sons of kemet - Châteauvallon

Transcription

sons of kemet - Châteauvallon
CHÂTEAUVALLON.COM
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GENRE
MUSIQUE
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DATE(S)
SAMEDI 4 MARS 2017
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HORAIRE(S)
20H30
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DURÉE
1H30
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SPECTACLE
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SONS OF KEMET
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MENTIONS
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Dunose Productions
THÉÂTRE COUVERT
PROCHAINEMENT
SONS
OF
KEMET
Aventureux et inspiré, le groupe phare de la nouvelle scène jazz anglaise déploie un
ethio-jazz multiforme qui emprunte à un large ensemble de cultures de la diaspora
africaine. Shabaka Hutchings (saxophoniste, clarinettiste et compositeur), Theon
Cross (tuba), Seb Rochford et Tom Skinner (percussions et batterie), s’aventurent
sur les rives du jazz et du rock, des sonorités caribéennes et de la musique
africaine. Une marque de fabrique reconnaissable immédiatement qui a valu au
groupe le prix du Best Jazz Act au MOBO Awards dès son premier album «Burn»
en 2013. Qualifiée d’éloquente, de féroce et d’explosive, sa musique explore un
arc-en-ciel de couleurs rythmiques et d’impressions de voyages lors de sets live
incendiaires. Comme en témoigne son dernier opus «Lest We forget What We Came
Here To Do» !
Shabaka Hutchings
Saxophone/Clarinette
Theon Cross
Tuba
Seb Rochford
Percussions et batterie
Tom Skinner
Percussions et batterie
Shabaka Hutchings, 31 ans, est un des phénomènes de la nouvelle scène jazz
Londonienne.
Rapidement remarqué sur ses collaborations (Mulatu Astatke, The Heliocentrics,
Courtney Pine, Soweto Kinch, Melt Yourslef Down, A comet is coming...) et supporté par les prescripteurs britaniques (BBC, Mobo, Gilles Peterson, Ronnie Scott’s)…
Sons of Kemet est son premier projet en tant que leader, et il ne passera pas
inaperçu.
Cette formation atypique - un saxophone ténor, un tuba et deux batteries - sonne
tel un brass band de poche sur-gonflé. Les quatres musiciens proposent une nouvelle forme bouillonnante entre jazz, punk, free jubilatoire, great black music: un
road trip entre la Nouvelle-Orléans, l’Egypte antique, Addis-Abeba et l’Afrique de
l’Ouest.
Les concerts de Sons of Kemet sont autant de cérémonies incantatoires appelant
le public à se libérer sur un tempo transe. Depuis la sortie de leur premier album
« Burn » en 2012, Shabaka a conquis l’Angleterre et tourne dans toute l’Europe,
touchant simultanément le public du jazz et un nouveau public émergeant, affranchi des classifications à la recherche de « la bonne musique » et « la bonne
énergie ».
«Lest Forget What We Came Here To Do» est le deuxième album de Sons of Kemet
sorti fin septembre 2015.
EXTRAITS DE PRESSE
Sons Of Kemet publie un deuxième album simple et sauvage.
Aventureux et inspiré, le groupe phare de la nouvelle scène jazz anglaise est de
retour. Musiques du monde contre musique des mondes : le deuxième album
du groupe anglais Sons Of Kemet ressemble à une séance de spiritisme pendant un tremblement de terre. Des rêves intenses et agités de voyages éclairs
dans l’Egypte ancienne, dans les Caraïbes d’avant les conquistadors, à La
Nouvelle-Orléans un jour de Mardi-Gras cyclonique, à Chicago pendant la
grande libération du jazz, à Addis-Abeba pendant l’invention de l’éthio-jazz.
Une musique panoramique et transversale, toujours afrocentrée, qui tire son
charme et sa singularité de l’économie de moyens : deux batteries, un saxophone et un tuba, rien de plus. Le patron du groupe est le saxophoniste, Shabaka Hutchings, Londonien d’origine caribéenne, déjà croisé dans les Heliocentrics ou chez Soweto Kinch. Un pilier de la nouvelle scène jazz anglaise,
dont ce projet est le plus élémentaire et radical. Toute en rythmes et lignes
mélodiques brisées, une musique de guerriers sur le champ de bataille des
souvenirs. Ce disque évoque une carte primitive, quelques traits jetés sur un
parchemin par un explorateur fébrile. Sa simplicité et sa sauvagerie radicales
indiquent le chemin, mieux que n’importe quel GPS.
Les Inrocks
Le quartet au son de fanfare [...] déploie sa force autour de deux batteurs
démoniaques, Seb Rochford et Tom Skinner. Au tuba, Oren Marshall, improvisateur recruté par Charlie Haden et Radiohead, complète l’identité du
groupe qui développe ses influences entre éthio-jazz et références caribéennes
Libération