant s'intéresser à la
façon de créer nos propres Beans, que
d'autres pourront alors utiliser. Comme on
est en Java, un Bean ne représente rien
d'autre qu'une classe. Par exemple, regar­
dons le bean Compteur :
import java.awt.*;
public class Compteur extends Label
{
private int heures, minutes,
secondes;
private void change() {
setText(heures*":"+minutes+":"+seco
ndes);
Pour ceux à qui taper une ligne de com­
mande donne de l'urticaire, signalons l'exis­
tence de l'utilitaire Moajar (disponible sur
http://www. opengroup. org/RI,/DMO/moa­
jar/index, htm l), qui fait exactement la
même chose que jar, l'interface graphique
en plus.
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
}
(v o ir e n c a d ré ), en sp é cifia n t dans le
Manifeste qu'il s'agit d'un Java Bean. Il faut
pour cela créer le fichier Compteur.mft sui­
vant :
public Compteur() {
reset();
}
public void reset() {
heures=minutes=secondes=0;
change();
Name: Compteur.class
Java-Bean: True
}
public void incrementerSecondes() {
secondes**;
if(secondes==60) {
secondes=0;
minutes++;
}
— jdialog
if(m in u te s = = 6 0 )
{
m in u te s = 0 ;
P le a s e c h o se a ta rg e t method:
h e u r e s ++;
}
1notify
notify Ail
change( ) ;
}
}
rem oveNotify
repairit
re q u e stF o cu s
isho w
tran sfe rFo cu s
C ancel
OK
Sélection de la méthode à appeler.
Le m ois p ro ch ain , nous
co m m e n tero n s plus en
d é tails le co m p te u r et
expliquerons pourquoi il
s'agit bien d'un Bean. Une
fois cette classe saisie dans
un fichier Compteur.java,
on la com pile par javac
C o m p te u r.ja va , puis on
doit créer un fich ier .jar
On crée alors le .jar en tapant :
jar cvfm Compteur.jar Compteur.mft
Compteur.class.
Dès lors, on peut charger Com pteur.jar
pour l'utiliser dans BeanBox (ou tout autre
logiciel utilisant des Beans) ! Ceux qui se
sont essayé aux horreurs des technologies
co m p arab les sous d 'au tres systèm es
(ActiveX, OpenDoc, X Toolkit, etc.) appré­
cieront la simplicité et l'élégance des Java
Beans.
Effectivement, programmer et utiliser des
beans n'est pas plus compliqué que cela !
Bien sûr, il y a des choses à savoir et à
gérer dès que l'on s'attaque à des beans un
peu plus sophistiqués, mais il s'agira tou­
jours d'une application directe du langage
java et jamais de librairies, ni d'appels sys­
tème impossibles à retenir (ou même à
comprendre).
Jakub Zimmerman
■armiiiiiirnrin»
|
B I it z Basic
r«5#r
|
\
In itia tio n au B litz B asic
ie partie
Le Blitz Basic constitue un langage pour Amiga à la portée de tous. Bien plus simple que le C ou
l'assembleur, il permet de développer rapidement des applications de grande envergure.
'intérêt de programmer sur Amiga en
Blitz Basic est triple. En tout premier
lieu, il s'agit d'un Basic, ce langage
ancestral qui a démocratisé la programma­
tion auprès du grand public. Son appren­
tissage se révèle donc aisé et l'écriture de
logiciels n'en est que plus rap id e. En
second lieu, le Blitz Basic offre toutes les
fonctions nécessaires à l'intégration d'une
application dans le système d'exploitation.
Ce qui implique deux choses : nos pro­
grammes ne vont pas déparer le reste de
nos outils Workbench et ils resteront com­
patibles avec n'importe quelle machine,
quel que soit son hardware (oui, une appli­
cation écrite en Blitz Basic peut s'ouvrir sur
un écran CybergraphX !). Enfin, le Blitz
Basic dispose d'une particularité pleine de
perspectives : il permet d'inclure des lignes
d'assembleur dans un code, en plus des
instructions du Basic. Les développeurs
expérimentés pourront ainsi allier facilité
de conception et optimisation.
Les v a ria b le s
En tant que langage, le B litz Basic se
constitue d'instructions et de variables (que
l'on pourrait respectivement rapprocher
des verbes et des complém ents d'objet
dans la langue française). Ces variables
sont de différentes natures : il y a celles qui
contiennent des nombres, celles qui renfer­
m ent du te x t e ... Ces catég o ries de
variables se subdivisent elles-mêmes en dif­
férents types, afin d'en tirer un usage opti­
mal suivant les circonstances. Pour les
variab les n u m é riq u es, on tro u ve par
exemple les types Byte, Word, Long, Quick
et Float (vo ir leur d escrip tio n dans le
tableau 1). Ainsi, une variable mavariable.b
L
(le suffixe .b signifie qu'elle est de type
Byte) ne pourra jamais contenir que des
entiers compris entre +127 et -128.
Dans un programme écrit en Blitz Basic, la
définition d'une variable s'écrit simplement
de la façon suivante :
A .w = 27567
Notons que l'instruction DEFTYPE représen­
te un raccourci pour définir en une seule
fois un type commun à plusieurs variables :
La s y m b o l i q u e des s i g n e s
Signe
Signification
*
Multiplication
/
Division
A
Exposant
;
Commentaire, juste pour
le programmeur
$
Nombre hexadécimal
A jo u te
une
a u tre
instruction sur la même ligne
!
Lance une macro
D E F T Y P E .w
A ,B,C A = 27567B = 30000C = 17000
Dans l'exem p le p récé d e n t, toutes les
variables sont de type Word (suffixe .w ).
L'avantage de cette méthode vient de ce
que l'utilisateur n'aura plus à taper A.w
dans tout le reste du code lorsqu'il voudra
faire référence à la variable A. Celle-ci (ainsi
que B et C) se trouve définie dès le début
comme étant de type Word et elle le reste­
ra jusqu'à la fin du programme. Pour faire
référence à cette variable, il suffira donc
d'écrire A.
P re m ie r p ro g ra m m e
Notre premier programme consiste juste à
effectuer quelques opérations de base du
système d'exploitation. En l'occurrence,
nous allons ouvrir notre propre écran (un
bon v ie u x 6 4 0 x 2 5 6 en 16 co u le u rs ;
com m e ça, ça m arche chez to u t le
monde), afficher une fenêtre avec du texte
("Hello World") et des boutons (un "Ok"
plus un gadget de fermeture pour effacer
la fenêtre) et ajouter un menu "Fichier"
(lequel contient "Relancer" pour faire réap­
paraître la fenêtre et "Quitter" pour termi-
ner le programme). Touche finale, nous
ajouterons même des raccourcis clavier
pour accéder aux deux fonctions du menu.
Attention, pour pouvoir taper le program­
me du mois, vous devrez disposer du Blitz
Basic 2.1 ainsi que des BSS (Blitz Support
Suite), faute de quoi certaines commandes
seront remplacées par des ?????.
