La Trilatérale est au service du Nouvel Ordre Mondial,Les

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La Trilatérale est au service du Nouvel Ordre Mondial,Les
La Trilatérale est au service
du Nouvel Ordre Mondial
Publié le mai 20, 2009 | Par AMIFr
Par Pierre Hillard
La Trilatérale est une organisation méconnue du public
français. Croyant que le suffrage universel représente l’arme
décisive pour changer le cours des choses, les Français
ignorent en fait que les véritables acteurs de la vie
politique et économique se trouvent au sein de « centres de
réflexion » nourris par des multinationales.
Des groupes ultra puissants comme le Bilderberg, le Lucis
Trust, le Council on Foreign Relations (le CFR pour les EtatsUnis concernant la politique étrangère), l’European Council on
Foreign Relations (l’ECFR pour l’Union européenne), la
Fondation Bertelsmann pour ne citer que ces cas représentent
les relais du pouvoir mondial en gestation. Coopérant
étroitement entre eux, ces groupes élitistes constituent les
différents musiciens permettant à l’orchestre mondialiste de
jouer une partition intitulée : « Vers une gouvernance
mondiale ». Dans cette affaire, un groupe solidement implanté
joue aussi son rôle en faveur d’une unification planétaire :
la Trilatérale.
Créée en 1973 par Zbigniew Brzezinski (conseiller du président
Obama) et David Rockefeller (ancien président du CFR pour ne
citer que ce cas), la Trilatérale est constituée de trois
entités : l’Amérique du Nord, l’Europe et le Japon. L’objectif
de la Trilatérale comme l’affirme Brzezinski dans un article
du Figaro est de permettre aux Etats de « faire face à des
problèmes de plus en plus partagés – financiers, économiques
et stratégiques – et qu’ils sont de moins en moins en mesure
de régler, sans au moins se concerter plus étroitement dans
leur propre intérêt et dans celui du reste du monde (…). D’où
l’idée d’un groupe non gouvernemental de réflexion et de
proposition, une centaine d’hommes et de femmes – d’Etat comme
d’affaires, de syndicat comme d’université -, qui pourrait
nous habituer à travailler ensemble et à mieux réconcilier nos
politiques. Un groupe qui a eu le bonheur de compter dans ses
rangs des Français tels que Paul Delouvrier, Robert Marjolin,
Raymond Barre, Simone Veil, François de Rose, Hubert Védrine,
parmi tant d’autres … (…). La Trilatérale a beaucoup fait en
son temps pour nous rapprocher – nous Américains, Européens et
Japonais (…). L’un de ses rejetons a été le groupe des Sept
(le G-7) » .
En fait, la Trilatérale œuvre en faveur d’une gouvernance
mondiale en procédant par étape. Ainsi, l’une d’entre elle
consiste à créer un bloc euro-atlantique unifié dans les
domaines politiques, économiques et militaires. Les personnes
clefs à la tête de cet institut le confirment aisément. Le
président de la Trilatérale Europe est l’Irlandais Peter
Sutherland. Outre son passage à la tête de l’OMC (Organisation
Mondiale du Commerce), il est aussi le président européen d’un
institut euro-américain ultra puissant oeuvrant en faveur
d’une Union atlantique : le TPN (Transatlantic Policy Network,
réseau politique transatlantique). Ce TPN soutenu par les
grandes multinationales (Boeing, Michelin, Coca-Cola,
Bertelsmann, Nestley, Microsoft, etc) a affiché clairement ses
objectifs : la création d’un seul bloc atlantique à l’horizon
2015. Le rôle de Peter Sutherland à la tête de ces deux
instituts est de mener à bien cette ambition. Face à ces
objectifs, il n’est donc pas étonnant de relever le nom du
vice-président de la Trilatérale Europe, Hervé de Carmoy. En
effet, ce dernier est l’auteur d’un ouvrage au titre explicite
et résumant
Euramérique.
la
finalité
du
projet
transatlantique,
Dans ce travail de fond, la Trilatérale ne laisse rien au
hasard. En effet, lors des travaux Giscard en 2003/2004 en
faveur d’une constitution européenne, le véritable meneur fut
l’Anglais Lord Kerr of Kinlochard, membre de la Trilatérale
Europe. Ancien président de la société pétrolière Shell,
ancien ambassadeur aux Etats-Unis, il fut aussi le secrétaire
général à la Convention européenne auprès de Valéry Giscard
d’Estaing. Une telle fonction est logique puisqu’il s’avère
nécessaire de créer un pilier politique européen associé au
pilier nord-américain dans le but de donner naissance à une
Union atlantique. Cet idéal était déjà affiché par le
Fondateur de la Paneurope, Richard de Coudenhove-Kalergi qui,
dans un discours de 1950, appelait à la naissance d’une «
Union atlantique » aboutissant à une « fédération à trois », «
l’Angleterre faisant le pont entre l’Europe et l’Amérique ».
Ces informations soulignent l’importance de la Trilatérale.
Son action doit être dénoncée car elle participe à la
formation d’une gouvernance mondiale destructrice des nations
et des traditions.
