Juin 2013 - Spécial "Anciens" - Association des écoles lasalliennes
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Juin 2013 - Spécial "Anciens" - Association des écoles lasalliennes
ENSEIGNEMENT FONDAMENTAL Périodique d’information JUIN 2013 Association des Ecoles Lasalliennes SPECIAL “ ANCIENS “ FRERES DES ECOLES CHRETIENNES MONT DE LA SALLE Avenue d’Huart, 156 – 5590 CINEY Editeur responsable : Alain NICOLAS ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 1 EQUIPE D’INSPECTION du fondamental Alain NICOLAS Coordinateur – Réferent primaire Gsm : 0484 06 94 58 Tél : 081.61.34.11 [email protected] Rue de la Queue-Terre, 12 5030 Sauvenière SOMMAIRE * * * * * * * * * * Fr Jean-Pierre BERGER Référent en pastorale Tel : 081.44.52.67 Gsm : 0478 56 99 08 [email protected] Rue des Monastères, 49 5020 Malonne * * * * * * * * * * Marie-Françoise GILLET Référente maternelle Tel : 082.66.62.74 Gsm : 0494.81 44 68 [email protected] Rue des Roches, 62 5563 Hour * * * * * * * * * * André JACQUES Référent primaire Tel : 061 53.47.61 Gsm : 0479. 76 67 55 [email protected] Rue de Narjacelle, 8 6856 Fays-les-Veneurs * * * * * * * * * * Jean-Marie DUSSART Référent primaire Tel : 065.87 49 96 Gsm : 0476.61 97 60 [email protected] Résidence des Agasses, 53 7012 Jemappes ++++++++++++++++++++++ Jean-Louis VOLVERT Inspecteur Principal Coordonnateur [email protected] * * * * * * * * * * Jean-Claude GLIBERT Président de l’A E L [email protected] Olivier HUSQUIN Vice-président de l’A E L Editorial. p3 En maternel, donner du sens. p4 L’école des Frères de Tournai p6 Les billes, jeu intemporel p8 St-Barthélémy à Châtelineau p 10 Collège St-Guibert de Gembloux p 12 L’Institut St-Aubain de Namur p 14 Réunion des directions – agenda p 16 Vivre la rentrée avec la pastorale p 17 Echos de nos écoles - St-Guibert Gembloux - St-Michel Verviers - St- Berthuin Malonne p 18 p 20 p 22 Balises d’évaluation en fin P2 p 23 Généalogie des directions p 24 Listing des Anciens p 27 Célébration des retrouvailles p 30 [email protected] * * * * * * * * * * Fr Patrick VANDEPUTTE Frère Visiteur Provincial [email protected] * * * * * * * * * * Mont de La Salle - 5590 CINEY Avenue d’Huart, 156 Tél. : 083.23.21.06 Site : association-ecoles-lasalliennes.be Bonne lecture… ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 2 EDITORIAL Chers amis, Chers Frères, Chers Directeurs anciens et actuels, Voilà déjà juin 2013 et sa journée traditionnelle mais combien appréciée des retrouvailles des directions et inspections qui ont guidé par le passé ou qui pilotent actuellement l’une de nos écoles fondamentales lasalliennes, appelées pour la plupart encore écoles des Frères. Que de parcours au service des enfants, que de guides d’équipes éducatives qui ont veillé à insuffler les valeurs éducatives chères à notre Saint fondateur Jean-Baptiste de La Salle. Ce n’est jamais banal l’histoire d’une congrégation, d’une association, d’une école. On y a vécu des aspirations, des projets captivants, des partages émouvants, des scènes de joie, des rencontres humaines toujours extraordinaires. Chacun, chacune a été marqué par ce qu’il a vécu. La réalité du terrain n’est jamais identique d’une école à une autre et parfois il a fallu assumer un lot plus important de difficultés déstabilisantes. Il y a, il est vrai, cette alternance implacable des bons et mauvais moments. Heureusement les souvenirs heureux gomment petit à petit les moments plus pénibles. C’est l’espoir qui fait vivre et c’est le courage qui nous permet de franchir ces obstacles. Une chose est certaine, c’est que nous sommes un maillon et qu’avant nous d’autres ont donné le meilleur d’eux-mêmes et qu’après nous d’autres feront de même ; parfois avec plus ou moins de succès. Des valeurs contribuent à un certain bien être ; je pense au respect donné et reçu, à l’estime de soi et à celle que nous favorisons chez nos enseignants et élèves, à la considération à laquelle le fondamental a plus que droit mais aussi à l’envie de bien faire, de tout donner tout en se garantissant d’une humilité permanente qui doit nous habiter. Bref le pilotage d’une école nécessite un panel de compétences alliées à une fameuse dose de bon sens. S’il faut constater que les candidatures à la fonction de direction se font parfois bien rares ; il me plaît d’affirmer que c’est un métier passionnant, que c’est une mission épanouissante, que c’est un don de soi au service d’une communauté…N’est-ce pas cela qui donne toute la noblesse à ce métier ? Nos retrouvailles de ce jour ne sont pas anodines ; elles contribuent à la reconnaissance, à l’estime, à l’empathie, à la solidarité ; elles donnent du souffle aux collègues qui sont en poste et elles font mémoire vivifiante chez les « Anciens ». Bien à chacun et à chacune d’entre vous. Nos encouragements les plus chaleureux à ceux et celles qui peinent. Nos pensées les plus fortes à Jean-François Lisoir qui tarde à sortir du coma. Amitiés lasalliennes, Alain ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 3 DONNER DU SENS AUX APPRENTISSAGES EN MATERNEL Faire, c’est bien, Dire, c’est mieux, Faire savoir, c’est faire valoir ! Froëbel, Montessori, Decroly, Freinet, ces pédagogues ont jalonné nos études préparant à notre profession d’enseignant, d’enseignante. Que pouvons-nous retenir et maintenir dans la pratique des classes maternelles ? C’est leur invitation à faire agir les enfants. D’autres à leur suite, dont J Piaget, ont renchéri. Ce pédagogue genevois déclarera que la construction de la connaissance passe par l’expérimentation. Mais, il y a 250 ans déjà, Froëbel signalait « … le travail est un moyen, non un but en soi. ». Faire, c’est bien. Dans les classes maternelles, maintes tâches sollicitent la main de l’enfant : les découpages, modelages, collages, peintures, constructions,….Mais aussi les bricolages de la Saint-Nicolas, Noêl, Pâques, les cadeaux réalisés pour les fêtes des grands-parents, des mères, des pères et les différentes réalisations concrètes concluant l’aboutissement de divers projets. Que d’occasions de faire ! Dire, c’est mieux. Faire faire, pour les enfants de ce jeune âge, s’inscrit dans des propositions pédagogiques adéquates. Cependant, si l’on veut centrer les enfants sur ce que les tâches permettent d’apprendre tout en faisant, il est utile de les informer de ce qui est attendu, recherché. « Nous allons décorer une carte à offrir à un compagnon malade ». La tâche est définie. Reste à expliciter l’apprentissage attendu. Si l’enseignante estime que cela pourrait être l’occasion d’apprendre à structurer l’espace, elle précisera ce qui est attendu : recouvrir par juxtaposition des motifs choisis ou estimer des espaces égaux à respecter entre les éléments décoratifs à disposer, ou inviter à les placer d’abord sur les contours et ensuite à l’intérieur, … Ces intentions éducatives retenues et notées dans les documents de préparation, communiquées aux enfants lors de la présentation de la tâche, seront redites, reprécisées en cours de réalisations. La carte terminée, lors du moment de bilan ces aspects seront relevés et donc rappelés. Pour en confirmer le respect ou pour inviter à un réajustement. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 4 Faire savoir, c’est faire valoir. Si l’intention d’apprentissage assignée à la tâche est communiquée aux enfants lors de sa présentation, redite, reprécisée, commentée en cours de réalisation, appréciée lors de la présentation des réalisations, l’enfant pourra ainsi et plus aisément exposer à ses parents la partie cachée, la face invisible à des yeux moins avertis du bénéfice intellectuel ainsi réalisé. Points d’attention. Il se pourrait que ce guidage, cet étayage suivi de l’activité de l’enfant soit perçu comme un excès de directivité. Que «… les intentions communicationnelles de l’enseignant telles que donner des explications sur ce qui doit être appris, quand et comment, vérifier et clarifier la compréhension (1)» ne laissent pas suffisamment de place à l’aspect affectif et créatif. Notons que cet étayage est attendu pour certaines tâches et que, dans une journée, d’autres activités feront la part belle à l’expression, à la créativité et l’imagination de l’enfant. Il est à souligner qu’à l’analyse ces recommandations didactiques, ont pour effet de permettre à l’enfant de vérifier lui-même son apprentissage et le rendre conscient de ses progrès. Ce qu’il pourra également communiquer et en être fier. Grandi de ce qu’il a appris et réalisé, il pourra partager avec d’autres ses avancées, la valeur éducative de son œuvre ; ainsi contribuer à se faire valoir tout en portant haut les apports pédagogiques indéniables de l’école maternelle. Faire, c’est bien, dire c’est mieux, faire savoir, c’est faire valoir. Trois préoccupations qui doivent trouver place dans les intentions pédagogiques de l’enseignement maternel. (1) La régulation des apprentissages en classe. Lucie Mottier Lopez De Boeck 2012 DEUX ANCIENS DIRECTEURS NOUS PARLENT DE LEUR ECOLE ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 5 L’ECOLE FONDAMENTALE DES FRERES DE TOURNAI Départ d’une grande dame ? Au sein de la cité des cinq clochers naquit une grande dame en 1821. Il s’agissait de l’école primaire des Frères des écoles chrétiennes. Au fil du temps, elle se posa en ville, tentaculaire, dans bon nombre de quartiers tournaisiens, … une véritable institution qui propulsait des centaines, des milliers de jeunes gens de toutes conditions sociales dans la vie professionnelle, tous empreints de l’esprit de partage et de convivialité des Frères fondateurs. A ce jour encore, nombreux sont les anciens élèves qui nous remémorent leurs souvenirs agrémentés d’anecdotes succulentes dans une ambiance de travail inégalable.… Une institution dans la ville qui, au fil des années, se défit de ses nombreuses implantations au profit de l’enseignement libre paroissial, pour se recentrer sur son site principal, au pied de la cathédrale. Avant de s’ouvrir à la mixité, l’école primaire vit naître l’école secondaire appelée à l’époque « école de commerce ». Avec une population de quelque cinq cents élèves, l’école primaire s’offrit l’opportunité rêvée d’ « alimenter » la toute petite école naissante. Une belle aventure, un beau succès grâce à une belle collaboration et aux responsables de l’époque. Les années passant, notre grande dame tente de masquer ses quelques rides en accueillant les enfants en âge d’école maternelle. Un souffle nouveau ! Était-ce le prélude à une nouvelle jeunesse ? Nous osions l’espérer. Hélas ! Trois fois hélas ! Les années passèrent. Une multitude de facteurs ont été déterminants dans son lent déclin, au même titre que la baisse de régime de son école « sœur » que l’école primaire vit naître. Quelle souffrance ! Crise oblige ! C’est la norme. L’école primaire, devenue fondamentale, implique d’importants investissements financiers, trop selon certains décideurs. Des responsabilités sont à prendre … Et nous voici arrivés au terme d’une belle et longue aventure, d’une œuvre éducative soutenue par tous ceux qui y ont laissé une partie d’eux-mêmes. Qu’ils en soient ici honorés et remerciés au même titre que l’ensemble de ses anciens qui ont contribué à l’image de cette honorable dame qui restera à jamais gravée dans les annales de la cité de Clovis. Une page se tourne, une autre se profile, ainsi va la vie… Amèrement vôtre Jean-Marie Boonaert, ancien directeur de l’école des Frères de Tournai ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 6 Historique de l’école fondamentale des Frères de Tournai Des notables tournaisiens obtiennent l’accord du Supérieur général des Frères pour installer une école primaire à Tournai. 07/03/1821 250 élèves sont inscrits au bâtiment « Luchet d’Antoing » (100 élèves ne sont pas admis faute de place.) 1821 2 classes supplémentaires (rue des Sœurs Noires dans la paroisse Saint-Jacques) 21/02/1826 Les Hollandais suppriment la Congrégation : fermeture des écoles 1830 Retour des Frères : réouverture de l’école 1832 7 Frères encadrent 600 élèves. 1833 Transfert de l’école vers la paroisse Saint-Brice 1850 Un historien note que l’école des Frères de Tournai est la première école du Hainaut. 1870 Le complexe scolaire comporte une école payante avec 4 classes et une école gratuite avec 3 classes. 1875 L’école payante prend le nom d’ « Institut Notre-Dame ». 1879 Les Frères dirigent 5 établissements à Tournai. 1885 Les Frères dirigent un sixième établissement (école Saint-Piat). 1891 L’école envoie des élèves à la Maîtrise de la Cathédrale (tradition maintenue jusqu’à la fin des années 1970 par Frère Maxence) 1907 Les Frères dirigent 7 écoles (1000 élèves) dont l’école Saint-Nicolas. 1922 2 écoles deviennent autonomes (Saint-Brice et Saint-Jacques) 16/05/1940 Bombardements : écoles en ruine et classes éparpillées en ville 17/05/1940 1947 Reconstruction du bâtiment de la rue du Four-Chapitre (école primaire actuelle) 1950 Mgr Himmer, évêque de Tournai, inaugure l’école primaire de la rue du FourChapitre. Les Frères se retirent de Saint-Piat et de Saint-Nicolas. 1954 Construction de l’école secondaire à la rue des Choraux 1993 Construction et ouverture de l’école maternelle D’après les documents du Frère Gérard Uters Jean-Louis Debaes, directeur de l’école des Frères (2003-2012) 1819 Jean-Marie BOONAERT (1993 -2003) Guy DELHEZ (2012 – intérimaire) Jean-Louis DEBAES (2003 – 2012) Une pensée pour Guy VONECHE, leur prédécesseur, décédé en ce début janvier 2013 ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 7 JEU D’ECOLIER… INTEMPOREL Les billes Les billes. Eh bien ! Parlons-en. Elles représentent pour l’écolier ce que les sous représentent pour l’usurier. On se battait pour une bille. Et, la récréation finie, on les compte comme on compterait les pièces d’un trésor. Chaque écolier qui se respecte possède un sac à billes qu’il range dans une des poches de sa culotte, dans un angle de son sac ou au fond de sa musette. Or, il y a bille et bille. La véritable, c’est celle que l’on fabrique de ses doigts à partir de l’argile. Je connais un garçon qui possède une habileté particulière en ce domaine où bien peu osent l’aventure. Il roule très correctement la pâte qu’il a longuement malaxée et obtient une sphère de bon volume et de belle allure. La cuisson lui pose tout de même maints problèmes. Le résultat est une boule grisâtre, vivante comme les autres, mais réfractaire au contact de l’agate (bille en verre avec des filaments multicolores à l'intérieur) qui la fait exploser. Il paraît qu’autrefois tous les écoliers fabriquaient leurs billes. Il est vrai que l’agate n’avait pas encore fait son apparition. En général, les billes – nous disons toujours « les caniques » - sont achetées chez l’épicier. Neuves, elles brillent, ce qui n’honore pas leur propriétaire. La bonne bille est usagée, blessée dans son vernis, gagnée au jeu. Elle porte les stigmates des compétitions. Notre jeu préféré est celui des caniques au pot. Dans un angle de la cour, nous creusons un nombre de trous égal au nombre des joueurs. Quatre ou cinq trous, c’està-dire quatre ou cinq pots, petites excavations d’un diamètre d’environ cinq centimètres et de la profondeur d’un index d’écolier, alignées comme au cordeau. Les joueurs tracent une ligne parallèle à la ligne des « pots », à quelque deux ou trois mètres selon l’exigence des « professionnels » et l’âge des compétiteurs. Un pot est attribué à chaque joueur. L’objectif est de récupérer le maximum de caniques dans son pot. On joue un genou, ou les deux genoux sur terre. Voire à croupetons. Pouce rentré, recourbé sous le majeur, le premier joueur propulse la bille posée sur le plat intérieur de l’index. La canique jaillit dans la direction du pot. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 8 Selon l’adresse du tireur, ou sa fantaisie propre, car les billes se permettent des refus d’obéissance, elle va droit au but, musarde en chemin ou s’immobilise dans le no man’s land des maladroits. Les joueurs suivants procèdent de la même façon avec l’ambition d’atteindre leur trou et, dans toute la mesure du possible, d’y faire basculer les billes des concurrents. Les caniques recueillies dans un pot sont acquises à son « propriétaire ». Les plus habiles possèdent un art de projeter les billes des rivaux dans leur trou personnel. A la fin, les billes demeurées sur le terrain sont réparties entre les pots en fonction des distances qui les en séparent. Inutile de dire si les discussions sont animées. Comme on n’a le droit à aucun instrument de mesure autre que le doigt, on chipote sur la façon de le poser, sur la longueur de l’ongle, sur la régularité du trou, sur la friabilité de la terre. Pour une canique, on en viendrait aux mains sur-le-champ si le maître ne rôdait dans les parages. Mais, comme nul ne saurait garder sur le cœur un conflit mettant en cause son honneur sacré d’écolier respectueux de sa condition, on en vient aux mains le soir, après la sortie. Un autre jeu de billes consiste à établir des circuits plus ou moins mouvementés sur le sol. Des virages. Des montées. Des descentes. Une vraie étape du Tour de France. On joue à deux ou à trois, rarement plus à cause des encombrements. Naturellement, chacun dispose d’une seule bille, et les concurrents doivent présenter une canique reconnue de calibre normal, de consistance officialisée et de couleur facile à identifier. Au moyen du ˝pouce-propulseur ˝, chacun fait, à son tour, avancer sa canique. Le gagnant est celui qui arrive en tête après deux ou trois tours complets selon la convention initiale. Il empoche les billes des perdants. Particularité, il n’est pas interdit de bouter un adversaire hors du circuit. Dans ce cas, le malheureux est contraint de repartir à zéro, la mort dans l’âme et la rage au cœur. On peut modifier presque à l’infini ces jeux de billes. Les garçons de mon époque savent créer, alambiquer sans fin. Il y aurait crime contre la dignité de l’écolier si les billes emplissaient les escarcelles de la facilité. Passe encore pour les petits de jouer à se pourchasser, de lancer sa canique avec la main ouverte comme une cuillère. Les grands, eux, exigent, dans le geste « auguste » du pointeur, une forme de « professionnalisme » que, même à ma dernière année, je ne posséderai pas. André JACQUES Au temps de l’encre violette Hippolyte Gancel Editions Ouest-France ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 9 La plume de Jean-Paul SCHILTZ, ancien directeur à l’école des Frères de Châtelineau ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 10 Ses prédécesseurs Marc DELESTRAIT Jean THIRY Jean-Paul SCHILTZ Annick HACHEZ, La directrice ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 11 UN ANCIEN NOUS RACONTE L’EVOLUTION DE … L’enseignement fondamental du COLLEGE SAINT – GUIBERT DE GEMBLOUX Saint-Guibert, saint patron de la ville de Gembloux, est présent depuis bien longtemps comme patronyme d’une ou des écoles de l’enseignement libre qui se sont développées dans la cité des « couteliers ». Un petit retour historique sur la présence des Frères des Ecoles Chrétiennes s’impose : C’est en 1840, d’abord comme instituteurs communaux que les trois premiers Frères sont arrivés à Gembloux. En 1859, c’est vraiment le départ d’une école libre pour garçons rue des Remparts, actuelle rue Pierquin. En 1914, l’Institut St-Guibert est transféré à la place de l’Orneau sur le site occupé actuellement par l’enseignement secondaire. L’après- guerre vit le développement des infrastructures et on note un 4ème degré En 1939, les classes qui suivent le primaire prennent la dénomination « Modernes » En 1954, l’école primaire a 167 inscrits. Grâce à la ténacité du Frère Mansuet Félix, lorsque celui-ci quittera en 1962, St-Guibert aura changé de visage et une évolution se marquera avec l’ouverture d’un degré supérieur des humanités et d’une école technique. Au 1/9/1966, 260 élèves en primaire et 297 au secondaire ; au 1/9/89, 297 en primaire et 876 au secondaire. C’est le Frère JeanMarie VERNIERS à la manœuvre à cette époque qui a vraiment mis l’Institut StGuibert sur les bons rails favorisant ainsi la spirale positive. Portons notre regard sur l’évolution de l’école primaire. « Primaire uniquement et pour les garçons » car jusqu’en 1997 année de la restructuration des écoles de l’enseignement fondamental libre, l’Institut des Sœurs Notre-Dame situé sur le haut de la ville accueillait les enfants du maternel et les filles du primaire. C’est notre Cher Frère Marcel Losange qui était un des deux titulaires de la 6 ème primaire – je fus son élève - qui fut le premier directeur propre à l’école primaire – il le fut pour moi aussi en tant qu’instituteur. Il guida notre école pendant 12 ans, de 1972 à 1984. Lui succéda l’instituteur de ma 4ème primaire Henri DUTERME. Il prit le relais de la direction pendant 10 ans, jusqu’en 1994. Avec sa désignation, il y eut enfin un local (l’ancienne procure de 2m sur 4) réservé à la direction du primaire et converti en salle des profs aux récréations. La population scolaire fluctuait à cette période autour des 300 élèves. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 12 Au 1er septembre 1994, ce poste de pilotage m’est confié. A St-Guibert, on n’est pas seul car l’esprit installé voulait que ce soit un collège des directeurs qui veille à ce que l’établissement aille bien. Comptes communs, encadrements communs, intérêts communs- ensemble et par association avait été bien intégré. Cette collégialité respectueuse de chacun et de chaque section allait s’avérer déterminante pour mener au mieux les défis qui se profilaient. En 1996, le secondaire Notre-Dame et l’école technique adjacente n’atteignaient plus les nouvelles normes de maintien. Les PO de l’époque privilégient une fusion des établissements secondaires et intègrent les écoles du fondamental NotreDame et St-Guibert dans une nouvelle structure organisant tout l’enseignement libre sous la dénomination Collège de l’enseignement catholique de Gembloux. En cette même année, des familles souhaitent inscrire leur fille à St-Guibert. L’obligation de les accepter fait sauter le verrou, la mixité est organisée à NotreDame et à St-Guibert, avec obligation de restructurer le fondamental gembloutois. Au 1er septembre 1997, gros changement : tout le fondamental occupera le site de la place St-Guibert (celui de Notre-Dame) en étant organisé en deux écoles ; celle du 2 ½ -8 (315 élèves) confiée à Sœur Marie-Monique la directrice en place