Benjamin Vernoux
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L e s t y p e s de v a r i a b l e s n u m é r i q u e s
Type
Byte
Word
Long
Quick
Float
Suffixe
.b
.IV
./
•<7
A
Variation
+ 127 à -128
+32767 à -32768
+2147483647 à -2147483648
+32767,0000 à -32768,0000
+9*(10*18) à -9*(10* 18)
Précision
Entier
Entier
Entier
1/65536
1/(10*18)
Octets occupés
1
2
4
2
4
L e s t y p e s de v a r i a b l e s n u m é r i q u e s
W B S ta r tu p ; p e rm e t d e l a n c e r
Club Blitz (d'innombrables exemples Blitz) :
http://www. nfinity. com/~ amicom/blitz. html
Blitz Source Code: Http://ip.pt/~ip234558
l e p rogram m e du W o rkb e n ch
S cre e n
BlitzBasic2 Site officiel: http://www.ldngedge.demon.co.uk
BlitzListFrançaise Site de Xavier NUEL :
http://www.a2points.com/homepage/3698138/
Blitz Program Collection:
http://www. thenet. co. uk/~ awingrove/blitz/index.html
Nos programmes faits en Blitz : http://www.chez.com/titan/
0 , 0 , 0 , 6 4 0 , 2 5 6 , 4 , $ 8 0 0 0 , "Mon
Ecran",1 ,0
; S c re e n
( 0 ) num éro d e
l ' é c r a n , ( 0 ) P o s it io n
X , (0)Position
Y , ( 6 4 0 ) L a r g e u r ,( 2 5 6 ) H a u t e u r
;
(4 )B it p la n e s (n b r e de co u ­
l e u r s ) , ( $ 8 0 0 0 ) R é s o l u t i o n ,( " M
on E c r a n " ) t i t r e , ( 1 ) ( 2 ) cou­
s e 20 e t l'o r d o n n é e 40 d a n s
le u r s de 1 'é c ra n
la
; c r é a t i o n du menu
é c r it le
N P r i n t " h e l l o W o rld "
l a p o s it io n du c u r s e u r e t
G T M e n u Ite m 0 , 0 , 0 , 0 , " R e l a n c e r
dans la
" , " R"
; r a f r a îc h it le
fe n ê tre
fe n ê tre 0
m enus à l a
I f M en u H it= 0 ; s i l e
menu 0 e s t a c t i v é
S e l e c t I t e m H it ; on
r e g a r d e q u e l ID
fe n ê tre 0
(nu m éro ) a
é té a c t iv é
E n d M a cro
A m ig a R i n c l u s )
C ase 0 : !r a f r a i c h i t
; fa it
u n e s é p a r a t i o n d a n s l e menu
! fe n e tre
G TM en u Ite m 0 , 0 , 0 , 2 , " Q u i t t e r
fe n ê tre
","Q"
ev= $ 1 0 0 ; menu a c t io n n é
?
G TSetM en u 0 ; a t t a c h e l e s
te x te
(ra c c o u rc i
G TM en u Ite m 0 , 0 , 0 , 1
If
;
t e x t e h e l l o W o rld à
G T M e n u T it le 0 , 0 , " F i c h i e r "
dans la
E n d lf
fe n ê tre 0
exécute la Macro
;
s i o n a c t io n n e l ' o p t i o n ,
r e l a n c e r d a n s l e menu P r o j e t
; q u i t t e l e program m e
; ç a e x é c u t e l a m a cro
M a cro r a f r a i c h i t
( r a c c o u r c i A m ig a Q i n c l u s )
; m a cro q u i
C r e a t e M e n u S t r ip 0 ; c r é é l e
te ste s i la
menu
o u v e rte e t r a f r a î c h i t le
r a fr a ic h it
C ase 2 :q u it t e r = l
fe n ê tre e s t
;
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2
te x te
W indow
1 ,0,11,640,245,$800,"",1,2
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E n d lf
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E n d lf
! fe n e tre
peux d 'o r d in a ir e r é a lis e r
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G TSetM en u 0 ; a t t a c h e l e s
fe n ê tre 1
1 'é cra n c a r la
; e x é c u te à l a
M a cro f e n ê t r e
c e t t e o p é r a t io n
(d o n c a
fe n ê tre e s t
E n d lf
C lo se W in d o w 0 : F r e e G T L i s t
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b id o u ille pour a tta c h e r le s
m enus à l ' é c r a n ,
m enus a l a
End S e le c t
I f w in c lo s e = 0
If
; d i t que la
C lo se W in d o w 0
f e n ê t r e e s t fe rm é e
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l e o u l e s g a d g e ts a f f e c t é ( s )
; r é p è t e l a b o u c le
à la
fe n ê tre
e v .l = W a i t E v e n t ; a t t e n d u n
fe n ê tre
; p e rm e t
b o u to n o u a u t r e
l a p h r a s e h e l l o W o rld
A c t iv a t e 1 ; a c t iv e la
E n d lf
If
e v= $ 40 ; u n g a d g e t e s t
If
W indow
0 ,2 0 0 ,4 0 ,2 0 0 ,1 0 0 ,$ 2 | $ 8 | $400|
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A t t a c h G T L is t 0 ,0
U n t i l q u i t t e r = l ; ju s q u 'à c e
a c t io n n é ?
G T B u tto n
0 , 1 , 4 0 , 5 0 , 1 0 0 , 2 0 , "Ok",16
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S e l e c t G a d g e t H it
C ase 1
C lo se W in d o w
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0 :D e t a c h G T L is t 0 : A c t i v a t e
f e n ê t r e h e l l o W o rld
1 :w in c l o s e = l
c u r s e u r de t e x t e à l ' a b s c i s ­
que q u i t t e r p re n n e l a v a le u r
événem ent s ' e s t p r o d u it d an s
l e o u l e s g a d g e ts d a n s l a
; p la c e le
fe n ê tre
fe n ê tre 1
fe n ê tre h e llo
W o rld a v e c u n b o u to n OK e t
; d é ta c h e
w in c lo s e = l
é v é n e m e n t comme a p p u i d 'u n
Ok
fe rm e
p ro p re m e n t l a
D e t a c h G T L is t 0
; c r é a t io n de l a
W L o ca te 5 0 , 3 5
;
E n d M a cro
h e l l o W o rld a v e c s o n b o u t t o n
d ’ a ffic h e r la
fe n ê tre 0
e s t - il a c t if ?
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M a cro f e n e t r e
ev= $ 200 ; l e b o u to n d e
fe rm e tu re de l a
End S e le c t
E n d lf
C lo se W in d o w 0
p ro p re m e n t l a
;
fe rm e
fe n ê tre
F re e G T L is t 0
; e ffa c e le
o u l e s g a d g e ts d e l a m ém oire
F o r b i d _ ; p e rm e t d e q u i t ­
t e r p ro p re m e n t
End
M icro story
Gary Kildall
L'homme qui aurait pu changer le cours de l'histoire
informatique s'appelle Cary Kildall : au début des années 80,
son système CP/M faillit damer le pion au MS/Dos de Microsoft.
Mais le génie de Cary Kildall ne s'exerçait qu'en
programmation... Bill Cates avait pour lui le génie des affaires.
/
/
T
■ u seras professeur dans l'école
T
fondée par ton grand-père".
En une phrase, le père de
Gary Kildall avait scellé ainsi le destin de
son fils indécis. Comme toute la famille,
Gary était donc allé étudier les mathéma­
tiques à l'Université de Washington, avant
de faire ses premiers pas comme ensei­
gnant à l'Ecole Navale de Monterey en
Californie.