Les Juifs qui ne le sont pas
Les Rockefeller, Juifs ou WASP ?
Dans une conversation sur la conjoncture actuelle ou sur un
problème de société, si quelqu’un vous sort, comme un cheveu
sur la soupe, le nom de Rockefeller : vous pouvez être sûr que
dans les trois minutes qui suivent, il va évoquer le
mondialisme, la « finance » (haute, ou mondiale, ou
internationale), le cercle Bilderberg, la Trilatérale ou les
Illuminati. Ou encore, les chemtrails ou le Mossad.
Même si votre interlocuteur se garde bien d’employer le mot
juif, vous avez affaire, de façon quasiment certaine, à
quelqu’un qui voit un complot derrière le communisme et le
capitalisme, derrière les crises économiques et derrière le 11
septembre, derrière la baisse de son pouvoir d’achat. Peutêtre que oui ou peut-être que non.
Rockefeller sans terre ?
Mais pourquoi Rockefeller ? Eh bien, puisque les Juifs sont
riches, c’est bien connu, alors les riches sont juifs ; et les
Rockefeller, étant très riches, sont sûrement très juifs !
En fait les Rockefeller sont des
Huguenots, originaires de France et
émigrés pour cause de persécutions.
Wikipedia, sur John Davison Rockefeller : « Baptiste, sa mère
lui apprend très jeune que le devoir de tout chrétien est de
donner la dîme au Seigneur. » Il était aussi avancé, à un
moment donné, que sa grand-mère aurait été d’origine française
et « portait le nom de Roquefeuille ».
Et plus tard, dans sa vie d’adulte, « Il est un fidèle de la
congrégation baptiste d’Erie Street. La piété est une ligne
directrice tout au long de sa vie, et Rockefeller voyait
volontiers dans son succès un signe d’élection : « L’argent me
vient de Dieu ». Il se sent justifié par la maxime de John
Wesley [prêtre et théologien anglican] « Faites de votre
mieux, épargnez ce que vous pouvez épargner, donnez tout ce
que vous pouvez donner. » »
On pourrait l’exprimer dans un meilleur français, mais c’est
clair. Le fondateur de la dynastie Rockefeller n’était pas
plus juif que Smith et Wesson… je veux dire, Smyth et Wesley.
L’épouse de John Davison Rockefeller Senior s’appelait Laura
Spelman, un nom que certains obsédés rapprochent de Spielmann
et de ses variantes, mais elle n’était absolument pas Juive.
Son père, Harvey Spelman, descendait d’une famille de
protestants puritains, et sa mère, Lucy Henry, était également
chrétienne.
John Davison Rockefeller Junior était le cinquième enfant et
le seul fils de John Davison Rockefeller. Il épousa Abby
Greene Aldrich, la fille du sénateur Nelson Wilmarth Aldrich.
Rien de juif là non plus. David Rockefeller est l’un de leurs
six enfants, et le père de David Rockefeller Junior.
John Davison, fils de John Davison… David, fils de David… Aije besoin d’ajouter qu’un fils portant le même prénom que son
père, cela n’existe tout simplement pas chez les Juifs ?
Ceci dit, David Rockefeller et sa famille font partie du
premier cercle, les 8 familles qui dirigent le monde et
veulent un gouvernement mondial totalitaire à leur profit
exclusif. C’est avéré et les preuves pullulent, y compris
venant de sa propre bouche. Ils ont fait leur fortune avec le
pétrole, leur homme de main est Henry Kissinger, et David a
inventé le club Trilatérale afin de dominer le monde. Pas un
gentil coco !
Bon ! Cet article ne vise nullement à défendre les Juifs. On
ne peut qu’être violemment critique de certaines choses, dont
certaines confinent aux crimes de masse, comme en Palestine.
Le sionisme est une idéologie à combattre, tout comme il ne
faut pas admettre les thèses tordues des antisémites.
Ce site-ci, algarath.com ne roule aucunement pour les Juifs,
pas plus qu’il ne s’autorise à les ostraciser, et ici on n’est
pas des Juifs. C’est un fait que la finance mondiale est à
grande majorité juive, que ses croyances sont juives (Shemitah
/ Julbiée) mais ce sont eux, les financiers banksters qu’il
faut combattre, pas la communauté dont ils proviennent. Ne pas
faire l’erreur de se livrer à ce qu’on appelle en bon français
une fausse récurrence.
Les lecteurs et commentateurs ici, comme ses auteurs, sont des
gens équilibrés, sages, modérés et justes, non sujets à des
haines incontrôlées. Il y a des tas de sites qui laissent les
gens se défouler contre les Arabes, les Musulmans, les Juifs,
ou que sais-je encore. Ce n’est pas ici.
Désolé si cette précision nette, claire, et sans ambiguïté,
éloigne certains lecteurs de ce site qui n’y retrouveront pas
un partage complaisant de leur obsession, mais je pense que la
vérité que nous cherchons tous n’est pas dans la haine d’une
communauté, quelle qu’elle soit. Elle se trouve dans la
recherche des causes qui nous tiennent esclaves et surtout de
la finance mondiale et de son élite.