et moi-même pour l’école du 8-12 (392 élèves). Imaginez le déménagement d’une école primaire et les travaux indispensables pour retrouver un accueil adapté aux jeunes élèves. Suivront des phases importantes de transformations, de rénovation, de nouvelles constructions pour accueillir une population scolaire toujours grandissante. A la direction de l’école du 2 ½ - 8 succéderont à Sœur Marie-Monique, MarieMadeleine VA N EYCK (5ans), Bernadette MERCIER (2 ans) et l’actuel directeur Olivier HUSQUIN depuis le 1er septembre 2005. Le PO optera entretemps, pour un retour logique à la dénomination COLLEGE SAINT GUIBERT. Le projet d’immersion en néerlandais sera porté par la petite implantation située près de la gare. En 2007, celle-ci deviendra école avec comme directrice Carine DELESTINNE (voir article « Echos de nos écoles » p 18 et 19) En 2009, c’est André DUBUISSON qui prendra mon relais à la direction du 8-12. Aujourd’hui, le fondamental accueille 1218 enfants et le secondaire 2200 adolescents. Les projets foisonnent toujours autant, signe d’une bonne étoile bienveillante. Alain NICOLAS, directeur de 1994 à 2009. Du Frère Marcel aux directions actuelles ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 13 Le regard d’un ancien directeur sur l’histoire de son école… L’INSTITUT SAINT-AUBAIN de NAMUR En 1977, l’Institut Saint-Aubain quittait le centre-ville et la rue de Bruxelles pour s’établir à Salzinnes, dans des installations plus spacieuses à côté du Grand Séminaire. Le défi était de taille, cette année-là ; en plus du déménagement vers la périphérie de Namur, Saint-Aubain devait s’ouvrir à la mixité, et, un an plus tard à l’enseignement rénové. Mais une chose à la fois. Créé en 1818, l’Institut Saint-Aubain a maintes fois voyagé dans le centre de Namur. De l’actuel emplacement du Théâtre Royal à la rue de Rupplémont (à l’emplacement de l’école des Pauvres), et de la halle aux viandes à un hôtel situé à côté de l’église Saint-Loup, les Frères des Ecoles Chrétiennes avaient enseigné à des endroits divers, au gré des circonstances. Jusqu’en 1831, où la Commission bienfaitrice des Ecoles Chrétiennes fait l’acquisition du local formant le coin de l’Allée Verte et de la rue de Bruxelles, l’endroit devient rapidement la maison des Frères. En 1977, un siècle et demi plus tard, c’est le départ vers la rue Henri Blès, lors d’une op ération triangulaire : les Facultés souhaitent s’étendre et prennent possession de l’immeuble de la rue de Bruxelles et du terrain de 45 ares. SaintAubain emmène ses classes dans les bâtiments construits par l’Enseignement Supérieur de Namur (IESN) qui avait vu trop grand dans ses plans à côté du Grand Séminaire. L’IESN s’en va quant à lui vers ses actuels locaux derrière la gare. La boucle est bouclée, et chacun est bien chez soi. Voilà donc Saint-Aubain installé en bord de Sambre, après avoir agrandi les installations existantes sur les plans de l’architecte Emile Matagne. « Avec l’apparition de la mixité et de l’enseignement rénové, il nous fallait de nombreuses classes, se souvient le directeur général Michel Dassy. Nous avons donc emprunté 50 millions de francs au Fonds de garantie pour construire ce qui est aujourd’hui entre le bloc primaire, le bloc laboratoire et le gymnase. Le tout dans un laps de temps relativement court. Nous avons été obligés de construire les nouvelles infrastructures en une année. La veille de la rentrée, on carrelait encore dans le primaire. Les cours avaient été asphaltées deux, trois jours avant ». ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 14 D’investissements en chantiers (la création de l’école maternelle en 1984, la construction du hall sportif du CPAS la même année et l’ouverture de la salle de psychomotricité en 1987), l’Institut Saint-Aubain s’est peu à peu révélé comme un des acteurs essentiels de l’enseignement namurois, avec ses 1000 élèves dans un cadre préservé. Bon, Saint-Aubain, c’est peut-être un peu retiré : « Le problème de base, chez nous, c’est qu’il faut venir jusqu’ici. Mais lorsqu’on y est, on veut y rester ». A mon sens, la dépopulation scolaire est également due à l’uniformisation rigide des programmes imposés par l’administration subsidiante. Alors que SaintAubain bénéficiait d’une renommée d’école d’enseignement scientifique, il a peu à peu perdu son aura en étant contraint de dispenser de moins en moins d’enseignement scientifique. Et, voilà, aujourd’hui, malgré un enseignement de haute qualité, malgré des activités attrayantes, diversifiées qui ont amené sur le site de nombreux enfants avec leurs parents, il faut constater une lente érosion significative du nombre d’élèves. A la rentrée 2013, il restera sur le site l’enseignement fondamental et les 2ème, 4ème et 6ème de l’enseignement secondaire ; ce qui permettra aux élèves du secondaire de clore leur cycle. A la rentrée 2014, seule l’école fondamentale occupera encore le site. Sources : Elan Nouveau et Vers l’Avenir José AVRIL Etienne MINETTE, l’actuel Olivier HUSQUIN, prédécesseur ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 15 AGENDA DES REUNIONS DES DIRECTIONS Année scolaire 2013 - 2014 DATES Je 19 sept 2013 9h15 – 12h30 LIEUX Ciney-MdLS Salle Mozart CONTENUS PASTORALE 2013 – 2014 « Des mains qui se tendent pour… » + Intervenant sur le sens des signes et des gestes + Développer le projet : sens et dynamique pastorale des temps forts + Enrichissement : échanges – pistes Ma 5 nov 2013 Ciney-MdLS Salle Vivaldi CONCEVOIR UNE COMMUNICATION EFFICACE ET COHERENTE Importance des liens : forme – contenu – objectifs poursuivis Ma 14 janv 2014 Ciney-MdLS Salle Vivaldi LE NON VERBAL + le repérer, le décrypter + être attentif à son non verbal Ma 11 mars 2014 Châtelet Inst St Joseph FORMATION INFORMATIQUE Pistes à exploiter avec Proéco. Idée information sur l’emploi des tablettes « bic » Ma 29 avr 2014 Ciney-MdLS Salle Vivaldi Ma 3 juin 2014 9h15 – 11h Ciney-MdLS Salle Vivaldi + Projet en lien avec le secondaire « APPRENDRE AVEC LES PEDAGOGIES COOPERATIVES» Formateur Sylvain CONNAC ADAPTER SA COMMUNICATION « Le langage des signes » Témoignages du projet d’intégration des enfants sourds porté par l’Institut Ste-Marie-Namur A 11h :accueil RETROUVAILLES AVEC LES ANCIENS Les agendas sont de plus en plus difficiles à agencer, cependant veillons à privilégier ces dates et à avertir les différentes commissions qui doivent encore établir leur calendrier. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 16 PASTORALE 2013 – 2014 « Quand on a mis sa main dans la main des pauvres, on trouve la main de Dieu dans son autre main. » (Abbé Pierre) Temps de la rentrée (septembre – mi-octobre) M Manifester la joie de se retrouver en tendant la main Supports Témoins Outils Symboliques bibliques et autres suggérés * Les mots de civilité : bonjour, au * Lc 15 : La parabole du fils prodigue revoir, salut, merci, s’il vous plaît … ou du père miséricordieux qui prend privilégier son fils dans les bras parce qu’il l’a * Faire rechercher (commence par M) retrouvé. mains * Une image, un dessin : une ronde avec des personnages de taille * Lc 9, 46-48 : Qui est le plus grand dans le Royaume ? Prenant un différente enfant par la main, Jésus le plaça au * Célébration - Les enfants entrent dans la salle (classe ou église) en se donnant la main 2 par 2 pour former une ou des rondes (concentriques ou distinctes) - Chaque enfant prépare un message d’accueil (dessin ou écrit) à donner à un autre élève de la ronde (une main contournée et décorée en M1 – P1) - Chant : Main dans la main (Gérard Rey - Chantez on line) - Chaque enseignant a un message d’accueil à dire à ses élèves et un message collectif du directeur - Référence biblique (Lc 9, 46-48) à lire par … à mimer … - Chant : Si tu as de la joie au cœur, claque des doigts … peut-être le Merci milieu des disciples … - * Un croquis d’école à compléter par les photos d’élèves * Gn 45-46 : Joseph retrouvé par ses frères * Une photo – une peinture (Folon – - Magritte…) - * Un dessin à réaliser ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY des photos de 17 Echos de nos écoles. INAUGURATION AU COLLEGE DE GEMBLOUX Seize nouvelles classes près de la gare - Le collège Saint-Guibert a inauguré sa nouvelle école de la gare. Seize classes, pas moins, récompense d'un bel essor. Madame Carine, la directrice & Louis et Justine qui ont évoqué leur école dans les deux langues, immersion oblige. La ministre Simonet a rencontré la première directrice, sœur Marie-Monique. La petite école de la rue Monseigneur Heylen a 54 ans. En 1959, les sœurs Notre-Dame décidaient de s'implanter près de la gare, pour faire face à l'expansion démographique de la Ville. Mais s'il y a une date à retenir, en dehors de la fusion entre l'Institut Saint-Guibert et l'Institut des Sœurs de Notre-Dame intervenue en 1996, c'est sans doute l'année 2005. Cette année, la p'tite école se lance dans un projet d'immersion en néerlandais. Modestement, en commençant par la troisième maternelle. Le concept séduit. D'année en année, il gagne des adeptes et conquiert de nouvelles classes, en primaire. De 49 écoliers, l'école est aujourd'hui passée à 237. Il a dès lors fallu adapter les locaux. Pendant quelques années, une solution provisoire a été adoptée, avec l'installation de modules préfabriqués. Approuvé en 2008, le projet définitif a commencé à s'ériger en 2010. Les élèves occupent les nouveaux bâtiments depuis janvier 2013. Ceux-ci comportent 16 classes, une salle de gymnastique, un réfectoire, une salle des professeurs. L’école a été bien pensée par le bureau gembloutois BSolutions, avec le choix d'une ossature en bois. On est dans un standard semi-passif. La construction de cette nouvelle école représente un investissement de 3 millions d'euros. À l'heure de dévoiler la plaque inaugurale, en présence des ministres Simonet et Laruelle, du bourgmestre Dispa, de plusieurs échevins et conseillers communaux et de la communauté éducative du collège Saint-Guibert, la directrice Carine Delestinne insistait sur le travail d'équipe à l'origine de cette réalisation et la chance de faire partie d'un pouvoir organisateur solide. En septembre, les classes de l'ancienne partie de l'école accueilleront quatre classes d'élèves en filière francophone. De quoi faire face à l'essor démographique de Gembloux. «Proficiat !» ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 18 Interview Quel est votre sentiment, à l'heure d’inaugurer cette nouvelle école, dont vous assumez la direction? C’est tout simplement extraordinaire. Ce n'est vraiment pas courant de pouvoir inaugurer une nouvelle école. C'est vraiment du bonheur. Quels sont pour vous les principaux avantages de cette nouvelle infrastructure ? La place et la clarté. La place d’abord surtout sachant qu'on vient d'une petite école à l'étroit. Cela nous change des conteneurs provisoires avec lesquels nous avons travaillé pendant plusieurs années. Il y a seize classes, mais aussi une grande salle de gymnastique, un grand réfectoire, mais aussi une vaste cour de récréation pour la détente. La clarté ensuite. C'est ce qui a le plus frappé les écoliers quand ils ont pris possession des lieux. A l’école de la gare, vous pratiquez l’immersion en néerlandais. Quel bilan en dressez-vous avec quelques années de recul ? L’immersion a démarré en 2005, sous l’impulsion du directeur Alain Nicolas, avec une équipe motivée. De la 3e maternelle, elle a été progressivement étendue jusqu’en 6e primaire. L’immersion n’est pas forcément une évidence. Elle nécessite beaucoup de concentration et de travail de l’élève. On doit être attentif à respecter son épanouissement. Il faut faire attention aussi au côté « sélectif » de l’immersion. En principe, elle n’est pas sélective, mais on doit reconnaître qu’elle le devient par la force du projet. Les enfants plus lents ou en difficulté d’apprentissage sont encore plus en difficulté et peuvent être amenés à être réorientés vers une filière classique du collège. Quel niveau de connaissance visez-vous en néerlandais? On passe de trois quarts temps néerlandais en maternelle à 10 périodes, en 5 e et. 6e primaire, en passant par la moitié du temps de la 1ère à la 4e primaire. L’objectif, ce n’est pas d’être parfait bilingue, mais qu’un enfant puisse comprendre un autre enfant du même âge qui lui parle en néerlandais. Il faut aussi que les acquis en français soient assurés. Le CEB l’exige. Je dirais que le principal avantage de l’immersion, c’est de former des enfants plus audacieux et débrouillards, moins vite déstabilisés parce que plongés dès leur prime enfance dans une langue qu’ils ne connaissent pas. Bruno MALTER L’Avenir 22 mai 2013 ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 19 Echos de nos écoles EXPOSITION A L’ECOLE MATERNELLE du Centre Scolaire Saint-Michel de VERVIERS UN MONDE RICHE DE DIFFÉRENCES. Suite à une campagne de sensibilisation sur le thème de la diversité « Fiers de nos couleurs » dans la ville de Verviers, mon équipe pédagogique a décidé de réaliser une exposition sur le thème des visages. Elles ont tout d’abord observé, avec l’aide des enfants, que nos visages étaient identiques dans leur composition. En effet, nous avions tous deux yeux, deux oreilles, un nez et une bouche. Mais, elles ont surtout mis en évidence le fait que ces différentes parties n’étaient pas les mêmes d’un enfant à l’autre et que la couleur de notre visage différait également. Certains enfants avaient un nez en trompette ou un nez long et fin, d’autres avaient une bouche en forme de cœur ou droite, d’autres avaient la peau claire ou foncée, … Dans ce cadre-là, nous avons exploité cette richesse qu’est la diversité en créant des visages avec un matériel diversifié et un large panel de techniques différentes. L’école de demain est une école qui s’ouvre sur le monde et ses différences mais surtout qui voit ces dernières comme une richesse. Ce sont ces différences qui font que l’on peut dire que notre monde est beau et plein de couleurs. Qu’il serait triste de vivre dans un monde uniforme où les gens auraient la même couleur de peau ou d’yeux, la même forme de nez ou de bouche, … Cette ouverture sur le monde et sa diversité s’est aussi marquée par la participation des parents qui nous ont fait découvrir, lors du vernissage, des plats de chez eux. Rappelons que notre école est une école pluriculturelle dans laquelle se côtoient plusieurs nationalités différentes. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 20 Cette exposition fut une véritable réussite marquée d’une part, par l’engouement de nos élèves et de notre équipe pédagogique pour la réalisation de cette exposition, et d’autre part, grâce au nombre élevé de personnes qui sont venus à notre vernissage. Qu’il s’agisse de parents ou d’autres personnes, beaucoup ont répondu présent. Nous espérons que toutes ces personnes ont compris la symbolique de notre exposition et que comme nous, elles en sont sorties plus riches qu’avant… Patricia BLANCO ALONSO, directrice. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 21 ECHOS DE NOS ECOLES A MALONNE, L’ENSEIGNEMENT SPECIALISE GRANDIT ET S’AGGRANDIT RENOVATION DES LOCAUX A L'ECOLE PRIMAIRE SPECIALISEE ( TYPE 8 ) ST.BERTHUIN-MALONNE. Le Pouvoir Organisateur avait tracé les grandes lignes d'une rénovation indispensable pour l'école déjà en 2002 avec le SIEC. La mise en place du Programme Prioritaire des Travaux par la CFWB a permis, fin 2011, d'accéder à sa réalisation dans trois axes : 1) sécurisation des locaux, 2) isolation du bâtiment, 3) rénovation des sanitaires. Ce projet a demandé la coordination de plusieurs intervenants : le SGIPS, le SIEC, le bureau d'architecture Atelier 4D-Namur et les entreprises sélectionnées en adjudication publique. Mardi 14/05 (16h30) a eu lieu l'inauguration des locaux rénovés avec la participation des représentants du Diocèse de Namur, de l'AEL, de Fortis-Banque et de plusieurs intervenants. M.Genicot, Directrice, a tracé devant l'assemblée le tableau des réalisations : portes coupe-feu à tous les étages, système d'alarme-incendie et d'intervention contre le feu, nouvelle toiture, isolation du bâtiment, nouveaux châssis double vitrage, création d'un bloc sanitaire extérieur, rénovation des sanitaires existants, création d'un local polyvalent, passage au gaz pour le chauffage. L'après-midi avait été consacrée à l'organisation d’une fête pour les enfants : jeux divers, séance de magie, goûter, glaces : un bon moment de détente pour les élèves et l'équipe pédagogique des enseignants/tes et du secteur paramédical. L'EPS St.Berthuin-Malonne est la seule école primaire spécialisée dans l'AEL. D'une capacité d'accueil de 180 élèves sur le site et de 40 élèves en intégration extérieure, elle répond à l'orientation en type 8 pour les profils suivants : - les DYS ( dyslexie, dyscalculie, dysorthographie, dysphasie, dyspraxie, dysgraphie) - les déficits de mémorisation, - les déficits d'attention, de concentration, l'hyperactivité, - l'échec scolaire caractérisé ( ex. retard du développement psychomoteur en cause, etc.) P-J.Marchal, président du P.O. a accueilli les invités dans la nouvelle salle polyvalente et a remercié chaleureusement, au nom du P.O. et de l'équipe pédagogique, tous les acteurs de cette belle rénovation. Denis Simon, secrétaire du P.O. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 22 Balises d’évaluation de la lecture en fin d’étape Quid en fin d’étape (P2) ? Surtout ne pas se contenter d’une évaluation trop simpliste ! Soit, un texte à lire avec des questions de compréhension et une lecture oralisée. Mais proposer une évaluation d’un ensemble multiple des facettes de l’acte de lire comme… Une épreuve de 100 points… - 64 points destinés à l’évaluation de la compréhension du message écrit. 36 points destinés à l’évaluation de la maîtrise du code grapho-phonétique, à la discrimination visuelle rapide et à la vitesse de lecture. Association de dessins et de mots Association de dessins et de phrases Lecture – compréhension d’une situation problème mathématique ou d’un tableau de données. Vitesse de lecture Tri de textes (lecture rapide et sélective) La reformulation d’un texte lu mentalement. Poser des questions de compréhension. Lecture oralisée. Test de closure. Puzzle littéraire. Compréhension + discrimination fine de graphies proches + vitesse de lecture. Compréhension liée à des contenus figuratifs pas nécessairement explicites. Compréhension liée à une situation fonctionnelle. Allier technique et compréhension. Technique de lecture sélective liée à la macrostructure des textes Compréhension globale de l’écrit. Compréhension fine. Items avec grammaire textuelle Aspect mécanique de la lecture. Épreuve de compréhension. Compréhension + chronologie textuelle. Bibliographie : Cercle d’études du Borinage et des Hauts pays ASBL Président : M. Alain Filleul, inspecteur cantonal honoraire Jean-Marie DUSSART ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 23 NOS ECOLES & LEURS DIRECTIONS EQUIPE D’ANIMATION ET D’INSPECTION DU FONDAMENTAL A partir du 1er sept 2009 Du 1er sept 2000 au 30 juin 2009 Equipe avant 2000 Alain NICOLAS Past :Jean-Pierre BERGER Sylvain Van KERREBROECK Past :Jean LELOUP Jean-Marie HENRY Pierre SPRUMONT (+)Frère JEAN THOMAS Frère Georges PONCELET (+)Frère Henri ELSEN (+) Frère Joseph VERDEUR Frère Jacques ROLAND (+) Frère Marc DELVILLE Jeannine CABUS-BILA (Jean LELOUP 09-10) Marie-Françoise GILLET André JACQUES Jean-Marie DUSSART ANCIENNES ECOLES LASALLIENNES MALONNE Fondamental Institut St- Berthuin (jusqu’en 2005 PO Jambes) Anciennes directions Martine DEVOS Robert BAYOT MONS Maternel Ecole autonome St-Joseph (jusqu’en 2008 Jésuites)) Anciennes directions Sylvie BELOT Marie-France DELZENNE Marie-Thérèse DELCOURT MONS Fondamental Collège –Externat St-Joseph (jusqu’en 2008 Jésuites)) Anciennes directions Benoît DUFRASNES (+) Jacques DOLLEE FLORENNES Fondamental Institut (jusqu’en - diocèse) Anciennes directions Guy EVRARD Charles SALMON Marcel COLLARD ECOLES LASALLIENNES DE BELGIQUE SUD BRUXELLES (2) Ramegnies-Chin TOURNAI WAVRE (2) JEMAPPES (4) SOMBREFFE FRAMERIES(2) CHATELET ERQUELINNES TAMINES MEUX MALONNE ROCHEFORT 30 écoles de l’enseignement fondamental Ecoles secondaires VERVIERS NAMUR (2) CHATELINEAU Philippeville LIEGE GEMBLOUX (3) CINEY BEAURAING La Roche-en-Ardenne CARLSBOURG BASTOGNE ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 24 BASTOGNE (6600) Institut St-Joseph (Prim 8-12) Rue des Remparts, 45 T 061/211 248 – 0473/441 486 BEAURAING (5570) Institut Notre-Dame (Fond) Rue de Givet, 21 T 082/710 222 BRUXELLES (1050) – PO IStJBdlS Ec Ste Trinité-Card. Mercier (Fond) I Av de la Couronne, 105 T 02/6485 533 – 0475/569 489 Em [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Bernard ANTOINE Dir : Jean-François LISOIR Dir : Thérèse ROISEUX Ecole entrée dans l’AEL en 2009 Prédécesseurs Louis PETIT Prédécesseurs Michel GRANDJEAN ( Av 94) BRUXELLES (1050) – PO IStJBdlS Ec Ste Trinité-Card. Mercier (Fond) II Rue du Nid, 8 T 02/6486 280 – 0494/333 397 BRUXELLES –St Gilles (1060) Institut St-Jean-Baptiste (Fond) Rue Moris, 19 T 02/5371 243 – 0494/382 923 CARLSBOURG (6850) Institut St-Joseph (Fond) Avenue Arthur Tagnon, 2 T 061/534676 – 0496/240 821 Em [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Didier BURANI Dir : Pierre MARION Dir : Valérie ADAM Ecole créée en sept 2011 (Anc implantation de Ste Trinité I) CHATELET (6200) Institut St-Joseph (Fond) Place Jean Guyot, 1 (bte 2) T 071(0475)/397130 –0491/221 489 E [email protected] Dir : Marc LEFEVRE Prédécesseurs Philippe SOTTIEAUX (95-10) Franz LEURQUIN (92-95) Alphonse VERHEYDEN (86-92) Fr Roger NOEL (76-86) Prédécesseurs Eric DROPSY (… – 10) Ecole entrée dans l’AEL en 2009 Prédécesseurs André JACQUES (99 – 08) Alfred REZETTE (78 – 98) CHATELINEAU (6200) Institut St-Barthélemy (Fond) Rue Adolphe Chif, 42 T 071/387 362 – 0496/124 769 CINEY (5590) Institut St-Joseph (Fond) Rue St-Hubert, 14 T 083/232 190 Em [email protected] Em [email protected] Dir : Annick HACHEZ Dir int: Marie-Anne DELISEE Dir : Nathalie LECOMTE Prédécesseurs Marc DELESTRAIT (99-09) Jean THIRY (94-99) Jean-Paul SCHILTZ (74-94) Prédécesseurs Joël JACQUEMIN Fernande ISTAT, Monique LHOMEL Yvonne FONCK,Michel ROUARD Michel GRANDJEAN ERQUELINNES (6560) Institut St-Thérèse (Fond) Rue Floréal Parc, 2 T 071/556 828 – 0476/571 576 [email protected] Dir : Pascale LEWAITE Prédécesseurs Aline DUFOSSE(04-10) Francis DUBRUX (01-04) Etienne DELYS (78-04) (+)Andrée BRASSART(77-78) (+)Pierre