universite pedagogique de vilnius faculte de langues etrangeres

Transcription

universite pedagogique de vilnius faculte de langues etrangeres
UNIVERSITE PEDAGOGIQUE DE VILNIUS
FACULTE DE LANGUES ETRANGERES
DEPARTMENT DE LA PHILOLOGIE
ET DIDACTIQUE FRANCAISES
ETUDIANT DE II ANNEE DE MAGISTERE
VESLAV KURANOVIC
METHODOLOGIES DE L’ENSEIGNEMENT DES LANGUES ETRANGERES
ET LEUR EVOLUTION
MEMOIRE
Chef du travail: Dr. Z. Tarvydiene
VILNIUS
2009
SOMMAIRE
PAGE
I. INTRODUCTION………………………………………………………………………3
II. METHODE GRAMMAIRE/TRADUCTION……………………………………...…...4
III. METHODE DIRECTE…………………………………………………………………..5
IV. METHODE AUDIO – ORALE..………………………………………………………..6
V. METHODE AUDIO -VISUELLE………………………………………………………7
VI. SGAV………………………………………………………………………………….…8
VII. APPROCHE COMMUNICATIVE……………………………………………………..9
1. NIVEAU SEUIL……………………………………………………………………..…9
2. APPROCHE COMMUNICATIVE ET BEHAVIORISME……………………….…...9
3. STATUT DE L’ERREUR……………………………………………………….……...9
4. LE ROLE DE L’ENSEIGNANT………………………………………………………10
5. APPROCHE COMMUNICATIVE REVUE ET CORRIGEE……………………...…10
VIII PRINCIPALES COMPETENCES DE L’APPROCHE COMMUNICATIVE:
COMPREHENSION ORALE ET ECRITE, EXPRESSION ORALE ET ECRITE.........11
IV CONCLUSION……………………………………………………………………….….12
X
BIBLIOGRAPHIE…………………………...……………………………………….….15
INTRODUCTION
Je vais présenter toutes les méthodes, qui ont apparu au cours de l’histoire, en commençant par la
méthode “grammaire/traduction” et en finissant par l’approche communicative. Dans les
ouvrages de recherche on présentait <la méthode>, on parlait d’un manuel (un livre) et d’une
méthodologie (la manière d’enseigner et d’apprendre). Le manuel était un outil, bien qu’on en
trouve de bons et de moins bons, la qualité du cours d’habitude dépendait de celui qui se servait
de cet outil, qui adaptait, qui interprétait, c’est – à – dire que, les enseignants avaient pris un role
important, celui de créer les meilleurs conditions possible pour l’apprentissage. Il leur fallait bien
connaitre la méthodologie, le materiel étant un support d’activités du manuel.
On a qualifié le XX siècle d’ère scientifique de la didactique des langues étrangères. C’est en
effet dans les années cinquante que les chercheurs et les didactitiens ont tenté de donner des
fondements scientifiques à l’enseignement des langues.
La chronologie de méthodologies:
De 17e siècle au debut 20e siècle: Les méthodes traditionnelles.
De 1901 aux années 60: La methode directe.
De 1940 à 1970: La méthode audio – orale.
De 1960 a 1970: La méthodologie structure – globale audio visuelle.
De 1970 au present: L’approche communicative (Cuq, 24).
Depuis le 17e siècle jusqu’a nos jours, on a proposé beaucoup de méthodes utilisées en classe de
langue étrangère avec les différentes méthodologies des langues étrangères et en particulier du
français. Ces méthodologies se sont succéedées pour répondre à l’évolution des besoins
d’apprentissage des langues étrangères et à découvrir la meilleure formule d’éducation française
langue étrangère. L’histoire des méthodologies de l’enseignement/apprentisage des langues a fait
l’objet de nombreaux travaux, on ne donnera dans le cadre de mémoire que les grandes lignes de
cette évolution, qu’il est cependant indispensable do connaitre pour comprendre la complexité du
présent.
