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QUOTIDIEN D’INFORMATION - VENDREDI 29 - SAMEDI 30 JUILLET 2016 - N°4328 - ALGÉRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com Coupe de la CAF Sendjak croit toujours en la qualification C “On doit se ressaisir lors des deux prochains matchs” M J N Page 23. Alors que Tayeb Louh parle d’une “enquête élargie” ISSN 1112-3842 Concertation pour une grève et une marche en soutien à la petite Nihal Page 4. La 13ème édition de la Fête du bijou lancée avant-hier Ath Yenni expose sa richesse Page 2. C M J N Bouira C M Incendie au marché des 1 100 logements J N Lakhdaria Visite du wali Nacer Maâskri Amizour Inauguration du service des urgences de l’hôpital Page 3. Page 4. Clôture de l’université d’été des clubs scientifiques Page 6. La Météo du Jour Alger TS R QUOTIDIEN D’INFORMATION P S VENDREDI 29 - SAMEDI 30 J UILLET 2016 N°4328 Max: 33 Min : 23 Tizi-Ouzou Max : 39 Min : 22 Bouira Max : 39 Min : 21 Béjaïa Max : 33 Min : 19 JS Kabylie À défaut du CS Sfax, une sélection de résidents africains en sparring-partner Les Kabyles maintiennent leur concentration Les Kabyles, qui devaient affronter le CS Sfax, se contenteront finalement d’un match contre des joueurs africains résidant en Tunisie, lequel se déroulera cet après-midi à 17h au stade de l’hôtel Thalasso Carthage. L e coach Mouassa aur ait refusé de jouer contre Sfax à Sousse pour éviter la fatigue à ses poulains, pr éfér ant affronter même une simple sélection d’afr icains r ésidant en Tunisie. Cette joute amicale ser a cependant la seconde pour les Kabyles qui ont affr onté pour r appel le club afr icain mercredi passé ( 0-0 ). En dépit qu’il s’agit uniquement d’un match de pr épar ation, les équipier s du capitaine Rial veulent r éaliser une victoire, qui ser a bonne pour le mor al du groupe. En effet, une victoire cet apr ès-midi ser a tr ès impor tante pour le mor al des joueur s kabyles pour la suite du stage même si leur adver saire n’est pas d’un gr and calibre. Le coach Mouassa qui a tout mentionné lor s du match face au club afr icain, exige un rendement meilleur de ses poulains cet apr ès-midi face à cette équipe composée de joueur s de l’Afr ique noire r ésidant en Tunisie. « J e suis satisfait du rendement de l’équipe face au club afr icain, toutefois, il reste encore beaucoup de tr avail à effectuer lor s des pr ochaines jour nées. J ’ai mentionné les insuffisances du club et on les tr availler a avant le retour au pays. On fer a tout pour que l’équipe s’améliore davantage et soit pr ête pour le début de la compétition», a déclar é le coach de la J SK. Ainsi, Mouassa fait de son mieux pour combler les lacunes de son groupe et attend beaucoup de ses poulains lor s de la confrontation de cet apr ès-midi. Pour le match d’aujour d’hui, Mouassa fer a jouer tous ses éléments qu’il veut voir à l’œuvre. En faisant tour ner son effectif, l’entr aîneur de la J SK aur a une idée tr ès pr écise sur la for me et les capacités de chacun de ses éléments. S’exercer quelque soit l’adversaire Pour leur premier match amical contre le club afr icain, disputé mercredi passé, les Kabyles n’ont pas déçu. En effet, le rendement des équipier s de Rial était tr ès satisfaisant, en dépit que le match soit achevé sans vainqueur. Et aussi cette bétise qui a fait au capitaine kabyle de prendre un car ton rouge et laisser ses camar ades à dix sur le ter r ain. Au plan technique, des r églages sont encore à appor ter à cette équipe kabyle, notamment en attaque et en défense, pour qu’elle soit plus per for mante. Le coach Mouassa a mentionné les insuffisances dans ces deux compar timents, alor s que le milieu a bien fonctionné. L’entr aîneur de la J SK tr availle beaucoup avec ses joueur s aux entr aînements pour améliorer le rendement de l’équipe. Ainsi, le match de cet apr ès-midi ser a une bonne occasion pour les kabyles pour montrer de belles choses et confir mer leur belle pr estation face au club afr icain. Les équipier s de Raiah comptent tout faire pour r éussir un bon match aujour d’hui et pour quoi pas dédier une belle victoire à leur s fans. Ces der nier s qui étaient satisfaits du rendement de leur équipe face au club afr icain, attendent la confir mation cet apr ès-midi face à ce groupe afr icain. M. L. 2 l ’ Év én em en t Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 La 13ème édition de la Fête du bijou lancée avant-hier Athh Yennii exposee saa richessee ! C’est dans une ambiance de fête qu’a été donné, avant-hier jeudi, le coup d’envoi, à Ath Yenni, à 40 km du chef-lieu de Tizi-Ouzou, de la 13ème édition de la Fête du bijou. r ganisée par le comité des fêtes de la commune, la manifestation est placée sous le haut patronage du ministère du Tour isme et de l’Ar tisanat, de la wilaya, de l’APW de Tizi-Ouzou et de la chambr e ar tisanale des métier s. L’ouver ture officielle de cette manifestation culturelle a été annoncée par M. Deghoul Smail, pr ésident de L’APC. Apr ès les salutations d’usage, le maire a souhaité la bienvenue à tous les par ticipants et invités, pr édisant une totale r éussite de cette manifestation à car actère culturel mais aussi économique. Il faut en effet r appeler que le métier de la bijouter ie d’ar gent à Ath Yenni, en plus de son aspect ar tistique reconnu, constitue la seule activité économique de la commune. Le maire d’AthYenni a également tenu à souligner les difficultés que vivent les ar tisans, en pr écisant que cette fête qui commençait ser a une bonne occasion d’en par ler. C’est dans l’enceinte du collège Lar bi Mezani qu’a eu lieu la cér émonie d’ouver - O Sponsor ture de cette 13ème édition de Fête du bijou, placée cette année sous le slogan «Le bijou d’Ath-Yenni, hér itage ancestr al et exigences d’aujour d’hui». 93 ar tisans bijoutier s et de différents autres métier s ar tisanaux, dont le tapis, la robe kabyle, la dinander ie et la vanner ie par ticipent à la manifestation. Deux sites abr itent des tr ésor s faits main, le CEM Labr i Mezani et la maison des jeunes. Plusieur s inter venants ont pr is la parole dur ant la cér émonie de jeudi. Ils furent unanimes à vanter les mér ites des ar tisans, mais aussi celui des élus, tant locaux que de wilaya, qui ne ménagent aucun effor t pour pérenniser cette Fête. Pour le repr ésentant du wali, cette fête du Bijou est la continuité d’un hér itage ancestr al dont il est devenu impér ieux de considérer l’impor tance et d’assurer la sauvegar de. Pour sa par t, la repr ésentante de l’APW, Mme Bouaziz, n’a pas manqué d’enthousiasme en évoquant l’inaugur ation de la statue Mouloud Mammer i, le 23 de ce mois de juillet, la symbolique qu’elle repr ésente et la gr ande aur a qu’elle r ajoute à cette Fête du bijou. Elle ajouter a : « Cette Fête et celles célébr ant la poter ie à Maâtkas, le tapis à Ath Hichem et la robe aux Ouadhias, font notre fier té et l’APW déploie tous ses moyens pour venir en aide à pas moins de 800 associations s’occupant de la culture et du patr imoine dans l’ensemble de la wilaya de TiziOuzou ». Le directeur du tour isme mettr a lui l’accent sur les effor ts des ar tisans bijoutier s pour sauvegar der jalousement, contre vents et mar r ées, leur métier. « Avec de faibles moyens, le métier a sur vécu », dir at-il. Puis ce fut au tour du député FFS, M. Sadeg Nassim, qui asséna qu’il était « plus que temps de concr étiser les promesses faites aux ar tisans et à la cor por ation des bijoutier s ». Le repr ésentant de la daïr a d’Ath Yenni souligner a quant à lui l’aspect culturel de la Fête et « son impact sur la sauvegar de du patr imoine ». M. Haouche, repr ésentant des bijoutier s d’Ath Yenni, et dans un langage clair, a mis l’accent sur les tentatives de ‘’folklor isation’’ de la fête qui est menacée de dispar ition à cause de la cher té de la matière première, « ce qui constituer ait une vér itable catastrophe, car depuis toujour s la gr ande major ité de la population de la r égion vit de cette activité ». Il ajouter a : « Mais toutes les pér iodes difficiles n’ont pas r éussi à faire baisser les br as aux valeur eux et tenaces ar tisans. C’est dire qu’au delà de son aspect économique, l’ar t de la bijouter ie est d’abor d une passion ». Makhlouf Boughareb Boualem Bessaieh inhumé hier oualem Bessaieh, ministre d'État, conseiller spécial et représentant personnel du président de la République, est décédé jeudi à l'hôpital de Ain Naadja à Alger, à l'âge de 86 ans, des suites d'une longue maladie. Né en 1930 à El Bayadh, Boualem Bessaieh, homme politique et homme de lettres, était un ancien moudjahid, ayant été notamment membre du secrétariat général du Conseil national de la Révolution algérienne de 1959 à 1962. A l'indépendance, il avait occupé les fonctions d'ambassadeur dans plusieurs capitales (Berne, Le Vatican, le Caire, Koweït City, Rabat), puis de secrétaire général du ministère des Affaires étrangères en 1971. En 1979, il est entré au gouvernement et a été titulaire de plusieurs portefeuilles ministériels. Il a été nommé successivement ministre de l'Information, ministre des Postes et Télécommunications, ministre de la Culture et enfin ministre des Affaires étrangères en 1988. A ce titre, il a participé au sein du comité tripartite Algérie-Maroc-Arabie Saoudite, décidé par le sommet arabe de Casablanca, aux efforts déployés pour aboutir à l'Accord de Taïef qui a mis fin à la guerre civile au Liban. En 1997, il a été nommé membre du Conseil de la Nation, au titre du tiers présidentiel, puis élu président de la Commission des affaires étrangères de la 2ème chambre du Parlement. En septembre 2005, M. Bessaieh a été nommé par le président de la République aux hautes fonctions de président du Conseil constitutionnel. Le défunt était l'auteur de plusieurs ouvrages littéraires et historiques notamment sur l'Emir Abdelkader. L'enterrement a eu lieu hier vendredi au cimetière d'El Alia après la prière d’el Asr. B Pensée Malik Aït Aoudia 10 juin 1967 - 30 juillet 2015 Un ans déjà... Famillle Aït Aoudia Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 l ’ Év én em en t 3 C M J Lakhdaria Visite du wali Maâskri à l’hôpital N Avec ses six salles opératoires et autres salles annexes affectées à la réanimation, à l’observation et aux analyses (Labo), le service des urgences médico-chirurgicales de l’hôpital de Lakhdaria est opérationnel depuis jeudi dernier. e wali, en visite express dans cet ancien établissement hospitalier pour l’inaugur ation de ce bloc opér atoire, en a fait une question pr ior itaire. En effet, en dépit des obser vations qui lui ont été faites par le directeur de l’hôpital sur le déficit flagr ant en anesthésistes et en techniciens r éanimateur s, ce der nier balayant d’un rever s de main toutes les objections for mulées à ce sujet, a tenu fer mement à son idée, en insistant et en exigeant pour que le bloc en question entre en ser vice le jour même. Ainsi, le ser vice des ur gences qui fonctionnait jusqu’alor s avec trois salles, fonctionner a, à dater de son inaugur ation, avec quatr e. Une de mieux qu’avant. Les deux autres entreront en activité prochainement dès qu’elles seront dotées de moyens humains spécialisés. « On se bagar re au ser vice de la mater nité », se plaignait déjà ce spécialiste qui déplor ait l’absence d’anesthésistes. Considér ant la situation sous cet angle, le wali déclarer a que « c’est le pr ovisoir e qui dur e ». Dans la situation actuelle, l’activité développée au niveau de ce bloc est estimée à 60% . Il demander a au directeur de l’hôpital que s’il avait des propositions à faire pour la pr ise en char ge du problème posé par ce déficit, il était pr êt à les écouter. En revanche, la solution suggér ée et qui s’appuyait sur l’expér ience per sonnelle vécue dans les wilayas où le wali était passé, est de faire appel aux pr aticiens pr ivés en attendant que des postes vacants soient pour vus par de nouvelles affectations. Mais ce n’est pas le seul déficit enregistr é lor s de cette visite, car le wali a pu, gr âce aux explications qui lui ont été four nies, prendre connaissance d’un manque flagr ant de moyens matér iels au niveau du ser vice des admissions. De 240 lits techniques, l’hôpital ne dispose en r éalité pour les 12 ser vices existants que de 157 lits or ganisés. Résultat d’une simple soustr action Inaugurationn duu servicee dess urgences L C M : un manque de 83 lits. Afin de combler ce manque, le wali a misé sur la r éhabilitation de l’ancien ser vice de médecine homme qu’il a également visité. L’opér ation consister a à abattre les cloisons du long et étroit couloir ainsi que les mur s des salles pour les aménager de manière à acquér ir plus d’espace. Le problème est que l’opér ation tombant dans une pér iode de cr ise économique, son financement demeure une énigme. Il était temps pour un projet inscrit en…avril 2008 Le wali a demandé que l’on dresse une fiche technique pour évaluer les dépenses de la future opér ation. Pour r appel, l’opér ation de r éhabilitation et de r énovation, ainsi que les équipements du seul bloc opér atoire, a coûté à l’Etat la somme de 50 millions de dinar s. De passage dans le ser vice or thopédique apr ès celui du bloc opér atoire, le wali constater a le manque d’appareils or thopédiques, mais a fait savoir que la wilaya est disposée à finan- cer sur son budget l’achat de prothèses. Lor s du point de presse, le wali a pr is soin de mettre par ticulièrement l’accent sur l’impor tance qu’il attache au ser vice des ur gences en r aison de la situation r égnant sur l’autoroute Est-Ouest, et qui se tr aduit quotidiennement