WITS Program French Lesson Plans

Transcription

WITS Program French Lesson Plans
WITS Program
French Lesson Plans
Les ennuis de Julie
par Teddy Slater
Liens avec le WITS
Walk away
Ignore
Talk it out
Seek help
Résumé de l’histoire
Au premier jour d’école, personne ne veut s’asseoir à côté de la nouvelle élève,
Julie. Tout le monde l’ignore parce qu’elle s’habille et se coiffe différemment. Mais
Marianne, qui elle aussi est un peu différente des autres élèves, devient amie avec
Julie. Un jour, un groupe d’enfants arrache les lunettes de Julie et se moque d’elle.
Marianne voudrait bien l’aider, mais elle a peur de la défendre.
L’idée principale :
On peut se sentir impuissant quand un de nos amis est victime d’intimidation.
Résultats d’apprentissage (primaire):
L’élève pourra employer les connaissances, stratégies et habiletés langagières
nécessaires pour s’exprimer de façon réfléchie par l’oral, l’écrit et le visuel.
L’élève pourra employer un répertoire de stratégies et d’habiletés pour
anticiper, prédire, négocier, confirmer et vérifier le sens d’une communication
écrite, orale ou visuelle.
L’élève pourra établir des liens entre son vécu et des oeuvres écrites.
L’élève pourra tirer des conclusions réfléchies d’une communication écrite,
orale ou visuelle et les justifier.
L’élève pourra s’affirmer avec fierté, prendre des risques, explorer et évaluer
son propre potentiel et résoudre des problèmes.
L’élève pourra employer les stratégies langagières nécessaires pour s’intégrer
à une collectivité dans un climat de respect réciproque.
Questions et activités
Suggestions d’activités avant de lire « Les ennuis de
Julie » à la classe
•
Imaginez que vous devez changer d’école. Comment vous sentiriez-vous?
Auriez-vous un peu peur?
•
Comment feriez-vous pour vous faire de nouveaux amis?
•
Est-ce qu’il y a une façon juste de s’habiller et de se coiffer?
•
Pourquoi certaines personnes portent des lunettes?
•
Faites-vous ou pouvez-vous faire quelque chose que peu de personnes peuvent
faire?
Suggestions d’activités durant la lecture à la classe:
•
Faire des liens : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on fait des liens
dans notre cerveau. En d’autres mots, pendant qu’on lit, on se rappelle de ce
qui nous est déjà arrivé. On peut aussi s’identifier au personnage de
l’histoire ou le personnage peut nous rappeler quelqu’un qu’on connaît. Le
livre peut également nous rappeler un autre livre qu’on a déjà lu. Quand on a
des idées comme ça, on dit qu’on fait des liens. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des liens avec ta vie ou un livre
L’histoire (dessin)
Ma vie (dessin)
Dans l’histoire,
____________________________
Ça me rappelle
____________________________
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____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 39 à
44)
• Se poser des questions : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on se sert
de notre cerveau pour poser des questions. Parfois, l’enseignant pose des
questions, mais il est bon que les élèves se posent aussi des questions
pendant la lecture. (Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval,
2007, pages 14 et 15.)
Les mots interrogatifs :
Qui…?
Où…?
Pourquoi…?
Est-ce que…?
Qu’arriverait-il si…?
Qu’est-ce que…?
Quand…?
Comment…?
Je me demande…?
Trois étapes de questionnement :
Des questions que je me pose avant la lecture :
____________________________________________________________
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Des questions que je me pose durant la lecture :
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Des questions que je me pose après la lecture :
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 53 à
59.)
•
Visualiser : En lisant ou en écoutant une histoire, les élèves doivent créer
des images dans leur tête. Quand on est capable de créer des images à partir
des mots et du texte, on dit qu’on visualise l’histoire. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais participer tes sens
Ce que je vois
Ce que j’entends
Mes sentiments
Les mots que je retiens
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 71 à
76.)
•
Faire des inférences ou déduire : En lisant ou en écoutant une
histoire, on peut aussi déduire. Il faut savoir que les auteurs n’écrivent pas
tout avec les mots. Il y a des indices dans l’histoire et dans les illustrations. Il
faut alors parfois lire entre les lignes pour bien comprendre un message qui
n’est pas expliqué directement avec des mots. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des inférences
Ce que j’observe :
Ce que j’infère :
Je pense que___________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 90 à
95.)
•
Transformer : Parfois, on est transformé par une histoire. Ça veut dire
qu’un changement c’est produit dans notre cerveau. L’histoire peut nous
donner des idées et nous pensons autrement. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Vers un monde meilleur
Dans l’histoire
Ce qui ce passe dans l’histoire :
_____________________________
_____________________________
_____________________________
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_____________________________
_____________________________
Mon idée
Je pourrais aider à construire un
monde meilleur en
_____________________________
_____________________________
_____________________________
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_____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 108 à
114.)
•
Sur une assiette en carton, faire tracer aux élèves un visage heureux sur un
côté et un visage triste au dos. Au fur et à mesure de la lecture du livre, leur
demander de montrer le côté qui reflète le mieux l’émotion de Julie.
•
Page
a.
b.
c.
d.
e.
f.
g.
1:
Que font les enfants?
Que se disent-ils?
Que pense Julie?
Comment se sent Julie?
Pourquoi les chaises à côté de Julie sont-elles libres?
Pourquoi les enfants observent Julie?
Si vous étiez à la place de Julie, comment vous sentiriez-vous?
•
Page
a.
b.
c.
2:
Comment Julie est-elle coiffée et habillée?
Que se disent les filles derrière Julie?
Si vous étiez à la place de Julie, comment vous sentiriez-vous?
•
Page
a.
b.
c.
3:
Que fait Julie?
Fait-elle des choses bizarres?
Quelles sont les trois qualités de Julie?
•
Page 4 :
a. Les autres de la classe savent-ils qu’elle est intelligente, drôle et très
gentille?
b. Pourquoi les enfants ignorent-ils Julie?
c. Le visage de Julie est-il accueillant?
•
Page
a.
b.
c.
5:
Qui cherche à connaître Julie?
Pourquoi Marianne est-elle la seule personne à vouloir connaître Julie?
Que peut faire Marianne?
•
Page
a.
b.
c.
6:
Comment Julie et Marianne sont-elles devenues amies?
Quels indices nous montrent qu’elles sont devenues amies?
Où sont-elles et que font-elles?
•
Page
a.
b.
c.
7:
Où sont Julie et Marianne et que font-elles?
Que peuvent-elles se dire?
Semblent-elles passer du bon temps?
•
Page
a.
b.
c.
d.
8:
Où sont Julie et Marianne et que font-elles?
Que peuvent-elles se dire?
Semblent-elles passer du bon temps?
Quel indice nous montre qu’elles deviennent des amies plus intimes?
•
Page
a.
b.
c.
d.
e.
9:
Quelle est l’expression sur le visage des deux filles?
Que c’est-il passé?
Où est la personne qui leur parle?
Que signifie « Julie Quat-z’yeux!
Comment se sentent les filles?
•
Page
a.
b.
c.
10 :
Que se passe-t-il?
Que peuvent penser et se dire les deux filles?
