carne de lucio - Peeping Tom Project
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Dossier de presse carne de lucio Recueil de 4 carnets de dessins et peintures réalisés par Lucio Girondo entre 2006 et 2008. Publié par les éditions Peeping Tom éDITIONS Achetez-le en ligne ! www.peepingtomgalerie.com/shop sommaire carne de lucio 1. Carne de Lucio 2. Lucio Girondo 3. Auteurs : Béatrice Gross et Gaël Gittard (préface), Jean-Michel Alberola (dédicace). 4. Morceaux choisis 6. Les Editions Peeping Tom 7. Contact Une publication publiée en parallèle de l’exposition personnelle « Soy yos » de Lucio Girondo au studio Petite surface : 5 rue Sorbier 75020 PARIS Métro Gambetta ou Ménilmontant Vernissage et lancement de la publication le Mercredi 27 Janvier 2010 à partir de 19h Exposition du 28 Janvier au 26 Février 2010. Du lundi au vendredi de 11h à 18h sur rendez-vous uniquement (Tel: 09.54.24.98.62) www.petitesurface.com Carne de Lucio est en vente au studio Petite surface jusqu’au 1er mars 2010 et sur le site : www.peepingtomgalerie.com/shop carne de lucio 1. Présentation Carne de Lucio est un recueil des reproductions de quatre carnets de dessins et peintures réalisés par Lucio Girondo entre 2006 et 2008 : aux petites joies qui nous fon nous levé chak matin (1) â ce tré chèr ordi portable qui me pérmé de ne pas me déplcé j’uskau cinema (2) a ceux que l’on nomme : “les soiré” (3) à ma geule quéssquéle à (ma) cette geule ? (4) Selon le principe de la carte blanche offerte à des artistes émergents par Peeping Tom, Lucio Girondo a sélectionné quatre carnets parmi la centaine qu’il a réalisé, le carnet étant le support qu’il privilégie dans sa pratique artistique. Conçus pour la plupart sans préméditation conceptuelle, au gré des envies et/ou frustrations de l’artiste, ces carnets font resurgir des thèmatiques de manière rétrospective. Ces « carne » - faisant écho aux origines argentines de l’artiste et à son amour inconditionnel de la viande - mélangent le personnel à l’universel: événements du quotidien, généralités, rêves, réflexions de l’artiste et mémoire collective s’entremêlent sans souci de hiérarchie. Parfois provocateur, Lucio Girondo dénonce avec ironie des aberrations et absurdités sociales ou politiques. Son humour indéniable permet de dédramatiser par une pirouette formelle ou textuelle, un contexte scandaleux, abject ou choquant, voir innommable. Comme si la joie de vivre était plus forte que tout. Souvent enclin à accorder autant d’importance au rêve qu’à la réalité, Lucio Girondo raconte souvent plusieurs histoires qui s’entremêlent et qui finissent par rendre trouble la frontière entre le vécu et le fantasme. Eléments autobiographiques, faits rapportés ou fictionnels, chacun est logé à la même enseigne, celle de la dérision. Techniquement, Lucio Girondo utilise aussi bien la plume, la gouache, le crayon de papier ou de couleur, l’acrylique ou le feutre, l’emploi d’un outil étant souvent le fruit d’un choix aléatoire : l’artiste utilisant la plupart du temps ce qu’il a à portée de main. Une approche chère à l’artiste qui lui permet d’une part de travailler dans n’importe quelle condition avec les moyens du bord mais surtout de ne pas hiérarchiser ou systématiser l’emploi d’une technique en particulier. Cette méthodologie dépendante du contexte où est réalisée l’oeuvre est en fait une contrainte que l’artiste s’impose comme une philosophie de vie à l’opposée du caprice ou du maniérisme. Par ailleurs, cette versatilité lui permet aussi de passer du figuratif à l’abstrait sans transition, parfois même sur la même image. Formellement, Lucio Girondo joue aussi beaucoup avec les transparences d’une page à l’autre comme pour montrer que chaque pensée est l’extension de la précédente : la conception d’une page devra prendre en compte le fantôme de la précédente - mode de fonctionnement similaire à celui de la mémoire. Ces