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MEDIA KIT 2016 DÉCOUVREZ LES LAURÉATS 2015 ! 36 www.ProfessionSanté.ca page 1/16 Le médecin peut-il refuser la prolongation d’ordonnance ? numéro 10 RÉMUNÉRATION DES PHARMACIENS EXAMEN MÉDICAL PÉRIODIQUE L’humanitaire à l’heure de la lucidité Quatre des nouvelles activités couvertes de façon universelle Une pratique encore populaire 9 2015 volume 1 MISSIONS INTERNATIONALES 15 20 2015 page 39 www.ProfessionSanté.ca octobre 2015 LOI 41 26 mars 2015 « NE PAS SUBSTITUER » www.ProfessionSanté.ca LOI 52 ET GUIDE D’EXERCICE SUR L’AIDE MÉDICALE À MOURIR MÉDICAMENTS Les coûts explosent Médecins et pharmaciens appelés à changer d’attitude SANTÉ DE CEUX QUI SOIGNENT Rebondir après une épreuve page 15 numéro 3 15 Dossier en page 24 5 SAGUENAY PÉDIATRIE SOCIALE Un petit Compostelle 42 AUTOUR DE LA TABLE L’autobus jaune arrive dans Brome-Missisquoi QUI A DIT ? “ 18 La mort de l’AQESSS, c’est un recul démocratique , la voix citoyenne des employeurs de la santé qui s’éteint. ” 23 MEDACTUEL Le MAPA, outil incontournable pour dépister et traiter l’hypertension artérielle Soigner les « poqués » 2015 35 21 www.professionsante.com 00LACM03_001.indd 1 www.ProfessionSanté.ca 13 volume 1 AUTOUR DE LA TABLE Médication et psychothérapie : au-delà du dualisme Concilier famille et pratique professionnelle « Le médecin et le pharmacien devront se parler » numéro 5 11-12 2015-03-04 15:39 ANTINÉOPLASIQUES ORAUX Plans de transfert et ordonnances préimprimées + 31 avril 2015 “ On ne devrait jamais informer un patient d’un diagnostic de maladie grave par courriel. La relation professionnelle a une composante humaine qui ne trouve pas son expression dans un échange de texte. ” 37 PÊCHE ET VILLÉGIATURE 55 % 4,2 G $ des Québécois consomment au moins un médicament. Coût brut du RGAM en 2014. Dans les pourvoiries de Lanaudière page 57 SCHIZOPHRÉNIE DROIT Contrôler les hallucinations par la réalité virtuelle Clause de conscience des médecins et des pharmaciens 29 25 février 2015 QUI A DIT ? 52 “ Il y a une indication très pertinente pour une collaboration médecins-pharmaciens qui tienne compte du modèle d’affaires des uns et des autres et qui soit 12 coordonnée par un intermédiaire reconnu [...]. ” PLAN D’ACTION DU MSSS Prévention des incidents et accidents liés à la médication 8 MEDACTUEL Produits amaigrissants et programmes commerciaux de perte de poids : pourquoi s’en préoccuper ? 35 LES « PROJETS DE LOI BARRETTE » 11 22 Homo statinisus sera-t-il votre prochain patient ? 2015-10-01 21:39 2015 33 10 ANS PLUS TARD Le DSQ au quotidien des frais assumés par l’État à notre naissance Sans titre-5 1 21 numéro 4 37 100 % 2015-04-29 09:59 6 volume 1 ENQUÊTE ANNUELLE MVL CLOZAPINE Ce médicament « capricieux » numéro 2 Quand la communauté s’organise 31 COOP DE SANTÉ C’est l’histoire du village de Sainte-Gertrude... MIEUX PRESCRIRE MÉTHADONE EN PHARMACIE Gérer les situations cliniques qui sortent de l’ordinaire Le Collège des médecins veut connaître le plan d’ensemble volume 1 Quel avenir pour les programmes de fidélisation de l’industrie ? Maisons de soins palliatifs MEDACTUEL L’index de choc Une association avec certains indicateurs de gravité en milieu hospitalier et ses applications potentielles 00LACM05_001.indd 1 CARTES DE CO-PAIEMENT www.ProfessionSanté.ca QUI A DIT ? pages 43 à 60 REGARDS CROISÉS Judith Choquette : une opinion publique sans merci volume 1 Les billets de Judith Choquette et Alain Larouche 9 PHOTO : STÉPHANIE DE LA RONDE VOLET MÉDECINS 2015 pages 39 à 49 mai 2015 ENQUÊTE ANNUELLE MVL REGARDS CROISÉS Le ministre Barrette resserre les règles www.professionsante.com Le dossier pharmacologique livre-t-il ses promesses ? 40 % MIEUX PRESCRIRE Dossier en page 14 Terre de légendes 38 24 Dossier en page IRLANDE Ordonnances renouvelables longtemps : utiles à long terme ? à notre mort, en maison de soins palliatifs. 65 QUI A DIT ? “ La peur des kilos a réussi à s’emparer de l’espace public, à supplanter les preuves scientifiques, à nous confondre et à nous convaincre de démoniser le surpoids. ” 31 MEDACTUEL La santé du sportif : syndrome du piriforme CUBA Croisière tout confort REGARDS CROISÉS 41 Les billets de Geneviève Dechêne et de Marc Parent 13-15 61 QUI A DIT ? “ Le message de prévention porte davantage quand nous, professionnels, sommes aux côtés des gens, à bouger avec eux. Nous devons 6 nous-mêmes inspirer la santé. ” 00LACM04_001.indd 1 MEDACTUEL Santé du sportif : l’os naviculaire accessoire 35 00LACM02_001.indd 1 2015-09-24 13:37 THE LINK BETWEEN QUEBEC’S PHYSICIANS & PHARMACISTS 2015-03-25 17:05 juin 2015 RÉMUNÉRATION DU MÉDECIN La complexe notion du « lui-même » PRÉVENTION DU VIH le Truvada suscite l’enthousiasme 10 Votre rôle d’agent économique 25 volume 1 numéro 6 CONGRÈS ANNUEL 2015 MIEUX PRESCRIRE de l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec 56 29 In the last couple of years, new regulations have been adopted in Quebec, in order to promote better teamwork and enhanced communication between healthcare professionals. Collaboration is not only encouraged, it is now required to increase the efficiency of patient care. These are the values surrounding interprofessional practices that are the foundation of Profession Santé. MÉDECIN ET PHARMACIEN Le tandem de l’avenir dans les GMF page SOIGNER AUTREMENT L’acupuncture 57 18 QUI A DIT ? ABBAYE Val Notre-Dame ou le test du silence 58 Created in January 2015, Profession Santé holds a very special niche within publications for healthcare professionals. With its interprofessional mission, Profession Santé addresses the needs of a readership composed of doctors and pharmacists within Québec. “ On sait qu’il faut revenir aux soins de proximité, mais on continue de privilégier un système basé sur l’hôpital. Réparons nos hôpitaux, certes, 24 mais arrêtons de les développer. ” MEDACTUEL where the numerous issues of common interest to their respective practice are addressed frankly and without fear of debate. Whether issues are related to medical over-prescription, the optimal use of drugs, the shortcomings of the health system, the new prescribing activities for pharmacists or physician compensation, to name only those topics, specialized journalists of Profession Santé report the situation without complacency, while leaving room for diverse opinions of its readers. Profession Santé is a window into the daily practice of physicians and pharmacists. As an independent publication, Profession Santé offers physicians and pharmacists an information platform Les génériques Retour sur les faits afin d’harmoniser nos discours 51 00LACM06_001.indd 1 2015-06-08 12:48 + Frequency 12 × / year = Total controlled Physicians GPs/FMs: 9,809 circulation 15,895 Specialists: 6,086 from AAM* 25,175 Pharmacists Community: 4,220 8,800 Owners: 2,006 Hospitals: 1,561 Others: 1,013 and much more ! * Source : AAM, June 30, 2015 2/16 MEDIA KIT 2016 www.ProfessionSanté.ca ONE JOURNAL, TWO AUDIENCES Average age 56% Total = 22,609 Women9,873 Men12,736 44% Family physicians : 10,564 Clinics and GMF 40% Source : CMQ, Annual Report 2014-2015 51 60% … More than half of Québec’s family physicians (56%) cumulate 20 years of practice or more; they are the mainstay of primary care. … Compared to those of other provinces or countries, family physicians in Québec hold a prominent position within the hospital. 