Algarath
La commission Trilatérale
On ne peut pas sérieusement comprendre
comment ce monde est soumis à une élite
sans comprendre ce que sont la Cité de
Londres, Washington DC, le Vatican, le
Bilderberg, Le CFR, le Siècle, les
Francs-Maçons, les Jésuites, et il y en a
d’autres. Parmi eux la Trilatérale, dont
je parle ici.
On peut la relier à David Rockfeller, Henry Kissinger et
Zbignew Brzezinski, des poids lourds du Nouvel Ordre Mondial,
mais pas qu’à eux comme on va le voir. On a aussi des
politiciens au plus haut niveau comme Georges Bush, Jimmy
Carter, Bill Clinton et Hillary Clinton.
Dans le domaine économique, Tim Geithner, Paul Volcker, Alan
Greenspan en sont membres. Ces gens-là ont façonné la finance
américaine et la Réserve Fédérale pendant près de 20 ans. En
Europe beaucoup de dirigeants de l’Union Européenne sont
membres de la Trilatérale.
La Trilatérale joue un rôle énormément plus important dans
certains pays et gouvernements, et notamment aux Etats-Unis,
alors qu’en France ils jouent un rôle très mineur.
La Trilatérale joue un rôle important dans l’Administration
Obama.
Bon ! Allons-y pour quelques pages sur cette organisation très
puissante.
Algarath
Comment David Rockefeller et ses amis
dirigent le monde
La Commission Trilatérale (parfois abrégée en Trilatérale) est
une organisation privée qui fut créée en 1973 à l’initiative
des principaux dirigeants du groupe Bilderberg et du Council
on Foreign Relations, parmi lesquels David Rockefeller, Henry
Kissinger et Zbigniew Brzezinski. Regroupant 300 à 400
personnalités parmi les plus remarquées et influentes – hommes
d’affaires, hommes politiques, décideurs, « intellectuels » –
de l’Europe occidentale, de l’Amérique du Nord et de l’Asie du
Pacifique (États dont la plupart sont également membres de
l’OCDE), son but est de promouvoir et construire une
coopération politique et économique entre ces trois zones clés
du monde, pôles de la Triade. À l’instar du groupe Bilderberg,
il s’agit d’un groupe partisan de la doctrine mondialiste,
auquel certains attribuent, au moins en partie,
l’orchestration de la mondialisation économique.
L’oligarchie US défend ses intérêts de classe et garde le
contrôle du pouvoir politique à l’échelle nationale en
s’appuyant sur des sociétés secrètes telles que les Skull &
Bones ou des clubs sélects comme le Council on Foreign
Relations(CFR). Au plan international, elle utilise des
groupes élitistes, par exemple le groupe de Bilderberg qui
cherche à intégrer à son projet les oligarchies d’autres pays
pour l’émergence d’une gouvernance mondiale. Le rôle de la
Commission Trilatérale avait été remis en lumière avec la
nomination du chef de sa section Europe, Mario Monti, comme
Premier ministre italien, qui ne l’est plus aujourd’hui.
La Trilatérale et Obama
Pendant ses dix premiers jours de sa présidence, Barack Obama
a nommé onze hauts fonctionnaires issus de la Commission
trilatérale à des postes clés de son administration,
introduisant ainsi une puissante force extérieure dans le
leadership de son gouvernement, mais avec un agenda de base
qui porte plutôt préjudice aux citoyens des États-Unis.
Outre ces nominations, Obama a appelé à la Maison-Blanche
plusieurs membres illustres de la Commission trilatérale, dont
Zbigniew Brzezinski, son principal conseiller en politique
extérieure. Brzezinski est cofondateur de la Commission (1973)
avec David Rockefeller.
La Commission trilatérale a une grande responsabilité dans
l’état actuel du monde. Elle fut constituée en 1973 comme un
forum mondial de « penseurs », devenus les artisans du
tournant multinational pris par le capitalisme dans le sens
d’une radicalisation du courant de pensée keynésien le plus
classique de l’économie : rôle de l’État, intensification de
l’exploitation mondiale du travail, hégémonie militaire
mondiale des pays les plus riches de la planète et de leurs
compagnies transnationales.
Henry Kissinger avec Sarah Palin, John McCain, Hillary Clinton
et George Bush Jr.
La Trilatérale est une sorte de grand parti politique mondial.
D’après son site Web, elle fut créée par des personnalités du
Japon, de l’Union européenne, et d’Amérique du Nord (ÉtatsUnis et Canada) dans le but de promouvoir et de construire une
coopération plus étroite entre les principales régions
démocratiques et industrialisées du monde [en opposition au
camp socialiste de l’époque] pour partager les responsabilités
dans la direction d’un système international élargi.