Pourquoi le groupe d’enfants se rapproche-t-il des filles?
d. Quelle est l’expression des visages des enfants?
•
Page
a.
b.
c.
11 :
Pourquoi un garçon montre Julie du doigt?
Quelle est l’expression du visage du garçon?
Que peut penser Julie? Et Marianne?
•
Page
a.
b.
c.
12 :
Que se passe-t-il?
Pourquoi une fille enlève les lunettes de Julie?
Comment se sent Julie?
•
Page
a.
b.
c.
13 :
Que fait Julie?
Pourquoi appelle-t-elle Marianne?
L’expression du visage de Marianne est-il le même que celui du groupe
d’enfants?
•
Page
a.
b.
c.
14 :
Que pense Marianne?
Que voudrait faire Marianne?
Pourquoi Marianne n’aide pas son amie?
Suggestions d’activités après la lecture :
•
Et vous, que feriez-vous si votre ami se faisait agresser comme Julie?
Discussion avec la classe.
•
Comment utiliseriez-vous votre WITS si votre ami se faisait agresser? Utiliser
son WITS n’est parfois pas si facile. En groupe ou en classe, posez-vous ces
questions :
a. Walk away. Si tu pars, que va penser ton ami? Tu peux dire à ton ami
de s’éloigner aussi.
b. Ignore. Comment peux-tu ignorer ton ami qui se fait agresser? Tu
peux dire à ton ami de ne pas écouter les agresseurs et de continuer
son chemin.
c. Talk it out. Comment peux-tu en parler? Il faut essayer de rester
calme pour parler.
d. Seek Help. Où vas-tu chercher de l’aide? Il faut se confier à un adulte.
Explique lui ce qui se passe, même si tu as peur.
•
Aidez Marianne à choisir la solution qui vous semble la plus facile. Continuez
le livre en faisant un ou deux autres dessins qui montrent ce que Marianne
pourrait faire. Vos pouvez écrire une phrase explicative sous votre dessins ou
faire des bulles de dialogues.
•
Avec un partenaire, préparez une saynète pour mettre une deux lettres du
WITS en situation. Par exemple, si vous choisissez le S, vous pouvez
commencer avec :
-Madame, Madame, mon ami se fait agresser!
-Où est ton ami?
-Il est derrière l’école!
-Qui est avec lui?
-C’est un groupe de garçons que je ne connais pas!
-D’accord. Allons aider ton ami!
•
Les enfants qui agressent les autres sont généralement des enfants frustrés,
en colère et anxieux. Si vous parlez d’un agresseur à un adulte, celui-ci peut
faire quelque chose pour l’agresseur. Comment un adulte peut aider un
agresseur d’arrêter d’intimider les autres?
•
Cette histoire est fictive. L’auteur Teddy Slater l’a inventé. Mais pensez-vous
que cela peut nous arriver un jour? Comment ce livre est-il utile?
•
Imaginez que Julie ne fasse rien pour Marianne parce qu’elle a trop peur.
Que pensez-vous de ce qui va se passer? Elles vont beaucoup souffrir.
Marianne et Julie ne seront plus amies et elles vont perdre leur estime de soi.
Elles seront encore victimes du groupe d’intimidateurs parce qu’ils
choisissent les enfants les plus faibles, ceux qui ne diront rien aux adultes.
•
L’histoire de Julie est un exemple d’intimidation. Pouvez-vous trouver
d’autres exemples d’intimidations? Comment allez-vous utiliser votre WITS?
•
Qu’est-ce que votre classe peut faire pour bien accueillir les nouveaux élèves
de l’école?
Les pommes de M. Peabody
par Madonna
Liens avec le WITS
Talk it out
Seek help
Résumé de l’histoire
C’est l’histoire d’un garçon qui accuse son professeur de voler des pommes à
l'étalage de l'épicier. Nous apprenons à la fin de l’histoire que M. Peabody est
injustement accusé parce qu’il paye ses pommes à la fin de semaine. Le professeur
punit le garçon en lui faisant répandre les plumes d'un oreiller sur un champ de
base-ball, tout comme il a répandu la mauvaise rumeur. Chaque plume représente
un citoyen de la ville d’Happville. C’est en essayant de récupérer les plumes une à
une que le garçon comprend comment il est difficile de rattraper sa médisance.
L’idée principale :
Les mots ont le pouvoir de détruire ou d’aider la réputation des autres. La médisance peu
beaucoup blesser et est difficile à réparer.
Résultats d’apprentissage (primaire):
L’élève pourra employer les connaissances, stratégies et habiletés langagières
nécessaires pour s’exprimer de façon réfléchie par l’oral, l’écrit et le visuel.
L’élève pourra employer un répertoire de stratégies et d’habiletés pour
anticiper, prédire, négocier, confirmer et vérifier le sens d’une communication
écrite, orale ou visuelle.
L’élève pourra établir des liens entre son vécu et des oeuvres écrites.
L’élève pourra tirer des conclusions réfléchies d’une communication écrite,
orale ou visuelle et les justifier.
L’élève pourra s’affirmer avec fierté, prendre des risques, explorer et évaluer
son propre potentiel et résoudre des problèmes.
L’élève pourra employer les stratégies langagières nécessaires pour s’intégrer
à une collectivité dans un climat de respect réciproque.
Questions et activités
Suggestions d’activités avant de lire « Les pommes
de M. Peabody » à la classe
•
Faire une prédiction: Prédire n’est pas deviner, mais c’est utiliser des indices
comme le titre et les images. Faites des liens avec ce que vous savez déjà.
Regardez l’image de couverture. Qui est sur l’image? Où sont-ils? Que font-ils?
Pourquoi? Que vois-tu d’autre?
•
Avez-vous déjà vu une personne prendre quelque chose qui ne lui appartenait
pas? Leur demander de simplement lever la main.
•
Imaginez que vous voyez un ami de la classe prendre un crayon dans le pupitre
d’une autre personne. Que faites-vous? Faire répondre quelques élèves
oralement. Voici quelques situations possibles:
a. Vous ignorez ce que vous avez vu.
b. Vous dites à la personne qui s’est fait prendre son crayon ce que vous
avez vu.
c. Vous dites à votre professeur ce que vous avez vu.
d. Vous dites à votre voisin ce que vous avez vu.
e. Vous dites à l’ami qui a pris le crayon que vous l’avez vu faire.
•
Qui connaît le mot pour:
a. Prendre quelque chose pour quelque temps, pour le redonner plus tard?
Emprunter. Pouvez-vous me donner un exemple?
b. Prendre quelque chose contre de l’argent? Acheter. Pouvez-vous me
donner un exemple?
c. Prendre quelque chose qui ne nous appartient pas? Voler. Pouvez-vous
me donner un exemple?
•
Lisez ces mots. Le sens de certains de ces mots se ressemble. Pouvez-vous
faire trois groupes de mots?
a. emprunter
d. prêter
g. acheter
b. payer
e. donner
h. voler
c. prendre
f. offrir
•
Avez-vous personnellement été accusé de voler? Que c’est-il passé?
•
Est-il possible de se faire accuser injustement? Expliquez.