par des dégâts matér iels et humains en nombre sans cesse croissant. Même s’il a reconnu que les conditions du fonctionnement de cette infr astr ucture sanitaire laissent à désirer, du fait du déficit enregistr é en matière de per sonnel spécialisé (r éanimateur s et anesthésistes), il s’est déclar é déter miné à tout mettre en œuvre pour l’amener au niveau requis pour la pr ise en char ge totale des cas qui se pr ésenter aient à ce ser vice. Inscr it le 4 avr il 2008, le projet qui a fait l’objet de nombreuses visites dans un passé r écent, n’a donc pu devenir fonctionnel que depuis ce jeudi et seulement, r appelons-le, avec quatre salles au lieu des six qu’il comptait depuis sa r éhabilitation et sa r énovation ! La visite du wali, avant-hier jeudi dans cette daïr a limitrophe de la wilaya de Boumer dès, a per mis également à ce responsable de mesurer l’enjeu de Béjaïa Séminaire de formation politique pour les femmes des wilayas de l’Est Le RND se focalise sur la femme militante I C M nitiée par le bur eau national du Rassemblement National Démocr atique, une for mation politique au profit des militantes du par ti est or ganisée depuis mercredi der nier au niveau de l’hôtel « Hor izon bleu » à Tighr amt, à une trentaine de kilomètres à l'Ouest de Béjaïa. La for mation s’étaler a sur une dur ée de trois jour s et a concer né 16 wilayas de l’Est. La jour née d’avant-hier jeudi a été consacr ée à un séminaire de for mation politique animé par plusieur s cadres du par ti, dont madame Khebbat Abla, membre du bureau de wilaya, char gée de la femme et membre du conseil national du RND; Mr Kamel Bouchoucha, secr étaire du par ti au niveau de la wilaya de Béjaïa, et d’autres inter venants venus de Constantine dont Mme Souad Belaymen. Ces conférences ont tr aité de plusieur s thèmes, à l’image du r ôle de la femme à tr aver s l’histoire, son émancipation dans la vie active et politique, les techniques de l’infor mation et de la communication politique, ainsi que le cadre jur idique de la femme. Cette for mation s’inscr it dans le cadre d’un progr amme de for mation au profit des femmes militantes du RND, lancé au mois de mar s der nier par Ahmed Ouyahia, à l’occasion de la J our née mondiale de la femme, apprend-on de Mme Khebbat. « Cette rencontre est le fr uit des diver ses rencontres restreintes que nous avons effectuées aupar avant, en vue d’ar r êter une feuille de route et un canevas accompagné d’un progr amme d’action d’où on a abouti à cette rencontre », ajoute-t-elle. « Nous avons fait une première rencontre entre cer taines wilayas de l’Est à Constantine, où on a décidé d’or ganiser une autre rencontre ici à Béjaïa avec le consentement de tous », explique-t-elle encore. Cette initiative vient aussi en r éponse à l’insistance du secr étaire génér al du par ti à effectuer cette for mation, car c’est la militante qui est la vitr ine du par ti ; elle repr ésente ce der nier dans l’enceinte des assemblées et fait de la politique au quotidien. Sur le plan jur i- dique, madame Khebbat soutient que « le premier acquis de la femme est la stabilité et la paix que connaissent notre pays suite à une longue pér iode de per tur bations et d’insécur ité. Ensuite, il y a eu toutes les r éfor mes de la constitution étant le sommet des lois algér iennes et du code de la famille, ainsi que le projet de r éfor me du sept févr ier der nier où 30% par lent de par ité. Donc, il n’est pas écar té qu’il y ait des textes d’application comme tout projet de constitution. De plus, avec le nouveau quota qui leur est attr ibué, on voit une meilleure repr ésentativité de la femme dans des assemblées élues. D’ailleur s, on est classé 121e au niveau mondial, ce qui est une chose assez considér able. De même, la femme algér ienne dépasse ses consœur s politiciennes du monde ar abe et elle dépasse même cer taines du monde occidental qui se disent des plus démocr ates ». D’apr ès K. Bouchoucha, coor dinateur du bureau de wilaya du RND, « un politicien doit d’abor d savoir communiquer pour faire passer ses messages sur tout aux citoyens. Or, pour communiquer, il faudr ait d’abor d diagnostiquer les spécificités de chaque r égion, ensuite, trouver la problématique pour enfin agir. Par ailleur s, il y a uniquement 25% des citoyens qui ont un r appor t avec la politique ». « Où se situe le r ôle des politiciens devant cette r éalité ? Peut-on constr uire une Algér ie sans ces 75% ? », inter roger a-til. « Notre problème r éside dans la communication et il est temps que la femme soit dans les hauts postes. On ne veut pas faire de la femme un homme, au contr aire on voudr ait que la femme reste une femme, mais que celle-ci soit émancipée. Le par ti a démar r é avec une seule femme dans son bureau de wilaya en 2007 et il en est actuellement à quinze. De ce fait, il s’avère pr imor dial de for mer les candidats aux élections car il faudr ait que ces femmes aient des connaissances en législation pour pouvoir prendre la responsabilité des communes », souligne-t-il. Mechmeche Salima cette str ucture à tr aver s le bilan semestr iel qui a été por té à sa connaissance dès qu’il a fr anchi le seuil de l’établissement hospitalier. Concer nant l’effectif y officiant, les ser vices tour nent avec 17 médecins spécialistes, 34 génér alistes, 4 anesthésistes, 4 phar maciens, 1 dentiste, 4 médecins r éanimateur s, 25 sagesfemmes, 2 psychologues, 3 biologistes ainsi qu’un r adiologue. Concer nant les accidents de la route, l’hôpital a enregistr é 437 sinistres ayant entr aîné 26 décès et occasionné des blessur es à 628 per sonnes pour le seul semestre passé. Dans le même sillage, le bilan des activités hospitalières font état de 12 176 malades dont 3 228 hospitalisés et de 99 décès au cour s de la même pér iode. Au niveau du bloc opér atoire, les activités s’élèvent à 1 315 inter ventions. À la mater nité, le bilan évoque 1 318 accouchements, dont 338 par césar iennes et d’un seul décès mater nel. L’activité hémodialyse se distingue avec 2 485 assur és par 10 génér ateur s au bénéfice de 31 malades. Alor s que celle développée au niveau du scanner fait état de 99 malades ayant nécessité l’utilisation de cet appareil. Quelques indices et taux complètent le tableau qui reste optimiste : indice lit/ population : 0,86% . Taux d’admission : 17,18% . Taux d’occupation/lit : 43,08. Et dur ée moyenne de séjour : 4 jour s. Le coefficient de rotation est de 10,56% . La fin de la visite a été émaillée par un petit incident. Quelques citoyens ont voulu exposer leur s doléances au wali. Cer tains ont r éussi à s’approcher de lui, d’autres non. Ceux qui ont pu le faire ont signalé un glissement de ter r ain au cimetière des mar tyr s de la commune voisine de Djebahia et demandé une inter vention r apide des autor ités pour stopper d’ur gence cet affaissement. Aziz Bey Terrorisme Six casemates et 3 bombes détruites à Tizi-Ouzou, Jijel et Skikda ix casemates et 3 bombes de confection artisanale ont été détruites mercredi dans les wilayas de Tizi-Ouzou, Jijel et Skikda par des détachements de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué jeudi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN). "Dans le cadre de la lutte antiterroriste, des détachements de l'Armée nationale populaire (ANP) ont détruit, le 27 juillet 2016, six (06) casemates et trois (03) bombes de confection artisanale à Tizi-Ouzou /1ère Région militaire (RM), Jijel et Skikda /5ème RM", précise la même source. Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée, "un détachement combiné de l'ANP a arrêté, à El Oued /4ème RM, deux (02) narcotrafiquants et saisi un camion et une somme d'argent s'élevant à 1.349.000 dinars algériens", ajoute le communiqué du MDN. A Tamanrasset et Bordj Badji Mokhtar /6ème RM, "d'autres détachements de l'ANP ont arrêté 21 contrebandiers et saisi cinq (05) véhicules tout-terrain, six (06) détecteurs de métaux, deux (02) groupes électrogènes, quatre (04) marteaux piqueurs et des outils de détonation". S Nat i o n al e 4 Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Disparition de Nihal Alors que Tayeb Louh évoque une enquête « élargie » Grèvee ett marchee projetéess C’est le jeudi 21 juillet à 11h30 que Nihal Si Mohamed, âgée de trois ans, a mystérieusement disparu du hameau d’Aït Ali, commune d’Aït Toudert, daïra des Ouacifs, et n’a plus donné signe de vie depuis. es enquêtes de pr oximité n’ont r ien donné à ce jour, laissant sa famille dans le désar roi le plus total. On par le de dispar ition, d’enlèvement mais, jusque-là, aucun élément n’est venu confir mer ou infir mer l’une ou l’autre asser tion. Elar gie, l’enquête, dans le cadr e du plan d’aler te pour des investigations tous azimuts par tous les moyens, y compr is les médias, demeure jusqu’à pr ésent vaine. L’affir mation est de Tayeb Louh. " Nous n' avons toujour s pas L retrouvé la petite fille Nehal" , a indiqué en effet le ministre de la J ustice et Gar de des sceaux, en mar ge de la cér émonie d'installation du pr ésident de la Cour d'Alger et du procureur génér al pr ès la même cour, jeudi der nier à Alger, soulignant qu'" immédiatement apr ès les faits, le parquet compétent a ouver t une enquête avec la police judiciaire en lançant le plan d' aler te pour une plus Béjaïa À l’initiative de la Protection civile et de Cévital Campagne de sensibilisation sur les accidents de la route e directeur de la Protection civile de la wilaya de Béjaïa, le colonel Lattaoui Rachid, et le directeur des ressources de l’entrepr ise Cévital, Oular bi Lar bi, ont donné, dans l’apr ès-midi d’avant-hier jeudi, au sein de l’entrepr ise Cévital, le coup d’envoi d’une gr ande campagne de sensibilisation contre les accidents de la circulation. Cette gr ande opér ation, initiée par la direction de la Protection de Béjaïa avec le concour s de l’entrepr ise Cévital, a consisté en le collage sur les 600 camions de l’entrepr ise Numilog, loués par l’entrepr ise Cévital, de gr andes affiches appelant les conducteur s à respecter le code de la route et à être pr udents et vigilants, afin d’éviter des dr ames qui endeuillent les familles et de lour des char ges sociales pour le pays. Les gr andes affiches collées sur l’ar r ière gauche des camions, r édigées en ar abe et en fr ançais, comprennent de nombreuses images qui recommandent par exemple aux chauffeur s de ne pas conduire quand ils sentent la fatigue les gagner, de ne pas conduire en téléphonant, de ne pas conduire sous l’effet de l’alcool, de laisser une distance de sécur ité r aisonnable, d’au moins 35 mètres, entre eux et le véhicule qui les pr écède, de ne pas tenter les dépassements dangereux et de ne pas rouler à gr ande vitesse. Le respect de ces conseils simples, comprend-on à tr aver s les affiches, diminue- L r a sensiblement les accidents de la route, qui ne cessent d’engendrer des veuves, des or phelins et des handicapés à vie. Pour faire per dre une mauvaise habitude, comme celle de fumer ou de faire de la vitesse au volant, par exemple, il faut, explique le directeur des ressources de Cévital, une dur ée de six mois. Les affiches resteront collées sur les camions pendant deux ans, soit quatre fois le temps nécessaire pour oublier une mauvaise habitude. L’entrepr ise Numilog est une entrepr ise de tr anspor t et d’entreposage qui loue par contr at 600 camions à l’entrepr ise Cévital. Selon le repr ésentant de cette entrepr ise, Amour i Cher if, chaque camion parcour t une moyenne de 120 mille kms par an à tr aver s tout le ter r itoire national, soit, pour les 600 camions, un total de 72 millions de km par an. C’est dire tout l’impact que cette campagne pour r ait avoir sur les conducteur s. Les responsables de la cellule de communication de la Protection civile tiennent par ailleur s à remercier l’entrepr ise Cévital pour son concour s hautement appr éciable dans cette campagne, cer taines autres entrepr ises de la wilaya, y compr is les compagnies d’assur ances, ont pour la plupar t pr éfér é faire la sour de oreille aux sollicitations de la Protection civile. B. Mouhoub La criminalité urbaine en baisse es ser vices de la police judiciaire de la wilaya de Béjaïa ont enregistr é une chute sensible du taux de la cr iminalité ur baine dur ant ce semestre, compar ativement au même semestr e de l'année pr écédente. En effet, il a été tr aité 1 050 affaires de délits dont 50 sont liées au tr afic de drogue qui ont abouti à la saisie de pr ès de 41 kg de drogue et 4 681 psychotropes, apprend-on de la cellule de communication de la sûr eté de wilaya de Béjaïa. Concer nant le nombr e de per sonnes impliquées dans ces affaires, ils sont au nombre de 1 655 individus dont 408 ont été incarcér és. Dans le même registre et gr âce à la coopér ation des citoyens, les ser vices de la sûreté de wilaya ont reçu plus de 5 859 appels téléphoniques ver s le numéro ver t 48-15 et le numéro de secour s 17, dont la major ité était pour pr évenir d'une ur gence ou Bouira Incendie au marché des 1 100 logements n important incendie s’est déclaré au marché de proximité de la cité des 1100 logements de Bouira, détruisant dans la soirée du mercredi à jeudi derniers aux environs de deux heures du matin, 15 magasins ainsi que tout le matériel de réfrigération et autres qui s'y trouvaient. Les flammes ont également consumé une trentaine d’étals présentant diverses marchandises. Les services de la Protection civile, assistés par les citoyens et les marchands, sont intervenus pour circonscrire l'incendie qui menaçait deux bâtiments d’habitations mitoyens ainsi qu’un parking pour les