EXÉGÈSE CORANIQUE ( تَفْسِيرُ القُرْآنِ الكَرِيـمِ ) [AN

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EXÉGÈSE CORANIQUE ( تَفْسِيرُ القُرْآنِ الكَرِيـمِ ) [AN
Exégèse du Coran
al-Fātiĥa et chapitres ‘Amma et Sabbiĥ
Inspirée des plus célèbres traités
d’exégèse classiques et contemporains
Abdelmadjid IHADDADENE
LE RELAIS
Du même auteur, aux éditions Le Relais :
- Introduction aux sciences du Ĥadith
- Les six piliers de la foi.
© Éditions Le Relais
www.editionslerelais.com
[email protected]
ISBN 978-2-917850-08-4
Paris, 2009
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procédé que ce soit, tant électronique que mécanique, et en particulier par photocopie et par
microfilm, sauf pour tout critique littéraire faisant usage de courte citations pour la
publication d’une revue ou d’un journal est interdite sans l’autorisation écrite de l’éditeur.
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Voyelles courtes : a ; i ; u
Voyelles longues : ā ; ī ; ū
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INTRODUCTION
Le Prophète  a eu pour mission de transmettre le Coran et
d’éclairer les musulmans sur son contenu : « et vers toi, Nous
avons fait descendre le Coran, pour que tu exposes clairement aux gens ce
qu'on a fait descendre pour eux et afin qu'ils réfléchissent. » [16 : 44].
Cependant, le Prophète  n’avait pas besoin de tout expliquer,
car à l’époque, les arabes comprenaient le plus souvent la
majeure partie du Coran. Ce dernier étant révélé dans un arabe
clair : « un Coran [en langue] arabe, dénué de tortuosité, afin qu'ils soient
pieux! » [39 : 28]. En outre, tout interpréter reviendrait à fermer le
texte coranique à toute tentative de méditation pour les
générations futures. L’exégèse prophétique est de deux types :
L’exégèse par la pratique : Les versets invitant les musulmans à
accomplir la prière, le pèlerinage, ou de s’acquitter de l’aumône
avaient besoin d’être expliqués par le Prophète  car bien que
les termes « ŝalāt, ĥajj , zakāt » soient connus des arabes, leurs
significations religieuses leur échappaient. Exemple : combien
de prières doit-on accomplir quotidiennement, le nombre
d’unités dans chaque prière, à quel moment de la journée, etc.
Les étapes du ĥajj dans l’ordre, les lieux de sacralisation,
certaines obligations et certains interdits sont omis dans le
Coran. Les types de biens soumis à l’aumône, les montants à
prélever, etc. La pratique du Prophète  dans ces domaines
servait de référence pour les exégètes.
L’exégèse orale : Le Prophète  a expliqué certains versets que
les spécialistes du ĥadīth ont transmis. En voici quelques
exemples :
5
approcher le sens des versets coraniques, elle demeure toutefois
limitée. Seule une œuvre exégétique permet d’aborder la
polysémie du vocabulaire coranique et de donner un espace
suffisant à la pluralité des significations élaborées par d’illustres
exégètes tout au long de l’histoire musulmane. Notre ouvrage
se veut par conséquent une contribution modeste à cet effort
collectif afin de rendre plus accessibles les sens du texte
coranique. D’emblée, le choix de la dernière partie du Coran
s’est imposé à nous car elle occupe au sein de la communauté
musulmane une place particulière. En effet, de par leurs
volumes et la brièveté de leurs versets, les dernières sūrates
sont facilement mémorisables et sont par conséquent apprises
dès la petite enfance et récitées fréquemment dans les prières
quotidiennes. Notre souhait est que, outre l’enseignant,
l’étudiant et le parent, le lecteur intéressé par la compréhension
du Coran trouvera dans cet ouvrage un contenu et une
méthodologie clairs, car inspirés des meilleurs traités d’exégèse
à la fois classiques et contemporains (voir bibliographie). Nous
avons jugé utile d’ajouter un bref commentaire de la première
sūrate du Coran, al-Fātiĥa, bien qu’elle ne soit pas comprise
dans la dernière partie, en raison de sa place particulière dans le
cœur de chaque musulman et dans sa vie cultuelle.
9
AL-FĀTIĤA [1]
Prologue ou Ouverture
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NOMS : De toutes les sūrates coraniques, celle-ci est celle qui
porte le plus de noms. En voici les principaux : sūrate « alfātiĥa –l’ouverture-»1 ; sūrate « umm al-kitāb –la source et la
somme du Livre- »2, « umm al-qur’ān –la source et la somme du
Coran- » ; sūrate « as-sab‘ al-mathānī –les sept que l’on répète- »3 ;
sūrate « al-ĥamd –la louange- » et sūrate « ash-shāfiya –celle qui
guérit- »4.