•
Imaginez qu’une personne ou bien toute la classe vous accuse injustement de
voler un crayon ou autre chose? Qu’elle est votre réaction? Comment allez-vous
sous sentir? Voici quelques situations possibles:
a. Tu ignores tout le monde et tu ne dis rien.
b. Tu expliques que tu n’as rien volé, mais que tu as simplement emprunté
ce crayon.
c. Tu ne contrôles plus tes émotions. Tu te fâches, tu pleurs ou tu boudes.
d. Tu vas chercher de l’aide auprès d’un adulte.
•
Lisez
a.
b.
c.
d.
e.
f.
g.
h.
i.
ces phrases. Trouvez l’émotion qui va avec chaque phrase.
Le chien de ton ami est mort. Il est triste.
Tu ne veux pas partager ton nouveau jeu. Tu es égoïste.
Une élève ne trouve personne avec qui jouer pendant la récréation. Elle
se sent seule.
Ton amie a beaucoup étudié pour son test, mais elle n’a pas réussi. Elle
est déçue.
Ton professeur a vu que tu trichais pendant le quiz. Tu es honteux.
Un groupe d’enfants se moque du nom de famille d’une personne. Elle est
humiliée.
Ton ami voudrait le même déjeuner que toi. Il est jaloux ou envieux.
Sans le faire exprès, tu as écrasé ta construction de Lego. Tu es fâché ou
frustré.
Tu as reçu un petit chien pour ta fête. Tu es content ou ravi.
•
Dessinez une petite ville, une épicerie avec des fruits, des enfants qui jouent au
baseball, votre professeur.
•
Regardez les visages de la page 6, 7 et 8. Quelles sont les expressions sur les
visages des enfants?
Suggestions d’activités durant la lecture à la classe:
•
Faire des liens : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on fait des liens
dans notre cerveau. En d’autres mots, pendant qu’on lit, on se rappelle de ce
qui nous est déjà arrivé. On peut aussi s’identifier au personnage de
l’histoire ou le personnage peut nous rappeler quelqu’un qu’on connaît. Le
livre peut également nous rappeler un autre livre qu’on a déjà lu. Quand on a
des idées comme ça, on dit qu’on fait des liens. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des liens avec ta vie ou un livre
L’histoire (dessin)
Ma vie (dessin)
Dans l’histoire,
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Ça me rappelle
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____________________________
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____________________________
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____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 39 à
44)
• Se poser des questions : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on se sert
de notre cerveau pour poser des questions. Parfois, l’enseignant pose des
questions, mais il est bon que les élèves se posent aussi des questions
pendant la lecture. (Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval,
2007, pages 14 et 15.)
Les mots interrogatifs :
Qui…?
Où…?
Pourquoi…?
Est-ce que…?
Qu’arriverait-il si…?
Qu’est-ce que…?
Quand…?
Comment…?
Je me demande…?
Trois étapes de questionnement :
Des questions que je me pose avant la lecture :
____________________________________________________________
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Des questions que je me pose durant la lecture :
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Des questions que je me pose après la lecture :
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 53 à
59.)
•
Visualiser : En lisant ou en écoutant une histoire, les élèves doivent créer
des images dans leur tête. Quand on est capable de créer des images à partir
des mots et du texte, on dit qu’on visualise l’histoire. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais participer tes sens
Ce que je vois
Ce que j’entends
Mes sentiments
Les mots que je retiens
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 71 à
76.)
•
Faire des inférences ou déduire : En lisant ou en écoutant une
histoire, on peut aussi déduire. Il faut savoir que les auteurs n’écrivent pas
tout avec les mots. Il y a des indices dans l’histoire et dans les illustrations. Il
faut alors parfois lire entre les lignes pour bien comprendre un message qui
n’est pas expliqué directement avec des mots. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des inférences
Ce que j’observe :
Ce que j’infère :
Je pense que___________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 90 à
95.)
•
Transformer : Parfois, on est transformé par une histoire. Ça veut dire
qu’un changement c’est produit dans notre cerveau. L’histoire peut nous
donner des idées et nous pensons autrement. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Vers un monde meilleur
Dans l’histoire
Ce qui ce passe dans l’histoire :
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Mon idée
Je pourrais aider à construire un
monde meilleur en
_____________________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 108 à
114.)
•
Questions :
o
Page 9
a. Qui pratique un sport parmi vous?
b. Quel équipement avez-vous besoin pour jouer au baseball? Pouvezvous les dessiner? Des balles, des bâtons, des gants…
c. À la fin d’une activité sportive, que peut-on faire pour aider la
personne qui a organisé le jeu? Ranger, nettoyer.
o
Page 10
a. À votre avis, M. Peabody est-elle une personne aimée? Comment
le savez-vous?
b. Feriez-vous la même chose que Tommy Tittlebottom (Raconter
que M. Peabody n’a pas payé sa pomme)?
c. Combien de personne comptez-vous sur l’image de la page 11.
Quelle est l’expression du visage de M. Peabody quand il choisit sa
pomme. À quoi peut-il penser?
o
Page 13
a. L’équipe de M. Peabody est-elle triste d’avoir perdu un autre
match? Pourquoi?
b. Qui aide M. Peabody à ramasser les balles et les bâtons?
c. Pourquoi Tommy Tittlebottom et ses amis observent M. peabody
sur la rue?
d. Comment autant de personnes est au courrant que M. Peabody
prend des pommes à l’épicerie?
e. Tommy Tittlebottom et ses amis sont stupéfaits de ce qu’ils voient.
Pourquoi? Que veut dire le mot stupéfait?
o
Page 14
a. Pourquoi M. Peabody est-il seul le samedi suivant sur le terrain de
baseball?
b. Pourquoi Billy Little est-il le seul enfant à être venu?
c. Pourquoi Billy est-il triste?
d. Comment réagit M. Peabody lorsque Billy lui explique que tout le
monde le prend pour un voleur?
e. Aux pages 15, 16 et17, quelle est l’expression du visage du
professeur? Pourquoi?
o
Page 15
a. Pourquoi certaines personnes ne répondent pas aux bonjours du
professeur?
b. Qui est M. Funkadeli?
c. Quand le professeur demande s’il peut avoir une pomme, que
répond M. Funkadeli?
d. Quand M. Peabody offre sa pomme à Billy, que dit Billy?
e. Que va dire Billy à Tommy?
f. Pourquoi M. Peabody veut voir Tommy chez lui? Que va-t-il lui
dire?
g. À la page 19, quelle est l’expression sur le visage de Billy?
o
Page 20
a. Que dit Tommy au professeur?
b. M. Peabody explique : « Les impressions importent peu, Tommy.
Ce qui compte, c’est la vérité. » Pouvez-vous expliquer ça?
c. Tommy dit qu’il est désolé et il demande ce qu’il peut faire pour
arranger les choses. Pensez-vous que son excuse est appropriée?
Auriez-vous dit la même chose?
d. Que demande le professeur à Tommy d’aller chercher?
o
Page 22
a. Regardez les pages 24 et 25. Que doit faire Tommy?
b. Pouvez-vous expliquer : « Les milliers de plumes se dispersèrent
aussitôt aux quatre vents?
o
Page 27
a. Que doit faire Tommy?
b. Que représentent les plumes?
c. Regardez la page 26. Quelle est l’expression du visage de Tommy?
o
Page 28
a. Pourquoi M. Peabody sourit-il quand Tommy lui dit qu’il a un gros
travail devant lui?
b. Que peut penser M. Peabody lorsqu’il prend le chemin de sa
maison?
c. Que voyez-vous à la page 30. Tommy a-t-il réussit de remettre
toutes les plumes dans l’oreiller? Que représentent les plumes qui
volent encore?
