DOSSIER JeuneS SAPeurS-PomPierS

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DOSSIER JeuneS SAPeurS-PomPierS
DOSSIER Jeunes sapeurs-pompiers
À l’école des sapeurs-po mpiers
Texte Eric Leroy-Terquem
Thierry Sibade / Sdis 74
Ces derniers mois,
le milieu des Jeunes
sapeurs-pompiers
(JSP) a connu des
avancées réglementaires
significatives : équivalence
du brevet de JSP avec
le diplôme d’agent de
sécurité, aménagement
de la formation pour les
animateurs de section,
mise en place d’une
convention type entre
les Sdis et les unions
départementales...
Autant d’évolutions qui
contribuent à valoriser
les JSP, à témoigner de
la reconnaissance aux
animateurs et à favoriser
la création de nouvelles
sections.
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Décembre 2014 N° 1073 Sapeurs-Pompiers de France
À la fin de leur
formation, les
JSP maîtrisent
déjà les gestes de
premier secours
qu’ils mettront en
œuvre une fois
sapeurs-pompiers.
Sapeurs-Pompiers de France N° 1073 Décembre 2014
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DOSSIER Jeunes sapeurs-pompiers
Le point sur la formation
La formation des animateurs de section de Jeunes sapeurspompiers vient d’être modifiée par un arrêté du 18 juillet 2014.
« Son contenu a peu évolué mais son organisation est plus
souple, explique le commandant Franck Hamoneau, animateur
de la commission JSP. Auparavant, le stage d’animateur durait
systématiquement cinq jours, ce qui pouvait être difficile à mettre
en œuvre. Dorénavant, il est découpé en modules : tronc commun
(un jour), module sport (deux jours) et module pédagogie (deux
jours). Le stagiaire peut soit effectuer la formation complète,
soit se restreindre à son domaine de prédilection en plus du tronc
commun : sport ou pédagogie. »
Du côté des JSP, un projet d’évolution de la formation est en
cours. « Il s’oriente vers une déclinaison totale de la formation des
sapeurs-pompiers volontaires, avec une disparition du complément
de formation à effectuer à la suite du brevet, indique le
commandant Franck Hamoneau. L’acquisition des connaissances
et des compétences se fera de façon progressive au cours du
cycle, en revenant sur l’ensemble du programme chaque année.
La priorité sera donnée à l’enseignement par la pratique, avec
un souci d’adaptation des programmes aux spécificités locales. »
Dans ce contexte, plusieurs avancées
réglementaires récentes valorisant les
missions des JSP et l’investissement
de leurs animateurs pourraient
contribuer au développement des
sections en France.
La reconnaissance du brevet
L’une d’entre elles concerne directement
les JSP : depuis le 7 mai 20141, les
titulaires du brevet national de JSP
obtiennent par équivalence le diplôme
d’agent de sécurité incendie et
assistance à personne de niveau 1
(SSIAP 1), moyennant une semaine
Thierry Sibade / Sdis 74
L
es formations de JSP, ce sont
trois écoles en une : une école
de la vie, une école de la
citoyenneté et une école visant
à devenir sapeur-pompier », rappelait
le colonel Éric Faure, président de la
Fédération nationale des sapeurspompiers de France, aux 1 500 JSP
réunis à Mende (Lozère), le 6 juillet
dernier pour le rassemblement
technique national. Les actions
réalisées par les deux JSP que nous
mettons à l’honneur dans ces pages
(voir encadré en p. 51) illustrent
parfaitement ce que la formation de
JSP peut apporter en matière de
valeurs humaines et citoyennes.
Quant au potentiel des sections pour
répondre à la crise du volontariat, il
semble confirmé, tout du moins sur
une partie du territoire français, par
les dernières statistiques de la
Direction générale de la sécurité civile
et de la gestion des crises (DGSCGC)
publiées le 5 novembre. Celles-ci
indiquent que près d’un sapeurpompier volontaire sur cinq (18 %)
recruté en 2013 est un ancien JSP.