voitures, ce qui aurait causé une véritable catastrophe au niveau de cette cité. Une enquête a été lancée par les services concernés pour déterminer les causes exactes de cet incendie qui aurait pu avoir de graves conséquences n'était-ce la célérité de l'intervention des agents de la Protection civile et l'importance des moyens mis en œuvre. D’après les premiers éléments de l’information, un court-circuit serait à l'origine de cet incendie. O. K. U Aïn-Bessem Bilan semestriel de la Police L lar ge investigation" . Il a pr écisé que « le pr ocur eur de la République ter r itor ialement compétent se char ger a, lui, d'infor mer l' opinion publique des développements de cette affaire, souhaitant un heur eux dénouement. L'élabor ation de ce plan est confiée à un groupe de tr avail qui compte les pr incipaux secteur s concer nés dont l' intér ieur, les tr anspor ts, la communication, le commandement de la gendar mer ie nationale, la sûreté nationale et autres. Il est activé sous la super vision du pr ocur eur de la République en vue d'une inter vention r apide et la collecte d' un maximum d' infor mations pouvant faire avancer l'enquête. Et pour éviter d'exposer le mineur à un éventuel r isque, le plan d'aler te est activé immédiatement sans attendr e 48 heur es, comme en vigueur aupar avant, » a-t-il indiqué encore. Apr ès avoir mis l'accent sur le r ôle capital des médias qui " or ientent et influent dans les gr andes affaires" , il a appelé à la cr éation d'une presse spécialisée dans les domaines jur idique et judiciaire en vue de " collaborer ensemble pour atteindre les objectifs escomptés par les r éfor mes initiées dans le secteur de la justice" . Par ailleur s, dans l’entour age de la famille de Nihal, on a appr is que des actions de « solidar ité » et pour dire « halte au kidnapping » se pr éparent dans la r égion. Ainsi, un r assemblement suivi d’une r éunion restreinte ont à été tenus sur place avant-hier par des proches de la famille. Des repr ésentants des comités des villages environnants ont été également invités pour concer tation, nous a indiqué l’oncle de Nihal, H. O. Trois plans d’action ont été retenus lor s de cette r éunion à savoir une « gr ève génér ale », un « Sit-in » et « une marche », a ajouté toujour s la même source. Ceci -dit pour ar r êter les lieux et les dates une autre r éunion devait avoir lieu hier soir. Sadek A.H. et Kamela H. pour demander l'inter vention des éléments de la sûreté. Par ailleur s, dans le cadre des opér ations de contr ôle des per sonnes et des véhicules suspects, les ser vices ont effectué 86 049 contr ôles de véhicules. Les agents de police relevant de la sûreté de wilaya ont aussi sécur isé 904 manifestations spor tives et 3 446 opér ations de pr éser vation de l'or dre, apprendon de la même source. Mechmeche Salima Un mort et deux blessés sur le CW97 ne personne a trouvé la mort et deux autres ont été blessées dans d'un accident survenu, avant-hier jeudi, sur le CW 97 près de la localité de Oued Lek’hal, dans la commune d’Aïn-Bessem. Des sources locales ont indiqué que le drame a eu lieu suite au renversement d'un véhicule de marque Renault Clio sur la route. Le chauffeur est décédé sur le coup, alors que les deux passagers ont subi des graves blessures. Les blessés ont été évacués vers l'hôpital d’AïnBessem et le corps sans vie a été transporté au service de la morgue. L'excès de vitesse pourrait être la cause de cet incident à la suite duquel les services de la gendarmerie ont ouvert une enquête. O. K. U 5 Nat i o n al e Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Aïn-Bessem Trois importants sites détruits avant-hier L’AG élective reportée La lutte e contre e lee commerce informell see poursuit Les services de la commune d’Aïn-Bessem, à l’ouest de la wilaya de Bouira, appuyés par les éléments de la Police et de la Gendarmerie nationale, ont procédé, jeudi, très tôt dans la matinée, à la destruction de trois importants marchés informels du centre-ville. l s’agit des marchés situés au niveau des quar tier s «Les Tour s» «Aïn Bouakezz» et «Zmala». Les mêmes ser vices ont tr ansfér é pr ès de 34 marchands qui y activaient ver s le nouveau marché de proximité, situé du côté nor d de la ville. Cette nouvelle opér ation coup de poing s’inscr it dans le cadre de la politique d'ér adication des mar chés infor mels et a été exécutée sur or dre du wali de Bouir a. Selon un élu de l’APC que nous avons abor dé sur place, «ce sont les ser vices de la daïr a, de la commune, de la direction du commerce ainsi I que ceux de la gendar mer ie et de la police qui ont exécuté l'opér ation d’ér adication de ces tr ois mar chés. Et cer tains des mar chands ont été tr ansfér és ver s le nouveau marché de proximité». Il pour suivr a : « Ce nouveau mar ché fait par tie des espaces consacr és à l' activité commer ciale r églementée et a été ouver t pour r égular iser la situation des mar chands contrevenants, les intégrer dans le circuit des activités légales et leur donner un cadre de tr avail confor table. Cette opér ation a eu pour autr e effet d' aér er et de redonner à trois quar tier s de la ville leur look d'avant ». Selon le même responsable, une campagne de nettoyage ser a incessamment lancée au niveau des sites détr uits où per sistent encore des tas d’immondices. Autre gr and défi qui attend les responsables de la commune, celui de débar r asser les lieux publics et les accotements des r outes des commer çants à la sauvette qui y sont légion. Oussama Khitouche Béjaïa Initiée par la DSA sur «La fusariose des céréales» Journée de formation pour les céréaliculteurs a commission char gée du per fectionnement de l’encadrement du secteur de l’agr iculture, relevant de la direction des ser vices agr icoles de Béjaïa, a or ganisé, avant-hier, jeudi, une jour née de for mation au profit des cér éaliculteur s de la wilaya sur le thème «La fusar iose des cér éales». Cette jour née d’études, visant la sensibilisation des agr iculteur s sur les maladies touchant la cér éaliculture, a eu lieu au niveau de la bibliothèque pr incipale de Béjaïa, sise L à proximité du nouveau siège de la r adio Soummam. Des dizaines d’exploitants agr icoles de la wilaya ont assisté à cette jour née de for mation, animée par le Dr Hadjout Lounis, exer çant à l’École nationale supér ieure en agronomique (ENSA), ex-INA d’El-Har r ach. Ce for mateur a expliqué aux cér éaliculteur s de Béjaïa les or igines de la fusar iose, ses conséquences sur les r écoltes et comment s’en pr émunir. «C’est une maladie qui touche les cér éales d’une manière génér ale, c'est-à-dire le blé tendre, le blé dur, l’or ge, le maïs et l’avoine», a-t-il affir mé. La fusar iose de l’épi, une maladie fongique, est appar ue en Algér ie, selon le Dr Hadjout, il y a une vingtaine d’années. «Sa danger osité et ses effets dévastateur s sur la production cér éalière et la santé des consommateur s mér ite d’y faire tr ès attention», a-t-il souligné. «L’objectif de cette rencontre d’études est de sensibiliser les cér éaliculteur s sur cette Abdelkader Ouali dément toute hausse du prix de l’eau « Ce n’est pas à l’ordre du jour » e ministre des Ressources en eau et de l'Environnement, Abdelkader Ouali, a fait état, jeudi à Oran, de la création prochaine, au niveau des wilayas et des daïras du pays, de commissions de contrôle des infrastructures d'eau. « Ces commissions qui seront composées de représentants du secteur des ressources en eau, seront chargées du contrôle des ouvrages hydriques (barrages, réservoirs, ...) et tout ce qui est a une relation avec l'eau pour une meilleure exploitation de cette ressource », a affirmé le ministre dans une déclaration à l’APS, en marge d'une visite de la station de dessalement de l'eau de mer d'El Macta, à l'Est d'Oran, où il a donné le coup d’envoi à la mise en service de cette infrastructure. Dans le cadre de la préservation de cette ressource vitale, le ministre a L annoncé le lancement, à partir de la wilaya de Mascara, d'un nouveau mécanisme de contrôle du réseau d'eau dans toutes les grandes villes et autres du pays, en plus de la dotation de l'entreprise « L'Algérienne des eaux » (ADE) de véhicules et motocycles pour le contrôle. « Nous allons mettre un terme aux branchements illicites aux réseaux d’eau », a assuré Ouali. En ce qui concerne la tarification de l’eau potable, le même responsable a assuré qu’ « une augmentation n’est pas à l’ordre du jour », a-t-il dit, tout en dévoilant qu’elle fait l’objet de réflexion. « Il y a une différence dans la tarification entre l'eau consommée par les ménages et celle exploitée par les grandes installations et l'industrie », fera-t-il savoir. Samira Saïdj maladie danger euse, qui peut affecter même la santé de l’être-humain et de l’animal», a-t-il aver ti. Pour cause, pr évient le Dr Hadjout, «les champignons à l’or igine de la fusar iose produisent des substances toxiques qui infectent le gr ain destiné à la fabr ication des aliments de base, comme la semoule et la far ine». L’infection des champs d’épis par cette maladie est favor isée, d’apr ès le conférencier, par cer taines conditions climatiques, à savoir l’humidité, la pluie et la tempér ature qui sur viennent dur ant la pér iode de la flor aison. Que doivent faire les cér éaliculteur s pour protéger leur s champs de cér éales de cette maladie ? Par mi les solutions r ecommandées aux agr iculteur s pour diminuer le r isque de la fusar iose, le procédé de la rotation et le tr avail du sol. Il s’agit d’ensemencer, par exemple, le blé et l’or ge sur un sol qui a été utilisé, l’année pr écédente, pour une autre culture, telle que la better ave et la luzer ne. Les cér éaliculteur s ayant pr is par t à cette for mation ont jugé l’initiative tr ès bonne, mais souhaitent que ce genre d’évènements soient or ganisés avant le lancement de la campagne moisson-battage. Par ailleur s, à signaler que l’UCA d’Oued Ghir, or ganisme char gé de stocker les r écoltes cér éalières de la wilaya, a enregistr é, à quelques semaines de la fin de la campagne moisson-battage, une production cér éalière dépassant les 48 000 quintaux. Cette r écolte dépasse les attentes des ser vices agr icoles de Béjaïa, qui ont tablé sur une r écolte de 45 000 quintaux. Boualem Slimani Nat i o n al e 6 Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Campus d’Amizour Université d’été des clubs scientifiques Clôturee danss laa satisfaction Les activités de l’université d’été des clubs universitaires scientifiques, qui avaient débuté le 18 du mois en cours, se sont achevées, avanthier jeudi, avec une cérémonie de clôture qui a fait vibrer l’auditorium du campus universitaire d’Amizour. u ter me de cette clôture, les 37 clubs par ticipants, r epr ésentant plusieur s wilayas du pays, ont eu droit à des attestations de r econnaissance, comme il a été procédé à la remise des pr ix du meilleur stand, meilleur tr avail scientifique et meilleur r ecor d spor tif (tir à l’arc). Des ovations et applaudissements jaillissaient de par tout dans la salle, ce qui explique la satisfaction quasi-complète des délégations par ticipantes dur ant leur séjour dans la r égion, étant que des sor ties sur des sites tour istiques et histor iques de la wilaya ont fait par tie du progr amme de cette édition du plus gr and regroupement de la famille univer sitaire. « Nous sommes vr aiment gâtés cette année d’âtre ici dans la r égion de Béjaïa. Nous avons découver t des coins par adisiaques comme nous avons assisté à des conférences de haut niveau et cela nous a per mis aussi de tisser des liens avec nos semblables de Béjaïa, tr ès actifs d’ailleur s », ont déclar é, avec émotion, un étudiant de Médéa et une autre de Constantine. Cette manifestation estudiantine or ganisée par le club scientifique des éner gies élec- A tr iques renouvelables de l’univer sité Abder r ahmane Mir a était aussi une tr ibune où une sér ie de conférences suivies de débats ont tr aité de plusieur s sujets, entres autr es, scientifiques, économiques, culturels et histor iques, ajouter aux expositions d’objets tr aditionnels et bien sûr des activités culturelles et ar tistiques pour assurer une ambiance festives en ces temps de vacances. Dans une gr ande émotion, les 350 par ticipants héber gés au niveau de la cité U du campus d’Amizour, s’appr êtaient à une cr oisièr e en mer assur ée par la direction por tuaire de Béjaïa. Un cadeau for t mer veilleux qui per mettr a aux visiteur s de gar der de bons souvenir s de cette r égion d’accueil. Une r égion que le recteur de l’univer sité de Béjaïa a pr ésentée comme la Mecque des savants, des mar tyr s et des humanistes depuis des siècles. « Nous voulons avoir un br assage cultur el à dimension nationale, comme nous avons donné l’occasion à nos invités de découvr ir les mer veilles de Béjaïa Le recteur de l’université de Béjaïa, à propos du campus d’Amizour «Pas question qu’il n’y ait pas de rentrée en septembre !» e campus d’Amizour, qualifié de per le par le ministre de l’Enseignement supér ieure, doit ouvr ir ses por tes pour rentabiliser cet investissement colossal de l’État, et la famille univer sitaire de Béjaïa doit faire preuve de beaucoup d’intelligence comme elle a l’habitude de le faire, et ce, au profit de tout le monde pour justifier à l’avenir d’autres besoins », dir a le professeur Saidani, en r épondant à notre question sur la rentr ée univer sitaire prochaine au niveau de ce campus qui a r até celle de l’année der nière. Le doyen recteur était for mel que le campus ser a ouver t. « Nous ne pouvons per dre un bijou pareil ! Il suffit juste d’évacuer et de bannir les querelles inter nes et les intér êts per sonnels, étant que tous les moyens et commodités sont r éunis », dir a-til. Le premier responsable de l’univer sité de Béjaïa r appelle que le problème n’est pas venu des étudiants, mais d’un groupe d’enseignants qu’il invite par ailleur s à plus de sagesse pour mettre fin au blo- «L cage et à l’entêtement pour ne pas per dre ce joyau, et ne songer qu’à l’intér êt de l’étudiant, de l’univer sité et du pays. Notre inter locuteur souligne que l’univer sité d’été de cette année, or ganisée en ce lieu, s’inscr it dans la promotion de cette r égion et de ce campus qui offre une capacité de 4 100 places avec toutes les commodités nécessaires. Cependant, le recteur n’a pas pr écisé la filière choisie pour ce campus, sachant qu’au début ce pôle était r éser vé aux sciences exactes. « Peu impor te la filière à enseigner, qu’elle soit celle des sciences exactes ou d’autres spécialités technologiques, l’essentiel pour nous est d’assurer une rentr ée univer sitaire en septembre prochain et mettre fin à tout type de spéculation », jugea le recteur. Cela dit, les responsables de l’univer sité de Béjaïa sont pr êts à une rentr ée univer sitaire au niveau du campus d’Amizour quitte à changer la filière à enseigner au niveau de ce nouveau pôle qui a fait couler beaucoup d’encre. N. T. L’ambassadeur de la Palestine en visite à Tizi-Ouzou Vers un partenariat économique et culturel C omme annoncé précédemment dans nos colonnes, l’ambassadeur de la Palestine a effectué, mercredi dernier, une visite à TiziOuzou. Seulement, le programme de sa visite déjà annoncé a été chamboulé par l’autre événement qui a marqué la wilaya la même journée, à savoir la visite de madame la ministre de l’Education, Noria Benghebrit, a-t-on appris auprès de l’association nationale pour la jeunesse algérienne instruite, organisatrice de la visite. Ainsi, l’ambassadeur a été reçu le premier jour de son arrivée à Tigzirt par les 400 jeunes issus de 24 wilayas présents à l’université d’été qu’organise l’association sur place, nous a indiqué la même source. « Et la conférence programmée jeudi à l’auditorium de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, a eu lieu finalement mercredi au CFPA de Tigzirt. Il ne pouvait pas l’assurer au niveau de l’université de Tizi-Ouzou, où il a été reçu par le recteur vers 19h30 à son bureau, vu que l’autorisation eue pour la conférence date pour le lendemain pour jeudi », nous a-t-on précisé. A signaler que dans la soirée du mercredi, l’ambassadeur s’est rendu à la Zaouia de Chikh Amokrane sise à Ait Zellal, dans la commune de Souama, daïra de Mekla. Sur place, il a été reçu par le maire de Souama ainsi que le cheikh de ladite Zaouia. Au deuxième jour de sa visite, soit le jeudi, l’ambassadeur de la Palestine a été reçu dans la matinée par le wali de Tizi-Ouzou. Puis, il fut l’hôte de l’assemblée populaire de wilaya, où la question d’un éventuel partenariat économique et culturel avec la Palestine a été débattue, selon un élu de cette assemblée qui a participé à la rencontre. Par la suite, son excellence a été reçu par le P/APC de TiziOuzou. La visite de l’ambassadeur de la Palestine à Tizi-Ouzou a été achevée par une sortie au musée régional du Moudjahidines ou il a procédé au dépôt d’une gerbe de fleurs à la mémoire des martyrs de la guerre de Révolution, avant d’effectuer une visite guidée dans le musée. Kamela Haddoum », dir a le recteur, le professeur Saidani, lor s de son allocution de clôtur e qualifiant qu’une r encontre pareille est une occasion de promotion des échanges scientifiques et de recherches. « Cette rencontre nous a per mis d’échanger nos expér iences dans plusieur s domaines, puisque notre univer sité est engagée dans le développement dur able », a-t-il souligné. Beaucoup de tr avaux inhérents au domaine de l’environnement, de l’agr iculture et de la biologie ont fait par tie des activités de cette univer sité d’été qui, pour joindre l’utile à l’agr éable, a concocté aussi des activités spor tives, de loisir s et de détente, étant donné que la major ité des par ticipants sont des jeunes. Cela a per mis aussi plus par ticulièr ement aux étudiants de Béjaïa de voir de plus pr ès les commodités existantes au niveau de ce campus ayant fait l’objet de refus par cer tains enseignants d’y rejoindre et repor ter ainsi son ouver ture aux calendes grecques. Nadir Touati Le ministère de l'Éducation recrute 3 870 postes budgétaires ouverts e ministère de l'Education nationale a décidé de l'ouver ture de 3.870 postes budgétaires pour le recr utement d'éducateur s, de conseiller s d'or ientation, de conseiller s pédagogiques (scolaire et professionnel) et d'adjoint pr incipal de labor atoire pour les détenteur s de diplômes d'études univer sitaires appliquées (DEUA) et les détenteur s de diplômes de techniciens supér ieur s, lit-on sur le site de la direction génér ale de la Fonction publique et de la r éfor me administr ative. Selon la même source, le recr utement se fer a sur la base d'un concour s dans les postes ouver ts soit 3 285 pour les éducateur s, 293 pour l'adjoint pr incipal de labor atoire et 292 pour les conseiller s d'or ientation et pédagogiques. Les candidats doivent être titulaires de diplômes d'études univer sitaires appliquées ou de diplômes de technicien supér ieur pour les diplômés des instituts de la for mation professionnelle. Pour par ticiper au concour s d'adjoint pr incipal de labor atoire, un diplôme de technicien supér ieur ou diplôme d'études univer sitaires appliquées en biologie, chimie, biochimie, électronique, électrotechnique, électr icité ou électromécanique est requis. Pour celui de conseiller d'or ientation et pédagogique, il est exigé une licence en sciences de l'éducation, en psychologie ou en sociologie. Les dossier s peuvent être déposés au niveau de la direction de l'éducation des wilayas dans un délai de 15 jour s à dater du 25 juillet. L Horaires des prières Fajr Dohr Tizi-Ouzou 03:58 12:51 Bouira 03:55 12:51 Béjaïa 03:54 12:47 Asr Maghreb 16:39 19:57 16:40 19:57 16:35 19:53 Isha 21:30 21:35 21:26 Vendr edi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Malgré plusieurs opérations d’éradication Bouira,, unee terree «fertile»» pourr less bidonvilless ! En l’absence de statistiques officielles, bien malin celui qui réussira à dénombrer les multiples bidonvilles implantés à travers la wilaya de Bouira. n effet, à peine les autor ités locales ontelles fini de détr uire un conglomér at d’habitations pr écair es qu’un autr e pousse à proximité. Les ser vices de la PUP sont cer tes à l’affut, mais ces bidonvilles ont la peau dure, comme les habitudes de leur s propr iétaires qui n’hésitent pas à implanter leur s taudis dans des zones à r isque, notamment à proximité des oueds. Endroits de pr édilection, car, à la moindre cr ue, les citoyens habitants ces favelas en profitent pour exiger d’être relogés au fr ais du contr ibuable. La der nière inter vention, mar di der nier, du pr ésident de la République, Abdelaziz Bouteflika, lor s du Conseil des ministres, a été claire, en exigeant des autor ités centr ales et locales d’ér adiquer les bidonvilles. A titre illustr atif, dans la commune d’El Esnam, au cœur du chef-lieu, un bidonville subsiste un jour La Kabylie E depuis plusieur s années, malgr é l’annonce faite en gr ande pompe de son ér adication prochaine par les autor ités communales. Ce bidonville, r épondant au joli nom de ‘’ cité Pistache ‘’ car implanté à proximité d’un immense ver ger de pistachier s, abr ite pr ès d’une centaine de familles. Pour les ser vices de l’APC, il y aur ait officiellement 75 familles de recensées, mais selon les habitants de ces taudis elles ser aient pr ès d’une centaine. Ces familles, pour la major ité, ont dû quitter leur s anciens domiciles situés sur le site du bar r age de Tilesdit. Elles se disent expropr iées, alor s que les indemnisations leur aur aient toutes été ver sées. Les autres familles r ésidant dans ce bidonville disent avoir fui le ter ror isme dans les années 90 et n’avoir pas où aller. Sur le site, les instr uctions du pr ésident de la République semblent illusoires. Des bar aques de for tune ér igées gr ossièr ement en par paings, même pas cr épies, et dont les toits sont de simples tôles galvanisées. La chaleur et l’humidité font appar aître des nuées de moustiques. Des r ats qui s’apparentent à des chats ne sont même plus impressionnés par la pr ésence des hommes et femmes habitants dans ces taudis. D’ailleur s, il se r aconte à la cité Pistache que ces rongeur s et même des ser pents cohabitent avec les humains, avec tous les r isques que cela compor te. Les odeur s pestilentielles qui se dégagent des évacuations des eaux usées ne sont pas faites pour éviter rongeur s et autres bestioles nuisibles. Des câbles électr iques qui pendouillent entre les taudis laissent à penser qu’un simple frottement contr e un mur pour r ait aisément enflammer cet immense amas de bicoques insalubres. Les ser vices de l’APC d’El Esnam nous ont affir mé, une fois de plus, que l’ér adication de ce bidonville est proche, tout en nous renvoyant à la daïr a de Bechloul pour de plus amples renseignements. Des exemples comme celui de la cité Pistache sont légion à tr aver s le ter r itoire national. La politique du gouver nement vient une fois de plus de s’affir mer quant à l’ér adication des bidonvilles. Mais là encore, le texte approuvé par le Conseil des ministres est loin de la r éalité, même s’il est clairement stipulé que « ce texte vient mettre à jour les nor mes en vigueur en matière de pr évention et de sécur ité contre les r isques d'incendie dans les locaux accueillant le public, ainsi que dans les bâtiments à usage d'habitation ». Bachouche Idir Aftis Draâ El Mizan El Esnam Il était une fois un village agricole... L’union locale de l’UGTA monte au créneau Assif Oumarigh, un désastre écologique Page 08 Page 09 Page 10 8 BÉJAIA 06 Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 BÉJAIA L’urbanisation galopante fait changer la vocation d’Aftis Ill étaitt unee foiss unn villagee agricole.... Le village Aftis, situé à 4 kms du chef-lieu communal de Boudjellil, était très connu par ses produits agricoles d'une excellente qualité, lesquels inondaient les marchés locaux. ur ant la pér iode coloniale, le village Aftis, fut, en fait, une vaste exploitation agr icole qui appar tenait à un colon du nom de Bouaziz. À l' indépendance du pays, cette vaste propr iété a été cédée à plusieur s familles qui s'y sont établies pour for mer le village actuel d' Aftis. Pendant cette pér iode, l'agr iculture dans ce village a été pr ospèr e, car tout le monde exploitait ses ter res avec amour et D abnégation. Les per sonnes âgées se souviennent, encore, de ce petit par adis que fut Aftis, où il poussait des fr uits et légumes de qualité supér ieure. " J e me souviens que dans les années soixante, il y avait une longue r igole qui captait les eaux de Assif Aâbbas (oued Sahel, ndlr ), lesquelles étaient pur es et non polluées comme aujour d' hui! Les paysans tr availlaient leur s ter res, où poussaient des fr uits et légumes succulents. Les grenades, les or anges, les mandar ines, les figues et les mar aîchages étaient pr oduits à profusion. À pr ésent, tout cela a dispar u. Vous voyez cette parcelle de ter re? Il n'y subsiste que les tr oncs mor ts d' or anger s. Il ne reste plus r ien dans ce village que les olivier s et quelques ar bres fr uitier s!" , constate amèrement notre inter locuteur. Il est vr ai que le béton a fait une avancée inquiétante sur les ter res agr icoles. Aftis, jusque dans les années 1990, pouvait se tar guer d'être un village agr icole par excellence, mais plus maintenant, puisque le tissu ur bain a envahi toutes les ter res agr icoles. Néanmoins, cela n'empêche pas quelques " amoureux" de la ter re nour r icière de cultiver leur s par celles. L'agr iculture vivr ière y pr édomine dans ce village, sans pour autant aller jusqu'à alimenter les mar chés locaux comme jadis. C'est dire que le tr avail de la ter re a reculé nettement dans ce village, à cause de l'ur banisation galopante et non r ationalisée! Toutefois, des jar dins et autres potager s sont aménagés par quelques habitants pour la consommation locale. Quelques-uns ar r ivent même à vendre leur s r écoltes sur les accotements de la RN106 et du CW42A qui passent par ce village. Des points de vente de fr uits et légumes du ter roir sont aménagés par de jeunes gar çons et même des pères de familles. Ainsi, le petit poivron du bled (ifelfel n tmur t), le maïs, la tomate, la cour gette et le concombre, sor tis directement des ver ger s de ce village, sont proposés à la vente sur les abor ds de routes. Ces produits du bled ont vr aiment la cote chez les ménages, dès lor s qu'ils sont tr ès demandés. Syphax Y. Ouzellaguen Campagne de nettoyage des accotements i la propreté publique est souvent reléguée au second r ang ou ne fait pas par tie des gr ands enjeux politiques, elle est par contre un par i quotidien pour les citoyens. Les besoins de propreté publique sont d’or dres hygiénique, esthétique, d’image de marque ou écologique. Ce faisant, les premier s responsables de la municipalité d’Ouzellaguen veulent mettre les bouchées doubles pour se r attr aper quant à cette question lancinante. Des agents d’entretien sont à pied d’œuvre pour nettoyer les accotements des différentes voies publiques. Des dizaines d’agents d’entretien tentent de mener à bout cette opér ation de