accidents font aussi partie intégrante des contraintes que l’artiste s’inflige dans la même logique d’économie de moyens et d’adaptation de l’oeuvre au contexte de sa création, propre aux techniques employées. Chacun des quatre carnets présentés n’est qu’un extrait du carnet original : cette sélection permet de donner une vision synthétique mais représentative de l’oeuvre de Lucio Girondo. … carne de lucio … Les quatre carnets présentés dans ce premier volume abordent les thématiques suivantes: 1) Le cinéma a ce tré chèr ordi portable qui me pérmé de ne pas me déplacé juskau cinema Girondo est un cinéphile insatiable. Dans ce carnet, il illustre et commente les films qui lui sont donnés à voir, en général par hasard (chinés à la bibliothèque, prêtés par des amis voire récupérés dans des poubelles) dans cette même logique de l’aléatoire et de l’accident inhérente à son travail. Son choix de films s’opère donc au gré des opportunités et Lucio Girondo s’impose de faire une oeuvre de chacun d’entre eux, même ceux qui lui déplaisent. A travers ces dessins, Lucio Girondo s’improvise parfois critique cinéma, souvent acerbe et intransigeant ou laisse simplement sa position de spectateur ou celle d’artiste prendre le dessus. L’illustration de ces films peut aussi bien mettre en scène l’œuvre original, l’affiche du film, la jaquette du DVD ou encore les conditions de son visionnage par l’artiste. Un subtil mélange d’objectivité et de subjectivité, pâte incontestable de son travail. Ce carnet est accompagné d’une dédicace manuscrite de l’artiste Jean-Michel Alberola, professeur et fan de la première heure de l’artiste. 2) Les soirées a ceux que l’on nomme : “ les soiré ” Il relate à travers plusieurs saynètes des événements personnels (vécus ou rêvés) ou encore qui lui ont été rapportés par des proches ou des inconnus. Le lien entre ces différentes séquences est la nuit, “les soiré” comme il les appellent. Ce carnet décrit la vie nocturne souvent festive de l’artiste et de son entourage . Chaque page parle de la frontière difficile entre l’émerveillement et le pathétique, entre le lâcher-prise salvateur et l’aspect vain qui caractérisent ces escapades : parfois grandes plages de liberté, elles sont souvent représentatives d’une fuite des réalités. Avec humour et compassion, il met en relief non seulement l’absurdité mais aussi le caractère viscéral de la quête nocturne, avec ses beuveries, ses «coucheries», ses rencontres et son énergie particulière. En conséquence, ces frustrations et espoirs inassouvis font l’objet d’un éternel recommencement chez l’artiste et les personnages qu’ils décrient, happés chaque soir par cet univers irrésistible. 3) Sexe et Monstruosité a ma geule quéssquéle à (ma ) cette geule ? La dichotomie attirance /répulsion se retrouve également dans ce carnet mais cette fois-ci elle est associée à la sexualité. Il décrit comment le sexe devient monstre et l’aspect monstrueux devient excitant, une stimulation sexuelle. Ce carnet parle du paradoxe entre le désir/plaisir charnel et son enclin vers une animosité, une bestialité. Ce carnet combine des anecdotes personnelles ou des fantasmes de l’artiste à des comportements sexuels plus universels. 4) Les petites joies aux petites joies qui nous fon nous levé chak matin. L’ironie est présente dés le titre de ce carnet puisqu’il énumère un série de «fausses joies» du quotidien : des prises de consciences empruntes de déceptions. A travers une série de saynètes d’apparence joyeuse et badine, Lucio Girondo met en lumière l’hypocrisie des rapports humains et des convenances sociales. Avec humour et un sens aigu de la dérision, il dénonce des aberrations autour des thèmes de la politique, du travail ou encore de l’amitié. carne de lucio 2. Lucio Girondo Diplômé des Beaux-Arts de Paris en 2003, Lucio Girondo est artiste performer au sein de l’Institut Bancal, un collectif regroupant