49 70% 30% Hospitals Clinics Source : FMSQ Hot topics that captivate our physician readers n Clinical information on various conditions and corresponding drug treatments Number of Medicine schools in Québec n Université McGill n Université de Montréal n Université Laval n Université de Sherbrooke 4 n Medical practice standards and regulations Medical Associations and Professional Order n Continuing medical education n Collège des médecins du Québec (CMQ) n Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) n Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) n Fédération des médecins résidents du Québec (FMRQ) n Association médicale du Québec (AMQ) n Médecins francophones du Canada (FMC) n Collège québécois des médecins de famille (CQMF) nCompensation Source : FMOQ Hospitals Source : FMOQ Interesting fact… Average age Medical specialists : 12,045 n Interprofessional collaboration initiatives… 3/16 MEDIA KIT 2016 A CLOSE LOOK AT QUÉBEC’S PHYSICIANS Average age 43 4/16 Hospital pharmacists MEDIA KIT 2016 34% 66% Total = 8,917 Femmes5,838 Hommes3,079 A CLOSE LOOK AT QUÉBEC’S PHARMACISTS Staff pharmacists in community pharmacies 4,236 1,594 Pharmacy owners 2,022 1,065 Source: OPQ, Annual Report, 2014-2015 Source : OPQ, Rapport annuel 2014-2015 Interesting fact… … Québec is the only place in North America where only registered pharmacists have access to pharmacy ownership. Hot topics that captivate our pharmacist readers n Community pharmacies 1,858 … In Québec, 78% of staff pharmacists working in healthcare facilities and 71% of staff pharmacists working in community settings are women. +3% n n 78% … The number of Québec pharmacists has steadily increased by approximately 3% per year over the past 5 years. Source: OPQ, Annual Report, 2014-2015 Others Clinical information on various conditions and corresponding drug treatments Pharmacy practice standards and regulations Continuing education nCompensation n Bill 41 and new activities n Interprofessional collaboration initiatives n Medication shortages… Bill 41 effective since June 20, 2015 Québec’s pharmacists are authorized to perform 7 new clinical activities in order to improve access to frontline healthcare services for the population. 4 clinical activities reimbursed n Renewing a physician’s prescription; n Prescribing medication that requires no diagnosis, including for preventive purposes; n Prescribing medication for specific minor ailments when diagnosis and treatment are already known; n Adjusting a physician’s prescription in order to achieve therapeutic targets. Source: AQPP Number of Pharmacy schools in Québec 2 n Université de Montréal n Université Laval Pharmacy Associations and Professional Order n Ordre des pharmaciens du Québec (OPQ) n Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP) n Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES) n Association professionnelle des pharmaciens salariés du Québec (APPSQ) Québec prescription drug market Generic drugs A new PMA (AMP) 67% Brand 33% name drugs Source : 2015 Trends & Insights, Rogers Groupe Santé Average retail price per prescription Brand name drugs Generic drugs $58.64$15.66 In Québec, the total cost of prescription drugs: $7.5 billions Source : 2014 Report On Pharmacy in Quebec, AQPP Unique in Québec, particular medical activities (PMA) are those considered by the government as priority activities designed to compensate for the shortage of physicians. In order to improve the population’s access to a family physician, the registration and follow-up of a new patient in a medical office or Family Medicine Group is now considered as a PMA. An Act respecting end-of-life care Québec Bill 52 (December 2015) outlines specific requirements regarding continued palliative sedation and medical aid in dying. GMF (Family Medicine Group) A family medicine group (GMF) is a group of family physicians who work closely with other healthcare professionals. Thus, a person who comes for a consultation without an appointment can be seen by another doctor than its own. If necessary, the patient can also meet a with a nurse or other healthcare professional of the group (GMF) for various consultations. Interesting fact… Corresponding to $432 per capita for public plan beneficiaries… Why is Québec unique? …and $442 for private plan participants. INTERPROFESSIONALISM In 2015, the Collège des médecins du Québec, the Ordre des pharmaciens du Québec and the Ordre des infirmières et infirmiers du Québec issued a joint position paper reasserting their strong support in favour of interdisciplinarity. These three professional orders committed to draft a set of collaborative practice standards designed for their members. 5/16 MEDIA KIT 2016 ABOUT QUÉBEC PUBLICATION CALENDAR Space + Material Close * Mailing Special Report Date January December 11 January 18 New listing of Beers criteria and inappropriate drugs in geriatric February January 15 February 16 Athlete’s health: Treatment of dislocations and subluxations March February 11 March 14 Radioprotection in trauma MedActuel Votre déVeLoppement professionneL continu anika Rozon, en r1 en médecine familiale (03/02/2015) clinique de physiothérapie et médecine du sport de l’estrie May April 8 May 9 Results of the Annual OTC Survey – Pharmacists Clinical Practice Guide Respiratory Health June April 29 June 1st Results of the Annual OTC Survey – Physicians Clinical Practice Guide Dermatology Luxations de l’articulation sternoclaviculaire ObjectifS PédagOgiqueS n Savoir différencier cliniquement des luxations antérieure et postérieure de l’articulation sternoclaviculaire; n Reconnaître la gravité d’une luxation postérieure de l’articulation sternoclaviculaire; n connaître la prise en charge de ces types de luxation et quand adresser en spécialité. tOut d’abORd, un Peu d’anatOmie Sur le plan osseux, l’articulation sternoclaviculaire est très instable. En effet, seulement 25 % de la surface articulaire de la clavicule est en contact avec la surface articulaire du sternum. La grande stabilité de cette articulation résulte donc des nombreux ligaments l’entourant. L’espace situé entre le manubrium et les premiers corps vertébraux correspond au médiastin supérieur. On y retrouve notamment des artères (branches principales de l’aorte), des veines (subclavières, brachiocéphaliques), la trachée, l’œsophage et les nerfs récurrents laryngés (innervant les cordes vocales). LuxatiOnS antéRieuReS de L’aRticuLatiOn SteRnOcLavicuLaiRe Ce type de luxation peut résulter d’un impact indirect sur l’épaule. Si une force antérolatérale est appliquée sur l’épaule (donc le tiers distal de la clavicule), le tiers proximal de la clavicule tend à basculer vers l’avant. Cliniquement, on observe une proéminence près du sternum. Une r ad iog r aph ie de t y pe « Serendipity view » aide à mettre en évidence une fracture ou un déplacement du tiers proximal de la clavicule. Par ailleurs, une Suite à la page 22 fiGure 1 Ligaments de l’articulation sternoclaviculaire Ligament sternoclaviculaire antérieur Disque articulaire (capsule et ligament enlevés pour exposer l’articulation) Ligament interclaviculaire 1re côte Incisure claviculaire June 30 August 2 September 16 October 17 November October 21 November 21 December November 11 Clinical Practice Guide Cardiology and Diabetes December 12 Angle sternal cas