Simone de Beauvoir

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Simone de Beauvoir
Simone de Beauvoir
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Simone de Beauvoir
Philosophe occidentale
Époque contemporaine
Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre et Che Guevara à La
Havane en 1960
Naissance :
9 janvier 1908 à Paris, France
Décès :
14 avril 1986 (78 ans) à Paris
École/tradition :
Existentialisme
Féminisme
Principaux
intérêts :
Féminisme
Politique
Éthique
Idées
remarquables :
Éthiques du féminisme, Féminisme
existentialiste, Éthiques de l'ambiguïté
Œuvres
principales :
Le Deuxième Sexe
Les Mandarins
Une mort très douce
Les Belles Images
Influencé par :
Descartes, Wollstonecraft, Kant, Hegel,
Husserl, Kierkegaard, Heidegger, Marx,
Nietzsche, Sade, Sartre
A influencé :
Butler, Camus, Sartre, Paglia, Friedan,
Rich, Greer
Simone de Beauvoir (de son vrai nom Simone-Lucie-Ernestine-Marie Bertrand de Beauvoir),
née le 9 janvier 1908 à Paris et morte le 14 avril 1986 à Paris, est une philosophe, romancière et
essayiste française. Elle a partagé la vie et les idées du philosophe Jean-Paul Sartre et s'est attachée
au combat pour la condition des femmes.
Biographie [
Les jeunes années
Simone de Beauvoir est la fille de Georges de Beauvoir, éphémère avocat et comédien amateur, et
de Françoise Brasseur, jeune femme issue de la bonne bourgeoisie de Verdun.
Elle voit le jour dans un appartement cossu du boulevard Raspail et entre à l'âge de 5 ans au Cours
Desir, où sont scolarisées les filles de bonnes familles. Sa sœur cadette Hélène (dite Poupette) l'y
rejoint deux ans plus tard. Dès le plus jeune âge, Simone se distingue par ses capacités
intellectuelles et se partage chaque année la première place avec Elisabeth Lacoin (dite Elisabeth
Mabille ou « Zaza » dans son autobiographie). Zaza devient rapidement sa meilleure amie même si
Simone souffre en silence du manque de réciprocité.
Après la Première Guerre mondiale son grand-père maternel Gustave Brasseur, président de la
Banque de la Meuse, fait faillite et est déclaré banqueroutier précipitant toute sa famille dans le
déshonneur et la déconfiture. Aussi les parents de Simone sont-ils contraints, par manque de
ressources, de quitter l'appartement cossu du boulevard Raspail pour un autre appartement, sombre,
exigu et au sixième étage d'un autre immeuble du même boulevard (au-dessus de l'actuel restaurant
« La Rotonde »). Georges de Beauvoir espérait vivre avec l'argent de son épouse. Celle-ci se sentira
coupable toute sa vie, envers son mari, de cette dot engloutie. Simone en souffre et voit les relations
entre ses parents se dégrader. Toute son enfance sera marquée par le fait d'être une femme : son
père espérait avoir un fils pour en faire un polytechnicien. D'ailleurs, il répètera à Simone : « tu as
un cerveau d'homme ». Passionné de théâtre (il suit des cours d'art dramatique), il en a donné le
goût à son épouse et à ses enfants, ainsi que celui de son amour pour la littérature. Selon lui, « le
plus beau métier est celui d'écrivain ». Avec son épouse, il est persuadé que seules les études
peuvent sortir leurs filles de la condition médiocre dans laquelle elles se trouvent.