Cette moyenne nationale est en
augmentation par rapport aux quatre
années précédentes, pendant
lesquelles la proportion oscillait entre
11 et 15 %. Ce taux est cependant très
variable d’un département à l’autre :
il dépasse 25 % dans 24 départements,
mais il est inférieur à 1 % dans
19 autres. Quant à l’effectif national
des JSP (27 400 en 2013), il a peu
évolué ces dernières années, même
s’il reste inférieur au pic atteint
en 2006 (29 300).
Cristilla Delattre / Apprentis d’Auteuil
«
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Décembre 2014 N° 1073 Sapeurs-Pompiers de France
Les options JSP au
collège permettent
aux enseignants de
créer des passerelles
entre le programme
de l’Éducation
nationale et celui
des sections JSP.
de formation dispensée par un
organisme agréé. « Les sapeurspompiers volontaires bénéficiaient
déjà de cette équivalence, mais il est
important de l’avoir élargi aux JSP. Nous
avons en effet des jeunes qui veulent
s’ouvrir aux métiers de la sécurité et
qui, pour diverses raisons (médicales
ou d’éloignement), ne deviendront pas
sapeurs-pompiers, souligne le capitaine
Céline Guilbert, présidente déléguée
de la commission nationale des JSP.
C’est une avancée symbolique, qui
apporte la recon­naissance du brevet au
même titre que la formation initiale des
sapeurs-pompiers volontaires. »
D’autres évolutions réglementaires
concernent plus particulièrement les
personnels encadrant les JSP : depuis
la réforme de la formation des
animateurs de section, définie par
un arrêté du 18 juillet 2014 (voir
encadré en p. 48), ceux-ci peuvent
être dispensés de certains modules
de la formation de maintien des
acquis, qui correspondent aux
domaines enseignés aux JSP. « Cela
permet de libérer un peu de temps
aux animateurs qui s’investissent
énormément pour les jeunes en plus
de leur activité professionnelle, de leur
activité de sapeur-pompier volontaire
La manœuvre
d’établissement,
l’un des premiers
contacts avec la lutte
contre l’incendie, est
l’épreuve favorite de
la plupart des JSP.
et de leur vie familiale », témoigne
le capitaine Céline Guilbert.
Plus récemment, par un arrêté du
6 novembre 20142, les animateurs
de section viennent d’obtenir la
reconnaissance de l’équivalence de
leur compétence avec celle du ­brevet
d’aptitude aux fonctions d’animateur,
le « bafa ». Une avancée qui va
permettre aux animateurs de ­pouvoir
encadrer des enfants dans des centres
de loisirs ou lors d’activités péri­
scolaires, « une possibilité intéressante
dans le cadre de la réforme actuelle
du rythme scolaire, note Céline
Guilbert. Cela évitera aussi certaines
difficultés parfois ­rencontrées lorsque
les animateurs emmènent des équipes
de JSP à des événements se tenant
à ­l’extérieur des casernes ».
Des preuves de reconnaissance
pour les animateurs
Certains Sdis ont également fait le
choix d’indemniser les personnels
encadrant des sections, afin de les
fidéliser ou de leur témoigner de la
reconnaissance pour leur investissement. C’est le cas dans l’Indre-etLoire, où les formateurs sont
indemnisés quatre heures par semaine
(une indemnité au maximum pour
Sapeurs-Pompiers de France N° 1073 Décembre 2014
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DOSSIER Jeunes sapeurs-pompiers
Découvrez la
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des JSP : www.