3
METHODE GRAMMAIRE/TRADUCTION
Cette méthodologie, directement inspirée de l’enseignement du latin, a été dominante du milieu
du XIXe siècle jusqu’au XXe (années 40/50), avec des cas de survivances actuelles. Elle vise la
maitrise de l’écrit littéraire. L’acquisition de la langue se fait par un enseignement de la
grammaire, par la pratique d’exercices de thèmes/versions et par l’explication de textes
littéraires. La langue n’est pas enseignée dans le but de communiqur, mais plus comme
discipline intellectuelle (Lobrot, 56).
L’enseignement se sert de la langue maternelle des élèves pour faire le lien avec la langue
étrangère, surtout dans l’apprentissage de la grammaire. Les règles de la grammaire et de
prononciation sont explicitement enseignées. L’accent est sur l’écrit (compléter des exercices de
grammaire + écrire des paragraphes, traduire des passages de la langue maternelle en français et
vice versa). La culture est apprise indirectement à travers la lecture des texts français. Les élèves
lisent des texts et répondent à des questions de compréhension. Les étudiants cherchent dans le
dictionnaire une définition ou une traduction du vocabulaire. L’enseignant corrige
systematiquement les erreurs des élèves à l’écrit et à l’oral.
4
METHODE DIRECTE
Méthodologie directe, ensemble de procédés d’enseignement des langues étrangères qui s’est
constitué, au debut du siècle, en relation avec l’évolution des théories éducatives. La méthode
directe réagit contre les conceptions traditionnelles qui faisaient de l’enseignement des langues
une discipline visant à développer les capacités d’analyses et à accumuler les connaissances de
vocabulaire et de grammaire, grace à des pratiques pédagogiques comme la traduction et
l’apprentissage de règles théoriques, avec l’accès aux texts littéraires et à la “culture” comme
objectifs essentiels.
Elle met l’accent sur l’expression orale et le recours immédiate et constant à la langue étrangère
( le “bain linguistique”). Le professeur évite de faire appel à la traduction, suscite une activité de
découverte chez l’élève en présentant la nomenclature étrangère à partir des objets réels ou
figurés. Le dialogue est souvent de type pédagogique, c’est – à – dire à sens unique, ( question
du professeur – réponse de l’élève) et la “performance” de l’élève est un moyen de vérification
de ses connaissances. Dans cette méthodologie, le role du professeur est primordial, puisqu’il a
la charge d’introduire dans la classe tous les éléments nécessaires à la compréhension des faits de
langue. La méthode directe donne une grande importance à l’acquisition du vocabulaire et fait
volontiers usage du centre d’intéret. Elle n’a pas preté assez attention à la specificité de la langue
par rapport aux autres matières d’enseignement et la révolution pédagogique qu’elle a introduit
n’est pas fondée sur une révision sérieuse des postulats linguistiques et méthodologiques. Il n’en
reste pas moins que la méthode directe a posé les premiers jalons d’une évolutions qui n’a cessé
de se préciser à travers les apports de la méthode audio – orale et de la methode audio – visuelle.
5
METHODE AUDIO – ORALE
La méthode audio – orale est née pendant la 2e guerre mondiale pour répondre aux besoins de
l’armée américaine de former rapidement des gens parlant d’autres langues que l’anglais.
L’objectif de la MAO était parvenir à communiqur dans la vie quotidienne et on a donné la
priorité à l’oral dans l’ordre suivant:
Comprendre, parler, lire et écrire (les 4 aptitudes). Et la traduction était pourtant autorisée.
L’organisation des cours et de la méthodologie utilisée étaient:
La méthode orale. L’insegnant lisait un dialogue simple. Il aidait à la compréhension par
l’intonation, les gestes et expressions du visage, après deux ou trois lectures.