La vie de Gary bascule devant une publici­
té. Ou plus exactement devant une page
de publicité tirée du magazine Electronic
News et affichée ostensiblement dans une
boutique d'électronique : "Votre micro-ordi­
nateur pour 25 dollars". Gary a déjà touché
aux systèmes qui équipent son université,
mais au début des années 70, la microinformatique n'existe pas et l'annonce se
m ontre p articu lièrem en t alléch an te. A
l'étude, il s'aperçoit pourtant que la publi­
cité (1) est un peu mensongère : elle vante
en fait les mérites d'un microprocesseur (et
non pas d'un micro-ordinateur), le 4004,
conçu par une petite société portant le
nom d'Intel (Integrated Electronics). Gary
décide malgré tout d'acheter le processeur.
Prem iers program m es
Son premier programme sur 4004 est des­
tiné à son père afin de lui faciliter les cal­
culs nécessaires à la pratique de la naviga­
tion. Mais les limites du 4004 apparaissent
rapidement : le "4" dans "4004" signifie
que le processeur travaille en blocs de 4
bits, soit moins d'un caractère. Faire réali­
ser le moindre calcul au 4004 tient du sup­
plice chinois (2 ). "l'a i failli devenir fou "
raconte Gary en songeant à cette époque.
Fasciné malgré tout par le potentiel d'une
telle invention, il rend visite à Intel en 1972
pour leur faire part des problèmes qu'il
rencontre avec ce processeur. La précision
des co n n aissan ces de G ary séduit les
quelques personnes de la division micro­
processeur. Ils lui proposent justement de
devenir consultant pour la sortie du pro­
cesseur 8008. Gary est aux anges. Il déve­
loppe sur gros système un programme
simulant le 8008 et son jeu d'instructions
afin de concevoir plus facilement des pro­
grammes. En quelques mois, il crée ainsi le
PL/M (Program m ing Language/M icroprocessor). En contrepartie de son experti­
se, Intel offre à G ary un lntellec-8, un
micro-ordinateur fabriqué par la firme à
base de 8008. Gary installe la machine
dans sa salle de classe et encourage les étu­
diants à découvrir cette science inconnue.
Avec l'arrivée du nouveau processeur 8080,
Gary constate que le hardware est désor­
m ais un fre in à l'é v o lu tio n de ses
recherches : au début des années 70, le
stockage sur cartes perforées ne s'avère ni
très fiable, ni très rapide. Gary entend alors
parler d’un nouveau système de stockage
sur disque magnétique, introduit par IBM.
Il contacte alors Shugart (3), le pionnier
dans l’industrie des lecteurs de disquettes,
et lui propose des petits développements
en échange d'un lecteur 8". Une fois sur
son bureau, le lecteur ne se montre pas
d'une très grande aide : il manque à Gary
une carte électro niq u e p erm ettant de
contrôler l'échange de données entre l'or­
dinateur et le lecteur. Malgré des dizaines
d'heures passées à manier le fer à souder,
Gary comprend que ses connaissances en
programmation ne lui sont d'aucune aide
en matière d'électronique. Il part voir son
am i John To ro d e de l'U n ive rsité de
W a sh in g to n et s'adresse à lui en ses
termes : "John, je pourrais faire des choses
sensationnelles si tu arrives à faire fonction­
ner ce lecteur de disquettes avec ce microordinateuiJ'. john prit la machine et s'enfer­
ma quelques mois pour l'étudier de près.
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L 'Imsai sera le prem ier succès du CP/M.
L Astrology m achine
Pendant ce temps, Gary fait ses premières
armes comme homme d'affaires, il s'associe
avec un de ses amis designer hardware, Ben
Cooper, pour lancer l'Astrology M achine,
un micro-ordinateur spécialement program­
mé pour l'étude d'horoscopes. L'idée fait un
véritable bide, mais G ary en garde une
grande expérience en matière de program­
mation : pour le lancement de l'Astrology
Machine, il a dû concevoir un débugger, un
assembleur, un éditeur de textes et même
un interp réteur b a sic ... Et lorsque john
Torode lui annonce qu'il a enfin réussi à
faire fonctionner le lecteur de disquette sur
l'Intellec, Gary s'empresse de les adapter et
de les peaufiner.
moins de m ille francs), G NAT Com puter
pourra installer sur toutes ses m achines,
actuelles et futures, le CP/M. Quelques mois
plus tard, le prix aura été m ultiplié par
cent...
L'ascension
En 1977, Seymour Rubinstein (4 ), patron
d'IM SAI (p rin cip al co n cu rre n t d 'A lta ir),
contacte G ary : il souhaite acquérir une
lic e n c e du C P /M p o ur ses m a c h in e s.
Rubinstein est un fin négociateur et il a réel­
lement la conviction de faire une fabuleuse
affaire en achetant 25 000 dollars la licence
du CP/M à Gary, qu'il juge excellent techni­
cien mais bien piètre vendeur. La faiblesse
apparente de Gary sur ce prix effectivement
System) était né. Ainsi constitué, le CP/M
peut être vendu en une seule et même ver­
sion à des ingénieurs, des revendeurs, des
hobbyistes, disposant tous de machines très
différentes.
En 1980, l'Apple II représente la machine la
plus vendue dans le monde... Elle reste mal­
gré tout la seule à ne pas faire tourner le
CP/M. Le jeune Bill Gates y voit là un mar­
ché intéressant pour sa société Microsoft. Il
conçoit alors une carte hardware pour Apple
Il (la "Soft card"), pouvant faire tourner le
CP/M dont il achète la licence. Le succès se
révèle colossal et Microsoft devient rapide­
m ent le prem ier clie n t de DRI. A cette
époque, plus de 200 000 micro-ordinateurs
dans le monde sont équipés du CP/M et
DRI em ploie près de quatre-vingts per­
sonnes.
De l'astuce de M icrosoft
C'est aussi cette année-là qu’IBM annonce
ses plans pour sortir un ordinateur person­
nel. L'histoire a été souvent - et de manière
très différente - racontée : en ratant l'offre
d'IBM, Digital a ouvert à Microsoft les che­
mins de son indécent succès.
A l'époque, Big Blue recherche en externe
des compétences pour développer un systè­
me d'exploitation pour la nouvelle machine.
Le choix du système ne fait aucun doute : le
CP/M de Gary Kildall est idéal pour le pre­
mier PC. Une équipe d'IBM est envoyée à
l'im proviste chez DRI pour entam er des
négociations. Gary est absent des locaux (il
se trouve à bord de son avion personnel) et
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G ary jug e ses p ro g ram m e s
assez puissants pour les propo­
ser à In te l. Bob N o y c e , le
patron d'Intel, refuse en bloc
ses propositions : d'après lui, le
microprocesseur n'a pas d'ave­
nir dans le domaine de l'infor­
matique mais plutôt dans "le
domaine des montres" ! Parmi
tous les program m es refusés
par Intel (dont un "jeu d'arca­
de" pour le 4004), Gary est par­
ticulièrem ent fier de son gestionnaire de
disque. Fin 1974, il décide de fonder avec
son épouse Dorothy "Intergalactic Digital
Research Inc" pour la commercialisation de
ce program m e rebaptisé CP/M (Control
Program/Monitor ou Control Program for
Microcomputers).