Selon sa liste officielle, la Commission trilatérale compte
424 membres, dont 87 seulement sont États-uniens. Ainsi, au
cours de ses deux premières semaines à la Maison-Blanche, le
nombre de représentants gouvernementaux désignés par Obama
constitue 12 % de la représentation des États-Unis à la
Commission. Il entretient bien d’autres liens avec la
Trilatérale, comme par exemple la présence en qualité de
membre permanent de William Jefferson Clinton (Bill), le mari
de la Secrétaire d’État, Hillary Clinton. Voici les onze
personnes désignées par Obama :
Tim Geithner, secrétaire au Trésor
Susan Rice, ambassadrice auprès des Nations unies
Le général James L. Jones, conseiller à la Sécurité nationale
Thomas Donilon, conseiller pour les questions de Sécurité
nationale
Paul Volker, président de la Commission pour la reprise
économique
L’amiral Dennis C. Blair, directeur du Renseignement national
Kurt M. Campbell, secrétaire d’État adjoint pour l’Asie et le
Pacifique
James Steinberg, Député secrétaire d’État
Richard Haass, envoyé spécial du Département d’État
Dennis Ross, envoyé spécial du Département d’État
Richard Holbrooke, envoyé spécial du Département d’État
L’administration Obama et la Commission trilatérale
entretiennent bien d’autres liens. À titre d’exemple,
signalons que le groupe informel de conseillers du secrétaire
au Trésor, Tim Geithner, réunit les membres de la Commission :
E. Gerald Corrigan, banquier et ancien président de la Réserve
fédérale ; Paul Volker, aujourd’hui à la tête pensante de la
relance économique d’Obama ; Alan Greenspan, le dernier
responsable de la Réserve fédérale, et Peter G. Paterson,
éminent banquier et investisseur.
Frais émoulu de l’Université, Geithner se mit immédiatement au
service du « trilatéraliste » chez Henry Kissinger, aux
bureaux Kissinger & Associates. Un autre membre de la
Commission trilatérale, le général Brent Scowcroft, un
commerçant devenu banquier, fut conseiller officieux d’Obama
et mentor de l’actuel secrétaire à la Défense Robert Gates.
Robert Zoelick, ancien secrétaire au Commerce et actuel
président de la Banque mondiale nommé sous l’administration
G.W. Bush, est lui aussi membre de la Commission.
Le site Web signale : « La Commission trilatérale est composée
de près de 400 noms illustres du monde des affaires, des
médias, des universités, des services publics (à l’exception
des ministres de cabinets nationaux actuels), des syndicats et
d’autres organisations non gouvernementales des trois régions.
Trois présidents (un dans chacune des trois régions du monde
susmentionnée), des présidents régionaux, un vice-président et
des directeurs constituent la direction de la Commission
Trilatérale, en collaboration avec un Comité exécutif incluant
une quarantaine d’autres membres ».
Depuis 1973, la Commission trilatérale se réunit régulièrement
en séances plénières pour discuter de manifestes politiques
élaborés par ses membres. Les politiques sont débattues
jusqu’à obtention d’un consensus. Les membres regagnent leurs
pays respectifs pour appliquer ou faire appliquer les
politiques ainsi approuvées par consensus. L’objectif initial
du groupe était l’instauration d’un « Nouvel ordre économique
international » [ce qu’on appelle aujourd’hui la
mondialisation]. Son discours actuel encourage une «
coopération plus étroite entre les régions industrialisées
démocratiques dominantes du monde, qui assument des
responsabilités partagées dans la conduite d’un système
international élargi ».
Prix Nobel de la Paix (comme Obama), Henry Kissinger est
impliqué dans plusieurs génocides.
Depuis l’administration Carter, les membres de la Commission
trilatérale ont exercé leur influence à de hauts postes
contrôlés par le gouvernement des États-Unis : six des huit
derniers présidents de la Banque mondiale ; les présidents et
les vice-présidents des États-Unis (à l’exception d’Obama et
de Biden) ; plus de la moitié de l’ensemble des secrétaires
d’État des États-Unis ; et les trois quarts des secrétaires à
la Défense.
Durant la période 2009-2012, l’agenda de la Commission
reposera sur deux grandes convictions. Premièrement, la
Commission trilatérale est appelée à jouer un rôle plus
important que jamais pour préserver la direction partagée des
pays riches dans un système international élargi.
Deuxièmement, la Commission « élargira son cadre pour refléter
des changements plus vastes dans le monde ». Ainsi, le Groupe
japonais s’est transformé en Groupe Asie-Pacifique, qui inclut
des membres venus de Chine et d’Inde, tandis que des
personnalités du Mexique ont rejoint le Groupe Amérique du
Nord (Canada et États-Unis). Et le Groupe Europe continue
d’augmenter avec l’élargissement de l’Union européenne.
La question de l’« influence indue » nous interpelle, lorsque
l’on constate le nombre de membres de la Commission
trilatérale nommés à des postes élevés au sein de
l’administration Obama. Ils ont la mainmise sur des domaines
liés à nos besoins nationaux les plus urgents : crise
financière et économique, sécurité nationale et politique
extérieure.