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jeunessapeurs
pompiers
Une convention de coproduction
Sdis / UD
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ces acteurs, explique le colonel
Christophe Burbaud, directeur du
Sdis de l’Allier. Aujourd’hui, cette
coproduction se traduit par la mise à
disposition par le Sdis de locaux, de
matériels et de véhicules, par l’attribution de subventions pour les tenues et
les casques des JSP, ou encore par des
initiatives visant à valoriser les jeunes. »
Les JSP à l’honneur
Maxime, 16 ans, réalisateur de vidéos de prévention
C’est après avoir suivi une formation sur le massage cardiaque avec le médecin
colonel du Sdis 68, en 2012, que Maxime Fuchs, JSP à Bennwihr (Haut-Rhin)
et passionné de Lego, décide de tourner son premier clip de prévention. Coaché
par son formateur, il se lance dans la réalisation d’une vidéo sur les trois
gestes qui sauvent – alerter, masser et défibriller – en utilisant une technique
d’animation image par image : après avoir créé un décor en Lego, il prend
une série de photos de la scène, en modifiant légèrement la position des
personnages à chaque cliché, et assemble le tout dans un logiciel de montage.
Il y ajoute les dialogues et la musique de fond. Le résultat est impressionnant.
Maxime continue sur sa lancée et réalise une quinzaine de vidéos sur la
prévention – dont une en partenariat avec Défifeu, un réseau d’experts
incendie – et une dizaine sur les activités des sapeurs-pompiers. Le succès est
au rendez-vous : « J’ai aujourd’hui un total d’environ 70 000 vues sur ma chaîne
MaximeFoxProduction », se réjouit Maxime. Actuellement en première Bac Pro,
il a obtenu son brevet de JSP en septembre et s’apprête à devenir sapeurpompier volontaire dans les mois qui viennent.
Raphaël, 16 ans, son premier sauvetage
Une dizaine de jours après l’événement, Raphaël Matter, 16 ans, JSP
à Cherbourg (Manche), a toujours un peu de mal à réaliser. Le jeudi 30 octobre,
en plein centre-ville, il rencontre une jeune fille en pleurs ; son frère vient
de tenter de mettre fin à ses jours par pendaison. Après avoir donné l’alerte,
Raphaël se rend auprès de la victime, lui libère les voies aériennes et lui
prodigue un massage cardiaque en attendant l’arrivée des secours. « J’ai un peu
stressé au début, mais une fois face à la victime, c’est venu tout seul, je savais
quoi faire, raconte Raphaël. Plus tard, un sapeur-pompier est venu me dire que
la victime avait retrouvé un pouls et que je l’avais sauvée. Je m’en souviendrai
toute ma vie. » Dans les jours qui ont suivi, Raphaël reçoit de nombreuses
félicitations, notamment de ses camarades au lycée. « Maintenant, ils voient les
JSP différemment. Avant, ils considéraient ça comme un sport ou un loisir, là, ils
prennent les choses plus au sérieux. En tout cas, ce que j’ai fait m’a ouvert les
yeux et m’a donné encore plus envie de devenir sapeur-pompier. » Actuellement
en première ES, Raphaël a obtenu son brevet de JSP en septembre et va intégrer
prochainement le centre d’incendie et de secours de Cherbourg.
Des sections dans certains
collèges
Stéphane Gautier / Archives
Pour tenter de répondre aux
différends de ce type qui peuvent
subsister dans certains Sdis, la
DGSCGC a diffusé, le 30 juillet
2014, un modèle de convention de
coproduction entre le Sdis et l’union
départementale (ou l’association
départementale des JSP) pour la
reconnaissance et le dévelop­pement
des sections de Jeunes sapeurspompiers. Mise en place dans le
cadre du plan d’action pour les
sapeurs-pompiers volontaires, signé
le 11 octobre 2013 par le ministre
de l’Intérieur au Congrès national
de Chambéry, cette convention a
pour vocation de créer un dialogue
entre les deux acteurs.
Elle propose « une implication du
Sdis dans plusieurs domaines
(bâtimentaires, matériels, personnels)
ainsi que les bases d’une véritable
production réalisée en commun ».
