La Monarchie Britannique et Hitler Aujourd`hui Obama, l`euthanasie

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La Monarchie Britannique et Hitler Aujourd`hui Obama, l`euthanasie
La Monarchie Britannique et Hitler Aujourd’hui
Par Lyndon Larouche
11 septembre, 2009 (LPAC) Dans le rapport ci-dessous, l’historien
Anton Chaitkin documente la complicité personnelle de Charles,
Prince britannique de Galles, dans la perpétration du type de crime
contre l’humanité que la monarchie britannique a réussit à imposer,
sous la forme frauduleuse d’un programme de « soins de santé » - à
celui qui est littéralement son « pantin », le Président américain
Barack Obama.
Le point crucial à faire dans ce communiqué et dans
d’autres publications sur ce sujet, est que depuis l’élévation de la
reine Victoria de Grande-Bretagne, au poste de responsable du
successeur de la défunte Compagnie Britannique des Indes
Orientales, et impératrice, l’Empire britannique a été une
continuation de ce qu’avait été le pouvoir impérial de la
Compagnie Britannique des Indes Orientales, depuis le Traité de
Paris de février 1763. Cette monarchie britannique est devenue, si
on donne au terme
« empire » son vrai
sens, un empire
d’étendue mondiale
et a été non
seulement l’auteur
principal des 1ière et
Guerres
2ième
mondiales, de la
guerre de 18941945 du Japon
contre, entre autres,
Édouard VIII d’Angleterre visite
les nations de la
Adolf Hitler en octobre 1937
Chine, de la Corée
et de la Russie,
mais aussi le co-auteur du plan, conçu au début des années 1920,
pour une alliance britannico-japonaise, pour une attaque nippone
contre la base navale américaine à Pearl Harbor, attaque qui s’est
produite le 7 décembre 1941. C’est cette monarchie britannique qui
a organisé ce qui est devenue connu comme la 1ière Guerre
mondiale et qui a placé Adolf Hitler et ses politiques au pouvoir en
Allemagne grâce à une opération menée en janvier 1933.
C’est une politique de santé britannique qui a été adopté
en Allemagne en septembre et octobre 1939, et qui est devenue
connu aujourd’hui comme étant la politique génocide du régime
d’Hitler; cette même politique est la politique déclarée du Londres
de l’ancien Premier Ministre et infâme menteur, Tony Blair, et
c’est la même politique qui se retrouve exprimée comme intention
pro-génocide de la proposition présentement défendue par le
président Barack Obama (ceux qui nient ces faits sont soit stupides,
soit menteurs). La politique qui sous-tend présentement le
programme, semblable à celui d’Hitler et de Blair, de
l’administration Obama, est de A à Z une création de l’Empire
britannique que dirige la présente famille royale britannique dans
son rôle de dirigeante d’un empire basé sur un système monétariste
britannique, un système fondé, en fait, sur les propositions de
l’opposant principal au traité de Bretton Woods de Franklin D.
Roosevelt, John Maynard Keynes.
Le fer de lance visible des politiques pro-génocide et
pro-trafic de stupéfiants de la présente monarchie impériale
britannique, est constitué des politiques pro-génocide de contrôle
de population promues sous la direction du Prince Consort,
Philip, et de son fils, l’héritier putatif à la Couronne britannique,
Prince Charles, ce même Prince Charles qui entretient l’ancien
Vice-président américain Al Gore en tant qu’aspirant laquais. Le
World Wildlife Fund, ses laquais, et les politiques internationales
de trafiquant de stupéfiants de ce George Soros qui a été formé
par les Nazis et qui est en fait un laquais britannique, sont le
noyau des principaux ennemis non seulement de notre
Constitution Fédérale aujourd’hui, mais, aussi, du bien-être de
l’humanité toute entière.
Les accusations que j’ai portées à l’encontre du
Président Obama pour sa complicité factuelle avec ces politiques
diaboliques, ont été atténuées par les indications que j’ai obtenues
qui prouvent que le Président n’est pas complètement en contrôle
de ses propres facultés intellectuelles, et par le fait qu’il doit être
gardé en fonction, si possible, sous une supervision compétente,
comme ce fut le cas pour Woodrow Wilson.
La question pour tous nos citoyens américains, dans ces
circonstances, est, donc, simplement : êtes-vous un patriote, et
êtes vous réellement capable d’agir comme un patriote, en
particulier si vous êtes un responsable dans la fonction publique
fédérale?
Obama, l’euthanasie et la
Couronne britannique
Par Antony Chaitkin, Executive Intelligence Review
14 septembre 2009 - Quand, en 2007, le système financier
mondial a commencé à vaciller, les dirigeants impériaux
britanniques ont décidé de couper d’une façon drastique le
financement des services publics. Il s’agissait en particulier de
réduire les dépenses de santé qui, par le vieillissement de la
population et les nouvelles technologies médicales, ne pouvaient
qu’augmenter. L’argent ainsi « économisé » était supposé
dégager les marges de manoeuvre budgétaires indispensables
pour poursuivre les renflouements bancaires de l’axe LondresWall Street.
Comme l’a dénoncé récemment un groupe de médecins
dans une lettre au Daily Telegraph, c’est en généralisant
l’euthanasie, sous couvert « d’éviter toute surmédicalisation des
fins de vie », que cette politique fut réalisée.
