La productique mécanique

Transcription

La productique mécanique
Coups d’œil sur…
La productique mécanique
en Bretagne et Pays de la Loire
La mécanique est partout. La mécanique a une sale image. Elle offre
cependant depuis longtemps des activités variées, qui nécessitent
réflexion, initiative et autonomie. Baisse de la démographie aidant, les
employeurs se préoccupent davantage des conditions de
travail. Ils essaient de fidéliser ces ressources humaines
Spécial CDIqu’ils ont tant de mal à séduire...
Salle des profs
VRAI/FAUX ?
En mécanique, on
a tout le temps
les mains dans le
cambouis : FAUX
Même si les jeunes qui
arrivent à la SARM,
entreprise
de
Plérin,
apprennent les principes de
base du métier (fraisage,
tournage, ajustage) sur des
machines traditionnelles. Et
même, comme en témoigne
son directeur, M. Pascal
Fischbach, s’«il faut aussi
savoir tenir une lime dans
une entreprise comme la
nôtre», la partie fabrication
est en grande partie effectuée
sur des machines numériques
par les 24 personnes
qui oeuvrent en atelier.
Même chose dans la PME
concarnoise
Mécaprécis.
Dans l’atelier, les machines
à commande numérique
dernière génération côtoient
des tours traditionnels. A
l’usine Legris de Malestroit,
l’essentiel du travail est
du décolletage numérique
(fabrication
de
pièces
de haute précision sur
machines à commande
numérique) réalisé dans un
environnement agréable :
machines propres, ateliers
ergonomiques. Enfin, rigueur,
propreté et ordre sont de
mise dans les vastes et clairs
locaux de l’usine Sanden
de Tinténiac. «Ici, tout est
automatisé, les nouvelles
lignes ne nécessitent aucune
intervention
humaine»,
précise Olivier David,
responsable de formation de
l’entreprise.
Le travail de l’opérateur
d’usinage exige des gestes
précis, une attention
soutenue et une certaine
résistance physique. Le
métier demande aussi
une
compréhension
précise des phénomènes
mécaniques. Il exige des
aptitudes au calcul et
l’utilisation de plans, de
schémas et de formules
mathématiques.
La mécanique, ça
concerne le secteur de
l’automobile :
VRAI et FAUX
Pas de mécanique auto
dans ce dossier, pas de
réparation de moteur ou
de carrosseries… Ici, on
montre les activités des
entreprises de la production
mécanique : on travaille le
métal en bloc ou en barre, on
usine, on fraise, on tourne,
on décollète, on assemble…
«Nous ne faisons jamais la
même chose, jamais le même
type de pièce. Nous sommes
les touche-à-tout de la
mécanique», souligne Jean-
Jacques Gréval, responsable
de
fabrication
chez
Mécaprécis à Concarneau.
L’usine
fabrique
des
séparatrices, sorte de gros
broyeurs qui trient la viande
des os, pour les industries
agro-alimentaires.
Mais
aussi des moules métalliques
destinés à produire en série
des bouées équipées de sonar
pour la pêche au thon, des
plaques de cuisson pour des
biscuiteries… Vous l’avez
compris, pas d’auto en vue.
Chez Sanden, il ne
s’agit pas non plus de
réparation
automobile
mais de fabrication de
pièces pour l’industrie
automobile. Le groupe
Sanden est aujourd’hui le
2ème producteur mondial
de compresseurs pour la
climatisation automobile.
En mécanique, on
recrute uniquement
des titulaires d’un
CAP : FAUX
Les entreprises de la
mécanique cherchent des
opérateurs qualifiés pour
conduire des machines de
plus en plus complexes.
Le bac professionnel est
souvent requis pour les
candidats à ce poste. Mais
elles ont aussi besoin de
chercheurs et d’ingénieurs
dans les bureaux d’études
ou les bureaux des méthodes
pour définir les pièces,
faire évoluer les machines
ou les matériaux, préparer
la fabrication. CAP, Bac
professionnel, BTS, DUT,
licence
professionnelle,
diplôme
d’ingénieur,
DESS… Tous les niveaux
de formation s’articulent
comme une vraie mécanique.