nettoyage, notamment sur les hauteur s où sont nichés les villages d’Ifr i, El-Djamâa,… C’est dans le souci de r épondre à ces besoins que les autor ités locales se doivent d’appor ter souvent une r éponse gestionnaire, consistant à mettre plus de poubelles, à plus nettoyer, à plus sensibiliser et à plus sanctionner. Tous ces « plus » n’amènent pas à plus de satisfaction ni moins de déchets. Accotements des routes, pistes et même les parcelles agr icoles deviennent des poubelles ou des déchar ges à ciel ouver t. La plupar t des gens sont catastrophés face à ce qu’ils voient sur les abor ds des routes. Détr itus jetés par les fenêtres, déchets déposés dans les fossés ou sur les abor ds de S routes, dépôts d’or dures sauvages sur les chemins ou dans les parcelles agr icoles,… ce laisser-aller n’est pas sans conséquence sur dame nature, laquelle mettr a des décennies à digé- rer ces détr itus (bouteilles et sacs en plastique, emballages diver s,…). Ces incivilités doivent être plus for tement r épr imandées. Néanmoins, cette opér ation, qui devait être lancée au début du mois de juin, soit au moment où l'her be sauvage ar r ive à la fin du processus d’assèchement, s’est faite sur le tar d, sachant que les incendies ont déjà consumées des hectares de for êts, à l’image de Gour aya et des collines se trouvant entre la ville d’Ouzellaguen et Chellata. Par ailleur s, les abondantes aver ses de pluies dur ant l'hiver et le pr intemps ont été à l'or igine d'une croissance prodigieuse des her bes sauvages qui recouvrent le moindre espace et pr ésentent, à l'heure actuelle, un sér ieux r isque de dépar ts d'incendies à tout moment et par tout où ces hautes her bes for ment un tapis épais et uni. Les br indilles de l’her be sèche sont r apidement inflammables, en par ticulier dur ant ces jour nées de grosses chaleur s. Le moindre tesson de bouteille ou morceau de ver re, accu- mulateur s de chaleur, peut, en effet, provoquer un dépar t d'incendie, tout comme le bout d'une cigarette mal éteinte. La malpropreté est forcément le fait de compor tements indésir ables. Une par tie de ces compor tements peuvent être gér és par des politiques publiques, telles les consignes, les sanctions, la mise à disposition des bacs à or dures,… Mais, il reste cer tains compor tements à modifier par la conviction. Nonobstant les campagnes de sensibilisation via les écoles et mouvements de jeunesse, pr incipalement pour faire du nettoyage et des panneaux r appelant qu’il ne faut pas jeter, qu’il faut tr ier et que la nature doit rester propre, des éner gumènes invétér és et sans ver gogne continuent de por ter atteinte à l’environnement. Le constat est malheureusement amer. Des changements d’attitude et de compor tements ne sont pas obser vés. Bachir Djaider Amdoun n’Seddouk Tout le monde afflue à El Houche e tournoi organisé conjointement par les collectifs des jeunes des villages Tibouamouchine et Seddouk Ouadda va bon train. Le championnat des poules s’est achevé mardi après-midi avec la rencontre qui a opposé Seddouk B à Tibouamouchine B. Une rencontre où les Seddoukois ont écrasé littéralement leurs adversaires avec un score lourd sans appel de cinq buts à un, ce qui leur a permis de s’adjuger la première place avec six points et un bon goal-average. Seddouk Ouadda B a donc assuré sa qualification aux demi-finales avec Ighil N’djiber, qui est parvenu à éliminer Seddouk Ouadda A avec un score de trois buts a un dans une rencontre où les Ighil N’djiberois ont prouvé leur suprématie. Ils comptabilisent six points avec huit buts marqués contre cinq encaissés, et assurent leur qualification. Seddouk Ouadda A, bien qu’ayant totalisé lui aussi six points pour huit buts marqués contre cinq encaissés, accompagne aux enfers Tibouamouchine B qui a zéro point à son compteur, en perdant tous ses matchs. Mais l’honneur est sauvé par Tibouamouchine A qui s’affiche comme l’équipe la plus solide de ce tournoi, en L gagnant ses trois matchs, comptabilisant ainsi neuf points pour seize buts marqués contre cinq encaissés. Taghzouyth est la deuxième équipe qualifiée aux demi-finales aux côtés de Tibouamouchine A, en terminant deuxième au classement avec six points pour onze buts marqués contre onze encaissés. Ighil Ouchekrid et Seddouk Oufella sont les deux autres équipes qui ont composé ce groupe et éliminées pour avoir comptabilisé chacune un point. Les rencontres probables des demi-finales dont la première confrontation était fixée pour hier vendredi sont les suivantes : Tibouamouchine devait donner la réplique à Ighil N’djiber dans une rencontre derby. Seddouk Ouadda B affrontera Taghzouyth dans un duel entre deux équipes qui se connaissent bien, vu que les deux équipes s’étaient rencontrées à maintes fois. Jamais de mémoire d’homme, le stade d’El Houche n’a connu une telle affluence. Chaque après-midi, des jeunes à pied, en moto, en voiture convergeaient vers le stade et ce durant les douze rencontres qui ont eu lieu. L. Beddar Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 TIZI OUZOU 15 9 TIZI OUZOU Tizi-Ouzou première aux examens de fin d’année La wilaya de Tizi-Ouzou occupe ces dernières années le haut du podium du classement national aux résultats des examens de fin d’année pour les trois cycles du cursus scolaire, (5ème, BEM et Bac), suscitant moult interrogations sur le secret de cette réussite. ’annonce, cette année encore, que les élèves de cette wilaya ont br illé aux examens de fin d’année per mettant à Tizi-Ouzou de maintenir sa première place du classement national sur les 47 wilayas, a suscité des r éactions mitigées entre félicitation et " doutes" enflammant le débat tant dans la r ue que sur les r éseaux sociaux. La r éponse à ces inter rogations a été la même pour toutes les per sonnes rencontr ées par l'APS. " Il n’y a pas de for mule magique. Le secr et de cette r éussite est le Tr avail, et le tr avail seul" , s’accor de-t-on à dire. Selon le dir ecteur de wilaya de l’Education (DE), Belkadi Djamel, quatr e facteur s ont contr ibué à l’obtention de ces r ésultats. Il s’agit de l’encadre- L Lee secrett dee laa réussite a indiqué à l’APS que les élèves ne visent pas le Bac seulement, mais voient au-delà. " Ils ont des projets d’avenir et tr availlent non pas seulement pour décrocher le Bac mais pour obtenir une bonne moyenne qui leur per mettr ait de s’inscr ire dans la filière de leur choix" , a-t-elle expliqué, soutenant que les élèves ont aussi conscience de l’impor tance d’un diplôme qu’il soit univer sitaire ou professionnel pour s’insérer dans la vie professionnelle. De son côté, la directr ice de ce même établissement, Djebar Djamila, a mis en évidence le " climat de concur rence" cr éé par ce taux de r éussite au Bac, poussant les élèves à four nir plus d’effor ts afin de ne pas faire par tie de " la minor ité qui échoue" . ment pédagogique et administr atif et sa stabilité, l’implication des autor ités locales dans l’amélior ation du secteur de l’Education, le suivi des élèves par leur parents et enfin le suivi à tous les niveaux (pédagogique, administr atif de la for mation). 100% d’élèves inscrits en préscolaire M. Belkadi a également souligné le r ôle du pr éscolaire dans l’amélior ation du niveau et des r ésultats obtenus. Dans la wilaya de TiziOuzou, tous les élèves qui ar r ivent en première année moyenne ont fait le pr éscolaire, a-t-il indiqué. Le pr éscolaire per met à l’élève d’avoir une meilleur e capacité d’adaptation et d’intégr ation dans le milieu scolair e, ainsi qu’un bagage pédagogique pour entamer sur de bonnes bases le cur sus scolaire. Pour améliorer la qualité, la direction de l’Education a or ganisé, dur ant l’année scolair e écoulée, deux regroupements psychopédagogiques sur le thème " Comment abor der un sujet d’examen" , d’une dur ée d’une semaine chacun au profit de 176 meilleur s élèves des classes ter minales. " Tous les élèves qui ont pr is par t à cet examen, ont décroché leur bac et 90% ont obtenu une moyenne de plus de 14/20 à cet examen" , s'est félicité M. Belkadi. S’agissant de l’appor t des autor ités locales, il a r appelé que la wilaya de Tizi-Ouzou (élus et administr ation) accor de une attention par ticulière au secteur de l’Education, placé depuis des années par mi les secteur s str atégiques et auquel des enveloppes financières jugées impor tantes ont été consacr ées sur les budgets de wilaya, afin d’améliorer les conditions de scolar isation et cr éer un envir onnement favor able aux études. M. Belkadi citer a le renfor cement des infr astr uctur es existantes tout en r éhabilitant les anciens établissements et en rem- plaçant ceux qui étaient constr uits en pr éfabr iqué par d’autre en dur. Cela à per mis à la wilaya de r éaliser l’un des plus faibles taux d’occupation des classes au niveau national et qui est de moins de 20 élèves/classe en moyenne, les trois cycles confondus. Abor dant la question de la cor r ection des copies, il a obser vé que celle-ci ne se fait pas au niveau de la wilaya de Tizi-Ouzou et que chaque matièr e est cor r igée dans une wilaya différente. " Il est impossible pour un cor recteur de savoir la pr ovenance des copies, car l’anonymat est fait au niveau du centre de regroupement qui distr ibue les copies sur les centres de cor rection" , a-t-il relevé. Au-delà du Bac, la quête de la qualité Rencontr ée au lycée El Khensa de la ville de Tizi-Ouzou, Kesr aoui Far ida, conseillère de l’Education, Maya, l'incarnation de la persévérance... Du haut de ses 17 pr intemps, Touzar i Maya a fait le bonheur de ses parents, de la commune de Boghni où elle r éside et de la wilaya de Tizi-Ouzou en décrochant la meilleure moyenne au baccalaur éat à l’échelle de wilaya avec 18,82/20 dans la filièr e sciences expér imentales au technicum de Boghni. Elle a estimé que le secret de la r éussite est d’être à jour dans ses r évisions. " Il faut être à jour et r éviser chaque soir apr ès les cour s et ne pas laisser les r évisons à la der nière minute" , at-elle conseillé. La volonté est aussi un facteur impor tant pour la r éussite, a-t-elle ajouté. Ses parents ont confié que Maya a toujour s obtenu de bons r ésultats depuis le cycle pr imaire, et que sa r éussite est le " fr uit" et le r ésultat logique de ce tr avail. Draâ El-Mizan L’Union locale de l’UGTA monte au créneau éunis le 27 juin passé au niveau du CEM Base 7, les cadres syndicaux de l’union locale de Dr aâ El-Mizan, affiliée à l’UGTA, qui regroupe toutes les daïr as du Sud de la wilaya au nombr e de quatr e, à savoir Ouadhias, Boghni, Dr aâ El-Mizan et TiziGheniff avec un total de pas moins de quator ze communes, avaient mis sur la table des discussions la r évision de cer taines dispositions pr ises, relatives au dépar t à la retr aite et l'abrogation de l'or donnance 97-13 du 31 mai 1997 par r appor t à la retr aite propor tionnelle et la retr aite sans condition d'âge. Ils ont fini par rendre publique une déclar ation incen- R diaire ciblant, en ayant dans leur ligne de mire pr incipalement les repr ésentants de la centr ale syndicale ayant par ticipé à la tr ipar tite (gouver nement-UGTA-patronat) du 12 juin der nier qui avait cautionné cer taines décisions pr ises par r appor t à la retr aite propor tionnelle et à la retr aite sans condition d'âge. Aussi, les syndicalistes du Sud de la wilaya de Tizi-Ouzou ne cachent pas leur colère, tout en expr imant leur cour roux d’autant plus que, comme ils l’ont écr it, la situation au double plan économique et social a " évolué" négativement au niveau de leur wilaya et aussi à tr aver s toutes les autres Tizi-Ouzou Musée régional du Moudjahid Hommage au martyr Kara Ahmed ans le cadre des festivités commémoratives des symboles de la guerre de libération nationale, le musée régional du Moudjahid de Tizi-Ouzou organise, aujourd’hui, 30 juillet, à partir de 9 heures, une journée commémorative en hommage au martyr Kara Ahmed (1912- 1958) et ce, au D niveau de la salle de conférences du musée. Ainsi, le public, les moudjahidines, les compagnons et les proches qui ont connu le chahid sont invités à prendre part à cette cérémonie. K. H. wilayas, alor s que le chômage endémique qui fr appe la r égion est également en évolution car la machine économique est en panne. Au demeur ant, tous les espoir s nour r is dans cette tr ipar tite ne sont plus que des désillusions alor s que les tr availleur s avaient non seulement cr u mais aussi fondé sur elle leur s espoir s de voir, enfin, leur quotidien amélior é mais ils ont déchanté lor squ’ils se sont finalement aper çus que celle-ci (la tr ipar tite) n'a, en fait, ser vi que le patronat et le gouver nement. Dans la même déclar ation, les cadres syndicaux de l’union locale de l’UGTA de Dr aâ El-Mizan ont tenu à dénoncer éner giquement tout en expr imant leur refus, d’une façon catégor ique, la r évision du système de r etr aite pr opor tionnelle et sans condition d'âge qu'ils qualifient de " mascar ade" car ces nouvelles décisions remettent en cause un acquis social indéniable des tr availleur s. «Nous avons repoussé cette décision en 2011 et nous sommes pr êts à reconduire la même mobilisation pour mettre en échec cette mesure qui n'est nullement justifiée par le gouver nement qui plaide pour une r éhabilitation de la valeur du tr avail, tout en faisant obser ver que l'Algér ie ne vit plus d'aisance financière" , ont-ils écr it dans le même document avant de pour suivre : " Si les pouvoir s publics veulent vr aiment sauver la Caisse Nationale de Retr aite, ils n'ont qu'à aller puiser l'ar gent chez les entrepr ises pr ivées