Albert Cohen, Le livre de ma mère, Editions Gallimard, Folio l954.

Plus rien. Silence.
je insatiablement Elle est silence. Mor te, me dis
des niais amants à la fenêtre, sous le ciel aimémais que les or phel
car leur mère n’y es
ins détestent
t
p
a
s
.
M
o
r
te, me dis-je avec le
petits tremblemen
ts
d
es
fo
u
s
. Celle qui a pens s
espéré, chanté, es
l’attrait dangereut mor te, me dis-je, résistant é,
idiotement, avec x des paradis, mor te, me redis-jàe
peu varié et pas drôun sourire peu consolant. C’es
ne vous moquez le. Pour moi non plus. De grâce,t
c’est en fin de compas. Q ue ma mère soit mor te
Vous ne croyez p pte le seul drame de ce monde.,
votre tour viendra as ? Attendez un peu, quand
d’être l’endeuillé. O
u le mor t.
Alber t Cohen, L e
livre de ma mère,
Gallimard, Folio l9
Editions
54.
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Santé conjuguée septembre 2015 n° 72
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