Le conflit d’intérêts est flagrant. Avec 75 % des membres nonUS, quelle influence cette écrasante majorité continue-t-elle
d’exercer sur les 25 % restant ? Par exemple, lorsque Chrysler
s’est placé sous la protection et le contrôle de la loi étatsunienne sur les faillites dans le cadre du plan de sauvetage
de l’administration Obama, un accord a été conclu à la hâte
avec le groupe italien Fiat pour sauver cette compagnie.
La personne désignée pour conclure l’accord fut le secrétaire
au Trésor ou ministre des Finances Timothy Geithner, membre de
la Commission trilatérale. Seriez-vous surpris si on vous
disait que le président de Fiat, Luca di Montezemolo, est lui
aussi un membre de la Commission ? Le Congrès aurait dû
interdire ce partenariat au moment où il a été suggéré.
Beaucoup des membres européens de la Commission trilatérale
sont aussi de hauts dirigeants de l’Union européenne. À
quelles oscillations politiques et économiques sont-ils soumis
par la branche états-unienne ?
Si on faisait un sondage sur la question, la grande majorité
des ressortissants US diraient que les affaires des États-Unis
leur appartiennent, et qu’ils doivent se fermer à toute
influence étrangère dictée par des programmes non étasuniens.
Mais l’immense majorité des citoyens US n’a pas la moindre
idée de ce qu’est la Commission trilatérale, et encore moins
de l’énorme pouvoir qu’elle a usurpé depuis 1976, quand Jimmy
Carter a été le premier membre de la Trilatérale élu président
des États-Unis.
À la lumière de la crise financière actuelle sans précédent,
les « trilatéralistes » seraient voués à l’exécration s’ils
lisaient les déclarations de Zbigniew Brzezinski (cofondateur
de la Commission avec David Rockefeller) consignées dans son
livre paru en 1971 intitulé « Entre deux âges : le rôle de
l’Amérique à l’ère technotronique ».
Brzezinski signalait : « La nation-État, en tant qu’unité
fondamentale de la vie organisée de l’homme, a cessé d’être la
principale force créatrice : les banques internationales et
les corporations transnationales sont [à présent] les acteurs
et les architectes au sens que prenaient autrefois ces termes
appliqués à la nation-État ». Autrement dit, il a jeté au
placard les concepts de base d’État-nation, de souveraineté
des pays et du rôle de l’État dans la société, pour défendre
la vision d’un monde gouverné par les banques et les
corporations transnationales.
C’est exactement ce à quoi nous assistons dans toutes les
sphères. Les banques et les corporations mondiales sont des
cercles qui se resserrent autour de la nation-État, y compris
les États-Unis. Elles n’ont aucun respect pour aucun
processus, ni pour le Congrès, ni pour la volonté des peuples.
Pourquoi ont-elles maintenu les citoyens US dans l’ignorance
sur un sujet qui ébranle les fondations mêmes de ce pays ?
La Trilatérale contrôle les grands médias
La réponse est simple : on compte parmi les patrons des grands
médias de nombreux membres de la Commission trilatérale, et
ils peuvent détourner les informations pertinentes mais
dérangeantes. Parmi ces décideurs figurent :
David Bradley, président d’Atlantic Media Company.
Karen Elliot House, ex-vice-président senior de Dow Jones &
Company, et éditrice du Wall Street Journal, qui appartient à
Rupert Murdoch.
Richard Plepler, coprésident de HBO.
Charlie Rose, de PBS, Service public de radio et télévision
des États-Unis.
Fareed Zakaria, rédacteur du Newsweek
Mortimer Zuckerman, président de l’U.S. News & World Reports.
Il existe beaucoup d’autres connexions avec la haute direction
des médias, résultant de l’appartenance ou de la participation
aux leviers de commande des transnationales et de
l’actionnariat commun. Pour plus d’information, consulter le
livre publié originalement en 1978 « Trilaterals Over
Washington », disponible [en anglais] en format électronique
et gratuitement sur www.AugustReview.com. Ce site contient
aussi beaucoup d’articles qui traitent divers aspects de
l’hégémonie de la Commission trilatérale aux Etats-Unis et
dans le monde.
Coup d’état Italien : La commission
Trilatérale fait main basse sur l’Italie
« Nous arrivons vers l’émergence d’une transformation globale.
Tout ce dont nous avons besoin, c’est de LA CRISE MAJEURE et
le peuple acceptera le Nouvel Ordre Mondial »David Rockefeller
au C.F.R. (Council on Foreign Relations).
Reprenons la citation de Rockefeller. De là à penser que la
crise de la dette a été préparée de longue date il n’y a qu’un
pas. La commission Trilatérale serait-elle décidée à ruiner
les ménages sur l’autel de la mondialisation ?
Ce qui vient de se passer en Grèce puis en Italie est peut
être une avancée décisive. Une avancée avec la nomination de
Mario Monti à l’époque (Président de la Commission Trilatérale
zone Euro) vers l’émergence de ce que Nicolas Sarkozy nous a
promis en ces termes en janvier 2008 “Nous irons ensemble vers
ce Nouvel Ordre Mondial et personne, je dis bien personne ne
pourra s’ y opposer”.