PÉRIODE DE RÉVÉLATION : Cette sūrate fut révélée à la
Mecque, au début de l’islam car les exégètes s’accordent dans
leur majorité à considérer que le verset mecquois : « Nous t'avons
certes donné ‹les sept versets que l'on répète›, ainsi que le Coran Sublime. »
[15 : 87] fait référence à cette sūrate. Et bien qu’elle soit située au
début du Coran, elle n’est pas, selon l’immense majorité des
spécialistes, la première révélée. Un autre avis, attribué à Abū
Hurayra, az-Zuhrī, Mujāhid et ‘Aţā’ b. Yasār, soutient qu’elle
est médinoise. Mais cet avis demeure très faible en raison du
1 Ce nom demeure le plus connu. Il est cité dans des ĥadīth prophétiques, comme
celui-ci : « Point de prière valide sans la récitation de fātiĥat al-kitāb » al-Bukhārī et Muslim.
2 Selon Ibn Kathīr, les exégètes comme Anas b. Mālik, al-Ĥasan al-Baŝrī et Ibn Sīrīn
n’aiment pas qu’on désigne cette surate ainsi, car disent-ils, umm al-Kitāb désigne
plutôt la Table Gardée (al-Lawĥ al-maĥfūź).
3 En vertu du verset coranique : « Nous t'avons certes donné ‹les sept versets que l'on
répète›, ainsi que le Coran Sublime. » [15 : 87]
4 Selon le ĥadīth affirmant que « fātiĥat al-kitāb guérit de tous les poisons ». Rapporté
par : at-Tirmidhī et al-Ĥākim.
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verset cité précédemment et du fait que la prière a été instituée
au début de l’islam. Or, comme l’affirme al-Qurţubī, on ne
connaît pas en islam une prière sans al-fātiĥa.1 Ce qui a
vraisemblablement induit cette erreur est le ĥadīth rapporté par
Ibn ‘Abbās, selon lequel : «Alors que l'Ange Gabriel était assis
auprès du Prophète, voilà qu'il entendit un bruit venant d'en
haut. Il leva la tête et dit : «C'est une porte du ciel qui vient de
s'ouvrir aujourd'hui et jamais elle ne s'est ouverte auparavant».
A travers cette porte descendit un Ange et Gabriel dit : «Voilà
un Ange qui vient de descendre sur terre et il n'y est jamais
descendu avant ce jour». L'Ange les salua et dit à Muĥammad :
«Félicite-toi de deux lumières que Dieu t'a données et qu'il n'a
données à aucun prophète avant toi. Ce sont: l’ouverture du
Livre (al-fātiĥa) et les deux derniers versets de la deuxième
sūrate (al-Baqara). Tu ne liras pas une seule lettre de ces versets
sans obtenir aussitôt les bonnes choses qui y sont demandées à
Dieu pour les Croyants »2. Or, ce ĥadīth ne mentionne pas
explicitement que la révélation de al-fātiĥa a eu lieu à Médine.
La descente exceptionnelle de cet Ange avait pour but, comme
le souligne al-Qurţubī, de confirmer solennellement la très
grande récompense accordée à celui qui récite les dits versets. Si
tel n’était pas le cas, on pourrait penser qu’une partie du Coran
n’a pas été révélée par Jibrīl. Ce qui n’est évidemment pas le
cas, car le Coran affirme explicitement que tous les versets
furent révélés par l’Ange Jibrīl : « et l'Esprit fidèle est descendu avec
cela (le Coran) » [26 : 193].
MÉRITES : Cette sūrate que chaque musulman pratiquant
récite dans ses prières quotidiennes et dans diverses occasions,
constitue l’un des mystères coraniques. Car, quand bien même
sa récitation est répétée plusieurs fois par jour, elle garde
toujours sa fraîcheur. En effet, le sentiment de lassitude n’est
jamais éprouvé à son égard, bien au contraire, une forme de
délectation accompagne souvent sa bonne récitation. Et, s’il n’y
avait comme seul mérite pour cette sūrate le fait que sa
1
2
al-Qurţubī : al-Jāmi‘ li-aĥkām al-Qur’ān.
Ĥadīth rapporté par Muslim.
11
AN-NABA’ [78]
La Nouvelle
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NOMS : Sūrate « ‘Amma », « ‘Amma yatasā’alūn », « anNaba’ », at-Tasā’ul » et « al-Mu‘ŝirāt ».
PÉRIODE DE RÉVÉLATION : Elle est mecquoise à l’unanimité
des exégètes. Elle aurait été révélée 80ème, après sūrate « alMa‘ārij -70-» et avant « an-Nāzi‘āt -79-».
CIRCONSTANCES DE RÉVÉLATION : Ibn ‘Abbās et al-Ĥasan alBaŝrī rapportent que, lorsque les mecquois commencèrent à
s’interroger sur la Révélation et particulièrement sur la
Résurrection, Allāh révéla cette sūrate1. Si ces traditions
s’avèrent authentiques, cela corroborerait l’avis, minoritaire,
affirmant que cette sūrate fut parmi les premières sūrates
mecquoises. Le contenu, le style et le ton de cette sūrate sont en
effet typiquement ceux de la première période mecquoise.