des artistes de divers horizons (théâtre, arts plastiques, marionnettes, musique...etc.). L’Institut Bancal connaît un succès grandissant depuis sa création en 2003 : leurs spectacles sont régulièrement en tournée en France et à l’étranger et ponctués par de fréquentes résidences d’artistes. Ils collaborent avec des artistes et musiciens de renommée internationale comme les Puppet Mastaz. www.institutbancal.com En parallèle de l’Institut Bancal, Lucio Girondo poursuit depuis plus d’une quinzaine d’années, une activité artistique de peinture et dessin en solitaire sans autre public que son entourage proche. Personnage hors normes, cet artiste est loin de se préoccuper de son auto-promotion : Girondo n’a jamais démarché galeriste, commissaire ou éditeur et son travail de peintre/dessinateur demeure totalement méconnu. Cet ouvrage sera donc une découverte exclusive pour le public. Par ailleurs, de potentielles démarches auprès de professionnels pourraient potentiellement pâtir d’un trouble : la charmante dyslexie de l’artiste. Elle se manifeste par une incapacité à s’exprimer à l’écrit de manière formelle (orthographe, grammaire, syntaxe sont aléatoirement maîtrisés). Cet «handicap» se retrouve dans son travail artistique et prend une tournure humoristique. Car Girondo est le premier à assumer cette dyslexie, à la tourner en dérision. Ses dessins sont donc généralement accompagnés de textes truffés de fautes d’orthographe, de grammaire ou de syntaxe – parfois même, deux mots en deviennent qu’un - plus grossières et invraisemblables les unes que les autres. Cette particularité formelle - en rien une coquetterie stylistique comme certains pourraient le penser au premier abord - est également présente dans l’évocation très singulière de ses souvenirs et réflexions : sa dyslexie se retrouve dans l’organisation irrationnelle de ses idées, dans la verbalisation chaotique de ses pensées. Ces particularités qui pourraient être considérées comme un handicap, une source de complexe, deviennent un atout et la signature de l’artiste à travers ses oeuvres. carne de lucio 3. Béatrice Gross & Gaël Gittard Auteurs de la préface Béatrice Gross Béatrice Gross nous présente un essai décryptant le travail de Lucio Girondo de manière critique, curatoriale et technique. Ce texte permet de situer le travail de Lucio Girondo dans le champ de l’art contemporain et de mettre en lumière la singularité de sa démarche. D’origine Française, Béatrice Gross est commissaire d’exposition et critique indépendante basée à New York. Attachée de conservation au Museum of Modern Art (MOMA) de New York de 2004 à 2007, elle participa aux expositions monographiques de Thomas Demand, puis de Jeff Wall; elle y enseigne actuellement un cours d’histoire de la photographie contemporaine. Publications récentes: “Tableau poétique des éléments de Davide Balula” in Stomach Rainbow (Le Confort Moderne, 2008); “Catalogue Notes” avec Alexandra Withney, in Dan Flavin: The 1964 Green Gallery Exhibition (Zwirner and Wirth/Steidl, 2008); “Ghost Images: Bruce’s Specters and His Posthumous Future” in The Bruce High Quality Foundation Foundation & Other Ideas (BHQF University Press, 2008); “Mémoire de papier et construction du réel. Entretien avec Thomas Demand” in Cahiers du Musée National d’Art Moderne, no. 104, été 2008. Extrait : « (..) entre annotations personnelles et références culturelles, microrécits fantastiques et comptes-rendus ordinaires, c’est un édifice invisible fait de silences et d’ellipses que Girondo construit en creux : ces interstices spatio-temporels lient ainsi les traces fantomatiques d’une autobiographie fragmentaire, figurant métaphoriquement la totalité inatteignable du monde. Ces chapelets hétéroclites de moments, sensations et idées arrachées à l’oubli esquissent alors une sorte de cénotaphe existentiel en mémoire, anticipée, du temps présent. » Gaël Gittard