qui ne déclarent pas leur s employés à la sécur ité sociale ni ne se soucient du sor t des tr availleur s" . Par ailleur s, les conférencier s n’ont pas hésité à dénoncer ce nouveau code du tr avail que la base rejette car, estiment-ils, «avec ce nouveau texte, l'État va inaugurer une ère de r égression sociale avec ses dispositions qui favor iseront la pr écar ité, les licenciements abusifs, le manque de contr ôle, l'absence de syndicats... En fait, c'est un code qui touche à la liber té de syndicalisme et qui fr agilise les droits des tr availleur s" , relèvent-ils. Donc, pour conclure, les cadres syndicaux du Sud de la wilaya de Tizi-Ouzou rejettent en bloc et refusent systématiquement l'abrogation de la dite or donnance, en inter pellant la centr ale syndicale à défendre dignement les acquis sociaux des tr availleur s et à s'inscr ire dans le pr incipe d'une centr ale qui doit retrouver toute son éner gie et sa valeur revendicative qui a été toujour s l'essence même des positions percutantes et cour ageuses, tout en restant sur le chemin des fr ères Aïssat Idir et Abdelhak Benhamouda afin d'appor ter des solutions à la hauteur des aspir ations et des attentes destr availleur s. Essaid Mouas 10 BOUIRA 10 BOUIRA Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Les cours d’eau particulièrement touchés par la pollution al-Jolani annonce Assiff Oumarigh,, unn désastre la rupture avec Al-Qaïda écologiquee à Ell Asnam m! La pollution a atteint des seuils alarmants dont les causes sont diverses et variées, à savoir l’inefficacité de la gestion et la non-réalisation des CET (Centre d’Enfouissement Technique). e cas le plus édifiant est celui d’Assif Oumar igh, au Sud du chef-lieu communal d’El Esnam, à 13 Km au Sud-est de la ville de Bouir a. Un site sur lequel s’entasse un immense amas de détr itus qui ne cesse de gagner du ter r ain, en envahissant de plus en plus la sur face d’un bosquet d’eucalyptus, qui se tr ouve en contre-haut de ladite r ivière. En ces temps de gr andes chaleur s qui ont favor isé la décr ue du niveau L de la r ivière, de facto le cour s d’eau dévoile un contenu stupéfiant. De pr ès, l’eau de la r ivière est loin d’être limpide, on peut constater d’énor mes flaques de vase noire gluante et fétide qui demeur ent d’effr oyables foyer s d’épidémies de tous genres. Des bouteilles, des canettes, des jer r icanes et des sachets abondent en sur face, comme en pr ofondeur. Malgr é le fait que cet oued tr aver se des dizaines d’agglomér ations et longe de pr ès des centaines d’habitations situées des deux côtés de ses r ivages, aucune inspection et encore moins un quelconque tr aitement n’a été effectué. Les r iver ains se plaignent constamment des danger s que cela peut générer, notamment sur la santé publique. À cela, s’ajoute d’autres nuisances en ces pér iodes de for tes chaleur s, telles les moustiques, pr incipaux vecteur s de maladies et épidémies de diver s types, et des odeur s nauséabondes qui indisposent les citoyens. « Même les camions à or dures relevant d’autr es communes limitrophes conver gent, depuis deux ans, ver s ce lieu, ce qui a considér ablement amplifié la super ficie de cette déchar ge, mais ce qui a le plus accentué le r ecour s à ce procédé délétère est bel bien le manque d’une gestion efficace des déchets », confie Ramdhan, un r iver ain for tement incommodé par un voisinage des plus pollués. Comme tant d’autr es r ivièr es, Assif Oumar igh est or ienté ver s l’oued Sahel, r éputé pour l’immensité de ses r ésidus fluviaux, déver sés par de nombreux cour s d’eau concor dants. L’oued Dhous, une r ivière relevant de la commune d’El Esnam, ne cesse d’alimenter le bar r age de Tilesdit non seulement en eau, mais également en détr itus, sachant que des centaines de pêcheur s consomment le poisson vivant dans ce lac. Malheureusement, l’inaction des autor ités publiques face à ce calvaire agace les uns et ir r ite les autres, car l’ampleur de la dangerosité n’est pas vr aiment pr ise au sér ieux. L’inscr iption d’un centre d’enfouissement technique (CET) est toujour s souhaitée, car ce projet per mettr a de faire sor tir même les communes avoisinantes de cette situation catastrophique causant d’immenses dégâts sur l’envir onnement. Un désastr e écologique qui ne dit pas son nom et qui s’amplifie chaque jour davantage. Pour r appel, les déchar ges sauvages et dépotoir s sont l’un des points noir s de l’écologie à l’échelle nationale ; à ce sujet, l’AND (Agence Nationale des Déchets) a établi des r appor ts accablants et redoutables et ce, depuis le mois d’octobre 2011, où il était alor s mentionné qu’il existait plus de 3000 déchar ges à tr aver s le ter r itoire national et que le nombre des dépotoir s contr ôlés n’était que de 102 seulement. Aziz Cheboub L'oued Sahel, un danger pour M'Chedallah Des transporteurs ignorent la règlementation La direction des transports interpellée l’espèce animale à Chorfa L L 'oued Sahel qui parcour t, entre autres, la commune de Chor fa donne de la peine à voir. La sécheresse et la chaleur accablante l'ont tr ansfor mé en un r uisseau où les eaux, en filet fin, suintent tr ès lentement. Des étangs se sont for més ici et là, où les algues qui flottent donnent un aspect repoussant. Une for te odeur nauséabonde se dégage des lieux, ce qui fait penser que ce sont les eaux provenant essentiellement des r éseaux d’assainissement et des fosses septiques qui y coulent à longueur de jour née. En effet, la plupar t des bouches des r éseaux des ménages de la commune y déver sent quotidiennement des centaines d'hectolitres de rejets sur le lit de cet oued, en le polluant davantage. L'absence d'une station de tr aitement des eaux de l'oued, en amont comme en aval, ainsi que la défaillance du r éseau local d’assainissement, compliquent davantage les choses. Cet état de fait n'est pas sans faire planer le spectre des gr andes menaces sur l'écosystème, lequel va de mal en pis. En regar dant l'oued Sahel à par tir du pont de Toghza, les eaux bleuâtres et ver dâtres se mélangent, donnant l'impression d'être devant un immense égout à ciel ouver t. Les déchets ne sont pas en reste, puisqu'ils y sont jetés en gr andes quantités. Des tas de détr itus essaiment le lit de la r ivière, jetés par des individus inconscients et pour lesquels le mot environnement ne veut absolument r ien dire! La flore, constituée en major ité de tamar is, en prend également un sér ieux coup avec toute cette pollution qui est en tr ain de décimer le couver t végétal longeant l'oued Sahel. La faune n'est pas épar gnée, non plus. La pollution dr amatique des eaux de cette r ivière influe négativement sur la vie des animaux qui vivent de ce cour s d'eau. Des échassier s sur vivent en se nour r issant de quelques bestioles, lesquelles évoluent encore, par on ne sait par quel mir acle, dans les eaux glauques de cet oued. Des cigognes et des aigrettes -pour ne citer que ces der nières-bar botant dans les mares polluées de ce cour s d'eau, font peine à voir et sont exposées aux maladies et même à une mor t cer taine puisqu'ils se nour r issent essentiellement dans cet oued. Y. Samir e secteur du tr anspor t public de voyageur s de la daïr a de M’Chedallah se trouve toujour s en proie à l'anarchie. Bafouant le r èglement r égissant cette activité, cer tains tr anspor teur s, pour ne pas génér aliser, se compor tent en vér itables bour r eaux enver s les usager s d'une par t et enver s le code de la route et leur s collègues d' autre par t. Ces tr anspor teur s n'hésitent pas à piétiner sur les plates-bandes de leur s collègues allant jusqu' à " voler " leur s clients! " Imaginez, vous stationnez pendant de longues minutes pour char ger, et tout à coup, un tr anspor teur de voyageur s ar r ive, comme ça, sans cr ier gare pour vous voler votre pain!" , fulmine l'un des propr iétaires de bus qui assur e la desser te de la ligne M'Chedallah-Tazmalt. Bien trop souvent, il éclate de violentes alter cations et r ixes entr e les tr anspor teur s, et ce, à cause du non-respect soit des hor aires ou du stationnement simultané au niveau des ar r êts. C' est à ce moment-là que les conflits éclatent entr e les antagonistes, qui s'accusent mutuellement de man- quements aux r ègles du tr anspor t qui r égissent cette activité. Toutefois, les querelles n'éclatent pas uniquement entre les tr anspor teur s ; bien au contr aire, elles touchent aussi et sur tout la clientèle. En effet, il n'est pas r are d'assister à des pr ises de bec peu amènes entre les tr anspor teur s et les usager s. Ces der nier s leur reprochent un chapelet d'incur ies comme par exemple le fait de marquer de longues haltes dans les ar r êts tr ansitaires, ou d'effectuer de multiples ar r êts le long du tr ajet. Situation qui ir r ite les usager s qui s'empor tent la plupar t du temps, en le faisant savoir à ces tr anspor teur s insouciants! Ces der nier s font fi de l'impor tance qu' accor dent les usager s au temps, car beaucoup d'entre eux sont pressés d'atteindre leur s lieux de tr avail. Beaucoup de tr anspor teur s ne font pas, hélas, la différence entre marquer un ar r êt et stationner. La direction des tr anspor ts est plus que jamais inter pellée pour r établir l’or dre. Y. S. Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 11 Cu l t u r e Alger À l’initiative du HCA Atelier, demain, sur la traduction vers tamazight des textes fondamentaux de l'État n atelier sur la traduction vers le tamazight des textes fondamentaux de l'Etat algérien sera organisé par le Haut commissariat à l'Amazighité (HCA), demain, à Alger, indique un communiqué du HCA. Cet atelier, qui aura lieu au siège de l'APS (Algérie presse service), s'inscrit dans le prolongement d'une première étape consacrée à la traduction vers tamazight de la Constitution de février 2016 déjà disponible sur support papier et en cahier numérique multimédias sur les sites web du HCA et de l'APS. Il sera question, lors de cet atelier, d'une lecture de validation permettant l'entame des enregistrements sonores de trois documents fondamentaux: la Constitution de 2016, la Déclaration du 1er Novembre 1954 et la Plate-forme du Congrès de la Soummam du 20 août 1956. L'objectif de la traduction de ces textes "est une contribution à l'application concrète des dispositions de la Constitution révisée en février 2016 et vise à conforter l'éveil patriotique, la cohésion sociale et culturelle dans toutes ses expressions", note le communiqué du HCA. La Constitution amendée en février 2016 est disponible depuis le mois de mai dernier en version Tamazight sous les formats papier et numérique, grâce à la traduction assurée par le HCA. Cette version déclinée en caractère latin est mise en ligne sur les sites web du HCA et de l'agence Algérie presse service. Sur 45 pages, Tamendawt (Constitution en tamazight), le document traduit reprend les 218 articles, repartis sur 4 titres et 11 chapitres du texte fondamental de l'Etat adopté en février dernier par les deux chambres du Parlement. La Constitution amendée stipule dans son article 4 que Tamazight est également langue nationale et officielle et que l'Etat £uvre à sa promotion et à son développement dans toutes ses variétés linguistiques en usage sur le territoire national. Dans le sillage de la promotion de tamazight, l'APS a lancé en mai 2015, à l'occasion de Journée mondiale de la liberté de la presse, un site web d'informations générales multimédia en langue tamazight, décliné dans trois caractères (arabe, tifinagh et latin). L'introduction des nouvelles technologies de l'information et de la communication dans le processus de promotion de tamazight, s'est concrétisé par le lancement par le HCA, en avril 2015, de l'application AZUL pour l'apprentissage de tamazight. U Expositions et conférences à la maison de jeunes L’associationn dee laa femme artiste Alfa animee Seddoukk L’association culturelle de la femme artiste Alfa de Seddouk organise, aujourd'hui samedi, un important événement à la fois artistique et socioculturel. l s’agit d’expositions, de conférences et d’animations autour du thème l’Ar t en droit. L’événement se dérouler a à la maison de jeunes de Seddouk, où on attend un public nombreux. Selon les initiateur s de l’événement, « l’Ar t en droit est un projet de cr éation d’œuvres d’ar t qui ser viront de suppor ts à l’animation d’atelier s pédagogiques et ar tistiques por tant sur les droits humains. Il est à l’initiative d’un groupe de 15 ar tistes de différentes disciplines (peintres, dessinateur s, sculpteur s …) membres de l’association Alfa. Ces ar tistes ont choisi d’investir le milieu associatif pour tr availler à l’éveil à l’éducation ar tistique et tr ansmettre leur s savoir s et compétences dans le domaine culturel et ar tistique ». L’association n’en est pas à sa première expér ience. Déjà, l’année der nièr e, elle avait or ganisé une magnifique exposition au théâtre r égional de Béjaïa, qui n’était pas passée inaper çue. Des dizaines de toiles de tr ès gr ande qualité, r éalisées par les membres de l’association, pour la plupar t des enfants et adolescents débutants, ont été exposées devant un public subjugué par le talent de ces jeunes, qui s’y sont mis cœur et âme. Les ar tistes professionnels qui encadrent cette activité se sont engagés à « cr éer des liens dur ables entre le monde ar tistique et le monde de l’éducation populair e et des dr oits humains ». Pour eux, « ce projet consiste à I choisir un des droits de l’homme et d’en s’en inspirer librement pour cr éer une œuvre. Celle-ci ser a intégr ée dans une