de m. stern m. stern, un homme de 31 ans, est un grand joueur de hockey. il y a un an, un de ses adversaires l’a plaqué par derrière, comprimant son thorax contre la bande. ce traumatisme lui a causé une fracture du sternum ainsi qu’une luxation postérieure de l’articulation sternoclaviculaire droite. un an après son accident, m. stern vient à votre bureau puisqu’il est désespéré… il a l’impression que sa clavicule comprime sa gorge chaque fois qu’il élève son bras droit. il dort très mal, se réveillant souvent avec la peur d’avoir le souffle coupé. il ne fait plus aucune activité physique pour les mêmes raisons… Que faites-vous ? Source : GRAY’S Anatomie pour les étudiants. cOnSeiL de RédactiOn et RéviSiOn Scientifique directeur médicaL dr françois croteau directeur médical du Groupe santé, Québec, rogers média; médecin de famille à la retraite, anciennement à l’Hôpital santa-cabrini, montréal; ancien président du comité de dpc du collège des médecins du Québec. dre johanne blais membre du conseil de fmc de la faculté de médecine de l’université Laval; responsable du comité de fmc du dépt. de médecine familiale de l’université Laval; professeur titulaire de clinique, cHuQ, Hôpital saint-françois-d’assise. dr Roger Ladouceur responsable du plan d’autogestion de dpc, collège des médecins du Québec; professeur agrégé de clinique du dépt. de médecine familiale de l’université de montréal; médecin de famille, Hôpital de Verdun du csss du sud-ouest-Verdun. dre diane Poirier médecin, m.sc.; chef du service des soins intensifs au csss richelieu-Yamaska; professeur d’enseignement clinique au cHus; membre du comité de formation continue de médecins francophones du canada. Juillet 2015 Heat stroke during exercise Mastocytoma in children and adults Liver problems September August 5 September 6 Antibiotic resistance in humans: impact and responsibility of veterinary medicine October Manubrium sternal Premier cartilage costal LACM07_021-022 [Print].indd 21 July May 19 July 4 Addictions to psychoactive substances August sous la supervision des drs susan Labrecque et david farrar, médecins de famille, clinique de physiothérapie et médecine du sport de l’estrie, université de sherbrooke. La santé du sportif Ligament costoclaviculaire April March 4 April 4 Canadian Contraception Consensus Metabolic disorders Microsome Bigorexie * Subject to change MEDIA KIT 2016 Issue 6/16 Profession Santé 21 2015-06-29 15:07 Professional Development lesson of Profession Santé, MedActuel offers clinical articles written by doctors, pharmacists or other healthcare professionals that provide the latest information about conditions, treatment or intervention. MedActuel is coordinated by a scientific committee led by Dr. François Croteau. Place your product ad next to this highly read content and benefit from great visibility. Ask your account manager for details. RATES 7/16 TABLOID (GROSS) 1 3 6 101520242832 Tab. double page spread $22,000$21,270$20,565$19,875$19,205$18,370$17,565$16,790$16 000 Tab. page + 2/5 tab. vert. $15,935$15,405$14,895$14,400$13,915$13,305$12,725$12,160$11 590 Tab. page + 1/5 tab. vert. $14,280$13,810$13,470$13,020$12,580$12,090$11,560$11,050$10 580 Full tab. $12,630$12,210$12,045$11,640$11,250$10,870$10,395 $9,935 $9 565 1/2 tab. hor. $8,370$8,135$7,900$7,680$7,460$7,205$6,960$6,725$6 470 2/5 tab. vert. $6,945$6,715$6,490$6,275$6,065$5,800$5,545$5,300$5 050 1/4 tab. hor. $5,685$5,495$5,310$5,135$4,815$4,605$4,400$4,165$3 925 MAGAZINE (GROSS) Mag. double page spread $14,870$14,450$14,045$13,640$13,250$12,805$12,365$11,945$11,500 Mag. page + 1/2 mag. vert. $11,620 Mag. page $8,370$8,135$7,900$7,680$7,460$7,205$6,960$6,725$6,470 1/2 mag. hor. $5,860$5,695$5,535$5,375$5,220$5,045$4,870$4,705$4,530 1/4 mag. vert. $2,510$2,440$2,370$2,305$2,235$2,160$2,090$2,015$1,925 $11,295 $10,975 $10,660 $10,355 $10,005 $9,665 $9,335 $8,965 Rates include 4 color process. 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Ce peigne doit être lavé avec soin après usage. Autres recommandations tirées de diverses lignes directrices canadiennes1 : • La plupart des objets de la maison qui ont été en contact avec la personne infestée— qui pourraient héberger des poux et des lentes—doivent être soigneusement examinés et adéquatement traités. • Les vêtements portés au cours des 48 heures précédant le traitement, les chapeaux, les serviettes de toilette ainsi que les draps et les taies d’oreiller doivent être lavés à l’eau chaude ou nettoyés à sec et mis à sécher à l’air chaud pendant 20 minutes ou enfermés dans un sac en plastique pendant deux semaines, puis lavés normalement. • Les articles qui ne peuvent pas être lavés ou nettoyés à sec, comme les matelas, les meubles rembourrés ou les sièges d’auto doivent être soigneusement passés à l’aspirateur. • Les peignes, les brosses et autres articles de soins des cheveux peuvent être désinfectés en les plongeant dans de l’eau chaude (à plus de 54 °C ou 130 °F) pendant 5 à 10 minutes. • Il est conseillé de traiter tous les membres d’une même famille en même temps. • Tous les membres de la famille devraient éviter d’échanger des objets personnels (peignes, brosses, accessoires de coiffure, chapeaux, serviettes de toilette, vêtements, etc.), que ce soit entre eux ou avec des amis. • N’utiliser ni médicaments topiques pour le cuir chevelu ni produits pour le soin des cheveux pendant le traitement avec NYDA®. L’ingrédient actif de NYDA® est la diméticone NYDA® utilise une solution de diméticone 100 cSt, 50 % p/p. La diméticone 100 cSt est un liquide clair, incolore et hydrophobe1. Une très faible incidence d’effets secondaires anticholinergiques s !DÏMONTRÏUNETRÒSFAIBLEINCIDENCEDE BOUCHESÒCHE1 s !DÏMONTRÏUNETRÒSFAIBLEINCIDENCEDE constipation1 s !UCUNEFFETINDÏSIRABLEGRAVELIÏAUTRAITEMENT n’a été rapporté1 NYDA® tue les poux par asphyxie Le « point d’attaque » du mode d’action physique de NYDA® est l’appareil respiratoire de l’insecte—NYDA® agit en asphyxiant les poux, les nymphes et les embryons dans les œufs1. La faible viscosité et la volatilité de la diméticone permettent à la solution NYDA® de pénétrer dans l’appareil respiratoire de l’insecte quel que soit son stade de développement et son évaporation entraîne l’épaississement de la solution. La diméticone restante, de haute viscosité, scelle l’appareil respiratoire, entraînant une asphyxie irréversible et la mort des poux quel que soit le stade de leur développement (pou adulte, larves ou œufs)1. Des études ont montré que NYDA® n’a aucun effet sur l’insecte si le produit n’est appliqué que sur la partie externe de la tête ou de sa bouche1. Un essai clinique comparant un produit topique à la diméticone (NYDA®) à une lotion à base de perméthrine a montré, après un jour de traitement, un taux de guérison moyen de 94,5 % avec le produit à base de diméticone, contre 66,7 % avec la lotion à base de perméthrine (p < 0,0001). Au neuvième jour, le taux de guérison était de 97,2 % avec le produit à base de diméticone, contre 67,6 % avec la lotion à base de perméthrine (p < 0,0001)1,5*. * Étude à l’insu, contrôlée et randomisée, menée au Brésil sur 145 enfants âgés de 5 à 15 ans infestés de poux de tête. Deux applications de diméticone ou de perméthrine à 1 % ont été faites à sept jours d’intervalle. Les critères d’évaluation étaient la guérison (absence de poux de tête vivants) après