cite cuir chaussure - Cité Cuir Chaussure
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CITE CUIR CHAUSSURE ROMANS-SUR-ISERE Février 2011 DOSSIER DE PRESSE Sommaire L’association « Cité Cuir Chaussure »....................................................................................................................... 2 L’ histoire industrielle de la chaussure à Romans..................................................................................................... 3 Présentation du projet ................................................................................................................................................. 6 L'Atelier du Cuir.......................................................................................................................................................... 7 Les activités culturelles de la structure .................................................................................................................... 10 L’espace vente ............................................................................................................................................................ 11 Le restaurant .............................................................................................................................................................. 13 Le fonctionnement envisagé ...................................................................................................................................... 14 Informations pratiques .............................................................................................................................................. 15 L’association « Cité Cuir Chaussure » Ayant bâti sa réputation sur la chaussure de luxe grâce à de grands noms tels que Charles Jourdan, Robert Clergerie ou encore Stéphane Kélian, la ville de Romans-sur-Isère a souffert ces dernières décennies de difficultés économiques. En effet, au cours des années 2000, Romans et sa région connurent de nombreux licenciements dans le secteur de la chaussure de luxe dûs notamment à la fermeture des célèbres usines Charles Jourdan et Stéphane Kélian. Indépendamment des problèmes économiques et sociaux, entraînés par ces fermetures, un savoirfaire acquis depuis la fin du XIXème siècle est en train de disparaître. C’est pourquoi des personnes attachées à ce patrimoine humain et industriel ont décidé de le sauvegarder et de le présenter au grand public. Pour cela, dans un premier temps, une association dont l’objectif était d’établir: « …du lien social. En animant un laboratoire d’idées et une pépinière d’initiatives… » lança l’idée de créer un atelier du cuir dans lequel une production locale et une présentation au grand public de la fabrication de la chaussure seraient effectuées. Grâce à une subvention du fonds social européen une étude de faisabilité fut réalisée sur ce projet dont la conclusion fut positive. Ce projet constituant une mission à part entière, une seconde association : «Cité Cuir Chaussure » fut fondée le 20 septembre 2007. Cette association a pour vocation de « valoriser le patrimoine, de transmettre le savoir faire et de promouvoir l’économie du secteur cuir-chaussure ». Elle est présidée par Jacques Lacquemanne et regroupe une trentaine de membres dont certains sont issus de l’industrie du cuir et de la chaussure. La principale mission de cette association est de créer un « Atelier du cuir ». Cependant, ce projet a connu certaines difficultés qui ont fortement ralenti la mise en place de l’atelier. Toutefois, grâce à la ténacité de trois membres de l’association (le Président précité, le Trésorier Claude Palcoux et le Secrétaire Jean-Yves Baxter) qui se sont battus pour que ce projet ne disparaisse pas, il semblerait qu’aujourd’hui il retienne à nouveau l’attention et le soutien des acteurs locaux. L’embauche d’une nouvelle chargée de mission (Sabrina Cornut) par l’association « Cité Cuir Chaussure » laisse espérer l’ouverture prochaine de « l’Atelier du cuir ». 