Dans sa jeunesse, Simone venait passer ses vacances d'été à Saint-Ybard, dans le parc de
Meyrignac, créé vers 1880 par son grand-père Ernest de Beauvoir. La propriété avait été acquise par
son arrière-grand-père Narcisse Bertrand de Beauvoir au début du XIXe siècle. On retrouve de
multiples évocations de ces séjours heureux en compagnie de sa soeur Hélène dans ses Mémoires
d'une jeune fille rangée : « Mon amour pour la campagne prit des couleurs mystiques. Dès que
j'arrivais à Meyrignac, les murailles s'écroulaient, l'horizon reculait. Je me perdais dans l'infini
tout en restant moi-même. Je sentais sur mes paupières la chaleur du soleil qui brille pourr tous et
qui ici, en cet instant, ne caressait que moi. Le vent tournoyait autour des peupliers : il venait
d'ailleurs, il bousculait l'espace, et je tourbillonnais, immobile, jusqu'aux confins de la terre. Quand
la lune se levait au ciel, je communiais avec les lointaines cités, les déserts, les mers, les villages
qui au même moment baignaient dans sa lumière. Je n'étais plus une conscience vacante, un regard
abstrait, mais l'odeur houleuse des blés noirs, l'odeur intime des bruyères, l'épaisse chaleur du midi
ou le frisson des crépuscules ; je pesais lourd, et pourtant je m'évaporais dans l'azur, je n'avais plus
de bornes1 ». C'est au contact de la nature et au cours de longues marches solitaires dans la
campagne que le désir d'une vie « hors du commun » se forge dans l'esprit de Simone.
À quinze ans, son choix est déjà fait, elle sera une écrivain célèbre. Elle obtiendra de nombreux
diplômes : licences de littérature, grec, latin, philosophie, mathématiques... mais elle a surtout une
révélation pour la philosophie et décide d'approfondir cette matière à la faculté des lettres de
l'université de Paris. Elle y rencontre d'autres intellectuels en herbe, notamment Jean-Paul Sartre
qu'elle compare à un génie. Une relation mythique se nouera entre eux, dès cette époque, que seule
la mort rompra. Elle sera son « amour nécessaire » en opposition aux « amours contingentes » qu’ils
seront amenés à connaître tous deux. Simone de Beauvoir fut reçue seconde à l'Agrégation de
philosophie.
La mort de Zaza cette même année la plonge dans une grande souffrance. Simone, élevée par une
mère pieuse, a perdu la foi dès sa quatorzième année (d'après les mémoires d'une jeune fille rangée),
bien des années avant son agrégation de philosophie, avant même son départ du cours Désir et
marque ainsi son émancipation vis-à-vis de sa famille.
L'enseignante
Dès l'agrégation en 1929, Simone, ou plutôt Castor2 – surnom que lui donne Herbaud et qui ensuite
est repris par Sartre car « Beauvoir » est proche de l'anglais beaver (signifiant castor), et que,
comme elle, « Les Castors vont en bande et ils ont l'esprit constructeur » (dans Mémoires d'une
jeune fille rangée)3 – devient professeur de philosophie. Elle se trouve mutée à Marseille. La
perspective de quitter Sartre, lui-même muté au Havre, la jette dans l'angoisse et ce dernier lui
propose de l'épouser afin d'obtenir un poste dans le même lycée. Bien que viscéralement attachée à
Sartre, elle rejette la proposition avec horreur (l'épisode est raconté dans La force de l'âge). L'année
suivante, elle parvient à se rapprocher de Sartre en obtenant un poste à Rouen où elle fait la
connaissance de Colette Audry, enseignante dans le même lycée. Elle devient très proche de
certaines élèves, notamment Olga Kosakiewitcz et Bianca Lamblin avec qui elle entretient des
relations homosexuelles, le « pacte » la liant à Sartre lui permettant de connaître des « amours
contingentes ». Elle se lie également avec un élève de Sartre, « le petit Bost », futur mari d'Olga, qui
devient entre-temps la maîtresse de Sartre. Ce groupe d'amis surnommé « la petite famille » reste
indéfectible jusqu'à la mort de chacun d'entre eux, malgré petites brouilles comme graves conflits.
Peu avant la Seconde Guerre mondiale, le couple Sartre-Beauvoir est muté à Paris. Beauvoir voit
son premier roman Primauté du spirituel, écrit entre 1935 et 1937, refusé par Gallimard et Grasset
(il paraîtra en 1979 sous le titre Quand prime le spirituel puis Anne ou quand prime le spirituel).