On comprend mieux la nécessité de faire tomber par tous les
moyens (y compris la guerre) les gouvernements des pays du
monde qui ne jouent pas le jeu.
Trente ans d’une institution secrète, Les
Pouvoirs opaques de la Trilatérale
Dirigeants des multinationales, gouvernants des pays riches et
partisans du libéralisme économique ont vite compris qu’ils
devaient se concerter s’ils voulaient imposer leur vision du
monde. Dès juillet 1973 (la même année – création de l’argent
dette dans un contexte de mondialisation financière sans
limites – la Banque de France abandonne son rôle de service
public), David Rockefeller lance la Commission trilatérale,
qui va marquer le point de départ de la guerre idéologique
moderne.
Il y a trente ans, en juillet 1973, à l’initiative de M. David
Rockefeller, figure de proue du capitalisme américain,
naissait la Commission trilatérale. La Commission entend alors
devenir un organe privé de concertation et d’orientation de la
politique internationale des pays de la triade (Etats-Unis,
Europe, Japon). Sa charte fondatrice résume : « Centrée sur
l’analyse des enjeux majeurs auxquels font face l’Amérique du
Nord, l’Europe de l’Ouest et le Japon, la Commission s’attache
à développer des propositions pratiques pour une action
conjointe. Les membres de la Commission regroupent plus de 200
distingués citoyens provenant des trois régions et engagés
dans différents domaines. »
La création de cette organisation opaque, où se côtoient à
huis clos et à l’abri de toute compromission médiatique des
dirigeants de multinationales, des banquiers, des hommes
politiques, des experts de la politique internationale, ou
encore des universitaires, coïncide à ce moment avec une
période d’incertitude et de turbulence dans la politique
mondiale. La Trilatérale s’impose comme un des principaux
instruments, soucieuse à la fois de protéger les intérêts des
multinationales et d’« éclairer » par ses analyses les
décisions des dirigeants politiques.
L’élite rassemblée au sein de cette institution fort peu
démocratique et que la démocratie inquiète dès lors que des
groupes autrefois silencieux s’en mêlent
va s’employer à
définir les critères d’une « bonne gouvernance »
internationale. Elle véhicule un idéal platonicien d’ordre et
de supervision, assuré par une classe privilégiée de
technocrates qui place son expertise et son expérience audessus des revendications profanes des simples citoyens.
Les thèmes débattus au sein de cette oligarchie de la
politique internationale, dont les réunions annuelles se
déroulent en différentes villes de la Triade, le sont dans une
discrétion qu’aucun média ne semble plus vouloir troubler.
Chaque sujet fait l’objet de rapports annuels (The Trialogue)
et de travaux thématiques (Triangle Papers) réalisés par des
équipes d’experts américains, européens et japonais triés sur
le volet. Edités régulièrement depuis une trentaine d’années,
ces documents publics traduisent l’attention de la Trilatérale
à des problèmes globaux censés transcender les souverainetés
nationales et appeler l’intervention des pays riches : réforme
des institutions internationales, mondialisation des marchés,
environnement, finance internationale, endettement des pays
pauvres, etc.
Ces interventions s’articulent autour de quelques idées
fondatrices qui ont été largement relayées par le politique.
La première est la nécessité d’un « nouvel ordre international
». Les attentats du 11 septembre 2001 ont fourni une nouvelle
occasion de rappeler, lors de la rencontre de Washington en
avril 2002, la nécessité d’un « ordre international » et d’«
une réponse globale » auxquels les principaux dirigeants de la
planète sont enjoints de collaborer sous la houlette
américaine.
Lors de cette réunion annuelle de la Trilatérale, MM. Colin
Powell (secrétaire d’Etat américain), Donald Rumsfeld
(secrétaire à la défense), Richard Cheney (vice-président) et
Alan Greenspan (président de la Réserve fédérale) étaient
présents.
La seconde idée fondatrice, qui découle de la première, est le
rôle tutélaire des pays de la triade, en particulier des
Etats-Unis, dans la réforme du système international. Les
autres pays devront l’intégrer en acceptant le commandement
qu’il s’est donné. L’Intervention américaine en Irak, l’appui
à la politique israélienne, etc. en sont des exemples.
La troisième caractéristique fondatrice de la Trilatérale :
son aversion pour les mouvements populaires. Elle s’était
exprimée dans le célèbre rapport de la Commission sur la
gouvernance des démocraties rédigé par Michel Crozier, Samuel
Huntington et Joji Watanuki.
Dès 1975, ce texte dénonçait les « excès de la démocratie »
qu’exprimaient aux yeux des auteurs les manifestations
contestataires de l’époque. Celles qui, un peu comme
aujourd’hui, mettaient en cause la politique étrangère des
Etats-Unis (rôle de la CIA dans le putsch chilien, guerre du
Vietnam, etc.) et réclamaient la reconnaissance de nouveaux
droits sociaux. Ce rapport provoqua à l’époque nombre de
commentaires indignés, qui dirigèrent leurs feux contre
l’administration démocrate du président Carter, qui fut membre
de la Trilatérale (comme, plus tard, le président Clinton).