La méthode répétitive. Les apprenants commençaient à répéter en choeur après lui, phrase par
phrase. On leur faisait alors passer une feuille des textes et la répétition en choeur ou en équipe
reprenait. Les fautes de pronunciation étaient corrigées
La méthode imitative. Une série d’expressions ou de mots essentiels tirés dans leur ordre du
dialogue que les apprenants ont simultanement commencé à apprendre en different coins de la
classe, mais ils étaient obligé d’écouter avec attention et de parler fort, si bien que les apprenants
devaient mémoriser tandis que l’enseignant, il corrigeait la pronunciation des apprenants et
dirigeait la communication en classe.
6
METHODE AUDIO – VISUELLE
A partir de la deuxième guerre mondiale, l’anglais devient de plus en plus la langue des
communications internationales et le français se sont alors menacé. La France a besoin de
renforcer son implantation dans les colonies, de restaurer son prestige à l’étranger et de lutter
contre l’essor de l’anglais. Elle va faire de l’enseignement du FLE une affaire d’Etat. C’est
pourquoi le Ministère de l’Education Nationale a mis sur pied une Commission charge de mettre
au point “le français élémentaire” (rebaptisé plus tard français fundamental), conçu comme une
gradation grammatical et lexical élaborée à partir de l’analyse de la langue parlée. C’est le
linguiste G. Gougenheim et le pedagogue P. Rivenc entre autres qui sont chargés de cette
mission en vue de faciliter l’apprentissage et par-la meme la diffusion du français.
Selon C. Puren, la MAV française est une méthode originale, parce qu’elle constitue une
synthèse inedite entre l’héritage directe, la méthodologie induite par les moyens audiovisuels et
une psychologie de l’apprentissage specifique, le structuroglobalisme. La MAV se situait dans le
prolongement de la méthodologie directe tout en essayant de donner des solutions aux problèmes
auxquels s’étaient heurtés les méthodologies directes. Les didacticiens français ont également
reconnu l’influence décisive américaine dans les débuts de l’élaboration de la MAV française,
cependant c’est Chomsky qui influencera la suite de son élaboration et la méthodologie finie.
7
SGAV
Méthodologie structure globale audio – visuelle, ensemble d’hypothèses méthodologiques qui
ont trouvé leur expression, en France en particulier, avec les travaux des équipes de Zagreb et de
Saint Cloud, à partir des années 1950. Ces hypothèses, ensuite diversifiés et adaptées par
d’autres méthodologies, s’appuient sur les considérations, les choix et les principes suivants.
Au plan méthodologique:
Choix d’une langue contemporaine et délimitation de la matière à enseigner en fonction des
imperatives de la communication, présentation graduelle des divers usages sociolinguistiques,
priorité – non primauté – étant donnée à l’oral, importance accordée à la situation et au context
dans lesquels apparaissent les formes linguistiques au locuteur et aux relations qu’il entretient
avec la situation, l’interlocuteur et son proper message, l’établissement d’une progression fondée
sur les caractères structuraux de la langue enseignée, mais visant plus à dégager des paliers
successifs dans les possibilités de communication qu’à parcourir au plus vite l’ensemble des
règles du système.
8
APPROCHE COMMUNICATIVE
Les origines de l’approche communicative s’expliquent par la remise en question de certains
principes de l’approche situationnelle vers la fin des années soixante. Les travaux de Hymes aux
Etats – Unis vont conduire à repenser la didactique des langues en la faisant reposer sur le
principe selon lequel la langue est un instrument de communication est surtout d’intersaction
sociale. Dans cette perspective, savoir communiquer signifierait préparer l’apprenent aux
échanges avec des locuteurs natifs, par exemple pouvoir interpréter la signification d’énoncés par
rapport à la situation de la communication (intention, statut, rang social de l’interlocuteur etc). Il
ne suffit donc plus de connaitre les aspects spécifiquement linguistiques d’une langue étrangère
pour communiqur efficacement, il faut aussi en connaitre les règles d’emploi. Les contenus à
enseigner, en favorisant les documents authentiques, doivent etre déterminés en function des
besoins des apprenants et non plus selon un ensemble des structures linguistiques.