Le p rem ier clie n t de D ig ita l est G N A T
Computer. A l'époque, un "système d'ex­
ploitation" représente un produit nouveau
et Gary n'a pas de référence pour fixer ses
p rix. Fin alem en t, pour 90 d o llars (so it
L'intellec 8 d'Intel.
très bas résulte pourtant d'un calcul : en
cédant au premier constructeur de micro­
ordinateur la licence de son CP/M , Gary
peut espérer en faire un standard. Sa straté­
gie s'avère pertinente : à partir de cette
date, le chiffre d'affaires d 'Interg alactic
Digital Research (rebaptisé Digital Research
Inc.) se développera de manière exponen­
tie lle . Pour c o n tre r l'a p p a ritio n de ses
concurrents, Gary améliore encore le CP/M
pour le rendre indépendant du hardware de
la machine : le BIOS (Basic Input/output
Dorothy refuse de signer l'accord de confi­
dentialité présenté par IBM. Agacée, l'équi­
pe d'IBM se tourne alors vers Microsoft qui
a, de notoriété publique, des accords de
licence avancés avec DRI. Ce n'est pas réel­
lement le cas, mais Microsoft se garde bien
de le sig n a le r à IB M . D ans l'u rg e n c e ,
Microsoft s'adresse à Tim Paterson (5) de la
Seattle Computer Company. Programmeur
de génie de 24 ans, Tim a mis au point le
"QDOS", acronyme pour "Quick and Dirty
Operating System" (système d'exploitation
rapide et sale), un clone du CP/M ré-écrit
pour les processeurs 16 bits. M icrosoft
achète le QDOS à Paterson pour la somme
de 50 000 dollars (environ 250 000 francs)...
Renommé MS/DOS, c'est finalement grâce à
l'absence de Gary de ses bureaux que tous
les PC de la planète seront équipés du systè­
me de Microsoft.
G randeur et décadence
L'épisode n'affecte pas, du moins sur l'ins­
tant, Gary : il continue à cultiver son génie
pour la programmation. Il est à l'origine des
principes du m ultitâche préem ptif et du
RAM Disk. Il écrit également une version du
Logo pour son fils Scott, dans le seul but de
Microstory
une écurie de quatorze voitures de course
et un studio d'enregistrement.
En 1994, il décède à 52 ans d’une hémorra­
gie cérébrale après une chute dans un res­
taurant.
L'histoire n'est pas pour autant
term inée
En 1995, Gary obtient à titre posthume le
prix de la Software Publisher Association au
m êm e titre que Steve W o zn iak, G râce
Hopper, Seymour Papert...
En 1996, Caldera Corp a racheté à Novell les
licences du CP/M. Estimant que celui-ci (et
ses d e sc e n d a n ts, le D R-D O S et N m s
REAL/32) a été injustement écarté du mar­
ché par les p ratiq u es co m m erciales de
Microsoft, Caldera a déposé cette année-là
une plainte contre la firme de Bill Gates. Le
29 juillet dernier, lors de la première audien­
ce consacrée à cette affaire, le juge Ron
Boyce a demandé à Microsoft de livrer à
Caldera une partie du code de Windows 95,
afin que des analyses plus poussées puissent
Les bureaux de D igital Research.
lui apprendre la logique et la programma­
tion. Le programme s'avère si bien conçu
qu'il obtiendra beaucoup de succès lors de
sa diffusion, sous le célèbre nom de DR
Logo. ‘Gary est également concepteur du
GEM ( Graphical Environment Manager), une
interface graphique qui présente l'immense
avantage de s'installer sur n'importe quelle
machine. L'environnement ne verra jamais
le jour : Apple trouve le GEM trop proche
du système du Usa et menace DRI de pour­
suites judiciaires. DRI fera marche arrière,
n'imaginant pas que, quelques temps plus
tard, Microsoft allait sortir Windows sans
être inquiété (en définitive) par Apple.
Les investissements gaspillés sur le GEM
viennent s'ajouter à une multitude d'autres
dysfonctionnements : DRI est par exemple
incapable de répondre aux demandes tech­
niques des utilisateurs du CP/M . Ceux-ci
nourrissent au fil des mois un vif ressenti­
ment à l'égard de DRI, qui laisse ses utilisa­
teurs dans le pétrin. L'image de marque de
la société en souffre. Au même moment,
Gary se sépare de Dorothy, qui conserve
m alg ré to u t son p oste ch e z DRI . . .
L'ambiance dans la société devient irrespi­
rable.
A cette époque, l'inéluctable ascension de
M icro so ft rem ue le p e tit m onde de la
Silicon Valley. Gary semble mal le vivre,
conscient d'avoir raté le coche. Ben Cooper
se souvient d'une conversation avec Gary :
"Un jour, il m'a pris à part et a commencé à
me parler d'Apple, j'y ai tout de suite vu de
l'amertume. Il m'a dit : "Regarde Steve Jobs. Il
n'est rien. Steve Wozniak a
tout fait. Le hardware et le
so ftw a re ". Il ne fa isa it
aucun doute qu'il souffrait
du succès de Bill Gates et
du manque de reconnais­
sance pour son travaiP.
être effectuées sur la com patibilité et les
similitudes de Windows et du DR-DOS... Une
première victoire pour Caldera et une petite
revanche en mémoire de Gary.
Wim Sical
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Le 4004, le premier processeur Intel.
Après un labeur acharné
a u to u r de l'in te rfa c e
m ic ro - o rd in a te u r/ C D Rom , G a ry d é c id e de
vendre DRI à Novell en
1 9 9 1 . T o u s les p ro je ts
furent absorbés et dissous
en quelques m ois. G ary
déménage alors au Texas.
Le deal avec Novell a fait
de lui un homme riche. Il
dispose d'un ranch près
d'un lac, où il entretient
Notes
( ! ) Cette annonce est l'œuvre de Regis
McKenna, un publicitaire qui contribuera par
la suite au destin d'Apple en gérant les pre­
mières campagnes de communication de la
Pomme. Le flou entretenu dans la publicité
autour de "micro-ordinateur" et "micropro­
cesseur" répond en fait à une volonté de Ted
Hoff (l'un des ingénieurs d'Intel), qui avait vu
là le moyen de rendre le produit beaucoup
plus séduisant. Nul doute qu'aujourd'hui une
telle arnaque relèverait de la répression des
fraudes...
(2) Le 4004, qui comptait à l'époque 2300
transistors (contre 5 ,5 millions pour un
Pentium Pro), a malgré tout équipé la navet­
te Pionneer 10, lancée le 2 mars 7972.
(3) Quelques années plus tard, le fondateur
de S h u g a rt, Alan S h u g art (à ne pas
confondre avec Alan Sugar), créera Seagate
Technologies.
(4) Seymour Rubinstein sera par la suite à
l'origine de Wordstar, le premier traitement
de textes ayant connu un succès commer­
cial. On lui doit également le tableur Quattro
Pro.
(5) Tim Paterson est désormais consultant
pour Microsoft. Même si la vente de son sys­
tème ne lui a pas rapporté grand-chose, les
parts qu'il possède dans Microsoft depuis
1981 l'ont rendu millionnaire.
Ho r s -
sér ie
Pc
t e r m n "4
S p é c ia l h isto ire de lr
ET D E S J E U X VIDÉD
MICRO
D e i. h p r é h i s t o i r e r u d e r n i e r P e n t i u m
1 0 p o r t r a it s d e p io n n ie r s
2 0 m a c h i n e s d e lé g e n d e
5 0 j e u x q u i o n t f a i t le j e u v id é o !
