Dossier de presse - CREAI Nord-Pas-de
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Dossier de presse - CREAI Nord-Pas-de
Dépressions parlons-en A l’occasion des 25 ans de la Clinique Jean Varlet jeudi 16 octobre 2014 à 16h30 Clinique Jean Varlet 35, rue Jean Jaurès, à VILLENEUVE D’ASCQ Tel : 03 20 89 87 04 A l’occasion des 25 ans de la Clinique Jean Varlet à Villeneuve d’Ascq, spécialisée dans les soins pour personnes anxio-dépressives, l’EPSM de l’agglomération lilloise met à l’honneur ce dispositif intersectoriel (secteurs de Lille et Villeneuve d’Ascq). 16h30 : accueil et discours Gérard Caudron, Maire de Villeneuve d’Ascq, Vice-Président de LMCU Jérémie Crépel, Conseiller municipal délégué à la santé de la Ville de Lille Jean-Marie Maillard, Directeur général de l’EPSM de l’agglomération lilloise Dr Christian Müller, Président de la CME de l’EPSM de l’agglomération lilloise Docteur Pascal Perault, Praticien hospitalier responsable de la Clinique Jean Varlet 17h30 : « Le circuit de prise en charge des patients présentant des troubles anxio-dépressifs » Dr François Ducrocq, psychiatre coordinateur CUMP-SAMU Régional au CHRU de Lille 18h15 : « La thématique des addictions comme comorbidités des troubles anxio-dépressifs » Pr Vincent DODIN, Chef de service psychiatrique du GHICL - présentation de son ouvrage Les addictions chez les jeunes paru aux éditions Desclée de Brouwer 19h : Cocktail et visite du CATTP L’albatros Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Présentation de la structure La clinique de Jean Varlet est installée dans une maison de maître qui a servi de centre de loisirs pour la mairie de Villeneuve d'Ascq avant d'être utilisée par l'EPSM des Flandres (siège social à Bailleul). La clinique a été inaugurée en février 1989 par Mr Gérard CAUDRON en tant que président du Conseil d’Administration de l'EPSM des Flandres. Le transfert de la clinique sous la gestion administrative de l'EPSM de l’agglomération lilloise date de juillet 2000. La clinique est alors devenue un dispositif intersectoriel créé à l’initiative des praticiens hospitaliers des pôles de psychiatrie adulte de Villeneuve d’Ascq et de Lille. Elle propose des soins spécialisés pour les personnes souffrant de troubles anxio-dépressif adaptés aux besoins de la population de Villeneuve d’Ascq et de Lille. Les quatre secteurs concernés par ce projet sont : 59g11 – Villeneuve-d'Ascq ; 59g22 – Lille Nord ; 59g23 – Lille Sud ; 59g24 – Lille Est Aujourd’hui, la clinique accueille 24 patients et l'équipe comporte 17 infirmiers. Elle est rattachée administrativement au Pôle 59g11 (Villeneuve d’Ascq) mais, en tant que dispositif intersectoriel, dessert également la population de Lille (pôle 59g22, 59g23, 59g24). La clinique est placée sous la responsabilité médicale du Docteur Perault, assisté du cadre de santé David Dehondt. Sur le plan psychiatrique, le suivi des patients est assuré par le Docteur Lepeut-Comayras pour les personnes du secteur 59g11, et par le Docteur Perault pour les autres secteurs. Des internes en psychiatrie effectuent des stages de six mois et prennent en charge les populations des quatre secteurs. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Extrait du dossier du Magazine Alter ego octobre-décembre 2014 Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Organisation de la psychiatrie adulte de l’EPSM de l’agglomération lilloise Lille-Villeneuve d’Ascq L’EPSM DE L’AGGLOMÉRATION LILLOISE versant lillois propose une offre de soins qui associe quatre secteurs de psychiatrie générale (secteurs 59G11 – 59G22 – 59G23 – 59G24) disposant chacun d’un centre médico-psychologique et d’une unité d’hospitalisation temps plein à la Clinique de psychiatrie de Lille (site de Saint-André). Quatre structures intersectorielles complètent ce dispositif. Chacune d’elle est rattachée administrativement à l’un des secteurs des pôles lillois : - Clinique Jean Varlet : 59G11 Equipe des appartements associatifs : 59G22 Hôpital de jour « Les quatre chemins » : 59G23 CPAA » : 59G24 Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Le travail en intersectoriel La clinique Jean Varlet s’inscrit dans un dispositif global de prise en charge des patients des quatre secteurs. Le travail avec les services facilite la continuité des soins, le passage des patients sur la clinique Jean Varlet constituant une phase de la prise en charge globale, ce qui implique pour les professionnels exerçant sur la clinique de créer et d’entretenir des liens professionnels avec les structures de ces quatre secteurs : unités de psychiatrie générale, CMP, CATTP, hôpitaux de jour… 41 % des patients sont aujourd’hui adressés par le Centre Psychiatrique d’Accueil et d’Admissions. D’autres acteurs médicaux interviennent : les médecins traitants, les médecins spécialistes, les paramédicaux libéraux, les hôpitaux de soins généraux, les services d’addictologie. L’aspect social des patients est pris en considération, avec un contact constant avec les assistants sociaux des municipalités et du Crous, les foyers, les tutelles. Le travail avec les familles est indispensable. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise L’infirmier référent, un point de repère dans la dynamique des soins L’organisation des soins paramédicaux à la Clinique Jean Varlet s’organise par la désignation d’un infirmier référent pour chaque patient hospitalisé, dès son admission. « L'infirmier référent est un repère humain au cœur de l’équipe. Concrètement, il reçoit le patient en entretiens réguliers, au minimum deux fois par semaine. En accord avec le médecin, il accompagne le patient dans ses réflexions sur ses problématiques et cherche à développer une alliance thérapeutique » explique Martine Wattier, infirmière. L’alliance thérapeutique est indispensable dans le suivi des personnes souffrant d’anxiété ou de dépression : « La demande du patient est importante, sinon on ne peut pas grand-chose pour les personnes… Nous devons réussir à créer le déclic ensemble, par les entretiens, par la mise en place d’activités, par exemple. L’infirmier référent connaît bien le patient, il était là -le plus souvent- à son admission, il a un lien privilégié avec lui et va réussir à créer la confiance qui permettra à la personne de sortir de son problème, de prendre du recul, de faire le « travail »… » reprend Monique Thiou, infirmière. Le référent est un interlocuteur aussi pour l’entourage, il travaille avec les proches et les familles des patients qu'il suit. L’infirmier référent agit comme un recueil des petits détails qui participent à la psychothérapie et mettent en place une dynamique de soins. Il garantit l’avancée des projets, en collaboration avec les médecins et le reste de l’équipe de la clinique à laquelle il transmet ses informations en transmissions de relève, en réunions de synthèse ou lors de temps plus informels. L'équipe du secteur pourra se référer à lui lorsque la personne ne sera plus hospitalisée et poursuivra ses soins hors de la clinique. "L’infirmier référent est un « point de repère », qui a à coeur de vérifier où en sont les projets, de voir si quelque chose peut bloquer ou si les patients ne se perdent pas en route..." conclut Martine Wattier. >> En savoir plus : "L'infirmier référent", J. MICOUD, R. LAFFOND, "Soins Psychiatrie", N° 187, septembre 1996. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Les activités thérapeutiques, axe essentiel dans la prise en charge Les activités thérapeutiques font partie de la prise en charge de certaines personnes souffrant de troubles anxio-dépressifs, une prise en charge facilitée à la Clinique Jean Varlet par la proximité des locaux du CATTP L’albatros couvrant le secteur de Villeneuved’Ascq (59g11). Il est à noter que certains infirmiers de la Clinique interviennent au CATTP dans le cadre de leur activité. Les activités proposées, musicothérapie active ou réceptive, gymnastique chinoise, yoga, jeux de sculpture, groupe de parole, vidéo débat, mise en forme, shiatsu, éveil corpo-émotionnel, bien être (socio-esthétique), activité ludique, pâtisserie, club thérapeutique, jardin… permettent pour la plupart d’établir une relation avec le patient, de travailler un mode d’expression ou l’intégration dans un groupe. « La gym chinoise est une discipline multi-millénaire, éprouvée. Les patients qui y accèdent par le biais de la Clinique –et sur prescription médicale- vont pouvoir travailler le recentrage. La pratique s’appuie sur l’harmonisation du mouvement de la respiration et du mental. Je prends souvent l’exemple de la citadelle pour aider les patients à faire le silence en eux-mêmes, il aide le patient à mieux percevoir le monde environnant. Les patients apprennent à se détendre, à accéder au bien-être de façon autonome, grâce à des outils simples basés sur la respiration, la mentalisation et des mouvements à la fois tonifiants et relaxants. » explique Christophe Rubalec. La dynamique de groupe est prégnante dans l’activité de musicothérapie, où l’infirmier va travailler l’écoute et l’ouverture aux autres : « l’activité musicothérapie –active ou réceptive- se fait elle aussi sur prescription médicale et est intégrée au projet individuel du patient. » explique Thierry Jakobek, infirmier et musicothérapeute. « La musicothérapie active se pratique par le biais d’instruments que l’on va utiliser comme moyen d’expression dans un processus créatif qui favorise les échanges avec le groupe. La musicothérapie réceptive est, elle, un outil d’élaboration par rapport à une œuvre existante, le but étant pour le patient d’exprimer son ressenti, d’accéder à une prise de conscience de soi, de sa vie intérieure; l'amenant à s'accepter lui même, les autres et la réalité. Par exemple en fin de séance, les patients choisissent un des quatre morceaux qu’ils souhaitent retenir… la dernière fois nous avions écouté Henri Texier, Sigur Ross, Philipp Glass, Gabriel Faure. » Toutes ces activités font l’objet de transmissions écrites et orales à l’équipe. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Pour l’EPSM de l’agglomération lilloise, un dispositif de prise en charge des personnes anxio-dépressives à Roubaix : la clinique du Nouveau monde En mars 2006, après un long travail de réflexion sur l'amélioration de l'offre de soins pour la population roubaisienne, l'EPSM a délocalisé ses lits d'hospitalisation en construisant l'hôpital Lucien Bonnafé sur le site de la Fraternité, permettant ainsi aux patients de rester dans leur environnement social et proche de leur famille. La particularité de cette réflexion a été la construction d'une offre de soins globale. Aux CMP et à l'hôpital de jour existants depuis des années sur Roubaix, se sont ajoutés des structures et dispositifs intersectoriels adaptés aux besoins de la population roubaisienne tels que le CAPI pour les accueils de crise en court séjour, le dispositif "Sisyphe" permettant la réécoute des suicidants et la Clinique du Nouveau Monde. Ces dispositifs sont toujours en lien avec le secteur psychiatrique mais aussi avec d'autres acteurs de santé, comme Les Urgences du CH de Roubaix et la médecine de ville. La Clinique du Nouveau Monde accueille des patients de l'agglomération roubaisienne présentant des troubles anxieux et dépressifs. Au décours d'une consultation de pré admission, les soins proposés sont structurés autour de trois axes : les entretiens infirmiers, les entretiens médicaux, les activités à visée thérapeutique (corporelle, de verbalisation ou de médiation). A vocation intersectorielle, la Clinique du Nouveau Monde bénéficie d'une présence médicale de chaque secteur roubaisien, chaque médecin coordonnant les soins des patients sur son secteur. Enfin, la Clinique propose aussi des outils thérapeutiques plus spécifiques tels que le génogramme, la balnéothérapie, les soins de soi. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise Donner sens à sa vie A l’occasion des 25 ans de la clinique Jean Varlet, l’équipe a souhaité donner la parole à deux professionnels. « Le circuit de prise en charge des patients présentant des troubles anxiodépressifs » - Dr François Ducrocq, psychiatre coordinateur CUMP-SAMU Régional au CHRU de Lille « La thématique des addictions comme comorbidités des troubles anxiodépressifs » - Pr Vincent DODIN, Chef de service psychiatrique du GHICL présentation de son ouvrage Les addictions chez les jeunes paru aux éditions Desclée de Brouwer Dans son dernier ouvrage « Guérir les addictions chez les jeunes », le Professeur Vincent Dodin, évoque d’une manière très pragmatique en 100 questionsréponses la problématique des addictions, aux produits (cigarette, cannabis, héroïne, cocaïne, hallucinogènes…) ou sans drogue : cyberaddictions, jeux vidéos… « Notre société crée des nouveaux besoins et permet de façon extrêmement rapide d’y accéder. Ce schéma nous amène très rapidement à développer des addictions, à internet, au téléphone, à certains aliments… Toutes les générations sont concernées par ces problèmes de manque. » explique-t-il. Vincent Dodin s’adresse à la fois aux consommateurs et à leurs proches, en leur permettant par exemple de s’orienter concrètement dans l’offre de soins : les traitements, l’hospitalisation, la psychanalyse, les thérapies familiales, les soins à médiation corporelle etc. sont passées au crible. L’ouvrage fonctionne comme un guide qui permettra à chacun de « faire le point », avec deux clefs pour la guérison : l’importance de se confronter à la frustration d’une part, et à l’autorité d’autre part, dont Vincent Dodin constate le déclin aujourd’hui. « L’implication des parents dans la prise en charge est capitale. Lorsque nous avons un jeune qui s’enferme dans sa chambre pour jouer, il est bon que les parents s’intéresse dans un premier temps à ce qu’il fait, pour comprendre pourquoi ces univers virtuels le passionnent, comment ça marche etc. ; et puis dans un second temps lui redire la nécessité des temps de sommeil, des relations sociales... » En conclusion de son ouvrage, Vincent Dodin cherche à répondre à la question fondamentale : comment donner sens à sa vie aujourd’hui ? et donne des éléments de réponses avec la notion de « reliance » : « dans nos sociétés modernes, disons depuis les années 80, plusieurs choses nous feraient