mallette pédagogique ar tistique pour l’animation d’atelier s de sensibilisation sur les droits et susciter un intér êt chez les par ticipants en les faisant s’expr imer pour favor iser une pr ise de conscience : donc, la défense de la culture des droits de l’homme ». Pour cela, cette équipe d’ar tistes entend or ganiser des atelier s de for mation, d’animation dans les lieux de l’association qui disposer ait d’un matér iel et d’espaces tr ès adéquats. Une fois r éalisées, ces mallettes composées d’œuvres d’ar ts en droit resteront disponibles dans les locaux de l’association et elles seront mises à disposition d’autr es associations, notamment celles qui s’impliquent dans la promotion des droits humains, tels que les droits de l’enfant, ceux des femmes, des handicapés, etc. Selon la pr ésidente de l’association Alfa, Mme Ait Hamouda, elle-même ar tiste et pédagogue, « notre société est marquée par des boulever sements dans tous les domaines, qu’ils soient politiques, économiques, sociaux ou culturels, qui ont rendu les r appor ts humains complexes. Ces changements ont des impacts positifs comme ils ont entr aîné des conséquences négatives, telles que des inégalités et des compor tements individualistes, repli des liber tés et droits humains ». Ce genre d’initiatives est de nature à favor iser le r appr ochement entr e les différ entes fr anges de la société, et à diminuer les tensions engendr ées par le développement de la vie moder ne, notamment au détr iment des per sonnes les plus fr agiles, tels les enfants et les handicapés. Cet événement contr ibuer a sans nul doute à sensibiliser les par ticipants à la problématique des droits humains, en utilisant comme moyen pédagogique l’ar t. Ce projet s’inscr it dans la continuité d’une option culturelle, pr ésente depuis la cr éation de l’association en 2011. C’est donc un effor t continu que four nissent les membres de l’association Alfa, qui ne comptent pas en rester là. En par allèle aux expositions et autres animations (Clown, magicien, …), une sér ie de conférences est pr évue dès le début de l’apr ès-midi. Pas moins de cinq conférencier s viendront exposer et débattre autour de la question des droits de l’Homme dans le contexte ar tistique. Le thème retenu est donc sans sur pr ise « Ar t en droit ». On y r etr ouver a donc des r epr ésentants des or ganisations de défense des dr oits de l’Homme, un professeur aux beaux-ar ts venu tout droit de l’école d’Azazga, un vice-recteur de l’univer sité de Béjaïa, une avocate élue de l’APW de Béjaïa. C’est donc une jour née r iche en événements à laquelle auront droit les visiteur s de la maison de jeunes de Seddouk aujour d’hui. Ils pour ront ainsi admirer les œuvres ar tistiques des jeunes élèves qui ont suivi leur for mation au sein de l’association Alfa, mais aussi suivre un film documentaire sur les ar ts plastiques, rencontrer et écouter des conférencier s,… N. Si Yani 12 Mag azi n e Coinn cuisine Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Végétations chez l'enfant Petits gâteaux aux graines de sésame Quandd prévoirr unee opérationn ? Ingrédients 125 g de beurre ramolli 1 œuf entier 100 g de graines de sésame grillées 100 g de cacahuètes finement moulues 100 g de sucre glace 100 g de farine ½ sachet de levure chimique Le zeste de 1 citron Pour la décoration: 1 blanc d’œuf 400 g de graines de sésame Préparation Préchauffez le four à 180°C (TH 6) Mettez le beurre ramolli dans un saladier Travaillez-le en pommade avec le sucre glace Incorporez l’œuf entier, les graines de sésame grillées, les cacahuètes moulues, le zeste de citron et la levure Ajoutez la farine. Mélangez jusqu’à obtenir une pâte lisse (ne vous inquiétez pas, elle est vraiment molle). Formez des boules de la taille d’une noix (faites-le délicatement car elles sont très molles, ne rajoutez pas de la farine, une fois enrobées dans les graines de sésames, elles auront une meilleure tenue). Dans un moule, battez légèrement le blanc d’œuf. Trempez-y les boules de pâte. Puis enrobez-les de graines de sésame. Déposez-les dans des caissettes à pâtisserie et disposez-les sur la plaque du four. Enfournez et laisser cuire pendant 15 à 20 minutes selon votre four. Mais dans ce cas, c'est le tr aitement Otites répétées et ronfl ements, ce sont les gien. médicamenteux du reflux qui fondre les signes d'une probable hypertrophie des végétations. On peut donc attendre et tr aiter au coup par coup les otites végétations. Elles sont en principe à leur moyennes aiguës? ou enlever les végétavolume maximal entre 1 et 3 ans, puis tions. diminuent progressivement pour Dans quels cas disparaître à 7 ans, sauf en cas de opère-t-on des refl ux gastro-oesophagien. végétations ? Végétations chez l'enfant : protection contre les infections La sphèr e ORL (pour oto-r hinolar yngée) comprend trois str uctures, le nez, la gor ge et les oreilles, qui communiquent toutes entre elles. Elle joue en quelque sor te le r ôle d'un filtre pour que l'air atteigne les bronches, puis les poumons, le plus pur possible (indemne de poussières et de microbes) avant d'approvisionner dans les alvéoles le sang en oxygène. Amygdales et végétations for ment donc un rempar t contre les agressions, notamment microbiennes, gr âce aux cellules de l' immunité qu' elles contiennent. Mais elles sont par fois débor dées et abr itent alor s davantage de ger mes que de tissu sain. Otites r épétées et ronflements, ce sont les signes d'une probable hyper trophie des végétations. Elles sont en pr incipe à leur volume maximal entre 1 et 3 ans, puis diminuent progressivement pour dispar aître à 7 ans, sauf en cas de reflux gastro-oesopha- Le mystère de la disparition de Jai, tigre chéri des Indiens e tigre le plus célèbre de l'Inde, qui doit son nom à un per sonnage culte de Bollywood, est por té dispar u depuis trois mois, ce qui motive de gigantesques opér ations de recherche et l'inquiétude de millions de fans. J ai, nom d'un per sonnage incar né par la super star indienne Amitabh Bachchan dans le film d'action " Sholay" sor ti en 1975, s'est fait connaître il y a trois ans gr âce à un pér illeux voyage à tr aver s des villages, des r ivières et des autoroutes dans sa quête r éussie d'une compagne. Le félin âgé de sept ans, 250 kilogr ammes sur la balance, est aimé des L tour istes comme des défenseur s de l'environnement. Il a été vu pour la der nière fois le 18 avr il dans le Sanctuaire de la faune sauvage Umred Kar handla, dans le centre de l'Inde, là où il r éside habituellement. Les autor ités de la protection de l'environnement de l'Etat de Mahar ashtr a espér aient le retrouver pour la jour née inter nationale du tigre vendredi. Mais elles reconnaissent avoir échoué. " Il n'y a aucune infor mation pour l'instant, peutêtre est-il par ti dans l'intér ieur de la for êt ou a-t-il une nouvelle compagne?" , a dit à l'AFP M.S. Reddy, spécialiste du félin. Les gar des forestier s expliquent s'être inquiétés du sor t de J ai lor sque son collier électronique a cessé d'émettre voici trois mois. Les tour istes ne l'ont plus vu non plus. Le gouver nement de l'Etat a proposé une r écompense de 50.000 roupies (673 euros) pour toute infor mation sur son sor t, une tr ès belle somme pour les centaines de villageois lancés à sa recherche. Cette semaine, des habitants ont or ganisé une pooja (cér émonie) de pr ières afin qu'il soit retrouvé sain et sauf. Les autor ités esti- ment que J ai a contr ibué à l'essor du tour isme mais aussi à l'augmentation de la population des tigres. " Il a eu plus de 20 petits et a renforcé l'économie locale en attir ant les amour eux de la vie sauvage" , dit Rohit Karoo, exper t environnemental qui coor donne les recherches. " Per dre un tel tigre majestueux ser ait une énor me per te pour l'Inde" . Rien n'est laissé au hasar d pour tenter de le retrouver alor s que la zone de recherches s'étend sur plusieur s centaines de kilomètres car r és. L'Inde compte environ 2.200 tigres, soit 70% de la population mondiale de cette espèce en danger. Les spéculations vont bon tr ain dans les médias: J ai a pu être blessé dans un combat contre un autre tigre, être tombé malade ou avoir été victime de br aconnier s. Mais M. Karoo balaye ces r umeur s. " J e ne crois pas qu'il lui soit ar r ivé quelque chose de funeste. C'est un mâle dominant qui a la capacité de parcour ir de gr andes distances" . Les infections r épétées de l'oreille, à r aison de plus de 6 épisodes par an qui mér itent tous des antibiotiques, altèrent la caisse du tympan. Celle-ci secr ète des sérosités épaisses, ce qui est douloureux et à l'or igine d'une per te d'audition par fois prolongée. Malheureusement, l'ablation des végétations, génér alement effectuée entre 1 et 5 ans, ne gar antit pas le r ésultat à tous les coups. On propose également l'inter vention lor sque l'enfant a des difficultés à respirer par le nez en r aison de grosses végétations « constitutionnelles » (elles ont toujour s été là) qui se tr aduisent par une sensation d'étouffement et des ronflements. Le sommeil, agité, n'est plus r épar ateur et la croissance peut en être affectée. On envisage l'opér ation d'autant plus facilement qu'il n'existe pas de médicaments pour diminuer le volume des végétations. Comment se déroule l'opération ? Les enfants sont endor mis entièrement pendant l' inter vention, à l' aide d' un masque ou d'une piqûre, et le chir ur gien passe par la bouche un instr ument pour retirer les végétations, en à peine deux minutes. Tout rentre dans l'or dre immédiatement et l'enfant sor t dans la jour née pour rejoindre sa maison où il est nettement plus en for me que sa maman. Les suites opér atoires sont ultr asimples ; on donne juste un peu d' antalgique (du par acétamol) au cas où. Et il reprend l'école le lendemain. Et si elles repoussent ? Comme l'or gane est mal limité par les tissus avoisinants, il peut r ester des br ibes de végétations adénoïdes apr ès l'inter vention et la repousse est possible ; elle est plus ou moins r apide, elle l'est sûrement en cas de reflux. Chez la plupar t des enfants toutefois, le cavum (la cavité à l'ar r ière du nez où sont les végétations) gr andit pr opor tionnellement plus vite, du fait de la croissance, qu'une éventuelle repousse. Sp o r t Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 21 Régionale I Entente Sour El-Ghozlane L’AGG électivee reportéee Aït Yahia Union Sport Ibrahim Ihaddadène reconduit Initialement prévue pour mercredi 27 juillet au niveau du centre culturel de la ville de Sour El-Ghozlane, l’assemblée générale pour l’élection d’un nouveau président de CSA E.S.G pour le mandat olympique (2016-2020) n’a pas eu lieu. Les dirigeants n’auraient pas accompli les démarches administratives requises. elon Hamidi Belkacem, candidat pour sa propre succession à la tête du club, le directeur du centre culturel a S exigé une autor isation pour la tenue de l’AGE, idem pour les ser vices de sécur ité. «J e trouve cela logique. On croyait que ça allait se dérouler comme lor s de l’AGO tenue une semaine aupar avant au niveau du même siège et qui s’est déroulée dans de bonnes conditions. Cependant, il y a une soit disant opposition qui est der r ière. J e dir ais, les choses se déroulent dans le respect du r èglement et la loi en vigueur. Apr ès l’AGO, il y avait l’installation de la commission de candidatures et celle des recour s. Au jour ‘J ’, il y avait une seule candidatur e déposée, celle de Hamidi Belkacem. Les conditions sont claires. Pour postuler au poste de pr ésident de CSA, il faut que le candidat soit d’abor d un membre de l’assemblée qui paie r égulièr ement ses cotisations, actif sur le ter r ain et sur tout qu’il ne dispose pas de démêlés avec la justice. Néanmoins, l’ancien pr ésident de CSA E Sour El Ghozlane avait démissionné en 2013 sans établir de bilan et cela s’est r épercuté sur le club qui n’a pas per çu les aides émanant du fond de wilaya depuis », souligne-t-il. Ceci dit, conclut notre inter locuteur, «l’AGE ser a progr ammée au cour ant de la semaine au niveau du siège du club». A. M’hena Honneur Tizi-Ouzou L’ES Tigzirt prépare le renouvellement Aït Abdellah, candidat à sa propre succession L a formation de l’ES Tigzirt qui évolue en division honneur du championnat de Tizi-Ouzou tiendra son assemblée générale élective, le 3 août prochain à partir de 18h, au centre culturel de la localité. Selon des indiscrétions, les membres du club qui sont satisfaits du travail effectué, opteront pour la stabilité. On s’achemenirait donc vers la reconduction de l’équipe dirigeante sortante pour un autre mandat. Unique candidat à sa propre succession du moins jusqu'à hier, Ait Abdellah, l’ancien joueur de Montpelier dont les bilans moral et financier de fin de mandat ont été approuvés à l’unanimité lors de l’AGO qui s’est tenue le 18 juillet dernier, doit s’attendre à un plébiscite de la famille du club. Auteur d’un bon travail au sein du club qui a réussi sur sa coupe une accession lors de la saison 2014-2015 avant d’assurer la saison dernière haut la main le maintien en division honneur, le président sortant, Ait Abdellah, qui a été l’un des artisans du retour du club en championnat de wilaya après une absence de près de neuf ans, aurait un projet sportif intéressant. Un dynamisme et une ambition qui lui vaut l’estime de la famille des Ententistes qui pense que Cherif Aït Abdellah est l’homme le plus indiqué à même de permettre au club de l’EST une autre dimension, à commencer par retrouver la division régionale. S. K. O Taourirt Mokrane L’AGE prévue pour demain Hadj Hakim