NIVEAU SEUIL
L’évolution des théories linguistiques citées plus haut a permis d’instaurer un champ favorable à
l’avènement de l’Approche Communicative. Mais c’est en 1975 que ses traits caractéristiques se
dessinent réellement lorsque le Conseil de l’Europe définit le “Threshold Level” (Niveau Seuil)
pour l’Anglais qui servira de modèle pour toutes les autres langues.
APPROCHE COMMUNICATIVE ET BEHAVIORISME
L’Approche Communicative dans l’enseignement des langues voit le jour en pleine période
structuraliste ou pédagogies béhaviorists étaient en plein essor. Si les méthodes audio – orales et
audio – visuelles des années 60-70 offraient l’apport de nouvelles technologies en cours de
langues, ells puisaient encore beaucoup dans des approaches structuralistes traditionnelles.
STATUT DE L’ERREUR
Avec la définition de Niveau Seuil du conseil de l’Europe, les objectifs pour les apprenants de
langues étrangères ont changé considérablement. Le mythe du bilinguisme parfait est remis en
question. Il ne s’agit plus de maitriser parfaitement la langue cible avec un accent irreproachable
mais avant tout d’etre operationnel grace à un baggage suffisant pour pouvoir communiqur dans
un pays étranger.
9
LE ROLE DE L’ENSEIGNANT
Comme nous l’avons compris, le role du professeur a considerablement évolué lors des
premières applications pédagogiques de l’Approche Communicative. Il n’est plus “le maitre” qui
détient le savoir et qui n’autorise les interventions des “élèves” que lorqu’ils sont interrogés. Il
deviant un chef d’orchestre, limitant ses prises de parole et encourageant une participation orale
spontanée.
L’APPROCHE COMMUNICATIVE REVUE ET CORRIGEE
C’est seulement vers la seconde moitié des anneés 80 que les premiçres manuels officiels
apparurent, prenant réellement en compte les grands principes pédagogiques de l’Approche
Communicative: authenticité, contexte, interaction, centration sur l’apprenant etc.
10
PRINCIPALES COMPETENCES DE L’APPROCHE COMMUNICATIVE:
COMPREHENSION ORALE ET ECRITE, EXPRESSION ORALE ET ECRITE
Dans l’optique de l’approche communicative, le contenu de l’enseignement du français langue
étrangère est reparti en quatre compétences de communication. Les compétences deviennent
effectivement quatre axes principales du cursus d’enseignement de la pratique de langue des
l’enseignement général à l’enseignement superieur.
En effet, toutes les activités en classe de langue convergent à un seuil but de faire construire les
quatre compétences spécifiques et correlatives de communication. Or, que ce soit l’expression
orale ou écrite, la capacité à mobiliser et manier le vocabulaire semble indispensable car celui –
ci constitue les matériaux essentiels pour toute acte langagier.
D’abord nous observons les aspects essentiels qui conditionnent le niveau de maitrise lexicale
des locuteurs lexicale. Par ailleurs, l’apprentissage d’un mot d’une langue étrangère ne se limite
pas simplement à connaitre sa forme et ses significations mais encore à apprendre plein
d’éléments importants qui le concerne tells que des mots de meme famille, ses possibilités
d’associations avec d’autres mots (ses co-occurences), ses constructions syntaxiques, des reseaux
lexicaux dont il est un adhérent dans le discours, connaissance de ses références qui sont dans
certains cas trop loin de l’environnement de vie des apprenants (traits culturels des mots), sa
valeur stylistique.
11
CONCLUSION
J’ai voulu bien répondre à mon but du petit-méméoire, qui était prioritaire dans ce travail. Dans
ce
petit-mémoire
j’ai
abordé
quelques
parties
telles
que:
l’introduction,
méthode
grammaire/traduction, méthode directe, méthode audio/orale, méthode audio/visuelle, SGAV,
approche communicative, statut de l’erreur, rôle de l’enseignant, principales compétences de
l’approche communicative: compréhension orale et écrite, expression orale et écrite, conclusion,
bibliographie. Dans ce petit-mémoire je me suis servi de 25 ouvrages, pour bien concrétiser mon
travail.