Dans une grosse entreprise
comme Sanden à Tinténiac,
tous les diplômes se croisent
en bon ordre. A l’usinage, les
opérateurs sont en majorité
titulaires d’un BEP MPMI.
Ils peuvent évoluer vers
des postes de «keeper»
(maintenance)
ou
de
«patrouilleur» (responsable
contrôle qualité), postes
directement accessibles avec
un Bac pro PSPA (Pilotage
de système de production
automatisée). Les BTS
Electrotechnique trouvent
leur place en tant que chef
d’équipe. Mais «ici, tous
les techniciens supérieurs
commencent par un stage sur
un poste d’opérateur avant
de passer à des fonctions
d’encadrement»,
précise
Olivier David, responsable
formation.
ECLAIRCIES N°54
JUIN
© Onisep Bretagne
2003
1
Des entreprises...
Des compresseurs japonais
made in Bretagne
Sanden Manufacturing Europe
A savoir...
➜ Partout
La mécanique est partout. Dans les
industries agroalimentaires, dans la
construction automobile, la pêche,
le BTP, le nettoyage industriel ou
la plasturgie, des entreprises du
secteur mécanique fabriquent, à la
chaîne ou à l’unité, des moules, des
systèmes de raccordement industriels,
des axes et des boulons, des outils
d’emboutissage, des broyeurs à
viande ou des compresseurs.
Dans la région, les PME de moins de
10 salariés sont majoritaires ; les ¾
des entreprises ayant moins de 50
salariés.
➜ Qualification
Les connaissances de base en
tournage et fraisage sont encore
souvent nécessaires dans les PME
de la région. Comprendre «comment
ça marche» aide à se représenter
les phases successives de l’usinage
d’une pièce. On peut ainsi gagner du
temps en évitant les erreurs et les
tâtonnements que l’on commettrait
en se jetant directement sur la
programmation d’une machine à
commande numérique. Un gros travail
de préparation est nécessaire avant
la phase de fabrication, d’autant
plus important que la production
est complexe et qu’elle utilise des
machines sophistiquées...
Le niveau de qualification demandé
dans les entreprises augmente :
on demande de plus en plus
souvent pour les opérateurs un
niveau bac professionnel. «Il faut
réfléchir, explique un mouliste. Les
opérateurs doivent décrypter des
plans complexes, avec une tolérance
d’usinage quasi-nulle.»
➜ 35 heures
La mécanique a une sale image. Elle
offre cependant depuis longtemps
des activités variées, qui nécessitent
© Onisep Bretagne
A Tinténiac, la base française du
groupe japonais Sanden fabrique
chaque année de A à Z plus de deux
millions de compresseurs pour la
climatisation automobile. Sur les 20
hectares occupées par le site, les 5
ha de constructions réparties en trois
bâtiments ont des attributions très
spécifiques. 35 personnes travaillent
dans la fonderie en moulage
d’aluminium sous pression, 220 dans
l’atelier d’usinage et 250 sur les trois
lignes d’assemblage. S’y ajoutent 30
à 40 spécialistes de la maintenance,
environ autant pour la logistique et
les techniciens chargés du contrôle
qualité. Les unités d’usinage et de
fonderie travaillent 24 h sur 24,
contrairement à l’atelier d’assemblage
qui ne tourne pas le week-end.