Hamitouche unique candidat C ’est demain dimanche que l’O Taour ir t Mokr ane tiendr a son assemblée génér ale élective dans le cadre du renouvellement du mandat Olympique 2016-2020. Ainsi, apr ès avoir approuvé les bilans mor al et financier de fin de mandat le 21 juillet der nier, la famille du club de Taour ir t Mokr ane va se retrouver, à nouveau, au foyer de jeunes du village pour, cette fois, élire une nouvelle équipe qui ser a appelée à gérer les affair es du club lor s des quatr e pr ochaines années. Selon des membres du club que nous avons croisé à Tizi-Ouzou, les destinées du club seront confiées à un ingénieur en agronomie et patron d’une entrepr ise, candidat unique enregistr é par la commission élector ale. Il s’agit de Hadj Hakim Hamitouche. Ce der nier qui a contr ibué énor mément la saison der nière tant sur le plan financier que matér iel, semble faire l’unanimité au sein de la famille élar gie de l’O Taour ir t Mokr ane. Tr ès attaché au club, le futur pr ésident de l’OTM aur ait promis de mettre encore la main à la poche pour assurer une meilleure pr ise en char ge aux athlètes et per mettre aussi au club de concr étiser ses objectifs. Une ambition qui n’est pas sans engendrer à l’ancien joueur de l’ESNI et du CR Taour ir t Mokr ane l’estime de toute la famille des Olympiens qui ont signé, pour r appel, leur retour en championnat, la saison der nière, apr ès plusieur s années d’absence dues au r etr ait du Chabab de Taour ir t Amokr ane qui s’est mis en veilleuse depuis sa relégation (for fait génér al) de la division r égionale en division honneur wilaya à l’issue de la saison 2006/2007. La naissance du nouveau club, à savoir l’OTM, a per mis aux jeunes talents de la localité de pr atiquer à nouveau leur spor t favor is gr âce à la volonté d’une équipe dir igeante dévouée et décidée à offr ir un cadre d’épanouissement à la jeunesse de ce plus gr and village de la Kabylie qui renfer me une pépinière inépuisable de jeunes athlètes. S. K. es membres du club d’Aït Yahia dans la r égion de Aïn El Hammam ont renouvelé, avant-hier, lor s de l’assemblée génér ale élective qui s’est tenue au niveau du CEM d’Aït Hichem, la confiance au pr ésident sor tant, Ibr ahim Ihaddadene. Ce der nier qui voulait, dans un premier temps, prendre un peu de recul, a été contr aint de revoir sa décision, suite à l’absence d’un candidat au poste de pr ésident, acceptant donc de pour suivre sa mission à la tête du club dont il a été investi par les membres de l’AG. La famille du club qui s’est r éunie pour la troisième fois en l’espace de moins d’un mois, apr ès la rencontre por tant sur la mise en confor mité des statuts suivi de celle de l’approbation des bilans de fin de mandat, a choisi de confier à nouveau les destinées de son club au jeune pr ésident Ibr ahim Ihaddadene qui devr a se remettre r apidement au boulot pour pr éparer la nouvelle saison qui se profile à l’hor izon. S. K. L Mechtras La pose du tartan tire à sa fin Le stade bientôt opérationnel pr ès plus de trois mois d’attente, le ter r ain flambant neuf de la commune de Mechtr as ser a bientôt r éceptionné, donc opér ationnel pour la nouvelle saison spor tive 2016-2017. En effet, apr ès avoir achevé les tr avaux de dr ainage, le goudron, la clôture et autres aménagements, l’entrepr ise r éalisatr ice du projet s’affère, depuis deux à trois jour s, à la pose du tar tan. Une der nière étape qui avance bien et dont l’achèvement ne devr ait pas prendre beaucoup de temps. Aussi, longtemps contr aints de s’exercer sur du tuf, les jeunots de Mechtr as auront enfin le droit d’évoluer sur un ter r ain doté d’une pelouse synthétique. Une infr astr ucture tant attendue et désir ée par les jeunes footeux de la localité qui auront la chance d’expr imer pleinement leur s talents sur leu nouveau rectangle et de voir leur s ambitions à la hausse. S. K. A Sp o r t 22 Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 Le calendrier du championnat de ligue 2 connu La JSM Béjaïa Ath Yenni expose sa richesse ! débute face au RCA Le calendrier du championnat de ligue 2, saison sportive 2016/2017, vient d’être rendu public par la LFP. es protégés du coach El Hadi Khezzar recevront, à Béjaïa, le RC Ar baa lor s de la jour née inaugur ale, avant d’aller défier le GC Mascar a chez lui et à huis clos en deuxième jour née. Ensuite, les Ver t et Rouge, qui affichent d’ores et déjà leur s intentions de jouer à fond la car te de l’accession, se déplaceront chez le revenant en ligue 2, l’US Biskr a (3e jour née), avant de recevoir l’autre nouveau promu et repr ésentant de la ville des Or anges, le WA Boufar ik (4e jour née) et de rendre visite à l’ASM Or an lor s de la cinquième jour née. Et même s’il n’y a pas de matchs faciles à proprement par ler, le fait de débuter le championnat sur son ter r ain et devant son public, cela repr ésente déjà un atout non négligeable pour la J SMB, à condition de s’imposer contre le RCA et gagner de la confiance en pr évision de la suite du parcour s. Au vu des moyens mis à la disposition de l’équipe par la direction de la J SMB, en plus du recr utement jugé judicieux, il semble que les Béjaouis auront leur mot à dire en championnat et en finiront avec l’enfer de la ligue 2. Pour sa par t, le pr ésident Tiab, qui a promis de bâtir une L équipe conquér ante, a fait savoir lor s de sa r écente conférence de pr esse que son équipe fer a tout pour retrouver l’élite. « Nous avons beaucoup souffer t ces der nières saisons, mais nous devons bien retenir les leçons du passé pour ne pas retomber dans les mêmes er reur s. Cela dit, nous avons mis les moyens qu’il faut et r éalisé un recr utement bien r éfléchi, il ne ser a donc plus question de r ater notr e objectif d’accession pour lequel nous consentir ons tous les sacr ifices nécessaires », avait-il déclar é. B. Ouari Calendrier Ligue 2 Professionnelle SAISON 2016/17 1ère Journée 2ème Journée 3ème Journée 4ème Journée 5ème Journée 6ème Journée 7ème Journée 8ème Journée 9ème Journée 10ème Journée 11ème Journée 12ème Journée 13ème Journée 14ème Journée 15ème Journée MCEE MCS PAC MCEE MCEE USMB RCA MCEE MCEE GCM USB MCEE MCEE WAB ASMO MCEE MCEE ABS ASK MCEE MCEE ASO CABBA MCEE MCEE JSMB JSMS MCEE MCEE CRBAF CRBAF PAC USMB CRBAF CRBAF RCA GCM CRBAF CRBAF USB WAB CRBAF CRBAF ASMO ABS CRBAF CRBAF ASK ASO CRBAF CRBAF CABBA JSMB CRBAF CRBAF JSMS CRBAF MCS PAC JSMS JSMS USMB RCA JSMS JSMS GCM USB JSMS JSMS WAB ASMO JSMS JSMS ABS ASK JSMS JSMS ASO CABBA JSMS JSMS JSMB JSMS MCS MCS WAB JSMB PAC USMB JSMB JSMB RCA GCM JSMB JSMB USB WAB JSMB JSMB ASMO ABS JSMB JSMB ASK ASO JSMB JSMB CABBA JSMB MCS MCS USB ASO PAC PAC CABBA CABBA USMB RCA CABBA CABBA GCM USB CABBA CABBA WAB ASMO CABBA CABBA ABS ASK CABBA CABBA ASO CABBA MCS MCS GCM ABS PAC PAC ASK ASK USMB USMB ASO ASO RCA GCM ASO ASO USB WAB ASO ASO ASMO ABS ASO ASO ASK ASO MCS PAC USB WAB PAC PAC ASMO ASMO USMB USMB ABS ABS RCA RCA ASK ASK GCM USB ASK ASK WAB ASMO ASK ASK ABS ASK MCS MCS USMB GCM PAC USMB GCM USB USMB USMB WAB WAB RCA RCA ASMO ASMO GCM GCM ABS ABS USB WAB ABS ABS ASMO MCS ABS MCS PAC USMB PAC PAC RCA RCA USMB MCS RCA GCM RCA RCA USB USB GCM GCM WAB WAB USB USB ASMO ASMO WAB MCS ASMO 16ème Journée 17ème Journée 18ème Journée 19ème Journée 20ème Journée 21ème Journée 22ème Journée 23ème Journée 24ème Journée 25ème Journée 26ème Journée 27ème Journée 28ème Journée 29ème Journée 30ème Journée 23 Sp o r t Vendredi 29 - Samedi 30 juillet 2016 C M J N JO 2016 U23 Ils ont effectué leur première séance hier à Rio C M J N Les Verts dans le vif du sujet L’équipe nationale des U23 est à pied d’œuvre depuis hier à Rio de Janeiro où elle prendra part aux Jeux Olympiques 2016. es Camar ades de Benkablia qui sont déjà dans le vif du sujet en effectuant une pre- L mière séance d’entr aînement dans la jour née d’hier, auront devant eux pr ès d’une semaine pour s’acclimater et peaufiner leur pr épar ation sous la houlette du technicien Suisse Schür mann. Les Ver ts qui ont élu leur quar tier génér al au village olympique à Rio, semblent tr ès concentr és sur leur sujet, qui consiste à bien repr ésenter le pays en allant le plus loin possible dans la compétition, à commencer par passer l’écueil du premier tour. Une étape qui débuter a, pour r appel, le 4 août prochain et où les jeunes Coupe de la CAF Sendjak croit toujours en la qualification Fennecs ser ont appelés à en découdre avec le Hondur as. Une entr ée en lice dans le Groupe D que les camar ades de Demmou doivent impér ativement r éussir, pour entrevoir les deux autres matchs face, r espectivement, à l’ar gentine (07 août) et le Por tugal (le 10 du même mois) avec plus de confiance et un bon mor al. Conscients de la difficulté de la tâche qui les attend, les camar ades de Fer hani, qui comptent confir mer leur der nier exploit «On doit se ressaisir lors des deux prochaines rencontres» USM Alger En Tunisie depuis mercredi joueur s du MOB Fer hat et Lakhdar i ne seront pas pr ésents lor s de la prochaine jour née face aux Tanzaniens du Young Afr icains, dans le cadre de la cinquième jour née de la phase des poules. Le coach Sendjak devr a donc trouver des solutions pour combler ces deux absences. La délégation béjaouie de retour aujourd’hui e coach du MOB ne se laisse pas abattre par la défaite de son équipe face à la for mation du TP Mazembe. « Nos chances demeurent intactes, car nous occupons toujour s la deuxième place. Néanmoins, nous devrons bien négocier nos deux prochains matchs pour espérer nous qualifier en demi-finales de cette coupe de la CAF », a-t-il déclar é. L Ferhat et Lakhdari out face au Young Africains Ayant écopé d’un deuxième car ton lor s de la rencontre de mercredi der nier face au TP Mazembe, les deux C M J N QUOTIDIEN D’INFORMATION édité par SARL La Dépêche de Kabylie au capital de 300.000 DA Siège social : Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A. TIZI-OUZOU CB BNA ROUIBA N° 641-0300-300-149-11 Apr ès avoir passé pr ès d’une semaine au Congo, la délégation béjaouie est attendue aujour d’hui à Alger, aux environs de 18h, apprend-on de sources proches du club. Les Béjaouis ar r iveront en fin d’apr ès-midi à l’aéropor t de Houar i Boumediene avant de prendre la destination de Béjaïa par bus. L’AG du CSA fixée pour le 8 août C’est le 8 août prochain que l’assemblée génér ale or dinaire de CSA/MOB aur a lieu au niveau du salon d’honneur du stade de l’UMA, appr end-on de sour ces proches du pr ésident Bennai. Cette AG ser a consacr ée à la pr ésentation des bilans et à l’installation d’une commission de recueil des candidatures en per spective de l’élection d’un nouveau bureau. A. K. DIRECTEUR DE LA PUBLICATION IDIR BENYOUNES DIRECTEUR DE LA REDACTION DJAFFAR CHILAB en ter re sénégalaise à l’occasion de la coupe d’Afr ique des nations dont ils ont atteint la finale, se disent pr êts à relever le défi. Pour r appel, la délégation olympique algér ienne, composée des joueur s de football U23 ainsi que plusieur s athlètes des autres disciplines engagés pour les J eux Olympiques, est ar r ivée hier à Rio, à 5h du matin heure algér ienne (1h du matin heure locale) apr ès un vol qui aur a dur é 12h. S. K. RÉDACTION-ADMINISTRATION DE LA PRESSE TAHARDJAOUT 01, RUE B ACHIR ATTAR - A LGER E-MAIL : [email protected] MAISON Tél. : 021 66.38.05 Fax : 021 66.37.88 PUBLICITÉ Tél : 021 66.38.02 BUREAU DE TIZI OUZOU Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A Rédaction : Tél : (026). 12. 26. 77 Fax : (026). 12. 26. 48 PUBLICITÉ : Tél- Fax- (026). 12. 26. 70 Le Club Africain au menu des Usmistes aujourd’hui 'USM Alger, qui se trouve à Sousse en Tunisie depuis mercredi dernier pour un second stage d’intersaison, affrontera, aujourd’hui dans un match de préparation, le Club Africain au stade ChadlyZouiten de Tunis. Outre le match d’aujourd’hui face au Club Africain, qui n’est plus à présenter, les coéquipiers de Koudri auront à se mesurer le 2 août à la formation de Metlaoui avant d’en découdre le 6 du même mois avec le CS Sfax. Trois joutes face à de bons sparring partner qui constitueront de véritables tests pour les Rouge et Noir avant de regagner le pays le 7 août où ils auront à poursuivre leur préparation .Une dernière ligne droite pour les gars de la formation de Soustara avant le coup de starter de la nouvelle saison, où leur équipe est appelée à jouer sur trois fronts, le championnat, la coupe d’Algérie et la Ligue des champions d’Afrique, en sa qualité de champion d’Algérie en titre. Pour rappel, les camarades de Rabie Meftah ont effectué un premier stage en France, dans la région de Bretagne. Un séjour ponctué par quatre matchs amicaux qui s’étaient soldés par deux nuls, une défaite et une victoire face respectivement au Stade Brestois 29 (1-1), l'US Granville (0-0), l'équipe A du Stade Rennais (1-0) et les espoirs du Stade Rennais (4-0). Le staff technique usmiste, à sa tête le coach Amrouche, qui s’est montré satisfait du travail effectué en terre française, devrait mettre à profit ce second stage dans le pays voisin pour se faire une idée plus précise sur le groupe et surtout le onze qui aura à débuter le championnat le 20 août prochain à domicile face au MO Béjaïa. S. K. L BUREAU DE B GAYET Route des Aurès, bt A Tél. : 034 16.10.45 Fax : 034 16.10. 46 B OUi RA Gare routière de Bouira Lot n°1 - 2e étage BUREAU DE IMPRESSION SIMPRAL DISTRIBUTION D.D.K. PUBLICITÉ ANEP Tel. : 026 94. 39. 06 L A DÉPÊCHE Fax : 026 94. 39. 11 DE K ABYLIE LES DOCUMENTS, MANUSCRITS OU AUTRES ET LES LETTRES QUI PARVIENNENT AU JOURNAL NE PEUVENT FAIRE L’OBJET D’UNE QUELCONQUE RÉCLAMATION