Loin d’être un « vieux serpent de mer » qui referait surface
au ravissement de quelques adeptes d’ésotérisme et de «
théorie du complot », la Commission trilatérale est une
institution bien établie, dont la discrétion facilite la
collusion entre responsables politiques et grandes
entreprises. Selon M. David Rockefeller : « Les idées mises en
avant par les rapports de la Commission trilatérale sont
devenues des politiques officielles ».
Ainsi se dessine la trame d’un pouvoir diffus, opaque, presque
insaisissable, qui tisse ses liens à travers des clubs fermés
et des rencontres internationales dont le forum de Davos
représente l’expression la plus ostentatoire. Dans ces lieux
de rencontres, d’échanges, de tractations gravitent les mêmes
protagonistes, s’élaborent les analyses et les compromis qui
précèdent souvent les grandes décisions. La Commission
trilatérale est une des pièces de cet échiquier polymorphe.
Elle consolide l’alliance entre le pouvoir des
multinationales, de la finance et de la politique, grâce à un
réseau d’influences dont les ramifications s’étendent aux
principaux secteurs de la société.
Sources : Crédit à mortelune
du mardi 29 novembre 2011 /
Olivier Boiral (Canada)
« August Review.com », 30 janvier 2009, « Obama : Trilateral
Commission Endgame », par Patrick Wood.
Etudiant chercheur Sarah Maddox. Tuteur : Peter Phillips,
Université d’Etat de Sonoma.
Patrick Wood (August Review.com) / Réseau Voltaire / Projet
censuré.
David Rockefeller, Georges Berthoin et Takeshi Watanabe,
préface aux Task Force Reports : 9-14, New York University
Press, 1978, p. IX.
Olivier Boiral Professeur à l’université Laval (Canada)
http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/BOIRAL/10677
La commission Trilatérale influence la zone Euro
http://www.augustforecast.com/2011/11/11/trilateral-commission
-influence-in-the-eurozone/
Alain Cotta, membre de la Trilatérale
http://www.agoravox.tv/actualites/citoyennete/article/alain-co
tta-membre-de-la-29616
Alain Cotta, membre de la Trilatérale flingue la monnaie
unique
http://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/alain-cotta
-flingue-la-monnaie-98381
La liste des de la commission Trilatérale en Europe
http://www.trilateral.org/download/file/TC_list_10-11_2.pdf
La liste des membres de la commission Trilatérale en Amérique
du nord
http://www.trilateral.org/download/file/NA_list_10-11(2).pdf
La liste des membres de la commission Trilatérale dans la zone
Asie/Pacifique
http://www.trilateral.org/download/file/PA_list_10-11.pdf
Elle
dispose
aujourd’hui
d’un
site
Internet
(http://www.trilateral.org/) au travers duquel elle publie un
certain nombre de travaux mais aussi comptes-rendus et teneurs
de certaines réunions tenues au quatre coins de la planète.
L’ouverture reste relative puisque tous ses travaux ne sont
pas publiés et j’ai pu lire que les versions publiques
diffèrent des versions pour les membres. Néanmoins, l’effort
reste notable. Chose intéressante aussi c’est qu’elle publie
la liste de ses membres, et je dois dire qu’en parcourant
cette liste j’ai été assez surpris d’y trouver des personnes
comme Elizabeth Guigou ou encore Jean François Copé …
Membres Français
Aussi, vous trouverez à continuation la liste de tous les
membres Français de la trilatérale. Il y en a 19 sur cette
liste alors que le site annonce que la France y tient 18
Sièges. J’imagine que l’une des personnes citées plus bas,
bien que française, doit y siéger pour le compte d’un autre
pays. Pour ceux qui veulent voir la liste de tous les membres
dans le monde, vous pouvez la télécharger à l’adresse suivante
: http://www.trilateral.org/go.cfm?do=Page.View&pid=6
La liste la voici, j’ai rajouté entre parenthèses les écoles
d’où sont issus toutes ces personnes. Enfin il convient de
noter que les noms précédés d’un astérisque concernent les
membres qui exercent une fonction au sein du comité exécutif
de la trilatérale :
1/ Yves-Thibault de Silguy, Chairman, VINCI, Paris
+ ENA)
(IEP Paris
2/ Denis Ranque, Chairman, Technicolor, Paris ; former
Chairman and Chief Executive Officer, Thales, Paris (X mines)
3/ Benoît Potier, Chairman and Chief Executive Officer, Air
Liquide, Paris (Centrale + Insead)
4/ Dominique Moïsi, Special Advisor to the Director General of
the French Institute for International Relations (IFRI), Paris
(Sorbonne et Harvard)
5/ Anne Lauvergeon, Chief Executive Officer, AREVA, Paris
(Normale sup + ingé Mines)
6/ Elisabeth Guigou, Member of the French National Assembly ;
former Minister for European Affairs, Paris (IEP Aix + ENA)
7/ Michel David-Weill, Former Chairman, Lazard LLC, worldwide
; Chairman of the Supervisory Board, EURAZEO, Paris (IEP
Paris)