Rigueur, propreté, ordre : dans les
ateliers, on suit les indications, on ne
franchit pas les bandes blanches... Ici,
on ne rigole pas avec les consignes
de sécurité, le port de la blouse ou
du badge Sanden. Même organisation
très stricte dans l’encadrement : le
directeur de l’usine est entouré par
des directeurs adjoints, un par activité. Lesquels ont sous leurs ordres
des chefs de service, eux-mêmes
responsables de «superviseurs», qui
encadrent des chefs d’équipe. Dans
les vastes et clairs locaux de l’usine
de Tinténiac, tous les diplômes se
croisent en bon ordre, du BEP au
titre d’ingénieur. Chez Sanden, on se
préoccupe davantage aujourd’hui de
gérer des ressources humaines que,
jusqu’à présent, on s’employait plutôt
à faire grossir. Il s’agit d’identifier des
compétences, de repérer des polyvalences, d’être plus dynamique au
plan des évolutions internes. Histoire
de motiver et de fidéliser les troupes,
les bacheliers professionnels en particulier. Le bac pro est intéressant sur
certains process, certaines machines
complexes. Mais la difficulté est de
fidéliser ceux qui n’évoluent pas. Les
bacheliers ont davantage d’ambitions
que les titulaires d’un BEP. Même
dans une grande entreprise, les possibilités de progresser sont relativement
limitées.
Les «touche-à-tout» de la
mécanique
Mécaprécis à Concarneau
Chez Mécaprécis, on fait tout,
mais pas n’importe quoi, et surtout
pas n’importe comment... En
vingt années, la PME a affûté ses
compétences dans le domaine
de l’usinage. On y fabrique des
machines pour les industries
agroalimentaires,
des
outils
d’emboutissage ou des moules
métalliques. L’entreprise prend
aussi le «tout-venant» des clients qui
souhaitent remplacer une pièce ou
un élément mécanique usé ou cassé.
Pour répondre à une telle variété
de demandes, le parc machines est
conséquent, un matériel est toujours
disponible ; deux équipes travaillent
en 2x8 et les machines tournent
aussi la nuit. Dans l’atelier, les
machines à commande numérique
de dernière génération côtoient des
tours traditionnels. L’activité de
l’entreprise nécessite pour certains
travaux de conserver les deux types
d’équipement. Les 20 personnes de
l’atelier combinent compétence et
polyvalence. 90% des opérateurs
sont capables de sauter d’un tour
à une fraiseuse, traditionnelle ou
à commande numérique. Cette
polyvalence autorise une réactivité
certaine face aux demandes d’une
clientèle exigeante. Recrutés au
niveau CAP/BEP, les opérateurs
doivent posséder les connaissances
de base de l’usinage mécanique,
tournage, fraisage, réglages... Mais
chacun d’entre eux a une vision très
large de l’ensemble du processus.
Davantage impliqué, plus motivé,
le personnel de l’entreprise prend
davantage de responsabilités dans
des tâches plus riches. Et davantage
de plaisir aussi...
2
Des métiers...
Ingénieur en mécanique
Tous les secteurs industriels font
appel aux sciences de la mécanique.
L’évolution rapide des technologies
(automatique, productique…) et le
développement de la concurrence
internationale nécessitent des efforts
importants en termes de recherche
et d’innovation. On a besoin
d’ingénieurs en mécanique pour
concevoir les nouvelles machines et
les nouveaux produits (ingénieur de
recherche ou ingénieur de bureau
d’études), organiser une usine
(ingénieur des méthodes), contrôler
la qualité (ingénieur de production,
ingénieur d’essai ou de contrôle)…
ou commercialiser des équipements
(ingénieur technico-commercial).
Un ingénieur généraliste peut
exercer dans toutes les fonctions
de l’entreprise. Dans un grand
groupe industriel, l’ingénieur peut
se voir confier, dans un premier
temps l’encadrement d’une équipe,
puis devenir chef de service, puis
responsable d’un département
(recherche, production…). Dans une
petite ou moyenne industrie, il peut,
après expérience, viser la direction.
Opérateur d’usinage sur
machine à commande
numérique
L’opérateur est celui qui fabrique
des pièces mécaniques (boîtes de
vitesse, plaques de cuisson pour
les biscuiteries…), sur machines
traditionnelles ou à commande
numérique. Le travail de l’opérateur
exige des geste précis, une attention
soutenue et une certaine résistance
physique (travail debout en atelier).
Il faut également une bonne
représentation des volumes dans
l’espace pour la lecture des plans de
pièces. Le métier demande également
une compréhension précise des
phénomènes mécaniques (forces qui
composent un mouvement ou qui
s’exercent sur un outil…). Mais aussi
l’aptitude au calcul et l’utilisation de
© Onisep Bretagne
schémas et formules mathématiques.