1. Sur quoi s'interrogent-ils mutuellement?
∩⊇∪ tβθä9u™!$|¡tFtƒ §Νtã
« ‘Amma » est une contraction de deux mots « ‘An (sur) +
Mādhā (quoi)». Les interrogations suscitées par la prophétie de
Muĥammad () sont de deux types : il y a d’abord les
interrogations animées par la curiosité et ce cas est assez rare. Il
y a ensuite les interrogations moqueuses que le Coran a citées à
plusieurs reprises. Par exemple : « il cite pour Nous un exemple,
tandis qu'il oublie sa propre création ; il dit : ‹Qui va redonner la vie à des
ossements une fois réduits en poussière?› » [36 : 78]
2. Sur la grande nouvelle,
∩⊄∪ ÉΟ‹Ïàyèø9$# Î*t6¨Ζ9$# Ç⎯tã
Muĥammad aţ-Ţāhir b. ‘Āshūr: Tafsīr at-taĥrīr wa t-tanwīr. al-Qurţubī : al-jāmi‘ liaĥkām al-Qur’ān.
1
22
INDEX THÉMATIQUE DE JUZ’ ‘AMMA
•
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•
Nombre de sūrates : 37 (32.45% du nombre total des sūrates)
Nombre de versets : 564 (9.04 % du nombre total des versets)
Nombre de lettres : 9629 (2.98 % du nombre total des lettres)
La première sūrate révélée au Prophète  : Iqra’ [96]
La dernière sūrate révélée au Prophète  : an-Naŝr [110].
1. LA FOI :
A)-
TAWĤĪD : l’unicité de Dieu [85 : 8 ; 112 : 1] ; l’adoration exclusive
de Dieu [98 : 5 ; 109] ;
B)- LES NOMS ET ATTRIBUTS DE DIEU : Allāh [79 : 25 ; 81 : 29 ; 82 : 19 ;
84 : 23 ; 85 : 8, 9, 20 ; 87 : 7 ; 88 : 24 ; 91 : 13 ; 95 : 8 ; 96 : 14 ; 98 : 2, 5, 8 ; 104 : 6 ; 110 : 1,
2 ; 112 : 1, 2] ; ar-Rabb [78 : 36, 37, 39 ; 79 : 16, 19, 24, 40, 44 ; 81 : 29 ; 82 : 6 ; 83 : 6,
15 ; 84 : 2, 5, 6, 15 ; 85 : 12 ; 87 : 1, 15 ; 89 : 6, 13, 14, 15, 16, 22, 28 ; 91 : 14 ; 92 : 20 ; 93 : 3,
5, 11 ; 94 : 8 ; 96 : 1, 3, 8 ; 97 : 4 ; 98 : 8 ; 99 : 5 ; 100 : 6, 11 ; 105 : 1 ; 106 : 3 ; 108 : 2 ; 110 :
3 ; 113 : 1 ; 114 : 1] ; aŝ-Ŝamad [112 : 2] ; al-Akram [96 : 3] ; ar-Raĥmān [78 :
; al-Wadūd [85 : 14] ; al-Ghafūr [85 : 14] ; al-Majīd [85 : 15] ; alKarīm [82 : 6] ; al-‘Azīz [85 : 8] ; al-Ĥamīd [85 : 8] ; al-A‘lā [87 : 1 ; 92 : 20] ;
ash-Shahīd [85 : 9] ; al-Khabīr [100 : 11] ; at-Tawwāb [110 : 3] ; al-Aĥad
[112 : 1] ; Aĥkam al-Ĥākimīn [95 : 8] ; Dhū l-‘Arsh [81 : 20 ; 85 : 15] ; lam
yalid wa lam yūlad [112 : 3] ; Ilāh an-nās [114 : 3] ; Malik an-nās [114 :
2] ; al-Ladhī lahu mulku as-samāwāt wa l-arď [85 : 9].
37, 38]
C)-
L’AGIR DIVIN : Celui qui fait ce qu’Il veut [85 : 16] ; Celui qui a
créé et guidé [87 : 2] ; Celui qui enseigne [96 : 4, 5] ; Celui qui guide [92 :
12] ; Celui qui facilite [87 : 8 ; 92 : 7] ; Celui dont le châtiment est unique
[89 : 25] ; Celui qui connaît l’apparent et le secret [87 : 7] ; Celui qui
assure la subsistance et la sécurité [106 : 4] ; Celui qui a puni des
communautés précédentes [79 : 25 ; 89 : 13 ; 91 : 14 ; 105] ; Celui dont le
châtiment est redoutable [85 : 12] ; Il ruse [86 : 16] ; Celui qui a parlé à
Moïse [79 : 16].
312

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