Aujourd’hui la didactique comme science occupe une très grande place dans la vie de
l’enseignant,
c’est
lui
–
même
qui
doit
bien
connaître
toutes
les
règles
d’enseigement/apprentissage pour que l’enseignement soit productif. Chaque enseignant doit
choisir les meilleures méthodes d’enseignement, et les varier de temps en temps afin que son
travail ne soit pas ennuyeux et soit efficace. L’enseignant par ses méthodes doit intéresser les
apprenants, et leur inculquer le désir d’apprendre et de continuer à s’instruire toujours avec une
curiosité infinie.
La méthodologie c’est la clé dans un nouveau monde de l’apprentissage. En enseignant les
langues étrangères il faut toujours connaître beaucoup de méthodes, et les employer en
enseignant, pour que le travail soit productif et les résultats soient les meilleurs.
La méthode grammaire - traduction:
En analysant cette méthode j’ai tiré la conclusion que, dans cette méthode l'accent est mis sur la
grammaire et la traduction. La langue est conçue comme un ensemble de règles et d'exceptions.
Cette méthode est utilisée pour former des traducteurs de la langue littéraire, et elle a été utilisée
pour enseigner les langues classiques comme le grec et le latin.
La méthode directe:
Cette méthode, selon les chercheurs est fondée sur l'observation de l'apprentissage par l'enfant.
La méthode directe repose sur le postulat de la similarité d'apprentissage en milieu naturel, et en
contexte scolaire. L’objectif principal de cette méthode est d'apprendre à utiliser la langue pour
communiquer.
12
La méthode audio-orale:
Cette méthode est basée sur les théories behavioristes de B. F. Skinner qui mettent l'accent sur la
répétition comme moyen d'apprentissage.
On insiste sur la capacité des apprenants à parler en faisant beaucoup d'exercices structuraux, ou
des "drills," dans lesquels il faut répéter des phrases plusieurs fois. L'enseignant sert de modèle
parfait et les élèves doivent être capables d'imiter ce qu'il dit afin qu'ils soient compris par des
locuteurs natifs.
La méthode audiovisuelle:
la théorie montre que, une des principales raisons du succès des méthodes audiovisuelles semble
correspondre au faible investissement qu’elles requièrent de ceux qui les pratiquent.
La méthode SGAV:
La méthode SGAV (structuro-globale audio-visuelle) est centrée sur l'apprentissage de la
communication, surtout verbale. La langue est vue avant tout comme un moyen d'expression et
de communication orale. L'écriture n'est considérée que comme un dérivé de l'oral; le non-verbal
(gestes, mimiques, etc.) est très important dans cette méthode. Dans la méthode SGAV,
l'apprenant n'a aucun contrôle sur le développement ou sur le contenu du cours, mais il est actif
puisqu'il doit continuellement écouter, répéter, comprendre, mémoriser, et parler librement.
Cependant la méthodologie SGAV est entrée en déclin et a cédé sa place à l’approche
communicative basée sur d’autres théories linguistiques (le fonctionnalisme) et psychologiques
(le cognitivisme).
L'approche communicative:
Les besoins de l'apprenant sont pris en considération en fonction de ses objectifs. La langue est
vue avant tout comme un instrument d'interaction sociale. Les chercheurs de l'approche
communicative se basent sur la psychologie cognitiviste marquée par la linguistique
chomskyenne et l'apprentissage d'une langue étrangère est vue comme un processus beaucoup
plus créateur et soumis plus à des mécanismes internes qu'à des influences externes.
13
Compétences de l’approche communicative
Du point de vue de l'approche communicative, l'enseignement du FLE est axé sur les quatre
compétences compréhension orale et écrite, expression orale et écrite.