Toute l’ histoire
L e s s c a n d a l e s , le s s u c c e s s - s t o r i e s , le s s a l e s c o u p s ,
le s b id e s c o m m e r c i a u x .. .
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S ur l e C D - R o m !
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T o u s le s é m u l a t e u r s
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T o u s le s c l o n e s d e s p l u s g r a n d s c l a s s i q u e s d u j e u v id é o
U n q u i z z i n é d i t e t e x c l u s i f s u r l ’ h i s t o i r e d u j e u v id é o
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PPC603e200+40/25-60/50
PPC603e200+socket 60
PPC603e240+40/25-60/50
PPC603e240+socket 60
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=
990f
399f
349f
199f
299f
249f
24 9f
100f
100f
80f
100f
10Of
F R A IS D E P O R T
C D /je u x/Lo g icie l : 3 5 f
C arte/H D /M em : 6 0 f
T o u r:
100f
+1 Of par produit en plus
10H30-12H30 / 14H-19H
M E M O IR E / C O P R O C E S S E U R
SIMM 32 bits 16 Mo EDO 60ns
180f
SIMM 32 bits 32 Mo EDO 60ns
299f
Disque Dur ID E 2 Go
1190f
CD Rom ID E Interne 32X
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DIVERS
Lecteur 1.76Mo interne(4) / Externe 4 4 9 f
Souris Wizard
Cable Pamet + Programmes
Cable 2.5/3.5/3.5
Tour Micronik A1200
Alim Micronik Tour A1200
Boîtier Clavier A1200
S csi slot pour tour
Tour+alim+boitier clavier
Tablette Wacom Artpad 2
Pad Compétition Pro X1 / X3
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WordWorth 7
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Aminet 16 à 22 CD
Aminet 23 à 26 CD
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Time Reckoning Quake CD (Add On)
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120f
120f
100f
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449f
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299f
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369f
269f
349f
199f
269f
269f
Akira CD32
Workbench Designer 2 CD
Amiga Tools 6 CD
Geek Gadgets A D E 1 ou 2 CD
Quaterback Tools Bundle
Distant Suns 5.01 CD
Distant Suns 4.2
Flight Amazon Queen
Blitz Tennis
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Humans 3 CD/Dk
Cygnus 8
Uropa 2 CD
Shadow of 3Rd moon CD
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80f
120f
80f
100f
180f
169f
10Of
169f
100f
149f
129f
129f
149f
100f
199f
199f
299f
149f
149f
100f
149f
149f
180f
149f
120f
160f
249f
149f
149f
149f
149f
180f
180f
180f
180f
199f
290f
299f
199f
199f
149f
269f
269f
Lecteurs
D r e a m est é d ité p a r Po sse Press, SARL au
press'.
6) Linux a été conçu de maniè­
c a p ita l d e 2 5 0 0 0 0 fra n c s , 1 6 , ru e d e La
la ta ille de ma p a rtitio n de
Swap qui est actuellem ent de
re intelligente et ne crée donc
pas de fichiers sur le disque uni­
Télécopie : 01 4 3 55 6 6 68
4 0 Mo ?
q u em ent p o u r le p la isir. Le
passer à 64 Mo. Devrais-je
m odifier le noyau ou changer
Jaja
FLO T DE QUESTIONS
fichier core conçu offre une
Email : rcanonge@ posse-press.com
D ire ctrice d e la ré d a ctio n :
Christine Robert
1) Lors de l'installation d'une
image de l'état de la mémoire
nouvelle version d'un package
et du système au moment de
D ire ctrice p ro m o tio n /p u b licité :
tgz, au moment du ''make ins­
tall", les fichiers vont être
récem m ent, mais étant un uti­
copiés en écrasant les précé­
la cause de Terreur. Toutefois,
lisateur de Dos et W in d o w s,
dentes versions si elles existent.
Donc, nul besoin de désinstaller
pour exploiter ce fichier, il faut
le plus souvent avoir recours à
un outil spécialisé, comme Cdb.
essayé plusieurs distributions,
j'ai o p té fin a le m e n t p o u r la
uniquement pour la Debian. Il
Red H a t 5 .0 p o u r l a q u e l l e
doit être disponible sous forme
courante, le plus simple consis­
te à supprimer le fichier.
de p a c k a g e
RedH at,
et
Dans le cadre d ’une utilisation
pour
la
7) Il y a sous Linux a u ta n t
fo n ctio n n e
de
d'antivirus que de virus : aucun.
rpm
Email : crobert@ posse-press.com
H élène Blondel
Tél. : 01 53 36 84 20
Em ail : hblondel@ posse-press.com
C h e f d e p u b licité :
M arie-Hélène Dussottier
Tél. : 01 5 3 36 8 4 21
le package antérieur.
2) L'utilitaire alien n'existe pas
voici une foule de questions
1 ) C o m m e n t m e ttre à j o u r
Rom ain C an o n g e
Tél. : 01 5 3 36 84 24
J'ai d é c o u v e r t L i n u x a s s e z
a v e c c e t U n i x . A p rè s a v o i r
D ire c te u r d e p u b lica tio n :
Tél. : 01 5 3 36 8 4 25
Terreur, dont le but premier est
d'aider le développeur à trouver
j'avoue que j'ai un peu de mal
Fontaine au Roi, 75011 Paris.
T é lé p h o n e : 01 5 3 36 8 4 10
des lo g icie ls fo u rn is en p ac­
manière identique à son homo­
8) Nul besoin de recompiler le
ka ges " tgz" ? Ex is t e- t- il un
logue Debian : un package tgz,
noyau ni de modifier la taille du
autre m oyen q u 'en lever l'an ­
rmp ou deb est pris en entrée
Swap. Si les 40 Mo suffisaient
cienne version, avant d'instal­
et converti au choix en rpm ou
avec 16 Mo de RAM, cela sera
ler la nouvelle ?
en deb.
2 ) P eu t-o n tra n s fo rm e r des
3) Une première partie de la
encore plus vrai avec 64 Mo,
puisque cette partition se verra
p a c k a g e s " t g z " en " r p m " ,
réponse se trouve indiquée ci-
moins sollicitée.
Em ail : pub@ posse-press.com
R e sp o n sa b le co m p ta b le e t ad m in istra tiv e :
A ngelina Parmentier
Tél. : 01 5 3 36 8 4 23
Em ail : adm in@ posse-press.com
A ssistan te d e d ire ctio n :
Valérie Am brosio
Tél. : 01 5 3 36 8 4 2 2
S e cré ta ire g é n é ra le :
A nna Vincent
Tél. : 01 5 3 36 8 4 10
R e n se ig n e m e n ts :
(te c h n iq u e , v p c , a b o n n e m e n ts)
Tél. : 01 5 3 36 84 18 du m ardi au vendredi
d e 1 0 h 0 0 à 12h30
D ire c te u r a d jo in t d e la ré d a ctio n :
Yann Serra
Tél. : 01 53 36 8 4 15
Email : yserra@ posse-press.com
comme
le f a i t
l'u tilitaire
d'un package tgz se m ontre
Debian ?
généralement très simple :
Frédéric D ubuy
Tél. : 01 5 3 36 8 4 1 3
Email : fdubuy@ posse-press.com
R é d a cte u r e n c h e f a d jo in t :
G u illaum e Girard
Tél. : 01 5 3 36 8 4 11
Email : ggirard@ posse-press.com
dessus. Toutefois, l'installation
"alierf" p o u r la d is trib u tio n
R é d a cte u r e n c h e f :
S e cré ta ire d e ré d a c tio n :
Bernard M édioni
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
B O O T E R S U R UN CD ?