Ami de longue date et proche collaborateur de Lucio Girondo depuis une dizaine d’années, Gaël Gittard propose un texte personnel et poétique : non seulement une incursion dans l’intimité de l’artiste mais aussi une fine description de son personnage, percutante extension de son oeuvre. Cette postface permet non seulement de mieux comprendre l’approche de l’artiste mais aussi de révéler le caractère fantasque de ce personnage atypique. Né en 1977, Gaël Gittard sort diplômé en 1997 de l’Ecole Supérieure des Arts Appliqués Duperré à Paris. Peintre et dessinateur, ses peintures font également l’objet de nombreuses expositions. En 2004, il fonde la compagnie de théâtre d’objets «l’Institut Bancal» avec Mélanie Leduc (www.institutbancal.com). Le collectif collabore avec des artistes, musiciens et performers de tous horizons notamment les Puppet Mastaz, Chantal Morte, Mother Fakir, Cécile Faye ou encore Lucio Girondo. Leurs spectacles sont en tournée en France et à l’étranger et régulièrement ponctués de résidences pour artistes. Gittard est scénariste, poète, metteur en scène et comédien au sein du collectif . En parallèle, Gaël Gittard est également musicien et membre fondateur du groupe de musique expérimentale le Brouhaha Club (www.myspace.com/brouhahaclub») . Extrait : « Monsieur Girondo, fraîchement douché au champagne, dressé dans sa combinaison alpine coloris rose, carnet de vol en main, du haut de la tour de contrôle, appuie sur ON AIR et éructe : – Je me sens comme un éléphant de mer dans un magasin d’écumes en porcelaine. Introduction. Pause. Tango. Odeur de chair grillée. Il pense que les hôtesses de l’air ont l’art du chignon lustré, que les infirmières se cachent pour cracher, qu’il pleut parfois sous les survêtements des joggers du Luxembourg, mais une chose est certaine : même bouffis et déconcertés, il nous restera toujours la tendresse d’un terrain de foot. » carne de lucio 3. Jean-Michel Alberola Auteur de la dédicace Jean-Michel Alberola Jean-Michel Alberola, artiste français né en 1953 à Saïda (Algérie), vit et travaille à Paris. Depuis 1982, il est représenté par la Galerie Daniel Templon à Paris. Associé à la figuration libre, il interroge à travers ses travaux l’idée de la fin de la peinture. www.danieltemplon.com Fan de la première heure du travail de Lucio Girondo, Jean-Michel Alberola était son responsable d’atelier à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris. Il intervient dans ce recueil à travers une dédicace en fin du «carne» sur le cinéma (clin d’oeil aux critiques littéraires qui apparaissent en quatrième de couverture de certains ouvrages). carne de lucio 4. Morceaux choisis carne de lucio carne de lucio 5. Fiche technique Recueil des reproductions de quatre carnets de dessins et peintures réalisés par Lucio Girondo entre 2006 et 2008 : aux petites joies qui nous fon nous levé chak matin. â ce tré chèr ordi portable qui me pérmé de ne pas me déplcé j’uskau cinema a ceux que l’on nomme : “les soiré” à ma geule quéssquéle à (ma) cette geule ? TITRE : ARTISTE : Carne de Lucio Lucio Girondo ÉDITEUR/DIFFUSEUR :Peeping Tom AUTEURS DE LA PRÉFACE : Béatrice Gross et Gaël Gittard SORTIE PRÉVUE : Janvier 2010 TIRAGE :Edition limitée à 250 exemplaires numérotés LANGUE : Française PRIX PUBLIC (premier tirage) : 9 euros FORMAT DES CARNETS (ORIGINAUX) :17 x 22 cm TECHNIQUES UTILISEES ( originaux) :Crayon, encre, feutre, acrylique et gouache sur papier 125 g . NOMBRE DE PAGES : 88 au total Détails : 1 (24 pages), 2 ( 24 pages) , 3 ( 24 pages), 4 ( 16 pages) Carne de Lucio est en vente au studio Petite Surface jusqu’au 1er Mars 2010 et sur notre site : www.peepingtomgalerie.com/shop carne de lucio 6. Les éditions Peeping Tom Peeping Tom Peeping Tom est une initiative de I’m not a girl who misses much, une Association Loi 1901, visant à soutenir et promouvoir des artistes contemporains, émergents pour