Suggestions d’activités après la lecture :
•
Complétez les phrases:
o
Page 9
aidait, travail, bâtons, samedi, sourire, fin match, jouer, joueurs
M. Peabody félicitait ses jeunes __________ pour l’excellent __________
qu’ils venaient de __________.
À la _________ de chaque match, Billy __________ à ramasser les balles
et les __________.
Lorsqu’il avait terminé, M. Peabody lui disait avec un __________ :
« Merci, Billy. Beau __________. À __________ prochain.
o
Page 10
payé, bizarre, pomme
C’est __________, se dit Tommy Tittlebottom, M. Peabody n’a pas
__________ la __________.
o
Page 14
seul, voleur, suivant, autres, basse, monde, payer, prendre, baseball,
pomme
Le samedi __________, M. Peabody se retrouva tout __________ sur le
terrain de __________, se demandant où étaient les __________.
Billy garda la tête __________.
-Tout le __________ vous prend pour un __________, dit-il. Tommy
Tittlebottom et ses amis disent qu’ils vous ont vu __________ deux fois
une __________ sans rien __________.
o
Page 18
match, prendre, payez, samedi, aujourd’hui.
-Que faites-vous ici, M. Peabody? Vous n’êtes pas au __________ ?
-Il n’y avait pas de match __________, répondit M. Peabody. Est-ce que
je pourrais __________ ma pomme un peu plus tôt que d’habitude?
-Bien sûr, assura M. Funkadeli. Vous la __________ chaque __________
matin quand vous achetez votre lait.
o
Page 20
terrible, dire, choses, désolé, payer, vérité, faire, pommes, impressions
-C’est __________, M. Peabody, dit Tommy, sur le seuil de la porte. Je
n’aurais jamais dû __________ce que j’ai dit, mais j’avais l’impression
que vous preniez les __________ sans les __________.
-Les __________ importent peu, Tommy. Ce qui compte, c’est la
__________.
-Je suis __________ .Que puis-je _________ pour arranger les
__________ ?
o
Page 22 et 27
ciseaux, deux, ramasser, impossible, milliers, vents, mal, plumes, toutes,
coupe, voleur, citoyen
-Voici des __________. Maintenant, __________ l’oreiller en
__________ et secoue-le pour en faire sortir les __________.
Les __________ de plumes se dispersèrent aussitôt aux quatre
_________.
Maintenant, tu dois aller __________ toutes les plumes.
-Mais c’est impossible de les ramasser _________, répondit Tommy.
-Il est tout aussi __________ de réparer le __________ que tu as fais en
répandant la rumeur que je suis un __________ , dit M. Peabody.
Chacune de ces plumes représente un __________ d’Happville.
o
Page 28
gros, juge, pouvoir, mots, fois
-Je crois que j’ai un __________ travail devant moi, conclut Tommy.
-Sans doute, répond M. Peabody. La prochaine ________ , ne
__________ pas les gens aussi hâtivement. Et souviens-toi du
__________ des __________ que tu prononces.
•
Questions
o
Le grand message de ce livre, c’est que les mots ont le pouvoir de
détruire ou d’aider la réputation des autres. Comment pouvez-vous
expliquer cela?
o
Pensez-vous que les enfants viendront jouer au baseball avec M. Peabody
samedi prochain? Pourquoi?
o
Pouvez-vous résumer l’histoire en trois au quatre grandes parties, avec
des mots et des images? Faites un petit livre.
o
Quelle partie de l’histoire est la plus intéressante? Pouvez-vous la
dessiner?
o
Cette histoire est-elle fictive? Peut-elle être vraie?
o
Tommy a fait l’erreur de mal juger le professeur. Mais à la fin de l’histoire,
pensez-vous que Tommy est une personne responsable?
o
Avec un partenaire, pouvez-vous jouer la dernière partie du livre, en
commençant par la partie ou Tommy vient chez M. Peabody pour
s’expliquer. Une personne fait Tommy, l’autre le professeur.
o
Dessinez trois visages de Tommy : Son visage lorsqu’il voit M. Peabody
prendre une pomme. Son vissage lorsque Billy lui explique que M.
Peabody paye ses pommes le samedi. Son visage lorsqu’il doit aller voir le
professeur pour s’excuser. Écrivez ses expressions.
o
Dessinez la partie où Tommy coupe l’oreiller en deux. Dans une bulle,
écrivez ce qu’il peut penser.
o
Si vous étiez Tommy, comment feriez-vous pour expliquer à tout le
monde que M. Peabody n’a jamais volé de pommes?
o
Pensez-vous que les habitants d’Happville vont continuer d’aimer M.
Peabody?
o
Pensez-vous qu’après cette expérience, Tommy va changer? Comment
va-t-il changer?
o
Pensez-vous que M.Peabody va continuer à aimer Tommy et les enfants
en général? Expliquez.
o
Expliquez pourquoi Les pommes de M. Peabody de Madonna Ritchie est
une histoire importante et utile.
o
Recopiez cette phrase de votre plus belle écriture et illustrez-là:
« Il ne faut pas juger les autres car la médisance peu beaucoup blesser. »
La reine de la récré
par Alexis O’Neill
Liens avec le WITS
Walk away
Ignore
Talk it out
Seek help
Résumé de l’histoire
Suzie Chipie intimide tous les enfants dans la cour d’école qui n'osent pas la
contrarier, sauf la petite nouvelle, Marie-Luce qui ne se laisse pas imposer. MarieLuce est la première personne à inviter Suzie à jouer. Depuis ce moment, Suzie
n’intimide plus les autres.
L’idée principale :
On peut changer le comportement d’une personne agressive en refusant de se
laisser intimider par celle-ci et en l’invitant à jouer comme tout le monde.
Résultats d’apprentissage (primaire):
L’élève pourra employer les connaissances, stratégies et habiletés langagières
nécessaires pour s’exprimer de façon réfléchie par l’oral, l’écrit et le visuel.
L’élève pourra employer un répertoire de stratégies et d’habiletés pour
anticiper, prédire, négocier, confirmer et vérifier le sens d’une communication
écrite, orale ou visuelle.
L’élève pourra établir des liens entre son vécu et des oeuvres écrites.
L’élève pourra tirer des conclusions réfléchies d’une communication écrite,
orale ou visuelle et les justifier.
L’élève pourra s’affirmer avec fierté, prendre des risques, explorer et évaluer
son propre potentiel et résoudre des problèmes.
L’élève pourra employer les stratégies langagières nécessaires pour s’intégrer
à une collectivité dans un climat de respect réciproque.
Questions et activités
Suggestions d’activités avant de lire « La reine de la
récré » à la classe
•
À quoi jouez-vous pendant la récréation?
•
Faites un dessin de vos jeux, de ce que vous faites dans la cours d’école?
•
Avec quels équipements jouez-vous? Y a-t-il assez d’équipements pour tout le
monde?
