COMMUNIQUÉ DE PRESSE – JUIN 2015

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COMMUNIQUÉ DE PRESSE – JUIN 2015
D O S S I E R D E P R E S S E – AV R I L 2 0 1 6
Maison de l’Amérique latine
Ruth Gurvich, Lièvre II, 2016, Série Sylvestre, aquarelle sur papier, 54 x 69 cm
R u t h
G u r v i c h
Sylvestre
25 mai - 20 juillet 2016
Salle Asturias
L’exposition
Ruth Gur vich, née à Cordoba (Ar gentine 196 1), vit et travaille à Paris depuis 1987.
Cheminement singulier d’une artiste qui, du dessin au papier froissé et au
volume, de la maquette (en papier) à la porcelaine, revient pour cette
exposition à la peinture qu’elle n’a jamais quittée. En 1995, Ruth Gurvich
opte pour un geste de rupture qui va défier la permanence de la forme et la
fonction de l'objet : écraser, plier, tordre, réduire, aplatir la matière
préalablement construite (essentiellement papier et calque) en prenant pour
modèles des objets archétypaux du quotidien (porcelaine chinois e et
fauteuils de Marcel Breuer et Le Corbusier) afin de sauvegarder l'esprit de
ces emblèmes culturels qui sont autant de références au temps, à la société
technologique et au design.
Cette déconstruction va la conduire vers un autre geste, celui de
reconstruire, qui trouvera son aboutissement dans la réalisation des
porcelaines. L’artiste ne se confronte pas seulement au matériau mais aussi
au symbole quand elle affirme que "la porcelaine est fragile et délicate,
source de vie depuis des siècles ». A l’entrée de l’exposition, dans un registre
formel minimaliste, les lignes brisées de la série « Epure » sont discrètement
soulignées par les cotes -mesures exactes à partir des modèles en papier peintes en gris foncé sur le fond blanc ; ce choix confirme l e désir de mettre
à nu ce qui est caché, en accordant à « l’envers » des choses (la structure) un
statut qui valorise la fonction en l’esthétisant.
Avec l’installation « Sylvestre » , Ruth Gurvich aborde une thématique non
seulement liée à la forêt mais à la nature qu’elle a côtoyée à plusieurs
reprises lors de ses séjours à la Manufacture de Nymphenburg, près de
Munich, où sont réalisées ses porcelaines depuis plusieurs années. Le
Château du XVIII e siècle qui abrite ce lieu emblématique est situé au bord
d’un grand bassin et il est entouré d’un immense parc où son Pavillon de
chasse, somptueusement décoré, en est l’un des joyaux architecturaux.
L’artiste a choisi de représenter une série d’animaux de la forêt européenne
(loups, cerfs, lièvres et ours) dan s de grandes aquarelles sur papier dont la
monochromie est presque entièrement dévolue à la couleur verte. Le
spectateur échappe aux regards de cette meute inoffensive conçue comme
une « phase animale de la nature », en observant au centre de la pièce,
l’«étang » où dans le creux des grandes pièces en céramique, pièces uniques
de la collection de Nymphenburg, nagent des poissons rouges - des carpes
koï japonaises - et volètent libellules et martin -pêcheurs.
Le projet « Sylvestre » objective le « paysage » conçu par Ruth Gurvich et
l’objet-médiation, qu’il soit porcelaine, moulure en bois ou aquarelle,
intervient comme le passeur d’une nature à la fois paisible et dangereuse,
domestiquée et sauvage, pour un instant de méditation, de jouissance ou de
frisson.
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
2
Ruth Gurvich, Cerf I, Série Sylvestre, 2016, aquarelle sur paiper, 69 x 64 cm
Ruth Gurvich, porcelaine No.5, 2016, diamètre 53 cm
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
3
L’objet nature
Christine Frérot
Il y a des objets prétextes, des objets manipulés et des objets symboliques. Ce
qui intéresse Ruth Gurvich, ce sont les objets analysés. L’archéologie (de l’objet) est le
principe fondateur d’une recherche minutieuse et subtile que l’artiste développe
depuis plusieurs années. Que l’objet soit fonctionnel ou culturel et/ou emblématique
(comme l’ont été la porcelaine chinoise ancienne ou les fauteuils de Marcel Breuer et
Le Corbusier), il est au centre de son interrogation et de ses expérimentations. L’arti ste
ne se contente pas d’observer, elle cherche à comprendre ce qu’il y a derrière
l’apparence. La séduction de la forme n’aura jamais pour elle le même attrait que celui
que suscite le mystère des choses.