2 L’ histoire industrielle de la chaussure à Romans Aujourd’hui encore, Romans-sur-Isère est perçue comme la capitale de la chaussure de luxe; l’histoire industrielle de cette dernière ne démarre que dans le dernier quart du XIXème siècle ; l’industrie de la chaussure a connu à plusieurs reprises des difficultés économiques, mais aussi des périodes prospères qui lui ont permis de se développer et de s’ériger en capitale de la chaussure de luxe. La naissance de l’industrie de la chaussure à Romans : 1850-1914 Le XIXème siècle fut décisif pour le développement de l’industrie de la chaussure à Romans. En effet, au tout début de ce siècle Romans possédait quelques activités artisanales dans le domaine de la cordonnerie (à l’époque fabrication de la chaussure) et dans la tannerie et la mégisserie. C’est à la fin de ce siècle, que plusieurs facteurs vont favoriser l’émergence d’une industrie de la chaussure. Tout d’abord, vers 1850 François Barthélémy Guilhaume développe le principe de la chaussure clouée (chaussure montée sur une semelle de bois). Puis, en 1868 est introduit à Romans, l’appareil « Blake » qui permet de coudre les chaussures mécaniquement. Enfin, l’arrivée du chemin de fer en 1864, contribue au développement économique de la ville. Dans le même temps, Romans connait une crise dans l’industrie du drap et de la soierie qui constituait jusqu’alors sa principale activité. Ainsi, lorsque l’industrie de la chaussure commença à se développer une main d’œuvre importante et dotée d’un certain savoir-faire est déjà disponible. Au cours de cette période les fabriques romanaises produisent essentiellement des galoches et des chaussures clouées. Toutefois, à la fin du XIXème siècle, il est encore trop tôt pour parler de véritable industrie de la chaussure puisque beaucoup d’ouvriers travaillent à domicile et ce jusqu’à la Première Guerre mondiale. Par ailleurs, malgré des facteurs favorables à son développement « l’industrie » de la chaussure connaît dès la fin du XIXème siècle et jusqu’au début de la Première Guerre mondiale des difficultés économiques et sociales. Ainsi « en moins de dix ans, de 1897 à 1905, sur 32 fabricants, 13 ont disparu »1 Cette période de crise va alors fragiliser l’industrie naissante de la chaussure au profit de villes concurrentes bien mieux mécanisées telles que Limoges, Fougères et Nancy. 1 Jean SAUVAGEON, Les Romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p25 3 Entre expansions et crises : le développement de l’industrie de la chaussure : 1914-1945. La Première Guerre mondiale va permettre à l’industrie de la chaussure de connaître une véritable expansion. Pour faire face à une guerre plus longue que prévu il est nécessaire de produire en grande quantité des brodequins militaires et des galoches. Ainsi, pour répondre à la demande une importante main d’œuvre féminine est recrutée. Année Nombre d’habitants 1911 1921 17 021 17 054 Pourcentage de travailleurs dans l’industrie de la chaussure 13% 21% 2 Pourcentage de la population travaillant dans l’industrie de la chaussure Cependant, dès les années 20 une nouvelle période de crise apparaît entrainant la fermeture d’un certain nombre de fabriques. L’année 1924 est marquée par une importante grève qui a pour principale revendication une augmentation des salaires. Elle se solde par une forte répression. Jusqu’en 1930-1931, l’industrie romanaise connait une période d’expansion grâce à une production de haute qualité. Les conséquences de la crise de 1929 entrainent une nouvelle période de difficultés pour l’industrie de la chaussure, avec, dès le début des années 30, la fermeture d’un certain nombre d’entreprises et donc une augmentation du chômage. Année Nombre total d’entreprises 1931 1935 1939 140 107 92 Nombre d’entreprises de plus de deux personnes 72 55 44 3 Entreprises appartenant à l’industrie de la chaussure Pour sauvegarder l’industrie nationale de la chaussure est promulguée le 22 mars 1936, la loi le Poullen qui sera à nouveau appliquée en 1938. Cette loi, interdit pendant deux ans l’ouverture, l’agrandissement ou le déplacement de toute nouvelle usine de chaussures existante sans l’accord préalable du Ministère de l’économie et de l’industrie. Les grèves de 1936 vont également marquer l’industrie de la chaussure de Romans. De juin à septembre 1936 sont mis en place les nouveaux avantages sociaux. Toutefois les difficultés économiques et politiques nationales sont telles que ces avantages sont très rapidement fragilisés. A la vieille de la Seconde Guerre mondiale l’industrie de la chaussure se retrouve encore en grande difficulté. 