•
Que faites-vous si plusieurs personnes veulent jouer avec le même équipement?
•
Y a-t-il des enfants qui ont plus de droits que d’autres d’utiliser l’équipement?
•
Que faites-vous si une personne ne veut pas laisser les autres jouer ou ne veut
pas prendre de tours?
•
Est-ce que vous partagez l’équipement avec les autres, en prenant des tours
par exemple?
•
Est-ce que vous invitez les autres à jouer avec vous? Invitez-vous n’importe qui
ou est-ce que vous invitez toujours les mêmes personnes?
•
Si on fermait les yeux pendant une minute dans la cours d’école pendant la
récréation, qu’est-ce qu’on entendrait?
Suggestions d’activités durant la lecture à la classe:
•
Faire des liens : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on fait des liens
dans notre cerveau. En d’autres mots, pendant qu’on lit, on se rappelle de ce
qui nous est déjà arrivé. On peut aussi s’identifier au personnage de
l’histoire ou le personnage peut nous rappeler quelqu’un qu’on connaît. Le
livre peut également nous rappeler un autre livre qu’on a déjà lu. Quand on a
des idées comme ça, on dit qu’on fait des liens. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des liens avec ta vie ou un livre
L’histoire (dessin)
Ma vie (dessin)
Dans l’histoire,
____________________________
Ça me rappelle
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
____________________________
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____________________________
____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 39 à
44)
• Se poser des questions : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on se sert
de notre cerveau pour poser des questions. Parfois, l’enseignant pose des
questions, mais il est bon que les élèves se posent aussi des questions
pendant la lecture. (Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval,
2007, pages 14 et 15.)
Les mots interrogatifs :
Qui…?
Où…?
Pourquoi…?
Est-ce que…?
Qu’arriverait-il si…?
Qu’est-ce que…?
Trois étapes de questionnement :
Quand…?
Comment…?
Je me demande…?
Des questions que je me pose avant la lecture :
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
Des questions que je me pose durant la lecture :
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____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
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Des questions que je me pose après la lecture :
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 53 à
59.)
•
Visualiser : En lisant ou en écoutant une histoire, les élèves doivent créer
des images dans leur tête. Quand on est capable de créer des images à partir
des mots et du texte, on dit qu’on visualise l’histoire. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais participer tes sens
Ce que je vois
Ce que j’entends
Mes sentiments
Les mots que je retiens
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 71 à
76.)
•
Faire des inférences ou déduire : En lisant ou en écoutant une
histoire, on peut aussi déduire. Il faut savoir que les auteurs n’écrivent pas
tout avec les mots. Il y a des indices dans l’histoire et dans les illustrations. Il
faut alors parfois lire entre les lignes pour bien comprendre un message qui
n’est pas expliqué directement avec des mots. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des inférences
Ce que j’observe :
Ce que j’infère :
Je pense que___________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 90 à
95.)
•
Transformer : Parfois, on est transformé par une histoire. Ça veut dire
qu’un changement c’est produit dans notre cerveau. L’histoire peut nous
donner des idées et nous pensons autrement. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Vers un monde meilleur
Dans l’histoire
Ce qui ce passe dans l’histoire :
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
Mon idée
Je pourrais aider à construire un
monde meilleur en
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
_____________________________
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 108 à
114.)
•
Questions :
o Première partie de l’histoire, avant l’arrivée de Marie-Luce :
a. Qui est Suzie Chipie?
b. Pouvez-vous la décrire ou la dessiner?
c. Pourquoi est-elle la reine de la récré? Qu’est-ce que ça veut
dire?
d. Pourquoi pense-t-elle pouvoir toujours faire ce qu’elle veut (ou
pouvoir faire « ses quatre volontés »)?
e. Pourquoi les autres ne la contredisent-ils pas?
f. Que se passe-t-il quand quelqu’un la contredit?
g. Pourquoi est-ce qu’elle pousse, bouscule et terrorise les autres?
Où pourquoi grogne-t-elle et hurle-elle?
o
Deuxième partie de l’histoire, quand Marie-Luce est arrivée:
a. Pouvez-vous décrire Marie-Luce ou la dessiner?
b. Que peut penser Marie-Luce à son premier jour d’école?
c. Que peut penser Suzie de Marie-Luce?
d. Que peuvent penser les autres de la classe, de Marie-Luce?
e. Que fait Marie-Luce à la première récréation? Et que fait Suzie?
f. Marie-Luce a-t-elle peur de Suzie? Pourquoi?
g. Marie-Luce est la première personne à inviter Suzie à jouer. Estce une bonne chose? Pourquoi?
h. Pourquoi Suzie hésite de jouer avec Marie-Luce?
i. Qu’est-ce que Marie-Luce chante? Pourquoi?
j. Que se passe-t-il à la fin de l’histoire?
k. À la fin, il y a les bruits « Dring, Youp et Youpi. » Comment ces
bruits sont-ils différents de ceux au début de l’histoire « Elle les
cric-crac-croque. »
l. Les deux filles sont-elles amies maintenant? Pourquoi?
Suggestions d’activités après la lecture :
•
Et vous, que feriez-vous si un agresseur vous empêcherait de jouer?
•
Comment utiliseriez-vous votre WITS si un agresseur vous empêcherait de
jouer?
•
Pensez-vous que Suzie va encore terroriser les autres à la récréation?
•
Qu’est-ce qu’on doit faire à l’école pour ne pas avoir d’enfants comme Suzie?
•
S’il y a des enfants comme Suzie à l’école, qu’est-ce qu’on peut faire pour les
aider et changer leur comportement?
•
Cette histoire est fictive. L’auteur Alexis O’Neill l’a inventé. Mais pensez-vous
que cela peut nous arriver un jour? Comment ce livre est-il utile?
•
Imagine que Marie-Luce ne fasse rien parce qu’elle a trop peur. Que pensezvous de ce qui peut se passer?
•
L’histoire de « La reine de la récré » est un exemple d’intimidation. Pouvezvous trouver d’autres exemples d’intimidations? Comment allez-vous utiliser
votre WITS?
•
Souvent, les enfants qui ont un comportement désagréable recherchent
l’attention des autres parce qu’il leur manque quelque chose dans la vie. À
votre avis, qu’est-ce qu’il peut manquer dans la vie de Suzie?
•
Qu’est-ce que votre classe peut faire pour avoir une cours d’école sécuritaire
et accueillante pour tout le monde?
Les Roses anglaises
par Madonna
Liens avec le WITS
Talk it out
Seek help
Résumé de l’histoire
Binah est une gentille petite fille, bonne élève, mais sans amis. Les Roses anglaises
sont Amy, Charlotte, Nicole et Grace, quatre fillettes qui s’extasient sur la beauté
de Binah, la jalousent et ne l’invitent jamais à partager leurs jeux. Une nuit, une
bonne fée leur ouvre les yeux sur la véritable Binah qui est solitaire, triste et dont
la maman est morte. Les Roses anglaises se rendent alors compte qu’elles ne
voudraient pour rien au monde échanger leur vie contre la sienne et décident de
l’inclure dans leur groupe. Mais un jour, lorsque Binah se lie d’affection avec le
nouvel élève Dominic de la Guardia, les Roses anglaises la jalousent de nouveau.