Cheminement singulier d’une artiste qui, du des sin au papier froissé et au
volume, de la maquette (en papier) à la porcelaine, revient pour cette exposition à la
peinture qu’elle n’a jamais quittée. En 1995, Ruth Gurvich, opte pour un geste de
rupture qui va défier la permanence de la forme et la fonction de l'objet : écraser,
plier, tordre, réduire, aplatir la matière
préalablement construite (essentiellement
papier et calque) en prenant pour modèles des objets archétypa ux du quotidien afin de
sauvegarder l'esprit de ces emblèmes culturels qui sont autant de références au temps,
à la société technologique et au design. Dans cette métamorphose, Ruth Gurvich nous
conduit vers une lecture barthienne de son œuvre qui permet diversement à l'objet
d'exister, tout en conservant sa première identité.
Cette déconstruction va la conduire vers un autre geste, celui de reconstruire,
qui trouvera son aboutissement dans la réalisation des porcelaines. Pour elle, la
porcelaine n’est pas un support comme un autre. Sa conception requiert un long
apprentissage technique qui la passionne et constitue son vrai défi créateur. L’artiste
ne se confronte pas seulement au matériau mais aussi au symbole quand elle affirme
que "la porcelaine est fragile et délicate, source de vie depuis des siècles ». A l’entrée
de l’exposition, dans un registre formel minimaliste, les lignes brisées de la série
« Epure » sont discrètement soulignées par les cotes
-mesures exactes à partir des
modèles en papier- peintes en gris foncé sur le fond blanc ; ce choix confirme le désir
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
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de mettre à nu ce qui est caché, en accordant à « l’envers » des choses (la structure) un
statut qui valorise la fonction en l’esthétisant.
Forme et matériau, fonction et symbole, destruc tion et construction, illusion et
réalité…, l’objet-roi dépasse ses limites, la fonction s’efface et renaît dans la poésie de
l’image
retrouvée.
Avec
l’installation
« Sylvestre »,
Ruth
Gurvich
aborde
une
thématique non seulement liée à la forêt mais à la n ature qu’elle a côtoyée à plusieurs
reprises lors de ses séjours à la Manufacture de Nymphenburg, près de Munich, où sont
réalisées ses porcelaines depuis plusieurs années. Le Château du XVIII e siècle qui abrite
ce lieu emblématique est
situé au bord d’un grand bassin et il est entouré d’un
immense parc où son Pavillon de chasse, somptueusement décoré, en est l’un des
joyaux architecturaux. L’artiste a choisi de représenter une série d’animaux de la forêt
européenne (loups, cerfs, lièvres et ours) dans de grandes aquarelles sur papier dont la
monochromie est presque entièrement dévolue à la couleur verte. Etrangeté de ces
figures qui semblent surgir d’une brume opaque et laiteuse, à la fois réelles et irréelles,
égarées, à l’affût, sur le qui vive ou en cha sse. Sacralisées comme certains animaux icônes mythiques du panthéon asiatique, ces apparitions suggèrent plus qu’elles ne
représentent. Le spectateur échappe aux regards de cette meute inoffensive conçue
comme une « phase animale de la nature », en observant au centre de la pièce,
l’«étang » où dans le creux des grandes pièces en céramique, pièces uniques de la
collection de Nymphenburg, nagent des poissons rouges - des carpes koï japonaises - et
volètent libellules et martin-pêcheurs.
« Sylvestre »
conforte la démarche de Ruth Gurvich autour du matériau. Sa
curiosité sur le « comment » lui ouvre à chaque exploration de l’intimité de l’objet,
une voie nouvelle qui enrichit et modifie la forme. L’adéquation avec le lieu
d’exposition est aussi source d’ins piration et le jeu des moulures appliquées sur le mur
et le sol sont autant de rappels à sa décoration baroque qu’à l’utilisation que faisaient
les artisans de l’époque des motifs floraux et naturalistes dont ils ornaient à foison les
espaces intérieurs. Le projet « Sylvestre » objective le « paysage »
conçu par Ruth
Gurvich et l’objet-médiation, qu’il soit porcelaine, moulure en bois ou aquarelle,
intervient comme le passeur d’une nature à la fois paisible et dangereuse, domestiquée
et sauvage, pour un instant de méditation, de jouissance ou de frisson.