Cette convention vient par exemple
d’être signée dans l’Allier, où l’esprit
de coproduction entre le Sdis et
l’union départementale est déjà bien
ancré depuis cinq ans. « Au départ, il
y a une volonté forte du chef de corps,
du président du conseil d’administration ainsi que du préfet de soutenir le
président de l’union départementale,
avec une confiance mutuelle de tous
À titre d’exemple, chaque année, les
JSP de l’Allier arrivés en tête du classement au brevet se voient décerner
un trophée parrainé par la section
Allier de l’ordre national du Mérite,
remis en personne par le préfet.
« Nous avons aussi créé un comité
technique et pédagogique pour le suivi
de la formation des JSP, auquel participe le service Formation du Sdis,
ajoute le lieutenant Serge Lacoste,
vice-président de l’Union départementale délégué aux JSP. Cela permet de s’assurer que la formation mise
en œuvre correspond bien à ce qui
leur sera demandé plus tard quand
ils seront recrutés comme sapeurs-­
pompiers. Il est important que nous
anticipions. » Résultat, sur un effectif départemental de 250 JSP, une
­cinquantaine d’entre eux deviennent
sapeurs-pompiers volontaires
chaque année. « C’est pour nous une
grande richesse, à la fois par le nombre
de recrues et par la qualité de
leur ­formation », confie le colonel
Christophe Burbaud.
Maxime Fuchs
Sdis 03 / UDSP 03
Le 8 novembre, les
trois JSP de l’Allier
arrivés en tête du
classement au brevet,
ainsi que la meilleure
section, ont reçu un
trophée de l’ordre
national du Mérite,
remis en personne
par le préfet.
DR
cinq jeunes) au bout de leur deuxième
année d’encadrement de la section ou
dès le début s’ils ont le titre d’animateur. Dans l’Allier, ils sont indemnisés
trois heures par semaine (avec au
maximum deux animateurs par cycle
[JSP1, 2, 3, 4]). Une décision initialement prise pour défrayer les formateurs qui se déplacent avec leur
véhicule personnel.
Pour le capitaine Céline Guilbert,
«  toutes ces avancées sont des
témoignages de reconnaissance aux
animateurs d’autant plus importants
que ces derniers sont parfois découragés
par le comportement de certains cadres
de Sdis qui ne leur simplifient pas la
tâche ». En cause, la décision de ne
pas envoyer de JSP à une manifestation
ou l’annulation de la formation initiale
complémentaire de jeunes titulaires
du brevet de JSP sous prétexte qu’ils
sont mineurs... Autant de situations
décourageantes pour des animateurs
qui ont travaillé pendant quatre ans
pour emmener leur section jusqu’au
brevet. Le commandant (e. r.) Daniel
Basset, ancien président de la
commission des JSP de 2001 à 2006,
se souvient que ces situations se
rencontraient déjà à l’époque. « Nous
avions mis en place les textes pour la
formation des JSP et notre objectif était
que tous soient recrutés à la suite de
leur brevet. Cela avait été un important
combat », se rappelle-t-il.
Décembre 2014 N° 1073 Sapeurs-Pompiers de France
Apprentissage du lot
de sauvetage par les
JSP d’Orange, dans
le Vaucluse.
C’est aussi grâce à une bonne entente
avec son encadrement que le
lieutenant Claude Teissier, actuel
animateur des JSP de la Lozère, a créé
en 1997 la toute première section JSP
en collège, au sein de l’établissement
Henri Rouvière du Bleymard, où il
enseigne l’éducation physique. Un
modèle qui a depuis essaimé dans
une vingtaine de départements. « J’ai
eu la chance d’être soutenu par la
principale du collège ainsi que par le
chef de corps départemental, tous deux
très intéressés par le projet, se
rappelle-t-il. En place depuis 17 ans,
cette option JSP est reconnue par le
ministère de l’Éducation nationale et
fait l’objet d’une note dans le bulletin
trimestriel des élèves. Les gains pour
l’établissement sont multiples : les
valeurs enseignées aux JSP rejaillissent
sur les autres élèves et les enseignants
créent des passerelles avec le
programme des JSP. On apprend par
exemple à donner une alerte et à
questionner une victime en cours
d’anglais ou on étudie les systèmes
respiratoire et cardio­v asculaire
en classe de biologie, en parallèle
du secourisme. »
Selon le lieutenant Claude Teissier, le
secret de la réussite d’un tel projet tient
à la présence d’un « acteur avec la double
casquette sapeur-pompier / Éducation
nationale ». La seule difficulté à laquelle
il est confronté est de devoir trouver
des sections pour accueillir les
jeunes lorsque ceux-ci quittent le
collège en JSP 3. Les chiffres restent
encourageants : 29 % des élèves passés
par la section du Bleymard sont
aujourd’hui sapeurs-pompiers.