Heureusement, leur enseignante sauvera l’amitié des Roses anglaises.
L’idée principale :
Il ne faut pas juger, envier ou même isoler les autres sans avoir pris le temps de
bien les connaître, mais plutôt de se réjouir des bonnes choses qui arrivent aux
autres.
Résultats d’apprentissage (primaire):
L’élève pourra employer les connaissances, stratégies et habiletés langagières
nécessaires pour s’exprimer de façon réfléchie par l’oral, l’écrit et le visuel.
L’élève pourra employer un répertoire de stratégies et d’habiletés pour
anticiper, prédire, négocier, confirmer et vérifier le sens d’une communication
écrite, orale ou visuelle.
L’élève pourra établir des liens entre son vécu et des oeuvres écrites.
L’élève pourra tirer des conclusions réfléchies d’une communication écrite,
orale ou visuelle et les justifier.
L’élève pourra s’affirmer avec fierté, prendre des risques, explorer et évaluer
son propre potentiel et résoudre des problèmes.
L’élève pourra employer les stratégies langagières nécessaires pour s’intégrer
à une collectivité dans un climat de respect réciproque.
Questions et activités
Suggestions d’activités avant de lire « Les Roses
anglaises » à la classe
•
Faire une prédiction: Prédire n’est pas deviner, mais c’est utiliser des indices
comme le titre et les images. Faites des liens avec ce que vous savez déjà.
Regardez l’image de couverture. Qui est sur l’image? Où sont-ils? Que font-ils?
Pourquoi? Que vois-tu d’autre?
•
Connaissez-vous l’expression « comme les cinq doigts de la main »? Les Roses
anglaises sont-elles vraiment comme les doigts de la main? Expliquer que c’est
une métaphore pour être inséparable.
•
Pouvez-vous expliquer ce qu’est la jalousie? Est-ce une bonne émotion?
Pourquoi pas? Pourquoi peut-on devenir jaloux dans la vie? Pouvez-vous donner
des exemples où une personne peut devenir jalouse?
•
Dans l’histoire des Roses anglaises, les filles vont devenir jalouses l’une de
l’autre. Peux-tu prédire comment des bonnes amies peuvent devenir jalouses
l’une de l’autre? Comment est-ce que ça va changer leur relation d’amies?
•
La jalousie engendre des comportements particuliers. Choisissez parmi cette
liste de comportements ceux qui sont causés par la jalousie.
a. gentille
d. moqueuse
g. froide
b. agressive
e. exclusive
h. accueillante
c. mignonne
f. méchante
•
Lisez
a.
b.
c.
ces phrases. Trouvez l’émotion qui va avec chaque phrase.
Le chien de ton ami est mort. Il est triste.
Tu ne veux pas partager ton nouveau jeu. Tu es égoïste.
Une élève ne trouve personne avec qui jouer pendant la récréation. Elle
se sent seule.
d. Ton amie a beaucoup étudié pour son test, mais elle n’a pas réussi. Elle
est déçue.
e. Ton professeur a vu que tu trichais pendant le quiz. Tu es honteux.
f. Un groupe d’enfants se moque du nom de famille d’une personne. Elle est
humiliée.
g. Ton ami voudrait le même déjeuner que toi. Il est jaloux ou envieux.
h. Sans le faire exprès, tu as écrasé ta construction de Lego. Tu es fâché ou
frustré.
i. Tu as reçu un petit chien pour ta fête. Tu es content ou ravi.
•
Quelle est la différence entre dire quelque chose et penser quelque chose?
•
Nous n’arrêtons pas de penser. Est-ce qu’il y a une différence entre ce qu’on
pense et ce qu’on dit? Peut-on être triste et dire que ça va bien?
•
Regardez des bandes dessinées comme les Schtroumpfs, Tintin, Garfield ou
autre. Pouvez-vous trouver des bulles montrant les pensés d’un personnage?
•
Imaginez que vous détestez les gros serpents et que votre meilleur ami en a
acheté un comme animal de compagnie. Vous ne voulez pas dire ou montrer à
votre ami que vous n’aimez pas les serpents. Dessinez une courte bande
dessinée qui montre ce que vous allez dire à votre ami et ce que vous allez
penser. Votre personnage de doit pas dire ce qu’il pense.
•
Est-ce que c’est mal de cacher à un ami ce qu’on pense vraiment, ou est-ce que
c’est parfois nécessaire pour garder un ami? Pourquoi?
Suggestions d’activités durant la lecture à la classe:
•
Faire des liens : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on fait des liens
dans notre cerveau. En d’autres mots, pendant qu’on lit, on se rappelle de ce
qui nous est déjà arrivé. On peut aussi s’identifier au personnage de
l’histoire ou le personnage peut nous rappeler quelqu’un qu’on connaît. Le
livre peut également nous rappeler un autre livre qu’on a déjà lu. Quand on a
des idées comme ça, on dit qu’on fait des liens. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des liens avec ta vie ou un livre
L’histoire (dessin)
Ma vie (dessin)
Dans l’histoire,
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Ça me rappelle
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____________________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 39 à
44)
• Se poser des questions : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on se sert
de notre cerveau pour poser des questions. Parfois, l’enseignant pose des
questions, mais il est bon que les élèves se posent aussi des questions
pendant la lecture. (Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval,
2007, pages 14 et 15.)
Les mots interrogatifs :
Qui…?
Où…?
Pourquoi…?
Est-ce que…?
Qu’arriverait-il si…?
Qu’est-ce que…?
Quand…?
Comment…?
Je me demande…?
Trois étapes de questionnement :
Des questions que je me pose avant la lecture :
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
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Des questions que je me pose durant la lecture :
____________________________________________________________
____________________________________________________________
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Des questions que je me pose après la lecture :
____________________________________________________________
____________________________________________________________
____________________________________________________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 53 à
59.)
•
Visualiser : En lisant ou en écoutant une histoire, les élèves doivent créer
des images dans leur tête. Quand on est capable de créer des images à partir
des mots et du texte, on dit qu’on visualise l’histoire. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais participer tes sens
Ce que je vois
Ce que j’entends
Mes sentiments
Les mots que je retiens
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 71 à
76.)
•
Faire des inférences ou déduire : En lisant ou en écoutant une
histoire, on peut aussi déduire. Il faut savoir que les auteurs n’écrivent pas
tout avec les mots. Il y a des indices dans l’histoire et dans les illustrations. Il
faut alors parfois lire entre les lignes pour bien comprendre un message qui
n’est pas expliqué directement avec des mots. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des inférences
Ce que j’observe :
Ce que j’infère :
Je pense que___________________
_____________________________
_____________________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 90 à
95.)
•
Transformer : Parfois, on est transformé par une histoire. Ça veut dire
qu’un changement c’est produit dans notre cerveau. L’histoire peut nous
donner des idées et nous pensons autrement. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Vers un monde meilleur
Dans l’histoire
Ce qui ce passe dans l’histoire :
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Mon idée
Je pourrais aider à construire un
monde meilleur en
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 108 à
114.)
•
Pendant que vous écoutez le début de l’histoire des Roses anglaises, dessinez
les personnages comme vous les imaginez.