la première application, puis avant et après la deuxième application, le degré de démangeaison et les effets secondaires. NYDA® est conçu pour être facile à utiliser NYDA® tue également les œufs Utilisé conformément aux instructions, NYDA® est également efficace contre les nymphes et les œufs (lentes)1. Quand on traite une infestation par les poux, le but ultime est de tuer les poux adultes et les nymphes (à l’intérieur des œufs), ainsi que d’éliminer toutes les larves vivantes qui se trouvent sur la tête de la personne infestée2. Dans une étude in vitro effectuée sur une mèche de cheveux, la réponse au traitement ovicide avec NYDA® a été de 100 % au bout de huit heures3. NYDA® empêche le développement de toute résistance au traitement Le mode d’action de NYDA®—la mort par asphyxie—empêche les insectes de développer une résistance au produit1. La résistance au traitement peut nuire à l’efficacité Les poux de tête peuvent devenir résistants aux autres traitements—c’est-à-dire que le traitement ne sera plus capable de tuer efficacement tous les poux4. L’efficacité de NYDA® est basée exclusivement sur son mode d’action1. Effets indésirables anticholinergiques (* 1 % pour GELNIQUEMC) liés au traitement durant l’étude à double insu1,2‡ L’efficacité de NYDA® a été démontrée À la suite d’une application de NYDA®, les poux commencent à mourir au bout de 30 minutes; cependant, le produit doit rester sur les cheveux pendant huit heures, comme recommandé1. Chaque emballage de NYDA® contient un vaporisateur à bec pratique conçu pour délivrer NYDA® à la source du problème, ainsi qu’un peigne à poux1. • Le peigne est conçu pour glisser facilement dans la chevelure. • Il est conçu pour que les poux soient faciles à voir sur un fond orange. • Les dents du peigne sont très rapprochées (0,2 mm), permettant d’attraper les poux par les pattes, les lentes et les œufs vides. L’Institut national de la santé publique du Québec recommande d’utiliser un peigne à poux aux dents espacées de 0,2 mm, car cela évite que les plus petits insectes passent à travers les dents du peigne2. Pour des renseignements permettant de faciliter l’évaluation des bienfaits et des risques, veuillez consulter la monographie du produit accessible à http://www.nyda.ca/fr/ wpcontent/uploads/sites/2/2014/05/NYDA-PristineProduct-Monograph-FRENCH-2012-01-10-FINAL-TPD-201109-20-version.pdf. Demandez toujours au patient de lire l’étiquette. References : 1. Monographie de produit de NYDA®. Pediapharm Licensing Inc., 11 septembre 2012. 2. Guide d’intervention. Lignes directrices pour le contrôle de la pédiculose du cuir chevelu dans les écoles et les services de garde éducatifs à l’enfance. La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec. Gouvernement du Québec, 2012. 3. Strycharz JP et coll. Ovicidal response of NYDA formulations on the human head louse (Anoplura: Pediculidae) using a hair tuft bioassay. Journal of Medical Entomology, 2012;49(2):336-42. 4. CDC. Head Lice – Treatment frequently asked questions. www.cdc.gov/parasites/lice/head/gen_info/faqs_treat.html (consulté le 5 août 2014). 5. Heukelbach J, Pilger D, Oliveira FA et coll. A highly efficacious pediculicide based on dimeticone: Randomized observer blinded comparative trial. BMC Infectious Diseases, 2008;8:115. 14-10-08 1:51 PM COUNSELLING CORNER 1 PAGE OR MAGAZINESIZE DPS Counselling Corner is a communications tool that focuses on the information that an HCP needs to know to effectively educate patients about using the drug manufacturer’s product. GELNIQUEMCESTFOURNIENCARTONSDESACHETS Comment doit-on appliquer GELNIQUEMC ? GELNIQUEMCDOITÐTREAPPLIQUÏUNEFOISPARJOURSUR LAPEAUSÒCHEETNONLÏSÏEDUHAUTDESBRASOUDES épaules, de l’abdomen ou des cuisses1. GELNIQUEMC est un gel clair et incolore qui ne laisse aucun résidu. NOUVEAU GELNIQUE : Le premier et seul gel transdermique pour le traitement de la vessie hyperactive*. Qu’est-ce que GELNIQUEMC ? Pr GELNIQUEMC (gel de chlorure d’oxybutynine à 10 %) est un antispasmodique et anticholinergique indiqué pour1 : s LETRAITEMENTDELAVESSIEHYPERACTIVEACCOMPA gnée de symptômes d’incontinence urinaire par impériosité, de miction impérieuse et de mictions fréquentes. Quel est le mode d’action de GELNIQUEMC ? L’oxybutynine agit en tant qu’antagoniste compétitif de l’acétylcholine des récepteurs muscariniques postganglionnaires, ce qui entraîne le relâchement DUMUSCLELISSEDELAVESSIE$ESÏTUDESDECYSTOMÏ TRIEONTMONTRÏQUECHEZLESPERSONNESQUISOUF frent d’affections caractérisées par des contractions INVOLONTAIRESDUDÏTRUSORLOXYBUTYNINEACCROÔTLA CAPACITÏMAXIMALEURINAIREDELAVESSIEETAUGMENTE LEVOLUMEPRODUITPARLAPREMIÒRECONTRACTIONDU détrusor. L’oxybutynine diminue ainsi la miction impérieuse et la fréquence des épisodes à la fois DINCONTINENCEETDEMICTIONVOLONTAIRE1. Quelle efficacité a démontrée GELNIQUEMC dans le traitement de la vessie hyperactive ? GELNIQUEMC a significativement réduit les épisodes d’incontinence par rapport au placebo1,2‡ !PRÒSSEMAINES'%,.)15%MC : s ARÏDUITLENOMBREMOYENDÏPISODESQUOTIDIENS DINCONTINENCEPVSPLACEBO s ARÏDUITLAFRÏQUENCEMOYENNEDESMICTIONS QUOTIDIENNESPVSPLACEBO s AAUGMENTÏLEVOLUMEMOYENDURINEPAR MICTIONPVSPLACEBO GELNIQUEMC a significativement réduit les épisodes d’incontinence par rapport au placebo GELNIQUEMC a eu un effet bénéfique significatif sur les domaines de la qualité de vie suivants : s DÏPLACEMENTS s ACTIVITÏPHYSIQUE s VIESOCIALE s BIENÐTREÏMOTIONNEL tel que mesuré à l’aide des questionnaires IIQ et KHQ1§ Variation moyenne par rapport à leur valeur initiale du score total au questionnaire d’évaluation de l’impact de l’incontinence (IIQ) et des scores aux sous-échelles d’évaluation à la semaine 12 (selon le report en aval de la dernière observation/LOCF) s !DÏMONTRÏUNEFAIBLEINCIDENCEDECÏPHALÏES (GELNIQUEMCPLACEBOP. Une très faible incidence de réactions cutanées : Réactions cutanées liées au traitement (* 1 % avec GELNIQUEMC) dans l’étude à double insu1,2‡ Zones d’application de GELNIQUEMC s 4AUXDOBSERVANCETHÏRAPEUTIQUEÏLEVÏ GELNIQUEMCVSPLACEBO s ,EFAIBLETAUXDABANDONENRAISONDEFFETSINDÏ SIRABLESLIÏSAUTRAITEMENTÏTAITLEMÐMEQUEPOUR le placebo (1,8 %, 1,8 %) Y a-t-il des interactions médicamenteuses avec GELNIQUEMC ? ,ESPATIENTSDOIVENTÐTREPRÏVENUSQUELALCOOLPEUT accentuer la somnolence causée par des agents anticholinergiques comme l’oxybutynine1. ,ESANTICHOLINERGIQUESPEUVENTMODIlERLABSORP tion de certains médicaments administrés de façon concomitante du fait de leurs effets sur la motilité GASTROINTESTINALE1. L’emploi concomitant du chlorure d’oxybutynine et d’autres anticholinergiques peut augmenter LAFRÏQUENCEOULINTENSITÏDESEFFETSPHARMACO logiques des anticholinergiques tels que la SÏCHERESSEBUCCALELACONSTIPATIONLAVISIONmOUE et autres1. Quel est le profil pharmacocinétique de GELNIQUEMC ? s %STABSORBÏDIRECTEMENTÌTRAVERSLAPEAUPOUR atteindre la circulation sanguine1†. s ³VITELEMÏTABOLISMEDEPREMIERPASSAGEGASTRO intestinal et hépatique1†. s 2ÏDUITLAFORMATIONDUMÏTABOLITE.DÏSÏTHY LOXYBUTYNINE.