Tél. : 01 53 36 8 4 14
D ire c te u r d e s p ro je ts m u ltim é d ia :
3) Existe-t-il un utilitaire d'ins­
tallation (hors Slackware) pour
les packages "tgz" ou faut-il
attend re d 'avo ir une version
rp m
ou
deb
ou
encore
essayer de les co nstru ire soi-
Frédéric Botton
tar xzf package.tgz
cd <répertoire>
./configure
make
make install
L Am iga est-il capable de boo-
ter à partir d'un CD-Rom ? Si
oui, celui-ci doit-il être dans
un form at particulier ?
Bruno
même (question 2 ) ?
Tél. : 01 5 3 3 6 8 4 12
Em ail : fbotton@ posse-press.com
O n t co lla b o ré à c e n u m é ro :
Yannick C ad in , D o m in iq u e Clain, David
Feugey, Em ile Heitor, Fabien M ansart, Vincent
O neto , Frédéric Peschanski, A ntoine SabotD urand, Y ann Serra, W im Sical, Benjam in
V em o u x, Ben Yoris, jakub Zim m erm ann .
D ire c te u r a rtistiq u e :
Pierre-Yves Roudy
Tél. : 01 5 3 36 8 4 28
4 ) J'ai r e m a r q u é , t o u j o u r s
p our les p ackag es tg z, qu'il
Ceci marche dans plus de 99 %
En version de base, le CDTV et
des cas.
le CD32 sont les seuls Amiga
Em ail : pyroudy@ posse-press.com
R é d a c te u rs g ra p h iste s :
Séverine Briaud
fichiers
4) Le make uninstall ne se voit
capables de b oo ter à p artir
Tél. : 01 5 3 36 84 2 7
d éco m p ressés p o u r p o u v o ir
pas toujours couronné de suc­
d'un CD-Rom, car ils disposent
Julie C harvet
faut
garder
les
Em ail : crea@ posse-press.com
Tél. : 01 53 36 8 4 2 7
les enlever avec "make unins-
cès. Aussi est-il plus facile, lors
de la routine nécessaire dans
tall".
autre
du make install, de rediriger la
leur Rom. Grâce aux dernières
Illu stra te u r :
m oyen, histoire de gagner de
versions des cartes S C S I de
R éalisa tio n d u C D : Posse Press
la place ?
sortie standard vers un fichier
log, qui contiendra ainsi la liste
5 ) Q u e l l e est la d i f f é r e n c e
des fichiers déjà installés. Il suf­
Existe-t-il
un
Em ail : crea@ posse-press.com
Ch ristophe Bardon
F a b rica tio n :
Phase 5, les Amiga 4000, 3000
et 1200 ont depuis peu acquis
P h o to g rav u re : La station graphique
Im p re ssio n : Léon ce Deprez
R éa sso rt : Distrim édia (Toulouse)
e n t r e les f i c h i e r s " t g z " et
fit de conserver ce seul fichier
cette caractéristique.
Tél. : 0 5 61 4 0 74 74
"tar.g z" ? J'ai rem arq u é que
pour pouvoir ensuite effacer les
D é p ô t légal : à parution
pkgtool, entre autres, n'avait
fichiers devenus inutiles.
Autrement, il reste toujours la
possibilité de bidouiller. Tout
pas le m êm e co m p o rte m e n t
pour l'un ou l'autre.
5) Il n'existe aucune différence
d'abord, en p a ssa n t p a r les
émulateurs CD32 offerts avec
6) Les fich iers core ap p a ra is­
entre tar.gz et tgz, mis à part
le nom. La dénomination origi­
Rom ain C an o n g e, Christine Robert
les pilotes de CD-Rom (genre
Toute représentation ou toute reproduction inté­
sent quand une erreur se pro­
nale est tar.gz, qui apparaît
duit. Peut-on s'en servir pour
parfois sous la forme .tgz, cer­
Idefix). Ensuite, en faisant sem­
blant de booter sur le CD. La
c o r r i g e r les e r r e u r s ( o u au
tainement pour s'adapter à cer­
m oins essayer de les trouver)
tains systèmes ne comprenant
D iffu sio n : Mlp
C o m m issio n p a rita ire : n °7 5 3 6 4
R e p ré se n ta n t lé g a l :
Rom ain C an o n g e
A sso cié s p rin cip a u x :
Co pyrigh t 1 9 9 7 - Posse Press
grale ou partielle du magazine, toute utilisation du
logo de Dream ne peuvent se faire sans l'accord de
l'éditeur. L'envoi de textes, photos, logiciels à l'édi­
teur implique l'acceptation par l'auteur de leur libre
procédure se montre simple :
on laisse l'ordinateur booter à
publication. Sauf accord spécial, les documents ne
sont jamais restitués. L'éditeur décline toute respon­
sabilité quant aux opinions formulées dans les
ou faut-il sim plem ent les sup­
prim er ?
pas la présence de deux points
partir de son disque dur mais
articles, celles-ci n'engageant que les auteurs. Les
d ans
fichier.
en ayant au préalable modifié
respectifs. Leur citation est faite sans aucun but
7 ) E x i s t e - t - i l des a n t i v i r u s
Attention toutefois aux fichiers
la Startup-sequence. Celle-ci
cédés soient tombés dans le domaine public.
pour Linux ?
.taz qui sont en fait des . tar.Z',
doit rediriger toutes les assigna­
8 ) je p o ssèd e a c tu e lle m e n t
donc des archives compressées
tions vers le CD -Rom de la
16 Mo de RAM et je désirerais
à l'aide de la commande 'com-
manière suivante :
un
nom
de
marques citées appartiennent à leurs propriétaires
publicitaire et ne signifie en aucun cas que les pro­
pcSvSe.
À
Abonnement
Dream,
le magazine
de la micro
alternative.
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11 numéros de Dream avec
son CD-Rom = 429 francs
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2eédition
u
N
N
Oui, je souhaite m 'a b o n n er à Dream pour un an.
□
Formule
1 : abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + Introduction à Perl, Editions O'Reilly, 419 francs à l'ordre de Posse Press. Le livre me
parviendra séparément, en recommandé.
□
Formule 2
: abonnement d'un an à Dream avec 1 CD-Rom + TCP/IP, Administration de réseaux, Editions O'Reilly, 479 francs à l'ordre de Posse Press. Le
livre me parviendra séparément, en recommandé.
□
Formule 3 : abonnement d'un an à Dream
avec CD-Rom, 329 francs.
Nom : ......................................................Prénom : ........................................................ Adresse : ................................................................................................................................................................
..................................................................... Code postal.: .................................................. Ville.: .......................................................................................................................................................................
Machine/système (facultatif) : □ Amiga/AmigaDos □ Amiga/Linux □ Pc/Linux □ Pc/Divers □ Be/BeOs □ Autre machine/autre système : .............................
Ci-joint un règlement d e
francs, par □ chèque bancaire, □ mandat postal à l'ordre de Posse Press.
i . n Y
i
i i iY
<L i i i Y
zj j j Y
expire le L
, My
D R @ A M
En cas de paiement par carte bancaire, vous pouvez aussi commander :
Par téléphone : 01 53 36 84 10 du lundi au vendredi de 9h30 à 18h00
Par fax : 01 43 55 66 68, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24
Offre à renvoyer à Dream/Abonnements, 16, rue de la Fontaine au Roi, 75011 Paris.