Après quelques années de pratique,
l’opérateur peut devenir responsable
d’atelier. Il organise alors la
répartition et le suivi du travail des
équipes, gère les approvisionnements,
l’assistance technique, l’amélioration
des moyens de production. Il peut
également évoluer vers un emploi de
technicien des méthodes (préparation
de la fabrication) ou de technicien
contrôle-qualité.
Les emplois d’opérateurs qualifiés
sont très recherchés par les entreprises
industrielles.
La
qualification
souhaitée correspond généralement
au niveau bac professionnel.
Technicien en mécanique
Les techniciens de la mécanique
peuvent travailler à tous les stades
de la fabrication d’un produit : de
la conception (technicien d’études),
à l’organisation (technicien des
méthodes), en passant par le
contrôle (technicien de contrôle),
le dépannage (technicien de
maintenance) et la vente (technicien
technico-commercial).
Pour faire face à l’utilisation
croissante des systèmes automatisés,
le niveau bac+2 devient nécessaire
pour accéder à des postes à
responsabilités.
Le
technicien
soucieux de bien gérer sa carrière ne
devra pas hésiter à changer souvent
de poste de travail et s’adapter aux
évolutions techniques. Le technicien
en mécanique peut évoluer vers des
fonctions technico-commerciales.
Par le biais de la formation continue,
il peut obtenir le titre d’ingénieur.
Les techniciens mécaniques sont
particulièrement recherchés par les
grandes entreprises et par les PMEPMI.
Bienvenue
sur le site des métiers
et des formations
@
www.onisep.fr
www.onisep.fr/bretagne
www.onisep.fr/nantes
LES SITES INTERNET DE L’ONISEP
réflexion, initiative et autonomie. On
y trouve aussi de réelles possibilités
de promotion, à la mesure de sa
motivation.
Les matériels évoluent, sont plus
sophistiqués : ils autorisent de
passionnantes parties de «remueméninges» dès la fonction d’opérateur.
La baisse de la démographie met les
employeurs en situation de pénurie.
Ce manque de candidats à l’embauche
a cependant des conséquences
heureuses. Ecoles et entreprises se
rapprochent encore pour qualifier
des jeunes opérationnels, et les
entreprises se mettent en quatre
pour pourvoir leurs emplois. Dans les
ateliers, on se préoccupe davantage
des conditions de travail. On y fait
entrer au chausse-pied les 35 h, même
dans les plus petites entreprises. Les
salaires deviennent plus attractifs ;
le décolletage ne sera plus le seul
secteur à offrir 1500 € à un débutant.
On se penche sérieusement sur les
possibilités de promotion interne. On
fait de la «gestion des ressources
humaines» pour fidéliser aussi ces
ressources qu’on a tant de mal à
séduire...
3
Les formations
Les diplômés de la mécanique sont
nombreux. Parmi ceux-ci...
➜ Le titulaire du BEP MPMI, Métiers
de la production mécanique
informatisée est un spécialiste
de la technique d’usinage, il
prépare et entretient des machines
conventionnelles et numériques pour
réaliser des produits variés en acier,
fonte, plastique…
➜ Le Bac pro Productique, option
usinage ou décolletage forme des
techniciens de haut niveau pour
machines complexes. Décolleteur, il
règle les tours et contrôle la qualité
des pièces. En usinage il fabrique les
pièces . Les futurs bacheliers sont
formés à la commande numérique et à
la programmation mais également à la
gestion de production.
➜ Les élèves du Bac techno Génie
mécanique, option productique
mécanique reçoivent une formation
générale, une culture et des
compétences technologiques qui leur
permettront par la suite de poursuivre
leurs études en BTS, DUT ou en école
d’ingénieurs.
➜ Avec son BTS Productique
mécanique en poche le technicien
est un spécialiste des techniques
d’usinage, d’assemblage et de
contrôle. Sa formation est centrée
sur la conception des outillages, la
définition des processus, la réalisation
et le contrôle.