HECQ (44-77) FRAMERIES (7080) Institut St-Joseph (Fond) Rue Ste-Philomène, 6 T 065/672 920 – 0479/648 858 GIVRY EUGIES (PO Fram) (7041) Ecole du Sacré-Coeur (Fond) Rue des Juifs, 20 T 065/586 559 – 0477/263 859 Em [email protected] Em sacre-cœ[email protected] Dir:Sabine VANOVERSCHELDE Prédécesseurs Juliana DEHOMBREUX (02-11) Ancienne implantation du 6 rue Ste-Phimomène (2006) Dir : Alain BLAIRON Prédécesseurs Jean-Marie DUSSART Jacques VAN HOOF Maurice DUTRIEUX Paul TIBESAR GEMBLOUX (5030) Collège St-Guibert (Fond 2 ½ - 8) Rue Chapelle-Dieu, 8 T 081/627 925 – 0478/384 137 GEMBLOUX (5030) Collège St-Guibert (Prim 8-12) Place St-Guibert, 4 T 081/627 921 – 0497/612 034 GEMBLOUX (5030) Collège St-Guibert (Immersion) Rue Monseigneur Heylen, 13 T 081/615 670 – 0495/733 837 [email protected] [email protected] [email protected] Dir : Olivier HUSQUIN Dir : André DUBUISSON Dir : Carine DELESTINNE Prédécesseurs Bernadette MERCIER Marie-Mad. GODERNIAUX Sœur Marie-Monique DENIS Prédécesseurs Alain NICOLAS (94-09) Henri DUTERME (84-94) Fr Marcel LOSANGE (72-84) JEMAPPES (7012) Institut St-Ferdinand (Fond 2 ½ -8) Avenue du Coq, 10 T 065/824 993 – 0496/839 285 JEMAPPES (7012) Institut St-Ferdinand (Prim 8-12) Rue Croisette, 2 T 065/824 993 – 0478/464 996 Em [email protected] Em [email protected] Dir : Marc DUQUESNE Dir : Vincent PIRNACI Prédécesseurs Christian WUILMART Ecole créée en sept 2006 Ancienne implantation du 8 rue Chapelle-Dieu FLENU (JEMAPPES) (7012) Institut St-Ferdinand (Fond ) Av du Champ de Bataille, 386 T 065/885 129 – 0474/752 663 Em [email protected] Dir : Benoît JARADIN Ecole restructurée en 2006 ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY Prédécesseurs Fabienne RENARD(06-12) Vincent PIRNACI 25 CUESMES (JEMAPPES) (7033) Institut St-Ferdinand (Fond ) Rue Etang Derbaix, 2b T 065/316 214 – 0478/986 212 LIEGE (4000) Institut St-Joseph (Fond) Rue Ste-Marguerite, 64 T 04/2240447 – 0496/772 008 MALONNE (5020) Institut St-Berthuin (Spécialisé) Rue Fond de Malonne, 120 T 0474/232 542 – 0494/752 663 [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Fabienne RENARD Dir : Viviane MONACELLI Dir : Martine GENICOT Prédécesseurs Marie-Madeleine DEBRUE(06-12) Cathy PREVOST Prédécesseurs Michèle NICOLAY (99-02) José SPRONCK André AENGEVELD Prédécesseurs Jean-Marie LOBET(05-06) Michel GOFFINET(01-05) Denis SIMON MEUX (5081) Ecole Notre-Dame de B. (Fond) Rue du Village, 20 T 081/569 770 – NAMUR - Salzinnes (5000) Institut St-Aubain (Fond) Rue Henri Blès, 192 T 081/736 787 – 0458/436 139 NAMUR - Salzinnes (5000) Ecole des Frères (Prim) Rue Ste-Julienne, 3 T 081/743 230 – 0477/279 231 [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Véronique BOSQUET Ecole associée depuis 2005, conventionnée depuis 2009 Dir : Etienne MINETTE Dir :Geneviève HENDRICKX SOMBREFFE (5140) Ecole St-Laurent (Fond) Chaussée de Chastre, 8 T 071/888 299 – 0479/848 665 TAMINES (5060) Institut St-Jean-Baptiste (Fond) Rue du Collège, 27 T 071/776 015 – 0478/585 502 TOURNAI (7500) Ecole des Frères (Fond) Rue du Four Chapitre, 3 T 069/452 732 – 0485/445 843 Em [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Claude TOURNEUR Dir : Jacques CHAVEE Dir : Guy DELHAYE Ecole associée depuis 2000, conventionnée depuis 2010 Prédécesseurs Olivier HUSQUIN (00-05) José AVRIL (82-00) Prédécesseurs Pierre SPRUMONT(89-2000) Fr André LIBERT(74-89) Fr Michel VERSHOREN(63-74) Prédécesseurs Monique PATOUT (09-10) Michel PHILIPPOT(03-09) Berthe CLEVE (02-03) Charles BILLA (99-02) (+)Denis GAUSSIN (Av 02) Prédécesseurs Jean-Louis DEBAES(03-12) Jean-Marie BOONAERT(93-03) (+)Guy VONECHE VERVIERS (4800) Centre scolaire St-Michel (Prim) Rue du Collège, 126 T 087/394 653 – 0486/787 941 VERVIERS (4800) Centre scolaire St-Michel (Mat) Place des Martyrs, 26 T 096/974 142 WAVRE (1300) Institut St-Jean-Baptiste (Prim) Rue du Bruxelles, 45 T 010/229 777 – 0497/508 158 Em [email protected] Em [email protected] Em [email protected] Dir : Brigitte ANDRIS Dir:Patricia BLANCO ALONSO Dir : Christophe BONTEMS Prédécesseurs Jean DEPOUHON (95-05) Christian LECLERCQ (81-95) Fr Georges PONCELET (Av 81) WAVRE (1300) Institut St-Jean-Baptiste (Fond) Chaussée de Louvain, 10 T 010/226 083 – 0498/874 293 Em [email protected] Dir : Viviane BRISACK Prédécesseurs Restructuration au 1/9/2012 Ec fond en ec mat + ec prim DES DIRECTIONS ASSOCIEES A NOTRE PROJET LASALLIEN Viviane BRISACK (05-07) Omer TORDOIR (00-05) Jean-Marie HENRY (88-00) Fr Jean-P. VANDEPUT (78-88) LONZEE (5030) Ec Ass 2010 Ecole libre(fond) Rue de l’Eglise, 131a T 081/614 794 – 0473/312 588 Em [email protected] Dir :Vincent ADAM Ecole associée depuis 2010 Impl devenue école au 1/92007 NAMUR (5000) Ec Ass 2010 Institut Notre-Dame (Fond) Rue du Lombard, 39 T 081/228 952 Em [email protected] Dir : Thierry BERNARD Ecole associée depuis 2010 ROCHEFORT (5580) Ec Ass Institut St-Joseph (Fond) Rue Sauvenière,7 T 084/212 153 Em [email protected] Dir : Bruno COLI N SPY (5190 ) Ec Ass 2009 Ecole St-Joseph (Fond) Place de l’Eglise, 9 T 071/785 930 – 0498/497 977 Em [email protected] Dir : Pol BIERME Prédécesseurs (+)Bernard CHAIDRON (94 -01) Guy JACQUEMIN ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY Ecole associée depuis 2009 Prédécesseurs Mathieu HERMAN (85-99) 26 NOM Prénom Fonction AENGEVELD André Liège AVRIL José Namur – St Aubain BAYOT Robert Malonne BERGER Jean-Pierre Fr Référent de la pastorale. BILLA Charles Salzinnes BONNAERT Jean-Marie Tournai CABUS-BILA Jeannine Insp mat honor. COLLARD Marcel Florennes DEBAES Jean-Louis Tournai DEBRUE Marie-Madeleine Cuesmes DEHOMBREUX M-Juliana Givry DELAIVE André Fr gest CL honor. DELBRUYERE Albert Fr- Wavre DELESTRAIT Marc Châtelineau DELYS Etienne Erquelinnes DELZENNE Marie-France Mons maternel DEPOUHON Jean Verviers DEVOS Martine Malonne DUFOSSE Aline Erquelinnes DUFRASNE Benoît Mons DUSSART Jean-Marie Frameries DUTERME Henri Gembloux DUTRIEUX Maurice Frameries EVRARD Guy Florennes FONCK-LAMOTTE Yvonne Ciney maternel FUDVOYE José Ec As Bastogne GILLET Marie-Françoise Insp mat CF honor GRANDJEAN Michel Beauraing HENRY Jean-Marie Wavre- Insp Fr honor ISTAT-MAGERAT Fernande Ciney maternel ADRESSE Rue Croisette,64 4122 Plainevaux-Neupré Rue de la Pêcherie,24 5040 Bouge Rue de la Manstée, 13 5020 Malonne Rue des Monastères,49 5020 Malonne Rue J.Ciparisse,11b bte 17 5000 Namur Rue du Moulin,2 7743 Obigies Rue de la Chapelle,67 5000 Namur Rue de Philippeville,35 5620 Florennes Grand’Rue,12 7743 Obigies Chemin de la Cure d’Air,42 7000 Mons Rue de Quévy,2 7040 Genly Av d’Huart,156 5590 Ciney Av d’Huart,156 5590 Ciney Rue Dottiats,28 5140 Boignée Rue des Bonniers,36 6560 Erquelinnes Rue Guy de Brès,53 7000 Mons Rue Saint-Bernard,58 4800 Lambermont Rue de la Vieille Eglise,28 5100 Dave Rue Basse,31 7000 Mons Rue des Muguets,14 7331 Baudour Résidence des Agasses,53 7012 Jemappes Av Général Méllier,39 5030 Grand-Manil Rue de l’Aviation,29 7000 Mons Rue de la Station,59 5621 Morialmé Rue Monin,10 5590 Ciney Rue de la Roche,7 6660 Houffalize Rue des Roches,62 5563 Hour Rue de Wellin,15 5574 Pondrôme Av du Castillon, 47 1450 Chastre Rue du Commerce,93b 5590 Ciney TEL - EMAIL 04/3713811 [email protected] 081/211024 081/445882 [email protected] 081/445267 [email protected] 081/462839 069/557576 0 81/736694 071/689115 069/225535 - 0497/918717 [email protected] 065/840424 [email protected] 071/568357 083/262114 083/212942 071/889810 [email protected] 071/557311 065/311650 087/332977 081/401731 [email protected] 065/363616 065/676109 [email