2 Jean SAUVAGEON, Les romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p58 3 Jean SAUVAGEON, Les romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p 81 4 « Grandeur et déclin de l’industrie de la chaussure »4 : 1945 à nos jours. Durant la Seconde Guerre Mondiale, les difficultés économiques persistent. En effet, le manque de matières premières ainsi que la faiblesse de la demande obligent les entreprises à fonctionner au ralenti. Le contexte politique contribue lui aussi aux difficultés de l’époque. Au lendemain de la guerre l’économie redémarre. Entre 1945 et 1950 de nombreux ateliers sont crées : en 1945 il existe 130 structures de production et en 1949 il y en a 195. Toutefois, cette euphorie va rapidement s’estomper. En effet, la fragilité financière de certaines de ces structures va entraîner la fermeture d’un grand nombre d’entre elles. Commence alors le lent déclin de l’industrie de la chaussure à Romans. Si dans un premier temps, les fermetures des petits ateliers se font au profit des grandes entreprises, dès le début des années 70, le chômage augmente insensiblement dans le secteur de la chaussure. Ce phénomène peut s’expliquer par le fait que les entreprises recherchent avant tout à tirer des bénéfices grâce à l’utilisation de machines de plus en plus performantes nécessitant moins de salariés. La mise en place de la division du travail contribue elle aussi l’augmentation du chômage. C’est également au cours de cette période que des entreprises romanaises sont revendues à des capitaux étrangers, telles que Sirius rachetée en partie par Revillon ou encore les entreprises Artic et Arnoux dont le rachat par Salamander précipite leurs fermetures. Enfin, la délocalisation fragilise à son tour l’industrie de la chaussure à Romans. Dans la période qui suit, seule les grandes entreprises telles que Jourdan, Clergerie, et Kélian vont réussir à résister. Toutefois, parmi ces grands noms de la chaussure seul Clergerie existe encore aujourd’hui. Ainsi, l’industrie de la chaussure a perdu 73 % de ses effectifs entre 1968 et 2000 soit près de 3 300 personnes. 5 Sources : POZIN Bernard, L’industrie de la chaussure à Romans Bourg-de-Péage, mémoire universitaire, Lyon, 1972, p89. SAUVAGEON Jean, Les romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p 335 TEXIER Marcel, Histoire du commerce et de l’industrie a Romans, P Boyer et Valencony, 1902, p 270. 4 Jean SAUVAGEON, Les romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p 115 5 Jean SAUVAGEON, Les romanais, Romans et la chaussure : 150 ans d’histoire, Peuple libre & Notre Temps, Aubenas, 2001, p192 5 Présentation du projet Porté par l'association Romans Cité Cuir Chaussure, l'objectif du projet est de créer un espace culturel et touristique de promotion haut de gamme de l’identité chaussure-cuir du territoire à travers : un atelier de fabrication et de démonstration chaussure-cuir à vocation touristique et économique, une politique d’animation diversifiée autour de la chaussure et du cuir. L'entité Cité Cuir Chaussure sera divisée en deux composantes : l'Atelier du Cuir à but culturel et pédagogique, un espace restaurant qui complètera l'offre d'animation et permettra au projet d'être financièrement viable. La conception et l’animation de cet espace intègrent une forte dimension partenariale avec le territoire. Le projet contribuera à la réhabilitation et la revalorisation de l’identité chaussure et cuir du territoire en : participant à un projet de territoire, s’inscrivant dans un projet de développement économique autour de la chaussure et du cuir, complétant l’offre culturelle autour de la chaussure, créant une offre culturelle, pédagogique et commerciale autour du cuir, développant un projet touristique lié à l’histoire industrielle de la ville, perpétuant et en transmettant des savoir-faire spécifiques, démontrant les spécificités de la chaussure haut de gamme, répondant à un besoin particulier des jeunes créateurs, créant une offre de services et conseils autour du cuir, étant une vitrine de la production locale, dynamisant un secteur du centre-ville. Suivant les dispositifs, seront associées les structures : commerciales (Marques Avenue, Fanal et autres commerces chaussure–cuir), culturelles (musée, archives, atelier d’art, médiathèque), de formation (AFPA, lycée du Dauphiné), d’accompagnement (MJC, Maisons de quartiers, Mission Locale, etc.), d’insertion par l’économie solidaire (ARCHER) artisanales voire industrielles. Le projet s'adresse : aux clients de Marques Avenue et des commerces de l’agglomération, à la population locale, aux touristes du territoire, aux scolaires, aux créateurs, aux différents porteurs de projet de la filière aux entrepreneurs locaux. 6 L'Atelier du Cuir L'Atelier du Cuir sera conçu dans une ambiance industrielle : couleur grise, éclairage moderne, cables visibles, plafond brut, tracé de lignes jaunes au sol. La circulation des visiteurs sera sécurisée et leur sortie passera obligatoirement par la boutique. Les démonstrations se feront : du mardi au samedi, à 15h et à 17h le dimanche, à 10h30 et à 11h30 La durée d'une démonstration sera de 40 minutes au maximum. En dehors des heures de démonstration, les visiteurs pourront accéder à l'Atelier mais ne devront pas gêner le démonstrateur qui confectionnera les objets de petite maroquinerie destinés à la vente. Des diaporamas seront conçus pour montrer le fonctionnement des machines en soutien du démonstrateur ou en son absence : coupe et machine à parer, machine à coudre et à gutter, verreuse, machine à monter et 22 semences, autres machines. 7 Les fournisseurs pour les matières premières seront : les tanneries Roux etc. Un local est prévu pour stocker les matières premières. Pour l'entretien et la réparation des machines, il est envisagé de faire appel à l'entreprise Doskocil, rue Edouard Vaillant, à Romans-sur-Isère. Le plan de l'Atelier du Cuir 8 Les machines de l'Atelier du Cuir Afin de pouvoir assurer les démonstrations et la fabrication d'objets de petite maroquinerie de qualité, l'Atelier du Cuir devra disposer des machines suivantes : Tranchets toutes formes Presse à bras tournant Machine à égaliser Fortuna Machine à parer Fortuna ou Marvel Machine à coudre zig-zag (x1), plate (x2), pilier (x1) Verreuse Machine à monter Molina (pour démo) 22 semences Fer à repasser Machine à gutter Dorey Presse à souder les semelles Fraise Table de coupe Banc de finissage Marteaux, pinces à monter Marbres Machine à poser rivets et oeillets Four à réactiver et stabiliser Chevalets pour les peaux Table à dessin (bureau d'études) 9 Les activités culturelles de la structure Cité Cuir Chaussure aura un but culturel en proposant une salle de documentation en accès libre, des expositions d'œuvres réalisées par des artistes locaux sur le thème du cuir et de la chaussure, des vidéos pédagogiques, des entretiens filmés, et des conférences présentées par des intervenants extérieurs. Les salles d'exposition-documentation et de vidéo-conférence seront modernes et chaleureuses en même temps. Des animations seront organisées pour la Saint-Crépin, sur le marché artisanal installé lors du festival de folklore, sur le marché du dimanche, et en bien d'autres moments de l'année. Des interactions entre Cité Cuir Chaussure et les acteurs avoisinants sont fortement envisagées et conseillées. Des actions plus éloignées pourront être réalisées en collaboration avec des associations telles que "Patrimoine Rhônalpin", "Réseau TISTRA", etc. 