8/ Jean-François Copé, Member of the French National Assembly
; Chairman of the UMP Parliamentary Group ; Former Member of
the French Government, Paris (ENA)
9/ Patrick Combes, Chairman and Chief Executive Officer,
Compagnie Financière Tradition and Viel & Cie., Paris (EAP +
MBA Columbia) – entrepreneur
10/ Bertrand Collomb, Honorary Chairman, Lafarge ; Chairman,
Institut des Hautes Etudes pour la Science et la Technologie
(IHEST) ; Chairman, Institut Français des Relations
Internationales (IFRI) ; Member of the Institut de France,
Paris (X mines)
11/ Hervé de Carmoy, Chairman of the Supervisory Board, ETAM,
Paris ; Honorary Chairman, Banque Industrielle et Mobilière
Privée, Paris ; former Chief Executive, Société Générale de
Belgique (IEP Paris + MBA Cornell)
12/ Jean-Louis Bruguière, EU High Representative to the United
States on the Terrorist Finance Tracking Programme
(TFTP/SWIFT) ; Judge, Paris (IEP Paris – Ecole Normale de la
magistrature)
13/ Jean-Louis Bourlanges, Member, State Audit Court (Cour des
Comptes), Paris ; Associated Professor, Institute for
Political Studies in Paris ; former Member of the European
Parliament, Brussels ; former President of the European
Movement in France, Paris (IEP Paris + ENA)
14/ Nicolas Beytout, Chairman and Chief Executive Officer,
Groupe Les Echos ; former Editor of Le Figaro and Les Echos,
Paris (IEP Paris)
15/ *Georges Berthoin, International Honorary Chairman,
European Movement ; Honorary Chairman, The Jean Monnet
Association ; Honorary European Chairman, The Trilateral
Commission, Paris (Non Défini)
16/ Patricia Barbizet, Chief Executive Officer and Member of
the Board of Directors, Artémis Group, Paris (ESC Paris)
17/ Jacques Andréani, Ambassadeur de France, Paris ; former
Ambassador to the United States (ENA)
18/ *Edmond Alphandéry, Chairman, CNP Assurances, Paris ;
former Chairman, Electricité de France (EDF) ; former Minister
of the Economy and Finance (IEP Paris)
19/ Alexandre Adler, Scientific Director for Geopolitics,
University of Paris-Dauphine ; Journalist and Commentator,
Paris (Ecole Normale Sup)
Un certain nombre de surprises donc au premier rang desquelles
le fait qu’il n’y a AUCUN représentant du grand capital sur
cette liste contrairement à l’idée généralement acceptée ! Pas
un seul riche au sens du classement FORBES des richesses
mondiales. Tous sont soit des employés (de haut vol), des
fonctionnaires, des journalistes, mais rien qui s’approche à
ce que l’on peut voir à DAVOS, pourtant un club bien plus
transparent que la trilatérale.
Le plus riche de cette liste, et le seul entrepreneur est M.
Patrick Combes dont j’ai pu lire que sa fortune était estimée
à un peu plus de 125 Millions d’euros en sa qualité de
détenteur de 59% des parts de sa société cotée en Bourse. Une
richesse colossale au regard de mes 2000 euros d’économies
mais qui ne pèse rien aux côtés des quelques 53,5 Milliards de
dollars de Carlos Slim ou encore des 27,5 Milliards de dollars
de Bernard Arnault (Source : forbes).
Il faudrait certainement conduire cette étude sur
l’intégralité des presque 400 membres de la Trilatérale dans
le monde mais au regard de ses membres français La trilatérale
n’apparait donc clairement pas être ce qu’on l’accuse souvent
d’être : une organisation où les riches de ce monde décident
de notre avenir !
Avec la crise financière, je me suis demandé si en fait il ne
s’agissait pas d’un club où banquiers et homme politiques se
réunissaient. D’autant que le président du groupe Europe n’est
autre que le Patron de Goldman Sachs Europe et que l’on
retrouve comme membre fondateur le nom de Rockefeller. J’ai
donc fait le petit tableau qui suit pour savoir dans quel
secteur ces personnes travaillent au quotidien. Voici le
résultat :
Industrie : 8 personnes
Politique : 2 personnes
Journalisme : 2 Personnes
Banque : 2 personnes
Fonctionnaires & Equivalents : 4
Juge : 1
Là encore il faudrait étendre l’étude à l’ensemble de
l’organisation mais pour ce qui est de la France, les
banquiers sont très minoritaires le plus gros groupe étant
constitué de directeurs de groupes industriels Français, donc
plutôt une représentation du secteur productif.
Pour ce qui est des écoles dont sont issues toutes ces
personnes : La trilatérale dans sa version française ressemble
plus à un club d’anciens élèves de Science Po, puisque 8
personnes sortent des IEP dont 7 Pour la seule IEP Paris. Le
second groupe est celui des énarques qui touche 5 personnes
suivent à part égale les formations Ingénieurs et Commerciales
4 chacun. Etant donné le nombre de doubles diplômes sur la
liste, le total est donc supérieur à 19 !!!
Algarath

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