•
Page 22 : À quoi pensent les quatre filles quand Dominic de la Guardia
s’assoie avec Binah? Si elles sont jalouses, pourquoi ne viennent-elles pas
parler de leur sentiment avec Binah et Dominic?
•
Page 23 : Pourquoi les Roses anglaises « oubliaient » d’accompagner Binah
à la maison? À qui est-ce que Binah confie ses ennuies?
•
Page 30 : Qu’est-ce qu’est le GROS MONSTRE VERT?
•
Page 33 : Que veut faire Miss Fluffernutter?
•
Page 52 : Qu’elle est l’idée de Miss Fluffernutter quand quelqu’un est jaloux?
Se réjouir pour cette personne.
•
Page 56 : Pourquoi Nicole, Amy, Charlotte et Grace se sont elles excusées
auprès de Binah. Pourquoi ne l’on-t-elles pas fait avant? Que leur répond
Binah?
Suggestions d’activités après la lecture :
•
Au début, les Roses anglaises ignoraient Binah. Pensez-vous que ce
comportement était agressif envers Binah?
•
Comment Binah se sentait-elle quand elle était ignorée des autres filles?
•
Est-il possible d’être heureux quand on est isolé et exclus des autres?
•
Les Roses anglaises voulaient être amies avec Binah. Qu’est-ce qui les
empêchaient d’être amies avant?
•
Quel est le grand message de ce livre? Il ne faut pas juger, envier ou même
isoler les autres sans avoir pris le temps de bien les connaître, mais plutôt de
se réjouir des bonnes choses qui arrivent aux autres.
•
Quel est le sentiment des filles lorsqu’elles deviennent amies à nouveau?
•
Pouvez-vous résumer l’histoire en quatre au cinq grandes parties, avec des
mots et des images? Faites un petit livre.
•
Quelle partie de l’histoire est la plus intéressante? Pouvez-vous la dessiner?
•
Cette histoire est-elle fictive? Peut-elle être vraie?
•
Recopiez cette phrase de votre plus belle écriture et illustrez-là:
« Il ne faut pas être jaloux des autres, mais plutôt se réjouir des bonnes
choses qui arrivent aux autres. »
Le violon de Simon
par Teddy Slater
Liens avec le WITS
Walk away
Seek help
Résumé de l’histoire
Simon est un enfant de six ans qui aime jouer au violon. Ce jeune garçon reçoit
beaucoup d’attention de son entourage. Son professeur de musique et ses parents
sont fiers de lui et ils le lui montrent bien. Par contre, Billy la brute est un garçon de
huit ans qui fait peur et qui est toujours seul. Lorsqu’un jour Billy cherche à
s’emparer du violon de Simon, celui-ci réussit à se sauver jusqu’à chez lui, sachant
qu’il n’en sera peut-être pas ainsi la prochaine fois.
L’idée principale :
Ce livre, qui demande ce qu’on ferait si quelqu’un nous harcèlerait et nous
poursuivrait, aide à comprendre ce qu’est l’intimidation et pourquoi quelqu’un en
vient à intimider les autres.
Résultats d’apprentissage (primaire):
L’élève pourra employer les connaissances, stratégies et habiletés langagières
nécessaires pour s’exprimer de façon réfléchie par l’oral, l’écrit et le visuel.
L’élève pourra employer un répertoire de stratégies et d’habiletés pour
anticiper, prédire, négocier, confirmer et vérifier le sens d’une communication
écrite, orale ou visuelle.
L’élève pourra établir des liens entre son vécu et des oeuvres écrites.
L’élève pourra tirer des conclusions réfléchies d’une communication écrite,
orale ou visuelle et les justifier.
L’élève pourra s’affirmer avec fierté, prendre des risques, explorer et évaluer
son propre potentiel et résoudre des problèmes.
L’élève pourra employer les stratégies langagières nécessaires pour s’intégrer
à une collectivité dans un climat de respect réciproque.
Questions et activités
Suggestions d’activités avant de lire « Le violon de
Simon » à la classe
Avec un partenaire : Racontez quelque chose que vous avez bien accomplie
(réussir un travail à l’école, marquer un but au soccer, jouer un instrument de
musique…) Votre partenaire doit vous regarder et vous féliciter. Comment vous
êtes-vous senti de parler à quelqu’un qui vous regarde et qui vous félicite?
Heureux, satisfait, excité, fier, embarrassé.
Demandez à un élève de montrer à la classe un de ses plus beaux dessins (sur
n’importe quel thème). Puis demandez à la classe de faire des commentaires
positifs sur ce dessin du genre « J’aime beaucoup le choix des couleurs! », puis
applaudissez tous à la fin. Demandez à l’élève comment il s’est senti lorsqu’il a
reçu les félicitations et les applaudissements. Heureux, satisfait, excité, fier,
embarrassé. Expliquez à la classe combien il est important d’accorder de
l’attention à l’autre, surtout s’il essaie de faire quelque chose de bon.
Placez ces mots dans deux catégories: Les mots positifs (que vous aimeriez
entendre si on parlait de vous), et les mots négatifs (que vous n’aimeriez pas
entendre si on parlait de vous).
o tellement doué
o n’est pas bon
o pas agréable du
o un génie
o aucun ami
tout
o merveilleux
o une voix
o un agresseur
o la brute
menaçante
Suggestions d’activités durant la lecture à la classe:
Faire des liens : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on fait des liens
dans notre cerveau. En d’autres mots, pendant qu’on lit, on se rappelle de ce
qui nous est déjà arrivé. On peut aussi s’identifier au personnage de
l’histoire ou le personnage peut nous rappeler quelqu’un qu’on connaît. Le
livre peut également nous rappeler un autre livre qu’on a déjà lu. Quand on a
des idées comme ça, on dit qu’on fait des liens. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des liens avec ta vie ou un livre
L’histoire (dessin)
Ma vie (dessin)
Dans l’histoire,
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Ça me rappelle
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 39 à
44)
Se poser des questions : Pour mieux comprendre ce qu’on lit, on se sert
de notre cerveau pour poser des questions. Parfois, l’enseignant pose des
questions, mais il est bon que les élèves se posent aussi des questions
pendant la lecture. (Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval,
2007, pages 14 et 15.)
Les mots interrogatifs :
Qui…?
Où…?
Pourquoi…?
Est-ce que…?
Qu’arriverait-il si…?
Qu’est-ce que…?
Quand…?
Comment…?
Je me demande…?
Trois étapes de questionnement :
Des questions que je me pose avant la lecture :
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Des questions que je me pose durant la lecture :
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Des questions que je me pose après la lecture :
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 53 à
59.)
Visualiser : En lisant ou en écoutant une histoire, les élèves doivent créer
des images dans leur tête. Quand on est capable de créer des images à partir
des mots et du texte, on dit qu’on visualise l’histoire. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais participer tes sens
Ce que je vois
Ce que j’entends
Mes sentiments
Les mots que je retiens
(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 71 à
76.)
Faire des inférences ou déduire : En lisant ou en écoutant une
histoire, on peut aussi déduire. Il faut savoir que les auteurs n’écrivent pas
tout avec les mots. Il y a des indices dans l’histoire et dans les illustrations. Il
faut alors parfois lire entre les lignes pour bien comprendre un message qui
n’est pas expliqué directement avec des mots. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Fais des inférences
Ce que j’observe :
Ce que j’infère :
Je pense que___________________
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 90 à
95.)