$%/1*. s !PRÒSLADMINISTRATIONDELADERNIÒREDOSEDE GELNIQUEMC à l’état d’équilibre, l’oxybutynine et LA.DÏSÏTHYLOXYBUTYNINE$%/MÏTABOLITEACTIF ont présenté une élimination biphasique où la concentration plasmatique a commencé à baisser HEURESAPRÒSLADMINISTRATION1. s !DÏMONTRÏQUILPRODUITDESCONCENTRATIONS plasmatiques stables1†. Produit des concentrations plasmatiques moyennes stables sur 24 heures lorsqu’il est appliqué sur l’abdomen, les bras ou les épaules, ou les cuisses (n=39, hommes et femmes en bonne santé)1*. Rappels importants concernant l’application1 s /NDOITCHANGERDEPOINTDAPPLICATIONCHAQUE JOURAlNQUELEGELNESOITPASAPPLIQUÏAUMÐME endroit plusieurs jours de suite. s '%,.)15%MCNEDOITPASÐTREAPPLIQUÏSURUNE peau fraîchement rasée ou sur des régions cutanées eczémateuses, séborrhéiques ou psoriasiques. s )LFAUTÏVITERDEPRENDREUNBAINDENAGERDESE doucher et de faire de l’exercice dans l’heure qui suit l’application. Une douche prise au bout d’une heure n’a aucun effet sur l’exposition systémique globale à l’oxybutynine. s 5NÏCRANSOLAIREÌBASENONHUILEUSEPEUTÐTRE APPLIQUÏENCONCOMITANCEMINUTESAVANTOU APRÒSUNEAPPLICATIONDE'%,.)15%MC. s #OMMELEGELCONTIENTDELALCOOLILFAUTÏVITERDE FUMERETDELEXPOSERÌUNEmAMMENUE Que se passe-t-il si un patient oublie une dose ? Un traitement quotidien par GELNIQUEMCESTRECOM MANDÏPOURENTRETENIRUNECONCENTRATIONSAN guine thérapeutique d’oxybutynine. En cas d’oubli occasionnel du traitement quotidien, le patient doit reprendre le traitement à la dose quotidienne recommandée d’un sachet le lendemain1. Quels conseils les médecins peuvent-ils donner aux personnes qui utilisent GELNIQUEMC ? Expliquer pourquoi on utilise GELNIQUEMC : GELNIQUEMC s’utilise pour soulager les symptômes DEVESSIEHYPERACTIVEQUISEMANIFESTENTNOTAM ment par un besoin fréquent et impérieux d’uriner, accompagné ou non de pertes d’urine1. Expliquer quel est le mode d’action de GELNIQUEMC : GELNIQUEMC agit sur des points particuliers des nerfs de LAVESSIECEQUIENTRAÔNEUNRELÊCHEMENTDESMUS CLESDELAVESSIEQUICESSENTALORSDESECONTRACTER ,AVESSIEAINSIRELÊCHÏEPEUTCONTENIRDAVANTAGE d’urine, ce qui permet d’attendre plus longtemps AVANTDAVOIRBESOINDURINER)LSEPEUTQUONNAIT PLUSBESOINDURINERAUSSISOUVENTOUAVECUNEAUSSI GRANDEURGENCEETQUONÏVACUEDONCLURINEEN quantité plus importante lorsqu’on urine1. Rappeler quelle est la façon correcte d’appliquer GELNIQUEMC1 : s '%,.)15%MCNEDOITÐTREAPPLIQUÏQUESURLA peau. s ,ESZONESDAPPLICATIONSONTLABDOMENLE HAUTDESBRASOULESÏPAULESETLESCUISSESIL faut changer de zone d’application à chaque administration. s '%,.)15%MCNEDOITPASÐTREAPPLIQUÏSURUNE peau fraîchement rasée, ni sur des endroits de la Mises en garde et précautions GELNIQUEMCESTCONTREINDIQUÏCHEZLESPATIENTS qui souffrent de rétention urinaire ou gastrique, de myasthénie ou d’un glaucome à angle fermé non contrôlé, ainsi que chez les patients à risque POURCESAFFECTIONS)LESTÏGALEMENTCONTREINDIQUÏ chez les patients qui présentent des réactions DHYPERSENSIBILITÏGRAVESCONNUESÌ'%,.)15%MC, à l’oxybutynine ou à l’un des ingrédients de GELNIQUEMC1. L’effet de GELNIQUEMC chez les patients atteints d’insuffisance hépatique ou rénale n’a pas été testé1. 5NDÒMEDE1UINCKEAYANTNÏCESSITÏUNEHOS pitalisation et un traitement médical d’urgence a été OBSERVÏAPRÒSLADMINISTRATIONDELAPREMIÒREDOSE DOXYBUTYNINEPARVOIEORALEOUDESDOSESSUIVANTES %NCASDDÒMEDE1UINCKELADMINISTRATIONDES PRODUITSÌBASEDOXYBUTYNINEDEVRAÐTREINTERROM pue et un traitement adapté rapidement instauré1. GELNIQUEMCDOITÐTREADMINISTRÏAVECPRÏCAUTION AUXPERSONNESQUISOUFFRENTDETROUBLESGASTRO intestinaux obstructifs du fait du risque de rétention gastrique1. Comme d’autres anticholinergiques, GELNIQUEMC ESTSUSCEPTIBLEDEDIMINUERLAMOTILITÏGASTRO INTESTINALEETDOITÐTREUTILISÏAVECPRUDENCEEN cas d’affections telles que la colite ulcéreuse ou l’atonie intestinale. GELNIQUEMCDOITÐTREADMI NISTRÏAVECPRÏCAUTIONAUXPATIENTSQUISOUFFRENTDE REmUXGASTROSOPHAGIENOUÌCEUXQUIPRENNENT en concomitance d’autres médicaments (tels que les bisphosphonates) susceptibles de causer ou d’accentuer une œsophagite1. GELNIQUEMCDOITÐTREADMINISTRÏAVECPRÏCAUTION AUXPATIENTSPRÏSENTANTUNEOBSTRUCTIONCLINIQUE MENTSIGNIlCATIVEDESVOIESURINAIRESENRAISONDU risque de rétention urinaire1. L’innocuité et l’efficacité de GELNIQUEMC chez les patients pédiatriques ()18 ans) n’ont pas été établies1. Veuillez consulter la monographie du produit pour des renseignements complets sur les mises en garde, les précautions, les effets indésirables, la posologie et la sélection des patients. ,IMPORTANCECLINIQUECOMPARATIVENAPASÏTÏÏTABLIE † L’importance clinique n’a pas été établie. p $ONNÏESPROVENANTDUNEÏTUDEDESEMAINESRANDOMISÏE ÌDOUBLEINSUCONTRÙLÏEPARPLACEBOENGROUPESPARALLÒLES RÏALISÏEAUPRÒSDEPATIENTSDEANSOUPLUSQUI souffraient d’incontinence urinaire par impériosité. e1UESTIONNAIREÏVALUANTLIMPACTDELINCONTINENCEET questionnaire de King sur l’état de santé. Harpreet S. Bajaj, MD, Mph, ecnu, DabiM endocrinologue associé LMc endocrinology centre brampton (ontario) Veuillez consulter le résumé des renseignements posologiques en page L Le point De vue Du généraListe soMMaire Contexte.................... 2 Bienfaits et utilisation................... 2 Résultats des études cliniques..................... 2 Le point de vue du généraliste.................. 3 Étude de cas................ 4 Action cliniqueMC est un reportage commandité régulièrement publié qui a pour objectif d’apporter aux médecins canadiens les opinions cliniques et les pratiques thérapeutiques les plus récentes. Avant de prescrire tout médicament mentionné, veuillez vous référer à la monographie de produit appropriée. L’information et les opinions contenues dans cet article reflètent les opinions et les expériences des auteurs et pas nécessairement celles du commanditaire. Le rôLe du traitement par Les incrétines Le diAbète de type 2 est un troubLe métAboLique qui résuLte d’une déficience de la capacité de l’organisme à utiliser efficacement l’insuline. Au fil du temps, ce dérèglement biochimique entraîne une incapacité progressive des cellules bêta à faire face à la demande d’insuline, ce qui se traduit par le déclin de la maîtrise de la glycémie. On dispose d’un certain nombre de médicaments pour traiter cette maladie – dont la metformine, les sulfonylurées, les glinides, les thiazolidinediones (TZD), les inhibiteurs de l’alphaglucosidase et l’insuline – et, depuis peu, d’un groupe de médicaments connus sous le nom de traitements basés sur les incrétines ou d’agents incrétines. Les agents incrétines constituent un progrès important dans le traitement du diabète dans la mesure où ils atténuent – et, dans certains cas, inversent – deux des principaux défis associés au traitement du diabète : la prise de poids et l’hypoglycémie. Grâce à ces bienfaits, ces médicaments ont pris une place de plus en plus importante dans la pratique clinique et ils sont désormais appuyés par la plupart des lignes directrices pour le traitement du diabète de type 2, y compris par les Lignes directrices de pratique clinique 2008 de l’Association canadienne du diabète (ACD)1. Ce numéro d’Action clinique explique les mécanismes qui sous-tendent les traitements basés sur les incrétines, les différences entre les deux sous-classes que l’on trouve dans ce groupe de médicaments et à quels patients ces agents sont susceptibles d’être le plus bénéfiques. PuBlicAtion rendue PoSSiBle grâce à une SuBvention de novo nordiSK cAnAdA Gelnique_F_Tabloid.indd 1 RX OR OTC Q&A* es médicaments antidiabétiques standards sont assez efficaces pour abaisser la glycémie, mais ils sont tous associés à des effets indésirables et à des risques. La metformine est un excellent médicament de première intention, mais jusqu’à 30 % des utilisateurs subissent des effets