➜ Le DUT Organisation et gestion
de la production forme des
techniciens capables d’organiser
et de piloter une production dans
divers secteurs avec le respect des
contraintes économiques et des délais.
Il peut exercer dans le secteur de
la mécanique. Il doit posséder des
compétences en logistique, qualité et
management.
➜ Le diplôme d’ingénieur maître
de l’IUP Génie mécanique permet
d’accéder à la fonction de responsable
de projet. Les étudiants s’insèrent
essentiellement en production
industrielle et peuvent aussi poursuivre
leurs études en DESS.
➜ La licence professionnelle de
mécanique forme des spécialistes
de CAO (conception assistée par
ordinateur) qui pourront être recrutés
en tant que chef de projet ou projeteur
en bureau d’études.
© Onisep Bretagne
Les formations
On peut se former à la mécanique après une troisième, une seconde
ou un bac et aussi après une ou deux années d’études supérieures.
CAP, BEP, Bac professionnel, BTS, DUT, licence professionnelle, diplôme
d’ingénieur, DESS… toutes les formations à la mécanique sont utiles à
l’entreprise. Celles-ci cherchent des opérateurs qualifiés pour conduire
des machines de plus en plus complexes. Elles ont aussi besoin de
chercheurs et d’ingénieurs dans les bureaux d’ études ou les bureaux
des méthodes pour définir les pièces, faire évoluer les machines et les
matériaux. La Bretagne et les Pays de la Loire proposent de nombreux
autres diplômes pour travailler dans ce secteur, du CAP au diplôme
d’ingénieur, par exemple : le CAP Conduite de systèmes industriels,
le BEP Maintenance des systèmes mécaniques automatisés, le Bac
pro Etudes et définition de produits industriels, le BTS Conception de
produits industriels, le DUT Génie mécanique et productique, la licence
professionnelle gestion des produits industriels, le diplôme d’ingénieur
en productique... Tous ces diplômes sont aussi des clés d’entrée dans le
monde de la mécanique.
sommaire
Productique
mécanique
Le guide . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Les entreprises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
Mécaprécis à Concarneau : Les «touche-à-tout» de la mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .07
Fiche métier : Opérateur(trice) d’usinage sur machine à commande numérique . . . . . . . . . . . . . . . . . .10
Sanden Manufacturing Europe : Des compresseurs japonais made in Bretagne . . . . . . . . . . . . . . . . . .11
Fiche métier : Ingénieur en mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
L’usine Legris à Malestroit : Pôle d’excellence en décolletage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .16
Fiche métier : Technicien(ne) en mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .18
La SARM à Plérin : Des moules de qualité en Nord-Bretagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .19
En Bref : Synthèse Entreprises-Emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22
Les formations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23
Se former à la mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .23
A Saint-Brieuc : Deux lycées résolument tournés vers la mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .24
Fiche diplôme : BEP Métiers de la production mécanique informatisée (MPMI) . . . . . . . . . . . . . . . . .28
Le Bac Pro Productique mécanique option décolletage : Technicien de haut niveau
pour machines complexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .30
Le Bac Pro Productique mécanique a aussi une option usinage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .33
Fiche diplôme : Bac Techno STI Génie mécanique, option productique mécanique . . . . . . . . . . . . . . .34
Fiche diplôme : BTS Productique mécanique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .38
Le DUT Organisation et Génie de la production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .42
Delphine, apprentie en DUT OGP : L’alternance, une formule attractive et rémunérée . . . . . . . . . . . .44
L’IUP Génie mécanique : Une formation ascensionnelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .46
La licence pro Mécanique : De la mécanique en 3D . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .50
Les «mécanos» de l’université . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51
Se former à la mécanique en Bretagne et Pays de la Loire - Année 2002-2003 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .53
☛ Le dossier complet «Regards sur la Productique mécanique» est
rangé dans le casier D04-01 de l’Autodoc au CDI ou au BDI. On peut
aussi le consulter dans tous les CIO.
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