L'invitée est publié en 1943. Elle y décrit, à travers des personnages imaginaires, la relation entre
Sartre, Olga et elle-même, tout en élaborant sa réflexion philosophique concernent la lutte entre les
consciences et les possibilités de la réciprocité. Le succès est immédiat. Suspendue en juin 1943 de
l'Éducation nationale à la suite d'une plainte pour « excitation de mineure à la débauche » déposée
en décembre 1941 par la mère de Nathalie Sorokine, elle sera réintégrée à la Libération4. Elle
travaille pour la radio (« Radio-Vichy ») où elle organise des émissions consacrées à la musique à
travers les époques.
L'écrivaine engagée
Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre devant la statue de Balzac à Paris dans les années 1920
Avec Sartre, Raymond Aron, Michel Leiris, Maurice Merleau-Ponty, Boris Vian et quelques
intellectuels de gauche, elle fonde un journal : Les temps modernes qui a pour but de faire connaître
l'existentialisme à travers la littérature contemporaine. Mais elle continue cependant son œuvre
personnelle. Après plusieurs romans et essais où elle parle de son engagement pour le communisme,
l'athéisme et l'existentialisme, elle obtient son indépendance financière et se consacre totalement à
son métier d'écrivaine. Elle voyage dans de nombreux pays (É.-U., Chine, Russie, Cuba, etc.) où
elle fait la connaissance d'autres personnalités communistes telles que Fidel Castro, Che Guevara,
Mao Zedong, Richard Wright. Aux États-Unis, elle engage une relation passionnée avec l'écrivain
américain Nelson Algren, et lui envoie plus de 300 lettres.
En 1949, elle obtient la consécration en publiant Le Deuxième Sexe. Le livre se vend à plus de 22
000 exemplaires dès la première semaine, occasionne la publication des articles contradictoires de
Armand Hoog (contre) et de Francine Bloch (pour) dans la revue La Nef, et fait scandale au point
que le Vatican le mette à l'index. François Mauriac, l'ennemi de toujours écrira aux Temps
modernes : « à présent, je sais tout sur le vagin de votre patronne ». Beauvoir devient la figure de
proue du féminisme en décrivant une société qui maintient la femme dans une situation d'infériorité.
Son analyse de la condition féminine à travers les mythes, les civilisations, les religions, l'anatomie
et les traditions fait scandale, et tout particulièrement le chapitre où elle parle de la maternité et de
l'avortement, assimilé à un homicide à cette époque. Quant au mariage, elle le considère comme une
institution bourgeoise aussi répugnante que la prostitution lorsque la femme est sous la domination
de son mari et ne peut en échapper.
En 1954, elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins et devient l'un des auteurs les plus lus
dans le monde. Ce roman qui traite de l'après-guerre met en lumière sa relation avec Nelson Algren,
toujours à travers des personnages imaginaires. Algren ne peut pas supporter le lien qui unit
Beauvoir à Sartre, celle-ci ne pouvant y mettre un terme, ils décident de rompre.
À partir de 1958, elle entreprend son autobiographie où elle décrit son milieu bourgeois rempli de
préjugés et de traditions avilissantes et les efforts pour en sortir en dépit de sa condition de femme.
Elle décrit aussi sa relation avec Sartre en la qualifiant de totale réussite. Pourtant, bien que la
relation qui les unit soit toujours aussi passionnée, ils ne sont plus un couple au sens propre du
terme, et ce depuis longtemps, même si Beauvoir laisse entendre le contraire à ses lecteurs.