gastro-intestinaux. Le glyburide, une sulfonylurée, est associé à un risque d’hypoglycémie excédentaire de 39 %. Le risque d’hypoglycémie est similaire avec les nouvelles sulfonylurées et les glinides, bien que moins prononcé. Les thiazolidinediones (TZD) sont des agents hypoglycémiants très efficaces qui ne provoquent pas d’hypoglycémie, mais ils sont associés à un risque accru d’insuffisance cardiaque et de fractures. Récemment, des doutes quant à un lien potentiel avec la maladie cardiaque (en ce qui concerne la rosiglitazone) et avec le cancer de la vessie (en ce qui concerne la pioglitazone) ont entraîné une nette réduction de l’utilisation de cette classe de médicaments. Le diabète lui-même est associé à un gain de poids et de nombreux médicaments antidiabétiques (notamment les sulfonylurées, les TZD et l’insuline) exacerbent cette tendance. Le gain de poids favorise la résistance à l’insuline, ce qui peut à son tour entraîner une hypertension résistante au traitement et une aggravation de la dyslipidémie, de même qu’une progression du diabète de type 2. Les traitements basés sur les incrétines s’attaquent au double défi que sont l’hypoglycémie et le gain de poids tout en assurant une capacité à abaisser la glycémie comparable à celle de la plupart des autres agents. Alan Kaplan MD, ccFp(eM), FcFp président Family physician airways group of canada richmond hill (ontario) Que réserve l’avenir ?... 4 GELNIQUE est une marque de commerce de Watson Pharmaceuticals, Inc. Watson Pharma Company, -ISSISSAUGA/NTARIO La prévalence du diabète augmente un peu partout dans le monde. Cette tendance est en partie due à l’augmentation du taux d’obésité et en partie à des critères diagnostiques plus inclusifs. Ce diagnostic « qui ratisse plus large » est apparu parce qu’on sait qu’une détection précoce peut être utile. Si un léger diabète est traité comme « un petit problème de sucre plutôt que comme une maladie sérieuse, les gens ont tendance à ne rien changer à leur mode de vie. La mesure de la glycémie à jeun fait maintenant partie de l’investigation de routine. Les médecins doivent être particulièrement vigilants en demandant ces tests pour des personnes provenant de groupes ethniques à haut risque (p. ex., originaires d’Asie du Sud), des personnes en surpoids ou obèses et des personnes présentant des facteurs de risque de syndrome métabolique. Le tour D’horizon Du spéciaListe Références: 1. Monographie de produit de Gelnique, avril 2011. 2. Staskin DR et coll. Efficacy and safety of oxybutynin chloride topical gel for overactive bladder: a randomized, doubleblind, placebo controlled, multicenter study. J Urol, 2009;181:1764-72. ÉTUDE DE CAS M É n o Pau s e coLLaborateurs Les incrétines dans la pratique clinique.......... 4 Ce Q&R est publié par Les Éditions Rogers Limitée, 1200, avenue McGill College, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 4G7. Tél. : 514 843-2569, Téléc. : 514 843-2183. Ce Q&R ne peut être reproduit, en tout ou en partie, sans l’autorisation écrite de l’éditeur. © 2012 Ce Service Conseil est publié par Les Éditions Rogers Limitée, 1200, avenue McGill College, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 4G7. Tél. : 514 843-2102, Téléc. : 514 843-2183. Ce Service Conseil ne peut être reproduit, en tout ou en partie, sans l’autorisation écrite de l’éditeur. © 2014 NYDA_CC_french.indd 1 Le contenu d’un sachet de GELNIQUEMC—1 g de gel DOSÏÌMGDECHLORUREDOXYBUTYNINE DOITÐTRE appliqué une fois par jour1. MC peau qui présentent des rougeurs, ni sur d’autres parties du corps où l’application du produit n’est PASAPPROUVÏE s .EPASAPPLIQUER'%,.)15%MC sur les endroits de la peau qui ont été traités par des huiles, des lotions ou des poudres, car cela est susceptible de modifier la quantité d’oxybutynine absorbée à TRAVERSLAPEAU s '%,.)15%MCPEUTÐTREUTILISÏAVECUNÏCRAN solaire à base non huileuse, mais ce dernier doit ÐTREAPPLIQUÏMINUTESAVANTOUAPRÒSUNE application de GELNIQUEMC. s /NDOITÏVITERDIMMERGERLAZONEDAPPLICATION dans l’eau—prendre un bain, nager, se doucher, faire de l’exercice—dans l’heure qui suit l’application. s ,AZONEDAPPLICATIONPEUTÐTRERECOUVERTEDUN VÐTEMENTDÒSQUELEGELESTSEC L’importance de la glycémie postprandiale Dans le diabète de type 2, les cellules bêta du pancréas perdent leur capacité de sécréter suffisamment d’insuline pour maintenir l’euglycémie. La première phase de la sécrétion d’insuline, qui se produit en réponse à la prise d’un repas, est celle qui est la plus nettement réduite et la seconde poussée d’insuline est également anormale. Le diabète de type 2 tend également à neutraliser la baisse normale de la libération de glucagon après les repas. Ces processus combinés entraînent l’hyperglycémie postprandiale. Pourquoi cela est-il important ? La glycémie à jeun et la glycémie postprandiale contribuent à l’hémoglobine glyquée (HbA1c ), qui permet de déterminer la concentration de glucose dans le sang à long terme et qui constitue un marqueur du risque de complication du diabète. Quand le taux d’HbA1c d’un patient se rapproche de la valeur cible, la contribution relative de la glycémie postprandiale au taux d’HbA 1c augmente. Si le taux d’HbA1c se situe entre 7 % et ◆ 1 1 PAGE OR MAGAZINESIZE DPS Unique PAAB-approved marketing option that allows manufacturers to answer physicians most frequently asked questions about their drug brand. Les médicaments antidiabé tiques s ta n da r d s pour abaisser la glycémie, mais ils son t t ous associés à des ef fets indésirables et à des risques. La metformine est un excellent médicament de première intention, mais jusqu’à 30 % des utilisateurs subissent des effets gastro-intestinaux. Le glyburide, une sulfonylurée, est associé à un risque d’hypoglycémie excédentaire de 39 %. 8 %, le fait de viser à la fois la glycémie postprandiale et la glycémie à jeun est plus susceptible de ramener ce taux dans les valeurs cibles que la réduction de la seule glycémie à jeun. Nous savons que le glucose administré par voie orale entraîne une meilleure réponse insulinique que le glucose administré par voie intraveineuse. Cela est dû au fait que l’ingestion de glucose (p. ex., lors d’un repas) déclenche la libération de deux importantes hormones intestinales dans la circulation sanguine : le GIP (glucose-dependent insulinotropic polypeptide) et le GLP-1 (glucagon-like polypeptide 1). Ces composés, appelés incrétines, aident à abaisser la glycémie postprandiale en stimulant la libération d’insuline par les cellules bêta du pancréas et en réduisant la quantité de glucagon sécrétée par les cellules alpha pancréatiques. Ces propriétés, ainsi que le retardement de la vidange gastrique, sont appelés « effet incrétine ». Les traitements basés sur les incrétines s’appuient sur ce phénomène. une sulfonylurée. Récemment, la sitagliptine, la saxagliptine et l’exénatide ont été approuvés pour être CLINICAL FOCUS* 4 PAGES Proven editorial process ensures balance, timeliness and credibility. Specialist and primary care contributors along with case studies, resource information and targeted focus. Printed on glossy, tabloid sized pages. CLINICAL FOCUS: CASE STUDY* Réda Ibrahim, MD, CSPQ, FRCPC Directeur de l’Unité des soins intensifs médicaux Institut de cardiologie de Montréal Professeur agrégé de médecine Université de Montréal Montréal (Québec) Marla Kiess, MD, FRCPC, FACC