Actuellement, les enseignants visent essentiellement les objectifs terminaux qui consistent à
développer les quatre compétences de communication en accordant aussi l'importance aux
objectifs intermédiaires dont le développement de la capacité à utiliser les mots car ceux-ci
jouent un rôle très important dans la compréhension et l'expression langagières.
14
BIBLIOGRAPHIE
1. Cuq J. P., Gruca I.- Cours de didactique du français langue étrangère et seconde.-Grenoble: Pug, 2003.
2. Girard D.- Enseigner les langues: méthodes et pratiques.-Paris: Bordas, 1976.
3. Boyer H., Butzbach, M., Pendanx M.- Nouvelle introduction à la didactique du français langue
étrangère.- Paris: Clé international, 1990.
4. Galisson R.- Pour un nouvel enseignement des langues.- Paris: Clé international, 1991.
5. Bolton S.- Evaluation de la compétence communicative en langue étrangère.- Paris: Hatier / Didier,
1991.
6. Apostel L.- Syntaxe Sémantique et Pragmatique in Logique et connaissance scientifique.-Paris:
Gallimard, 1968.
7. Bautier – Casting E.- De la langue à l’élève : enseignement ou apprentissage.-Paris: Hachette Larousse, 1988.
8. Bresson F.- Acquisition et apprentissage des langues vivantes.- Paris: Larousse, 1970.
9. Care J. M., Debyser F.- Jeu langue et créativité.- Paris: Hachette - Larousse, 1978.
10. Coste D.- Décrire et enseigner une compétence de communication : remarques sur quelques solutions
de continuité.- Paris: Hachette - Larousse, 1976.
11. Coste D.- Un niveau – seuil.-Paris: Hachette – Larousse, 1979.
12. Papo E., Courtillon – Leclercq J.- Le niveau – seuil établi pour le français peut – il renouveler la
conception des cours (audio – visuelles) pour débutants.-Paris: Hachette - Larousse, 1977.
13. De Landsheere V. et G.- Définir les objectifs de l’éducation.- Paris: Puf, 1975.
14. Gumperz J., Hymes D.- Directions in sociolinguistics The etnography of communication. New – York:
Puf, 1972.
15. Lamy A.- Pédagogie de la faute ou de l’acceptabilité.-Paris: Didier, 1976.
16. Lobrot M.- La pédagogie institutionnelle.-Paris: Gauthiers - Villars, 1968.
15
17. Pages M.- L’orientation non – directive en psychoterapie et en psychologie sociale.-Paris: Dunod,
1970.
18. Price E.- WilliaMS I. T. Early bilingualism, an experiment in the early presentation of a second
language._New – York: Cardiff, 1968.
19. Py B.- Etude experimentale de quelques stratégies d’apprentissage d’une langue étrangère par les
adultes.-Paris: Didier, 1976.
20. Richterich R., Chancerel J. L.- L’identification des besoins des adultes apprenant une langue
étrangère.-Paris: Clé international, 1980
21. Rogers C.- Liberté pour apprendre.- Paris: Dunod, 1972.
22. Roulet E.- L’apport des sciences du langage à la diversification des méthodes d’enseignement des
langues secondes en fonction des caractéristiques des publics vises.- Paris: Didier, 1976.
23. Roulet E.- Pour une meilleure connaissance du français à enseigner.- Paris: Hachette – Larousse, 2000.
24. Roulet E.- Un niveau – seuil présentation et guide d’emploi.-Paris : Didier, 1989.
25. Watzlawick P., Hamick Beavin J. Jackson D.- Une logique de la communication.-Paris: Seuil, 1972.
16

Documents pareils

DES MÉTHODES SGAV À L`APPROCHE COMMUNICATIVE EN

DES MÉTHODES SGAV À L`APPROCHE COMMUNICATIVE EN AC : 1. Un Niveau-Seuil pour le français (Conseil de l’Europe 1977) + adaptation pour le milieu scolaire – étape fonctionnelle-notionnelle (v. méthode Archipel) 2. le CECRL (Conseil de l’Europe, an...

Plus en détail