10 L’espace vente La boutique La boutique sera un passage obligé pour les visiteurs. L'ambiance y sera "zen" et les produits seront bien mis en valeur. Bien entendu, on y vendra : des chaussures, de la maroquinerie, des peaux. Mais aussi : des "beaux livres" sur la tannerie et la chaussure, des ouvrages historiques, des cartes postales, des miniatures, etc. 11 La petite maroquinerie La petite maroquinerie manufacturée par l'Atelier du Cuir sera réalisée par le démonstrateur en dehors des heures de visites guidées. Il y consacrera 4 heures par jour, soit 20 heures par semaine. Les objets seront simples mais de grande qualité (matière, réalisation) et déclinés en plusieurs coloris. Il pourra s'agir de porte-clefs, de trousses et porte-monnaie à bouton pression ou fermeture éclair, d'étuis pour iPhone ou autres téléphones mobiles, etc. Etui pour iPhone et iPod Porte-clé Prix de vente : 20,00 € Prix de vente : 10,00 € Le dépôt-vente Le dépôt-vente permettra : à Cité Cuir Chaussure de proposer une offre variée de produits de qualité aux créateurs et artisans locaux d'être visibles en centre ville Cité Cuir Chaussure n'a pas la volonté d'entrer en concurrence avec le Pôle Chaussures de Marques Avenue et les partenariats se feront en bonne entente. 12 Le restaurant Le restaurant sera géré par un professionnel reconnu et déjà installé à Romans-sur-Isère ou ses environs. Il devra se démarquer des restaurants traditionnels en proposant des services originaux et ludiques. Ainsi, nous souhaitons créer un "marché-restaurant" dans lequel les clients pourraient acheter les mêmes produits que ceux qu'ils viennent de consommer. Des partenariats avec les producteurs locaux permettront de proposer des produits de bonne qualité pour un meilleur prix. Nous envisageons deux types de restauration : restauration classique avec repas complet restauration rapide avec consommation de soupes originales et de grande qualité Les cuisines seraient ouvertes pour que les clients les voient en consommant. En complément, nous pouvons aussi envisager un salon de thé, ambiance "lounge". L'originalité du concept et les tarifs accessibles permettront d'attirer une clientèle exigeante (la clientèle des magasins de chaussures de luxe), les jeunes et les habitants de la ville. 13 Le fonctionnement envisagé Les horaires : Pour assurer une offre culturelle et une animation fortes, Cité Cuir Chaussure devra ouvrir ses portes le plus largement possible. du mardi au samedi, de 10h à 18h30 le dimanche, de 10h à 12h30 le mardi soir, nocturne jusqu'à 20h30 Des ouvertures exceptionnelles auront lieu lors des fêtes et animations locales : fête de la Saint-Crépin, festival de folklore, carnaval, etc. Le personnel Les horaires d'ouverture nécessitent l'embauche de 2,5 personnes à temps complet. Une hôtesse sera présente du mardi au samedi de 10h à 12h30 et de 14h à 18h30. Le démonstrateur sera présent du mardi au samedi de 12h30 à 18h30, le dimanche matin et pour la nocturne du mardi. Un employé à temps partiel (20 heures) sera présent le samedi de 12h30 à 18h30, le dimanche de 10h à 12h30, le mardi de 18h à 20h30 et le mercredi toute la journée. Ces trois personnes seront embauchées dans le cadre d'emplois aidés. Le démonstrateur sera un ancien de la chaussure. Il formera son successeur le moment venu. L'hôtesse s'occupera de l'accueil, de la boutique, de la gestion et de la comptabilité. L'employé à temps partiel devra être polyvalent. Dans tous les cas, les employés devront être motivés et considérer Cité Cuir Chaussure comme leur propre entreprise. Les bénévoles seront bienvenus pour participer à des actions et animations temporaires. 14 Informations pratiques Contact: Association Cité Cuir Chaussure Mr Jacques Lacquemanne 4 côte ancienne Bouverie 26 100 Romans-sur-Isère Adresse mail : [email protected] Site internet : www.citecuirchaussure.fr Membres du bureau : Président : Mr Jacques Lacquemanne Trésorier : Mr Claude Palcoux Secrétaire : Mr Jean-Yves Baxter Chargée de mission : Melle Sabrina Cornut 15