C’est à partir de 2003, sous le gouvernement de Tony
Blair, que l’hospice Marie Curie de Liverpool où l’on traite les
cancers en phase terminale, deviendra le centre-pilote chargé
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d’expérimenter ces nouvelles directives sous le titre du Liverpool
Care Pathway (LCP). Ce « traitement » permet, sur simple décision
d’un médecin, d’endormir les patients et d’interrompre les soins,
l’alimentation et l’hydratation quand on estime que « cela n’en vaut
plus la peine ».
Réservé initialement aux malades souffrant de maladies
incurables, le LCP, désormais recommandé par le haut conseil de la
santé (NICE), peut s’appliquer à tout malade en Angleterre.
Selon une étude du Dr. Clive Seale, un gérontologue
réputé de la prestigieuse faculté de la Barts and the London
Medical School of Medecine and Dentistry, rien que l’an dernier, le
LCP est a l’origine d’environ un décès sur six en Grande Bretagne !
Il faut noter ici que vers 2000, le Prince Charles « a
accepté » de présider cet hospice. La famille royale joue un rôle
important dans le système de santé britannique via le King’s Fund
que le Prince Charles préside depuis 1986 et dont la Reine
Elisabeth II est une grande bienfaitrice.
La création du King’s Fund remonte à la fin du XIXe
siècle, sous l’impulsion du Prince de Galles, futur Edward VII. Il
devint en 1907 le King Edward’s Hospital Fund for London. Il
s’agissait du centre stratégique de la famille royale pour réformer la
santé, conformément aux innovations de l’Empire de l’époque,
c’est-à-dire la théorie de l’eugénisme ou de la purification de la
race.
Depuis que le King’s Fund et l’hospice Marie Curie ont
fusionné en 2008, la politique d’euthanasie s’est accélérée en
Angleterre. C’est le directeur du développement et de la politique
du King’s Fund, Steve Dewar, qui dirige simultanément les deux
entités pour « développer la contribution des deux organisations à
la plus ample amélioration des services de fin de vie au RoyaumeUni ». En juillet 2008, le NHS publia sa Stratégie des soins en fin
de vie, élaborée par une unité spécialement dédiée au nouveau
programme d’euthanasie.
Comme on pouvait s’en douter, les vautours de la finance
participent à la fête. Le directeur en chef de l’hospice Marie Curie,
Tom Hughes-Hallett, a passé 22 ans de sa vie comme banquier à la
City de Londres. Senior Associate du King’s Fund, il préside le
« Conseil consultatif de la mise en œuvre externe » pour la
Stratégie des soins de fin de vie à l’échelle nationale.
Dans l’avant-propos d’un rapport publié par le NHS en
juillet 2009, il écrit : « Nous essayons de changer la façon dont ce
pays pense et répond à l’idée de la mort. Nous essayons de changer
la façon dont les professions des soins médicaux et sociaux pensent
et répondent à la mort. Nous essayons de changer la façon dont les
services de soins de fin de vie sont administrés. »
Cependant, en tant que financier de la City de Londres
(chez J. Henry Schroeder et plus tard chez Robert Fleming
Securities), Hughes-Hallett a écrit davantage sur l’urgence de
mettre ce programme en place à grande échelle, dès maintenant :
« Une chose qui a changé rapidement, et sans qu’on s’y attende,
c’est le climat financier. Pour cette année et la prochaine, le NHS a
de l’argent frais pour mettre en œuvre cette stratégie. Après cela,
les choses deviennent beaucoup plus incertaines… »
Dans leur Rapport stratégique, la rubrique consacrée aux
soins de fin de vie commence par : « Etape 1 : identifier les gens
qui s’approchent de la fin de leur vie » ; continue avec : « Etape 5 :
les derniers jours de vie », où le LCP est présenté comme le
moyen d’en finir. Après cela vient la sixième étape : « Les soins
post-mortem », ou que faire des corps et des survivants ; des
méthodes y sont alors proposées pour trafiquer les certificats de
décès en indiquant des causes naturelles plutôt qu’un homicide –
exactement ce qui était fait sous le programme T-4 de Hitler.
Un audit du cabinet de conseil McKinsey commandé par
le NHS, appelant à économiser 32 milliards de dollars par an
dans la santé, a été fuité à la presse la semaine dernière.
L’économiste en chef du King’s Fund, John Appleby, cité dans le
Times du 9 septembre 2009, a répondu que ces économies
doivent être réalisées en trouvant « des moyens de contrer la
croissance des coûts de la santé due à une population
vieillissante, à de nouveaux traitements médicaux onéreux et à
des exigences croissantes chez les patients ». Le directeur en chef
du King’s Fund, Niall Dickson, a précisé que plutôt que de faire
plus avec moins de ressources, « faire moins avec moins de
ressources est un scénario plus réaliste ».
Le programme royal d’euthanasie a été introduit comme
un projet-pilote en 2003-2004 par Simon Stevens, principal
conseiller en matière de santé de Tony Blair entre 2001 à 2004.
En 2007, Stevens s’est rendu aux Etats-Unis pour y promouvoir
cette politique. Stevens est devenu vice-président de la firme
United Health, un des géants de l’assurance santé privée siégeant
dans le Minnesota et qui exerce aux Etats-Unis et en Grande
Bretagne. Le travail officiel de Stevens est de conseiller tous les
assureurs santé privés pour les rassembler derrière la nouvelle
réforme de santé d’Obama. Conservant son poste
d’administrateur du King’s Fund pour le compte du Prince
Charles à Londres, Simon Stevens assure le lien entre le
Président Obama et l’axe Londres-Wall Street, afin de mettre en
œuvre la stratégie urgente de l’oligarchie financière pour faire
face à l’effondrement du système.
Obama et ses contrôleurs
de Londres
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