En 1964, elle publie Une mort très douce qui retrace la mort de sa mère. D'après Sartre, c'est son
meilleur écrit. Le thème de l'acharnement thérapeutique et de l'euthanasie y sont évoqués à travers
des lignes poignantes d'émotion. Dans cette épreuve de deuil, elle est soutenue par une jeune fille
dont elle a fait la connaissance à la même époque : Sylvie Le Bon, une jeune étudiante en
philosophie. La relation qui unit les deux femmes est obscure : relation « mère-fille », « amicale »,
ou « amoureuse »... Simone de Beauvoir déclare dans Tout compte fait, son quatrième tome
autobiographique, que cette relation est semblable à celle qui l'unissait à Zaza cinquante ans plus
tôt. Sylvie Le Bon devient sa fille adoptive et héritière de son œuvre littéraire et de l'ensemble de
ses biens.
L'influence de Beauvoir, associée à Gisèle Halimi et Elisabeth Badinter, a été décisive pour obtenir
la reconnaissance des tortures infligées aux femmes lors de la guerre d'Algérie et le droit à
l'avortement. Elle est à l'origine du Manifeste des 343. Avec Gisèle Halimi, elle a cofondé le
mouvement Choisir, dont le rôle a été déterminant pour la légalisation de l'Interruption volontaire
de grossesse. Durant toute sa vie, elle a étudié le monde dans lequel elle vivait, en visitant usines et
institutions, à la rencontre d'ouvrières et de hauts dirigeants politiques.
Tombe de Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir
Après la mort de Sartre en 1980, elle publie La Cérémonie des adieux où elle décrit les dix
dernières années de son compagnon avec des détails médicaux et intimes si crus qu'elle choque bon
nombre des disciples du philosophe. Ce texte est suivi des entretiens qu'elle enregistra, à Rome, en
août et septembre 1974 dans lesquels Sartre revient sur sa vie et précise certains points de son
œuvre. Elle veut surtout montrer comment celui-ci a été manipulé par Benny Lévy pour lui faire
reconnaître une certaine "inclination religieuse" dans l'existentialisme alors que l'athéisme en était
l'un des piliers. Pour Beauvoir, Sartre ne jouissait plus de toutes ses facultés intellectuelles et n'était
plus en mesure de lutter philosophiquement. Elle avoua également à mi-mot combien l'attitude de la
fille adoptive de Sartre, Arlette Elkaïm-Sartre avait été détestable à son égard. Elle conclut avec
cette phrase : « Sa mort nous sépare. Ma mort ne nous réunira pas. C'est ainsi ; il est déjà beau que
nos vies aient pu si longtemps s'accorder ».
Elle s'éteint en 1986 à Paris entourée de sa fille adoptive, Sylvie Le Bon de Beauvoir et de Claude
Lanzmann. Ses funérailles furent aussi grandioses que celles de Sartre, et suivies par des femmes du
monde entier. Elle est enterrée au cimetière du Montparnasse à Paris, dans la 20e division — juste à
droite de l'entrée principale boulevard Edgard Quinet — aux côtés de Jean-Paul Sartre. Simone de
Beauvoir est enterrée avec l'anneau de Nelson Algren à son doigt.
Théories
Ardente avocate de l’existentialisme théorisé par son compagnon Jean-Paul Sartre, elle soulève des
questionnements afin de trouver un sens à la vie dans l’absurdité d’un monde dans lequel nous
n’avons pas choisi de naître. Associée à celle de Sartre, son œuvre s’en différencie dans la mesure
où elle aborde le caractère concret des problèmes, préférant une réflexion directe et ininterrompue
sur le vécu.
Dans Le Deuxième Sexe, elle affirme : « On ne naît pas femme, on le devient » (repris du concept
proposé par Tertullien) : c'est la construction des individualités qui impose des rôles différents,
genrés, aux personnes des deux sexes. Son livre souleva un véritable tollé et son auteur fut parfois
calomniée. Rares furent ceux qui lui apportèrent du soutien. Elle reçut cependant celui de Claude
Lévi-Strauss qui lui dit que du point de vue de l'anthropologie, son ouvrage était pleinement
acceptable. De grands écrivains comme François Mauriac ne comprirent pas le sens polémique de
son écriture précise et clinique, et furent du nombre de ses détracteurs.