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
5
Ruth Gurvich
Né e en Arge nt in e e n 1 9 61, v it et t ravai ll e à Pari s e t A rcu e il d ep u i s 1 9 87
Dip lô m ée d e l’E co l e l’E col e N ation al e Su p ér ie u re d e s Be au x - Art s d e Pa ri s en 19 91 , d e
l’Ecol e d e s B eau x - Art s, Facu lté d e Ph i lo sop h i e e t d e s S ci en ce s Hu ma in e s , Un i versité
Nati on al e d e C ord ob a e n Argen tin e en 19 87 .
E X P O S I T I O N S I N D I V I D U E L L ES ( s é l e c t i o n )
2015
Sy l v e st re , M a i s o n d e l ’A m é r i q u e L at i n e , Pa r i s
2 0 1 2 2 0 1 3 M u s é e d e s T i s s u s e t d e s A r t s D é co rat i f s , Lyo n
2011
G a l e r i e S o f i e L a c h a e r t , T i e l ro d e , B e l g i q u e
2007
C e nt r e C u l t u r e l J e a n - P i e r r e Fa b r è g u e , Sa i nt - Yr i e i x - l a - Pe rc h e
G a l e r i e Tr i o d e , Pa r i s
2005
Tra s p a s o s , G a l e r i e J e s ù s D re xe l , M o nt e r re y, M ex i q u e
2002
J u st e p o u r vo i r, M u s é e N a t i o n a l A d r i e n D u b o u c h é , L i m o ge s
G a l e r i e R u t a C o r r e a , F re i b o u r g , Al l e m a g n e
G a l e r i e A r t S u d To u l o u s e , Fe s t i v a l R i o G a ro n n e , To u l o u s e
2001
E s p a c e d ’a r t Yvo n a m o r Pa l i x, Pa r i s
2000
I co n o l o g í a C o nt i n e n ta l , G a l e r i e G a ra B u e n o s A i r e s , A rg e n t i n a
1999
C e nt ro C u l t u ra l Re co l e ta , B u e n o s Ai r e s , A r ge n t i n a
1991
G a l e r i e d e l a M a i s o n d e s B e a u x - Ar t s , Pa r i s
E X P O S I T I O N S CO L L EC T I V ES ( s é l e c t i o n )
2015
O ra c l e s d u d e s i g n , L a G a î t é Ly r i q u e , Pa r i s
M u ta t i o n s M u s é e d e s a t s d é co ra t i f s d e Pa r i s
2 0 1 4 - 2 0 1 5 N o t j u s t a b o w l o f c h e r r i e s G a l e re So f i e L a c h a e r t ,T i e l ro d e , B e l g i q u e .
2014
L e s ro u t e s b l e u e s , u n e h i s to i re d u b l e u d e l a C h i n e à l a M é d i t e r ra n é e M u s é e A d r i e n
Dubouché, Limoges
H i s to i r e ( s ) d e s c u i l l è re s . B i b i l o t h è q u e Fo r n e y, Pa r i s
Pa p i e r I G a l e r i e O c ta go n e , Pa r i s
N o t j u s t a b o w l o f c h e r r i e s G a l e i r e So f i e L a c h a e r t ,T i e l ro d e , B e l g i q u e .
2013
Vo m S ta n d d e r D i n g e at W i l h e l m Wa g e n fe l d Fo u n d a t i o n , B r e m e n , Al l e m a g n e
2 0 1 2 - 2 0 1 3 J a p o n i s m e s , E s p a c e d ’a r t C ro i x - B a ra g n o n , To u l o u s e
2012
E x - c i t at i o n s , G a l e r i e M a u b e r t , Pa r i s
2011
Re a s o n , D e s i g n , E m o t i o n , F i r st B e i j i n g D e s i g n Tr i e n n i a l , Na t i o n a l M u s e u m o f C h i n a
A f te r t h e B i t R u s h , G a l e r i e M u , E i n d h o ve n , Pay s B a s
C o l l e c t , S a a tc h i G a l l e r y, L o n d r e s , A n g l e t e r re
R i c h a r d O r fè v r e - 1 0 0 A n s , G a l e r i e B e n S i m o n , Pa r i s
2010
C i rc u i t s C é ra m i q u e s , M u s é e d e s A r t s D é co rat i f s , Pa r i s
Po rc e l a n a y p a p e l , C e nt ro d e l a s A r t e s Sa n Ag u st í n , O axa ca , M e x i q u e
A n i m a l s , M u s é e d e s A r t s D é co ra t i fs , Pa r i s