perdre le sens de l’existence, avec ce que le sociologue Olivier Robineau appelle « l’individualisme confinitaire ». La morale des « pères » serait remplacée par la morale des « pairs » et abandonnerait la transmission d’un savoir intergénérationnel au profit d’un savoir communautaire ou d’affinités. Mais si il y a crise, il y a aussi opportunité pour opérer le changement qui s’impose. Or aujourd’hui je suis convaincu que redonner du sens naît de la capacité à se décentrer de soi pour aller visiter le monde de l’autre. Lorsque je reçois une personne en soin, j’évoque assez vite cet échange par une formule simple : « vous allez recevoir des soins, ce sera gratuit. Qu’est-ce que vous allez donner en échange ? Pour vous ? Pour les autres ? » Cette posture coopérative et fraternelle repositionne l’aide de santé publique, mais aussi, au niveau individuel, sociétal et environnemental, la relation première à la question du sens, et à la voie dans laquelle on veut s’engager, pour soi, pour les autres. La question de sens est relieuse d’humanité.» Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise EPSM de l’agglomération lilloise Né de la fusion de 2 établissements (centre hospitalier de Lommelet et centre de soins Ulysse Trélat), l'EPSM de l'agglomération lilloise est l’établissement public de santé mentale qui prend en charge les personnes souffrant de troubles psychiques parmi les 540 000 habitants de Lille, Roubaix, Villeneuve d'Ascq et environs. L’EPSM de l’agglomération lilloise gère ainsi 369 lits, 40 places de MAS, 122 places d’hospitalisation à temps partiel et une soixantaine de structures réparties sur l’agglomération lilloise. Le siège social est à Saint-André-lez-Lille sur le site historique de Lommelet. Les lieux d’hospitalisation à temps complet sont implantés sur l’agglomération lilloise : Cliniques de psychiatrie et d’addictologie de Lille à Saint-André lez Lille, Clinique Jean Varlet à Villeneuve d’Ascq, CPAA à Lille ; sur l’agglomération roubaisienne : Hôpital Lucien Bonnafé, Clinique du Nouveau monde ; Clinique de l’adolescent à Wasquehal. De nombreuses constructions et rénovations sont en cours ou réalisées : • l’EPSM de l’agglomération lilloise rénove entièrement le site de Saint-André-lez-Lille qui devient en 2013 la Clinique de psychiatrie de Lille et la Clinique d’addictologie de Lille. 80 lits d’hospitalisation psychiatrique et 20 lits d’addictologie voient le jour au terme d’un grand projet urbain. • Le Centre Psychiatrique d’Accueil et d’Admissions (le CPAA inauguré le 17 février 2011 sur le site de l’hôpital Saint-Vincent de Paul à Lille) • la Clinique de l’adolescent, à Wasquehal, une structure intersectorielle pour les adolescents (une équipe mobile, 10 lits d’hospitalisation et 10 places d‘hôpital de jour) • la réorganisation de la psychiatrie lilloise au plus près de la population et en partenariat avec les acteurs sanitaires (EPSM Lille Métropole, CHRU de Lille, GHICL) • un projet d’extension de la maison d’accueil spécialisée (MAS) de 20 places ; 6 places de jour ouvertes en mai 2012 • la poursuite du développement des alternatives à l’hospitalisation sur les secteurs roubaisiens (hospitalisation à domicile, accueil familial thérapeutique...) • le renforcement du lien entre les secteurs sanitaire et le secteur médico-social L’EPSM de l'agglomération lilloise prend ainsi en charge les troubles psychiques des populations de l’agglomération lilloise et roubaisienne, soit : 8 pôles de psychiatrie générale, 1 intersecteur d’addictologie, 4 pôles de psychiatrie infanto-juvénile, 1 maison d'accueil spécialisée, 1 pôle d’accueil thérapeutique intersectoriel et d’orientation, 1 centre de formation infirmier – aide soignant – cadre de santé, 23 centres médico-psychologiques, 1500 agents, 1 budget d’exploitation d’environ 90 millions d’euros, + de 20 000 patients dont 80% en ambulatoire. L’EPSM de l’agglomération lilloise est le promoteur du Réseau Santé Solidarité Lille métropole. Il participe au dispositif précarité à Lille et Roubaix, des équipes travaillent à la prise en charge des personnes en situation d’exclusion et/ou de précarité (La Ravaude, Diogène, la Pass’Psy). L’EPSM de l’agglomération lilloise participe aux urgences psychiatriques des Centres Hospitaliers, notamment de l’Hôpital Victor Provo à Roubaix où il a mis en place le premier centre de réécoute des suicidants, Sisyphe. L’EPSM de l’agglomération lilloise possède aussi un centre de documentation adhérant à Ascodocpsy, le réseau documentaire en santé mentale. L’EPSM de l’agglomération lilloise adhère à la Fédération Régionale de Recherche en Santé Mentale. Dossier de presse – Dépression, parlons-en / 25 ans de la Clinique Jean Varlet Service communication EPSM de l’agglomération lilloise