T a r if p o u r la F ra n c e m é tr o p o lita in e u n iq u e m e n t. D O M / T O M
©
e t é t r a n g e r , a j o u t e r 1 0 0 fr a n c s a u p r ix d e l'a b o n n e m e n t , p a i e m e n t p a r m a n d a t u n iq u e m e n t . O f f r e v a l a b l e j u s q u 'a u 1 0 n o v e m b r e 1 9 9 8 ( c a c h e t d e la p o s t e f a is a n t f o i) .
I n f o r m a t i q u e s e t l i b e r t é s : e n a p p l i c a t i o n d e l ' a r t i c l e L 2 7 d e l a l o i d u 6 j a n v i e r 1 9 7 8 , r e l a t i v e à l ’i n f o r m a t i q u e e t a u x l i b e r t é s , v o u s d i s p o s e z d ' u n d r o i t d 'a c c è s e t d e r e c t i f i c a t i o n p o u r t o u t e i n f o r m a t i o n v o u s c o n c e r n a n t e n v o u s a d r e s s a n t à n o t r e s i è g e s o c i a l .
L e s i n f o r m a t i o n s r e q u i s e s s o n t n é c e s s a i r e s à l ’é t a b l i s s e m e n t d e v o t r e c o m m a n d e . E l l e s p o u r r o n t é g a l e m e n t ê t r e c é d é e s à d e s o r g a n i s m e s e x t é r i e u r s , s a u f i n d i c a t i o n c o n t r a i r e d e v o t r e p a r t .
F o r u m
i
Assign
Assign
Assign
Assign
Petites
Ann on ces
SYS: CDO:
Libs: CD0:libs/
Devs: CD0:devs/
S: CDO:s/
com prendre que la version
3D, qui a succédé à la version
64 tout court, serait moins
puissante, bien que plus
récente ?
Dominique
Et de terminer le script par un
simple :
Exécuté CDO:S/Startupsequence
QUELLE CARTE GRAPHIQUE ?
Dans votre test de la carte
graphique CybervisionPPC
( Dream No 54), vous dites :
"l'affichage du Workbench se
montre en moyenne aussi
rapide qu'avec une Picasso IV
ou une Cybervision64, c'est-àdire moins rapide qu'une
Cybervision 64/3D". Dois-je
VENTES
Vends 3 Amigas : un 1200 DD
écran 1 300 francs pièce, un
4030 à 4500 francs avec écran
et un 4040 DD écran Vlab à
5500 francs. Tél. : 05 65 30 00
77. Demander P. LAVAUR.
La Cybervision 6 4 /3 D est une
carte économique ; voilà pour­
quoi Phase 5 l'a choisie comme
rem plaçante de la Cybervision
64 (d o n t les ve n te s se ré v é ­
laient déceva n tes). La version
3D e st en fa ite c o n s tr u ite
autour de la puce graphique 53
Virge, d o n t la ca rriè re su r le
marché "PC bon marché" s'est
avérée très honorable.
C o n struite p o u r être très peu
onéreuse, elle offre des perfor­
m an ces ju s te com m e il fa u t,
sans plus. Néanmoins, Phase 5
a joué sur le fait q u ’elle dispo­
(Packard Bell) + écran + etc.
3500 francs. Téléphone pour
renseignements après 19 h. au
04 77 83 89 52.
sait de fonctions 3D intégrées,
contrairem ent à la Cybervision
64. Attention, les fonctions 3D
en question sont loin de rivali­
ser avec ce que sait faire une
carte 3Dfx sur PC ; par ailleurs,
elles s'utilisent sur Amiga (seule
une version du jeu Descent les
exploite). Enfin, il convient de
rem arquer que le scandoubler
de la Cybervision 6 4 /3 D n ’est
livré q u ’en option et ne peut se
brancher que dans un connec­
t e u r s p é c ifiq u e de l ’A m ig a
4 0 0 0 . P o u r le s u t ilis a t e u r s
d ’u n e a u tre m a c h in e , n o u s
conseillerions p lu tô t une carte
Picasso IV ou, dès q u ’un scan­
doubler dédié sortira, l ’un des
n o u v e a u x m o d è le s de c a rte
g rap h iqu e que vend a ctu elle ­
m ent Phase 5 (Bvision P P C et
CyberVisionPPC).
59760 Grande Synthe.
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magazine. La vente et l'échange de logiciels concerne uniquement
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m i s e en p a g e h t m l , c o n c e p t i o n llteb, c o n c e p t i o n m u l t i m é d i a , m u s i q u e , u i d é o n u m e r i g u e
J o u t e s l e s m a c h i n e s : PC. Mac. f i mi ga . A t a r i . R i s c O s . S t a t i o n s . . .
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Au sommaire :
Dossier : Le phénomène "Fr.
l\ts
pokei *
Max 2.5
Fii^-VoiK^
in t e iy ^ a p l»
i toyicn-'» cornpM
o ff e r t 1
1
Touch"
Pratique 3D : Amapi °
Inspire 3D
R u b riq u e * * P«
Pratique 2D : Photoshop 5,
lllustrator 7
A in a P <
poser 1
inspire 30
Pratique On/off line
Stratavision
Flah
3,
Director 6
Photoshop
llhistratoi
Pratique musique spécial tec
Seq 3 0 3 , Rave e Jay
F la s h i
D iie c t o r
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MhsUv»*'
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R ave eJay
le s e tt e t s s p ^ t,a ,lî<
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• D ream n°1
Dossier : la CD-32
Reportage : l'ECTS de Londres
Disquette : DSS 1, version complète
• D ream n°2
Dossier : les jeux de Noël
Reportage : comparatif numériseurs
Disquette : Amos Turbo
• D ream n°3
Labo : Photogenics...
Disquette : Skidmarks II, la démo
• D ream n°16
Dossier : les clones Amiga arrivent
Reportage : l'Amiga s'impose à
Imagina
Disquette : Photogenics, la démo
• D ream n°17
Dossier : la Doom-mania arrive sur
Dossier : les imprimantes
Reportage : le Supergames show
Amiga
Labo : GoldEd 2 .1 .1 , Easy calc, Studio
Disquette : Cinem orph, version
complète
• D ream n°4
Dossier : les virus
professional 2 ...
Disquette : DSS 3, version complète
• D ream n°18
Reportage : le Winter Ces de Las Vegas
Disquette : Quickwrite, version
complète
• D ream n°5
Dossier : l'ECTS de Londres
Labo : DPaint V, Scala m m 400,
Sherlock, Diavolo, Power C D ...
Disquette : Brutal, la démo
• D ream n°19
Dossier : sex'n'Amiga
Labo : Blitz Basic 2, Mediapoint...
Dossier : les dessous du rachat par
Escom
Disquette : Skidmarks démo
• D ream n°6
Dossier : le salon Imagina 94
Labo : ADPro 2.5, Quarterback...
Disquette : Personal Paint 4, version
complète
• D ream n°7
Reportage : l'Amiga à L'E3 de Los
Angeles
Disquette : OctaMed pro 5 .0 4 , version
complète
• D ream n°20
Dossier : l'Amiga et Internet
Labo : Photogenics 1.2, Kit tower
1200, Digita Organiser...