Transformer : Parfois, on est transformé par une histoire. Ça veut dire
qu’un changement c’est produit dans notre cerveau. L’histoire peut nous
donner des idées et nous pensons autrement. (Gear, Adrienne. Lecteurs
engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 14 et 15.)
Vers un monde meilleur
Dans l’histoire
Ce qui ce passe dans l’histoire :
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Mon idée
Je pourrais aider à construire un
monde meilleur en
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(Gear, Adrienne. Lecteurs engagés. Cerveaux branchés, Duval, 2007, pages 108 à
114.)
Sur une assiette en carton, faire tracer aux élèves un visage heureux sur un
côté et un visage inquiet au dos. Au fur et à mesure de la lecture du livre,
leur demander de montrer le côté qui reflète le mieux l’émotion de Simon.
Page 1:
a. Quel âge a Simon?
b. Quel instrument joue-t-il?
c. Qui joue un instrument parmi vous? Pratiquez-vous souvent?
d. Quelle est l’expression du visage de Simon?
e. Pourquoi est-il heureux?
Page
a.
b.
c.
d.
e.
2:
Quel jour Simon prend ses cours de violon?
Qui est son professeur de musique?
Combien de jours par semaine Simon pratique-t-il?
Quelle est l’expression du visage du garçon et de son professeur?
Pourquoi sont-ils heureux?
Page
a.
b.
c.
d.
e.
3:
Où est Simon?
Que fait-il?
Pour qui joue-t-il?
Comment savons-nous que Simon joue bien au violon?
Que lui disent son professeur de violon et ses parents?
Page
a.
b.
c.
4:
Où sommes-nous?
Quelle est l’expression du visage du garçon?
Pourquoi fait-il peur?
Page
a.
b.
c.
d.
e.
f.
5:
Quel âge à Billy?
Pourquoi l’appelle-t-on « la brute »?
Pourquoi ne sait-il pas bien lire et pourquoi n’est-il pas bon en sport?
Pourquoi n’a-t-il aucun ami?
Que font les enfants qui marchent derrière lui?
À quoi pensent les enfants qui marchent derrière lui?
Page
a.
b.
c.
d.
e.
6:
Que pense les autres de Billy?
À quoi pense Billy?
Est-ce qu’il s’aime?
Pensez-vous qui soit bon à quelque chose?
Que font les enfants qui sont plus loin?
Page
a.
b.
c.
d.
e.
7:
Que fait Simon?
Que dit Billy?
Que veut faire Billy?
Que font les enfants qui sont au parc? Et à quoi pensent-ils?
Pourquoi ne disent-ils rien?
Page 8 :
a. Que fait Simon?
b. Que dit Billy?
c. Que veut faire Billy?
d. À quoi peut penser Simon?
e. Quelle est l’expression du visage de Billy et de Simon?
Page 9 :
a. Que se passe-t-il?
b. Que veut faire Billy et Simon?
Page
a.
b.
c.
d.
10 :
Que se passe-t-il?
À quoi pense Simon?
Que font les enfants dans la cours de l’école?
Pourquoi ne font-ils rien?
Page
a.
b.
c.
11 et 12:
Que se passe-t-il?
Que dit Billy à Simon?
Que pense Simon?
Page
a.
b.
c.
d.
13 :
Où est Simon?
À quoi pense-t-il?
De quoi à t-il peur?
Que fera-t-il demain?
Suggestions d’activités après la lecture :
Et vous, que feriez-vous si un agresseur plus grand que vous vous
poursuivait?
Comment utiliseriez-vous votre WITS si un agresseur plus grand que vous
vous poursuivait? Utiliser son WITS n’est parfois pas si facile. En groupe ou
en classe, posez-vous ces questions :
a. Walk away. Peux-tu partir en courant tous les jours? Est-ce la bonne
solution?
b. Ignore. Comment peux-tu ignorer quelqu’un qui veux te prendre
quelque chose de tes mains?
c. Talk it out. Comment peux-tu en parler, et à qui?
d. Seek Help. Où vas-tu chercher de l’aide? Il faut se confier à un adulte.
Explique lui ce qui se passe, même si vous avez peur. En vous
confiant, vous serez en sécurité, et un adulte vous protégera du
danger. Les adultes sont là pour aider les enfants quand ils ont peur.
Aidez Simon à choisir la solution qui vous semble la plus facile. Continuez le
livre en faisant un ou deux autres dessins qui montrent ce que Simon
pourrait faire. Vous pouvez écrire une phrase explicative sous votre dessins
ou faire des bulles de dialogues.
Avec un partenaire, préparez une saynète pour mettre une ou deux lettres
du WITS en situation. Par exemple, si vous choisissez le S, vous pouvez
commencer avec :
- Monsieur, Monsieur! Une personne court après moi!
-Où est-il?
-Il est dans la cours de l’école!
-Qui est avec lui?
- Il est seul, mais il est plus grand que moi!
-D’accord. Je vais aller régler ce problème.
Un agresseur qui poursuit les autres est généralement quelqu’un de frustré,
en colère et anxieux. Si vous parlez d’un agresseur à un adulte, celui-ci peut
faire quelque chose pour l’agresseur. Comment un adulte peut aider un
agresseur d’arrêter de courir après les autres?
Cette histoire est fictive. L’auteur Teddy Slater l’a inventé. Mais pensez-vous
que cela peut nous arriver un jour? Comment ce livre est-il utile?
Imagine que Simon ne fasse rien parce qu’il a trop peur. Que pensez-vous de
ce qui peut se passer? Il va beaucoup souffrir, et Billy va continuer de le
poursuivre et de lui faire peur. Simon va perdre son estime de soi, et il va
probablement arrêter de jouer du violon. Il sera encore la victime de Billy
parce que les agresseurs choisissent les enfants les plus faibles, ceux qui ne
diront rien aux adultes. Si Simon ne fait rien, il va se sentir inquiet, nerveux,
apeuré, triste et même déprimé.
L’histoire de Simon est un exemple d’intimidation. Pouvez-vous trouver
d’autres exemples d’intimidations? Comment allez-vous utiliser votre WITS?
Les parents de Simon et son professeur de violon l’encouragent pour bien
jouer. Faites des dessins qui illustrent ces façons d’encourager quelqu’un. Un
sourire, un clin d’oeil, des félicitations, un signe de la main, un
applaudissement, un câlin, une surprise.
On donne beaucoup d’attention aux bons comportements de Simon; c’est
pour ça qu’il aime se comporter comme un bon étudiant. Est-ce qu’on peut
faire la même chose envers Billy pour qu’il change de comportement, ou estce qu’il faut plutôt lui donner un punition et continuer à l’ignorer?
Souvent, les enfants qui ont un comportement désagréable recherchent
l’attention des autres parce qu’il leur manque quelque chose dans la vie. À
votre avis, qu’est-ce qu’il peut manquer dans la vie de Billy. Si un adulte
l’aide à trouver ce qui lui manque, pensez-vous que Billy puisse changer de
comportement?
Qu’est-ce que votre classe peut faire pour avoir une cours d’école sécuritaire
et accueillante pour tout le monde?