Sapeurs-Pompiers de France N° 1073 Décembre 2014
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Thierry Sibade / Sdis 74
DOSSIER Jeunes sapeurs-pompiers
Expérience similaire au collège SaintPaul / Apprentis d’Auteuil, à SaintPaul-sur-Isère (Savoie) : une section
JSP a ouvert en septembre 2013 à la
demande d’un éducateur de
l’établissement, également sapeurpompier volontaire. Le projet a été
monté en lien avec l’union
départementale et le centre de
première intervention de la Bathie,
rattaché au centre de secours principal
d’Albertville. Un an plus tard, le
principal du collège, Stéphane Nouvel,
perçoit de nombreuses retombées
positives : «  J’ai, par exemple, un élève
dyslexique qui est venu me dire qu’il
avait maintenant une bonne raison
d’apprendre à écrire : il devait rédiger
un rapport d’intervention, raconte-t-il.
Ce projet est très motivant, aussi bien
pour les élèves que pour l’équipe
enseignante ». Le collège accueille
pour l’instant 16 JSP 2 et 26 JSP 1.
Dès l’année prochaine, les JSP 3 seront
chargés de promouvoir la sécurité
civile dans l’établissement : « Ils seront
notamment les pilotes des exercices de
sécurité incendie et seront responsables
de la sécurité lors des cross », explique
Stéphane Nouvel.
Les rassemblements
locaux constituent une
source de motivation
très importante
pour les jeunes.
Le 18 juin 2011, près
d’un millier de JSP
étaient réunis pour le
21e Rassemblement
interdépartemental
des JSP de RhôneAlpes et d’Auvergne.
UDSP 48
Au collège-internat
du Bleymard
(Lozère), où une
option JSP existe
depuis 1997, les
valeurs enseignées
aux JSP rejaillissent
sur l’ensemble
des élèves.
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Décembre 2014 N° 1073 Sapeurs-Pompiers de France
Dans l’Indre-et-Loire, des actions
menées régulièrement par l’union
départementale en partenariat avec
le Sdis 37 et destinées à créer de
nouvelles sections de JSP ou à étoffer
celles qui existent illustrent tout le
potentiel de la coproduction
Sdis / UD. Elles consistent à accueillir
un groupe de collégiens pendant une
semaine dans une caserne afin de
leur faire découvrir l’univers des
sapeurs-pompiers. En fin de stage,
les jeunes intéressés intègrent la
nouvelle section de JSP. « Cela fait
une vingtaine d’années que nous
menons ces actions, à raison de deux
ou trois par an, explique l’adjudantchef Philippe Bertault, chef du
bureau des JSP au Sdis 37. Lors de
la dernière action réalisée au centre
de secours de Montrésor, en juin
dernier, sur 13 jeunes accueillis,
12 ont été recrutés dans la foulée pour
la création de la section. » n
Notes
1. Arrêté du 7 mai 2014 portant modification
de l’arrêté du 2 mai 2005 relatif aux missions,
à l’emploi et à la qualification du personnel
permanent des services de sécurité des
établissements recevant du public et des
immeubles de grande hauteur.
2. Arrêté du 9 février 2007 fixant les titres
et diplômes permettant d’exercer les fonctions
d’animation et de direction en séjours de vacances,
en accueils sans hébergement et en accueils de
scoutisme (version consolidée au 6 novembre 2014).

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