2009
S t i l l L i fe , S o f i e L a c h a e r t G a l l e r y, T i e l ro d e , B e l g i q u e
W h at ’s n e w, S o f i e L a c h a e r t G a l l e r y, T i e l ro d , B e l g i q u e
S m a l l s h o w h u g e ta l e n t , S o t h e b y ’s L o n d o n
Pa r i s - T i g r e e n co l e c t i vo, M u s e o d e A r t e T i g re , B u e n o s Ai re s , Ar g e n t i n e
G a l e r i e A r t y D a n d y, Pa r i s
2008
S h o w o ff, E s p a c e P i e r re C a rd i n , Pa r i s
G a l e r i e To o l s , Pa r i s
2007
G a l e r i e Tr i o d e , Pa r i s
I m p re s i o n e s U r b a n a s , U n i ve r s i d a d Po l i v a l e nt e , Va l e n c i a , E s p a g n e
V V V G a l e r í a , B u e n o s A i r e s , A r ge n t i n a
2005
P ro p o s i t i o n s d ’a r t i st e s e n ré s i d e n c e à l ’ E N S BA , M u s é e Ad r i e n D u b o u c h é , L i m o g e s
G a l e r i e D r exe l , M o n t e r re y, M e x i q u e
2004
P r i x C h â te a u H a u t - G l é o n , C o r b i è r e s
C h ât e a u d e S e r v i è r e s , M a r s e i l l e
T h e D e co n st r u c t e d L a n d s c a p e , T h e A r t H o u s e M c A l l e n , Texa s , U SA
2003
G a l e r i e S i n i t u d e , Pa r i s
L o n g i n g fo r s p r i n g t i m e , G a l e r i e Yvo n a m o r Pa l i x, Pa r i s
2002
G a l e r i e Pa p i l l o n F i at , Pa r i s
A u b o r d d u p a y s a ge , Fa r g e s , Au v e r g n e
C h ât e a u d e S e r v i è r e s , M a r s e i l l e
2001
G a l e r i e L a F e r ro n e r i e , Pa r i s
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
6
1999
1998
1997
1996
1995
1994
A r g e nt i n e
1993
1992
G a l e r i e A r g e nt i n e , A m b a s s a d e Ar g e nt i n e , Pa r i s
G a l e r i a G a ra , B u e n o s A i r e s , Ar g e nt i n e .
A r t e o b j e to, F u n d a c i ó n A n d r e a n i , B u e n o s Ai re s
G a l e r i e K , Pa r i s
S a l o n d e l a J e u n e Pe i n t u r e , Pa r i s
G a l e r i e 7 / 8 – B a r m h e r r z i g ke i t , H a m b o u r g
4 0 è m e S a l o n d e M o n t ro u g e , M o n t ro u ge
6 A r t i sta s L at i n o a m e r i ca n o s e n Pa r i s , C e n t ro d e Ar t e C o n t e m p o rá n e o, C ó rd o b a ,
M o t d e p a s s e : C o r ta za r, M a i s o n d e l ' A m é r i q u e L a t i n e , Pa r i s
G a l e r i e L o f t , Pa r i s
L e s é to i l e s d e l a p e i nt u re , Ac co r, Pa r i s
3 7 è m e S a l o n d e M o n t ro u g e , M o n t ro u ge
Tra c e s 9 , E l è v e s d i p l ô m é s ave c M e nt i o n d u j u r y, E N S BA , Pa r i s
PRIX
2 0 1 1 , B e s t Te a S e r v i c e - T h é i è r e L i g h t s ca p e , Wa l l Pa p e r M a ga z i n e Awa r d s ; 1 9 9 2 , P r i x d e Pe i n t u r e
N o ve m b r e à V I T RY ; 1 9 9 1 , 3 ° P r i x C o n co u r s d e Pe i nt u r e TAL E NS ; 1 9 9 0 , 2 ° P r i x C o n co u r s P E R R I E R J O U E T; 1 9 8 7 , M e nt i o n s p é c i a l e d u J u r y, Sa l ó n Na c i o n a l d e S a nta Fé , A r ge n t i n e ; 1 9 8 6 , M e nt i o n
s p é c i a l e d u J u r y, S a l ó n d e J o ve n e s P i n to r e s M u s é o G e n a ro Pe r ez C ó rd o b a , A r g e n t i n e
R ES I D E N C E S D ’A RT I ST E
2 0 0 2 , M u s é e A d r i e n D u b o u c h é , œ u v r e s e n p a p i e r. E x p o s i t i o n : J u s te p o u r vo i r, o rga n i s é e p a r