la plupart, tout en mettant l’art contemporain à la portée du grand public. Peeping Tom est un collectif regroupant Caroline Niémant (commissaire d’exposition et directrice de la photographie) et Stéphane Blanc (directeur artistique et artiste plasticien). Dénicheur de nouveaux talents, Peeping Tom conceptualise et réalise des projets spéciaux mettant en scène de jeunes artistes : expositions, ventes aux enchères, collaborations avec des institutions artistiques et culturelles (galeries, festivals, magazines…etc) ainsi que des publications (revues, catalogues, livres d’artistes...etc.) L’activité de Peeping Tom est pluridisciplinaire et touche aussi bien le domaine de l’art que ceux de la mode et de la musique. Peeping Tom est en perpétuelle mutation, sans contrainte de forme, dans un désir de ne pas se cantonner à un seul domaine d’expression. Selon le projet, Peeping Tom devient tour à tour commissaire d’exposition, éditeur, directeur de la photographie pour des magazines (Photo Editor), organisateur d’événements (ventes aux enchères, performances, concerts, expositions...etc.) ou encore directeur artistique dans le domaine de l’édition (presse magazine, livres, catalogues...etc...). Chaque nouveau projet de Peeping Tom est une entité à part entière, pensée in-situ mais reste dans la lignée du précédent : les réalisations de Peeping Tom ne se ressemblent pas dans leur forme mais se rejoignent autour d’une cohérence et identité curatoriales. Les éditions Peeping Tom Depuis 2009, Peeping Tom est devenue une structure éditrice. Les éditions Peeping Tom éditent une revue annuelle intitulée «Peeping Tom’s Digest» et une collection annexe de livres d’artistes . Chaque numéro de Peeping Tom’s Digest est consacrée à la scène artistique d’une ville, d’un pays ou d’une région en particulier et met en avant les jeunes artistes qui la représentent. Chaque territoire est choisi en fonction de sa pertinence artistique (ou au contraire son manque de visibilité) et fait l’objet d’une résidence de quelques mois du collectif Peeping Tom. La principale mission de cette publication est de sonder l’avant-garde artistique, de définir une scène et de faire partager ces découvertes avec le public. Les livres d’artistes Extension logique du magazine, Peeping Tom publiera régulièrement des livres d’artistes. L’objectif de cette collection est d’offrir sa première publication à un artiste émergent. Chaque monographie donnera carte blanche à l’artiste choisi. L’ambition de cette collection est de promouvoir un artiste sans considérer son bagage professionnel, en faisant abstraction de son manque de renommée et en ne retenant que la pertinence de sa création artistique. Chaque publication sera accompagnée d’une présentation de l’artiste et de son oeuvre afin de contextualiser sa démarche. Pour cela, Peeping Tom fera appel à une personnalité du monde de l’art (critique, commissaire d’exposition, artiste... etc.) afin de rédiger une préface ou postface à l’ouvrage. Ce parrain servira également de caution artistique au projet et facilitera la promotion de l’ouvrage auprès de la presse. Chaque livre d’artiste sera numérotée et vendue en édition limitée à 250 exemplaires. Pour plus d’informations : www.peepingtomgalerie.com carne de lucio 7. Contact Peeping Tom aka Caroline Niémant & Stéphane Blanc 64, rue Philippe-de-Girard 75018 Paris [email protected] www.peepingtomgalerie.com Direction de la publication : Caroline Niémant [email protected] Direction artistique : Stéphane Blanc / Mr. White [email protected] Préface : Béatrice Gross, Gaël Gittard Relecture : Laurence Lemaire Remerciements : Lucio Girondo, Gaël Gittard, Béatrice Gross, Jean-Michel Alberola, Laurence Lemaire, Archi Morales et Ophélie Bignon (Petite surface), Boris Bukulin, Mélanie Leduc, Benjamin Torres Aguero, Reiko Underwater, famille Niémant, famille Madoré, famille Blanc, Candice Meiers.