Directrice, Pacific Adult Congenital Heart Clinic St. Paul’s Hospital Professeure clinicienne Université de la Colombie-Britannique Vancouver (Colombie-Britannique) John Swiston, MD, MPH, FRCPC Vancouver General Hospital Professeur adjoint Université de la Colombie-Britannique Vancouver (Colombie-Britannique) IL EST ESSENTIEL QUE LES MÉDECINS DE FAMILLE COMPRENNENT QU’UN RAPPORT DE LABORATOIRE ÉVOCATEUR DU DIAGNOSTIC OU ÉQUIVOQUE NÉCESSITE DE FAIRE DES ANALYSES PLUS POUSSÉES ET QU’IL FAUT AGIR RAPIDEMENT, CAR CERTAINS CAS D’HTAP SONT SOIGNABLES ET RÉVERSIBLES. – DR MARLA KIESS L’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP) est un trouble progressif caractérisé par une pression anormalement élevée dans l’artère pulmonaire. L’HTAP peut être idiopathique ou familiale, ou secondaire à d’autres maladies. L’HTAP idiopathique est la forme la plus fréquente de la maladie. Les causes connues de l’HTAP sont la cardiopathie congénitale (CPC), des troubles des tissus conjonctifs, des mutations génétiques prédisposantes, certains médicaments et l’hypertension portale. Grâce à l’amélioration des soins médicaux et chirurgicaux, un plus grand nombre de personnes atteintes de CPC survivent après l’enfance. Par conséquent, les patients atteints d’HTAP associée à la CPC vivent plus longtemps et les médecins doivent garder cela à l’esprit quand ils envisagent les diagnostics possibles. Il y a eu d’importantes avancées au cours de la dernière décennie en ce qui concerne la compréhension et le traitement de l’HTAP par le milieu médical, ce qui s’est traduit par une prolongation 12-12-06 12:25 2 PAGES Focused update on management of a specific condition. Discussion is initiated through a case study. Specialist and primary care physicians provide their perspectives and insights on diagnosis, treatment and follow-up. Printed on glossy, tabloid sized pages. de l’espérance de vie – et surtout de l’espoir – des personnes affectées. Dans ce colloque, des leaders d’opinion en matière d’HTAP discutent des principaux aspects de la maladie et de son traitement ainsi que du rôle des médecins de famille pour accélérer l’établissement du diagnostic et la prise en charge. 1 QU’EST-CE QUE L’HTAP ? Dr John Swiston, Université de la Colombie-Britannique : L’HTAP est une maladie relativement rare de la circulation pulmonaire qui se caractérise par une augmentation de la résistance vasculaire pulmonaire du fait du remodelage et de l’occlusion des artérioles pulmonaires. Diverses maladies peuvent prédisposer au développement de l’HTAP, mais cette dernière survient parfois chez des personnes ne présentant aucun facteur de risque. L’HTAP idiopathique peut se produire sous une forme sporadique ou sous une forme familiale. S’agissant d’une maladie évolutive, HYPERTENSION PULMONAIRE CHEZ LES ADULTES PORTEURS D’UNE CARDIOPATHIE CONGÉNITALE : ÉTUDE PORTANT SUR UNE POPULATION QUÉBÉCOISE1 L’Unité des cardiopathies congénitales adultes de l’Université McGill a récemment mené une étude pour évaluer l’hypertension pulmonaire (HP) dans une population adulte ayant une cardiopathie congénitale (CPC) ainsi que l’impact du diagnostic sur la mortalité, la morbidité et l’utilisation des services de santé. Publiée plus tôt cette année dans le Journal of the American College of Cardiology, cette étude de cohorte rétrospective a porté sur 38 000 adultes ayant une CPC : 5,8 % de cette cohorte avait un diagnostic d’HP. Il est à noter que le diagnostic d’HP était 1,13 fois plus fréquent chez les femmes que chez les hommes, indépendamment de l’âge. Sur la base de leurs analyses, les chercheurs ont attribué cet écart à la différence de répartition de la CPC entre les sexes plutôt qu’à une susceptibilité biologique des femmes à l’HP. Le diagnostic d’HP a été associé à un taux de mortalité toutes causes confondues plus de deux fois plus élevé et à une augmentation plus de trois fois plus élevée du taux de complications morbides comme l’insuffisance cardiaque et l’arythmie. PUBLIÉ GRÂCE À UNE SUBVENTION À VISÉE ÉDUCATIVE DE ACTELION CANADA ◆ 1 AC_fakefrench.indd 1 Tilman Humpl, MD, Ph. D., FRCPC The Hospital for Sick Children Professeur agrégé, Université de Toronto, Toronto (Ontario) John Granton, MD, FRCPC University Health Network – Toronto General Hospital Professeur agrégé, Université de Toronto, Toronto (Ontario) Le risque d’hypoglycémie est similaire avec les nouvelles sulfonylurées et les glinides, bien que moins prononcé. Les thiazolidinediones (TZD) sont des aotentiel avec la maladie cardiaque (en ce qui concerne la rosiglitazone) et avec le cancer de la vessie (en ce qui concerne la pioglitazone) ont ette classe de médicaments. Le diabète lui-même est associé à un gain de poids et de nombreux médicaments antidiabétiques (notamment les sulfonylurées, les TZD et l’insulines traitements basécrétines s’attaquent au double défi que sont l’hypoglycémie et le gain de poids tout en assurant une capacité à abaisse Dans le diabète de type 2, les cellules bêta du pancréas perdent leur capacité de sécréter suffisamment d’insuline pour maintenir l’euglycémie. poussée d’insuline est également anormale. Le diabète de type 2 tend également à n entraînent l’hyperglycémie postprandiale.à jeun et la glycémie postprandiale contribuent à l’hémogl Nous saglycémie postprandiale en stimulant la libération d’insuline par les cellules bêta du pancréas et en réduisant la quantité le retardement de la vidange gastrique, sont appelés « effet incrétine ». Les traitements basés sur les incrétines s’appuient sur ce phénomène. une sulfonylurée. Récemment, la sitagliptine, la saxagliptine et l’exénatide ont été approuvés pour être Publication rendue Possible grâce à une subvention de novo nordisk canada 12-05-28 2:06 PM TENDANCES ÉMERGENTES EN MATIÈRE D’HYPERTENSION ARTÉRIELLE PULMONAIRE Avancées dans le diagnostic et le traitement de l’hypertension artérielle pulmonaire LACM_Colloque_20120509_V1.indd 1 12-05-01 15:00 COLLOQUIUM* 4 PAGES Virtual roundtable discussion among leading specialists. Emerging trends on clinical issues; balanced editorial. 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DiabÈte De t ype 2 MC ANIMATEUR À PROPOS DE CE QUE VOS PATIENTS DEVRAIENT SAVOIR À PROPOS DE CONSEILS POUR LA PRISE EN CHARGE D’UNE INFESTATION DE POUX 10/16 CUSTOM RESEARCH & ROUNDTABLE EVENTS PRIX Infirmières Médecins Pharmaciens Following the success of Pharmaciens de coeur et d’action and Médecins de coeur et d’ation awards, Prix Profession Santé seeks to highlight the passion and energy of Quebec healthcare professionals. Whether they are doctors, pharmacists or nurses, the winners of this prestigious award distinguish themselves by their innovation, their collaboration and their desire to share knowledge beyond the call of duty. To become a partner with this unique event is a great testimonial of your company‘s support of the extraordinary work of Quebec healthcare professionals! Please ask your account manager for details. 