l ’ E N S A L i m o g e s 2 0 0 4 – 2 0 0 5 , E N S A L i m o ge s , c ré at i o n d e l ’œ u v r e « M », p r i s e s d e m u r d ’e s ca l a d e
e n p o rc e l a i n e , 2 0 0 6 – 2 0 0 7 , C e nt re C u l t u r e l J e a n - P i e r re Fa b r è g u e , c r é at i o n d ’œ u v re s e n
p o rc e l a i n e e t e n p a p i e r p o u r l ’e x p o s i t i o n « Pa p i e r e t p o rc e l a i n e », Sa i n t - Yr i e i x - l a - Pe rc h e
CO L L EC T I O N S P U B L I QU E S
M u s é e M a n d e t , R i o m , F ra n c e , , M u s é e d e s T i s s u s e t d e s A r t s D é co rat i f s d e Lyo n , , , M u s é e d e s A r t s
D é co rat i f s d e B o r d e a u x, C o o p e r H e w i t t , Sm i t h s o n i n D e s i g n M u s e u m Ne w Yo r k , M u s é e d e s Ar t s
D é co rat i f s d e Pa r i s , Fo n d N a t i o n a l d ’A r t C o n t e m p o ra i n , A r to t h è q u e d u L i m o u s i n , L i m o ge s
P U B L I C AT I O N S – L I V R E S
H i s to i r e d e s c u i l l è r e s , J e a n M e t z ge r, 2 0 1 4 , Pa p e r Ar t , Ar t Po w e r. 2 0 1 2 , T h e Po t B o o k , E d m u n d d e
Wa a l , P h a Ï d o n . 2 0 1 1
C ATA LO G U ES
2 0 1 5 , M u ta t i on s , é d i t i o n d u M u s é e d e s a r t s d é co rat i fs d e Pa r i s , O r a c l e s d u D e s i g n , é d i t i o n d u
C N A P 2 0 1 4 , L e s r ou t e s b l e u e s , u n e h i s to i r e d u b l e u d e l a C h i n e à l M é d i t é r ra n é e , M u s é e A d r i e n
D u b o u c h é . L I M O G E S ; 2 0 1 2 , R i v a ge s . C a r t e B l a n c h e à R u t h G u r v i c h . Ed i t i o n d u M u s é e d e s T i s s u s
e t d e s A r t s D é co rat i f s d e Lyo n ; 2 0 1 , ; C i rc u i t s c é ra m i q u e s . M u s é e d e s A r t s D é c o ra t i fs d e Pa r i s .
Catalogue
40 pp.
5 €
Texte de Christine Frérot
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
7
SÉLECTION DE VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE
1- Ruth Gurvich, Renard II, 2016, Série Sylvestre, aquarelle sur papier, 61
x 80 cm
2- Ruth Gurvich, Lièvre II, 216, Série Sylvestre, aquarelle sur papier, 54 x 69 cm
3- Ruth Gurvich, Lièvre I, 2015, Série Sylvestre, aquarelle sur papier, 55 x
81 cm
4- Ruth Gurvich, Loup II, 2015, Série Sylvestre, aquarelle sur papier, 69 x 54 cm
5- Ruth Gurvich, Cerf I, Série Sylvestre, 2016, aquarelle sur paiper, 69 x 64
cm
7 - Ruth Gurvich, porcelaine No.5, 2016, diamètre 53 cm
6- Ruth Gurvich, Porcelaine, No.8, 2016, diamètre 33 cm
8 - Ruth Gurvich, porcelaine No.7, 2012, diamètre 40 cm
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
8
INFOR MAT IONS PRAT IQUES
Ruth Gurvich
Sylvestre
2 5
m a i
-
2 0
j u i l l e t
2 0 1 6
Exposition dans le cadre de la semaine de l’Amérique latine et des Caraïbes
26 mai – 7 juin 2015
En partenariat avec
M a i s o n d e l ’A m é r i q u e l a t i n e
Salle Asturias
217 Boulevard Saint-Germain, 75007 Paris
Té l . + 3 3 ( 0 ) 1 4 9 5 4 7 5 0 0
www.mal217.org
du lundi au vendredi de 10 à 20h, samedi de 14h à 18h.
Fermé les dimanches et jours fériés.
Entrée libre.
C O N TA C T
P R E S S E
anne samson communications
Léopoldine Turbat
[email protected] / +33 (0)1 40 36 84 35
M a i s o n d e l ’ A m é r i q u e l a t i n e – R u t h G u r v i c h « Sy l v e s t r e »
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