Annexes
Œuvres
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L'Invitée, 1943
Pyrrhus et Cineas, 1944
Le Sang des autres, 1945
Les Bouches inutiles, 1945
Tous les hommes sont mortels, 1946
Pour une morale de l'ambiguïté, 1947
L'Amérique au jour le jour, 1948
Le Deuxième Sexe, 1949
Les Mandarins, 1954
Privilèges, 1955
La Longue Marche, 1957
Mémoires d'une jeune fille rangée, 1958
La Force de l'âge, 1960
La Force des choses, 1963
Une mort très douce, 1964
Les Belles Images, 1966
La Femme rompue, 1968
La Vieillesse, 1970
Tout compte fait, 1974
Quand prime le spirituel, 1979
La Cérémonie de adieux, 1981
Œuvres posthumes
Sylvie Le Bon de Beauvoir, héritière de l'œuvre de Beauvoir a traduit, annoté et publié de
nombreux écrits de sa mère adoptive, en particulier sa correspondance avec Sartre, Bost et Algren.
Ce travail colossal et qui restitue parfaitement le style "Beauvoir" lève le rideau sur la vie intime de
Beauvoir, en révélant sans ambigüité sa bisexualité, et son exaspération vis-à-vis de certains
proches encore vivants au moment de la publication, tels que sa sœur Hélène (qui en fut anéantie),
et ses anciennes amantes.
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Lettres à Sartre, tome I : 1930-1939, 1990
Lettres à Sartre, tome II : 1940-1963, 1990
Journal de guerre, septembre 1939 - janvier 1941, 1990
Lettres à Nelson Algren, 1997
Correspondance croisée avec Jacques-Laurent Bost, 2004
Cahiers de jeunesse, 1926-1930, 2008
Bibliographie
•
Danièle Sallenave, Castor de guerre, Gallimard, 2008, 601 pages, (ISBN 2070781461)
•
Claudine Monteil, Les Amants de la Liberté, Sartre et Beauvoir dans le siècle, Editions
1/Calmann-Levy 1999, poche collection J'ai Lu n°6133;
•
Claudine Monteil. "Les Soeurs Beauvoir" édtions 1/Calmann-Levy, 2003.
Filmographie
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2006 : Les Amants du Flore - téléfilm de Ilan Duran Cohen avec Anna Mouglalis dans le
rôle de Simone de Beauvoir.
•
2006 : Sartre, l'âge des passions - téléfilm de Claude Goretta en 2 épisodes avec Anne
Alvaro dans le rôle de Simone de Beauvoir.
Articles connexes
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Passerelle Simone-de-Beauvoir (Pont de Paris)
Hélène de Beauvoir, sa soeur cadette
Liens externes
Voir aussi sur Wikiquote les citations « Simone de Beauvoir ».
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Site de Claudine Monteil, écrivaine, militante pour les droits des femmes en France et
spécialiste reconnue sur le plan international de Simone de Beauvoir.
Archives de Radio-Canada, cette entrevue de 1959 avait été censurée à l'époque.
Toutes les archives télé sur Simone de Beauvoir INA Archives Télé
Eloges et critiques
La lesbienne dans le Deuxième Sexe par Marie-Jo Bonnet, historienne
Sur BibliObs, un dossier " Simone de Beauvoir, la scandaleuse", enrichi de nombreuses
archives issues du "Nouvel Observateur" et de l'INA.
Notes et références
1.
2.
3.
4.
↑ Mémoires d'une jeune fille rangée
↑ C'est René Maheu, dit Herbaud, camarade de sa promotion, qui la désigna la première fois par ce surnom
lorsqu'elle avait 20 ans.
↑ Beaver désigne le sexe féminin en argot anglais.
↑ cf Marie-Jo Bonnet, « La lesbienne dans Le Deuxième Sexe », 10 novembre 2005.

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