Disquette : Obsession Flipper, la démo
• D ream n°21
Dossier : transformez votre Amiga en
PC, M ac...
Labo : OctaMed 6, AsimCDFS, Fax on ...
Disquette : Flight Of The Amazon
Queen, la démo
• D ream n°22
Dossier : l'avenir ludique de l'Amiga
Labo : CD Write, lecteur Zip...
Disquette : Vroom Multiplayer, version
complète
• D ream n°23
Dossier : optimisez votre Workbench !
Reportage : l'Amiga aux commandes
du virtuel
Disquette : Coala, la démo
• D ream n°24
Dossier : choisir un lecteur CD-Rom
pour Amiga
Labo : Devpac 3.5, carte Piccolo,
Action replay 1200...
Disquette : Boston Bomb Club, version
complète
• D ream n°25
Dossier : l'Amiga expo fait un carton
Labo : Directory Opus 5.0
Disquette : Virus Checker 8.03
• D ream n °26
Dossier : les ordinateurs exotiques
Labo : ImagineVision, Blitz Basic 2.1,
Arts et frontières...
Disquette : Zeewolf 2, la démo
• D ream n°27
• D ream n°28
Dossier : les extension du PC au
service de l'Amiga
Labo : Tower TBD, SX32, TurboCalc
3.5, © -N etDisquette : TurboPrint Professional
4. 1, version light
• D ream n°29
Dossier : Viscorp rachète l'Amiga
Labo : DeltaTower, D iskSalv4...
Disquette : MandelTour AGA, version
complète
• D ream n°30
Dossier : toutes les clés pour éviter la
galère
Labo : Wordworth 5, World Atlas,
encyclopédie Adfi...
Disquette : Blitzbank 2.1
• D ream n°31
Dossier : le quizz de l'été
Labo : Image FX 2 .a, Artpad 2, Vid 24,
Kit Internet...
Disquette : une sélection de DP
• D ream n°32
Dossier : quel fournisseur Internet
choisir ?
Labo : Turbo print v 4 .1 ...
Disquette : Poweroïds
• D ream n°33
Dossier : le multimédia et l'Amiga
Labo : la carte Cyberstorm 060
Disquette : une sélection de DP
• D ream n°34
Dossier : la communauté Amiga à la
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Toute l'histoire
de la micro
De l'Eniac à la
BeBox en passant
par le ZX81,
l'Apple II ou
l'Amstrad,
découvrez la
grande aventure de
la micro
informatique. Avec un CD-Rom
15F
Le CD PC Team
♦PORIf
(n°10 à 24)
Retrouvez sur
chacun de ces
CD-Rom un
répertoire
Amiga
d'environ
10 Mo : jeux,
utilitaires,
astuces, fichiers images, sons...
cpteam
Dossier : le piratage
Labo : Scenery Animator, Vidi 24, le
PAR...
Disquette : Canon Studio, version
complète
• D ream n°8
Dossier : les simulateurs
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Directory Opus...
Disquette : Personal Font Maker,
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• D ream n°9
Dossier : l'Amiga en vacances
Labo : Imagine 3.0, Emplant
Disquette : Abank
• D ream n°10
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Disquette : une sélection de DP
• D ream n °1 1
Dossier : l'avenir de l'Amiga
Labo : Lightwave, Dice, Videostage...
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• D ream n°14
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Il Lite
• D ream n°15
Dossier : le rachat de l'Amiga
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Disquette Amiga : Gestion 2000
(dém o) et FirePower
• D ream n°40
Amigazone : Blobz, Cybervision 64
3D, Airmail
Linux : les distributions, Maëlstrom,
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Disquette Amiga : Amigameboy,
WebDesign, VirusZ-ll...
LES A N C I E N S N U M É R O S
A V E C CO A M I G A . A T A R I .
BE, L I N U X , R I S C P C . . .
30F
PORT
• Dream n°41 (épuisé)
Sur le CD : Kde, version complète
traitements de textes alternatifs
• Dream n°42 (épuisé)
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Connexion Internet : pourra-t-on aller
Scandale : la sécurité de Windows
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Labo : la Redhat 5.0 est arrivée, tous
plus vite ?
ébranlée par un grain de sable !
Découverte : Warp 4.0, le processeur
les OS de l'Atari, le Syjet sur Amiga,
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• Dream N°54
Sur le CD : Pov pour Amiga, Atari,
Sur le CD : tout Linux pour PowerMac
• D ream N°52
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et la version exclusive de Tornado 3D.
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• Dream n°45
• D ream N°49
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Dossier : Latex pour tous les systèmes
Com ment Netscape veut s'emparer
première !
Labo : Art effect 2, Applixware 4 .3 ...
d'Internet !
Test : la nouvelle interface de Linux
s'appelle Gnome !
Plein feu : les processeurs Alpha
Puces en cuivre : Ibm pousse le
Sur le CD : 50 Mo de bureautique
PowerPC à 1 Ghz
Spécial : W indows 95, Linux, Am iga...
Os/2, 25 Mo d'utilitaires graphiques
Mise au point : que vaudra Windows
Tous en réseau !
pour RiscOs, 50 Mo de jeux pour
Nt 5 ?
Emacs : le compagnon essentiel de
Falcon, 60 Mo de démos pour Amiga.
S.u.s.e. : la distribution Linux ultime ?
Linux enfin décortiqué !
• Dream N°46
Mais aussi : Compaq se paye les
Banc d'essai : que vaut la nouvelle carte
Dossier : remplacez Windows par la
stations les plus puissantes du monde,
graphique Pixel 64 ?
Debian Gnu Linux
Gateway 2000 présente le nouvel
• D ream N°53
Labo : Cyberstorm Ppc, The Gimp,
Amiga, réveillez la puissance
Micros, consoles, stations : toutes les
Hi Quality Version Available on AMIGALAND.COM
Window Maker...
d'Altavista...
Découverte : que vaut BeOs pr2 ?
• D ream N°50
l'imaginaire !
Sur le CD : distribution Debian Gnu
Linux, Amiga, BeOS : comment
A quoi sert vraiment Java ?
nouvelles puces 3D au service de
Linux (pour PC) et Dream Linux (pour
fonctionne un système d'exploitation ?
Test : éxécuter des applications
Amiga). Logiciels Gnu pour Os/2, 40
Le nouvel Amiga est une bombe !
W indows 95 sous Linux.
Mo de démos Falcon, 100 Mo de
Apprenez à graver un CD-Rom !
Compatible tous systèmes,
démos commerciales pour Risc PC.
Rhapsody, le croisement parfait entre
exclusivement en réseau : Citrix
• Dream N°47
Unix et MacOS !
présente l'ordinateur universel !
Dossier : les secrets des nouveaux
La compilation du noyau enfin
Project-X : Amiga et Motorola sont-ils
processeurs.
expliquée !
vraiment derrière la technologie du
Labo : deux stations Alpha, Kde,
Descent arrive sur Amiga !
futur ?
Cyberstorm Mk3, Coldfire...
Wordperfect 7 et Wordworth 7, les
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Informatiques et libertés : en application de l'article 127 de la loi du 6 janvier 1978, relative à l'inform atique et aux libertés, vous disposez d'un droit d ’a ccès et de rectification pour toute information vous concernant en vous
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