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The online home of ·ca For more information on all online advertising opportunities, please download our Digital Media Kit at ProfessionSante.ca/mediakits Leverage our audience and traffic for your communications campaign – from display and contextual to content and educational products, we can develop the right mix for your program. * PMB MMS 2013 ** As of Oct. 15, 2015 • Digital Bellyband •Expandable NEW leaderboard FOR and big box 2016! • In-banner video CONTEXTUAL AD PROGRAMS • Therapeutic Targeting • Specialty eNewsletters MOBILE & INTERACTIVE •Tablet •Mobile •Quizzes •Polls 12/16 MEDIA KIT 2016 DIGITAL PLATFORMS The brands that our readers cherish have not disappeared. On the contrary. Pharmacists and physicians have all the professionnal sector news that they depend on, thanks to L’actualité médicale and L’actualité pharmaceutique enewsletters that links to ProfessionSanté.ca, the portal physicians and pharmacists know and rely on. = In these enewsletters they will find news, bloggers and the L’actualité médicale and L’actualité pharmaceutique contributors they count on. With the L’actualité médicale and L’actualité pharmaceutique enewsletters, physicians and pharmacists get the latest in medical and pharmacy news, more often than before! + ONE BIG FAMILY! RATES (GROSS), AD SIZES & FREQUENCY Profession Leaderboard Big Box Wedge Open Frequency Rate* $610$690 $930 39% $520$570 $750 33% 728w × 90h pxs 300w × 250h pxs 40 kb 40 kb 5 x / Week (Monday to Friday) Subscribers** 3,898 Physicians 3 x / Week 11,100 (Monday, Wed- Pharmacists*** nesday & Friday) Image: 680w × 325h pxs 50-75 words + logo * AAM, June 30, 2015 ** As of Ocober 15, 2015 *** Including pharmacy students and technicians It’s true that L’actualité médicale and L’actualité pharmaceutique are no longer printed, but doctors and pharmacists still continue to receive “their” medical news and “their” pharmacy news regularly. These two well-read digital enewsletters brands are delivered several times a week to inboxes, bringing relevant news of their respective professions. 13/16 MEDIA KIT 2016 ENEWSLETTERS : THE “ACTUALITÉS” ONLINE eCortex.ca is an inter-professional learning platform for physicians, pharmacists and nurses - the only one of its kind in Canada. With accredited and non-accredited courses available to any profession, our ‘open-source’ approach provides our audiences with access to all programs, to advance their professional learning. eCortex.ca supports a range of education formats such as audio/video, PDF and PowerPoint presentations. We can post your existing CPD program or we can custom develop one for you. For more information on all online advertising opportunities, please download our Digital Media Kit at ProfessionSante.ca/mediakits ·ca PROGRAM OPTIONS: 1.Turnkey lesson development 2.Hosting / posting / promotion of your existing programs (i.e. repurposing of live events) • CME, CE and CPD content for physicians, pharmacists and nurses • Accredited and unaccredited (OLA) learning options • Built-in audience on CanadianHealthcareNetwork.ca/ ProfessionSante.ca • Reach extended via print promotion to 92,000 physicians and pharmacists with our leading publications • Content development in partnership with physicians or pharmacists organizations, academia and/or societies Ask your account manager for details and rates. 14/16 MEDIA KIT 2016 CONTINUING PROFESSIONAL DEVELOPMENT PLATFORM MECHANICAL SPECIFICATIONS n Allow 0.125” bleed on all four sides of full page ad (if applicable) n Single page ad size including bleed measures 11.0625” W × 16.875” D n Double page ad size including bleed measures 21.875” W × 16.875” D DIGITAL FILE ADVERTISING SPECIFICATIONS PDF/X-1a created to Magazines Canada specifications, sent online using Magazines Canada AdDirect at https://addirect.sendmyad.com Check www.magazinescanada.ca/ advertising/production/tools or contact the Production Manager for details. TYPE SAFETY All type matter of illustration material not intended to bleed to be kept 0.25” from publication trim. Double page spreads hold 0.25” from gutter on each page. Publisher is NOT responsible for line-up of type or images running through the gutter on spreads or single page to adjacent insert. Running type or image through the gutter is STRONGLY discouraged. Rogers Publishing does not accept responsibility for material content, or colour-trapping. METHOD OF PRINTING The publisher reserves the right to destroy all physical material supplied if not requested within 3 months from the last time of use. Offset METHOD OF BINDING Saddle stitch / binds to the head SPLIT-RUNS One split-run ad maximum permitted per issue. Ask for details and rates. GATEFOLD / REGIONAL / SPECIALITY ADVERTISING / POLYBAGGING / PRINTING Contact your Account Manager for information on these and other special requirements ENVIRONMENTAL POLICY STORING OF THE PHYSICAL MATERIAL SUPPLIED INSERTS n Inserting charge: $3,000 (non-commissionable) n Single leaf inserts – minimum paper, weight is 50lb. and maximum is 9 pt. (text) (between forms) n Multiple page inserts – minimum paper weight is 50lb. and maximum weight is 9 pt. n Contact the Production Manager for insert specifications and shipping instructions. For details on the Rogers Publishing environmental policy, please visit http://about.rogers.com/publishing paper.aspx COMMISSIONS n Agency commission: 15% of gross billing allowed on space, colour and premium position charges to recognized agencies only. n Prices are subject to additional sales tax where applicable. n Accounts payable at office of publication in Canadian funds or equivalent funds at the rate of exchange prevailing at time of payment. CONTRACT AND COPY REGULATIONS n Rates subject to change without notice. Advertisers and agencies assume liability for all content (text, representation, and illustrations) or advertisements printed, and also assume responsibility for any claims arising there from against the publisher. n Preferred positions, contracted for 12 months, non-cancellable (subject to penalty if cancelled) n Front cover tip-on subject to penalty if cancelled n GENERAL n Advertiser and agency agree that Profession Santé shall be under no liability for its failure for any cause to insert any advertisement. n All digital material will be destroyed one year after last use. n Publisher is entitled to payment as herein provided, upon having completed the printing of advertising and having taken reasonable steps to see the publication will be distributed. n Advertisements resembling editorial format will carry the word “Advertisement” in at least 10 pt. type at the top of the page MEDIA KIT 2016 FOR FULL PAGE ADVERTISERS 15/16 Your Account Managers Montréal Toronto Sylvie-Anne Breton 514 843-2953 [email protected] Norman Cook 416 764-3845 [email protected] Pauline Shanks 514 843-2558 [email protected] Scott Tweed 416 764-3906 Toll Free :1 800 668-8151 [email protected] CLASSIFIED Nancy Dumont 514 843-2132 Toll free: 1 866 415-2579 [email protected] ASSOCIATE PUBLISHER Pam Chodda Young 416 764-1433 [email protected] QUÉBEC PUBLISHER HEALTHCARE GROUP Caroline Bélisle 514 843-2569 [email protected] GROUP PUBLISHER ROGERS HEALTHCARE GROUP Janet Smith 416 764-3920 [email protected] EDITOR Caroline Baril 514 843-2573 [email protected] EDITORIAL DIRECTOR Rick Campbell 416 764-3891 [email protected] PRODUCTION MANAGERS Lisette Pronovost 514 843-2942 [email protected] Maria Tomasino 514 843-2147 [email protected] Montréal office 1200, avenue McGill College, bureau 800 Montréal (Québec) H3B 4G7 514 845-5141 Head office, Toronto One Mount Pleasant Road, 7th floor Toronto, Ontario M4Y 2Y5 416 764-2000 16/16 MEDIA KIT 2016 CONTACT US!