protected] 065/874996 [email protected] 081/611457 065/311650 071/688503 083/213235 061/289407 082/666274 [email protected] 082/711791 010/656612 [email protected] 083/215631 ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 27 JACQUEMIN Guy Rue de Hour,5 Rochefort JACQUEMIN Joël Ciney JACQUES André Carlsbourg LECLERCQ Christian Verviers LELOUP Jean Wavre LEURQUIN Franz Châtelet LIBERT André Fr-Tamines LOSANGE Marcel Fr-Gembloux NICOLAS Alain Gembloux NOEL Roger Châtelet PETIT Louis Bastogne PHILIPPOT Michel Salzinnes PONCELET Georges Fr insp honor REZETTE Alfred Carlsbourg ROLAND Jacques Fr- Anim las ROUARD Michel Ciney SALMON Charles Florennes SCHILTZ Jean-Paul Châtelineau SIMON Denis Malonne sp SOTTIEAUX Philippe Châtelet SPRONCK José Liège SPRUMONT Pierre Tamines-Insp fr honor THIRY Jean Châtelineau TIBESAR Paul Frameries TORDOIR Omer Wavre VAN HOOF Jacques Frameries VAN KERREBROECK Sylvain Insp princFr honor VANDEPUT Jean-Pierre Fr-Wavre VERHEYDEN Alphonse Châtelet WUILMART Christian Jemappes 5560 Houyet Taille du Maréchal, 27 5570 Baronville Rue de Narjacelle,8 6856 Fays-les-Veneurs Av des Grands Champs,62 4802 Heuzy Rue du Lormoy,9 1390 Grez-Doiceau Rue de Comognes,8 5020 Temploux Rue du 22 Août,6 5060 Tamines Place de l’Orneau,21 5030 Gembloux Rue de Queue-Terre,12 5030 Sauvenière Rue de la Genette,78 5570 Beauraing Rue de Californie,21 6600 Bastogne Rue Rouchat,19 5537 Bioul Av d’Huart, 156 5590 Ciney Rue de Vivy,34 6850 Carlsbourg Av d’Huart,156 5590 Ciney Av du Stade,2 5590 Ciney Av N-D de Foy,39 5620 Florennes Allée des Merles,5 6200 Châtelineau Rue François Dufer,13 5000 Namur Chée de Nivelles,88 6230 Thiméon Rue de Waucaumont,40 4650 Chaineux Rue du Palton,47 5060 Arsimont Allée des Mésanges,4 6200 Châtelineau Rue Roosevelt,43 7080 Frameries Rue de la Ferme,4 1315 Opprebais Rue Roosevelt,135 7080 Frameries Rue Tige de Buresse,14 5360 Hamois Rue de l’Eglise,8 1435 Corbais Rue de Hour,5 5560 Houyet Rue Christina Lodges,10 7032 Spiennes 082/713201 [email protected] 061/534761 [email protected] 087/223060 [email protected] 010/840872 [email protected] 081/568754 071/760835 [email protected] 081/626489 081/613411 [email protected] 061/213117 071/799158 [email protected] 083/615375 [email protected] 061/533952 [email protected] 083/212942 083/213429 [email protected] 071/689113 071/386635 [email protected] 081/747494 [email protected] 071/342909 [email protected] 087/674029 [email protected] 071/771992 [email protected] 071/386204 010/888556 [email protected] 065/674121 083/611016 [email protected] 010/655856 [email protected] 071/502280 065/953175 [email protected] ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 28 CELEBRATION DE CE JEUDI 6 JUIN Accueil à l’orgue. Mot d’Alain : pensée spéciale dans cette célébration pour soutenir Jean-François LISOIR Chant d’entrée Qu’exulte l’univers, que soit chantée en tous lieux la puissance de Dieu ! Dans une allégresse terre et cieux dansent de joie, chantent « Alleluia ». 1. Par amour des pécheurs, la lumière est venue. Elle a changé les cœurs de tous ceux qui l’ont reconnue. Ref. 2. Vous étiez dans la nuit, maintenant jubilez. Dieu vous donne la vie ; par amour, il s’est incarné. Ref. 3. Exultez, rendez gloire ; chantez que Dieu est bon. Christ est notre victoire, il est notre résurrection. Ref. Témoignages : partage d’une pensée Témoignage de Jean-Louis Témoignages d’Annick et Marc pour la formation des directions à Rome Témoignages d’André, Anne et Jean-Louis pour l’Assemblée Internationale de la Mission Educative Lasallienne à Rome Chant : L’amour jamais ne passera, l’amour demeurera. L’amour, l’amour seul, la charité jamais ne passera Car Dieu est Amour. 1. Quand j’aurais le don de la science et connaîtrais tous les mystères ; Parlerais-je les langues des anges, sans amour, je ne suis rien. Ref.. 2. La charité ne jalouse personne ; la charité jamais ne s’irrite. En tout temps, elle excuse et espère ; la charité supporte tout. Ref. 3. Un jour les langues vont se taire, les prophéties disparaîtront. Devant Dieu le Seigneur notre maître, seul l’Amour restera. Ref. Première lecture : Un conte sur l’étoile Il était une fois une petite étoile tombée du ciel, égarée en plein champ sur la planète terre. Comment ne pas être repérée quand on scintille de la sorte ? Survient une femme, occupée à ramasser des branches mortes pour chauffer sa maison. La femme, doucement, s’approche. De ses mains délicates, elle écarte la terre qui écrase la malheureuse étoile. Peu à peu celle-ci revit, elle brille bientôt de tous ses feux. Oh ! se dit la femme, je vais l’emporter dans ma maison, elle éclairera mon mari lorsqu’il reviendra du travail. Arrivée chez elle, sur un socle près de la porte, elle dépose sa précieuse découverte. De retour le soir, le mari est étonné par la vive clarté qui l’accueille en franchissant la porte. Qu’est-ce que cette chose brillante ? demande l’homme. Et la femme raconte. Elle est précieuse cette étoile, dit l’homme. Gardons-la pour nous. Non, dit la femme, mettons-la dehors, elle éclairera tous ceux qui passeront près de notre maison. Plus l’homme disait « Gardons-la pour nous », plus la clarté de l’étoile faiblissait. Plus la femme disait : « Mettons-la dehors », plus l’étoile brillait. L’homme prépare alors une place sur le rebord de la fenêtre, à l’extérieur, y dépose le brillant trésor. Depuis ce jour, la petite étoile n’a pas quitté sa fenêtre et sa clarté est de plus en plus vive. (Tagore) ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 29 Chant : Chaque enfant est une étoile, un éclat de l’infini. bis Dieu allume des étoiles dans le ciel de notre vie. 1. Dans leurs yeux, un chemin à commencer ; Dans leurs yeux, un chemin inexploré. Ref. 2. Dans leurs voix, un refrain à libérer. Dans leurs voix, un refrain d’immensité. Ref. 3. Dans leurs mains, un dessin à révéler. Dans leurs mains, un dessin de gratuité. Ref. 4. Dans leurs cœurs, un jardin ensemencé. Dans leurs cœurs, un jardin ensoleillé. Ref. Témoignages d’écoles entrecoupées du chant Laudate Dominum, laudate Dominum Omnes gentes, alleluia Deuxième lecture : Matthieu 18, 1-5 En ce temps-là, les disciples s’approchèrent de Jésus et lui dirent : « Qui donc est le plus grand dans le Royaume des cieux ? » Alors Jésus appela un petit enfant ; il le plaça au milieu d’eux, et il déclara : « Je vous le dis : si vous ne changez pas pour devenir comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le Royaume des cieux. Et celui qui accueille un enfant comme celui-ci, en mon nom, c’est moi qu’il accueille. » Chant d’envoi : Christ aujourd’hui nous appelle Christ aujourd’hui nous envoie ! Vive le Seigneur qui nous aime. Dieu nous donne sa joie. (bis) 1. Ses chemins nous conduisent vers la vie. Partez loin, l’aventure est infinie. Vous serez ses témoins, vous qu’il nomme ses amis. Ref. 2. Ses chemins sont amour et vérité. Le bon grain, Dieu lui-même l’a semé. Vous serez ses témoins, la parole va germer. Ref. 3. Ses chemins déconcertent vos regards. Son matin réconforte vos espoirs. Vous serez ses témoins « Soyez sûrs de votre foi ! » Ref. Prière et bénédiction Chant final : Honneur à toi, glorieux de La Salle ; Apôtre des enfants et gardien de leur foi. Vainqueur de l’ignorance à l’âme si fatale ; Honneur à toi, honneur à toi. O toi que les élus comme nous applaudissent Et chantent triomphant, sur les parvis du ciel. Pour exalter ta gloire, ici nos voix s’unissent Avec transport au cantique éternel. ECHOS DE LA SALLE – AEL CINEY 30